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a juillet MO» Samedi 3 Juillet IM tt. MIX DE L'ABONNCMKNT m um »:tr.—m tw u.tiv. liW i'tiÉ i» . :i’’iiip l-WVij.ii ‘i j .Walt».; 30* Année. ON Ç’ABONHE ▲sttfus 'VU AU BVUUUI M l JMM) Mug rtM o<j»r«M ***Éo ' ^ OHBC TOO* UM I.18ÉU * ** KUutlWW APtH«,c^nn. Num m^ H m de M>Bonne, •» ' , ■M i'd œ iim ... j.fift«j<^ L'annoi . _ ».r'Ia ligne, 4# ëi — En f*its divcre,* î HL^llkLIL . ■: • ■ • ■ t qU-dèreous (Je L’abonnement tel payable dlavaore. 11 n'est!, b !r®“ou.ve‘é 8‘ A î’w piration oh ti imais interrompu et est considéré commn ’donne pas d’avis contraire. , lièvre 4e la Semaine. La session exiradrdlriàfre dn1C(d^'législatif a été Couverte sans discours de l’Ëmjterèpr. Là. Chambre ta consacrer ses séanéçs uniquèment'à 1 éxatnèn dés ppiWoirade sés mèmbpre, sans aborder aucune lob ou aifcurio' taréure qui intéresse l’eiMnible de notre é-1J-l LL ' J“ * Fajnsi, il n’ÿavait dre gmrids^orps pièls il rie sérail pas A l'ouverturo de la politique iQtérieorô et extérlèuré. Lé* chosésgta point lieuf pour le riverain, d'entretenir l’un de l’Etat^le question* ou de projets sur lesouè rôiets sur les sion açtqcllc. eance; M. Rouhfera lu u^é déclaration. dont voici le texte : ^Âttx^termès djj lâ Constitution, la Corps législatif doit être convoqué dàn* l e s# mois qùi suivant lo décret de dissolution, « La délàt'Iè plus/éloigné' péfir votre réunion était lo 26' octobrti iLdIt étéImpossibre à cette date de. vous soumettre les .'- - ® i®'. poncçrnant les autres aflaires de lEfat. Une sessioti extraordinaire du Corps législatif était donc «édféàiire: ;* î * Da.bS 'éettesitMiion, le Gouvernement de l'Empereur a pensé qu'il était sagé'çt politique de procéder immédiatement à la véri fication 'de1vos poüyojrs et..'de fhire cesser ainsi tonte incertitude su r la validité dcs'àpcralioris électorales dans chaque .circonscription. » Dans la pensée du,Gouvernement, la session actuelle n a pas d ’autro objet.; _ r ^ « Lè rcnoqvelleiWenl dit Corps législatif par (esufjTrage universel «si une occasion jutttratojA urlà naliôn de manifester scs pensées, ses afipiràtioUs et m besoins. ^ÿ^^h^N^lats'l^jtiqueade oette être * »-— : ------- ■- saurait êtré précipitée. 'A > . s ^ o n .‘ordinaire le Gouvernement feoriitiéttra à la-hautè abpréciàiion des pouvoirs public» les résolu* lions etlès pfojéta qui lui auront paru les plus propres à réaliser les vœux'dit pays. « Au nom de l’Empereur, je déclare ouverte la session extraor dinaire du Corps législatif. » _ Ces paroles du ministre d’Elat produiront une excellente impression, car ellcp prouvent que le gouvernement se préoccupe d’associer les pouvoirs publics à des réformes qui seront la conséquence matérielle des dernières élections générales. La questure a (lût distribuer les dossiers des élections des quatre-vingt-rieuf départements. Les huit premiers bureaux ont à vérifier chaftM lés élections de dix départements ; lé neuvième n’en a que neuf. Celte répartition s’est faiie Comme suit: le 1" bureau sera chargé des doreièrt des départements compris, par ordre alpha bétique, entre l’Ain et TAréyron. La liste du 2* contient lés départements;des Boûches-diLRhône et de’lia Corse; celle du 3% Somme ;d u 9% le Tàth! efc l’Yonne. L’ehsemble do ces qUatre-vingt-rieuf départements forme un total de deux cent quatre-vingt douze circonscriptions électorales. L’éleçtion de M. Clémeqt-Duvernois sera, dit-on, lrès-vlvciuent At^ u é e . , Æ ret ,aurirf[ bi^ u ^ qu’elle est échue. La commission et le dite de Choiseul-Preslin. M. Bancel l’attaquerait au nom de la gauche, et M. Gambetta viendrait a la rescousse. [ajesté, M. Schneider a retiré sa Corps législatif. là lecture de la réponse dé Sa démissibn. . Nous publions et la lettre de H. le président et la réponse de l'Empereur : « Paris, le 21 juin 1869. « Sire; . « Pour servir Voire Mâjésté, je n’ai jamais compté avec mes convenances personnelles niavec més intérêts; mais l’Empereur comprendra, je TcSpè'rt, tfué je jfnë préoccupe davantage des sentiments de dignité, et que je côrisidère comme un devoir de ne pas laisscraflaimAr en méâ mains l'autorité morale si nécessaire au président d’un grand Corps. ■ La nomination en ce moment de M. le baron Jérôme David comme grand officier de la Légion d'honneur, me paraîtrait avoir ce résultat; elle comporte d'ailleurs, dans les circonstâncès'afctuelles, une signification qui m’oblige à prier l’Empereur d’accepter ma démission de la haute fonction qu’il avait daigné me conférer. « Je suis avec le plus profond respect, « olriV . , « De Votre Majreie, le très-humble et très-obéissant serviteur cl fidèle sujet, « SCIINEIDKR. ■ • Camp de CliMons, le 24 juin 1869. « Mon «lier monsieur Schrièider, « Js ne puis accepter la démission que Vous m’offrez par votre lettre du 21 que je n’ai reçue qu’hier. « Au moment où je vous donnais un nouveau témoignage de ma confianetret dé mbn esthtfe pour ) « services éminents que vousavezrendusaupoys ctà mongouvcrnéinont, il n’a pu entrer dans ma penséo do faire unacte qui portât atteinte à votrédignilé, ni aflaibfiL l’autorité morale qui vous est nécessaire comme président du Corps législatif. La promotion au grade dé grand officier de la Légion d’honneur do M. le baron Jérôme David n’a, en effet, aucun des caractères que vous lui attribuez; elle est la juste récompense d’une carrière honorablement remplie et la réalisation d’une promesse faite l’annéo dernière, etdont, je crois, vous aviez connaissance. . * Je no saurais admettre davantage que celte nomination ait, dans l’opinion publique, la signification que vous paraissez redouter. « La politique de mon gouvernement se mppifesle assez claire ment pour éviter loutéquivoquo, Après commeavant les éjections, il continuera l’œuvre qu’il a entreprise : la conciliation d’un CI mnmIr 4e fer du Nard. Départs nr. Senus : 7 h. 56 malin. — 12 h. H , — 4 h. 26, — 8 h. 18 soir. - Déi*auth db Paris : 7 h. 65, — midi, — 5 h. 10, 10 h. 10 soir. i iii.,i » s B w iiijas i qu . _______ pouvoir fort avec des institutions.sincèrement libérales. « Je compte sur volrcdévouemcntpour m’aider à l’accomplisse ment de celte tâclie. « Croyez, mon cher monsieur Schneider, à ma sincère amitié. napoléon. > Une lettre de Florence nous apprend quo, dans un récent con seil présidé par le roi Victor-Emmanuel, M. FerrarLs aurait fait un tableau fidèje de la situation de l’Italie, ainsi que des trouilles graves qui viennent de se produire dans plusieurs provinces. La proposition du ministre, tendant à ce que lés mesures de rigueur Ire plus énergiques fussent employées (j l'égard des agitateurs, a éité adoptée unanimement par tousses collègues et par le roi lui-môme. D autre part, le ministère parait décidé â présenter .de nouveau au Parlement les lois financières élaborées par M. Cambray-Digny, qui leur aurait fait subir quelques modifications, d’accord àvec le comité de la Chambre des députés. L'assemblée générale de la franc-maçonnerie italienne vient de tm m ncr scs travaux. Le colonel Frapolli, député au Parlement de Florence, a été élu grand-maître do l'ordre. La Gazette do Turin croit savoir que la santé du général Gari- baldi laisse beaucoup à désirer. L’allection rhumatismale dont il souffre tous les ans a celte époque est plus intense et si doulou reuse que le général est obligé de garder le lit. lue temps, les Polonais avait demandé l’appui de la leurs revendications autonomistes auprès du cabinet las Hongrois viennent de leur répondre en termes qui indiquent tout 1 attachement du pays à la monarchie et dont voici le résumé : La Hongrie ne veut point s'immiscer dans les affaires de la Gal- !LtL-î|l)arce < la '* P°urrait arriver quo la Cisleithanie, usant de représailles, se mélat de leurs propres attires ; 2° parce qu'en ap- puyant les idées particularistre do laGallicie, on donnerait ainsi un point d appui aux velléités analogues des Slaves Hongrois. En derqier lieu, l’opinion des Hongrois étant que la Gallicic doit être le boulevard de l’Autriche contre la Russie, il importe de no point précipiter des réformes nui auraient pour conséquence, i la fois, de mécontenter le czar et de diminuer la force de cohé sion de l’empire. fkdllÿ dfiJ^esge-J)armsladta.re[ijsé..de recevoir..ij it Hnèorporâlion "de cèffo ’Ville â lâ:C6hfcdôratipn du ciundes principaux passagesde ce document prussophile oui provoque de la part des feuilles allemandes libérales-nationales du Sud de violents démentis : Quel est le spectacle que nous offre le Sud? la paresse, l’oi siveté y sont à l’ordre du jour. Rien n’y prospère, si ce n’est les partis, dont le but est l’asservissement des esprits ou bouleverse ment général. Pçrsisterons-nous dans cet isolement sans gloire? La Tération du Sud n’est qu’un rôve. Si nous ne nous décidons pas à nous réunir au Nord, nous tomberons dans une situation incompatible avec l’esprit moderne : rien do plus fatal q u’un pro visoire éternel. Pour les ennemis de l’AUcmaqne, le Midi n’est qu’une brèche par laquelle ils espèrent pénétrer dans la forteresse; pour ceux h qui incombe le soin de le développer à l’intérieur, il n’est qu’une sentinelle perdue. » Un meeting populaire a été convoqué à Rerlin par plusieurs éputés du Parlement fédéral, après la clôture de celte assemblée, dans le but de fonder une libre association pohr favoriser lanavi- gatiok tur les fleuves et les canaux allemands. » Dans le pro gramme publié par la commission provisoire qui a pris l'initiative de cette création, on lit le passage suivant : « Les récentes discussions du Reichstag fédéral ont mis en évi dence l’insuffisance des voies ferrées allemandes et la nécessité urgente d’améliorer et d’augmenter les voire fluviales. « L’Allemagne, et spécialement la Prusse, est resté bien en arrière dre grand travaux dus au génie de Frédéric le Grand ; car, Sur 371,300 habitants, elle ne possède qu’une lieu de canal, en dépit de la situation des plus favorables dre plaines fertiles dq l’Allemagne dii Nord et do scs grands fleuves. — Il s’agit de relier lios ports de mer avec l’intérieur du pays par dévastes canaux, et do rdier entre eux les fleuves de Mcmel, Pregcl, la Vislule, 1 Oder, l’Eider, l'Elbe, le Weser, l’Ems, la Lippe, la Ruhr, le Rhin, le Mcin et le Danubo. âîoti du bill deTEglkte U rlande continue en Angle terre à laCFlambre des lords; Ire amendements sont en nombre' considérable, mais le plus important de tous est celui qui rojpousse do 18716 1872 la nuso en application du bill de M. Gladstone, dont les articles principaux seront acceptés par Ire lords comme ils l’ont été aux Communes. \ L’épiscopat catholique attend, avec une certaine impatience, que le Vatican lui fasse connaître le programme détaillé des. im portantes questions qu’aura à résoudre le futur concile œcu ménique. Malgré le silence de la cour romaine, divers prélats étrangers viennent de publier sous forme de Catéchisme dre lettres jwslo- raies expliquant au peuple ce que c’est que le concile. Les évêques d’Uddiue, de Guastalla, do Malinre, de Munster, de Cologne, de Smyrno, sont Ire premiers qui aient amplement développé l’au torité suprême de cette assemblée. Quoi qu'il en soit, un groupe de catholiaues libéraux d’Allemagne, auquel se joint le savant clergé ambroisicn, rédigent dre adresses â leurs évêques pour les inviter à soutenir au concile la liberté de l'Eglise et de l’Etat et celle de la société moderne basée sur la liberté de conscience. Dre instructeurs de marine, détachés de la marine anglaise, vont passer au service du vice-roi d’Egvptc. Ils"seronl placés sous le commandement du capitaine Mac Killop, qui a quitté l’Angle terre l’an dernieirafin de réorganiser les forces navales de l'Egypte. On annonco que M. Mac-Mahon, ministre des Etats-Unis près du dictateur paraguayen Loncz, et sur le sort duquel on n’était pas sans inquiétudes, vient d’adresser à la Maison-Blanche une lettre dre plus rassurantes, datée du quartier général de l'armée paraguayenne. D’après cetto missive, la résistance continuerait avec plus d acharnement que jamais, et les alliés seraient loin d’être maîtres du pays. Du 1! au 21 juillet courant, aura lieu à Zug (Suisse) le grand tir fédéral qui rassemhlo chaque année Ire sociétés de. francs-tireurs de chaque canton. Le président dre tireurs allemands vient d adresser un appel à tous Ire membres de cette association pour Ire engager à se rendre en Suisse. Tout l’intérêt de cette grande reunion se trouve dans les discours de couleur politique qui y 8 font prononcés et qui auront, prétend-on, unesignificalion plus importante que ceux qui furent entendus l’année dernière à > icnnc. Pour extrait et rédaction : Ernest Pavcn. qui seront produits d*nq toutes Ire sphjVre doi'activihH La difficulté des communications rapides a pu scnitfàBÉ développement. industriel de notre.ville, maissi qùelqoeW ns dès traces de chemins de fer, sollicités par nos populations, recevaieât l’approbation'dû. Gouvernement ; ; si de nouveaux débouchés Couvraient à nos produits, cl à notrecommèfce, si enfin nods trouvions pour nos-relatione les facilités que nous étions;ea droit (l’.lltpnflm il u a Ir.llln An nnlM nM Ïi!.. . ___* _. __ NOUVELLES DÉPARTEMENTALES. Voyngc île l’Iin||iorcur cl de l’Impépalrice à Itcauvais. L’Emporeur, l’Impératrice et leur suite, partis dimanche malin ù neuf heures un quart de la gare du Nord, sont descendus du tram impérial vers ouzo heures et demie, à la station de Hello- Mouchy, où le duc et la duchesse de Moucliy (princesse Anna Mural), les princre Achille et Joachim Mural les reçurent dans Hn î^ïsssi chapelle par Mgr Tiremachc, so mettaient à tablo ponr le dé jeuner où n’étaicrit conviées aucunes personnes étrangères. C'est à deux heures qu’arriva â Béauvais le train impérial qui, remisé à Creil, était venu reprendre à Ilello-Mouchy les augustes voyageurs, accompagnés cclté fois du duc, de la duchesse et des princes Murât. 1 L’Empereur et l’Impératrice ontétéreçus par M. le préfet et son secrétaire général, par M. le maire de Bcauvais ainsi que lecon- seil municipal et par lo général Metmann, commandant de la garnison, et son aidedccamp. Ils pénétrèrent ensuite dans le riche salon qui leur avait été préparé, et M. le maire Pcliihomme, s’avançant vers l’Empereur, prononça le discours suivant : « S uie , « En remettant à l’Empereur les clefs de la ville de Beauvais, comme gage certain de la fidélité de tous les habitants, je ne puis me rappeler sans émotion qu’en 1851 Votre Majesté assistait ici même à une solennité patriotique. « Nous inaugurions la statue que notre reconnaissance érigeait â Jeanne Hachette et l’élu do la nation prononçait ces paroles qui sont restées gravées dans nos cœurs : « Souvent, disait-il, la Providence réserve à un seul d’être l'instrument du salut de tous. » Cette mission providentielle, Sire, vous a été réservée et vous la remplissez dignement. « Après dix-huit ans d’un règne dont les bienfaits éclatent do toutes parts et que l'histoire placera au rang dre plus glorieux, Votre Majesté daigne revenir dans nos murs; Elle veut visiter notre Concours régional, et donner par son auguste présence un nouveau gage do sollicitude pour les intérêts essentiels du pays. Nous lui en témoignons notre profonde ot respectueuse reconnaissance. « Pendant la longue période do prospérité que l’Empire a donnée à la France, Bcauvais n’est pas resté en dehors des progrès nouvel essor, ot notre ciio devrait à l'Empereur îes éléments certains d’un riche avenir. « Madame, ■ Veuillez agréer les respectueux hommages d’une ■ i. _ s'honore d’avoir vu naître Jeannc-Hachette, et qui salue avec joie dans l’Impératrice-Eugénie l’héroïne d’Amiens. « Nos pères nous renieraient, — et nous ne saurions plus apprécier les grand» cœurs, — si la .présence de Votre Majesté ne ranimait en nous le culte que l’on doit au courage. « L’histoire né s'y trompera pas, cl elle inscrira votre nom parmi les plUs.illuslres. ’ « Mais la reconnaissance populaire «.devancé le jugement deii siècles à Venirj- et elle promet de 's ’acquitter envers vous en reportant sur le Prince itnpêrial l’inaltérable dévouement que sa More a conquis. » . L’Empereur a répondu : • Messieurs, . . I j « Je vaus renioreie de vouloir bîèfl vous souvenir de la visité « Que je vous ai faite il ya vingl ans; moi aussi, jemesouviensda • chaleureux accueil que j’ai reçu ici. u X !?“*£ f ' cette îwugorw tt" «totmr de Jeanne de Beau vais; aujourd’hui ce sont les pro- « grès de 1 industrie et de l’agriculture que je viens constater « progrès qui sont dus au calme et à la tranquillité qui n’ont « ce8sé\do régner en France depuis dix-sept ans; et soyez « persuades, messieurs, que cette tranquillité ne sera janiais • profondement troublée. » 1 Ces paroles ont été suivies d’acclamations. Le cortège se mit alors en marche. La population accourue aux aDords de la gare et sur tout le parcours de cortège était immense et ta quantitepresque aussi innombrabledo pompiers qui faisaient a haie de la rare a la cathédrale, puis do la cathédrale à l’exnosi- tion, cret-a-diresur uneélenducd’environ deux kilomètres, avait grand peine a contenir ces masses de braves gens. H faut ajouter qu’un grand nombre ont été fort déçus, ne se bgurant pas 1 Empereur en habit noir. Ls général Fleury et M. Raimbaux, tous deux en costume, ont cütoùs Ire honneurs de celte promenade . . . . . - Le cortège était précédé par un détachement de cuirassiers, puis trois piqueurs, un détachement de cent-gardre, et enfin trois voitures suivies d’un nouvçai}, peloton de cuirassicre. Venaient à lâ suite les voitures dre autorités de la Ville. L’Empereur et l’Impératrice , avaient pris place naturellement dans la première voiture avec lo général Fleury. M““ Caret te et de Saulcy, dames d’ImUneur de l'Impératrice, avec les princes Joachim et Achille Mural, occupaient la seconde Dans la troisième se Uouvaient ledùc et la duchesse déMouchv! »! * Lermina et M. le comte de Cosaé-Brissac. . I«s mrlrresjfas namoanjes. * et (a garde nationale faisaient i se dirigea d’abord vers la cathédrale. L’immense et magnifique chœur de la vieille cathédrale— hélas! pourquoi n’y a-t-il que celai —est couvert de tapis faits à Beauvais; un dais gigantesque en velours rouge et or, doublé de satin jaune et doidé d'hermine, est majestueusement suspendu au-dessus des prie-Dieu où Mgr Gignoüx, évêque de Beanvais, reçoit l’Empereur et l’Impératrice en leur adressant le discours qu’on va lire : • Sire, Madame, « C’est la seconde fois que Votre Majesté vient adorer Dieu dans cette ancienne basilique, et la socondc fois que j'ai l’honneur insigne de la recevoir. Dans le. premier voyage, Sire, voiis étiez seul; aujourd’hui, près de Votre Majesté, nos yeux contemplent avec bonheur cette auguste compagne dont là France est fière, dont la France bénit le nom synonyme de la charité. « En elle la douceur ne nuit pas â la force; nous l'avons vue fi Amiens, nous l’avons vue il y a quelques jours à Paris, nous la verrons partout et toujours. « Bcauvais, Sire, ne saurait oublier nue de votre bouclic sorti rent, il y a dix-huit ans, ces mémorables paroles : « Souvent il plaît à la Providence de se servir « d'un seul pour le salut de tous. » Elles se sont réalisées; plaise à Dieu qu’elles se réalisent toujours malgré la mobilité are opinions humaines, trop ou blieuses dre services rendus, et malgré les passions frémissantes de l’anarchie. « Le monde catholique, les yeux fixés sur la France, l’oreille attentive â tout ce qui so dit de la part de l’Empereur, rie saurait non plus pordre le souvenir du solennel engagement d un de vos ministre : Abandonner le saint père, jamais! Ce mot énergique, éminemment digne du fils aîné de l’Eglise, était, Sire, l’écho do votre grand cœur. « Et nous aussi, nous répéterons mille fois : Que jamais la FEUILLETON. (3) LE COLONEL D’ANGES. Et la jeuric fille se pendit vivement au cordon de la sonnette. An dehors, on entendit dans |e corridor des pas qui IVotlaient tô pâfquet ci tine voix qui frtdonriaït le même, coüplét de la cüànsott dcs Heures ; tu, vrrft«jr* w ? lU m A llM U i - i dYmOnr «t à a cb^nlp«gn« Aux P BnMTn^ttbi; 1 KdVn>nA-aoatf d1— ------- rit qtM iurtoutla gu^oÉ n'entre p«»1 Pùip la ppr|e u'ouvrli. — Garçon, fil Amélie, avec-voua des cigare* peur raotf ^Le terbin s’arrêta siupéfaÙ? Ce mot-li n’était pas dan* le* habitudes de* cabinet*. particil|iert.' Il feortit, Sans èhafriler cétlé fois, et rapporta bientôt le* dgares deriiarfdés. .. Dominique ayant allijmé son londri* de Bercy, sa fille lui dit: — A l'autre maintenant, pêrol — A l’autre secret? — Oni. . . — J’en al donc un autre? . . — \l ût* semble, Tù viep* de Tavoner tout AI heure en me priant de ne poinl invoquer de souvenirs militaires. Dominique rougit et balbutia. — Je snisunpéa,com m e le* làureaax de cohibat. Je n'aime pas le roogo. RaUondelempéraracnl, père. L’autre raison maintenant! •— C’est que... dam! mon enfant, c’est bien dur h dire! Et le graYéùr eut comme un sartgjol dans la voix. —■ Les secrets pénibles sont moins lourds quand on les porte i denx, père! Et, tu le sais, je suis ton airii ! Dominique regarda sa fille dan* les yeux avec un senli ment Visible d’angoisse. — Il y a des choses que l’on no sait comment avouer. — Des crimes, par exemple! fit Aurélie eu riant. Ouj, de* crimes. — Allons, mon petit père criminel, confesse-toi I Dominique fit un efifbrl sur lui-môme et commença lente ment. en baissant I* Voix : — Afl*1u parfois entendu parler des journées de juin? •— Quelles journées, pôre ? — En juin 1848. — Connais pas. — C’ m I « e ù i déjà, mon enfant, et jamais personne ne m’én a parlé devant toi. — Qu’y a-t-il donc A cette date? —rDu *aug, des barricades... et l'archevôquo de Paris loudroyé nu* palme à la main. , — Oui, monseigneur Affre. On n’a jamais su qui l’avait tué, n’est-ce pas/ — Non: celui qui l’a tué ne le visait peut-être pas ; mais on a voulu trouver l’assassin... Je fus pris sur un bruit vague... on me traduisit devant Un conseil de guerre... cl ton pire fut condamné à mort» Assurément j’aurais mérité celte peine si j'eusse été coupable; mais j'étais innocent ; et c’est dur de mourir pour le crime d'un autre. Tu avais dix- huit mois, Aurélie... et ta mère mourut folle, en apprenant la sentence... — Pauvre père! — Voilà pourquoi je ne puis voir un pantalon rouge. — Mai* qui donc t'a sauvé, père? — Un enfant... un Inconnu... Encore un verre de cham pagne, Anrélie ! — Eh bien, non, pire, ne reparlons pins de ces mauvais jours. Et faisant le lourde lu table, elle l’embrassa fièvreusement, en lui prenant la tête dans scs mains mignonnes. — C’est fini, reprit-elle, nous n’en rcparlcrous jamais plus! Dans une de nos villes frontières qu’il est au moins inutile de nommer, une scène avait lieu précisément i la même heure, tenant par des fils encore invisibles aux événements que nous venons de raconter. Le colonel d’Anges, commandant le régiment qui s’y trouvait eu garnison, assistait à un punch offert aux officiers par le licutenaul-colonel nouveau venu au corps. Nous connaissons trop bien l’armée française pour nous laisser aller à la tentation de créer un corps de fantaisie. Le régiment dont il est ici question ressemble à tous les antres, et est fait d'hommes pris dans l'ensemble et coulé dans ce inouïe rigide où les autres corps prennent leur forme morale. ' Cependant le colonel d’Anges, nature d’élife, avait donné à son régiment une physionomie toute spéciale. H y régnait en maître absolu par l’ascendant irrésistible de sonbeao caractère et par son esprit de justice et d'impartialité. Sa vaste intelligence, ses connaissances pratiques et sa bravoure indiscutable, lui avaient fait pardonner sa jeunesse et son rqpide avancement, et les grincheurs du corps s’étaient sentis attirés eux-mômes vers lui par un charme secret dont ils n'avaient pu se défendrè longtemps. Au sertir de table, où il avait dîné eu lêle-ù-tôte avec sa jeuno femme, le colonel avait reçu par le télégraphe une dépêche qu-’il avait paru lire avec intérêt et qu'il avait laissée ouverte sur la table, dans son cabinet de travail. Puis, ayant embrassé sa fomme et sa fille — un ange mutin do trois à quatre ans, — il était parti pour retrouver ses officiers au café. thique des belles natures : mignonne, blonde, p&lotte, elle avait o«Ue beauté particulière aux filles du Nord. Elle aimait lecolood Jgsqn'ù l’adoration. " sopièmr lljgsqn ______ ______ * ail physique comme au moral, Pour clic, il était la perfection Cet amour de femme s’était ft son insu transformé dans son âme. Il s'y mêlait du respect, du culte, et auqai quelque1 non Hf, îalnncill I A-fllnnal ci l>An na na.Hrl .a . ' I , •__ __ _ peu de jalousie. Le colonel si bon, si grand, sf cpmpl supérieur aux autres hommes, devait naturellement appeler à lui d’autres cœurs de femmes. Ce qui se trouvé dans le rayonnement de la lumière en subit l'influence. El elle avait peur. Si son mari cessait d’être à elle tout entier, c’était la mort I Lui, le soldat, avait si bien compris cetto douce faiblesse, qu’il avdil fait de son ménage un petit sanctuaire où le monde ne pénétrait pas. Maître d’un* fortune opulente il vivait dans son intérieur comme si son buJget loi eneût lait une nécessité. Celle vie retirée n’était pas un sacrifice bien lourd fait à la tranquillité jalouse de sa femme. Il se complaisait dân* celte retraite, dont la petite Rosine était le bruit et là joie,: Puis, â certaines époques, aûii de rompre bette monotonie, il donnait de* fêtés â son régiment dont les grands frais écornaient légèrement son superflu. Daiis ces occasions-là sa jeune femme était radieuse cl renchérissait éricoré sur la libéralité du colonel, ear dans ces fêles militifrés. Il h’J avait que des uniformes. La jalousie a des causes multiples Celiè de k ”* d’Anses ni! InnlA d’Inclin,.! I- ___________ j. _____ /**. ment de sa propre faiblesse encore plus que de l’égoïsme., La pauvre jeunp femme savait ce qu’il t avait d’amour S itir elle et d’honrienr d’homme dans l'âme de «on mari, éanmoins elle se défendait mal de sa crainte et s’en voulait de son inexcusable faiblesse. Eilccroyail à la loyale dtàUOre du colonel, à sa natui1* ouverte, et pourtant, à cdrtafrtës heures, quelque chose d’immaitrissble la poursuivait daris lb bureau de son mari; tes mains fiévreuses Iburràgaleritdarik les paperasses, ses yeux fouillaient jusqu’au moindre recoin. Puis clle rentrait chez elle toute honteuse de cette défiance qu’elle savait être une mauvaise action. El elle pleurait sur elte-lnêmc, clic donnait à «a curiosité T (I

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discours de l’Ëmjterèpr. L à . Chambre ta consacrer ses séanéçs uniquèment'à 1 éxatnèn dés ppiWoirade sés mèmbpre, sans aborder aucune lob ou aifcurio' taréure qui intéresse l’eiM nible de notre

‘ é-1J-l LL' J“ * Fajnsi, il n’ÿavait dre gmrids^orps

pièls il rie sé ra il pas A l'ouvertu ro d e la

politique iQtérieorô e t ex térlèuré . Lé* chosésgta point l ie u f p o u r le sériverain, d 'en tre ten ir l ’un d e l ’E ta t^ le question* ou d e pro jets su r lesouèrô ie ts su r les

s io n açtqcllc.eance; M. Rouhfera lu u ^ é déclaration. d o n t voici le tex te :

^Â ttx ^ te rm ès d jj lâ C onstitution, la Corps législatif do it ê tre convoqué dàn* l e s # m ois q ù i su ivant lo décret d e d isso lu tion ,

« La d é là t 'I è p lu s/é lo ig n é ' p é f ir vo tre réunion é ta it lo 26 ' o c to b r ti iL d It é téIm possib re à ce tte da te de. vous soum ettre les

. '- - ® i®'. poncçrnant les au tres aflaires delE fa t . U ne sessioti ex trao rd inaire du Corps législatif é ta it donc « é d fé à i i r e : ;* î

* Da.bS 'é e tte s itM iio n , le G ouvernem ent d e l'E m pereu r a pensé q u 'i l é tait s agé 'ç t po litique d e procéder im m édiatem ent à la véri­fication 'd e 1vos p oüyojrs e t..'de fhire cesser ainsi to n te incertitude s u r la validité dcs'àpcralioris électorales dans chaque .circonscription.

» Dans la pensée du,G ouvernem ent, la session actuelle n a pas d ’au tro objet.; _ r ^

« Lè rcnoqvelleiWenl d it C orps législatif p a r (esufjTrage universel « s i une occasion ju t t t r a to jA u r là naliôn d e m anifester scs pensées, ses afipiràtioUs e t m besoins.

^ÿ^^h^N^lats'l^jtiqueade oette ê tre * » - — :------- ■-sa u ra it ê tré précipitée. 'A > . s ^ o n . ‘ord ina ire le G ouvernem ent

feoriitiéttra à la -h au tè abpréciàiion des pouvoirs public» les résolu* lio n s e tlè s pfojéta q u i lui a u ro n t paru les p lus propres à réaliser les v œ ux 'd it pays.

« Au nom d e l’E m p ereu r, je déclare ouverte la session ex trao r­d in a ire d u Corps législatif. »

_ Ces paro les d u m in istre d ’E la t p ro d u iro n t une excellente im pression, c a r ellcp p ro u v en t q u e le gouvernem ent se préoccupe d ’associer les pouvoirs p u b lic s à des réform es q u i se ro n t la conséquence m atérielle des dern ières é lections générales.

La q u es tu re a (lût d is tr ib u e r les dossiers des élections des quatre-v ingt-rieuf départem ents. Les h u it prem iers bu reaux o n t à vérifier chaftM lés élections d e d ix départem ents ; lé neuvièm e n ’en a q ue neuf.

Celte rép a rtitio n s’est faiie Comme s u i t : le 1 " bu reau sera chargé des do reièrt d es dép a rtem en ts com pris, par o rd re a lp h a ­bétique, e n tre l ’Ain e t T A réy ron . L a liste d u 2* con tien t lés départem ents;des B oûches-diLR hône e t d e ’lia C orse; celle d u 3%

Som m e ; d u 9% le T à th ! efc l’Yonne.L’ehsem ble do ces qU atre-vingt-rieuf départem ents form e u n

total de deux cen t qua tre -v in g t douze circonscriptions électorales.

L’éleçtion de M. C lém eqt-D uvernois se ra , d it-o n , lrès-vlvciuent At^ u é e . ,Æ r e t ,a u ri r f[ bi^ u ^ q u ’elle e s t échue. La com m ission e t le d ite d e Choiseul-Preslin .

M. Bancel l ’a ttaq u e ra it au n o m de la gauche, e t M. G am betta v iendrait a la rescousse.

[ajesté, M. Schneider a re tiré saCorps législatif.là lecture d e la réponse d é S a démissibn. .

Nous pub lions e t la le t t r e d e H . le p résiden t e t la réponse de l'E m pereur :

« Paris, le 21 ju in 1869.« S ire; .

« P o u r se rv ir V oire M âjésté, j e n ’ai jam a is com pté avec m es convenances personnelles n ia v e c m és in té rê ts ; m ais l ’E m pereu r com prendra, j e TcSpè'rt, tfué je jfnë préoccupe davantage des sentim ents d e d ignité , e t q u e je côrisidère com m e u n devoir de ne pas laisscraflaim Ar en m éâ m ains l 'au to rité m orale si nécessaire au présiden t d ’un g ran d Corps.

■ La nom ination en ce m om en t de M. le baron Jérôm e D avid comme grand officier de la Légion d 'h o n n eu r, m e p a ra îtra it avoir ce résu lta t; elle com porte d 'a illeu rs , dans les circonstâncès'afctuelles, une signification q u i m ’oblige à p rie r l ’E m pereu r d ’accepter ma dém ission d e la haute fonction q u ’il avait daigné m e conférer.

« Je suis avec le p lu s p ro fo n d respect,« olriV . ,

« De Votre M ajreie, le t rès-hum ble e t très-obéissant se rv iteu r c l fidèle su je t,

« SCIINEIDKR. ■

• C am p de CliMons, le 24 ju in 1869.« Mon «lier m onsieur Schrièider,

« J s ne pu is accepter la dém ission q ue Vous m ’offrez p a r vo tre le ttre du 21 q u e je n’a i reçue q u ’hier.

« Au m o m en t où j e vous donnais u n nouveau tém oignage de

m a confianetret d é m bn esthtfe p o u r ) « services ém inen ts q u e v o u sa v e z re n d u sa u p o y s c t à m ongouvcrnéinont, il n ’a pu e n tre r d ans m a penséo do faire u n a c te q u i po rtât a tte in te à vo tréd ig n ilé , ni aflaibfiL l’au to rité m orale q u i vous est nécessaire com m e président du Corps législatif. La prom otion au grade d é g rand officier de la Légion d ’honneur do M. le baron Jérôm e D avid n ’a , en effet, aucun des caractères q u e vous lui a ttr ib u ez ; elle es t la ju ste récom pense d ’une carrière honorablem ent rem plie e t la réalisation d ’une prom esse faite l’annéo dernière, e td o n t, j e cro is, v o u s aviez connaissance.

. * J e no saurais ad m e ttre davantage que celte nom ination a it, dans l ’op in ion pub lique, la signification que vous paraissez redouter.

« La politique de m on gouvernem ent se m ppifesle assez c la ire ­m en t p ou r év iter lou téquivoquo, A près com m eavant les éjections, il continuera l’œ uvre q u ’il a entreprise : la conciliation d ’un

C I m n m Ir 4 e f e r d u N a r d .D é p a rts nr. S e n u s : 7 h . 5 6 m alin . — 1 2 h . H , — 4 h . 2 6 , — 8 h . 1 8 so ir. -

Déi*auth db P a r is : 7 h . 6 5 , — m id i, — 5 h . 10 , 1 0 h . 1 0 soir.

i iii. , i » s B w i i i j a s

i q u . _______p ouvo ir fo rt avec des institu tions.sincèrem ent libérales.

« Je com pte s u r vo lrcdévouem cntpour m ’a ider à l’accom plisse­m en t d e celte tâclie.

« Croyez, m on cher m onsieur Schneider, à m a sincère am itié .■ n apoléo n . >

U ne le ttre de F lorence nous apprend quo, dans u n récent co n ­seil présidé par le ro i V ictor-Em m anuel, M. FerrarLs au ra it fait un tableau fidèje de la situation de l ’Italie, ainsi q ue des trouilles g raves qui viennent de se produire dans plusieurs provinces. La proposition du m inistre, tendant à ce que lés m esures d e rigueu r Ire p lu s énergiques fussent employées (j l'égard des agita teurs, a éité adoptée unanim em ent p a r tousses collègues e t par le ro i lui-m ôm e. D a u tre part, le m inistère parait décidé â présenter .de nouveau au P a rlem en t les lois financières élaborées par M. Cambray-Digny, q u i leu r au ra it fait s u b ir quelques modifications, d ’accord àvec le com ité de la C ham bre des députés.

L 'assem blée générale d e la franc-m açonnerie italienne vient de tm m n c r scs travaux . Le colonel F rapolli, député a u P arlem en t de F lorence, a é té é lu grand -m aître do l'ordre.

La Gazette do T urin cro it savoir que la san té d u général Gari- baldi laisse beaucoup à désirer. L’allection rhum atism ale do n t il souffre tous les ans a celte époque est p lus intense e t si doulou­reuse q u e le général est obligé de garder le lit.

lue tem ps, les P olonais avait dem andé l ’appui de la leurs revendications autonom istes auprès d u cabinet

l a s H ongrois v iennent de leu r répondre en term es q u i ind iquent to u t 1 a ttachem en t du pays à la m onarchie e t do n t voici le résum é :

La Hongrie ne veu t po in t s 'im m iscer dans les affaires de la Gal-!LtL-î|l)arce <l a '* P °urrait a rriver quo la Cisleithanie, usant de

représailles, se m élat de leu rs propres a t t i r e s ; 2° parce qu 'en ap- pu y an t les idées particu laristre do laG allicie, on donnera it ainsi u n p o in t d appui aux velléités analogues des Slaves Hongrois.

E n d erq ie r lieu , l ’opinion des Hongrois é tan t q ue la Gallicic do it ê tre le boulevard de l ’A utriche contre la Russie, il im porte de no poin t p récip iter des réform es n u i au ra ien t p ou r conséquence, i la fo is, d e m éconten ter le czar e t de d im inuer la force de cohé­

sion d e l ’em pire.

fkdllÿ dfiJ^esge-J)arm sladta.re[ijsé..de rec e v o ir ..i j it H nèorporâlion "de cèffo ’Ville â l â :C6hfcdôratipn du c iu n d e s p rincipaux passagesde ce docum ent p russophile

o u i p rovoque de la p a rt des feuilles a llem andes libérales-nationales d u Sud de v iolents d ém entis :

Quel est le spectacle q ue nous offre le Sud? la paresse, l’o i­siveté y so n t à l ’o rd re d u jo u r . Rien n’y prospère, si ce n ’est les partis , d o n t le b u t est l’asservissem ent des esprits ou bouleverse­m en t général. Pçrsisterons-nous dans cet isolem ent sans gloire? La

Tération d u Sud n ’est q u ’un rôve. S i nous ne n ous décidons pas à nous réu n ir a u N ord, nous tom berons dans u ne situation incom patible avec l ’esp rit m oderne : rien do plus fatal q u ’un p ro ­visoire é te rne l. P our les ennem is de l’AU cm aqne, le Midi n ’est q u ’u ne brèche par laquelle ils espèrent pénétrer dans la forteresse; p o u r ceux h q u i incom be le soin de le développer à l ’in té rieu r, il n ’est q u ’une sentinelle perdue. »

U n m eeting populaire a été convoqué à Rerlin p a r plusieurs éputés du P arlem en t fédéral, après la c lô ture d e ce lte assem blée,

dans le b u t d e fonder u ne libre association pohr favoriser la n a v i- g a tio k tu r les fleuves e t les canaux allemands. » Dans le p ro ­g ram m e p ublié par la com m ission provisoire qui a p ris l'in itia tive de ce tte création, on l i t le passage su ivan t :

« Les récentes discussions d u Reichstag fédéral o n t m is en évi­dence l’insuffisance des voies ferrées allem andes e t la nécessité u rgen te d ’am éliorer e t d ’augm enter les voire fluviales.

« L ’Allemagne, e t spécialem ent la P russe, es t resté bien en a rriè re d re g ran d travaux d u s au génie d e Frédéric le G rand ; car, Sur 371 ,300 hab itan ts, elle ne possède q u ’une lieu de canal, en d ép it de la situa tion des p lus favorables d re plaines fertiles dq l’Allemagne d ii Nord e t do scs g rands fleuves. — Il s’ag it d e re lie r lios p o rts de m er avec l’in térieur du pays par dévastes canaux, e t do r d ie r en tre eux les fleuves de Mcmel, Pregcl, la V islule, 1 O der, l’E ider, l'E lbe, le W eser, l’Em s, la L ippe, l a R u h r, le R hin , le Mcin e t le D anubo.

âîoti d u b ill deT E glk te U r l a n d e co n tin u e en A ngle­te rre à laCFlam bre des lo rd s; Ire am endem ents son t en nom bre' considérable, m ais le p lu s im p o rtan t de tous e s t celui q u i rojpousse do 1 8 7 1 6 1872 la nuso en application du bill de M. G ladstone, d o n t les a rtic les principaux se ro n t acceptés par Ire lords com m e ils l ’o n t é té aux Com m unes. \

L’épiscopat catholique a tte n d , avec une certa ine im patience, q u e le V atican lui fasse conna ître le p rogram m e détaillé des . im ­portan tes questions qu’au ra à résoudre le fu tu r concile œ cu­m énique.

Malgré le silence d e la co u r rom aine, divers préla ts étrangers v iennent de publier sous form e d e Catéchisme d re le ttres jwslo- raies expliquant au peuple ce q u e c’est q ue le concile. Les évêques d ’U ddiue, de G uastalla, do M alinre, de M unster, de Cologne, de Sm yrno, son t Ire prem iers q u i a ien t am plem en t développé l’a u ­to rité suprêm e de cette assem blée. Quoi q u 'il en so it, u n groupe d e catholiaues libéraux d ’Allem agne, auquel se jo in t le savant clergé am broisicn, rédigent d re adresses â leu rs évêques p ou r les inv ite r à sou ten ir a u concile la liberté de l'E g lise e t de l’E ta t e t celle de la société m oderne basée sur la liberté de conscience.

Dre in struc teu rs de m arine, détachés de la m arine anglaise, vont passer au service du v ice-ro i d ’Egvptc. Ils"seronl placés sous le com m andem ent du cap ita ine Mac K illop, q u i a q u itté l ’Angle­te rre l ’an dernieirafin de réorganiser les forces navales de l'Egypte.

On annonco q ue M. Mac-Mahon, m in istre des Etats-Unis près du d ictateu r paraguayen Loncz, e t s u r le so rt duquel on n ’é ta it pas sans inquiétudes, vient d ’adresser à la M aison-Blanche u ne le ttre d re plus rassurantes, datée d u qu a rtie r général de l'a rm ée paraguayenne.

D’après cetto m issive, la résistance con tinuera it avec p lus d acharnem ent que jam ais , e t les alliés seraient lo in d ’ê tre m aîtres d u pays.

Du 1! au 21 ju ille t c o u ran t, au ra lieu à Zug (Suisse) le grand t i r fédéral q u i rassem hlo chaque année Ire sociétés de. francs-tireurs d e chaque can ton . Le président d re tireu rs allem ands vient d adresser u n appel à tous Ire m em bres de ce tte association p our Ire engager à se rendre en Suisse. T ou t l’in té rê t de cette g rande reunion se trouve dans les d iscou rs de couleur po litique q u i y 8 fo n t prononcés e t q u i a u ro n t, p ré tend-on , unesignificalion p lus im portan te q u e ceux qui fu ren t entendus l’année d ern ière à > icnnc.

P o u r e x tra it e t rédac tion : E rnest Pavcn.

q u i s e r o n t p rodu its d*nq tou tes Ire sphjVre d o i'ac tiv ihH La difficu lté des com m unications rap ides a p u scnitfàBÉ développement. industrie l d e no tre .v ille , m aissi q ù e lq o e W n s d ès traces de chem ins d e fe r, sollicités p a r nos p opulations, recevaieât l’ap p ro b a tio n 'd û . G ouvernem ent ; ; s i de nouveaux débouchés Couvraien t à nos produits, c l à no trecom m èfce , s i enfin nods trouvions p ou r nos-relatione les facilités q u e nous é tions;ea d ro i t(l’.lltpnflm il u a I r .llln An nnlM n M Ï i! .. . ___*_.__

NOUVELLES DÉPARTEMENTALES.V o y n g c île l ’I in || io r c u r c l d e l ’I m p é p a lr ic e

à I tc a u v a is .L’Em poreur, l’Im pératrice e t leu r su ite , p a r tis dim anche m alin

ù neu f heures un q u a r t de la gare du N ord , son t descendus du tram im périal vers ouzo heures e t dem ie, à la sta tion de Hello- M ouchy, où le d uc e t la duchesse de Moucliy (princesse Anna M ural), les p rincre Achille e t Joach im M ural les reçu ren t d ans Hn

î ^ ï s s s ichapelle par Mgr T irem achc , so m ettaien t à tablo p on r le d é­jeu n e r où n’étaicrit conviées aucunes personnes étrangères. C 'est à deux heures q u ’arriva â Béauvais le tra in im périal q u i, rem isé à Creil, é ta it venu rep rend re à Ilello-M ouchy les augustes voyageurs, accom pagnés cclté fois d u d u c , d e la duchesse e t des princes M urât. 1

L ’E m pereu r e t l’Im pératrice o n té té re ç u s p a r M. le p réfet e t son secrétaire général, par M. le m a ire de Bcauvais ainsi q u e lecon - seil m unicipal e t par lo général M etm ann, com m andan t de la garnison, e t son a id ed ccam p . I ls p énétrèren t ensu ite dans le r iche salon q u i le u r avait é té p réparé , e t M. le m aire Pcliihom m e, s’avançant vers l’E m pereur, prononça le d iscou rs su ivant :

« S u i e ,« E n rem ettan t à l’E m pereu r les clefs de la ville d e Beauvais,

com m e gage certain de la fidélité d e tous les habitan ts, j e ne pu is me rappeler sans ém otion q u ’en 1851 Votre M ajesté assistait ic i m êm e à u n e so lennité patriotique.

« N ous inaugurions la s ta tu e q u e n o tre reconnaissance érigeait â Jeanne H achette e t l ’élu do la nation p rononça it ces paroles q u i son t restées gravées d an s nos cœ urs : « Souvent, d isa it-il, la Providence réserve à un seul d ’être l 'in s tru m en t d u sa lu t de tous. » Cette m ission p rovidentielle, S ire , vous a été réservée e t vous la rem plissez dignem ent.

« Après d ix -h u it ans d ’u n règne d o n t les b ienfaits éclatent do tou tes pa rts e t q ue l 'h is to ire placera au rang d re p lus g lorieux, V otre Majesté daigne revenir dans nos m u rs ; E lle veu t v isiter n o tre Concours régional, e t d o n n e r par son auguste présence un nouveau gage do sollicitude p o u r les in térêts essentiels d u pays. Nous lui en tém oignons n o tre profonde o t respectueuse reconnaissance.

« Pendan t la longue période do p rospérité q ue l ’E m pire a donnée à la F ran ce , Bcauvais n ’est pas resté en deh o rs des progrès

nouvel essor, o t n o tre c iio d ev ra it à l'E m pereu r îes élém ents certa in s d ’un rich e aven ir.

« M adame,■ Veuillez agréer les respectueux hom m ages d ’u ne ■ i. _

s 'honore d ’avo ir vu na ître Jeannc-H achette , e t q u i salue avec jo ie d ans l’Im pératrice-E ugénie l ’héroïne d ’Amiens.

« Nos pères nous ren ie ra ien t, — e t nous ne sau rions p lus apprécier les grand» cœ urs, — si la .présence de Votre M ajesté ne ran im a it en nous le cu lte q u e l ’on d o it au courage.

« L’h is to ire n é s'y trom pera pas, c l elle inscrira vo tre nom parm i les plUs.illuslres. ’

« Mais la reconnaissance populaire «.devancé le jug em en t deii siècles à Venirj- e t elle p ro m e t de ' s ’acqu itte r envers vous en repo rtan t s u r le P rince itnpêrial l ’inaltérab le dévouem ent q ue sa More a conquis. » •

. L ’E m p ereu r a répondu : •M essieurs, . . I j

« J e vaus renioreie d e vou lo ir bîèfl vous souvenir de la v isité « Que j e vous ai faite il y a v ing l a n s ; m oi aussi, j e m e so u v ie n sd a• chaleureux accueil que j ’a i reçu ic i.

u X ! ? “ * £ f ' ce tte îw u g o rw t t " «totmr d e Jeanne• d e Beau va is; a u jo u rd ’h u i ce so n t les p ro -« grès de 1 industrie e t d e l ’agricu lture q u e je viens consta te r « progrès q u i son t dus au calm e e t à la tranq u illité q u i n ’o n t « ce8sé\do régner en F rance depuis dix-sep t a n s ; e t soyez « persuades, m essieurs, q u e cette tranqu illité ne sera jan ia is• profondem ent troublée. » 1

Ces paroles o n t été suivies d ’acclam ations.Le cortège se m it a lo rs en m arche. La p opulation accourue aux

aDords de la gare e t su r to u t le parcours d e cortège é ta it im m ense e t ta q uan titep resque aussi innom brabledo pom piers q u i faisaient a haie de la ra re a la cathéd rale , pu is do la cathédrale à l ’exnosi-

tion , c r e t- a -d ir e s u r u n eé lenducd’environ deux k ilom ètres, avait grand peine a conten ir ces masses de braves gens.

H fau t a jo u te r q u ’un g ran d nom bre o n t é té fort déçus, ne se b g u ran t pas 1 E m pereu r en h ab it no ir. L s général F leury e t M. R aim baux, tous d eux en costum e, o n t c ü to ù s Ire honneurs de celte prom enade. . . . . -

Le cortège éta it précédé p a r un détachem ent d e cuirassiers, puis tro is p iqueu rs, un détachem ent d e cen t-gardre , e t enfin tro is vo itures suivies d ’un nouvçai}, pelo ton de cuirassicre. V enaien t à lâ su ite les vo itures d re au to rités de la Ville.

L’E m pereu r et l’Im pératrice , avaient p ris place na turellem ent dans la prem ière vo iture avec lo général Fleury.

M“ “ Caret te e t de Saulcy, dam es d ’ImUneur d e l 'Im pératrice , avec les p rinces Joachim e t A chille M ural, occupaient la seconde

Dans la tro isièm e se U ouvaien t l e d ù c e t la duchesse déM ouchv!»! * L erm ina e t M. le com te de Cosaé-Brissac.. I« s m rlrresjfas n am o an jes . *

e t (a garde nationale fa isaien t i se dirigea d ’abo rd vers la cathédrale.

L’im m ense e t m agnifique c h œ u r de la vieille ca th éd ra le— hélas! pourquoi n ’y a-t-il q ue celai — es t couvert d e tap is faits à Beauvais; un dais g igantesque e n velours rouge e t o r , doublé de sa tin jau n e e t d o id é d 'herm ine , es t m ajestueusem ent suspendu au -dessus des prie-Dieu o ù Mgr G ignoüx, évêque d e B eanvais, reçoit l ’E m pereu r e t l’Im péra trice en leu r adressan t le discours qu’on va lire :

• S ire , M adame,« C’est la seconde fois q u e Votre Majesté vient adorer Dieu dans

cette ancienne basilique, e t la socondc fois que j 'a i l ’h o nneur insigne de la recevoir. D ans le . p rem ier voyage, S ire , voiis étiez seu l; au jo u rd ’h u i, p rès de Votre Majesté, nos yeux contem plent avec b onheur cette auguste com pagne d o n t là F rance est fière, dont la France bénit le nom synonym e de la charité.

« En elle la d ouceur ne n u it pas â la force; nous l'avons vue fi Amiens, nous l’avons vue il y a quelques jo u rs à P aris , nous la verrons p a rto u t e t tou jours.

« Bcauvais, S ire , ne sau ra it oublier n ue de votre bouclic so rti­ren t, il y a d ix -h u it ans, ces m ém orables paroles : « Souven t il p laît à la Providence d e se serv ir « d 'u n seul p ou r le sa lu t d e tous. » Elles se son t réalisées; plaise à Dieu q u ’elles se réalisent tou jou rs malgré la m obilité a re op inions h um aines, tro p o u ­blieuses d re services ren d u s, e t m algré les passions frém issantes de l’anarch ie .

« Le m onde ca tho lique , les yeux fixés s u r la F rance, l’o reille a tten tive â to u t ce q u i so d i t de la p a r t d e l ’E m p ereu r, rie saurait non plus pordre le souvenir d u solennel engagem ent d u n d e vos m in istre : A bandonner le sa in t père, ja m a is ! Ce m o t énerg ique, ém inem m ent digne d u fils aîné de l’Eglise, é ta it, S ire , l ’écho do votre g rand cœ ur.

« E t nous aussi, nous répéterons m ille fois : Q ue ja m a is la

FEUILLETON.(3)

LE COLONEL D’ANGES.

Et la jeuric fille s e pen d it vivem ent a u cordon d e la son n ette .

An d eh ors, on en ten d it dans |e co rr id or d es p as qui IVotlaient tô p â fq u et c i tine voix q u i frtdonriaït le même, coüplét d e la cüànsott d c s H eu res ;

tu, vrrft«jr*w ? lU m A l lM U i -i dYmOnr «t àa cb^nlp«gn«

Aux PBnMTn^ttbi; 1KdVn>nA-aoatf d1— ------- „rit qtM iurtoutla gu^oÉ n'entre p«»1

Pùip la p p r |e u 'ouvrli.— G arçon , fil A m élie , avec-voua d es cigare* p eu r rao tf

^ L e terb in s ’arrêta siupéfaÙ ? Ce m o t- li n’éta it pas dan* le* habitudes de* cabinet*. p artic il|ier t.'

Il feortit, Sans èhafriler c é t lé fo is , e t rap p o rta bientôt le* dgares deriiarfdés. ..

D om inique ayant a llijm é son lon d ri* d e Bercy, sa fille lu i d it:

— A l'au tre m ain ten an t, pêrol— A l’a u tr e secre t?— O ni. . .— J ’en a l d on c un autre? . .— \ l ût* sem b le , T ù viep* d e T avoner tou t A I h eu re en m e

priant d e n e poin l invoquer d e so u v en ir s m ilita ires.D om inique rougit e t b a lb u tia .— Je s n i s u n p é a , c o m m e le* làu reaax d e co h ib a t. Je

n'aim e p as le roogo.— R aU on d elem p éraracn l, père. L’autre raison m a in ten an t!

•— C’est q u e ... d a m ! m on enfant, c’e s t bien d u r h d ire !E t le graY éùr e u t com m e un sartgjol d ans la vo ix .—■ Les secrets pén ib les son t m oin s lourds quand on les

porte i d en x , p è r e ! E t, tu le sa is , j e su is ton airii !D om inique regarda sa fille dan* les yeux avec un se n li­

m en t Visible d ’angoisse .— Il y a d es ch oses q u e l ’on no sa it com m ent avou er.— Des cr im es, par exem p le! fit A urélie eu rian t.— O uj, de* cr im es.— A llons, m on petit père cr im in el, confesse-to i ID om inique fit un efifbrl su r lui-m ôm e e t com m ença len te ­

m ent. e n b a issan t I* Voix :— Afl*1u parfois en ten d u parler d es jou rn ées d e ju in ?•— Q uelles jo u rn ées, pôre ?— En ju in 1848.— C onnais p as.

— C’m I « e ù i déjà , m on enfant, et jam ais personne n e m ’én a p ar lé devan t to i.

— Q u’y a-t-il d o n c A cette da te?—r D u *aug, d e s b arr icad es... e t l'archevôquo d e Paris

lou d royé n u * palm e à la m ain . ,— O ui, m onseigneur Affre. On n’a ja m a is su q u i l ’ava it tu é ,

n’e s t-c e p a s /— N o n : ce lu i qu i l ’a tu é ne le visait peut-être pas ; m ais

o n a voulu trouver l ’a ssa ssin ... Je fus pris su r un bru it v a g u e ... on m e tradu isit devant Un conseil d e g u e r r e .. . c l ton p ir e fu t condam né à mort» Assurém ent j ’au ra is m érité ce lte peine s i j'eu sse é té coupable; m ais j 'é ta is innocent ; e t c’e s t d u r d e m ourir pour le crim e d'un autre. T u av a is d ix - hu it m ois , A u ré lie ... e t ta m ère m ourut fo lle , en apprenant la se n te n c e .. .

— Pauvre père!— Voilà pourquoi je ne puis voir un pantalon rouge.— Mai* q u i d on c t'a sau vé , père?— Un en fa n t... un In con n u ... E ncore un verre d e ch a m ­

p agn e, A nrélie !— E h b ien , non, p ir e , ne reparlons p ins d e c e s m auvais

jours.

E t faisant le lo u r d e lu tab le , e lle l’em brassa fièvreusem ent, en lu i prenant la tê te d an s sc s m ains m ignonnes.

— C’est fini, r ep r it-e lle , n ous n ’en r cparlcrous jam ais p lu s!

Dans u n e d e nos v illes frontières q u ’il e s t au m oins in u tile d e nom m er, u n e scèn e ava it lieu p récisém ent i la m êm e h eure, tenant par d es fils en core in v is ib les aux événem ents q u e nous venons d e raconter.

Le colonel d ’A nges, com m andant le rég im ent qui s ’y trouvait eu garnison, a ss is ta it à un punch offert au x officiers p ar le licu tenau l-co lonel nouveau venu au corps.

N ous con n a isson s trop b ien l ’arm ée fran ça ise pour n ous la isser a ller à la ten tation d e créer un corps de fanta isie . Le régim ent don t il est ici q u estion ressem ble à tou s les an tres, et e s t fait d 'hom m es pris d an s l'en sem b le e t co u lé d an s ce inou ïe rig id e o ù les a u tres corp s p ren n en t leu r form e m orale. '

C ependant le co lonel d ’A nges, nature d ’é life , a vait d onné à son régim ent une physionom ie toute sp éc ia le . H y r ég n a it en m aître absolu par l ’a scen d an t ir r é s is t ib le d e s o n b e a o caractère et p ar son esp r it d e ju stice et d 'im p a rtia lité . Sa vaste in telligen ce, se s c on n a issan ces pratiques e t sa bravoure in d iscu tab le , lu i avaient fa it pardonner sa jeu n esse et son rqpide avan cem en t, e t le s grin ch eu rs d u corp s s ’éta ien t sen tis a ttirés eux-m ôm es v ers lu i p ar u n ch arm e secret don t ils n'avaient pu se d éfen d rè longtem ps.

Au ser tir d e ta b le , o ù il ava it d în é eu lê le-ù -tôte avec sa jeu n o fem m e, le co lonel av a it reçu par le té légrap h e u n e dépêche qu-’il avait paru lir e avec in térêt et qu'il ava it la issée ouverte su r la tab le , d ans son cab in et d e travail.

P u is, ayant e m brassé sa fom m e e t sa fille — un ange m u tin d o trois à q u atre an s, — il é ta it parti pour retrouver se s officiers au ca fé .

th iq u e d e s b e lles natures : m ignonne, b lo n d e , p&lotte, elle ava it o«Ue b ea u té p articu lière aux filles du N ord . Elle a im ait le c o lo o d Jgsqn'ù l’ad oration . " s o p iè m r

l l j g s q n ______ ______* a i l physique co m m e au m oral,

Pour c lic , il é ta it la perfection

Cet am ou r d e fem m e s ’é ta it ft son insu transform é d a n s son âm e. Il s'y m êla it du respect, d u cu lte , et auqai q u e lq u e 1n o n Hf, î a ln n c i l l I A -flln n a l ci l>An na na.H rl .a . ' — I , •____ _peu d e ja lo u sie . Le co lonel s i bon, s i g ran d , s f cpmpl su p ér ieu r aux autres h om m es, devait naturellem ent a p p eler à lu i d’au tres cœ u rs d e fem m es. Ce qu i se trouvé d a n s le rayonnem ent d e la lu m ière en su b it l'in fluence.

E l e lle avait p eu r. S i son m ari cessa it d ’ê tre à elle tou t e n tier , c ’é ta it la m ort I

L u i, le so ld a t, avait s i b ien com pris ce tto d o u ce fa ib lesse , qu’il avd il fa it de son m énage un p etit sa n c tu a ire o ù le m onde n e pénétrait p as. M aître d ’u n* fortu n e o p u len te il v iva it d an s son in tér ieu r com m e si son b u J g e t lo i e n e û t la i t u n e nécessité .

C elle v ie retirée n’é ta it p as un sacr ifice bien lourd fa it à la tran q u illité ja lou se d e sa fem m e. I l s e com plaisa it dân* c e lte retra ite , d o n t la petite R osin e é ta it l e bru it e t là j o i e , :

P u is , â certa in es ép oq u es, aûii de rom pre bette m on oton ie , il donnait de* fêtés â son régim ent don t les g ra n d s fra is écorn aien t légèrem ent son superflu . Daiis ces occasion s-là sa jeu n e fem m e é ta it rad ieuse c l renchérissait éricoré su r la lib éra lité d u co lon el, ea r d ans c e s fê le s m ilitifré s . Il h ’J av a it q u e d es uniform es.

La ja lo u sie a d es cau ses m u ltip les C eliè d e k ”* d ’A n sesni! InnlA d ’Inclin ,.! I - ___________ j . _____ / * * .

m ent d e sa propre fa ib lesse encore p lu s q ue d e l’égoïsm e.,La pauvre jeunp fem m e sa v a it ce qu’il t avait d ’am ou r

Sitir e lle e t d ’honrienr d ’h om m e d a n s l'âm e d e «on m a r i, éanm oins e lle s e d éfen d a it m al d e sa crainte e t s ’en v o u la it

d e son in excu sab le fa ib le sse . E ilccro y a il à la loyale dtàU O re d u co lo n e l, à sa natu i1* ou verte , et pourtant, à cdrtafrtës h eu res, q uelque ch o se d ’im m a itr issb le la poursuivait daris lb bureau d e son m a r i; t e s m ain s fiévreuses Iburràgaleritdarik les pap erasses, s e s yeu x fou illa ien t jusqu’au m oin d re recoin .

Pu is c lle ren tra it ch ez e lle toute h on teu se de c e tte défiance qu’e lle savait ê tre u ne m au va ise action .

E l e lle p leurait su r e lte -ln êm c , c lic donnait à «a cu riosité

T( I

Page 2: NOUVELLES DÉPARTEMENTALES. î^ïsssi (Ibmsenlis.com/data/pdf/js/1864-1869/bms_js_1869_07_03_MRC.pdf · 2014-02-27 · Celte répartition s’est faiie Comme suit: le 1" bureau sera

tfr& U Buc--?

l'ro loetion d iv ine n 'ab an d o n n e rE in p em ir, l 'Im pératrice , le P rince Im jiérial ! Q m ja m a is les doctrines odieuses et envoyantes p ou r I av en ir ihi juV ivalt-nld^nsyiotrc belle France! L e pouvoir nYst l»asm oins néW s&tiic'à là liberté q u a l’o r d r e : puisse-t-on le

iii C îviiitli

1*8 m oins ucù& aiic ' c o m p re n d re !- ; .

• Puisse-t-on com prendre égalem ent que la religion, base et juido du-pou voir, m odératrice e t règle de la liberté des peuplesguido dtl-(Milvoir, m odératrice e t règle d e 'la liberté"’des’peupie

est lo jn e in je r beso in ,connue le prem ier devoir d e la société.« Eli déposant aux pieds de Votre Majesté l’hom m age de mon

dévouem ent U iV rospeclueux, e.t mes vieux les p lus sincères tan t po u r Elle q ue p o u r 1 Jm oératrico et q ue l > P rince Im péria l, je te rm ine p ar cè tte p rière q ue nous offrons to u jou rs à Dieu, devant

Jtei sa in ts nutcls : F ia i m n s u tua .super r i n i ni dexterw luw t! super f iljfin i h om inis m cu ifo iif ir in a s ti tibi. «

L’èhnperonr a répondu « qu 'il accueillait to u jou rs avec déi’é- « ronce les adresses des év«V|U(<s u n i lui tiennent le langage d e D

• • pTélé'et 110 cessent de rappeler les saintes doc trines, e t q ue , si - ses p rières é ta ien t exaucées, la religion serait honorée, le pem«it « iieuroutf, la F rance grande et prospère. »

Un Te J h u m e t u n Domine sàleuin solennel o n t é té chantésw.. I..J .M .U IU u n ,<« o u ïr il ut bUlt'IIlU’i o u i Ole CliaillCS^apres ces d iscou rs pendant q ue la foule se p ressait tum ultueuse­m en t dans la cathédrale et aux abords.«une, IU t il. Minime vi tlliA itlllims.

Do la cathédrale l’Em pereur se rendit à l’exposition p a r le concourè h ippiquo; tou jou rs accom pagné de l'Im pératriée , nui lü l 'su r to u l l ’o b je t d 'u n e d ém onstration en p assan t devant l’Hôtel- Dieu trèsrqm é e t o ù lessorurs do charité s ’é ta ien t groupées avec les enfan ts des pauvres p ou r la m ieux saluer.

L’E m pereu r s 'e st arrê té devant les chevaux do JI. le baron de F o iin n c ry ,d é p u té d e la S o m m e ,c t il a adm iré le petit étalon Ttirbiqo

•qui lu i a é té présen té ; Rue cha rru e à vapeur, à q u a tre socles a bouleversé en u n clin d ’œ il d evan t lui u ne vieille ro u te foulé depuis P lu s de. cen t ans . Enlin l’E m pereu r a voulu soulever lui-m êm e u n bloc én o ru iedep ie rre -ii l’a id ed ’u nc so rte de grue-locom otive q u ’un en fan t d e q u a to rze a n s p ou rra it m anier.

A l’en trée d e l’exposition industrie lle , l'E m p ereu r a é té reçu p a r le d u c d e Moucliy e t M. d e Corboron, député sortant au jo u rd 'h u i cham bellan du souverain. V ingt-quatre jeunes lille<’ vêtues de b lan c , attendaient. là i ’Im pératrico p o u r lui o ffrir m i bouquél q iie lu i nrçsepta en ces term es MIU M arie (i.iilla rj ül!.- du présidepl d u jr ib u n a l :

j ‘ * M adam e,« J ’ai l ’Iionnour^aii nom d es jeunes filles de la ville d .-ileou vais

ue .vous o llyir ces fleurs. Dads la vieille c ité do Jeanne H achette ' nous som m es habituées à honorer le courage q u i r a i l avec lè dévouem ent. «

I.’Im pératrjçe répondit par d e gracieuses paroles et baisa 1 enfan t au fron t. O n lui présenta ensuite m esdam es Chevreau Corberoii, G aillard, Pctillioininô e t . les présidentes d e toutes le- œ uvres de bienfaisance qui so n t en grand uo in b rê à Deauvais.

A pres sa visite à l'exposition industrie lle e t dos beaux-arts, oi'i 1 E m pereu r s’intéressa à bon nom bre d ’œ uvres rem arquables, il regagna sa vo itu re , e t a u m ilieu de la m êm e foule et d e là m êm e poussière, v in t s’installer su r l’estrade dressée à la porte de l’hôtel «le ville p ou r là d i s t r i b u t i f des p rix . l'Im péra trice prit place à «.■* çotes. Les dam es e t les jeunes fi Mes de la ville o ccupaient «les g rad ins places su r tou te l'é tendue d e la place d e chaque cô té de I estrade im périale.

Mgr (ligneux , évêque de Deauvais, M. D anjou, p résident hono­ra ire du tn b u n a l civil do Deauvais, e t M. d lla u d ic o u r t «le T artigny , q u i n 'é ta ien t q ue chevaliers, reçu ren t des m ains de 1 E m pereur la cro ix «l'officier de la Légion d ’honneur. Reçurent la croix de chevalier : M. Doiacour, ancien m ag istral, président de la bociete d ’ho rlicu ltu re de Deauvais ; M. Lévèqtie, peintre verrierindiniiril l>nn/ni( tnnni.iïnhl .1» I) . ,, ... • t . 'uevequo, peintre verni m em bre d u conseil m unicipal de Deauvais; M. T oupie, m aire

r-sur-Oise; M. Labilte. (Gustave), médecin «le l’hospice «“1 tli- i ( 'r in m tl • M T /m ....! .1.. i l . __ . . .

P r c e y - s u r - O i .... w iu h c ^« is iuve j, nieuecin «te t Hospice «les a liénés de ( Je rm o n t; M. T oupet, m aire de Mouv ; M. Poirel l ila leu r à D alagnv; M. Vasselle, m a ire d ’H élom csiiiï; M du Dais vice-prosedent d u tribuna l civil de Deauvais; M. T rihoulet’ c u ltiv a teu r à Ansanvillers (Som m e); M. P e tit, cu ltivateu r - à (foam pagne, (Seino-el-Oiso) ; M. G arnol, cultivateur à V illaroche (Seinc-el-Mjiriie) , et fenvaux, cu ltivateu r à Choisv, (Soine-ci- M iime). • * v

A près u ne légère collation à un buffet dressé à l’Hôlel-de-Vilh*I E m pereu r e t sa su ite se rend iren t à la gare, non sans a riv tés à la M anufacture de tanis. «ml’lnilit-inli-icf. ra. nl .

* i, • « wi aune se ■ oiHiiicm a ni gare, non sans s ê trearrê tes a la M anufacture de tap is , o u l’Im péra tric f rec u l u n «lernier bouquet. 11 é ta it c inq heures 1/1 quand le tra in im périal se m il en m arche. Rarem ent l’Em pereur a d û recevoir des populations un......... l'E m pereur.u «m _______ ___plus chaud accueil. 11 faut d ire q u e to u t a co n trib u é à rend re brillan te cette solennité, organisée avec au tan t d ’intelligence, que «lezele par les au to rités de la ville patrio tique e t hospitalière de Deai vais. *

S l u r e ^ u d e « atom m e donnan t les m eilleurs soins uu xa iiim a itx de l'arm er,

<l»i leu r o n t é té rem is en dé/nit.MM. Le F rère Kugèno-Mario, d irec teu r de l'In stitu t à Deauvais

Iioclielort \u iu is-G ustave), à Thiescoiirl,Delignières (A lexandre), A Canny-sur-M alz ;Gore (Philippe), à Encncourl-le Sec;De la D runeric (Jules), à Fenières ;Leleu-Millon (Noël)) à Ravenel ;Paussy (H enri), à L iherm ont ;Lecus (E dm ond), à Guiscard ;C hevalier (E rnest', à Francières;D csm arest (A rthu r), à V illcrs-Saiiil-Frani! o m v •Lcm airc (E rnest), à Ognon ;Durgcviii (Joseph), à T iverny:Fasquel (Conslance-Jules), à Courteuil ;D einonchy (Nicolas-Augustin), à T illé ;Sainte-Douve (Jacipies), à P lailly ;L ebellc(A lphonse), à Gouy-les-Grcseillers;> a cousin (Alexandre), à C hepoix;P raq u in (Fédéric-Auguste), à Ilém évillers.

S B C N U , I f * .

Nous avons le regret d ’annoncer la m ort de no tro confrère, M. (.harles Duriez, im prin iour à Senlis «•! proprié taire-géran t du jou rn a l le Courrier tic l'Oise.

Hom m e intelligent, laborieux , tou t c n lh 'r e t sans cesso aux «Ithcalsol m ultiples détails «|iioconiporte la position q u ’il occupait, notro regretté confrère em porte dans la tom be les sincères regrets de ses nom breux am is et de tous'.«eux auxquels il n été donné d a pprécier chez. I hom m e e t chez le père de fam ille les sentim ents q m n o n t cesse de le gu ider e t de le souten ir dans sa labo rieus’ quo ique trop courte carrière.

M. l)u rii« r ia it depuis ( 8 i 2 à la lé lc d c l 'im p u m c n c e t nvnit tonde en 1 8 1 1 le journal auquel- il y a quelques jo u rs à peine il consacrait «MU-ore les in stan ts d e calm e q ue lui Accordait sa maladie. A djoint au m a ire d e Senlis en 1 8 i8 , élu conseiller m unicipal en 1863, il avait consacré au service de son pays les loisirs «lue lui laissait sa position.

Les obsèques de M. Duriez o n t eu lieu jeu d i dern ie r, a u milieu d une foule nom breuse et sym path ique, appartenant à tous les rangs de la soeufo. Mus par un sen tim ent pleifi de haute convenance, le m aire, les adjoints, les m em bres du Conseil m unicipal se son t reunis avant l 'h eu re des obsèques à l’Hôlel-de- \ iIJoçl se sont rendus en corps au dom icile d u défunt,

A 1 issue des dernières p rières d e l'Eglise, les m em bres de la Loge m açonnique «le Senlis, à laquelle appartenait M. Duriez, lui ont rendu les d e rm e s devoirs. Voici en q uels term es s’est exprim é celui des frères m açons chargé en celle tr is te circonstance de po rte r la paro le au nom «le la Loge m açonnique :

« M«'s frères,“ Hans u ne circonstance aussi douloureuse, no tre p rem ier'

devoir était «le venir d ire un dern ie r adieu à n o tre bien aim é et bien regrette frere Duriez.

« Il a vécu parm i nous d e folle sorte q ue nous ne «levons plus q u e nous ne pouvons plus l ’oublier.

« Comme citoyen et com m e père de fam ille, j ’aurais souhaité vivem ent «pi une voix plus autorisée q ue la m ienne vint célébrer dignem ent et ce qu il a été, et ce q u ’il a fait. Du reste, sa vie, ses m alheurs, ses bit tes infatigables, sa vive et profonde affection p ou r les siens, to u t cela n est-il pas assez connu d e to u s ’ r .“ ty m m e franc-maçon, il appartien t à nous, mes frères, de faire ici I eloge «le son esprit libre et généreux, tou jou rs au service « u n e ju s te e t noble cause; «le son cœ ur fraternel, tou jours p rêt au dévouem ent cl a u sacrifice. 1

c ^ ous savez que dans le conseil, il nous su rp rena it p a r la sagesse, la m odération, la c la rté de sa raison et d e ses idées; que dans 1 ac tion , il nous cu lm ina it par la cha leu r et la sincérité de ses exemples. \

« Ame vraim ent fraternelle, et naturellem ent élevée, c .eu r si fulele a tous les sentim ents do solidarité inaeonniiiue, il j, honoré par toutes les q u a lit.» e t tou tes les vertus ia franc-m açonnerie, à laquelle d o ta it lier d 'apparten ir.

■< Nous tous, ses frères e t ses am is sincères, nous nous efforce­rons il e tre ses im ita teurs, e t nous conserverons éternellem ent son souvenir, avec un profond regret de l’hom m e qui descend d ans la tom be, avec un vif et du rab le a ttachem ent p ou r la làm illc «iui lui su rv it, et a laquelle jam ais ne fera défaut n o tre sym path ique et fraternel concours. , .

P rère D uriez, reçois l ’adieu de fos frères, et 1 a ssurance «tu’ilsne failliront pas au «levoir q u i leu r reste à rem p lir envois ceuxq ue tu laisses après toi. '

■■ A dieu, frère. Adieu. »

C a i s s e d ’Ë p a r g n c « le S e n E i s .

Situa tion de la C aisse (l'optuyiia tle S en lis cave.déposants au 3 0 ju in IS09.

Le so ld e d û a u x d é p o sa n ts le 3 0 m a rs1809éta it d e .....................................................................

A jou tan t p o u r re d re s se m e n t d u co m p te dés in té rê ts c ap ita lisé s au 1" ja n v ie r I8G9, p a r su ite «le l 'a p u re m e n t d e s é c r it m e s , a in s i q u ’il I8G9 (*'* ' IU (*cs ^ 'r e c te u r s d u 2 0 a v ril

E n sem b le .............................P e n d a n t le d eu x ièm e tr im e s tr e d e 1809, j|

'? ,29r) 'c r s e m e n ls q u i s e so n t é levés àa I /o ,2 2 0 f r . 31 c ., s a v o ir :1279 v e rse m e n ts eu e sp èces . . 173 ,512 4 8 j

i V i a l i « S i î e V l t e c a p l i e s c l S S lv - îc i ico m p tes so ld é s p e n d a n t c e tr im e s tr e ................

T o ta l .........................A d é d u ire If.0 ,710 f. 97 «:., m o n tan t d e 433

re m b o u rs e m e n ts . d o n t 127 p o u r so ld e q u i «Â'i L,,i ht m êm e tem p s, savon- •ir t i r c m b o u rse m c iits e sp è c e s . . 139.079 7 4 \ ‘■18 a c h a ts d e re u e s .................2 0 ,0 0 5 2 5 '

I tra n s fe r t p a ie m e n t.............. 1 ,027 08.)

1 ,8 5 8 ,7 8 0 53

2 21t , 85 8 .7 8 2 7 i

L f.çons i>’Hoiitic.vi.tcrk.Taille cii vert. — écussons. — tra va u x de saison.

Dimanche i 1 : Séanco à Duron, à 8 heures d u m a lin . — Leçon après la séance.

Séanco à N'anlcuil, à 2 h eu res de l ’après-m idi. — Leçon après la séance. • ‘

L u n d i 1 2 : Leçon & Thury-cn-V alo is, à la m airie , à 9 h . du m atin .

Séanco à Detz, à 2 h . 1 do l'après-m idi. ■— Leçon après laséance. * 1

M ardi 13 : Leçon à D oran, à 9 hour«*s du m alin .S tan ce à Cham bly, à 2 heures de d 'ap rès-in id i. — I.econ après

la séance ' * rJeu d i 1*5 ; Leçon ù Ita rav , chez M. Delignières, à 9 h . tfialin. S tanco à Rellusy, à 2 h , de l’ap rès-m id i. — Leçon apr

D im anche 18 ; Leçon à Auger-St-Vincent, à 8 h . d u m atin, l A-on à Grépv, à 12 h. 1/2. - Séance après la leçon.J e u d i*2-2 • l.ei-m i ?i «tniivimiv- r . .-. n i . (|u m

Leçon après la

*I*ont-Slo-.Maxence, à m id i précis. —

l T a - i i 1’ ' *'**• u|iic; ......Je u d i22 : Leçon à (.«un ions, à la m airie , à 9 h . d u m alin,

icc à Chantilly , à 2 h . do l'après-m idi.Séance séance))

Dimanche 2 5 : Leçon Séaqco a p rès la leçon*.

Séanco à Creil, à 2 heures de l’ap rès-m id i. — Leçon ap rès la séance * 1

ILe T Iié« irc -S i’i,a n v a îs à S n in f-V in c en t.La s o iré e d u sa m e d i 2fi j . in 18G9 a éfo , p o u r les «'lè

les am is d e S a in l-V in ceu l, u n e fè le l i t té r a ir e d o n t ils d e rn n i lo n g tem p s le so u v e n ir .

Ou a t te n d a i t b e a u c o u p d e MM. S é w s tc , M assot, G n é rin ! a r t is te s d e la Coin t '«lie F ra n ç a is e , e t «le M. M azo n d ic r, la u ré a t du C o n se rv a to ire ; o n p e u t d ir e q u e la co m m u n e a tte n te a c lé d« 'p assée.

Le p ro g ra m m e é ta it h e u re u se m e n t v a rié . M olière y te n a it u ne la r g e p lace , e l c ’e s t ju s tic e . C’e s t u n b ien fa it p u b lie ilo fa ire c o n n a ître e t a im e r M olière , ou d u m o in s c e r ta in e s œ u v res «le M olière . Chez cet h o m m e, la lé g è re té n ’e s t q u ’A la s u r - lace : la leçon n u ira lo e s t d e sso u s , p ro fo n d e «•! v ig o u reu se P o u r em p lo y e r u n e co m p a ra iso n c é lè b re , l 'iro n ie e s t là com m e l’a ig tn lle q u i p e rc e c l fa it p a s se r lu fil. E t, p a r ex em p le , p o u r q u i s a i t c o m p re n d re , y a-t-il u n e tr is te sse m ieu x s e n tie q u e ce lle d u M isanthrope?

Les dé fa illan ces d e s Ames les p lu s fo r te s , m û n e d a n s 'une L poque sa in e et ré g u liè re , le M isanthrope vous les d i r a • j | e st p o u r les e s p r i ts ju s te s c l les c œ u rs b ien f i i t s ce q ue l a u s t cl M anfrcd so n t p o u r les im ag in a tio n s ex cessives c l les c œ u rs m a la d ifs . Le r u d e À lccste vous é lo ig n e ra d e c es Ames la d e s et m o lle s , q u i , en p ré se n c e d u m a l, u c s a v e n t p a s s in d ig n e r , e t n 'o n t p a s p .u ir les m é c h a n ts

Ces haines vigoureuses Que t'oit (tonner te vice aux âmes verlueu

A vec lu i vous d e v ie n d re z a n tip a th iq u e A to u te a ffec ta tio n a to u te m anière , A to u t c«i q u i s o r t d e la n a tu re e t d e là<1 lu w it IIIIIIIILIu, il IIIUI C«! q u i Sül l Utv é r ité ; vous re n v e r re z e n le u r lieu le s g râ c e s fa n i «fos." les finesses a ln in b iq iiéc s , les s e n tim e n ts q u iiilc sseu e ié s , le tnari- va n d a g e m iro i ta n t e t p ré c ie u x ; vous a im e re z d e p lu s e u p lus le v ra i , le n a tu re l q u i se u l e s t a im a b le , a d i t Ifoilc m e t D otleau a r a is o n . ’

Le m êm e B oiteau n ’a p a s é té te n d re p o u r M olière . A p ro p o s (t u n e a u t r e p iece q u i fig u ra it é g a le m e n t a u p ro g ra m m e :

Dans le sac ridicule où Scaiiin l'enveloppe,Je ne reconnais plus l'aulcur du Misanthrope.

T a n t m ieu x , rép o tid rn i-jc a n c r i t iq u e c h a g r in ; M olière e u t- i l u se d e to u te s les re s so u rc e s d e so n a r t , s ’il n ’ava it eu le s e c re t d e s e v a r ie r a in s i?

Les F ourberies do S cd p in m é r i te r a ie n t n u a i t l re re p ro c h eI IIIIO in .ll lll.... I , . . . (1^..___i.. , _ . . . *----- - /»*«• ii iu i l i e r , n i

ce lu i d ’une im ita tio n t ro p f la g ra n te , d so n s ie ’m ô l 's a n s ’b à r - «!î!a!ÎP.Ü*. Ee <i’r s l pas p o u r a v o ir fait

580 9 !

2 ,0 3 4 ,589~9Ô

100,710 97

• m c , ' ' ,a,l! a “ * d é p o sa n ts le 30j 'i iu IS09 , e s t d e .................................1 .875 .878 99

é v é r ita b le ,L e C aissier,

E . V TIN.

I a r décre t im peria! en da te d u 3 0 ju in 1809, les conseils «i arrondissem ents so réu n iro n t le 2G ju ille t prochain p ou r la p rem ière partie de le u r session, d o n t la du rée Jest fixé# à cinq

i» In r i , t . w Carî.C<î-(In 12 i*- CV1,st‘il départem ental a nom m é« l e * l à i ‘f r n 8V0U.é» p 0 ,,r ,a s '*rv« lla n c e d e s écolesd e la v ille de. Senlis, en rem placem ent do M. Dufay, décédé

; objets

S«M «« <é triio rilru ltu p c «le Scnll.v.Ordre du jo u r de la séance du 4 Ju ille t 1809.

<,ans lw ÙJHiiléd. - Exam en «le «teposes su r le bureau.A 2 h . , réunion générale.A.I(j|.liu,i.lu |,ru c iM W ln l ,U( la m „cc du (I Ju in .Au m ission «I un m em bre nouveaux D épouillem ent «le la « o rrèspondaiice (.oinm uiiicati.m «Indécisions d u GoiiiiléconsulLitir Rapports des (.om ités s u r les objets pr('*senlés.|i roposdtons e t com m unications.

Société,1'* 1,U m alin ’ k‘ 0n d ho rlic" U" rc I'1 ja rd in de la

q u e lq u e s e m p ru n te a n P l m i o » , q u e M nllùre m e 1 linriiîl c o n ila m n a lile : lû m e s les [n is q u 'i l luuc lio * •Tùrenee il |è n in n ilie c l le li'u iis ln i-n ic ; il ne p a r la g o |u is le o ln il d e son s unie p n n r ec ilc im -B lénandre ,c l. il l 'e x q u ise u i'lian ilé d e l’es- el.ive iifi-icain, il j in ifé re é v id e m m e n t la lan g u e IValichc cl iniiTuin In u l.ilen ieu l h a r d ie île P ia u le : S /m rc id ic i v e r tu s Ini m em o ra b ilc tt (C upl. P ro l. 6 e ) .

« lu is je v ien s d e re l i re le l ’édau l jo n c , d e C yrano d e D ei- g c ra e , .11 j ai é té s lu p é fa il d u s a n s gCne avec leque l le g ra n d M uliere s a p p r o p n a l l le b ien d 'a n l r u i . Il y a là d e s s u s ! j e le ï ï n ' . m f (;'i ic s . I .e s .e ia n d s J i i in W ii i 'i ,d l i iU nh-dm m - 1 I " " ' " 11 c l I re s eo m m ndii p o iir les ce rv e lles Ind - l ' e ' ‘ i i‘'s so ti lc n e u rs d e p a ra d o x e s : m a is il ne se i-iïl

» r des’ e a d a w e s ! d '* " l , l r iw r lc » ' • ! « » " « <1U >> »‘« i'« ^ (U

Q uo i.qu 'il e n so it, les F ourberies d e Scaiiin s e u l on n e nlliil p s d é je p U a m ç s porrr- le s gens . q u i , , 'o u l „ j

fae r d è s ^

r a l Ü u * " ' " ' - 'f . l '^ S 'a n i u i e p .ir l . i i l au ss i le nom d e re l ieS u e ' ' “ p l r a l i » » .* y iittm ifiir d S

le o u , ' d i r i , l°e , ' r ' l t e » T ” 11? l i -r " i l ,,ÏCC ‘ ' « « " ' n l Wnom «le t a il le n t d e D ritanm cus, s i «m uc sav a it nonn " S f , 1. ■ro :,n |l ,c iiial'iH 'live d e . é g /n ie l ù d i S 0q . c eu x la IIII'IIIC q u i se sm ii le p in s ap p ro e lié s d e l 'id é a le I oesie , el q u i o u i la il c h a u s s e r à l e u r m u se le n lu s s S rô

S h n S - S ,ù , l’i' s c r , , l , r U " " " ‘ «™“ le» f i S u q i m u 'r s ' , ! s . , 'r ! S | ' ! " ,Î , , !° 1,1 P ia isn n le r ie . Ila i lne" . , . I '" i b t i r d e s le t t r e s d e P o il-U nvu | e t don ié i'ië im Vl*i“ , ;, î,,-n,ri5 ^ " .> o!^ c t tre m p é e s do v en in , les n iu lle u tc .s , j«. c i o is, q u i e x is te n t «m lan g u e frança ise» I l n ’est

J e tlo S VU ‘" ,SSi ;li‘ «’îiP i'ché, d o n sIci i cJ ^ a. i st „ 1. lx: . „eà. , uo ijes

s o iré e SLI,CUX 0 “ S' ' " |l la c e a “ " i « I f e . iu lé re s s a n lç

«Ion .'au , U e V w U d é c h iré e q u i a “ dm

d e c ro ire c l d 'a im e r , r l q u e la voix d e s c lo ch es im porliine w r c o « r e l i e re sse m b le à la voix d u r e m o rd s , c i q n 'e lh " # ei î » l |s U r n e d u s e e n U W p q H H 0 3 A M ’. ' l x m

ot lo fond «le son c«eui-, de tul-méme ignoré, peu de vieille foi, parfum évapoté. lfit/J-dioiii.J

De l o n t t«lien en

I S r c ^ i S K S * ' ' 1" 1111' * ' “«en,d a n s to n s les a r ls . e t ’dwiA e é f ii l ' d li3 mm,-,

lien e n j a r M i h e r . on a vu e n p ré se n c e r l n , conflit < w J ai " ! T ü m 6 ," , ,e '.H , ô è ,,û d tf» l a W b ^ o r |g ih 2 Uïx

m uvniit: rnx <1..

a i l i e r , on

d é b n l d e n o tre th é â tre , la t r p u n e do M oliè re a v n ï ^ u ? n .ù tc l d e B ou ig o g n c . La ^ if t lo if tW ' A e é Æ c i l ié ^ i f v lc h ' p a r fa ite d ig n ité r t la n o b le sse , ce n a tu re l q u i ne p eu t ô lre ilt q u un n a tu re l l r è . s - l m a i l l e t t r è s - s a v a n r1 P ®,r e lc|

i ^ s ^ i i î S S a S ' 5 ? ! ] ? . ' . ^ puru n e so u p le sse d e p p r n l c e , d , j e ules e x p ie s - i , upu »iiui|i>tr a d i t io n offic ie lle , p ro d u i t la n e rfrc lio n E n la '7 ’ ,u

r a d ie r d a n s e r â le d 'O ro n lo . les p r é lc n lio n » e l te v'a, ild m i !ih n lm arq u is h e l - o s p r i l r t l d a n s ce lu i d e I I “ l e s ï i s t e îlo> t ic s d e c e r ta in s c ic é rn n s Hn m ’ovi.,..» ... „ Cs. ' tlus rie., d e c o r la in s r ic é ro n s d p p rovince ' e n h n , d u n iie r .a i .x s lro f il lr s « jM o V eid rU h 'iÆ een l l e u r K m

’A 1

g ra n d p a é lc u r n 'a u ra i ! |m on d i r e e n u n e h , , « f f l M M ’M M- S êvcslo s ’appM. M assct a jo u é , s u p é r ie u re m e n t le rô le cb lé ll l’.V f I il «ldio hôi'n !.. "

I e v iliu u -l«> ch o ses q u e , le plus i ie .h e u ro . . i j'PPjjflJt® à ' s r f nhiis.

b ien i .illi'li!de f o '« “ lc !q n b r e f ë l r ië d ig n m h m c m iiè n n c îh | h n in n ie e u x rubans m à ; e l d a n s le X c o u r s d o l”« i» l î il r e p ro d u is a i l , avec , u n e e x a c lllu d c i r ré s is lîb iè m ïü i co m iq u e 1rs in lo n a lio n e b u r le s q u e s d é so i, j e 'Û S s S n , q u i . m a ig re so n in e x p é rie n c e , fa isa it a s s e i b o n n p n îv .ln a

Aii :,c,tî,,rs •«•V1? JT ^ m iè re iscène d u m o n d e . M (fu é rin d it avec u n e v é r ité «licidon.i»^ j . Ul,IH, • ■ im m u iu ic Mitnie «tu m o n d e 31 G uéri,,

N e ^ L ^ ' ; ‘e , ,VJC

p re n d re c o n g é d e n o u s , e l M. I f f i T i L S K" " o r p r é i ç . d ‘ s vers d e c irc o n s lk n c c . i . e p u b lic v n' i ccouim o u l io le d o n p n e liq ile , u n e 'q iln li lé d i,) . ip po rlicu ', S e m c n i « se s 1, 111, s . r , q u e 1rs p r iv ilég ié s M , :'W a | i p r é r £ p h Ï Ï o s r : ,e vonx d u e c e lle p a r la i le e o n v ë n a n îé . « I l e a m a-

b ilifo , C c je ilo sa is quoi q u i d r i l in a û c rtiifo.ii-H 'hm i i . k . .T » "î : . « • u v e n a iic r , c e tte a m a -

I.V é c y « .fo M /s (yH(, , q , „ d is tin g u e .in jo ü rd h u i l’h o n in e ! I'} *1'" f s D a d a u 1 7 - S iècle I honnc le h o m m e

h ab ilc léF o u r ê t r e co m p lt-l, j e d e v ra is d ir e bvcé q u c ï ïê 'l ia b i lc lé j ..,0IX a JVUÔ- !' , , r *c l^ a ,l° u n e o iiv e r ti irc d u B arb ier de

S M I la . é t :ù |,‘e h llv ih ln re d e i 'e o . /rn in iï . M , A ™ h t jtro fe sscn r d e m u s iq u e « m ûrira it «lè co i h n m m .M lié ,en , r , Je p r « l 4 o 1 , , d s s e ? ) ! f % ^ e ^ / î W ^ c^I o n t s i c h a le u rc u s e m e id a p p la u d i . n a I "

Un a c c iilrn ,. q u i pou v a it a v o ir d e fn n çs lo s c o n s in u e n c rs e s , a r r iv é à S .-nlis m a rd i d e rn ie r . 20 ju in ‘•“ “ séq u en ces .

M. X . . . se p ro m e n a i, v e rs lo m ilieu d u j o u r su iv i d e ses a n s u n e ru e d ô s r r iP .-mnoizs» i- o ..I j . . . hC!>

. . . . lc m ilieu a ,| j o u r su iv d e kmen fan ts .' D ans u n e ru e « luserte a p p e lé e la ru e d e s Ja rd in ip r* d a p r rq o i, M i l i a . , a u m il ie u d û h o ïb es .™ !,e lm ,e & sa vue a sse z fa ib le lu , fa i , p r e u d r ,, p q u r u i ï l é w d . S r i m m o n tr e r A sc s e n fa n ts «inc le J tW rd e s t iiuiDRiii - n . i . ^ i •inolTeusir q u e c ra in lif , il seI a n im a l, b e a u c o u p p lu s g ro s q u ’u n lé z a rd , Iqj en v e lo p p e lo p o ig n e t, e l le m o rd .. . S in n i is c l « ,i« t ««,,. I L r - S 1 . B

rlsèn i, la p ia fo , La n ia ip ■s'cs't.eugoiirdio d 'n l L c t'f ld re g 'g n a i l in se n s ib le m e n t ju sq u 'A fn b o rd avec Ile b ra s

m a n | s , é s . f ) * «À u p iu rd l iu i , M . X ... e s t p ré sq ite c n l i i r c m c n l 'r é ta b l i .

1 s ’en e n q u it . M. X . A.V u . 1 ’ p re s q u e c n tie re n ie n l ré ta b li .

Q u a n t A la v ip è re ; 011 s e r t e n q u it . M. X . . . n ’nv .u l pas

ntdrP du n '*■•". . . . _ , vtlv ..p p e léo .laest fougue d e 4 0 ccu lin iè lro s p i n m n iiA "■««g o u lo l d 'u n e b o u te il le . E lle po ide c o m m e W i f t e r S ^ i 9 ”! t d e s c rn p h e ls à v en in , r e c o u rb é s e l m o b ile s u n i so n i üî*11"!’ nu dcVaiil d e la

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p e l i ls ré s e rv o ir s à la h .ise .d e c h a q u e d e n , 1

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B3<«t c i v i l « le fS en llA ,.

d ' , . . . N aissances.Itoard (M arguente-A lphonsine); ' . ,A iibcrl (E lirnne-V ictôr). •! ii,;. ,

Ks m ois'Linné (A nliiine-qjn'sidore), 83 hns « 'm ois

eequcm oiillA delaîde-Conslanco), veuve j ia u p in , 8 7 a n s 2 m ois Publie /liions d e m a rie tic t.

Ç J ” ' c ' " j ' p e i'sp icae ilé d o n t so n , d o u é s les c u ra n ts , Rosim , a p e rç u ! le n u a g e q u tc o u v ro i , la lig u re d e sa m ère f S 1? , ! ', chev i1 cl » p ru d a n l au cou d e h, p a u v re

V " * 111 J ' le u d re s se d o n , o u ne l 'e u tp a s c r u e ca p a b le :^ 'T ^ .S ô u ff re R , m è re ?

Un tp u f p e til p eu .— M ais lu so u ffre s fo n jo u rs q u a n d p è re n ’e s t pas IA !

ΰ.US**- V rn fa n l vcna il d e lo u c h e r u n peu b ru sq u e - m c n l s a p la te sec i e tc . .. . M

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lon gtem p s’deho!v!.ral '' *' " dH '1" il "c s m " f™( j A S l t e S S i È rC.P' ! 1 a. ,,ss. ilù l lc " « » " • ^ A m élie , il e ù l é lé

A . d r d é ( ,c n n e i ' ,a n a tu re d e sa p ré o c c u ­p a tio n persévérant^ . H

A p lu sieu rs, r e p r is e s elle tourna te l i l e co m m e p o u r £ ’ T ,a I " ' l’o b séd a i, ; m ais à la l l ,e ta r e n s t a

b e m b la n le- ,<v (lO.OlUIllvC JCUIlt

m ,’éÛ!.Svon? m ." Pili 5 ' î W .A 'n w * * » » } * 8 c la m a u v a ise a c iiu n q u eHc va c tm im e tiré , se r e n d i t , u n b o ’ ’ le c a b in e t d u cô lo n c l.

b o u g e o ir A la m a in , d a n s

i W f e r s •*- *q u i tiro ic iiL le s . ...

Uou.ÿrit d u b o p l d it d o lg l é t lu t :

> : ---------- — e Ifjtriu, éln o ir , avec se s b a n d e s a z u ré e s

Z o ' *r. î ü i i T i ' n o i‘I Ul> a ° 'g l e l lu t ;* S u r s ig ita le iflen l, re t ro u v é e a u G ym nase Su lly .V iens jVRé, v t r r a s d ém n in lo i-m ôm e. »

i ; « Albert »d u r* n p l re trouvée f la m b o y è re n t a u x yeux

U n é f tm m e ! « sca rb o u c le s . Ce fém in in d é n o n ç a it

,,or,1in« r a P*ï« d u f lu id e é le c tr iq u e n ’esl pas ® f f i n !.*0,ï re c ,0 , ,0 'JjMUr? * 1 flue T e m u e l d u m o t p o u v aitAlICU . Cire lin llIXH Hi> flàUlruum nruto il . . . (--la-:.i ) r k ai «evfiw iu lu i i j i iu r s e ï q u e l 'e u

'E li ll l lo «n,ivn 1.x I.w. j . . .i l r ï î o 'S S é V " ,! , ,0 ,l» J“ l0u ; e e n d es ango isses ind ic ib les , rk h l Æ l ! ? i ir s r in q .sn n é in , d o son m é n a g e so d re s sé

' l e ' :” ,ll r t * T " ,* avec le u rs m o in d re s Iu c ld e n ls , c , b ien

U r r i b i r 8 ' “ '-’S in b an le s p re n a ie n l lo u l à co u p u n e g ra v ilé

p l a u s i b C ! 1 l’l " Si™ r3 fuis s a " “ m o tifs

i, il I ll,llc .'b".,? s “ " ll:lssi! d 'h o m m e u n e lim ire d ° m m e m m t'n «un c 'J ia i i d é ro b é e __ ■ - n 0 'u«. u .. • « ■■ ' ' ' •« «m ilium u n e u s u r e «i'* -e in m c a im é e q u i s ’é la i l d é ro b é e aux r e g a rd " e t (,.ri v en a it - to u jo u rs re c h e rc h é e - d e r e p a r a î t r e A l 'h o r iz o n ?

Ce rc tic u v c c d u t t lé g r .im tn c lo d is a it b ien .im iir ,® 0 I* l t ,n ,r a ‘l,,cJ«|Ucti n u iu iic s (ivaiil l ’h e u ic d i t e c l i o u i a sa fem m e e n p le in e c r is e n o rveuse .

- - V oyons, m o n c n fa n l, lu i d it- i l d e ce to n n u i i v m n n n i to u jo u rs h. s é r é n i té d a n s l’â m e d e la ja lm fsc" h , t,e^ H «Jonc j a m a is A m es ab sen ces ? J e le liens le n lu s "i-u»d rHnénià d u p ro fond a m b u r q u i «e re n d si n iilh m fo o . ' n is c l t c c e s e r a i t m e ille u r «l’a v o ir d u c o u ra g e !

7 ~ p h ! m on R ic h a rd , c ’e s l n.iss«’- «i tu uv.i-.i^ . . . . . . . . t

p in s o n 'CU' C p r o " liso- " ' 'é " r » i s ï 'o u v é c g a ie co m iq e nu

o î e ï ï E S S ' . f W . dirC ' C,,F,n,; " ,ÈrC ctl lp“i ““ ' a— A llons! a llo n s.' j e vous p ré p a re u n e n e litc s u rn ii< :..-

S 'p a r i ï ! 6 * risC" e s f D a,,? jo u r s n o u s s e ro n s

~ T u v à rA ép !ié is» aSSa t h n * !CS yCllX d 'Arc<:’li,;-— Avec v ous d e u x , m a co lone lle !— P o u r a ffa ire s d e se rv ice»— P o u r f lâ n e r u n b r in , m ad am e .~ W P ° u r v o ir G uignol. nA! \

n o u s ™ c ; S t e h , e m 'm ; j „ ni: ' ,MOi" ' , '1 r # , ° i r ‘'■«•i3 » o l ro .. .

r S i : ,d MU ipi" a cuup •»— « te lm c M n . R ic h a rd !0 ' V° " 4 C , ,is " 01 ' l " ‘ r l , rn l)? t'o t l* !— V ra isem b lab lem en t, m a co lonelle.

les n o m s les p lu s o d ie u x ; len d e m a in .

J.e s o i r d o puiir.li. e lle oyoR . e c u ld u i l le co ten r l iu x qu 'au il ,l<! 1 a p p o rle m o u L P u is e lle l 'a v a i l re te n u l u r e neüo

p a r un sc r re m c n l d e m a in |,ro ln n g 4 . 1 “ " u— A dix h e u re s — h e u re 'm ilita i, 'u ! fil le colnnnl— Dieu v u r? •Pf 1

, „ 7 , d e . ’" P“ " vr° a r *, " s ‘e- aie <lc m ' i . i™ v o lub ilis es,

— V ciix-I„ q u e je russes se u lo n ,e n , ne lo d tr p ré se n c e ? -

a v ï ü l in u l ' h , ï ' ,“ r a i l «•alv l(>rU*r<l. ,.e d e v o ira v a n t t o u t , j t n en s u is p lu s A I a p p re n d re ,,

U l b é n n a p a ro le s , c o n im e les b o n n e s a c lio n s , n ié f ilo n t -------- - r ; ” wt»-", «•«•iiiiuu ics îionnos aclionsk ile u r réeo m p en se . T u a u ra s u n q u a r t d ' m u re d e m i r a ' o r o d e m a m je id T i.H s i l'o i-Jro d â j o u r ï ï S , 9 '■

L ll PCII (Ifi n u l l> II (If s f lld tt V /.lll Ivili.v I ' ' '- , j e tu t i l t 13 «I I «I. UI C u

U n p eu d e p a tien ce , m o n v o lub ilis! E l le co lonel l 'e m b ra s sa a u IVonl n / i u iu i1

A m élie!

I u n i m a s s a a u i r o n t .I u is il s 'é lo ig n a c h a n lo n n a n l è l fai.san lclj« inô ler son

s u r le pavé d e la m e . ' ro m m d p o u r p r , i l , ' c r 1 , m tsm ie a u p rè s d e sa fom m o a im é e . " T: fo r W .

J Z . l ï S f ï â ï " " ! ! ! ^ î î L ’r * ! ' . ^ . P ^ M u 'r n o > é ,e du. - y ........................ fl’” UoYlt la p é ^ é liic r to - ro te dut fo î î ,,,ûn ,b î,Hj ° ,*'*'d'htii, q u e l’An no

o ? ,,,o lro c iv i,is a ll° n f ro n d e u se , cesa iu o u is se c a c h e n t p o u r c c h a p p e r a u r(y c . . -,

A m élie re n tra n a v ré e ; e lle o u v rit la fen ê tre s a n s nt

S S î â " ,8 ? v ü c <,U rC8;" ' 1 J" M," ’aU p , ^ ,it' r ^ l o u r q u i leuly

l e i n d . l V i PlV'im ? 1,1 r' l lô l l '« . V in t s e m e u re le . p i é d r s u é le g , i id c - lc i i , I u n i a t o n e , los m a in s s u r le s g e n o u x . '

^ i R e a in e m e u a i ln n b r n i l d 'e n fé r d a n s les a t i l r e i p iSe,., .

E lle a r r iv a a in si c h iv iiu c h a n l à n p rè s do sa m ère

si j te v a is 'u n ^ i » f â v pl!)s ;

E h b ierl? tn t q h l és l BAh. f fllT W f m T S n l n i i S S f 1S àn m . h , peux m e d u ,m e r u n e p re u v e d e eo, a m m ,r

— N e r is p a s a in s i . . .-<■ J e ne ris p lu s !

- Eh b ie n I c e lle p re u v e n o u v e lle .. . n 'e s t d e r e m e ttr a au

& -— J a i ln il.',I,.-.ol... . . . . . . ,

, . . . . . . . . . . „ m o is :

E l h ' ' , , e li î a U p h ,» . t , ' iC l' P8,M' ' n u “ 1,uri' ’11' ' '

s f i L j e' a'h,c(srp t '" P*vrjf, qui qu.ri 1

clm.M 4 - Kn ,t.b |eu wj|lftl, r

. t-i

" ^ 7 0 1 .! ', i , 0 ° ' * '• ’ r ' • '«biU ’i lioti T .i i iL r ,V ,. ; i ; lM

n1r„ C," M’‘.'Ja ‘ “ t l * • P r r fc lion «te Cliornl.it DuK imjilcs o ‘t unir,ttr< ."l'è "l" ,‘" la1nat> ' ,u fJoùle» ou . nU IlteuA lA tincM "iil iir li tf i t ....I V , „ . uuuUunct spcomtM qui, cn liv o u l nü enen»

, . 1 ! ..............! (L inriU j ro L luieolnl est |,arfnilenii.'iit k ,I,|I,|o etOlivirnl n i» rOnniv,.. !... i ’ , |iarrnilcni,.‘iit infoltlc et “ . w S u „ ! *!' te d te b U vüeqifto p h i,

«Iii.tlilo VfthitlA A « «V «1 oV '.V ) ) i 1’ î C,'i T* fL , il,I l f> fr . lu l i t . ; \ Î Ï J Ï Ï S ô é l K r: f '• . V- . * « Chocolat

1" - tlu tl (T ’L« ** pur « <lle l’itiltin il est

idijtQtTÜT 'Ulûiq*'

II.. I, pu r ««ne r il non il c itSenti» , « mi « A.' ' <e». pfacoiVen,l3|}if, f.ifi,. ffr. |>ciiH\‘ «

ehpt lemilyiwq. et êpiç.

Vallée (I Tarcy (,

Margucriti Fou tain

- F l e n r

1. Avilly1“ L 'A u 2 ° / ld i e t

2. P o n t - ! im Salai 2* L e s l

3. Aujg;Ie< 1° Patri 2* L a T

AnnotPar a r r ê t

approuvé pa l’In térieur, a élé désigné l ’arrondisscr judiciaires c

est oldigatoi soixantfvncii feuilles de l’a l’insertion d<

Elude d é 1 r u e è

C iR R IÈflSiso t e r r o i r

lit

L’adjudicatio w p l J u ille «les criées tattee d e S

En cxccuti nislèrc do La Maxcncc, en enregistré, tr des hypothè 1869, vol. 4!

El à, la Lemairc, pn ranl à JLianct

Ayant pou Il sera1 pr«

vJist L andqt, nouille, c an t

N’ayant pa A la venu

plus offrant l’extinction t

D’uhe Gari la Garcriue d, ficio, ' j ' coin l’entourent; d’un cô té no couchant à coinmuno cl aux héritiers

Oiitide l’on, •a mis»!

il pouifaison quérir lion d'

i 8(11t- /

i'Séidlfi’d ’isé :

FaitMllSsi:

Son

E n r ^ i s l r etxfih, reçu

PM nne c l do

\

Page 3: NOUVELLES DÉPARTEMENTALES. î^ïsssi (Ibmsenlis.com/data/pdf/js/1864-1869/bms_js_1869_07_03_MRC.pdf · 2014-02-27 · Celte répartition s’est faiie Comme suit: le 1" bureau sera

JOUItNAL DIS SKNIi'lS.

ipo rlnne ,îl^qu'cHe

*• latent

HPcom ê. S i U e u , r>8inaux. H t. Nous u c r re nu i r r i t e de f avec la il ê t r e Ici

c jillé par l à (unies " iu le à la ml jo u e r p u is p ;u " fié so l legCStCS l (

le P a r is ; ni' à to u r URCm'cm « I l é ta it n rl.iii en i rem ue- î le plus

r s 1 ain is. I >1 avait te n u e de b,lit -Jean, ib lem cn i pu ffleu r, ï f ig u re à . G uérin l iq u e de eu CI Inm m e un u p a r un »sê p o u r b ijem cn l rec o n n u , ja lo u ic n t •r p in s à Ho a rp a - l'h o m m c

h a b ile té irbtcr de 'a im ab le i inco in- c u i s q u i

qucnccs,

vi d e scs rd in ie rs , hdsc que IK 'siriiul nul aussi au ss ilô l

iloppe le s. il je lle

il a une iug . puis i reçoit- I. eaulé* île b ra s ; ic itàçn iit t p ro d u i- s 'é ta ie n t

. ré ta b li, iv .ul pas n m ç s de

■ri. k l le ie fjire le IVipnroK l p lacés e s te q ue d esso u s

le pe lilo dans, de

ire d e là M. X. .

a p a r tie llt'IIlCIll,le m o r t , c a u lé r i- 'in iq u e s é s .

Idly, e t Ognon. ainc-ct-

cc que di, va !

lire au

dis sa

S ©nilrinc,

M :

MJlIftllrI I.ÇÎICÏ10 c; h

|ll|c c l icn irn l le l!l. î inculnt n II c l t»«Hl “épie.

Loire), e t m adem oiselle Beiicq (Gatherine-PhiUppine) sans pro ­fession à S a in t-S a tu rn in . ,

M ariages.Vallée (Louis-Fclix), ct'm &dpmoiselle Morin (Roec-Krnesline). Tarcy (Joseph-Thcophih»), e t madem oiselle Ile rb lo t (Marie*

Marguerite-Claire).Fontaine (A inbroise*Goustant),cl tnadem oiselle l)al|in (Argeline).

î festival q u i deva it ayoir lieu dans ceUo est définitivem ent rem is a u dim anche p o u s ‘T àv ionâ annoncé. E u voici l |

P a s s a g e s d e t r o u p e » .Le 2* bataillon d u 49* de ligne so rendan t du H avre au cam p do

Chiions, fo rt de 18 officiers, 418 hom m es e t 2 chevaux, logera à UeauVais Ips 0 e t 7: ju ille t,' le 8 à C lerm ont e t le U h Compiègue.

Un bataillon d u I IP de ligne so ren d an t d e Caen àu cam p du Chiions, fo rt de 17 pfïlçjcrs, 485 hom m esdo troupe e t 4 chevaux, logera i Scnlis lu 8 ju ille t.

L’é lat-m ajor e t q p bataillon d e .mémo régim ent se ren d an t éga­lement de Caen au cam p do Ghàlons, fo rls ensem ble d e 2 5 o ff i- cicra, 485 hom m es d e troupe e t 4 chevaux, logeront à Sonlis lo

| M # i ï\ i i i w i N H *iàograinm otî Lj .

; Jusqu’à onze heu res , les M usiques se ron t reçues par M. lo Maire e t MM. les,M em bres du Conseil m unicipal, sous le péristyle de la M airie, où Tè v i i rd ’h o hneu r leu r sera offert, au fu r e t à mesure de leu r «privée. , . .

A onze héurcâ e t"dèirfie, réunion do toutes les M usiques, s u r l’ancienne place de la Fêle , avec. Bannières e t Insignes, p ou rso rendre en cortège, cii traversan t la com m une, su r l’em placem ent du Festival.

A m idi précis, d é p a t td u Cortège p our le défilé, e t o uvertu re d u Festival par la Fanfare de F lcurines.

Dre MEDAILLES DÉ VERMEIL so n t offertes par les Notabilités de la com m une.

F A N F À K E S .1. F o u l a l n c - l c s . C o r p s - M i i d s ,

48 .exécutante. . . . . . . .4° Im Reine R erlhe , ouvertu re . . .

’ 2" L 'E l is ir c / fA v w r e , fantaisie . -. .

A * .L a k e n a e s s é a d R ois, o uvertu re .2° L a Fée de Postdata, fantaisie . . ,

3 . C r u n d - F r c s n o y , 20 exécutants4 “ F a n ta i s i e ......................................... .2* M arche .....................

4. . I l o r t e f o n d a â u c , 2 0 exécutants1 . Pœ tilio , m arche tr io m p h a le .. .2 . A urore , m arche .........................

5. C h a n t i l l y , 18 exécutants . . ..1* O u v e rtu re . . . . • .........................2° Fantaisie ................. ....................

C her : VERIN. Tiu-iAno.Nkkuman.Chef : MEUNIER. T ii.t.nno.T ill ia iu ».

Cher : 110BIGAND. X.H.Chef : PELLETIER.Clo d o m ir .T i i .u a u n .

Chef : "JULIEN.

O R i » l l l E O N $ .1 4 'exécu tan ts . . .. . . . .

1“ VAigle. de-Frànce . . . . . . .2° A dieu e t R e tour . . . . . • . . . .

2. P o n t - S t e - H a ï C H e e , I8 c x é c . , 1* S a lu t a u x C hanteurs .2* L es F r a n c s - T ir e u r s .....................

3. A u g i c o n r t , 2 0 e x écu tan ts . . .1° P atrie . . .........................................2° L a T yro lienne des Pyrénées. . .

C h ef; BENSSE. S t k iSt z .Cii. S c.i i i.o s sb .

C her: CARILLON. A annoisn T homas.L . df. R il l é .

Chef ; BOULANGER. L . lu; R il l k .

20 e x é c u ta n ts ................................. C hef; LABERGUERY.4° Les Moissonneurs de la P r ie . . . L. u k R il l k .2* L a P rin tan ière ................................. OSCAU CoMKTTANT.

5. l'oiit-Nte-lInxrnre, 30o.\éc . Chef : MEUNIER.4” Vivat, chœ ur avec so lo ................. L u ic i Boiidksk .2* Chœur des P è le rin s , opéra (b

Jérusalem . . J ............................. VF.nui.G. N îa p -e B il- I rw -W iv B ^ c » , 3 0 cxéc. C hef : LÉTRILLARD.

1° L is P aysans ..................................... A. S a in t is .2" L e d épart des Chasseurs . . . . An. S.vei.N.

7. C.’o s u 2>îèa;u(* , exécutan ts . C h .'f :

4. C k e v r i è r c s , 42 exécutants . . C h e f: BOURSIER.4° A udaiilo ............................................. GAMini:n.2 ' Thémistocle . . . . ; ..................... ScilMKlDFII.

2 . Saiiil-itlaxâmiii, 18 exécutants. C hef : CASS1ROLLA.4° L u P erle , fan ta isie ......................... D uiiam kl.2“ Polonaise ............................................ Maiuk.

3 . > V c p I s c i-î c , exécu tan ts ................. C hef : MARÉCHAL.4* L ’Ingénue, m a r c h e ......................... X.2* L ’A u tom ne, fantaisie......................... X.

4 . Ponlpoiul, exécutan ts . . . . 4“ F antaisie s u r la S tra n ie ra . . . .

C hef : MEUNIER.

2'* A ir varié.................................................. N .5.- S c n l i s , 3 2 exécutan ts.......................... C h e f : CHAUVIN.

1 “ O uverture d e R é a l r i x ...................... B f l i .i m .2° Fantaisie s u r M a rth a ..................... ni: F lo to w .

Après le concours, m orceaux d ’cnseiiible p ar les Sociétés in stru ­m entales : le Sergen t, pas redoub lé sous la direction de 51. N antiiik i».

D istribu tion solennelle des prix su r la Place. .A h u it heu res c l dem ie d u so ir, Bal public à grand orchestre .

Dans n o tre num éro d u 7 novem bre I8G 8, nous avons annoncé l’apparition d u M oniteur de l ’Orphéon, cho ra l e t in strum en ta l, e t nous avons appelé su r ce lle publication l'a tten tio n d e tou tes les personnes q u i se préoccupent 'd u développem ent d e nos Sociétés d e m usique. Le soin apporté à la rédaction des prem iers num éros, le ta len t bien connu des artistes ém inents q u i avaient p rom is leu r co llaboration, le dévouem ent p rouve des fondateurs d e cette1 nouvelle feuille o rphéôn ique , to u t, ju sq u ’aux a ttaques violentes d o n t elle é ta it l’ob jet, n o u s avait la it un devoir de la recom m ander au public.

L e M oniteur de l ’Orphéon, q u i com pte m ain tenant neuf mois d'existence, n 'a pas cessé un seu l ii.s’.an t depuis sa fondation de ten ir les prom esses de son p ro g ram m e; paraissan t régulièrem ent chaque sem aine, il apporte aux m aîtres d e sages conseils p o iir la bonne d irection des é ludes; il in itie ses lecteurs à tous les évé­nem ents q ui peuvent avoir v u e influence quelconque s u r la m arche générale do l ’orphéon français; e t en p u b lian t les appréciations (les ju ry s des concours, il se r t à l 'in s truc tion des exécutan ts en leu r faisant connaître les fautes à év ite r e t 1rs qualités q u ’ils do ivent s'efforcer d 'acquérir . \

Nous croyons donc u tile d 'in sis te r encore au jo u rd 'h u i su r Ira services sérieux q u e peu t rendre ce tte pub lica tion , e t nous enga­geons fortem ent nos Sociétés m usicales à fa ire u n léger sacrifice p ou r é tab lir en tre elles une com plète e t constan te com m union d ’idées. '

Les bureaux du jo u rn a l, d o n t l’ab o nnem en t annuel e s t de 12 i'r., so n t situés ru e G range-B atelière, u* 2 0 ; il a p o u r rédacteur en ch e f M. AhVed Leroy, auquel la correspondance d o it ê tre a d re s sé e .

â t a i n t i n c » . — Les faits regrettables do n t la com m une do Saiu!m cs a été le théâ tre pendan t la soirée du 2 1 ju in nous o n t am ené à fa ire quelques recherches su r cette coutum e bizarre d jà llum er des feux le jo u r do la fête de Saint-Jcan-Baplistc, en réjouissance de l 'arrivée d u soleil a u solstico d ’éto. •

Celle coutum e se ra ttach e au pèlerinage étab li à Snintincs vers la lin des croisades e t q u i a é té pendant longtem ps le plus renom m é des pèlerinages d u Valois. I) après un h istorien digne de foi, « on s’y renda it do tou tes les provinces de F ranco e t môme des royaum es étranger». •

Il é ta it a lo rs d 'u sage , p o u r les pèlerins, d ’a rriv er la veille de la Saint-Jean e t d e r.e baigner dans la fontaine, q u i avait, croyail-oa, la p rop rié té d e guérir les m aladies e t spécialem ent l’épilepsie; ils passaient la nu it à la belle étoile, couchés pêle-mêle dans le c im etière ou aux ab o rd s d e l'église. Après avoir en tendu la messe d u jo u r e t la it do nom breuses em plettes à la foire, où sodonnaient rendez-vous une m u ltitu d e de m archands, chaquo pèlerin repre­n a it le chem in de son pays, em p o rtan t, p o u r se préservor des accidents d u tonnerre , quelques déb ris d u bûcher, de l ’eau do la fontaine e t u ne petite figuro en plom b do sa in t Jean-Baptiste.

.L’ancienne confrérie u e S ain t-Jean-B aptiste fut reconstituée par lessoins de P ie rre de G üignùrès, (pii o b tin t à ce t effet une bulle d u l ’apo C lém ent VI, m ais les archives a yant été b rûlées pendant les guerres d u lig n e de C harles VI, il fallut de nouveau recourir au Pape, e t Clém ent VU, par une bulle datée d u 12 avril 1531, consacra les anciennes coutum es.

Quelques tem ps ap rès, les bains d evinren t une source d ’assez jo lis revenus, ca r ils é ta ien t d ivisés en tro is classes e t ne coûtaient pas m oins de 3 0 , II» e t 8 livres, ce (pii a ttira eulin l'a tten tion de m onseigneur Sanguin , évêque de Sonlis, (pii p a r une ordonnance du 24 ju in 1048, défendit les bains, -• tan t à cause de la m allolo q u ’à cause du spectacle indécent des gens q u i se déshabillaient publiquem ent ju sq u ’à la nud ité av an t d ’ê tre plongés dans la fontaine. »

Les m arguillcrs, (pii voyaient p o rte r a tte in te à leu rs intérêts, usèrent de tous les m oyens p o u r am eu ter le peuple con tre l ’évèqué de Sonlis, . l'u n d es p lus réguliers e t des p lus respectables prélats du clergé d e F rance. » Ils en appelèren t de l’ordonnance, comme d 'abus, au Parlem ent q u i finalem ent prononça co n tre eux une am ende de douze liv res . Cet a rrê t n e p u t d ’abord ê tre exécuté, m ais le cu ré de Sain t-P ierre de Verberic parv in t enfin à ram ener jes m arguillcrs à l ’obéissance, *■ en leu r donnan t 4 livres de rente à la condition q u ’on ne se baignerait plus. »

Le pèlerinage d e Sain t ines, qu i alla it de pair avec ceux d u M oat- Saint-M iciiel, de S n in l-IIu b c rl, du Saint-Jacques en Gallicie, de S ain t-P ierre de R om e e t de Jérusalem , n’est p lu ; guère fréquenté m ain tenan t (pie p a r les h ab itan ts des com m unes de Bélhisy, Saint- S auveur, V crbcrie, Sa in t-W aast, en tre lesquels s 'é tab lit p ou r la possession de la perche placée s u r le bûcher, des rivalités (pii fout b ien tô t pleuvoir ho rions et coups de poing plus d ru s e t plus nom breux q u e les g ou ttes d’eau bénite échappées du goupillon de M. le çiiré.

Nbns savons com bien il se ra it difficile à cet Iionorableecelésiüs- liq u e de s'élever seul co n tre les abus q u i sc com m etten t sous le prétexte de la d évo tion ; m ais nous pensons qu ’en présence de la g rav ité du scandale de ce tte année, l’adm in istra tion prendra des m esures p ou r en su p p rim er la cause, en in te rd isan t le feu d e là S a 'n l-Jcan , conservé ju sq u ’à ce jo u r p a r une superstition aussi ignoran te q u ’im m orale .

LA NATIONALEC apita l d e garan tie en tiè rem en t réa lisé : Î!K» m â J îL ï t j j»

A ssu ra n c e s s u r la v ie . — A ssu ra n c e s eu c a s d e d écès . R e n te s v iag è re s .

S 'a d re s s e r à S en lis , ch ez M. C h a rle s d e L a.nux , ru e N euve- d e P a r i s (p o rte C o m piùgnc).

L ’ ü N i q t îCOM PAGNIE D’ASSURANCES SU R LA V IE HUMAINE

C ap ita l d e g a ra n t ie e t fonds p lacés T ren te m illions de franr*.

ASSURANCES DE CAPITAUX "Pay ib 'c s a p r è s d écès , p e rm e tta n t a u p è re d e L m illu d e

la is s e r u n c a p ita l à sc s h é r i t ie r s .ASSURANCES MIXTES

P ro filan t a u x a y a n ts d ro i t d e l 'a s s u ré , s ’il m e u r t , ou à lu i- m êm e , s 'il vit à u ne époque d é te rm in ée .

UENTBS VIAGÈRESIm m é d ia te s ou d iffé rées , s u r u n e o u p lu s ieu rs , tô le s , aux

ta u x les p lu s a v an tag eu x .PARTICIPATION

Des a s s u ré s d a n s les bénéfices à ra iso n ;d e c in q u a n te ro i" ' CENT.

L a C om pagn ie v ien t de f a ire , s u r ce lle b a se , s a q u a to rz ièm e r é p a r t i t io n ; e lle s ’é lève à frtm es 3 I4 ;6 7 ! 9 3 , q u i s o n t en voie d e d is tr ib u tio n .

ASSURANCES CONTRE LINCENDJEC ap ital g a ra n t ie et (om is p lacés , qu a to r ze m il l io n s .La C om pagnie est re p ré se n té e à S en tis , p a r M. MÉLAND,

p lace d e la C om éd ie . ■>

SOUSCRIPTION A 33 ,0 0 0 ACTIONS DE 5 0 3 PR. DU

C R É D I T R U R A L D E F R A N C ECapital élevé p a r émission d ’actions

V ingt m illions «le francs.

1m souscription sera ouverte au siège social, 5 , ru e Scribe. l 'O in PARIS, LE 5 JUILLET SEULEMENT.

Mais DÈS AUJOURD'HUI lo i souscriptions des départem ents ac ­com pagnées d u p rem ier versem ent de 5 0 francs, reçues p a r corres­pondance, se ron t classées, jo u r p a r jo u r , e t les dernières seront seules réductibles.

Le Conseil d adm inistra tion au ra la faculté de clore la souscrip­tion dès q u ’il le jugera utile.

On verso • I fr- !)ar aelion en souscrivant.' i 7 5 à la répartition.

E nvoyer 5 3 francs n ùu r charpie action, en espèces ou m andats s u r P a n s , ou verser des fonds dans l’une des succursales d e la Banque de France, au com pte de M. II i r a d a t , directeur du Crédit R u ra l de France.

Donner exactem ent scs n om s, p rénom s, adress?; cl le nom bre d ’actions souscrites.

E n vo i de prospectus su r demande.

GUÈ81S0X DE LA PIITIHSIE PULMOAURBEl de la M S R O .U C H lT iE € l l R O ^ I « J U J i

T ra i l rm e n l n o u v eau . — B ro c h u re d e 134 pag es, T é d itio n p a r le D octeu r J ules Ro v e r . — O n reço it cet o u v ra g e fra n c o e u a d re s s a n t I fr . 50 en t im b re s p o d e , a u D octeur J in ^ s R o v e r , 1 7 4 . b o u le v a rd M agen ta , ou à M . D elaiiavk , l ib r a i r e 2 3 , p lace d e i’E cole-dc-M édecine, à P a r is .

Le Propriétaire-G érant : Ernest Pàyex

A nnonces Ju d ic ia ire s .P ar a rrê té de M. le P réfe t de l ’Oise,

approuvé par S . E xc. M. le M inistre de l'In térieur, le J o u rn a l d e S e n t i » a été désigné p o u r in sérer en 48G9, dans l'arrondissem ent do Scnlis, tou tes annonces judiciaires e t légales.

i ü im u 'i tn i ™ , ic g a ic u r à a c ie a u o ' i m u m »est ob ligatoire p o u r Tannée m il h u it cen t soixante-neuf, dans chacune des deux feuilles de l’arrond issém en t désignées pour l’insertion des annonces jud icia ires.

A r t . I " .

Elude d e M " F r é m y , avoué à S eu ils r u e N e u ve«dc*P aris , n° 13.

V E r U T ES u r sa is ie im m ob ilière ,

d ’une

CARRIÈRE en exploitationSiso te r r o i r d e V IL L E R S S A IN T -l'A U L ,

lieu d i t la G a re n n e .

L’adjudication au ra lieu le M ardi v ingt- sept J u ille t I8G9, à m id i, en l'audience des criées d u tribuna l de [ireinièro in s ­tance d e Scnlis.

En exécution d ’un procès-verbal d u m i­nistère dé L am bert, huissier àP onl-S ain tc- Maxcncc, en d a te d u tren te avril 48G9, enregistré, t ranscrit l ittéralem ent au bureau dis hypothèques de Scnlis, le treize mai I8G9, vol. 4 9 , n -2 7 .

E t à, la requête d e M. Louis-IIenri Lemairc, p ropriétaire-cu ltivateur, dem eu­rant àJLiancqurJ,(Q is(û.

Ayant pour avoiié M* Frém v.Il sera1 procédé bontro M. Rotnàin-Ger-

v ais.L ando l,.,.carrier, d em eu ran t à B /e- nouille, canton de L iancourt (Oise).

N 'ayant pas d ’avoué constitué.A la vente aux -enchères publiques au

plus offrant e t d e rn ie r enchérisseur e t à l’extinction dés feux.

D’ujie B arrière en explo ita tion , lieu d i t la Garenne de Villers, con tenan t en su p er­ficie, ÿ com pris les lerros e t fiiehes <|ui l’en tourent; Koixanlotdix-sopl a res’ tenant d'un cô té n o rd .Lucien P o iré e t Jaco b , du couchant à B erollepol, les friches d e la eoinmuno c l au tre s , e t (l’mi bout au m idi aux h éritie rs Jcan-D aplisto Landot.

M IS E 1 P R IX .Outro.l.es charges, clauses e t conditions,

de l’enchèm , l'ad jud ication au ra lion su r la misi? à prix de. . . . . . . . 300 fr.

Déclarant (pie tous ceux d u chef desquels \d pourrait ê tre p ris des inscriptions posr faison d ’hypothèques légales, d ev ron t rc- T 'é tir cetfe inscrip tion av an t la transcrip- bon du jugem ent; d ’adjudication . •

; S’adresser phui" les renseignem ents j4* A si- Fn iiM Y , avoué, im nrsu itfln t la

fente; (

.’oeiitis,1 p«> le cahtcm f ; ' - • < ;

l’a il et rédigé p a r 'l'avoué poursu ivant soussigné., Sonlis, le deux ju il le t 1869.

S ig n é ! FRÉMY.. Eoreglstré .. à iSenlis, le tro is ju ille t ,. , ’ :r*A'u un franc quinze centim es,

Moonne e t dem i com pris.Signé : Bov.x,

- P o u r insertion,S ig n é : F rèmy.

du tribuna l c iv il de hier des charges est dé-

A r t . 2 .

E tu d e d e M° IFrcmy, av o u é à S aillis , r u e N cnVc-de-Par is , n* 45.

V E R I T ES u r publications jud icia ires,

P u r s u i te d e co n v e rs io n d e s a is ie im m o b iliè re .

M* A vnnx, notaire $ Îm fter'té-'îfilon (Jfisne), commis d cet e ffe t,

d e :

4 “ U N E M A I S O NEl Dépendances,

S itu é e s à AUTI1EU1L-EN-VAL01S (O ise), ru e d u M oulin;

•Z f t - i B-IKCIW i le T Ë im s ; Sises a u te r r o i r d ’A U T IIE U IL ;

En (rois Lois q u i p o u r ro n t ê t re ré u n is p a r t ie lle m e n t

ou e n to ta l i té .

L’ad judication au ra lieu le Dimanvlic prem ier A oû t 18G9, à m jdi p récis.

E n v ertu d ’un jugem en t su r requête ren Ju par le tribunal civil de prem ière instance d e Senlis, le v in g t-qua tre ju in m il h u it c en t soixante-neuf, enregistré, m entionné au bureau des hypothèques do Senlis, conform ém ent à la loi,

E t aux requête , pou isu itc e t diligence d e M. Jean-M arie L am b in , m eu n ie r, dem eu ran t à Authcuil-on-Valois,

Ayant M* I’rém y p our avoué,- U s 'r a procédé en présence d e M. An­

toine D ecarrière, ancien boulanger, dem eu­ran t à A utheuil,

Ayant M 'C halm in p oqr avoué,A la Veule aux enchères publiques au

plus offrant e t dern ie r enchérisseur, et à l ’ex tinction des feux, des im m eubles d o n t la désignation su it :

D É S IG N A T IO NP r e m i e r L o t .

Une m aison, fcituéo à A uthcuil-cn-Valois, canton d e Retz (Oise), on ja rue du RJoulin, consistan t en pièce d ’habita tion , cham bra n cô té e t Ibuniil, grenier,, au-dessus; grange e t rem ise, co u r en avan t ay an t entréo su r la rue par Une g rande po rte , dem i c la ire -voie; d ans ce lte cou r, à d ro ite , écurie avec greffier au-dessus; à gauche, fourn il, to it à porcs, poulailler, le to u t couvert en tu iles e t ardoise»; ja rd in der­rière . L’ensem ble con tenan t, y com pris l’em placem ent des bâtim ents, vingt-cinq ares cinquan te centiares, e t ten an t d 'u n cô té M. C artier, d 'au tre a MM. Lacroix et P rieu r, p a r devant à la ru e , par derriè re à nlie pièce de te rre à m adam o Decarrière- Angol, avec d ro it do passage dans ladite co u r p o u r arriver à celte pièce.

D e u x i è m e I . o l .. Vingt-six ares sept cen tiares de terre,

le rro îr d ’AjiUieuil, lieu d it lo H aut do Drussy,- e t la sente îfc M arolles, tenant d 'u n cô té bord et d ’un bout ouest à m a­dam e D ecarrière, d ’nulre cô té m idi à m a ­dam e Allaine, e t d ’a u tre bout est à M. Guay. " - v U .

T r o i s i è m e L o t . T ren te -h u it ares tren te centiare» de

te rre , m ém o te rro ir , lieu d it les Ilacols, tenant des deux côiés à m adam e Allaine, d ’un b o h l à la ipêm e, e t d ’au tre bout à* M. Augustin Decarrière.

1MISH$ A P R IX .Outre» lés e!larges clauses cl conditions

dè l’enchère, lèS fninfeiible.; su s désignés se ron t m is en vente sû r lès m ises à prix su ivantes, fixée» pu r ré jugem ent sus-daté, savoir :

4* P o u r le p rem ie r lo i, à la som m e d e ................................. . 2 ,0 0 0 fr.

2° P o u r le deuxièm e lo t, û celle d o .................................................. 209

3* E l p o u r le troisièm e lo t, ucelle d e ..................... \ . . . . . 250

T otal des m ises à p r ix . . . 2 ,1 5 ü fi\S 'a d resser p o u r a vo ir îles rense igne-

4“ A M* FREM Y, avoue , poursu ivan t la ven te;

2 “ . t M* CHALMIN, avoué, présent à la vente; \

3* A M ' AUBRY, nota ire , dépositaire du cahier des charges.

F a it c l rédigé p a r l’avoué poursu ivan t soussigné.

A Sentis,,lo p rem ie r ju il le t 18f>9.fS igné : FREMY.

E nregistré à Senlis, le 1er ju ille t I8G 9; reçu u n fran eq u in zo centim es, subvention com prise.

Signé : Botn.P o u r in sertion ,

S ig n é ; FRÉMY.

A r t . 3 .E lude de 3 3 " F e é i u y , avoué à Senlis

(Oise), ru e Ncuve-de-Paris , n- i3 .

saas* B^SvII^IsonE n tre M ajeurs c l avec a dm ission

d~ E tra n g ers ,E n l 'a u d ie n c e d e s c r ié e s d u li ib u n a !

c ivil d e p ic m iè ro in s ta n c e s é a n t à S en lis . a u p a la is d e ju s t ic e ,

L » S L s i ’d l v i n g t J u l l k - d H fitëîO , à m id i ,

nu

0O I M N E b e m m imS itu é c o m m u n e d o RUSSY, p rè s C répy-

en-V alo is;

S 'adresser p our l i s renseignem ents :4° .-1 M ' FREMY, avoué, poursu ivant

la ven te ;2 ‘ E t à M - RKNOIST et BALEZEAUX,

notaires à S enlis.

E lu d e d e AH' i F r c m y , avoué à S e n lis .

o V I V O T EE L a S S i e n s ( l e n i h i c u i ' v ,

P ar le m in is tè re d e M' V h au an t. nota ire à Duron, co m m is à ce t e ffe t,

4“ » ’UNE MAISONSiliiéo à l 'E ltO V E .I.E S C O M U IIIE i,

ca iilftn d e N .in leu il-le -H au ilo u in (O ise), <L’o u i ' , J a r . I S u e t I l é p c n i l a n c r f » ;

2'' & DE 4 PIÈGES DE BOISS itu é e s m ém o t e r r o i r , et 1er ro i r

(I’Aiokh-Saint Vincrnt ; lE ia o S u « | L o i »

q u i p o u r ro n t ê t r e r é u n is p a r tie lle m e n t ou e n to ta li té .

L’a d ju d ic a t io n a u ra lieu eu la M a ir ie * »IC P c ro y é le s -G o in h rirs , le D im anche

onze J u ille t 1809, d eu x lico re .

S 'a d resse r p o u r lès ren se ig n em en ts :1° .m i-'T R K M Y , a voué à Scnlis, pour­

su iva n t la vente ;2 “ A M ' YRAMANT, notaire fi lia m u ,

dépositaire du cahier des charges.

Aitr. 4 .E lu d e d e SB0 H 'V é n x y , a v o u é à S en lis ,

(O ise), r u e N c iiV ed h v P aris , n* 13.

I . K I S A Ï J î .D 'un exploit d u ih irtistè te de Bouffe,

huissinr à Groil, en da te d u v ingt-neuf iuin 1809. enreuistré,

i! ap p e rt q u 'à la requête de Messieurs I es .V liiiinistratoiirs de la Compagnie a no ­nym e d u chem in d e fer d u N ord, dont le siège est à P aris , ru e d e D unkerque, n* 18,

N otification a été faite à M. le P ro cu reu r im périal n rès le tr ibuna l civil d e p rem ière instance de Senlis,

D’un ac te fait au greffe d u d i t tr ibuna l

Kir. f f l k pK*tEà51* F rém y, avoué d e la Goinpaguio du chem in de 1er d u N ord , do la copie col- bilionnée e t enregistrée, d ’un acte passé devant M " B audrier e t G orrard , no taires à Paris, le v ing t-neuf avril 18G9, enregistré, con tenan t vente p a r .M. Johu-B ‘nnington Blytiic, négociant, dem euran t à B ordeaux, ü tu r s d u Ja rd in P ublic , n* 2 1 , à la Co'm- pagnie anonym e du chem in de li r d u N ord, de :■ 1“ un te rra in d 'u n e contenance de v ingt-quatre aras dix-c-epl centiares, siiu'é te rro ir d e Grcil, lieu d i t la Vallée do Mon- ta ta iro , e n tre le chem in d e 1er du Nord et ja rou te déparlen icn tale , ten an t d ’un côté à M. A llâry, d 'au tre co té au te rra in ci-après, d’im bout à h ro u le , e t d 'a u tre bout à la Compagnie d u chem in d e fer d u N o :d ; 2" e t ou te rra in d 'u n e contenance do vingt-six a rc s4 7 c ju iia re s , situé au m êm e lieu , sec­tion A, n*1 381 e t 3 3 5 d u cadastre, e t te ­nant d ’un cô té à la ro u le départem entale, d 'au tre cô té au chem in de. fer du Nord, d 'un bo u t au p rem ier désigné, et d ’au tre bout a u chem in de fer d u N o rd ; le to u t form ant ensem ble c inq u an te ares soixauto- qu a 're cen tiares; e t ce , o u tre les charges, un prix principal de d ix m ille /'rancf.

L edit dépôt ainsi cîfcclué p o u r parvenir à purger lesdils im m eubles des hypothèques légales e t privilèges pouvan t les grever.

Avec déclaration à M. le P ro cu reu r im péria l ;

1° q ue ladite notification lui é ta it faite n o u r q u ’il eû t à req u érir , si bon lui sem blait; au p ro fit do q u i de d ro it, dans le délai de deux m ois, telles inscrip tions d ’hypothèques légales q u 'il av iserait, faute do quoi lesdits im m eubles en seraien t af­franchis. ■

2° Q ue les anciens p rop rié ta ires, ou tre les vendeurs, so n t : p o u r lo (prem ier terrain , Jean-Nicolas Delaplace e t (,’ene- vièvo-Adélaïde B ury, son épouse ; François- Nicolas-Roy Delaplace c l Sylvie Quillef; son épouse ; Jean -B ap tis te Delaplace;' Marhî-Jeaime-Véroniquo D oucher, épouse de Nicolas - P h ilippe D elaplace; P ierre Savoyc, d it Bellerose, e t Françoise Bou- le illier, sa fem m e; — e t.p o u r le deuxièm e te rra in , Joseph-A lexandre O bry e t Marie- Louise Navellior, son éjiouse; Jeau-B.qi- tisto O bry ; T iié rèse-E lisabe th Mahieu, veuve O bry ; dem oiselle Ilenrielto-M arie Y cillard ; E m ile. Frnnchem ont e t Marie- Ilen ric lto Ü outreh 'au , sa fem m e; héritiers de Piorre-Noël Mcnq e t do .Marie-Fr.mçoise- Glôlilde W altelier, sa fem m e; lesdits époux Menu ; A lignâtoE dm e Dolafosse.

3° E l ( |ue les requéran ts lie connaissant pas tous ceux du ch e f d esquels il p o u rra it ê tre p ris des inscrip tions p o u r raison d ’hy­pothèques légales existantes. indé|*endam- m ent d e l ’inscrip tion , feraien t publier ladite notification conform ém ent à la loi.

P o u r insertion :Signé : F rkjiv.

A UT. 5.E tude île .H ' l i m S I i i , avoué à Senlis.

S q jv a n t e s p r i t ,do D ém et . -buV -iier à C h a n t i l ly , e n d a te d u vieux ju i l le t m il h u i t c e n t so ix a n te n e u f , e n re g is tr é ,

•ol à la r e q u ê te d e M. Â d b lp l io M \u iR • E m ile I la l fo u rp T , a r t i s te p e in tr e , d e m e u ­

ran t à P aris, rue F ro rh o t, n° 8 , lequel a liii* élection de dom icile en l'é lude de M- (iod in , avoué à Scnlis, ru é Ncuve-de- Paris, n" 22 .

Notification a é té faite à M. le P rocu reu r im périal près le tribunal civil de Senlis, en Son parquet,

De l'expédition d 'u n acte reçu au greffe dud it tr ibuna l le vingt-cinq ju iii 1859, on- rçiijslré. eoQ&tat-.iut lo d énô l fait xiu lit grclfi» p.tr ni U otiui, n e ta cojüc^collailoiiiiîfé cl euiTgislréc, d ’un jugem ent rendu en I audience des criées du m êm e tribuna l, le vingt-cinq m ai 18G9, en reg is tré , con­tenan t adjudication su r surenchère du d ixièm e, au profil de M. Ualfourier, de : i “ qu P arc, ap jjrlé le Clos de la Barraipic, sis terro ir de Gouvieux, lieu d it le Mont- de-P ô , en touré de m u rs (ie toutes parts, garni d espaliers, d ans lequel se trouve un logem ent de garde, con tenan t en to talité s;x hectares onze-ares, tenant du nord au chem in du M oul-de-Pû à Gouvieux, du m idi à plusieurs, d ’un bout au dom aine de C hantilly , et d ’a u tre b é u l à M. Tesson è! au tre s ; 2 '- deux ares c inquante-neuf cou - tiares de bois, au m êm e lieu , tén an t d 'u n col,-; Louis Clnvslicn, d ’au tro cô té lîh rcsticu j i C ulotte, d ’un bo u t D u p n a -o ir , et d 'au tre bo u t l'encoignure du c lo s ; S* treize ares soixante-six centiares de te rre e t bo-ÿ, à la Mnnique'.le, plantés de h u it pom m iers et (leux cerisiers," tenant d 'u n co té D erinot, cl par jiaelie Nicolas M ingucl, d 'a u tre côté Lavallee, d ’tui bout au m u r d u clos, cl d ’au tre bout à plusieurs; 4" Six ares quatre- vingt tro is centiares de te rre , lieu d it au P.icanahl, plantés de onze pom m iers, tenant d ’un côté A lanquant, d ’au tre cô té le m u r du clos, d ’un bo u t Dalagny e t au tres , e t d 'au tre bout au m u r ; 5* trois ares q uarante-deux centiares dé te rre , au m êm e lieu , plantés do six pom m iers, tenant d 'u n bout an clos, e t d ’au tre bo u t A lanquant c l au tres, d 'u n cô té D uprcssoir; G” buit ares (piajre viiutl-cinq centiares de terre, au m ême lieu , planté» de, neuf pom ­m iers, tenan t d 'u n côté Tesson, - d 'au tre côté Thom assin, (Pun bo u t Jacques Sa- varie, et d 'au tre b o u t a u c lo s; 7“ cinq ares treize centiares d e te rre e t bois, au mémo lieu, plantés de sep t pom m iers, tenant d ’un côté A ubin, d ’au tre côté Lo- g ran d , d ’un bout le clos, d'util! c bout P e rro t; 8" h u it ares cin ip ian te-trc is cen­tiares de terre , au m êm e lieu , tenant d ’un cote M atimclé, d 'au tre cô té la veuve Noël Méry, d 'u n bout le d o s , d 'au tre bo u t la F ro n tiè re ; 9* dix-sepl ares neu f centiares de terre , à la Gavée d u chem in de Paris, tenan t d 'u n côté Lobas, d 'a u tre cô té De- m ade, d 'u n bout lo d o s , e t d ’au tre bout la cuvée., e t par hache Y arillon ; 40* dix- sept ares neu f centiares d e bois, au même lieu , ten an t d un cô té Gesseamiie, d 'a u tre côté L mglois, d ’un bout Je clos,' et d 'au tre bout la cuvée de Paris ; 4 ! ’- dix-arcs de bois,- nu m êm e lieu, tenan t d ’un cô té Ges- siMiime, d 'au tre cô té le rideau , d ’un bout le d o s , et d 'an tre bout la cuvée, et ce m oyennant lu som m e de quinze, m ille cing cents francs d e p rix principal ou tre les charges. Ladite ad judication prononcée p ar suit ; d e surenchère form ée p a r le sieur Raoul d 'O rivul, nroprié tn ire , dem oaran l à Gltmlilly., su r le .s ie u r Em ile-Ilyacinthij B .llel, négociant, dem eurant à Duvy (Oise): ad judicataire surenchéri d rsd ilsim m euble» vendus p ar suite de conversion d e ,saisie su r le sieur Aûguslc-Léon D uprcssoir, p ro ­prié ta ire , dem euran t à G h aq tjlly .,,

Ledit dépôt ell'edKé p o u r parvenir à p u r j gêr les im m eubles vendus des hypothèque» légales potiv.ahl* les grevoiv

Il a été d éd ftréà M. le 'P ro c u re u r im ­péria l. . ,

I" Q ue ladite notification do n t s 'agit lui

était faite afin (jn'ii eû t à m p ié rir , si | lui sem blait, nu profit de qui de d ro it, |, inscriptions (riiypothèques |égale:; q r aviserait; dans h délai de la loi, faute quoi lesdits im m eubles en serai affranchis ;

2* Q ue les anciens propriéta ires »lasd im m eubles él u -n i. o u tre JIM. B 11-a Uupréssnir, ard jndid taiire . surenchéri v cg 'M r. : Aumiste-.Slanislas Duiucss» propriétaire , (Icinéiiraiit au ,Alonl-de1 com m une d e G ouvieux, et m adam e Nice l'ranço.so Claudin, sa fem m e; France lo u ssn n t C ordier, lieigcr, c l Genevi’è Rose Leffivre, sa femme, d em euran t à (è vieux; C liaries-Franrois Bellet, imissj et B ernard-llenrietlc M oulin, sa feinr d em euran t a Chantilly; François Le» propriétaire , et M aric-Elisabeth l.cshroi s a ri, son épouse, dem eurant à G reil; Je; Louis Letollier, m açon,“dem eurant à' p.n rua de la; rVannciio, n* 14 ; Gcueviè Françoise Pipeaux, veuve du sieu r Fr; çois Nicolas M arquis, a n c in i m eunier Gouvieux ; Nicolas-August •' I.avémin t tour d ’h ab it, et Limise I.elèvre, s i feiim d em euran t à G ouvieux; NoÊl-Frane Labbé, nianonvrier. et dam a Genevièi Victoire Foven, sa fem m e, dem eurant a ( .arrières, com m une de Gouvieux; De Laversin, m ard ian d de bois, et Elisibi P aren t, sa fem m e, dem euran t à Guuvici Jein-L ouis-Y ictor Foyen, .. tisserand, Ilonorinc Malfieux, sa fem m e, dem eur; a Gouvieux; François M omiuelé, cull'r leu r, e t (Jencviève-Uonqrine Mangé, > épouse, dem eurant à Gouvieux; Jean B ban t, cu ltivateu r, e t . Angélicpie-ElisalM Méry, sa fem m e, dem euran t à Gouvieii l.oius-Piorre-M arie P a ren t, cultivateur M arie-A ngélique,G nibert, sa fem m é, \ m ouran t il G ouvieux ; Félix-Auguslo Mari n ianonvrier, «l Rose-Véronique Niellé, fem m e, d em euran t à Gouvieux.

3* E l q ue le requéran t ne connaiss; pas tons ceux du chef desquels il pourr ê tre pris des inscriptions pour raison d 'I pothèques légales existantes indépendai m ent de l'inscription, ferait publier lad notification conlorm ém ont à la loi.

Pour insertion.Signé : J . Gom.v.

Aiit. 0.

E lude du -M* D c l e u z e , agréé à Paris rue M ontm artre, n* I4ü.

I) un jugem ent rendu -le douze ju I8G9, par le tribunal de com m erce de Seine,- en tre : 1* M. Philippe-Nieol L ktui.i.if.r, négociant, dem eurant à P a r boulevard d u Prince-Eugène, n- 1G; M. Viclor-Ma\imilicnJ,Kri;i.i.iKp, négociai dem eiiran t à Paris, rue M artel, H* 8 b e t la Société Ihicz et compagnie, dont siège est à Paris, rue du Faubourg Saiu M artin, fi* 471 ;

* ' Apport ' : ‘Le tribunal ;i annulé , èn ce (pi’elle

nom m é le s ieu r L \m bfi\t fil», co-gérant la Société l)ui]z c l compagnie, la délibci lion prise le tren te e t un janvier I8G9, | les .ac tio n n a ires de. Jad ite Société, lorn paiç.açle.du v ingt-trois février Î8 1 9 , a m inutes d e M* Ttihiu uk h Guài h f , nol; à. l’aris,L iyaut p ou r objet l’exploitation carriè res sises à Siltery-la-Pol( rie , V; cieniiés, Moloy, La l érlé-^IiKm, Mi Jouv-le-C otiiiè ,' Ravier»-», et çon sièg P a ris , (ùe du Faiil ourg Salnt-lIlaHlii

Lès d é p i ls p i ê 'd i t s pr r la loi ont ell'euimV. - :,t . " ;. t -, ,

- P eu r insoDlui'y i •- S ‘g ré : I F ! 1 T 7 F

\

Page 4: NOUVELLES DÉPARTEMENTALES. î^ïsssi (Ibmsenlis.com/data/pdf/js/1864-1869/bms_js_1869_07_03_MRC.pdf · 2014-02-27 · Celte répartition s’est faiie Comme suit: le 1" bureau sera

A r t . 7 . ,

Suivant acte reçu par M* R ichard , n o taire à Ponl-Sainle-M axcnce, substituan t RI. l 'av en , notaire en ladite ville, le seize ju in 4869, enregistré,

M. Eugène DEBAIX, négociant en v ins, d em euran t e n le v a n t à Pont-Stc-Maxence,au jo u rd 'h u i à 'Coulange-la-Vineuse,

E l M. A rsè n e ......................... Arsène RERD1N, aussi négociant e n v in s , dem euran t à Pont-Sainle- Maxencc,

O n t r& ilié à com pter d u 19 mai 1809, la Société form ée en tre eux sous la raison D edaix e t IIkiuu.n.

M. •Bcrdin a été seul chargé de la liqu i­dation .

U ne expédition de l'acte a été déposée au greffe du tribunal de Senlis, faisant fonc­tion de tribunal de com m erce, le prem ier ju il le t 1869,

E l pareille expédition au greffe de la ju stice d e paix de Pont-Sainte-M axence, le 2 ju ille t.

■Pour ex trait :S ig n é : P a y e s .

Art . 8 .E tude d e I I e I ta l lé i le n t , com m issaire-

p riseur à Senlis.

Vente MobilièreAUX ENCHERES.

P a r su ite d 'acceidation bénéficiaire, A pres le d écès d e M. llippo ly le -M aric

M nrol,A S e n lis , S a lle des Ventes,

Les D im a n c h e 4 et L u n d i 5 Ju ille t 1869, â u n e h e u re d e re levée .

P a r le m in is tè re d e M* ü a l l é d e s t , com ­m issa ire -p rise ttr à S en lis ,

DÉSIGNATION.U sten siles d e cu is in e c l d e m én ag e ,

fa ïe n c e , p o te r ie , v e r r e r ie , c u is in iè re en fo n te .

P e n d u le s , g laces , tab leau x .C o u ch e tte s , t a b le s , ch a ise s , b u ffe t,

s e c ré ta ire , ch iffo n n ier, fa u te u ils , c a ­n a p é . v o lta ire , li ts e n fe r.

M ate las , lits d e p lu m e s , s o m m ie rs é la s tiq u e s , o re i l le r s , tr a v e r s in s , é d r e ­d o n .

L inge d e c o rp s à u sag e d 'h o m m e e t g .ird e -ro b e d 'h o m m e .

L in g e d e m é n a g e , d r a p s , s c rv ie l l t s , to rc h o n s , e tc .

D eux b e lles tim b a le s en a rg e n t .E t b e a u c o u p d ’a u t r e s o b je ts .

L a v en te d e s m a rc h a n d ise s neu v es, p ro v e n a n t d e la fa illite V a cq u c rie , s e ra co n tin u é e U im auchc 4 Ju i l le t , à tro is h e u re s d e re levée .

A nnouces D iverses.

E tn d e d e M' Bm oisi, n o ta ire à S en lis .

A L O I E K M E U B L H E ,P o u r e n t r e r e n jo u is sa n c e d e s u i te ,

ONE MAISON DE CAMPAGNES itu ée a S a in t-L é o n a rd .

S 'a d resser a 3P Ue x o is t , nota ire .

A V E A l H t E A L I M I A U L E

lA lSU fl BOURGEOISEN o u v ellem en t re s ta u ré e .

S ise à Y illcvcrt, f a u b o u rg d e S cu lis ,AVEC.

C our, Ja rd in cl Drprmlanrc»,C o n te n a n t le to u t 72 a r c s 60 c e n tia re s .

S ’a d re s s e r p o u r am p les re n se ig n e ­m e n ts , â M* BEN O IST, n o ta ire à S en lis .

A V E N D R E o u A I .O I EIKMF.UBI.ÉF. OU NON.

MAISON DE CAMPAGNEAu P lc s s is -C h a m a u l.

Avec b assc c o u r , é c u r ie , rem ise , Ja rd îu c i Dépendances.

Contenant 56 ares.S 'a d re s s e r à M' Ue x o is t , n o ta ire à S en lis.

K lu d c d c M e B c n o i w i . n o ta ire à S en lis .

A V E N D U E OU A L O U E RA L AMIARI.F.,

P o u r e n t r e r e n jo u tsa n c c le 1 " o c to b re 1869,

IÆ MOULIND e l a C l i a n s s é c d e S t - I t r o l n s ,

S itu é A S a in l-N ico las , co m m u n e d e r .o u rlc u il.

M onte d e d e u x p a ire s de m eu les . S 'a d re s s e r : à P a r is , à Mr DREUILLAND,

n o ta ire , ru e S a in t-M arlin , 5331;E t A S en lis, a u d i t M* B EN O IST, n o ta ire .

A C É D E R à l'am iable

EXPLO ITA TIO N AGRICOLE«le 3 1 8 H ectares

A Ilu lly , e n tr e S en lis e t I tu lly , Longue jou issance.

O n p o u rra i t n e c é d e r a u p re n e u r q ue 175 h e c ta re s ou m o in s, e t u ue p a r t ie d u C o rp s d o F erm e.

C ',i l rDCCDl* •A R ully , à m a d a m e FREM ONT;E t à S en lis , à M* UENOIST, n o ta ire .

A C É D E R A L ’AM IABLE P o u r e n t r e r e n jo u is sa n c e d e su i te ,

UNE FEMMEde 3 1 0 H ectares

D 'un s e u l tenant,A v e e B a i l d e d l x - h n l l n a s .S 'a d re s s e r & M* B EN O IST, n o ta ire à

S en lis .

A L O U E R D E S U IT EBELLE CIIASSES u r e n v iro n . * !& • fc e e ia re * d e

p la in e , f r ic h e s e t bo is .A u te r r o i r d 'Iv il le rs , c o m m u n e d e

V itlcneuvc-sur-V erberio (O ise), d'IIa la tte .E n bordure d e la fo rê t d '

S 'a d re s se r A M. L E FÈV R E, g a rd e au c h â te a u d 'O gnon , p rè s S en lis (O ise).

A C E D E R D E S U IT EA l’a MIADLE,

UNE FERMES itu ée à R o uv ille , p rè s C répy ,

C o n ten an t e n v iro n f l O l h e c t a r e s . S 'a d resse r p o u r tous renseignem ents :A M* FRA N CH E, n o la i ic â C rép y .

A CED ERUNE FERME

■ 06 H ectares de T e rre s labourab les

A la p o rte d e So issons (A isne). Corps de F e rm e neuf.

P o s itio n ex cep tio n n e lle c om m e in d u s tr ie S 'a d resse r à M* CA1LLET, no ta ire à

Soissons.

A L O U E RU n e M iiiso n s e u le

Aveu JA R D IN , E C U R IE c l REM ISE A VOLONTÉ.

S 'a d re s s e r chez Mm‘ veuve D i i p i l l e , 3 3 , ru e V ieille-de-P aris.

V ILLE DE CR EIL .

A D JU D IC A T IO NP o u r la

Construction d’une Ecole<le F illes.

L e D im anche 1" A oût 1S69, à u n e h e u re s , il s e ra p ro c é d é en la m a ir ie de C re il , à l 'a d ju d ic a tio n a u r a b a is , s u r so u m iss io n s cac h e té e s , d e s t ra v a u x à e x é c u te r p o u r la c o n s tru c tio n d 'u n e E co le d e filles.

Ces tra va u x seront adjugés en n e u f lots:

l " lo i . T e r ra s s e m e n ts e tm a ç o n n e rie . . . 33 ,4 1 0 f r . 19

2 e — C h a rp e n te r ie . . 3 ,6 1 5 715 ' — M enu iserie . . . 5 .791 274 ' — P a rq u e ts s u r b i­

tu m e .......................... 3 ,2 4 9 405 ' — S e r ru re r ie . . . 14 ,522 576r — C o u v e rtu re c lp lo m -

b e r ie . . . . . 4 .6 4 4 377e — P av ag e . . . . 1 ,516 »»8e — P e in tu re c l v itre r ie 2 ,0 4 7 767* — P ré a u x co u v e rts . 5 ,0 0 0 »»

T o ta l des tr a v a u x . 71 ,797 27

O n p o u rra p re n d a e co n n a is sa n c e , à la M airie d e C re il, d e s p la n s c l' dev is c l d u c a h ie r d e s c h a rg e s .

3 0 h ectares 3 5 a re s 13 e .

DE TERRES, PRES ET ROISS itu é s te r ro ir s d e S a in t-L eu , C ram o isv ,

M ayscl c l C ire s les-M dlo ,

A l E \ D R i :P ar a d judica tion amiable'.Eu la m a ir ie d e M ayscl,

P a r le m in is tè re d e M* Budin, no ta ire à P récg-sur O isc,

E n présence d e Si* V rayk , nota ire à C om picgnc,

Le D im an ch e 11 .In itie 1869, à I h e u re . S 'a d resse r a u x d ils M" B ud iu e t Y ra y e .

.A djudication a im a hic,Au p lu s o ffran t c l d e r n ie r e n c h é r is s e u r ,

E u la m a ir ie d e S t-L cu -d 'E sse rcn l, l .c D im an ch e 18 J u i l le t 1869, à 1 h e u re ,

P ar le m in is tè re d e M* Buiu.x, no ta ire« Précij,

1 4 PIÈCES DE TERRE & PRÉT e r r o i r d e S a in t-I .cu .

Jou issance après la réco lte . Im m é d ia te m e n t a p rè s la v en te d e ces

b ie n s , on p ro c é d e ra â l 'a d ju d ic a t io n d e s réco lte s q u i ex is te n t dessus.

S 'a d resse r a ud it M ' B ud iu , nota ire .

E tu d e d e M' I.ciiic<|uc, n o ta ire à ÎNunlcuil Ic-IIau d o u in (O ise).

M A I S O NS ise à N a n te u il- le - lla u d o u in ,

A VENDREPAR ADJUDICATION VOLONTAIRE,

l.c D im an ch e 18 J u ille t I8G9 à 1 h e u r e . P ar le m in is tè re d e M ' Lem cque, notaire,

cl en son é tude,E n tré e e n jo u is sa n c e d e su ite .

S 'a d resse r a u d it M* Lexicque, nota ire

E tu d e d e M' Maitre-Dcvalloii,n o ta ire à C h a m bly (Oise).

M A I S O NS itu ée â P e rs a n ,

cl IO P IÈ C E » de T E K I tES itu é e s t e r r o i r d e P e rsa n ,

A V E N D R EPAR ADJUDICATION VOLONTAIRE,

P u r le m in is tè re d e M* M a itre -D ev a llo .n, no ta ire à C ham bly , e t en son é tu d e .

L e D im an ch e 9 J u ille t 1869, â m id i.F ac ilité s p o u r le p a ie m e n t.

S 'a d resse r a u d it M ' M aitrc-D cvallon.

M êm e é tu d e .

RÉCO LTES DE B L É -H É T Ë ILet d ’A V O IN E

S u r 16 h e c ta re s 30 a r e s , s is t e r r o i r d e N eu illy -en -T h e lle , lieu d i t le Bois Dolus,

A V E N D R E su r piedPAR ADJUDICATION VOLONTAIRE,E n d é ta i l , — S u r les lie u x ,

P a r le m in is tè re d e M* M a itre -D k v a llo n , no ta ire à C ham bly,

L e D im anche 11 J u i l le t 1869 , à m id i.A l ’issue d e c e tte v e n te , il s e r a pro*Jiro -

c laré c o lte d ’o rg e à fa ire s u r u n e p ièce de 17 a r c s 2 5 c e n tia re s , s itu ée à P u ise u x .

S 'a d resse r a u d it M' M aitrc-D cvallon .

E tu d e de M' Franche, n otaire à Crépy (Oise).

A djud ication volontaireP a r su ite de cessation de cu lture,’

L cD im anche-11 J u i l le t 1869 , à m id i. P ar le m in is tè re d e M* F r a n c h e , no ta ire

à C répy,

A ROU V ILLE, p rè s C répy ,E n la dem eure de .11. M irland,

C o n s is tan t en : c h e v a u x , v aches, p o rc s , v o itu re s , c h a r r u e s , h e rse s , une m a c h in e â bat I re sy s tè m e D uvo ir, vo­la il le s , 5 ,0 0 0 b o tte s d e sa in fo in c l lu ­z e rn e , b o is â b r û le r , e t a u tr e s o b je ts d e c u l tu r e c l d e m én ag e .

Au co m p ta n t. F r a is o rd in a ire s . - S 'a d resse r a ud it M 'F ra n c h e , notaire.

M êm e é lu d e .

2 hectares 16 a rc s 6 6 e.

Terre, Pré, Friche et BosquetEn 15 p a rc e lle s , a u x te r ro ir s d e Gillo-

c o u r t , O rro u y , B é th a n c o u r l, S é ry e t M o ricu v a i.

A V E A D R EP a r ad ju d ic a tio n v o lo n ta ire , ,

E n la m a iso n d 'é co le d e G illocourt, Par le m in is tè re d e M* F ra n c h e , no ta ire

à C répy,Le D im an ch e 25 Ju i l le t 1869, à m id i.

Jo u issa n c e d e su ite .F a c ili té s d e p a ie m e n t-

S 'a d resse r aud it M‘ F ra n c h e , nota ire

E lu d e d e M® P o y o n , n o ta ire à P o n t.

A V E i V R R EP a r a d ju d ic a t io n v o lo n ta ire ,

A P ont, en l 'é lu d e e t p a r le m in is tè re de M* P a ï e n , nota ire .

Le D im an ch e 25 J u ille t 1869, â m id i,

î t Pièces de PréC ontenant ensem ble 2 hectares 0 4 arcs.

S itu é s t e r r o i r s d e Poul-Snin te-M nxcncc e t d e s i\ge tix .

Il y a to u te s é c u r i té p o u r a c q u é r ir .F a c ilité s p o u r le p a iem en t.

S 'a d resse r a u d it M* P a ïe n , n o ta ire .

E lu d e d e Mc Lciuoinc, n o lu iro à Cha n t i l ly.

A V E X D R EP a r a d ju d ic a tio n v o lo n ta ire ,

Le Moulin îles PlanchesS itu é co m m u n e d e G nuv icux ,

Par le m in is tè re d e M* I.kjioink, notaire, à C hantilly ,

Le D im an ch e 25 J u i l le t 1869, â m id i , F.u la sa lle d e la m a ir ie de G ouvieux .

L ’a d ju d ic a ta ir e d e v ra p r e n d re p o u r so n e s tim a tio n , le m a té r ie l c l le m o b i­lie r in d u s tr ie l d u m o u lin .E n tré e e u jo u issa n c e le I " o c to b re 1869

S 'a d resse r a ud it M* L cm oinc , notaire.

A L O U E R A V O L O N T ÉP o u r F ê te s e t D în e rs ,

UNE TENTEd e 5 m è tre s d e la rg e s u r 15 m . d e long.

T rès b ien conditionnée e t bien décorce. C e tte T e n te co n v ien t p a r t ic u l iè re m e n t

a u x m a rc h a n d s d e v in .S 'e d c e s se r â M. R u i s s e l l e , p la c e de

la C o m éd ie , â S en lis .

O A DSLU AVDE

l \ E C l I S l M E I tE - I I O M

La place de Garde-CIiainpèlreest vacan te

Eu la c o m m u n e d e R é lh isy -S .iin l-P ie rrc . T ra item en t 600 francs.

S 'a d re s s e r â la M a irie .

lu Cornet à pistons S s rm‘,“sa c , a é té p e rd u s u r la ro u te de P o n t â P o n lp o in t. R éco m p en se à c e lu i q u i l 'a u ra i t t ro u v é .

E c r ir e a u C hef d e M usique de P o n t- po in t.

Le Moniteur de l’Orphéon(C horal e t In s tru m e n ta l)

P a ra is sa n t tous les d im a n c h e s , e s t le m e ille u r m a rc h é d e s J o u rn a u x

o rp h é o n iq u e s .Un an , 12 fr . — S i x m o is , 8 f r .

A d re s se r les d e m a n d e s d 'a b o n n e m e n t au r é d a c te u r e u c h e f : M. A lfred l e Rot,- 26 , r u e G ra u g c -B a te iiè re , à P a r is .

L E P H E A iXC O M P A G N IE F R A N Ç A IS E D 'A S S L R A A C E S S I R L A V I E

t i a r a n l l e t T r e n t e - n lx M illio n »

A ssurance p our la v ie en tière : U n ca ­p ita l e s t payé a u d écès d e l 'a s su ré .

A ssurances m ix te s : Un c a p ita l e s t payé â l’A ssu ré , s 'i l e s t v ivan t a p rè s un c e r ta in n o m b re d 'a n n é e s , ou â scs h é r i t ie r s aussitô t son décès.

L es a s su ré s reço iv en t a nn u ellem en t le p r o d u i t d e 50 p. 100 d a n s les b é n é ­fices d e la C om pagn ie . La p a r tic ip a tio n ca lc u lé e s u r le m o u la n t d e to u te s les p r im e s v e rsée s a d o n n é les r é su lta ts s u iv a n ts p o u r ch a c u n e des tro is d e r ­n iè re s a n n é e s 1866, 1867 c l 1868 :

A ssu ran ces vie e n t iè r e 4 .2 0 */„ — c h a q u e a n n é e .

A ssu ran ces m ix te s 5 .4 0 •/„ — c h a q u e a n n é e .

E x e m p l e : M. G .. . a fa it a s s u re r s u r la v ie e n t iè r e , e n 1848, un cap ita l de 100 ,000 f i . m o y en n an t u n e p r im e an n u e lle d e 5 ,0 0 0 f r . I l a reçu p o u r sa p a r tic ip a tio n en 1866, — 2 ,394 fr .; en 1867, — 2 ,520 f r . , e t en 1868, — 2 ,616 fr .

L 'a s su ra n c e p ré se n te do n c u n d o u b le a v a n ta g e : e lle g a r a n t i t l 'a v e n ir d e 1a fa m ille ; e lle c o n s titu e p o u r l 'a s s u ré u n p la c e m e n t d e fonds.

E n v o i franco d e n o tes exp lica tives .S 'a d re s s e r â P a r is , a u siège d o la

C om pagn ie , ru e d e L nfnycllc , n* 33 .E t à S en lis , à M. W A TELLIN , ag e n t

g é n é ra l.

A L O U E R

PETIT LOGEMENT GARNIA S e n lis , r u e R èllo n , n* 3 2 .

S 'a d re s se r , r u e D ellon , 5 2;O u à M* B e k o i s t , n o ta ire à S e n lis .

E lu d e d e 1 1 e l l r c t t e , n o ta ir e â Acy.

A V E N D R E P A R A D JU D ICA TIO N E n la s a lle d e la M airie d e Iie tz ,

Le D im an ch e 18 Ju illo t 1869 , â 1 h e u re P ar le m in is tè re d e M* B r k t t e , notaire

à A cy ,

DEOX MAISONS CONTIGÜESUn trè s beau Clos

C o n ten an t 1 h e c ta r e 5 3 a r c s 54 c e n t ., cl M l 'a re e lle s do T e rra

D’u n e co n te n a n c e d e 1 l i e d . 25 a r . 6 6 c . Le to u t s i tu é co m m u n e e t te r r o i r

du B elz.F a c ili té s p o u r p ay e r.

Ou tr a i te r a ay a n t l 'a d ju d ic a tio n s ’il e s t fa it des o ffres su ffisan tes .

S 'a d resse r a ud it M* B r e t t k , notaire.

E tu d e d e M® J u l c » N o l c v n l l r ,h u is s ie r â S en lis .

T E N T E V O L O N T A IR EDE

SEIGLE, AVOINE, POISS u r p ied e t s u r les l ieu x ,

- Terro ir de S en lis ,Le D im an ch e 4 J u ille t 1869 , â m id i. P a r le m in is tè re d e M* J . IS'o l e v a l l e ,

On se r é u n i r a a u c h a m p d e m a n œ u v re .

S O U S -P R É F E C T U R E DE SEN LIS.

C hem ins v icinaux.

Travaux neufs el d'eiiircticnA D J U D I C A T I O N

Le M a rd i 7 J u i l le t 1869 , à d eu x h e u re s , A l'liô lel de la Sous-P réfecture.

O u p e u t p re n d re c o n n a issa n c e d e la n a tu i 'c d c s tr a v a u x e t d e s c o n d itio n s de le u r e x é c u tio n , s o it â la S o u s-P réfec­tu re , so it eu b u ra n u d e M. l 'In g é n ie u r d e l 'a r ro n d is s e m e n t de S en lis .

A V E N D R EUNE MAISON

O i i s V i p l o î t c u n c o m m e r c e d 'E p l c c r i c ,

S is c â F rc sn o y -lu -L u a t,c a n to n de N a n lc u ii (O ise).

S 'a d resse r à M. D sro ix , pro p rié ta ire à F re sn o y - le L u a t, q u i e x p lo ite le d it fo n d s d e c o m m erce .

A V E N D R E A L 'A M IA B L E B F L L E

M A I S O N B O U R G E O I S EAvec g ram lfs Bcpciiduuccs,

G ra n g e s , h a n g a rs , fo u rn it , é c u r ie , d ia b le , to it à p o rc s , c la p ie rs , p o u la ille rs , p 'u s ic n r s c a v e s , p e tite m a iso n d e j a r d i ­n i e r ; g ia n d c c o u r , b a s s e -c o u r , g ra n d

,-dos e n to u ré d e m u r s , g a rn is d e v ig n es en e s p a l ie r s c l d 'a r b r e s f ru it ie rs , d ’u n e c o n te n a n c e d e 12 .501) m è tre s .Le to u t s itu é il S e n lis , ru e des Ja rd in ie r s ,

n* 12.

B ue Bcllon, O, ficnlis,

VOTE-BONFILSv rlé s s . g . S o m m ie rs à b u r e t te s , à b o u r r e le ts , ç l so m m ie rs m a le la s c a p i­to n n és . U n seu l m a te la s sn flit.

t'oim iiiN M lon p o u r a m c u l i lr n i r n l .

A V I S .

PEIN TU RE. — V IT B E R IE , — DÉCORS,P a p ic r§ p e in ts .

S I. S A U V A G E , p e in tre à S en lis , ru e d e s T r ib u n a u x , p ré v ie n t sa n o m ­b re u se c licu tè le q u e la v en te d e scs P a p ie rs p e in ts a y an t p r is u n e ex ten sio n c o n s id é ra b le , il a p u fa ire d e nouve lles acq u is it io n s chez les m e ille u rs fa b r i­c a n ts . e l q u ’il p e u t so u m e ttre a u x p e r ­so n n es q u i v o u d ro n t b ien l 'h o n o re r d 'u n e v is ite , u n g ra n d cho ix «le P a p ie rs d e to u te s n u a n c e s , d e p u is les p lu s o r d i ­n a ire s ju s q u 'a u x p lu s r ic h e s .

P r i s 1 r e s m o d é r é » .

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CntCOLAT-l3 4F

! PARIS, 4, r u e do Temple, MONDICOURT (Pai-do-ColaU). EMMEBICH (Allemagne),

E X PO SIT IO N U N IV ER SELLE D E 1087 .

M K M B A m L J L J E JR A P P O R T D U J U R Y :

I ,k MAISON 1BLED, pour la q u a lité do sos produits et l 'Im p ar- t n n e e do sa fabrication, occupe le »*r r a n g dans l'Industrie Chocola­tière . — E lle oat dans les moiltouros conditions p ou r fab riq u e r B o n et è B on M arché.

Le C hoco laM blcd se vend chez tous les d ita illà n ts .

T R E I L L A G E A L A M E C A N I Q U E D E A” L É Y Ê Q U E3 5 , r a e N le n a s e le t , A P # r U , 3 5

O n e x p é d ie f ra n c o à to u te p e rs o n n e q u i e n f a i t . l a d e m n n J e a f f r a n c h ie l e t a r i f d e s t r e i l la g e s à l a j _ m é c a n iq u e , p ie u x e t l i s s e s , r e n d u s d a n s tb u le s le s 1 [ g a re s d o c h e m in s d e f e r s i tu é e s d a n s le d é p a r te m e n t , j

P L U S DES 1 1 L D E € L \E !LA SANTÉ RENDUE SANS MÉDECINE, S xN S l’URGES E l S \N S FRAIS AUX ADULTES

ET AUX ENFANTS, PAIl LA DELICIEUSE FARINE DF. SANTE,

REVALESCIÈRE DU BARRY - LONDRES

qu i c cononm c 50 fois son p r i t en m édecine.U n repas en coû te e n v iro n 25 centim es e l no u rr it m ie u x qu ’une liv re d e v ia n d e .

E lle ren d la san té pai faile a l'estom ac, aux nerfs, aux poum ons, (o ie, g landes, vessie, reins, c erveau , sang e t m uqueuses, a in si que l'ap p é tit, lionne d igc tlion e t som m eil rafraîchissant, guérissan t les m auvaises d igestions (dyspepsies), g astrites , gastro-en térites, gastralgies, constipa­tions hab itue lles ,hém orro ïdes,g la ire s . Onctuosités, ballonnem ent, pa lp ita tions, d ia rrhée , dyxMütcriè, gonilcn ien t, é tou rd issem en t, bou rdonnem ents dans les. ore illes , aç id ilé , p itu i te , m aux d e lêtr, m igra ine, su rd ité , nausées ou vom issem ents ap rès repas ou en m e r, m êm e en grossesse, douleurs, a ig reu rs , congestions, inllam m ations des in te stin s e t de la vessie, c ram pes e t spasm es d ’estomac, insom nies, fluxion d e p o itr in e , éloufTemcnt, toux , oppression , asthm e, b ronch ite , phlhis ie (con­som ption, d a rtre s , é ru p tio n , ahccs, u lcérations, m élancolie, p e rv o sité , dé périssem ent, rhum atisnq, goutte , lièvre, g rippe, rhum e, c n ta n h e , cchaulTcmcnt, hystérie, névralgie, cpilep-ie , paralysie, les accidents du re to u r d 'àge , chlorose, vice e t pauvre té du sang, faiblesse, su e u rs d iu rn es e t nocturnes, hydropisic, diabète, g ravc lle , les déso rd res d r la gorge, de l'h ale ine e t d e la voi]t, Içs maladies des enfan ts e t des fem m es, ch lorose, les (lueurs’b lanches, les suppressions, le m anque d ’embonpoint, d e fra îcheur e t d 'énerg ie nerveuse. C et a lim en t e st égalem ent p référab le au la it e t à la paqadenour é lever les en fan ts e l p o u r fortifier les laihlcs, d e to u t âge. Il rafferm it les chairs en absorbant l'excès de graisse des personnes affaiblies ou Imursouffiées.

/ t i t r a i t d e 70,000 C ures d e A la tad ies rebelles h to u t a u tre T ra ite m e n t.CURE-DU PAPE : • Rom e, 21 ju il le t 1866.

• La san té d u Sain t-P ère e st excellente, su r to u t depuis que , s 'ab stenan t de to u t a u tre reraèJe, il fait scs repas de la Revalcscière D u Barry, q u i n opéré des efiets su rp re n a n ts s u r lu i. Sa Sainteté n e peu t assez louer les av an tages quV lle ressen t d e cette excellente farine , d o n t e lle prend une H C e rtifica t n “ 58,CTÂ, d e À /m lam e la A lan /u ise nx Uhkhah guérie d 'u n e hépatite , u n é ta t d e mar rasm e qu i a d u ré sept an s avec des h a ttem eu ts nerveux p a r to u t le corps, la d igestion fo rt difficile, des insom nies pe rsistan tes, e t une ag itation nerveuse in supportab le, une tr is te sse m ortelle.

N° 52,081 : M le duc d e Pluskosv, m aréchal d e cou r, d 'u n e gastrite . — N® 62,476 : Sainto- Rom ainc-dcs-Isles (Sniiuc-ct-Loire). Dieu soit bén i I La Rovalcscièrc n m is fin A m es 18souffrances ho rrib les d e l'ts to m a c , d e sueu rs noc tu rnes e t m auvaise d igestion . J . Com pare!, curé. — N° 49,422 : M. Daldsvin, d u dé lab rem en t le plus com plet, paralysie des m em bres, p a r suite

p h th is ic pu lm onaire, ap rès avo ir é té déclarée A ujourd’h u i, 1869, e lle jo u it toujours

. d e jru n cscc .— N* 53,860 s Mu« G allard , incurab le en 1855 e t de n ’avo ir que quelques n d ’une bonne san té .

Plus nou rrissan te que la v iande, e lle économ ise 50 fois son p rix e n d ’a u tre s rem èdes. En boîies t 1/4 Lil . 2 f r . 2 5 ; 1/2 Ail.. 4 f r . ; 1 A il., 7 f r ; 2 1/2 Ail., l l i f r . ; 6 Ail., 32 f r ; 12 Ail., 60 f r . Envoi c on tre bon d e poste.

M AISON DU B A n n ï et Cm , 26, place V endôm e, Pa ris .

S A N T f i A T O U S P A R

L A R E V A L E S C I È R E C H O C O L A T É E D U B A R R YM POUDRE ET EN TABLETTES,

Dix fois p lus nou rrissan t q u e le chocola t o rd in a ire , cet a lim en t exquis pu rif ie le sang , fortifie (t tranqu illise les nerfs e t l« cerveau , e t ren d les chairs ferm es. Purifié p a r des m achines spécial» d e tou t ce qu i échauffe dans lu cacao, cc chocolat conv ien t aux personnes le s p lu s d é lirâte s e l aux e n fan ts de faible com plcxion ; il ren d l'ap p é tit , bonne d igestion e l som m eil rafra îch issan t aux plxs affaiblis, m êm e a ceux qu i n e peuven t pas d ig é re r le chocolat- o rd in a ire ,

F.n boîtes en poudre e t en tab le ttes p o u r faire 12 tasses, 2 fr. 25 c . ; de 24 lasses, 4 f r . ; de 44 lasses, 7 f r .; poudre en bo îtes d e 120 lasses, 16 f r . ; dô 288 tasses, 32 f r . ; d e 570 tasses, 60 f r . ; soit

10 centim es la tasse dans ces g randes Imites.

A in s i le p lu s •l d é lica t C hocolat e st la

P E R F E C T I O N D E C H O C O L A T D U B A R R Y ,préparé sans aucun m élange de fécules ou au tre s m atières indigestes ou pâteuses, e t p a r dei

spéciales qu i cu lèvcu t au cacao tou t principe échauffan t e t nuisible, ce,C hocolat est par- om acs |es p lu s d é lica ts ou irr itab les , e t ju stifie p leinem entfaitcincnt soluble, <

n d e •

DU IIARRY c l C ie , 26, Place V endôm e, Paris, c l p a rto u t ch ci le u rs déposita ires.D épôt â Sen lis , chez MM. Msixcicr e t Donon, ép ic ie rs ; à C re il, chez MM. P odlain e t MaeÉcbal-

F zeezt, p lia rm acicns; à Pont-S•inte-M .ixeiiec, chez 411. T uibebt-Baebibb e t P ellibe, p lia rm .

Marché» du Départem ent.

B e a a v a t » , 26 ju in .F rom ent l’hcct. 19 46. — M uison 18 12. —

Métcil 18 00. — Seigle 13 • • . — O rge 13 20. ■ Avoine 10 85.Piiin (taxe officielle) le l i l . t " q u a lité 32 c . ,

2 ' qua lité 27 c .U l c r m o n l , 19 ju inlllé l ’Iieet. I ” q u a i. 2 0 » » , 2 ' q u a i. 19 »»,

3- qua i. 17 7 8 .— Métcil 16 I L — Seigle 13 33. —O rge 13 61.— Avoine l r* q . I l 6 6 ,2 * q . 10 •».

Pain lu Lil. 1 " qua lité 33 c . ; 2* q té 28 c .C o m p lè g n c , 26 ju in .F rom en t l’hcct. 1 " q u a lité 20 »», 2* qua lité

16 •» , 3 ' qua lité 18 •» . — Métcil 16 25Seigle 12 50. — O rge 12 »». — Avoine 10 »»

Pain le Lil. I " qua lité 32 c . , 2* qua lité 27 c. C r é p y , 26 ju in .Dlé les 100 Lil. I " qua lité 27 25 , 2* qualité

j . . . 3* qua lité 25 »». — Métcil » . . . . — Seigle 1 8 » » .— O rge 1 8 . . . — A voine 1” qualité 20 50, 2* q u a i. 19 50.

Pain (taxe officieuse) le L il. 1” q u a lité 31 c . , 2* qua lité 26 c . — Taxe des boulangers 1 c. en p lus pa r Lil.

N a n te a lM e -M U ta d a ia lK , 25 ju in .Rlé les 100 Lil. !*• q u a lité 26 85, 2* qualité

26 »», 3* qua lité 25 . . . — Méteil 20 » •. —Seigle 17 75. — O rge 20 25 Avoine 20 25.

Pain b lan c (taxeofficieuse} le Lil. I " q . ■» e., 2» q . » . c .; (taxe des boulangers) 1- quat 32 c . 2 * 2 6 . 6 '

P o u t 4 i a i n t c . ! l l a x e u e e , 25Dlé l’hect. 1'* qua i 21 05 , 2* quai. 19 75,

5* q ua i. 18 50. — Méteil 16 50. — Seigle I I 86,q u a i. 18 50. — Méteil 16 50. — Seigle I — O rge 11 90. — A voine qua lité 9 9 2* qua lité 8 60.

Pain b lan c le L il. 35 e . ; d* bis 30 C.

N e n ll» , 29 ju in .Marché bien garn i t ven te active aVaa une • - * - » ■ • • • , le seigl*baisse de 50 c . su r les b lé s; p a r a o n lrr ,

a lianssé d e I f r . p a r J00 Lit. Avoiuc station-

From ent les 100 Lil. I** q u a lité 26 50, 2*qua­lité 25 59 . 3* q u a lité 24 5 0 ; — Seigle 17 50. - Avôlne I » q u a lité 20 50, 2* q u a lité 19 50.

Fro n c n t l ’hect. I " qu a lité 20 65, 2* qualité 19 40, 3* qua lité 18 Ï S . — Seigle 12Û0. -Avoine 1** qua lité 9 45, 2* qua lité 8 20.

Pain le Lil. 1 " q u a i. 35 c .; 2* qua^, 2"

2 * 1 0 p a r a u

BUREAUX 7 , p la c e d e In

B o u rse , P o lis L’EPARGNEP 81, 8,1

BUREAUX 7 , P laco d e la B o u rse , P aris.

l.c p lu s c o m p le t d e s jo u rn a u x f in a n c ie rs , le g u id e in d is p e n s a b le d e s a c t io n n a ir e s e l d e s o b l ig a ta ire s , p u b lic , clmcjn© ‘ ’ " r s e , le C ours d e to n te s les v a le u rs f ra n ç a ise s e t é t r a n g è re s c l d u c h a n g e , In liste

o . . .... c e c i le s d e s c h e m in s de fe r , les d iv id e n d e s e t in té rê ts â re c e v o ir , le s a p p e ls de fonds,les co n v o ca tio n s a u x a sse m b lé e s g é n é ra le s e t les c o m p te s -re n d u s d e ces a sse m b lé e s , le b ila n h e b d o m a d a ir e e l m ensuelo fficielle d e to u s les t ira g e s , les re c e t te s d e s c h e m in s de fe r , les d iv id e n d e s les co n v o ca tio n s a u x a sse m b lé e s g én é ra le s e t les c o m p te s -re n d u s d e ces assf d e to u te s les c o m p a g n ie s fin a n c iè re s c l in d u s tr ie l le s , d e s a r t ic le s ra iso n n é » c l d e s r e n se ig n e m e n ts p u isé s a u x sources les p lu s a u th e n t i i |i ie s s u r le u r s i tu a t io n , u n a r l ic te ri« j u r i s p ru d e n c e sp é c ia le p a r u n d e n o s p r e m ie r s a v o ca ts , des co n se ils s u r les m e ille u rs p la c e m e n ts â o p é re r , d e s c o r re sp o n d a n c e s d o to u te s les p laces d e l 'E u ro p e , e tc ., e tc . Il est r é p o n d u g ra tu i te m e n t aux d e m a n d e s d e re n se ig n e m e n ts d é s a b o n n é s , a c c o m p a g u é e .d 'u n tiin b rc -p o s tc . — O n s 'ab o n H f e n en v o y an t 2 t r . 4 0 c n tim b re s-p o s te o u en u n m a n d a t â l ’o r d r e do M. d e F o n lb o u illa n l, c h e v a lie r d e la L égion d ’IiOfl , n c u r , D’-g é ra iil d u jo u r n a l , 7 , p la c e d e In B o u rse , P a r is . . _________________________

T u p a r nous, M aire de la v ille de S e n lis , pour légalisation de la signature de AI. E . P a yen , a p c jsée à l'a r tic le . L e 1869 Reçu

E nreg istré à Senlis, le 1 8 6 9 . / ' Im p rim erie e t L ithograph ie E rnest PA Y E N , sure, de M ”' R E G N IE R , Place do l'UiHel-ilc-Ville à Senlis.

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J W ' - Mffisammenl jjre>.:Unedif1 confondre ' les i nppoHs q u i ! (tlles q ni ^ e m lescofiteslatioi

raWej raàisiioi du Corps législ

Une demam réunit d é jà '1 3 «3 Éççrétoires;

Nous demi de donner manière plU s e]

> :L acons4 it orpa législatif id e se sco m ir

^eu des m esüt

ïx. P euple et rinterpellatibn ni de cotit raifo

e C e . 'q i r - I.Q ém èut Dû

(tÉot p af la Ch ÜtiatiVof^'edF ta qu’il s’effac tsliomnleë qu

trône so it u n fi d’un .pouyoir il dri!ehangeméii uacteinent que

On écrit d e lLe remplitcèii

Gollz, rt>t u n e :ç

pande importaLe choix d e

d e P r u s s c . â ^ a j«rétairo â P i i

«ordinaire,

Pendant sondefnnpcrairictiBèftioii, La jtcba»dc.iic d e Plufrintwacs lef

tri's proltablem ôliltque. Cièsl •ffisse à Vienne w fsb o jjre .-e t

biron de Magt

Vous n iguoi ‘.iîongtem ité donné

enfin donné n t Wéfthem serait chanta sou venir deX. M agm ül ‘ la sympathie i

Si la nominal ine prèüvc d u . ' ü iâL .'Ù d i

- e d u désli Autriche. Voul ^ u r e ê tre pi

— - --r,. le com ter Paris, e ra jk UDltassadon

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. lem isra lip n . «at de m isère

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