quels temps font-ils ?
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e-édition indépendante, dont je me demande tout simplement vers où l'on vas, comment et pourquoi ? j'ai découvert au cours de ce parcours que ma vie était une vraie pelote de laine à dénouer... qui de dénouements en dénouements ?TRANSCRIPT
Quels temps font-ils ?
J’ai croisé un petit bout de femme à un arrêt de bus, elle avait un
violoncelle presque aussi grand qu’elle ; alors que je regardais
l’objet, elle introduisit la conversation : - « C’est lourd à porter ! »
Peu importe l’évidence, je rétorquais : « Cela me fait songer à la
théorie M, celle des cordes… » - « Pardon ? » - « Oui il y a là
généralement 7 ou 11 reflets d’une certaine réalité, un peu
comme 7 ou 11 miroir la reflétant cette violoncelliste dont nous
sommes à la recherche ! » Elle m’aura répondu : - « J’aimerais
bien apprendre ca à l’école ! » - « Cela m’étonnerais que tu ap-
prennes cela à l’école… ! » (…) Plus tard dans le bus, je lui disais
en sortant à l’arrêt chalet : - « Si tu souhaites avoir un entr’aperçu
de ce que je te raconte, tu devrais regarder à l’adresse : quels
temps font-ils ? Il s’agit là d’une histoire du temps qu’il fait, du
temps qui passe… »
Maxime Pirart
Introduction :
Le Quark et le Jaguar,
Ici Murray Gell-Mann cause d'agraindissements composant la ré-
alité de l’infiniment petit jusqu’à une échelle humaine : concept
qui est devenu celui de décohérence entre temps, où très sim-
plement décrit : chaque danse son échelle, chaque échelle ses
constantes et ses variables : qui se perdent et de loin, à chaque
fois ; (un peu comme la danse du Cosmos) !
Le Quark et le Jaguar était édité par Flammarion, c’est le pre-
mier livre de savoir ‘vrais’ que j’ai lu : à c’t’heure il est à Albin
Michel !
Les nus ?
La petite fée clochette assise sur son travail, je l’aie connue
aussi, dans ces excès, dans son activité, dans son petit grain à
moudre, elle aussi…
Recueil : D'après certaines légendes, le monde est porté par une tortue :
un conteur avec un tambourin apportait cette légende à l'esprit
occidental, et le fait est que l'on y discerne l'origine shamanique
des religions, est en ce que ce sont des événements catastro-
phiques naturels, dont on s'est fait des épopées, puis des
mythes, et ensuite ? (Il suffit d'extrapoler) ! Pour revenir à nos
moutons d'après les Sioux, Dieu qui pour une fois était indien,
était sur son tapis à fumer sa pipe, au bout d’une éternité il finit
par s'ennuyer, alors il prit un peu de tabac et de salive pour en
concevoir le Monde, et puis les êtres qui se tiennent droit (les
végétaux), et puis les êtres à quatre pattes (les mammifères), et
enfin les êtres humains…
Enfin, dans la moralité de l’histoire, il refit cela deux fois : car
lorsqu'il vit ce que les hommes faisaient du monde : il le brûla ;
ensuite lorsqu’il vit ce que les hommes faisaient du monde, il le
noya !
Et puis il y a là toute une affaire et toute une histoire avec les
esprits de maitre corbeau, et toutes sortes d’animaux qui par-
vinrent à convaincre Dieu de refaire le Monde encore une fois !
Moralité maintenant que les êtres humains ont la Terre entre les
mains, nous verrons ce qu'ils en feront ?
Y a-t-il un labyrinthe derrière le labyrinthe ?
Dans le TGV de Avignon – Bruxelles vers Lilles, et oui il me faut
énormément de temps avant de sentir les gens, de savoir les
aborder, alors je devais engager la conversation avec une femme
et son garçonnet qui traçait la sortie d’un labyrinthe sur un em-
ballage Mc Do, je lui demandai tout naturellement si il y avait un
labyrinthe derrière le labyrinthe ? Alors que ses petits pieds nus
étaient posés sur le fauteuil en face de lui, celui de maman !
Comme il ne m’apporta pas de réponse, je lui répondrai sponta-
nément : - « Nous pouvons dévorer un recueil, et puis lorsque
nous refermerons le livre : il y aura là les voies que nous emprun-
terons, les trottoirs sur lesquels nous marcherons, les portes qui
nous seront parfois entr’ouvertes le long, avec les mains qui nous
seront parfois tendues derrière : des fois de feu, d’autres fois
d’eau… » Ensuite je regarderais « Les eaux vives », de « Planète
Terre », un moment il se glissa sous la tablette et se mit sur les
genoux de maman avec qui nous avions commencés à parler
d’Afrique, nous nous étions accordés sur le fait que le bord
d’Océan était favorable : pour le sel et les protéines des poissons,
une des sources de nourriture là. Elle était tout à fait d’accords
avec moi ce qui me suffit largement pour que ce soit une certi-
tude qu’elle connaisse l’Afrique ! Alors que nous arrivions au film
à un caïman de l’Amazone se faisant chasser par des loutres, le
garçonnet dit - « de grosses écailles » ; je rétorquais : - « les pe-
tites mamelles devant se défendent bien » ! Mais maman bien
accompagnée, aussi ! M’aura rétorquée : « L’union fait la force ».
Et nous devions peu de temps ensuite descendre en gare de
Bruxelles Midi…
Parler d’un film ?
Des racines incertaines, des personnages exceptionnels, des his-
toires de vies atypiques, autrement-dit : très fort en goût, j’aime
et m’y retrouve beaucoup, quelque part, enfin c’est la Vie !
Je suis un peu à l’image de cette femme, à l’image d’un silence
théâtrale, d’un manque d’amour pas si simple…
Joli silence vu de moi !
En Arles, alors que nous discutions entre trois gars à la rue, un
ami, et deux petites femmes de passage entre nous, dont une
ouvra la conversation vu de moi ! Enfin un moment un petit est
passé avec sa maman et a avancé sa main vers la poche d’un des
gars : alors j’ai engagé la conversation : - « hé t’as vu ? Le petit
(qui s’éloignait) t’a piqué ton portefeuille. » Le gars à tâtonné sa
poche, surpris ; et j’ai poursuivi : - « Non je rigole, il a juste tendu
la main, où ce sont souvent des mouvements induits comme
cela, qui te construisent une personnalité », c’est là que j’ai parlé
de ce film DONOMA où : « Notre Dame du RER entr’aperçu un
pickpocket très doué, elle retira les objets de valeurs de son por-
tefeuille, y glissa son numéro de téléphone, et se mit en position
de proie : en gros elle le voulait, t’as vu ? »
J’estimais m’avancer par là même, mais cette petite femme
n’avait d’yeux que pour ce gaillard, voire son bout de chocolat !
Ne trouvez pas cela normal que mes parents apprécient un peu
la situation, c’est-à-dire que j’ai le nez rond d’un petit clown ?
De plus j’ai eu les bras bandés (Dieu merci superficiellement…)
mais cause de parents que je voyais oui, mais qui me déniaient
totalement, voire pire : il m’aura fallu plus d’une dizaine d’an-
nées pour retomber sur terre, et ce grâce à une passion issue de
la lecture : l’écriture voyant un style résurgent un beau-jour ;
mais entre-temps ? Encore et encore du temps, beaucoup de
temps pour dénouer les nœuds de cette Vie !
Notre Dame du RER
Les portes de l’Occident :
Pont d'Arc sur l'Ardèche : pour moi une Origine du monde d’il y
a là la nuit des temps, surplombant ce symbole du temps qui
passe, du temps qu'il fait : l’Ardèche !
Autrement dit au présent, c’est un très beau symbolisme Histo-
rique des portes de l'Occident, voyez-vous ?
Le temps psychologique qu’il fait, le temps psychologique qui passe ?
J’ai fait tout ce que j’ai pu pour améliorer la courbure de mes
pensées, où tout part d’une phrase qui n’a pas tant de sens que
cela : « je suis avide de quelque-chose qui n’existe pas, mais que
j’imagine très bien », le plus surprenant est qu’elle est emplie de
sens, un sens profond, celui de l’inspiration, où théoriquement
entre ce que l’on pense, ce que l’on dit et ce que l’on fait, cela
fait trois ! Vu de moi, il est évident que mes mots ont pris la cou-
leur et l’odeur de mes pensées, cette façon d’y arriver est aty-
pique, où qui ne risque rien n’a rien !
Où je suis resté longtemps, très longtemps silencieux au pays des
rêves, les silences me glaçaient souvent où les paroles des uns et
des autres parmi les marées vivantes de l’école en Europe, se re-
tournaient contre moi, (notez qu’il y a une déchirure, une sorte
de choc des civilisations aux creux de ma vie) ! Alors aux débuts
moi-même avec moi-même, je marmonnais entre mes dents ce
que j’allais dire, ce qui était lourd, très lourd, mais j’avais les
pieds sur terre, je ne savais pas que la Vie était un plat salé sucré
que l’on appréciait continuellement, perpétuellement, comment
pouvais-je savoir ?
Donc au cours du temps j’ai changé de tactique, j’ai commencé
à faire tout comme mon propre théâtre intérieur, à me faire mes
questions réponses avec moi-même pour m’élaborer une cons-
cience en quelque sorte ; ce qui, nous y sommes ici : fût efficace
côté expression, et l’écriture, ensuite ? Pas beaucoup plus !
La mémoire d’un certain passé ?
Il y a là très longtemps de cela, je devais avoir dans les 5 ans, alors
que j’étais descendu dans une petite crique pour voir les vagues
s’échouer sur la plage… Un moment une vague pas comme les
autres gonfla au loin, enfla, enfla et enfla alors que la peur mon-
tait ; je devais faire demi-tour et escalader le fond de cette petite
crique, juste mes bras étaient au-dessus, la vague s’écrasa contre
les rochers et m’avala, me submergea, et m’engloutis, je me sou-
viens du pétillant de l’eau comme si s’était hier… Le fait est que
je me suis retrouvé à plat ventre sur la petite plage, me retour-
nant par instinct et regardant toute cette masse d’eaux s’engouf-
frer dans l’Océan Atlantique…
J’étais indemne malgré tout, ce qui est miraculeux ne croyez-
vous pas ? Ne doutez-vous pas ? C’est naturel les vas et les viens,
les flux et les reflux, et puis il y a là un instant figé en moi !
La physique des catastrophes…
Galatea des Sphères :
La physique des sphères, une sorte d’horlogerie intemporelle ;
une sorte de travail minutieux à en perdre-halènes, où le temps
ne s’écoule plus réellement autre que viscéralement, que de fa-
çon cérébrale… mais pas que !
La Vie détruite ?
Rattraper les pots cassés ? Cela n’existe pas, n’en est pas moins
expression mienne !
Causons de cœurs oubliés, causons de mémoire qui s’envole ?
Mais encore ? Causons d’un combat gagné d’avance, où lorsque
je me souviens du cynisme de ma vie, il y a là de quoi en perdre
le cœur, ce cœur qui s’envole à petit feu !
Allons-dont ? Comment aurais-je pu m’imaginer que l’on avait ce
que l’on méritait ? Comment aurais-je pu vivre ailleurs qu’aux
pays des rêves ? Loin de moi tout se sent, cette chose qui s’ac-
quière, loin de là être écouté, et ce par-delà la raison… mais en
combiens de putains d’années ? Voire une trentaine, que voulez-
vous que je vous dise ? Que les seuls points d’appuis que je pou-
vais avoir sur ces sociétés civilisées depuis mes 14 ans étaient
mes parents ?
Aujourd’hui j’ai 42 ans, et je vomis sur mon innocence ? À
d’autres !
Image : CNRS ! La part de vérité là-dedans ? L’information : son
gain depuis la matière ; son éveil en la Vie ; les esprits ; la cons-
cience humaine ; l’écriture et les croyances avec l’émergence
des sociétés…
Les façons de coucher mon père :
Je pense avoir saisies les quelques opportunités que je pouvais,
où une des seules, si pas la seule personne que je retiens ici, est
ma prof de français en 3ème ; celle qui m’aura avancé l’écriture,
avancé un petit travail de mairie à ma portée ! Maintenant que
dire d’un père odieux qui connaissait l’Europe, alors que ma
sœur est tout aussi odieuse, elle qui est arrivée 2 ans avant moi
en Europe, là n’est pas le sujet mais ils auront joué d’un jeu mal-
sain à en crever plutôt 10 fois qu’une, autrement dit je n’ai pas
de famille, presque !
Que dire de ces choses qui se conçoivent ?
Qu’en définitif c’est après un déni total de ma personne, qui de
plus, acculé de coups de bottes en coups de bottes, j’en suis ar-
rivé à générer mais combien de temps ensuite ? 15 ans ? Des
stéréotypes fonciers que je ne suis pas : comme la schizophrénie
essentiellement ce qui est catastrophique, simplement pour ne
pas vouloir ou pouvoir m’imaginer que les seules personnes à
mon idée sur lesquelles je pouvais m’appuyer de retour en Eu-
rope, après toute mon enfance en Afrique, autrement-dit mes
parents : étaient alors qu’on leurs remuaient les méninges des
psychopathes qui ne risqueraient pas un poil de cul ! Comment
aurais-je pu m’imaginer cela ?
Cela aura été jusqu’à ce que je me rende, après avoir été
jusqu’au ministère de l’économie et des finances, à la mairie
saint-martinoise leurs exprimer, mais combien d’années ensuite
les psychiatres ? Que si le crime parfait existe, j’en gerbe dans
mes cornflakes de bon matin…
Imagine… Nos petits cœurs, dis ;
Battant sans réel répit… Tout au long de nos vies
De chairs et d’esprits Vies qui elles étant
Exclusivement, Référent
Ciel
Qui ne s’est pas leurré ?
Bien entendu que la vie voit parfois ces phases difficiles, des mo-
ments de sérénités, et une éternité d’incompréhension surtout ;
choses qui découlèrent naturellement vers un certain attrait des
sciences fondamentales : des Origines de l’Univers, de la Vie et
de la création de la conscience : autrement dit, ces choses-là pro-
gressent continuellement avec la conception que l’on se fait de
la réalité !
Tout cela est bel et bien fondé, j’y cherchais alors que l’on me
détruisait méticuleusement de façon presque intime, familiale,
avec qui, parmi mes silences, mes incompréhensions, ne s’est
pas leurré et jeté dans l’Arène ? Alors j’avance, j’avance encore
où toutes ses réponses très superficielles vues de moi qui ai un
niveau 3ème français, je les reporte forcément à mon propre ré-
férent, où je ne prétends pas être tout le monde, ni personne,
mais utile avant tout ; où je n’ai jamais escompter gagner, ni
perdre, et cependant j’en suis là au présent : Le film : « I Origins »
est une part de créativité ; mon recueil : « Quels temps font-ils ? »
se voit complémentaire à toute cette affaire et toute cette his-
toire !
Bien que le sujet soit difficilement abordable de façon abstraite,
il y a ici-bas des choses qui nous dépassent, qui ne se résument
pas à un côté anthropomorphique de façon global, linguistique,
frontalier : mais à une certaine approche du faciès de Dieu !
Où l’humanité voit une période critique, dans 40 ans : extinction
de masse parmi le règne Vivant ; dans 100 ans survie critique
pour l’espèce humaine ? Évoluer encore et encore ne sera plus
si simple, et pour tout le monde…
Le gouffre ?
Le calme cours d’eau de ma vie, si étroitement enserré de pierres
et de roches, entrevit la lumière d’une aurore où, comme éblouis
par une fleur portant d’autres boutons floraux à éclore, ces sym-
bolismes se voient au présent, entremêlés : l’un comme roches
et pierres fleuries… l’autre comme fleur pétrifiée… y a-t-il un sens
aux opposées de sangs mêlées ?
MSN
Voulez-vous découvrir et redécouvrir ce que signifie la relativité
en termes littéraires ? Elle parle de prosaïsme prenant étonne-
ment forme :
Vu le côté conceptuel, des gens (ce qui est étonnant c’est que ce
sont des gens auxquels l’on s’identifie automatiquement alors) ;
ces gens-là comme Jean-Pierre Luminet, astrophysicien proven-
çal donc disent y penser ; surprenant comme l’on peut se perdre
dans le fluide subtil de l’inspiration, où ils rajoutent allez faire
changer d’avis ces gens-là ? Ce qui est totalement à caractère
possessif : personnellement j’estime que c’est encore une fois
donnant donnant, où encore une fois rien n’est si simple, tout
simplement !
Mes humeurs ?
Ne ressens-tu pas mes mots battre en silence comme des pau-
pières ? Voire plus bruyamment comme un cœur ému et ses flux
et reflux sanguins ? Ne te souviens-tu pas de mes lèvres préhen-
siles envers tes lèvres charnues regorgeantes de ses douceurs
dont tu as le secret ? Ne te souviens-tu pas de l’odeur douce et
âcre de mes humeurs ?
Paupières, iris et pupille ?
Alors que l’aube s’est levée, depuis peu à peu il pleut par ce
temps morose, un temps s’écoulant fluide comme le prosaïsme
de la course des nuages alors que le ciel illuminé, voire teinté
d’un certain spectre s’insinuant en mes yeux humides…
Où ce sont toujours les mêmes larmes qui perlent goûtent et
ondes : où l’ambiguïté de ces larmes sont un peu comme un
monde passé, un peu comme un monde à retrouver ?
« Nous sommes nés poussières, nous retournerons poussières,
je ne savais pas qu’elles s’étaient formées aux creusets des
étoiles, je ne savais pas qu’elles faisaient partie de l’évolution du
grand tout : de l’Univers, de la Terre et de la Vie ! » Les pieds sur
Terre, la tête dans les étoiles ; se voit ici un obstacle de taille :
concrétiser nos rêves…
Rêve de fleurs et bois en moi, papillon !
Dont le Monde pourrait s’appeler donnant donnant, un monde
de blessés pour la Vie, un monde d’échange de fluides de la pen-
sée consensuelle, bien joli mot ma belle, mon cœur s’envole à
tire d’ailes…
Escher :
Ici l’escalier qui monte tout le temps
Ce genre artistique s’intéressant à briser, fausser les lignes de
fuites, est une spécialité d’Escher, un artiste qui fut connu après
sa mort, pour quelles raisons ? Je ne sais pas, peut-être que l’in-
térêt s’est découvert ensuite ; où à son époque il passait un peu
pour un fou, et ces œuvres pour inutiles, alors qu’a c’t’heure cela
se découvre dans des manuels scolaires, des livres de savoir, etc.
un peu comme des curiosités ou des bien beaux symboles !
Écrire dans la marge, est un peu à l’image de ce tableau en par-
ticulier, et pourtant ; la roue tourne, les temps changent, où
l’écriture est pour moi une passion avant tout !
Les réponses que j’apporte à mes questions sont futiles, vu de
certains, mais pas moins une part de vérité sur les choses tels
qu’elles sont pour une part de rêve, où le présent se dépoussière
grâce aux moyens, grâce à un gain en information…
Les choses que je pense ?
Aux contraires : - 1) La réalité est limpide, le monde est une chose étrange com-posée de quelques fleurs, celles que l'on se fait...
Un peu comme une femme : (la réalité) ; portant une sphère limpide : (le monde) ; entouré de quelques fleurs...
Ceci est un point de vue sur la réalité extrait de tout contexte, avec l'espèce humaine aux creux de l'Univers...
- 2) Préexistant il y a là la matière, son éveil eu lieu un beau-jour en la vie (...) un autre beau-jour : la sexualité apparut chez les êtres unicellulaires, qui jusqu'alors se clonaient... encore un autre beau-jour ? La création de la conscience...
Un peu comme un bloc de matière à partir de laquelle une femme s'extrait (la réalité) : fait un pas, puis deux, marche, danse, et elle est présente... parmi (le monde) cette chose étrange à la fin !
Ceci est un point de vue matérialiste de ce qu'est la réalité, avec l'espèce humaine aux creux de l'Univers...
Les zones frontalières ?
L'écriture compose quelques fleurs relativement élaborées ap-paraissant et se dissipant, où certains regards fuyants vers l'élaboration d'autres feuilles, d'autres rameaux, l'ensemble se dissipant dans la ramure de l'écriture...
Où de brèches en brèches, nous cherchons tous des opportu-nités : l'esprit se créé de la sorte, les organismes, les sociétés, quels qu'elles soient, etc.
Toujours ? Quoi qu'il en soit, ces phrases n'existent qu'entre matérialité et esprit, n'est-ce pas... ces choses que l'on assimile ou pas, tout simplement... où ici il est évident que les zones fronta-lières sont constructives : entre nos yeux et ses quelques mots, nous pouvons étendre ce concept à l'extrême : en causant du Vide, ce Vide qui n'est pas rien et où encore une fois tout est relatif...
Où bien entendu que nous sommes des histoires génétiques cellulaires, dans notre histoire organique, causant de concert de l'Histoire (avec un grand H), n'est-ce pas ?
Bien entendu que tout cela à chaque fois est un juste milieu entre rien et tout ?
Psychologie :
Comment fonctionnent les pensées ?
Mon favoritisme sur le sujet est, il est vrai : les pensées sont en-
racinées en tous les êtres Vivants, que j’estime corrélés ; où le
poids des sociétés est écrasant (problème d’écologie, humains
et de crise qui est globale) ; bien-entendu que la majorité des
gens surnagent d’une façon qui m’est étrangère, et même cer-
taines masses minoritaires ou moins, car j’ai grandi toute mon
enfance en Afrique en tant qu’expatrié ! J’étais ébloui par ces so-
ciétés, cependant j’ai vécu une sorte de déchirure psycholo-
gique, de choc des civilisations, que j’ai très mal vécu vers 14 ans,
un âge critique sexuellement, enfin il y eu signes sur signes de
détresse de ma part, mais aucune réaction de mes parents ?
Alors que j’étais seul parmi les marées vivantes de l’école, j’ai
vécu une crise de larmes, me suis couché près de ma mère : pour
seul réponse - « qu’est-ce que tu fous là ? »
La petite mélodie de The Wall des Pink Floyd que je décrirais :
mélancolie mon amie ! Mais pire encore, aux origines la prof de
français m’aura orienté vers un travail de mairie à ma portée, dé-
nié purement et simplement par mes parents… Toujours ?
Bourré de coups de bottes en coups de bottes j’étais acculé de
culs de sacs en culs de sacs, sans en avoir conscience…
Maintenant j’ai 42 ans ; où je ne savais pas que parmi « tout se
dit », de « on » dits en « on » dits des gens s’entr’aperçoivent,
des milieux se conçoivent… Où « on » n’est pas si simple vu d’une
personne, ni si complexe (parfois) !
L’Odyssée de Pi !
Si j'en suis là c'est pour avoir créé tout ce que j'ai pu créer autour
d'une personne aura eu confiance en moi, m'aura aimée un été
flamboyant ! Vous y entendrez ce que vous y entendrez, je n'ai
jamais eu de famille ; ils m'auront détruit de multiples fois, en-
core fallait-il en être conscient... Je pouvais toujours rêver, je
pouvais toujours rattraper les pots cassés, où du film : « L’Odys-
sée de Pi » je me souviendrais toute ma vie ‘d'une fleur de lotus
au milieu de la forêt’ : expression gestuelle de danse…
Que voulez-vous que je vous dise ?
Si j'ai créé tout ce que j'ai créé, c'est pour donner un certain point
de vue sur ce qu'est l'infinitude...
Tu parais toujours aussi fraiche que la rosée matinale en ma mé-
moire, où : « La rosée résultante de cette nuit semble avoir trait
les étoiles, vidée de leurs scintillance ces regards du Ciel, servant
la Vie d'une coupe brisée » !
Souvent ?
Le Chat de Gueluck
Souvent j’aime ce qui arrive de temps en temps, des moments
pas comme les autres, des moments dont l’on peut se servir pour
concevoir de petites histoires ; ces moment où nos pensées
coïncident avec ce qui se déroule autour de nous, qu’elles soient
exprimées ou pas, qu’il y ait une part de véracité en ces coïnci-
dences, ou pas… voyez-vous ?
Théoriquement des gens s’aiment pour ce genre de coïnci-
dences, pour presque rien, ou pour beaucoup, autrement-dit des
histoires qui se conçoivent ; dans la pratique des gens s’aiment
pour être des caractères compatibles !
Disons que pour moi ces histoires qui de remues méninges en
remues méninges me turlupinent, sont restées très légères et
superficielles !
Un horizon de complexité ?
Bonne intuition du film « INTERSTELLAR », où le texte ci-dessous
date d’avant ma visualisation du film :
Cet horizon était, à peu près comme à chaque fois, ma vie, mais
derrière lequel j’ai toujours eu une lueur d’espoir d’y découvrir,
qui sait ? Une certaine vérité sur ce qu’est réellement la réalité,
une autre vie, une autre façon de voir ?
Cet horizon était une fuite éperdue parmi la série Champs Flam-
marion d’il y a là longtemps : mes sujets de prédilection étaient
les Origines de l’Univers… et de la Vie ; la création de la cons-
cience… dans l’ensemble ce qu’est la Vie dans la matière, et
toute l’Histoire avec un grand H qui vas avec… Bien entendu que
cette Histoire aux creux des livres au cœur du Monde vus de moi,
est toujours similaire, jamais vraiment identique !
Le malheur, comment dire ? Parmi ma recherche s’est insinuée
pas mal de psychologie, cette chose avec laquelle j’ai appris à
faire, aussi !
Aux reflets d’une certaine réalité :
Le film : « La traversée », ici symbolisé…
Vu de moi, l’aube d’une page blanche est une promesse de lu-
mière, ambigüité dont mon choix pour le prosaïsme est aux re-
flets de ce temps qui me va si bien, d’un certain équilibre instable
autour des mots : « Ravie par la Vie et ses flux et reflux sanguins ?
Elle n’a de but autre que d’évoluer ! »
Ce temps qui voit en ce présent des ouvertures, des anfractuosi-
tés où le fluide subtil de l’inspiration s’insère, s’insinue avec la
vitesse grisante (plaisante, excitante), de la modernité…
Les fruits charnus du savoir,
Causer en cohérence, voit les perspectives individuelles s’ouvrir
de façon pas si simple, où l’Individu n’est pas rien, où la Vie pos-
sède un certain mordant parfois démesuré envers les petites
choses que nous sommes !
Des fois je le dis tout cru : « Je pense, parle et écris tout comme
certains calculent le chiffre Pi avec un nombre phénoménal de
décimales après la virgule. »
Un milieu où les ondes circulent…
Une galaxie en formation : agrégation des gaz autour d’un cœur
massif autour duquel graviter, qui d’agrégats en agrégats, une
kyrielle d’étoiles se formeront, une kyrielle de planètes aussi, où
l’ensemble est plus que la somme de ses parties, ce plus voyant
tout référentiels au centre de l’Univers, nous parle de liens de
façon surprenante et / ou moins ; nous sommes des mammi-
fères, voyant nos sens, notre conscience, être utiles à notre sur-
vie sur cette planète… (Arrangement ZEN) :
Les zones frontalières ?
Cela me laisse un goût de rancœur dans la bouche, un goût dé-
plaisant, un arrière-goût comme l’on dit, de stabilité par trop dif-
ficilement accessible, où l’on peut toujours s’imaginer ce qui ne
s’écrit pas ? Ce qui ne se retourne pas ? Mais devant quoi ?
Tout ce que l’on vit, tout ce que l’on croise, tout ce que l’on ima-
gine peut s’écrire…
Là où l’âme, le corps, et la matière se croisent !
Si l’on en a le vœu, l’en soi et l’hors de soi n’est pas si simple
entre nous autres non plus ; vu d’ailleurs, vu d’ici, vu des uns et
des autres, rien n’est si simple ici-bas !
Au diable la violence et la haine, au diable la résultante !
Tout ce qui fût écrit dans un but précis, améliorer la courbure de
mes pensées dans le but d’aimer, tout simplement ; où tout ce
qui est en moi, tout ce qui se sent en moi est un manque cruel
d’amour… alors au diable même ce manque cruel d’amour !
Voyez comment on en arrive là : avec un cœur soyeux qui s’en-
vole à petit feu ; il n’y a aucuns préjugés là-dedans : il y a là juste
l’histoire d’une certaine mémoire… Juste l’histoire d’une cer-
taine volonté : être aimé !
Où la seule leçon de Vie que je retienne, est :
Donnant donnant !
De chemins en sentiers :
Cette créativité est enivrante, accueillante, fructifère, charnue,
surprenante… ce que nous devrions nous apporter l'un l'autre,
devrait-être énorme, non ? Mais tu sais je n'aime pas bousculer
les uns et les autres mais les enrober, comme la nuit embrasse
le jour et le jour embrasse la nuit... C'est comme une source de
lumière et une part d'ombre qui s'évade, s'évade et s'évade
vers une nouvelle journée ! J'ai besoin de vous voir, je sais c'est
vif, c'est clair, c'est même comment dire une nouvelle déchi-
rure dans ma vie, une déchirure qui m'apporterait je le dé-
couvre à l'instant un peu de feu pour éclairer mes nuits... Je
sais que tu t'y attendais, que tu me l’as même avancé comme
l'on cueille une pomme... un fruit défendu ; tout un ouvrage à
venir... c'est merveilleux, enfin ? Comme la fin d'une douleur
sereine, mais si douloureuse que j'en suis là moi aussi, un peu
comme une nouvelle naissance ; où j'estime les femmes êtres
des héroïnes ! Soyons amis pour la vie, d'accords, je... l'amour
m'aura donné tant d'espoir et de rêve qui se sont vu méticu-
leusement détruits par mes parents, j'estime aimer la vie, j'es-
time aimer tout court, j'estime décemment, alors je (je ne
trouve pas les mots) mais je suis blessé au cœur de moi... juste
aimer et puis... renaitre ? Ce n'est pas concevable, non ? Com-
ment dire d'autre que j'ai besoin de délicatesse ? De temps
aussi alors que cette nostalgie naît si vite, non ? Nom de dieu !
Donc as-tu une réponse à mes questions : y a-t-il un après ? La
vie voit aussi ces moments difficile, de sérénité, où avant et
après : je crois que la réponse se situe en : c'est pareil et c'est
différent ! Enfin j’ai découverte au creux des mots une lueur
d'espoir qui laisse à rêver de s'il y a un après d’une façon autre.
C'est l'évidence que malgré le poids écrasant des sociétés (nous)
sur la biosphère, elle ne saurait vivre sans nous ni nous sans elle
(...) J'estime les êtres vivant êtres tous corrélés et même s'il est
vrais que c'est dur à voir, à apprécier, derrière son journal télé-
visé ou internet !
Curieuse ?
© Loisel
La curiosité est un défaut relatif, et la relativité une qualité par-
ticulière :
La faute à pas de cul, qui dit Drü ?
Le fougueux je crois, cette petite bébête bleue dont la particula-
rité est d’être l’hôte de Pelisse, au cours d’une quête aux travers
de contrées infranchissables fantastiques, en quelque sorte à la
recherche de l’oiseau du temps : une sorte d’utopie je dirais, un
peu comme une recherche éternelle…
En voilà de la curiosité, comment dire ?
Débridée ?
Tout-à-fait…
Alors je me demande ?
Je me demande seulement ce qui vaut réellement le coup sur
cette planète, l’innocence ?
Théoriquement nous la perdons bien vite notre innocence, dans
la pratique c’est beaucoup moins simple, car il y a là le vice qui
s’insinue, fuse et découvre des failles lui aussi ; autrement dit un
monde parfait il n’y aura jamais vraiment, voyez-vous ?
Alors j’ai opté pour ce qui m’aura semblé être l’essentiel, l’ex-
pressivité, soit-elle débridée, et combattre ce vice que je ne dé-
veloppe pas du tout…
Attention, je ne dis pas que je suis innocent, loin de là !
Mais je l’ai été si longtemps, beaucoup trop longtemps…
El Che :
La révolution est intérieure, la révolution est expressive, la révo-
lution est présente, mais qu’est-elle réellement ? Elle est à l’évi-
dence des questions réponses induites vues de moi, c’est-à-dire
d’une imagination débridée, où la Vie à ce qu’elle veut ! Il est
bien joli de se dire que des idéaux ne riment à rien, émoi, émoi,
et moi ? Je suis un bien petit bonhomme parmi tout ce que j’ob-
serve, tout ce que je constate, tout ce que j’évalue, et puis ? Rien
n’est tout ! Où chacun son petit bonhomme de chemin en sentier
parmi l’histoire des uns et des autres !
La Vie ?
Le temps n’est pas une rivière, le temps est dans la réalité, ce-
pendant il s’écoule, réalité en laquelle la conscience est quoi ?
Suffisamment étendue, vivace et réactive pour y développer de
multiples modes d’expressions et d’abstractions parlantes…
utiles… ou esthétiques…
Où l’essentiel est de participer à cette course entre le bien et le
mal… c’est une course souvent serrée où rien n’est joué
d’avance, où la Vie est un plat salé sucré que l’on apprécie con-
tinuellement, perpétuellement, et ce jusqu’au mot fin !
J’aime mes songes,
Où la musique est du mou, une ondine dans l’air du temps qui
passe, du temps qu’il fait… La musique plus l’on y porte atten-
tion, plus elle fait partie de nous ! ‘Symbolisme d’écriture musi-
cale, prosaïque’ :
Aux Origines, l’Univers devait-être
emplit de points d’inter- rogations, à partir où des jeux d’efforts apparurent tout un tas de réponses
fut fourni, qui ?
Différèrent en cette complexité d’expression
qui caractérise les êtres que nous sommes
chacun au centre de cette chose étrange qu’est notre Monde… les Hébreux m’ont élevés ; c’était toute une af- faire, et les Grecs m’ont mis au Monde… et c’était tout…
La conscience ?
Bien entendu, parmi « tout se dit »… de « on » dits en « on » dits,
des milieux se conçoivent, des gens s’entr’aperçoivent... Des
gens qui se lient et se délient comme les langues, où le ciel
gangue, si fine couche bleue enrobe le filon précieux qu’est le
Vivant : une réelle palette de nuances bleutées où tout à foncière
tendance à l’équilibre : la matière, la Vie, la conscience…
Image : CNRS
Une sorte d’induction conscientielle, ici devenue humaine ? Une
sorte d’attraction à l’élévation, étonnante sensation que celle de
hauteur, que de difficulté à y parvenir… toute une osmose entre
l’écriture et les formes, ou si le poète est un peu l’ombre des
mots, les mots sont un peu l’ombre du poète, aussi ! Pourquoi ?
Parce qu’ambigüité ? Relativité ? Oui :
Allez savoir pourquoi ? Lorsque le livre s’est dénoué,
je lirais dans un Science & Vie !!!
Mais parmi tant d’autres articles ;
un sur la curiosité des mésanges ;
juste après j’en sauvais une de la
noyade en notre point d’eau !
Allez savoir pourquoi ?
Faire de la nécessité avec du
hasard, c’est la Vie vous allez dire.
Bien que le genre humain ait
4% de gènes, ou mots génétiques
différents depuis l’ancêtre commun
avec les singes… l’ADN est beaucoup
plus que ce que l’on croyait… étant et
pour chaque espèce ; toute une gram-
maire de gènes ; plus que des mots de
proche en loin identiques ; où chacune
l’écrit au cœur d’elle de façon relative.
Mon Dieu, où te caches-tu ?
À l’évidence dans le bleuté du ciel ; où au cours des Temps cos-
mologiques, la matière, la Vie, la conscience, tout cela suivent
leurs propres chemins et sentiers, qui souvent sont lobés, biai-
sés, dans le but de parvenir à leurs fins ; où notre conception de
la réalité n’a de cesse d’évoluer…
Comment raconter ?
Au crépuscule, cette zone de pénombre précédente ou suivante
à la nuit, vu de créatures d’il y a là nuit des temps : comme les
limules, les iguanes, en bord d’Océan ; les nuages pourraient se
teinter de feu, une trainée d’apocalypse s’en suivre, fusant dans
le ciel ; vers une extinction de masse d’il y a la nuit des temps…
sauf que n’est là qu’une appréciation, qu’un référentiel qui dif-
fère en un pas de plus vers l’espace, vu d’une plage de Kourou
en Guyane française !
Il y a là une époque pour tout,
Il est bien facile de couper coller de bien belles doctrines miracles
pour parler des réseaux sociaux, mais le sens de l'évolution ne
changera pas de sitôt, ne croyez pas que je me dore le blason,
l'évolution se conçoit par l'amélioration du substrat (sociétaire
pour l'être humain) ; où les grandes extinctions ne se voient pas
à la racine du sujet…
Savez-vous que l'innocence, si vous me trouvez bête, existe ?
Voire même adulte et quel que soit notre souffrance intérieure,
le fait de ne pouvoir faire de mal à personne... Ensuite ?
Quelqu’un aura eu confiance en moi, m’aura aimé, une fois !
Après cet été flamboyant, je me suis mis à écrire vraiment, seu-
lement cela aura pris bien plus de 10 années pour parvenir à
quelque chose dont je me demanderais toujours la source, autre
que la créativité ? Un beau jour j'avais deux cœurs à porter un
été flamboyant, un qui battait pour moi : Giselle Chiari italienne,
prononcez « Kiari », et l'autre, sa fillette d'alors deux ans, elle qui
ne devais pas croire n'importe quoi : elle avait un père qui l'ai-
mait et qu'elle aimait… car ça comprend vite ces choses-là !
À c’t’heure, nous vivons une période critique, faire progresser
l'information vu de chacun de nous ; ici essentiellement vu de
moi les personnes à problèmes, histoire d'une meilleur empathie
avec le sujet, font progresser les choses : où mes psychiatres ré-
férents en la littérature sont : Boris Cyrulnik et Carl Gustav Jung
‘proches l'un et l'autre de mes problèmes, voyez ?’ Je ne suis pas
simple à cerner, à appréhender, et cependant la Vie à ce qu'elle
veut, non ? Comment aller à l'encontre ?
Voyez-là de la relativité : Voyez-là en ces écrits une sorte d’« In memoriam au World
Trade Center », (cela m'est arrivé de nommer cela de la sorte),
et une mémoire pour Giselle Chiari (italienne, prononcez Kiari)
et moi : mais c'est vrais au vu de mon vécu j'étais comment dire ?
Dans un carcan psychologique et n'avais pas les bonnes ré-
ponses à ce qu'est cette vie concrètement, par exemple : « elle
s'apprécie continuellement perpétuellement, comme un plat
salé sucré ! » S'il m'arrive rarement de nommer Bob Dylan :
Bobby Dylan, c'est pour qui sait ? Des tournures du genre « Rêve
de fleurs et bois en moi, papillon ! »
Il faut que ça fuse :
L'écriture est histoire de temps psychologique qu’il fait, du
temps psychologique qui passe, ces avaleurs de mots ; où la va-
leur des mots, elle, ne se nommerait-elle pas : le prosaïsme ?
Film : « L’Odyssée de Pi » ! Où une baleine s’en donne à cœur
joie parmi les marées luminescentes, (ce qui existerais, source :
Science & Vie), entre rêve, délire et réalité ; la moralité du film
est : qu’est l’essence de Dieu ?
Le fait de se battre ?
En gardant le sourire ne rentre pas dans la catégorie mes parents
(excusez-moi je reviens à mes problème) : ils sont inactifs depuis
près de 30 ans et ne s'occuperaient de moi pour rien au monde,
de plus, ils n'ont que des gribouillis dans la tête, et n'entendent
que la haine, envers l’indien parmi les Océans du vide, que je suis
resté beaucoup trop longtemps, et tout cela histoire qu’ils aient
la conscience tranquille au creux de ce navire fier comme un con-
tinent… Où la cuisine végétalienne de Pi, se fera avec ou sans
moi : Depardieu est la seule personnalité que j'ai vue en Saint-
Rémy-de-Provence : le voilà de façon éphémère aux creux d'un
film qui me parle des plus : « L'Odyssée de Pi » !
« Sens / non-sens ? » Là ne se situe pas le livre « Aux contraires »
de Jean-Marc Lévy-Leblond, mais le côté résurgence de la
chose ; à savoir un style d’écriture cela s’acquière, se travaille,
où parfois oui, l’art est dépassé… pas moins il y a là une justice !
Au début, Richard,
Avec tout le flegme et l'humour anglais, marié avec Henriette,
Canadienne (ils habitent à Québec), ont travaillé un temps en
Inde aussi : il déconnait avec ses cigarettes : « mon fils est marié
avec une amérindienne, bientôt j'aurais les cigarettes hors
taxes » (…) entre temps, il a contracté le cancer : les derniers
échanges entre nous, vu de moi, sont : - « moi aussi je déconne
avec ça : une cigarette m'inspire, me regarde ; ces non-sens en
quelque sorte… et puis l'on n’en décroche plus ! » Alors il m'aura
avoué fumer un peu encore, visiblement pour sa chimiothérapie,
voyez ? Richard Brown est ami de mes parents !
Voyez là sur la centrale de Cruas, une peinture à laquelle j’iden-
tifie beaucoup nos châteaux de sables, souvent fait par mon
père, des châteaux qui étaient continuellement effacés par les
vagues à la marée montante, soit par les vagues… Coquille
Saint-Jacques ? Hm ! Mon cul oui ! Mon père s’appelle Jacques !
Mais ce n'est pas tout,
J’ai une vie, un combat aussi (...) et c'est le combat d'une vie si
toute fois il faut qu'il y ait résilience... envers des gens tels mes
parents ce qui n'est pas si simple vu d'ici où l'on ne dissocie pas
l'histoire du petit blanc qui l'a fait pour, etc… et le petit noir est
une chose à laquelle je m'identifie, alors que ? Vu d’il y a 15 km
d'ici il y a là le Belge (mon père) et le petit, (moi) : (SVP ne vous
embrouillez pas les oranges mal pressées et les yeux brouillés par
le sommeil), hein ? Cela me parle de « L'étoffe de l'Univers d'An-
drée Chedid » ; grand-mère de M, ce qui cause sur l'Égypte, ses
cars mitraillés, et ses voyages à des prix défiant toutes concur-
rences, ou / alors : « l'on rencontre des gens de la pire espèce ! »
(Ce n’est pas moi qui l’invente mais les textes qui le disent) ! Mes
parents n’ont pas hésités à jouer de ce jeu avec tout ce qui leurs
cours dans la tête, ‘nous verrons’ !
Je situe là une femme en particulier, ou / alors : finalement nous
nous apercevons en être là nous aussi, après quoi ? L’on a moyen
de s’en sortir que par soi-même !
La croisée des chemins,
Moralité de l'histoire : La tour de Babel était supposée toucher
le Ciel, de quelle sorte ? En contenant tous les livres qui peuvent
s'écrire, autrement dit : tout livre complète un autre, tout livre
contredit un autre, etc. autrement dit : aucun livre n'est le
même, ce qui se voit être un peu l'origine des langues, mais en-
core de la débâcle que cela entraina depuis plus de 2000 ans...
Où : « la terre ayant été repeuplée après le Déluge, les hommes
s’arrêtent dans la vallée de Sennar pour édifier une tour dont le
sommet atteint les cieux. Dieu interrompt leur projet en brouil-
lant leur langage, uni jusque-là, et les disperse à la surface de la
Terre ».
La tour de Babel est aussi un symbolisme où la pensée se conçoit
de façon sociale, intelligente, abstraite, il y a là aussi confronta-
tions induites…
Le tigre du Bengale :
Il n’y a pas tant de temps, moi au mieux de ma forme et emplis
d’espoir, ce tigre était splendide ! Où la part de délire dans ce
film exprimant la dualité : le bien / le mal ; est représenté en
cette îlot flottant, à l’image du jour et de la nuit… La journée est
splendide, merveilleuse, emplie de trésors, alors que la nuit l’eau
douce devient acide, les suricates disparaissent dans les
arbres ??? Enfin ? L’îlot est un peu aux reflets d’une femme...
Voyez-là cette fleur de lotus au milieu de la forêt :
Une bonne leçon de Bouddhisme, de ce point safran au milieu du front :
Je crois comprendre qu’il faudrait que vous vous disiez que cette
danse des acquis aux pleines couleurs de l’esprit, s’appelant les
chromosomes, donne un sens à la Vie… Un peu comme : ce
monde qui de causes en effets nous conçoit en tant qu’être, ce
monde qui de causes en effets nous forge une conscience…
Je pense que tu vois ce que je signifie ?
Bien entendu que cela vit, où la respiration est le berceau du
rythme, le premier battement que l’on entend est le cœur, et la
première lumière qui nous est donné de voir, est le monde cette
chose étrange à la fin…
C’est beau l’Inde !
« L’être et le paraître »
Est une histoire qui commence en famille, et qui finit mal par-
fois… Il est : le premier anal de psychiatrie à lire un peu comme :
« lit dans ton livre » est une expression canadienne, mais sur-
tout : à extrapoler…
Où bien entendu le cerveau se conçoit de façon sociale, où bien
entendu un beau jour nous percevons la Vie telle qu’elle est,
c’est-à-dire qu’alors l’en soit et l’hors de soi ne sont plus si
simple, où un certain paraître en découle sur les uns et les autres,
et où parmi « tout se dit » : on n’est pas tenu de croire ce qu’il
paraît : ‘vois-là cette leçon’…
Qu’en reste-t-il ?
Tu sais, belle note ?
S’il existe des points de non-retour, il ne s’agit pas de moi, et s’il
existe des points de ruptures psychologiques, (qui vus de moi
sont non souhaités) ; ensuite des gens comme Boris Cyrulnik
abordent le sujet aussi de capacités qui dépassent celles d’un
seul cerveau, peut-être est-ce histoire de rattraper les pots cas-
sés, vus des uns et des autres ; ce qui est catastrophique seule-
ment ? Est de réaliser qu’il y a des milieux desquels on ne sort
pas si simplement du tout, voyez-vous ?
Mélodia drammatica :
L'avant et l'après ? Qu’en pensez-vous ?
Tout cela s'écoule de mes mains réunies en récipient alors que
j'y bois quelques goulées : les femmes et leurs pouvoirs ? Éthé-
rées, libre pensantes, ondulantes tel la flamme... Que ne ferait-
on pas au nom des femmes ?
Ma petite personne aura écrit à la déraison, peut-être autour de
nos cœurs perdus, de nos cœurs qui se sont petit à petit noyés,
et qui est responsable ?
Je n'y vois que deux vies détruites pour la vie, je n'y vois que cha-
cun ses desseins, et sa mémoire où avec beaucoup de temps j'en
suis ici au présent avec Giselle Chiari et Léa, ainsi qu’avec Frédé-
rique, Carine, Éric, Cécile et Antoine :
Mon étoile filante ?
Que dire ; que méritions-nous ?
Que dire ? Mon étoile filante !!!
Hormis :
Ce que j’aurais aimé verser, mes
Larmes de sel et de sang, devant
Cette femme ayant été mienne ;
J’ai un cœur gros comme :
Planète Terre !
Hormis :
Tu fais partie du passé, ma belle
Souvenue, en vrais sans savoir ?
Je t’ai sur le cœur tu y resteras ;
Longtemps, toujours… qui sait ?
Bonne mère je t’aime, je te hais
Je ne sais pas, je ne sais plus du
Tout quoi faire, hormis !!!
Crier ma détresse,
Moi aussi.
Encore ?
Je crois encore en le concept de neurones miroirs de Boris Cyrul-
nik : où notre cerveau fonctionne toujours à flux tendus, où nous
sommes tous à la recherche de notre reflet en tant que mammi-
fère social…
Vu de moi,
Les mots créent des fleurs élaborées se formant et se reformant,
l’ensemble se dissipant dans la ramure de l’écriture, où les mots
parfois deviennent étonnant référentiels, là se situe une lueur
d’espoir de l’autre côté d’un horizon de complexité, où les mots
se voient êtres inducteurs de Vie !
La réalité,
La réalité se dérobe continuellement, perpétuellement à nos
pieds sous nos avances, voyez ? C’est joliment dit, c’est sans fond
n’est-ce pas ? C’est l’ambiguïté-même d’une danse des acquis
aux pleines couleurs de l’esprit ? Cette parure se voit à l'origine
de toute création, il y a là Orphée précédente à Morphée la
déesse du sommeil, donc Orphée, lorsqu’elle ouvra un œil : Les
dieux apparurent, et puis les hommes et l’Histoire avec…
Pourquoi autant de temps pour des choses aussi futiles ?
Les oiseaux de nuits,
Alors que les oiseaux de nuit
Voyaient poindre la fin
De leurs parades matinales de printemps,
Une matinée morose s’est empourprée,
Suivie de bleutés profonds,
Et puis les fines larmes de brumes aidant
Les couleurs se sont réchauffées progressivement…
Une fine lueur d’espoir d’une journée radieuse ?
Souvenir de ce temps qui me va si bien,
Où le goût d’une de tes larmes sur tes lèvres…
M’ont fait songer à un plat salé sucré, celui de la Vie !
Film : I Origins, (fiction spirituelle), ici une recherche méthodique
et spirituelle du faciès de Dieu !
Elsa :
Physiologiquement est très semblable à cette héroïne, psycholo-
giquement encore où son caractère est tel qu'elle me connaissait
parfaitement ; mais encore ? Il y a là une quête de vérité de façon
fondée de ma part, et une recherche du visage de Dieu d’après
elle… ce qui découle de nos relations ? Un dessin de sa main sur
mes conseils d’aiguillons de rosier, d’une fleur qui ne se dit pas,
et pourquoi pas : une plume ?
Il y a là une évidence :
L’évidence, est qu’elle souhaitait le fin mot de l’histoire, et elle
l’a bien, il peut vu de nous se résumer à comment rentre-t-on
dans la danse ? Plus nous regardons loin dans le ciel, au-delà de
notre étoile, vers l’infiniment grand, là nous nous approchons
d’un certains fossile des Origines Universelles !
Et plus nous regardons en profondeur, en-deçà des belles de
printemps, vers l’infiniment petit, là nous nous approchons
d’énergies des Origines de l’Univers !
Et tout cela s’étends et évolue avec nos conceptions de la réalité,
sans que personne n’aurait jamais le fin mot de l’Histoire, sinon
à quoi bon vivre de générations en générations ?
C'est une chose étrange
à la fin que le monde :
Est un roman de Jean d'Ormesson publié le 23 août 2010 aux éditions Robert Laffont. Le titre de l'œuvre provient d'un des vers du poème du même nom d'Aragon, ancien ami de Jean d'Ormes-son que ce dernier avait essayé de faire entrer à l’Académie fran-çaise. Le vers suivant du poème, « Un jour je m'en irai sans en avoir tout dit », constitue le titre d'un autre roman publié par l'auteur en 2013.
Résumé : Qu’est donc la vie ? D’où provient-elle ? A-t-elle un sens ? Com-
ment se fait-il qu’il y ait un Tout et non un rien ? Comment fonc-
tionne ce Tout qu’est l’Univers ? Est-il permis d’espérer Dieu ?
Est-il permis d’espérer à un autre Tout après la mort ? Voici les
principales questions que les philosophes, les mathématiciens,
les scientifiques, l’Homme, se posent depuis trois mille ans. Ces
mystères sont passés par la théorie des quanta, par la loupe des
philosophes grecs, par les microscopes intellectuels de Darwin,
Planck, Newton et bien d’autres. Depuis quelques siècles, les
idées et les découvertes s’accélèrent. La raison et ces puissants
alliés que sont la science, les chiffres et la technique gagnent en
puissance, semblant reléguer l’image divine à la place d’une im-
pératrice détrônée, d’une puissance déchue. Jean d’Ormesson
nous propose alors, avec ses mots et sa gaité rigoureuse, de se
pencher à nouveau sur ces questions, mais d’une manière nou-
velle. C’est une nouvelle histoire de la philosophie, une histoire
abordée de façon neuve au lecteur, un chapitre du grand roman
fabuleux de la Vie, de l’Univers et surtout des Hommes.
Milo de Manara :
Sens dessus dessous :
© Milo de Manara !
Voyez-là de la relativité : Les Islandaises à gorge déployée contre la censure :
Personnellement j'ai l'esprit plutôt féminin, où j'ai découvert le
machisme spontané contenu en la langue française qui est la
mienne ! Cela m'a mené de façon intuitive, à me souvenir de la
première femme à s'envoler dans l'espace, et me dire que ce
genre de jeux de tentions et d'efforts contenus (hormis quelques
exceptions archaïques, les matriarcats) parmi les langues du
monde ! De façon intuitive donc, j’ai vus ces jeux de tensions et
d’efforts socioculturels êtres à la source de l'accident qui eut lieu
(où il y a une part de vérité en tout), s'appelant : la raison !
‘Le monde est stone’ :
J’ai la tête qui éclate,
Je voudrais seulement dormir,
M’étendre sur l’asphalte
Et me laisser mourir,
Stone,
Le monde est stone,
Je cherche le soleil
Au milieu de la nuit,
Au milieu de ma nuit,
Je sais pas si c’est la terre
Qui tourne à l’envers,
Ou bien si c’est moi,
Qui m’ fait du cinéma,
Qui me fait mon cinéma,
J’ai plus envie de me battre,
J’ai plus envie de courir,
Comme tous ces automates
Qui bâtissent des empires,
Que le vent peut détruire,
Comme des châteaux de cartes,
Laissez-moi-me
Débattre,
Venez pas m’secourir,
Venez plutôt m’abattre,
Pour m’empêcher de souffrir…
Une femme presque comme une autre :
J’aime bien quand vous travaillez, c’est somme une induction,
comme un vent portant, comment dire ? Que ne porte-t-il pas ?
Je sais que tu habites en pays de trolls et de lutins, de fées aussi
alors cela ne me surprends pas que cette main dans la main, que
cette compassion envers ta créativité ; j’aime beaucoup ! Car
comment peut-on ne pas être fasciné par ce que l’on fait, com-
ment peut-on ne pas y prêter toute son empathie parmi tout ça
tout ça ? Le recueillement devant un certain Bouddha m’avait
fasciné aussi ; te souviens-tu ?
Delpin Nolwenn
Le résultat est surprenant, on dirait comment dire ? Alors que je
pensais que c'était une effigie de Bouddha, ce n’est pas si simple,
comment dire qu'un recueillement, non ?
J’entends bien que ton style musical soit, comment dire ? Faisant
partie de toi, un peu 68, etc. tout à fait, pas du tout, un peu, non ?
Moi j’aime bien Maxime le Forestier en 68, il faisait des choses
plus contées que chantées, et très alambiquées ! Pas concep-
tuelles pour autant !
Le feu & l’eau :
Les songes, les pensées, les réflexions ; sont à l’image du mouve-
menté du feu et ses éclats de sève, sont à l’image de la constance
des remous de l’eau dû au lit du torrent… Dans l’ensemble les
opposées s’attirent, autant que ce qui se ressemble s’assemble…
Où chacun sa part de masculinité, tel le feu, et de féminité, tel
l’eau ; cette ambiguïté génétique mène un beau-jour à une vraie
tornade hormonale menant à la puberté…
La combustion lente du Vivant, n’est-elle pas l’essentiel ?
Une danse des acquis aux pleines couleurs de l'esprit ; cette
phrase fait songer à de multiples allusions, mais encore ?
Aux chromosomes, à la source de l'embryogénèse, c’est-à-dire ?
Au rêve de plénitude de maman !
Ensuite ? Aux rêves de plénitudes de bébé…
Parmi tout s’écrit
En un instant furent écrits des mots Universels,
En un moment, furent écrits des mots de Vie Terrestres,
Un autre jour furent écrit des mots d'Amour,
Encore furent écrits des mots pour une belle,
Une belle aux feulements féline,
Une belle aux mouvements fauves,
Toujours furent écrits des mots de nos mains,
Des mots qui furent écrits la veille,
Et parmi tout s'écrit, un recueil voit le jour !
Le petit village de Pinol
Un endroit où l’on fait des mômes.
Le village de Pinol, en Haute-Loire,
où j’adore les loirs l’on prendra les
enfants par les mains et l’on fera
des glissades sur les fesses !
Où il y a une mine d’Or
dans le fond de
ce vallon !
Où la nature est reine où les aléas
singuliers me font me demander ?
Une petite cause induit de grands effets :
C’est étonnant ce que peut devenir que rattraper les pots cassés,
c’est vrais à la fin… Si j’en suis là à écrire des petites phrasettes,
histoire de délicatesse, histoire noire peut-être, histoire d’être
avant tout ; être est faire, faire est participer, participer est être,
tout simplement ! Est-ce un excès de logique ? Ben justement là
est ma façon d’être, mon paraître, je veux bien est en peau de
banane, mais s’élève aussi encore et encore… Mes racines per-
dues en quelque sorte, je les retrouve en ces mots qui sont
miens, étonnantes racines, étonnante mémoire d’un peuple au
creux, enfin vu de moi, c’est-à-dire pas grand-chose !
Ensuite ? Il y a des gens ont des feuilles vont ou parcourent leurs
jardins jusqu’au bout presque, et tout simplement pour évaluer,
donner une idée de la distance des planètes avec le soleil ! Le
soleil cet astre, notre étoile, qui est énorme à côté de quelque
planète que ce soit ; et tout ce qui tournoie autour danse un peu ;
« on » se souviendra de la pub « Les planètes » de Perrier : « Say
on the sing, i’m a sex machine » ; enfin vive les capsules, les vieux
disques, la poussière, et ? Le Oulla-Hop interstellaire, ouaiiiiip !
Un jour je comprendrais, d’ailleurs ne comprends-je pas déjà
cette chose qui est le savoir, devient déjà des légendes, les lé-
gendes modernes sont les films, mais bien-entendu les films, la
musique, etc. avec une moralité, une philosophie de fond, enfin
toute une affaire et toute une histoire comme l’on dit !
Enfin comment expliquer que la télé courante ce n’est pas mon
pied, que les films que je regarde me collent à la peau en quelque
sorte, c’est une nécessité pour moi que d’avoir mes données,
elles sont une induction indéniable, et même le côté financier,
j’entends payer ses médiats y participe ; d’ailleurs je participe
moi aussi d’une façon étonnante, d’une façon… enfin ce sont
mes convictions, mes évidences, mes certitudes…
J’ai bien aimé une émission télévisuelle il y a pas tant de temps
que ça : « Les sorcières en herbe du Val de Lêche » où la vie est
autre parmi de grands espaces, les gens se côtoient de façons
différentes, s’apprécient de façons différentes : enfin ce sont des
pays presque vierges : des montagnes, des prairies en plein mi-
lieu de l’été… et puis de petits jardins de ces gens du froid habi-
tuellement, voilà !
Enfin la moralité de l’histoire est en quelque sorte l’herbe des
femmes, c’est une herbe comme une autre presque, mais il y a
là un petit jeu : la feuilles recueille la rosée, et où il s’agit pour les
enfants de boire cette rosée au creux de cette herbe miracle où
les histoires autour sont : « ce qui ne s’apprends pas jeune ne
s’apprends jamais ! »
Émoi émoi et moi ? Je vois tout cela de : « loin » !
La moins belle histoire ? Oui, les réseaux sociaux sont une sorte de recherche comme il
s'est trouvé souvent, depuis certain croquis (qui ne rimaient à
rien) jusqu'à, comment dire ? Des choses beaucoup plus fondées
(où je rajouterais mon propre grain de sel : (cette danse des
chromosomes : donne n'importe quoi comme résultat : c'est à
dire êtres vivant / humains, et quelque soient les racines) ! Mais
il est vrais, qu'en termes d'être en lui-même, collecter des infos
parfois sauve, (mais rapporte quoi envers des êtres incrédules) ?
Qui savent jongler entre différentes façon de procéder ? (Per-
sonnellement je me souviendrais toujours d'un mafioso dans sa
cabane, sans télé, sans rien, sans même machine à laver ! Il fut
arrêté pour avoir laissé une lettre dans son sac de linge sale (à
laver)) ; où le côté cartésien (enfin la police quoi), est une chose
en laquelle les faits priment ; (histoire de parents sans scrupules
aucuns, je fais en partie partie de la psychiatrie) : ce n'est pas
catastrophique, mais il aura fallu tellement de temps pour que
cette histoire évolue : qu'il m'est difficile de ne pas utiliser le mot
‘autisme’ et à la fois de créer !
Mon retour fracassant en Europe ?
Je commence à beaucoup trop comprendre cette machinerie
qu’est le Luxembourg, mais pas que : autour d’une roue de sa
démesure enrayée depuis près de 30 ans !
À commencer par j’ai toujours été ce que je décrirais au présent :
une petite coquille de noix, fermé sur moi-même et sincère…
Nous avions grandis en Afrique (ma sœur est de deux ans mon
ainée) ; jusqu’à 14 ans car la mission-laïque s’arrêtait en 4ème !
Alors que nous étions de retour définitif d’Afrique, il y eut tout
un tas de signaux de ma part : comme une petite mélodie mé-
lancolique au possible (l’intro et le final d’une cassette des Pink
Floyd : The Wall) ! Fredonnée continuellement…
Comme le livre de Jean d’Ormesson où il aborde le sujet de
Mourmansk, cette base de sous-marins nucléaires en Russie, qui
ne demandent qu’à crever et déverser leur poison nucléaire dans
les Océan de la planète… parmi tant de superficialités que cela
me toucha : un soir j’ai eu une crise de larmes moi qui était seul
parmi les marées vivantes de l’école en 3ème, alors je me suis mis
dans le lit de mes parents pour pleurer, et oui vers 14 ans ; seule
réaction : - « qu’est-ce que tu fous là ? »
Il est évident que la pédopsychiatrie, voire psychanalyse s’impo-
sait ; Frédérique, un médecin faisant partie intégrante de la fa-
mille aura dit à mon père : « ton fils a de sérieux problèmes de
communication », et pas de réactions encore une fois…
(Ca aussi, je l’aurais appris très tard)…
J’ai redoublé la 3ème et parmi cela je me souviens que de deux
noms : Jérôme et Nassima ; vous imaginez l’échange que je pou-
vais avoir ?
Nassima je lui écrivais de petits mots très forts en goût, et Jérôme
est venu une fois chez moi...
Alors la prof de français m’aura orienté à la sortie de la 3ème vers
un petit boulot à ma portée : bien entendu ? Mes parents
m’avaient dessinés un avenir vernis (au point où nous en
sommes caricaturons : ‘l’Afrique c’est chic’, l’électrotechnique te
permettra de réussir. Je me suis rendu à la mairie, où un adjoint
m’aura proposé ce boulot, l’évidence est que cela me convenais
mais que je parlais aussi de cette formation en électrotech-
nique…
Alors de retour chez moi, vous entendez bien qu’ils étaient les
seuls personnes sur lesquelles je pouvais m’appuyer, ici ; alors
j’ai posé à mon père la question la plus pertinente qui me vint à
l’esprit : « qui a parlé, nous qui sommes seuls parmi tous ces
gens ? » Mais sa seule réaction fut, récapitulons : « l’Afrique c’est
chic » !
Ici nous sommes au début d’une déconstruction progressive et
méticuleuse de ma personne ! (88/89)…
Alors j’avais 15-16 ans et je me noyais dans la série Champs Flam-
marion à partir du livre :
« Le Quark et le Jaguar »…
L’écriture s’imposait de plus !
Vu de moi…
… le problème est catastrophique : je me suis retrouvé dans la
gratuité de la chose (ce qui m'est arrivé de décrire le trou du cul
de la psychiatrie au vu des moyens de mes parents, en parlant
de l'organisme : le secteur arlésien) ! Je ne suis toujours pas dia-
gnostiqué, et pourtant c'est si simple, pour que je vive un point
de rupture psychologique, ils m’auront remis sous neurolepti-
cons, (comme je dis parfois) ; ce n'est pas surprenant que je pre-
nais mon cinéma intérieur pour des vérités... histoire de ? Méri-
ter une place dans ces putains (désolé ici nous sommes en Pro-
vence) d'appartements thérapeutiques, où je ne pose pas tant
de questions que cela, le gros, le sérieux problème était d'être
aux côtés de mes parents... ce que j'ai dit quelques fois, proba-
blement trop bas pour qu'ils m'entendent, ces psychiatres...
(Précision : tout à fait comme mes parents) !
Maintenant je suis à la recherche d'un appart à moi et d'un peu
de vie tant méritée...
Comment dire ?
Hm ? Difficile de parler de ? Vas et de viens ? Des uns et des
autres ? Alors que, comment ai-je eu en tant qu'autiste (ce qui
semble dur à déceler au présent) ; évidement que voulez-vous
que je vous dise ? Que j'ai vécu une violence psychologique fon-
cière (parlons plutôt de véritable lynchage psychologique) :
Comment en suis-je venu à vivre parmi un sarkozyste (en appa-
rence 100% pur et dur) qui en fait est depuis une 30aine d'an-
nées le cul dans le beurre plein aux as, la faute à pas de couilles
tel que s'en est inconcevable ?
En commençant à m'exprimer sur moi tel que je suis : 0 dégâts
mon cul oui...
En venir ensuite à Shine Shine on You'r Crazy Diana (déviation de
P.U.L.S.E des Pink Floyd) pour quelles raisons ? Lady Di s'était pris
un pilier à 200 Km/h sur le périf parisien, et le premier politicien
qui ramena sa fraise : 0 dégâts cela n'existe pas (ce que je nomme
un mur médiatique).
Vous pouvez vérifier cela ne se trouve plus sur les émissions qui
persistent sur la toile, mais pas moins l'objectif pour le peuple,
lui existe, (et le paparazzi aussi) !
Si toute fois je manquais de faits concrets parmi cette psychia-
trie, des mots que j'avais à la bouche sont : « Je me sais sain mal-
gré tout », « c'est ce que j'ai en moi qui vous dérange ? » etc.
Il m'aura fallu une 10 aine d'années (ne mégottons pas) de psy-
chiatrie, après avoir vécu un été flamboyant, en me ré-effon-
drant à base d’au début tout ce que demandait mon père pour
parler pervers narcissiques « tu fais semblant d'être propre »,
« tu fais semblant d'être bien », etc.
Et puis à petit feu (après avoir abordé la psychiatrie) et arrêté en
quelque sorte : Christian Priac infirmier, autrement dit vu de mon
père : les couilles à mon psychiatre : Mr Jean Luc Vurpas ; est
arrivé avec un super truc qui rends maboule et des docteurs ma-
boule je vous en réinventerais pas :
(Précision : je ne suis toujours pas diagnostiqué alors que je sais
parfaitement, voire même de façon poussée ce qu'est l'autisme
(sans jamais avoir lu un livre sur l'autisme) !
Déduction : Comment est fait « on » ? « On » est l'Individu, une chose indis-
sociable faite de vas et de viens, que je nomme un certain fluide
de la pensée consensuelle, l'inspiration : des fois je l'imagine ce
présent voir des failles, des brèches s'ouvrir, en lesquels nous dé-
couvrons des opportunités, une source d'inspiration, alors que ?
Rien n'est si simple, encore une fois, et pourtant tout ce que l'on
te prend, tu ne peux que te le rendre par toi-même... Où donnant
donnant est la seule leçon de Vie que je retienne...
Et ce plutôt musicale : Acoustic Shapes ; Jazz ; Hubert Nuss /
Sayd Goodbye To Useless ; Electronica ; Deru…
I Origins ?
C’est étonnant, Elsa Chevrier très similaire en esprit et en appa-
rence, à cette héroïne quelque-part, je l’aie vécu aux Sophoras,
en Nîmes !
L’homme est-il un singe devenu fou ? Certain abordent le sujet
que l’origine de la conscience est, qui sait ? Les hallucinogènes…
je n’irais pas si loin, mais de causes en raisons à tout, ils font par-
tie du décor vu de certains, vu de certains calligrammes aussi ;
que dire de plus ?
« L’homme est-il un singe devenu fous » me fait songer encore à
un mur que m’aura fait prendre mon père bien qu’en mon moi
intérieur je le savais, nous avons vu des gorilles en Guinée Cona-
kry, vus du siège minier de Sangarédi, la raffinerie à Camsar, avec
les minéraliers qui chargeaient près des côtes avec un tapis rou-
lants transportant le minerai raffiné de bauxite (voilà si vous vou-
lez la géolocalisation) ensuite ?
Mon père m’aura affirmé : « ce sont des chimpanzés, ils peuvent
devenirs si gros ! » Chose que je n’ai jamais gobée, voire même
exprimée en Afrique, ici devant des documentaires, etc.
Et si vous voulez vous renseigner sur la présence de bambous en
Guinée, regardez : les chutes du Voile de la Mariée (où il n’y a
que ça, des bambous) !
Bien entendu vu de moi, que puis-je crier plus fort qu’un lyn-
chage psychologique :
(Chose non répertoriée bien qu’il se trouve de la violence psy-
chologique (envers les enfants aussi ; où réaliser à l’âge adulte
existe bel et bien)) !
J’aime ces perles bleutées en ses tresses !
Athéologie,
Athéologie est un néologisme entre athées et théologie, athées
est l’ensemble des êtres non croyants, et les théologies traitent
des ensembles complexes des croyances, d’où l’athéologie est
une philosophie qui traite de façon détachée et constructive sur
un peu toutes les croyances !
Dans le fait il ne s’agit ici que de mon petit bonhomme de che-
mins en sentiers, aux creux des livres au cœur du monde, ceux
de savoir ; où je ne me situe pas du tout comme une personne
traitant des religions des uns et des autres, mais y appose mon
grain de sel : où en ce recueil il existe des curiosités littéraires,
des phénomènes d’émergences, en lesquels il est fort possible
de se leurrer ou pas du tout ?
Bien grande question !
Une certitude, les intuitions des gens d’alors n’étaient pas si
fausses, ni si vraies ; mais elles étaient exprimées comme elles
étaient exprimées : inclues dans un contexte, un milieu, des
langues, qui vivent depuis tout ce temps, et encore et encore…
d’où ma position est, qu’il y a là en ce recueil une part de vérité
aussi, utile ou moins aux uns et aux autres…
Dans l’ensemble je n’ai aucuns préjugés envers aucuns peuples,
aucunes croyances, aucuns monuments…
Là est le fait, justement d’une façon d’être et de penser qui ne
demande qu’à fuser, que voulez-vous que je vous dise ?
Que donnant donnant à sa propre valeur ?
Où le cœur,
Symbolisme de bonté de centre de l'âme est équilibre instable :
un équilibre voit parfois des points de ruptures, où il m'arrive
d'exprimer enfant à problèmes / enfants géniaux, là souvent est
le fait des parents... où le fait que je sois un peu les deux est
forcément tout un problème !
Je sais que le savoir vu de moi, aura été longtemps une échappa-
toire : je m'évadais du haut ? D’un niveau 3ème aux creux des
livres au cœur du Monde : ceux de savoir (comme essentielle-
ment la série « Champ Flammarion » d’alors, sur les sciences fon-
damentales), où j’ai toujours eu une lueur d’espoir derrière cet
horizon de complexité de découvrir, qui sait ?
Une certaine vérité derrière tant d’hermétisme ? La vérité envers
moi, envers les autres, envers la réalité… ces choses avec les-
quelles j’ai continuellement, perpétuellement essayé de
faire pour participer à la Vie ?
Donc des gens y pensent c’est une évidence, à cette part de rêve,
qui parfois arrive alors que plus rien n'est rattrapable :
Je ne savais pas que les histoires qui se dénouent comme des
pelotes de laines, voire s'entortillent comme un petit chat qui
joue avec : n'est là qu'une histoire de caractères, d’amour ou de
haine pas si simplement déroulée :
Sur la radio France Culture je suis tombé sur le titrage d'un livre
de Winnicott : « Une tâche sans fin », livre que je n'ai jamais
trouvé alors, m'est venu une idée géniale : en parler allusive-
ment : « Si nous l'appelions Biodiversité ? Rattrapons les pots
cassés… »
J’ai connu Winnicott du livre : « Entre jeu et réalité » chose qui
ne me correspondait pas, vraiment ; mais ce que j’en sais c'est
qu'il y a là une recherche longue et difficile entre jeu et réalité
avant d'avoir des réponses concrètes d'un enfant !
Mais restons simplistes voulez-vous ? Côté lectures j'aurais finis
« L'inachevable » de Yves Bonnefoy, dont l’atmosphère générale
est une peur bleue d'un de ses livres, dont je ne voyais pas pour-
quoi ? Avoir une peur énorme d'un de ses livres, de l'avoir trans-
mis, de l'avoir conservé, etc.
En écoutant un appel téléphonique passé à la librairie Harmonia
Mundi, bout du fil qui demandait « L’inachevable » d’Yves Bon-
nefoy ; saisissant l’occasion, j’ai développé vu de moi la chose :
- « en apparence il s’intéresse ou / et créé des calligrammes,
voire en différentes langues, où à l’évidence tout cela n’est pas
si simple du tout, où la roue tourne et les temps changent : avec
la modernité… la question concrète que j'ai au bout des lèvres
est qu'est-ce de plus qu’avoir le fin mot de l’histoire ; où se rele-
ver est beaucoup déjà… »
Le fait de ces calligrammes en latin,
Est complexe, très complexe, la complexité-même… sur le fait,
cette part de créativité nous dépasse, comme des crocs gigan-
tesques aux creux du festin gargantuesque de la littérature !
Ici n’est pas quelque-chose d’infime, le malheur est que parfois
l’art est dépassé ; certainement une histoire d’époque, une his-
toire de nécessité de certaines paroles parmi l’Individu ! Où j’en-
tends ce que j’entends : toute vies sont corrélées, et ce jusqu’aux
évolutions génétiques dans l’ensemble, jusqu’aux germes en
émergences dans la somme… et jusqu’aux nouveaux défis de la
Vie : surmonter les nouvelles agressions induites environnemen-
tales !
Comme les allèles génétiques, les langues se lient et se délient
organiquement, physiquement, expressivement parlées ou
écrites…
L’Art se situe aussi en l’écriture, à c’t’heure les moyens tech-
niques concrétisent les paroles, la crédibilité des paroles en
toutes sortes de caractères où ma langue est le français, où je
suis français par nature, même si né en Belgique !
Il y a là une époque pour tout : où avant l’heure ce n’est pas
l’heure, après l’heure ce n’est plus l’heure ! Où vu de moi ma part
de créativité est un peu le monde de demain, où tout est lié en
termes humains aussi…
L’avenir à venir ?
L’immersion en des mondes virtuels de travail, bioélectroniques
aussi, nanotechnologies médicales, et biométriques d’environ-
nement surveillé…
Aux creux de villes tentaculaires,
Oui, mais à quel prix ? Aux prix d’optimums de survies malgré les
autoroutes financières, leurs ponts, leur fragmentation en
routes, chemins et sentiers menant à l’offre et la demande ?
La fin du soleil vu des confins de l’Espace proche !
J’ai tout au long de ma vie, été heureux de l’époque en laquelle
je vivais, et ce exclusivement grâce à une part de rêve énorme !
Sans réellement part de jeu parmi les collectivités de masse, je
ne sais pas jouer de ce jeu qui s’appelle la Vie civilisée !
Hormis celle du Bar à Thym en Arles, où rien n’est joué hormis,
vu de moi, les mots ; nous sommes en pays d’Arènes, où la réalité
est reine… Des mots bien appliqués sur le sens verbal de ces mo-
numents où cette Vie est une confrontation perpétuelle, conti-
nuelle, où plus les gains sont élevés plus l’étau est serré, voire les
boulons chauffés au rouge, et les enjeux risqués ! Voyez là l’ave-
nir à venir des sociétés de plus en plus boulonnées, ceci-dit
fluides aux contrastes accrus ; où l’argent est fait pour travailler,
circuler, aux contraire de dormir autrement que temporaire-
ment, exceptionnellement, et ce dans un but (investir)…
Ce que je n’ai jamais vu de mes parents, et ce en une 30aine
d’années ? C’est là que je bloque réellement…
Darwin Comet Orchid ; un travail comme un autre, biologiste !
Série :
Les illusions d'optiques (source MSN) :
C'est émouvant car l'on croit quelque-chose, l'on ressent
quelque-chose, mais sans savoir réellement quoi ?
C'est un peu comme une histoire racontée près du feu, un peu
comme il y a parfois des sacrifices sans couteaux, sans adieux,
mais avec une volonté profonde de rattraper les pots cassés : (ce
qui est un peu comme avoir plusieurs cordes à son arc), c'est un
peu un peu comme si je me perdais à desseins !
Avec toujours une pensée du soir : lueur d’espoir !
Je dormais…
Lors du sommeil d’une vie, remonter en songes le fleuve… la ri-
vière… pour arriver à la plus haute source de notre nuit : Induit
un éveil mouvementé ou moins, et créatif ou moins parmi la
danse éternelle de l’eau féminine, avec son érosion masculine !
L’eau et son pouvoir de déferler, de danser, de sculpter parmi le
relief, au clair de lune ou en plein jour, c’est une danse éternelle
d’écume et d’érosion…
Le cœur de la langue,
Les flux et reflux de nos pensées, voient le temps qu’il fait en nos
consciences, le temps qui passe être bel et bien l’avaleur des
mots ! À l’image du mouvementé d’un feu de bois de charme, et
ses éclats de sèves ; encore à l’image de la constance des remous
d’une eau vive, douce et claire de montagne…
Beaucoup plus bas dans la montagne, dans les bassins stables,
émergent des spectres féminin et masculin avec leurs lanternes,
où l’on se souvient ou pas, où l’on y parvient ou pas…
Là se situe toute l’ambiguïté…
Éclairer les gens : c’est gentil ? C’est méchant ? Certainement
est-ce ambigu ? Où des fois j’ai peur moi-même, et pourtant
j’avance, j’avance encore et toujours !
De la feuille jusqu’au bout des plumes,
Il m’est arrivé l’automne, d’entrevoir une feuille tomber d’une
branche, illusion éphémère qui découla sur la réalisation con-
crète d’un petit oiseau ouvrant ces ailes pour s’envoler dans les
airs : parfois une illusion éphémère découle sur une réalisation
concrète jusqu’au bout des plumes…
Pelisse tire la queue du fougueux, bien au chaud, non ?
Pelisse au bout du monde, dis-moi ?
Pelisse et sa bébête hôte ?
Les beaux dégâts ?
La petite fée clochette ?
Pelisse et son épaule, devant l’inconnu.
Ascendance ? Moi je suis une ascendance, et des étoiles l’influence
Ne fait causette que de nous,
Et d’une minimale transe, sur laquelle on danse
Jusqu’à cours de nous…
Au cours des temps diffus où trêve,
Tout cela s’étends, fuse et s’élève…
Où plus nous investissons dans des flèches,
D’expressivité, en la reine de l’expression, la réalité…
Plus nous insinuons des brèches,
D’expressivités, en l’Arène de l’expression, le Vivant…