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12 JUILLET 2017
GRAND THÉÂTRE DE PROVENCE
ORCHESTRE DE PARISDuncan Ward
Retransmis en différé sur Mezzo et M-Media
12 JUILLET – 20H – GRAND THÉÂTRE DE PROVENCE
DIRECTEUR MUSICAL Duncan Ward ORCHESTRE Orchestre de Paris
Cycle Stravinski
IGOR STRAVINSKI (1882-1971)
Suite n° 1 pour petit orchestre (1925)
AndanteNapolitanaEspañolaBalalaïka
FRANZ SCHUBERT (1797-1828)
Symphonie n° 3 en ré majeur, D. 200 (1815)
I. Adagio maestoso – Allegro con brio II. Allegretto III. Menuetto. Vivace – Trio IV. Presto vivace
ENTRACTE
IGOR STRAVINSKI (1882-1971)
Suite n° 2 pour petit orchestre (1921)
MarcheValsePolkaGalop
LUDWIG VAN BEETHOVEN (1770-1827)
Symphonie n° 4 en si bémol majeur, op. 60 (1806)
I. Adagio – Allegro vivaceII. AdagioIII. Allegro vivaceIV. Allegro ma non troppo
IGOR STRAVINSKI (1882-1971)
Suite n° 1 pour petit orchestre (1925)
Suite n° 2 pour petit orchestre (1921)
Entre 1914 et 1917, Igor Stravinski compose tour à tour Trois pièces faciles pour piano à quatre mains, puis une série de cinq autres pièces à l’intention de ses enfants, Théodore et Mika. Ces pages musicales que le compositeur s’amuse à ranger dans la catégorie « Popcorn » donneront lieu à deux Suites pour petit orchestre, respectivement publiées en 1921 et en 1925.
Inscrites dans le courant de la « Gebrauchsmusik » ( musique utilitaire ) étrenné par Paul Hindemith autant que dans la « musique d’ameublement » conceptualisée par Erik Satie, ces formes miniatures à portée de main – droite comme gauche – naissent en réaction à la complexité et à l’autosuffisance d’une certaine musique contemporaine. Flirtant avec le néo-classicisme, Stravinski choisit, dans un premier temps, de composer des pièces « faciles » susceptibles de remplir une fonction pédagogique autant que de favoriser une pratique amateur. Sollicité, dans un deuxième temps, par un music-hall parisien, le compositeur accepte d’orchestrer ces quelques pièces pour accompagner certains sketchs. Témoin du manque de soin accordé à sa musique, il ne tardera pas à regretter cette seconde destination. Stravinski n’est décidément pas prêt à désacraliser sa musique pour en faire ce que Satie désigne comme étant du « papier peint musical ». « Ce fut une bonne leçon » commentera le compositeur russe, en admettant à demi-mot sa part de responsabilité dans l’affaire !
Un ostinato de seulement quatre notes entonné par les clarinettes ouvre la Suite n° 1 et traverse paisiblement une grande partie de l’Andante. La chanson napolitaine Funiculi Funicula plane ironiquement sur la seconde pièce écrite au retour d’un séjour à Naples en 1917. C’est ensuite au tour de l’Espagne d’être célébrée avant de revenir aux sources avec la Balalaïka, clairement inspirée du folklore russe.
L’image « d’un directeur de cirque en frac, le haut de forme sur la tête, claquant du fouet et faisant travailler une écuyère sur un cheval... » nous viendra-t-elle à l’esprit en écoutant la Suite n° 2 ? Toujours est-il que l’univers circassien et le caractère satirique hantent ces quelques pages qui se prêteront merveilleusement aux ballets.
AURÉLIE BARBUSCIA
FRANZ SCHUBERT (1797-1828)
Symphonie n° 3 en ré majeur, D. 200 (1815)
Parler d’œuvre de jeunesse pour évoquer la Troisième symphonie de Franz Schubert, c’est révéler l’essence même de sa conception qui impactera tant sa réception que sa postérité. Dix-huit ans ont suffi à Schubert pour maîtriser le langage formel classique et assimiler l’héritage de Haydn comme de Mozart ; neuf jours lui suffiront pour prouver ce savoir-faire et donner un avant-goût de son originalité à travers la composition de cette symphonie. Tirer son épingle du jeu : tel est le vœu le plus cher de ce jeune prodige qui continue de se former, à raison de deux cours par semaine, auprès du maître Salieri.
La création en 1812 de la Société des Amis de la musique a beau promouvoir la culture musicale sous toutes ses formes, l’heure est au bel canto et, plus précisément, à la fièvre rossinienne qui s’est emparée de la ville de Vienne. C’est dans ce contexte que la Troisième Symphonie voit le jour en 1815 à l’occasion d’un concert semi-public où se produit un orchestre amateur. Le public viennois boude alors les symphonies et cette désaffection incite Beethoven à laisser passer dix ans entre sa Huitième et sa Neuvième. Quant à Schubert, il faudra attendre 1881 à Londres, soit cinquante-trois ans après sa mort, pour que la Troisième ait droit à une première exécution publique.
La concision est l’une des principales caractéristiques de la Troisième symphonie au même titre que le dynamisme et la désinvolture, propriétés dont son introduction lente et solennelle est délibérément dépourvue. C’est la clarinette qui se charge de l’effet « lever de rideau » et dévoile le thème principal sur un tempo Allegro con brio. Les vents mènent ici le jeu et insufflent une brise de fraîcheur sur toute la partition. L’ombre de Mozart plane sur le second mouvement qui n’est autre qu’un menuet déguisé. Lyrisme et délicatesse émanent de cet Allegretto qui fait la part belle aux cordes et, une fois de plus, à la clarinette. Plus incisif, le troisième mouvement joue avec la masse orchestrale tandis que la partie médiane réservée au trio propose une complainte dont le basson et le hautbois sont les protagonistes. On devine alors un semblant de valse du côté des cordes en guise d’accompagnement. Le finale expédie le dénouement tel un crescendo rossinien dont la tarentelle endiablée revêt les allures d’un opera buffa. N’est-ce pas de cela que le public viennois de l’époque était si friand ?
AURÉLIE BARBUSCIA
LUDWIG VAN BEETHOVEN (1770-1827)
Symphonie n° 4 en si bémol majeur, op. 60 (1806)
Certains parlent de regrettable effet « sandwich » et déplorent le fait que la Quatrième de Beethoven soit restée à l’ombre de la Troisième et de la Cinquième. D’autres reprennent les mots de Robert Schumann selon lesquels il s’agit « d’une menue dame grecque prise entre deux dieux nordiques ». Tous insistent cependant sur l’unicité créative de cette symphonie qui illustre merveilleusement le caractère imprévisible de Beethoven, tantôt délicat, tantôt monumental.
Beethoven a commencé à travailler sur la Cinquième bien avant d’aborder la Quatrième. Or, dévoré par les doutes et les obsessions, il décide de marquer un temps d’arrêt : pause relative durant laquelle il s’adonne tour à tour à la composition du Quatrième Concerto pour piano, du Concerto pour violon, des deux premières versions de l’opéra Fidelio, de la Quatrième symphonie ainsi que de l’ébauche de la Sixième.
Commandée par le comte d’Oppersdorf et exécutée à Vienne chez le prince Lobkowitz, la Quatrième a immédiatement rencontré l’enthousiasme du public. Il faut dire que son caractère enjoué, reflet de l’idylle que le compositeur vit avec la comtesse Thérèse de Brunswick, fait de cet ouvrage un divertissement au sens noble du terme.
S’ouvrant sur un Adagio lent, long et mystérieux durant lequel le temps est comme suspendu, le premier mouvement laisse place à une explosion fortissimo de l’orchestre d’où s’échappe un rebondissant Allegro vivace. Le rythme prend alors le dessus sur la mélodie comme sur l’harmonie et nous voilà définitivement emportés dans l’ouragan beethovénien. Pour le second mouvement, laissons-parler Berlioz, littéralement fou de cet Adagio : « tellement pur de formes, l’expression de la mélodie est si angélique et d’une si irrésistible tendresse, que l’art prodigieux de la mise en œuvre disparaît complètement ». Cantabile par excellence, le thème principal joué par les premiers violons a pour toile de fond un ostinato rythmique exécuté par les seconds violons et relayés par les timbales. Le scherzo, humoristique par définition, a pour principal terrain de jeu la combinaison entre rythmes binaire et ternaire donnant lieu à d’irrésistibles contre-temps. Suit le Trio dont la fraîche mélodie est confiée aux instruments à vents. La légèreté virevoltante et scintillante du mouvement conclusif n’est pas dénuée de formules colériques. L’insouciance est toujours de mise, mais point trop n’en faut pour Beethoven !
AURÉLIE BARBUSCIA
Duncan Ward Originaire de Grande-Bretagne, Duncan Ward est depuis 2015 chef principal de Sinfonia Viva, l’un des ensembles les plus dynamiques du Royaume-Uni, ainsi que chef associé du National Youth Orchestra. Sur la recommandation de Sir Simon Rattle, il est amené à diriger la Berliner Philharmoniker Orchester-Akademie entre 2012 et 2014. Au Festival de Salzbourg, il dirige ses propres arrangements du Barbier de Séville destinés à un public familial, ainsi que Manon Lescaut au Festival de Pâques à Baden-Baden. Citons également ses collaborations avec les Bamberger Symphoniker, l’Orchestre symphonique de Lucerne, le Royal Northern Sinfonia, le Royal Scottish National Orchestra, les Ludwigsburger Schlossfestspiele, le Southbank Sinfonia, l’Ulster Orchestra et la BBC National Orchestra of Wales. On compte à son actif la première chinoise de Peter Grimes à Pékin. Pendant l’été 2012, on le retrouve au Covent Garden de Londres dans le cadre des Jeux Olympiques, en collaboration avec Streetwise Opera. Récemment, il a fait ses débuts à la tête du Scottish Chamber Orchestra, de l’Orchestre de la Radio Bavaroise, du Swedish Radio Symphony, de la MDR Leipzig, de l’Ensemble Modern, du Copenhagen Philharmonic, du New Japan Philharmonic, de l’Orchestre Philharmonique du Luxembourg, du Stavanger Symphony, du Basel Sinfonietta et de l’Aalborg Symphony. Il a également assisté Sir Simon Rattle pour Le Grand Macabre de Ligeti avec le London Symphony Orchestra et les Berliner Philharmoniker. Pendant la saison 2017/18, il dirigera pour la première fois l’Orchestre Philharmonique de Dresde, l’Orchestre de Paris, l’Orchestre national de Belgique, le Trondheim Symphony, ainsi que le couplage scénique : Trouble in Tahiti de Bernstein et
Clemency de Macmillan à l’Opéra national des Pays-Bas. Il fera également son retour à la direction de l’Orchestre symphonique de la radio de Vienne, du BBC Philharmonic, des Bamberger Symphoniker, de la RTE Dublin, de la Deutsche Kammerphilharmonie Bremen, de l’Ensemble Intercontemporain de Paris, du Residentie Orkest, de l’Orchestre symphonique sicilien et de Glyndebourne en tournée dans le cadre de la production Hamlet de Brett Dean. Duncan Ward se révèle être par ailleurs un compositeur accompli. Vainqueur des BBC Young Composer de l’année 2005, il publie désormais chez les Éditions Peters. En 2008, il remporte le Composer Coutts Bank’s Family Business Awards.
Orchestre de Paris L’Orchestre de Paris, avec ses cent dix-neuf musiciens, donne plus d’une centaine de concerts chaque saison à la Philharmonie de Paris et lors de ses tournées internationales ou de sa résidence au Festival d’Aix-en-Provence. Cette phalange, qui fête cette année ses cinquante ans, a eu pour directeurs musicaux : Charles Munch, Herbert von Karajan, sir Georg Solti, Daniel Barenboim, Semyon Bychkov, Christoph von Dohnányi, Christoph Eschenbach et Paavo Järvi, auxquels a succédé en 2016 son nouveau directeur musical, Daniel Harding, et son chef associé, Thomas Hengelbrock. L’orchestre défend le répertoire des XXe et XXIe siècles à travers l’accueil de compositeurs en résidence et la création de nombreuses œuvres ( de Berio, Takemitsu, Dalbavie, Manoury, Mantovani, Dubugnon, Saariaho, Beffa, Tanguy, Escaich, El-Khoury, etc. ). Il présente des cycles consacrés aux figures tutélaires de la musique française du XXe siècle ( Messiaen, Dutilleux, Boulez, etc. ). L’Orchestre de Paris accueille cette saison le compositeur Jörg Widmann
en résidence et assure la création d’une de ses œuvres conçue spécialement pour les concerts anniversaire de novembre, ainsi que la création française du Concerto pour violon de Daníel Bjarnason en octobre. En février 2018, l’orchestre se produira en Allemagne sous la direction de Daniel Harding, lors d’une tournée avec l’altiste Antoine Tamestit. En mai, il retrouvera l’Espagne avec Daniel Harding et Maria João Pires avant de rejoindre en juillet sa résidence au Festival d’Aix-en-Provence pour y donner deux opéras : L’Ange de feu de Prokofiev ( dir. Kazushi Ono ) et Ariane à Naxos de Strauss ( dir. Marc Albrecht ). L’orchestre diversifie largement sa politique audiovisuelle en nouant des partenariats avec Radio Classique, Arte, Mezzo, France Musique et France Télévisions. Il offre une large palette d’activités pédagogiques ouvertes au public scolaire ou familial, ainsi qu’aux publics plus éloignés de la musique ou fragilisés.
L’Orchestre de Paris est soutenu par le Ministère de la Culture et la Mairie de Paris depuis sa création. Eurogroup Consulting, mécène principal, soutient la saison symphonique de l’Orchestre de Paris. Les activités Jeune Public bénéficient du soutien de la Caisse d’Epargne d’Île-de-France et du Cercle de l’Orchestre de Paris.
Bruno HamardDIRECTEUR GÉNÉRAL
Édouard Fouré Caul-Futy DÉLÉGUÉ ARTISTIQUE
Daniel HardingDIRECTEUR MUSICAL
Thomas HengelbrockCHEF ASSOCIÉ
PREMIERS VIOLONS SOLO
Philippe Aïche 1er VIOLON SOLO
Roland Daugareil 1er VIOLON SOLO
VIOLONS
Eiichi Chijiiwa, 2e VIOLON SOLO
Serge Pataud, 2e VIOLON SOLO
Nathalie Lamoureux, 3e SOLO
Christian Brière, 1er CHEF D’ATTAQUE
Christophe Mourguiart, 1er CHEF D’ATTAQUE
Philippe Balet, 2e CHEF D’ATTAQUE
Antonin André-RéquénaMaud AyatsElsa BenabdallahGaëlle BissonFabien BoudotDavid BracciniJoëlle CousinCécile GouiranMatthieu Handtschoewercker Gilles HenryFlorian HolbéAndreï IarcaSaori IzumiRaphaël JacobMomoko KatoMaya KochAnne-Sophie Le RolAngélique LoyerNadia Marano-MediouniPascale MeleyPhuong-Maï NgôNikola Nikolov
Étienne PfenderGabriel RichardRichard SchmouclerÉlise ThibautAnne-Elsa TrémouletCaroline Vernay
ALTOS
Ana Bela Chaves, 1er SOLO
David Gaillard, 1er SOLO
Nicolas Carles, 2e SOLO
Florian Voisin, 3e SOLO
Flore-Anne BrosseauSophie DivinChihoko KawadaBéatrice NachinNicolas PeyratMarie PoulangesCédric RobinEstelle VillotteFlorian WallezMarie-Christine Witterkoër
VIOLONCELLES
Emmanuel Gaugué, 1er SOLO
Éric Picard, 1er SOLO
François Michel, 2e SOLO
Alexandre Bernon, 3e SOLO
Anne-Sophie Basset Delphine BironThomas DuranManon Gillardot Claude GironMarie LeclercqFlorian MillerFrédéric PeyratHikaru Sato
CONTREBASSES
Vincent Pasquier, 1er SOLO
Sandrine Vautrin, 2e SOLO
Benjamin BerliozIgor Boranian
Stanislas KuchinskiMathias LopezGérard SteffeUlysse Vigreux
FLÛTES
Vincent Lucas, 1er SOLO
Vicens Prats, 1er SOLO
Bastien PelatFlorence Souchard-Delépine
PETITE FLÛTE
Anaïs Benoit
HAUTBOIS
Michel Bénet, 1er SOLO
Alexandre Gattet, 1er SOLO
Benoît LeclercRémi Grouiller
COR ANGLAIS
Gildas Prado
CLARINETTES
Philippe Berrod, 1er SOLO
Pascal Moraguès, 1er SOLO
Arnaud Leroy
PETITE CLARINETTE
Olivier Derbesse
CLARINETTE BASSE
Philippe-Olivier Devaux
BASSONS
Giorgio Mandolesi, 1er SOLO
Marc Trénel, 1er SOLO
Lionel BordLola Descours
CONTREBASSON
Amrei Liebold
CORS
André Cazalet, 1er SOLO
Benoit de Barsony, 1er SOLO
Jean-Michel VinitAnne-Sophie CorrionPhilippe DalmassoJérôme RouillardBernard Schirrer
TROMPETTES
Frédéric Mellardi, 1er SOLO
Bruno Tomba, 1er SOLO
Laurent BourdonStéphane GourvatAndré Chpelitch
TROMBONES
Guillaume Cottet-Dumoulin, 1er SOLO
Jonathan Reith, 1er SOLO
Nicolas DrabikJose Angel Isla JulianCédric Vinatier
TUBA
Stéphane Labeyrie
TIMBALES
Camille Baslé, 1er SOLO
PERCUSSIONS
Éric Sammut, 1er SOLO
Nicolas MartynciowEmmanuel Hollebeke
HARPE
Marie-Pierre Chavaroche
FESTIVALD’AIX-EN-PROVENCE DU 3 AU 22 JUILLET 2017
CONCERTS
ENSEMBLE KLANGFORUM5 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
SONIA WIEDER-ATHERTON À voix nues6 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D’OPPÈDE
MATTHEW HERBERT Requiem7 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
QUATUOR BÉLA Trois frères de l’orage9 JUILLET – CAMP DES MILLES
AKA MOONDe l’Orient aux profondeurs balkaniques9 JUILLET – THÉÂTRE DE L’ARCHEVÊCHÉ
CONCERT DE CRÉATIONSŒuvres contemporaines et créations mondiales10 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE
ORCHESTRE DE PARIS DANIEL HARDINGStravinski – Schubert – Beethoven12 JUILLET – GRAND THÉÂTRE DE PROVENCE
SALTANA QUARTETVoyage d’exil et d’amour13 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
UDOPIA14 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
CAIRO JAZZ STATIONFragments d’une Méditerranée actuelle16 JUILLET – CONSERVATOIRE DARIUS MILHAUD
ORCHESTRE DES JEUNES DE LA MÉDITERRANÉE FABRIZIO CASSOLCréation interculturelle18 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D'OPPÈDE
CONCERT BAROQUE LEONARDO GARCÍA ALARCÓNLes Muses italiennes du Roi-Soleil19 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D’OPPÈDE
ORCHESTRE DES JEUNES DE LA MÉDITERRANÉE PABLO HERAS-CASADO
L’Esprit de Shéhérazade22 JUILLET – GRAND THÉÂTRE DE PROVENCE
LAURÉATS HSBC DE L'ACADÉMIE
De l'Extase aux soupirs1er JUILLET – HÔTEL MAYNIER D’OPPÈDE
Life Story11 JUILLET – THÉÂTRE DU JEU DE PAUME
L’Instinct lyrique13 JUILLET – HÔTEL MAYNIER D’OPÈDE
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erLe Festival d’Aix-en-Provence s’est engagé depuis 2010 dans une politique de développement durable et invite ses festivaliers à participer à cette démarche. Le présent document est réalisé par un imprimeur Imprim’vert, qui garantit la gestion des déchets dangereux dans les filières agréées, avec des encres bio à base d’huile végétale sur du papier FSC fabriqué à partir de fibres issues de forêts gérées de manière responsable.
Festival d’Aix-en-Provence / siège social Palais de l’Ancien Archevêché – 13 100 Aix-en-ProvenceN° de licence entrepreneur du spectacle : 1- 1085 612 / 2- 1000 275 / 3- 1000 276