mon rapport de stage
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Ecole Normale Supérieure de l’Enseignement
Technique (Rabat).
Période de stage : Du 14/05/2012 au 15/06/2012
Elaboré par :
ELFILALI Anas
REMERCIEMENTS……………………………………………………………………….. 2
Introduction générale………………………………………………………………………. 3
Présentation de l’ONEP……………………………………………………………………. 4
Historique de l’ONEP……………………………………………………………… 4
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Organigramme…………………………………………………………………….... 6
Présentation du barrage « El Mansour Eddahbi » ………………………………………. 7
La station de traitement des eaux du barrage…………………………………………….. 8
Présentation de la station ………………………………………………………….. .8
Démarrage de la station de traitement…………………………………………….. 9
Arrêt de la station de traitement ………………………………………………….. .10
Les étapes de traitement ………………………………………………………….. ...10
1. Prise d’eau brute flottante………………………………………………… …….10
2. Débourbeurs………………………………………………………………………..11
• Fonctionnement……………………………………………………. ……....11
• Entretien…………………………………………………………… ………12
3. Cascade d’aération …………………………………………………………...12
4. Mélangeurs rapide (coagulateurs) …………………………………………..12
5. Floculateurs……………………………………………………………………12
6. Décanteurs lamellaires ……………………………………………………......13
7. Filtres……………………………………………………………………….…..13
Travaux effectués………………………………………………………………………………16
Conclusion……………………………………………………………………………………....18
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Je tiens à remercier du fond du cœur toutes les personnes qui m’ont aidé à réaliser ce stage. Toutes mes profondes gratitudes
Afin de développer leurs
connaissances pratiques et
théoriques tout en prenant
contact avec le milieu
professionnel, les étudiant de
la Licence Professionnelle à
l’Ecole Normal de
l’enseignement Techniques
sont tous amenés à passer un
stage de fin d’études qui sera
considéré comme contact avec
le monde du travail : personnel
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Je tiens à remercier du fond du cœur toutes les personnes qui m’ont aidé à réaliser ce stage. Toutes mes profondes gratitudes
et matériel. C’est dans ce cadre
où s’inscrit mon stage à l’Office
National de l’Eau Potable
(ONEP).
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HISTORIQUE DE L’ONEPHISTORIQUE DE L’ONEP
Le secteur de l’eau potable a toujours bénéficié de la part des pouvoirs publics d’un soutien
qui a assuré son développement et maintenu son évolution.
C’est ainsi que dès le début de la décennie 60, a été inaugurée la politique de l’eau par la
construction des grands ouvrages hydrauliques et par l’étude des schémas directeurs
d’alimentation en eau potable des grandes villes du Royaume.
Ces études ont abouti à l’impérieuse nécessité de doter le pays d’un organisme de planification
et de gestion des installations d’eau potable. Ce fut la création de l’Office Nationale de l’Eau
Potable (O.N.E.P) en avril 1972, dont les principales missions ont été définies par son dahir de
création n°1.72.103 du 18 Safar 1392 (03 Avril 1972), à savoir :
La planification de l’approvisionnement en eau potable du Royaume.
L’Etude, la réalisation et la gestion d’adductions d’eau potable.
Le contrôle de la pollution des eaux susceptibles d’être utilisées pour la production
d’eau potable.
La gestion des distributions d’eau potable dans les communes à leur demande.
Des systèmes situés en proximité des lignes d'adduction d'eau potable de l'ONEP et qui sont
alimentés par piquage sur ces derniers. D'importants investissements ont pu être réalisés durant les
trois dernières décennies pour assurer les infrastructures de base en matière d'eau potable, Les
efforts déployés par l’ONEP durant les trois dernières décennies ont permis d’améliorer le niveau
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de l'approvisionnement en eau potable en milieu urbain. Aujourd'hui l'Office s'est fixé une
nouvelle stratégie visant la généralisation de l'accès à l'eau potable à l'ensemble des citoyens et
l'intervention dans le secteur de l'assainissement liquide dans une vision globale et intégrée du
cycle de l'eau. Cette nouvelle stratégie s'articule autour :
1- Généralisation de l'accès à l'eau potable
2- Assainissement liquide
3- Maintien des acquis
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ORGANIGRAMMEORGANIGRAMME
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Le barrage Mansour Eddahbi fut construit en 1972 sur oued Draa à 24 Km au sud de la
ville d’Ouarzazate. L'objectif de ce barrage est de lutter contre la désertification et d'améliorer en
conséquence les niveaux de vie des populations environnantes. Les volumes d'eau sont alors
contenus derrière le barrage et la distribution est régularisée selon les besoins, notamment pour
l'irrigation des cultures, il permet actuellement d’irriguer 2000.000 de palmiers et 26.000 ha de
culture divers et assure une production électrique de 20 millions de kWh par an. Le barrage El
Mansour Eddahbi mesure 70 mètres de hauteur avec une forme voutée, il retient environ 440
millions mètres cubes d'eau.
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Présentation de la station :
Située au voisinage du BARRAGE MANSOUR EDDAHBI, le schéma synoptique ci-
dessous visualise les différentes étapes de traitement de cette station qui traite l’eau brute de la
retenue dudit barrage :
1- Prise d’eau brute flottante (Barrage Mansour Eddahbi)
2- Réservoir eau brute
3- Débourbeurs
4- Cascade d’aération
5- Floculateurs - Décanteurs
6- Filtres
I- Recirculation des boues
7- Réservoir 500 m3 d’eau filtrée
8- Réservoir 1500 m3 d’eau traitée
9- Réservoir 500 m3 (bâche A)
10- Réservoir 1500 m3 (bâche B)
11- Vers la ville grand Ouarzazate
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Démarrage de la station de traitement
Le démarrage de la station est commandé par le niveau bas du réservoir 1500 m³ d’eau traitée.
Le niveau bas est détecté par la sonde ultrasonique à seuils réglables. L’opérateur peut régler ce
seuil depuis le PC de la supervision situé à la salle de contrôle. Ce paramètre (de niveau)
déclenche le démarrage de la station via l’automate après vérification des paramètres suivants par
ce dernier :
-présence de pression sur l’air de service.
-présence de la pression sur l’eau motrice de la chloration.
L’automate commande l’ouverture de la vanne de régulation et ouvre celle-ci jusqu’à
obtention du débit de la consigne donné à l’automate par l’opération via le PC de gestion en mode
automatique. En mode manuel, il est possible de régler le débit de consigne via un potentiomètre
situé en face avant du tableau synoptique. Cette procédure est uniquement destinée à effectuer la
calibration du régulateur de commande de la vanne modulante.
L’automate démarre en même temps, le mélangeur rapide si le sélecteur est en mode distance
sur l’armoire de commande de l’équipement situé sur le tableau décanteur. Dans ce cas, nous
avons opté de passer par les lignes A et /ou B des débourbeurs.
L’automate lance alors une séquence de purge des débourbeurs si les sélecteurs des pompes
correspondantes sont en mode distance sur le tableau. Le choix se fait par l’opérateur sur les faces
avant de l’armoire de commande. Ensuite, l’automate autorise le démarrage des mélangeurs
rapides et des floculateurs lents si les sélecteurs correspondants sont en mode distance.
L’automate lance alors une séquence de purge des décanteurs ligne A puis ligne B. En même
temps que la vanne de régulation. L’automate autorise le démarrage de toutes les pompes doseuses
choisies par l’opérateur au tableau des réactifs à l’aide des sélecteurs (local-distance).
L’automate autorise l’ouverture des deux électrovannes de pré-chloration et de stérilisation, la
pression dans le circuit étant garantie par l’hydrophore, pressostat les sur-presseurs d’eau motrice.
Démarrage de la station de pompage des eaux traitées vers la bâche « A »
Le pompage de l’eau traitée du réservoir 1500 m³, vers la bâche A située à 5200 m de longueur
par rapport à la station est assuré automatiquement par les trois groupes électropompes de la
station de pompage d’eau traitée.
En mode automatique. Le démarrage est commandé en fonction du niveau très bas du réservoir
eau traitée.
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Arrêt de la station de traitement :
L’arrêt de la station se fait automatiquement quand les deux réservoirs de la station sont
pleins (réservoir 500 m³ eaux filtrées et 1500 m³ eaux traitées).
Les deux informations sont transmises à l’automate par l’intermédiaire des sondes à ultra-sons
de chaque réservoir.
L’arrêt de la station peut se faire également par le déclenchement de l’une des sécurités à
savoir :
- Défaut de chlore
- Défaut de pression air de service
- Manque de débit eau brute
Un seul de ces défauts arrête la station et elle ne pourra redémarrer qu’après acquittement du
ou des défauts.
L’arrêt de la station se fait en « cascade » c'est-à-dire avec les mêmes temporisations qu’au
démarrage.
Les étapes de traitement :
La barge flottante est équipée par trois groupes électropompes « ENSIVAL » assurant le
refoulement de l’eau brute vers la tour de mise en charge de 30 m³, via une conduite flexible et
rigide dont la partie flexible est flottante.
1. Prise d’eau brute flottante
Mode manuel :
Depuis le synoptique on commande chaque pompe par les boutons poussoirs Marche/Arrêt
après avoir mis le sélecteur au tableau local sur la position Commande à Distance.
Depuis le tableau local sur la barge ou le local électrique, on commande chaque pompe par les
boutons poussoirs Marche/Arrêt après avoir mis le sélecteur au tableau local sur position mode
local. Il y a aussi la possibilité de commander les pompes au niveau de la barge pour tester les
pompes.
Mode automatique :
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Le pompage d’eau brute est commandé par le niveau de la tour de mis en charge.les niveaux sont
détectés et sont transmis par la sonde à ultra-sons à quatre seuils réglables, vers l’automate :
-le niveau bas démarre la première pompe
-le niveau très bas démarre la deuxième pompe
-le niveau haut arrêt la première pompe
-le niveau très haut arrêt la deuxième pompe
Les seuils sont ajustés par l’opérateur depuis le PC de gestion.
Le seuil détecté par la sonde ultra-sons est sécurisé par deux poires de niveau. La poire de
niveau bas démarre deux poires de niveau. La poire de niveau haut arrêt les deux pompes avec
temporisation.
En pompage automatique, on ne met aux deux pompes en marche, la troisième est en réserve et
répond à la volée le défaut d’une des deux premières. La sélection de la pompe de réserve se fait
au niveau du pupitre de contrôle via le commutateur de sélection des pompes.
2. Débourbeurs
Fonctionnement
Mode manuel
Chacun des débourbeurs peut être commandé manuellement aussi à partir d’un tableau en
mettant le sélecteur sur mode Local en face avant de l’armoire de commande correspondant et en
agissant sur les boutons poussoirs Marche/Arrêt.
Chacune des pompes peut être commandée manuellement à partir du tableau en mettant le
sélecteur sur mode Local en face avant de l’armoire de commande correspondant et en agissant
sur les boutons poussoirs Marche/Arrêt.
Les pompes sont sécurisées par les poires de niveau bas des fosses à boues
Mode automatique
Si les sélecteurs (débourbeurs et pompes d’évacuation des boues) sont sur mode Distance,
l’automate démarre les débourbeurs à chaque demande de production et les arrête à la fin de
production. L’automate met les pompes à boue en route à chaque démarrage de production et gère
le cycle de purge tel qu’il aura été donné par l’opérateur à l’automate.
En marche normale, le programme purge par séquence réglable en temps et intervalle les fosses
de la ligne A et B alternativement.
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Entretien
-nettoyer régulièrement les canaux de sortie d’eau débourbée
-vidange annuelle des débourbeurs pour nettoyage de ceux-ci
-vérifier visuellement l’état des moteurs et réducteurs.
3. Cascade d’aération :
C’est un ouvrage qui permet l’aération et
l’oxygénation de l’eau (60%) et permet ainsi
l’oxydation d’éléments indésirables telle que le fer le
maganez et H2S en cas de présence.il permet
également de réduire l’odeur dans l’eau .au cas ou les
teneurs de ces éléments sont élevées, on fait recours a
des oxydants fort tel que le permanganate de potassium
KmnO4 à la sortie de cet ouvrage.
4. Mélangeurs rapide (coagulateurs)
C’est un ouvrage qui permet le mélange réactif –eau (coagulation)l a le même rôle que celui
précité en phase de prétraitement .différant produits de traitement peuvent être utilisés en fonction
de la qualité d’eau à traiter .il peut s’agir du sulfate d’aluminium ,poly électrolyte ,chlorure
ferrique charbon actif poudre ou la fleur de chaux.ces mélangeurs en nombre de deux sont équipé
d’un agitateur chacun tournant à raison de 120 tr/min et favorisant la déstabilisation de la charge
de l’eau pour entrer en contact avec le produit ajouter.
5. Floculateurs
Comme leur nom l’indique, ce sont des
ouvrages permettant la formation de flocs par
ramassage de colloïdes entre eux. Ces flocs,
de petite taille au début, vont s’adsorber entre
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eux par brassage, moyennant des palettes horizontales tournant à raison de 40 tours/mn, pour
former de gros flocs pesant susceptibles de décanter.
6. Décanteurs lamellaires :
C’est l’ouvrage où décantent les flocs formés au
niveau des Floculateurs. Ils sont couvets des lamelles
en PVC alimentaires inclinées à 60° pour réduire
l’espace de décantation et empêcher la remontée des
flocs. A la sortie des décanteurs, l’eau décantée doit
avoir une turbidité inférieure à 5 NTU selon la norme
marocaine d’eau potable.
Chaque décanteur est muni de 4 purges de boue.
Actuellement, la période de purge est de l’ordre de 2 mn sur une cadence de 10 mn. Cette cadence
dépond de la concentration des boues qui sont souvent évacuées vers l’égouttage.
7. Filtres
Commandes depuis le pupitre: un sélecteur à clé
mode Local/O/Distance autorise les fonctionnements
suivants pour chaque filtre :
-Mode Local : autorise le lavage du filtre après avoir
appuyer sur le bouton poussoir « SATRT lavage
filtre ».
-O : le filtre est isolé et ne produit pas. La vanne
d’entrée est fermée, ainsi que la vanne de sortie vers le réservoir d’eau traitée.
-Mode Distance : le filtre est en production, la vanne d’entrée est ouverte, ainsi que la vanne de
sortie vers le réservoir d’eau traitée.
Commandes depuis la salle de contrôle : tous les filtres qui sont en mode distance participant à
la production de la station.
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En production, la vanne d’entrée et la vanne de sortie sont ouvertes. La production du filtre est
basé sur un niveau d’eau constant au dessus di plancher filtrant. Le sable filtrant les particules, la
perte de charge du filtre augment et le niveau d’eau au dessus du plancher à filtrant à tendance à
monter.
Un flotteur muni d’une tige connectée à un positionneur pneumatique transmet un signal à la
vanne modulante qui s’ouvert de façon à augmenter la section de passage de sortie du filtre.
Le signal de sortie du régulateur connecté à un flotteur est en parallèle avec un pressostat muni
d’un contact électrique réglable. Ce contact est activé, informant l’automate et l’opérateur que le
filtre est colmaté.
Si le sélecteur (commande lavage des filtres) à la salle de contrôle est en position commande
lavage, une séquence de lavage démarre sur le filtre colmaté.
Le programme de l’automate autorise le lavage que d’un seul filtre uniquement et si le niveau du
réservoir d’eau filtrée le permet.
Il est à noter que quelque soit le mode de fonctionnement Local ou Distance, l’automate gère la
séquence de lavage.
Entretien :
- Vérification du niveau d’huile du compresseur au repos et sa température pendant le
fonctionnement, cette température ne doit pas dépasser 90° C.
- Le changement d’huile du compresseur ainsi que le filtre à huile s’effectuent au moins une
fois par an ou tous les 1000h de service.
- Graissage des sur-presseurs de chlore et les pompes d’eau de service s’effectuent une fois
par trimestre.
Station de pompage des eaux traitées vers la bâche « A »
La station de pompage se compose de trois groupes électropompes centrifuges multicellulaires
horizontales ; un anti-bélier ; un compresseur ; un débitmètre ; une sonde de niveau ultrasonique,
un pressostat et armoire de commande…
Fonctionnement :
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Mode manuel (depuis la salle de pompage) :
La commande se fait à partir du tableau T.08 à l’aide du sélecteur mode Local/Distance en face
avant de l’armoire de commande. La marche et l’arrêt se font par les boutons poussoirs.
Mode manuel (depuis la salle de contrôle) :
Les sélecteurs de l’armoire de commande de la salle de pompage doivent être sur la position
mode Distance. Et la commande se fait avec les sélecteurs (manu-auto) du pupitre de commande.
La marche et l’arrêt se font par les boutons poussoirs Marche/Arrêt.
Mode automatique :
La commande se fait à partir du sélecteur (manu-auto) du pupitre de commande. Un sélecteur
à 3 positions autorise la mise en réserve d’une des pompes.
En mode automatique, l’automate gère le démarrage, l’arrêt et les sécurités des trois pompes
d’eau traitée.
Le démarrage est commandé par l’information en provenance de la bâche « A » (sonde
sonique de niveau), l’arrêt du pompage est commandé de la même manière (niveau haut de bâche
« A »). Les pompes sont sécurisées par le niveau bas du réservoir d’eau traitée.
Les pompes ne peuvent démarrer et s’arrêter en même temps.si la contre pression dans la
conduite est basse (pressostat PSAL 3.3°), la démarrage en automatique ne peut se faire.
Entretien :
Vérification des températures des roulements des groupes en service.
Graissage des paliers et roulements des groupes après 400 heures de service.
Observer les suintements des presses étoupes des GEP et serrage des tresses si
nécessaire.
Voir le débit de refoulement d’eau traité
Voir la pression du refoulement
Voir les valeurs indiquées par les ampèremètres des groupes en service.
Vérification du niveau air-eau de l’anti-bélier, gonflage si nécessaire.
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Opération de mesure de cos du groupe électropompe suppresseurs
de chlore avec une pince ampèremètre de marque digital power METER
CA 8210.
- U = 375 V
- I = 5, 67 A
- Pa = 2, 32 KW
- Q = 2, 82 KVAR
- S = 3,64KVA
- Cos = 0,65
- F = 50 Hz
L’installation d’une pompe doseuses de lait choix.
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Graissage des enroulements des pompes de l’eau traité
référencie ET « C » et ET « B » ; la fréquence de lubrification de
ces pompes est de 400 heurs de fonctionnement.
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Le stage que j’ai effectué durant 30 jours ces était très bénéfique, il m’a permis de développer mes connaissances élémentaires et d'acquérir des notions fondamentales qui seront un atout majeur dans la vie professionnelle.
En effet, ce stage m’a permis non seulement d’approfondir mes connaissances, mais aussi d’acquérir une expérience extrêmement valorisante d’un point de vue personnel.
J’estime être heureux d’avoir pu effectuer ce stage entouré de personnes compétentes qui ont su me guider dans mes démarches
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tout en me laissant une certaine anatomie.
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