orthographe j’entends · au printemps dernier, je suis allé à la mer pour la première fois. je...
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La maman de Momo a
mis son amie dans la marmite de ma mamie.
C’est cette année, l’année
de l’ananas de la Martinique.
C’est les vacances mais depuis plusieurs jours il
pleut. Clic ! clac ! C’est la chanson interminable
que fait le cliquetis de la pluie sur les tôles en
plastique de la véranda. Le nez plaqué contre la
vitre, Clémentine regarde les gouttes qui éclatent
sur le sol en faisant naitre de grosses clochettes.
Elle est désolée car elle devait faire une sortie à
bicyclette avec son oncle. Claude avait prévu de lui
faire découvrir la forêt de St-Gobain et ses
merveilles.. Au lieu de ça, Clémentine va devoir
prendre capuche et parapluie.
La classe de mer.
Aujourd’hui, le vent souffle. Florence, notre
monitrice, décide de nous apprendre à faire de la
planche à voile. Mais nous devons connaitre les
règles de sécurité ! C’est difficile ! Florian sait
bien en faire, on dirait qu’il glisse sur l’eau.
De retour au centre, j’ai enlevé mon blouson bleu
et blanc mouillé. Je me suis installé près de la
cheminée de la grande salle. Grâce à la chaleur
agréable, j’ai pu sécher rapidement.
J’aime bien regarder les bûches qui flambent et les
grandes flammes dans la cheminée. Elles se
reflètent dans la glace en face de moi !
Venez vendredi :
Véronique vendra de la viande et du
vinaigre.
Au jardin de mon
cousin on trouve du laurier et du thym.
Au printemps dernier, je suis allé à la mer pour
la première fois. Je crois que notre terrain de
camping était dans la plaine de la Crau, près de
la Camargue. Nous avons voulu nous baigner
mais l’eau était encore trop froide. Maman m’a
éclaboussé et j’ai crié. Elle a ri : « Ne crains
rien ! Tu ne vas pas fondre. Tu n’es pas en
sucre ! » Nous avons pris le bateau pour faire
une promenade en mer et nous avons pratiqué la
voile. Après une semaine de repos nous avons
repris la route
Retour de l’école.
Nous sommes vendredi. Encore une semaine qui se
termine ! Ingrid rentre de l’école avec son cartable au bout
du bras. C’est lourd !
Elle traverse le parc où une brise légère fait trembler les
branches des arbres. Le soleil joue à cache-cache avec les
nuages gris.
Ensuite, Ingrid longe une rue étroite, tourne à droite et se
trouve en face de sa maison. Elle entre, embrasse sa
maman et son petit frère. Elle retrouve aussi avec joie son
chien Nicky, un brave labrador qui lui fait fête. Elle se
lave les mains, coupe un gros morceau de pain et de
fromage et attrape le pot de confiture de fraises. Avec cela,
elle boit un grand verre de jus de fruit.
Elle s’installe ensuite dans sa chambre, près de la fenêtre,
pour travailler. Elle ouvre son livre de géographie pour
apprendre la leçon que la maitresse a donnée.
Chère Eugénie,
A Noël, maman m’avait dit qu’elle attendait un
bébé. J’étais très heureux. J’aurais voulu savoir si
c’était un garçon ou une fille mais on ne pouvait
pas encore le dire.
Une petite sœur est née hier.
Pierre est venu me chercher à l’école pour me
mener à la maternité. Nous sommes allés chez le
fleuriste pour acheter un bouquet de roses. En
entrant dans la chambre, j’avais un peu peur,
mon cœur battait très fort. Maman était couchée
et souriait. Je me suis approché du petit lit pour
embrasser ma sœur. Comme elle était petite ! Elle
a les yeux bleus mais elle n’a pas encore beaucoup
de cheveux.
J’espère que tu pourras bientôt venir la voir.
Mathieu.
ʃ
Un bon chasseur doit
savoir chasser sans son chien.
Mon sien n’est pas méchant
– Ces fleurs chantent très bon – mon sa est
chou la table – j’ai mal au chenou.
Ʒ
J’ai acheté un joli
chapon chez Jean le boucher.
ŋ
Ma sœur s’appelle Ânesse.
La bergère garde son troupeau d’anneaux. J’ai
acheté un peine pour me coiffer.
ɥi