pas une insulte
DESCRIPTION
matériel lutte homophobie mai 2013 comité alliéEs école secondaire De RochebelleTRANSCRIPT
«HOMO»
N’est pas une insulte:
c’est exprimer de l’homophobie
Les minorités sexuelles l’entendent et se sentent dénigrées.
«HOMO»
N’est pas une insulte:
c’est exprimer de l’homophobie
Les minorités sexuelles l’entendent et se sentent dénigrées.
«LESBO»
N’est pas une insulte:
c’est exprimer de l’homophobie
Les minorités sexuelles l’entendent et se sentent dénigrées.
«CCCC’est ben est ben est ben est ben gaigaigaigai»
Ne désigne pas quelque
chose de raté:c’est exprimer de l’homophobie.
Les minorités sexuelles l’entendent et se sentent dénigrées.
«CCCC’est ben est ben est ben est ben gaigaigaigai»
Ne désigne pas quelque
chose de raté:c’est exprimer de l’homophobie.
Les minorités sexuelles l’entendent et se sentent dénigrées.
«GOUINE»
N’est pas une insulte:
c’est exprimer de l’homophobie
Les minorités sexuelles l’entendent et se sentent dénigrées.
BISEXUEL(LE)
est une «vraie»orientation sexuelle.
Ce n’est pas un
moyen de transition.
C.G.S
«T’es ben fif»
N’est pas une insulte:
c’est exprimer de l’homophobie
Les minorités sexuelles l’entendent et se sentent dénigrées.
«T’es ben fif»
N’est pas une insulte:
c’est exprimer de l’homophobie
Les minorités sexuelles l’entendent et se sentent dénigrées.
« »N’est pas une insulte:
c’est exprimer de l’homophobie
Les minorités sexuelles l’entendent et se sentent dénigrées.
«TTTT’es une es une es une es une
tapettetapettetapettetapette»
Ce n’est pas une insulte:
c’est exprimer de l’homophobie
Les minorités sexuelles l’entendent et se sentent dénigrées.
Un langage Un langage Un langage Un langage raciste nraciste nraciste nraciste n’’’’est est est est pas tolpas tolpas tolpas toléééérrrré…é…é…é…
… nous éliminons de plus en plus le langage sexiste…
… alors pourquoi le langage
homophobe est-il encore très
présent?
80% des adultes gais et lesbiennes déclarent avoir déjà été témoins de comportements homophobes dans leur milieu de travail : 10% à23% en ont été victimes.
(Line Chamberland, IREF-UQÀM, 2007);
62 % de la population au Québec connaît aumoins un homme homosexuel et 43 %connaît au moins unefemme homosexuelle.
Au Canada, les proportions sont moins élevées : ils sont 50 % des répondants à connaître un homme homosexuel et 38 % à connaître une femme homosexuelle.
L’Organisation mondiale de la santé a retirél’homosexualité de la liste des maladies mentales un 17 mai, mettant fin à plus d’un siècle d’homophobie médicale.
97% des étudiants affirment
entendre des commentaires homophobes
À l'adolescence, les gaiset lesbiennes risquent14 fois plus de tenter de se suicider que les adolescentshétérosexuels.
71 crimes homophobes ont étés déclarés en 2007. Ce nombre est passé à 159 en 2008. Une hausse de 124 %.
Légalisation du mariage gai au États-Unis :
§ Massachusetts (2004)
§ Connecticut (2008)
§ Iowa (2009)
§ Vermont (2009)
§ New Hampshire (2010)
§ Washington, D.C. (2010)
§ New York (2012)
§ Washington (2012)
La Caroline du Nord a récemment voté une modification constitutionnelle qui interdit maintenant le mariage gai.
Dans 90 pays, l’homosexualitéest considérée illégale