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*7meWe f KM (3 Pages) t>fpfütfs—Ifn$K$MIlATlfr — § Cfuliwies Pages) Mi i! JM WT iiasmislfatwr • Bélejro», -Géraai O. RAN DO LET ps&8r*nas iijrissioss ?tImmi TIL. 10.41 ft£, Sue Fontsnelle, 36 &€SS3S8 Télêgraphiqtis : RA2TB0LET Earr? Le Petit Havre UltD ACTStUB EN CHBE 4.-4. CASPAR -40RDA» T«l4pboae I Bsor-èHire öènèral : TS.VALLtS Réffscllori, 35, rue Fontenelle - Tél. 1M Alfif ATQN CES Bureau du Journal, 112, bé"'* d# Strasnourg. VAGENOE HAVAS, 8, place dw la Bourse, est sen ie cbargée de reeevoir lea Annonces pour v le Journal. L» PLTIT HAfBB e»1déslgné pour lot Ar.nonsn Judlclslrss et lègelst AD HAVES A PABIS... ORGANE RÉPUBLICAIN DÉMOCRATIQUE Le plus fort Tirage des de la ABQNNEJVtENTS Le Havre la Sei •je-Inférituim, l'Bure l'Oise et la Somme Autres Département* ................... TJnion Postale .. Trois Mois Six Mots ® rr. ft a ss® rr Dn Ast fl ü® Pt. ■4® Oni auonne ogmomoM SAUSPUAIS .1*m teas at Bureaux a» Potte ie Franse REFLEXIONS S10.1? LAGUERRETLAPAIX XV Ia question dc 1'Alsace-Lorraine et des conditions dans les&uelles clle doit nous faire retour est plus que jamais d l'ordre du jour. G est vrai¬ ment le na'iid gordien de la guerre et de. la paix qu'il/aut t rancher avant toutes choscs. Nous croyons avoir ex¬ posé ici avec une clarté sn/fisante no¬ ire point de vue s'appuyant sur la <r Declaration de Bordeaux »,pour ne nas être oblige d'y revenir ; nous ajou- terons settlement que nous approuvons pleinement la recente declaration des socialistes aisaciens-lorrains, complé- tant, en quel que sortc, celle de i8yi : « Nous nous considérons comme les man- da taires qualifies de nos compatriotes socia¬ list-es, disperses par l'exil et par la guerre , muets paree qu its so.it sous les ui mes oit bail tonnes encore par la domination elran- gère. Eu cette qualilé, nous déclarons que 'ies Alsaciens Lorraine, a leur jour, donne ront au monde •par la ratification solennelle da traité qui aura rétabli Le droit, la preuve de leur altachemenl inalterable a la patrie franraise. » Mais nons voudrions indiquer une confusion qui, plus on moins volon- Jcirement , obseurcit souvent le débat. ' {'artisans ct adversaires du referen¬ dum font, les tins et les autres, un rapprochement conlinuel enlre cette question da retour de I' Alsace-Lor¬ raine a la mère-patrie et celle des annexions. Le parti socialiste fran¬ cais, dans I' introduction desa réponse au questionnaire hollando-scandinave sur I' Alsace-Lorraine, traite des an¬ nexions et considère l'idéc du ref e¬ rendum comme le corollaire du rejet de toute pensee d annexion : « Le droit des peuples a disposer d'eux- mênies, dit-il,devient ainsi nécessaire¬ inent, par voie dc consequence, le droit de suffrage des peuples autrement dit , le droit des peuples a décider dq leur nationalité par leur suf/rage. » D' autre part, M. Maurice Barrès, dans un article reinarqué de i'Echo de Par s, sur « les efforts que la Ligue des Patrioles a déployés, de- pais le début de la guerre, pour éclai- rer le pays sur les conditions les plus propres a assurer la paix du monde », nous donne celte formule qui englobe la question d' Alsace-Lorraine et beau coup ét autres choses avec : « Plus un soldat allemand sur la rive gauche du Rhin ». II ajonte même, ce qui est loin d'éclaircir la situation : « Nous continuerons noire, tdche en subor- donnant notre action a celle da gou¬ vernement avec qui, au dernier mot, sur Vobjet de la guerre, nous sommes oleinement d' accord. » De tont cela, il résulie que les uns peuveni accepter Vidéc du referendum pour empêcher toute antiexion et que les autres peuvent la combattre pour masquer des annexions, or e'est la qa'ity a celte confusion deplorable a taquelle nous ne devons pas nous prëter, dans l'inlérêt même de 1'Al¬ sace-Lorraine dont la cause appa- raitra d'autant plus lumineuse qu'elle -sera dégagée de toute autre considé- ralion et de toute arrière-pensée. Pour cola, nous n'avons d'aüleurs qua suivre, jusquau bout, l'exemple des patriotes alsaciens de iSyi aux- quels nous r evenons,, sans cesse comme a ia supreme autorité en la mattere. Leur fameuse protestation, que nous avons publiée, était, on le sait, du 16 février : le iCI mars suivant Victor JIugo prononqait a la tribune de Z'As- sembtce Nationale, en faveur des mal- henreuses provinces sacrifices, un fou- gneux discours dont void un ex trait: « Une heure sonnera !... Nous la senlons venir cette revanche prodigieu.se. Nous en- tendons des a présent noire triumphant ave- nir marcher a. grands pas dans ihistoire. Out, dés demain cola va commencer. Dès de- main, la France n'aura plus quune pensee : se recueillir, se reposer dans la redout able rêverie du désespoir ; reprendre des forces ; élever ses infants ; nourrir de saintes cold - res ces petits qui deviendront grands ;forger des canons el former des ciloyens ; créer une armé e qui soit un peuple; anpeler la «- science au secours de la guerre ; etudier le procédé prussien comme Home a étudié le procédé pwiique ; se fortifier, s'affermir, se régénèrer, redevenir la grande France, la Fmnce de <J2, La France de l' idéé et la France de l'êpée .. «<Puis, lout a coup, un jour elle se redres- ser,'. Oh ! elle sera formidable I on la verra d'un bon ressaisirla Lorraine, ressaisir VAl¬ sace ! Est ce tout ? Non, non, saisir — écou- tez moi — saisir Treves, Mayehce, Cologne, Cvbleiils ... » Ace passaga da discours da grand poc/e, ties interruptions se firent en¬ tendre sur les bancs oit siégeaient les deputes des dêoartements alsaciens et lorrains ct Tachard, un des signa- taires de la declaration du 16 février, prit ens ait e la parole pour lui répondre fen ces termes : « Messieurs, au ncm des reprcsentanls de ces provinces nuillieureuses dont on ditsculele sort.je viens expliquer a VAssemblee I' in¬ terruption que nous nous sommes permise an moment même oit nous étions tons hale- on ts, éeoutant avec enthousiasme 1'éloquente ai ole j[tii nous deje nda.it . « Ces deux noms de Mayence et dc Co- blentz onl été prononcés' naguère par une bouche qui iiétait ni aussi noble, ni aussi hounêle que celle que nous venons d' enten - dre. Ces deux noms nous out perdus, Vest par eux que nons subissons le ti-iste sort qui nous attend. Eh bien, nous ne voulons pets souffrir pour ce mot et pour celte idéé ! « Nous sommes Francais, et pour nous il u'y a qu'une patrie, la France, sans taquelle nous ne pouvons pas vivre. Mais nons som¬ mes justes puree que nous sommes Francais et nous ne voulons pas qiion fasse a autrui ce que nous ne voudrions pas quit nous fut fait. » On devinê a qui faisait allusion le député alsacien, c'était a I'empereur Napoleon III, et il est bon de se rap- peler dans quclles circonstanccs celui- ci ava.it prononcé ces noms de Mayence et de Coblenlz. C'était après la vic- toire priissienne de Sadowa (3 juillet 1866) ; l'Autriche vaincue fit appel a la France, et Napoléon III ne lui of- frit qn'iine mediation qui fut bientöt discréditée sous le nom de « politique de pourboires ». En ejf et, lors des négociations de Nikolsbourg, d'oü sortie le traité de Prague qui marqua l'abaissement de l'Autriche, I'empereur proposa aMJis- marek de le laisser faire a la condi¬ tion de recevoir la rive gauche du Rhin. Nalurellement Bismarck joua Napoléon III et n'aeeorda rien dn tout, maïs de plus il profita de celte de- mande, qa'il ent soin de divulguer, pour effrayer les Fiats allemands du Sud et les f oreer a conclure avec la Prusse luxe alliance offensive et defen¬ sive. Ainsi se forma la coalition qui devait bientöt nons écraser et fonder l'unité allemande. On comprend dès lors que les Alsa¬ ciens aient pa dire que c'était les pre¬ tentions impériales sur Mayence ct Coblentz qui les avaient perdas et qu'ils n'aient plus voulu entendre parler de cette politique, pas même a litre de revanche, pour l'avenir. Maïs s'ils ont pu avoir cette sagesse et celte êlévaiion d' esprit au moment même on leur imposait le pire sacrifice, a combien plus forte raison devons-nous les imiter maintenant en éeoutant les lecons de l'bisloire el en nous iwpirant de ce préccpte qui, tout en n'étant dé- passé par aacune parole évangélique, de si haat soit-elle lombée, est avant tout line parole de Francais, a lagloire dc notre pays . « Nous som mes justes paree que nous sommes Franqais, et nous ne voulons pas qu'on fasse a au¬ trui ce que nous ne voudrions pas qa'il nous fint fait. » Livre hlanc greo LA GUERRE m VIGftllREliSE OFFENSIVE ESTMCLAMlEAVERDI* Les troupes Iran^aises se sont svaneées de deux kilometres, sur mi front de 18 kilometres. Kous avons capture 4,000 Allemands. Communiqués Offleieis J.SÏO' Joiirnée SI. Politis, pruuve que Ie Pays a (té rrafei M Politis, rainis'.röde3 tfl'aires éirangères, dépos-nt sur le bureau de la Chambre le Livre Blanc, a déc'aré : — G'est une amère ironie d'appsler Livre Blanc ce dcc .ment, dont la kc.ure doorns la preuve de la plus crimiuelle. spécuiation sur les sup;êmes intéréts nationaux, du bonteux mensorge des gouvernants du pays, de la d cbéaaco morale et du déshon- neor. Lr Livre Blanc rievrait être appelé L-vn Neir. Les document* qu'il contient rep?és;n- test la plus obscure, ia pias sombre page de la lodgu? histoire grecque. La livre contient 477 docum-n ts diploma- tiques relattt*. au traité d'aliiarce avsc la Serbia, a i'iftvasióo gfcrnaano buigare en Ma- cédoine. Partant da traité serbo groc, le miaislre des Aft'a-res ètrangères a dit : — Ce traité qui fut signó en ennnaissance do cause, q ii avail un texle net et clsi- a été violó au der,.ier moin-nt, saas avis préslable. au mo¬ ment ou t'autre E at contractant avait nn lieséin absolu du secours d-j la Grèe?, au mamsnt oü il avail cbsulumenl le droit d'y préter. d e et ia con¬ viction qu'il d- v-vitaitenilre cc lecourv qui lui avait été promis plurieurs fois. La violation de ce traité a aawaé l'anéantissameat rai i1aire de t'Efataral e' "ié, et ceta pour le ra->beur de la Grèce. eardepuis la G bcc s'est trouvée ouverto a l'iavssioit de son eoa-"' ' séculaire ; los terri¬ toir? ssrees snt été a la uierci des ineursions des Bstb res. M Poiiiis sffirme que ce; iceursions ne se sont pes prsduites a l'imp'oviste, rnsis après entente > lea Barbaras. La bont, dc ceite eaieme traitresso est t-dle, ajouta-t-il, quo les öirigeacts r.'ont pas eu le cou¬ rage d'avouer du haul dc „etie tribune Le plus honteux mr jsoc„e a cté lancé pour trouper le peupie grcc. M. Politis fjoute qn'tl pub iait les docu¬ ments pour éclairer ie moede sur cv qui a éte fut ü l'insu du penale da la Grèc* et poor éclairer la majoulé qui a suivi M. Ve- nizelos, alio de démontrer que les dirigeanis n'etsient pas settlement traitres, muis qu'bs étaient aussi iudignes de s'ap^alar 11-1 énes. L'cxposé dn ministre des a .''.'aires eiracgè- res ptod'uisit une irès vive impression. Les jourcaux véeizeiistes font l'éloge du gouvernement qui sest décidé è publier nes documents qui jeftent me pleine lumière sar des fails engageant les intéréts vitanx et l'hcnnenr du pays st qui a vouio.da hint de la tribune du Parlement, qtic.l fier et tl é- trir comme il le devait ies gouvernants qui ont pu sgir aiusi. Ii rssnlte de la lecture de ces doenmeuts, que M. Skouloudis a fakifió la véritó, quand ii s'est expilqué ea 1916, sur Palliire de Roupel. Une declaration oficielle, faite d i'Allemagne ft d la Bulcarie, les mformait en effet que lews troupes ne. rencintreraient aacune resis¬ tance en t-n it-.ire hellen' que. On rapbor'e qua M. Zdecosta, ministredes aflores etrargères, n'adressa qu'une -seaie protesiation a Berlin iocqce tes Bulgares commeucéreiJt ieurs excès coatra les Grecs de Macédoine. « Vous avez violé, disait-il, les promesses faites de ne pas occuper Ssrres, Drama et Cavaila. R*conimandez an moins a vosalliés - de respecter les aiatiens. » FRAWOE Paris, 20 aotil, 14 hsurss. En Belgique, lulte d'artilierie assez violente au Nord de Bixschcote. En Champagne, nos batteries ont cxóouté des tins efficacas sur les organisations aliemandes. Plusieurs incursions dans les lignes enne- mies neus ont permis de ramsner das prison- niers. Sur les deus rives de la Mouse, nos troupes se sont portèes, ce matin, a i'attaqiïe des positious allemancies avec uns raagnifïqua ardeur. D'après nos premiers reneeigme- la nouvelle bataiiie da Verdun se dévelcppe a notre avantage sur nn front de ISküemètres, dubois d'Avo- court au Nord de Bt zonvaux. Dc r.omhrsus prisonniers sont déja ramer és a l'arrière. La bravoure de nos troupas fl éis au dessus de tout éloge. Dans la région de Badonviiler, nous avons aisêmsnt repoussé un caup de main. Assez grande aotivité da l'artiilerie en Hau e- Alsace. feux ont partout anéanti leurs efforts et leur ont iufligé de lourdes pertes. Notre aviation a pris una part bril- lante a la bataiiie, mitrailiaut a faible hauteur les rasseoob laments er.aemis et contribuant ainsi a repousser ies conire-attaques.Nos pilotes ont abattu otizeavions allemands. Sur le front de l'armée, deux autres appareiis enns- m:s ont été descendus par nos canons spéciaux. Gationnd.de intermittent a sur le resfe du front. QRANPE-BRETAGNE Loadres, 20 aoüt, 14 boa res. Une contre attaque lancéeau cours de la nuit sur les positions enlevées par nous, h:er matin, au Sud- Est de Eoshy a été entièrement rejetés a.ia suite d'un v.olent combat. Nous avons exécuié avec succes, la nuit dernière, un coup de mam au Sud de Leas. Notre ligne a été légèrement avan- cée sur b" rvrt de bataiiie d'Ypres au Su' -Est de Ssi ;t Jonstceck. 23 heures. Sur le front Nord de Verdun, jsos troupes cut eruevé, des deux cötés de la Meuse, l-is défenses ennemi?s sur nn front de d.ix-huit kilomètres et sur une profondeur qui dêpasss döux kilontètres en certains points. Sur la rive gauche, nous tenons en particulier le bois d'Avocourt, lea dtux sommets du Mort-Homms, lea bois des Gorbeaux et de Cumières ; sur la rive droite, nous aveüs enlevé la cote da Taiou, Gh*mp et Champ- neuville, la cote 344, la ferme Mormont, la coto 240, le Nord de Louvemsnt. A droite, nos troupss ont large- ment avancé d*tis le bois des Fossés et dans le bois Le Chaume. Le cbiffre des prisonniers valides est supéïieur ó. quatre mille. Les Allemands ont violemmost con- tre-attaquó au bois d'Avocourt, au Mort-Hamme et a la cote 344. Nos 20 b. 50. L'ennemi a fenft au. cours de la matinee, una nouvelle contre-attaque sur les positions récumment conquises par nous au Sud-Est d'Epehy. Prises sous le feu de notre artillerie au moment cii e/:es gagnaient Ieurs positions en vue de l'assaut, les troupes allemandes ont été dispersées et l'attaque n'a pu se développer. B-s engagements de patrouilles, qui nous ont jaermis d'effectuer una cer¬ tain?- progre ssion, ont en lieu au cours de la journée aux abords Nord-Ouest d.e Lens. Un détachement onnemi a réussi h pênétrer dans nos lignes ca matin a i'Est a'Armemières. Deux de nos hommes ont disparu. D'im portantes formations aeriennc-eenne-nies opérant a une asstz grande distance a l'intó rieur de leurs lignes ont vainement essays h er d'entraver l'aciion de nos appareiis de bombar¬ dement s, de photograph ie et da reconnaissan¬ ces. Nos operations da bombardement n'en ont pas moi ns continué ; un train allemand a été détruit, des aerodrome s, dépots et gares ont subi de grands dégê.ts. Le travail de l'artiilerie s'est effectué avec a'excellents résuitats. De nombreux clichés ont été pris. Diux aéroplanes aliemands ont été abattus en oom.bais aériens. Q.iatre autres fure.-'t contrahits a atterrir désemoarés ; un septième appareil ennami a été abaitu dans nos lignes par nos canons spéoiaux. Six des nótre s ne sont pas rentrés. rnièrt leurs quatre heures matin Les Sympathies américaines Paris. — A I'occnsion de Fanniversn're <ie KJ. Poi«c«ré. M.Sharp, aiDbassaécnr des EU'S-üais, sVs- re*dn ii l'Elysée pour expriwer lioas ati président et les voeux ;des de M. Wilson pour ia France. St-S f.'liClt^- Etats-Unis et VOYAGE DIFFÉRÉ Berns — Le journal !.■■Liberté, de Fribourg dit qua i'archevéque Lemberg a r«tardé ?ori voyage a Rome en raisoa des c reonstsnees sc- tueües. Destruction d'un pirate Rome. — Dans it baute Adrialique. un hydra- viou j-.ta des bonibas sur un submersible eniremi qui coula. La Note du Pape et les Alliés Londres. — Anx Gorarauaes. en réton'e è une qui-siiou, lord Robert Cecil a déeUré qu'use note a été re-cue du papo inuiiast les be!-igéra*ts a a étudier ies termes ée ia paix et que les gou- vernements alliés coaféreront a ce aujet avant de donner leur réponso. LesSens dem?retlaOenférettce deSfookSiolni Londres — Lo corférence de3 Gens de mer slii j ei neutres, réur.io a Loxdres, a décidé au- jourd'öui a l'un-töimi é de deiu,ndtr au Comité pariementaire du Congiès des Trades Unions d'insliUier un leftrandum patrai las travailleurs britanniqnes sur la question de l'envoi de délé gués a Stockholm. Une resection fut votée approuvsnt Ie refus psr le gouieniemtnt des passeporls pour Stoc- kbolm.. Ls Représentant de 1'Albanië Londrss — Aux Communes, lord Ueberi Cecil a déciaró que le g-.uveiji<-me*t n'a pas r«co«nu officirliement Essai Pacha comme le représentant de l'Albanie. LesForcenrsde blocus Lor.dres. A Ia Chambre des Communes, un dépuic syant deoianüé si le gouvernement snit que des oavires neutres continuent a importer dsns les ports allemands des marebandises ayact une vaieur ir.iiilt.ire et si i'on senge a prendre des mesures a eet égard après la guerre, lord Robert Cecil a réoendu qu'en p incipe le go - verneraext est d'avis que les navires neu res, assistant i'eancroi, devront être traités apiés la guerre comme les nkvires ennemis. Les Marins britanniques disparus Londres — A la Cbsmbre des Communes, le prèsweut du Rrsrd of Trade a dit que le nombre des offleers et marins de la marine marchande brilaan'que qui perirent par suite de la guerre est de ti 017 Ce chiffre ne comprend pas les hom- nies de la marine marchande a ia solde dc l'Ami- rautó. Terrible explosionau Canada fluèbec — Dne explsion suivie d'un incendie s'esi prod ei ■a la fabriqne Rigaud, dans le comté dc Qiiébec. Lae quarantaine de maisons ont été rasees psr la force de l'explosion. Ii y aurait trois : cents disparus dont environ deux cent cinquante •mort*. LES TRANSPORTS PAR MER Paris. — Les services d.-s Iran-pons maritiraes sont mainteuaat installës 223, rue Saint Ronoré, EN EiPA GN E Madrid — Le Conseii des ministres a d icidé le renvoi daas leurs foyers de tous les nidividus ap ptlés drrnièfMHent sous los draseaux. I.e Conscil a approirvé un credit de 77 millions destines a ia reorganisation do l'armée et la fabri¬ cation du matérie!, notamsi*nt de l'artiilerie aa- tiarierine. L« B«»qu« d'Espsgoe a mis A Ia disposition du gouvernement hi",000 pesetas d-stinés aux orpbelins «es agents moris en defendant t'ordre dans les derniers événemenls. L\ LIBËRiTIÖ^ m LAPALES 1Hg Pis-ds-Janeiro — i.a c-..lonie syrieone a . ffu-t na naoquet * M Claudel, miatsirede Frasce, qui a txprimé ses rcmurciement, et ses suuhaits pour la prochaine liberation de la Paiesliae, mt A VERDUN 1,3 batniile, toujours ardenta sar tqus ies points figareai des troupes franq isn.*.(ce qui vent direü peu prés purtont, tont sur te territone frsnq.tis qao sur les au rus thea¬ tres de la guerre.) ponr intéressante qu'eT» demenre en Belgique, sur i'A'sne et en Champ.»ffne, a p'is hier un acc.ni tout pur¬ lieu iLr a Y^rdun'. L'on vy attendait depnis que ques jourg. Lc dicn-iiaeinent de i'arttilerie de tons ca¬ libres qui soumottiu !.<-s trancnêes el les abris aiiemands a una destruction méthodi diqae ; le bombardement épité des voice de communication, des garen, ses e mps d'aviation, des cantonnemènts le k on prinz imuérial concentrait ses réserves et se< éclaireurs ; les mjiiceuvres pour aveu- gler l'adversaire ; toutss ces manitestaii: n- ü'une activite exce.ptionnclie, qu'enregis- traient les communiqués de ces dernier.» jours, étaient autant d'indices è quoi on' re poovait se raêpruï d e, dans t e te guerre de po-itiOAs los bat -illes se preparent et ss développent suivant an rite qui ne laisse guè- re de place ü une surprise totale. L'ennpmi s'attendait done è o re attaqr é devant V rdun. Les bnlletins de Lodend or it annongsient depais p.tisiears jours nu« offensive imminente ; ils précis* i*<U même iii'eile s'étendrait eu bois d'Avoeoui'i a Orne . La presse a'leroaade affen'sit d'etre rassuvée et la Gazette de Francfort écriv.ot récemment : « L'armée allemande pent atlesdre l'att iqne avec une pieine coe fian¬ ce. » G illaome II tui-mème avait été ass<z imprudent pour fébc>ter ü grand tap'-go son fiia du petit a vantage obomu. ia seuiaine passé®, dans le bois des Gaurièivs et po ,r vanter « l'e prit agressif allemand devant Verdun ». L'incom parable vailia.'vcs des soi- dau fr**$ïis vient de répondre a ces affir¬ mations teméraires. « La tionveile bataiiie de Verdun ss devloppe a notre &vantage », disait le com nu ni .ué de 'undi après midi, et, déji, de nombreux prisonniers ont éis captB'és dans les ruw de 'eors »>osffion-i eff-»ndfé?s et traasforméas. d smt ils, ea champs d'eotonooirs. Le correspoadant du Tempt léiógrapbie è cs sujet : « Nons avons assisté cctta nuit, dans la Mease, è la dernière phase de la preparation ülai tillerie, et ü 4 h. 40 du matin au dc- j clauchsment d'une attaqae de uo-, tr ui pes entre le bois d'Avocourt et Bszonvanx. A six benres, nons sa* ions déja que les premiers objéCtits eui n'. aitrints et les premiers ps i sooniers allemands étaient ramt nés en ar- r.è'e, «Nnlleé:! héteocpsntdonner nnetdée •'« llnfèi na ie -dioa de i'arUKerie qui d.>-:ait d?puis trois jours. La cote 404, le Mor- Mom- me, ia cóte ».« Teloti avnii'ut été einièreroe«t boulevsrsés par nos feux L'enn-mi avail abandenuer ses premières g .t-s, inais nos assaitlants, d'ua élan continu, sont allés, de 'ranchers en tranchées, réduisant a merci t uis ies combaGant, qui s'y troa- vaient encore. Notre avia.ioo, h peine !'• ube avait-eile paru, indiquait par des signanx us progièsde nqt'e niarche eu avant. Ce fut tragique *t fesudr syant » Le cotnmuaiqae de 23 heures, qui vient de nous parvenir, conti- ma cette heoreuse nouvelle! P r une action 4es plusglorieuses, no« troupes, sur un terrain particnl èremsnt d ificite, et sur un front de 18 kUoniètres, se sout avancées de 2 kis meiiei-. Dés nnio.s- nant on annonce qu'elles ont c«pture 4,000 prisonn;ers. Puisse cette fois le temps ne p 'S coelra- rier leur admirable vaillaoca et lasser leur painotique énergie. Mort au Champ d'Hormeur Le snldat Maurice Lsmperier, soldat du 10i« (i'infanterie, cla-.-s H»i7, doiolcilié a Moutivil- liers. me (les Mégistiers, 10. est d cêdé a i'hópi- tai mititairo ilu Havre le 1» aoüt 1017. JtSéiüatHe BSUSStvic» La médsilte uiiltuire a été coufórée an sotmt de réserve George Lefèvre, du 204»régiment ü'ia- fsot -i'ie avtc le motif suivant : « Sv.da courageux et dévoué ; blessé gr'ève- naent, te 28 novembre 19'6, en cssurant son ser¬ vice .te sent inetie. sous on violent bombardement. Ampulé de is j mbo droite » La présente cóminatiou comporte l'allrihutioa de Is Croix do guerre avt-c palme. M. Georges Lfévr . était (lnqjiciiié en notre viile. ra r- Vuuqmlia, 6, clait employé aux Slaga- slu Géüéranx. TSo»« 8® liss-lus Pt arrê'é ministériel en date du 18 aoüt i9t7, U. Edooard. Émlle Albort Gajrm, li.-ut n-mt da vaisri-uu, s étó inscrit au t«r,iea'i d'avaacemsnt paur ie grade ue cpitsine de corvette. i' Officiel du 20aoüt dit a ce sujet : « Oili -ier d'élite Ad-iré de s s hommes, eatimé do lous A dans toules tes circ instances, su coinmuciquer son feu sacré et f iro des unttés qu'ii l ommandait des troupes superbes, nntam- iOBsii. lots de Paction des 31 julilet- e- 1" aoüt 1917 qui nous a v»tu i'enlèvem-üt de t ois lignes de irarcbées. Aux fusiliers marm depiik aoüt 19(4. a loujemrs été le solidu bras droit du coin- macdement. » Ripneidns ouo noire conci'.cyen M lo iientp- naa-' ' ile vaisseau Gamss e.-t «tenuis le 15 aoüt officier d'ordoanaace du ministro do la marine. Keuvrllra nillllaires Prom.-fians — Infanterie active : M. Surfol Ueulenanl atl 3.6*est promu cpllaine en m^in'e- nu ; M.Honafos, aspirant au 271*,est promu sous. lieutenant et ;i0Vcié au 8». M Sery, ea residence a Fécamp. es! ailmis A l'nooor. nat avec le grade Ue ebef de bstailiou de lerri'O: i- e. Beaux-Arts ii r,. i Va'lH. don! le lalent de g sveur s'est d>j 'igrf : s Pa tontisn, se consacre voiooiiers a ï'aquarr tie. Certains prefer eront peui-être premier au peinire, les f uilles qn'i.' expose chcz Muury ne sont pas. c-p Uvnt. ind ffére--tes. Ge soBt des vues d'iLufteqr tr ncheraent tral- téos, et. qui ont sunout 'inlé- ét d'une notati -n ripute el juste. Le colr,ris en est cbaieurt ux t:t vibrant ; it sert a s-.ubait une observation piito- resqne et un sentum-ot de C Tflposition qui don- nerit a re; feuillets de bloc-cotea d'ariiste ua tc- ceat souvent «xpressif. L'IiiüSgiiraüftii desHauts-Faurfienux a €aea La0fè?3 des Ohsminois en Angtetsrre L° président du Board of Trade s'est entretenu avrc ia commission <*xéc-ttive des syndic -ts des mécaniriens et eh «uileurs d locomoi.ives. II a déclsré pouvoir prompt re, au nom du gou¬ vernement, que celui ci cnvisagerait fsvorabie- ment et imun-diatement, après ia fin des hosülites, toute dem.-.ude de diminution d'beures de travail. A ia suüe de l'ent evua, le secrétaire du syndi¬ cs t a dósiaré que la situation est sans clnnge- un nt et q i'il considère la grove comme certaine. Dlauire par-, te député Thomas a dit avoir con- fiance dsns lünion naiioaale des cbeinmots qui refusera d'nider I s grévistes. Cependant. inndi matin, on annonce que ia gré- ve a été déciarée a Londres. Les cheminots syndiquès se sont déciarés en faveur de IVnvoi d - délegué; a Stockholm D'autre part. ie syndics! des mineurs de Nottin¬ gham a déclaré être contre, a une foite m-qontè. *En quelques Mots — LYnrcuii a laneé sur Mona-.tir plus de 2,000 boiabes et in viile est incendiée. — Le gouvernement provisoire a pub'ié une note sur l'exil du tsar a Tobol «k (Sibérie occiden- tnlei. Tobolsk est a 3,68 1 kilometres de Pelro- grade. , — Accident de tramway k Grabble, dans la ban- l'eue de Douvres : dix morts, dom la conductrice de la voiture et un cot, seider municipal de Folke¬ stone. Quarante blessés. EN FLANDRES Do ifiir cöté, nos alliés biitanniques ont *pi;»iivement ïvpj'icé lears I-poes d'un dead- küO'sèire nor la route dVores a Poeicapeile en s'eoiparanl d'uie série de fermes orgsni- sées par l'ennemi. Attend! ns avec coiifiance les prorhiins communiqués. SUR L'ISONZO La nouvelle offensive italieniia & «'Est da 1'IsoRzo, qu - fai-sait prévoir la violente lui te d'ani-.terie si nalee par les comm -n aies de R ma et da Vipnne, "s'es. diciancbèe diman- ch- matin. N -s abics ont nltsqné sor nn front de 60 k'iOiRÖtrea, depais k Nord d To-mino j«s- qu'v la roer. endue ei la direction da f i n. d'attaqs* f.ont senssb --ment le; mèmes qoe lork de la precedents otf- nsive (foi, au mois dj mui dernkr, mit a' iés ea pos¬ session dn Moate-Gucco et fes ill progresser senstbiement sur le Garso. L'on ne sssrait douter qne ia grande visée de l'élat-m-j >r soit l'ucca patio u de Tries. e. Si toutes les routes n'y nienent pa*, plu- siturs en facihtent l'accès, et cc sos.t : an Nord, celle d Idria : au centre, c ile d'A<us sina et de Vipacco ; au Su i. cede du Gurso. Laquelie nes trois a 1« srétérence des chefs qui dirigent la manoeuvre 1 Nous le sanroas sans do «te par les pr- --chains communiqués, mais p'oub ions pas que nos a bes se t ou ■ ven, en pré enco d'un système de monta goes qui ion^e le Vipacco et qui, d-meu- rant ('obstacle le pos serieux a la m«rche sur Trieste ne psut êtra tVancbi q.i'avec de grandes difficiltés. On pent do«c être arsuré qu'aux cötés de Cgux ee !'Italië, les canons de Francs et «i'Au- g-;èterre toaneront a i'unisson. A l'benre «A nons rai-llons sous pre«»e, !c ('QHitnuniqué iiaiiea U6 uuus est pa^ encore parvenu. MM. Albert Thomas, ministre de l'arme- aseut et Loncbenr, sous-secrétaire d Et.it, sont v«»ius dimanche ü Gaen proeed ra ia mis a feu du premier h .ut fournean. I ont éte TfQ is nar le préfet, las sénateors et (L p r- tés du G'lvados: Caaviu, Ilirc.ry Biren^r, Louis Brini---«u. sén.itenr ; les me ui bres du Cunseii geaer.ii ; Schneider, direct' u'' du Gres-sol, et un grunt nombre de nötabifités indusirieiles. Les ministrts ont vbité les hauis-tousneaiix etacicries en constrnction, et, i. s «ravatix du part de Gaen. Au d jeuce; «ff -rt par Ik Ghumbr? dc cam- roerce, M. Ilsory Ghéron, p'é 1 - *u Con- scil general, a salaé ies rroais r -s et touiigné les tratssformations r»dt-s ri u 03 ptofondes qui s'accoinplisent en Nor-.-.ndie. M. Loucheur, dan-, soa discour?, a dit : Mo , vieux foeur d'iadustriela bondi dejoie Ala vut- du premier hau'-foiirueau baltaut (es plus gramis hauts-fournesux sllemaads ! II ue fvui pas que i ous rosüons ks me auins et les bourgeois q c nous t" ns. En France nous evens la pms- sane minier- , la puissance êcoaouiique ; il taut qu on se «race de guilds programmes écouomi- ques. N-uis devons, au lcndctnaia de la guerre, créer de grandes iodusl-ies et riéoier a l'A(iema;ne le mosopole des graodo- er-trep is*s l'ou u-ur réa- lisauon. vons pouvex compmr sur ie goaverne- meot et' vur toute inon énergie. M Alb«?l . Thoxiis » p-ononeé ensuite un imp ,( tant discours cü il a dsCiaré notam- meut : Lorsqup je psrle d'une polilique d'union nalio- naie, ce u'esi pas par rfttacneraeni i uno fo «auia usêc el vide de sens L'appel qu'hier j'sdressais dan; cc sens a rae« eamiraijes ouy iers, je le re¬ s' nouviie aujourd'nui devant vous. Après les nncrsMtes de déf-Jiso astionaie atix- quoi-es nous avons ob -ir ei «ali-f ure depuis trois aas. n. us duvrons, dem-in, saiisfaire aux li-Ci-isit'S non motos impérieuves de prodyclioa el de prosucrilé uasionate. A celte ce--vre comma a t'autre, la classe ouvriére devra coilsbo er et Cilia bor-ra, j'en al la certitude, saus h'mtati-jia r,i reserve. Hs -avent et ils oni s->«vent -lit quo e'est par Ia provpérita éConoMilq-e scnL- qu ns réa Asero -t Jeu' glorieuse et belle duvise : « Bieu- éüe et liberté. » L'Cffjnsiveallemande arrêtésen Eonmaoie Eu Moldavië, 'e; communiqués eno mis du 10 ne irouvent a rien a signaler » si ce n'e-t «ie « peiits comhats ». L'-s armses austro-aiiemandes scmb'ent bi-u être arrêté?s sc'-nellement et leurs efforts s'èire brisés devant la ré;istance de l'armée roumaiue r consiiiuée et de i'arméei russe ea voie do r.- generation. Ma- kansen, qui enmmande en person ne, n'a nu réus ir jusqu'ici a remönter sêrieusement le S r. ib au Nord de Focsani, ni a ie francbir. Après trots ans d'une guerre horriblement meur- trière, il n'a saas doute plus ü sa disposi¬ tion les éléments nécessaires pour consti- tuer une « phala«g« » aussi puusante qui lui permit, en 1915, de forcer les lignes rus- ses sur la Dounai«i& D s bii'e's de !a lotTie d« s IE«ws «?© Gt<e«-i-r d-s ia Vii e dr« II vi 1917. o»t eu ene d-«r»s tont»? le- S- s*i*s ues FAITS LOCAUX D'manche sprès-midi. Mme Bl*nehe Duponf, ég « ér 42 ans. psss» it dsns la rite 'E ! <1.p->r- i.ipt deux !) • iteillM. l'ar suite d'un f -ux >«s eiïe tomba sur le sol. Les débris de ses deux réci- pinis lui lireut une blessure a l'avsu -sri.s aroii .... Ar-rè; avoir rccu des soir-s a lo i hi ma ie Schmidt. Mme Dupont reg-gna :on donnet e rue Clèiuent Maricnl, 9. — Adj Ali Mohnmed ben E'baddi. 22 ans. jour- n«Tier, 43 quit MAecoq, a éiê arrêlé 'liuia che aurés-mid'. Il esi accuse dr vol avec violer-c- s n'ui.e summe de 6:«0F., an prejudice dc ai. I'bi- linpe B mlanger züans, ajust- ur, rue Jules-üa- sui ier, 18 Une perquisition faite dans Ia cbamhre de l'ac- eusé s anici é 1- dècouieile ue la majeure pui tie de ia sooime volée. A j Ali Mohamt-d ben Elbaddi a été déféré au parquet. - Le jeune Albert Lcmesle, six »rs, demcu- rant chez se» vau nts, rue de la Gaffe, 13. élut descendu dimoni h ■soir a huit hemes ft deinio dans i'avant port aiors qu'ii était a sec, a l'angie d-s quais Notre-Dame et de Soulhamplon. Ayant voulu renaonter A Féchelle en (pr fixée «u quai, le jeune Lemesle perdit l'équilibre et tomba de la hauteur de cinq a six metres dans i'avani-porl. S'étanl fait dans celte terrible chute une grave blessure a ia têie, l'enfant fut traasporté a l'llos- piee Géiiéra!. Gn redoute une fracture du

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Page 1: Pages) LePetitHavre...Roupel. Unedeclarationoficielle,faitedi'Allemagne ftdlaBulcarie,lesmformait eneffetque lewstroupesne.rencintreraient aacuneresis¬ tanceent-nit-.irehellen'que

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&€SS3S8Télêgraphiqtis: RA2TB0LETEarr? Le Petit HavreUltD ACTStUB EN CHBE

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Bsor-èHireöènèral: TS. VALLtSRéffscllori, 35, rue Fontenelle - Tél. 1M

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Bureau du Journal, 112, bé"'* d# Strasnourg.VAGENOE HAVAS, 8, place dw la Bourse, estsen ie cbargée de reeevoir lea Annonces pourv le Journal.

L» PLTITHAfBB e»1déslgné pour lot Ar.nonsn Judlclslrss et lègelst

AD HAVES

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ORGANE RÉPUBLICAIN DÉMOCRATIQUE

Le plus fort Tirage des de la

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REFLEXIONSS10.1?

LAGUERREETLAPAIXXV

Ia question dc 1'Alsace-Lorraineet des conditions dans les&uelles clledoit nous faire retour est plus quejamais d l'ordre du jour. G est vrai¬ment le na'iid gordien de la guerreet de. la paix qu'il/aut t rancher avanttoutes choscs. Nous croyons avoir ex¬posé ici avec une clarté sn/fisante no¬ire point de vue s'appuyant sur la<r Declaration de Bordeaux »,pour nenas être oblige d'y revenir ; nous ajou-terons settlement que nous approuvonspleinement la recente declaration dessocialistes aisaciens-lorrains, complé-tant, en quel que sortc, celle de i8yi :« Nous nous considérons comme les man-da taires qualifies de nos compatriotes socia¬list-es, disperses par l'exil et par la guerre ,muets paree qu its so.it sous les ui mes oitbail tonnes encore par la domination elran-gère. Eu cette qualilé, nous déclarons que'ies Alsaciens Lorraine, a leur jour, donneront au monde •par la ratification solennelleda traité qui aura rétabli Le droit, la preuvede leur altachemenl inalterable a la patriefranraise. »Mais nons voudrions indiquer uneconfusion qui, plus on moins volon-Jcirement , obseurcit souvent le débat.' {'artisans ct adversaires du referen¬dum font, les tins et les autres, unrapprochement conlinuel enlre cettequestion da retour de I' Alsace-Lor¬raine a la mère-patrie et celle desannexions. Le parti socialiste fran¬cais, dans I' introduction desa réponseau questionnaire hollando-scandinavesur I' Alsace-Lorraine, traite des an¬nexions et considère l'idéc du ref e¬rendum comme le corollaire du rejetde toute pensee d annexion : « Ledroit des peuples a disposer d'eux-mênies, dit-il,devient ainsi nécessaire¬inent, par voie dc consequence, le droitde suffrage des peuples — autrementdit , le droit des peuples a décider dqleur nationalité par leur suf/rage. »D' autre part, M. Maurice Barrès,dans un article reinarqué de i'Echode Par s, sur « les efforts que laLigue des Patrioles a déployés, de-pais le début de la guerre, pour éclai-rer le pays sur les conditions les pluspropres a assurer la paix du monde »,nous donne celte formule qui englobela question d' Alsace-Lorraine et beaucoup ét autres choses avec : « Plus unsoldat allemand sur la rive gauche duRhin ». II ajonte même, ce qui estloin d'éclaircir la situation : « Nouscontinuerons noire, tdche en subor-donnant notre action a celle da gou¬vernement avec qui, au dernier mot,sur Vobjet de la guerre, nous sommesoleinement d' accord. »De tont cela, il résulie que les unspeuveni accepter Vidéc du referendumpour empêcher toute antiexion et queles autres peuvent la combattre pourmasquer des annexions, or e'est laqa'ity a celte confusion deplorable ataquelle nous ne devons pas nousprëter, dans l'inlérêt même de 1'Al¬sace-Lorraine dont la cause appa-raitra d'autant plus lumineuse qu'elle-sera dégagée de toute autre considé-ralion et de toute arrière-pensée.Pour cola, nous n'avons d'aüleursqua suivre, jusquau bout, l'exempledes patriotes alsaciens de iSyi aux-quels nous r evenons,, sans cesse commea ia supreme autorité en la mattere.

Leur fameuse protestation, que nousavons publiée, était, on le sait, du 16février : le iCI mars suivant VictorJIugo prononqait a la tribune de Z'As-sembtce Nationale, en faveur des mal-henreuses provinces sacrifices, un fou-gneux discours dont void un ex trait:« Une heure sonnera !... Nous la senlonsvenir cette revanche prodigieu.se. Nous en-tendons des a présent noire triumphant ave-nir marcher a. grands pas dans ihistoire.Out, dés demain cola va commencer. Dès de-main, la France n'aura plus quune pensee :se recueillir, se reposer dans la redout ablerêverie du désespoir ; reprendre des forces ;élever ses infants ; nourrir de saintes cold -res ces petits qui deviendront grands ;forgerdes canons el former des ciloyens ; créerune armé e qui soit un peuple; anpeler la«-science au secours de la guerre ; etudier leprocédé prussien comme Home a étudié leprocédé pwiique ; se fortifier, s'affermir, serégénèrer, redevenir la grande France, laFmnce de <J2, LaFrance de l' idéé et la Francede l'êpée . .«<Puis, lout a coup, un jour elle se redres-ser,'. Oh ! elle sera formidable I on la verrad'un bon ressaisirla Lorraine, ressaisir VAl¬sace ! Est ce tout ? Non, non, saisir — écou-tez moi — saisir Treves, Mayehce, Cologne,Cvbleiils . .. »Ace passaga da discours da grandpoc/e, ties interruptions se firent en¬tendre sur les bancs oit siégeaient lesdeputes des dêoartements alsaciens etlorrains ct Tachard, un des signa-taires de la declaration du 16 février,prit ens ait e la parole pour lui répondrefen ces termes :« Messieurs, au ncm des reprcsentanls deces provinces nuillieureuses dont on ditsculelesort.je viens expliquer a VAssemblee I' in¬terruption que nous nous sommes permisean moment même oit nous étions tons hale-on ts, éeoutant avec enthousiasme 1'éloquenteai ole j[tii nous deje nda.it .

« Ces deux noms de Mayence et dc Co-blentz onl été prononcés' naguère par unebouche qui iiétait ni aussi noble, ni aussihounêle que celle que nous venons d' enten -dre. Ces deux noms nous out perdus, Vestpar eux que nons subissons le ti-iste sort quinous attend. Eh bien, nous ne voulons petssouffrir pour ce mot et pour celte idéé !« Nous sommes Francais, et pour nous ilu'y a qu'une patrie, la France, sans taquellenous ne pouvons pas vivre. Mais nons som¬mes justes puree que nous sommes Francaiset nous ne voulons pas qiion fasse a autruice que nous ne voudrions pas quit nous futfait. »On devinê a qui faisait allusion ledéputé alsacien, c'était a I'empereurNapoleon III, et il est bon de se rap-peler dans quclles circonstanccs celui-ci ava.it prononcé ces noms de Mayenceet de Coblenlz. C'était après la vic-toire priissienne de Sadowa (3 juillet1866) ; l'Autriche vaincue fit appel ala France, et Napoléon III ne lui of-frit qn'iine mediation qui fut bientötdiscréditée sous le nom de « politiquede pourboires ».En ejf et, lors des négociations deNikolsbourg, d'oü sortie le traité dePrague qui marqua l'abaissement del'Autriche, I'empereur proposa aMJis-marek de le laisser faire a la condi¬tion de recevoir la rive gauche duRhin. Nalurellement Bismarck jouaNapoléon III et n'aeeorda rien dn tout,maïs de plus il profita de celte de-mande, qa'il ent soin de divulguer,pour effrayer les Fiats allemands duSud et les f oreer a conclure avec laPrusse luxe alliance offensive et defen¬sive. Ainsi se forma la coalition quidevait bientöt nons écraser et fonderl'unité allemande.On comprend dès lors que les Alsa¬ciens aient pa dire que c'était les pre¬tentions impériales sur Mayence ctCoblentz qui les avaient perdas etqu'ils n'aient plus voulu entendreparler de cette politique, pas même alitre de revanche, pour l'avenir. Maïss'ils ont pu avoir cette sagesse et celteêlévaiion d' esprit au moment même oüon leur imposait le pire sacrifice, acombien plus forte raison devons-nousles imiter maintenant en éeoutant leslecons de l'bisloire el en nous iwpirantde ce préccpte qui, tout en n'étant dé-passé par aacune parole évangélique,de si haat soit-elle lombée, est avanttout line parole de Francais, a lagloiredc notre pays . « Nous som mes justesparee que nous sommes Franqais, etnous ne voulons pas qu'on fasse a au¬trui ce que nous ne voudrions pas qa'ilnous fint fait. »

Livre hlanc greo

LA GUERREm VIGftllREliSEOFFENSIVEESTMCLAMlEAVERDI*Les troupes Iran^aises se sont svaneées de deuxkilometres, sur mi front de 18 kilometres.Kous avons capture 4,000 Allemands.

CommuniquésOffleieisJ.SÏO' Joiirnée

SI. Politis, pruuve que Ie Pays a (té rrafeiM Politis, rainis'.röde3 tfl'aires éirangères,dépos-nt sur le bureau de la Chambre leLivre Blanc, a déc'aré :— G'est une amère ironie d'appsler LivreBlanc ce dcc .ment, dont la kc.ure doornsla preuve de la plus crimiuelle. spécuiationsur les sup;êmes intéréts nationaux, dubonteux mensorge des gouvernants dupays, de la d cbéaaco morale et du déshon-neor. Lr Livre Blanc rievrait être appelé L-vnNeir. Les document* qu'il contient rep?és;n-test la plus obscure, ia pias sombre pagede la lodgu? histoire grecque.La livre contient 477 docum-n ts diploma-tiques relattt*. au traité d'aliiarce avsc laSerbia, a i'iftvasióo gfcrnaano buigare en Ma-cédoine.Partant da traité serbo groc, le miaislredes Aft'a-res ètrangères a dit :— Ce traité qui fut signó en ennnaissance docause, q ii avail un texle net et clsi- a été violóau der,.ier moin-nt, saas avis préslable. au mo¬ment ou t'autre E at contractant avait nn lieséinabsolu du secours d-j la Grèe?, au mamsnt oü ilavail cbsulumenl le droit d'y préter. d e et ia con¬viction qu'il d- v-vitaitenilre cc lecourv qui luiavait été promis plurieurs fois. La violation dece traité a aawaé l'anéantissameat ra i i1aire det'Efataral e' "ié, et ceta pour le ra->beur de laGrèce. eardepuis la G bcc s'est trouvée ouvertoa l'iavssioit de son eoa-"' ' séculaire ; los terri¬toir? ssrees snt été a la uierci des ineursions desBstb res.M Poiiiis sffirme que ce; iceursions ne se sontpes prsduites a l'imp'oviste, rnsis après entente> lea Barbaras.La bont, dc ceite eaieme traitresso est t-dle,

ajouta-t-il, quo les öirigeacts r.'ont pas eu le cou¬rage d'avouer du haul dc „etie tribune Le plushonteux mr jsoc„e a cté lancé pour trouper lepeupie grcc.M. Politis fjoute qn'tl pub iait les docu¬ments pour éclairer ie moede sur cv qui aéte fut ü l'insu du penale da la Grèc* etpoor éclairer la majoulé qui a suivi M. Ve-nizelos, alio de démontrer que les dirigeanisn'etsient pas settlement traitres, muis qu'bsétaient aussi iudignes de s'ap^alar 11-1 énes.L'cxposé dn ministre des a .''.'aires eiracgè-res ptod'uisit une irès vive impression.Les jourcaux véeizeiistes font l'éloge dugouvernement qui sest décidé è publier nesdocuments qui jeftent m e pleine lumièresar des fails engageant les intéréts vitanx etl'hcnnenr du pays st qui a vouio.da hintde la tribune du Parlement, qtic.l fier et tl é-trir comme il le devait ies gouvernants quiont pu sgir aiusi.Ii rssnlte de la lecture de ces doenmeuts,que M. Skouloudis a fakifió la véritó, quandii s'est expilqué ea 1916, sur Palliire deRoupel.Une declaration oficielle, faite d i'Allemagneft d la Bulcarie, les mformait en effet quelews troupes ne. rencintreraient aacune resis¬tance en t-n it-.ire hellen' que.On rapbor'e qua M. Zdecosta, ministredesaflores etrargères, n'adressa qu'une -seaieprotesiation a Berlin iocqce tes BulgarescommeucéreiJt ieurs excès coatra les Grecsde Macédoine.« Vous avez violé, disait-il, les promessesfaites de ne pas occuper Ssrres, Drama etCavaila. R*conimandez an moins a vosalliés-de respecter les aiatiens. »

FRAWOEParis, 20 aotil, 14 hsurss.

En Belgique, lulte d'artilierie assez violenteau Nord de Bixschcote.En Champagne, nos batteries ont cxóouté destins efficacas sur les organisations aliemandes.Plusieurs incursions dans les lignes enne-mies neus ont permis de ramsner das prison-niers.Sur les deus rives de la Mouse, nostroupes se sont portèes, ce matin, ai'attaqiïe des positious allemanciesavec uns raagnifïqua ardeur.D'après nos premiers reneeigme-la nouvelle bataiiie da Verdun

se dévelcppe a notre avantage sur nnfront de ISküemètres, dubois d'Avo-court au Nord de Bt zonvaux.Dc r.omhrsus prisonniers sont déjaramer és a l'arrière.La bravoure de nos troupas fl éisau dessus de tout éloge.Dans la région de Badonviiler, nous avonsaisêmsnt repoussé un caup de main.Assezgrande aotivité da l'artiilerie en Hau e-Alsace.

feux ont partout anéanti leurs effortset leur ont iufligé de lourdes pertes.Notre aviation a pris una part bril-lante a la bataiiie, mitrailiaut a faiblehauteur les rasseoob laments er.aemiset contribuant ainsi a repousser iesconire-attaques.Nos pilotes ont abattuotizeavions allemands. Sur le front del'armée, deux autres appareiis enns-m:s ont été descendus par nos canonsspéciaux.Gationnd.de intermittent a sur le resfe dufront.

QRANPE-BRETAGNE

Loadres, 20 aoüt, 14 boa res.Une contre attaque lancéeau cours de la nuitsur les positions enlevées par nous, h:er matin,au Sud- Est de Eoshy a été entièrement rejetésa. ia suite d'un v.olent combat.Nous avons exécuié avec succes, lanuit dernière, un coup de mam au Sudde Leas.Notre ligne a été légèrement avan-cée sur b" rvrt de bataiiie d'Ypresau Su' -Est de Ssi ;t Jonstceck.

23 heures.Sur le front Nord de Verdun, jsostroupes cut eruevé, des deux cötésde la Meuse, l-is défenses ennemi?ssur nn front de d.ix-huit kilomètreset sur une profondeur qui dêpasssdöux kilontètres en certains points.Sur la rive gauche, nous tenons enparticulier le bois d'Avocourt, leadtux sommets du Mort-Homms, leabois des Gorbeaux et de Cumières ;sur la rive droite, nous aveüs enlevéla cote da Taiou, Gh*mp et Champ-neuville, la cote 344, la ferme d®Mormont, la coto 240, le Nord deLouvemsnt.A droite, nos troupss ont large-ment avancé d*tis le bois des Fosséset dans le bois Le Chaume.Le cbiffre des prisonniers validesest supéïieur ó. quatre mille.Les Allemands ont violemmost con-tre-attaquó au bois d'Avocourt, auMort-Hamme et a la cote 344. Nos

20 b. 50.L'ennemi a fenft au. cours de la matinee,una nouvelle contre-attaque sur les positionsrécumment conquises par nous au Sud-Estd'Epehy. Prises sous le feu de notre artillerieau moment cii e/:es gagnaient Ieurs positionsen vue de l'assaut, les troupes allemandes ontété dispersées et l'attaque n'a pu se développer.B-s engagements de patrouilles, quinous ont jaermis d'effectuer una cer¬tain?- progre ssion, ont en lieu au coursde la journée aux abords Nord-Ouestd.e Lens.Un détachement onnemi a réussi h pênétrerdans nos lignes ca matin a i'Est a'Armemières.Deux de nos hommes ont disparu.D'im portantes formations aeriennc-eenne-niesopérant a une asstz grande distance a l'intórieur de leurs lignes ont vainement essays h erd'entraver l'aciion de nos appareiis de bombar¬dement s, de photograph ie et da reconnaissan¬ces. Nos operations da bombardement n'enont pas moins continué ; un train allemand aété détruit, des aerodrome s, dépots et garesont subi de grands dégê.ts.Le travail de l'artiilerie s'est effectué aveca'excellents résuitats. De nombreux clichés ontété pris. Diux aéroplanes aliemands ont étéabattus en oom.bais aériens. Q.iatre autresfure.-'t contrahits a atterrir désemoarés ; unseptième appareil ennami a été abaitu dansnos lignes par nos canons spéoiaux.Six des nótre s ne sont pas rentrés.

rnièrtleursquatre heures matinLes Sympathies américainesParis. — A I'occnsion de Fanniversn're <ieKJ.Poi«c«ré. M.Sharp, aiDbassaécnr des EU'S-üais,sVs- re*dn ii l'Elysée pour expriwerlioas ati président et les voeux ;desde M. Wilson pour ia France.

St-S f.'liClt^-Etats-Unis et

VOYAGE DIFFÉRÉBerns — Le journal !. ■■Liberté, de Fribourgdit qua i'archevéque Lemberg a r«tardé ?orivoyage a Rome en raisoa des c reonstsnees sc-tueües.

Destruction d'un pirateRome. — Dans it baute Adrialique. un hydra-viou j-.ta des bonibas sur un submersible eniremiqui coula.

La Note du Pape et les AlliésLondres. — Anx Gorarauaes. en réton'e è unequi-siiou, lord Robert Cecil a déeUré qu'use notea été re-cue du papo inuiiast les be!-igéra*ts aa étudier ies termes ée ia paix et que les gou-vernements alliés coaféreront a ce aujet avant dedonner leur réponso.

LesSensdem?ret laOenférettcedeSfookSiolni

Londres — Lo corférence de3 Gens de merslii j ei neutres, réur.io a Loxdres, a décidé au-jourd'öui a l'un-töimi é de deiu,ndtr au Comitépariementaire du Congiès des Trades Unionsd'insliUier un leftrandum patrai las travailleursbritanniqnes sur la question de l'envoi de délégués a Stockholm.Une resection fut votée approuvsnt Ie refuspsr le gouieniemtnt des passeporls pour Stoc-kbolm..

Ls Représentant de 1'AlbaniëLondrss —Aux Communes, lord Ueberi Cecil adéciaró que le g-.uveiji<-me*t n'a pas r«co«nuofficirliement Essai Pacha comme le représentantde l'Albanie.

LesForcenrsde blocusLor.dres. — A Ia Chambre des Communes, undépuic syant deoianüé si le gouvernement snitque des oavires neutres continuent a importerdsns les ports allemands des marebandises ayactune vaieur ir.iiilt.ire et si i'on senge a prendredes mesures a eet égard après la guerre, lordRobert Cecil a réoendu qu'en p incipe le go -verneraext est d'avis que les navires neu res,assistant i'eancroi, devront être traités apiés laguerre comme les nkvires ennemis.

LesMarins britanniques disparusLondres — A la Cbsmbre des Communes, leprèsweut du Rrsrd of Trade a dit que le nombredes offleers et marins de la marine marchandebrilaan'que qui perirent par suite de la guerreest de ti 017 Ce chiffre ne comprend pas les hom-nies de la marine marchande a ia solde dc l'Ami-rautó.

Terrible explosionau Canadafluèbec — Dne explsion suivie d'un incendies'esi prod ei ■a la fabriqne Rigaud, dans le comtédc Qiiébec. Lae quarantaine de maisons ont étérasees psr la force de l'explosion. Ii y aurait trois: cents disparus dont environ deux cent cinquante•mort*.

LES TRANSPORTS PAR MERParis. — Les services d.-s Iran-pons maritiraessont mainteuaat installës 223, rue Saint Ronoré,

EN EiPA GN EMadrid — Le Conseii des ministres a d icidé lerenvoi daas leurs foyers de tous les nidividus apptlés drrnièfMHent sous los draseaux.I.e Conscil a approirvé un credit de 77 millionsdestines a ia reorganisation do l'armée et la fabri¬cation du matérie!, notamsi*nt de l'artiilerie aa-tiarierine.L« B«»qu« d'Espsgoe a mis A Ia dispositiondu gouvernement hi",000 pesetas d-stinés auxorpbelins «es agents moris en defendant t'ordredans les derniers événemenls.

L\ LIBËRiTIÖm̂ LAPALES1HgPis-ds-Janeiro — i.a c-..lonie syrieone a . ffu-tna naoquet * M Claudel, miatsirede Frasce, quia txprimé ses rcmurciement, et ses suuhaits pourla prochaine liberation de la Paiesliae,

m tA VERDUN

1,3 batniile, toujours ardenta sar tqus iespoints oü figareai des troupes franq isn.*.(cequi vent direü peu prés purtont, tont sur teterritone frsnq.tis qao sur les au rus thea¬tres de la guerre.) ponr intéressante qu'eT»demenre en Belgique, sur i'A'sne et enChamp.»ffne, a p'is hier un acc.ni tout pur¬lieu iLr a Y^rdun'.L'on vy attendait depnis que ques jourg.Lc dicn-iiaeinent de i'arttilerie de tons ca¬libres qui soumottiu !.<-s trancnêes el lesabris aiiemands a una destruction méthodidiqae ; le bombardement épité des voicede communication, des garen, ses e mpsd'aviation, des cantonnemènts oü le k onprinz imuérial concentrait ses réserves etse< éclaireurs ; les mjiiceuvres pour aveu-gler l'adversaire ; toutss ces manitestaii: n -ü'une activite exce.ptionnclie, qu'enregis-traient les communiqués de ces dernier.»jours, étaient autant d'indices è quoi on' repoovait se raêpruï d e, dans t e te guerre depo-itiOAs oü los bat -illes se preparent et ssdéveloppent suivant an rite qui ne laisse guè-re de place ü une surprise totale.L'ennpmi s'attendait done è o re attaqr édevant V rdun. Les bnlletins de Lodend or itannongsient depais p.tisiears jours nu«offensive imminente ; ils précis* i*<U mêmeiii'eile s'étendrait eu bois d'Avoeoui'i aOrne . La presse a'leroaade affen'sit d'etrerassuvée et la Gazette de Francfort écriv.otrécemment : « L'armée allemande pentatlesdre l'att iqne avec une pieine coe fian¬ce. » G illaome II tui-mème avait été ass<zimprudent pour fébc>ter ü grand tap'-go sonfiia du petit a vantage obomu. ia seuiainepassé®, dans le bois des Gaurièivs et po ,rvanter « l'e prit agressif allemand devantVerdun ». L'incom parable vailia.'vcs des soi-dau fr**$ïis vient de répondre a ces affir¬mations teméraires. « La tionveile bataiiiede Verdun ss devloppe a notre &vantage »,disait le com nu ni .ué de 'undi après midi,et, déji, de nombreux prisonniers ont éiscaptB'és dans les ruw de 'eors »>osffion-ieff-»ndfé?s et traasforméas. d smt ils, eachamps d'eotonooirs.Le correspoadant du Tempt léiógrapbie è cssujet :« Nons avons assisté cctta nuit, dans laMease, è la dernière phase de la preparationülai tillerie, et ü 4 h. 40 du matin au dc- jclauchsment d'une attaqae de uo-, tr ui pesentre le bois d'Avocourt et Bszonvanx. A sixbenres, nons sa* ions déja que les premiersobjéCtits eui n'. aitrints et les premiers ps isooniers allemands étaient ramt nés en ar-r.è'e,«Nnlleé:!héteocpsntdonnernnetdée•'«llnfèi na ie -dioa de i'arUKerie qui d.>-:aitd?puis trois jours. La cote 404, le Mor- Mom-me, ia cóte ».« Teloti avnii'ut été einièreroe«tboulevsrsés par nos feux L'enn-mi availdü abandenuer ses premières g .t-s, inaisnos assaitlants, d'ua élan continu, sont allés,de 'ranchers en tranchées, réduisant amerci t uis ies combaGant, qui s'y troa-vaient encore. Notre avia.ioo, h peine !'• ubeavait-eile paru, indiquait par des signanx usprogièsde nqt'e niarche eu avant. Ce futtragique *t fesudr syant »Le cotnmuaiqae de 23 heures, qui vientde nous parvenir, conti- ma cette heoreusenouvelle! P r une action 4es plusglorieuses,no« troupes, sur un terrain particnl èremsntd ificite, et sur un front de 18 kUoniètres, sesout avancées de 2 kis meiiei-. Dés nnio.s-nant on annonce qu'elles ont c«pture 4,000prisonn;ers.Puisse cette fois le temps ne p 'S coelra-rier leur admirable vaillaoca et lasserleur painotique énergie.

Mort au Champ d'HormeurLe snldat Maurice Lsmperier, soldat du 10i«(i'infanterie, cla-.-s H»i7, doiolcilié a Moutivil-liers. me (les Mégistiers, 10. est d cêdé a i'hópi-tai mititairo ilu Havre le 1» aoüt 1017.

JtSéiüatHe BSUSStvic»La médsilte uiiltuire a été coufórée an sotmtde réserve George Lefèvre, du 204»régiment ü'ia-fsot -i'ie avtc le motif suivant :« Sv.da courageux et dévoué ; blessé gr'ève-naent, te 28 novembre 19'6, en cssurant son ser¬vice .te sent inetie. sous on violent bombardement.Ampulé de is j mbo droite »La présente cóminatiou comporte l'allrihutioade Is Croix do guerre avt-c palme.M. Georges Lfévr . était (lnqjiciiié en notreviile. ra r- Vuuqmlia, 6, clait employé aux Slaga-slu Géüéranx.

TSo»« 8® liss-lusPt arrê'é ministériel en date du 18 aoüt i9t7,U. Edooard. Émlle Albort Gajrm, li.-ut n-mt davaisri-uu, s étó inscrit au t«r,iea'i d'avaacemsntpaur ie grade ue cpitsine de corvette.i' Officiel du 20 aoüt dit a ce sujet :« Oili -ier d'élite Ad-iré de s s hommes, eatimédo lous A dans toules tes circ instances, sucoinmuciquer son feu sacré et f iro des unttésqu'ii l ommandait des troupes superbes, nntam-iOBsii.lots de Paction des 31 julilet- e- 1" aoüt1917 qui nous a v»tu i'enlèvem-üt de t ois lignesde irarcbées. Aux fusiliers marm depiik aoüt19(4. a loujemrs été le solidu bras droit du coin-macdement. »Ripneidns ouo noire conci'.cyen M lo iientp-naa-' ' ile vaisseau Gamss e.-t «tenuis le 15 aoütofficier d'ordoanaace du ministro do la marine.

Keuvrllra nillllaires

Prom.-fians — Infanterie active : M. SurfolUeulenanl atl 3.6*est promu cpllaine en m^in'e-nu ; M.Honafos, aspirant au 271*,est promu sous.lieutenant et ;i0Vcié au 8».M Sery, ea residence a Fécamp. es! ailmis Al'nooor. nat avec le grade Ue ebef de bstailiou delerri'O: i- e.

Beaux-Artsii r,. i Va'lH. don! le lalent de g sveur s'estd>j 'igrf : s Pa tontisn, se consacre voiooiiersa ï'aquarr tie. Certains prefer eront peui-être 1«premier au peinire, les f uilles qn'i.' expose chczMuury ne sont pas. c-p Uvnt. ind ffére--tes.Ge soBt des vues d'iLufteqr tr ncheraent tral-téos, et. qui ont sunout 'inlé- ét d'une notati -nripute el juste. Le colr,ris en est cbaieurt ux t:tvibrant ; it sert a s-.ubait une observation piito-resqne et un sentum-ot de CTflposition qui don-nerit a re; feuillets de bloc-cotea d'ariiste ua tc-ceat souvent «xpressif.

L'IiiüSgiiraüftiidesHauts-Faurfienuxa €aea

La0fè?3desOhsminoisenAngtetsrreL° président du Board of Trade s'est entretenuavrc ia commission <*xéc-ttive des syndic -ts desmécaniriens et eh «uileurs d locomoi.ives.II a déclsré pouvoir prompt re, au nom du gou¬vernement, que celui ci cnvisagerait fsvorabie-ment et imun-diatement, après ia fin des hosülites,toute dem.-.ude de diminution d'beures de travail.A ia suüe de l'ent evua, le secrétaire du syndi¬cs t a dósiaré que la situation est sans clnnge-un nt et q i'il considère la grove comme certaine.Dlauire par-, te député Thomas a dit avoir con-fiance dsns lünion naiioaale des cbeinmots quirefusera d'nider I s grévistes.Cependant. inndi matin, on annonce que ia gré-ve a été déciarée a Londres.Les cheminots syndiquès se sont déciarés enfaveur de IVnvoi d - délegué; a StockholmD'autre part. ie syndics! des mineurs de Nottin¬gham a déclaré être contre, a une foite m-qontè.

*Enquelques Mots—LYnrcuii a laneé sur Mona-.tir plus de 2,000boiabes et in viile est incendiée.— Le gouvernement provisoire a pub'ié unenote sur l'exil du tsar a Tobol «k (Sibérie occiden-tnlei. Tobolsk est a 3,681 kilometres de Pelro-grade. ,— Accident de tramway k Grabble, dans la ban-l'eue de Douvres : dix morts, dom la conductricede la voiture et un cot, seider municipal de Folke¬stone. Quarante blessés.

EN FLANDRESDo ifiir cöté, nos alliés biitanniques ont*pi;»iivement ïvpj'icé lears I-poes d'un dead-küO'sèire nor la route dVores a Poeicapeileen s'eoiparanl d'uie série de fermes orgsni-sées par l'ennemi.Attend! ns avec coiifiance les prorhiinscommuniqués.

SUR L'ISONZOLa nouvelle offensive italieniia & «'Est da1'IsoRzo, qu - fai-sait prévoir la violente lui ted'ani-.terie si nalee par les comm -n aies deR ma et da Vipnne, "s'es. diciancbèe diman-ch- matin.N -s abics ont nltsqné sor nn front de 60k'iOiRÖtrea, depais k Nord d To-mino j«s-qu'v la roer. Lé endue ei la direction daf i n. d'attaqs* f.ont senssb --ment le; mèmesqoe lork de la precedents otf- nsive (foi, aumois dj mui dernkr, mit a' iés ea pos¬session dn Moate-Gucco et fes ill progressersenstbiement sur le Garso.L'on ne sssrait douter qne ia grande viséede l'élat-m-j >r soit l'ucca patio u de Tries. e.Si toutes les routes n'y nienent pa*, plu-siturs en facihtent l'accès, et cc sos.t : anNord, celle d Idria : au centre, c ile d'A<ussina et de Vipacco ; au Su i. cede du Gurso.Laquelie nes trois a 1« srétérence des chefsqui dirigent la manoeuvre 1 Nous le sanroassans do «te par les pr- --chains communiqués,mais p'oub ions pas que nos a bes se t ou ■ven, en pré enco d'un système de montagoes qui ion^e le Vipacco et qui, d-meu-rant ('obstacle le pos serieux a la m«rchesur Trieste ne psut êtra tVancbi q.i'avec degrandes difficiltés.On pent do«c être arsuré qu'aux cötés deCgux ee !'Italië, les canons de Francs et «i'Au-g-;èterre toaneront a i'unisson.A l'benre «A nons rai-llons sous pre«»e,!c ('QHitnuniqué iiaiiea U6 uuus est pa^encore parvenu.

MM. Albert Thomas, ministre de l'arme-aseut et Loncbenr, sous-secrétaire d Et.it,sont v«»ius dimanche ü Gaen proeed r a iamis a feu du premier h .ut fournean. I ontéte TfQ is nar le préfet, las sénateors et (L p r-tés du G'lvados: Caaviu, Ilirc.ry Biren^r,Louis Brini---«u. sén.itenr ; les me ui bres duCunseii geaer.ii ; Schneider, direct' u'' duGres-sol, et un grunt nombre de nötabifitésindusirieiles. Les ministrts ont vbité leshauis-tousneaiix etacicries en constrnction,et, i. s «ravatix du part de Gaen.Au d jeuce; «ff -rt par Ik Ghumbr? dc cam-roerce, M. Ilsory Ghéron, p'é 1 - *u Con-scil general, a salaé ies rroais r -s et touiignéles tratssformations r»dt-s ri u 03 ptofondesqui s'accoinplisent en Nor-.-.ndie.M. Loucheur, dan-, soa discour?, a dit :Mo, vieux foeur d'iadustriela bondi dejoie Alavut- du premier hau'-foiirueau baltaut (es plusgramis hauts-fournesux sllemaads ! II ue fvui pasque i ous rosüons ks me auins et les bourgeoisq c nous t" ns. En France nous evens la pms-sane minier- , la puissance êcoaouiique ; il tautqu on se «race de guilds programmes écouomi-ques.N-uis devons, au lcndctnaia de la guerre, créerde grandes iodusl-ies et riéoier a l'A(iema;ne lemosopole des graodo- er-trep is*s l'ou u-ur réa-lisauon. vons pouvex compmr sur ie goaverne-meot et' vur toute inon énergie.M Alb«?l . Thoxiis » p-ononeé ensuite unimp ,( tant discours cü il a dsCiaré notam-meut :Lorsqup je psrle d'une polilique d'union nalio-naie, ce u'esi pas par rfttacneraeni i uno fo «auiausêc el vide de sens L'appel qu'hier j'sdressaisdan; cc sens a rae« eamiraijes ouy iers, je le re¬s'nouviie aujourd'nui devant vous.Après les nncrsMtes de déf-Jiso astionaie atix-quoi-es nous avons dü ob -ir ei «ali-f ure depuistrois aas. n. us duvrons, dem-in, saiisfaire auxli-Ci-isit'S non motos impérieuves de prodyclioael de prosucrilé uasionate. A celte ce--vre commaa t'autre, la classe ouvriére devra coilsbo er etCilia bor-ra, j'en al la certitude, saus h'mtati-jiar,i reserve. Hs -avent et ils oni s->«vent -lit quoe'est par Ia provpérita éConoMilq-e scnL- qu nsréa Asero -t Jeu' glorieuse et belle duvise : « Bieu-éüe et liberté. »

L'Cffjnsiveallemandearrêtésen Eonmaoie

Eu Moldavië, 'e; communiqués eno misdu 10 ne irouvent a rien a signaler » si cen'e-t «ie « peiits comhats ».L'-s armses austro-aiiemandes scmb'entbi-u être arrêté?s sc'-nellement et leursefforts s'èire brisés devant la ré;istance del'armée roumaiue r consiiiuée et de i'arméeirusse ea voie do r.- generation. Ma- kansen,qui enmmande en person ne, n'a nu réus irjusqu'ici a remönter sêrieusement le S r. ibau Nord de Focsani, ni a ie francbir. Aprèstrots ans d'une guerre horriblement meur-trière, il n'a saas doute plus ü sa disposi¬tion les éléments nécessaires pour consti-tuer une « phala«g« » aussi puusante quilui permit, en 1915, de forcer les lignes rus-ses sur la Dounai«i&

D s bii'e's de !a lotTie d« s IE«ws «?©Gt<e«-i-r d-s ia Vii e dr« II vi 1917. o»t euene d-«r»s tont»? le- S- s*i*s ues

FAITS LOCAUXD'manche sprès-midi. Mme Bl*nehe Duponf,ég « ér 42 ans. psss» it dsns la rite 'E !<1.p->r-i.ipt deux !) • iteillM. l'ar suite d'un f -ux >«s eiïetomba sur le sol. Les débris de ses deux réci-pinis lui lireut une blessure a l'avsu -sri.saroii ....Ar-rè; avoir rccu des soir-s a lo i hi ma ieSchmidt. Mme Dupont reg-gna :on donnet e rueClèiuent Maricnl, 9.— Adj Ali Mohnmed ben E'baddi. 22 ans. jour-n«Tier, 43 quit MAecoq, a éiê arrêlé 'liuia cheaurés-mid'. Il esi accuse dr vol avec violer-c- sn'ui.e summe de 6:«0F., an prejudice dc ai. I'bi-linpe Bmlanger züans, ajust- ur, rue Jules-üa-sui ier, 18Une perquisition faite dans Ia cbamhre de l'ac-eusé s anici é 1- dècouieile ue la majeure pui tiede ia sooime volée.A j Ali Mohamt-d ben Elbaddi a été déféré auparquet.- Le jeune Albert Lcmesle, six »rs, demcu-rant chez se» vau nts, rue de la Gaffe, 13. élutdescendu dimoni h ■soir a huit hemes ft deiniodans i'avant port aiors qu'ii était a sec, a l'angied-s quais Notre-Dame et de Soulhamplon.Ayant voulu renaonter A Féchelle en (pr fixée«u quai, le jeune Lemesle perdit l'équilibre ettomba de la hauteur de cinq a six metres dansi'avani-porl.S'étanl fait dans celte terrible chute une graveblessure a ia têie, l'enfant fut traasporté a l'llos-piee Géiiéra!.Gn redoute une fracture du

Page 2: Pages) LePetitHavre...Roupel. Unedeclarationoficielle,faitedi'Allemagne ftdlaBulcarie,lesmformait eneffetque lewstroupesne.rencintreraient aacuneresis¬ tanceent-nit-.irehellen'que

•!«* Petit Havre — Mardi 21 AoM 1917— VnefiHeUe de T an». Suzanne Robert, étantft jouet diaitï Cha soir «ree d'autres eofaats denon 4ge sur lo qual do Southampton, traversait lachsussée, lorsqu'elle fut hewtée par use automo¬bile do ia Croix Rouge anglaise conduite parSoldat Curtis, qui n'avait pu i'apercevoir.La liileHc, r< levée avec uce blessure 4 la lête,fat conduite d'obord a l'llosptce Général, oü laplaie fut sulurée, et ensuite au domicile de sesparents, rue des Galio us, 11. ia blessure étant peugrave.

6. CXIUJ.RD, CMMSlM-ÜMTiSTi, II. f61 Ilfil TMtil

THEATRESI COHCERTSGrand-Th éê tre

ItepivseBtatloiiS Albei t IlrassenrLs série des representations données par IeIbéSire do !a Porta saint-Mar io s'est terminéebier par Monsieur... Chose.G'est une joyense pochade dc Xanrof et Dolley.Monsieur. . . Choie a un noui impossible. Ghn-que fois qu it est obligé de l'avouer, les hommeséclateni ae tire el les femmes Ie gifknt, Aussi,tnalgré sa fortune, décide-t-il de se tuer. Dansuse cbarabie vo'sino, Ie coade de Saini-Mammésveut ég-l-ment se suicider pour écbapper a sescréaneiers. . .Mais faut-il poursuivre? Op a déjs compris queEi i'un ni i', utro no lacbo la rampe. Tous deux Iatiennenl mérne pendant trois sctes oü se dérou-ïent et s'erchevêtrent et se compliquent les mei«Seats les plus cocssses.Ge thf atre, macbiné dans ses effets classiquescomme un röveil-matin américain coustruit « ensérie », e sürlout Payantsge d'être joué par uneIroupe alerte et bien entralnée a la téte de la-quelle MM,Albert Brasseur, Parisey, I-obrey, Ma-this ; Mmes Juliette D&rcemi, Duperron, de Nixo.Bravos et rappels ont consacrc te sueeés.

Tonrnéo KaretQa aanonce pour jeudi 23 aoiit una re¬presentation de Qa bouloUe, la spiritueiieEt amusante reyue de M. WiHemaiz.Viibert, le grand comique, i'inimitablefantaisiste, interprète trois róies daas ies-quols ii est, dit-on, absolument étourdis-sant.On fait égalemsnt un gros succès h Del-phin, ó Morst, a Gasthons, etc., et surioutü l'in omparable quatuor do vedettes : Ma-goy Warna, Héfène Gérard, Symone Danayet Yahne i/unbray.La iocatiou sera ouverte aujourd'huisaardi pour cetts unique representation.

Folies - BergèreCe soif mardi, a 8 h. 40, Gala de Bien -füisance, au bénrfice de l'Association dC3Artistes draraatiqoes et des orphelins desartistes tués 4 l'ennemi, intermóae monstreavec le graeieux concours de M. Manson, dola Gaité ; M, Wild, Ie délicieux ténor et Ray-ttaert, le Lmenx baryt ;n ; Mme Dur.nii,chanteuse d'opérette : Henne ; MM. JehanFred, le petit matelot ; Cao-se et MM. Legail-lard et Léon Stara qui joueront le chef-d'oeuvre de Richepin, 'te Flibitslier, pièce en3 actes, avec la troupe entière des Folies,Lérévil en tète. Spectacle de familie par ex¬cellence. Ua joii geste 4 faire pour l'oeuvreAi intéressante des orphelins d"es aitistes etjjjiü bonne soiróe st passer.

Selecl-PalaceCe soir, re'ache. Remain mercredi, soirêa& 8 li. 1/2. Continuation du reeswitleuxprogram me de la semaine : !«© PeiltÏHtmsae ; Walton et ses bmtoches mer-teilieux.

Thê&tre-Cirq ue OmniaClsiésna OmnivPattiè

AujonrdTiui tnardi, soiréo & 8 h. 1/2,début du noavean programme comprenaut:#,®SRf ®U ï'dËE'ESS, drsme en iroisparties ; Antour tLu massif Central ; Le Serm^ta'Anatole ; Btevenjjsir (Qe épisode) : LeCollier du Bajah ; Pathe Joumal et DerrièresAcuahtës de la guerre. Location ouverte com¬me d'usage.

»iy»iMÊ*mad&m

LEsrwrnPEKTl'lftl IEES0II0Ü8B2BISIALE

SanvicChurbon — Eo rcmeltant a la msirie leur feuilled« cieciaratios, les habitants (icvrpnt présenterleur earto «le sucre, laquelie doit être modiftéecbaque fois qu'un changeinerit pour cause aedépart ou do Uécés seproluit dans la composi¬tion do Ia familie.Les ménages qui possèlent au moins SCOkil.de churbon nedevroct demander do carte qu'aprósépuisement de leur provision.

B'éïiileJournée haoraise. — La Journée havraise a rap¬porto ». lil, villa l,s semrae dó 558 fr. ÏS, se coïq-posant comma suit : vento des insignes, 468 23 ;veote des billets de tombola, tCO fr. (ia venle secontinue).Gette somme a étö obtenue grace au dévoue-ment de nos icstituteurs et institulrices ainsi quede dos habitueli s quêïeuses, auxquela nousadressons les remerciemeats lts plus chaleureuxde radm.nistralion. Merci 1 encore aux généreuxdonataires.Declaration pour te carnet de charbon. — Lesfamilies üesiieuses d'obtenir du enarbon l'hiverproehain soat prices de prendre a Ia Mairie unefeuille de declaration pour io carnet de chirbon,de 13 houres a 18 heures, tons los jours ds celiesemaine, a parlir du mercredi 22 jusqu'au samedi23 aoüt inclusivement. Toutes ces déclarationsseront rapportées 4 la Mairie jusqu'au mardi 28aoüt. a 18 heures, dernier délai. ii n'en sera plusd&ivré aprés ceite date.

Gravilie-Sainfe-HonorineCarnets de Charbon — Des ireprimés de décla-rstious peraiettant i'établissement des carnets decharoon sont déposós a la mairie de Gravilie, oüles déclarations devront êlro faites, car dés lemois proehain, persoime ne pourra obtenir decharbon sans carnet.Serolcs des Eaux — Pour prise d'abonné, la conduHe auuientatii lo boulevard Sadi-Garnot depuisl'usiue Buady jusqu'a la rus des Chantiers seral'erméa aujourl'nui mardi, a parlir de 11 hsures etpendant quelqurts heures.

Iff. A. MARÊCAl, son éponx, et ses Enfants ;M et IB" A. fORGELLE et teurs Enfants : Al. AlF0R6ELLE, son f ére ; ff" oeaee FARIDE et sesEnfants ; M" eeuoe ERWISSE ; ld. GeorgesEHAUSSE et ses Enfants ; M" eeuoe LousERIKISSE; IB et IB" F LESAINTet teurs Enfants .la Familfe et les Amis, ont la douleur de vaasfaire pari du dècès iafeladameHé!è4ie-Henriet{&RIARÉCAL

Nèo FORGELLEdécédée Ie 19 aoüt, 4 4 heures 1/2 du maiin,dans sa 38°' année.Et vous prient de bien vouloir assisler a sesconvoi et inhumation qui «uront lieu ie mer¬credi 22 aoüt, a buit beurss prêcises du matin.On se réuaira au domicile rnorluaire, 106,rueduLyeée.

PfiHSisstKf it Sip :»sa1st!Son solcil s'est coucbé avant la fia da jour !

Jer. ky, 9.II ne sera pas enveyé de lettres d'invitation.ls présent avis en tenant lieu.

AVIS01VERS

TIRADES FIRIAPJCSERSjDut 4fO Aoüt 1917

"VIII© de ParisEmprunt 1910

Le numéro 161,586 est remboursé par 100,000traces.Le numéro 99,784 est remboursé par lo,000frases.58 aulres numéros gsguenl chaeun 1,000 francs.

ÖLYIPIA14jr,Ei-Urise

L'HONHEÜRÖESJELFSInterprété par M. AïnsieyLE PÈRE ADOPTIF

DramaAuprès de ua BlondeG mêdie comiquePathé et Harry Journal

Aujourd'hui, SB©ii»é©

GAUMONTLE MARTYREde Miss Cavell

(gcmmumcaiicns§ivsrsesCarno! dc chaehon. — Aris. — ïl est rappeléque des feuiiles pour les déelarations roiativei al'ètablissemenl du carnet de chirbon sodI 4 ladisposition du public dans toutes les sections depolice, aiosi qu'au bureau du ravilailiement, al'Hötel de Ville.Les person nes qui possèdent actuellement unequanlité de charbon égale ou supérieure a SCOkg.,qu'elle qu'eu soit la quaiilé, ne devront pas sous-crire de declaration. Elles ne nourront le faireque lorsqna ce slock sera descehdu au-desaoas decetle qusnlilé.Le dernier délai pour Ia récc-plion de ces decla¬rations es, lixó au samedi.2ö courant. Celles quiseraient remises aprés cetle date ne seraient plusvalables qu'a parlir du mois d'ociobrc.

LASTCONDENSELACTEE

NESTLELA MARQUE PHÉFÉREE,

ÉTATCIVILDUHAVREKSISSAVCES

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M et Mu' Henri BAUTIER, ses parents ;Af. Léon GAUTIER, actuellement au front,son frè e;At et M" Georges GAUTIER et teurs Enfants ;IS. et IB" Wlil, am GAUTIER et leur fitte;Af'" oeuoe DËHA/S et ses Enfants ; Td" eeuoeTHIEULLENT nêe DËHA/S et sa Fitie; ffl. et Al'"Auguste DËHA/S et teurs Enfants : M" oeuoeAWdéric QUERTfERei ses Enfants,Se» <»ne e-,. tantes, e-mtios et cousinos :Le Personnel de la Msison Dttfay et Gigandet.Ont la douleurde vous faire part de !a pertecrueile qu'ils vienneat d'éprouver en la per-sonne do

fflonsisur Henri GAUTIEREmployé de Commerce

décédé Ie 19 aoüt 1917, a 3 heures du matin,dans sa 26* année, muni de3 saerements doi'Egiise,Et vous prient da bien vouloir assisler ases coavoi, service et inhumation, qui aurontlieu te mercredi 22 courant, a dix heures dnmatin, en l'êglise Saint-Michel, sa paroisse.Oa se réunira au domicile, rnorluaire, 40,rue de Montiviliiers.

frit!BittiCBfierps li leaItee!Suivantli volontèdu dêftmt, on est prié deu'erwoyer ni fl'ursni eouronaes.II ne sera pas envoyé de lettres ó'in-vitation, lo présent avis en tenant lieu.

Selon la valonlé d>,naturelles seront seuies .

la dèfunte, lessroat cceeptées.

flurs

(63iSE,

Al Eugene LESAUVAGE, ses Enfants, et teutela Familie,Remereient ies pertonnes qui ont bien vouln«siisies- aux eonvoi, servise et inhumation de j

Madame Eugène LESAUVAGEnée Marie - Josephine LEMOINE

blinc&isseus4!

Les Families LE BRETON, G'LLET, P/COT,B/LLARD, PERRONNET,MM. VIftNOT et H SIX,Remereient las nerseaues qui ont biee vouluassistir aux convoi, service et inhumation de

MonsieurGustave-Augu.sssLEBEET0NFoude de ponwirs de la SLaison D. Virnot fils

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Messieurs les Sociétaires sont prlés d'assis-ler a l inhumation deMonsieur Henri GAUTIERAtembre actif de la Sociélé

Qui aura lieu le mercredi 23 courant, 4 dixheures du matin.Oa se réunira au domicile rnorluaire, 40, rusfle Montiviliiers.

Aox Slai-ins du Cominercrf— Une rêunionCorporative aura licu le mercredi 21 aoüt, 4 sixheures du soir, dans Ie prêau de i'Ecoie rue Jean-JJacó.MM, Rivelli, secrétaire général de Ia FédérationNationale ; lléaud, secrétaire général des marinsde Marseille : Lo Luron el Monlngoe, des marinsflu Havre, traiteront de l'entrevue des armateurset marins du commerce, a« sujet des salaires desmarins.Tous les marins du commerceCel4e réunion.

sont convlês 4

Ëclaireurs Unionisten. — Réunion trésJmpor ante mercredi soir, au local de i'Union, a8h. 3/4. Présencs indispensable.Les 1Eclaireurs prenant part au camping de Ro-Serville devront se faire inscrire avant jeudi soir.

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Max BEGOUENDEMEAUX, viejire de Sanvic ■M i'Abbó Philippe BEGOUENDEMEAUX; MM.Henri et Michel BEGOUENDEMEAUX; M. FrédêricSAGLIO,lii-ulcasnt an 36»regiment d'inf inlrrietL^"r\,.FSé4érl!1 SMt-'O ; Af"- Alix BEGOUENDEMEAUX\ M. Lcarent 6tAfu- GenevièoeBEGOUEN-

Mt"llle, Jacqueline et FrancoiseBcGOUENDEMEAUX; M. Henry et AP'• Marie-

ÏPSlTr,Smacm'"" mlE'Vous prieat d'assistor au service qui seraeéiébré en l'égiise Saint-Michel, le 22 aoüt,a neuf heures, pour le repos de i'ame du

LieutenantdeVaisseauJeanBEGOUEH-DEMEAÜXCkevetier de la Légion d'HenneurMéduillé du Maroo el d'AgadirCitt a l'Ordre de l'Armee

mort pqur Ia Franee, 4 F4go do 28 ans, 4 bordduAorpüleur roumaio Zmeul, sombré prés deSulma (Bouches du Danube), le 16 avrii 1917.

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Monsieur Emile PAUMELLE'ep besoTi's- frère, onele, cousin et ami,décédé a Hondaur le 13 noüt 1917, dans sa 53«•nnée.L'lnhumaUao n ea lieu é Honflear.

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AYENDRE't* t VlLl.O.V,'route du Harre a Monlivilliers,Ij pieces, jardin et verger,4.000 m. c.S'adresser 4 M. REL4HAYE,37, rue Joinville, de 6 h. 4 7 h.Ie soir. V.Ma »— (8)87)

BELLEPROPBÏÉTÉavenöreenoirens du Haore, sur ligr.e de tramwayPavilion ïModeftio^hsuffsgC Cen¬tral, jirdia dagrémen', jardia potsger, peii;bwiase, 4,0u0 metres de sup -riic e Libre desuite. prix ; 40,000 fr.S'aSresser on l'Elude de M* E. HÊTRAI,ancien noiaire, 6, rue Ed uardlarue,I^éUgO. (0238

HavreIniprirnerle flu journal Le Harm%5, rue Fost eaette.

L'A dmimstrateur-Détegué-Gérant: O. RAJVDOUET

Po par Nous, if atre ie ta Ville du Havre, pmrla legalisationdelasignature0. RANDOLET».dfposeeqyQontrt