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Economie & Marchés Logement à Paris : quatre décennies de performances Economie & Marchés Crise économique et recomposition du paysage immobilier Métier & Etude Etude IFOP/CERENICIMO : la retraite, les solutions à envisager Cerinews MARS / AVRIL 2013 L’Epargne Immobilière par Quelle politique du logement en période de crise ? Par B. APPARU

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Page 1: Par B. APPARU - cerenicimo.fr · et pour les Français, qu’il s’agisse de se loger ou de se constituer un revenu complémentaire (pour les retraités notamment). C’est en effet

Economie & Marchés

Logement à Paris : quatre décennies de performances

Economie & Marchés

Crise économique et recomposition du paysage immobilier

Métier & Etude

Etude IFOP/CERENICIMO : la retraite, les solutions à envisager

CerinewsMars / avril 2013 L’Epargne Immobilière par

Quelle politique du logement en période de crise ? Par B. APPARU

Page 2: Par B. APPARU - cerenicimo.fr · et pour les Français, qu’il s’agisse de se loger ou de se constituer un revenu complémentaire (pour les retraités notamment). C’est en effet
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Actualité & Rendez-vous

ActualitéRetour sur les évènements du trimestreRendez-vous

P. 27P. 28P. 29

EditoSommaire

Par Benjamin NICAISE

Président de CERENICIMO

Les informations ou photographies figurant dans ce document vous sont communiquées à titre d’information et n’ont pas valeur contractuelle - Crédits photos : Fotolia - V. Joncheray - Manu Molle - OT MenuiresImages de synthèse : Images Créations - mars 2013.

Focus Produit

« La Perle de l’Océan », interview de Serge Blanco P. 14

Métier & EtudeEtude IFOP/CERENICIMO : la retraite, les solutions à envisager

P. 12

Compte-rendu du Comité Consultatif Stratégique du 13 février 2013

Zoom

P. 30

Economie & MarchésQuelle politique de logement en période de crise ?Logement à Paris : quatre décennies de performancesCrise économique et recomposition du paysage immobilier

P. 4P. 6

P. 10

Catalogue Produits

Résidences de TourismeRésidences AffairesRésidences EHPADRésidences SeniorsRésidences Dispositif DuflotOpportunités revente CERENICIMO ASSET Suivi des Acquisitions

P. 16P. 18P. 19P. 20P. 21P. 23P. 24

CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 3

Au plan économique, les raisons de se réjouir sont, il faut bien l’avouer,

peu nombreuses. La France va connaître en 2013 une croissance quasi-

nulle, le chômage vient de franchir de nouveaux records avec 11 %

d’inactifs, les finances publiques continuent à être affectées par un

profond déséquilibre et les orientations prises ne semblent pas de nature

à améliorer la situation à court terme.

Notre pays continue de plus à vivre au dessus de ses moyens : le déficit

budgétaire s’imposant en effet comme une habitude de gestion et

rendant ainsi le respect de l’objectif de 3 % de déficit fixé par les traités

européens totalement impossible.

En matière budgétaire, un chiffre sonne comme une sentence : l’évolution

du ratio dette/PIB de la France et de l’Allemagne. Identique pour les

deux états à hauteur de 82 % en 2010, il suit depuis des trajectoires

opposées. Nos voisins sont en effet parvenus à une réduction à hauteur

de 78 % alors que nous poursuivons quant à nous l’escalade pour

atteindre 95 % en 2014.

Seuls les politiques semblent ignorer cette réalité affichant un déni

incompréhensible. Quand l’heure devrait être à la gestion de l’urgence,

une énergie colossale est développée sur des sujets il est vrai, intéressants

(rythmes scolaires, hausse de la fiscalité du diesel…) mais mineurs eu

égard à la situation économique et sociale de notre pays.

Un mot résume malheureusement notre actualité : la crise. Chacun de

nous doit, dès lors, à titre individuel, composer avec cette réalité et

l’intégrer dans ses arbitrages patrimoniaux.

Nous avons ainsi souhaité vous accompagner dans cette démarche en

vous proposant, dans ce numéro, une analyse du support immobilier en

période de crise. Une conclusion s’impose, l’actif immobilier combine

de nombreux atouts : résilience, performances financières, résistance

à l’inflation et accessibilité avec des taux d’emprunt inférieurs aux

rendements des investissements. En un mot : un indispensable des

portefeuilles de vos clients.

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celle des mises en chantier. Nous nous retrouvons aujourd’hui dans

une situation quasi similaire et il nous faut donc relancer la dynamique et

préserver le secteur de l’immobilier. Pour cela, le Gouvernement doit se

montrer réactif et pragmatique et ce, par des outils incitatifs, mais surtout,

par la mise en place d’une politique globale en faveur de la construction.

Contrairement aux apparences, immobilier et conjoncture économique

ont des relations pour le moins ambivalentes. Il n’y a pas, à l’évidence, de

lien systématique de cause à effet. Pourtant, il ne faut pas oublier que le

logement représente un enjeu économique considérable. Car relancer

l’immobilier, c’est aussi sauvegarder des emplois, un logement construit

représentant l’équivalent de 1,5 emploi.

A titre d’exemple, le plan de relance que nous avions lancé dès 2008 avait

permis de sauver près de 60 000 emplois dans le secteur de l’immobilier

Nous traversons aujourd’hui une période de crise qui n’épargne pas le

secteur de l’immobilier. Sa fragilité se traduit notamment par la chute de la

construction : pour l’année 2012, la production était de 345 000 contre

435 000 en 2011. Elle sera probablement en dessous des 300 000

logements pour cette année 2013.

Soutenir et préserver le secteur du logement

Après la crise de 2008, nous avons rapidement disposé d’une

construction dynamique grâce notamment aux effets du plan de relance.

Les premiers effets de cette dynamique, à l’époque, se sont retrouvés

dans l’augmentation des permis de construire et, dans son sillage, sur

Quelle politique de logement en période de crise ?

Par Benoist APPARU

Député de la Marne, ancien Ministre chargé du Logement

Economie & Marchés

4 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013

Page 5: Par B. APPARU - cerenicimo.fr · et pour les Français, qu’il s’agisse de se loger ou de se constituer un revenu complémentaire (pour les retraités notamment). C’est en effet

et du bâtiment ! Rappelons d’ailleurs que le secteur du logement a été un

des premiers postes de dépense de l’Etat : l’effort de la Nation en faveur

du logement ayan atteint près de 40 milliards d’euros en 2011, cela en

faveur des producteurs comme des consommateurs.

Un besoin spécifique en logement : de nombreux enjeux et des défis

Mais l’immobilier ne peut se penser qu’à un seul niveau. Le logement

n’est pas un bien comme les autres. Derrière tous les équilibres macro-

économiques, derrière tous les dispositifs, n’oublions jamais qu’il y a des

gens. Le logement, la maison, c’est la particule élémentaire de nos vies,

familiales, sociales et professionnelles, un besoin partagé par tous ; une

aspiration légitime de chacun.

Parce que le marché du logement est un marché atypique, il est

indispensable de prendre en compte la dynamique des territoires, de

densifier nos villes pour améliorer les possibilités de construction sur

l’existant, tout en luttant contre l’étalement urbain. Notre mode de

vie, notre société, connait des changements profonds et la politique du

logement doit s’y adapter.

Construire pour tous, oui, mais construire des logements qui répondent

aux réalités sociales et familiales de notre société. Notre monde change, les

attentes des Français évoluent et croissent. Mettre en place une politique

d’envergure dans le domaine de la construction est indispensable, et

cela doit se faire en accompagnant ces changements et en cherchant à

répondre aux exigences nouvelles de nos concitoyens. Afin de répondre

à ces demandes, le secteur de l’immobilier et l’Etat doivent se montrer

ambitieux et relever de nombreux défis. Notamment pour accompagner

les efforts de construction dans tous les territoires et les développer dans

les zones tendues, là où les besoins sont les plus prégnants. Au-delà de

surmonter la crise, il s’agit de rééquilibrer la construction.

Reconnaître qu’il faut construire davantage, c’est accepter l’aide de

tous les acteurs, mobiliser tous les leviers pour y arriver. Comme je le

mentionnais, cela peut passer par des mesures incitatives. L’investissement

locatif en est une. Ces dispositifs ont un impact positif sur le marché du

logement à court terme, ils permettent de soutenir la construction et

nous en avons aujourd’hui besoin. Nous devons soutenir l’investissement

dans le domaine de l’immobilier.

Surtout, la réalisation de tous les actes de construction doit être facilitée.

Mais comment construire lorsque le foncier disponible manque ?

La mobilisation du foncier doit donc être un des piliers de la politique du

logement de notre pays. Mieux utiliser l’espace implique également une

prise en compte de la nécessité de restreindre les freins qui bloquent

souvent un projet.

Il ne faut pas avoir peur de se poser les bonnes questions sur un sujet

aussi important et sur un secteur aussi essentiel pour notre économie

et pour les Français, qu’il s’agisse de se loger ou de se constituer un

revenu complémentaire (pour les retraités notamment).

C’est en effet avec des mesures fortes que nous permettrons au

secteur de se projeter dans l’avenir avec un peu plus de confiance.

CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 5

estime à 500 000 le nombre de logements à construire, dont

150 000 à vocation sociale.

Mais l’immobilier est bien plus encore. Il est aussi la réponse à

un autre besoin impérieux : celui de se constituer des revenus

complémentaires, notamment en vue de la préparation à

la retraite. Au-delà de ses performances reconnues, il

dispose là encore d’un atout unique : sa résilience. Si

sa valeur patrimoniale peut être passagèrement

impactée en cas de crise, lorsque la situation se

normalise, elle progresse de nouveau. De plus,

pendant tout ce temps, le bien continue à

produire des revenus. Il s’impose donc

comme un support d’investissement

particulièrement opportun, à

privilégier notamment en période

de crise.

Plus qu’un support d’investissement, l’immobilier est la réponse à un

besoin fondamental.

Cette composante peut être illustrée par la Pyramide de Maslow, un

modèle qui distingue cinq grandes catégories de besoins et considère

que le consommateur passe à un besoin d’ordre supérieur quand

le besoin de niveau immédiatement inférieur est satisfait.

Le logement, situé à la base de la pyramide, au rang

des besoins de sécurité, s’impose ainsi comme une

nécessité et une charge budgétaire incontournable

pour tout un chacun.

A ce titre, notre pays connaît encore

un profond déséquilibre entre offre

et demande. Rappelons ainsi que

l’actuelle équipe gouvernementale

L’immobilier, un actif "hors catégorie"Un toit sur nos têtes

Des revenus complémentaires pour nos retraites

Accomplissementpersonnel

Estime de soi

Besoins d’appartenanceet de liens sociaux

Besoins de sécurité

Besoins physiologiques

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Economie & Marchés

Le logement est le premier actif patrimonial des Français. Qu’il s’agisse

de la résidence principale ou d’un investissement locatif, ils le considèrent

comme un placement. En toute rigueur, c’est un placement de type

Si, de 2002 à 2012, le logement en région parisienne a été le meilleur

des placements – excepté l’or –, entre 1972 et 2002 son rendement

n’a pas toujours été en première position. Pourtant, sur les quarante

dernières années, force est de reconnaître que l’attachement des

Français à la pierre est légitimé par sa performance.

Article publié dans Constructif N° 34 (mars 2013), revue éditée par la Fédération Française du Bâtiment et disponible intégralement sur www.constructif.fr

Par Guy MARTY

Directeur général de l’Institut de l’Epargne Immobilière et Foncière (IEIF), Paris

assez particulier, puisqu’il intègre des considérations liées à la propriété

d’un bien et à la sécurité qui en découle, et qu’il est généralement

l’objet d’un attachement affectif. De plus, il est souvent acquis à l’aide

d’un crédit, et la décision d’acheter un logement repose parfois sur la

simple comparaison entre une mensualité de remboursement et un

loyer, ce qui n’est pas le nec plus ultra d’un raisonnement strictement

financier.

Tous ces aspects en font un placement en quelque sorte « hors

catégorie » par rapport à des produits d’épargne plus purs – au sens

d’un objectif de rentabilité – que sont l’assurance-vie, les actions ou

l’or. Mais rien n’interdit de comparer les performances ! Nous allons

reprendre les résultats d’une étude régulière de l’Institut de l’Epargne

Immobilière et Foncière (IEIF) qui compare les principaux placements

Logement à Paris :quatre décennies de performances

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Page 7: Par B. APPARU - cerenicimo.fr · et pour les Français, qu’il s’agisse de se loger ou de se constituer un revenu complémentaire (pour les retraités notamment). C’est en effet

Un bon schéma vaut mieux qu’un long discours : le graphique 1, qui

présente les dix années qui viennent de s’écouler, avec le terrible

séisme de 2008, en est un parfait exemple.

À l’exception de l’or – qui a pratiquement doublé depuis 1984 –, le

logement était le placement par excellence. Un portefeuille d’obligations

a perdu la moitié de sa « valeur logement », et un portefeuille actions,

40 %. Notons néanmoins que tous ont fait mieux que l’inflation, ce qui

veut dire qu’il n’y a pas eu à proprement parler de mauvais placement

sur la période.

1992-2012 : des hauts et des bas

Le graphique 2 montre que de 1992 à 1999, ou même à 2000, et

encore dans une moindre mesure à 2001, la Bourse était largement

gagnante. Mais qui a su sortir à temps, avant l’éclatement de la bulle

Internet ? Pour ceux qui ont gardé leur portefeuille actions sur toute la

période, la performance a été légèrement inférieure au logement. Les

obligations ont perdu sur ces vingt années la moitié de leur « valeur

logement » et, là encore, tout placement était meilleur que l’inflation.

1982-2012 : vive la Bourse !

sur une longue période – depuis 1972 exactement – en examinant leurs

comportements spécifiques au fil des environnements économiques et

monétaires qui se succèdent.

En revanche, nous allons adopter ici une approche peut-être

surprenante mais instructive. Plutôt que de comparer les placements

en pourcentages de rentabilité, ce que nous avons déjà largement

publié ailleurs, nous allons nous livrer à un exercice inhabituel. Puisque

le logement est le premier investissement des Français, nous allons le

prendre comme référence, comme point fixe, et examiner ce que les

autres placements ont fait par rapport à lui…

Quelques précisions de méthode

Pour les besoins des séries longues, nous nous sommes limités au

logement parisien, ce qui est rendu possible par les données de la

chambre des notaires de Paris Île-de-France, de l’Observatoire des

loyers de l’agglomération parisienne (Olap) et par les travaux de Jacques

Friggit. Les graphiques seraient quelque peu modifiés si nous avions pu

disposer de séries longues sur d’autres grandes villes de France, mais

pas fondamentalement.

Nous avons ainsi calculé la performance du logement – ce qui est

théorique mais répond aux besoins de la comparaison – en supposant

que le loyer (réel ou fictif pour un propriétaire) était réinvesti, après

avoir procédé à un abattement de 25 % pour tenir compte des charges

et des travaux. De même pour les actions et les obligations, nous avons

réinvesti les dividendes en revenus.

Pour le placement en obligations, qui constitue d’ailleurs un bon

« proxy » de l’assurance-vie, nous avons retenu la performance

moyenne des sicav obligataires françaises. La fiscalité n’a pas été prise

en compte. Pour comparer, il fallait donc simplifier. Mais cette limite

apportée à la précision des résultats est largement estompée, comme

nous allons le voir, par l’ampleur des écarts entre placements.

2002-2012 : vive le logement parisien !

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CONSTRUCTIF

Le graphique 2 montre que de 1992 à 1999, ou même à 2000, et encore dans une moindre mesure à 2001, la Bourse était largement gagnante. Mais qui a su sortir à temps, avant l’éclatement de la bulle Internet ? Pour ceux qui ont gardé leur portefeuille actions sur toute la période, la performance a été légèrement inférieure au logement.Les obligations ont perdu sur ces vingt années la

placement était meilleur que l’inflation.

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Au début des années 1980, il valait mieux passer du côté des actions – surtout si l’on était capable de sortir en 1999 ou 2000. (Mais, à nouveau, qui a eu assez d’intelligence ou de chance pour cela ?)Les obligations ont fait un parcours inégal, équi-valant au logement de 1982 à 1998 (pendant la longue phase de baisse des taux), puis ont connu une hémorragie importante.

sur la période, malgré sa récente remontée, du fait de sa chute entre 1982 et 1992, qu’il n’a pas encore rattrapée.Mais, et cela mérite d’être précisé à nouveau : tous les placements ont fait mieux que l’inflation.

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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations

Source : IEIF.

Le graphique 3 est instructif au regard des place-ments sur la période et de leurs mouvements inter-médiaires, mais il a moins de signification pratique en ce qui concerne des logements ou des porte-feuilles actions effectivement détenus.

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Un bon schéma vaut mieux qu’un long discours : le graphique 1, qui présente les dix années qui viennent de s’écouler, avec le terrible séisme de 2008, en est un parfait exemple.

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Source : IEIF.

À l’exception de l’or – qui a pratiquement doublé depuis 1984 –, le logement était le placement par excellence. Un portefeuille d’obligations a perdu la

actions, 40 %. Notons néanmoins que tous ont fait mieux que l’inflation, ce qui veut dire qu’il n’y a pas eu à proprement parler de mauvais placement sur la période.

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Le graphique 2 montre que de 1992 à 1999, ou même à 2000, et encore dans une moindre mesure à 2001, la Bourse était largement gagnante. Mais qui a su sortir à temps, avant l’éclatement de la bulle Internet ? Pour ceux qui ont gardé leur portefeuille actions sur toute la période, la performance a été légèrement inférieure au logement.Les obligations ont perdu sur ces vingt années la

placement était meilleur que l’inflation.

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Au début des années 1980, il valait mieux passer du côté des actions – surtout si l’on était capable de sortir en 1999 ou 2000. (Mais, à nouveau, qui a eu assez d’intelligence ou de chance pour cela ?)Les obligations ont fait un parcours inégal, équi-valant au logement de 1982 à 1998 (pendant la longue phase de baisse des taux), puis ont connu une hémorragie importante.

sur la période, malgré sa récente remontée, du fait de sa chute entre 1982 et 1992, qu’il n’a pas encore rattrapée.Mais, et cela mérite d’être précisé à nouveau : tous les placements ont fait mieux que l’inflation.

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Source : IEIF.

Le graphique 3 est instructif au regard des place-ments sur la période et de leurs mouvements inter-médiaires, mais il a moins de signification pratique en ce qui concerne des logements ou des porte-feuilles actions effectivement détenus.

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Un bon schéma vaut mieux qu’un long discours : le graphique 1, qui présente les dix années qui viennent de s’écouler, avec le terrible séisme de 2008, en est un parfait exemple.

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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations

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Source : IEIF.

À l’exception de l’or – qui a pratiquement doublé depuis 1984 –, le logement était le placement par excellence. Un portefeuille d’obligations a perdu la

actions, 40 %. Notons néanmoins que tous ont fait mieux que l’inflation, ce qui veut dire qu’il n’y a pas eu à proprement parler de mauvais placement sur la période.

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tyGraph.1 Performances par rapport au logement sur dix ans

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Le graphique 2 montre que de 1992 à 1999, ou même à 2000, et encore dans une moindre mesure à 2001, la Bourse était largement gagnante. Mais qui a su sortir à temps, avant l’éclatement de la bulle Internet ? Pour ceux qui ont gardé leur portefeuille actions sur toute la période, la performance a été légèrement inférieure au logement.Les obligations ont perdu sur ces vingt années la

placement était meilleur que l’inflation.

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Au début des années 1980, il valait mieux passer du côté des actions – surtout si l’on était capable de sortir en 1999 ou 2000. (Mais, à nouveau, qui a eu assez d’intelligence ou de chance pour cela ?)Les obligations ont fait un parcours inégal, équi-valant au logement de 1982 à 1998 (pendant la longue phase de baisse des taux), puis ont connu une hémorragie importante.

sur la période, malgré sa récente remontée, du fait de sa chute entre 1982 et 1992, qu’il n’a pas encore rattrapée.Mais, et cela mérite d’être précisé à nouveau : tous les placements ont fait mieux que l’inflation.

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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations

Source : IEIF.

Le graphique 3 est instructif au regard des place-ments sur la période et de leurs mouvements inter-médiaires, mais il a moins de signification pratique en ce qui concerne des logements ou des porte-feuilles actions effectivement détenus.

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Un bon schéma vaut mieux qu’un long discours : le graphique 1, qui présente les dix années qui viennent de s’écouler, avec le terrible séisme de 2008, en est un parfait exemple.

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Source : IEIF.

À l’exception de l’or – qui a pratiquement doublé depuis 1984 –, le logement était le placement par excellence. Un portefeuille d’obligations a perdu la

actions, 40 %. Notons néanmoins que tous ont fait mieux que l’inflation, ce qui veut dire qu’il n’y a pas eu à proprement parler de mauvais placement sur la période.

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Source : IEIF.

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Le graphique 2 montre que de 1992 à 1999, ou même à 2000, et encore dans une moindre mesure à 2001, la Bourse était largement gagnante. Mais qui a su sortir à temps, avant l’éclatement de la bulle Internet ? Pour ceux qui ont gardé leur portefeuille actions sur toute la période, la performance a été légèrement inférieure au logement.Les obligations ont perdu sur ces vingt années la

placement était meilleur que l’inflation.

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Au début des années 1980, il valait mieux passer du côté des actions – surtout si l’on était capable de sortir en 1999 ou 2000. (Mais, à nouveau, qui a eu assez d’intelligence ou de chance pour cela ?)Les obligations ont fait un parcours inégal, équi-valant au logement de 1982 à 1998 (pendant la longue phase de baisse des taux), puis ont connu une hémorragie importante.

sur la période, malgré sa récente remontée, du fait de sa chute entre 1982 et 1992, qu’il n’a pas encore rattrapée.Mais, et cela mérite d’être précisé à nouveau : tous les placements ont fait mieux que l’inflation.

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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations

Source : IEIF.

Le graphique 3 est instructif au regard des place-ments sur la période et de leurs mouvements inter-médiaires, mais il a moins de signification pratique en ce qui concerne des logements ou des porte-feuilles actions effectivement détenus.

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Un bon schéma vaut mieux qu’un long discours : le graphique 1, qui présente les dix années qui viennent de s’écouler, avec le terrible séisme de 2008, en est un parfait exemple.

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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations

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Source : IEIF.

À l’exception de l’or – qui a pratiquement doublé depuis 1984 –, le logement était le placement par excellence. Un portefeuille d’obligations a perdu la

actions, 40 %. Notons néanmoins que tous ont fait mieux que l’inflation, ce qui veut dire qu’il n’y a pas eu à proprement parler de mauvais placement sur la période.

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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations

Source : IEIF.

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Graph.2 Performances par rapport au logement sur vingt ans59

CONSTRUCTIF

Le graphique 2 montre que de 1992 à 1999, ou même à 2000, et encore dans une moindre mesure à 2001, la Bourse était largement gagnante. Mais qui a su sortir à temps, avant l’éclatement de la bulle Internet ? Pour ceux qui ont gardé leur portefeuille actions sur toute la période, la performance a été légèrement inférieure au logement.Les obligations ont perdu sur ces vingt années la

placement était meilleur que l’inflation.

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Au début des années 1980, il valait mieux passer du côté des actions – surtout si l’on était capable de sortir en 1999 ou 2000. (Mais, à nouveau, qui a eu assez d’intelligence ou de chance pour cela ?)Les obligations ont fait un parcours inégal, équi-valant au logement de 1982 à 1998 (pendant la longue phase de baisse des taux), puis ont connu une hémorragie importante.

sur la période, malgré sa récente remontée, du fait de sa chute entre 1982 et 1992, qu’il n’a pas encore rattrapée.Mais, et cela mérite d’être précisé à nouveau : tous les placements ont fait mieux que l’inflation.

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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations

Source : IEIF.

Le graphique 3 est instructif au regard des place-ments sur la période et de leurs mouvements inter-médiaires, mais il a moins de signification pratique en ce qui concerne des logements ou des porte-feuilles actions effectivement détenus.

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Un bon schéma vaut mieux qu’un long discours : le graphique 1, qui présente les dix années qui viennent de s’écouler, avec le terrible séisme de 2008, en est un parfait exemple.

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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations

100

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125

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2002

2004

2006

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2010

2012

Source : IEIF.

À l’exception de l’or – qui a pratiquement doublé depuis 1984 –, le logement était le placement par excellence. Un portefeuille d’obligations a perdu la

actions, 40 %. Notons néanmoins que tous ont fait mieux que l’inflation, ce qui veut dire qu’il n’y a pas eu à proprement parler de mauvais placement sur la période.

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100

81

26

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100125150175200225250275300325350375400

1992

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2008

2010

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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations

Source : IEIF.

Guy

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59

CONSTRUCTIF

Le graphique 2 montre que de 1992 à 1999, ou même à 2000, et encore dans une moindre mesure à 2001, la Bourse était largement gagnante. Mais qui a su sortir à temps, avant l’éclatement de la bulle Internet ? Pour ceux qui ont gardé leur portefeuille actions sur toute la période, la performance a été légèrement inférieure au logement.Les obligations ont perdu sur ces vingt années la

placement était meilleur que l’inflation.

����������������������������

Au début des années 1980, il valait mieux passer du côté des actions – surtout si l’on était capable de sortir en 1999 ou 2000. (Mais, à nouveau, qui a eu assez d’intelligence ou de chance pour cela ?)Les obligations ont fait un parcours inégal, équi-valant au logement de 1982 à 1998 (pendant la longue phase de baisse des taux), puis ont connu une hémorragie importante.

sur la période, malgré sa récente remontée, du fait de sa chute entre 1982 et 1992, qu’il n’a pas encore rattrapée.Mais, et cela mérite d’être précisé à nouveau : tous les placements ont fait mieux que l’inflation.

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1998

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2002

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2012

Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations

Source : IEIF.

Le graphique 3 est instructif au regard des place-ments sur la période et de leurs mouvements inter-médiaires, mais il a moins de signification pratique en ce qui concerne des logements ou des porte-feuilles actions effectivement détenus.

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Un bon schéma vaut mieux qu’un long discours : le graphique 1, qui présente les dix années qui viennent de s’écouler, avec le terrible séisme de 2008, en est un parfait exemple.

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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations

100

61

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100

125

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2002

2004

2006

2008

2010

2012

Source : IEIF.

À l’exception de l’or – qui a pratiquement doublé depuis 1984 –, le logement était le placement par excellence. Un portefeuille d’obligations a perdu la

actions, 40 %. Notons néanmoins que tous ont fait mieux que l’inflation, ce qui veut dire qu’il n’y a pas eu à proprement parler de mauvais placement sur la période.

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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations

Source : IEIF.

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Graph.3 Performances par rapport au logement sur trente ans

CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 7

Page 8: Par B. APPARU - cerenicimo.fr · et pour les Français, qu’il s’agisse de se loger ou de se constituer un revenu complémentaire (pour les retraités notamment). C’est en effet

Au début des années 1980, il valait mieux passer du côté des actions

surtout si l’on était capable de sortir en 1999 ou 2000. Mais, à nouveau,

qui a eu assez d’intelligence ou de chance pour cela ?

Les obligations ont fait un parcours inégal, équivalant au logement de

1982 à 1998 (pendant la longue phase de baisse des taux), puis ont

connu une hémorragie importante. Malgré sa récente remontée, l’or a

perdu près de 90 % de sa « valeur logement » sur la période du fait de

sa chute entre 1982 et 1992 qu’il n’a pas encore rattrapée. Mais, et cela

mérite d’être précisé à nouveau : tous les placements ont fait mieux

que l’inflation.Le graphique 3 est instructif au regard des placements

sur la période et de leurs mouvements intermédiaires, mais il a moins

de signification pratique en ce qui concerne des logements ou des

portefeuilles actions effectivement détenus.

1972-2012 : le logement, encore

Le graphique 4 est encore plus éloigné des durées de détention des

différents placements, mais il ajoute un éclairage précieux sur les

mouvements de ces quarante dernières années, avec le choc pétrolier

de 1974 et une forte inflation jusqu’au début des années 1980, puis

la chute du mur de Berlin et la poussée de la finance sur fond de

mondialisation.

Bilan

Performances réelles ou virtuelles, à l’issue de ce panorama des résultats

sur quatre décennies, nous devons nous interroger sur le caractère

théorique ou pratique des chiffres présentés.

Il existe en effet une autre hiérarchie que celle des performances, à

savoir celle de l’adéquation entre les performances affichées par un

actif et la possibilité pour des investisseurs de réaliser ces mêmes

performances sur la même période.

Pour l’or, pas de problème, les chiffres publiés correspondent

rigoureusement aux résultats des investisseurs réels.

rarement sur quelques années, très exceptionnel-lement sur le long terme. Là encore, les organismes de placement collectif en valeurs mobilières (OPCVM) réduisent sensiblement l’écart, mais on sait qu’il subsiste un sérieux éventail de perfor-mances. Certaines sicav et certains fonds communs de placement (FCP) font durablement mieux que l’indice, d’autres moins. Les ordres de grandeur sont cependant préservés, et les performances boursières ont été assez typées : tristesse dans les années 1970, enthousiasme depuis, désespoir à partir de 2000 avant le rebond de ces quatre dernières années, pour que l’investisseur ait géné-ralement pu connaître des performances qui res-semblent aux grands mouvements des indices.

Au total, on peut penser que les particuliers re-trouvent assez bien leurs propres expériences dans les graphiques présentés.

Et maintenant ?

Une première lecture des quarante dernières années montre que le premier investissement des Français… leur a donné raison ! L’attachement à la pierre est ainsi légitimé, par exemple pour les 55 % des mé-nages qui étaient déjà propriétaires au début des années 2000, et qui ont été sur la dernière décennie bien mieux protégés qu’avec tout autre placement, à l’exception de l’or. Toute la question est de savoir si les courbes qui seront publiées dans dix ou vingt ans présenteront la même hiérarchie.Le logement est un actif d’utilité, mais aussi de ra-reté. Ce qu’il y a derrière la robustesse de ses per-formances, c’est un couple étonnant de démographie dynamique et de construction insuffisante. D’où un parcours qui est relativement anormal par rapport à l’actif d’efficacité que sont les actions : mais celles-ci reflètent par ailleurs dans leurs piètres perfor-mances la dureté des effets de la mondialisation sur l’économie française. Une anomalie pour une autre !Le niveau des prix et des loyers est un aspect essen-

-rait s’interroger sur les origines de cette situation, et sur des politiques du logement certes menées avec énergie et bonne volonté mais qui ont abouti à un blocage d’une telle absurdité économique. Nous n’entrerons pas ici dans ce débat.Toutefois, dans une optique de moyen ou long terme, on peut considérer que l’effort de construc-tion finira, tôt ou tard, par alléger la pression et réé-quilibrer le rapport entre l’offre et la demande. En incluant cette hypothèse, somme toute vraisem-blable, on peut sans trop de risques envisager pour l’avenir une remontée des actifs d’efficacité que sont les actions, ce qui serait un retour à l’équilibre. Mais ce même équilibre impliquerait aussi que le logement continue d’afficher des performances su-périeures aux obligations et à l’inflation.Rendez-vous en 2022 pour le graphique suivant ! �

1972-2012 : le logement, encore

Le graphique 4 est encore plus éloigné des durées de détention des différents placements, mais il ajoute un éclairage précieux sur les mouvements de ces quarante dernières années, avec le choc pétro-lier de 1974 et une forte inflation jusqu’au début des années 1980, puis la chute du mur de Berlin et la poussée de la finance sur fond de mondialisation.

GRAPHIQUE 4. PERFORMANCES PAR RAPPORT AU LOGEMENT SUR QUARANTE ANS

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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations

Source : IEIF.

Performances réelles ou virtuelles

À l’issue de ce panorama des résultats sur quatre décennies, nous devons nous interroger sur le carac-tère théorique ou pratique des chiffres présentés.Il existe en effet une autre hiérarchie que celle des performances, à savoir celle de l’adéquation entre les performances affichées par un actif et la possi-bilité pour des investisseurs de réaliser ces mêmes performances sur la même période.– Pour l’or, pas de problème, les chiffres publiés

correspondent rigoureusement aux résultats des investisseurs réels.

– Pour le logement, il y a naturellement des écarts selon la localisation et selon la qualité, mais les tendances ont la particularité d’être très homo-gènes, et l’évolution moyenne est assez fidèle aux performances de chacun.

– Les obligations, en revanche, peuvent susciter des différences. En ce qui concerne les investisseurs qui ont souscrit des sicav obligataires, on ne peut nier en effet qu’il y ait eu des écarts de perfor-mances entre les différentes sicav, mais ces écarts ont été suffisamment faibles pour que les résultats individuels soient assez proches de ceux publiés.

– La distorsion est plus grande pour les actions. -

ticuliers gagnent parfois pendant quelque temps,

59

CONSTRUCTIF

Le graphique 2 montre que de 1992 à 1999, ou même à 2000, et encore dans une moindre mesure à 2001, la Bourse était largement gagnante. Mais qui a su sortir à temps, avant l’éclatement de la bulle Internet ? Pour ceux qui ont gardé leur portefeuille actions sur toute la période, la performance a été légèrement inférieure au logement.Les obligations ont perdu sur ces vingt années la

placement était meilleur que l’inflation.

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Au début des années 1980, il valait mieux passer du côté des actions – surtout si l’on était capable de sortir en 1999 ou 2000. (Mais, à nouveau, qui a eu assez d’intelligence ou de chance pour cela ?)Les obligations ont fait un parcours inégal, équi-valant au logement de 1982 à 1998 (pendant la longue phase de baisse des taux), puis ont connu une hémorragie importante.

sur la période, malgré sa récente remontée, du fait de sa chute entre 1982 et 1992, qu’il n’a pas encore rattrapée.Mais, et cela mérite d’être précisé à nouveau : tous les placements ont fait mieux que l’inflation.

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1992

1994

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1998

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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations

Source : IEIF.

Le graphique 3 est instructif au regard des place-ments sur la période et de leurs mouvements inter-médiaires, mais il a moins de signification pratique en ce qui concerne des logements ou des porte-feuilles actions effectivement détenus.

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Un bon schéma vaut mieux qu’un long discours : le graphique 1, qui présente les dix années qui viennent de s’écouler, avec le terrible séisme de 2008, en est un parfait exemple.

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Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations

100

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Source : IEIF.

À l’exception de l’or – qui a pratiquement doublé depuis 1984 –, le logement était le placement par excellence. Un portefeuille d’obligations a perdu la

actions, 40 %. Notons néanmoins que tous ont fait mieux que l’inflation, ce qui veut dire qu’il n’y a pas eu à proprement parler de mauvais placement sur la période.

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100125150175200225250275300325350375400

1992

1994

1996

1998

2000

2002

2004

2006

2008

2010

2012

Logement Paris Actions françaises Inflation Or Obligations

Source : IEIF.

Guy

Mar

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Graph.4 Performances par rapport au logement sur quarante ans

Pour le logement, il y a naturellement des écarts selon la localisation

et selon la qualité, mais les tendances ont la particularité d’être très

homogènes, et l’évolution moyenne est assez fidèle aux performances

de chacun.

Les obligations, en revanche, peuvent susciter des différences. En ce

qui concerne les investisseurs qui ont souscrit des sicav obligataires, on

ne peut nier en effet qu’il y ait eu des écarts de performances entre les

différentes sicav, mais ces écarts ont été suffisamment faibles pour que

les résultats individuels soient assez proches de ceux publiés.

La distorsion est plus grande pour les actions. « Faire l’indice » est

un sport dans lequel les particuliers gagnent parfois pendant quelque

temps, rarement sur quelques années, très exceptionnellement sur le

long terme. Là encore, les organismes de placement collectif en valeurs

mobilières (OPCVM ) réduisent sensiblement l’écart, mais on sait

qu’il subsiste un sérieux éventail de performances. Certaines sicav et

certains fonds communs de placement (FCP ) font durablement mieux

que l’indice, d’autres moins. Les ordres de grandeur sont cependant

préservés, et les performances boursières ont été assez typées : tristesse

dans les années 1970, enthousiasme depuis, désespoir à partir de 2000

avant le rebond de ces quatre dernières années, pour que l’investisseur

ait généralement pu connaître des performances qui ressemblent aux

grands mouvements des indices. Au total, on peut penser que les

particuliers retrouvent assez bien leurs propres expériences dans les

graphiques présentés.

Et maintenant ?

Une première lecture des quarante dernières années montre que

le premier investissement des Français… leur a donné raison !

L’attachement à la pierre est ainsi légitimé comme en témoignent par

exemple les 55 % des ménages qui étaient déjà propriétaires au début

des années 2000 et qui ont été, sur la dernière décennie, bien mieux

protégés qu’avec tout autre placement, à l’exception de l’or. Toute la

question est de savoir si les courbes qui seront publiées dans dix ou

vingt ans présenteront la même hiérarchie.

Le logement est un actif d’utilité, mais aussi de rareté. Ce qu’il y a

derrière la robustesse de ses performances, c’est un couple étonnant

de démographie dynamique et de construction insuffisante. D’où un

parcours qui est relativement anormal par rapport à l’actif d’efficacité

que sont les actions, celles-ci reflètant, dans leurs piètres performances,

la dureté des effets de la mondialisation sur l’économie française. Une

anomalie pour une autre !

Le niveau des prix et des loyers est un aspect essentiel de la « crise »

actuelle du logement. On pourrait s’interroger sur les origines de cette

situation et sur des politiques du logement certes menées avec énergie

et bonne volonté mais qui ont abouti à un blocage d’une telle absurdité

économique.

Nous n’entrerons pas ici dans ce débat.

8 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013

Page 9: Par B. APPARU - cerenicimo.fr · et pour les Français, qu’il s’agisse de se loger ou de se constituer un revenu complémentaire (pour les retraités notamment). C’est en effet

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Economie & Marchés

Crise économique et recomposition du paysage immobilier

10 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013

Par Christine ROqUIER

Chargée de Missions - CERENICIMO

La crise économique que nous traversons est à l’origine d’une

recomposition profonde et probablement durable du paysage

immobilier. En voici quelques aspects.

Crise, immobilier et fiscalité : vers une nouvelle donne

Tout d’abord sur le terrain de la performance, les solutions d’hier ne

sont manifestement plus celles d’aujourd’hui.

Les difficultés macroéconomiques que notre pays traverse depuis

plusieurs années maintenant ont guidé nos dirigeants vers une

austérité budgétaire sans précédent. La Loi de Finances pour 2013

a en effet marqué le début d’une augmentation massive du poids de

la fiscalité : nouvelle tranche de l’IR, réforme de l’ISF, alignement de

la fiscalité du capital sur celle du travail… La liste est longue et les

sphères préservées de cette tendance peu nombreuses.

La conséquence est ainsi sans appel : s’il était par le passé possible -

quoique peu prudent - d’ignorer le poids de la fiscalité au moment

de réaliser un investissement, cela semble désormais totalement

suicidaire. Et nos concitoyens l’ont bien compris.

Selon l’enquête IFOP sur le comportement d’épargne des Français

réalisée début 2013 pour CERENICIMO, 75 % des répondants

intègrent le niveau d’imposition à l’analyse de la performance d’un

investissement.

Page 11: Par B. APPARU - cerenicimo.fr · et pour les Français, qu’il s’agisse de se loger ou de se constituer un revenu complémentaire (pour les retraités notamment). C’est en effet

Légende :

Avantage au dispositif Censi-Bouvard

Avantage au régime des amortissements classiques (LMNP)

CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 11

touché : celui des résidences services seniors.Si ce segment répond

à des besoins avérés, il impose une expertise et une technicité toute

particulière.

Une affaire de spécialistes

De manière générale, l’immobilier géré est une affaire de spécialistes.

Le bail commercial est un support technique qui exige une expertise

particulière. En la matière, le rappel des points de vigilance sonne

pour nous comme un leitmotiv :

• Expérience,savoir-faireetsurfacefinancièrede

l’exploitant

• Architecturejuridiqueetfiscale

• Cohérencedel’équationéconomique…

Seule une approche experte garantira alors la pérennité de

l’investissement.

Ainsi, en matière d’investissement immobilier, la crise introduit la

sortie de l’ère de la défiscalisation pour entrer dans celle de la non

fiscalisation.

Le LMNP, une oasis préservée du durcissement fiscal actuel

A la question posée plus haut, que faire au moment de choisir un actif

immobilier, une réponse s’impose : privilégier le statut de Loueur

en Meublé. A l’origine de la constitution d’une rente non fiscalisée,

il est un véritable rempart contre les réformes fiscales actuelles et

devient un indispensable des portefeuilles de vos clients. Il affiche

par ailleurs des rendements particulièrement attractifs qui finissent

d’emporter la conviction.

Crise et recomposition de l’offre immobilière : attention aux effets de mode.

Si les atouts du support meublé sont multiples, gare aux effets de

mode ! De nombreux opérateurs ont bien compris les atouts de

cet actif et entament, à ce titre, des reconversions plus ou moins

heureuses vers l’immobilier géré. On ne compte en effet plus le

nombre de projets allant dans ce sens et émergeant d’intervenants

novices en la matière. Un marché est d’ailleurs tout particulièrement

La fin de l’ère de la défiscalisation

Dès lors, que faire si l’on se préoccupe de la fiscalité au moment

d’investir ? Opter pour les niches fiscales ?

Malheureusement, elles ont subi un sort peu enviable. Les supports

proposés sous dispositif Duflot offrent, de manière générale,

des rendements limités et imposent de s’en tenir en la matière à

une démarche d’opportunité. Sur le terrain du dispositif Censi-

Bouvard, les conclusions ne sont guère plus réjouissantes. Cette

loi ne présente un véritable intérêt que pour une frange limitée

d’investisseurs : ceux affichant une TMI basse, comme l’illustre le

tableau ci-dessous :

Gain d’impôt théorique constaté après neutralisation d’une partie des revenus locatifs par l’imputation des amortissements sur les différentes durées. Montant total des amortissements imputés sur la durée désirée :

3,30 % x (1 - 10 % [d’amortissemnet terrain])x nombre d’années x (TMI + prélèvements sociaux)

Tranche Marginale d’imposition + prélèvements sociaux

0 +15,5 %

4,60 %

6,90 %

9,21 %

11,51 %

13,81 %

10 ans

15 ans

20 ans

25 ans

30 ans

14 % +15,5 %

8,76 %

13,14 %

17,52 %

21,90 %

26,28 %

41 % +15,5 %

16,78 %

25,17 %

33,56 %

41,95 %

50,34 %

5 % +15,5 %

6,09 %

9,13 %

12,17 %

15,22 %

18,27 %

30 % +15,5 %

13,51 %

20,27 %

27,03 %

33,78 %

40,54 %

45 % +15,5 %

17,97 %

26,95 %

35,94 %

44,92 %

53,91 %

11 %

11 %

A l’origine de la constitution d’une rente non fiscalisée, il est un véritable rempart contre les réformes fiscales actuelles et devient un indispensable des portefeuilles de vos clients.

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Métier & Etude

Etude IFOP/CERENICIMO : la retraite, les solutions à envisager

12 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013

Depuis de nombreux mois, les experts s’accordent à parler de

crise, constatant une croissance en berne et un taux de chômage

en hausse. Selon l’étude IFOP/CERENICIMO menée en 2013,

l’inquiétude persiste mais se double d’une prise de conscience : la

nécessité d’agir et d’anticiper sur le front patrimonial.

Il est urgent d’agir

Si pour plus de 80 % de nos concitoyens(1), les pensions de retraite

sont jugées insuffisantes et seront même à l’avenir inexistantes, il

apparait nécessaire pour près de 90 % d’entre eux de se constituer

des revenus complémentaires dès aujourd’hui ! Tout attentisme

est donc à proscrire en matière de préconisation patrimoniale, la

génération de revenus complémentaires étant une attente forte

exprimée très clairement.

(1) 402 personnes interrogées en novembre 2012, âgées entre 35 et 64 ans disposant d’une capacité minimale d’investissement supérieure à 200 € par mois.

Insuffisantes53 %

Suffisantes19 %

Très insuffisantes23 %

Des pensions retraite jugées...

Inexistantes4 %

Confortables 1 %

Oui, tout à fait43 %

Oui, plutôt46 %

Se constituer des revenus complémentaires dès aujourd’hui, une nécessité ?

Non, pas du tout 1 %

Non, plutôt pas10 %

Projection sur les pensions retraite

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CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 13

La retraite au cœur du discours commercial

La retraite est un sujet qui parle aux Français et est tout à fait

adéquate pour construire une véritable démarche commerciale,

depuis la prise de contact jusqu’à la préconisation finale. Pour vous

permettre de poursuivre votre développement en capitalisant sur

cette thématique, Cerenicimo vous propose une approche globale

d’accompagnement qui vise à favoriser la prise de décision de

l’investisseur. Elle se décompose en 5 temps.

1/ Obtenir un rendez-vous

Pour cette première étape, Cerenicimo met gratuitement à votre

disposition plusieurs outils de communication : une édition spéciale

retraite de l’Epargne Immobilière, un e-mail dédié à la retraite ainsi

qu’une vidéo, le tout, vous permettant de sensibiliser vos futurs

clients. Les messages sont clairs, concis et interpellent : « La Retraite,

comprendre pour agir », « Et vous, quel montant toucherez-vous

au moment de votre retraite ? »...

Ils ont été conçus comme la base d’une véritable démarche de

prospection/fidélisation.

> Retrouvez ces outils de communication :

http://marketing.cerenicimo.fr

http://retraite.cerenicimo.fr/video

2/ Pousser à agir

Une fois le rendez-vous obtenu, un simulateur retraite vous permet

de dresser un bilan de la situation de votre client. Le constat est

le plus souvent sans appel : l’écart entre le niveau de revenus en

fin d’activité et celui des pensions est très significatif et met en

lumière la nécessité d’agir. Conclusion, pour conserver le même

niveau de vie à la retraite, il faut anticiper pour générer des revenus

complémentaires.

> Accédez au simulateur via notre portail retraite :

http://retraite.cerenicimo.fr

3/ Démontrer la performance de la location meublée : l’approche par le rendement net

D’après l’étude IFOP, les Français intègrent très majoritairement

l’inflation et leur niveau d’imposition lorsqu’ils analysent la

performance d’un placement. Pour répondre à cette attente forte,

Cerenicimo vous propose un outil de comparaison par le rendement

net d’impôt et d’inflation. Les performances de différents actifs sont

ainsi facilement comparables. Cet outil vous permet notamment

d’apporter la preuve par l’exemple de la pertinence de la location

meublée.

> Disposez simplement de cet outil :

http://comparatif.cerenicimo.fr

4/ Présenter la location meublée simplement

Après avoir évoqué la performance, une présentation du

mécanisme de la location meublée s’impose. Notre Guide de la

location meublée vous permet, à ce titre, de gagner en efficacité et

en clarté. Largement méconnu des particuliers, ce montage peut

en effet s’avérer anxiogène en cas de présentation trop technique.

Ce document présente de façon claire et

concise son fonctionnement et en décline

les nombreux atouts.

Disponible via notre interface

marketing, vous avez la possibilité,

en tant que partenaire, de créer

votre support personnalisé et

de l’imprimer pour l’envoyer

à vos clients.

5/ Votre expertise au service des investisseurs

Suite à cette présentation, le choix vous appartient d’opter pour un

marché et de préconiser un produit en particulier. Cette démarche

n’a pas vocation à remplacer votre travail quotidien de conseil, elle

s’inscrit simplement dans la logique d’un partenariat dont le but

est simple : vous apporter des outils innovants et efficaces vous

permettant de poursuivre votre développement.

Pour tout complément d’information, vous pouvez solliciter votre Chargé(e) de Partenariat ou nous contacter par e-mail à l’adresse suivante : [email protected]

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Focus Produit

14 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013

« La Perle de l’Océan », interview de Serge Blanco

Par Christine ROqUIER

Chargée de Missions, CERENICIMO

« La Perle de l’Océan », c’est un nouveau concept de résidence 4 étoiles, pouvez-vous nous en dire un peu plus ?

« La Perle de l’Océan » est le « premier bébé » né de 3 fortes volontés

- Park & Suites, Océanis et Serge Blanco - de rendre à la nature sa force

et ses valeurs. Le concept : une résidence de tourisme**** proposant des

espaces à vivre haut de gamme, appelant au respect de la nature et au

bien-être, le tout appuyé sur un centre de balnéothérapie répondant au

besoin de se retrouver, de se ressourcer et associé à notre expertise de

20 années à Hendaye.

Quels seront les infrastructures et services proposés dans cet établissement de prestige ?

La résidence propose des piscines intérieure et extérieure, des zones

de soins très complémentaires combinant les bienfaits de l’eau,

des algues, des boues, la détente des modelages et les sensations

parfumées de l’aromathérapie. Ce lieu est parsemé d’îlots au milieu de

la nature et comprend logements, salles de séminaires, restaurant, bar,

balnéothérapie...

Avec la proximité de l’Océan, ces îlots ont évoqué, pour nous, des perles

naturelles que nous avions envie de faire découvrir.

Pourquoi le site du Cap-Ferret a-t-il été retenu ?

Le site du Cap-Ferret a attiré notre attention pour son environnement

protégé, entre le Bassin d’Arcachon et l’Océan, au milieu des pins. Un

des derniers sites autant préservé et si proche de l’agglomération de

Bordeaux. A moins d’1h, le potentiel clients dépasse le million.

Dans la définition de ce projet, quel rôle a joué la préoccupation environnementale et l’intégration au milieu naturel ?

L’environnement a été au coeur de nos réflexions. Il se traduit aujourd’hui

par une implantation réfléchie de l’ensemble des logements et services

répartis par îlots dans la nature.

Une première étape sera la coupe éco-responsable des arbres avec

préservation des zones tampons arborées. La deuxième sera de

pouvoir démontrer la réutilisation des bois coupés. La troisième : notre

engagement à replanter tous les arbres coupés.

Quels seront les avantages concurrentiels de cette résidence ?

La situation de « La Perle de l’Océan », aussi protégée, en pleine nature,

entre le Bassin et l’Océan, en fait pour nous, un vrai argument. Il s’agira

du premier « Resort » de ce niveau, avec services associés, sur le bassin.

Second argument, son amplitude d’ouverture quasi-annuelle de par les

services proposés : balnéothérapie, restaurant, bar, salles de réunions

sera un véritable atout.

L’avantage de la thématique traitée, la balnéothérapie, me semble aussi

un vrai point fort couplé à l’expérience prouvée de notre savoir-faire

depuis plus de 20 ans maintenant. Pour finir, chacun de nos parcours de

soins est étudié pour le bien-être de toutes et tous.

Parlez-nous de l’expertise « Serge Blanco Thalasso et Spa » ?

La Thalasso Blanco à Hendaye, depuis 1991, c’est 4 000 m² de bassins,

de cabines de soins où sont proposés massages et modelages, de

soins humides telle la douche à jets et les bains bouillonnants mais aussi

l’utilisation des nouvelles technologies dans un objectif esthétique. C’est

également un spa de 400 m², un accompagnement en restauration

diététique et une vraie expertise du bien-être.

Pouvez-vous revenir sur la création de la signature « Park & Suites by Blanco » ?

« Park & Suites by Serge Blanco » est née de ma rencontre avec le

Président Patrice Cavalier et de notre volonté à tous deux de construire

un partenariat riche en expériences susceptible d’avancer dans le temps.

« La Perle de l’Océan » est donc une opportunité d’investissement à saisir d’urgence ?

A nos futurs investisseurs, je dirais que l’association des savoirs Océanis,

Park & Suites et Serge Blanco est gage de réussite et de pérennité. « La

Perle de l’Océan » au Cap-Ferret est née après 2 ans d’intenses réflexions

quant à ce que nous voulions proposer : qualité, respect de la nature,

environnement protégé, cocooning, convivialité et sérieux. Des éléments

sur lesquels je me suis toujours construit tout au long de ma carrière de

joueur et capitaine du XV de France.

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Résidence ****La Perle de l’Océan

Lège-Cap-Ferret (33)

Un site d’exception entre dunes, pinède et océanUn concept**** unique et novateur avec balnéothérapieUne résidence dédiée à la détente et au bien-être

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16 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013

Catalogue Produits - Programmes à la commercialisation

1

3

Résidence « Les 7 Iles » - PERROS-GUIREC (22)

Résidence « La Forêt » - LA COLLE SUR LOUP (06)

Nous contacter : 02 28 21 05 10 | www.cerenicimo.fr

2

7

8

6

9

1

4

3

TourismeRésidences

5

2 Résidence « Domaine de la Baie » - AUDIERNE (29)

A partir de 92 400 € HTRendement mobilier inclus 5,00 % HT/HT

Rendement hors mobilier 5,35 % HT/HT (1)

Formule d’occupation possible

Classique

Cens i -Bouvard

Classique

Cens i -Bouvard

Classique

Cens i -Bouvard

(1) Rendement moyen arrondi au dixième le plus proche. (2) Pour l’ensemble des garanties, des exclusions et des modalités de fonctionnement, se référer expressément aux conditions générales et particulières des contrats.

Engagement

Liqu

idité

(2)Engagement

Liqu

idité

(2)

Engagement

Liqu

idité

(2)A partir de 156 300 € HTRendement mobilier inclus 4,70 % HT/HT

Rendement hors mobilier 4,90 % HT/HT (1)

Livré

Livraison 2013

A partir de 119 000 € HTRendement mobilier inclus 4,80 % HT/HT

Rendement hors mobilier 5,00 % HT/HT (1)

Résidence « Les Bergers II » - PRA LOUP (04)4

Un des plus grands domaines skiables des Alpes du SudUn emplacement exceptionnel à 250 m des remontées mécaniquesFormule d’occupation possible

Livré

Classique

Cens i -Bouvard

Engagement

Liqu

idité

(2)

A partir de 122 000 € HTRendement mobilier inclus 4,90 % HT/HT

Rendement hors mobilier 5,10 % HT/HT (1)

Une situation au cœur d’un écrin paysager exceptionnel de 6 hectares, •à proximité du port et des commerces.

Une résidence• *** aux prestations de standing comprenant piscines intérieure et extérieure chauffées, sauna, hammam, salon de massage, fitness...

Une centaine de villas jumelées, du T2 au T4, réparties en hameaux •intimistes et des formules d’occupation pour un investissement plaisir.

Un prix immobilier moyen de 2 553 €/m² • HT particulièrement compétitif au regard du marché local permettant d’obtenir un rendement exceptionnel de 5 % HT/HT.

Le savoir-faire reconnu de NEMEA, fort de son développement •régulier depuis sa création en 1994.

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CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 17

A partir de 95 800 € HTRendement mobilier inclus 4,80 % HT/HT

Rendement hors mobilier 5,20 % HT/HT (1)

Formule d’occupation possible

Résidence « Les Coteaux de Sarlat » - SARLAT (24)

A partir de 129 000 € HTRendement mobilier inclus 5,00 % HT/HT

Rendement hors mobilier 5,25 % HT/HT (1)

Livré

7 Résidence « de La Plage » - LA BAULE/PORNICHET (44)

A partir de 138 000 € HTRendement mobilier inclus jusqu’à 4,20 % HT/HT

Rendement hors mobilier jusqu’à 4,35 % HT/HT (1)

Formule d’occupation possible

5 Résidence « Le Chastillon » - ISOLA 2000 (06)

(1) Rendement moyen arrondi au dixième le plus proche. (2) Pour l’ensemble des garanties, des exclusions et des modalités de fonctionnement, se référer expressément aux conditions générales et particulières des contrats.

8

Classique

Cens i -Bouvard

Classique

Cens i -Bouvard

Classique

EngagementLi

quid

ité

(2)

Engagement

Liqu

idité

(2)

6 Résidence « Les Mas des Alpilles » - LE PARADOU (13)

A partir de 117 300 € HT Rendement mobilier inclus 4,60 % HT/HT

Rendement hors mobilier 4,80 % HT/HT (1)

Formule d’occupation possible

Classique

Cens i -Bouvard

Engagement

Liqu

idité

(2)

Livraison 2013

A partir de 115 000 € HTRendement mobilier inclus 4,30 % HT/HT

Rendement hors mobilier 4,45 % HT/HT (1)

Résidence « La Perle de l’Océan » - LEG-CAP-FERRET (33)9

Classique

Cens i -Bouvard

Une situation géographique privilégiée à moins d’une heure de Bordeaux, au cœur du bassin d’Arcachon.•

Un produit rare aux conditions particulièrement attractives sur un marché immobilier établi et lisible.•

Un concept unique, axé sur le bien-être et le savoir-faire de Serge Blanco, ancien rugbyman et professionnel de •la thalassothérapie depuis plus de 20 ans.

Une résidence• **** aux prestations haut de gamme implantée sur un site naturel d’exception entre dunes, forêt de pins et océan.

Park & Suites, l’un des leaders français dans l’exploitation de résidences de tourisme à vocation affaires et •loisirs.

Présentation officielle le 2 avril à Paris Cf p. 29

http://www.cerenicimo.fr/perleocean

Livraison 2013

Livraison 2013

Livraison fin 2014

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18 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013

Nous contacter : 02 28 21 05 10 | www.cerenicimo.fr 1

EtudiantesRésidences

A partir de 84 800 € HTRendement mobilier inclus 4,10 % HT/HT

Rendement hors mobilier 4,20 % HT/HT (1) LOGEMENT et SERVICESÉTUDIANTS

1 Résidence « Le Cerdana » - TOULOUSE (31)

Engagement

Liqu

idité

(2) (3)

Pré-loyers sur les 120 premiers lots calculés sur la base du taux annuel brut de 4,10 % HT du montant de l’immobilier HT débloqué

Classique

Cens i -Bouvard

Un emplacement privilégié dans la 3• ème ville étudiante française à seulement 10 minutes de la place du Capitole et au sein d’un quartier en pleine mutation parmi les plus conviviaux et les plus prisés de Toulouse.

246 studios conçus pour une clientèle étudiante de plus en plus •exigeante à la recherche de confort et de fonctionnalité.

Un prix de vente compétitif tant au niveau du quartier que de la ville à •partir de 84 800 € HT (hors frais d’acquisition).

Un projet ambitieux au rendement attractif de 4,10 % • HT/HT (1).

Une gestion assurée par un expert de la résidence étudiante fort de •plus de 20 ans d’expérience.

(1) Rendement mobilier inclus soit 4,20 % HT/HT hors mobilier (rendement moyen arrondi au dixième le plus proche).

Nous contacter : 02 28 21 05 10 | www.cerenicimo.fr

AffairesRésidences

1 Résidence « Parc d’Affaires Vannes-Golfe » - VANNES (56)

A partir de 85 200 € HTRendement mobilier inclus 4,50 % HT/HT

Rendement hors mobilier 4,70 % HT/HT (1)

Classique

Cens i -Bouvard Livré

1

(1) Rendement moyen arrondi au dixième le plus proche. (2) Pour l’ensemble des garanties, des exclusions et des modalités de fonctionnement, se référer expressément aux conditions générales et particulières des contrats.(3) Pour les réservations à compter du 2 novembre 2012 et dans la limite des 120 premières reservations.

Catalogue Produits - Programmes à la commercialisation

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CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 19

1 Résidence « Les Feuillants » - BROSVILLE (27)

(1) Rendement moyen arrondi au dixième le plus proche.

A partir de 118 700 € HTRendement mobilier inclus 4,90 % HT/HT

Rendement hors mobilier 5,00 % HT/HT (1)

Un cadre exceptionnel au sein du Château de Brosville.Un gestionnaire, acteur historique de la gestion d’EHPAD sur la région.

2 Résidence « du Port » - ST DENIS DE L’HOTEL (52)

A partir de 172 000 € HTRendement mobilier inclus 4,40 % HT/HT

Rendement hors mobilier 4,50 % HT/HT (1)

Zoom sur le groupe

Un acteur historique de la gestion d’EHPAD sur le secteur de haute et basse •Normandie avec 9 établissements, soit près de 540 lits autorisés.

Une expérience et un savoir-faire avérés dans la prise en charge globale de •la dépendance depuis près de 20 ans.

Un groupe en développement avec un chiffre d’affaires en constante •progression et 4 nouveaux projets prévus à court terme.

Un engagement professionnel basé sur les relations humaines et la volonté •d’offrir des lieux de vie agréables et ouverts sur l’extérieur.

Une attention particulière apportée au bien-être moral et physique des •résidents, à leur sécurité et à leur confort.

Classique

Cens i -Bouvard

Classique

Cens i -Bouvard

Nous contacter : 02 28 21 05 10 | www.cerenicimo.fr

EHPADRésidences

2

1

PROCHAINEMENTNouveaux

référencements EHPADen VEFA et en achevé

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20 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013

4

2

Résidence « Les Résidentielles d’Or » - GRADIGNAN (33)

Résidence « Jardins d’Arcadie » - MAISONS-LAFFITTE (78)

A partir de 158 400 € HTRendement mobilier inclus 4,50 % HT/HT

Rendement hors mobilier 4,60 % HT/HT (1)

1 Résidence « Eugénie » - CHAMBRAY-LèS-TOURS (37)

A partir de 124 000 € HTRendement mobilier inclus 4,50 % HT/HT

Rendement hors mobilier 4,60 % HT/HT (1)

3 Résidence Montana - DEAUVILLE (14)

A partir de 114 000 € HTRendement mobilier inclus 4,30 % HT/HT

Rendement hors mobilier 4,40 % HT/HT (1)

(1) Rendement moyen arrondi au dixième le plus proche.

Classique

Cens i -Bouvard

Classique

Cens i -Bouvard

Classique

Cens i -Bouvard

Nous contacter : 02 28 21 05 10 | www.cerenicimo.fr

Seniors Résidences

4

2

1

3

A partir de 156 000 € HT Rendement mobilier inclus 4,00 % HT/HT

Rendement hors mobilier 4,10 % HT/HT (1)

Classique

Cens i -Bouvard

Dans un cadre privilégié au cœur d’un quartier dynamique, la résidence Eugénie associe convivialité, sécurité et services de qualité pour le bien-être des seniors. Elle vient par ailleurs compléter le parc de logements créés sur la zone et offre ainsi, avec l’EHPAD jouxtant, la solidité et la sécurité d’investissement propres à un véritable complexe pensé pour les seniors. Enfin, elle bénéficie d’atouts certains :

Un emplacement exceptionnel à 3 minutes à pied du centre de Chambray-lès-Tours et des bords de Loire.

Un prix de vente particulièrement compétitif au regard du marché local, à partir de 124 000 € HT (hors frais d’acquisition).

Un marché porteur et un rendement attractif de 4,50 % HT/HT (1).

Une gestion Primavera, au savoir-faire et à l’expérience avérés.

Catalogue Produits - Programmes à la commercialisation

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1 Zoom sur Esprit Mer - Saint-Nazaire (44)

CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 21

Dispositif DuflotRésidences 1

Une situation privilégiée à 10 minutes de la Baie de la Baule.

Un quartier novateur à proximité immédiate des commerces et services.

Un prix au m² particulièrement compétitif au regard du marché de l’ancien.

Une définition immobilière attractive et un remplissage optimal.

Un gestionnaire au savoir-faire reconnu dans l’administration de biens de proximité depuis plus de 20 ans.

bbcE n g a g e m e n tP r o m o t e u r Un rendement brut moyen de 4,15 % TTC/TTC

VEFA, livraison 4ème trimestre 2014

A partir de 85 100 € TTC (hors frais d’acquisition)

Nous contacter : 02 28 21 05 10 | www.cerenicimo.fr

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Au cœur d’un complexe pensé pour les seniors et de l’une des communes résidentielles les plus attractives et prisées de l’agglomération tourangelle

Un rendement séduisant de 4,50 % HT/HT

Un gestionnaire Primavera au savoir‑faire et à l’expérience avérés

Un prix de vente compétitif à partir de 124 000 € HT

Résidence Seniors

EugénieChambray-lès-Tours (37)

Chambray‑lès‑Tours (37)

Tours

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Catalogue Produits - Opportunité revente CERENICIMO ASSET

CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 23

Nous contacter : 02 28 21 05 10 | www.cerenicimo-asset.fr

Revente d’immobilier géré

Les Opportunités du moment(1)

Résidence « Kermael » - SAINT BRIAC (35)1

Lot 201Prix : 99 344 € HTRendement : 5,50 % HT/HT

Résidence « Val d’Europe » - MONTEVRAIN (77)3

Résidence « Maupertuis Park » - MEYLAN (38)2

Résidence « Le Manhattan » - LE THOLONET (13)4

Lot B 205Prix : 235 707 € HTRendement : 5,75 % HT/HT

Lot B 16Prix : 114 828 € HTRendement : 5,50 % HT/HT

Lot D 204Prix : 65 800 € HTRendement : 5,50 % HT/HT

1

4

2

3

(1) Liste non exhaustive, retrouvez l’ensemble des biens à la commercialisation sur www.cerenicimo-asset.fr

Vous souhaitez faire une demande de partenariat et ainsi profiter des produits et services Cerenicimo Asset ainsi que de l’expertise de nos équipes, merci de contacter :François GILLET au 02 28 21 05 10 ou par email à [email protected]

Des lots expertisés offrant des revenus immédiats.

Des rendements très attractifs dans le cadre de baux souvent renégociés.

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Suivi des AcquisitionsRésidences

Catalogue Produits - Suivi des Acquisitions

1

12

Zoom sur Les Bergers II - Pra Loup (06)

24 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013

Vous souhaitez en savoir plus sur ce programme ou avoir un renseignement sur une autre de nos résidences livrées, merci de contacter Isabelle DEVILERS au 02 28 21 05 10 ou par email à [email protected]

Une ouverture à la clientèle en décembre 2012 pour une première saison d’exploitation.

Un emplacement exceptionnel à 250 m des remontées mécaniques et à proximité immédiate des commerces.

Une exploitation assurée par Hôtels du Soleil, gestionnaire au savoir-faire reconnu et acteur historique des Alpes du Sud.

LivraisonDécembre 2012

Soucieux de faire évoluer CERINEWS, nous avons le plaisir de vous proposer, dans le cadre de ce 10ème numéro une nouvelle rubrique

dédiée au suivi des acquisitions. Sa vocation est simple : communiquer sur la vie des opérations que nous avons commercialisées et vous

informer sur l’actualité des livraisons. Aujourd’hui focus sur 2 opérations : Les Bergers II et Primavera Saint-Marc.

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2 Zoom sur Primavera Saint-Marc - La Teste-de-Buch (33)

CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 25

LivraisonDécembre 2012

Découvrez également la résidence Primavera Eugénie - chambray-Lès-Tours (37)

► Un rendement séduisant de 4,50 % HT/HT

► Un prix de vente compétitif à partir de 124 000 € HT

► Fort d’une expérience de plus de 20 ans avec les grands groupes du secteur de la dépendance, Marc FAUJANET crée Primavera et confère alors à la marque un savoir-faire et une expertise avérés dans la conception et la construction d’établissements destinés à l’accueil de personnes âgées.

► Les Résidences Services Seniors PRIMAVERA constituent une solution alternative de logement, idéale pour des personnes âgées de plus de 60 ans et les personnes handicapées présentant une faible dépendance.

► Avec 6 résidences qui verront le jour d’ici à 2014 et une dizaine de projets actuellement en cours de montage, Primavera compte s’aff irmer comme un acteur majeur de l’hébergement pour seniors autonomes.

Un cadre de vie exceptionnel au sud du Bassin d’Arcachon, au coeur de la forêt landaise et à proximité de l’océan.

Des logements aux finitions soignées et aux équipements complets et adaptés pour faciliter l’autonomie et le bien-être de chacun.

Une gestion Primavera, au savoir-faire et à l’expérience avérés.

Une ouverture à la clientèle en février 2013 pour une première saison d’exploitation.

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CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 27

Actualité & Rendez-vous

Actualité

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Actualité & Rendez-vous

28 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013

Formations 2013

Notamment conçus et animés par Me Jean-Louis LE BOULC’H, Avocat Fiscaliste référence sur le secteur et par l’équipe de Cerenicimo, nos modules de formations, après un mois et demi de rencontres et d’échanges, se terminent. Analyse de la nouvelle donne fiscale, juridique et commerciale pour 2013 ou présentation d’outils opérationnels et innovants, voici quelques-uns des sujets traités à cette occasion.

Nous vous remercions de votre présence à ces formations opérationnelles et résolument orientées client et espérons qu’elles vous auront permis de trouver des éléments de réponse à vos problématiques quotidiennes ainsi que des axes de développement de votre activité.

Retour surles évènements du trimestre

Universités Cerenicimo, édition 2013

Les 19 et 20 mars 2013, s’est tenue la 3ème édition des Universités Cerenicimo, à l’Hôtel Hermitage Barrière***** - La Baule. Retour sur cette manifestation exclusive :

Du 12 février au 7 mars 2013, se sont tenues nos formations « Accroître votre activité grâce à la location meublée »et « Apporter des solutions à vos investisseurs à haut potentiel ». Retour sur ces rendez-vous opérationnels :

Près de 200 Professionnels du Patrimoine présents20 intervenants3 Conférences plénières10 thématiques d’ateliers *

600 diapositives powerpoint12 heures de formation validées300 stylos400 appels téléphoniques2 mois de préparation intensive58 cafés1 soirée de Gala196 bouteilles de Champagne

Plus de 700 Professionnels du Patrimoine présents20 villes 15 intervenants

* Thématiques de nos ateliers : « Le cycle de l’immobilier géré : une approche intégrée de l’investissement », « Immobilier direct et pierre papier : les meilleures options pour vos clients », « La sécurité de l’acte notarié : avantage concurrentiel de l’épargne immobilière », « Les solutions pour capter de nouveaux clients et développer votre portefeuille », « Le référencement par CERENICIMO », « Immobilier meublé ou résidentiel classique, neuf ou ancien : les clés d’un arbitrage réussi », « La location meublée non professionnelle : les clés d’une argumentation réussie », « La retraite : entre stratégies patrimoniales et discours commercial », « La Location Meublée Professionnelle en pratique », « Toutes nos réponses aux objections de vos clients ».

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Rendez-vous

CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013 | 29

Toute l’équipe de Cerenicimo vous donne rendez-vous à l’occasion du Salon de la Chambre des Indépendants du Patrimoine.

Les 16 et 17 avril 2013 au Palais des Congrès de Paris

Stand n° 79 (niveau 2, porte Maillot)

Le salon de la CIP sera ainsi l’occasion de vous présenter nos derniers référencements et de répondre à toutes vos éventuelles questions.

Convention Annuelle ANACOFI

Congrès de la CIP

Cerenicimo aura le plaisir de vous accueillir lors du Congrès Annuel de l’Association Nationale des Conseils Financiers.

le 28 Mars 2013, de 9h à 22h au Carrousel du Louvre à Paris

28 MARS

16 &17 AVRIL

Présentation officielle Lège-Cap-Ferret 2 AVRIL

Avec la participation exceptionnellede Serge BLANCO

Fondateur de son centre de thalassothérapie à Hendaye, ancien joueur international et

capitaine de l’équipe du XV de France

Découvrez ainsi une opportunité rare,

Un site d’exception entre dunes, pinède et océan,

Un concept unique avec balnéothérapie et thalasso,

Une résidence **** dédiée à la détente et au bien-être...

Cerenicimo vous convie à la présentation officielle de ce produit d’exception situé sur la presqu’île de Lège-Cap-Ferret.

Résidence ****La Perle de l’Océan

Lège-Cap-Ferret (33)

Actualité & Rendez-vous

Le 2 Avril, à 14h00 - Hôtel Pullman Montparnasse, Paris

www.cerenicimo.fr/perleoceanInscriptions sur :

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Zoom

Etaient présents : Cerenicimo :Christine ROQUIER (Chargée de Missions)

François-Xavier SéCHER (Responsable

Développement Pôle Immobilier)

Franck BECOTRodolphe BOUTILLONJulie COMPAGNON

Paul Victor DUQUAIRELaurence LAFITEAnne-Marie LAIR

Georges TASQUINFranck VANDENBOGAERDEChristine GOURC

Compte-rendu duComité Consultatif Stratégiquedu 13 février 2013

30 | CERINEWS n° 10 |mars / avril 2013

30 % sur les loyers existant en Scellier intermédiaire.

•Etunedécote locative liéeauxnouvellesrèglesdeplafonnementde

loyers à l’origine de rentabilités dégradées.

La conclusion concernant ce dispositif est simple : pas de refus de principe mais l’adoption d’une démarche d’opportunité afin de ne retenir que les supports immobilièrement les plus performants.

A ensuite été abordée la prorogation du dispositif Censi-Bouvard jusqu’en 2016. Cette loi, avec une réduction d’impôt à 11 % ne présente un intérêt que pour une cible limitée d’investisseurs (ceux concernés par les TMI basses). Les élus ont également constaté tout au long de l’année 2012 une désaffection de cette mesure au profit de la Location Meublée classique (régime des amortissements). Support par excellence de ce début d’année 2013, la location meublée impose, de l’avis du collège, un véritable travail de pédagogie à destination des clients qui méconnaissent encore très largement ce statut. Le raisonnement des investisseurs est en effet le plus souvent marqué par une logique de défiscalisation quand le contexte impose de penser non fiscalisation des revenus complémentaires.

Marché immobilier et comportement des acteurs

La conjoncture immobilière actuelle a ensuite été décryptée et quelques tendances fortes ont été dégagées concernant notamment le comportement des promoteurs :

•Tentativedediversificationdecertainsacteursnotammentaubénéficede l’immobilier géré, une tendance qui peut laisser craindre des dérives en l’absence de compétences et de savoir-faire avérés.

•Pourl’immobilierlocatif,unrecentragedespromoteursversleB1etleA au détriment du B2.

•Desprixdefoncierquinebaissentpasetauxquelss’ajoutentdescoûtstechniques = une logique à l’origine d’une stagnation des prix du neuf.

•Unresserrementdescanauxdedistribution.

Comité de référencement et table ronde marketing

Le comité de référencement s’est ouvert sur un bilan du trimestre écoulé et s’est poursuivi par l’étude des dossiers soumis à la vigilance du collège. Enfin, concernant le marketing, ce CCS s’est achevé sur un échange autour des contenus des Universités pendant lequel conférences plénières et ateliers ont été évoqués et optimisés.

CCS 2013 : retour sur l’élection et les missions du collège 2013

En ouverture de ce premier CCS de l’année 2013, a été évoquée l’élection du nouveau collège des élus. Cette dernière a été marquée par des candidatures particulièrement nombreuses (plus de 80), même chose pour le taux de participation qui a atteint des records. Ainsi, après 2 années d’existence, le CCS s’impose comme un élément incontournable de la relation entre CERENICIMO et les Professionnels du Patrimoine. Les missions du Comité sont, chaque année, plus importantes avec notamment une participation active des élus à la politique de référencement immobilier de CERENICIMO et une réflexion sur les supports et outils mis à disposition des Professionnels du Patrimoine. Nouveauté pour 2013, au-delà des élus permanents, a été constitué un groupe de suppléants. Ce collège élargi sera sollicité afin de définir de manière concertée certaines orientations commerciales et marketing.

Bilan d’étape sur la fiscalité immobilière

Les débats se sont ensuite poursuivis autour des dernières évolutions en matière de fiscalité immobilière. Un retour a notamment été fait sur la loi Duflot. Le bilan concernant ce dispositif est mitigé. A l’actif de cette mesure :

•Unemeilleure attractivité pour les locataires sur certaines zones ettypologies de surfaces.

•Lapossibilitéd’acquérir2logementsparan.

•Untauxderéductiond’impôtde18%sur9ans(supérieuraudispositifScellier mais inférieur à celui du Scellier intermédiaire fixé à 21 % sur 15 ans).

Cependant de nombreux bémols ternissent ce dispositif. On peut notamment citer :

•Unemesures’adressantàdesinvestisseursissusdesclassesmoyennes,fortement touchées par la crise et aux anticipations économiques pessimistes.

•Desplafondsderessourcesdulocataireplusbas.Unedimensionplussociale que pour les dispositifs précédents et qui constitue une source d’inquiétude pour les investisseurs (risque d’impayés).

•L’impossibilitédeloueràunascendantoudescendant.

•Desrèglesfiscalespluscontraignantes:absencedelafacultédereportde la réduction d’impôt excédentaire et suppression de l’abattement de

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Pré- loyer s (1) Engagement L iqu id i té (2)

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