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Exemples de réalisation Mathilde Verdan Assistante Communication

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Voici une présentation regroupant des exemples de documents que j'ai réalisé.

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Page 1: Réalisations - Mathilde Verdan

 

Exemples  de  réalisation  

 

 

Mathilde  Verdan  Assistante  

Communication  

   

Page 2: Réalisations - Mathilde Verdan

2   EXEMPLES  DE  RÉALISATION    

 

TABLE  DES  MATIERES  

 

PARTICIPATION  AU  SALON  PROFESSIONNEL  AQUIBAT  POUR  SUNNCO  GC   3  

EXEMPLE  D’UNE  REVUE  DE  PRESSE   5  

CREATION  D’UNE  ETIQUETTE  DE  VIN   6  

EMAILING   7  

DOSSIER  DE  PRESSE  DE  LA  TRANSHUMANCE  URBAINE  2011   8  

ARTICLES  POUR  LE  VO  MAG   12  

ORGANISATION  D’ATELIERS  INTERNE   14  

ORGANISATION  D’EVENEMENTIELS  AUTOURS  DE  L’AGENDA  21  DE  VILLENAVE  D’ORNON   16  

GESTION  DE  PROJET  :  CREATION  D’UN  RECUEIL  DE  CONTE  SUR  LE  DEVELOPPEMENT  DURABLE  PAR  LES  ECOLES  ELEMENTAIRES  DE  VILLENAVE  D’ORNON.   17  

EXTRAIT  DE  MON  MEMOIRE  DE  FIN  D’ETUDE   18  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Page 3: Réalisations - Mathilde Verdan

EXEMPLES  DE  RÉALISATION   3    

PARTICIPATION  AU  SALON  PROFESSIONNEL  AQUIBAT  POUR  SUNNCO  GC    

                             

                               

Page 4: Réalisations - Mathilde Verdan

4   EXEMPLES  DE  RÉALISATION    

 

 

 

 

Page 5: Réalisations - Mathilde Verdan

EXEMPLES  DE  RÉALISATION   5    

EXEMPLE  D’UNE  REVUE  DE  PRESSE    

 

Sunnco change de braquet en Aquitaine

Le spécialiste du photovoltaïque déménage et ouvre une usine d’assemblage ainsi qu’un centre de formation. Les annonces dans les énergies vertes se poursuivent en région Aquitaine. La semaine dernière, c’était la prochaine

implantation sur l’Écoparc de Blanquefort, dans la banlieue bordelaise, d’une usine de fabrication de pales éoliennes d’EADS Astrium. Aujourd’hui, c’est la création à Cestas (Gironde) du premier centre de formation en France au mé-tier d’installateur photovoltaïque par le spécialiste du solaire Sunnco. Implanté à Mérignac (Gironde) depuis novembre 2008, le groupe (dont les entités Sunnco Résidentiel et Sunnco Grands Comptes ont réalisé 100

millions de chiffre d’affaires en 2008) y a créé 200 emplois directs. À Cestas, les 13.000 mètres carrés couverts hébergeront les activités actuellement implantées à Mérignac (centre d’appels, service clients, showroom, bureau d’études...) ainsi qu’une usine d’assemblage du système d’intégration maison développé par les ingénieurs du groupe et un centre de forma-tion. Quasiment neutre en énergie grâce à la géothermie, la récupération des eaux pluviales et un système novateur de traitement de l’air, le site deviendra producteur net grâce à une installation photovoltaïque de 1,585 MWc. Destiné à pallier la pénurie dans les métiers techniques, notamment l’électricité et la couverture étanchéité, le prochain centre de formation prolonge l’attention que le groupe porte de longue date au sujet. Ses quelque 400 salariés sont en effet passés par le centre de formation interne de Mérignac dirigé par un ancien formateur de l’Afpa, avant d’être encadrés et suivis par un parrain au sein de l’entreprise.Subventions régionalesLa région Aquitaine ayant fait de l’émergence de filières « vertes » l’une de ses priorités, elle a logiquement décidé de favoriser la formation dans ces métiers. C’est dans ce cadre qu’elle dédie une enveloppe de 1,8 million d’euros au centre de formation à l’éolien Composites Techno Training auquel appartient EADS Astrium. Pour sa part, Sunnco, qui a bénéficié d’une première aide de 40.000 euros en janvier pour sa démarche de GPEC (gestion prévisionnelle de l’emploi et des compétences), reçoit aujourd’hui près de 158.000 euros de plus pour son plan de formation.

Pôle emploi participera au projet qui s’adresse notamment aux demandeurs d’emploi. Le potentiel, pour 2010, est de 60 personnes qui seront directement embauchées à l’issue de leur formation. Mais Sunnco compte doubler son effectif sur place. Et, sur la France entière, passer de 400 à 1.000 salariés.

Paru le 09 02 2010, dans

SUNNCO déménage à Cestas

Installateur photovoltaïque : Sunnco et le Conseil régional d’Aquitaine créent un centre de formationÀ l’instar de nombreuses sociétés du photovoltaïque qui peinent à recruter du personnel qualifié, l’entreprise

française Sunnco, spécialisée dans la pose de panneaux solaires travaille actuellement en partenariat avec le Conseil régional d’Aquitaine et Pôle Emploi, à la création du d’un centre de formation dédié au métier d’« installateur photovoltaïque » et à la création d’un cursus spécialisé. Le groupe Sunnco va consacrer une partie des 13 000 m2 de ses nouveaux locaux de

Cestas à ce centre de formation ‘’ dans le but de créer un véritable savoir-faire en région Aquitaine, et de permettre aux stagiaires issus du cursus d’intégrer, dans les meilleures conditions, la filière photovoltaïque française ‘’, précise la société dans un communiqué.Créé en 2006 par Sébastien Léopold, Sunnco regroupe deux filiales, Sunnco Résidentielet Sunnco Grands Comptes. Actuellement le groupe emploie plus de 400 spécialistes duphotovoltaïque, chiffre qui devrait augmenter à plus de 1000 d’ici 2011.

Paru le 09 02 2010, dans

PHOTOVOLTAÏQUE. Spécialisée dans la pose de panneaux, l’entreprise qui emploie déjà 200 salariés en Gironde va créer une unité de mon-tage et un centre de formation à Cestas

Sunnco va investir massivement à CestasSunnco investit à Cestas. L’entreprise, spécialisée dans l’installation de panneaux photovoltaïques chez les particuliers et les professionnels

(bâtiments agricoles, usines, etc.), annoncera officiellement ce matin la construction à Cestas de trois bâtiments d’une superficie totale de 13 500 mètres carrés-soit l’équivalent de deux terrains de football- pour faire face à sa croissance et à la diversification de ses activités.Fondée en 2006 par son actuel PDG Sébastien Léopold, Sunnco, surfant sur la vague des énergies renouvelables, a connu depuis lors une

croissance « champignonnesque ». Elle compte plus de 4 000 clients et quelque 400 salariés, dont 200 dans la région de Bordeaux : tout en consacrant une bonne partie de ses efforts commerciaux au Sud-Ouest, Sunnco dis-pose en effet à Mérignac d’un site qui héberge à la fois son centre d’appel, un important service de gestion deprojets, et des activités de formation.Écoconstruction à CestasDu fait de son développement foudroyant, Sunnco se trouve aujourd’hui à l’étroit à Mérignac. Et ses dirigeants réfléchissent depuis plusieurs mois à un déménagement dans des locaux plus vastes et mieux adaptés. Dans ce contexte, la société a porté son choix sur Cestas, où elle va donc s’installer sur un site, qui appartenait jadis à la multinationale Pioneer, et qui avait été racheté en 2006 par la CCI de Bordeaux,

avec l’intention affichée d’y développer des activités d’écoconstruction. Le vaste espace disponible sur ce site du « Marticot », proche de l’autoroute Bordeaux-Bayonne, va donc accueillir trois bâtiments, dont la construction devrait en principe démarrer au pre-

mier semestre. Le premier hébergera les activités implantées à Mérignac (centres d’appel, service clients, showroom, etc.). Le deuxième sera destiné à la création d’un centre de formation au métier d’installateur photovoltaïque, en partenariat avec Pôle emploi et le Conseil régional,

qui devait voter hier une subvention de quelque 150 000 euros. Quant au troisième bâtiment, il hébergera un système d’intégration de modules photovoltaïques destinés ensuite à être installés sur les toitures. Comme on pourrait s’en douter, l’ensemble de ces bâtiments sera équipé de panneaux photovoltaïques, dont la production annuelle totale équivaudra à la consommation de 685 foyers. Il n’est pas impossible par ailleurs

que Sunnco GC, filiale du groupe spécialisée dans les grands comptes (professionnels) s’implante au moins provisoirement dans l’ex-usine Pioneer, et que le Groupe Cdiscount, locataire de la CCI jusqu’à ces derniers mois, a quitté à la suite d’un dégât des eaux.Doubler l’effectif girondinCet investissement, dont le montant est estimé entre 10 et 15 millions d’euros, suivant la direction de l’entreprise, devrait avoir des retombées

positives sur l’emploi local. Sunnco prévoit de doubler en 2010 son effectif girondin pour le porter à quelque 400 salariés.Cette nouvelle opération, qui sera officialisée aujourd’hui en présence d’Alain Rousset, de Vincent Feltesse, et de Pierre Ducout, maire de Pessac, illustre le caractère pour le moment très porteur des énergies renouvelables dans l’agglomération bordelaise. On sait que le groupe américain First Solar doit implanter à Blanquefort une usine de production de modules photovoltaïquessusceptible d’employer plus de 300 salariés. Et en association, avec d’autres industriels, EADSAstrium souhaite développer sur la même commune de Blanquefort une activité de construction de grandes pales d’éoliennes. Du Nord (Blanquefort) au Sud (Cestas), tout se passe comme sil’énergie verte était un des seuls secteurs industriels à créer significativement de l’emploi dans la métropole girondine.

Paru le 09 02 2010, dans

Sunnco va croître en GirondeLa société parisienne Sunnco (400 salariés), spécialisée dans la vente et l’installation de pan-neaux photovoltaïques pour le marché particulier, mais aussi pour les grands comptes (filiale

Sunnco GC), emploie actuellement en Aquitaine 180 personnes. A Mérignac (33), Sunnco a installé Sunncall, son centre d’appels national (50 salariés), son centre de gestion de projets, ainsi que son centre de formation pour les commerciaux de l’ensemble du territoire français.

Aujourd’hui, la société Sunnco, créée seulement en 2006, annonce la construction à Cestas (33), sur l’ancien site Pioneer, de 13.500 m! de bâtiments qui abriteront, à terme, en 2011, les activités de son centre actuel de Méri-gnac, à savoir son centre administratif, centre de formation des commerciaux, call center, showroom, service clients, centre de formation d’installateurs. L’investissement de Sunnco s’élèverait à 15 M et pourrait entraîner la création de 200 postes supplémentaires dans la ré-gion.

Paru le 09 02 2010, dans

Trois bâtiments d’un

superficie totale de

13 500m! soit l’équivalent de

deux terrains de foot

Photovoltaïque: Sunnco forme et BP so-lar licencie...Plan de formation en Gironde, plan social dans l’Hérault, autant de signaux contra-dictoires: le secteur du photovoltaïque traverserait-il une crise d’adolescence?Sunnco: centre de formationSunnco a annoncé la création, avec le Conseil régional d’Aquitaine, du “pre-mier centre de formation français dédié au métier d’«installateur photovoltaïque»”. Localisé à Cestas (Gironde),

dans les locaux de Sunnco, le centre proposera un cursus de “120h de cours théoriques - dont 7 heures données par un formateur (interne) complétées par 2 semaines de stage de fin de formation (...). Il a vocation à qualifier les stagiaires à la sécurité, la qualité et la relation cli-ent. Le programme de formation permet notamment aux stagiaires d’obtenir

une première qualification en électricité H1 B1 et une approche concrète du photovoltaïque (validé par les qualifications QualiPV élec et QualiPV bat)”. Pour Sunnco, il s’agit de faire face

à un “problème de pénurie de candidats qualifiés”. La société entend passer de 400 à plus de 1000 salariés “spécialistes du photovoltaïque”, d’ici 2011. Le soutien de la Région s’établit à 40.000 euros, accordés “en janvier dernier pour la mise en place d’une démarche de gestion prévisionnelle des emplois et compétences”, ainsi que d’un “finance-ment de 157.539 euros pour le plan de formation mis en place par l’entreprise”.

Apex BP solar: plan socialLundi 8 janvier, à Saint-Mathieu-de-Tréviers (Hérault), quelque 50 salariés d’Apex BP Solar ontobservé un arrêt de travail destiné à protester contre un plan social qui pourrait conduire à supprimer 46 postes. Le comité d’entreprise doit se réunir le 26 février prochain. “En se repositionnant sur les fermes photovoltaïques au sol, le groupe britannique fait effectivement peser une lourde menace sur l’activité du site histo-rique héraultais qui travaille notamment sur le solaire intégré, activité qui, selon une représentante de la CGT, aurait généré un chiffre d’affaires «croissant depuis trois ans»”, indique le site Entreprise-Montpellier.fr. Le site précise qu’un plan social “sur le point” d’être engagé conduirait à “1.500 suppressions d’emplois sur les 2 200 que compte le groupe international”. A La réunion, 8 emplois sur 12 sont égale-ment menacés, suite à un changement de stratégie de l’entreprise, BP Solar ayant “décidé de recentrer l’activité photovoltaïque de sa filiale (réunionnaise, BP Solar Réunion) uniquement dans la vente de modules en métropole”.

Paru le 10 02 2010, dans

Premier centre de formation

français dédié au métier

d’ “installateur photovoltaïque”.

Partenariat avec le Conseil ré-

gional d’Aquitaine et Pôle Emploi pour la création d’un centre

de formation

Sunnco investit et recruteSunnco, spécialisée dans les installations de panneaux photovoltaïques pour le mar-

ché résidentiel et des grands comptes, va injecter 15 millions d’euros dans la construction à Cestas (Gironde) de trois bâtiments d’une

superficie globale de 13 000 m!. Un bâtiment sera dédié aux activités actuellement implantées sur la commune de Mérignac, à savoir le centre d’appel, le ser-vice clients, le bureau d’étude intégré et l’équipe d’installateurs. Un autre bâtiment sera dédié à une unité d’assemblage d’intégration de modules pho-tovoltaïques. Le troisième sera destiné à la création d’un centre de formation au métier d’installateur photovoltaïque. « Nous avons du mal à trouver ce type de profil. En fait,

c’est un métier qui n’existe pas. On trouve des couvreurs qui ne sont pas électriciens. Du coup, nous formons nos salariés en interne de A à Z par une intégration qui dure deux mois », explique Xavier Bazin, directeur général de Sunnco.Sur ce volet formation, l’entreprise va recevoir le coup de main du conseil régional d’Aquitaine. Après lui avoir apporté une première aide de 40 000 euros en janvier dernier pour la mise en place d’une démarche de GPEC (Gestion prévisionnelle de l’emploi et des compétences), la région a décidé de l’accompagner en lui oc-

troyant une subvention de 157 000 euros, votée le 8 février,

pour la création d’un centre de formation. « La formation est un en-jeu essentiel pour bâtir une vraie filière de la crois-sance verte » a rappelé Alain Rousset, le président (PS) de la région, lors de l’annonce officielle des projets de Sunnco.L’entreprise, qui emploie 200 salariés à Mérignac, va doubler son effectif d’ici la fin 2010. Créée en 2006 par Sébastien Léopold, le groupe a réalisé 35 millions d’euros de chiffre d’affaires en 2008, et annonce un volume d’affaires de 100 mil-lions d’euros en 2009.

Paru le 09 10 2010, dans

Un bâtiment sera dédié aux

activités actuellement implantées sur la com-

mune de Mérignac, un au-tre bâtiment sera dédié à une unité d’assemblage d’intégration de modules

photovoltaïques et le troisième sera destiné

à la création d’un centre de formation

Photovoltaïque : investissement massif de Sunnco à Cestas (Gironde)

Trop à l’étroit sur son site de Mérignac, l’entreprise française Sunnco, spé-

cialisée dans la pose de panneaux solaires, va transférer la totalité de ses activités à Cestas (Gironde) et y install-er, en plus, une nouvelle et immense unité de montage. Coût de l’investissement : près de 15M. En Gironde, les énergies renouvelables ont le vent en poupe. Après l’annonce des investissements d’EADS Astrium et First Solar sur le site de Blanquefort (pales d’éoliennes et production photovoltaïque), c’est au tour de l’entreprise française Sunnco, spécialisé dans l’installation de panneaux

solaires chez les particuliers et les entreprises, de dévoiler un pro-jet d’envergure à Cestas.Les chiffres pèsent lourd et impressionnent : Sunnco, c’est quatre ans de croissance ininterrompue (depuis sa création en 2006),

4000 clients et 400 salariés (dont 200 dans la région de Bordeaux).Plus parlant encore : A Cestas, Sunnco va investir dans un en-semble de trois nouveaux bâtiments dont la superficie totale équivaudra à celle de deux terrains de football réunis (soit près de 14 000 m!).Trop à l’étroit sur son site de Mérignac, l’entreprise en plein boom, actuel-lement dirigée par Sébastien Leopold, a donc choisi de transférer la totalité de ses activités (un centre d’appel, un service de gestion de projets, un showroom et son service clients) sur le vaste espace du « Marticot » à Ces-tas, occupé jusqu’en 2006 par une usine appartenant à la multinaltionale Pioneer, terrain ensuite racheté par la CCI de Bordeaux qui souhaitait y voir se développer des activités d’éco-construction.Sunnco s’en chargera donc car, outre l’implantation de ses activités origi-

nelles, il va y installer un centre de formation dédié au métier d’installateur photovoltaïque et une unité de production hébergeant un système d’intégration de modules photovoltaïques des-tinés à être posés sur les toitures.La construction de cet ensemble devrait démarrer au cours de ce premier semestre. Sunnco envisage même de doubler son effectif girondin pour le porter à quelque 400 salariés en 2010.

Paru le 09 02 2010, dans

quatre ans de croissance ininterrompue4000 clients et

400 salariés

Sunnco compte dou-bler son ef-fectif sur

place

Page 6: Réalisations - Mathilde Verdan

6   EXEMPLES  DE  RÉALISATION    

CREATION  D’UNE  ETIQUETTE  DE  VIN    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

   

 

Page 7: Réalisations - Mathilde Verdan

EXEMPLES  DE  RÉALISATION   7    

EMAILING    Réalisé  dans  le  cadre  d’une  étude  de  cas  

 

 

 

 

 

         

Page 8: Réalisations - Mathilde Verdan

8   EXEMPLES  DE  RÉALISATION    

DOSSIER  DE  PRESSE  DE  LA  TRANSHUMANCE  URBAINE  2011  

Réalisation  de  la  mise  en  page  et  de  la  rédaction  de  quelques  articles.    

 

 

Page 9: Réalisations - Mathilde Verdan

EXEMPLES  DE  RÉALISATION   9    

 

Page 10: Réalisations - Mathilde Verdan

10   EXEMPLES  DE  RÉALISATION    

 

 

Page 11: Réalisations - Mathilde Verdan

EXEMPLES  DE  RÉALISATION   11    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Page 12: Réalisations - Mathilde Verdan

12   EXEMPLES  DE  RÉALISATION    

ARTICLES  POUR  LE  VO  MAG    

 

 

 

TRANSHUMANCE  URBAINE  SAISON  4    

À  l’occasion  de  la  4ème  Transhumance  urbaine  le  dimanche  7  Octobre  2012,  une  fête  populaire  aura  lieu  à  partir  de  12h  sur   les  prairies  de  Courréjean.  Vous  pourrez  vous  divertir  et  vous  restaurer  sous  diverses  formes  mais  pensez  à  réserver  !    

Réservation  part  de  méchoui  Pour  réserver  votre  assiette  de  méchoui  au  prix  de  5€  (morceau  de  mouton,  semoule,  assiette  et  couverts  compris),  il  vous  suffit  de  vous  présenter  entre  le  3  et  le  28  septembre  au  service  Protocole  du  lundi  au  jeudi  de  8h45  à  16h30  ou  le  vendredi  de  8h30  à  16h  à  la  Mairie  du  Pont-­‐de-­‐la-­‐Maye  (paiement  par  chèque  à  l’ordre  du  Trésor  Public  ou  en  numéraire).  Pour  plus  d’informations  :  Service  Protocole  05  56  75  75  06    Vous  pourrez   compléter   votre  menu  à  votre  guise   soit   en  amenant  votre  pique-­‐nique,   soit   en  profitant  des  produits  proposés  sur  le  marché  des  producteurs  régionaux.  Des   espaces   de   restauration   sous   chapiteaux   avec   table   et   chaises   seront   à   votre   disposition   ainsi   que   des  zones  de  pique-­‐nique  sur  prairies.    

Appel  aux  producteurs  locaux  !  Un  marché   de   producteurs   régionaux   est   organisé   entre   12h   et   16h   sur   les   prairies   de   Courréjean   au  coeur  de  la  fête  populaire.  L’emplacement  est  gratuit,  en  contre  partie  le  producteur  s’engage  à  vendre  des  produits  régionaux  consommables  sur  place,  ne  pas  être  revendeur  et  recycler  ses  déchets.    Les  producteurs  intéressés  doivent  se  faire  connaître  auprès  du  service  Communication  au  05  56  75  69  39  ou  piboyeux.virginie@mairie-­‐villenavedornon.fr  Règlement   intérieur   et   fiche   d’inscription   téléchargeable   sur   le   site   internet   de   la   ville  :  www.villenavedornon.fr  rubrique  Développement  Durable.  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Page 13: Réalisations - Mathilde Verdan

EXEMPLES  DE  RÉALISATION   13    

 

 

           

 

Page 14: Réalisations - Mathilde Verdan

14   EXEMPLES  DE  RÉALISATION    

ORGANISATION  D’ATELIERS  INTERNE    pour  sensibiliser  les  agents  à  l’Agenda  21    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Après deux années de labeur, pendant lesquelles elle a travaillé à l'élaboration du plan d'action de l'Agenda 21 de Villenave d'Ornon, notre libellule fait son grand retour parmi nous.

L'Agenda 21, à présent opérationnel, a identifié comme un enjeu important de valoriser les bonnes pratiques déjà en cours au sein de la collectivité. Il donne aussi comme ambition que le plus grand nombre d’agents participe à ce changement des mentalités et des pratiques dans leur quotidien professionnel et auprès des administrés. Pour ce faire, des mesures concrètes ont été définies : la formation des agents sur différentes thématiques en lien avec le développement durable et la création d’un groupe d’agents «éco-responsables».

Vous avez été nombreux en 2011 à participer à l’aventure du court-métrage «Villenave d’Ornon en marche vers le développement durable». Dès février 2013, nous vous proposons de participer aux ateliers thématiques ci-dessous :

2013, on passe à l’actio

n !

La libellule vous donne

rendez-vous !

1er rendez

- vous,

LE 11 JANV

IER 2013

lors de la

cérémonie

des

voeux.

Marc KleinhentzConseiller municipaldélégué à l’urbanisme et au développement durable

Béatrice CaravacaConseillère municipaledéléguée aux ressources humaines

• Atelier 1 : «Communiquons entre nous sur l’Agenda 21»

• Atelier 2 : «Soyons éco-citoyens»

• Atelier 3 : «Organisons des manifestations éco-responsables»

Page 15: Réalisations - Mathilde Verdan

EXEMPLES  DE  RÉALISATION   15    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

PROGRAMME DES ATELIERS :

1) «Communiquons entre nous sur l’Agenda 21» :Quoi : Ces ateliers seront des moments d’échanges pour définir quels outils peuvent être mis en place pour améliorer la communication et faire connaître à l’ensemble des agents, les actions Agenda 21 réalisées au sein de la collectivité. Qui est concerné ? : Tous les agents

2) «Soyons des éco-citoyens» : Quoi : Ces ateliers présenteront les gestes que chacun peut mener au quotidien sur son lieu de travail afin de limiter les dépenses énergétiques, les déchets et la surconsommation. Qui est concerné ? : Tous les agents déjà à l’initiative d’éco-gestes et ceux qui ont l’idée d’en développer.

3) «Organisons des manifestations éco-responsables» : Quoi : Ces ateliers seront l’occasion d’apprendre ce qu’est une «manifestation éco-responsable» et de définir quels sont les outils qui peuvent être utilisés au sein des services organisateurs de la ville. Qui est concerné ? : Tous les agents participant de près ou de loin à l’organisation de manifestations, animations touchant un public ciblé ou plus large.

BULLETIN DE PARTICIPATION à retourner à la mission Agenda 21 avant le 30 janvier 2013

NOM :...........................................................

PRÉNOM :........................................................

SERVICE :.......................................................

JOURS ET HORAIRES DE TRAVAIL : (pour nous aider à organiser les ateliers) Lundi : Mardi : Mercredi :

Jeudi : Vendredi :

CHOIX DE(S) ATELIER(S) : (vous pouvez faire plusieurs choix, mais vous ne

pourrez participer qu’à un seul atelier. Mettez l’ordre de vos préférences)

«Communiquons entre nous sur l’agenda 21» «Soyons éco-citoyens» «Organisons des manifestations éco-responsables» VISA DU RESPONSABLE DE SERVICE :

NOM : SIGNATURE :

CONTACTS MISSION AGENDA 21

•� Claire� Dubroca� � :� 05� 56� 75� 69� 08� � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � � •� Mathilde� Verdan� :� 05� 57� 99� 01� 16mission.agenda21@mairie-­villenavedornon.fr� � � � � � � � � � � [email protected]

Page 16: Réalisations - Mathilde Verdan

16   EXEMPLES  DE  RÉALISATION    

ORGANISATION  D’EVENEMENTIELS  AUTOURS  DE  L’AGENDA  21  DE  

VILLENAVE  D’ORNON    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Page 17: Réalisations - Mathilde Verdan

EXEMPLES  DE  RÉALISATION   17    

GESTION  DE  PROJET  :  CREATION  D’UN  RECUEIL  DE  CONTE  SUR  LE  DEVELOPPEMENT  DURABLE  PAR  LES  ECOLES  ELEMENTAIRES  DE  VILLENAVE  D’ORNON.  

Ce  projet  a  été  réalisé  dans  le  cadre  de  la  semaine  du  développement  durable  2012.    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Page 18: Réalisations - Mathilde Verdan

18   EXEMPLES  DE  RÉALISATION    

EXTRAIT  DE  MON  MEMOIRE  DE  FIN  D’ETUDE    «  La  communication  par  les  médias  sociaux  au  sein  des  collectivités  territoriales  de  la  CUB  »  

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

! MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

32

DEUXIÈME PARTIE :

L’USAGE DES MÉDIAS SOCIAUX PAR LES

COLLECTIVITÉS TERRITORIALES DE LA

COMMUNAUTÉ URBAINE DE BORDEAUX

Les collectivités territoriales s’adaptent à l’évolution des usages des technologies de

l’information et de la communication. Précédemment, il a été vu qu’il existe des freins et des

à priori par rapport aux médias sociaux. L’existence d’écart remarquable dans l’utilisation de

ces nouveaux supports entre plusieurs villes a été soulignée. De ces remarques, il ressort

comme judicieux de se demander si les communes d’une même communauté urbaine29 se

sont appropriés et utilisent de la même manière les médias sociaux.

Dans le cadre de ce mémoire, une enquête a été réalisée auprès des 27 communes de la

communauté urbaine de Bordeaux afin de comprendre comment ces villes utilisent et adaptent

les médias sociaux à leur stratégie de communication. Cette étude a été réalisée de janvier à

mars 2012 par le biais d’un questionnaire en ligne et d’entretiens téléphoniques.

Afin de comprendre cette analyse, une présentation des hypothèses de départ, du cadre

d’étude et des outils mis en place sera faite. Puis, l’analyse des résultats de l’étude ainsi que la

validation ou non des hypothèses sera développé. Pour finir sur une conclusion de l’étude

présentant quelles sont les pratiques à retenir de l’usage des médias sociaux qu’en font les

collectivités territoriales de la communauté urbaine de Bordeaux.

)

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!29 Insee.fr : « La communauté urbaine est un EPCI ("Etablissement public de coopération intercommunale") qui regroupe plusieurs communes ayant décidé de s'associer au sein d'un espace de solidarité, pour élaborer et conduire ensemble un projet commun de développement urbain et d'aménagement de leur territoire. ». !

Page 19: Réalisations - Mathilde Verdan

EXEMPLES  DE  RÉALISATION   19    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

!MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

33

I. Méthodologie de l’étude

Une enquête a été réalisée de janvier à mars 2012 au sein des communes de la

communauté urbaine de Bordeaux afin de connaitre leurs usages des médias sociaux. Cette

étude est basée sur des hypothèses définies suite à l’étude théorique présentée précédemment.

Ces hypothèses ont permis de choisir les outils d’analyse adéquats.

A. Les hypothèses de départ

L’étude théorique des usages généraux des médias sociaux a fait ressortir deux

grandes hypothèses :

- Les médias sociaux sont un outil permettant aux collectivités territoriales de

se rapprocher du citoyen.

- L’usage des médias sociaux est professionnalisé comme tous les autres outils

de communication.

Chaque hypothèse se compose de sous-hypothèses.

Il était nécessaire de formuler des postulats de départ pour orienter l’étude vers les réponses

attendues.

1. Première hypothèse : Les médias sociaux sont un outil

permettant aux collectivités territoriales de se rapprocher du citoyen

Les collectivités territoriales utilisent les médias sociaux comme nouvel outil de

communication. Les objectifs de la communication publique sont d’informer, de mobiliser et

de promouvoir le territoire auprès du citoyen. Il est donc important de savoir si ce nouvel outil

permet aux communes de se rapprocher de leurs administrés. Cela offrirait la possibilité de

créer des liens forts ainsi que de la proximité entre la collectivité et ses habitants, le tout en

renforçant le sentiment d’appartenance à un territoire et en impliquant les habitants dans la vie

locale.

Pour répondre à cette hypothèse, trois sous-hypothèses ont été émises :

Page 20: Réalisations - Mathilde Verdan

20   EXEMPLES  DE  RÉALISATION    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

! MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

34

a. Première sous-hypothèse : La diversité des médias sociaux

permet aux collectivités territoriales de toucher plusieurs cibles.

Comme vu précédemment, il existe un nombre croissant de médias sociaux

spécialisés30 ou généralistes31 sur la toile. Il peut être émis comme hypothèse que cette

diversité des médias sociaux va permettre aux communes de communiquer de manière plus

large et ainsi de toucher des cibles qui ne sont pas sensibles aux outils traditionnels de

communication. Cette diversité de contenu pourrait aussi permettre de segmenter la diffusion

des informations selon les cibles et ainsi atteindre un public plus large.

b. Deuxième sous-hypothèse : Les médias sociaux permettent

aux collectivités territoriales de s’adresser à leurs citoyens avec un discours moins

institutionnel et ainsi créer une proximité.

Les médias sociaux sont des outils d’échange, de discussion, de partage et de relation

sociale. Cela suppose que le ton utilisé sur ces outils change et est différent du ton observé sur

les autres supports de communication. Il devrait être moins institutionnel et informatif,

permettre un rapprochement, une meilleure écoute et des échanges plus fréquents. Il est

intéressant de se demander quel ton utilise les communes pour communiquer sur les médias

sociaux.

c. Troisième sous-hypothèse : Les médias sociaux permettent

d’aborder tous les sujets.

La communication publique est très règlementée au niveau juridique. Il existe des

règles très strictes pour communiquer sur certains sujets : politique et budget notamment (…).

Mais les communes ont le devoir de transparence envers leurs citoyens.

Les médias sociaux regroupent des sujets de conversation diversifiés. Une collectivité

territoriale, présente sur ces médias sociaux, peut-elle aborder tous les sujets ? Arrivent-elles à

aborder toutes les thématiques avec leurs administrés sur ces outils ? Sont-ils adaptés pour

parler de tout ? Ces questions sont des problématiques importantes dans la communication

publique.

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!30 Exemple : Vinigoo est un réseau social qui permet de découvrir le vin et de partager ses dégustations avec ses amis. 31 Par exemple, Facebook.

Page 21: Réalisations - Mathilde Verdan

EXEMPLES  DE  RÉALISATION   21    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

!MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

35

2. Deuxième hypothèse : L’usage des médias sociaux est

professionnalisé comme pour les autres outils de communication

Tous les outils de communication, que ce soit le journal, la lettre d’information ou le

site internet, requièrent une connaissance et une maîtrise professionnelle pour un usage à bon

escient et une communication efficace. Les médias sociaux ne dérogent pas à cette règle et

demandent même une plus grande attention, car ils sont en constante évolution.

Les communes présentes sur les médias sociaux ont-elles bien pris en compte le côté

professionnel dans l’usage de ces supports comme pour tous les autres qu’elles utilisent ?

« Surfent-elles » sur l’effet de mode ? Utilisent-elles ces outils à leur juste valeur ?

Pour cela, trois sous-hypothèses ont été émises :

a. Première sous-hypothèse : La présence sur les médias repose

sur une stratégie réfléchie en amont.

Pour savoir si les communes utilisent les médias sociaux de manière professionnelle, il

faut connaître le contexte de leur présence sur ces outils. Qui a pris la décision d’être sur ces

outils ? Y a-t-il eu une stratégie de mise en place ? Depuis quand sont-elles présentes sur les

médias sociaux ?…

Pour un usage professionnel de tout support, il est nécessaire d’établir en amont une stratégie

de communication pour comprendre les outils, relever les bons usages et les adapter à ses

objectifs.

b. Deuxième sous-hypothèse : Il existe une complémentarité

entre « anciens » et nouveaux supports de communication.

Dans l’élaboration d’une stratégie de communication, plusieurs supports peuvent être

utilisés et chaque outil se complète. Chacun permet de s’adresser à une cible précise et/ou

d’aborder un thème précis. Les médias sociaux sont des outils qui s’ajoutent à la stratégie de

communication.

Les collectivités territoriales ont-elles intégré les médias sociaux à leur stratégie de

communication afin d’enrichir les supports de communication existants ?

Page 22: Réalisations - Mathilde Verdan

22   EXEMPLES  DE  RÉALISATION    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

! MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

36

c. Troisième sous-hypothèse : Les médias sociaux sont gérés par

une personne dédiée.

Il a été vu précédemment qu’il est important qu’une personne (souvent le community

manager) s’occupe des médias sociaux à temps plein, car ce sont des outils chronophages qui

demandent une présence quotidienne. La communication est instantanée et la personne en

charge doit pouvoir répondre à toutes les interrogations.

Il est intéressant de se demander d’une part si les collectivités ont intégré la gestion des

médias sociaux en interne (ou confiée à un prestataire extérieur), d’autre part si cette tâche est

la mission principale d’un agent, une des missions des agents selon la thématique ou la

mission d’un stagiaire.

B. Cadre d’étude

Les communes de la communauté urbaine de Bordeaux constituent le cadre de l’enquête.

1. Présentation de la CUB et de ses communes

Pour comprendre le contexte d’enquête, la CUB et chacune des communes la composant vont

être présentées.

a. La communauté urbaine de Bordeaux32

La communauté urbaine de Bordeaux a été créée le 1er janvier 1968 et est actuellement

présidée par M. Vincent Feltesse. Cette communauté de commune est l’une des plus

anciennes des 16 communautés urbaines françaises, car elle est la quatrième à avoir été créée.

Elle regroupe 27 communes autour de trois objectifs : réaliser les grands équipements

d’agglomération, moderniser les services urbains et développer l’économie locale.

Par sa population (715 000 habitants) et son territoire (55 188 hectares), la CUB est la sixième

agglomération de France. Elle est une des plus attractives par son cadre de vie (proximité de

la mer, des montagnes, de l’Espagne), mais aussi pour son pôle industriel…

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!32 www.lacub.fr

Page 23: Réalisations - Mathilde Verdan

EXEMPLES  DE  RÉALISATION   23    

 

 

 

 

 

 

!MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

37

b. Les 27 communes33 de la CUB

Les deux cartes suivantes présentent les 27 communes de la CUB. La première montre

la répartition de la population, la seconde la préférence politique des maires actuels. Ces

cartes offrent un visuel des communes permettant de comprendre leur position et leur poids au

sein de la CUB.

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!33 Chiffres de la population : Recensement INSEE mars 1999, www.lacub.fr .

$BCDE)8)3)4B)FGFHIBDJGK)LEM)NGOOHKEM)LE)IB)$05

Page 24: Réalisations - Mathilde Verdan

24   EXEMPLES  DE  RÉALISATION    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

! MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

38

$BCDE)>)3)4B)CEFCPMEKDBDJGK)LEM)FBCDJM)FGIJDJQHEM)LBKM)IB)$05)

2. Justification du cadre

La communauté urbaine de Bordeaux a été choisi comme cadre d’étude, car elle

regroupe des communes très disparates autant par leurs populations (de 1 098 hab. à 238 921

hab.), leurs superficies (de 386 ha à 8 528 ha) que la représentation politique (PS, UMP,

Modem, Verts, Divers Gauche, Divers Droite). Cette diversité permet d’établir une analyse

selon certains segments : la population, la superficie, la longévité du maire, sa représentation

politique…

Page 25: Réalisations - Mathilde Verdan

EXEMPLES  DE  RÉALISATION   25    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

!MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

39

De plus, une communauté de commune rassemble des communes sous des objectifs

d’évolution communs et il est intéressant de se demander si celles-ci évoluent et assimilent les

nouveaux outils de communication de la même manière puisque leur but est similaire.

C. Outils d’enquête : un questionnaire et une veille

Pour mener cette étude à bien, deux outils ont été utilisés : un questionnaire en ligne

(complété par les agents eux-mêmes ou par le biais d’entretiens téléphoniques) et une veille

des médias sociaux des 27 communes de la communauté urbaine de Bordeaux. Ces outils ont

été choisis, car ils se complètent au niveau de la collecte d’information.

1. Présentation du questionnaire (Cf. ANNEXE 2 : Le questionnaire)

Le questionnaire a été rédigé de manière à valider ou infirmer les différentes

hypothèses et sous-hypothèses présentées précédemment. L’usage de questions fermées

semblait plus adapté à la cible, à savoir les animateurs de communautés sur les médias

sociaux utilisés par les collectivités territoriales de la CUB. Ce sont des personnes qui n’ont

pas beaucoup de temps à accorder pour des entretiens physiques et elles sont souvent

difficilement joignables. Le questionnaire a été mis en ligne et envoyé par mail aux services

Communication. Cela a permis aux personnes ciblées d’avoir plus de temps pour répondre et

rechercher les informations dont elles avaient besoin pour répondre au questionnaire. Il a

ensuite servi de ligne directive pour des relances téléphoniques, relances qui ont permis de

mener des entretiens téléphoniques lorsque les personnes contactées pouvaient consacrer

quelques minutes à l’enquête.

Ce questionnaire est composé de 70 questions : 60 questions fermées et 10 questions ouvertes.

Ces questions sont structurées en 10 catégories.

Des questions :

\ sur la personne interrogée,

\ spécifiques aux collectivités qui ne sont pas sur les médias sociaux,

\ introduisant les collectivités présentes sur les médias sociaux,

\ détaillant la stratégie globale de communication,

\ traitant de l’insertion des médias sociaux dans la stratégie,

Page 26: Réalisations - Mathilde Verdan

26   EXEMPLES  DE  RÉALISATION    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

! MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

40

\ sur la gestion des médias sociaux,

\ générales sur les médias sociaux,

\ sur l’utilisation personnelle des médias sociaux par les interviewés,

\ permettant de recueillir les contacts des personnes.

Ainsi qu’une question ouverte sur le mémoire.

Ces questions permettent de connaître l’utilisation faite par la commune des médias sociaux,

le profil professionnel et personnel de la personne interrogée ainsi que le profil des

collectivités territoriales non présentes sur les médias sociaux et les raisons de cette absence.

2. La relation entre les hypothèses et les questions.

Les deux hypothèses ont servi de départ à la construction du questionnaire. Il a fallu

trouver les questions permettant de valider ou d’infirmer ces postulats.

Pour comprendre la répartition des questions ainsi que leur choix, en voici une présentation en

fonction des hypothèses auxquelles elles correspondent.

a. Les médias sociaux sont un outil permettant aux collectivités

territoriales de se rapprocher du citoyen

Pour la première hypothèse, les questions portent sur la communication globale de la

commune et sur leur utilisation des médias sociaux. Ces questions permettent de définir un

profil d’usage : fréquence de publication, ton utilisé, cible, type de publication…

Voici les questions posées aux chargés des médias sociaux pendant l’enquête :

\ Vos outils de communication sont-ils à diffusion du grand public ?

\ Quel ton utilisez-vous sur les médias sociaux ?

\ Est-il différent de celui de vos supports de communication habituels ?

\ Quels messages diffusez-vous sur les médias sociaux ?

\ Publiez-vous des photos ou des vidéos ? Si oui, est-ce que ce sont des photos

ou vidéos inédites ?

\ Pensez-vous que les médias sociaux permettent de traiter de tous les sujets ? Si

non, selon vous, quels sont les sujets incompatibles avec les médias sociaux ?

Page 27: Réalisations - Mathilde Verdan

EXEMPLES  DE  RÉALISATION   27    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

!MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

41

\ Avez-vous des retours de vos citoyens ? Si oui, sous quelle forme ? Si oui, la

participation de vos citoyens a-t-elle évolué dans le temps ? De quelle

manière ?

\ Avez-vous lancé ou relancé la participation de vos citoyens ? Si oui, par quels

moyens ?

\ À quelle fréquence publiez-vous ?

\ Quelles sont les statistiques de visite de vos médias sociaux ? (par semaine)

\ Quelles sont les statistiques de commentaire/j’aime/tweet/retweet de vos

médias sociaux ? (par semaine)

\ Avez-vous des pages ou des groupes pour des cibles particulières ? Si oui, ces

outils ont-ils une fréquentation remarquable ?

\ Pensez-vous que la présence de votre mairie sur les médias sociaux vous

permet de toucher une nouvelle cible ? Si oui, qui ?

b. L’usage des médias sociaux est professionnalisé comme tous

les autres outils de communication

Pour cette seconde hypothèse, les questions portent sur la stratégie mise en place pour

la gestion des médias sociaux afin d’observer si les communes les intègrent comme de réels

supports de communication et si une réflexion a bien été menée en amont comme pour les

autres outils.

Voici les questions posées aux chargés des médias sociaux pendant l’enquête :

\ Êtes-vous la personne en charge des médias sociaux ? Si oui, vous faites partie

de quel service ? Si non, quel service s’occupe des médias sociaux ?

\ Existe-t-il un service communication au sein de votre commune ? Si oui, de qui

est-il composé ? Si non, qui est en charge de la communication au sein de la

collectivité ?

\ Depuis quand la collectivité est-elle sur les médias sociaux ?

\ De qui vient l’initiative ?

\ Pourquoi avez-vous décidé de rejoindre les médias sociaux ?

\ Avez-vous organisé des groupes de travail en amont afin d’établir une stratégie

de présence sur les médias sociaux ?

\ Si vous utilisez les médias sociaux de partage de photo et vidéo, pourquoi les

utilisez-vous ?

Page 28: Réalisations - Mathilde Verdan

28   EXEMPLES  DE  RÉALISATION    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

! MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

42

\ Quand avez-vous créé votre/vos compte(s) ?

\ Est-ce la même personne qui s’occupe des médias sociaux depuis le début ? Si

non, pourquoi ce changement ?

\ Combien de temps passez-vous dans l’animation des médias sociaux ?

\ Qui prend le relai quand vous êtes absent(e) ?

\ Organisez-vous des groupes de travail ou réunions afin de créer une

dynamique d’ensemble entre vos différents supports ?

\ Existe-t-il une ligne éditoriale ?

\ De qui dépend la validation des publications sur les médias sociaux ?

\ Avez-vous eu des difficultés liées à l’utilisation des médias sociaux ? Si oui,

quelles étaient-elles ?

\ Avez-vous eu des commentaires négatifs ?

\ Avez-vous mis en place une stratégie pour les gérer ? Si oui, quelle était-elle ?

\ Avez-vous du changer votre mode d’organisation pour l’adapter aux médias

sociaux ? Si oui, en quoi ?

\ Comment l’utilisation des médias sociaux s’insère t-elle dans votre stratégie de

communication globale ?

\ Connaissez-vous la part d’internautes venant sur votre site depuis vos

différentes communautés ?

\ Existe-t-il des liens entre vos différents supports web et papiers ?

3. La veille des médias sociaux

En complément du questionnaire et des entretiens téléphoniques, une veille sur les

médias sociaux des communes de la communauté urbaine de Bordeaux a été menée de janvier

à mars 2012.

Comme pour toute étude, il est nécessaire de s’intéresser à l’existant et dans ce cas, de voir

réellement l’usage qui est fait des médias sociaux par les collectivités. De plus, toutes les

collectivités n’ont pas répondu au questionnaire ou n’avaient pas tous les renseignements pour

y répondre. Cette veille a permis d’avoir un complément d’information et une vue d’ensemble

des médias sociaux de ces communes.

Page 29: Réalisations - Mathilde Verdan

EXEMPLES  DE  RÉALISATION   29    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

!MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

43

Pour établir cette veille, une étude des sites internet des communes a été réalisée ce qui a

permis de prendre connaissance des médias sociaux qu’elles utilisent. Une fois les médias

sociaux recensés et l’inscription à chaque communauté réalisée, une surveillance sur 2 mois et

demi a été établie. La fréquence des publications, le ton utilisé, le type de publication ainsi

que les commentaires ont pu être vus sur cette période et aller en complément des résultats du

questionnaire.

La présentation de la méthodologie de l’étude menée sur les 27 communes de la CUB a

exposé les hypothèses, points de départ de l’enquête.

La partie suivante présentera l’analyse faite des résultats de l’enquête. Ceux-ci seront croisés

avec les hypothèses pour ressortir la réalité des usages des médias sociaux par les collectivités

territoriales étudiées. (Cf. ANNEXE 3 : Tableau de veille sur la gestion des médias sociaux par les

collectivités de la CUB)

II. Analyse de l’étude

L’enquête menée auprès des 27 communes de la communauté urbaine de Bordeaux

s’est déroulée de janvier à mars 2012. 20 communes ont participé au questionnaire soit en

ligne suite à l’envoi d’un mail soit par entretien téléphonique. Le groupe des répondants est

hétérogène par leur taille et leur population : de 1 098 hab. à 238 921 hab. et de 386 ha à 8

528 ha.

Sur les 20 communes, 12 sont présentes sur les médias sociaux, ce qui représente 60 % de

l’échantillon. 17 des 27 communes de la communauté urbaine de Bordeaux sont présentes sur

les médias sociaux, ce qui représentent 70 % des collectivités. (Cf. ANNEXE 4 : Carte représentant

la présence sur les médias sociaux des collectivités de la CUB)

Ce quota permet d’obtenir des résultats représentatifs de l’utilisation des médias sociaux par

les communes de la communauté urbaine de Bordeaux.

Il ressort de cette étude que le média social le plus utilisé par les communes de la CUB est

Facebook avec 16 des 17 communes présentes sur les médias sociaux. Ces villes possèdent

Page 30: Réalisations - Mathilde Verdan

30   EXEMPLES  DE  RÉALISATION    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

! MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

44

soit un profil (6)34, soit une page (14)35, soit un groupe (3)36. En seconde position se trouve

Twitter avec 7 communes sur 17 et en troisième position ex æquo se positionnent les médias

de partage de vidéo : YouTube et Dailymotion avec 6 communes sur 17. (Cf. ANNEXE 3 :

Tableau de veille sur la gestion des médias sociaux par les collectivités de la CUB)

A. Les résultats

Les résultats de l’enquête vont permettre de définir le profil des collectivités de la

CUB inscrites sur les médias sociaux, en présentant leurs pratiques ainsi que le profil type de

leur community manager.

Puisque 40 % des communes interrogées ne sont pas présentes sur les médias sociaux, l’étude

permettra d’établir un profil de ces villes.

Enfin, la validation ou non des hypothèses sera déduite de cette segmentation des résultats.

1. Profil des collectivités présentes sur les médias sociaux (Cf.

ANNEXE 5 : Les résultats de l’enquête)

Les collectivités présentent sur les médias sociaux sont hétérogènes de par :

\ leur population : de 6 705 hab. à 238 921 hab.,

\ leur taille : de 528 ha à 8 528 ha

\ leur étiquette politique : PS, Modem, UMP…

et leurs communautés : de 25 à 9 073 fans, de 175 à 949 amis et de 41 à 10 707 abonnés.

Les collectivités interrogées présentes sur les médias sociaux possèdent à l’unanimité un

service communication qui se compose d’un chargé de communication (83 %), d’un directeur

de communication (75 %), d’un graphiste (75 %), d’un webmaster (50 %) et certains services

ont engagé un chargé de Relation Presse, un maquettiste, un imprimeur et/ou un journaliste.

La communication est donc présente au sein des collectivités de la CUB et tient une place

plus ou moins importante selon les communes. Elles utilisent divers supports de

communication traditionnels. Elles éditent toutes un journal municipal et possèdent un site

internet. La quasi-totalité des communes ayant répondu à l’enquête publie des guides

pratiques de la ville et organise des évènements récurrents. Pour 67 % d’entre elles, le point

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!34 Il en existe plusieurs pour une même commune. 35 Ibid. 36 Ibid.

Page 31: Réalisations - Mathilde Verdan

EXEMPLES  DE  RÉALISATION   31    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

!MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

45

d’accueil est un outil de communication indispensable, car il permet le contact physique avec

le citoyen. Seulement la moitié des 12 communes rédigent une newsletter. La totalité des

municipalités interrogées et présentes sur les médias sociaux déclare que leurs outils de

communication sont principalement destinés au grand public. Quelques communes rédigent

des publications un peu plus ciblées (petite enfance, saison culturelle, aménagement du

territoire, sénior, jeunesse...)ce ne sont qu’une petite partie de leurs publications. La

communication de ces villes est donc dirigée vers tous les administrés. Sur les médias

sociaux, seulement 25 % d’entre elles ont créé des pages ou des groupes pour des cibles

particulières, mais celles-ci ne génèrent pas d’audience remarquable.

Les 17 communes présentes sur les médias sociaux le sont depuis moins de quatre ans. Parmi

les 12 ayant répondu à l’enquête, 7 se sont inscrites à l’initiative du service communication et

5 sur la demande du maire. La première raison de leur inscription est la recherche de

nouvelles cibles, puis viennent la recherche d’interactivité avec les citoyens, la diffusion plus

large du contenu et l’effet de mode. Ces résultats démontrent que les communes souhaitent

toucher un public plus large, un public qui n’est pas sensible aux autres supports de

communication. Elles souhaitent informer et partager plus de contenu avec le citoyen. 92 %

des communes interrogées et présentes sur les médias sociaux considèrent qu’ils permettent

d’approcher des nouvelles cibles, elles ont remarqué qu’elles touchaient principalement les

moins de 18 ans, les étudiants et les actifs.

0% 20% 40% 60% 80%

100%

Les outils et moyens de communications habituels

;CBFRJQHE)8)3)4EM)GHDJIM)ED)OGSEKM)LE)NGOOHKJNBDJGK)RBTJDHEIM))

LEM)NGIIENDJUJDPM)DECCJDGCJBIEM

Page 32: Réalisations - Mathilde Verdan

32   EXEMPLES  DE  RÉALISATION    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

! MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

46

La personne en charge des médias sociaux appartient majoritairement au service

communication. Il existe une certaine stabilité dans la gestion des médias sociaux puisque

75 % des mairies emploient la même personne sur cette mission depuis l’ouverture des

comptes et aucune mairie n’a externalisé la gestion des communautés. Certains agents ont été

embauchés spécifiquement pour gérer ces nouveaux médias. 58 % des responsables de ces

médias sont remplacés par des collègues de leur service quand ils sont absents. Cela montre

un souci d’actualisation régulière et d’échange continu. Mais avec 42 % des informations qui

ne sont pas mises à jour, on peut conclure à un certain manque d’organisation dans certaines

communes. De plus, le caractère instantané de ces outils ne semble pas totalement assimilé.

67 % des mairies interrogées n’ont pas établi de stratégie de présence en amont à leur

inscription. Cependant, un peu plus de la moitié (58 %) d’entre elles ont mis en place une

ligne éditoriale pour ces nouveaux outils. Pour les 12 communes ayant répondu à l’enquête,

0% 10% 20% 30% 40% 50% 60% 70%

Les raisons de présence sur les médias sociaux

;CBFRJQHE)>)3)4EM)CBJMGKM)LE)FCPMEKNE)MHC)IEM)OPLJBM)MGNJBHV

0% 20% 40% 60% 80%

Les nouvelles cibles

;CBFRJQHE)=)3)4EM)KGHUEIIEM)NJTIEM)MEKMJTIEM)BHV)OPLJBM)MGNJBHV

Page 33: Réalisations - Mathilde Verdan

EXEMPLES  DE  RÉALISATION   33    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

!MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

47

les médias sociaux s’insèrent dans la communication globale de différentes manières. Tout

d’abord, ils viennent en « complément des autres outils ». Ils permettent de « communiquer

avec de nouvelles cibles et de façon immédiate ». Enfin, sur les médias sociaux il est possible

de « tester de nouvelles idées » et « communiquer de manière différente par rapport aux outils

classiques ».

2. Les pratiques des collectivités territoriales de la CUB (Cf. ANNEXE

5 : Les résultats de l’enquête)

Les 12 collectivités territoriales de la CUB ayant répondu au questionnaire n’utilisent

pas un ton exclusivement institutionnel ou de proximité. En effet, 33 % ont répondu « autre »

à la question « Quel ton utilisez-vous sur les médias sociaux ? ». Ils disent « utiliser un ton

moins formel pour des informations personnalisées », changer de ton « selon la personne avec

qui ils échangent » ou utiliser « un peu des deux, à savoir que la communication sur le web est

différente de la communication papier et que le ton n’est pas le même ». Enfin, 67 % de ces

municipalités déclarent que le ton utilisé est différent de celui de leurs outils traditionnels.

La moitié des villes interrogées personnalisent leur publication souhaitant des « bonne

journée », « bon week-end » ou encore de joyeuses fêtes…, 42 % publient des messages

exclusivement pour les médias sociaux, mais 33 % déclarent faire un copier-coller des autres

supports tels que le site internet ou le journal municipal. La moitié des communes font valider

leurs publications par le directeur du service communication tandis que 25 % passent par le

cabinet du maire ou ne sont soumis à aucune validation. 92 % de ces communes publient des

photos et/ou des vidéos dont une majorité sont des visuels inédits. Sur les 7 communes

0% 10% 20% 30% 40% 50%

C'est un copier-coller

des autres supports

Ce sont des messages

crées spécialement

pour les médias sociaux

Ils sont personnalisés :

"Bonne semaine", demande

d'avis

Il y a création d'une

interactivité entre la mairie et le citoyen

Autres

Contenu des publications

;CBFRJQHE)W)3)$GKDEKH)LEM)FHTIJNBDJGKM

Page 34: Réalisations - Mathilde Verdan

34   EXEMPLES  DE  RÉALISATION    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

! MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

48

utilisant les sites d’hébergement et de partage de vidéos et de photos, 3 les utilisent en

complément des autres médias sociaux et du site internet pour un meilleur référencement et

une facilité de publication sur les autres outils.

La moitié des 12 communes déclarent publier du contenu plusieurs fois par semaine tandis

que 4 publient plusieurs fois par jour. Il existe une régularité dans la publication de contenu.

58 % des chargés des médias sociaux déclarent s’y connecter environ une heure par jour pour

de la veille, répondre aux commentaires, mais ne publient pas toujours. Une petite majorité

(42 %) de ces communes ont moins de 100 commentaires hebdomadaires et très peu ont eu

des commentaires négatifs. Elles sont cependant relativement préparées à en recevoir, car

42 % déclarent avoir une stratégie dédiée.

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Fréquence de publication

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Temps passé dans l'animation des médias sociaux

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Page 35: Réalisations - Mathilde Verdan

EXEMPLES  DE  RÉALISATION   35    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

!MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

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Les liens entre les supports papier et web sont très fréquents puisque 92 des mairies les

intègrent. Cependant, aucun responsable des médias sociaux ne connaît le trafic de leur site

venant des médias sociaux au moment de l’enquête.

Peu de mairies organisent des réunions de publications pour garantir une cohérence entre les

supports classiques et les publications sur les médias sociaux.

75 % des chargés des médias sociaux pensent qu’ils ne permettent pas de traiter tous les

sujets. Certains nuancent en déclarant que les médias sociaux ne permettent qu’un traitement

« superficiel des sujets et ne remplacent pas les outils habituels », d’autres disent qu’il est

possible de « parler de tout ce qui est service public, civique et institutionnel, mais que les

sujets politiques et de veille ne peuvent pas y être traités », ni « les sujets de fond notamment

les séniors, le social et l’urbanisme ». Enfin certains précisent qu’il faut « faire attention à

rester dans le cadre juridique de ce que peut dire ou pas une commune ».

L’utilisation des médias sociaux semble être sur la voie de la professionnalisation. Les

animateurs s’adaptent à ce nouveau média ainsi qu’à leurs communautés. Cependant, la

méconnaissance de certaines statistiques illustre le chemin qu’il reste à parcourir.

3. Qui est le community manager des mairies de la CUB ?

Si vous essayez de contacter un community manager des collectivités territoriales de la

CUB vous avez autant de chance de rencontrer un homme qu’une femme. Il a entre 26 et 35

ans et est au service de la commune depuis 2 ans. Il utilise les médias sociaux dans le cadre

privé. Il a un compte Facebook, Viadéo, Twitter et LinkedIn. Il se connecte plusieurs fois par

jour pour publier des anecdotes, des éléments de la vie quotidienne, des liens et des vidéos.

Son compte est principalement réservé à son environnement direct et à ses proches ce qui

implique une utilisation avancée de ces nouveaux outils.

4. Profil des collectivités non présentes sur les médias sociaux

Les 10 collectivités de la CUB non présentes sur les médias sociaux (Cf. ANNEXE 4 :

Carte représentant la présence sur les médias sociaux des collectivités de la CUB) se distinguent les unes

des autres par leur population et leur taille : de 1 098 hab. à 19 589 hab. et de 386 ha à 3 472

ha.

Sur les 8 communes interrogées, mais non présentes sur les médias sociaux, 3 n’ont jamais

envisagé leur présence sur les médias sociaux alors que 4 établissent une stratégie de

Page 36: Réalisations - Mathilde Verdan

36   EXEMPLES  DE  RÉALISATION    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

! MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

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communication intégrant les médias sociaux aux autres outils de communication. La création

ou la refonte d’un site est perçue comme l’occasion de présenter le projet aux élus.

Cependant, notons qu’une commune est freinée par ses élus.

À la question sur les raisons de leur absence des médias sociaux, certaines ont répondu que

« la commune était trop petite », que « l’équipe est insuffisante » et/ou « qu’il n’y a pas

encore de site internet ».

Ces réponses démontrent que la première raison de la non-présence sur les médias sociaux de

ces mairies est « le temps de la réflexion ». Si certaines ne sont pas prêtes à franchir le cap du

social, d’autres apprennent des bonnes pratiques et erreurs de leurs homologues.

B. Validation ou non des hypothèses

Maintenant que les résultats de l’enquête ont été analysés, le travail de validation des

hypothèses peut être mené.

1. Les médias sociaux sont un outil permettant aux collectivités

territoriales de se rapprocher du citoyen

La première raison de la présence sur les médias sociaux citée par les collectivités

territoriales est la recherche de nouvelles cibles. Elles ont remarqué toucher principalement

les moins de 18 ans, les étudiants et les actifs. Ce sont des cibles qui utilisent quotidiennement

ces médias et qui sont plus sensibles à l’information qui leur parvient qu’à l’information

qu’ils doivent récolter, autrement dit au « push » plutôt qu’au « pull ». Elles vont plus

facilement lire l’information présente sur leur compte que rechercher l’information sur les

sites communaux. Les médias sociaux favorisent l’élargissement de la cible des collectivités

locales et ainsi touchent plus de citoyens.

Les collectivités territoriales adaptent leur discours sur les médias sociaux. Selon le

sujet et les personnes à qui ils s’adressent, le ton utilisé dans les publications est soit

institutionnel soit de proximité. Il est toujours différent des outils de communication

classiques. Les publications sont souvent personnalisées et adaptées au support, voire inédites.

Les médias sociaux créent ainsi une relation de proximité avec l’administré qui peut échanger,

réagir et commenter les publications de la commune tout en se sentant favorisé par

l’exclusivité de certaines publications.

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EXEMPLES  DE  RÉALISATION   37    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

!MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

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Les mairies sont encadrées juridiquement et ne peuvent pas aborder tous les sujets,

elles ont des contraintes liées aux lieux et supports ainsi qu’à certaines périodes. L’exemple le

plus connu est l’interdiction d’aborder des sujets politiques deux ans avant les élections

municipales. Leur communication doit respecter ces règles et les médias sociaux n’y

échappent pas. Les sujets comme la vie de la commune, les services municipaux, et les sujets

non stratégiques peuvent cependant être librement abordés sur ces outils et seront l’occasion

d’échange avec le citoyen.

Les médias sociaux peuvent permettre aux collectivités territoriales de se rapprocher de leurs

citoyens. En effet, elles touchent par leur biais un public qui n’est pas sensible aux autres

supports de communication. Selon le ton et les publications, les villes renforcent le lien avec

leurs citoyens. Enfin, on observe un échange entre les deux parties qui est possible grâce à

l’interactivité et l’immédiateté du support. Les administrés peuvent ainsi donner leur avis et

partager des informations de leur commune. Le sentiment d’appartenance à un territoire se

fait plus fort.

2. L’usage des médias sociaux est professionnalisé comme tous les

autres outils de communication

L’inscription des collectivités territoriales sur les médias sociaux est assez récente

(inférieure à quatre ans), la plupart d’entre elles n’ont pas établi de stratégie de présence avant

leur inscription, ce qui montre une méconnaissance du support. Ce sont des outils récents qui

nécessitent une bonne appropriation de leurs mécanismes. Il faut établir la cible en amont

pour savoir où la rencontrer et être présent sur les bons médias. Ainsi, la présence sur les

médias sociaux est justifiée.

Les communautés des mairies sont gérées par une personne dédiée à cette mission

souvent en interne au service communication de la commune. Les publications sont régulières

et le contenu est validé au sein même du service. Une stratégie pour la gestion des

commentaires négatifs est souvent mise en place même si peu de mairies en subissent. Les

responsables des médias sociaux sont remplacés par des collègues de leur service quand ils

sont absents ce qui permet une mise à jour des informations de la communauté.

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38   EXEMPLES  DE  RÉALISATION    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

! MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

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Les médias sociaux s’intègrent à la communication globale des communes, car ils

permettent une complémentarité de diffusion de l’information. Ainsi les mairies font des liens

entre leurs supports papier et web afin de proposer au citoyen l’intégralité de l’information.

L’utilisation des médias sociaux n’est pas totalement professionnelle comme pour les autres

outils. Ils sont récents et les personnes qui s’en occupent ne sont souvent pas formées à leur

utilisation ou sont freinées par leurs supérieurs qui ont une méconnaissance de ces outils.

La plupart des collectivités ont compris qu’il fallait une complémentarité entre les supports,

mais très peu ont établi une stratégie de présence avant de s’inscrire.

Ainsi, si la première hypothèse peut être validée, des réserves sont à conserver sur la seconde.

Même s’il a été observé une certaine organisation et le respect de certaines règles, les usages

futurs seront déterminants.

C. Conclusion de l’étude

Cette enquête sur l’usage des médias sociaux par les communes de la communauté

urbaine de Bordeaux fait ressortir les points clés d’une présence efficace sur les médias

sociaux, mais aussi ce qu’il faut éviter.

1. Les points clés pour une présence efficace sur les médias sociaux

La première chose à retenir est la complémentarité des médias sociaux avec les autres

supports de communication ainsi que la nécessité d’établir une stratégie de présence avant

l’inscription. Jean-Daniel Boutet 37 insiste sur ce point, car comme pour tout outil de

communication, il faut définir :

\ sa cible,

\ sa localisation,

\ et la manière de s’adresser à elle pour communiquer de manière efficace.

!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!37 Jean-Daniel BOUTET, webmaster spécialisé dans la communication publique et les médias sociaux, www.jdboutet.fr .

Page 39: Réalisations - Mathilde Verdan

EXEMPLES  DE  RÉALISATION   39    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

!MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

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Cette stratégie définit les codes pour les publications tel que le ton, la fréquence, le sujet et

détermine le choix entre pages et groupes pour des cibles particulières. Certaines collectivités

de la CUB ont ciblé leurs médias sociaux et s’occupent de plusieurs pages et/ou profils sur

Facebook qui s’adressent à un public différent :

\ les jeunes,

\ le sport,

\ la culture,

\ l’information municipale…

Pour créer cette stratégie, il faut mettre en place une veille des médias sociaux, de son

environnement et des usages des autres collectivités. Cette veille apportera les informations

nécessaires à la compréhension du fonctionnement de ces outils, révèlera les pratiques des

autres communes afin de savoir ce qui est bon à faire ou à éviter. Elle permettra de déterminer

où rencontrer son public. Enfin, il faut veiller à intégrer la gestion des commentaires négatifs.

Il est important de créer un lien entre les supports de communication papier et web ainsi que

d’homogénéiser la ligne éditoriale. Cela aide le citoyen à repérer tous les outils qu’il peut

utiliser pour avoir de l’information, mais aussi identifier que c’est sa commune qui s’exprime.

Le choix du ton dans les publications est important, car les médias sociaux sont des outils de

l’instantané et supposent un cadre d’échanges moins institutionnel entre le citoyen et la

commune. Sur les médias sociaux, l’information est horizontale et non plus verticale. Le ton

employé est spécifique aux médias sociaux. La communication web diffère de la

communication papier puisque le but principal des médias sociaux est la discussion et

l’échange avec le citoyen.

Les publications doivent être régulières et de qualité pour maintenir l’attention de son public.

Les médias sociaux prennent beaucoup de temps et il est donc nécessaire de dédier une

personne à leur gestion. Cette personne doit connaître l’outil, avoir facilement accès à toutes

les informations sur les actions municipales pour répondre rapidement aux questions des

usagers. Elle se doit de se connecter tous les jours aux communautés pour les actualiser et

répondre aux sollicitations. En cas d’absence cette personne doit être remplacée pour ne pas

laisser la communauté seule et sans réponse.

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40   EXEMPLES  DE  RÉALISATION    

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

! MEMOIRE : LA COMMUNICATION PAR LES MEDIAS SOCIAUX DANS LES COLLECTIVITES TERRITORIALES

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2. Ce qu’il faut éviter de faire sur les médias sociaux

Se lancer sur les médias sociaux sans en connaître le fonctionnement est une erreur

fréquente. Une méconnaissance de ces outils peut entraîner une utilisation inappropriée et mal

perçue par le citoyen. Il est important de ne pas créer un compte sans une réflexion préalable

ni une formation à l’outil.

Il ne faut pas oublier qu’une présence sur les médias sociaux demande un investissement sur

le long terme. S’inscrire sur les médias sociaux, entretenir quelques semaines la communauté

et l’abandonner pourra entraîner une mauvaise e-réputation de la commune et donner l’image

d’une ville qui délaisse ses communautés, d’une ville qui n’est pas à l’écoute de ses citoyens.

La gestion des commentaires négatifs est délicate et doit être définie au préalable. La

suppression des commentaires est à proscrire, car elle peut être mal perçue par la communauté

et susciter des réactions négatives en chaîne. Les professionnels du numérique parlent de

« Bad buzz ».

!