mise en place d un système d information pour l entretien
TRANSCRIPT
GROUPE DES ÉCOLES EIER - ETSHER
MÉMOIRE DE FIN D’ÉTUDES 2004
Présenté par :
DIALLO Alghassimou
THÈME :
MISE EN PLACE D’UN SYSTÈME D’INFORMATION POUR L’ENTRETIEN ET LA GESTION DU PATRIMOINE BÂTI COMMUNAL (COMMUNE DE OUAGADOUGOU)
MENTION
Encadrement :
Eric S. TRAORE
DEDICACE
Zu Nom de Dtiu Le IOZll5Utiéricordti~et G2 Très Miséricordie~ Je
emercie CDieu davoirfait de moi rhomme queje suis. Au terme de ce mémoire
“étudesje saisis cette occasion pour dédier ce présent mémoire aqpersonnes
ui me sont chères notamment :
1 ma mère, DIJLLO Sadifihatou, qui m’a toujours soutenue et que je ne
lourraisjamais remercier sufiamment tant eC& s’est investie pour ma
éussite.
2
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2
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P’
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1 feu mon père, Namadou Ma&& qui nous a quitté très tôt mais dont je
wde 15s meilîurs souvenirs de mon enfance.
mes saursJissatou, lahirou et Issagha qui m’ont 6eaucoup manqué
:ndant ces trois années passées à l%?ZIER
mon on& qui m’a toujours encouragé et soutenu dans mes études.
1
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
REMERCIEMENT
* l
J’écoute et jou6Cie.
Je CI et je retiens.
Je fais et j’apprends.
(@rover6e chinois)
Le présent mémoire a pu être réaiisé grâce à Ia colZa6oration du personnel de Lz Direction des
Services Techniques de l;z mairie de Ouagadougou et à l’encadrement de L%IE~ Je tiens à ,ks remercier pour
leur accueil-et Eur dtiponi6illtéJe veqeqrimer en particu fier ma gratitude à :
!Mon encadreur NM. Eric TiOS$lZ pour son entikre disponi6iLïté et I;is e@cations, Ls
remarques et L%S suggestions que j’ai reçues dé lui.
Messieurs NiCbgo ZEZOlhQl et Yacou6a I@lORE respectivement chefs des
seruikes Entretien et Gestion du Patrimoine Bâti municipal; et UrGanisme et
Ingénieri? des Pro$s.
Messieurs Sina ?HljW, de liz ceCCub SIÇ et ~ichardOUE@~OÇO en travailde
recherche à r EIEqpour leurs éclkrcissements.
f tous lës amis Ingénieurs et futurs Ingénieurs de CWEqde b 32 ème promotion à b
35 ème promotion.
fl tous cery:qui ont contri6ué de près ou de ïôin à Ia réussite de ma formation.
2
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
Liste des abrkviations
Liste des abréviations
AFD : Agence Française de Développement.
DBMS : Data Base Management System.
DSTM : Direction des Services Techniques Municipaux.
GEBAT : Gestion de I’Entretien du patrimoine BÂTI.
ha : hectare unité de mesure de superficie.
hbts : abréviation de habitants
INSD : Institut National de la Statistique et de la Démographie.
MCC : Modèle Conceptuel de la Communication,,
MCD : Modèle Conceptuel des Données~
MCT : Modèle Conceptuel des Traitements~
MOT : Modèle Organisationnel des Traitements
MSG : Message.
P V : Procès Verbal.
RGPH : Recensement Général de la Population et de l’Habitation.
Ri : Identificateur de relation.
SAI : Système Automatisé d’Information.
SGBD : Système de Gestion de Base de Données.
SGBD0 : Système de Gestion de Base de Données Objet.
SGBDR : Système de Gestion de Base de Données Relationnelles.
SIG : Système d’Information Géographique.
SIU : Système d’Information urbaine.
SQL : Structured Query Language.
TDR : Termes De Références”
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Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
Résumé
Auteur : DIALLO Alghassimou
Professeur encadreur : TRAORE Eric Orqanisme encadreur : DSTM
THEME :
Mise en place d’un système d’information pour l’entretien et la gestion du patrimoine bâti communal.
RESUME :
La Direction des services Techniques Municipaux de la commune de Ouagadougou s’attache à mettre en place un système d’information pour une meilleure gestion du patrimoine public dont elle a la charge. La commune dispose déjà d’un plan d’adressage de la ville dont l’actualisation est en cours .Ce plan d’adressage est basé sur un système de numérotation qui permet d’identifier les différents éléments du patrimoine bâti (école, centre de santé, marché...), par un code renseignant sur le secteur, la rue et la distance par rapport à des routes servant de référence. C’est dans ce cadre qu’elle veut mettre en place un système d’information pour le service Entretien et Gestion du patrimoine bâti. L’intérêt pour la commune de se munir d’un tel outil de gestion est à la fois d’ordre réglementaire (recensement des biens, contrôle des normes de sécurité, élaboration de textes...) et d’ordre financier (gestion financière des logements, marchés, des boutiques de rue...)
Le travail a consisté d’abord à étudier le fonctionnement actuel du domaine à informatiser, ensuite nous avons élaboré des modèles pour représenter les réalités du système actuel d’information puis nous avons réalisé une application qui gère la base de données ainsi créée. Enfin nous avons décrit le fonctionnement de l’application pour une prise en main par l’utilisateur.
L’application permettra de gérer l’ensemble des informations liées au patrimoine bâti de la commune de Ouagadougou. Les données sont structurées autour de 3 objets représentant les éléments du patrimoine, les travaux et les intervenants.
P Les informations sur l’élément de patrimoine permettent de renseigner sur le type d’élément (école,marché,etc. ),la localisation( arrondissementsecteur et rue ),l’année de construction,le coût de réalisation etc.
3 Les informations sur les travaux permettent de savoir ceux déjà réalisés ou prévus, la nature des travaux (les différents lots), le matériel utilisé et le devis correspondant.
> Les informations sur les intervenants permettent de connaître l’utilisation des travailleurs temporaires, les interventions des agents et des entreprises.
La réalisation de cette application permettra d’optimiser les interventions, de mieux connaître le patrimoine bâti et contribuera à valoriser l’image du service vis-à-vis des utilisateurs par un meilleur accès aux informations et la prise en charge d’une partie des tâches de gestion par l’application informatique.
Mots clés : base de données/entretien/gestion/ patrimoine bâti/ système d’information.
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Réalisé par DIALLO Alghassimou encadrb par TRAORÉ S. Eric
Sommaire
l
Tables des matières
DEDICACE ............................................................................................................................... 1
REMERCIEMENT ................................................................................................................... 2
Liste des abréviations ................................................................................................................ 3
RESUME - ................................................................................................................................. 4
Tables des matières .................................................................................................................... 5
Liste desjigures ......................................................................................................................... 7
Introduction ............................................................................................................................... 8
In traduction ............................................................................................................................... 8
I- ETUDE PRÉALABLE ...................................................................................................... 9
Ll- Historique .............................................................................................................................. 9
1.2- Situation actuelle .................................................................................................................. 9
1.3- La problématique ............................................................................................................... 10
I.4- Méthodologie ....................................................................................................................... 12 I.4.1- Analyse de la demande .................................................................................................................. 12 1.4.2- Description de la situation actuelle : .............................................................................................. 13 1.4.3- Description de la Direction des Services techniques Municipaux : DSTM ................................... 14 1.4.4- Le Service de l’entretien et de la gestion du patrimoine Municipal.. ............................................. 15 1.45 Les grandes Orientations :. ............................................................................................................. 16 1.4.6- Les Etapes de la conception ........................................................................................................... 17
II- DEFINITION DES NOTIONS DE BASE ................................................................. 18
Dl-
II.2-
11.3-
11.4-
ILS-
II.O-
11.7-
II&
11.9-
II.lO-
II.ll-
11.12-
II. 13-
I1.14-
Qu’est-ce qu’un système d’information ............................................................................ 18
Le besoin de méthodes ....................................................................................................... 19
Présentation de la méthode MERISE ............................................................................... 19
La conception des systèmes d’information avec MERISE ............................................. 20
Définition de l’organisation ............................................................................................... 22
Diagramme de contexte ..................................................................................................... 23
Diagramme conceptuel de flux .......................................................................................... 23
Le modèle conceptuel des traitements .............................................................................. 24
Le modèle conceptuel des données.. ................................................................................. .26
Le modèle organisationnel des traitements ................................................................. 29
Le modèle logique des données .................................................................................... .30
Le modèle physique ........................................................................................................ 31
Les bases de données ...................................................................................................... 31
Utilité d’une base de données ....................................................................................... .31
5
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
Sommaire
II.l5- La gestion des bases de données .................................................................................... 32
11.16- Les caractéristiques d’un SGBD ................................................................................... 33
11.17- Les différents modèles de bases de données ................................................................. 34
HI- CONCEPTION DE LA BASE DE DONNEES ......................................................... 37
III.l- Le Diagramme de contexte (ou diagramme des flux) ................................................. 37
111.2- Le modèle conceptuel de traitement ............................................................................. 39
111.3- Conception du Modèle Conceptuel de Données (MCD) ............................................. 42
111.4- Le modèle organisationnel de traitement : MOT ........................................................ 44
111.5- Modèle physique des données : MPD ........................................................................... 46
lv- Réalisation de la base de données sous Access .......................................................... 48
IV.l- Le choix de Microsoft Access ........................................................................................ 48
IV.2- La réalisation de l’application ...................................................................................... 48 IV.2.1- La création des tables.. .............................................................................................................. 48 IV.2.2- La création des requêtes ............................................................................................................ 50 IV.2.3- La création des formulaires ....................................................................................................... 5 1 IV.2.4- La création des contrôles.. ......................................................................................................... 52 IV.2.5- La création des états.. ................................................................................................................ 53
V- Présentation de l’application ...................................................................................... 55
V.l- Fonctionnalités de GEBAT ................................................................................................ 55
..
v.2- Prise en main de l’application ........................................................................................... 56 v.2.1- Menu FICHIER.. ...................................................................................................................... ,56 v.2.2- La mise à jour des objets.. ........................................................................................................ .57 V.2.3- Consultation .............................................................................................................................. 69 V.2.4- Menu IMPRIMER.. .................................................................................................................. .76
Conclusion et recommandations ............................................................................................. 80
Bibliographie sélective ............................................................................................................ 81
Annexes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . ..~......................................................................... 82
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Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
Sommaire
Liste des figures
. .
Figure I-l: Les superficies et populations des arrondissements ............................................... 10 Figure II- 1: Cycle d’abstraction ................................................................................................ 21 Figure B-2: Définition de l’organisation ................................................................................... 22 Figure 11-3: Définition des domaines ....................................................................................... 22 Figure 11-4: Diagramme de contexte ........................................................................................ 23 Figure 11-5: Modèle Conceptuel de Communication ............................................................... 24 Figure 11-6: Représentation des évènements ............................................................................ 25 Figure 11-7: Modèle Conceptuel de Traitement ........................................................................ 26 Figure II-S: Classe d’entité ....................................................................................................... 27 Figure 11-9: Relation entre deux entités .................................................................................... 28 Figure II- 10: Cardinalité dans une relation .............................................................................. 28 Figure II-1 1: Les attributs des classes d’entités ........................................................................ 29 Figure 11-12: première vue d’un SGBD .................................................................................... 32 Figure II- 13: Modèle hiérarchique ........................................................................................... 34 Figure II- 14: Modèle réseau ..................................................................................................... 35 Figure II- 15: Modèle relationnel .............................................................................................. 35 Figure II- 16: Modèle objet ....................................................................................................... 36 Figure III- 1: Modèle conceptuel de communication ................................................................ 39 Figure 111-2: Modèle conceptuel de traitement ........................................................................ 40 Figure 111-3: Modèle conceptuel de traitement suite.. ............................................................. .41 Figure 111-4: Modèle conceptuel de données ............................................................................ 43 Figure 111-5: Sous-MOT Intervention 2 .................................................................................. 45 Figure III-O: Modèle physique de données .............................................................................. 47 Figure IV- 1: La table ELEMENT-DU-PATRIMOINE .......................................................... 49 Figure IV-2: Les relations entre les tables ............................................................................... 50 Figure IV-31 requête les éléments du patrimoine par type et par secteur ................................. 5 1 Figure IV-4: Formulaire de démarrage de l’application.. ......................................................... 52 Figure IV-5: Les principaux contrôles d’un formulaire ............................................................ 53 Figure IV-6: Aperçu d’impression d’un état ............................................................................. 54
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Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
Sommaire
Introduction
Un bâtiment commence à vieillir le jour où il ouvre ses portes. Partant de ce constat et de
la nécessité de prise en compte par la société moderne des préoccupations relatives à la
préservation et à la valorisation du cadre de vie, nous aboutissons au fait que l’entretien et la
gestion du patrimoine bâti public revêt des enjeux économiques environnementaux et
sociaux pour la politique immobilière de nos différentes collectivités. Connaître le coût de ses
bâtiments, la pertinence de son occupation et de sa conservation et planifier l’entretien sont
aussi des préoccupations communes à tous, élus ou agents. Gérer le patrimoine bâti c’est
connaître, prévenir, adapter et fournir les moyens immobiliers dont ont besoin les utilisateurs
dans les meilleures conditions de sécurité, de confort, d’usage et de coût.
Dans le contexte de décentralisation où les collectivités sont appelées à jouer un rôle de
plus en plus important, « la mise en place d’un système d’information pour l’entretien et la
gestion du patrimoine bâti communal » est un sujet pratique et d’actualité qui a été proposé
par la direction ,des services techniques de la mairie de Ouagadougou comme thème de ce
présent mémoire. Pour mener à bien ce travail, nous avons adopté la méthode MERISE pour
la conception du système d’information et réalisé l’application sous Microsoft Access 2000.
Le rapport s’articule autour des cinq chapitres suivants :
I.Etude préalable : définit le contexte de l’étude et la méthodologie utilisée
Il.Définition des notions de base : ce chapitre donne les notions de base permettant une
bonne compréhension de la conception des bases de données.
Ill.Conception de la base de données : ce chapitre illustre la mise en œuvre de la méthode
MERISE par la définition des différents modèles sous POWER AMC DESIGNOR 6.1.
IV-La réalisation de la base de données sous Access : définit et présente les différents
objets de la base créée sous Access ; il s’agit des tables, des requêtes, des formulaires
et des états.
V.La présentation de l’application : explique le fonctionnement de l’application.
8
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TFWOR6 S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR ElER Chapitre I : ETUDE PRÉALABLE
I-ETUDE PRÉALABLE
1.1 -Historique
Au XVéme siecle, deux ethnies cohabitaient dans la zone qui aujourd’hui porte le
nom de « Ouagadougou », il s’agit des Yonyonsé et des Ninsi. Ce sont Les Yonyonsé qui
ont baptisé la zone« Wogodogo » qui signifie là ou on reçoit des honneurs, du respect.
Ouagadougou est de ce fait une déformation de « Wogodogo ». Située sur le plateau central,
Ouagadougou s’est structurée autour du palais impérial du Morho Naaba. L’installation de
l’autorité coloniale va permettre le développement de sa population pour en faire un centre
urbain important.
Capitale séculaire de l’empire Mossi et capitale politique du Burkina Faso depuis
1947, c’est en 1956 que furent organisées les premières élections municipales. Une loi
portant organisation municipale fit de Ouagadougou une commune de plein exercice en
1995. Le lancement de ce processus de décentralisation permettant d’associer les citoyens à
la gestion des affaires locales a abouti en février 4995 à des élections municipales au
Burkina Faso.
1.2-Situation actuelle
Située au cœur du Burkina Faso, la commune de Ouagadougou compte 5 arrondissements,
trente (30) secteurs et dix- sept (17) villages rattachés à la ville. (Voir la carte des secteurs
de Ouagadougou fournie en annexe). Sa superficie est de 21 930 hectares (Ha). Sa
population est estimée à un million deux cents mille (1 200 000) habitants. La répartition
hommes/ femmes est à peu après 48 et 52 %. La population urbaine représente 95 % de la
population résidente. La population rurale est estimée à 5 % de la population résidente. Le
taux de croissance est estimé à 9, 8% par an. La densité de la population est de 6 249
habitants au 9 Km2 en 1997. Selon le dernier recensement général de la population et de
l’habitation (RGPH) de 1996, on a les chiffres suivants :
9
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
4
Chapitre I : ETUDE PRÉALAl3LE
4
Arrondissement Superficie (ha) Population (hbts)
Nomgremasson 6250 114707
Bogodogo 4850 206193
Boulmiougou 4780 180005
Baskuy 3300 172223
Signoghin 2570 72334
Fiaure l-l: Les superficies et populations des arrondissements
(Source INSDIDirection de la démographie)
1.3-La problématique
Selon les projections, la ville de Ouagadougou comptera un million quatre cent
quarante mille (1 440 000) habitants en 2010. La croissance démographique urbaine,
responsable de l’extension spatiale de la ville, crée des besoins énormes en infrastructures
et équipements communautaires. Les conséquences directes de cette démographie
galopante sont :
> besoins en logements décents
3 difficultés d’accès à l’eau potable
k les problèmes de santé et d’éducation..
A défaut de pouvoir satisfaire dans l’immédiat l’ensemble des besoins exprimés par
les populations, la commune de Ouagadougou, à travers son conseil municipal, a choisi de
s’investir dans de grandes réalisations parmi lesquelles on peut citer :
> Le renforcement des capacités de qestion des ordures ménagères : la mise en place
d’un centre d’enfouissement technique des ordures ménagères. Réalisé dans le cadre du
troisième projet de développement urbain, il a coûté plus d’un milliard six cents millions
(1 600 000 000) de francs CFA et aura une durée d’exploitation de 20 ans Près de mille
(1000) bennes tasseuses, balayeuses permettent le ramassage des ordures.
10
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MeMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre I : ETUDE PRÉALABLE
3 Assainissement collectif : la ville de Ouagadougou verra la mise en ceuvre d’un
réseau d’égouts permettant aux différents ménages de s’y connecter par un système de
branchement.
Ce réseau moderne, CO-financé par l’agence française de développement (AFD) et la
Banque mondiale et dont la mise en route est prévu en 2004, a été estimé à cinq (5) milliards
de francs CFA.
TP Patrimoine immobilier : la rénovation et la réhabilitation de l’hôtel de ville ,
la réhabilitation de l’ancien bâtiment de la direction des affaires financières et du budget ;la
construction des centres multimédias pour les cinq arrondissements ;la construction du
lycée municipal de Sig-Noghin . ~ .(Source : site Web de la mairie de Ouagadougou www.mairie.ouaga.bf)
Au delà de ces grandes réalisations se pose le problème de la gestion et de
l’entretien du patrimoine de la commune. La gestion du patrimoine doit être aujourd’hui une
préoccupation majeure aussi bien pour les gestionnaires de ces patrimoines publics que
pour leurs occupants. En effet le sous entretien dû aux difficultés économiques, plus
durement ressenties dans les quartiers défavorisés, conduit à des situations de dégradation
du patrimoine existant entraînant des désordres dans le bon fonctionnement de ces
infrastructures. Au manque d’attention accordée à l’entretien quotidien du bien public de la
part des utilisateurs s’ajoute l’absence ou l’insuffisance de budgets prévus pour les travaux
d’entretien de la part des responsables : la priorité des financements est accordée aux
nouvelles réalisations par rapport aux travaux de réhabilitation et d’entretien du patrimoine
existant au risque même d’ignorer ces derniers. Cet état de fait auquel sont confrontés les
responsables des services de gestion et d’entretien des biens publics les conduit donc à
interpeller les dirigeants sur la nécessité d’une prise en compte effective des travaux
d’entretien à travers une meilleure politique de gestion des biens publics. Même si quelques
travaux sont effectués, le manque de budget conséquent prévu pour ces travaux place les
responsables des services de gestion et d’entretien dans une situation de confusion face aux
utilisateurs : Comment répondre à une demande d’intervention pour la restauration de la
toiture d’une école publique en pleine année scolaire s’il n y a pas de budget prévu ?
Dans le contexte de la conjoncture actuelle où il est très difficile d’obtenir le
financement de grands travaux d’intérêt public ; il serait judicieux de disposer d’outils d’aide
à la prise de décision permettant une utilisation rationnelle du budget très souvent
insuffisant.
11
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre I : ETUDE PRÉALABLE
Ces outils doivent permettre de faire des choix afin d’obtenir un équilibre entre la réalisation
de nouvelles infrastructures qui sont nécessaires pour répondre à la demande et la
préservation de celles qui sont déjà réalisées et qui assurent un service à la population, par
une bonne gestion de leur utilisation. La recherche de modes d’action efficaces croise les
outils de la sociologie, de l’économie de la construction et de son financement.
Au plan technique, les gestionnaires doivent disposer de méthodes organisationnelles et
d’outils de gestion pour la définition des politiques immobilières, la réalisation de plans de
maintenance prévisionnels et l’adaptation des bâtiments à de nouveaux modes d’utilisation.
La mise en place d’un système d’information comme outil de gestion du patrimoine
bâti de la commune et aussi comme outil de d’échange et de dialogue entre les services de
la commune et avec les organismes extérieurs qui financent les réalisations pour la
commune devra permettre d’optimiser la gestion grâce à :
9 La maîtrise des données : inventaire de l’existant puis localisation des
informations.
9 Le contrôle des éléments du patrimoine municipal : écoles, centres de santé,
logements sociaux, bureaux, jardins publics... gérés par la commune.
9 L’aide à la prise de décision pour le maire : consultation des rapports,
consultation de la base de données, des cartes thématiques, consultation du
système d’information géographique.
9 L’extrapolation des évaluations budgétaires.
9 La valorisation du patrimoine immobilier : connaissance du patrimoine
immobilier, des équipements techniques et des coûts d’exploitation,
connaissance des meilleures pratiques, l’optimisation de la maintenance etc.
I.4-Méthodologie
1.4. l-Analyse de la demande
La direction des services techniques municipaux de la commune de
Ouagadougou veut mettre en place un système d’information pour la gestion et l’entretien du
patrimoine bâti dont il a la charge. Le domaine à informatiser est le service de l’entretien et
de la gestion du patrimoine bâti qui est un des services de la DSTM. Les objectifs d’une
gestion du patrimoine bâti en collectivité se déclinent selon deux angles de vue :
12
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre I : ETUDE PRÉALABLE
Soit un point de vue technique lié à la maintenance et à l’entretien soit un point de vue
administratif lié aux aspects financiers et juridiques.
l La gestion technique du patrimoine bâti permet de tenir un carnet de santé des
bâtiments, de suivre les interventions techniques et la maintenance des bâtiments.
0 La gestion administrative, financière et juridique du patrimoine bâti comprend le suivi
des baux (surfaces, état des lieux, occupants, utilisateurs) et le suivi des actes
juridiques dans le temps, la connaissance administrative du patrimoine.
Ces deux gestions opérationnelles peuvent être complétées par une démarche
prévisionnelle permettant de réaliser des simulations, notamment budgétaires pour les
acquisitions et les travaux d’entretiens.
Le systéme mis en place permettrait de mieux décentraliser les informations entre
les différents arrondissements et villages rattachés à la commune.Ce système doit permettre
aux futurs utilisateurs d’accéder aux fonctions de consultation et/ou de modification des
éléments du patrimoine grâce à une application informatique conviviale et facile d’utilisation.
Compte tenu du délai imparti pour réaliser ce travail (3 mois), pour la réalisation de
l’application nous avons eu des entretiens avec le chef de service Entretien et Gestion du
patrimoine, quelques agents de son service et des proches collaborateurs. Nous n’avons pas
pu avoir des entretiens avec tous les intervenants extérieurs qui échangent des informations
avec le domaine.
1.4.2-Description de la situation actuelle :
P Actuellement les demandes des interventions faites au niveau des
utilisateurs ne suivent pas une procédure qui permette de les retrouver en
cas de besoin : en effet il n’existe pas de fiche type de demande
d’intervention.
P II n’existe pas un système de stockage qui permette de mémoriser les
travaux réalisés sur les différents éléments du patrimoine.
3 Le recensement de nouveaux éléments du patrimoine ne se fait pas
régulièrement et à temps.
> II y a un manque d’informations récentes et complètes sur les éléments du
patrimoine : il n’ y a pas de programmation des tournées d’inspection des
infrastructures ;
13
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre I : ETUDE PRÉALABLE
. . .
> il y a eu un inventaire physique des biens de la mairie fait en 1996 mais ii ne
donne que le coût et l’année de construction des éléments du patrimoine et
de leurs équipements
P II existe cependant un système de numérotation ou d’adressage des
éléments du patrimoine qui permet d’identifier de facon unique chaque
élément du patrimoine à partir d’un nombre.
En fait, l’opération d’adressage a été engagée dès 1985, l’opération d’adressage
entrait elle-même dans une opération plus large de mise en place d’un Système
d’Information Urbaine (SIU). L’adressage est, à vrai dire, la grande opération,
très technique, de ce second projet urbain, s’accompagnant d’une réévaluation
des contributions mobilières
> Une étude sur l’adressage qui doit permettre de tenir compte des nouvelles
appellations des rues rebaptisées est en cours actuellement (la numérotation
reste identique il s’agit de trouver le nom de la rue correspondant à l’ancien
numéro).
1.4.3-Description de la Direction des Services techniques Municipaux : DSTM
Les missions de cette Direction concernent tous les travaux sur une ville
notamment :
> Elaboration et suivi des budgets des différents Services.
> Gestion des approvisionnements, des stocks de matériel et de la logistique de la
direction.
> Maîtrise d’oeuvre et maîtrise d’ouvrage délégué des projets communaux dans les
domaines du bâtiment et de la voirie.
> Entretien des équipements et des infrastructures de la commune.
> Elaboration et suivi des textes réglementant l’occupation de l’espace communal.
14
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORI? S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre I : ETUDE PREALABLE
La DSTM a été restructurée dans son organisation suivant l’arrêté N” 2004-028/CO/SG
portant organisation de la mairie de Ouagadougou en différents services comme suit :
1~ Le Service de la planification et de la gestion des stocks;
2. Le Service de la voirie et des ouvrages hydrauliques ;
3. Le Service du bâtiment ;
4. Le Service de l’entretien et de la gestion du patrimoine Municipal ;
5. Le Service de l’urbanisme et de l’ingénierie des projets ;
6. Le Service des ateliers généraux ;
7. Le Service de la publicité ;
8. Le Service de l’éclairage public ;
9. Le Service de la maîtrise d’œuvre sociale ;
10. Le Service de la logistique et du parc automobile ;
11~ Le Service des transports et de la circulation
(L’organigramme de la mairie est fourni en annexe)
1.4.4-Le Service de l’entretien et de la gestion du patrimoine Municipal
Ce service s’occupe de l’entretien et de la gestion du patrimoine bâti de la
commune soit un parc de bâtiments communaux regroupant :
l Les équipements scolaires ;
l les équipements sportifs ;
l les équipements culturels ;
l les équipements sociaux ;
l les centres de loisirs ;
l les équipements jeunesse ;
l les bâtiments administratifs.
Le service a également en charge :
> La conduite et le suivi des programmes de construction des équipements
publics de la commune ;
> la conduite d’opérations de constructions ou de réhabilitation
(programme, pré chiffrage, suivi des travaux) ou conception interne et
réalisation ;
15
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadre par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
0
Chapitre l : ETUDE PRÉALABLE
l
> la conception et réalisation des petits aménagements divers ;
% la réalisation des travaux d’entretien, de modifications ou d’adaptation aux
besoins ;
> les dépannages- réparations
Le service entretien et gestion du patrimoine communal est constitué d’un chef de service et
de 6 chefs d’équipes d’intervention dans les différents domaines comme présenté sur
l’organigramme ci-après :
Chef Service r-l
Fiaure l-2 : Orqaniqramme du service Entretien et Gestion du patrimoine municipal
1.4.5Les grandes Orientations :
Le recueil des informations s’est fait à travers des entretiens avec ces personnes
ressources. C’est ainsi qu’on a eu à définir des règles de gestion pour faciliter le travail
quotidien. Voici la liste des règles de gestion indispensables au bon fonctionnement du
système établies avec le service concerné :
l- Intervenir : lorsqu’ utilisateur signale un problème ; selon la nature du problème
(électricité, maçonnerie,...) une équipe reçoit un ordre d’intervenir après qu’une
notification d’intervention ait été adressée à l’utilisateur.
Z- L’équipe d’intervention constate le problème si l’intervention ne nécessite pas de
sortir du matériel alors elle peut se faire sur le champ (petite intervention)
3- Si elle exige du matériel l’équipe dresse une liste du matériel nécessaire et la remet
au chef du service.
4 Si les travaux sont importants l’équipe fait le diagnostic et le communique au chef
service pour la planification de l’intervention ;
16
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
*
Chapitre I : ETUDE PRÉALABLE
+
5 Lorsque le personnel du service est insuffisant pour réaliser les travaux, le chef
service procède au recrutement des travailleurs temporaires.
6- A la fin de l’intervention, l’intervenant fournit une fiche de notification de fin
d’intervention au chef de service.
7- En cas de nécessité le chef service fait appel à la collaboration de ses homologues
de la voirie (bennes de transport) ; du service bâtiment (dessin)
8- Etablir un devis : une demande d’établissement de devis peut provenir de la direction
DSTM ou d’un arrondissement qui désire réaliser des travaux nécessitant un devis
g- Sortir du matériel : pour sortir du matériel le chef de service fait une fiche de matériels
dont il a besoin sur la base des différentes listes fournies par les équipes
d’intervention .cette fiche est visée par le DSTM et c’est à partir de cette fiche visée
que le magasinier établit un bordereau de sortie de matériel qui sera remis à l’agent
d’intervention qui viendra pour récupérer le matériel.
IO- Le budget annuel : tout au long de l’année le service identifie les besoins
d’intervention à partir des problèmes enregistrés au près des différents utilisateurs ;
chaque année il fournit sur cette base un rapport d’avant projet de budget annuel qui
regroupe les travaux à réaliser avec leur estimation quantitative.
1.4.CLes Etapes de la conception
Pour la conception du futur système d’information nous avons utilisé la
démarche de MERISE qui est expliquée au chapitre II. A partir de la compréhension de la
situation actuelle (l’existant) et de la prise en compte des objectifs attendus par le service à
informatiser nous pouvons nous lancer dans la conception du futur système d’information. La
chronologie de cette conception est la suivante :
n Présentation primaire du système futur D représenter le schéma de circulation
des informations.
n Etude des traitements sur le plan conceptuel.
. Etude des données sur le plan conceptuel.
. Etude des données sur le plan organisationnel.
n Choix des solutions techniques pour la réalisation de l’application.
La validation des différents modèles de conception de la base s’est faite à
chaque étape de la conception. Tous les formalismes utilisés au cours de cette conception
sont définis au chapitre suivant.
17
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre II : Définition des notions de base
II-DEFINITION DES NOTIONS DE BASE
11.1 -Qu’est-ce qu’un système d’information
Un système est un ensemble d’éléments matériels ou immatériels en interaction
transformant par un processus des éléments (les entrées) en d’autres éléments (les sorties).
Un système peut être contrôlé par un autre système dit système de pilotage. Le système de
gestion ou de pilotage procède au pilotage du système opérant en décidant du
comportement de celui-ci en fonction des objectifs fixés par l’organisation.
Le système d’information est l’interface entre le système opérant et le système de
pilotage ; il est composé d’éléments divers (employés, ordinateur, règles et méthodes . ..)
chargés de stocker et de traiter les informations relatives au système opérant afin de les
mettre à la disposition du système de pilotage. On parle en général de système d’information
pour désigner toute la structure regroupant les moyens mis en place pour partager les
données, Le système d’information constitue la mémoire de l’organisation : il est en liaison
d’une part avec un environnement interne (système interne et système de pilotage) et d’autre
part avec un environnement externe (clients ; fournisseurs etc.).
Un système automatisé d’information (SAI) est un sous-ensemble du système
d’information dans lequel toutes les transformations significatives d’informations sont
effectuées par des machines de traitement automatique d’information (ordinateur).
Système de pilotage
Système d’information
Système opérant
Fiqure II-1 : Svstème d’information 18
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
. . - .A - . - - - - - - - . . - - . _
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR ElER Chapitre II : Définition des notions de base
Les trois niveaux d’abstraction dans la conception d’un svstème d’information : au cours de
la conception d’un système d’information trois niveaux d’études ou d’abstraction sont à
considérer : conceptuel, organisationnel et opérationnel.
Le Niveau conceptuel : il consiste à penser le système d’information sans envisager aucun
concept lié à l’organisation tant du point de vue des données que du point de vue des
traitements.A ce niveau la question à se poser est QUOI ? (C’est-à-dire QUOI FAIRE ? et
AVEC QUELLES DONNEES ?)
Le Niveau organisationnel : il consiste à intégrer à l’analyse des aspects liés à l’organisation
(notion de lieux, de temps d’acteurs donc de poste de travail). Du point de vue des
traitements les questions à se poser à ce niveau sont : QUI ? OÙ ? et QUAND ? Du point de
vue des données on commence à étudier leur organisation sans s’occuper des méthodes de
stockage et d’accès
Le Niveau opérationnel : consiste à apporter des solutions techniques au problème ; la
question à ce niveau est COMMENT ?
11.2-Le besoin de méthodes
La conception d’un système d’information n’est pas évidente car il faut réfléchir à
l’ensemble de l’organisation que l’on doit mettre en place. La phase de conception nécessite
des méthodes permettant de mettre en place un modèle sur lequel on va s’appuyer. La
modélisation consiste à créer une représentation virtuelle d’une réalité de telle façon à faire
ressortir les points auxquels on s’intéresse. Ce type de méthode est appelé analyse. II existe
plusieurs méthodes d’analyse, la méthode que nous avons utilisée est la méthode MERISE
(élaborée en 1978-l 979 en France)
11.3-Présentation de la méthode MERISE
MERISE est avant tout une démarche de construction de système d’information.
C’est est une méthode de conception, de développement et de réalisation de projets
informatiques. Le but de cette méthode est d’arriver à concevoir un système d’information.
19
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
. _ ---_.-~ --__.. _.
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
*
Chapitre II : Définition des notions de base +
La plus importante caractéristique de la méthode est la traduction d’une vue globale
de l’organisation de façon à lier le système informatisé de gestion à une refonte de
l’organisation. La méthode MERISE est basée sur la séparation des données et des
traitements à effectuer en plusieurs modèles conceptuels et physiques. La séparation des
données et des traitements assure une longévité au modèle. En effet, l’agencement des
données n’a pas à être souvent remanié, tandis que les traitements le sont plus
fréquemment.
11.4~La conception des systèmes d’information avec MERISE
La conception du système d’information se fait par étapes, afin d’aboutir à un
système d’information fonctionnel reflétant une réalité physique. II s’agit donc de valider une
à une chacune des étapes en prenant en compte les résultats de la phase précédente.
D’autre part, les données étant séparées des traitements, il faut vérifier la
concordance entre données et traitement afin de vérifier que toutes les données nécessaires
aux traitements sont présentes et qu’il n’y a pas de données superflues. Cette succession
d’étapes est appelée cycle d’abstraction pour la conception des systèmes d’information.
Note : Les figures suivantes ainsi que la plupart des définitions de ce chapitre sont tirées du site www.ccm.com.
20
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGI?NIEUR EIER Chapitre II : Définition des notions de base
Fiqure il-1 : Cvcle d’abstraction
L’expression des besoins est une étape consistant à définir ce que l’on attend du
système d’information automatisé, il faut pour cela :
0 faire l’inventaire des éléments nécessaires au système d’information ;
l délimiter le système en s’informant auprès des futurs utilisateurs.
Cela va permettre de créer le MCC (Modèle conceptuel de la communication) qui
définit les flux d’informations à prendre en compte.
L’étape suivante consiste à mettre au point le MCT (Modèle conceptuel des
traitements) décrivant les règles et les contraintes à prendre en compte et le MCD (Modèle
conceptuel des données).
Le modèle organisationnel consiste à définir le MOT (Modèle organisationnel des
traitements) décrivant les contraintes dues à l’environnement (organisationnel, spatial et
temporel).
Le modèle logique représente un choix logiciel pour le système d’information
Le modèle physique reflète un choix matériel pour le système d’information”
21
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRED’INGÉNIEUREIER
0
Chapitre II : Définition des notions de base
l
Il.!5Définition de l’organisation
La première étape de ce modèle est d’arriver à isoler le système en le délimitant. II
s’agit donc de définir le système et les éléments externes avec lesquels il échange des flux
d’information. Ces éléments extérieurs sont appelés acteurs externes (ou partenaires).
Fiqure 11-2: Définition de I’orqanisation
La seconde étape consiste à découper l’organisation en entités appelées acteurs
internes (ou domaines). Lorsque les domaines d’une organisation sont trop importants, ils
peuvent être décomposés eux-mêmes en sous domaines.
Fiqure 11-3: Définition des domaines
La dernière étape est l’analyse des flux d’information, c’est-à-dire la définition des
processus”
22
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre II : Définition des notions de base
11.6-Diagramme de contexte
Le diagramme de contexte a pour but de représenter les flux d’informations entre
l’organisation et les acteurs externes selon une représentation standard dans laquelle
chaque objet porte un nom :
0 l’organisation est représentée par un rectangle ;
a les acteurs externes sont représentés par des ellipses en pointillés ;
0 les flux d’information sont représentés par des flèches dont l’orientation désigne le
sens du flux d’information.
Fiwre 11-4: Diaqramme de contexte
11.7-Diagramme conceptuel de flux
Ce diagramme (appelé aussi modèle conceptuel de la communication) permet de
compléter le diagramme de contexte en décomposant l’organisation en une série d’acteurs
internes. Dans ce diagramme la représentation standard est la suivante :
l Les acteurs internes sont représentés par des ellipses ;
. les messages internes sont représentés par des flèches
23
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre II : Définition des notions de base
Fiqure Il-5 Modele Conceptuel de Communication
IM-Le modèle conceptuel des traitements
Le modèle conceptuel des traitements permet de traiter la dynamique du système
d’information, c’est-à-dire les opérations qui sont réalisées en fonction d’événements.
Ce modèle permet donc de représenter de façon schématique l’activité d’un . . .
systéme d’information sans faire référence à des choix organisationnels ou des moyens
d’exécution, c’est-à-dire qu’il permet de définir simplement ce qui doit être fait, mais il ne dit
pas quand, comment ni où...
Le concept d’événement : Un événement représente un changement dans l’univers
extérieur au système d’information ou dans le système d’information lui-même.
. un événement externe est un changement de l’univers extérieur.
. un événement interne est un changement interne au système d’information.
On représente un événement par une ellipse en trait plein pour les événements
internes à l’organisation, en trait pointillé pour les événements externes.
24
Réalise par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
0
Chapitre II : Définition des notions de base
Fiqure 11-6: Représentation des événements
Définition d’un processus : Un processus est un sous-ensemble de l’activité de l’entreprise,
cela signifie que l’activité de l’entreprise est constituée d’un ensemble de processus Un
processus est lui-même composé de traitements regroupés en ensembles appelés
opérations.
Opération : Une opération est un ensemble d’actions exécutées par le système suite à un
événement, ou à une conjonction d’événements Cet ensemble d’actions est ininterruptible,
c’est-à-dire que les événements ne sont pas pris en compte (ils ne sont pas forcément
ignorés pour autant) tant que l’opération n’a pas été accomplie.
La svnchronisation : La synchronisation d’une opération définit une condition booléenne sur
les événements contributifs devant déclencher une opération. II s’agit donc de conditions au
niveau des événements régies par une condition logique réalisée grâce aux opérateurs :
l où
e ET
. NON
Construction du MCT
Le modèle conceptuel des traitements permet de représenter schématiquement la
gestion des événements :
25
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S Eric
PvlÉMOfRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre II : Définition des notions de base
Fiqure 11-7: Modèle Conceptuel de Traitement
11.9-Le modèle conceptuel des données
Le modèle conceptuel des données (MCD) a pour but d’écrire de façon formelle les
données qui seront utilisées par le système d’information. II s’agit donc d’une représentation
des données, facilement compréhensible, permettant de décrire le système d’information à
l’aide d’entités.
Entités et classe d’entité : Une entité est la représentation d’un élément matériel ou
immatériel ayant un rôle dans le système que l’on désire décrire.
On appelle classe d’entité un ensemble composé d’entités de même type, c’est-à-
dire dont la définition est la même. Le classement des entités au sein d’une classe s’appelle
classification (ou abstraction). Une entité est une instanciation de la classe. Chaque entité
est composée de propriétés, données élémentaires permettant de la décrire.
26
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORC S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
4
Chapitre II : Définition des notions de base
Les classes d’entités sont représentées par un rectangle. Ce rectangle est séparé en deux
champs :
a le champ du haut contient le libellé. Ce libellé est généralement une abréviation pour
une raison de simplification de l’écriture. II s’agit par contre de vérifier qu’à chaque
classe d’entité correspond un et un seul libellé, et réciproquement ;
0 le champ du bas contient la liste des propriétés de la classe d’entité.
Liste 4es pwpriftés
0
0
0
0
Figure H-8: Classe d’entité
Relations et classes de relation : Une relation (appelée aussi parfois association)
représente les jiens ‘sémantiques qui peuvent exister entre plusieurs entités Une classe de
relation contient donc toutes les relations de même type (qui relient donc des entités
appartenant à des mêmes classes d’entité). Une classe de relation peut lier plus de deux
classes d’entité. Voici les dénominations des classes de relation selon le nombre
d’intervenants :
. une classe de relation récursive (ou réflexive) relie la même classe d’entité
. une classe de relation binaire relie deux classes d’entité
. une classe de relation ternaire relie trois classes d’entité
. une classe de relation n-aire relie n classes d’entité
Les classes de relations sont représentées par des hexagones (parfois des ellipses)
dont l’intitulé décrit le type de relation qui relie les classes d’entité (généralement un verbe).
On définit pour chaque classe de relation un identificateur de la forme R, permettant de
désigner de façon unique la classe de relation à laquelle il est associé.
27
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre II : Définition des notions de base
Fiqure H-9: Relation entre deux entités
On peut éventuellement ajouter des propriétés aux classes de relation”
La cardinalité : Les cardinalités permettent de caractériser le lien qui existe entre une
entité et la relation à laquelle elle est reliée. La cardinalité d’une relation est composée d’un
couple comportant une borne maximale et une borne minimale, intervalle dans lequel la
cardinalité d’une entité peut prendre sa valeur I
l la borne minimale (généralement 0 ou 1) décrit le nombre minimum de fois qu’une
entité peut participer à une relation ;
l la borne maximale (généralement 1 ou n) décrit le nombre maximum de fois qu’une
entité peut participer à une relation.
Fiqure 11-10: Cardinalité dans une relation
Une cardinalité 1 .N signifie que chaque entité appartenant à une classe d’entité
participe au moins une fois à la relation
Une cardinalité 0.N signifie que chaque entité appartenant à une classe d’entité ne participe
pas forcément à la relation.
28
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre II : Définition des notions de base
Les identifiants : Un identifiant est un ensemble de propriétés (une ou plusieurs) permettant
de désigner une et une seule entité. La définition originale est la suivante :
L’identifiant est une propriété particulière d’un objet telle qu’il n’existe pas deux
occurrences de cet objet pour lesquelles cette propriété pourrait prendre une même valeur.
Les attributs d’une classe d’entité permettant de désigner de façon unique chaque
instance de cette entité sont appelés identifiank absolus.
Le modèle conceptuel des données propose de faire précéder d’un # les identifiants
(parfois de les souligner).
Fiqure Il-l 1: Les attributs des classes d’entités
Ainsi, chaque classe d’entité doit posséder au moins un attribut identifiant, et
l’ensemble de ses attributs identifiants doivent être renseignés à la création de l’entité.
ILlO-Le modèle organisationnel des traitements
Le modèle organisationnel des traitements s’attache à décrire les propriétés des
traitements non traitées par le modèle conceptuel des données, c’est-à-dire :
l le temps;
0 les ressources ;
d le lieu.
29
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre II : Définition des notions de base
+ l
Le modèle organisationnel des traitements consiste donc à représenter le modèle
conceptuel des traitements dans un tableau dont les colonnes sont la durée, le lieu, les
responsables et ressources nécessaires à une action.
Le tableau des procédures fonctionnelles
La première étape du modèle organisationnel des traitements consiste à découper
les opérations en procédures fonctionnelles, une succession de traitements déclenchée par
un événement
II s’agit donc d’associer dans un tableau :
e les procédures fonctionnelles
o l’heure de début et de fin
0 le lieu du poste de travail
e le responsable du poste de travail
l les ressources du poste de travail
Procédure Temps Poste de travail
Début Durée Lieu responsable Ressources
Fiqure Il-1 3 : Le tableau des procédures fonctionnelles
kll-Le modèle loqique des données
Le modèle logique des données consiste à décrire la structure de données utilisée
sans faire référence à un langage de programmation. II s’agit donc de préciser le type de
données utilisées lors des traitements. Ainsi, le modèle logique est dépendant du type de
base de donnée utilisé.
30
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
0
Chapitre II : Définition des notions de base
l
11.12-Le modèle physique
Cette étape consiste à implémenter le modèle dans le SGBD, c’est-à-dire le traduire
dans un langage de définition des données. Le langage généralement utilisé pour ce type
d’opération est le SQL (Structured Query Language), et plus spécialement le langage de
définition de données du SQL.
Il.13-Les bases de données
Une base de données (son abréviation est BD, en anglais DB, data base) est un
ensemble de données modélisant les objets d’une partie du monde réel et servant de
support à une application informatique. Pour mériter le terme de base de données, un
ensemble de données non indépendantes doit être interrogeable par le contenu, c’est-à-dire
que l’on doit pouvoir retrouver tous les objets qui satisfont à un certain critère. Les données
doivent être interrogeables selon n’importe quel critère. II doit être possible de retrouver leur
structure. Dans la base de données il est possible de stocker des données de façon
structurée et avec le moins de redondance possible. Ces données doivent pouvoir être
utilisées par des programmes, par des utilisateurs différents. Ainsi, la notion de base de
données est généralement couplée à celle de réseau, afin de pouvoir mettre en commun ces
informations.
11.14~Utilité d’une base de données
Une base de données permet de mettre des données à la disposition d’utilisateurs
pour une consultation, une saisie ou bien une mise à jour, tout en s’assurant des droits
accordés à ces derniers Cela est d’autant plus utile que les données informatiques sont de
plus en plus nombreuses
Une base de données peut être locale, c’est-à-dire utilisable sur une machine par un
utilisateur, ou bien répartie, c’est-à-dire que les informations sont stockées sur des machines
distantes et accessibles par réseau. L’avantage majeur de l’utilisation de bases de données
est la possibilité de pouvoir être accédées par plusieurs utilisateurs simultanément.
31
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
4
Chapitre II : Définition des notions de base
4
Il.15La gestion des bases de données
Afin de pouvoir contrôler les données ainsi que les utilisateurs, le besoin d’un
système de gestion s’est vite fait ressentir. La gestion de la base de données se fait grâce à
un système appelé SGBD (système de gestion de bases de données) ou en anglais DBMS
(Data base Management System). Le SGBD est un ensemble de services (applications
logicielles) permettant de gérer les bases de données, c’est-à-dire :
0 permettre l’accès aux données de façon simple ;
d autoriser un accès aux informations à de multiples utilisateurs ;
* manipuler les données présentes dans la base de données (insertion, suppression,
modification).
Fiqure 11-12: première vue d’un SGBD
Le SGBD peut se décomposer en trois sous-systèmes :
. Le système de gestion de fichiers : il permet le stockage des informations sur un
support physique.
. Le SGBD interne : il gère l’ordonnancement des informations.
32
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
0
Chapitre II : Définition des notions de base
0 Le SGBD externe : il représente l’interface avec l’utilisateur.
Les principaux SGBD
Les principaux systèmes de gestion de bases de données sont les suivants: Borland
Paradox, Filemaker,IBM DBZ,Ingres,Interbase,Microsoft Access , Microsoft SQL,Microsoft
Fox Pro Set-ver, Oracle, MySQL, Sybase .“., .
SI.1 6-Les caractéristiques d’un SGBD
D’une manière générale un SGBD doit avoir les caractéristiques suivantes :
b
.
0
.
Indépendance physique : Le niveau physique peut être modifié indépendamment du
niveau conceptuel. Cela signifie que tous les aspects matériels de la base de
données n’apparaissent pas pour l’utilisateur, il s’agit simplement d’une structure
transparente de représentation des informations ;
Indépendance logique : le niveau conceptuel doit pouvoir être modifié sans remettre
en cause le niveau physique, c’est-à-dire que l’administrateur de la base doit pouvoir
la faire évoluer sans que cela gêne les utilisateurs ;
Manipulation : des personnes ne connaissant pas la base de données doivent être
capables de décrire leurs requêtes sans faire référence à des éléments techniques
de la base de données.
Rapidité des accès : le système doit pouvoir fournir les réponses aux requêtes le plus
rapidement possible, cela implique des algorithmes de recherche rapides ;
Administration centralisée : le SGBD doit permettre à l’administrateur de pouvoir
manipuler les données, insérer des éléments, vérifier son intégrité de façon
centralisée ;
Limitation de la redondance : le SGBD doit pouvoir éviter dans la mesure du possible
des informations redondantes, afin d’éviter d’une part un gaspillage d’espace
mémoire mais aussi des erreurs ;
Vérification de l’intégrité : les données doivent être cohérentes entre elles, de plus
lorsque des éléments font références à d’autres, ces derniers doivent être présents.
Partage des données : le SGBD doit permettre l’accès simultané à la base de
données par plusieurs utilisateurs ;
Sécurité des données : Le SGBD doit présenter des mécanismes permettant de
gérer les droits d’accès aux données selon les utilisateurs”
33
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre II : Définition des notions de base
II.l7-Les différents modèles de bases de données
Les bases de données sont apparues à la fin des années 60, à une époque où la
nécessité d’un système de gestion de l’information souple se faisait ressentir. II existe cinq
modèles de SGBD, différenciés selon la représentation des données qu’elle contient :
0 le modèle hiérarchique : les données sont classées hiérarchiquement, selon une
arborescence descendante. Ce modèle utilise des pointeurs entre les différents
enregistrements. II s’agit du premier modèle de SGBD ;
Fiqure H-13: Modèle hiérarchique
0 le modèle réseau : Comme le modèle hiérarchique ce modèle utilise des pointeurs
vers des enregistrements. Toutefois la structure n’est plus forcément arborescente
dans le sens descendant
34
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
4
Chapitre II : Définition des notions de base
Fiqure H-14: Modèle reseau
o le modèle relationnel (SGBDR, Système de gestion de bases de données
relationnelles) : les données sont enregistrées dans des tableaux à deux
dimensions (lignes et colonnes). La manipulation de ces données se fait selon
la théorie mathématique des relations
A la fin des années 90 les bases relationnelles sont les bases de données les plus
répandues (environ trois quarts des bases de données : source site www.ccm.com).
Fiqure II-1 5: Modèle relationnel
l le modèle déductif : les données sont représentées sous forme de table, mais leur
manipulation se fait par calcul de prédicats ;
3.5
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
- .C--
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
4
Chapitre II : Définition des notions de base
4
0 le modèle objet (SGBDO, Système de gestion de bases de données objet) : les
données sont stockées sous forme d’objets, c’est-à-dire de structures appelées
classes présentant des données membres. Les champs sont des instances de ces
classes.
Fiqure 11-16: Modèle obiet
36
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
- - ^ . - - ” - - - - - _ . . _i_ - - - - _ - - . . - .
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre Ill : Conception de la base de données
III-CONCEPTION DE LA BASE DE DONNEES
La conception des différents modèles de la base a été faite sous le logiciel POWER AMC
DESIGNOR version 6.1 .Un rapport sur les différentes informations des modèles est fourni en
annexe.
111.4-Le Diaqramme de contexte (ou diagramme des flux)
Ce diagramme montre de façon synthétique les flux d’information circulant entre
acteurs (acteurs extérieurs ou postes de travail interne). II correspond à la représentation du
Modèle Conceptuel de Communication : (MCC) fournie ci-après :
37
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MEMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre Ill : Conception de la base de données
4 4
/ Modèle Conceptuel de Communication 7
Projet : Entretien et Gestion du Patrimoine Bati de la mairie de Ouagadougou
Modèle : MCC
Auteur : DIALLO Alghassimou Version 1 .O 18/06/04 /
%. : Entreprise ;
/ Service Bâtiment :
: Service Voirie :
Manoeuvres Demande dessin
Etat patrimoine bâti
Service Gestion Entretien patrimoine
Budget annuel approuve
TDR
Demande TDR
Y--
+: Direction DSTM :
Fiche recrutemem----
-~ ---PV travaux2----
Demande non traitée
FIGURE II-5 : Modèle Conceptuel de Communication : MCC
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORE S. Eric
- . . . x ” . . . - . - - . - -_ . l~ -__I
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre III : Conception de la base de données
Fiqure 111-I: Modéle conceptuel de communication
111.2-Le modèle conceptuel de traitement
Un tel modèle montre :
o L’enchaînement des opérations réalisées
l Les évènements en amont d’une opération dont la survenance ou l’existence a pour
conséquence de déclencher l’opération.
* Les conditions de complémentarité d’événements permettant à l’opération de se
déclencher
a Les résultats en aval d’une opération
Dans la même opération, les traitements chaînés sont regroupés entre eux tels que :
J le premier de la chaîne soit déclenché par la survenance d’évènements.
J Les traitements suivants s’exécutent sans attendre d’autres évènements.
39
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
.I-_ _. ‘_.._ . -.--~ ---_.
.,
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre Ill : Conception de la base de données
0 +
’ Demande non traitée ~-
Analyser le problème
i
Diagnostiquer Diagnostiquer
constater dysfonctionnement constater dysfonctionnement Bvaluer moyens necessaires Bvaluer moyens necessaires
proposer solutions proposer solutions
Urgent 1 Non urg - Urgent 1 Non urg -
Mettre à jour programmme
inscrire au programme -l
fiche Travaux en attente @y /--3 et
Elaborer Avant projet
faire devis travaux
inscrire les travaux
Toujours
Elaborer Avant projet
faire devis travaux
inscrire les travaux
Toujours
Non nécessié diagnostic Ppbleme
Note intervention1 Ordre intervenir
Avant projet annuel
! Programme activité à jour )
i
FIGURE Il-7 Modèle Conceptuel de Communication MC7
40
Réalise par DIALLO Alghassimou encadre par JRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
4
Chapitre III : Conception de la base de données
4
c ) Budget annuel approuv6
rA ~-
Proooser oroiet 1 . ._ v&ifier mat&iel composer 8quipes intervention
kaliser le ;;:;k;proiet j
(Programme activitk.)
Preparer intervention ej ,
Fin d’ann6e 9
Etat patrimoine bati
Fin du mois k;-!
Demande info spkifique
consulter la base
Information spkifique Note d6but travaux
v&ifier travaux
Bon sortie materiel
Note intervention2
Demande TDR
Note fin intervention
x-..
0 élement recense
-.-
FIGURE Ill-3 Modéle Conceptuel de Traitement suite
41
Réalis par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
*
Chapitre Ill : Conception de la base de données
l
111.3-Conception du Modèle Conceptuel de Données (MCD)
L’étude des données sur le plan conceptuel a pour but de concevoir des données utiles
pour répondre aux besoins des traitements du MCT en faisant abstraction de toute notion de
structuration de fichiers. Pour cela nous avons :
l Etudier la présentation du futur système d’information pour recenser les différents
objets et les relations entre objets
e Elaborer le modèle MCD.
e Vérifier le modèle.
MERISE est en premier lieu, l’art de dessiner un modèle de données :
3 En respectant les règles en créant ou supprimant des individus des relations
et des informations
3 En choisissant de représenter un concept a son plus juste niveau (modèle
méta)
Quelques règles de conception d’un modèle de données
* Les occurrences d’individu doivent pouvoir être citées.
0 Une information d’individu est dans un seul individu ou une seule relation.
0 Une information d’individu a une et une seule valeur pour chaque occurrence de
l’individu concerné.
0 Une information de relation a un et un seul sens pour toutes les occurrences
d’individu reliées (pas de patte optionnelle ou multiple).
l L’occurrence d’une relation donnée ne peut exister qu’une fois entre deux
occurrences d’individu.
Le Modèle Conceptuel des Données décrit, par domaine de l’entreprise, la structure des
informations manipulées (individus, relations et contraintes).Les types de validation des
modèles entre eux à faire sont :
l Toutes les informations des messages du MCC ou du MCT correspondent à des
informations du MCD soit directement, soit par le biais de règles de calcul ou
d’équivalence.
l Toute information nécessaire pour effectuer une opération du MCT est disponible
dans le message événement et le MCD.
l Toute information du MCD est utilisée (créée et lue) par au moins une opération.
42
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
.
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
d
Chapitre III : Conception de la base de données
l
111.4-Le modèle organisationnel de traitement : MOT
L’objectif de cette étape est de fournir une représentation schématique de l’organisation
du service.Pour cela le formalisme déjà utilisé au niveau conceptuel sera repris et l’on
manipulera les concepts de : évènement, phase (au lieu d’opération) et résultat.Les concepts
de tâche et de phase remplacent ceux d’action et d’opération et on retrouve les outils de
synchronisation et les règles d’émission.L’assemblage des phases ainsi présenté constitue
le modèle organisationnel des traitements.Les trois composantes de toute organisation sont :
l Le poste de travail I constitue l’unité fondamentale de l’organisation ; on pourra
l’identifier soit par la fonction qu’il remplit soit par les moyens qu’il emploie.
* La nature du traitement Tobjectif est de savoir si l’action étudiée est destinée ou non
à faire partie du système d’information automatisé que l’on construit ce qui conduit à
faire la distinction traitement manuel/ traitement informatisé.
l Période de déroulement : Cette information définira la période de temps pendant
laquelle on accepte exécuter l’action.
La création d’une phase consiste alors à regrouper, en un ensemble ininterruptible, des
tâches respectant la règle des trois unités : unité de lieu (même poste de travail) ; unité
d’action (même opération, même nature de traitement) et unité de temps (même période de
déroulement).
44
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORC S Eric
. .
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
+
Chapitre III : Conception de la base de donnkes
+
j PPriode
/ 1 Début année
7 ~ ~ - . . ~-- ~~-~
Mod#e Organisaémnel de Traitements >
P@?l : Gestion et Entretien du Patrimoine Bali de la mairie de Ouagadougou
Modèle : Sous MOT intervention2
Auteur : DIALLO Alghassimu 1 Versm 1 .O I18/06/04
DSTM
budget annuel approuvk /
Chef service
composer équipe actuahser le dem
Chef éauioe
bon sorbe mk?nel
\lote mterventton2 bordereau sortie mat&el
Type
Interactif
Interactif
Manuel
FIGURE Ill-5 : Sous-MOT Intervention 2
45
Réalise par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORC S. Eric
MÉMOIRE D’INGENIEUR EIER Chapitre Ill : Conception de la base de données
IIIS-Modèle physique des données : MPD
La génération du modèle physique des données s’est faite à partir du modèle conceptuel
des données grâce au logiciel POWER AMC DESIGNOR 6.1 qui permet de générer le MPD
à partir d’un MCD existant. Le passage du MCD au MPD se fait suivant les règles ci-après :
l Un objet devient une table
a Les propriétés se transforment en attribut des tables
0 L’identifiant des objets devient la clé de la table
a Suivant les types de relation l’association devient un attribut supplémentaire dans la
table du coté (1 II) relation type (1 ,l)-(1, n) ; pour les autres types de relation les
associations deviennent une table dont la clé sera composée de la concaténation des
clés des deux tables mises en relation.
46
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
0
Chapitre IV : Réalisation de la base de données
l
IV-Réalisation de la base de données sous Access
IV.1 -Le choix de Microsoft Access
Notre choix pour le logiciel de réalisation de l’application s’est porté sur Access pour les
raisons suivantes :
e L’accessibilité de Access : En effet il fait partie des logiciels qui sont livrés à l’achat
de l’ordinateur avec le pack office disponible sur la plupart des machines des
utilisateurs qui fonctionnent sous l’environnement de Microsoft ; ce qui constitue un
avantage financier du moment qu’on dispose déjà des ordinateurs.
e La simplicité de son utilisation : Access est sous l’environnement Windows ce qui
facilite son utilisation par les utilisateurs de l’ordinateur qui sont habitués à manipuler
d’autres logiciels sous Windows”
e La sécurité et le partage des données en réseau : pour un mini réseau Access
assure la sécurité et le partage des données entre les différents utilisateurs.
0 Enfin sa compatibilité avec les logiciels Word et Excel qui sont utilisés au quotidien
en fait un atout pour la réalisation des tâches quotidiennes
IV.2-La réalisation de l’application
Pour réaliser l’application nous avons d’abord généré la base de données à partir du
Modèle Physique des Données (MPD) grâce au logiciel POWER AMC DESIGNOR version
6.1.
IV.2. I-La création des tables
Les tables sont les objets principaux sur lesquels reposent les bases de
données.Elles contiennent des enregistrements organisés suivant plusieurs champs ; Dans
notre cas elles ont été générées directement à partir du MPD. Elles sont au nombre de 26 et
referment les informations nécessaires à la gestion des différents éléments du patrimoine,
des travaux et des différents intervenants.
0 Les tables relatives aux éléments du patrimoine : ce sont les tables
ELEMENT-DU-PATRIMOINE, BOUTIQUE-DE-RUE, ECOLE ..I
48
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
0
Chapitre IV : Réalisation de la base de données
l
Elles renferment les informations sur la localisation géographique, l’année de
construction, le coût de réalisation etc.
* Les tables relatives aux travaux sur ces éléments du patrimoine : ce sont les tables
TRAVAIL, DEVIS, DATE... , elles renseignent sur la nature, la période, le matériel
utilisé et le coût des travaux.
0 Les tables relatives aux différents intervenants : AGENT-PERMANENT,
MANCEUVRE, ENTREPRISE... .elles donnent les informations sur les personnes qui
sont intervenues pour intervenir, contrôler, ou exécuter les travaux.
Remarque : chaque table il possède une clé primaire qui est un champ ou la
concaténation de plusieurs champs permettant d’identifier de façon unique chaque
enregistrement de la table.Ces clés primaires permettent de faire les liens entre les
tables (relations).Ces relations ainsi établies permettront de créer des requêtes.
1 1 CODE-ELEME]
10 10 Boutique de rue 13 08 Boutique de rue 16 05 Boutique de rue
li - _... - -
12 Boutique de rue
2 03 bureau
11’10 14,07.
1508
18’12
19 10
+ + 9 + + + + + + + + + + + + + + + + + + +
Tmr
26 08
32 13
7 08
12 04
20 09
21.12 25 06
8.10
22 09
1 03
3 05 23 11
bureau bureau . _ bureau
bureau
bureau
1210
1212
5555
1113 1234
‘1230
y000
9874 1505
1599
1888.
1718 5423.
1220
bureau
bureau
centre de sante
centre de sante
centre de sante centre de sante
cintre de sante
complexe sportif
complexe sportif
0989
9512
2152
ecole
ecole
ecole .
5620
1315
3000
2500
9872 n177
012
120
+025
113 132
123
007
088 112
100
858 I 173 123
001
019 I
312
211 123
115
003
025
112 I?n
Fiqure IV-l: La table ELEMENT DU PATRIMOINE
49
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
4
Chapitre IV : Réalisation de la base de données
4
Un aperçu des relations entre les différentes tables créées est fourni ci-après :
Prêt
Fiqure IV-2: Les relations entre les tables
IV. 2.2-La création des requêtes
Les requêtes sont des outils d’interrogation d’Access pour retrouver rapidement
des données selon un ou plusieurs critères et les réorganiser à des fins d’analyse. Les
requêtes permettent de consulter les données de la base.
50
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
0
Chapitre IV : Réalisation de la base de donn6es
l
NOM WRONDIS NUMERO SECTEI
> L
PG-t NUM
Fiqure IV-3: requête les éléments du patrimoine par tvpe et par secteur
IV. 2.3~La création des formulaires
Un formulaire est un type d’objets de base de données qui est utilisé
essentiellement pour entrer et afficher des données dans une base de données .Le
formulaire facilite la saisie et la modification des données de la base. C’est un masque de
saisie des données, qui doit être aussi proche que possible de la fiche de saisie, pour
faciliter la saisie des données par l’utilisateur.
Selon son utilisation un formulaire peut être un formulaire de saisie, de modification,
d’information ou de « menu ». On peut également utiliser un formulaire comme Menu
général qui ouvre d’autres formulaires et des états dans la base de données ou comme boîte
de dialogue personnalisée qui permet aux utilisateurs d’entrer des données et de les utiliser
Les formulaires sont basés sur les tables ou les requêtes déjà créées précédemment.
51
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
0
Chapitre IV : Réalisation de la base de donn&eS
+
Fisure IV-4: Formulaire de démarraqe de l’application
IV. 2.4-La création des contrôles
Les contrôles sont des objets d’un formulaire, d’un état ou d’une page d’accès
aux données qui permettent d’afficher des données, d’exécuter des actions ou qui sont
utilisés à des fins de décoration. Par exemple, on peut utiliser une zone de texte dans un
formulaire, un état ou une page d’accès aux données pour afficher des données, un bouton
de commande dans un formulaire pour ouvrir un autre formulaire ou état. On peut aussi
utiliser un trait ou un rectangle pour séparer et regrouper des contrôles afin d’accroître leur
lisibilité.Toutes les informations d’un formulaire ou d’un état sont contenues dans des
contrôles”
52
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
Q
Chapitre IV : Réalisation de la base de données
*
w /Zone de liste déroulante 3
/Texte6:j Zone de liste --r- J. ‘Bouton bascule1 j
‘Etiquette j
Bouton Commande I
IZ ICase à cocher i
IV.2.5La créat/on des états
Les états sont des objets de base de données Access qui permettent d’imprimer
les informations qu’on a mises en forme et organisées selon nos propres présentations.Les
états sont basés sur les tables ou les requêtes déjà créées.lls permettent d’obtenir les
différents documents imprimés dont on a besoin dans la base.
53
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
0
Chapitre IV : Réalisation de la base de données
l
Fiqure W-6: Aperçu avant impression d’un état
54
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
. ._.----._ -.......-----_-_--_ . .._
MEMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre V : Wsentation de 1’ application
V-Présentation de l’application
GEBAT est une application qui permet la gestion de l’entretien du patrimoine bâti. Elle a
éte conçue pour le service gestion et entretien du patrimoine de la direction des services
techniques municipaux de la commune de Ouagadougou
V.4 -Fonctionnalités de GEBAT
Les fonctionnalités de l’application sont les suivantes :
Module Elément du patrimoine : les informations relatives à un équipement sont
rassemblées à ce niveau pour la consultation, la saisie, d’un nouvel élément, la
modification d’un élément existant et l’impression
Module Travaux : Cette fonction permet de saisir et/ou de modifier les travaux sur les
éléments du patrimoine, de connaître I’historique des travaux réalisés sur ces
éléments (date, nature...)
Module Intervenants : En fonction des différents travaux on a les intervenants
correspondants.Cette fonction permet de saisir et de consulter I’historique complet
des différentes interventions (nature des travaux, durée de travail pour les
intervenants extérieurs, entreprise impliquée.,.).
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadrb par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre V : Présentation de l’ application
4 *
V.2-Prise en main de l’application
Ouverture de l’application : il suffît de cliquer sur l’icône de l’application GEBAT pour ouvrir
la base de données. A l’ouverture de l’application le formulaire suivant s’affiche :
•l FICHIER IMPRIMER -,B x
Sur cette page nous avons les menus FICHIER et IMPRIMER.
V. 2.1 -Menu FICHIER
A partir de ce menu déroulant on peut consulter ou mettre à jour (saisir ou modifier) les
objets suivants :
G Les éléments du patrimoine : Ecole, centre de santé, marché etc.
3 Les travaux : à réaliser, et ceux déjà réalisés.
3 Les intervenants : agents permanents (du service), les manœuvres et les entreprises
impliquées.
3 Le bouton Quitter permet de quitter l’application
56
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
“- -.- ..I_^.. ---,._---_ -...
. .
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre V : Prbsentation de I’ application
0 l
Lorsqu’on a choisi un objet dans la liste déroutante ci-dessus on atteint la page
correspondante à cet objet où on peut choisir entre la mise à jour ou la consultation de
l’objet.
V. 2.2-La mise 8 jour des objets
Un clic sur le bouton MISE A JOUR ouvre la page permettant la saisie d’un
nouvel élément et la modification d’un élément existant.
Saisie d’un nouvel élément de patrimoine
Par exemple si on choisit élément du patrimoine dans la page précédente on obtient la page
suivante :
57
Réalisé par DIALLO Aighassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre V : Présentation de l’ application
Sur cette page on a les boutons MISE A JOUR, CONSULTATION QUITTER et
FERMER. Si on clique sur le bouton quitter on quitte l’application ; un clic sur le bouton
fermer permet de revenir à la page précédente. Les deux autres boutons permettent la
mise à jour ou la consultation.
Pour la saisie d’un nouvel élément du patrimoine il suffit de remplir le formulaire suivant
dans l’ordre des étapes décrites ci-après
NB : Le code élément patrimoine est un champ numéro auto c’est-à-dire qu’il s’incrémente
tout seul ;
1) On commence par choisir le type de patrimoine qu’on veut saisir ou modifier à
partir de la zone de liste déroulante.
2) On clique sur le bouton nouveau pour spécifier qu’il s’agit d’un nouvel
enregistrement
3) Puis on choisit dans la liste déroulante le Numéro du secteur s’il est déjà saisi ;
sinon on le génère avec le bouton générateur placé juste à coté.
58
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TW\ORÉ S. Eric
._._ -___. .L-- - . l - - - - . . - -~
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre V : Prbentation de l’ application
4) Après cela on saisit Le numéro de rue dans le secteur (un nombre a 3 chiffres
correspondant au numéro de la rue).
5) Puis on saisit la distance origine : (un nombre à 4 chiffres).
Mode Formulaire NUM
6) Enfin il y a le bouton valider qui permet d’accéder au formulaire correspondant
au type de patrimoine choisi pour y saisir les informations spécifiques à cet élément du
patrimoine. Les autres boutons permettent de faire défiler (premier, précédent, suivant,
dernier), d’annuler une action, de supprimer un enregistrement ou de fermer la page pour
revenir à la page précédente. Lorsqu’on clique sur le bouton Valider après avoir choisi par
exemple Ecole comme type de patrimoine on obtient la fenêtre suivante :
59
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
~_. .- ___.- .-..--- ~.-
MÉMOIRE D’INGENIEUR EIER Chapitre V : Présentation de 1’ apPliCatiOn
Mode Fwrnuhe NUM
A ce niveau le principe de remplissage reste le même que précédemment :
7) On clique sur le bouton Nouveau ;
8) On se positionne sur le même code élément que celui dans la feuille précédente
(c’est le dernier numéro de la zone liste déroulante) ;
9) Le code de l’école est calculé automatiquement et correspond au nombre
composé ,dans l’ordre d’écriture ,du numéro de secteur, du numéro de rue et de
la distance tous déjà saisis ( et qui sont affichés en face) ;
10) Apres cela on compléte les autres informations par la saisie ;
11) Enfin on clique sur le bouton Enregistrer ;
42) Pour saisir un nouvel élément il suffit de cliquer sur le bouton Nouvel élément ; et
de reprendre la procédure depuis le 1).
Pour la modification on se positionne sur l’élément qu’on veut modifier en faisant défiler les
enregistrements après l’avoir trouvé on suit la même procédure; (sans utiliser le bouton
nouveau)
60
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre V : Présentation de I’ application
Saisie d’un nouveau travail
Si on a choisi programmation des travaux dans la page de démarrage, on obtient la page
suivante qui permet la saisie, la modification et la consultation des travaux.
•l ~ihier giion s Affichage &xertion Format Enregistrements Qutik Fetitre 1 --i?x
-1 Consultation ] Fermer 1
Mode Formubire
Pour la saisie ou la modification on suit le même principe que précédemment on clique sur le
bouton MISE A JOUR, alors le formulaire suivant s’affiche.
61
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre V : Présentation de I’ application
0 l
1 $z. Etre executépar
4) On clique sur Nouveau pour créer un nouveau travail
2) On saisit le code du travail ;
3) On saisit la description du travail.
4) On saisit la date de début et la date de fin des travaux.
5) On précise si le travail est déjà réalisé ou non en choisissant dans la liste déroulante
oui ou non.
6) On précise sur quel élément de patrimoine a (ou aura) lieu le travail en choisissant le
code élément de patrimoine dans la liste ;Si l’élément n’est pas encore saisi il faut le
créer grâce au bouton générateur qui permet d’aller saisir un nouvel élément de
patrimoine :
7) On saisit les intervenants de ce travail.
8) On clique sur le bouton Enregistrer.
Les autres boutons permettent de faire défiler, de supprimer les enregistrements ;
9) Pour saisir le devis du travail on clique sur le bouton devis travaux.
62
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
Chapitre V : Présentation de I’ application
On clique sur Nouveau ; on se positionne sur le code de l’élément de patrimoine
concerné, puis on saisit les autres informations ; on clique sur Enregistrer. Enfin on
complète les autres informations et on revient sur le formulaire des travaux en cliquant
sur le bouton Fermer. Voir formulaire devis de travail ci-après.
40) Pour saisir le matériel on clique sur le bouton Matériel ; On clique sur le bouton
Nouveau ; On se positionne sur le code du travail concerné grâce à la zone de liste
déroulante.
11) On saisit ou on génère la désignation du matériel ; et on saisit la quantité
12) On clique sur enregistrer. Enfin on revient au formulaire des travaux en cliquant sur le
bouton Fermer.
63
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORC S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre V : Prksentation de l’ application
-. Mn&? Fnrmrbirc
Remarque : pour les modifications on se positionne sur l’enregistrement à modifier puis
on suit la même procédure sans cliquer sur Nouveau.
Saisie d’un nouvel intervenant
Après avoir choisi les intervenants dans le menu fichier de la page de démarrage on obtient
la page suivante :
64
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre V : Présentation de II application
0 l
m Fermer ] CONSULTATION 1
On a le choix entre la mise 2 jour (saisie/modification) et la consultation ; si on clique sur
mise à jour on a le formulaire qui permet de spécifier les intervenants qu’on veut modifier
ou saisir.
65
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre V : Présentation de I’ apPliCatiOn
* l
q &hier ~dtion 33 72 fiffichage Qwdion Format Enregi$rements Qutik Fenêtre 1 q,., S/I, ;/,..A, , -,tT x
b
4 Les intervenants b
Entreprises I
Fermer I
Enr :
Mode Formulaire
Par exemple si on veut saisir ou modifier on clique sur Travailleurs temporaires sur la
page précédente, et on a la page suivante qui s’affiche.
66
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre V : Présentation de l’ application
0 l
Sur cette page pour saisir un nouveau travailleur temporaire
1 On clique sur Nouveau ;
2. On saisit les informations sur le travailleur (le code, le nom, le prénom et la
spécialité) ;
3. On clique sur le bouton Enregistrer ; les autres boutons permettent de défiler les
enregistrements ou de revenir à la page précédente (fermer)
4. On clique sur le bouton Travaux exécutés pour avoir la page suivante :
67
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
WIÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre V : Pr&entation de l’ application
0 l
5. Sur cette page on clique sur le bouton Nouveau pour créer un nouvel
enregistrement.
6. On choisit le travail exécuté par le travailleur s’il est déjà saisi sinon on clique sur
le bouton générateur pour saisir un nouveau travail ;
7.. On choisit le code travailleur saisi à la page précédente dans la liste puis on saisit
les autres informations sur la date de début et de fin d’exécution du travail par ce
travailleur ;
8. Enfin on clique sur le bouton Enregistrer ; puis on clique sur le bouton fermer à
chaque fois pour retourner à la page précédente.
Pour la modification on suit le même principe sans cliquer sur Nouveau (pour créer
de nouveaux enregistrements).
68
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre V : Présentation de I’ application
0 l
V. 2.3-Consultafion
Consultation des éléments du patrimoine
A partir du formulaire d’information sur les éléments du patrimoine si on veut faire une
consultation on clique sur le bouton Consultation~ La fenêtre suivante s’affiche :
Fichier Edition :s <%6 Affich=e Insertion Format Enregi&ements Qutik Fe&re 1
CDNSULTATION DES ELEMENTS DU PATRIMOINE PAR CHOIX DE CRITERES
TYPE D’ELEMENT
NOM D’ARRONDISSEMENT i
NUMERO DU SECTEUR 1
.J Par type ]
_I
_ Par arrondissement , Par arrcdhm-ent et type
.J Par Secteur 1
1
NUMERO DE LA RUE Par rue ]
CONSTRUIT AVANT L’ANNEE: d Par Type et Année 1
COUTE PLUS L?E: 1 v ParTypeetCoût 1
Listecomplète 1 Fermer 1
14 1 4 111 sur 1 k 1 bl lb+] . .
La consultation peut se faire suivant les critères suivants :
l En fonction de la position géographique : la consultation est faite par arrondissement,
par secteur ou par rue.
l En fonction du temps : l’année de construction ou la période de sa réalisation.
l En fonction du type d’élément : Ecole, Marche public, Magasin, etc.
. En fonction du type et de l’arrondissement.
e En fonction du coût.
69
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre V : Présentation de 1’ application
$ l
@ Tous les types d’élément.
Exemple si on veut consulter les écoles de l’arrondissement de Baskuy,
1 On clique sur le bouton Arrondissement et Type d’élément
2. On choisit Ecole et Baskuy dans les listes déroulantes puis on clique sur le
bouton par arrondissement et type voir page ci-dessous :
CONSULTATION DES ELEMENTS DU PATRIMOINE PAR CHOIX DE CRITERES
TYPE D’ELEMENT b’e
NOM D’ARRONDISSEMENT t-‘y
A Par type 1
-l
_ Par arrondissement , Par wrondissmat et type 1
NUMERO DU SECTEUR 1 Par Secteur 1
NUMERO DE LA RUE Par rue 1
CONSTRUIT AVANT L’ANNEE:] v 1 ParTypeetAnnée
COUTE PLUS DE: d ParTypeetCoût 1
Listecomplète ] Fermer ]
Mode Formulaire NUM
3. Finalement on obtient la page suivante qui affiche les informations sur les
écoles de l’arrondissement de Baskuy.
70
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre V : Présentation de l’ appliCatiOn
q ~ihier Edition @ #iihage @sertion Format Enregi$rements Qutik Fe&re 1 .:. j <, ,- ’ --BX
4. A partir de cette page on peut consulter les travaux relatifs à cet élément du
patrimoine en cliquant sur le bouton Les travaux.
La consultation suivant les autres critères se fait de la même manière : chaque fois on choisit
le(s) critères de recherche dans la zone liste puis on clique sur le bouton correspondant aux
paramètres qu’on veut et la page demandée s’affiche.
Consultation des Travaux sur les éléments du patrimoine
A partir du formulaire d’information sur les travaux relatifs aux éléments du patrimoine si on
veut faire une consultation on clique sur le bouton Consultation pour voir s’afficher la page
suivante.
71
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre V : Présentation de l’ application
d l
q ~d-!ier Edition <g affichage @artion Format Enreg@rements Qutik Fe@re 1 -,<, ,y< ,!/,. //!,,..I / :, -,B x
Cho*g yGiG+q
i ._--- km!mm. .-.....- 1
Par Lype d’élémenl l
Fermer ]
On peut faire la consultation suivant les critères i
l Les travaux par type d’élément choisi dans la liste déroulante.
l Les travaux réalisés par type d’élément choisi.
0 Suivant l’état de réalisation des travaux : on peut choisir de consulter les
travaux réalisés ou ceux qui ne sont pas encore réalisés.
l Les travaux programmés non achevés (non réalisés)
* L’ensemble des travaux réalisés au cours d’une période qu’on spécifie.
l L’ensemble de tous les travaux réalisés.
Comme exemple d’illustration on montre comment faire une consultation des travaux
réalisés sur les écoles.
1) On clique sur le bouton Par type et travaux réalisés.
2) On choisit ecole dans la zone de liste déroulante choix du type
d’élément pour avoir la page suivante :
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MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre V : Présentation de l’ application
* l
ICONS~LTA~~N DES TRAVAUX~
Par Mat de réalisation des
travaux
Par type I d’élément
Fermer I
Mode Formulaire NUM FRAP
3) On clique sur le bouton par type et travaux réalisés pour voir la
page d’information demandée :
73
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
IWÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre V : Prbentation de l’ application
0 +
Consultation des différents intervenants
A partir du formulaire d’information sur les différents intervenants si on veut faire une
consultation on clique sur le bouton Consultation pour voir s’afficher la page suivante.
74
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORC S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre V : Présentation de l’ application
La consultation peut se faire en fonction des critères suivants :
0 Le bouton Travaux réalisés avec les agents permanents permet de consulter les
travaux faits par les agents permanents.
0 Le bouton Travaux réalisés avec des temporaires permet de consulter les travaux
exécutés par les travailleurs temporaires.
l Le bouton Travaux réalisés avec des entreprises permet de consulter les travaux
contrôlés par les agents permanents et qui ont été réalisés par des entreprises ;
l Le bouton Les intervenants par travail permet de voir tous les différents intervenants
pour un travail donné.
75
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre V : Présentation de II application
4 4
V. 2.4-Menu IMPRIMER
A partir de ce menu déroulant on peut voir t’aperçu avant impression et imprimer les objets
suivants :
9 Les éléments du patrlmoine : Ecole, centre de santé, marché etc.
9 Les travaux : à réaliser, et ceux déjà réalisés.
9 Les intervenants : agents permanents (du service), les travailleurs temporaires et les
entreprises impliquées
9 Quitter Application permet de quitter l’application.
Lorsque on a choisi un objet dans la liste déroulante ci-dessous on atteint la page
correspondante à cet objet où on peut voir l’aperçu avant impression de l’objet.
IMPRIMERTRAVAUX
IMPRIMER LES ELEMENTS DU PATRIMOINE
IMPRIMER LES INTERVENANTS
76
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre V : Présentation de 1’ application
Si on choisit les éléments du patrimoine la page permettant l’impression d’un élément du
patrimoine s’affiche.
I~MPRESSION DES ELEMENTS DU ~ATRIMOINEI
JARDIN PUBLIC ] BOUTIQUE DE RUE 1
BUREAU ] LOGEMENT 1
CENTRE DE SANTE ] MAGASIN ]
MARCHE PUBLIC ] COMPLEXE SPORTIF 1
r- @iï~:i
Un clic sur le bouton Ecole donne l’aperçu avant impression suivant :
77
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MEMOIRE D’INGENIEUR EIER
l
Chapitre IV : Réalisation de la base de données
+
A partir de cette fenêtre on peut faire l’impression de cet aperçu. Voir ci-après l’impression
de la fiche sur les écoles.
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadr6 par TRAORE S. Eric
MeMOIRE D’INGÉNIEUREIER Chapitre IV : Réalisation de la base de données
FICHE DES ECOLES mardi 29 juin 2004
N' CODE~ECOlE NOM-ECOLE Nbr~ CLASSES Niveau ANJONSTRUCTION COUT
1 03003 3000 LT0
3 050252500 ESCA
23 11 1129872 EPP le savoir
27 131300123 Newtofl
33 141405410 ISIG
125 2 1980 800000000
56 1 2001 50000000
14 z 1988 60000000
20 2 2000 100000000
10 1 1986 78500000
79
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGENIEUR EIER Conclusion et recommandations
Conclusion et recommandations
Au terme de cette étude passionnante qui m’a permis de travailler sur les différents
aspects des systèmes d’information allant de la modélisation à la réalisation d’une
application, nous pouvons dire que les objectifs visés au départ ont été atteints. Nous avons
pu construire un système d’information à partir des réalités de la situation actuelle et des
objectifs qui ont été définis. A chacune des étapes, de la conception à la réalisation, nous
avons eu à faire des validations avec l’organisme encadreur. L’application réalisée sur cette
base devrait permettre une gestion efficace des tâches quotidiennes relatives à l’entretien et
la gestion du patrimoine bâti communal : saisie, modification, impression et recherche des
informations sur le patrimoine bâti communal. Cependant, seuls des tests avec différents
utilisateurs permettront de juger de la fonctionnalité de la base de données. Suite à leurs
remarques, suggestions et possibles améliorations, l’application pourra être validée
définitivement et utilisée par l’organisme encadreur. II serait aussi intéressant de pouvoir
coupler l’application à un logiciel de SIG de sorte à obtenir un système d’information
géographique, cela serait fort commode d’autant plus que les différents codes des éléments
du patrimoine sont formés de chiffres renseignant la position géographique de l’élément
(secteur, rue et route).
Dans le contexte de libéralisation et de décentralisation, les collectivités ont un grand rôle à
jouer dans le développement de nos villes et villages. De ce fait, elles ont besoin d’utiliser
des outils informatisés de gestion qui apportent un gain considérable en temps et en argent.
Ce travail m’a permis aussi de me rendre compte d’une réalité qui prévaut dans nos
différents Etats : « Le manque d’entretien des biens publiques ». En effet c’est l’occasion
pour moi d’attirer l’attention des futurs responsables que nous sommes sur cet aspect. Nos
dirigeants sont plus intéressés par des actions d’éclat telles que les discours d’inauguration
que par les restaurations ou réhabilitations des constructions existantes. II nous appartient
donc en tant que futur responsable et technicien d’inverser les tendances sinon de mieux
valoriser notre patrimoine existant.
80
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Chapitre IV : Réalisation de la base de données
Bibliographie s6lectïve
Georges GARDARIN, « Bases de données ».
Eyrolles, Paris, 2003.
Irene VERGNES, « Informatisation d’une base de données a l’aide de Microsoft Access pour Windows ».
Collection INRETS, Paris, 2001”
Jean Patrick Mathéron « Comprendre MERISE outils conceptuels et organisationnels » .,
Eyrolles, Paris, 2000.
Michel Diviné, « Parlez-vous MERISE ? ».
. . . Eyrolles, Paris, 1990.
Didier Banos et Guy Malbosc 1 « MERISE pratique : 1 .Les points-clés de la méthode».
. . Eyrolles, Paris, 1989
A.Collongues, J.Hugues et B.Laroche « MERISE : Méthode de conception ».
Dunod, Paris, 1986.
Articles publiés sur site Internet.
Collectif, « Les enjeux des extensions urbaines à Ouagadougou (Burkina Faso) 1984-1990 ». CNRST-ORSTOM-DGUT-IFU Paris VIII, Ouagadougou, Paris, 1992.
Jaglin S. « Gestion urbaine partagée à Ouagadougou.Pouvoirs et périphéries », Paris, Karthala-ORSTOM, 1995.
81
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER
d
Chapitre IV : Réalisation de la base de données
+
82
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadrk par TFWORÉ S Eric
BURKINA FASO Ur:lTt: -PROGRES -JUSTICE
Ouagadougou, le -< :, ” _1-&--+’ ,-‘-:‘- :_. i -f . . : , ._. , ., ,
Messieurs les Directeurs et Chefs de Services
-OUAGADOUGOU-
Objet : Arrêté portant organisation de la Mairie.
Niessieurs,
J’ai l’honneur de vous faire parvenir l’arrêté n02004-028/CO/SG du 31
mai 2004 portant organisatio;l de la Mairie de Ouagadougou.
Dorénavant dans vos rapports et correspondances avec les services
municipaux, vous devez en tenir compte.
Veuillez agréer, Messieurs les Directeurs et Chefs de services, l’expression
de ma parfaite considération.
Pièces-jointes :
- Organigramme
- Liste des sigles.
VcJ 1‘1 Constitution du 02 juirl 1991 ;
VU ic Dscret N”2002-20t>/‘PRLS!f’ri/1 du 10 juin 2002 portant cornlmsltion tlrr Gouvernement dt~ ELJI kiria Faso ;
VU le Décret N02004-003iPRESIPM du 1 7 janvier 2004 portant rernanicmcnt dtr
Gouvernement du Burkina Faso :
VU In Loi n”40/98/ADf’ dii 3 nocît 1998 portant orientation de fa décentraiisntiarl
nu Gurkina Faso ;
V1J la Loi n041/98/AN dc~ Territoire ;
VU la Loi n042/98/AN
du OG aoht 1993 portartt organisation dc I’Adrninistratiorl
du OG aoiit 1993 portant or:ganrsntion et fonctiorirlernef~t
des Collectivités Locnles ;
VU I’Arrëté n02001-029/MATD/PKAD/CO du 02 mai 2001 portant organisation dc
la Mairie de Ouagadougou ;
VU le Proces-verbal d’Qlcction du Maire et du Bureau du Conseil
Municipal de la COIIIIN~JII~ dc OLJLI~FI~OLI~~~J ;
VU I’Arrêté n02003-01 7/MATD/SG du 28 février 2003 portant validation de
mandat de Maires et Adjoints aux Maires de la Comniunc et des
Arrondissements dc Ouagadougou (R~~ul~-lrls~ltioii) ;
Considérant les nécessités de service ;
ARRETE
Article 2 D Ln Mairie de Ouagadougou comprend :
_ Le Cabinet du Maire ;
_ Le Secrétariat Général ;
_ Les Services rattachés.
Chapitre Il : le Cabinet du Maire
Article 3 I Placé sous l’autorité d’un Directeur de Cabinet, le Ca5inet du [VIaire est
chargé :
de la réception et de l’expédition du courrier confid~:rlticl ;
des relations publiques (audiences de Monsieur le l’L:ciire) ;
- des distinctions honorifiques ;
- des affaires politiques et réservées.
Article 4 I Le cabinet comprend :
._ Le Secrétariat Particulier ;
_ La Direction des Relations Internationales ;
_ La Direction de la Communication et des Relations Publiques ;
_ La Direction du Protocole ;
- La Cellule de Gestion des Salles des Fêtes et du Conseil Municipal ;
- L’inspection des Services Municipaux ;
- Les Conseillers Techniques ;
- Les Chargés de Mission.
.~ 1 CONFIGURATIONGENERALEOEL'ORGANIGRAMMEOELAMAIRIEOEOUAGADOUGOU 1
36
1r---t----1 CG, J------IA*-
--T--rjj 1, k CT 1 I
I
DRI b DCRP jis:ljjDp
* DRI
* DCRF
* DP
* ISM
* CM
* CT
* sec
* SC
* DSTM
* DP
* DAP
* DAFG
* DSI
* DRH
* DQ
* DAG
* DECPA
* DAJC
* DMP
* DPSJ
* DAC
: DireCtiOil des Relations Internationales.
: Direction de la Communication et des Relations PLJbliqueS.
: Direction du Protocote.
: Inspection des Services Municipaux.
: Chargé de Missions.
I Conseillers Techniques.
: Service Courrier Cen O-a!.
: Secrétaire Général.
: Direction des Services Techniques Municipaux.
: Direction de la Propreté.
: Direction des Aménagements Paysagers.
: Direction des Affaires Financières et du Budget.
: Direction des Services Informatiques.
: Direction des Ressources Humaines.
: Direction de la Questure.
: Direction de I’Administration Générale.
: Direction de i’ftat Civil, de la Population et des Armes.
: Direction des Affaires Juridiques et du Contentieux.
: Direction des Marchés Publics.
: Direction de la Promotion du Spot-t. Et de la jeunesse.
: Direction de l’Action Culturelle.
* DPM : Direction de la police Municipale.
* DAS : Direction de l’Action Sanitaire.
* DASE : Direction de l’Action Sociale et de I’Education.
* DCMM : Direction des Centres Multimédias.
* DADB : Direction des Archives, de la Documentation et de la Bibliothèque.
* CIJEF : Centre d’Information des Jeunes sur I’Emploi et la Formation
* CAE : Centre d’Accueil pour Entreprises.
* CMSBD : Centre Municipal de Santé Bucco-Dentaire.
* RAGEM : Régie Autonome de gestion des Equipements Marchands.
li PUBW : Parc Urbain Bangr-weoogo.
Modèle Conceptuel de Communication MCC
PowerAMC 19/06/104 Page 1
Modèle Conceptuel de Communication MCC
Service Bâtiment Service Gestion Entretien patrimoine Service Voirie
Listes des objets
Liste des acteurs
Liste des flux
Budget annuel approuvé Demande bennes Demande dessin Demande Devis
Demande info spécifique Demande intervention Demande matériel
emande non traitée emande TDR
Dossier dessin Etat patrimoine bâti Fiche recrutement1
che recrutement2
te début travaux
PowerAMC 19/06/104 Page 5
. - “ - . . --- l11---.
Modèle Conceptuel de Traitements modèle-l -
Rapport MCT Ristes
PowerAMC 19/06/104 Page 1
Modèle Conceptuel de Traitements modèle-l
Listes des obiefs
Liste des actions Nom
actualiser le devis du projet composer équipes intervention constater dysfonctionnement consulter la base demander matériels enregistrer l’élément évaluer moyens nécessaires faire devis travaux fixer période exécution inscrire au programme inscrire les travaux planifier réunion proposer solutions rechercher dysfonctionnement rédiger PV rediger rapport rediger rapport mensuel rediger tdr reparer vérifier matériel
érifier travaux
Code [AFFINER LE DIAGNOSTIC COMPOSËR-EQUIPES INTERVENTION CONSTATER DYSFONCTIONNEMENT CONSULTERILA-BASE DEMANDER-MATERIELS ENREGISTRER L ELEMENT -- EVALUER-MOYENSNECESSAIRES FAIRE-DEVIS-TRAVAUX FIXER-PERIODE-EXECUTION INSCRIRE-AU-PROGRAMME INSCRIRE-LES-TRAVAUX PLANIFIER-REUNION PROPOSER-SOLUTIONS RECHERCHER-DYSFONCTIONNEMENT REDIGER-PV REDIGER-RAPPORT REDIGER-RAPPORT-MENSUEL REDIGER-TDR REPARER VERIFIER-MATERIEL )IERIFIERTRAVAUX
Liste des opérations
Elaborer Avant projet Elaborer TDR
Mettre à jour programmme Preparer intervention
Recenser élement Rediger rapport annuel
Liste des événements Nom
Avant projet annuel Bon sortie matériel Bordereau sortie matériel Budget annuel approuvé Date Demande info spécifique Demande non traitée Demande TDR élement recensé Etat patrimoine bâti
EVT-20 EVT-75 EVT-77 EVT-73 EVT-16 EVT-113 EVT-10 EVT-126 EVT-251 EVT 101
Code
PowerAMC 19/06/104 Page 4
Modèle Conceptuel de Traitements modèle-l
Nom activ fiche Insertion prgme
Fiche recrutement fiche Travaux en attente Fin d’année Fin du mois Information spécifique Nécessite Diagnostic Note début travaux Note diagnostic Note fin intervention Note fin intervention1 Note intervention1 Note intervention2 Nouvel élt patrimoine Ordre intervenir Problème signalé Programme activité à jour Programme activités PV travaux Rapport mensuel
tVl_lb
EvT~14 EVT-100 Em-1 07 EVT-114 EVT-7 EVT-119 EVT-3 EVT-79 EVT-15 EVT-8 EV-T-78 EVT-249 BIT-9 EVT-1 EVT-19 EVT-74 EVT-120 EVT 10E -. .-- > ̂-
Code
i
JTDR IWI IZl
Liste des déclenchements
ote intervention1
he Travaux en attente
he Insertion prgme activ
udget annuel approuvé
rogramme activités
rdereau sortie matériel
ote intervention2
emande info spécifique
ote début travaux
aborer Avant projet
aborer Avant projet
ettre à jour programmme
eparer intervention
diger rapport annuel
ediger rapport mensuel
ntrôler travaux
PowerAMC 19/06/104 Page 5
Modèle Conceptuel de Traitements modèle-l
Liste des émissions
Note intervention1
ntrôler travaux
he Insertion prgme activ he Travaux en attente
aborer Avant projet
Information spécifique
Note fin interventionl
Note fin intervention
ettre à jour programmme
eparer intervention
ecenser élement
ediger rapport annuel
Programme activité à jour
Bon sortie matériel Fiche recrutement
Programme activités
élement recensé
Etat patrimoine bâti
PowerAMC 19/06/104 Page 6
Mod6ie Organisationnel de Traitements Sous MOT Redaction des rapports
Rapport MOT listes
PowerAMC 19/06/104 Page 1
. . _ . b_x- - - I_ I I . . ._ .
Modèle Organisationnel de Traitements Sous MOT Redaction des rapports
Listes des obiets
Liste des acteurs Nom
Chef service DSTM
Liste des phases
Code U CHEF-SERVICE 0 DSTM
Nom elaborer TDR rediger raport mensuel rediger rapport anuel
Code ELABORER-TDR REDIGER-RAPORT-MENSUEL REDIGER RAPPORT ANUEL
Liste des événements
demande TDR etat patrimoine fin d’année fin du mois rapport mensuel TDR
Nom Code DEMANDE-TDR ETAT-PATRIMO-NE FIN D ANNEE -- FIN-DU-MOIS RAPPORT-MENSUEL TDR
Liste des déclenchements Nom de l’événement
fin d’année
fin du mois
Nom de la phase rediger rapport anuel
rediger raport mensuel
demande TDR elaborer TDR
Liste des émissions Nom de la phase
elaborer TDR
rediger raport mensuel
rediger rapport anuel
Nom de l’événement TDR
rapport mensuel
etat patrimoine
PowerAMC 19/06/104 Page 5
. - . - . . . - . - . - L1 . - . - - - - - . . . .
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Annexes
Projet : Gesbon et Entreben du Patrimoine Bali de la mairie de Ouagadougou
Modèle Sous MOT 1nleWenl1on2
Auteur DIALLO Alghassimou Version 1 0 18/06/04 J
I Ptkiodc -
Début an,
DSTM
>“dget annuel approwt
Chef service
composer @uipe actuahser le devis
preparer intervention
demander malénels fixer p&iode exéwtton
FIGURF 111-5. Sous-MQT IntervenbQnl
Chef équipe -
TYPE
Interactif
Interactif
5
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAOR6 S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Annexes
/ ---. -.~ --- ModBle Organisationnel de Traitements 7
Projet : Gesüon et Entretien du Patrimoine B%ide la mairie de Ouagadougou
ModBle : Sous MOT Elaboration Avant projet annuel --
Auteur : DIALLO Alghassimou Version 1 .O 26/04/04 J
Période
fin d’année
Sécr&aire Chef service ~~-~--
- c.7 Analyser le probkme
Necksite diagnostic --- ---
khe Travaux en attente
Travaux mis a joui
toujours -
Chef Équipe ---
n Note diagnostic \ /
Diagnostiquer
constater le dysfonctionnement Bvaluer moyens ticessaires proposer solutions
Type
Interactl
Manuel
nteracti
nteracti
6
Rbalisé par DIALLO Alghassimou encadre par TRAORÉ S. Eric
Annexes
: Période
Modde Organisationnel de Traitements
Proiet : Gestion et Entretien du Patrimoine Bati de la mairie de Ouagadougou MndMn %US MOT Petite Intervention ..---.- - -__ - Auteur : DIALLO Alghassimou Version 25/04/04
Sécrétaire
3
PmblBme signal6
Chef service
Petit problbme
Chef équipe ~.-~. -
rechercher dysfonctionnne~~ Ti
Note fin intervention1
Interactif
Manuel
7
Rbalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Annexes
L Pfriode
Début année
/- ~~ ~-- t,fcds?k Orgamsatiannel de Tratements ,
Projet Gestion et Entretien du Patrimoine Bdti de la mame de Ouagadougou
ModBle : Sous MOT intervention2
A~hwr DIALL0 Aloha~~mwu I Version 1 0 107/06104
DSTM
7 udget annuel approuv4
Chef service
composer CqJpe actualiser le devis
Chef Pquipc TYV ~--
Interactif
Interactif
F,G”RF 111.5. Sous-MOT Inlervent~on 2
9
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Annexes
~~. .~~ ~. ~~ /- ModBla Organisationnel de Traitements
Projet : Gestion et Entretien du Patrimoine Bati de la mairie de Ouagadougou
Modèle : Sous MOT Mise A Jour Programme d’activit&
Auteur : DIALLO Alghassimou Version 22/04/04 ~--.~---- ~-
Périod sécrétaire
1 ProblBme signalé
L/’
chef service
i fiche Insertion program d’activitb
0 Program Mis A Jour
chef equipe
( Note diagnostic )
Diagnostiquer
evaluer moyens necessaires proposer solution
Type -~
Manuel
Manuel
Interactif
10
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Annexes
! Pkiode DSThl Chef service
,’ ,./A”
Chef &tuir>e Entreprise -
.~ TYPE
11
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadre par TRAORÉ S. Eric
MÉMOIRE D’INGÉNIEUR EIER Annexes
.~~~ / Modèle Organisationnel de Traitements
\
Projet : Gsetion et Entretien du Patrimoine Sati de la mairie de Ouagadougou -
Modèle : Sous MOT Redaction des rapports
Auteur : DIALLO Alghassimou Version 1 .Q 25/04/04 _-.~ -
Période
fin dumois
fin d’année
i Appel d’offre
DSTM
demande TDR
Chef service
fin du mois
/:
,A-, toujours
J
rediger rapport anuel
--1
-1 toujours
& elaborer TDR
toujours
Type
Interacti
Interacti
Interactif
13
Réalisé par DIALLO Alghassimou encadré par TRAORÉ S. Eric
Modèle Conceptuel de Données MCD GEBAT
Rapport MCD listes
PowerAMC 19/06/104 Page 1
Modèle Conceptuel de Données MCD GEBAT
Listes des objets
Liste des informations Nom
nnée de construction Boite postale Code agent permanent Code boutique Code bureau Code Centre Code complexe CODE DEVIS Code ecole Code élément patrimoine Code entreprise Code jardin Code ligne Code logement Code magasin Code manoeuvre Code marche Code plan Code travail Cout de réalisation Coût estimatif Date de mise en service Date début exécution Date debut travaux Date fin exécution Date fin travaux Description Désignation matériels Distance origine Domaine intervention Financement Libellé ligne Localisation N” rue N” rue dans secteur N” téléphone NOboutique dans rue Nom agent permanent Nom arrondissement Nom centre de sante Nom du complexe Nom du jardin public Nom du marché public Nom du plan Nom ecole Nom entreprise Nom locataire Nom manoeuvre Nombre d’aire de jeu Nombre de boutiques marché Nombre de classes Nombre de niveau centre Nombre de niveau ecole Nombre de niveau marché /Nombre de pièce construite
Code ANNEE-DE-CONSTRUCTION BOITE-POSTALE CODE-AGENT-PERMANENT CODE-BOUTIQUE CODE-BUREAU CODE-CENTRE CODE-COMPLEXE CODE-DEVIS CODE-ECOLE CODE-ELEMENT-PATRIMOINE N-CODE-ENTREPRISE CODE-JARDIN CODE-LIGNE CODE-LOGEMENT CODE-MAGASIN CODE-MANOEUVRE CODE-MARCHE CODE-PLAN CODE-TRAVAIL COUT-DE-REALISATION COUT-ESTIMATIF DATE-DE-MISE-EN-SERVICE DATE-DEBUT-EXECUTION DATE-DEBUT-TRAVAUX DATE-FIN-EXECUTION DATE-FIN-TRAVAUX DESCRIPTION DESIGNATION-MATERIELS DISTANCE-ORIGINE DOMAINE-INTERVENTION FINANCEMENT LIBELLE-LIGNE LOCALISATION N-RUE N RUE DANS SECTEUR N-TELËPHONË N%OUTIQUE DANS RUE NOM AGENT-PERMANENT NOM-ARRONDISSEMENT NOM-CENTRE DE SANTE NOM-DU COMPLEXE NOM-DU-JARDIN PUBLIC NOM-DU-MARCHE-PUBLIC NOM-DU-PLAN NOM-ECOLE NOM-ENTREPRISE NOM-LOCATAIRE NOM-MANOEUVRE NOMËREDAIRE-DE-JEU
Type
NOMBRE-DE-BOUTIQUES-MARCHE I NOMBRE-DE-CLASSES I NOMBRE-DE-NIVEAU-CENTRE I NOMBRE-DE-NIVEAU-ECOLE I NOMBRE-DE-NIVEAU-MARCHE I INOMBRE DE PIECE CONSTRUITE II
PowerAMC 19/06/104 Page 5
Modèle Conceptuel de Données MCD GEBAT
ouveau Nom rue umero secteur Ian de situation renom agent permanent renom locataire renom manoeuvre
NOUVEAU-NOM-RUE NUMERO-SECTEUR PLAN-DE-SITUATION PRENOM-AGENT-PERMANENT PRENOM-LOCATAIRE PRENOM-MANOEUVRE
Liste des entités
entre de sante CENTRE-DE-SANTE COMPLEXE-SPORTIF
lement du patrimoine ELEMENT-DU-PATRIMOINE ENTREPRISE
MANOEUVRE MARCHE-PUBLIC
Liste des associations Nom Code Nombre
Appartenir APPARTENIR 0 COMPORTER COMPORTER 0 Concerner CONCERNER 0 Contrôler CONTROLER 0 Etre boutique ETRE-BOUTIQUE 0 Etre bureau ETRE-BUREAU 0 Etre Centre ETRE-CENTRE 0 Etre Complexe ETRE-COMPLEXE 0 Etre Ecole ETRE-ECOLE 0 Etre exécuté par ETRE-EXECUTE-PAR 0 Etre jardin ETRE-JARDIN 0 Etre logement ETRE-LOGEMENT 0 Etre magasin ETRE-MAGASIN 0 Etre marche ETRE-MARCHE 0 Intervenir INTERVENIR 0
PowerAMC 19/06/104 Page 6
Modèle Conceptuel de Données MCD GEBAT
PowerAMC 19/06/104 Page 7
Modèle Physique de Données MCO GEBAT
Rapport MPD listes
PowerAMC _-
19/06/104 Page 1
Modèle Physique de Données MCD GEBAT
Listes des objets
Liste des tables
entre de sante
RRONDISSEMENT OUTIQUE-DE-RUE
ENTRE-DE-SANTE
lement du patrimoine LEMENT-DU-PATRIMOINE
Liste des colonnes
Nombre
Code de colonne ANNEE-DE-CONSTRUCTION BOITE-POSTALE CODE-AGENT-PERMANENT CODE-AGENT-PERMANENT CODE-AGENT-PERMANENT CODE-BOUTIQUE CODE-BUREAU CODE-CENTRE CODE-COMPLEXE CODE-DEVIS CODE-DEVIS CODE-DEVIS CODE-ECOLE CODE-ELEMENT-PATRIMOINE CODE-ELEMENT-PATRIMOINE CODE-ELEMENT-PATRIMOINE CODE-ELEMENT-PATRIMOINE CODE-ELEMENT-PATRIMOINE CODE-ELEMENT-PATRIMOINE CODE-ELEMENT-PATRIMOINE CODE-ELEMENT-PATRIMOINE CODE-ELEMENT-PATRIMOINE CODE ELEMENT PATRIMOINE
I tText( 10) Text(30) Text(30) Text(30) Text(30) Text(30) Text(30) Text(30) Text(30) Text(50) Text(50) Text(50) Text(30) Text(30) Text(30) Text(30) Text(30) Text(30) Text(30) Text(30) Text(30) Text(30) Text(30)
Type
-.-
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Modèle Physique de Données MCD GEBAT
Code de colonne CODE-ELEMENT-PATRIMOINE CODE-ELEMENT-PATRIMOINE CODE-JARDIN CODE-LIGNE CODE-LOGEMENT CODE-MAGASIN CODE-MANOEUVRE CODE-MANOEUVRE CODE-MARCHE CODE-PLAN CODE-PLAN CODE-TRAVAIL CODE-TRAVAIL CODE-TRAVAIL CODE-TRAVAIL CODE-TRAVAIL CODE-TRAVAIL CODE-TRAVAIL COUT-DE-REALISATION COUT-ESTIMATIF DATE-DE-MISE-EN-SERVICE DATE-DEBUT-EXECUTION DATE-DEBUT-TRAVAUX DATE-DEBUT-TRAVAUX DATE-FIN-EXECUTION DATE-FIN-TRAVAUX DESCRIPTION DESIGNATION-MATERIELS DESIGNATION-MATERIELS DISTANCE-ORIGINE DOMAINE-INTERVENTION FINANCEMENT LIBELLE-LIGNE LOCALISATION N RUE N-RUE DANS SECTEUR N-TELËPHONË N-ËIOUTIQUE DANS RUE N-CODE ENfiEPRISE N-CODE-ENTREPRISE NOM AGËNT PERMANENT NOM-ARRONDISSEMENT NOM-ARRONDISSEMENT NOM-CENTRE DE SANTE NOM-DU COMPLEXE NOM-DU-JARDIN PUBLIC NOM-DU-MARCHË-PUBLIC NOM-DU-PLAN NOM-ECOLE NOM-ENTREPRISE NOM-LOCATAIRE NOM-MANOEUVRE NOM-STRUCTURE HEBERGEE NOMBRE DE BOUTIQUES-MARCHE NOMBRE-DE-CLASSES NOMBRE-DE-NIVEAU CENTRE NOMBRE-DE-NIVEAU-ECOLE NOMBRE-DE-NIVEAU-MARCHE NOMBRE;DE~PlECEjONSTRUITE ]NOMBRE DE PIECES CENTRE
l lText(30) Text(30 j Text(30) Text(30) Text(30) Text(30) Text(50) Text(50) Text(30) Text(30) Text(30) Text(50) Text(50) Text(50) Text(50) Text(50) Text(50) Text(50) Text(15) Text(l5) DateTime DateTime DateTime DateTime DateTime Dateiime Text(50) Text(50) Text(50) Text(l0) Text(50) Text(50) Text(50) OLE Text(lO) Text(l0) Text( 10) Text(5) Text(30) Text(30) Text(30) Text(30) Text(30) Text(50) Text(50) Text(50) Text(50) Text(50) Text(50) Text(30) Text(30) Text(30) Text(50) Longlnteger Longlnteger Longlnteger Longlnteger Longlnteger Longlnteger .
Type
Il-onglnteger
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Modèle Physique de Données MCD GEBAT
UMERO-SECTEUR UMERO-SECTEUR LAN-DE-SITUATION RENOM-AGENT-PERMANENT RENOM-LOCATAIRE RENOM-MANOEUVRE
Liste des index Code de table
AGENT-PERMANENT ARRONDISSEMENT BOUTIQUE-DE-RUE
BUREAU
CENTRE-DE-SANTE
COMPLEXE-SPORTIF
CONCERNER
CONTROLER
DATE DEVIS
ECOLE
ELEMENT-DU-PATRIMOINE
ENTREPRISE ETRE-EXECUTE-PAR
INTERVENIR
JARDIN-PUBLIC
LIGNE-DE-DEVIS
LOGEMENT
MAGASIN
Code de l’index IP E A U C AGENT-PERMANENT-PK /Oui Non Non Oui Non ARRONDISSEMENT-PK Oui Non Non Oui BOUTIQUE-DE-RUE-PK Non Non Non Oui ETRE-BOUTIQUE-FK Non Oui Non Non BUREAU-PK Non Non Non Oui ETRE-BUREAU-FK Non Oui Non Non CENTRE-DE-SANTE-PK Non Non Non Oui ETRE-CENTRE-FK Non Oui Non Non COMPLEXE-SPORTIF-PK Non Non Non Oui ETRE-COMPLEXE-FK Non Oui Non Non CONCERNER-PK Oui Non Non Oui LIEN453-FK Non Oui Non Non LIEN-1 157-FK Non Oui Non Non CONTROLER-PK Oui Non Non Oui LIEN-1 22-FK Non Oui Non Non LIEN-1 23-FK Non Oui Non Non LIEN-442-FK Non Oui Non Non DATE-PK Oui Non Non Oui DEVIS-PK Oui Non Non Oui POSSEDER-FK Non Oui Non Non ECOLE-PK Non Non Non Oui ETRE-ECOLE-FK Non Oui Non Non ELEMENT-DU-PATRIMOINE-PK Oui Non Non Oui SE-TROUVER-A-FK Non Oui Non Non ENTREPRISE-PK Oui Non Non Oui ETRE-EXECUTE-PAR-PK Oui Non Non Oui LIEN-1 18-FK Non Oui Non Non LIEN-1 19-FK Non Oui Non Non INTERVENIR-PK Oui Non Non Oui LIEN-1 14-FK Non Oui Non Non LIEN-1 15-FK Non Oui Non Non JARDIN-PUBLIC-PK Non Non Non Oui ETRE-JARDIN-FK Non Oui Non Non LIGNE-DE-DEVIS-PK Oui Non Non Oui COMPORTER-FK Non Oui Non Non LOGEMENT-PK Non Non Non Oui ETRE-LOGEMENT-FK Non Oui Non Non MAGASIN-PK Non Non Non Oui ETRE-MAGASIN-FK Non Oui Non Non MANOEUVRE-PK Oui Non Non Oui MARCHE PUBLIC PK Non Non Non Oui
Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non Non
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Modèle Physique de Données MCD GEBAT
Code de table
MATERIELS PLAN REPRESENTER
SECTEUR
TRAVAIL
UTILISER
Code de l’index ETREMARCHE-FK MATERIELS-PK PLAN-PK REPRESENTER-PK LIEN436-FK LIEN437-FK SECTEUR-PK APPARTENIR-FK TRAVAIL PK
! PROGWGMER-FK POSSEDER-FK UTILISER-PK LIEN-1 16-FK LIEN 117 FK
P E A U C, Non Oui Non Non Non Oui Non Non Oui Non Oui Non Non Oui Non Oui Non Non Oui Non Non Oui Non Non Non Non Oui Non Non Non Oui Non Non Oui Non Non Oui Non Non Non Oui Non Non Oui Non Non Oui Non Non Non Non Oui Non Non Non Oui Non Non Oui Non Non Oui Non Non Non Non Oui Non Non Non
Liste des clés alternatives Code de table
AGENT-PERMANENT ARRONDISSEMENT BOUTIQUE-DE-RUE BUREAU CENTRE-DE-SANTE COMPLEXE-SPORTIF CONCERNER CONTROLER DATE DEVIS ECOLE ELEMENT-DU-PATRIMOINE ENTREPRISE ETRE-EXECUTE-PAR INTERVENIR JARDIN-PUBLIC LIGNE-DE-DEVIS LOGEMENT MAGASIN MANOEUVRE MARCHE-PUBLIC MATERIELS PLAN REPRESENTER SECTEUR TRAVAIL UTILISER
Code de clé alternative
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