rcbc n°220 - cahier pro (supplément éditorial au numéro)

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Cahier professionnel du magazine Européen de la Radiocommunication

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Page 1: RCBC n°220 - Cahier PRO (Supplément éditorial au numéro)

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Supplément éditorial au n°220

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Cahier de la Radiocommunication Professionnelle news

VXD-7200

Basculez facilement en numérique grâce à la gamme VXD ! La série Vertex Standard VXD fonctionne sous le protocole numérique le plus usité

à travers le monde : le DMR. Vous aurez ainsi une compatibilité avec tout autreappareil fonctionnant en DMR, quelle que soit sa marque, mais également

la possibilité de converser en analogique avec votre parc existant !

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Gamme VXDRadios portables, mobiles et relais DMR numérique

SARDIF vous invite à découvrir l'ensemble de la gamme Vertex Standard sur son site dédié www.yaesu.fr ou au 01 39 93 68 39

Sous le nom de SaveX, la société PST an-nonce la commercialisation d’un système

d’aide à la conduite et d’aide à la détection depiétons. Il a été conçu pour protéger les tra-vailleurs des risques de collision et d’accidentlorsqu’ils évoluent sur un site industriel dans

un environnement dangereux. Les cas les plussensibles étant ceux des déplacements de pié-tons, parmi de multiples déplacements d’en-gins de chantier ou de manutention…

Le principe consiste à faire porter aux piétonsde petits émetteurs d’une portée d’une tren-taine de mètres. Les conducteurs des engins

pour leur part sont alertés de la présence d’uneou de plusieurs personnes dans le périmètrecontrôlé. L’alarme, dans l’habitacle de l’enginpeut être sonore et/ou visuelle. La distance dela zone couverte est paramétrable. Par rapportà des systèmes plus classiques comme la vidéo,SaveX, grâce à la technologie utilisée (champmagnétique, basses fréquences, champs tour-nants) offre de nombreux avantages. On citeratout d’abord, la faculté avec SaveX de décelerdes piétons même en présence d’obstaclesentre ces personnes et les engins, (containers,bâtiment), les éléments métalliques ne pertur-bant en rien son efficacité. SaveX permet dedétecter des piétons, quelle que soit leur posi-tion : debout, assis, couché… En outre, SaveXfonctionne même dans des environnementsdifficiles : poussières, pluie, brouillard, fumée,vapeur, ainsi que de nuit.

Pour résumer, désormais grâce à SaveX on peutcréer une bulle de sécurité pour les piétons quise déplacent autour d’engins de chantier ou demanutention et que les conducteurs ne voientpas toujours. ■

www.savex-securite.fr

Système SaveX

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Au fil des années, la société s’est for-gée une solide expérience dans le vaste do-maine de la sécurité et de ses liens étroits avecla radio: PTI Radio, superviseur d’alarme, systèmerondier, systèmes informatisés d’aide à la sur-veillance, … Dans un premier temps, l’arrivéedes modes numériques n’avait été perçue quesous son aspect le plus spectaculaire : celui dela qualité optimalisée de la phonie ! Avec les gé-nérations récentes de postes qui se montrent deplus en plus sophistiqués, tout en devenant deplus en plus compacts, les constructeurs n’ontpas tardé à montrer que ces radios ouvraient devastes horizons, par le biais de nouvelles appli-cations dans tous les domaines précités…S’appuyant sur son équipe R & D, SRi l’a instan-tanément compris. Elle a su anticiper et ainsiaborder, dans les meilleures conditions, ce grandtournant. Certes, elle n’a pas totalement aban-donné l’analogique, mais comme le confesse sondirigeant, Pierre-Arnaud BALME, force est de re-connaître que la radiocommunication numériquefait des merveilles… et qu’elle révolutionne lesservices de la sécurité…

GESTION DE FLOTTE RADIO Le dernier né de ses systèmes a été baptisé“TransFleet Control”. Il s’agit d’un système degestion de flotte radio en temps réel avec envoide messages texte ou d’ordres de travaux versdes portatifs. A l’origine, comme cela se produitsouvent, c’est pour répondre aux besoins spéci-fiques d’un client que la société a mis au pointce logiciel évolutif dédié à la gamme numériqueMototrbo de Motorola. Son installation a le mé-rite d’être toute simple. Il suffit d’associer un mo-bile numérique connecté à une antenne (parexemple un Motorola DM 4600), à un ordina-teur sur lequel le soft a été installé. Selon le ré-seau de la zone à couvrir, on opérera en modesimplex ou en relayé. La liaison entre le poste etl’ordinateur s’effectue par un simple cordon USB !Les portatifs pourront être des Motorola SL 4010(avec options PTI, si nécessaire). Pour bénéficierde la fonction localisation outdoor, il faudra im-pérativement retenir des modèles avec l’optionGPS, type DP 4801. Actuellement seule la sérieSL 4010 dispose du menu Motorola pour gérerles ordres de travaux. A l’inverse, le DP 3601 nel’a pas, mais il peut néanmoins recevoir des mes-sages et retourner des SMS tapés sur les touchesdu clavier.

Le domaine de prédilection de SRi, c’est “la radiocommunication au service de la sécurité”. Grâce à son dé-partement Recherche et Développement, la société propose à ses clients des systèmes sur mesures, commenous avons déjà pu le montrer dans de précédents numéros. Constatant que les postes numériques recelaientd’innombrables possibilités - dont certaines n’existaient même pas en analogique – mais qu’elles n’étaient pasexploitées, SRi a décidé de créer son propre logiciel afin de mieux coller encore aux besoins des clients… Voicidonc TransFleet Control”, dont la commercialisation est imminente...

nouveau système “TRANSFLEET CONTROL” de SRi

Cahier de la Radiocommunication Professionnelle

< La base radio...... reliée à un PC

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LOGICIEL EVOLUTIFLe logiciel a été conçu par SRi de manière trèsouverte, c’est à dire doté d’un maximum de possi-bilités. D’emblée, ses concepteurs ont souhaitéle rendre évolutif et personnalisable. Il appartientà SRi de l’adapter pour son client après avoir

déterminé les fonctions qui seront utiles à sesactivités. Qui sait, de nouvelles options pour-raient même voir le jour si tels ou tels besoins,non encore pris en compte, sont exprimés… Pourl’instant, comme le prouvent les neuf icônesprésentes sur le bandeau supérieur, le “menu”standard (susceptible d’être personnalisé) semontre déjà très complet. En fait, il y a douzeicônes, mais certaines correspondent à des optionsdisponibles qui ne s’affichent que lorsqu’ellessont utilisées. Le menu se veut également intuitif :un opérateur se familiarisera très vite avec sonmaniement. Chacune correspond à un service.On peut dire aussi à une fonction spécifique. Oncitera ainsi les icônes coloréesmarquées “ACCUEIL”, “TEST RADIO”,“MESSAGES”, “GPS”, “TICKET”,“ECOUTE DEPORTEE”, “ACTIVA-TION RADIO”, “DESACTIVATIONRADIO” et “LOG ”.

GESTION DU RESEAUDepuis son ordinateur, l’opérateurdu PC Sécurité suit en temps réell’état du réseau radio et il le gère.Avec “ACCUEIL” il saura automati-quement (sans effectuer la moindremanipulation), quels sont les porta-tifs qui sont connectés, depuis quelleheure ils se sont inscrits (en fait dèsque le poste a été mis en marche) etquand ils sont éteints. L’opérateurpeut gérer les groupes, les status, …Grâce à la fonction “TEST RADIO” ilpeut à tout moment vérifier la conti-nuité radio (la possibilité de commu-niquer par voie radio) de n’importequel portatif inscrit sur le réseau ets’assurer du bon fonctionnement deséquipements. Il est également pos-

sible d’activer ou de désactiver une radio à dis-tance depuis l’ordinateur de TransFleet Control.Un appareil perdu ou dérobé deviendra inutili-sable car il n’aura plus accès au réseau. Lorsqu’ilaura été récupéré ou retrouvé, d’une simple ma-nipulation à distance, on pourra donc le rendreà nouveau utilisable. Enfin, avec Logs on disposed’un archivage et d’une traçabilité de tous leséchanges radio, des messages et des alarmes PTI.Une fonction bien utile en cas de litiges.

MESSAGERIE & JOB TICKET La phonie ne constitue pas, et de loin, le seulmoyen de communiquer. Depuis son ordinateur

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Les inscriptions des portatifs

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Localisation GPS

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équipé de TransFleet Control, l’opérateur pourraégalement envoyer des petits messages courtsgenre “SMS” en direction d’un ou de plusieursportatifs inscrits sur le réseau. Les détenteurs deces derniers pourront bien sûr lui répondre parla même voie. Des messages préenregistrés peu-vent également être prêts à envoyer. L’application“Job Ticket” servira à affiner et même à gérerdes activités par services. L’opérateur transmet-tra, par des messages de textes courts, des ordresd’interventions à chacun, avec le lieu, la naturedu travail, son niveau d’urgence. Le destinataireaccusera réception et par exemple, il déclinerala prise en charge de l’intervention s’il est déjàoccupé, ou bien il donnera un délai d’at-tente…Un outil très appréciable de planificationet de rentabilisation de certaines activités où letemps de réaction doit être instantané…

HAUTE SECURITE En matière de sécurité, “LOCALISATION” offreun positionnement géographiques précis desportatifs et donc de leurs utilisateurs. AvecTransFleet ils apparaissent sur une carte classique,voir sur une cartographie par satellite. Cela né-cessite que les postes soient munis de l’optionGPS pour la localisation outdoor. A l’intérieur

des bâtiments, la couverture indoor s’effectueraavec des bornes radio… Une fonction option-nelle dite “ECOUTE DEPORTEE” peut être choi-sie par le client. Cela permet à l’opérateur du PCSécurité, par exemple en cas d’alarme PTI, delever le doute d’un malaise ou d’une agressionsur le rondier en écoutant son environnementpar le biais du portatif. Avec “ALARMES” toutesles Alarmes sur le site sont archivées dans le casd’une association à TransAlarm, de mêmequ’avec “RONDES” pour les rondiers avecTransPatrol. Via “COMMANDE DEPORTEE”, il estpossible de télécommander des équipements (si-rènes, barrières, … ) par le réseau radio.

Grâce à TransFleet Control et à son large éven-tail d’applications, les réseaux numériquesMotorola verront désormais leurs possibilités ac-crues et leur efficacité renforcée. Il restera à SRid’étudier l’activité du client afin de déterminerses besoins et de lui livrer un système person-nalisé. Non seulement, TransFleet Control peutse piloter depuis un ordinateur (généralementinstallé au PC Sécurité), mais il est égalementprévu de pouvoir visualiser les informations dulogiciel installé sur le site, depuis une tablette ouun Smartphone. ■

Cahier de la Radiocommunication Professionnelle

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En préambule, on rappellera que la Pro-tection Civile de Paris est née le 2 jan-vier 1997, sous le nom de “Secourisme et Pro-tection Civile de Paris”. Constituée de troisassociations d’arrondissements (5éme, 9éme et 15éme),son siège se situait dans le 5éme et son premierposte de commandement se trouva installé dans…une cave ! Elle disposait alors de 39 secouristes,de deux ambulances et d’un véhicule léger. Elles’affilia à la FNPC la même année. Puis elle adoptason nom actuel, et ne cessa ensuite de se déve-lopper. En 2003, ce fut la fusion de douze asso-ciations locales d’arrondissement qui devinrentantennes en 2006, en application de la loi de mo-dernisation de la Sécurité Civile. De nos jours, seseffectifs atteignent 500 secouristes bénévoles,100 formateurs, 7 instructeurs et 700 personnelsde renforts exceptionnels qui arment un parcde 68 engins, dont 17 Véhicules de PremiersSecours, 25 Véhicules Légers, 4 motos d’inter-vention, 3 véhicules logistiques, 6 remorques, unVPC, … S’y ajoutent 12 lots “Postes de Secours”,3 groupes électrogènes et 3 structures de 45 m2.En 2012, les personnels ont renforcé les équipesde la BSPP et du SAMU en montant 615 gardeset effectué 2363 départs en intervention et 1840évacuations. Toujours en 2012, 1154 dispositifs

de premiers secours (dont 126 nautiques) ont étéassurés, 8327 interventions et 273 évacuations.

LE SECOURS A PERSONNESL’objectif de l’association est de “venir en aide àtoute personne en danger”. Il s’est tout naturel-lement et logiquement formalisé dans le domainedes secours à personnes. Après avoir obtenu en

1998 l’habilitation pour l’implantation et la miseen service de postes de secours, des liens ont étéétablis avec la Préfecture de Police de Paris, ainsiqu’avec la BSPP et le SAMU de Paris. Simultané-ment, en 1999 a été mis en place un partenariatavec le SAMU Social. Toujours à la pointe du mo-dernisme et soucieuse de disposer de moyens en-core plus adaptés pour remplir au mieux ses mis-sions, on pourra en citer quelques étapes significativeset marquantes. Ainsi, dans les années 2000, la PCPs’est dotée d’un réseau autonome de radiocom-

munications couvrant toute la capitale. Il se com-posait d’un couple de fréquences relayées et d’unefréquence tactique. Ces dernières se situant sur labande UHF, en 400 MHz. Dès 2007, elle a totale-ment réorganisé son activité de secours nautiques.Qu’on en juge : aujourd’hui, elle dispose d’uneflotte de 17 bateaux ! En 2008, a été effectué l’ac-quisition d’un nouveau véhicule poste de com-

mandement “VPC”répondant à l’indicatif de “VEC-TRA 75”, ainsi que de motos d’intervention, puisde Segways, en 2011.

QUATRE ETAPESDébut 2012, consciente que ses moyens de com-munications étaient devenus obsolètes, la direc-tion de la Protection Civile de Paris a entamé uneréflexion portant sur la restructuration de sesmoyens de transmissions opérationnels, en confiantune étude à la société Digi.Com. Les buts de cette

L’an dernier, la Protection Civile de Paris a célébré son quinzième anni-versaire. Au fil des années ses effectifs se sont accrus et ses matériels sesont perfectionnés. Justement, sur ce plan, 2013, sera une année char-nière pour les moyens de radiocommunications dont dispose l’associationpour mener à bien ses interventions à Paris. Ainsi, les anciens réseauxanalogiques sont–ils en train de céder la place à un ultra moderne dispo-sitif flambant neuf de radiocommunications numériques… Ces systèmesbaptisés “REMUS” & “ROMULUS” seront en cours de tests lorsque vouslirez ces lignes…

La PROTECTION CIVILE DE PARIS passe sous REMUS & ROMULUSPar Philippe Gueulle

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étude technique étaient clairement identifiés :faire un état des lieux, analyser les besoins et pro-poser des solutions modernes et évolutives. Ainsi,l’étude a été d’emblée minutieusement exami-née par les responsables de l’association. Ils ontdécidé pratiquement aussitôt d’en tirer les consé-quences et de concrétiser ce quiétait préconisé. Deux projets sont donc en coursd’application : REMUS pour RE-seau Mobile pour l’Urgence et lesSecours (domaine radio) ainsi queROMULUS pour Réseau Opéra-tionnel MULticentrique pour l’Ur-gence et les Secours (domaine del’informatique tactique). A noterque la conception, les programmations et les ins-tallations sont assurées en interne. En effet, a étécréé un service Transmissions au sein de la Pro-tection Civile de Paris. Il en découlera une meilleureautonomie ainsi qu’une plus grande réactivité.Concrètement, quatre phases successives ont été

clairement définies. La première, dite Phase1, (quiappartient déjà au passé), consista à effectuer une“remise à niveau rapide et simple des infrastruc-tures radio analogiques existantes afin de les mettreen conformité avec les normes”. Dans ce cadre,“le relais situé à la Tour Maine Montparnasse a

été réinstallé dans les règles de l’art etdéplacé dans un local technique dé-dié et sécurisé”. Une première évolu-tion vouée à faciliter ensuite le bascu-lement vers les modes numériques…

PHASE 2 La Phase 2 qui est actuellement en cours, consisteà réaliser la migration vers un nouveau réseau ra-dio numérique multi-canaux. C’est la technolo-gie DMR (Digital Mobile Radio) à la norme eu-ropéenne de l’ETSI qui a été choisie. Un choixdestiné à permettre l’accès à de nouvelles fonc-tionnalités. Ces dernières étant rendues néces-saires par l’évolution et l’augmentation des mis-sions opérationnelles. Ainsi, non seulement ce

système assure des radiocommunications en pho-nie, mais il transmet aussi des données. Un ma-tériel impressionnant a été acquis afin de rem-placer les anciens réseaux analogiques. Côtétransceivers, le nouveau parc comprendra pasmoins de 105 portatifs Motorola dont 95 DP 4601pour les équipes (avec GPS et Bluetooth) et 10SL 4000 pour les cadres (avec Bluetooth). S’y ajou-tent près de 50 postes mobiles Motorola DM 4601pour les véhicules de premiers secours, avec GPSet Bluetooth. L’équipement comprend égalementtrois bases itinérantes en coffrets tactiques, ainsiqu’un relais mobile Motorola DR 3000 dans lePCM Vectra 75 et un relais tactique Motorola DR3000 en valise. Pour les stations mobiles, ont étéretenues des antennes radômes Calearo très voi-sines avec celles qui équipent actuellement lesvéhicules de police (voir photos). Elles présententla particularité d’adopter une forme originale, decombiner plusieurs fonctions (antennes UHF +GPS active intégrée) et d’offrir d’excellentes per-formances, grâce à leurs radians à polarisationsmultiples.

RELAIS MONTPARNASSEEnfin, les deux relais installés à la Tour Montpar-nasse sont des Motorola, de type DR 3000. Afind’offrir des couvertures optimales, un système

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RCBConnection - mai-juin 2013 • • Supplément éditorial au n°2209

< Nouvelle antenne mobile CALEARO.

La structure de l’antenne.

Synoptique REMUS.< Le nouveau portatif numérique

La future tablette tactile

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spécial d’aériens a été conçu par Kathrein. Cesdeux relais ont donc été associés à quatre an-tennes panneaux de 90° montées aux quatrecoins de la Tour Maine Montparnasse par cou-plage actif en phase. Le parc de véhicules et plusparticulièrement des stations mobiles est doncen cours de montage des nouveaux équipements.Grâce au recours à ce nouveau dispositif d’an-

tennes sur la Tour Montparnasse et à un systèmenovateur de couplage, la couverture radio devraitse voir considérablement optimisée par rapportà celle (déjà satisfaisante) qui était procurée parl’ancien réseau analogique. A noter que la TourMaine Montparnasse accueille également un ser-veur qui a été doublé dans la salle informatiquede la Protection Civile de Paris. Chaque site dis-posant d’un accès SDSL et d’un lien FH (FaisceauHertzien) garantissant une redondance native.

REPONDRE AUX NOUVEAUX BESOINSLe nouveau système a été dimensionné pours’adapter aux besoins croissants des équipes dela PCP. Ainsi, il est passé d’un à quatre canaux ra-dio exclusifs et dédiés. A savoir, 1 canal “OPS”d’infrastructure ; 1 canal “BILAN” d’infrastruc-ture ; 2 canaux tactiques “TACTIQUE 3” & “TAC-TIQUE 4”. Sur ces réseaux outre la phonie cryp-

tée, seront offerts des services de géolocalisationen temps réel des mobiles et portatifs, de trans-mission de codes d’états (statuts) horodatés, detransmission de messages courts alphanumériques(de type SMS). En outre, afin de faciliter la ges-tion et le suivi des interventions, a été prévu l’en-registrement automatique de toutes les commu-nications échangées (voix et données). Il estcomplété par un horodatage, pour assurer unemeilleure traçabilité, sans compter la faculté deréécoute en cas de doutes ou de litiges. Enfin, lesystème numérique offre la faculté de se connec-ter sur le réseau depuis un terminal déporté, detype ordinateur PC portable ou fixe. Et ce, mêmehors de la zone de couverture radio, en offrantdes fonctions de phonie et de gestion de flotte(cartographie liée à la géolocalisation, codesd’états, messagerie, réécoute, …). La migrationvers le numérique sera accompagnée pour lespersonnels de la Protection Civile de Paris d’ac-tions de formations nouvelles sur les transmis-sions. Ceci afin que tous maîtrisent les possibili-tés de leurs nouveaux équipements.

PHASES 3 & 4 Ultérieurement, la Phase 3, se traduira par “lamise en oeuvre d’une application de transmissiondes fiches informatisées de victimes”… A cet ef-fet, les intervenants seront équipés de tablettestactiles embarquées dans les véhicules et/ou cou-plées aux portatifs pour un usage piéton. La trans-mission des données passant par le réseau nu-mérique PCP. Cette phase nécessitera la mise

en place d’un serveur sécurisé et redondé de trai-tement des informations reçues depuis les ta-blettes pour la régulation par les autorités de laProtection Civile de Paris. Et ce, soit en poste fixe,notamment dans le PC Mobile Vectra 75, soit enmobile par le cadre de permanence opération-nelle. Le serveur permettra de retransmettre lesfiches de victimes par courriel et/ou télécopie versdes services tels que les Sapeurs-Pompiers de laBSPP ou le SAMU. Par la suite, ces données se-ront transférées directement vers les logiciels derégulation de ces mêmes organismes grâce à unecompatibilité avec la norme NF 399. Quant à laPhase 4, elle aura pour but d’améliorer la zonede couverture. Ce qui se traduira par l’installa-tion d’un réseau multi-relais interconnectés.

Remerciements pour leur sympathique collabo-ration à MM. Francis Di-Giorgio, responsabledu service Transmissions et Frédéric Jalladeau res-ponsable du service Communication, à la Pro-tection Civile de Paris. ■

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En préambule, on soulignera que cerécepteur appartient à la catégorie “hautde gamme” et qu’il s’adresse surtout àdes Pros. Son prix qui atteint plusieurs milliersd’euros vient le confirmer si besoin était ! Dansla gamme AOR, il s’intercale juste en dessous dumodèle AR-ALPHA, modèle extrêmement sophis-tiqué que nous avons déjà eu l’occasion de testerdans ces colonnes. L’AR 6000 appartient à latoute dernière génération de récepteurs qui ontété conçus pour exploiter pleinement les possi-bilités d’une combinaison avec l’informatique.Concrètement, cela permet de décoder notam-ment certains signaux numériques. Un appareiladapté donc aux évolutions technologiques desréseaux Pros… Attention, il nous appartient d’em-blée de décevoir les SWL français qui attendentdepuis des années la mise sur le marché d’unrécepteur qui pourrait décoder et aussi décrypterles signaux à la norme TETRAPOL. En fait, l’AR

6000 ne peut donner accès qu’à l’APCO 25, sousréserve que l’option ait été installée. En outre,seuls les signaux APCO 25 reçus en clair pour-ront être décodés, mais en aucun cas ceux quibénéficient en plus d’un cryptage additionnel.Malheureusement, sur l’AR 6000 rien n’a étéprévu comme option concernant le décodage designaux en TETRAPOL, pas plus que pour duTETRA ! Une fois encore, le constructeur n’a viséque le marché américain, négligeant totalementl’Europe et la France.

RACK PROL’intégration de l’AR 6000 dans l’option Rack n’arien à voir avec un gadget. Le véritable coffretmétallique qui n’a pas lésiné sur l’épaisseur desa structure et dans lequel sera immobilisé lerécepteur assurera une excellente protection del’appareil. Les poignées facilitent le transport del’ensemble ainsi que son extraction d’une armoire.

La présence d’un haut-parleur inséré dans lafaçade procurera une excellente qualité audio,encore meilleure que celle restituée par le petithaut-parleur incorporé. L’absence de panneaumétallique supérieur faisant office de couverclefacilitera la ventilation. A noter que pour lessignaux analogiques, pour lequel il excelle d’ailleurs,L’AR 6000 s’avère très complet. Il possède mêmeune fonction capable de décrypter les signauxqui bénéficient d’une protection basique contreles oreilles indiscrètes par inversion de fréquences.Par ailleurs, l’AR 6000 (comme l’AR 5001), permetd’être piloté à distance, via un ordinateur. Il suffitjuste de se munir d’un logiciel spécial. La liaisons’effectuant à travers un PC et un cordon USB.On disposera alors d’un récepteur déporté, cequi est très apprécié dans le domaine Pro.

POSSIBILITES Les caractéristiques de l’AOR AR-6000 se montrentpour le moins attractives : il offre une couvertureextrêmement importante sans trou et même assezrare, car elle va de 1Hz à 3,5 GHz. Les pas d’in-crémentation sont laissés au choix de l’utilisateur,le plus petit étant de 1 Hz. Aux quatre modes demodulation classiques que sont l’AM, les FM étroiteet large, la SSB (USB, LSB) et la CW s’ajoutentd’autres modes comme l’ISB (Independent Side-Band), l’AIQ (Analog I/Q), l’APCO 25 (si l’optiona été installée), et la vidéo analogique (NTSC, PAL).Tous les pas d’incrémentation sont disponibles,puisque l’on peut descendre jusqu’au 1 Hz…Rappelons que l’ISB (Independant Side Band) corres-

De nouveau en exclusivité pour nos lecteurs SWL et grâce à l’aimable collaboration de la société PROSIC quireprésente AOR en France, nous avons pu disposer d’un exemplaire du tout nouveau récepteur scanner AOR :l’AR 6000. Un modèle qui est voué à succéder à l’AR 5001D, dont il reprend d’ailleurs l’esthétique généraleainsi que les principales caractéristiques. Mais, découvrez-le en notre compagnie. Précisons que le modèletesté ici est celui qui bénéficie de l’option “Rack”. Ce qui facilite son intégration dans une baie.

Cahier de la Radiocommunication Professionnelle

RECEPTEUR SCANNER

RACK AOR AR 6000Par Hugues Lepillier

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pond à de l’AM stéréo, utilisée dans certains payslointains… Les mémoires sont très importantesavec une capacité de 2000 canaux. Ils sont répartisen 40 banques de 50 canaux. Le haut-parleurincorporé a été placé sur le dessus du coffret. Ilprocure une audio correcte. La qualité de récep-tion pourra se trouver nettement améliorée si l’ondispose du rack optionnel avec son haut-parleurintégré en façade. Côté alimentation, l’AR 6000est livré avec un petit bloc secteur. Rien ne s’op-posera à le raccorder sur une alimentation exté-rieure, pour le faire fonctionner à bord d’un véhi-cule : dans un PCM, par exemple.

UNE BATTERIE DE PRISES !Sur le châssis arrière, on recense un grandnombre de prises. On trouve d’abord deux prisesd’antennes “ANT 1” & “ANT 2 HF” au standard“N”. Ces dernières pourront être programméespar l’utilisateur selon ses désirs et surout en fonc-tion des aériens qu’il possède… S’y ajoutent,une prise IF de type “BNC”, une Jack “SP OUT”,une Jack “LINE OUT”, une multibroches “ACC2”,ainsi qu’une CINCH jaune pour “VIDEO OUT-PUT”, Une “10 MHz IN”, une RS 232 “RE-MOTE”, une USB, et une pour l’alimentation DC12 volts, avec le + au point chaud complètentl’ensemble. On trouve aussi un inverseur qui com-mande la marche arrêt de l’AR 6000. Sur cepoint, avant de craindre qu’une panne n’affectele bloc d’alimentation (ce qui nous est arrivé !),on vérifiera que l’interrupteur d’alim incorporéa bien été positionnée sur ON.

LA FACE AVANT La façade adopte une teinte grise très Pro. Lebandeau supérieur est monopolisé par un largepanneau d’affichage à cristaux liquides et sur lagauche, par un vu mètre qui occupe la palcerestante. Le panneau d’affichage bénéficie d’uneillumination verdâtre très efficace. Les afficheursà cristaux liquides sont d’une définition exem-plaire. Le vu-métre à aiguille gratifié d’un rétroéclairage orangé procure une bonne précision.Particularité astucieuse de cet appareil, en pres-sant sur “SCOPE”, le panneau d’affichage setransformera en analyseur de spectre. Ce qui

permettra de repérer les fréquences voisines quisont actives et de pouvoir venir se caler quasiinstantanément dessus. En plus d’une prisecasque ou écouteur, on dispose d’une prise acces-soires à huit broches (GPS, télécommande, alimen-tation, …). On remarquera également à proxi-mité immédiate de ces deux prises, la présenced’une fente servant à introduire une carte SD.Celle-ci permettra de conserver des enregistre-ments sonores, en l’occurrence de signaux reçus.

LES COMMANDESLa touche POWER, à la gauche du vu-mètre pilotela marche-arrêt de l’AR 6000. Avec “FUNC”, onaccédera aux fonctions secondaires. Une pres-

Cahier de la Radiocommunication Professionnelle

> Nouvelle génération de récepteurs > Option “RACK” très Pro> Immense couverture > Nombreux modes de modulation > APCO 25* > Très bonne sensibilité > Décrypteur (inversion de fréquences analogiques) > S-mètre à aiguille incorporé> Plusieurs VFO> Capacité de 2000 canaux> Pas d’incrémentation mini de 1 Hz> Enregistreur > Canal prioritaire> Atténuateur > Timer programmable > Verrouillage des touches > Décodeur CTCSS & DCS> Bip débrayable> Recherche de tonalité sub audio> Sortie digitale I/Q

> Pas de logiciel AOR pour TETRA & TETRAPOL > Coût prohibitif pour un particulier

LES “MOINS”

NOTRE JUGEMENT

LES “PLUS”

RCBConnection - mai-juin 2013 • • Supplément éditorial au n°22013

* =

opt

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sion longue sur cette dernière servira à passerl’affichage en mode analyseur de spectre. Sousle vu mètre, on a deux boutons qui servent respec-tivement à ajuster le niveau des signaux reçus“AF GAIN” ainsi que le seuil de déclenchementdu silencieux “SQUELCH”. De l’autre côté, on aun gros bouton qui correspond au vernier. A côté,un plus petit bouton servira à sélectionner desfonctions secondaires et à faire son choix au seindes menus proposés. La partie centrale est occupéepar le clavier. En plus d’un pavé numérique àdouze touches, s’ajoutent de part et d’autre, une

colonne de quatre touches. Les fonctions en séri-graphies de teinte rouge orangée correspondentaux fonctions primaires. Celles qui sont mention-nées en lettres blanches, symbolisent les fonc-tions secondaires. Elles sont accessibles aprèsavoir pressé sur “FUNC”. Un inventaire s’avéranttrop long, on se reportera à l’imposante noticequi abonde de précisions.

DES AVANTAGES Dès les premières manipulations, on remarqueraque la sensibilité est très correcte, quelle que soitla bande sur laquelle on se trouve. Ceci indé-pendamment du fait que ce récepteur puisse êtredoté d’une option numérique APCO 25. Ce quidémontre que ce récepteur appartient à la caté-gorie des très bons récepteurs à vaste couverture,de surcroît ! Lors du balayage d’une bande limitéeet clairement définie, les fréquences actives pour-ront se trouver automatiquement envoyées dansles mémoires. Une horloge programmable pourras’afficher et piloter certaines fonctions dont unealarme et un timer. Certaines fonctions sont para-métrables et personnalisables, par le biais demenus. En présence d’un signal analogique cryptépar inversion de fréquence, l’AR 6000 pourra lerestituer en clair. Il suffira de chercher et de trouvermanuellement le bon réglage. C’est redoutable-ment efficace. Enfin, la possibilité d’enregistrerdes signaux reçus sera précieuse pour analyserces derniers avec des appareils de mesures, …

PAS SI COMPLEXE !Comme avec les récepteurs AOR de dernièregénération testés ces derniers mois dans noscolonnes, nous n’étions pas certain de parvenirà maîtriser rapidement l’AR 6000. Rassurés enson temps avec l’AR Alpha qui s’était avéré moinscompliqué qu’il n’y paraissait nous en avons euà nouveau la preuve avec l’AR 6000. Attention,avec ce genre de récepteur, il sera impensabled’effectuer l’impasse sur la lecture attentive du

manuel. Dans les grandes lignes, il faut s’impré-gner de ses commandes et des fonctions propo-sées. Car, inévitablement on sera un peu surprispar l’affichage qui mentionne un niveau en dBpour le squelch. Les indications portées sur laplupart des touches sont suffisamment explicitespour qu’un initié devine à quoi elles ouvrentl’accès. Pour notre part, nous n’avons été victimed’aucun blocage de l’AR 6000, même si parfoisquelques inévitables petites fausses manipula-tions se sont produites.

TESTSNotre test s’est sciemment limité aux modesanalogiques, car non seulement dans notre régionil n’y a pas d’utilisateurs de réseaux radio enAPCO 25, mais en outre la platine optionneln’équipait pas notre modèle. Sur les différentesbandes HF, VHF et UHF, nous avons débuté nosessais avec notre double discone de référence.Puis, nous avons continué avec les diversesantennes fixes omnidirectionnelles spécialiséesdont nous disposions: antenne HF Antron 199,VHF Marine de vedette, UHF Pro, et même avecune directive UHF et une filaire HF. Dans tous lescas, les résultats obtenus n’ont pas été affectésde birdies. Au contraire la sensibilité et la sélec-tivité ont mis en défaut en VHF là où il excellenotre scanner de référence, un UBC 860 XLT :il sortait bien mieux des signaux très faibles, dusouffle et du bruit de fond. Le filtrage par CTCSSsur les bandes Pro est efficace. Sur les bandesVHF Services Publics (il en reste encore un peu),VHF Air, VHF Marine, UHF PMR 446, mais aussisur les bandes RA y compris en HF, l’AR 6000offre bien plus qu’un compromis ! Petit reproche :si l’on utilise ce récepteur, comme un scanner detable classique, donc sans son rack optionnel,un étrier inclinable sur l’avant aurait été bien-venu. Par ailleurs, la firme AOR serait bien inspiréede concevoir des options et logiciels donnantaccès à d’autres modes numériques… ■

Cahier de la Radiocommunication Professionnelle

RCBConnection - mai-juin 2013 • • Supplément éditorial au n°22014

CARACTÉRISTIQUES

AOR AR 6000> Couverture : 1Hz à 3,5 GHz> Modes de modulation : AM, NFM, WFM, FM Stéréo, USB, LSB,

CW, APCO25* > Décodages : DCS, CTCSS, > Décodage modes numériques : APCO non crypté*> Capacité mémoires : 2000 canaux> Banques : 40 de 50 canaux> Canal prioritaire : 1> VFO : 5 > Vitesse normale d’exploration :

environ 100 canaux pas à la seconde> Pas d’incrémentation : à partir de 1 Hz> Stabilité en fréquence :

mieux que ± 0,1 ppm (après 5 minutes) > Sensibilité AM (10 dB S/N, 3 KHz) :

1µV de 25 MHz à 1 GHz> Sensibilité FM (12 dB SINAD, 15 KHz) :

0,5 µV de 25 MHz à 1 GHz> Sélectivité AM (6 KHz) : mieux que 5,5 KHz / - 3 dB > Sélectivité NFM (15 KHz) : mieux que 14,2 KHz / - 3dB> Impédance des antennes : 50 Ohms> Atténuateur : 10 ou 20 dB> Connecteurs d’antennes : N & N > Alimentation : 10,7 à 16 volts DC, 2 A > Puissance audio : 2 Watts, sous 8 Ohms> Température de fonctionnement : 0° à + 50° C> Dimensions : 304 x 220 x 97 mm> Poids : 5 kg> Prises : ANT1 = N ; ANT 2 = N ; ACC 8 broches ; RCA Vidéo OUT ;

SMA 10 MHz ; Alimentation (avec inverseur M/A); sortie IF 45,05 MHz ; Jack 3,5 mm HP ; Jack 3,5 mm Line Out ;AUX 2 (pour l’option GPS) ; RS 232 C ; USB I/Q

> Support carte : SD ou SDHC > Capacité d’enregistrement :

8 heures environ avec carte SD 1 GB > Accessoires fournis : bloc d’alimentation avec cordon

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