l’impact de l’épidémioclinique de la maladie du sommeil en république démocratique du congo

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Communications / Revue d’Épidémiologie et de Santé Publique 57S (2009) S3–S59 S43 incidences de la population générale et (O) est le nombre de cas de CS observé. Les SIR sont estimés en fonction du gène muté (BRCA1 ou BRCA2). Résultats.– Fin 2008, GENEPSO inclut 1307 femmes. Parmi ces 1307 femmes, 724 étaient indemnes de pathologie cancéreuse à l’inclusion dans la cohorte. L’âge moyen au moment de l’inclusion dans la cohorte est de 38 ans (médiane : 37 ans, range : de 18 à 98 ans). Le suivi médian des 724 femmes indemnes est d’environ deux ans (avec un maximum de 7,5 ans). Trente-neuf CS incidents ont été observés. Le risque de CS pour les femmes porteuses d’une mutation BRCA est très significativement supérieur à celui de la population générale (BRCA1 : SIR = 20,8, IC95 % [13,7–30,2] ; BRCA2 : SIR = 17,7, IC95 % [9,1–30,8]). Conclusion.– Ces résultats sont les premiers issus de données prospectives et confirment un risque très élevé de CS pour les femmes porteuses d’une mutation BRCA par rapport à la population générale féminine franc ¸aise. doi:10.1016/j.respe.2009.02.146 Sondage urinaire et infection nosocomiale en urologie S. Mouwafaq a , L. Adarmouch a , M. Amine a , S. Moudouni b , Z. Bajaddoub b , Z. Dahami b , I. Sarf b a Laboratoire d’épidémiologie, faculté de médecine et de pharmacie de Marrakech, Marrakech, Maroc b Service d’urologie, CHU Mohammed VI de Marrakech, Marrakech, Maroc Mots clés : Sondage urinaire ; Infection nosocomiale ; Urologie ; Marrakech Objectifs.– L’infection urinaire est la plus fréquente des infections nosocomiales. Le sondage urinaire est un geste médical fréquent souvent perc ¸u comme anodin mais qui a souvent été incriminé dans l’apparition d’infection urinaire noso- comiale. L’objectif de notre étude était d’étudier l’association entre le sondage vésical et l’infection urinaire nosocomiale. Méthode.– Il s’agit d’une étude de cohorte réalisée du 1 er janvier au 15 mars 2008 au service d’urologie du CHU Mohammed VI de Marrakech, ayant inclus 55 patients qui avaient bénéficié d’un sondage urinaire et 44 qui n’en avaient pas bénéficié. La population cible était constituée des patients hospitalisés pour une durée supérieure à 48 h et ayant un examen cytobactériologique des urines (ECBU) stérile à l’admission ; ont été exclus les patients préalablement sous antibiothérapie. Un ECBU de contrôle était réalisé systématiquement à la sortie du patient ou en cas de signes d’appel. L’analyse statistique a fait appel aux techniques simples d’analyse univariée sur logiciel Epi Info version 6.04dfr. Résultats.– Au total, 99 patients éligibles et consentants ont été retenus ; leur âge variait de 19 à 93 ans avec une médiane de 49,5 ans. L’échantillon était composé majoritairement d’hommes (67 %). L’incidence de l’infection nosocomiale chez le groupe des patients sondés était de 45,5 % versus 25 % dans le groupe de comparaison, avec un risque relatif de 1,82 IDC à 95 % (1,01–3,27). Conclusion.– Ces résultats suggèrent la nécessité d’une mise en œuvre de pro- cédures rigoureuses de sondage urinaire assurant un respect de bonnes pratiques et limitant ainsi le risque de l’infection nosocomiale urinaire. doi:10.1016/j.respe.2009.02.147 L’impact de l’épidémioclinique de la maladie du sommeil en République démocratique du Congo F.M. Mulangu Katulumba Direction de lutte contre la maladie, Ministère de la santé publique, Kinshasa, RD Congo Mots clés : Trypanosomiase humaine ; Épidémiologie ; Cohorte Objectif.– Contrôler la recrudescence de la trypanosomiase humaine africaine en RD du Congo. Méthodologie.– Il s’agit d’une étude épidémiologique, longitudinale de type cohorte rétrospective à finalité descriptive. Résultats.– Le traitement de la trypanosomiase en 2007 a utilisé : 35,67 % de melarsopol, 42,50 % de la pentamidine, 1,19 % d’autres associations, 20,52 % de l’ormidyl. Au cours de l’année 2007, 116 décès ont été enregistrés parmi les trypanosomés, soit un taux de létalité de 1,45 % ; un taux de mortalité de 1,5 % ; un taux d’encéphalopathie de 4,7 % ; un taux par encéphalopathie 43,36 %. Conclusion.– On assiste à une résurgence de trypanosomiase dans certains foyers historiques (Doruma dans la province Orientale, Sankuru, Katende dans le Kasaï, Muwana à 25 km de Kinshasa, etc.). Dix provinces sur 11 sont endémiques et 8162 nouveaux cas ont été déclarés durant 2007. Sur 934 pièges en fonction à la fin de l’année, 186 145 mouches ont été capturées. Tel qu’on le voit, certes, il y a une régression, mais la lutte clinique reste grande, la prévalence qui est de 87 % devra passer à 45 %. Et pour y parvenir, nous pensons, qu’outre le traitement clinique, une prévention par lutte biologique et par chimioprophylaxie (par épandage) serait la mieux indiquée. doi:10.1016/j.respe.2009.02.148 Mortalité dans la maladie de Parkinson : données préliminaires issues de la cohorte Parkmip/Copark L. Nègre-Pagès , S. Perez Lloret , P. Damier , A. Destée , F. Tison , O. Rascol , Copark study group Toulouse, France Mots clés : Mortalité ; Maladie de Parkinson ; Cohorte Objectifs.– La mortalité et les causes de mortalité restent peu étudiées dans la maladie de Parkinson. Notre objectif était de comparer : – la mortalité après 24 mois de suivi de malades parkinsoniens non institution- nalisés et de malades non parkinsoniens d’âge et de sexe comparables ;. – les caractéristiques cliniques des patients décédés et non décédés. Méthodes.– Au total, 329 patients parkinsoniens sans trouble cognitif (MMSE < 24) et 73 patients non-parkinsoniens ont été vus à 24 mois d’intervalles. À chaque visite, un questionnaire détaillé sur la maladie de Parkinson (UPDRS, HY, consommation de médicaments) et ses fac- teurs associés (anxiété, dépression, troubles du sommeil) a été réalisé. Le décès et le motif de décès étaient notifiés par le neurologue ou le médecin référent des patients n’ayant pas réalisé leur visite de suivi. La mortalité et le profil des patients ont été comparés entre les deux groupes. Résultats.– Le taux de mortalité après 24 mois de suivi était de 5,8 % chez les malades parkinsoniens et de 0 % chez les malades non parkinsoniens. Le risque relatif était de 4,27 et la différence de risque absolue de 5,4 % (95 %IC = 2,1 % ; 9,4 %). Les patients décédés étaient plus âgés au moment de l’entrée dans l’étude (77 ± 8 ans vs 69 ± 9 ans, p = 0,001), avaient un MMSE plus bas (26,6 ± 2,1 vs 28,2 ± 2,1, p = 0,001) et une sévérité plus importante de la maladie de Parkinson. Les causes de mortalité les plus fréquemment rap- portées étaient les « maladies cardiovasculaires » (32 %) ; les « cancers » (21 %) ; « l’aggravation du parkinsonisme » (16 %) ; le suicide (1 %). Vingt-six pour cent des décès étaient de causes inconnues. Conclusion.– Les patients parkinsoniens avaient une mortalité plus élevée que les malades non parkinsoniens d’âge et de sexe comparables. doi:10.1016/j.respe.2009.02.149 Case only design en pharmaco-épidémiologie : revue systématique S. Nordmann, P. Ravaud, F. Tubach Inserm U738, département d’épidémiologie, biostatistique et recherche clinique, UFR de medicine, université Paris-7 Denis-Diderot, hôpital Bichat, AP–HP, Paris, France Mots clés : Pharmaco-épidémiologie ; Case-crossover ; Méthodologie Objectif.– Les plans expérimentaux ne reposant que sur des cas (case only design) sont de développement récent. Les cas sont leur propre témoin, ce qui éli- mine les biais de sélection liés au choix des témoins et les biais de confusion sur des facteurs fixes dans le temps. Notre objectif était de décrire l’utilisation de ces designs et la fac ¸on dont les résultats sont rapportés en pharmaco-épidémiologie. Méthodes.– Nous avons sélectionné tous les articles publiés en pharmaco- épidémiologie rapportant des case-crossover (CC), self-controlled case series (SCCS), ou case-time-control dans Medline et Embase sans restriction de date, jusqu’au 31 mars 2008. Nous avons extrait les données à partir d’un ques- tionnaire standardisé portant sur la justification d’utilisation du design, les caractéristiques des expositions et des évènements étudiés, les bases des choix méthodologiques (nombre, durée et situation des périodes témoin), calcul du nombre de sujets, méthodes statistiques, conditions de validité et conclusions des auteurs. Résultats.– Au total, 59 articles ont été analysés (33 [55,9 %] rapportant un SCCS et 27 [45,8%] un CC, un rapportant les 2). L’utilisation de ces plans expérimentaux a continuellement augmenté depuis leur conception. La justifi-

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ncidences de la population générale et (O) est le nombre de cas de CS observé.es SIR sont estimés en fonction du gène muté (BRCA1 ou BRCA2).ésultats.– Fin 2008, GENEPSO inclut 1307 femmes. Parmi ces 1307 femmes,24 étaient indemnes de pathologie cancéreuse à l’inclusion dans la cohorte.’âge moyen au moment de l’inclusion dans la cohorte est de 38 ans (médiane :7 ans, range : de 18 à 98 ans). Le suivi médian des 724 femmes indemnes est’environ deux ans (avec un maximum de 7,5 ans). Trente-neuf CS incidents ontté observés. Le risque de CS pour les femmes porteuses d’une mutation BRCAst très significativement supérieur à celui de la population générale (BRCA1 :IR = 20,8, IC95 % [13,7–30,2] ; BRCA2 : SIR = 17,7, IC95 % [9,1–30,8]).onclusion.– Ces résultats sont les premiers issus de données prospectives etonfirment un risque très élevé de CS pour les femmes porteuses d’une mutationRCA par rapport à la population générale féminine francaise.

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ondage urinaire et infection nosocomiale en urologie. Mouwafaq a, L. Adarmouch a, M. Amine a, S. Moudouni b, Z. Bajaddoub b,. Dahami b, I. Sarf b

Laboratoire d’épidémiologie, faculté de médecine et de pharmacie dearrakech, Marrakech, MarocService d’urologie, CHU Mohammed VI de Marrakech, Marrakech, Maroc

ots clés : Sondage urinaire ; Infection nosocomiale ; Urologie ; Marrakechbjectifs.– L’infection urinaire est la plus fréquente des infections nosocomiales.e sondage urinaire est un geste médical fréquent souvent percu comme anodinais qui a souvent été incriminé dans l’apparition d’infection urinaire noso-

omiale. L’objectif de notre étude était d’étudier l’association entre le sondageésical et l’infection urinaire nosocomiale.éthode.– Il s’agit d’une étude de cohorte réalisée du 1er janvier au 15 mars

008 au service d’urologie du CHU Mohammed VI de Marrakech, ayant inclus5 patients qui avaient bénéficié d’un sondage urinaire et 44 qui n’en avaientas bénéficié. La population cible était constituée des patients hospitalisés pourne durée supérieure à 48 h et ayant un examen cytobactériologique des urinesECBU) stérile à l’admission ; ont été exclus les patients préalablement sousntibiothérapie. Un ECBU de contrôle était réalisé systématiquement à la sortieu patient ou en cas de signes d’appel. L’analyse statistique a fait appel auxechniques simples d’analyse univariée sur logiciel Epi Info version 6.04dfr.ésultats.– Au total, 99 patients éligibles et consentants ont été retenus ; leur âgeariait de 19 à 93 ans avec une médiane de 49,5 ans. L’échantillon était composéajoritairement d’hommes (67 %). L’incidence de l’infection nosocomiale chez

e groupe des patients sondés était de 45,5 % versus 25 % dans le groupe deomparaison, avec un risque relatif de 1,82 IDC à 95 % (1,01–3,27).onclusion.– Ces résultats suggèrent la nécessité d’une mise en œuvre de pro-édures rigoureuses de sondage urinaire assurant un respect de bonnes pratiquest limitant ainsi le risque de l’infection nosocomiale urinaire.

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’impact de l’épidémioclinique de la maladie du sommeiln République démocratique du Congo.M. Mulangu Katulumba

Direction de lutte contre la maladie, Ministère de la santé publique, Kinshasa,D Congo

ots clés : Trypanosomiase humaine ; Épidémiologie ; Cohortebjectif.– Contrôler la recrudescence de la trypanosomiase humaine africaine

n RD du Congo.éthodologie.– Il s’agit d’une étude épidémiologique, longitudinale de type

ohorte rétrospective à finalité descriptive.ésultats.– Le traitement de la trypanosomiase en 2007 a utilisé : 35,67 % deelarsopol, 42,50 % de la pentamidine, 1,19 % d’autres associations, 20,52 %

e l’ormidyl. Au cours de l’année 2007, 116 décès ont été enregistrés parmi lesrypanosomés, soit un taux de létalité de 1,45 % ; un taux de mortalité de 1,5 % ;

n taux d’encéphalopathie de 4,7 % ; un taux par encéphalopathie 43,36 %.onclusion.– On assiste à une résurgence de trypanosomiase dans certains foyersistoriques (Doruma dans la province Orientale, Sankuru, Katende dans le Kasaï,uwana à 25 km de Kinshasa, etc.). Dix provinces sur 11 sont endémiques et

162 nouveaux cas ont été déclarés durant 2007. Sur 934 pièges en fonction à

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de Santé Publique 57S (2009) S3–S59 S43

a fin de l’année, 186 145 mouches ont été capturées. Tel qu’on le voit, certes,l y a une régression, mais la lutte clinique reste grande, la prévalence qui este 87 % devra passer à 45 %. Et pour y parvenir, nous pensons, qu’outre leraitement clinique, une prévention par lutte biologique et par chimioprophylaxiepar épandage) serait la mieux indiquée.

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ortalité dans la maladie de Parkinson : donnéesréliminaires issues de la cohorte Parkmip/Copark. Nègre-Pagès , S. Perez Lloret , P. Damier , A. Destée , F. Tison ,. Rascol , Copark study group

Toulouse, France

ots clés : Mortalité ; Maladie de Parkinson ; Cohortebjectifs.– La mortalité et les causes de mortalité restent peu étudiées dans laaladie de Parkinson. Notre objectif était de comparer :la mortalité après 24 mois de suivi de malades parkinsoniens non institution-

alisés et de malades non parkinsoniens d’âge et de sexe comparables ;.les caractéristiques cliniques des patients décédés et non décédés.éthodes.– Au total, 329 patients parkinsoniens sans trouble cognitif

MMSE < 24) et 73 patients non-parkinsoniens ont été vus à 24 mois’intervalles. À chaque visite, un questionnaire détaillé sur la maladiee Parkinson (UPDRS, HY, consommation de médicaments) et ses fac-eurs associés (anxiété, dépression, troubles du sommeil) a été réalisé.e décès et le motif de décès étaient notifiés par le neurologue ou leédecin référent des patients n’ayant pas réalisé leur visite de suivi.a mortalité et le profil des patients ont été comparés entre les deuxroupes.ésultats.– Le taux de mortalité après 24 mois de suivi était de 5,8 % chez

es malades parkinsoniens et de 0 % chez les malades non parkinsoniens.e risque relatif était de 4,27 et la différence de risque absolue de 5,4 %

95 %IC = −2,1 % ; −9,4 %). Les patients décédés étaient plus âgés au momente l’entrée dans l’étude (77 ± 8 ans vs 69 ± 9 ans, p = 0,001), avaient un MMSElus bas (26,6 ± 2,1 vs 28,2 ± 2,1, p = 0,001) et une sévérité plus importantee la maladie de Parkinson. Les causes de mortalité les plus fréquemment rap-ortées étaient les « maladies cardiovasculaires » (32 %) ; les « cancers » (21 %) ;l’aggravation du parkinsonisme » (16 %) ; le suicide (1 %). Vingt-six pour centes décès étaient de causes inconnues.onclusion.– Les patients parkinsoniens avaient une mortalité plus élevée que

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Inserm U738, département d’épidémiologie, biostatistique et recherchelinique, UFR de medicine, université Paris-7 Denis-Diderot, hôpital Bichat,P–HP, Paris, France

ots clés : Pharmaco-épidémiologie ; Case-crossover ; Méthodologiebjectif.– Les plans expérimentaux ne reposant que sur des cas (case onlyesign) sont de développement récent. Les cas sont leur propre témoin, ce qui éli-ine les biais de sélection liés au choix des témoins et les biais de confusion sur

es facteurs fixes dans le temps. Notre objectif était de décrire l’utilisation de cesesigns et la facon dont les résultats sont rapportés en pharmaco-épidémiologie.éthodes.– Nous avons sélectionné tous les articles publiés en pharmaco-

pidémiologie rapportant des case-crossover (CC), self-controlled case seriesSCCS), ou case-time-control dans Medline et Embase sans restriction de date,usqu’au 31 mars 2008. Nous avons extrait les données à partir d’un ques-ionnaire standardisé portant sur la justification d’utilisation du design, lesaractéristiques des expositions et des évènements étudiés, les bases des choixéthodologiques (nombre, durée et situation des périodes témoin), calcul du

ombre de sujets, méthodes statistiques, conditions de validité et conclusionses auteurs.ésultats.– Au total, 59 articles ont été analysés (33 [55,9 %] rapportant unCCS et 27 [45,8 %] un CC, un rapportant les 2). L’utilisation de ces plansxpérimentaux a continuellement augmenté depuis leur conception. La justifi-