ostéologie des membres ostéologie du membre inférieur
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Ostéologie des membres
Ostéologie du membre inférieur GENERALITES : On a d’abord l’os coxal ou os iliaque, c’est un os pair (un droit et un gauche). Il forme, avec le sacrum, une ceinture
osseuse que l’on appelle le petit bassin osseux qui s’articule avec le rachis (en haut) et avec les fémurs latéralement.
Le fémur est l’os de la cuisse. Il s’articule en haut avec le bassin par l’articulation de la hanche (articulation coxo-
fémorale) et en bas avec le tibia, la patelle mais pas la fibule (os de la jambe) au niveau du genou.
Le pied s’articule avec la jambe par la cheville et contient 26 os au minimum (sans compter les surnuméraires).
LE BASSIN :
DESSIN DE FACE DU BASSIN : Le sacrum est composé de la soudure de 5 vertèbres
sacrées, il se continue par le coccyx en bas. En haut il
s’articule avec la colonne vertébrale.
De part et d’autre, on a les os coxaux (forme d’hélice à
deux pales).
Sur le plan embryologique, l’os coxal est composé de
trois os qui se sont soudés :
• L’ilium (ilion) en haut (ne pas confondre avec l’iléon
qui est une partie de l’intestin grêle)
• L’ischium (ischion) en bas
• Le pubis qui est en avant
Ces os sont réunis par des articulations peut mobiles.
➢ On a la symphyse pubienne entre les deux
pubis en avant qui peut s’élargir pendant la grossesse.
➢ Les articulations sacro-iliaques entre le sacrum et l’ilion.
On a un orifice sur chaque os coxal, à la jonction entre le pubis et l’ischion que l’on appelle foramen obturé car il est colmaté par
une membrane (membrane obturatrice) et des muscles obturateurs (externe et interne) mais il restera un petit trou dans lequel
vont passer des nerfs, des artères et des veines.
Un deuxième orifice est formé par la partie antérieure du sacrum et par les deux os coxaux, appelé le détroit. Celui-ci fait l’objet
de mesures par le gynécologue obstétricien pour mesurer des diamètres qui permettent de déterminer si le bébé peut sortir par
la voie naturelle ou si une césarienne est nécessaire.
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L’OS COXAL – OS ILIAQUE : Nous allons le dessiner en vue latérale, donc à l’extérieur du petit bassin.
On retrouve les trois os vus précédemment.
On a une partie articulaire, l’acétabulum qui est une saillie osseuse
presque circulaire qui entoure une surface articulaire avec deux
croissants que l’on appelle la surface semi-lunaire et dans laquelle on va
pouvoir glisser la tête fémorale.
En dessous, se trouve le foramen obturé.
L’ilium regarde vers l’arrière, vers la fesse, on va donc retrouver dessus
des lignes glutéales qui serviront à l’insertion des muscles de la fesse. Sur
la partie postérieure de l’ilium, on trouve des aspérités, des épines.
L’épine ischiatique sépare une grande échancrure (grand creux) d’une petite échancrure sur la partie postérieure.
La branche ischio-pubienne est un morceau d’os plus fin qui réunit l’ischium au pubis sous le foramen obturé et qui va souvent se
casser dans des traumatismes, ce qui peut causer des dommages à la vessie.
LE FEMUR : Le fémur est un os long, il est composé d’une diaphyse et
d’épiphyses qui sont les parties articulaires (hanche et genou).
L’épiphyse supérieure possède une tête orientée en dedans, en
haut et légèrement en arrière. Celle-ci est recouverte de cartilage
sur les 2/3 d’une circonférence de 25mm de rayon. Il y a la fovea
capitis (le trou dans la tête) est une partie de la tête qui n’a pas de
quartilage et qui correspond à l’insertion d’un ligament qui va
amener une artère à l’intérieur de la tête osseuse.
Le col chirurgical représente une fragilité osseuse.
On a aussi le grand et le petit trochanter qui sont des tubérosités
osseuses permettant des insertions musculaires. Le grand
trochanter est quadrangulaire et le petit est conique.
Les insertions musculaires de la face antérieure de la diaphyse sont des insertions de muscles qui sont devant la cuisse et donc
qui seront donc des extenseurs de la jambe sur la cuisse.
La trochlée (gouttière) du fémur est une structure s’articulant avec la patelle (rotule) qui est un os convexe de la face antérieure du
genou.
Il existe un angle d’inclinaison qui est d’environ 125°.
Sur une vue postérieure, on voit deux lignes parallèles sur lesquelles vont s’insérer beaucoup de muscles de la cuisse : la ligne
âpre
En bas, on a des condyles fémoraux avec une surface articulaire qui est dans la prolongation de ce qu’on a vu sur la face antérieure.
Les condyles médial et latéral qui permettent l’articulation avec le tibia.
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LE GENOU En vue supérieure, le tibia comporte des condyles qui sont recouverts
d’une surface articulaire, ce qui fait que la face supérieure est plane
(donc horizontale). Cette articulation n’est donc pas table, il n’y a pas
de correspondance osseuse entre le fémur et le tibia.
Les ménisques sont donc des petits fragments de cartilage qui vont
« creuser » l’articulation pour permettre une meilleure congruence
entre les os.
Les ligaments croisés antérieurs et postérieurs vont jouer un rôle dans
la stabilité articulaire.
Le ligament croisé antérieur qui va aller du bord latéral du fémur au plateau tibial. Le ligament croisé postérieur qui va aller de la
fosse intercondylaire à la partie postérieure du plateau tibial. Ces deux ligaments assurent la stabilité antéro-postérieure.
En cas de rupture, on aura des mouvements de tiroir avec la possibilité de tirer le fémur par rapport au tibia vers l’avant si le
ligament croisé antérieur est rompu ou vers l’arrière si c’est le ligament croisé postérieur.
La stabilité latérale est, elle assurée par d’autres ligaments que l’on appelle les ligaments collatéraux, le ligament collatéral
tibulaire en dedans et le ligament collatéral fibulaire en dehors.
Finalement, cette articulation ne permet qu’une flexion/extension avec une petite possibilité de rotation lorsque le genou est
plié.
LES OS DE LA JAMBE : On a le tibia et la fibule qui ressemblent aux os de l’avant-
bras (radius et ulna) mais ceux-ci ne bougent pas l’un par
rapport à l’autre.
On considère que les extrémités de la fibule sont
importantes mais la diaphyse non, on va donc pouvoir
l’utiliser pour remplacer une vertèbre par exemple.
Sur une vue antérieure d’un tibia, on voit l’épiphyse avec
des condyles qui sont recouverts de cartilage. Entre les
deux, les éminences intercondylaires (épines tibiales). On
trouve une tubérosité où viendra s’insérer le tendon
patellaire.
En bas, on a la malléole médiale et des surfaces
articulaires qui serviront à s’articuler avec l’os supérieur au
niveau du pied (talus).
La fibule est beaucoup plus fine mais aussi plus longue. Elle a donc deux surfaces articulaires, une à l’extrémité inférieure où elle
s’articule également avec le talus et une en haut où elle s’articule avec la face postérieure du tibia.
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Ces deux os sont triangulaires à la coupe, ils sont réunis par une membrane interosseuse et des septums délimitent des loges
(antérieure, postérieure et latérale). Il n’y a aucune insertion musculaire sur la face antério-médiale du tibia.
L’extrémité supérieure de la fibule est importante car au niveau de son col (jonction entre la tête et la diaphyse), on verra passer
le nerf fibulaire qui est responsable de la flexion dorsale du pied. L’extrémité inférieure contribue à faire une pince qui va enserrer
le talus pour donner la stabilité de la cheville.
En vue postérieure, on retrouve la malléole médiale, on a une ligne oblique qui s’appelle la ligne du soléaire (pour le muscle de
soléaire) et une ligne verticale qui permettra donc de séparer les muscles de la face postérieure de la jambe.
LE PIED : La fibule et le tibia sont articulées avec le talus qui est l’os qui permet les
mouvements de flexion/extension de la cheville. L’articulation sub-talienne
entre le talus et le calcanéus permettra des mouvements dans tous les sens.
EN VUE SUPERIEURE : on retrouve le calcanéus, l’os du talon, puis le talus qui est chargé d’une partie
articulaire avec le tibia et la fibule. En avant du calcanéus, un os en forme de
cube, le cuboïde. En avant du talus, l’os naviculaire, puis trois os en forme de
coin qui sont donc les cunéiformes. On met ensuit en place les métatarsiens
et les phalanges qui sont au nombre de trois par orteil sauf pour l’hallux (gros
orteil) qui n’en a que deux.
Nous avons donc un tarse avec sept os, cinq métatarses et 14 phalanges.
Au niveau de l’articulation métatarso-phalangienne de l’hallux, on a la possibilité d’avoir des os surnuméraires que l’on nomme
sésamoïdes de par leurs forme qui ressemblerait à un grain de sésame.
Le tarse est composé de sept os, on le divise en tarse postérieur (talus et calcanéus) et tarse antérieur avec les cinq autres
(cuboïde, naviculaire et les trois cunéiformes).
Chopart est le chirurgien qui a décrit l’interligne entre le tarse supérieur et le tarse inférieur et Lisfranc l’interligne entre le tarse
et les métatarsiens cette dernière étant la première zone de résection osseuse en cas de pathologie articulaire.
EN VUE MEDIALE :
Nous ne marchons pas sur nos orteils mais sur le
calcanéus (en arrière) et sur la base du premier et
du cinquième métatarsien.
Notre pied n’est pas plat, il existe des arches qui
sont maintenues par des ligaments. Ces arches sont
médiales, latérales ou transverses. L’arche médiale est à 15mm du sol. L’arche latérale est à 2 à 3 mm du sol.
Avec un podoscope, on peut examiner ces arches. Certaines maladies neurologiques enlèvent le côté cambré puisque les muscles
qui servent à tendre les arches plantaires sont déficients (pieds plats). A l’inverse, certaines hémiplégies induisent une tension des
muscles (pied plus creux).
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Ostéologie du membre supérieur
GENERALITES : Le membre supérieur aussi appelé membre pectoral, possède une anatomie
qui reflète parfaitement son évolution. Il était d’abord porteur puis lors du
passage à la bipédie ce membre s’est libéré. On note alors des changements
anatomiques au niveau de l’épaule et de la main.
❖ Sur un premier schéma on représente le membre supérieur en
entier.
On peut d’abord représenter les cervicales, le sternum et les cotes (squelette
axial).
La scapula (omoplate) se projette de façon triangulaire présentant un crochet
et une tubérosité osseuse.
La clavicule (petite clé en latin) elle est fixée au sternum mais mobile à son
extrémité latérale.
L’humérus est le seul os du bras, il se prolonge par le radius et l’ulna, le carpe puis les os des doigts.
La clavicule et la scapula constituent la ceinture scapulaire qui est la racine du membre supérieur.
Sous la racine scapulaire c’est le bras, puis à l’avant-bras et enfin la main.
LES ARTICULATIONS : L’épaule contient 5 articulations. Parmi elles, 3 sont de vraies articulations : sterno-claviculaire, acromio-claviculaire
et gléno-humérale. Et 2 sont des plans de glissement.
Au niveau du coude il y a 3 articulations aussi : huméro-ulnaire, huméro-radiale, radio-ulnaire.
Au niveau du poignet il y a 3 articulations : radio carpienne et celles intercarpiennes.
LE BRAS :
LA CLAVICULE
Vue supérieure de la clavicule droite. C’est un os long qui a la forme d’un S. On distingue une extrémité latérale, un
corps et une extrémité médiale. Elle présente (comme tous les os) des tubercules. Par exemples, on voit le tubercule
deltoïdien sur lequel s’accroche un muscle (le muscle deltoïdien).
Elle est palpable car superficielle et facilement cassable (fractures ouvertes). Elle sert de guidage dans les
mouvements de l’épaule et elle délimite le creux supra claviculaire qui amène au poumon et l’artère sous-clavière
passe entre la clavicule et la première côte.
La clavicule guérit toute seule si la fracture n’est pas ouverte.
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LA SCAPULA On la représente de face, c’est un os plat qui est
plaqué contre les côtes 2 à 7. Il a globalement la
forme d’un triangle.
On retrouve la glène, surface articulaire qui va
recevoir l’os du bras. En dessous, le bord latéral qui
arrive à l’angle caudal et reprend sur le bord médial
puis l’angle crânial et le bord supérieur. Le processus
coracoïde a la forme d’un doigt crochu. Caché par ce
processus, venant de derrière, on distingue une
boule qui s’appelle l’acromion. Sur celui-ci, une
surface articulaire reçoit la clavicule. Sur la face
antérieure de la scapula s’accroche le muscle subscapulaire.
Si l’on regarde dans l’autre sens, on voit que l’acromion provient de l’épine scapulaire puis on retrouve la glène et le
processus coracoïde.
L’HUMERUS Os long, pair et symétrique. L’extrémité supérieure est une tête (la tête humérale)
recouverte de cartilage mais elle n’est pas ronde, elle représente le tiers d’une sphère. Elle
n’est pas adaptée à la surface qui la reçoit (la glène) elle est en plus rétroversée (tournée
vers l’arrière) et il y a donc une inadéquation entre la scapula et l’humérus. La stabilité ne
vient pas de l’os mais des muscles.
La tête repose sur le col anatomique au bout duquel un a deux tubercules : le tubercule
majeur qui est en dehors et le tubercule mineur qui est en dedans. Ensuite il y a le corps,
la diaphyse humérale. Elle s’étale pour former les épicondyles au niveau du coude. Au
milieu on retrouve une surface articulaire double : le capitulum et la trochlée humérale.
L’extrémité inférieure s’appelle la palette humérale.
Sur la diaphyse, on trouve un relief en forme de V qui correspond à l’insertion distale du deltoïdien.
Le nerf axillaire passe derrière l’extrémité supérieure de l’humérus. Le nerf radial croise la diaphyse et le nerf ulnaire
croise l’épicondyle médiale.
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L’AVANT-BRAS : L’avant-bras possède deux os car cela permet
d’orienter la main dans l’espace que l’on appelle la
pronosupination :
La pronation est le mouvement mettant la paume
vers le sol (penser au baise-main) tandis que la
supination met la paume vers le ciel.
LE RADIUS est l’os latéral.
Il s’agit d’un os long qui a une tête avec une surface
latérale qui fait le tour, il y a une surface articulaire
au-dessus et une autre sur le côté. La partie
supérieure de la tête sera articulaire avec l’os du bras
alors que la partie latérale avec l’ulna. La tubérosité bicipitale est un relief médial qui sert à l’incision du biceps. La
diaphyse n’est pas verticale mais courbe, il présente une courbure pronatrice, il est concave en dedans. La partie
inférieure est une pointe, la styloïde radiale qui présente aussi une surface articulaire avec l’ulna et une autre avec
les os du poignet.
L’ULNA :
Composé d’une extrémité supérieure qui s’appelle l’olécrane. On y trouve un crochet recouvrant la surface articulaire
qui s’appelle le processus anconé. Il permet d’augmenter la surface articulaire. On retrouve, sur la diaphyse un
processus conoïde qui va lui aussi augmenter la surface articulaire. La palette humérale viendra entre les deux
processus qui joueront le rôle de frein aux mouvements du coude. Sur le côté de la diaphyse, une petite surface
articulaire reçoit le radius. La tête ulnaire se trouve en position distale. Il n’y a pas d’articulation entre l’ulna et la main
mais il y en a une entre l’ulna et le radius. Il y a également un e styloïde ulnaire.
Les deux os sont stables car ils sont réunis par la membrane interosseuse. Ils
ont également la même longueur. Les deux articulations entre l’ulna et le
radius sont les mêmes, ce sont des articulations trochoïdes. Ceci permet la
pronosupination : passage du radius devant l’ulna = pronation.
Il y a 4 conditions à la pronosupination :
- La courbure pronatrice du radius.
- Des os stables
- Des os de même longueur
- Deux articulation trochoïdes
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Les articulations trochoïdes :
- Articulation proximale : le ligament carré s’accroche en dessous, il maintient la tête radiale dans l’ulna. Autour, le ligament annulaire dont la face profonde est cartilagineuse.
- Articulation distale : un ligament triangulaire stabilise la styloïde ulnaire avec un ligament radio-ulnaire antérieur et un postérieur.
LA MAIN Au contact des deux os de la main, on va avoir le carpe qui s’articule avec le radius. Il est
constitué de deux rangées (proximale et distale)
Le squelette de la paume de la main est constitué des métacarpes. Les phalanges sont les
os des doigts.
Le pouce come l’hallux a deux phalanges : P1 et P2
Les autres doigts ont trois phalanges : P1, P2 et P3