numéro 10 - année 2017blog.paris.urssaf.fr/media/02/01/1318516289.pdfen 2017, l’emploi dans le...

Ile-de-France

Numéro 10 - Année 2017

Au fil des formalités remplies par les personnes physiques ou morales qui déclarent et paient des cotisations

et des contributions sociales, ainsi que dans le cadre de ses missions complémentaires (lutte contre le travail illégal, politique

d’allégement et d’exonérations sociales…), l’Urssaf Ile-de-France collecte des données essentielles sur le tissu économique, l’emploi et les

revenus du travail en Ile-de-France.

Ces informations chiffrées sont mises à disposition des acteurs socio-économiques pour une prise de décision éclairée : préfectures, conseil régional, conseils départementaux, chambres de commerce et d’industrie, mairies, Mission nationale de contrôle et d’audit des organismes de Sécurité sociale (MNC), Mutualité sociale agricole (MSA)…

L’Urssaf Ile-de-France met également son expertise au service de l’Acoss, la Caisse nationale des Urssaf, qui centralise les informations

du réseau des Urssaf puis intervient auprès

des autorités nationales et

européennes.

Som

mai

re

Directeur de la publication : Didier Malric, directeur de l’Urssaf Ile-de-FranceRédacteur : Matthieu GoussotDépartement Statistiques Urssaf Ile-de-France : Audrey Dubourg, Dominique Dussutour, Patricia Fleury, Matthieu Goussot, Augustin Grillon, Virginie Haaz, Gaëlle Jacq, Serge Mercier, Estelle Pic.Réalisation : Service PAO Urssaf Ile-de-FranceDépôt légal : en cours - ISSN : en cours - Photos : @Fotolia.com

Chiffres Ile-de-Franceavec tableaux comparatifs entre les départements

1 - Les é tablissements, effectifs et masses salariales dans le secteur privé .............................................2 - Les déclarations préalables à l’embauche ............ 3 - Les exonérations ...................................................

Chiffres départementauxParis (75) ......................................................................Seine-et-Marne (77) .....................................................Yvelines (78) ................................................................. Essonne (91) ................................................................Hauts-de-Seine (92) .....................................................Seine-Saint-Denis (93) .................................................Val-de-Marne (94) .........................................................Val-d’Oise (95) ..............................................................

1925313743495561

31014

La présente publication s’appuie sur les données de la base Séquoia qui centralise depuis janvier 1997 les effectifs et les assiettes salariales issus des obligations déclaratives des employeurs : le bordereau de cotisations (BRC), et la déclaration sociale nominative (DSN) qui, depuis mars 2015, se substitue au BRC.La définition du champ du secteur privé correspond à celle retenue dans le cadre du partenariat Acoss-Insee-Dares selon la définition de la DGAFP. Elle couvre l’ensemble des cotisants du champ concurrentiel affiliés au régime général, domiciliés en France, hors agriculture, sylviculture et pêche (secteur AZ, qui relève en grande partie de la Mutuelle sociale agricole), hors activités extraterrioriales (UZ) et hors salariés des particuliers employeurs, en France hors Mayotte.

La présente publication mobilise les données d’effectifs intérimaires produites par la Dares. Les données ne sont pas désaisonnalisées dans cet observatoire. Les niveaux peuvent donc être différents de ceux qui apparaissent dans la note de conjoncture trimestrielle StatUR Ile-de-France.

AVERTISSEMENT L’introduction depuis mars 2015 de la DSN modifie les informations décla-ratives nécessaires au calcul des indicateurs statistiques présentés dans cette publication.La montée en charge progressive du nouveau dispositif, ainsi que la refonte de la chaîne de traitement statistique des effectifs salariés associée, pourront conduire à des révisions ultérieures plus importantes.

La masse salariale (assiette déplafonnée) désigne l’ensemble des rémunérations sur lesquelles repose le calcul des cotisations des assurances sociales, des accidents du travail et des allocations familiales, déclarées au titre de la période d’emploi étudiée.Dans cet observatoire, la masse salariale présentée est agrégée sur l’année.L’effectif salarié est mesuré en fin de trimestre. Chaque salarié compte pour un, indépendamment de sa durée de travail. Cet effectif donne lieu à de nombreuses vérifications par les Urssaf et l’Acoss.Dans cet observatoire, l’effectif présenté est l’effectif moyen annuel. Il est calculé en sommant les quatre effectifs à fin de trimestre (mars, juin, septembre, décembre) puis en divisant par quatre.Le salaire moyen par tête (SMPT) est calculé en rapportant la masse salariale à l’effectif. Il est habituellement calculé de façon trimestrielle. Or dans cet observatoire, le SMPT utilisé est un SMPT annuel. Il est calculé en rapportant la masse salariale à l’effectif moyen annuel, en divisant par 12 pour parvenir à une grandeur mensuelle. Ce SMPT présente l’avantage de lisser les primes sur l’ensemble de l’année.Le nombre d’établissements prend en compte les établissements qui présentent une assiette salariale non nulle lors du dernier trimestre de l’année.

À propos des données

L’observatoire statistiqueLe but de cet observatoire est de faire le bilan d’une année d’emploi. Contrairement à la plupart des publications de l’Urssaf Ile-de-France orientées vers les données conjoncturelles, l’observatoire fournit une information stabilisée et lissée. L’analyse est régionale mais elle intègre également des zooms départementaux. En fin de document, des fiches par département permettent de retrouver une grande partie des tableaux régionaux déclinés à un niveau départemental.

Les déclarations préalables à l’embauche (DPAE) regroupent six formalités administratives liées à l’embauche. Ces déclarations permettent le suivi économique de l’embauche des salariés car elles contiennent des informations obligatoires sur le type de contrat, le sexe et l’âge de l’embauché.Les DPAE prises en compte correspondent aux déclarations pour des dates d’embauche comprises dans la période étudiée.Cet observatoire reprend en partie les informations diffusées dans le Bilan embauche 2017, disponible sur notre blog (www.blog.paris.urssaf.fr) ou sur demande.

Les exonérations sont également issues des BRC et/ou des DSN. Les exonérations cor res-pondent à l’ensemble des cotisations exonérées, qu’elles soient compensées ou non par l’État.Il est à noter que les données chiffrées de cette publication sont différentes de celles recensées dans les comptes de la Sécurité sociale. En effet, sont présentées ici les exonérations mesurées de janvier à décembre, se rapportant aux déclarations du mois ou du trimestre précédent. Il ne s’agit donc pas de données en droits constatés qui neutralisent ce décalage par la prise en compte des produits à recevoir.

Acoss : Agence centrale des organismes de Sécurité socialeCDD : Contrat à durée déterminéeCDI : Contrat à durée indéterminéeDPAE : Déclaration préalable à l’embaucheMSA : Mutualité sociale agricoleNCA : Non classés ailleurs Smic : Salaire minimum interprofessionnel de croissanceSMPT : Salaire moyen par tête Urssaf : Union de recouvrement des cotisations de Sécurité sociale et d’allocations familialesZFU : Zone franche urbaine

Lexique

ChiffresIle-de-FranceAvec tableaux comparatifsentre les départements

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Ile-d

e-Fra

nce

Les établissements, effectifs et masses salariales dans le secteur privé

Actualités de l’Urssaf Ile-de-France 27.06.2013n° 164Ile-de-France

Établissements, effectifs et masses salariales :évolutions comparées

En 2017, l’emploi dans le secteur privé en Ile-de-France progresse (+ 2,1 % en moyenne par rapport à 2016), alors que dans le même temps, le nombre de salariés augmente également au niveau national. Cette hausse représente un gain net moyen de 95 800 emplois durant l’année 2017.

Dans un contexte de progression de l’inflation tout au long de l’année, la masse salariale des entreprises franciliennes du secteur privé s’est également accélérée en 2017, avec une hausse annuelle de 3,7 % par rapport à 2016, contre + 2,6 % en 2016 par rapport à 2015.

Le salaire moyen par tête francilien progresse de 1,5 % sur un an. Il s’élève à 3 287 euros.

Le nombre d’établissements en région parisienne augmente de 0,8 %, soit une création de plus de 3 000 établissements en 2017.

Évolution en glissement annuel des effectifs, masses salariales et du salaire moyen par tête

Effectifs

Salaire moyen par tête Masses salariales

+ 4 %

+ 3 %

+ 2 %

+ 1 %

0 %

- 1 %

IDF

Source : Urssaf - Acoss

2016Niveau 2017 2013 2014 2015 2017

Évolution sur 5 ans

2017/2012

Masse salariale (en millions d’€) 183 152,1 + 1,4 % + 1,8 % + 2,2 % + 2,6 % + 3,7 % + 12,2 %

Effectifs salariés (en milliers) 4 642,9 - 0,1 % + 0,4 % + 0,6 % + 1,1 % + 2,1 % + 4,1 %

Salaire moyen par tête (SMPT en €) 3 287 + 1,5 % + 1,4 % + 1,6 % + 1,5 % + 1,5 % + 7,8 %

Établissements 401 489 + 0,9 % + 0,4 % + 0,9 % + 0,8 % + 0,8 % + 3,8 %


Évolution annuelle

2013 2014 2015 2016 2017Source : Urssaf - Acoss

1,0%

2,0%

3,0%

4,0%

-1,0%

0,0%

2013 2014 2015 2016 2017

4

Répartition par secteur d’activité

Le tertiaire hors intérim progresse L’emploi dans le tertiaire hors intérim est en hausse de 1,8 % en moyenne sur l’année (+ 66 550 créations nettes d’emplois). La hausse de ce grand secteur qui représente 82,0 % des emplois privés d’Ile-de-France explique la bonne dynamique générale de cette année. Les activités informatiques, les activités juridiques, de conseil et d’ingénierie, l’action sociale, la restauration, l’hébergement ont été une nouvelle fois le moteur de la création d’emplois en 2017.

La construction redémarre Le nombre de salariés dans la construction affiche en moyenne une hausse de 3,1 % comparée à 2016. L’emploi profite ainsi de la bonne dynamique régionale portée par un niveau haut des constructions de logements neufs et par de grands travaux publics.

L’industrie francilienne poursuit son érosion L’industrie continue à perdre des emplois à un rythme moins important en 2017 (- 0,6 %, après - 1,1 % l’année précédente et - 1,4 % entre 2015 et 2014). La fabrication de matériels de transport après des


Activité économique (NACE 38)Établissements Effectifs

(en milliers)Masses salariales

(en millions d’€)

2017 Évolution2017/2016 2017 Évolution

2017/2016 2017 Évolution2017/2016

BZ Industries extractives 110 - 5,2 % 2,3 + 2,1 % 131,6 + 5,7 % CA Industries agro-alimentaires 5 398 + 1,4 % 49,2 + 1,7 % 1 520,7 + 2,9 % CB Habillement, textile et cuir 1 519 - 2,5 % 17,3 + 2,6 % 692,1 + 5,2 % CC Bois et papier 1 398 - 5,2 % 15,1 - 4,4 % 608,7 - 2,9 % CD Cokéfaction et raffinage 14 - 12,5 % 2,2 - 1,0 % 171,0 - 2,8 % CE Industrie chimique 444 + 1,6 % 26,0 + 0,3 % 1 534,3 + 2,0 % CF Industrie pharmaceutique 140 + 7,7 % 16,8 - 1,8 % 1 076,4 + 0,4 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 797 + 0,8 % 18,4 - 0,9 % 872,1 + 2,1 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 1 555 - 1,5 % 25,7 - 1,6 % 1 066,7 + 0,5 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 574 - 0,2 % 35,9 + 0,0 % 2 119,0 + 1,9 % CJ Fabrication d’équipements électriques 372 + 0,0 % 12,2 - 0,8 % 679,6 + 3,4 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 593 - 0,8 % 15,4 - 2,1 % 790,2 + 0,8 % CL Fabrication de matériels de transport 271 - 2,2 % 71,4 - 0,3 % 4 123,3 + 0,9 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 3 087 - 0,3 % 41,6 - 0,3 % 1 852,3 + 1,0 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz,,, 467 + 0,0 % 43,4 - 3,5 % 2 627,8 - 1,0 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 870 + 2,0 % 28,5 + 0,6 % 996,0 + 1,0 % FZ Construction 38 722 + 2,7 % 287,7 + 3,1 % 8 819,7 + 4,5 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 76 753 - 0,5 % 704,4 + 0,7 % 25 708,0 + 2,8 % HZ Transports et entreposage 14 621 + 0,0 % 372,0 + 0,9 % 13 511,8 + 1,7 % IZ Hébergement et restauration 37 702 + 2,1 % 309,7 + 3,5 % 7 077,0 + 4,6 % JA Édition et Audiovisuel 9 969 + 0,7 % 132,6 - 0,8 % 7 312,2 + 2,8 % JB Télécommunications 1 166 + 3,2 % 52,5 + 0,2 % 2 917,7 + 2,5 % JC Activités informatiques 11 903 + 7,8 % 207,1 + 5,2 % 11 130,0 + 7,2 % KZ Activités financières et d’assurance 18 257 + 1,1 % 314,4 + 0,9 % 20 726,1 + 3,5 % LZ Activités immobilières 13 869 + 0,3 % 77,7 - 1,9 % 3 085,5 + 2,7 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 37 400 + 3,1 % 395,9 + 3,3 % 22 825,0 + 5,9 % MB Recherche et développement 891 + 2,1 % 39,8 + 0,8 % 2 193,4 + 0,1 % MC Autres activités scientifiques et techniques 8 134 + 2,3 % 89,4 + 1,2 % 4 068,0 + 3,1 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 52 512 - 1,6 % 584,9 + 6,3 % 15 012,6 + 6,5 % OZ Administration publique 387 - 2,8 % 43,4 - 1,1 % 1 638,4 + 0,0 % PZ Enseignement 7 341 + 1,4 % 87,9 + 2,5 % 2 389,0 + 3,1 % QA Activités pour la santé humaine 11 456 - 1,4 % 104,7 + 1,0 % 3 136,4 + 3,1 % QB Action sociale et hébergement médico-social 6 864 + 3,5 % 198,6 + 3,2 % 4 319,5 + 4,1 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 12 224 - 0,4 % 90,3 + 2,1 % 2 913,6 + 5,7 % SZ Autres activités de services 25 854 - 0,2 % 128,7 + 0,8 % 3 506,4 + 1,4 % TOTAL 401 489 + 0,8 % 4 642,9 + 2,1 % 183 152,1 + 3,7 % Industrie 17 609 - 0,3 % 421,3 - 0,6 % 20 861,9 + 1,1 % Construction 38 722 + 2,7 % 287,7 + 3,1 % 8 819,7 + 4,5 % Tertiaire 345 158 + 0,6 % 3 934,0 + 2,3 % 153 470,5 + 4,0 % Dont Tertiaire hors intérim 342 572 + 0,6 % 3 808,6 + 1,8 % 150 051,3 + 3,8 %

5

Ile-d

e-Fra

nce

2016 2017 Poids département

Paris 158 002 158 822 39,6 %

Seine-et-Marne 30 905 31 325 7,8 %

Yvelines 32 872 33 057 8,2 %

Essonne 27 546 27 908 7,0 %

Hauts-de-Seine 49 141 49 565 12,3 %

Seine-Saint-Denis 39 718 39 988 10,0 %

Val-de-Marne 34 033 34 211 8,5 %

Val-d’Oise 26 240 26 613 6,6 %

Ile-de-France 398 457 401 489 100,0 %

années de contraction semble s’orienter vers la stabilité (- 0,3 %). A contrario, l’industrie agroalimentaire affiche une nouvelle hausse de ses effectifs.

L’intérim en très forte hausse Sur l’année 2017, les effectifs ont fortement progressé (+ 22,5 %), ce qui correspond en moyenne à 23 000 intérimaires de plus. Le niveau de l’intérim francilien atteint un niveau moyen record dépassant largement le niveau de 2007, l’année précédant la crise économique.

Le nombre d’établissementsRépartition des établissements par département

Le nombre d’établissements augmente cette année (+ 0,8 %) ; cela correspond à la création de près de 3 000 établissements en 2017.

Les départements d’Ile-de-France voient tous leur nombre d’établissements augmenter avec un maximum de + 1,4 % pour la Seine-et-Marne et le Val-d’Oise et un minimum de + 0,5 % pour Paris et le Val-de-Marne.

Évolution annuelle du nombre d’établissements par département

Source : Urssaf-Acoss

Seine-Saint-Denis+ 0,7 %

Paris+ 0,5 %

Val-de-Marne+ 0,5 %

Hauts-de-Seine+ 0,9 %

Ile-de-France+ 0,8 %

Val-d’Oise+ 1,4 %

Yvelines+ 0,6 %

Essonne+ 1,3 % Seine-et-Marne

+ 1,4 %


6

Évolution annuelle des effectifs par département

Les salariés franciliens du secteur privé représentent 26,7 % des effectifs nationaux (sur le champ de l’étude de cette publication). Paris constitue 30,7 % des effectifs salariés franciliens du régime général, suivent les Hauts-de-Seine avec 19,9 % et la Seine-Saint-Denis avec 10,5 %.

Les effectifs moyens salariés sont en hausse de 2,1 % par rapport à 2016 en Ile-de-France. La hausse des effectifs est importante dans l’Essonne (+ 2,5 %), à Paris (+ 2,6 %) et en Seine-et-Marne (+ 3,3 %). Le département des Yvelines affiche une progression plus modérée (+ 1,1 %).

Les effectifs salariés

Répartition des effectifs par département

En milliers


Paris 1 386,6 1 423,1 30,7 %

Seine-et-Marne 351,0 362,6 7,8 %

Yvelines 402,4 406,9 8,8 %

Essonne 344,7 353,4 7,6 %

Hauts-de-Seine 907,4 921,8 19,9 %

Seine-Saint-Denis 477,8 487,2 10,5 %

Val-de-Marne 392,9 397,4 8,6 %

Val-d’Oise 284,2 290,5 6,3 %

Ile-de-France 4 547,1 4 642,9 100,0 %



Paris+ 2,6 %

Val-de-Marne+ 1,2 %



Val-d’Oise+ 2,2 %

Yvelines+ 1,1 %


+ 3,3 %


7

Ile-d

e-Fra

nce

Évolution de l’effectif salarié par secteur d’activité

Dans l’industrie, l’emploi francilien poursuit sa contraction. La majorité des secteurs voit ses effectifs se dégrader. Ainsi, la fabrication de matériels de transport après des années de contraction semble s’orienter vers la stabilité (- 0,3 %). Dans les deux principaux départements employeurs, la tendance est différenciée (+ 1,2 % pour les Yvelines contre une stagnation pour les Hauts-de-Seine). L’habillement et les industries agro-alimentaires sont les seuls secteurs industriels qui créent significativement de l’emploi. Le premier affiche une croissance de ses effectifs de 2,6 %, notamment en Seine-Saint-Denis (+ 13,7 %).

Le nombre de salariés de la construction croît rapidement (+ 3,1 %), porté par une conjoncture favorable. La hausse des effectifs a été importante en Seine-Saint-Denis (+ 6,9 %) ainsi qu’en Seine-et-Marne (+ 5,0 %) et dans le Val-d’Oise (+ 3,6 %).

Le secteur de l’intérim progresse fortement (+ 22,5 %) par rapport à l’année précédente. L’emploi dans le tertiaire hors intérim est en hausse de 1,8 % en moyenne sur l’année, grâce à l’action sociale (+ 3,2 %), aux activités juridiques, de conseil et d’ingénierie (+ 3,3 %), au secteur de l’hébergement et la restauration (+ 3,5 %) et aux activités informatiques (+ 5,2 %).

Activité économique (NACE 38)Glissement annuel


Niveau trimestriel(en milliers)

2017 2016 2015

BZ Industries extractives 2,3 + 2,1 % - 4,6 % + 0,1 % CA Industries agro-alimentaires 49,2 + 1,7 % + 2,3 % + 2,1 % CB Habillement, textile et cuir 17,3 + 2,6 % - 1,9 % - 3,7 % CC Bois et papier 15,1 - 4,4 % - 6,0 % - 5,7 % CD Cokéfaction et raffinage 2,2 - 1,0 % - 3,6 % - 2,5 % CE Industrie chimique 26,0 + 0,3 % + 1,4 % - 0,9 % CF Industrie pharmaceutique 16,8 - 1,8 % - 2,5 % - 2,6 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 18,4 - 0,9 % - 2,3 % - 3,2 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 25,7 - 1,6 % - 2,8 % - 2,8 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 35,9 + 0,0 % - 0,8 % - 1,2 % CJ Fabrication d’équipements électriques 12,2 - 0,8 % - 3,9 % - 1,3 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 15,4 - 2,1 % - 2,7 % - 3,2 % CL Fabrication de matériels de transport 71,4 - 0,3 % - 1,6 % - 2,5 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 41,6 - 0,3 % - 0,1 % - 1,1 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz,,, 43,4 - 3,5 % - 0,8 % + 0,5 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 28,5 + 0,6 % - 0,6 % - 0,5 % FZ Construction 287,7 + 3,1 % + 0,1 % - 1,4 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 704,4 + 0,7 % + 0,4 % + 0,5 % HZ Transports et entreposage 372,0 + 0,9 % + 0,3 % + 0,2 % IZ Hébergement et restauration 309,7 + 3,5 % + 2,4 % + 1,9 % JA Édition et Audiovisuel 132,6 - 0,8 % - 0,1 % - 0,7 % JB Télécommunications 52,5 + 0,2 % - 0,4 % - 2,0 % JC Activités informatiques 207,1 + 5,2 % + 3,3 % + 2,1 % KZ Activités financières et d’assurance 314,4 + 0,9 % + 0,0 % - 0,0 % LZ Activités immobilières 77,7 - 1,9 % - 0,9 % - 0,5 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 395,9 + 3,3 % + 2,7 % + 2,2 % MB Recherche et développement 39,8 + 0,8 % + 0,0 % + 2,0 % MC Autres activités scientifiques et techniques 89,4 + 1,2 % + 1,1 % + 0,7 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 584,9 + 6,3 % + 3,0 % + 1,6 % OZ Administration publique 43,4 - 1,1 % - 1,1 % - 1,1 % PZ Enseignement 87,9 + 2,5 % + 1,9 % - 0,1 % QA Activités pour la santé humaine 104,7 + 1,0 % + 1,6 % + 0,9 % QB Action sociale et hébergement médico-social 198,6 + 3,2 % + 3,2 % + 2,9 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 90,3 + 2,1 % + 1,0 % + 0,6 % SZ Autres activités de services 128,7 + 0,8 % + 0,6 % + 0,8 % Industrie 421,3 - 0,6 % - 1,1 % - 1,4 % Construction 287,7 + 3,1 % + 0,1 % - 1,4 % Tertiaire 3 934,0 + 2,3 % + 1,4 % + 1,0 % Dont Tertiaire hors intérim 3 808,6 + 1,8 % + 1,2 % + 0,9 % Intérim 125,4 + 22,5 % + 8,6 % + 3,4 %

Année 2017

8

La masse salariale augmente de 3,7 % sur la totalité de l’année 2017. La situation est cependant con-trastée au sein des départements franciliens. En effet, Paris progresse de 4,6 %, alors que la croissance de la masse salariale est plus modeste dans le Val-d’Oise (+ 2,5 %).Les départements de Paris et des Hauts-de-Seine sont toujours les deux gros pôles d’activité en Ile-de-France et comptabilisent près de 60 % de la masse salariale francilienne.La masse salariale de l’Ile-de-France représente 33,9 % de la masse salariale nationale (sur le champ de l’étude de cette publication). Cette part est légèrement supérieure à celle des années précédentes.

Les masses salarialesRépartition des masses salariales par département

En millions d’€



La Seine-Saint-Denis (+ 4,6 %) a vu ses effectifs augmenter rapidement dans l’action sociale, tout comme Paris où la hausse des effectifs est de 4,2 %. Pour les activités juridiques, de conseil et d’ingénierie, ce sont les départements de la Seine-et-Marne et des Yvelines qui affichent les plus fortes hausses annuelles avec respectivement + 4,4 % et + 4,6 %. Le Val-d’Oise se distingue avec une hausse de l’emploi dans la restauration et l’hébergement (+ 5,4 %).

À l’inverse, les activités immobilières (- 1,9 %) et les administrations publiques de statut privé (- 1,1 %) subissent des replis d’effectifs. Le premier secteur subit des diminutions d’effectifs notamment en Seine-Saint-Denis (- 11,9 %). Les administrations publiques de statut privé voient baisser leurs effectifs de 1,8 % dans l’Essonne et de 2,8 % dans les Hauts-de-Seine.


Paris+ 4,6 %

Val-de-Marne+ 3,2 %



Val-d’Oise+ 2,5 %

Yvelines+ 2,9 %

Essonne+ 3,1 %

Seine-et-Marne+ 3,7 %

Évolution annuelle des masses salariales par département

Paris 57 249 59 890 32,7 %

Seine-et-Marne 10 328 10 710 5,8 %

Yvelines 14 731 15 157 8,3 %

Essonne 11 682 12 039 6,6 %

Hauts-de-Seine 44 392 45 827 25,0 %

Seine-Saint-Denis 16 563 17 179 9,4 %

Val-de-Marne 13 077 13 493 7,4 %

Val-d’Oise 8 639 8 857 4,8 %

Ile-de-France 176 660,4 183 152,1 100,0 %


9

Ile-d

e-Fra

nce

La masse salariale de l’industrie est en légère hausseLa masse salariale de l’industrie est en hausse de 1,1 % en 2017 malgré le reflux des effectifs. La fabrication d’équipements électriques (+ 3,4 %) et l’habillement (+ 5,2 %) font partie des hausses les plus importantes. À l’inverse, le secteur du bois et papier voit son niveau se contracter à un rythme très soutenu (- 2,9 % après - 6,6 % l’an dernier).La forte croissance de la masse salariale dans la constructionAprès une année de faible évolution, la masse salariale du secteur de la construction est en hausse de 4,5 %. Cette hausse concomitante à la progression des effectifs est un fait assez rare ces dernières années dans ce secteur qui a globalement privilégié la croissance du nombre d’emploi plutôt que le salaire. Le secteur tertiaire hors intérim en hausse La quasi-totalité des secteurs du tertiaire hors intérim affiche des hausses significatives en 2017. Les activités informatiques (+ 7,2 %) et les arts et spectacles (+ 5,7 %) sont les secteurs les plus dynamiques. A contrario, la recherche et développement voit l’ensemble de ses salaires stagner. La dynamique de l’intérim provoque une hausse de la masse salarialeAprès un premier rebond en 2016 (+ 9,5 %), l’expansion de la masse salariale s’accentue en 2017 (+ 14,0 %). Cependant, cette hausse apparaît relativement faible par rapport à la progression des effectifs, traduisant sûrement de missions d’intérim moins qualifiées et moins longues.

Évolution des masses salariales par secteur d’activité

Activité économique (NACE 38)Année 2017

Glissement annuel


Niveau trimestriel(en millions d’€)

2017 2016 2015

BZ Industries extractives 131,6 + 5,7 % - 9,9 % + 7,8 % CA Industries agro-alimentaires 1 520,7 + 2,9 % + 2,6 % + 3,5 % CB Habillement, textile et cuir 692,1 + 5,2 % + 1,6 % - 1,8 % CC Bois et papier 608,7 - 2,9 % - 6,6 % - 2,6 % CD Cokéfaction et raffinage 171,0 - 2,8 % + 5,6 % + 6,3 % CE Industrie chimique 1 534,3 + 2,0 % + 2,0 % + 1,5 % CF Industrie pharmaceutique 1 076,4 + 0,4 % + 0,5 % - 3,1 % CG Industrie plastiques, produits non minéraux 872,1 + 2,1 % - 0,2 % - 1,0 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 1 066,7 + 0,5 % + 0,2 % - 2,5 % CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 2 119,0 + 1,9 % + 2,7 % + 0,0 % CJ Fabrication d’équipements électriques 679,6 + 3,4 % - 0,9 % + 1,3 % CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 790,2 + 0,8 % - 0,1 % - 2,0 % CL Fabrication de matériels de transport 4 123,3 + 0,9 % + 0,3 % - 0,6 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 1 852,3 + 1,0 % + 1,7 % + 0,8 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz,,, 2 627,8 - 1,0 % + 2,6 % + 2,9 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 996,0 + 1,0 % - 0,4 % + 1,1 % FZ Construction 8 819,7 + 4,5 % + 0,9 % - 0,7 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 25 708,0 + 2,8 % + 2,2 % + 2,2 % HZ Transports et entreposage 13 511,8 + 1,7 % + 1,2 % + 1,5 % IZ Hébergement et restauration 7 077,0 + 4,6 % + 1,9 % + 2,7 % JA Édition et Audiovisuel 7 312,2 + 2,8 % + 2,8 % + 2,9 % JB Télécommunications 2 917,7 + 2,5 % - 0,8 % - 0,1 % JC Activités informatiques 11 130,0 + 7,2 % + 5,5 % + 4,1 % KZ Activités financières et d’assurance 20 726,1 + 3,5 % + 3,5 % + 1,9 % LZ Activités immobilières 3 085,5 + 2,7 % + 3,2 % + 1,9 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 22 825,0 + 5,9 % + 4,1 % + 4,2 % MB Recherche et développement 2 193,4 + 0,1 % + 2,9 % + 3,3 % MC Autres activités scientifiques et techniques 4 068,0 + 3,1 % + 4,5 % + 3,5 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 15 012,6 + 6,5 % + 4,4 % + 3,4 % OZ Administration publique 1 638,4 + 0,0 % - 0,6 % - 0,5 % PZ Enseignement 2 389,0 + 3,1 % + 1,3 % + 1,0 % QA Activités pour la santé humaine 3 136,4 + 3,1 % + 2,5 % + 2,7 % QB Action sociale et hébergement médico-social 4 319,5 + 4,1 % + 3,2 % + 3,4 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 2 913,6 + 5,7 % + 3,3 % + 2,4 % SZ Autres activités de services 3 506,4 + 1,4 % - 1,3 % + 1,3 %

Industrie 20 861,9 + 1,1 % + 0,9 % + 0,3 % Construction 8 819,7 + 4,5 % + 0,9 % - 0,7 % Tertiaire 153 470,5 + 4,0 % + 3,0 % + 2,6 % dont Tertiaire hors intérim 150 051,3 + 3,8 % + 2,8 % + 2,6 % Intérim 3 419,2 + 14,0 % + 9,5 % + 3,4 %

10

2013 2014 2015 2016 2017

Évolution régionale mensuelle du nombre de DPAE

À l’occasion de l’embauche d’un salarié, tout employeur, à l’exception des particuliers, est tenu d’effectuer une déclaration préalable à l’embauche (DPAE) auprès de l’Urssaf ou de la Mutualité sociale agricole (MSA), selon le régime auquel il appartient. Les données qui suivent concernent uniquement les déclarations parvenues aux Urssaf et excluent donc les entreprises relevant de la MSA. La DPAE recouvre toutes les formes d’embauche (CDI, CDD de courte ou de longue durée, contrats d’intérim) et ce, quelle que soit la durée de travail (temps plein, temps partiel).

Répartition et évolution des DPAE par département

Durant l’année 2017, le nombre des DPAE a atteint un niveau record en Ile-de-France et progresse de 5,1 % par rapport à l’année 2016. Tous les différents types de contrats enregistrent une hausse. Les dépar-te ments ont tous des évolutions positives mais d’intensité différente. Ainsi, la Seine-et-Marne (+ 12,0 %) et le Val-d’Oise (+ 7,7 %) enregistrent de fortes progressions alors qu’en Seine-Saint-Denis (+ 1,6 %) et dans les Hauts-de-Seine (+ 3,2 %), la hausse est moins marquée.

Les déclarations préalables à l’embauche

En milliers


Paris 4 647,9 4 853,8 + 4,4 % 39,7 %

Seine-et-Marne 836,1 936,4 + 12,0 % 7,7 %

Yvelines 696,3 729,6 + 4,8 % 6,0 %

Essonne 797,9 842,6 + 5,6 % 6,9 %

Hauts-de-Seine 1 856,7 1 916,9 + 3,2 % 15,7 %

Seine-Saint-Denis 1 178,0 1 197,0 + 1,6 % 9,8 %

Val-de-Marne 803,2 848,8 + 5,7 % 6,9 %

Val-d’Oise 811,2 873,9 + 7,7 % 7,2 %

Ile-de-France 11 628,0 12 220,9 + 5,1 % 100,0 %


Évolution 2017/2016


1 300 000

1 200 000

1 100 000

1 000 000

900 000

800 000

700 000

600 000

700 000

800 000

900 000

1 000 000

1 100 000

1 200 000

1 300 000

600 000

janv

-13

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13se

pt-1

3no

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4no

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Ile-d

e-Fra

nce

Répartition des DPAE par secteur d’activité

Le nombre de DPAE enregistrées en 2017 augmente pour une majorité de secteurs d’activité. L’intérim affi-che un nombre global de DPAE en hausse soutenue (+ 9,5 % sur un an), le secteur représentant tou jours plus d’une DPAE sur trois. L’industrie voit son nombre de DPAE augmenter par rapport à 2016 (+ 4,1 %). Le tertiaire hors intérim est également en hausse de 2,5 %, tout comme la construction (+ 9,2 %).Les hausses les plus importantes sur un an sont enregistrées dans les activités informatiques (+ 11,8 %, avec des fortes progressions dans les Hauts-de-Seine et en Seine-Saint-Denis), les activités juridiques, de conseil et d’ingénierie (+ 9,8 % sur un an, notamment dans les Hauts-de-Seine et le Val-de-Marne) et l’action sociale (+ 7,9 %, notamment dans le Val-de-Marne - du fait d’une unique entreprise - mais également en Seine-et-Marne, où la hausse est de 15,0 %).Parmi les secteurs avec un volume important de DPAE, l’hébergement et restauration affiche une hausse régionale de 4,0 %, grâce notamment aux hausses observées dans le Val-d’Oise (+ 14,0 %), en Seine-Saint-Denis (+ 12,6 %) et dans les Hauts-de-Seine (+ 8,3 %). A contrario, la hausse est peu significative dans l’édition et l’audiovisuel (+ 0,4 %), la Seine-Saint-Denis (+ 14,1 %) compensant la baisse relevée dans les Hauts-de-Seine (- 11,7 %).


2016 2017 Évolution2017/2016

En milliers

BZ Industries extractives 0,2 0,3 + 40,3 % CA Industries agro-alimentaires 45,8 46,8 + 2,2 % CB Habillement, textile et cuir 16,4 16,2 - 1,4 % CC Bois et papier 5,3 4,7 - 11,0 % CD Cokéfaction et raffinage 0,2 0,3 + 12,5 % CE Industrie chimique 6,0 6,3 + 4,5 % CF Industrie pharmaceutique 2,5 2,3 - 8,7 % CG Industrie des plastiques et autres produits non minéraux 3,8 3,7 - 1,0 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 5,6 6,1 + 9,1 % CI Fabrication de produits informatiques, électroniques, optiques 5,2 5,6 + 8,1 % CJ Fabrication d’équipements électriques 2,1 2,2 + 6,7 % CK Fabrication de machines et d’équipements n.c.a. 2,8 3,1 + 11,2 % CL Fabrication de matériels de transport 8,0 8,5 + 6,7 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 11,7 12,2 + 4,1 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz,,, 4,5 4,9 + 8,3 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 7,8 9,9 + 26,6 % FZ Construction 190,9 208,6 + 9,2 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 473,6 482,4 + 1,9 % HZ Transports et entreposage 299,4 318,6 + 6,4 % IZ Hébergement et restauration 1 205,9 1 253,6 + 4,0 % JA Édition et audiovisuel 1 147,8 1 152,3 + 0,4 % JB Télécommunications 9,8 10,0 + 1,5 % JC Activités informatiques 82,8 92,5 + 11,8 % KZ Activités financières et d’assurance 84,0 85,1 + 1,4 % LZ Activités immobilières 57,4 39,1 - 32,0 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 238,2 261,6 + 9,8 % MB Recherche et développement 14,8 13,2 - 10,7 % MC Autres activités scientifiques et techniques 545,5 536,1 - 1,7 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 5 122,1 5 522,5 + 7,8 % OZ Administration publique 110,5 108,7 - 1,7 % PZ Enseignement 162,9 156,8 - 3,8 % QA Activités pour la santé humaine 226,9 238,0 + 4,9 % QB Action sociale et hébergement médico-social 530,4 572,2 + 7,9 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 849,0 857,9 + 1,0 % SZ Autres activités de services 146,1 155,4 + 6,3 % Activités diverses et non classées 2,1 23,4 + 1040,6 % TOTAL 11 628,0 12 220,9 + 5,1 % Industrie 127,8 133,0 + 4,1 % Construction 190,9 208,6 + 9,2 % Tertiaire 11 309,2 11 879,3 + 5,0 % Dont Tertiaire hors intérim 7 249,7 7 433,7 + 2,5 % Intérim 4 059,6 4 445,6 + 9,5 %

Activité économique (NACE 38)

12

Répartition des DPAE en CDI par secteur d’activité

Les niveaux d’embauche en CDI sont en augmentation dans quasiment tous les secteurs. La cons-truction (+ 11,9 % sur un an) demeure le principal moteur de la croissance de ce type de contrat. Le tertiaire est également dynamique (+ 10,7 %), tandis que l’industrie affiche une hausse pour la quatrième année consécutive (+ 9,9 %).

Dans le détail, ce nombre de DPAE en CDI augmente fortement dans les activités informa tiques (+ 18,1 %) et les activités juridiques, de conseil et d’ingénierie (+ 17,9 %) et la construction (+ 11,9 %). L’hébergement et restauration demeure le secteur qui émet le plus de DPAE en CDI. Ces dernières sont également en forte hausse de 11,1 % sur un an. Aucun secteur avec un poids important ne voit son nombre de DPAE en CDI baisser ; signalons néanmoins le secteur des activités immobilières, qui enregistre un recul de 4,1 % en un an.


Activité économique (NACE 38) 2016 2017 Évolution2017/2016

En milliers

BZ Industries extractives 0,1 0,2 + 73,9 % CA Industries agro-alimentaires 19,9 21,0 + 5,3 % CB Habillement, textile et cuir 7,1 6,7 - 6,4 % CC Bois et papier 2,0 1,7 - 15,2 % CD Cokéfaction et raffinage 0,1 0,1 + 13,6 % CE Industrie chimique 2,6 2,9 + 13,6 % CF Industrie pharmaceutique 1,3 1,2 - 4,5 % CG Industrie des plastiques et autres produits non minéraux 1,6 1,8 + 10,8 % CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 2,7 3,1 + 16,0 % CI Fabrication de produits informatiques, électroniques, optiques 3,1 3,6 + 15,9 % CJ Fabrication d’équipements électriques 1,1 1,2 + 14,6 % CK Fabrication de machines et d’équipements n.c.a. 1,5 1,9 + 21,5 % CL Fabrication de matériels de transport 5,0 5,8 + 15,8 % CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 5,6 6,5 + 16,3 % DZ Production, distribution d’électricité, de gaz,,, 2,6 2,8 + 5,9 % EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 3,5 5,3 + 52,0 % FZ Construction 111,5 124,7 + 11,9 % GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 179,5 193,7 + 7,9 % HZ Transports et entreposage 81,9 90,1 + 10,0 % IZ Hébergement et restauration 200,7 223,1 + 11,1 % JA Édition et audiovisuel 20,7 21,7 + 4,9 % JB Télécommunications 5,4 6,0 + 10,4 % JC Activités informatiques 54,8 64,7 + 18,1 % KZ Activités financières et d’assurance 35,7 39,0 + 9,1 % LZ Activités immobilières 16,3 15,6 - 4,1 % MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 96,9 114,3 + 17,9 % MB Recherche et développement 3,6 3,8 + 4,8 % MC Autres activités scientifiques et techniques 19,5 20,3 + 3,9 % NZ Activités de services administratifs et de soutien 117,1 130,4 + 11,3 % OZ Administration publique 7,2 8,5 + 18,0 % PZ Enseignement 14,7 15,7 + 6,5 % QA Activités pour la santé humaine 21,0 22,5 + 7,2 % QB Action sociale et hébergement médico-social 43,7 47,8 + 9,5 % RZ Arts, spectacles et activités récréatives 15,6 18,1 + 16,4 % SZ Autres activités de services 34,3 37,3 + 8,9 % Activités diverses et non classées 0,4 0,5 + 27,0 % TOTAL 1 140,6 1 263,8 + 10,8 % Industrie 59,9 65,8 + 9,9 % Construction 111,5 124,7 + 11,9 % Tertiaire 969,2 1 073,2 + 10,7 %

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Ile-d

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Répartition des DPAE par type de contrats

Répartition des DPAE par sexe et âge

La part des CDI dans le total des DPAE est en hausse cette année par rapport à 2016, pour représenter 10,3 % de l’ensemble des contrats.

Le nombre de DPAE en CDI atteint ainsi 1,26 million de DPAE. Le type de contrat le plus utilisé demeure, et de loin, le CDD de courte durée (contrat inférieur à un mois), le volume de ce type de contrat augmente cette année (+ 1,5 %) après trois années de ralentissement.

À l’inverse, la croissance des DPAE en intérim est en expansion depuis quatre ans et atteint 9,5 % cette année, soit 386 000 DPAE supplémentaire par rapport à 2016. La croissance des CDD de plus d’un mois ressort à 0,2 %.

Tous types de contrats inclus, les embauches par sexe se répartissent de façon assez stable dans le temps. En 2017, 59,6 % des DPAE correspondent à l’embauche de salariés masculins et 40,4 % de salariés féminins.

Les tranches des 21-24 ans et des 25-29 ans concentrent près d’un tiers des DPAE. Cette prédominance est encore plus marquée dans les CDI, où l’âge médian des embauches s’établit à 30 ans (stable par rapport à l’an dernier). Pour ce type de contrat, les 25-29 ans représentent 20,6 % des embauches chez les hommes et 23,2 % des embauches chez les femmes. Les déclarations d’embauche des plus de 55 ans sont caractérisées par une part de DPAE plus importante des CDD (9,8 %) que des CDI (5,4 %).


55 anset plus

50 à 54 ans

45 à 49 ans

40 à 44 ans

35 à 39 ans

30 à 34 ans

25 à 29 ans

21 à 24 ans

moinsde 21 ans

Hommes59,6 %

Femmes40,4 %

200 000 0800 0001 200 000 600 000

9,3 %

7,3 %

8,7 %

9,3 %

10,3 %

12,0 %

17,1 %

17,6 %

8,3 %

9,3 %

7,9 %

10,4 %

12,2 %

13,3 %

13,8 %

14,9 %

12,4 %

5,8 %


400 0001 000 000 1 000 0000 800 000200 000 400 000 600 000

CDD de plus d’un mois 7,6 %

Intérim 36,4 %

CDI 10,3 %

CDD de moins d’un mois 45,7 %

14

Répartition et évolution des exonérations par département

Le montant total des exonérations au titre de l’année 2017 s’élève à 5,332 milliards d’euros pour l’ensemble des départements d’Ile-de-France, soit une augmentation de 7,3 %* par rapport au montant obtenu en 2016. * Auparavant, les établissements étaient suivis en période de versement de salaire ; depuis début 2018, ils sont maintenant suivis en période d’emploi. Cette modification a provoqué un effet technique sur 2017 qui conduit à une majoration de l’évolution annuelle de l’ordre de + 1 %.

Le montant total exonéré représente 2,5 % de la totalité de l’assiette salariale calculée sur le secteur privé et le secteur public de la région parisienne.

Cette hausse de 362 millions d’euros s’explique quasiment intégralement par la hausse de la réduction générale, ex-réduction Fillon (+ 346 millions d’euros). Cette progression se situe dans un contexte d’expansion de la masse salariale, en hausse de 3,7 % en 2017, soit une augmentation plus rapide que celle observée un an auparavant (+ 2,6 %).

Évolution annuelle des exonérations par département

Les exonérations de cotisations

En millions d’€


Paris 1 469,5 1 560,2 29,3 %

Seine-et-Marne 486,4 536,7 10,1 %

Yvelines 445,7 472,2 8,9 %

Essonne 432,3 462,2 8,7 %

Hauts-de-Seine 679,0 730,6 13,7 %

Seine-Saint-Denis 581,2 634,3 11,9 %

Val-de-Marne 484,3 516,1 9,7 %

Val-d’Oise 391,6 419,3 7,9 %

Ile-de-France 4 969,9 5 331,6 100,0 %



Paris+ 6,2 %

Val-de-Marne+ 6,6 %



Val-d’Oise+ 7,1 %

Yvelines+ 6,0 %


+ 10,3 %


15

Ile-d

e-Fra

nce

Les départements franciliens affichent tous une augmentation du montant total des exonérations. Ainsi, les progressions globales des exonérations au niveau départemental oscillent entre 6,0 % et 10,3 %. En effet, les hausses de la réduction générale (ex-réduction Fillon) se rencontrent sur tous les départements. Les montants associés à cette exonération atteignent 4,600 milliards d’euros, en hausse de 8,1 % en un an. La croissance était plus faible en 2016 (+ 3,9 %). L’évolution de la masse salariale (hors hauts salaires) favorise cette évolution. Dans une moindre mesure, l’évolution du Smic en 2017 (+ 0,93 % au 1er janvier 2017) contribue également à cette augmentation. La réduction générale reste prédominante, puisque le montant exonéré représente 86,3 % du montant total des exonérations de cotisations. Ainsi, sur 7 euros exonérés, plus de 6 euros concernent cette réduction.

Tous les départements voient leur réduction générale augmenter, particulièrement la Seine-et-Marne (+ 10,3 %), la Seine-Saint-Denis (+ 9,1 %) et les Hauts-de-Seine (+ 7,6 %).

Les montants associés aux exonérations sur les heures supplémentaires s’élèvent à 97 millions d’euros, en hausse de 5,0 % en un an. Rappelons que l’article 3 de la loi de finances rectificative pour 2012 (loi n° 2012-958) a recentré le dispositif uniquement sur les exonérations patronales des entreprises de moins de 20 salariés. La part de ces mesures représente 1,8 % du montant total exonéré en région parisienne en 2017.

Comme les quatre précédentes années, l’exonération sur compte épargne temps est en forte hausse (+ 21,7 %). Cette exonération, pour un montant de 26 millions d’euros, n’est pas compensée par l’Etat.

Globalement, les mesures générales d’encouragement à la création d’emplois, à la RTT et au pouvoir d’achat, représentent 88,8 % du montant total exonéré, soit une hausse de 0,7 point par rapport à l’année 2016.

Dans le même temps, les exonérations liées aux mesures en faveur de l’emploi de publics particuliers s’élèvent à 405 millions d’euros en 2017, en baisse de 1,4 % par rapport à 2016. Les principales mesures associées à ce domaine concernent les contrats d’apprentissage. Elles s’élèvent à 209 millions d’euros et augmentent de 5,2 % sur un an. Ces mesures représentent 3,9 % du montant total des exonérations de cotisations en Ile-de-France. En revanche, les exonérations liées aux contrats d’accompagnement dans l’emploi dans le secteur non-marchand baissent fortement (- 13,3 % en un an). Les exonérations de ces contrats représentent ainsi 118 millions d’euros.

Les contrats d’accompagnement dans l’emploi n’ont pas évolué de façon tout à fait semblable selon les départements. Ainsi, les Yvelines (- 7,3 %) et Paris (- 10,9 %) voient leur volume d’exonérations diminuer de façon moindre comparé aux Hauts-de-Seine (- 17,2 %) et à la Seine-et-Marne (- 16,1 %).

Les montants des exonérations liées aux mesures en faveur de l’emploi dans certaines zones géographiques restent très modestes, soit à peine plus de 6 millions d’euros, en baisse de 17,6 % par rapport à 2016. 96,2 % du montant relatif à ces exonérations concernent les zones franches urbaines. Comme les années précédentes, l’affaiblissement du montant exonéré lié aux ZFU (- 17,6 % en un an) fait suite à la nature dégressive de cette mesure.

Le montant total exonéré relatif aux mesures en faveur des services à la personne s’élève à 88 millions d’euros (+ 4,2 % sur un an). Dans le même temps, l’exonération pour les Jeunes entreprises innovantes (93 millions d’euros), est en progression de 9,7 % en un an.

Pour cette dernière exonération, la hausse est particulièrement importante dans le Val-d’Oise (+ 29,5 %) et dans les Yvelines (+ 16,3 %), alors qu’elle est en net recul dans le Val-de-Marne (- 71,7 %). Ces fortes variations proviennent du nombre restreint d’entreprises utilisant cette exonération.

En 2017, 94,8 % du montant total des exonérations fait l’objet d’une compensation par l’État.

16

Répartition des exonérations par mesure

Principales mesures d'exonération

Réduction générale 4 599,7 + 8,1 %

Contrat d’apprentissage secteur privé 135,2 + 5,7 %

Contrat d’accompagnement dans l’emploi 117,8 - 13,3 %

Déduction patronale heures supplémentaires 96,8 + 5,0 %

Jeunes entreprises innovantes 93,5 + 9,7 %

Aide à domicile 84,0 + 4,7 %

Contrat d’apprentissage loi de 1979 53,8 - 0,9 %

Exonération assurance chomage CDI moins de 26 ans 27,6 + 1,4 %

Exonérations sur compte épargne temps 25,6 + 21,7 %

Maitres et documentalistes enseign.privé 20,0 + 5,6 %

Autres 77,5 + 5,7 %

TOTAL DES EXONÉRATIONS 5 331,6 + 7,3 %


Cotisations exonérées

(en millions d’€)Évolution

2017/2016

17

ChiffresdépartementauxZoom surles thèmes de l’emploiet des exonérations

Ile-d

e-Fra

nce

75 -

Pari

s

19

Les établissements, effectifset masses salariales

Actualités de l’Urssaf Ile-de-France 27.06.2013n° 164Paris

75



2016Niveau 2017 2013 2014 2015 2017


2017/2012


Évolution annuelle

Salaire moyen par tête

Effectifs

Masses salariales

+ 5 %

+ 4 %

+ 3 %

+ 2 %

+ 1 %

0 %

- 1 %

- 2 %


Effectifs salariés (en milliers) 1 423,1 - 0,1 % + 0,8 % + 0,9 % + 1,1 % + 2,6 % + 5,3 %

Salaire moyen partête (SMPT en €) 3 507 + 1,3 % + 1,5 % + 2,4 % + 2,0 % + 1,9 % + 9,4 %

Établissements 158 822 + 0,7 % + 0,4 % + 0,5 % + 0,6 % + 0,5 % + 2,7 %

0 0%

1,0%

2,0%

3,0%

4,0%

5,0%

-2,0%

-1,0%

0,0%

2013 2014 2015 2016 2017


2013 2014 2015 2016 2017

2020


Établissements


Effectifs(en milliers)


Masses salariales(en millions d’€)

2017 Évolution 2017/2016


BZ Industries extractives 22 - 8,3 % 1,1 + 6,3 % 81,1 + 9,2 %

CA Industries agro-alimentaires 1 427 + 1,1 % 12,6 + 0,6 % 360,5 + 0,2 %

CB Habillement, textile et cuir 993 - 4,8 % 10,9 + 0,3 % 477,9 + 5,4 %

CC Bois et papier 375 - 5,1 % 2,5 - 4,3 % 105,4 - 4,2 %

CD Cokéfaction et raffinage - 0,0 - 0,0 -

CE Industrie chimique 126 + 1,6 % 3,1 - 4,0 % 208,1 - 2,5 %

CF Industrie pharmaceutique 37 + 8,8 % 1,3 + 4,1 % 109,6 + 4,1 %

CG Industrie plastiques, produits non minéraux 81 + 1,3 % 0,9 - 0,6 % 46,4 - 3,0 %

CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 100 + 1,0 % 1,0 - 3,2 % 45,7 - 1,6 %

CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 69 - 4,2 % 1,2 - 11,4 % 66,5 - 2,7 %

CJ Fabrication d’équipements électriques 62 + 17,0 % 1,2 - 13,0 % 70,4 - 12,3 %

CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 37 - 5,1 % 0,2 - 14,3 % 13,6 - 7,6 %

CL Fabrication de matériels de transport 25 - 3,8 % 3,6 - 17,1 % 210,0 - 13,6 %

CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 871 + 0,1 % 6,2 + 2,3 % 253,1 + 2,6 %

DZ Production, distribution d’électricité, de gaz,,, 134 - 1,5 % 6,1 - 6,4 % 381,8 - 5,8 %

EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 60 + 13,2 % 1,5 + 3,1 % 67,6 + 6,4 %

FZ Construction 6 259 + 1,0 % 31,0 + 3,0 % 907,4 + 5,6 %

GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 25 570 - 1,0 % 174,6 + 1,5 % 5 926,6 + 4,8 %

HZ Transports et entreposage 2 578 - 0,8 % 74,6 - 1,9 % 2 883,1 - 0,9 %

IZ Hébergement et restauration 17 039 + 2,3 % 156,2 + 3,5 % 3 804,6 + 4,9 %

JA Édition et Audiovisuel 6 504 + 0,7 % 68,8 - 0,8 % 3 694,7 + 3,2 %

JB Télécommunications 363 - 1,9 % 16,9 + 7,8 % 864,2 + 3,8 %

JC Activités informatiques 5 274 + 6,7 % 76,6 + 11,4 % 4 306,1 + 13,8 %

KZ Activités financières et d’assurance 7 921 + 1,7 % 135,6 + 0,0 % 10 175,2 + 3,8 %

LZ Activités immobilières 6 676 + 0,5 % 35,7 - 0,5 % 1 593,7 + 4,2 %

MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 19 015 + 2,4 % 148,1 + 3,1 % 8 963,2 + 6,1 %

MB Recherche et développement 499 + 2,7 % 10,1 + 3,1 % 505,8 - 1,3 %

MC Autres activités scientifiques et techniques 3 807 + 2,3 % 29,4 + 1,9 % 1 461,1 + 4,4 %

NZ Activités de services administratifs et de soutien 29 905 - 1,5 % 182,5 + 8,1 % 5 250,2 + 7,4 %

OZ Administration publique 130 - 3,0 % 17,8 - 0,3 % 744,8 + 0,7 %

PZ Enseignement 2 822 + 2,1 % 37,4 + 1,8 % 1 060,6 + 2,7 %

QA Activités pour la santé humaine 3 579 - 1,1 % 26,8 + 1,4 % 807,8 + 3,8 %

QB Action sociale et hébergement médico-social 1 903 + 2,1 % 55,7 + 4,2 % 1 310,5 + 5,2 %

RZ Arts, spectacles et activités récréatives 4 147 + 0,5 % 31,4 - 0,4 % 1 148,6 + 1,2 %

SZ Autres activités de services 11 206 + 0,2 % 60,3 + 0,2 % 1 984,3 + 1,1 %

Industrie 4 419 - 0,9 % 53,6 - 2,5 % 2 497,7 - 1,4 %

Construction 6 259 + 1,0 % 31,0 + 3,0 % 907,4 + 5,6 %

Tertiaire 148 144 + 0,5 % 1 338,5 + 2,8 % 56 485,1 + 4,9 %

Dont Tertiaire hors intérim 146 994 + 0,5 % 1 288,3 + 2,1 % 54 985,4 + 4,7 %

Intérim 1 150 + 3,0 % 50,1 + 24,9 % 1 499,6 + 13,0 %


2017 2017

Ile-d

e-Fra

nce

75 -

Pari

s

21

(en milliers) Source : Urssaf - Acoss

Activité économique (NACE 38) 2016

Les déclarations préalables à l’embauche (DPAE)


BZ Industries extractives 0,1 0,1 + 55,4 %

CA Industries agro-alimentaires 17,4 18,4 + 5,5 %

CB Habillement, textile et cuir 11,7 11,1 - 4,6 %

CC Bois et papier 0,7 0,7 - 8,6 %

CD Cokéfaction et raffinage 0,0 0,0 -

CE Industrie chimique 1,1 1,0 - 4,7 %

CF Industrie pharmaceutique 0,3 0,2 - 24,1 %

CG Industrie des plastiques et autres produits non minéraux 0,2 0,2 + 16,2 %

CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 0,2 0,2 + 3,0 %

CI Fabrication de produits informatiques, électroniques, optiques 0,3 0,3 - 8,5 %

CJ Fabrication d’équipements électriques 0,2 0,2 + 54,6 %

CK Fabrication de machines et d’équipements n.c.a. 0,1 0,1 + 32,1 %

CL Fabrication de matériels de transport 0,4 0,4 + 0,5 %

CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 2,1 2,6 + 20,6 %

DZ Production, distribution d’électricité, de gaz,,, 1,0 0,9 - 12,7 %

EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 0,3 0,5 + 35,7 %

FZ Construction 31,5 33,4 + 6,1 %

GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 153,0 155,8 + 1,8 %

HZ Transports et entreposage 124,2 122,8 - 1,1 %

IZ Hébergement et restauration 697,1 703,7 + 0,9 %

JA Édition et audiovisuel 595,9 632,2 + 6,1 %

JB Télécommunications 4,0 3,7 - 8,6 %

JC Activités informatiques 39,6 42,9 + 8,4 %

KZ Activités financières et d’assurance 40,2 39,0 - 2,9 %

LZ Activités immobilières 33,9 21,8 - 35,7 %

MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 101,6 99,4 - 2,2 %

MB Recherche et développement 7,6 6,3 - 17,2 %

MC Autres activités scientifiques et techniques 163,7 165,1 + 0,9 %

NZ Activités de services administratifs et de soutien 1 892,2 2 064,1 + 9,1 %

OZ Administration publique 16,3 15,5 - 5,0 %

PZ Enseignement 79,0 73,6 - 6,8 %

QA Activités pour la santé humaine 43,2 47,3 + 9,5 %

QB Action sociale et hébergement médico-social 113,2 108,7 - 4,0 %

RZ Arts, spectacles et activités récréatives 406,6 408,4 + 0,4 %

SZ Autres activités de services 67,8 71,8 + 5,9 %

Activités diverses et non classées 1,2 1,2 - 0,2 %

TOTAL 4 647,9 4 853,8 + 4,4 %

Industrie 36,1 36,9 + 2,3 %

Construction 31,5 33,4 + 6,1 %

Tertiaire 4 580,3 4 783,5 + 4,4 %

Dont Tertiaire hors intérim 3 096,0 3 146,7 + 1,6 %

Intérim 1 484,3 1 636,8 + 10,3 %

2017 Évolution2017/2016

2222






















HZ Transports et entreposage 16,7 17,7 + 5,9 %





KZ Activités financières et d’assurance 18,4 19,1 + 3,5 %


MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 40,4 42,8 + 5,8 %

MB Recherche et développement 1,2 1,5 + 25,5 %


NZ Activités de services administratifs et de soutien 35,3 38,3 + 8,7 %

OZ Administration publique 2,3 2,5 + 11,3 %

PZ Enseignement 6,3 6,5 + 2,1 %


QB Action sociale et hébergement médico-social 13,2 14,3 + 8,4 %



Activités diverses et non classées 0,3 0,4 + 11,6 %

TOTAL 408,3 445,5 + 9,1 %

Industrie 14,7 15,6 + 6,2 %


Tertiaire 375,4 410,5 + 9,3 %

2016 2017 Évolution2017/2016

Ile-d

e-Fra

nce

75 -

Pari

s

23

Cotisationsexonérées

(en millions d’€)Principales mesures d'exonération

Les exonérations

Réduction générale 1 319,0

Jeunes entreprises innovantes 63,2

Déduction patronale heures supplémentaires 37,9

Contrat d’apprentissage secteur privé 29,6

Contrat d’accompagnement dans l’emploi 29,4

Aide à domicile 22,0

Contrat d’apprentissage loi de 1979 13,9

Exo assurance chomage CDI moins de 26 ans 10,3

Contrat d’apprentissage secteur public 10,0

Maîtres et documentalistes enseignement privé 6,2

Autres 18,7

TOTAL DES EXONÉRATIONS 1 560,2


25

77 -

Sein

e-et

-Mar

ne

Actualités de l’Urssaf Ile-de-France 27.06.2013n° 164Seine-et-Marne

77




2016Niveau 2017 2013 2014 2015 2017


2017/2012


Effectifs salariés (en milliers) 362,6 + 1,4 % + 0,4 % + 0,3 % + 1,4 % + 3,3 % + 7,0 %


Établissements 31 325 - 0,2 % + 0,1 % + 0,8 % + 0,7 % + 1,4 % + 2,8 %


Évolution annuelle


Effectifs

Masses salariales

+ 4 %

+ 3 %

+ 2 %

+ 1 %

0 %

- 1 %

- 2 %


2013 2014 2015 2016 2017

0,0%

1,0%

2,0%

3,0%

4,0%

-2,0%

-1,0%

2013 2014 2015 2016 2017

26


Établissements





2017 Évolution 2017/2016


BZ Industries extractives 44 - 2,2 % 0,5 - 4,2 % 21,1 - 3,6 %

CA Industries agro-alimentaires 596 + 0,5 % 6,2 + 3,7 % 227,5 + 6,6 %

CB Habillement, textile et cuir 38 + 15,2 % 0,3 + 0,7 % 10,2 - 1,9 %

CC Bois et papier 184 - 4,2 % 2,8 - 3,9 % 99,2 - 2,0 %

CD Cokéfaction et raffinage 3 + 0,0 % 0,5 + 3,6 % 27,3 + 4,3 %

CE Industrie chimique 56 + 5,7 % 2,2 - 0,9 % 88,6 + 3,3 %

CF Industrie pharmaceutique 10 + 11,1 % 0,4 - 8,2 % 16,0 - 8,2 %

CG Industrie plastiques, produits non minéraux 182 - 1,1 % 4,3 + 1,0 % 152,0 + 2,9 %

CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 353 + 0,3 % 6,2 + 1,5 % 223,1 + 2,9 %

CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 59 + 7,3 % 1,6 + 0,5 % 65,7 + 4,4 %

CJ Fabrication d’équipements électriques 54 - 12,9 % 2,3 + 0,3 % 89,9 + 3,5 %

CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 126 + 1,6 % 2,3 + 2,2 % 91,2 + 4,0 %

CL Fabrication de matériels de transport 50 + 2,0 % 6,1 + 2,0 % 298,5 + 2,5 %

CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 415 - 1,7 % 5,9 - 0,1 % 234,0 + 0,7 %

DZ Production, distribution d’électricité, de gaz,,, 35 + 12,9 % 2,9 - 4,4 % 144,9 - 2,3 %


FZ Construction 4 895 + 3,1 % 34,3 + 5,0 % 986,7 + 6,8 %

GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 7 379 + 1,0 % 73,5 + 1,5 % 2 262,6 + 3,0 %

HZ Transports et entreposage 1 629 + 1,1 % 44,5 + 1,9 % 1 311,9 + 1,6 %

IZ Hébergement et restauration 2 607 + 2,6 % 21,7 + 5,0 % 441,2 + 4,2 %

JA Édition et Audiovisuel 168 + 5,0 % 1,6 + 0,4 % 73,0 + 6,0 %

JB Télécommunications 69 - 1,4 % 1,8 - 11,8 % 60,1 - 15,2 %

JC Activités informatiques 478 + 6,0 % 2,5 + 2,2 % 86,9 + 3,9 %

KZ Activités financières et d’assurance 1 352 + 0,7 % 7,6 - 1,6 % 328,9 - 0,5 %

LZ Activités immobilières 893 + 0,6 % 4,2 - 1,7 % 128,6 + 1,1 %

MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 1 869 + 2,1 % 11,3 + 4,4 % 455,4 + 8,9 %

MB Recherche et développement 21 - 4,5 % 1,0 + 1,5 % 41,6 + 2,8 %

MC Autres activités scientifiques et techniques 439 + 0,0 % 2,7 - 1,3 % 68,4 + 0,6 %

NZ Activités de services administratifs et de soutien 1 987 + 0,0 % 44,0 + 12,0 % 974,6 + 9,0 %

OZ Administration publique 31 - 6,1 % 2,7 - 1,5 % 88,2 - 0,4 %

PZ Enseignement 594 + 2,2 % 4,8 + 1,3 % 137,6 + 2,5 %


QB Action sociale et hébergement médico-social 620 + 1,0 % 19,5 + 1,2 % 419,6 + 1,7 %

RZ Arts, spectacles et activités récréatives 1 251 - 0,2 % 20,9 + 6,3 % 549,5 + 6,2 %

SZ Autres activités de services 1 915 + 1,9 % 7,2 + 3,0 % 142,0 + 4,2 %

Industrie 2 342 - 0,0 % 47,9 + 0,5 % 1 897,2 + 2,2 %

Construction 4 895 + 3,1 % 34,3 + 5,0 % 986,7 + 6,8 %

Tertiaire 24 088 + 1,1 % 280,5 + 3,6 % 7 825,8 + 3,7 %

Dont Tertiaire hors intérim 23 774 + 1,1 % 264,3 + 2,5 % 7 446,1 + 3,1 %

Intérim 314 + 3,3 % 16,2 + 25,3 % 379,6 + 16,0 %


2017 2017

27

77 -

Sein

e-et

-Mar

ne









CD Cokéfaction et raffinage 0,1 0,1 - 4,5 %

CE Industrie chimique 0,4 0,5 + 8,5 %


CG Industrie des plastiques et autres produits non minéraux 1,1 1,0 - 10,4 %


CI Fabrication de produits informatiques, électroniques, optiques 0,3 0,3 + 15,6 %




CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 1,5 1,4 - 11,3 %

DZ Production, distribution d’électricité, de gaz,,, 0,3 0,3 + 10,7 %






JA Édition et audiovisuel 3,9 3,7 - 4,7 %





MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 7,0 5,8 - 17,6 %


MC Autres activités scientifiques et techniques 1,8 1,7 - 8,7 %









TOTAL 836,1 936,4 + 12,0 %

Industrie 12,5 13,1 + 4,8 %

Construction 15,9 19,1 + 19,8 %

Tertiaire 807,7 904,3 + 12,0 %

Dont Tertiaire hors intérim 354,0 398,9 + 12,7 %

Intérim 453,7 505,4 + 11,4 %

2016 2017 Évolution2017/2016

28


Activité économique (NACE 38) 2016






































TOTAL 71,8 83,6 + 16,3 %

Industrie 5,4 6,4 + 19,0 %


Tertiaire 58,1 66,7 + 14,8 %

2017 Évolution2017/2016

29

77 -

Sein

e-et

-Mar

ne

Les exonérations



Réduction générale 478,3







Exonérations contrats aidés atelier insertion 1,4

Exonérations 100 % associations intermédiaires 1,2

Exonérations sur compte épargne temps 0,9

Autres 4,0

TOTAL DES EXONÉRATIONS 536,7


31

78 -

Yvel

ines

Actualités de l’Urssaf Ile-de-France 27.06.2013n° 164Yvelines

78




2016Niveau 2017 2013 2014 2015 2017


2017/2012


Effectifs salariés (en milliers) 406,9 - 0,6 % - 1,2 % + 0,0 % + 0,4 % + 1,1 % - 0,3 %


Établissements 33 057 + 0,2 % - 0,0 % + 0,7 % + 0,8 % + 0,6 % + 2,2 %


Évolution annuelle


Effectifs

Masses salariales

+ 4 %

+ 3 %

+ 2 %

+ 1 %

0 %

- 1 %

- 2 %


2013 2014 2015 2016 2017

0,0%

1,0%

2,0%

3,0%

4,0%

-2,0%

-1,0%

2013 2014 2015 2016 2017

32


Établissements





2017 Évolution 2017/2016


BZ Industries extractives 10 + 0,0 % 0,1 + 7,6 % 3,5 + 29,5 %


CB Habillement, textile et cuir 29 + 11,5 % 0,1 + 14,1 % 2,3 + 11,9 %

CC Bois et papier 99 - 2,9 % 0,6 - 4,6 % 21,6 - 2,6 %


CE Industrie chimique 29 - 3,3 % 1,2 + 0,9 % 52,8 - 0,4 %


CG Industrie plastiques, produits non minéraux 83 - 1,2 % 2,2 - 2,0 % 101,6 + 5,4 %

CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 213 - 2,7 % 4,1 - 2,5 % 179,3 + 1,0 %

CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 88 + 7,3 % 9,4 - 0,2 % 581,0 + 0,6 %

CJ Fabrication d’équipements électriques 36 - 5,3 % 1,0 - 4,2 % 56,7 - 4,2 %

CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 78 + 5,4 % 4,0 - 0,4 % 223,4 + 2,0 %

CL Fabrication de matériels de transport 61 + 1,7 % 33,3 + 1,2 % 1 868,7 + 2,9 %

CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 285 - 5,3 % 7,4 - 1,2 % 359,2 + 1,8 %

DZ Production, distribution d’électricité, de gaz,,, 37 - 5,1 % 2,4 - 9,9 % 123,5 - 5,3 %

EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 107 - 3,6 % 4,2 + 1,2 % 142,6 + 3,0 %

FZ Construction 3 716 + 1,4 % 37,3 + 0,0 % 1 335,5 + 1,7 %

GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 7 357 - 0,2 % 70,9 - 0,4 % 2 534,1 + 1,3 %

HZ Transports et entreposage 1 032 - 3,6 % 20,1 + 0,2 % 594,2 + 1,5 %


JA Édition et Audiovisuel 327 - 4,7 % 5,2 + 1,7 % 303,8 + 4,2 %

JB Télécommunications 71 + 4,4 % 2,6 - 3,3 % 125,3 - 2,0 %

JC Activités informatiques 897 + 6,4 % 10,2 - 3,9 % 496,3 - 5,7 %

KZ Activités financières et d’assurance 1 588 + 0,5 % 13,5 + 2,2 % 608,0 + 5,4 %

LZ Activités immobilières 1 120 + 0,6 % 4,9 - 10,8 % 168,5 - 8,5 %


MB Recherche et développement 50 + 6,4 % 2,0 + 1,5 % 125,4 + 4,8 %

MC Autres activités scientifiques et techniques 537 + 4,3 % 7,2 + 0,2 % 224,0 + 0,8 %

NZ Activités de services administratifs et de soutien 2 713 - 1,6 % 40,5 + 5,9 % 967,5 + 7,5 %


PZ Enseignement 728 + 0,7 % 8,3 + 5,0 % 214,5 + 3,0 %

QA Activités pour la santé humaine 1 230 - 1,5 % 9,3 - 1,1 % 263,1 + 1,4 %



SZ Autres activités de services 2 262 - 1,4 % 10,1 - 0,5 % 194,4 + 1,3 %

Industrie 1 714 + 0,1 % 74,5 - 0,0 % 3 848,3 + 2,0 %

Construction 3 716 + 1,4 % 37,3 + 0,0 % 1 335,5 + 1,7 %

Tertiaire 27 627 + 0,5 % 295,0 + 1,5 % 9 973,0 + 3,4 %


Intérim 199 + 3,1 % 11,0 + 26,5 % 284,2 + 22,1 %


2017 2017

33

78 -

Yvel

ines






CA Industries agro-alimentaires 3,1 3,1 - 0,3 %

CB Habillement, textile et cuir 0,1 0,1 + 33,9 %








CJ Fabrication d’équipements électriques 0,2 0,2 - 23,2 %











JB Télécommunications 0,4 0,4 + 5,4 %

JC Activités informatiques 4,3 4,0 - 5,8 %











RZ Arts, spectacles et activités récréatives 35,3 35,0 - 0,9 %



TOTAL 696,3 729,6 + 4,8 %

Industrie 13,2 14,1 + 6,6 %


Tertiaire 668,1 699,5 + 4,7 %


Intérim 240,5 256,5 + 6,7 %

2016 2017 Évolution2017/2016

34























IZ Hébergement et restauration 14,4 13,4 - 7,0 %



JC Activités informatiques 2,5 2,4 - 4,9 %














TOTAL 83,9 93,6 + 11,6 %

Industrie 6,8 8,0 + 16,7 %


Tertiaire 68,7 76,3 + 11,0 %

2016 2017 Évolution2017/2016

35

78 -

Yvel

ines

Les exonérations













Autres 7,0



37

91 -

Esso

nne

Actualités de l’Urssaf Ile-de-France 27.06.2013n° 164Essonne

91




2016Niveau 2017 2013 2014 2015 2017


2017/2012

«Masse salariale (en millions d’€) 12 039,3 + 1,3 % + 3,0 % + 1,2 % + 3,3 % + 3,1 % + 12,5 %



Établissements 27 908 + 0,5 % + 0,6 % + 1,1 % + 1,3 % + 1,3 % + 4,8 %


Évolution annuelle


Effectifs

Masses salariales

+ 4 %

+ 3 %

+ 2 %

+ 1 %

0 %

- 1 %

- 2 %


2013 2014 2015 2016 2017

0,0%

1,0%

2,0%

3,0%

4,0%

-2,0%

-1,0%

2013 2014 2015 2016 2017

38


Établissements





2017 Évolution 2017/2016


BZ Industries extractives 7 + 0,0 % 0,1 - 2,2 % 4,3 + 4,4 %

CA Industries agro-alimentaires 460 - 0,6 % 4,4 - 0,6 % 134,3 + 2,4 %

CB Habillement, textile et cuir 24 - 11,1 % 0,2 - 13,2 % 7,3 - 5,9 %

CC Bois et papier 156 - 7,1 % 2,3 - 4,6 % 81,0 - 3,2 %




CG Industrie plastiques, produits non minéraux 90 - 2,2 % 2,7 + 0,1 % 107,0 + 3,2 %

CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 210 - 1,9 % 2,7 - 0,2 % 100,7 + 1,4 %

CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 129 - 3,7 % 9,7 + 1,7 % 546,6 + 4,1 %

CJ Fabrication d’équipements électriques 51 - 7,3 % 1,9 - 2,1 % 101,1 + 1,9 %

CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 87 + 0,0 % 1,5 - 6,7 % 76,2 - 4,2 %

CL Fabrication de matériels de transport 23 - 8,0 % 4,6 + 3,4 % 244,4 + 3,3 %

CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 299 + 0,0 % 3,8 - 4,6 % 149,2 - 3,9 %

DZ Production, distribution d’électricité, de gaz,,, 25 + 0,0 % 1,9 + 18,0 % 113,2 + 21,1 %


FZ Construction 4 285 + 3,4 % 32,4 + 2,9 % 973,9 + 3,8 %




JA Édition et Audiovisuel 217 + 5,9 % 1,8 - 3,1 % 91,5 + 2,7 %



KZ Activités financières et d’assurance 1 223 - 0,2 % 9,7 + 0,5 % 450,6 + 2,5 %

LZ Activités immobilières 745 - 2,1 % 3,0 - 2,2 % 99,4 + 3,5 %

MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 1 965 + 4,3 % 20,1 + 2,6 % 920,3 + 1,6 %

MB Recherche et développement 119 + 3,5 % 13,7 - 0,1 % 748,6 + 0,9 %

MC Autres activités scientifiques et techniques 410 + 3,3 % 2,4 - 3,5 % 65,6 - 2,9 %

NZ Activités de services administratifs et de soutien 1 968 + 0,2 % 53,0 + 6,9 % 1 222,2 + 7,1 %


PZ Enseignement 513 + 1,6 % 4,4 + 5,1 % 102,8 + 3,1 %

QA Activités pour la santé humaine 934 - 2,0 % 9,8 + 0,2 % 275,9 + 2,1 %


RZ Arts, spectacles et activités récréatives 1 139 + 1,2 % 5,7 + 3,0 % 126,4 + 7,0 %

SZ Autres activités de services 1 803 - 0,6 % 7,5 + 0,8 % 153,2 + 0,6 %

Industrie 1 717 - 1,6 % 41,9 + 0,6 % 1 904,3 + 2,9 %

Construction 4 285 + 3,4 % 32,4 + 2,9 % 973,9 + 3,8 %

Tertiaire 21 906 + 1,1 % 279,1 + 2,8 % 9 161,0 + 3,0 %


Intérim 207 + 9,5 % 11,2 + 16,6 % 266,2 + 11,1 %


2017 2017

39

91 -

Esso

nne


Activité économique (NACE 38) 2016 Évolution2017/2016



























LZ Activités immobilières 1,2 1,2 + 3,6 %










SZ Autres activités de services 8,7 8,4 - 3,5 %


TOTAL 797,9 842,6 + 5,6 %

Industrie 10,1 10,7 + 6,2 %

Construction 17,8 20,0 + 12,0 %

Tertiaire 769,9 811,9 + 5,4 %


Intérim 389,6 411,6 + 5,7 %

2017

40


Activité économique (NACE 38) Évolution2017/2016





CC Bois et papier 0,3 0,3 + 2,1 %
































Activités diverses et non classées 0,0 0,0 -

TOTAL 76,0 84,0 + 10,5 %

Industrie 4,8 5,7 + 18,0 %

Construction 10,2 11,4 + 11,1 %

Tertiaire 60,9 66,9 + 9,9 %

2016 2017

41

91 -

Esso

nne

Les exonérations












Exo contrats aidés atelier insertion 1,3

Autres 5,2



43

92 -

Hau

ts-d

e-Se

ine

Actualités de l’Urssaf Ile-de-France 27.06.2013n° 164Hauts-de-Seine

92




2016Niveau 2017 2013 2014 2015 2017


2017/2012




Établissements 49 565 + 1,5 % + 0,3 % + 0,9 % + 1,0 % + 0,9 % + 4,6 %


Évolution annuelle


Effectifs

Masses salariales+ 4 %

+ 3 %

+ 2 %

+ 1 %

0 %

- 1 %

- 2 %


2013 2014 2015 2016 20172 0%

-1,0%

0,0%

1,0%

2,0%

3,0%

4,0%

-2,0%

-1,0%

2013 2014 2015 2016 2017

44


Établissements





2017 Évolution 2017/2016


BZ Industries extractives 8 - 11,1 % 0,1 - 1,3 % 7,6 - 2,7 %



CC Bois et papier 162 - 7,4 % 1,9 - 5,7 % 116,6 + 3,3 %

CD Cokéfaction et raffinage 9 - 10,0 % 1,2 - 1,0 % 102,2 - 2,0 %

CE Industrie chimique 80 + 2,6 % 11,5 + 4,5 % 801,7 + 7,8 %

CF Industrie pharmaceutique 52 + 10,6 % 9,1 - 3,2 % 681,0 - 0,6 %

CG Industrie plastiques, produits non minéraux 99 + 1,0 % 3,0 - 2,1 % 210,5 + 3,3 %

CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 81 + 2,5 % 3,3 + 1,9 % 183,7 + 4,6 %

CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 84 + 1,2 % 8,2 - 0,8 % 555,4 + 0,6 %

CJ Fabrication d’équipements électriques 45 + 9,8 % 3,1 + 6,6 % 237,1 + 13,3 %

CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 64 - 4,5 % 2,1 - 3,2 % 141,8 + 3,0 %



DZ Production, distribution d’électricité, de gaz,,, 120 - 0,8 % 20,4 - 5,6 % 1 323,6 - 2,8 %

EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 108 + 0,9 % 6,1 - 6,7 % 248,4 - 8,6 %

FZ Construction 3 250 + 2,5 % 37,9 + 0,9 % 1 512,2 + 3,5 %


HZ Transports et entreposage 1 592 - 0,9 % 37,1 + 0,3 % 1 387,7 + 0,3 %


JA Édition et Audiovisuel 1 644 - 0,8 % 43,5 - 1,1 % 2 580,9 + 2,0 %

JB Télécommunications 201 + 6,3 % 11,8 + 0,0 % 738,8 + 2,3 %

JC Activités informatiques 2 541 + 7,2 % 86,0 + 3,1 % 4 663,8 + 4,9 %


LZ Activités immobilières 1 788 + 2,4 % 13,4 + 2,1 % 560,4 + 7,0 %


MB Recherche et développement 102 - 1,0 % 9,5 - 0,6 % 568,9 - 0,5 %

MC Autres activités scientifiques et techniques 1 447 + 1,7 % 34,7 + 1,2 % 1 790,4 + 2,4 %


OZ Administration publique 43 + 0,0 % 4,5 - 2,8 % 163,6 + 0,2 %

PZ Enseignement 900 + 0,2 % 13,0 + 4,0 % 353,2 + 5,6 %


QB Action sociale et hébergement médico-social 1 017 + 4,8 % 26,7 + 3,1 % 553,0 + 4,2 %



Industrie 1 928 + 1,3 % 98,2 - 1,5 % 6 179,7 + 0,9 %

Construction 3 250 + 2,5 % 37,9 + 0,9 % 1 512,2 + 3,5 %

Tertiaire 44 387 + 0,7 % 785,7 + 2,0 % 38 135,0 + 3,6 %


Intérim 187 - 1,1 % 10,6 + 25,4 % 296,1 + 11,8 %


2017 2017

45

92 -

Hau

ts-d

e-Se

ine









CD Cokéfaction et raffinage 0,1 0,2 + 34,8 %


CF Industrie pharmaceutique 1,0 1,1 + 5,1 %






























TOTAL 1 856,7 1 916,9 + 3,2 %

Industrie 19,7 21,4 + 8,7 %


Tertiaire 1 821,4 1 878,6 + 3,1 %

Dont Tertiaire hors intérim 1 471,8 1 462,1 - 0,7 %

Intérim 349,6 416,5 + 19,1 %

2016 2017

46



































QA Activités pour la santé humaine 3,9 3,6 - 8,6 %





TOTAL 194,2 220,9 + 13,7 %

Industrie 10,2 11,6 + 13,7 %


Tertiaire 175,7 199,3 + 13,4 %

2016 2017

47

92 -

Hau

ts-d

e-Se

ine

Les exonérations












Exonérations armement maritime 4,1

Autres 7,6



49

93 -

Sein

e-Sa

int-

Den

is

Actualités de l’Urssaf Ile-de-France 27.06.2013n° 164Seine-Saint-Denis

93




2016Niveau 2017 2013 2014 2015 2017


2017/2012Masse salariale (en millions d’€) 17 179,2 + 1,7 % + 9,9 % + 2,3 % + 2,8 % + 3,7 % + 21,9 %



Établissements 39 988 + 2,5 % + 1,2 % + 2,1 % + 1,6 % + 0,7 % + 8,4 %


Évolution annuelle


Effectifs

Masses salariales

+ 10 %

+ 9 %

+ 8 %

+ 7 %

+ 6 %

+ 5 %

+ 4 %

+ 3 %

+ 2 %

+ 1 %

0 %

- 1 %

- 2 %

3,0%

4,0%

5,0%

6,0%

7,0%

8,0%

9,0%

10,0%

-2,0%

-1,0%

0,0%

1,0%

2,0%

2013 2014 2015 2016 2017Source : Urssaf - Acoss

2013 2014 2015 2016 2017

50


Établissements





2017 Évolution 2017/2016


BZ Industries extractives 2 - 50,0 % 0,1 + 0,4 % 2,9 + 7,7 %



CC Bois et papier 170 - 7,6 % 2,2 - 2,5 % 88,5 - 1,0 %

CD Cokéfaction et raffinage 1 + 0,0 % 0,2 + 1,5 % 10,1 + 4,3 %

CE Industrie chimique 37 + 2,8 % 2,5 - 10,3 % 141,9 - 17,1 %


CG Industrie plastiques, produits non minéraux 93 + 8,1 % 1,5 - 1,4 % 69,9 + 1,2 %

CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 187 - 6,5 % 2,7 - 7,7 % 115,6 - 5,4 %

CI Fabrication produits informatiques, électroniques, optiques 38 + 2,7 % 0,4 + 1,4 % 15,5 + 5,9 %


CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 68 - 2,9 % 1,8 - 4,1 % 81,6 - 1,9 %

CL Fabrication de matériels de transport 25 + 0,0 % 4,2 - 3,1 % 265,1 + 1,8 %


DZ Production, distribution d’électricité, de gaz,,, 59 - 3,3 % 7,2 + 3,1 % 448,2 + 6,0 %


FZ Construction 7 287 + 4,0 % 47,2 + 6,9 % 1 162,9 + 7,0 %


HZ Transports et entreposage 2 982 - 1,2 % 82,3 + 1,8 % 3 517,0 + 3,9 %



JB Télécommunications 190 + 9,8 % 9,7 - 3,7 % 608,5 + 11,0 %



LZ Activités immobilières 891 - 2,1 % 7,5 - 11,9 % 237,5 - 8,7 %


MB Recherche et développement 28 + 0,0 % 1,5 + 4,7 % 79,5 + 4,7 %




PZ Enseignement 678 + 1,8 % 6,9 + 1,9 % 193,3 + 1,0 %



RZ Arts, spectacles et activités récréatives 1 228 + 1,9 % 6,3 + 1,6 % 151,6 + 4,2 %

SZ Autres activités de services 2 185 - 0,4 % 11,2 - 0,8 % 273,9 - 1,0 %

Industrie 2 066 - 0,2 % 39,5 + 1,1 % 1 791,6 + 1,5 %

Construction 7 287 + 4,0 % 47,2 + 6,9 % 1 162,9 + 7,0 %

Tertiaire 30 635 - 0,0 % 400,6 + 1,5 % 14 224,6 + 3,8 %

Dont Tertiaire hors intérim 30 474 - 0,0 % 392,0 + 1,1 % 13 994,6 + 3,5 %

Intérim 161 + 3,9 % 8,6 + 21,4 % 230,1 + 20,9 %


2017 2017

51

93 -

Sein

e-Sa

int-

Den

is





BZ Industries extractives 0,0 0,0 - 26,7 %








CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 0,8 0,7 - 7,3 %



CK Fabrication de machines et d’équipements n.c.a. 0,4 0,3 - 10,0 %

CL Fabrication de matériels de transport 0,9 0,7 - 24,9 %





GZ Commerce ; réparation d’automobiles et de motos 55,7 55,0 - 1,2 %











NZ Activités de services administratifs et de soutien 583,2 566,1 - 2,9 %







Activités diverses et non classées 0,0 0,0 - 100,0 %

TOTAL 1 178,0 1 196,9 + 1,6 %

Industrie 17,2 17,5 + 2,0 %


Tertiaire 1 108,7 1 123,3 + 1,3 %

Dont Tertiaire hors intérim 699,3 691,8 - 1,1 %

Intérim 409,4 431,6 + 5,4 %

2016 2017

52








































TOTAL 144,3 157,0 + 8,9 %

Industrie 8,6 8,6 - 0,1 %


Tertiaire 102,9 113,2 + 10,1 %

Évolution2017/201620172016

53

93 -

Sein

e-Sa

int-

Den

is

Les exonérations









Zones franches urbaines - exonération dégressive 2,8




Autres 8,5



55

94 -

Val-d

e-M

arne

Actualités de l’Urssaf Ile-de-France 27.06.2013n° 164Val-de-Marne

94




2016Niveau 2017 2013 2014 2015 2017


2017/2012




Établissements 34 211 + 0,4 % + 0,3 % + 0,9 % + 0,7 % + 0,5 % + 2,8 %


Évolution annuelle


Effectifs

Masses salariales

+ 4 %

+ 3 %

+ 2 %

+ 1 %

0 %

- 1 %

- 2 %


2013 2014 2015 2016 2017

0,0%

1,0%

2,0%

3,0%

4,0%

-2,0%

-1,0%

2013 2014 2015 2016 2017

56


Établissements





2017 Évolution 2017/2016


BZ Industries extractives 8 + 0,0 % 0,2 + 0,3 % 7,2 + 0,9 %


CB Habillement, textile et cuir 53 - 3,6 % 0,3 - 6,6 % 9,2 - 8,4 %

CC Bois et papier 122 + 0,0 % 1,3 - 7,8 % 49,9 - 17,5 %


CE Industrie chimique 25 - 7,4 % 1,1 + 0,1 % 60,6 + 2,6 %

CF Industrie pharmaceutique 12 - 7,7 % 2,6 - 3,4 % 117,3 - 1,9 %

CG Industrie plastiques, produits non minéraux 79 - 1,3 % 1,3 - 0,1 % 52,9 + 0,4 %

CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 133 + 0,8 % 1,7 - 5,5 % 66,7 - 5,1 %



CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 54 - 8,5 % 1,6 + 0,0 % 84,0 + 2,3 %

CL Fabrication de matériels de transport 12 - 7,7 % 1,6 + 8,9 % 92,7 + 10,2 %

CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 348 + 2,4 % 5,5 + 2,4 % 267,1 + 2,2 %

DZ Production, distribution d’électricité, de gaz,,, 34 + 6,3 % 1,0 - 1,2 % 40,2 + 0,8 %

EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 103 - 1,0 % 3,4 - 3,1 % 104,8 - 2,2 %

FZ Construction 4 669 + 2,0 % 38,9 + 2,0 % 1 161,3 + 4,7 %




JA Édition et Audiovisuel 360 + 2,3 % 3,3 - 4,7 % 157,0 - 6,6 %

JB Télécommunications 86 - 1,1 % 2,8 - 4,8 % 131,3 - 1,8 %



LZ Activités immobilières 1 081 - 0,6 % 6,0 + 0,2 % 198,5 + 3,6 %


MB Recherche et développement 55 + 7,8 % 1,8 - 0,2 % 110,9 - 4,5 %



OZ Administration publique 37 + 0,0 % 3,4 - 0,4 % 111,7 - 1,1 %

PZ Enseignement 564 - 1,1 % 7,3 + 1,7 % 169,5 + 6,0 %





Industrie 1 676 - 0,1 % 31,0 - 0,4 % 1 312,9 + 0,4 %

Construction 4 669 + 2,0 % 38,9 + 2,0 % 1 161,3 + 4,7 %

Tertiaire 27 866 + 0,3 % 327,6 + 1,2 % 11 019,2 + 3,4 %


Intérim 162 + 9,5 % 7,0 + 20,6 % 190,7 + 13,1 %


2017 2017

57

94 -

Val-d

e-M

arne








CC Bois et papier 0,4 0,4 + 12,8 %












EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 1,1 0,9 - 17,4 %
















QA Activités pour la santé humaine 21,1 20,6 - 2,5 %





TOTAL 803,2 848,8 + 5,7 %

Industrie 10,4 10,2 - 1,9 %


Tertiaire 771,5 815,8 + 5,7 %


Intérim 273,3 280,8 + 2,8 %

2016 2017

58



















EZ Production et distribution d’eau, gestion des déchets 0,4 0,4 - 5,4 %





















TOTAL 90,5 98,8 + 9,1 %

Industrie 5,1 5,1 + 0,5 %

Construction 12,3 13,8 + 12,5 %

Tertiaire 73,2 79,8 + 9,1 %

59

94 -

Val-d

e-M

arne

Les exonérations













Autres 6,3



61 95 -

Val-d

’Ois

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-6 0%

-5,0%

-4,0%

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2,0%

3,0%

4,0%

-12,0%

-11,0%

-10,0%

-9,0%

-8,0%

-7,0%

6,0%

2013 2014 2015 2016 2017

Actualités de l’Urssaf Ile-de-France 27.06.2013n° 164Val-d’Oise

95




2016Niveau 2017 2013 2014 2015 2017


2017/2012

«Masse salariale (en millions d’€)» 8 856,6 - 2,1 % - 11,6 % + 1,8 % + 1,2 % + 2,5 % - 8,6 %

«Effectifs salariés (en milliers)» 290,5 - 2,8 % - 6,2 % + 0,4 % + 0,7 % + 2,2 % - 5,8 %

Salaire moyen partête (SMPT en €) 2 541 + 0,8 % - 5,8 % + 1,3 % + 0,5 % + 0,3 % - 3,0 %

Établissements 26 613 + 1,3 % + 0,9 % + 1,7 % + 1,0 % + 1,4 % + 6,5 %


Évolution annuelle


Effectifs

Masses salariales

+ 4 %

+ 3 %

+ 2 %

+ 1 %

0 %

- 1 %

- 2 %

- 3 %

- 4 %

- 5 %

- 6 %

- 7 %

- 8 %

- 9 %

- 10 %

- 11 %

- 12 %

Source : Urssaf - Acoss2013 2014 2015 2016 2017

62


Établissements





2017 Évolution 2017/2016


BZ Industries extractives 9 + 0,0 % 0,1 + 0,7 % 4,1 - 0,2 %


CB Habillement, textile et cuir 38 + 2,7 % 0,6 - 2,8 % 23,0 - 1,7 %

CC Bois et papier 130 - 4,4 % 1,4 - 2,6 % 46,6 - 1,1 %

CD Cokéfaction et raffinage 1 - 50,0 % 0,3 - 9,8 % 31,3 - 12,3 %



CG Industrie plastiques, produits non minéraux 90 + 3,4 % 2,6 - 2,6 % 131,8 - 1,1 %

CH Métallurgie et fabrication de produits métalliques 278 - 2,1 % 4,0 - 2,6 % 151,9 - 0,8 %


CJ Fabrication d’équipements électriques 50 + 2,0 % 1,4 - 1,1 % 69,7 + 5,5 %

CK Fabrication machines et équipements n.c.a. 79 + 1,3 % 1,7 - 3,5 % 78,5 - 2,2 %


CM Industrie du meuble ; réparation et installation de machines 346 - 1,7 % 5,6 + 1,6 % 233,2 + 2,3 %

DZ Production, distribution d’électricité, de gaz,,, 23 + 4,5 % 1,4 - 1,4 % 52,5 - 1,4 %


FZ Construction 4 361 + 4,0 % 28,7 + 3,6 % 779,7 + 4,3 %







KZ Activités financières et d’assurance 1 000 + 1,2 % 6,9 + 0,4 % 315,7 - 1,0 %

LZ Activités immobilières 675 - 1,2 % 3,1 + 5,5 % 98,7 + 9,7 %

MA Activités juridiques, de conseil et d’ingénierie 1 674 + 5,4 % 9,7 - 0,7 % 414,3 + 1,1 %

MB Recherche et développement 17 - 19,0 % 0,3 - 4,5 % 12,7 + 1,9 %

MC Autres activités scientifiques et techniques 373 + 1,1 % 2,7 - 3,3 % 89,6 - 4,3 %

NZ Activités de services administratifs et de soutien 2 033 - 1,8 % 42,6 + 6,7 % 871,0 + 6,7 %

OZ Administration publique 27 + 0,0 % 2,5 - 1,7 % 75,0 - 1,1 %

PZ Enseignement 542 + 0,9 % 5,8 - 0,1 % 157,6 + 0,9 %

QA Activités pour la santé humaine 828 - 0,5 % 7,9 + 1,2 % 221,5 + 2,2 %


RZ Arts, spectacles et activités récréatives 861 - 1,9 % 4,3 + 4,6 % 100,3 + 4,6 %


Industrie 1 747 - 0,3 % 34,7 - 0,6 % 1 430,2 + 0,3 %

Construction 4 361 + 4,0 % 28,7 + 3,6 % 779,7 + 4,3 %

Tertiaire 20 505 + 1,0 % 227,1 + 2,5 % 6 646,6 + 2,8 %


Intérim 206 + 4,6 % 10,8 + 10,8 % 272,6 + 9,3 %


2017 2017

63 95 -

Val-d

’Ois

e


Activité économique (NACE 38) 2017 Évolution2017/2016














CK Fabrication de machines et d’équipements n.c.a. 0,3 0,3 - 2,2 %

























TOTAL 811,2 873,9 + 7,7 %

Industrie 8,6 9,1 + 4,7 %

Construction 21,7 24,3 + 12,1 %

Tertiaire 780,9 840,5 + 7,6 %


Intérim 459,1 506,3 + 10,3 %

2016

64








































TOTAL 71,5 80,4 + 12,4 %

Industrie 4,3 4,9 + 13,9 %

Construction 12,8 15,0 + 16,8 %

Tertiaire 54,4 60,5 + 11,3 %

65 95 -

Val-d

’Ois

e

Les exonérations










Zones franches urbaines - exonération dégressive 1,3

Exonération 100% associations intermédiaires 1,2


Autres 3,5



Conjoncture N°25 / Juin 2018

Ile-de-France Conjoncture1er trimestre 2018

n°25

Seine-Saint-Denis+ 0,9 % / + 1,1 %

Paris+ 2,0 % / + 1,5 %

Val-de-Marne+ 0,1 % / + 1,2 %

Hauts-de-Seine+ 1,7 % / + 1,9 %

Ile-de-France+ 1,5 % / + 1,5 %

Val-d’Oise+ 0,7 % / + 1,2 %

Yvelines+ 0,7 % / + 1,5 %

Essonne+ 1,1 % / + 1,2 %

Seine-et-Marne+ 2,9 % / + 1,2 %

Carte : emploi salarié et salaire moyen par tête par département en glissement annuel (GA)


Légende : départementGA emploi / GA SMPT

En niveau

1er T 2018

Glissement annuel1er T 2018

1er T 2017

1er T 2016

1er T 2015

Masse salariale (en millions d'€uros) 46 843 + 3,2 % + 3,4 % + 2,8 % + 2,1 %

Emploi (en milliers) 4 687 + 1,5 % + 2,1 % + 0,8 % + 0,4 %

Salaire moyen par tête mensuel (en €uros) 3 335 + 1,5 % + 1,7 % + 1,9 % + 1,7 %

Masse salariale (en millions d'€uros) 142 806 + 3,4 % + 3,1 % + 2,5 % + 1,5 %

Emploi (en milliers) 18 355 + 1,7 % + 1,6 % + 0,9 % - 0,1 %

Salaire moyen par tête mensuel (en €uros) 2 599 + 1,7 % + 1,6 % + 1,6 % + 1,5 % Source : Urssaf - Acoss

Ile-d

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Tableau 1 : masse salariale et emploi salarié du secteur privé

La croissance de l’emploi marque une pause ce trimestre Près de 5 300 emplois ont été créés durant ces trois mois (+ 0,1 % par rapport au trimestre précédent). Le tertiaire hors intérim (+ 0,1 %) et l’intérim (+ 2,3 %) affichent des gains d’emplois alors que la construction (- 0,3 %) et l’industrie (- 0,4 %) détruisent de l’emploi ce tri-mes tre. Le rythme de croissance ralentit après un 4e trimestre dynamique. Ce trimestre, l’emploi francilien progresse légèrement plus faiblement que l’emploi national (+ 0,2 %). Signalons que les créa tions d’emplois du 4e trimestre ont été révisées à la hausse, soit + 28 000 emplois contre + 22 600 en données provisoires.

L’emploi privé demeure en hausse sur un an Malgré ce coup d’arrêt, le niveau d’emploi francilien affiche une croissance de 68 100 salariés (+ 1,5 % sur un an). Cette augmentation dynamique s’explique par des hausses trimestrielles de l’emploi comprises entre 0,4 % et 0,6 % sur les trois derniers trimestres 2017. Depuis le début de l’année 2015, l’économie francilienne crée des emplois de manière significative.

Au 1er trimestre(1), l’emploi salarié privé en Ile-de-France est en hausse trimestrielle de 0,1 %, grâce au secteur tertiaire. Sur un an, la progression de l’emploi atteint 1,5 % ; elle est en grande partie à mettre au crédit de l’intérim, de l’informatique et de l’hébergement et restauration. Dans le même temps, la masse salariale affiche une bonne dynamique..

(1) : données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents.

CHIFFRES CLÉS + 0,1 %de hausse trimestrielle de l’emploi en Ile-de-France.

68 100 emploiscréés sur un an dans la région.

Ralentissement de la croissance de l’emploi au 1er trimestre 2018

AVERTISSEMENT. : le champ et les sources de l’intérim (Dares) ont évolué. Plus d’informations dans l’Acoss Stats 269 disponible sur www.acoss.fr. De plus, la mise en oeuvre de la déclaration sociale nominative (DSN) progressive, ainsi que la refonte de la chaîne de traitement statistique des effectifs salariés associée, pourraient conduire à des révisions plus importantes durant la phase de montée en charge.

-0,40pt-0,20pt

+0,00pt+0,20pt+0,40pt+0,60pt+0,80pt+1,00pt

à f in 2T2015à f in 3T2015à f in 4T2015à f in 1T2016à f in 2T2016à f in 3T2016à f in 4T2016à f in 1T2017à f in 2T2017à f in 3T2017à f in 4T2017à f in 1T2018à f in 2T2018

- 25,0 %- 20,0 %- 15,0 %- 10,0 %

- 5,0 %+ 0,0 %+ 5,0 %+ 5 %

0 %

- 5 %

- 10 %

- 15 %

- 20 %

- 25 %

Évolution des demandes de délais (glissement sur 12 mois)

Évolution des taux des restes à recouvrer en point (glissement annuel)

4T20

15

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16

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16

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16

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16

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L’Urssaf Ile-de-France, observatoire statistique régionalAu fil des formalités remplies par les personnes physiques ou mo rales qui déclarent et paient des cotisations et des contributions sociales, les Urssaf collectent des données essentielles sur le tissu économique, l’emploi et les revenus du travail dans leur région de compétence. L’Urssaf Ile-de-France est compétente auprès des ac teurs économiques installés dans la région. En 2017, elle a collecté 112 milliards d’euros de cotisations pour financer les prestations de Sécurité sociale.

Chiffre clé

Taux des restes à recouvrer : montant des cotisations non soldées par rapport aux cotisations déclarées par les entreprises.

Évolution annuelle à fin juin 2018Entreprises du secteur privé

Évolution annuelle à fin mai 2018Entreprises - 10 salariés

Nombre de délais demandés(sur 12 mois glissants)

Nombre de délais demandés(sur 12 mois glissants)

- 19,7 %

Entreprises + 9 salariés

- 1,4 %

Taux des restes à recouvrer hors taxations pour non déclaration (sur 12 mois glissants)

- 0,12 pt


Ile-de-France

N° 106Juillet2018

Le baromètre UrssafSuivi de la conjoncture économique du secteur privé

Évolution positive des indicateurs du recouvrement

Les indicateurs du recouvrement affichent des évolutions positives pour le troisième mois consécutif. Le niveau des impayés est globalement en diminution, alors que les demandes de délais diminuent.

À fin juin, le taux d’impayés, hors taxations pour non déclaration de l’ensemble des entreprises du secteur privé, est en baisse de 0,12 point sur un an. L’amélioration provient des entreprises de moins de 250 salariés alors que le taux se dégrade légèrement ce mois-ci pour les entreprises entre 250 salariés et 2 000 salariés.

À fin mai, les demandes de délais pour les très petites entreprises (moins de 10 salariés) continuent d’afficher une baisse significative sur un an glissant (- 19,7 %). Cette diminution est comparable avec celle du mois précédent. Alors que la décroissance ralentissait ces derniers mois, elle affiche ce mois-ci une tendance plus proche de l’évolution annuelle (- 16,9 %), repoussant ainsi la possible stabilisation de cet indicateur à moyen terme.

Sur l’ensemble des entreprises de plus de 9 salariés, les demandes de délais sont en légère baisse sur un an (- 1,4 %), alors qu’elles stagnaient le mois dernier. Ce retour à la baisse est à mettre au crédit des PME (10 à 249 salariés) alors que les grandes et très grandes entreprises (+ 250 salariés) sont en hausse sur trois mois. Pour ces dernières, les délais touchent un nombre restreint d’entreprises pour un niveau de demandes de délais qui reste très bas relativement à l’ensemble des entreprises de cette catégorie.

Indicateurs internes à la gestion de l’organisme

Plus de 96 %

Secteur privé hors taxations pour non déclarationSecteur privé

des cotisants déclarent de façon dématérialisée dans le secteur privé en Ile-de-France à fin mai 2018


Note : en 2017, une nouvelle loi sur le calcul des taxations pour non déclaration a eu pour conséquence l’augmentation de ce type de créance.


- 10 salariés+ 9 salariésTotal secteur privé

Nos publications statistiques

L’Urssaf Ile-de-France publie tout au long de l’année des données statistiques détaillées et mises à jour.Ces parutions sont consultables sur notre blog : www.blog.paris.urssaf.fr/

Le baromètre Urssaf présente l’évolution de la conjoncture en Ile-de-France, à travers les principaux indicateurs clés du recouvrement : taux d’impayés, demandes de délais de paie-ment, déclarations préalables à l’embauche,etc. Le baromètre Urssaf est publié chaque mois sous forme de lettre électronique.

Pour vous abonner, écrivez à :

[email protected]@urssaf.fr

StatUR Ile-de-France conjoncture revient chaque trimestre sur les évolutions de la masse salariale, de l’emploi et du salaire moyen, détaillées par secteur d’activité et par département.

Études et statistiquesServices aux cotisants Services aux partenaires Contrôle Ressources informatiques

Après une période délicate pour la construction, les derniers indicateurs signalent une progression dynamique des mises en chantier et des permis de construire au niveau national. Comment la région Ile-de-France réagit-elle à cette amélioration de la conjoncture ? Zoom sur un secteur stratégique de l’économie francilienne.

Un secteur qui demeure important en Ile-de-France Le secteur de la construction représente 6,2 % (+ 0,1 point en un an) des effectifs franciliens du secteur privé, soit un peu plus de 286 000 salariés. Les travaux de construction spécialisés représentent la majeure partie des effectifs (69,5 %), notamment du fait de la part importante des tra vaux d’installation électrique et de plomberie (29,5 % du total). La cons truction de bâtiments (17,7 %) et le génie civil (12,8 %) constituent les deux autres branches de ce secteur. Au 1er semestre 2017, le secteur de la construction représente 10,7 % des décla rations préalables à l’embau che (DPAE) en CDI en IledeFrance, soit un ratio en augmentation sur un an.

Une progression de l’emploi depuis plusieurs trimestresAprès un début d’année 2016 sans tendance, l’emploi francilien dans le secteur de la construction progresse trimestre après trimestre. Le rythme de création d’emplois est même en accélération sur les deux premiers trimestres 2017. Cette tendance se traduit par une hausse des effectifs de 2,9 % sur un an, établissant ainsi un nouveau niveau d’emploi record dans le secteur.Le secteur gagne donc 8 000 salariés en IledeFrance sur un an, alors que dans le même temps, 7 900 postes ont été créés en province. La croissance dynamique du secteur est donc actuellement une particularité franci lienne. Rappelons que la région parisienne représente 20,7 % des emplois nationaux du secteur.En IledeFrance, les trois branches du secteur ont gagné de l’emploi sur un an. Ainsi, la construction de bâtiments affiche la plus forte hausse avec une progression de 4,7 % sur un an, tandis que le génie civil (+ 3,0 %) et les travaux de construction spécialisés (+ 2,4 %) attestent également d’une

dynamique de l’emploi. Parallèlement, la masse salariale de l’ensemble du secteur évolue positivement (+ 2,7 % sur un an cumulé), sous le coup principalement de la construction de bâtiments et du génie civil.

Une embellie relative du salaire moyen par tête (SMPT)Alors que depuis cinq ans, la pro gression du SMPT est peu dyna mique, cette année, il évolue de manière positive et significative : + 2,5 % sur un an, soit 2 582 euros brut. Cette hausse s’explique avant tout par un effet de structure : il y a eu plus de postes créés dans les secteurs les mieux rémunérés. En effet, la

progression importante du SMPT du génie civile (+ 5,8 %) tire à la hausse la rémunération moyenne de l’ensem ble du secteur. Ces évolutions renforcent les fortes différences observées entre les branches. Ainsi, le SMPT du génie civil demeure le plus élevé, à 3 387 euros et creuse l’écart avec celui observé dans la construction de bâti ments (2 929 euros). La différence est d’autant plus importante avec le SMPT dans les travaux de construction spécialisés qui s’établit à 2 346 euros.Rappelons que les différences de SMPT entre les trois branches s’expliquent avant tout par des niveaux de qualification moyens et des tailles moyennes d’entreprises différentes.

292 000

287 000

282 000

277 000

272 000

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Sources : Urssaf - Acoss

Fluctuation des effectifs salariés sur cinq ans

Emploi dans le secteurde la construction en Ile-de-France

Masses salariales, effectifs, établissements et salaire moyen par tête (SMPT) dans le secteur de la construction à fin juin 2017

Masse salariale (1)

EffectifsÉtablissements (3)

SMPTMasse salariale (1)






SMPT(1) en millions d’euros (2) comparaison sur la somme d’une année pour la masse salariale(3) nombre d’établissements d’au moins 1 salarié

À fin2eT 2017

Évolution2eT2017/2eT2012

441 + 4,2 % + 12,5 % 50 717 + 4,7 % + 6,2 % 6 864 + 4,5 % + 13,4 % 2 929 + 1,9 % + 4,9 % 370 + 3,4 % + 11,2 % 36 734 + 3,0 % + 5,1 % 610 + 3,2 % + 0,8 % 3 387 + 5,8 % + 8,2 % 1 394 + 2,1 % + 3,6 % 199 357 + 2,4 % + 1,8 % 30 700 + 2,6 % + 2,7 % 2 346 + 1,8 % + 2,9 % 2 205 + 2,7 % + 6,6 % 286 808 + 2,9 % + 2,9 % 38 174 + 2,9 % + 4,5 % 2 582 + 2,5 % + 4,4 %



Construction de bâtiments

Génie civil

Travaux de construction spécialisés

TOTAL

(2) (2)

AVERTISSEMENT. L’introduction depuis mars 2015 de la Déclaration sociale nominative (DSN), qui se substitue notamment au bordereau récapitulatif de cotisations, modifie les informations déclaratives nécessaires au calcul des indicateurs statistiques présentés dans cette publication. La mise en oeuvre progressive du nouveau dispositif, ainsi que la refonte de la chaîne de traitement statistique des effectifs salariés associée, pourraient conduire à des révisions plus importantes durant la phase de montée en charge.

282000287000292000

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Octobre2017

Études et statistiquesServices aux cotisants Services aux partenaires Contrôle Ressources informatiques

Légère hausse de l’emploi associatif Les associations représentent 6,8 % de l’emploi privé en Ile-de-France, soit près de 314 000 personnes. Cepen-dant, ce poids est moins important que celui observé au plan national (9,6 %). L’emploi associatif progresse de façon régulière en Ile-de-France depuis 10 ans. Ainsi, la crise financière n’a pas affecté les effectifs du secteur. En revanche, le nombre d’emplois a stagné pendant les années 2010 et 2011 mais depuis, il progresse de façon régulière. À fin juin 2017, les effectifs sont en progression de 1,0 % sur un an, soit une tendance moins marquée que celle du secteur privé (+ 2,0 %). Cependant, cette tendance globale cache des évolutions disparates selon les branches. La majorité des secteurs qui emploie le plus de salariés, affiche une progres sion de leurs effectifs. Pour la seconde année consécutive, les activités de clubs de sports sont en vive hausse (+ 4,3 % sur un an). L’hébergement mé di calisé pour per-sonnes âgées est également en forte extension (+ 4,1 %). À l’inverse, l’héber gement so cial pour handicapés mentaux et mala des mentaux est en léger recul (- 0,2 %).Notons également que le secteur dans son ensemble a une saisonnalité mar-quée sur l’année. En effet, le troisième trimestre affiche des effectifs toujours inférieurs aux autres trimestres d’une même année.

La masse salariale est en progression de 2,2 % sur un an cumulé. Le salaire moyen par tête (SMPT) est ainsi en faible hausse de 0,4 % sur un an, pour un niveau de 2 237 euros brut. Ce SMPT relativement bas traduit une présence de salariés à temps partiel plus importante dans ce secteur (*).(*) cf. Economie Sociale : Bilan de l’Emploi en 2016 – Recherches et solidarités.

Une multitude d’activités associativesLes associations sont présentes dans plus de 200 activités en Ile-de-France (sur les 732 de la classification européenne). Cependant, seules 9 bran-ches ont un poids significativement important.Ainsi, les activités hospitalières repré-sentent 6,7 % des emplois associatifs franciliens et l’action sociale sans héber gement 8,0 %. Les associations qui n’ont pu être classées (autres orga-ni sations fonctionnant par adhésion volontaire, composées notamment d’organisations non affiliées directement à un parti politique - qui militent en faveur d’une cause ou d’une ques-

tion d’intérêt public) regroupent 15,0 % des effectifs.Le tissu associatif francilien est carac-térisé par la présence de grandes associations. Le nombre moyen de salariés par association qui emploie du personnel s’élève ainsi à 11.Les effectifs des associations sont répartis de manière assez semblable à l’ensemble des effectifs privés d’Ile-de-France. Paris détient ainsi une grande partie des effectifs (36,6 %) devant les Hauts-de-Seine (13,0 %).

La prédominance des associations dans certains secteurs du privéL’emploi associatif représente souvent une part prédominante ou importante de certaines activités. Ainsi en Ile-de-France, parmi les 9 activités qui gé-nèrent le plus d’emplois dans le sec-teur privé, les effectifs associatifs sont majoritairement dans l’aide par le tra-vail (92,8 %), les acti vités de clubs de sports (93,8 %), l’hébergement social pour handicapés mentaux et ma lades mentaux (95,2 %) et bien sûr les autres organisations fonc tionnant par adhé-sion volontaire (96,6 %). Dans d’autres activités, l’emploi asso ciatif représente une part impor tante de l’emploi du privé fran cilien : l’héber gement médi-calisé pour per sonnes âgées (35,3 %), les acti vités hospitalières (35,1 %) et l’aide à domicile (35,8 %).

320 000

310 000

300 000

290 000


Fluctuation des effectifs salariés sur cinq ans

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Entre baisse des dotations aux collectivités locales et réduction des emplois aidés, la situation des associations est de plus en plus délicate et certaines d’entre elles voient leurs subventions diminuer. Cette compression des budgets impacte-t-elle les effectifs dans les associations franciliennes ? Tour d’horizon de l’emploi chez ces acteurs de l’économie sociale et solidaire.

Les associations en Ile-de-FranceDécembre2017

Masse salariale (1)


SMPT(1) en millions d’euros - (2) comparaison sur la somme d’une année pour la masse salariale(3) nombre d’établissements d’au moins 1 salarié

À fin2e trimestre 2017


2 115 + 2,2 % + 10,7 % 314 357 + 1,0 % + 4,3 % 27 541 - 1,0 % - 0,5 % 2 237 + 0,4 % + 6,0 %



Associations

(2) (2)

Masses salariales, effectifs, établissements dans les associations

Directeur de la publication : Philippe Renard, Directeur de l’Urssaf Ile-de-FranceContact (département Statistiques) : [email protected]


À propos des données…Les données proviennent des déclarations des employeurs du régime général. Elles sont « brutes » et non désaisonnalisées. Les codes Nace 732 des 9 activités détaillées dans cette publication sont les suivants : 8531Z, 8610Z, 8710A, 8720A, 8810A, 8810C, 8899B, 9312Z, 9499Z. Les associations employeurs retenues dans cette étude concernent les catégories juridiques suivantes de l’Insee : 9210, 9220, 9230, 9260, 9221, 9222.Sont exclues de l’analyse les caisses de congés. N’ont pas été retenus les congrégations (9240), les groupements d’employeurs (9223) et les comités d’entreprises qui recouvrent des secteurs d’activités spécifiques (services aux entreprises ou activités culturelles). Et enfin, les syndicats de salariés codés par la forme juridique 8410 ne sont pas pris en compte dans le champ de l’étude.

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L’année 2017 a une nouvelle fois été marquée par une concurrence importante entre les opérateurs de télécommunications. Ces derniers s’affrontent également de plus en plus sur le marché des médias, plus éloigné de leur cœur de métier. Quelles sont les conséquences sur l’emploi francilien de cette guerre des prix ?

Les déclarations préalables à l’embauche (DPAE) sont en baisse (- 3,1 %) sur l’année 2017 par rapport à 2016, sous l’influence des DPAE en CDD de plus d’un mois (- 8,3 %). Les DPAE en CDI restent la norme puisqu’elles représen tent 58,9 % des DPAE hors intérim. Ces chiffres sont cependant à relativiser. En effet, le nombre de DPAE est faible compte tenu du nombre d’employés dans le secteur des télécom munications. Ce modeste taux de renou vellement à l’intérieur du secteur est la traduction d’un secteur où les employés demeurent majoritairement dans la même entreprise.

■ Le nombre de salariés se contracte

À propos des données…Les données proviennent des déclarations des employeurs du secteur privé. Elles sont «brutes» et non désaisonnalisées. Le champ de l’étude est délimité par rapport à la définition de la nomenclature NAF : 6110Z et 6120Z (Télécommunications filaires et Télécommunications sans fil). Ces deux classes regroupent les activités de mise à disposition de services de télécommunications et de services connexes (à l’exception des télécommunications par satellite), c’estàdire de transmission de la voix, de données, de textes, de sons et d’images. Le SMPT est calculé en rapportant la masse salariale du trimestre à l’effectif moyen observé durant ce trimestre, il est divisé par trois pour obtenir une grandeur mensuelle.

Com

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04/

18

■ Un nombre peu élevé de DPAE

Nombre de salariés

À Fin4e trim. 2017

Évolution 4T17/4T16(2)

Évolution 4T17/4T14(2)

Masse salariale (1) 2 413 + 2,4 % + 0,6 %

Effectifs 43 016 - 1,2 % - 5,0 %

Établissements (3) 561 + 5,1 % + 3,7 %

SMPT (4) 4 639 + 3,0 % + 5,0 %


Fluctuation des effectifs salariés

Déclarations préalables à l’embauchesur l’année 2017

Télécommunications en IledeFrance

Le baromètre sectorielAvril 2018

L’emploi dans le secteur affiche une tendance de long terme négative liée à l’externalisation croissante de certaines activités. Il a également subi les conséquences de la crise écono mique et de l’intensification de la concurrence entre opérateurs. Ainsi, depuis 2009, les effectifs se réduisent d’année en d’année à un rythme de plus de 2 % par an. Depuis, trois ans le rythme de destruction nette d’emplois est un peu plus faible. Sur un an, les effectifs se contractent de 1,2 %.Sur un an glissant, la masse salariale progresse par rapport à l’année dernière (+ 2,4 %). Cette hausse associée à la baisse du nombre de salariés fait que mécaniquement le salaire moyen par tête (SMPT) ne progresse que de 3,0 %. Ce type d’évolution, que l’on retrouve également sur trois ans, suggère que la structure de l’emploi se modifie dans ce secteur, et que la proportion des emplois les mieux rémunérés augmente un peu.

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CDI CDDlongs

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Télécommunications (*) 3,7 2,3 0,3

Poids télécommunications 58,9 % 36,7 % 4,3 %

Poids du secteur privé 16,4 % 10,8 % 72,8 %Sources : Urssaf - Acoss

Masse salariale, effectifs, établissements dans le secteur des télécommunications

Contact (département Statistiques) : [email protected]


Ile-de-France

Les emplois dans les télécommunications représentent une part nonnégligeable de l’emploi francilien privé (0,9 % au 31 décembre 2017). Les trois quarts des effectifs du secteur sont répartis sur trois départements : Paris, les HautsdeSeine et la SeineSaintDenis. Les déménagements et les évolutions d’établissements ont modifié la localisation de nombreux salariés durant l’année 2017. Paris est le département qui accueille maintenant un tiers des effectifs du secteur alors que trois ans plus tôt, seulement, un quart des entreprises étaient localisées dans la capitale. Les HautsdeSeine, longtemps le département le plus employeur, représentent 21,7 % des emplois.L’emploi est en baisse dans la majorité des départements à part dans l’Essonne (+ 1,4 %) et Paris (+ 12,5 %) ; la capitale est ainsi la grande bénéficiaire des mouvements de personnels de l’année.

■ La majorité des emplois à Paris

(1) en millions d’euros.(2) comparaison sur la somme de l’année glissante pour la masse salariale.(3) nombre d’établissements d’au moins 1 salarié.(4) en euros. Sources : Urssaf - Acoss

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(*) en milliers.

Les fiches sectoriellesCes fiches traitent des secteurs d’activité sensibles ou liés à l’activité économique de la région.

Les fiches thématiquesCes fiches font des bilans transversaux d’une thématique comme les déclarations d’embauche 2017 ou les associations.

Le baromètre sectorielCe baromètre traite d’un domaine en fonction de l’actualité : les agences immobilières, l’habillement, le transport aérien ou les télécommunications.

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CONTACTSL’observatoire statistique de l’Ile-de-France est à votre disposition sur simple demande auprès du département communication.

PAR COURRIERUrssaf Ile-de-France93518 Montreuil Cedex

PAR [email protected]@urssaf.fr

numéro 10 - année 2017blog.paris.urssaf.fr/media/02/01/1318516289.pdfen 2017, l’emploi dans le...

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