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, é§tlEace!5fm:rlfir§LËÀ- ' siers brfilants que le Pro- chain gouve-mement de- wâ traiter. Passé les légis- latives, il lui faudra Peaufi - ner la trsiecloire de§ furxe* pr#ryt* pr€{$ise par !e candidat {&e àto:s-ç* noæ dette pu§ique sétablis- s# à 97,5 % du pI3 eu trqi§ième trirneetre 2æ6, eôit sÊpt poiirts de dw qe la'moyenne dela zone er*ro,le déflesËdaübte Lc futut président derrra farbord r⧧urer les inEe*tis,seurs et surtoat tse parten*ires de la zone euro sur sa vslonté de re§pe{ter les règles budgétaires communes. Et ce, même s'il proieffe ci'entamer des négociations poirr les rendre plur souples. Mais.sa grande mis- Ia ru€s€##&i;kui* H *&dsæq avec iâ--;:Jr:l-- j--f raFI I mi$iards i L oT'". I r--_-l lgo,rrol ll DerrIèrc Teffiffi§vrr )&ffi! rr§. C't§ te montant de ta &arg {paiement des i*ter,êtr} Prêr de fequivaler* defendep cJébnse. de noùe dette ect d&$se{ 5ürles39,9q&reiffitr$x assureurs *anç+i,s, ?:ÿ* § tricalores. Commedy «/ene lcjsse.raipns un déficit puAfic ë a5 % ûrr PIB- Bt la baisse des receüés qui a suivi errgen&ée par la cessio& a creüsé unpeuplur enærela detæ. daqreecune deffe delrient ta§t à æztp irlraul.e',* nabte", explique Frôme Creel econsmiste à ttlbsefvatôire ftançais des coniarrcfures éco nomiques (ûFCE). En témoigael'æeraple du faut-il le reduire? §& théofre, tres traités euro@ns exigant 6re nsrs remenior* ProgIe§§iveme$t }a dette ptÈlkpie à 6o X du PIB- Mais qu'endisent les èconomistes ? «Il n'*iste aurun seuil à parrir si*n sera de gara*ti: 1a rd:ili*rce de n':rre Iapcn. dant i'endettement dépasse ies :5o ,,!a:r! j:--*; i- -J+;*- r.æ. parfois thlhri$e §ur b dæe âæ taux d m coniraintes europeennes, c'est bien la survie de i'Etat-prcvidence fuançais qui est en i€{1. *lettt *'d$ager des *aéderrts, §a aré§fuilité att mccrele itveau de dtôrnage », ai<:ute FraûçÛis h*efi{* hscoilffilfiH æropel#, CstIâsüffi& *tEt*t- re*Ësæ qridæleür Ecalle, anciea ccnsei§er rnâ?fre d€ lâ des cemptes, ar{ourdhui riédectei*tr du site prirna$ 5;&ôq§ EmmamptAÉacrr d'écsnor{iies. 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Ie &rnier budget excédentaûe re- monte à... 19?4 Pour comHer eet é{art; nous avoas delre ern;rnrntéswlesmar&rés, ce qui a peu àpeu creusé notre dette. Mais ce n?Spas taul «{/nliers dslslre*sæ du rafio dlerlddtelglsàt olservé e*tretgï$ et zao9 sst tlwûry de'fl4çfusnoa de§ tatil{. d'inté,r& ùæ.wæ st dâbt:f des anwées t98o », aioute Bruno find, É:onorniste à Paris-I-Pan- tireon-§o&æg &t:,+*tfÇ lês gouverrie' îae§* *§r€,sewi&; &.ftq,!e æælpe de gau- dre n'§at iæIq{§ pr§l#d€s, p@@defCIrte d'acalyre ** fuanæc prbliques §ipeco- Atr regard & ce eritèes, le cas fralçais plutôt rassanxt, §time-t-il' Nous ne ;cm- mes pas au bord de la faiEite. nMa* cela ne verÉ gs dire que ta dctte peat continuer à se cre§lâ ir&éÿniment», prévient M. Cred- Si ûou$ ne sômrnes pas vigilants, nous ris- quorx d'assisterunieur ou l'aufreàuu effet boute de neige cepohtde ba§Qle où les i* vestisseurs, dsutartt soudain de la capacit€ de t'§tat à rcmbourser, relèrent leurs taux d'intérêt. Ce qui accélère les difftcuhés de resibowsement, et ri§$re de provoquer, à terme un dÉfrut de Paiement .- L* Fraace a donc tout intérêt à au rxoins st*itiser ta dette xr *iveau actr:el Yoire la reduife, dffunde*t bs économistes tribé- ralx, afir: d allegerle fardeau pour les gê46 rat$ons,futures, rie p6s s'exposer aux hu- me$rs Ges tnarch€É ei re{rcrx+r des Ecerge§ de manætrvre pour irroestir' L'arge[t con§a- cré @qæ annee au versement des intæt§ - environ 4z milliards d'euros - et âux notl- it être corrsacré à Yeâtlx errÈp4Êts PGllrrà e pmlets plus Productifs. FRÀffiIS FILLOû{ - BTT'IOîT HÂilüOI,t - tfi fu** e c**datl,es @se*arest tdsraré€ *.sor'dËë. «Jere &*rcerai3æ*lon relrfsttr s ffi lf *&a§edg toryer:d#+firee çenû*le & *r#M dærsç @&@rffimrf ûrÉsnreæ ** po* &r secÊr'ffi, cë&rf, » ês cü{rÉcÉ&é6 ætrr6@ ü#ê .Grsrs",-J, $ïtwnr*arb&{eËôfiâfe*æz Ânotysê˧rrlâtie+e de déficii public; bs eréw'§i(i83du prqgrarnrne de M: fitiôrï 6nt d,ëà,variÉ pkrsieurt fois r o16& < @te @liquer» deso{r prsiet i{rdiqrtÈ'q*de«fu d#.cif tsûa{ resÉere #sproûeblernent au r*oins égat à a,5 % du PtB *ki è 20i 7», mais Ie edr4s a dêià été rernanié deux fois. Dans s* dernière note datartt du 23 février, l'équipe de campagne prévoit désormais irn déficit & 3,7 % en 2817, et de 3,5 ?o l'année suivânte. Ces revirernents fs*t peser des doutes sur la crédibitité,de la trajectoire budgetaire du candidat' Les obser- yâterrs s intêrrogent aussi sur ta câpacité de {'éconornie française i à résister au traitement de cheval que M. Fitlon souhaiterait lui infliger , dans un premier t€r$Fs - et €e aiin, expliquet-il, de lui donner ensuke les conditions du rebond. La hausse de deux points de la TV (même si ette ne s'apptique qu'au tatx supérieur de cette taxe, soit 20 %) enviçagee afn de financer les rnesures d'atlég*rnent de charge: de 5s milliards d'euros - en majorité pour tes entreprises - pounait peser sur la c+nso,mnration, moteur de l'écônsmietricolore' Le Eerad&td &r rS ptdde pocr rm arasr*Èrc slr âe" p6cte de $düÉ», qrri #l# let @aÀ'6 de fi*ds peÉ{fures des ftÊe nw*r*- Ef æ, a*t & <æxæ qr « nçnttË8/,, ïtÈtéfFdfêEârl? a€pim*t d:ûlnæcfrsmelt &r gl{nd &r dffit e{nctroôdm æe fuÉ6re de æor*nd$sr, €t de ryétet *tte É*ae po{r e*irsr#e & <}'EI€ éoræf&»' Andysela rérolration des traites euroçÉens e§t un irnSÉratif pour M, Har-nen, qtri souhaite mettre en piace un plan d'investissement européen de L0§ô rnilli*rds d'euros. IÀsemblee de la zone euro qu'il propose a*rait d'ailteurs opo ur mixion de débattre pubtiquemt àt du déade, a, budget de to zone errq mois oussi {- '.} des ciàles â odopter dans ls réduc'tion des défici*», a indiqué te candidatP5 {qu üse une r§,Jtuatisation des dettes nationa{es} au Monde daté vendr 10 mars, S'it semb{e avoir mis en sourdine t'idée, évoquee {e 2? févt sur Frafice lflter, de " ne pas rembaursero ta dette française, M' Ham souhaite clairement s'af{ranchir des cadres budgétaires européens actuels. ll rnise sur uri infléchissernent des posltions altemandes à la faveurdes éls€tioÊ: Iégi§lativ€§ de l'automÊe, pour tequei le p: social-dérnocrate SPS semble en bo*ne position' Un exercice ambi tieux lsr:qu'on connaît la rigidité historique de Eerlin sur ces sujets Srrrtê$t, M. Hamon n'a touior:rs pâ5 rotamuniqué de cadrage Tinan ni de trajectoire budgetaire pÉcis de son progrêmrne' .rz,.1 ,, (.(-ft*rl" 4j/\ûÀàÇ^) lT

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, é§tlEace!5fm:rlfir§LËÀ-' siers brfilants que le Pro-

chain gouve-mement de-

wâ traiter. Passé les légis-

latives, il lui faudra Peaufi -

ner la trsiecloire de§

furxe* pr#ryt* pr€{$ise par !e candidat{&e àto:s-ç* noæ dette pu§ique sétablis-

s# à 97,5 % du pI3 eu trqi§ième trirneetre2æ6, eôit sÊpt poiirts de dw qe la'moyennedela zone er*ro,le déflesËdaübte

Lc futut président derrra farbord r⧧urer

les inEe*tis,seurs et surtoat tse parten*iresde la zone euro sur sa vslonté de re§pe{ter les

règles budgétaires communes. Et ce, mêmes'il proieffe ci'entamer des négociations poirr

les rendre plur souples. Mais.sa grande mis-

Ia ru€s€##&i;kui* H *&dsæq avec

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Teffiffi§vrr )&ffi! rr§.

C't§ te montant de ta &arg{paiement des i*ter,êtr} Prêrde fequivaler* defendepcJébnse.

de noùe dette ect d&$se{5ürles39,9q&reiffitr$xassureurs *anç+i,s, ?:ÿ* §tricalores.

Commedy«/ene lcjsse.raipns

un déficit puAfic ë a5 % ûrr PIB- Bt la baisse

des receüés qui a suivi errgen&ée par la rêcessio& a creüsé unpeuplur enærela detæ.

daqreecune deffe delrient ta§t à æztp irlraul.e',*

nabte", explique Frôme Creel econsmiste àttlbsefvatôire ftançais des coniarrcfures éco

nomiques (ûFCE). En témoigael'æeraple du

faut-il le reduire?§& théofre, tres traités euro@ns exigant 6rensrs remenior* ProgIe§§iveme$t }a dette

ptÈlkpie à 6o X du PIB- Mais qu'endisent les

èconomistes ? «Il n'*iste aurun seuil à parrir

si*n sera de gara*ti: 1a rd:ili*rce de n':rre Iapcn. dant i'endettement dépasse ies :5o,,!a:r! j:--*; i- -J+;*- r.æ.

parfois thlhri$e §ur b dæe âæ taux d mconiraintes europeennes, c'est bien la surviede i'Etat-prcvidence fuançais qui est en i€{1.

*lettt *'d$ager des *aéderrts, §a aré§fuilité attmccrele itveau de dtôrnage », ai<:ute FraûçÛis

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Ecalle, anciea ccnsei§er rnâ?fre d€ lâ

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Dans l,e de*ail,teatder&uiielsle PIB: Ia cro,issa

sentiel, d'aborÔcélèrele désendeIer coûteuse pornent en$uite la lques-ày%dulesplus élevées<lirnde - ou la hargatoires - mais cqS%daPIB,diffi

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Rérluire Ie nivrcomr,ne k défenles lib,érarlx, pecsurtterüæ, {(B

tes, en etryrnenl

Polxrq1aCIitr'erffirnentpubtic a-t-il atÉant rnonté ?

Depuis t98o, oir elle ræ représentait que

zoS X A pB, Ia dette p»rLÈique tricolore ne

ceeæ daugraenter. « Ce phérwrnène sbbse rve

é@rrerr- dans la PluPart dæ YYs déveloYpds», sotrligrte Anrie-Laure §elstte, écono--rdste

au Ceîtr€ d'etudes proap*ives et d in-formations i*ternâtiotales {Cepii}- ta cause ?

Chaque anrÉe, aos dépenses pr.tbliques ffo*c-tionner*ent defEtat,de§ adrlinistrâtior§pu*blioues locales et des administrations de Sé-

*.ite to.i*tu1 sont un peu supérieures à nos

rec€ttës. Ie &rnier budget excédentaûe re-

monte à... 19?4 Pour comHer eet é{art; nousavoas delre ern;rnrntéswlesmar&rés, ce quia peu àpeu creusé notre dette.

Mais ce n?Spas taul «{/nliers dslslre*sædu rafio dlerlddtelglsàt olservé e*tretgï$ etzao9 sst tlwûry de'fl4çfusnoa de§ tatil{.

d'inté,r& ùæ.wæ st dâbt:f des anwées t98o »,

aioute Bruno find, É:onorniste à Paris-I-Pan-

tireon-§o&æg &t:,+*tfÇ lês gouverrie'îae§* *§r€,sewi&; &.ftq,!e æælpe de gau-dre n'§at iæIq{§ pr§l#d€s, p@@defCIrte

d'acalyre ** fuanæc prbliques §ipeco-

Atr regard & ce eritèes, le cas fralçaisplutôt rassanxt, §time-t-il' Nous ne ;cm-mes pas au bord de la faiEite. nMa* cela ne

verÉ gs dire que ta dctte peat continuer à se

cre§lâ ir&éÿniment», prévient M. Cred- Si

ûou$ ne sômrnes pas vigilants, nous ris-quorx d'assisterunieur ou l'aufreàuu effet

boute de neige cepohtde ba§Qle où les i*vestisseurs, dsutartt soudain de la capacit€

de t'§tat à rcmbourser, relèrent leurs tauxd'intérêt. Ce qui accélère les difftcuhés de

resibowsement, et ri§$re de provoquer, à

terme un dÉfrut de Paiement .-

L* Fraace a donc tout intérêt à au rxoinsst*itiser ta dette xr *iveau actr:el Yoire lareduife, dffunde*t bs économistes tribé-

ralx, afir: d allegerle fardeau pour les gê46rat$ons,futures, rie p6s s'exposer aux hu-me$rs Ges tnarch€É ei re{rcrx+r des Ecerge§

de manætrvre pour irroestir' L'arge[t con§a-

cré @qæ annee au versement des intæt§- environ 4z milliards d'euros - et âux notl-

it être corrsacré àYeâtlx errÈp4Êts PGllrràe pmlets plus Productifs.

FRÀffiIS FILLOû{

-

BTT'IOîT HÂilüOI,t

-

tfi fu** e c**datl,es @se*arest tdsraré€

*.sor'dËë. «Jere &*rcerai3æ*lon relrfsttrs ffi I» lf *&a§edg toryer:d#+fireeçenû*le & *r#M dærsç @&@rffimrfûrÉsnreæ ** po* &r secÊr'ffi, cë&rf, »

ês cü{rÉcÉ&é6 ætrr6@ ü#ê .Grsrs",-J,$ïtwnr*arb&{eËôfiâfe*æz

Ânotysê˧rrlâtie+e de déficii public; bs eréw'§i(i83du prqgrarnrne

de M: fitiôrï 6nt d,ëà,variÉ pkrsieurt fois r o16& < @te @liquer»deso{r prsiet i{rdiqrtÈ'q*de«fu d#.cif tsûa{ resÉere #sproûeblernentau r*oins égat à a,5 % du PtB *ki è 20i 7», mais Ie edr4s a dêià

été rernanié deux fois. Dans s* dernière note datartt du 23 février,

l'équipe de campagne prévoit désormais irn déficit & 3,7 % en 2817,

et de 3,5 ?o l'année suivânte. Ces revirernents fs*t peser des doutes

sur la crédibitité,de la trajectoire budgetaire du candidat' Les obser-yâterrs s intêrrogent aussi sur ta câpacité de {'éconornie française

i à résister au traitement de cheval que M. Fitlon souhaiterait lui infliger

, dans un premier t€r$Fs - et €e aiin, expliquet-il, de lui donner

ensuke les conditions du rebond. La hausse de deux points de la TVÂ

(même si ette ne s'apptique qu'au tatx supérieur de cette taxe, soit

20 %) enviçagee afn de financer les rnesures d'atlég*rnent de charge:

de 5s milliards d'euros - en majorité pour tes entreprises - pounaitpeser sur la c+nso,mnration, moteur de l'écônsmietricolore'

Le Eerad&td &r rS ptdde pocr rm arasr*Èrc slr âe"

p6cte de $düÉ», qrri #l# let @aÀ'6 de fi*dspeÉ{fures des ftÊe nw*r*- Ef æ, a*t & <æxæqr « nçnttË8/,, ïtÈtéfFdfêEârl? e§ a€pim*td:ûlnæcfrsmelt &r gl{nd &r dffit e{nctroôdmæe fuÉ6re de æor*nd$sr, €t de ryétet *tteÉ*ae po{r e*irsr#e & <}'EI€ éoræf&»'

Andysela rérolration des traites euroçÉens e§t un irnSÉratif pour

M, Har-nen, qtri souhaite mettre en piace un plan d'investissement

européen de L0§ô rnilli*rds d'euros. IÀsemblee de la zone euro

qu'il propose a*rait d'ailteurs opo ur mixion de débattre pubtiquemt

àt du déade, a, budget de to zone errq mois oussi {- '.} des ciàles â

odopter dans ls réduc'tion des défici*», a indiqué te candidatP5 {qu

üse une r§,Jtuatisation des dettes nationa{es} au Monde daté vendr

10 mars, S'it semb{e avoir mis en sourdine t'idée, évoquee {e 2? févt

sur Frafice lflter, de " ne pas rembaursero ta dette française, M' Ham

souhaite clairement s'af{ranchir des cadres budgétaires européens

actuels. ll rnise sur uri infléchissernent des posltions altemandes

à la faveurdes éls€tioÊ: Iégi§lativ€§ de l'automÊe, pour tequei le p:

social-dérnocrate SPS semble en bo*ne position' Un exercice ambi

tieux lsr:qu'on connaît la rigidité historique de Eerlin sur ces sujets

Srrrtê$t, M. Hamon n'a touior:rs pâ5 rotamuniqué de cadrage Tinan

ni de trajectoire budgetaire pÉcis de son progrêmrne'

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Jâpôn

§e#e*Ie

ii-;r.q,.:;qine c* ::*çs lgx**s le ,.j*,C* *.r.,ffisÉnomies sur cir+q ans, 'rlôtæ"m"rrt

"rr'k taux st prirnant 5ooæs poetes de fonctioanaires. reiève du choix politique - mêmq deীffilntꧧ§o@Idl*§n iÊ&rEt*t-

rrfif§sEʧ* estelî1eu

[iÀRfi{E LE P[il

-

te da PS ?lside panr wr atrffi&z wr ke sta&ltd», q:a rÉgit *Ês ar@res * ru&Êfes d6 Ef3Êr ,r}ffi?5˧" Et ce, asa de e{,ir*ilfi*rtwu *aité {ry$ er*rs tus @lsesSssaent dr calml * dtrdf éÉ infsdüûrôiçle de caordfud*p d dr <aryérlrüær es&exs @tîr t*w* ùt tyte fu*ætiqæ».

ies traités eurcpéens est un impératif por,*r mettre en place un plan d,investisserne:rtards d'euros. L'Assernblée de [a zone euroüeurs «ponrmissian de débattre publiq*erxentde la zane eurc, rnors oussi {. ..i des r&*es dm des dé§tits», a indiqué le candidat p§ {quiJes dettes nationa{esi au M*nde daié vendredi,ir rnis ea sourdine l'ids évoqtxk ie 2? févrieroos rembaurser» la dette fæ*çaise, *i. Har*onfranchir des cadres budgétaires européensfléchissement des positiorx a.i{eraa*deslégislatives de l'automne, po*rlryrel te pa*i

:rnble en bonne pasition. l.ja exercice ambi-a rigidité hrstorique de Bertin sur ces sujets.oujours pas cornmuniquêde cadrage 6nancierrire prtkis de son prograr*nle.

An?tyT Mæ Le Pen n'explique pas prêcisérrent comrneht efle compteanirner à ces niveaux de défrcit et de dette. Elle y mentionne pêle-màkdes «rto:rcrnies sur la gestion de to Sec$rité soiiate, sur la ftaude sociale4l'eva§an fiscqle {_. -}, sur l,{Jnion eurapéenne, surî,immigration {...1,sur la réforme irxtitutjçnnelle {..") etsur Ia delinquance», qui permet-traientde degager la somme ampressionfiante àe

"près'de 60 nilliardsd'earosa sur le qüinquennâL Le trut (couplé à une croixonce rr;o-yoJn;ïtry ÿouvee», indique la candidata Ses hypotheses semblenttrès ambitieuses, avec t-r*e hausse du plB à pius-de Z et dès ZOfS.D.'autantgue la perpective d'une accession au pauvoirdu parti

*Y-t..dr:ne et de son programme de sortie de l,euro éÉc*ise déjàles marchés financiers: te « risquele pen » est désormais considérécomme la principale raisan de la hàusse des tarx d,emprunt tric+loressur les marchés. Di$cile d,imaginer que l,app,lrtaticn à ia lettredu pragranrme du Fl'l n'aumit pas de'consequences sur ia dette,déænue à 60 % par des investisseurs étrangârs.

l'équivalerlt û,1 % du plB,

4lrgrsi§iardsd'euros

C'est l€ moâtârit de I* charge d* la dette(paiement des interêts) prévu pour 2017. tl s'agitde léqaivalent de l'envelcppe consacrée à tadéfense.

de notre de{te est dêenue par des étrangers_Sur tes 39.9 96 restants, 18 ÿo sont aux rrarns desassureurs français, ?,7rÉ appartienrænt zux barquætrico{ores.

Co-mment y parvenfu?,!-e ne l1isserai pls yn-Ws Wrtir en failtite »,

Emmanuel M*cr*n :rise 6s r&illiêrds d'erxosd'écoaoaries" ÀÂarine Le Fen espàre économi-serla même sorrlrrre en promettant urte sériede rÉformes aux contours ffous.

D*-" I* détaif plusieurs }eviers perxr€t_tent de réduire Ia part del'endettemelt d*nsie PIB: la croissance, ingrédient le plus es_sentiei, d'abord. L'inflation, ensuite, qui ac-célère le désendettenent, mais peut sârevé-ler coûteuse pory le pouvoir d;achal Vien_nerlt ensuite la baisse des dépenses publiques - à 57 % du pIB, celles de la Francô sontles plus éhvées de la zone euro après la Fi:r-Iande - ou la hausse des préIèvernenls obli-gatoires - rnais comrae ili représeatent déià+S % du PIB, difficile d'envisager une haussâ.

Quelle esr la rnéthode laplue efficace i 11 n ya bien sûr pas de canselsss ea la matièré-tes keynésiens prônent la hausse des inves-tissements publics" En stimulant la crois-

_sance, ils pe*nettent selon er.rxde regonffer

les recettes publiques et donc de stabiliser Iadette: c'est le proiet de ]ean-Luc Mélenehon

Réduire ie niveau de dépenses publiq*es,côrrune Ie défendent plutôt les centristès etles libéraux, peut avoir un effet récessif àcûlxt lerme «Baisserles dépenses ile reirai_tes, en *ugmentent t'ôge de départ de 6z à

?50,4

64ans, permettrait de sfabiliser la dette pu_blique au niveau actrte! : c,est prabableni'ent

sociéæ. Car r.rn petit coup de rabot sur toutesles dépenses, cornrne nous l,avons beau-caup fait ces demières anrÉes, risque desor-lais de dégrader la qualité des services pu-blics plus qu'aufre chôse. En témoigne l,ératdramatiqtæ de I'àôpitâI.

De véritables écono:nies exigeraie*t deschcix radicaux, cornme ceux qu'aat faits les§uédois. A la fill des a*rÉes :grçrc, ils ontrevu à la baisse Ie périaÈtre de TEtat en pri-vatisant des pans entiers de services pttbiics{poste, rail élecfricitéJ et comærtiles admi-aistratiôns" restastes aux mét&odes duprivê.-. Une révolution culturelle bâtie surua fsrt consensus elrtreles partis. Sayoir s,ilesf_souhaitable et possible de lâ transprseren France est un déb,at délieât

Quant aux collectivités, s'il existe des pis-tes d'araélioratiôo de la prodl.rctivité, l:in-dispensable ràantier du raillefeuille terri-torial néceesiaerêit une réforme d,ampieurpolitiquerneat .TiSçi|3 | ms3eL

Faut-ilsaindrelahaussedesbr:x?ûepuis aott zo16,les tauxfrançais à dix ans,suivantla tendaace de I'ensemble des pays

{o cçadidaæ ûu Frelnl datiansl {F§ ) erend «&irettilrailrær wvgrerrt&lerrrênt te &&ït gubtic ù canrrgær& 2819, apl€s *a eÉbrrsigrifiaasfen 2BiS [oùæ ratia püongerait à 4,S q61,,. Lc &§<it æraît aûnsirw*ey# à.1,J 96 ed &22.«Faraêêbrwg la &teAtbtiçtæ diminu*a & $q & h$iî p*it* *r la**ee du quî*qtwrxlatr pour alteitüæ g9 Va lu plB x-

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:::d*si;:alisés, -<sni rÊ?r:ol1!es de o.i à I.o5 lt.i ëcari atoec ies laux alie;ra-nds ile ,r sp:ead ris'est égaiement creusé. témoignânt de.i':r:r;:eiud'; ;e; i::-,=si:-!-s*.,.:s :t;e à i_ij--,r:

*l:e:-rLtt iie ",.:it-*ile "; i_: i :*::: le : lct :;'i.\i:t; f .r-: I -l ,,-::',i. tt:-...-:;-L:,;tr+ t:ir_.t-_

rie cedei a ia palnqr-s2= D"abcrd, parce qee 1esta'sx resielii à un :riveau hisioriquemenibas - avant La crise de 2oo7 ils dépassaientles 4,5 ,"r0. <<Si lerir rentantée s'accompagned-'une ita.usse ntodérée de la croissence et del'inÿation. con:Lltie an peuï i'espérer, i'=§etsera neütre paur les §.nanres gubliques»,aiouie Pieire Â1dama, rioctorant en écono-mie à Pâris-I-Fanihéon-Sorbonne. Dans lecas contraire, 11cs ernprunts nous ccûierontpius cher.

Comment la iirnite de3%du PtrB pour le déficit publicest-elie devenue un totem?E:::rnanuel i\{acron, le candidat d'En mar-chel promet d'y revenir dès cette année,1e socialisie Benoi.t ilainon treui ia rené-gocier... la iimite de 3 9.," du piB pour 1e cié-ficit pubiic, toui conrme ceile de 6o ?d pour1a defte, a éié iosiauré e eîtg9z par ie traitéde r\4aastrichr. L idee était alors Ce iarreccnlierger ies finances publiques d,es Eratsmembres en vue de i'int:odilctiai: de iarnonnaie nnique. Ei d'éviier cue ies déra-pages budgêtaires cies uts n"entraînent

1't;rsemble des pavs r:emLres rians 1a crj.se.les ÂLiemards, qi,:i eiaieni réiicents à adop-ter ieuro, y sori farouchemenl âTtachés,,,:ti|.:,,:i {?-r; g1;;3 rg-s gst;ii; iiÊ 1eta-sE.:i ra;i:- --t;-.-'i E.:j i . _-.::.,.. :r-_,t-l;i_-:,,1 :ei-::niêr*:rer::i:ie ür.i- â,1-re:11:, ant!e;:, ba;.ir icr:;-i!:enzire, 1-.1*n i:iaré §.-:r-:r ie:al,slr, f 'eit *;-reiiei lui c-ti. =:: tq:3t. r....:: !,:gÈer€ êl-e:quelques auries le chliire rie 3 ?,i à Francoisl{iiterrand... Cirrftie repil! ûnze *rx pi.rtiard par ies Ëuropéens.

Surtoui. ceite iirniie. rareiïeni resaeciéepar la France, manque de ù:esse. rn etfei,elle ne fait pas la <iifférence erire ies dépen-ses de fonctionnement eT ceiies qui aug-mentent mécaniquement pendant ies cri-ses, comme les aicies aux chômeurs. El exi-geant de réduire les déficits pendant 1es ré-cessions, eI1e a donc iendance à aggraver ieschoses... «Le prabième, c'esi qu-bn ne !1eLrtpns se passeT de regles commLitrcs. puisquenoü.s !)aftûeeoils ia mêrtte nroi.incie», ré-sume M. lcaiie. Mais il existe de nombreu-ses proposiTicns pour ies arnéiiorer. par

clela emis. Leie a periItlS Llc rd!1E Lrdrù)sr içria'ux d'intérêt ei Ce rne:ire les Ftats les plusftagiles à i'abri de 1a spéculation.

Dès lcis. pci:rr:roi ae prêl-erart-clle 9s5 4;-re *:Ê1]]Êj:: êiix gr_1i:.,'.Éi']:e§]eili5. le;r é=;iia;:t;,:::si e: âa.ser 'sai ies :-r:ar:ilé: iinaariers if ::i re *.u* sug_eère Ie r;::d:,ja: ii: ia Irai::eil.'r;*usrse. feap-iur 11é elch.+*.

i'idée e sl à 'rei::ièie

r.r-re séduisanie. ivlaiseiie c:i plut ccrinte xÊ â n_reirre en ceu\J:equ'ii :r'y paraît. Ce filancer:rent direci desliais par ia BCf ipcur ceia i'institui mcne-iaire créerari de ia rnonnaie pour acheter 1esobligations: c'esi la fameuse pianche àbillets). interdit par les traités européens,peut en effet déciencher une inflation ex-cessir,'e et rariageuse pour ie pouvoir d'achatdes mênages. C'est ce qui s'est passé iaaslÂiiernagne cies années t9zo.

§urioui. ce n'est pas une soiution micacie.EI1e n'absoudrait pas ia France d'entrepren-dre les reformes nécessaires pcr-ir asiurerle fiaancement de long tel:ne - er la s,-uvie -de son n-rod-èle social. r

fo1AR}E CI{ARRXiE? .âÜI}REY TONNE11ER

A iire sur Lemonde.fr,ies tib*nesde deux éconottistes:Alaùt Trannay iécaie a'éccncr:tied Alx- fuIc- *eiii e, As s ociati ot; iicitcsi s erie science éconcmique - ÀîSEiet ){a.",ier Ragot {Obseruatoire jraitc*_isries canicncttires écancntiattes - AFCE)

I(I

exerrrple. en retirani 1es inrresiissemenis I

d'a.ren:t de la raesure du déficit.

Renégocier ou instituerimrnoratoire surnotredette est-il possible ?

Benoii Hatlon. Ie candidar PS. i:rône I'ins-tal;raiion d'un moratoir. .ur iu'OeiL. Lii.

ËMfu{ANUIL MÂCRON JTAN.LUC MÉLiNCHCIN

Ânaiys€ L'ambit;rn de S,l. iç{acron d'aoprofoncjir les méca*js,resd= i'UE oounaii se neurter à ia bonne ,ioiontê du p3i-iena;re aiier::and.îarouche;neni atta.hé à son indépenciance budgétaire. LûbjÊciifdes 3 cô du Pi3 de deficit pourrait êtie diÉiciie â tenir- coi.lrpte lenudes rJépenses que coniient son piosra,-rme, ei des mesures ajouiéesdans son cacirage budgeiaire dr-r 24 févrie;.: exonéraiior dE ia .tâxe

d'habiiaiion pcur 8C crà Ces ménages. aiiége;nenis de coiisaticns surle: heur-es suppién rentaires, réfcrme cje ia iiscaiiré du capitai netre_aieni furyorab,le

=ilx hauis r€r_,Êitus.. . D,a,itaatt q,le ies éconorrrtesf Ievues r53 nrilliards O'ellrcs en fin de qr:incuernat;_ iarssent ies ob-servateu:'s dubitatifs s,;r ia façon d'y paruenir sans ajusier cirasiique-nreni la ciépense publique ou recuier i,âge de ia retr.aite. Deux leviersciont l"i. l#aci-cn jure pour. i'heure qu,ii ne les acticnnera pas. Nombrede mesures ie ,, modernisaiLbn

'> ei de plus granrie « eificacité » de la

lanctirszt prbiique reposeni sur des changernents cie comportementsdes ager:ls. c,:nt on sait qu'ils sont ies pius délicais à mettre en piace.

re",ffiffi

"Ne pas réduire nos dépenses rcürantes et notredette serait irresÿansable i...); ne pas investirpour leur futur le serdit Ëaüt qutdnb>, peu!-ot, liresur le site da ccndicîst d'En marchel. Respectertes 3 o/a de dé§tit dès Ie début du fiandot est unprérequis paur tenter de convsincre Berlin de meitreen place un "budge! de la zone euro».

Le cqndidat de La France insoumise esf re rnoinsexigeant en matiàre de réduction du déftcit public.tl prévoit de le ramener à 2,Ec/o du pl9 en fin dequinquennat, tout en baissant lo dette pubtiquede 95,8o/o à 87o/o du PtB. Une trajec*-oire queM. Mélenrhon atAibue à son vcrste progrdmme derelance (invesüssements, housse du smic de l5o/o,..).

Analyse Le pi'cgrarnnie de M. Meienchon se fonde, cornme ceiuids ia piupaÉ ces candiciats. sur. cies hypothèses de crcissancede I'éccnsrnie tr'ès cpilmlstes (24ô cie hausse du plE des 2ü1E. aior-sque ceiu;-ci n'a ciu que de1,lch i'an deinieri. De pius. ie plan d,inves-rissen]e;:i de 10,.1rniiijafcjs d'euros qu'ii envisage. avec un financemenipar i'eatpruiii, repose su!' f idée que o I ei-irc c'ergent cublic ,ntestiEefiere 2 i 3ei,rcs C'sctivite et cie r€ceties pubilquêsj,. Cp rs5 .6s..-mistes ne s'accordenr pas ious sur ie muitlplicateur. si.jnoüi valabiedans ie cas d'un pays en l-écesslon. Enfin, ie pj.oj€t du candiriatdessine une éconcrnie fermée. La hausse du smic ei de ia fiscalitédes entreprises risquer-aii d'éroder ia compéiiiiviié des entrep!-isestrico{ores. fu1. Méienchor scuhaiie égaiemeni renégociei- ies traiteseuropeens afin gue la Banqi.re ceniraie europE€nn€ puisse racheteries cjeites naiicnaies. En cas d'échec, ia France nrepre*tjrait sc sou-rtersine!é mcnéîcir: ",.'eÿrà-dire sortii.a;i de I'euro. un rlispcsitiiaux conséquen.es p+t3ili;eiieme:-tt ravageuses pouj- not.e éconornie.

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€rtig:ileu,El ie F:ûii;3-ide ia ciefie Pui;i!q:-;t ;1.:

îapcc der"zalt *r:eil:i:el1164L1ccûG ûûtûû,: d;'.'e1..seir gz66 r:'rilL=rd: d'ei:r*s. ; 1; iirjt l'ra+r:ile Z::'-:E. '-\{:5 i::t :':::s À..;f ,€ ': i;?lE. tt'',:-,,..i'rll ;;;:i;-t'i,;-o el=:e=,:i,t r"ri":1j: ::=ie L

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aitaquer'.rruail9qrli-1$Ërq.e.Eid$,-§attj::'lCIi l:iât-i!e 4ii?':',1i.5ë5 ') à raiculef]::- a','l--i::tr1-. l;iU:C: Si:re]: ne

claxge" =i1e

pan:z-rait culrniner à-.5+c or'r d- PIB d'ici à aaSc i

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I1i ,:j i jj. -;: i -r r''. i,;: ' - :. -. --

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L:', Ils j1'rilf de itr;i:: if f a'i:::cT- -

\1o'.r{. Iii= esi i!É'i.- i-'ls+r-;ciet:-ue par ies :aPona:r. l-r i*i -

rernbre zot5, s.'!on ie r;:ri:;rrrcies f,inanc'es, 35,? :; i'é.âieêi Pacla Banque du iapoÊ, 2+? 9a P:: !=s

instiiuticns fir'iarrc,IèrÈs d', oa" :

et 2i,8 % Dar ies assureurs icca;tSeuls 5.7 % éiaienr aux ::rain:il'étrangers, cônire par exemp-ie.

6c ÿD pou i' ia derie {rancaiseF.ésr:1tat: }e Japon esi à1'abri d'un

scépario catastrophe o'ù les irwes-

tisseurs eiîangers, ir:quiets cie lacaoaciré ce renbci;rser du gou-f iinemeni, iür-aient oour plactr-leur argent iians cl'autrss pays. Eice, d'autant que ies ir-rstitutions finalcières niPPones continuenid'acheier ies obligations émises

irarl'Etât, æêæe si elles ne raPPor-

teni plus rien. Les obligations à <iix

ans afficheni en effet cies tauxri'intérê,i de o %. l€s tau-x sont:::ême négarifs Pour celies dont iamatrrriié esi ir.fériei:re I

Fri!èuses sur !a gestion d'aetitsLoyaies, fi«èles, ies banqLtes iapo-naises se monhent frileuses su-r iagestiolt d'aciifs. iVlais acheier ces

obligations d'Eiat leur offte égale-

r-nent des avaniages. Ee €fea. gràce

à a-ne régulation av?niagÊus=, ces

tilïes n'spparaissent Pas .ûmÛleun acif risqu-é dans 1=rir biian' 1is

Èeuveni êire reveniiit Êi rurto-rii-

seffii de ga.rar:tie Pan-r de: cgérê-r onr ci.e refin;.nte::"itni.

L*ide:=-mer:r, cÊiie deaïe i:ç}cs-

sa:e p.âsa p'iusir*r: pr'-:biè;'r'res.

l!..i::'3re d'èli:ec:ai:1:5 5'i-niei-

Lm *f**r& #u§#$^irffiffi#fT?*rât

e§B #t Ër+aEler*

r*Ët*ftt ti§fiites

.'.-t-:l;{:; :,::; ,:i eii:llf d-t §*U-'--: ---:: : ..i.:

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l;31; r.riï}É41 .§! ;; I.;ÿ{-1" î'âëi**à:': '

iÈe-pt* wËt t*+:@@+& ?e@.,.de #ü6 qu l, ÿ: ""."ry qS,o* ffreeei:e5 atieildueS â bJilc Lrt:!-

liards cic i'trrs. -L scan en;re les

dépenses el les receries sera coLr'

1'-a: rat l: n:'.:'.':iles :-:-:rl'r".. :-:':::-."..,::1 .:.. : -i

:.,::i.:rr:€:ç*9. r: i:::-i;.--,:= r+:i.:-

-ir3îa É.ÈrÊbie';1^j*r::.'" * i-.'tl:'t: i,eaa;:1":g §r:a:Éie îj:i,'l*9.rLi*: F"*i:-.qî--.-.r- l-: : .l , ---a:48:3+I rt*rrlr:e l;I'l l: î:rl.ilr,il* ll'É, -'i'à §È -{*

'* :' .,-";: :: 'É '' ,e-' .jasJrilea'i &--

le;fri jq. j ir.l,ij*éi;.'fi kc-üut §Ê-

i ;,* ie qu-r,;.'æ:*o*æ"#s" erq$1€cli,Êr

Fl ,:**r dE -* ç**rseié snciaie rie

.-,t L*':r::i?i*c$rr {àÉ ir.ËJL F=i ar1.

l*,û.:a'*1*ïrF.:?}er.tl "=pèr= ii::iierre;:e'1:aur:e à -l*'r r*i§arcs ce

tr'â3:s Ê11 bal:saa: ies Penricns de

i*rtre. *t =*grrr*âiâT]É ia Paii des

r*ù* aiçurnés Pal les Plus de

;ca:is les pius aisés et en dimili;l: its PÉx des Lraiter-nents les

plus otêrei:x. r\'lais ces caicuis

i: anicipt:rr pai le fa-il que ia gene'

ration d,r; babY-boom d'éParsera

ies ?5ans au r1é'but ries années

2ôzo. Un se,ri j LmPortani car f DËr-

tir de cer àge. Tes laponals Lrenéü-

cie*i .i'une melileure Prise eilcharge, synonvme de coùts Piusir:1pon,..nïs pour les organ isnres

.*Jiaitx. Plus géneraiemeni, le

sculier:lemeat continue de iableri*r i ;raeliorarion de iéconomiepoui rèciuire i'endet-ienrent. I-i

rnai::rient ainsi otficieüemenL son

obiecdf d'atieir:dre i'équi§bre bud-géialre aors du sen'icedela deite

- d"'ici à lafin <ie 1'exercice zu-zo.

Des prér.isions très cPiimisies.Seioa ie conseil de Poiiüque écc-

nomiqrie et flscale, u-n organe di-rigé par ie Plemier Trrinistre

§i;inzs Abe, 1e scénario idéal, à

savoir celui cl'ule ctcissance an-

nuelle de 3 % ciarrs un coÊteà1e in-

*aiicnniste, e.comtagnée de iahausse de 1a TVÂ de I 9t à ro % riès

aclcbr= 201ÿ, d-r'râii Feïaettxede rédi::re ie déi;cir rie la baiance

ryq eË.*a'æte&te§+xæÈàr=il d {ttx€ pêrrjF: üâ-;

*Ètl*s pæbfuqu=s de 1a ro*e eiirc a**deXà d€

6c % éu PiB- Ën:héorie - el cela se preduitréguiièremeni sur tclls 1es conrinei-rts -, unltât peut en effet négocier un allégement de

sa defte avec ses créanciers, qui enregistrentaiors nne Perle.

Mais la Fta;:ce n'âurait intérêl à ie faireque si elie était au -bord du défaut de paie-

r-nenL, cai cela n'esi pas sans cons€quences'Echaudes par leurs pertes, les investisserirsexigeraient, en effêt, des iaux d'intérêt pluséleiés por:r nous prêter à r-rouveau" Si

nous dégagio:rs un excédent budgétairesufi'isammerri é1evé pour nous pertlettrede fi:rancer :tcs dépenses pr":bliques sans

avoir à ernpiucter sur 1es marchés, ce i1e se-

rait pâs un problèrne. Mais ce n'esi pâs ieeâs: en zoi6" noire '1êficit public éiait Ce

3J % d17 PlB. ia hausse cles :aux pourralidoac se révéier plus coùieuse qu'un alié3e-

iaent coacé<ié -çar *os tréanciers.

Pourquai 1â BeE n'ael:àte-T-e1?e

pas direeteleerities deÊrespubliques?Dep".lis c-.ari -or5. ia §anqr:e ce!':iiê1e €'i:l.ipéènne lBili ;achète une partie deç d*respr.rbliques de ia zoce e*rs cilcuàaai sl,:r te

*ur.hé *"co*rlaile. oir s'échangeot les iitre§

de;; crr:'q. is,.i: ;r,.r:, d=':a;:t 5';Esc:'l:,taux i'in:tirêt s: de =erla 1e-'' Fl;:ç ie-t Fi-sira=llcs à i abn de ia sPaci"ti.:irr.

D"ès 1ors, *:*rquai ne prêteraii-elle pas Ci-

re{teïle:it aL:Ë g+;jT€lireailÈhr5^ :ë:: :'T:1â1i'!

air:si de !l;,:ser PÊi 1=: l-=lihés ti-ar':i*r: l

C'e;t ce que sr:5gële ie candii;-; *e la irarre1*-;ci-rq-*se. ie -:n -Llic trtêier-rc?:e :-r

L'idée esl à Êre::':ièie r"':e sédirisa+i*' '1lairelle esi pius cl=alexe à meilre eË æ$arequ'i! n'y: paraîr" f= fi::a*cemeni direct des

ftair pir la EIE l.ecur teia f iasiiir:i i:rcné-

taire créerail de i* ;:ccnnaie por:r acheter 1es

obligaiions: r'esr ia farneuse piancire àbi§elsi. l;:ierdir par ies iraités européens,

peut e;r eËei décle*cher une inflation ex-

iessir-e ea re:vageuse pou; 1e ocuvoir rl'achaides n:é+ages- Cèsi ce qui s'esi passé dans

i'ÂIe:r:ag:re des ar:nées rgzo-Surtcui, ce aêsà pas iine soluiicn miracie-

E1le n'ab;'oudraii Pat la France d'er:trepren-d,re 1es réfl::r'iles nécessalres pour assurer

ie [inant:rnenr de long terme - ei la suruie -cie scr: :r:* dèie t *t"r"

^.rrriîsnir :

LENüEffiC{IIU{âL

AZ5û YqSOuCi

mineurCulapcnLa dette est détenue poLlrl'essentiel parie§ }ap{iôei§,

les protégeani d'une attaque des rcarihéS

s

,#e rcÉlrru*H*§

{.€ €E d#Êi d€ ts Frenee irsaucfse esf Je J?}§t:rs

ex*g:ecç:f e* rirct«3rç de rédar*b* *a dé{irkpublk'I{pr*dÊ de {e i'*:rea*r * 2$% dx PtB er, §n *

de 15,8:1 6 S7<\" 5, HB- Une rc.lecfor.'re a:.re

Ài. fr*é#Ée,ÿ*ÿr *t*'§È'{F ô sæ læsfe p*-qgraæ*e de

rd*rs'.e ii+rwsÊrsse+retlts. fisilas* d# gr§ir dÉ :5%'"

!.: - i:is:ete" l'lais Fa-r rle':éga ger _i'itl