taxe d’apprentissage 2015 special reforme
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L'APPRENTISSAGE,VOIE ROYALE POURL'EMBAUCHE
LE DYNAMISME ÉDUCATIFDES RÉGIONS
RÉFORME DE LA TAXE:LES NOUVEAUTÉS 2015
TAXE D’APPRENTISSAGE2 0 1 5
©BARTEK
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L’INES FORMECHAQUE ANNÉEPRÈS DE 550 ÉTUDIANTS,VOS FUTURSCOLLABORATEURS
É D I T O
E lle en a fait du chemin depuis sacréation en 1925. La presque
centenaire taxe d’apprentissagedonne chaque année du fil àretordre aux chefs d’entreprise qui,par manque de connaissance oud’intérêt, ignorent à qui reversercet argent.Elle se présente cette année sousun nouveau jour qui change un peula donne financière et que cehors-série tente d’expliciter au
mieux. Avec, en toile de fond, le but fixé par le gouvernement :développer l’apprentissage pour atteindre l’objectif de 500000apprentis en France d’ici 2017. Si la réforme a modifié la répartitiondes sommes versées (51% de fraction régionale, 26% pour le quotaet 23% pour le barème) et augmenté le montant total (0,68% de lamasse salariale brute au lieu de 0,5% l’an dernier), elle n’a enrevanche pas touché au point qui constitue la singularité de cetimpôt : la possibilité de choisir une partie de son affectation.L’occasion, pour un dirigeant, d’accompagner l’école de son quar-tier, celle qui vient d’ouvrir, celle qui connaît des difficultés, celled’où sont sortis diplômés ses employés, celle qui permettra decompléter les équipes… Et d’encourager ainsi l’apprentissage,formule de plus en plus appréciée des jeunes et des recruteurs.Ces derniers sont en effet 82% à juger le contrat d’apprentissage« fidélisant », valeur importante dans une société où tout va tropvite. Si les filières traditionnelles (métiers de bouche, artisanat…)demeurent les principales pourvoyeuses de contrats, les écolessupérieures sont de plus en plus nombreuses à proposer des offresen alternance permettant ainsi à de futurs ingénieurs ou cadresde mettre un pied dans la vie active. Et de conforter ce chiffreoptimiste : 60% des apprentis décrochent un emploi en CDI àl’issue de leur formation.
Pascal LasserreDirecteur Délégué Emploi & Formation
Réformer pour re lancer©
DR
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Édition et Commercialisation : FIGARO CLASSIFIEDSDirection commerciale : O. Arriat. Tél. 01 76 62 31 73.Conception et réalisation : Sopress - Presso. Photo de couverture : © Bartek Szewczyk/Fotolia.Ont collaboré à ce numéro : V. Gardet, M. de Kerimel , R. Gourvennec
Cadre législatif et financier
Le dynamisme des régions
06 _ Un moteur pour la formation
08 _ La collecte : comment ça marche ?
10 _ L'affectation de la taxe
12 _ Payer moins, c'est possible
14 _ Un cadre éducatif adapté
16 _ Île-de-France / L'apprentissage, voie d'excellence
52 _ Rhône-Alpes / En route vers le big data
60 _ Sud-Est / Des experts aux cursus internationaux
64 _ Sud-Ouest / Artisans et techniciens recherchés
72 _ Grand Ouest / Cap sur les métiers d'avenir
78 _ Nord / Le numérique, un secteur qui recrute
82 _ Grand Est / L'apprentissage dépasse les frontières
85 _ Présentation des partenaires
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II
S O M M A I R E
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Fondée en 1949, située au coeur de Paris, à proximité de la tour Eiffel,Paris ESLSCA Business School, dispose d'atouts exceptionnels dansl'enseignement supérieur dumanagement : un corps professoral com-posé de spécialistes de haut niveau, des relations internationaleseffectives, l'implication des entreprises dans les études et les stages, unevie associative et culturelle enrichissante. 14000 anciens élèvesattestent de l'efficacité d'une formation directement adaptée à la viedes affaires, reconnue par les entreprises.Paris ESLSCA Business School a développé ces trente dernières annéesplusieurs établissements ou programmes périphériques qui constituentavec elle un groupe d'enseignement supérieur dumanagement de toutpremier plan : 3èmes Cycles spécialisés, Programmes MBA et MBASpécialisés, Bachelor (INSAM/BBA), Pôle d'Intelligence Economique(EGE), Classes Préparatoires (PCS), Centre de Formationpermanente.
La taxe d’apprentissage ? Basée surles salaires bruts versés par lesentreprises contribuables, elle
permet d’assurer le financement desformations professionnelles et
technologiques. Le point, après ladernière réforme survenue en 2014.
PAR MARTIN DE KERIMEL
Un moteurpour la formation
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©DR
Elle a été créée en 1925 et concerne une
grande majorité des entreprises fran-
çaises. Pour une année considérée, elle
se calcule sur les salaires bruts versés l’année
précédente, avantages (en nature et en
argent) et pourboires attribués sous forme
de salaires compris. La taxe d’apprentissage
vient d’être réformée. Une constante : elle
est encore et toujours due par les entreprises
qui comptent au moins un salarié et sont
soumises à l’impôt sur les sociétés, voire à
l’impôt sur le revenu au titre des bénéfices
industriels et commerciaux. La réforme 2014
a en fait impacté son taux, qui a augmenté :
de 0,5% à 0,68% de la masse salariale consi-
dérée. Il intègre du même coup l’ancienne
CDA – Contribution pour le développement
de l’apprentissage, conçue jusqu’à présent
pour financer les Fonds régionaux de l’ap-
prentissage et de la formation profession-
nelle. Cependant, le texte de la réforme n’a
pas supprimé un autre des compléments
prévus à la taxe : la CSA (ou Contribution
supplémentaire à l’apprentissage). Ce dispo-
sitif complexe concerne uniquement cer-
taines entreprises, selon des cas précis pré-
vus par la loi (lire par ailleurs). Précision : des
dispositifs légaux permettent aux entreprises
qui « jouent le jeu » de l’apprentissage de
bénéficier d’un certain nombre d’allége-
ments ou d’aides financières. Par ailleurs, la
loi prévoit aussi des cas d’exonération de la
taxe d’apprentissage. Autre précision impor-
tante : comme c’était le cas auparavant, sous
le régime de l’ancien mode de calcul, les
départements du Haut-Rhin, du Bas-Rhin et
de Moselle bénéficient toujours de taux
réduits.
Répartition et critèresVéritable contrat de travail, le contrat d’ap-
prentissage s’adresse aux jeunes âgés de 16
à 25 ans. Il en existe à tous les niveaux de
formation, dans tous les cursus. Du Centre
de formation d’apprentis pour les métiers
manuels aux écoles d’ingénieur, les profils
des candidats à l’apprentissage sont extrê-
mement variés. Le gouvernement veut
mieux garantir la qualité des formations et a
mis l’accent sur les qualifications de plus bas
EN CHIFFRES
66,8 %des nouveaux
apprentis sont
des hommes
18,8 %des nouveaux
apprentis sont
déjà diplômés à
Bac +2 et plus
Source : 2013 /Ministère du Travail
CADRE ET F I NANCEMENTL É G I S L A T I O N
©DR
INTERVIEW
François MoutotDIRECTEUR GÉNÉRAL DE L’ASSEMBLÉE
PERMANENTE DES CHAMBRES DE MÉTIERS
ET DE L’ARTISANAT
Quels sont les objectifs
poursuivis par la
réforme de la taxe
d’apprentissage ?
Nous étions favorables
à ce que la taxe
d’apprentissage soit
bien réservée aux
formations essen-
tiellement tournées
vers l’apprentissage.
Il nous semblait
important qu’elle soit
distribuée proportion-
nellement à cet effort
pour l’apprentissage
et aux coûts des
formations concernées.
Aujourd’hui, il n’est pas
certain que le premier
objectif sera tenu. Nous
savons que le second
ne le sera pas.
Pour autant, cette
réforme va-t-elle
dans le sens d’un
développement du
nombre d’apprentis,
objectif évoqué par
le gouvernement ?
Nous avons besoin de
plus de moyens pour
les centres d’apprentis,
la seule porte possible
aujourd’hui pour
développer l’appren-
tissage. Or, les primes
que le président
de la République
avait annoncées au
1er septembre n’ont
toujours pas été
votées. La réforme n’a
pas été poussée
jusqu’au bout.
Des raisons d’y croire,
malgré tout ?
Si je n’y croyais pas,
je ferais autre chose.
Je crois que nous
avons gagné le défi
de l’opinion publique,
aujourd’hui largement
favorable à
l’apprentissage, mais
aussi le combat
médiatique. Les jeunes
eux-mêmes
comprennent
désormais l’intérêt de
métiers concrets,
rémunérateurs.
Les jeuneseux-mêmescomprennentdésormaisl’intérêt demétiers concrets
niveau. Un temps, François Hollande évo-
quait une barre à atteindre, fixée à 500 000
apprentis à l’horizon 2017 – les chiffres issus
du ministère du Travail font état de 415 000
contrats en cours en France métropolitaine
pour l’année 2013. Pour aller plus loin, l’autre
grand changement introduit par la réforme
de la taxe concerne la répartition de son
montant. Auparavant, il était partagé en
deux catégories : le quota et le barème, aux
parts variables en fonction des années.
Désormais, il sera découpé en trois : le quota
représentera 26% du montant et sera versé
aux Centres de formation d’apprentis, le
barème (23%) sera consacré à la formation
technologique et professionnelle hors-ap-
prentissage et le reste (51%) sera confié aux
régions, qui détermineront elles-mêmes les
choix d’affectation. Autre nouveauté : les
établissements susceptibles d’obtenir des
versements par le barème feront chaque
année l’objet d’une liste édictée par le préfet
de région. Ils devront respecter des critères
établis à l’échelon local, lesquels seront
basés notamment sur la reconnaissance par
l’État, le contrôle de la pédagogie et une
absence de caractère lucratif. L’objectif est
de répartir plus efficacement les très impor-
tantes sommes en jeu : ces dernières années,
le montant total des contributions à l’ap-
prentissage versées par les entreprises fran-
çaises a représenté environ deux milliards
d’euros par an.
EN CHIFFRES
49,3 %des nouveaux
apprentis ont
signés pour
24mois
38,2 %des nouveaux
apprentis ont
rejoint une
entreprise
demoins
de 5 salariés
Source : 2013 /Ministère du Travail
CSA, VOUS AVEZ DIT CSA ?
La Contribution supplémentaire à l’apprentissage (CSA) vise lesentreprises supérieures à 250 salariés et concerne – notamment –celles qui ne respectent pas un quota de contrats d’alternance ou devolontariats en entreprise. Elle est d’un taux variable, en fonction del’importance relative de la population salariée de l’entrepriseconcernée, entre autres. Parmi les nombreux interlocuteurs possiblesdes contribuables, les Chambres de commerce et d’industriedisposent généralement de services d’information compétents pourrépondre précisément aux demandes de renseignement sur ce point.
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CADRE ET F I NANCEMENTL É G I S L A T I O N
Nationaux ou régionaux,les organismes de collecte de la taxe
d’apprentissage sont présents surtout le territoire. Encore important
cette année, leur nombre serabientôt réduit, dans une logique de
rationalisation des procédures.Explications.
PAR MARTIN DE KERIMEL
La collecte :comment ça marche ?
8
©DR
La limite est fixée au 1er mars. C’est avant
cette échéance que les entreprises
assujetties à la taxe d’apprentissage
doivent annuellement verser le montant qui
leur est imputable. Dans les régions, les orga-
nismes de collecte de la taxe d’apprentis-
sage (OCTA) répartiront, en respectant les
trois fractions définies par la réglementation,
les sommes concernées. Il existe aussi des
organes collecteurs nationaux : les orga-
nismes paritaires collecteurs agréés (OPCA).
Tournés vers le financement de la formation
professionnelle continue, ils sont aussi sus-
ceptibles de collecter la taxe d’apprentis-
sage, en tant que délégataire d’un OCTA.
Un échange avec les entreprisesLes entreprises conservent une marge de
manœuvre : même si elles passent obligatoi-
rement par un intermédiaire, elles peuvent
aussi décider elles-mêmes de l’affectation
d’une partie de leur taxe, proportion que les
textes désignent sous le vocable de barème.
Si aucun choix n’est exprimé, les instances
dirigeantes de l’OCTA décident elles-mêmes
de l’affectation de ce barème. Comment cela
fonctionne-t-il ? Les OCTA collectent auprès
des entreprises assujetties à la taxe la totalité
des sommes dues. Ils leur adressent à cet
effet un bordereau d’appel de collecte. C’est
sur ce document que les entreprises peuvent
librement désigner les centres, écoles et
autres organismes habilités qu’elles sou-
haitent voir destinataires de leurs verse-
ments. Toute mention préalable de choix
définis par l’OCTA est interdite. Pour faire
face aux dépenses consenties dans l’exercice
de leur mission, les OCTA peuvent prélever
des frais de collecte et de gestion. Ils sont
plafonnés et correspondent à un pourcen-
tage du montant de la collecte : en 2012, 3%
du montant pour une collecte inférieure à 5
millions d’euros, 2,2% pour les collectes entre
5 et 5 millions d’euros, 1,5% pour les collectes
encore supérieures. Pour éviter les conflits
d’intérêt, les administrateurs et salariés des
OCTA n’ont pas le droit d’exercer de fonction
d’administrateur ou de salarié dans les
centres de formation d’apprentis et sections
d’apprentissage. Par ailleurs, les OCTA sont
CADRE ET F I NANCEMENTL É G I S L A T I O N
Organismescollecteurs,les OCTApeuvent préleverdes frais degestion etsont soumisà un contrôlede l’État.
©DR
INTERVIEW
Phi l ippe Perfett iDIRECTEUR ADJOINT EMPLOI ET FORMATION
À L’ASSEMBLÉE PERMANENTE DES
CHAMBRES DE MÉTIERS ET DE L’ARTISANAT
Comment choisir son
organisme de collecte ?
Il en existe au niveau
national et au niveau
régional. Au niveau
national, les organismes
de collecte de la taxe
d’apprentissage
(OCTA) sont adossés
aux organismes
paritaires collecteurs
agréés (OPCA).
À l’échelon régional,
après l’actuel régime
transitoire, il n’y aura
plus qu’un OCTA
régional, piloté par les
chambres consulaires.
Les entreprises devront
choisir un collecteur
unique.
S’adresser à un
organisme régional
apporte-t-il aux
entreprises l’assurance
que le montant de la
taxe sera affecté au
bénéfice de leur
propre territoire ?
Aujourd’hui, 51% du
montant de la taxe
constitue déjà une part
régionale, au bénéfice
des Centres de
formation d’apprentis.
Les sommes en jeu
reviennent au
Trésor Public, sont
mutualisées sur un
compte spécial et
finalement réparties
selon une clé définie
par la loi. La collecte
locale abonde souvent
les centres de
formation régionaux.
Un organisme de
collecte peut-il donner
des conseils aux
entreprises en matière
d’affectation de
la taxe ?
Non : la loi l’interdit
formellement !
Elle impose toutefois
aux entreprises
d’aviser les centres
de formation et
les sections
d’apprentissage
de l’affectation
de leur taxe.
Les entreprises devrontchoisir un collecteur unique
tous soumis à un contrôle complet de l’État :
il s’exerce tant sur les procédures de collecte
que sur l’utilisation des ressources collectées.
Des vérifications sur pièces peuvent être
demandées par les inspecteurs sur l’origine
des fonds reçus, ainsi que sur la réalité des
dépenses engagées et la conformité de leur
utilisation. Autre obligation : chaque année,
les OCTA doivent transmettre un rapport
d’activité à différentes autorités publiques,
parmi lesquelles on retrouve le préfet de
région et le président du conseil régional.
Des statuts très diversifiésConstat d’évidence : rien ne ressemble moins à
un OCTA… qu’un autre OCTA. Aujourd’hui, ces
collecteurs sont de natures très différentes : on
y trouve des fédérations, groupements ou
syndicats professionnels, ainsi notamment que
des Chambres des métiers ou des Chambres
de commerce et d’industrie. Publié en mars
2013, un rapport d’information du Sénat souli-
gnait le nombre toujours croissant de ces
organismes et notait que les dix plus impor-
tants collectaient à eux seuls 51% de la taxe
d’apprentissage prélevée à l’échelon national.
Ce même document évoquait «un dispositifhétérogène» et pointait du doigt «des procé-dures d’agrément sources de dérives», du fait
notamment du chevauchement géographique
des OCTA et d’une concurrence entre eux.
Pour les mêmes raisons, le rapport faisait état
de performances de gestion variables en fonc-
tion des organismes de collecte et de contrôles
déficients. Dans le texte : «Le système de listepréfectorales ne permet pas d’identifier avecprécision les formations et établissementséligibles. L’administration fiscale ne disposepas non plus de l’information relative au paie-ment de la taxe d’apprentissage ». Sur ces
questions également, les lignes vont donc
bouger. Afin de rendre le système moins com-
plexe, le gouvernement et le législateur ont
en effet prévu, à très court terme, de réduire
drastiquement le nombre d’OCTA.
DES OCTA MOINS NOMBREUX ?
Harmoniser les coûts de formation des apprentis, mais égalementrationnaliser les circuits de collecte de la taxe d’apprentissage : ladouble tâche est complexe. Pour la mener à bien, le Parlement ad’abord entendu simplifier les démarches des entreprisescontribuables : à compter de 2016, ces dernières devront verser leurtaxe d’apprentissage à un organisme collecteur unique. La loi du 5mars dernier prévoit également une réduction drastique du nombred’OCTA, de 147 aujourd’hui, selon les derniers chiffres du ministère duTravail, à moins de 50 fin 2015.
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CADRE ET F I NANCEMENTL É G I S L A T I O N
Une certaine liberté de choix.La taxe d’apprentissage n’est pas
tout à fait un impôt comme lesautres. L’entreprise contribuable estlibre d’affecter elle-même une partiede la somme dont elle est redevable.
La dernière réforme n’est pasrevenue sur ce principe.
PAR MARTIN DE KERIMEL
L’affectationde la taxe
10
©DR
La taxe d’apprentissage a changé ! Sa
réforme récente a profondément
modifié les caractéristiques de l’impôt,
même si ce dernier est toujours mis à la
charge des entreprises et calculé sur leurs
masses salariales. Les nouveaux textes modi-
fient très largement les possibilités de choix
d’affectation des sommes versées. Dès la
prochaine collecte, les entreprises contri-
buables vont donc devoir redéfinir la poli-
tique d’attribution de leurs fonds, selon les
nouvelles contraintes. C’est la loi de finances
rectificative pour 2014 qui en dispose :
la taxe d’apprentissage se divise en trois
quotités. Dans le détail : la fraction régionale
pour l’apprentissage (51%), le quota (26%) et
le hors-quota – ou barème – (23%). La régle-
mentation prévoit par ailleurs que chacune
de ces subdivisions du montant total prélevé
est affectée à un usage particulier. Comme
son nom l’indique explicitement, la fraction
régionale est destinée aux régions : elle est
versée par les OCTA au Trésor Public.
Le quota, lui, est dédié aux seuls Centres et
sections d’apprentissage. Enfin, le barème
est destiné à des établissements dispensant
des formations technologiques et profes-
sionnelles initiales, en dehors du dispositif de
l’apprentissage. Complément possible, la
Contribution supplémentaire pour l’appren-
tissage (CSA) est quant à elle réservée aux
Centres de formation d’apprentis.
Un quota à géométrie variableAvec une date limite de collecte fixée au
1er mars, les entreprises contribuables qui
versent leurs contributions apprentissage
ont aussi la possibilité de désigner les éta-
blissements d’enseignement qui seront les
bénéficiaires des sommes versées. Sous la
seule réserve que ces derniers soient bien
habilités, les OCTA sont tenus d’exécuter
cette demande. Les versements directs des
entreprises contribuables à un établissement
donné sont et restent strictement prohibés.
Dans le cadre du quota d’apprentissage,
deux situations peuvent être distinguées.
Lorsque l’entreprise-contribuable a embau-
CADRE ET F I NANCEMENTL É G I S L A T I O N
Première fractionde la taxe (51%) :la fractionrégionale pourl’apprentissage
ché au moins un apprenti, la loi oblige à
(ou aux) l’organisme(s) de formation concer-
né(s) un concours financier égal au coût réel
de cette (ou ces) même(s) formations, dans
la limite évidemment du quota disponible.
C’est le préfet de région qui, chaque année,
doit publier une liste des coûts par apprenti
des différentes formations dispensées sur
son territoire. S’il ne fait pas l’objet d’une
publication, l’entreprise est néanmoins tenue
au versement d’un montant forfaitaire, fixé
alors par arrêté ministériel. Pour les entre-
prises qui n’accueillent aucun apprenti ou
disposent d’un solde de quota après cette
possible affectation obligatoire, la liberté
d’affectation est totale. La loi prévoit toute-
fois que l’entreprise est tenue d’aviser les
Centres de formation d’apprentis et les
sections d’apprentissage des montants
qu’elle doit ou décide de leur affecter.
Deux sous-catégories pour le barèmeDésormais, ces mêmes Centres de formation
d’apprentis et sections d’apprentissage ne
sont donc plus éligibles au barème. La seule
exception subsistante concerne d’éventuels
compléments aux concours financiers, en
cas d’un montant de quota disponible insuf-
fisant pour couvrir les coûts de formation du
(ou) des apprenti(s) accueilli(s) par l’entre-
prise. Par décret, le gouvernement a prévu
également que ce barème devait être réparti
en deux parts, et non plus trois comme
jusqu’à l’année dernière. La première catégo-
rie (dite «A») correspond à 65% du barème,
elle doit financer des formations de niveau V
(CAP), IV (Bac) et III (Bac +2). La catégorie
« B » (35 % du barème) reviendra à des
formations de niveau II (Licence, Bac +3
et 4) et I (Bac +5 et au-delà).
Précision : les entreprises dont le montant
brut de la taxe d’apprentissage n’excédera
pas 415 euros ne seront pas tenues de suivre
cette répartition.
11
CADRE ET F I NANCEMENTL É G I S L A T I O N
TAXE D’APPRENTISSAGE(0,5 % DE LA MASSE SALARIALE BRUTE) :100 % - QUOTA 57 % + BARÈME 43 %
Quota de 57% :38% : Financement national du développement et de la modernisation
de l’apprentissage.62% : Financement des Centres de formation d’apprentis et sections
d’apprentissage.
Barème de 43% :40% pour des formations de catégorie A (niveaux IV et V)40% pour des formations de catégorie B (niveaux II et III)20% pour des formations de catégorie C (niveau I)
EN COMPLÉMENT…Contribution pour le développement de l’apprentissage (CDA) :0,18% de la masse salariale brute.
Contribution supplémentaire pour l’apprentissage :Taux variable, en fonction du pourcentage d’alternants dans l’effectifannuel moyen de l’entreprise et du nombre de ses salariés.
TAXE TOTALE(0,68 % DE LA MASSE SALARIALE BRUTE) :100% - FRACTION RÉGIONALE 51% + QUOTA 26% + BARÈME 23%
51% de fraction régionale• Trésor Public – destinée aux régions
Quota de 26% : réparti en• Contributions obligatoires : Centres de formation des apprentisaccueillis par l’entreprise.
• Solde : affectation libre par l’entreprise, aux Centres de formationd’apprentis de son choix.
Barème de 23% : formations professionnelles initiales temps plein65% pour des formations de catégorie A (niveaux III, IV et V)35% pour des formations de catégorie B (niveaux I et II)
EN COMPLÉMENT…Contribution supplémentaire pour l’apprentissage :Taux variable, en fonction du pourcentage d’alternants dans l’effectifannuel moyen de l’entreprise et du nombre de ses salariés.
AVANT
MA IN TENANT
L’apprentissage, c’est également,et malgré la taxe, une possibleaubaine financière : en faisant
le choix d’accueillir un oudes apprenti(s), l’entreprise s’ouvre
aussi des droits à des aidesfinancières de l’État. Le point.
PAR MARTIN DE KERIMEL
Payer moins,c’est possible
12
©DR
Le contrat d’apprentissage n’est pas
tout à fait un contrat de travail ordi-
naire. L’employeur qui y a recours est
notamment exonéré des charges sociales
afférentes, à l’exception cependant de la
cotisation patronale pour les accidents du
travail et la maladie professionnelle. De la
même manière, la Contribution sociale géné-
ralisée (CSG) et la Contribution au rembour-
sement de la dette sociale (CRDS) ne sont
pas dues. Dans le détail, la législation prévoit
des cas d’exonération partielle. Ne peuvent
bénéficier du dispositif d’exonération totale
que les seuls artisans dûment inscrits
au répertoire des métiers – ou au registre
des entreprises pour trois départements :
Bas-Rhin, Haut-Rhin et Moselle –, ainsi que
les employeurs comptant moins de 11 sala-
riés, hors apprentis bien sûr. Depuis janvier
2014, le contrat d’apprentissage peut égale-
ment être accompagné d’une prime. Desti-
née aux entreprises de moins de 11 salariés,
cette dernière remplace l’ancienne indemnité
compensatrice forfaitaire (ICF) : elle est ver-
sée par la région dans laquelle est situé l’éta-
blissement où travaille l’apprenti. Fixé par le
Conseil régional, son montant est au mini-
mum de 1000 euros par année de formation.
Autre disposition : les entreprises soumises
au régime réel d’imposition et qui emploient
un apprenti pendant plus d’un mois peuvent
bénéficier d’un crédit d’impôt. Celles qui,
tous établissements confondus, ont des
effectifs supérieurs à 250 salariés peuvent
aussi toucher une aide financière en
employant plus de 4% de jeunes en contrat
d’apprentissage. Le montant exact de cette
aide dépend aussi du pourcentage précis
d’alternants y ouvrant droit et sur la base
d’un montant forfaitaire de 400 euros par
employé alternant. Son versement suppose
que l’entreprise ait fait une déclaration sur
ses effectifs annuels moyens auprès d’un
organisme collecteur de la taxe. L’aide est
versée dans sa totalité dans les deux mois
qui suivent la réception de la demande.
CADRE ET F I NANCEMENTL É G I S L A T I O N
Le versementpar uneentreprise d’undon en natureà un organismede formationpeut lui permettred’alléger lemontant desa taxed’apprentissage.
©DR
Déduire des dépenses…Pour réduire le montant de sa taxe d’appren-
tissage, l’entreprise-contribuable peut aussi
utiliser d’autres arguments. Dans la limite
d’un plafond correspondant à un pourcen-
tage de la taxe brute, elle peut ainsi déduire
les dépenses engagées pour l’accueil de
stagiaire. Quelques conditions sont requises :
le stage doit s’intégrer dans un cursus de
formation et être obligatoire en vue de l’ob-
tention d’un diplôme technologique ou
professionnel ; le jeune doit avoir le statut
scolaire ou étudiant ; et une convention de
stage école / élève / entreprise doit être éta-
blie et signée. La déduction se calcule en
multipliant un forfait journalier (fixé à 25 ou
36 euros) par le nombre de jours de stage
effectués. Autre possibilité pour l’entreprise
de « payer moins » : faire un don en nature
d’un matériel neuf ou d’occasion à un orga-
nisme donné, en vue d’un usage pédago-
gique. Pour être prises en compte, ces sub-
ventions doivent être valorisées dans la
comptabilité du donneur et du bénéficiaire,
sur la base d’un calcul fait sur la base du prix
de revient, de la valeur sur inventaire ou de
la valeur résiduelle. Pour que le dispositif
fonctionne, l’établissement récipiendaire
choisi doit bien sûr être habilité à percevoir
la taxe d’apprentissage. Une attestation
d’intérêt pédagogique sera notamment
demandée comme justificatif.
Ne pas oublier…La loi prévoit un cas d’exonération totale de
la taxe. Il concerne les entreprises qui res-
pectent deux critères précis et cumulatifs :
une masse salariale annuelle brute inférieure
à six fois le SMIC annuel et l’emploi d’un
apprenti au moins durant l’année de réfé-
rence. Calculée sur les salaires de l’année
écoulée, la taxe d’apprentissage est due par
les entreprises avant le 1er mars de l’année
suivante. Ceux qui ne se seraient pas acquit-
tés des sommes qui leur sont imputables
prennent de gros risques et notamment celui
de devoir payer le double ! En cas de cession
d’activité, de cessation ou de liquidation judi-
ciaire, une déclaration doit être effectuée
dans les 60 jours. Ce délai est porté à six
mois en cas de décès de l’employeur.
ILS N’ONT RIEN À PAYER
De par leur nature, certaines entreprises sont totalementdispensées du paiement de la taxe d’apprentissage. Cette courteliste comprend les sociétés et personnes morales dont l’objetexclusif est l’enseignement, quelle que soit leur forme. Libérés detoute contribution également, les groupements d’employeurscomposés d’agriculteurs ou de sociétés civiles agricoles,eux-mêmes exonérés. L’État lui-même, les collectivités territorialeset leurs divers établissements publics ne sont pas assujettis nonplus, tout comme certains offices publics d’habitat, établis enétablissement public à caractère industriel et commercial.
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CADRE ET F I NANCEMENTL É G I S L A T I O N
Le don en nature - des ordinateurs par exemple - permetde réduire le montant de la taxe d'apprentissage.
Il souffre parfois d’une imagefaussée, comme s’il ne concernait
que les recalés du système éducatifgénéral. L’apprentissage réunit
pourtant toutes les filières et s’avèreune très bonne voie d’insertion
durable dans la vie active.Explications.
PAR MARTIN DE KERIMEL
Un cadre éducatifadapté
14
©DR
La France pourrait certainement mieux
faire en matière d’apprentissage.
Nombre d’exemples prouvent en tout
cas que ce contrat de travail alternant
s’adapte parfaitement aux emplois les plus
diversifiés. Cette façon de travailler combine
astucieusement un cursus théorique, dans
un centre de formation d’apprentis, à la fac
ou dans une grande école, avec la mise en
pratique immédiate des compétences
acquises. Elle fait donc aujourd’hui la preuve
formelle de son efficacité, de nombreux
jeunes apprentis s’insérant ensuite rapide-
ment sur le marché du travail proprement
dit, sans passer par la case chômage. Selon
une note publiée en mars dernier par le
ministère de l’Education nationale, 60% des
apprentis trouvent en effet un emploi en
contrat à durée indéterminée à l’issue de leur
formation. Sept mois après, ils sont près de
65%. Côté employeurs, une autre étude
récente établit que le contrat d’apprentis-
sage apporte en général une solution inté-
ressante, à court et à long terme. En termes
statistiques, 82% des employeurs le jugent
« fidélisant » et trois chefs d’entreprises sur
quatre estiment que le coût qu’il représente
est compensé par sa valeur ajoutée.
Différents niveaux de diplômesTrès concrètement, c’est dans son ensemble
que le système éducatif français peut favori-
ser l’apprentissage. Loin de n’être que l’ul-
time bouée de secours destinée aux cancres,
ce type de contrat est aussi tout à fait
adapté aux études supérieures. Pour preuve,
en 2014, et toujours selon les chiffres de
l’Education nationale, près d’un apprenti sur
trois (32,2 %) prétendait à un diplôme à
bac +2 au moins – et jusqu’à bac +5.
L’apprentissage concerne également des
bacs pro et BP (22,2% de l’ensemble des
apprentis) et des CAP-BEP (43%). Les textes
législatifs définissent cinq niveaux, numéro-
tés en chiffres romains : I, II, III, IV et V. Plus le
chiffre est bas, plus la formation est élevée.
CADRE ET F I NANCEMENTL É G I S L A T I O N
En 2014, prèsd’un apprentisur trois prétendà un diplômeà bac +2aumoins.
©DR
©DR
INTERVIEW
Damien DésirÉTUDIANT EN MASTER À LA KEDGE
BUSINESS SCHOOL (BORDEAUX)
Vous êtes en
apprentissage chez
Orange Business
Services, la branche du
groupe Orange dédiée
aux entreprises.
Comment cela se
passe-t-il ?
Sur les douze mois de
chacune de mes deux
années d’alternance,
je suis tenu d’en passer
huit dans l’entreprise
et quatre à l’école.
Lors de cette première
année, mes cours sont
regroupés en cycles
de quatre semaines.
L’année prochaine, je
les ferai tous d’un coup
dans le cadre d’un
échange. J’aimerais
partir en Amérique
latine, si possible au
Mexique ou au
Venezuela.
Quel est l’avantage pour
vous d’avoir un contrat
d’apprentissage ?
C’est le moyen d’être
intégré dans
l’entreprise et d’y avoir
des responsabilités.
Je suis considéré
comme un vrai salarié.
D’un point de vue
financier, c’est
intéressant aussi :
Orange prend en
charge le coût de
ma formation.
Une fois formé,
pensez-vous avoir une
chance d’être embauché
chez Orange ?
Des perspectives
immédiates, je ne sais
pas, mais Orange va
recruter dans les cinq
à dix années qui
viennent. D’après ce
que je vois, la promotion
interne fonctionne bien.
Ceux qui auront déjà
une expérience dans
la société auront
sûrement une chance
supplémentaire.
Je suis considéré commeun vrai salarié
Exemple : le niveau V concerne les apprentis
en CAP, le III les BTS et DUT, le I les diplômes
d’ingénieur et les masters. Les professions
les plus diversifiées s’ouvrent donc aux étu-
diants-apprentis, qu’elles soient manuelles
ou de bureau. Bâtiment, commerce, hôtelle-
rie, restauration, agriculture, esthétique… Les
secteurs traditionnels demeurent de gros
pourvoyeurs de contrats. L’apprentissage
évolue aussi dans les services : les entrées
y progressent tant que la plupart des
apprentis sont formés dans le secteur
tertiaire - 56% selon une étude publiée par le
ministère du Travail en juillet dernier. Les
autres secteurs demandeurs sont l’industrie
(22,1 %), le commerce auto (18,8 %) et la
construction (18,7%). Le BTP forme 80000
apprentis chaque année, celui de l’artisanat
200000. Quant à la filière alimentaire, elle
devrait générer 150000 contrats d’ici à 2017.
Si 55% des apprentis ont rejoint une société
de moins de dix salariés, ils sont aussi plus
de 17% dans une très grande entreprise,
supérieure à 250 salariés. Pour le recrute-
ment post-apprentissage, ce sont les
domaines de la santé (85%), de l’informa-
tique (82%) et du génie civil (77 %) qui
s’avèrent les plus efficaces aujourd’hui.
EN BONNE ET DUE FORME
L’apprentissage repose bel et bien sur un contrat de travail.Les apprentis formés par les entreprises françaises sont doncrémunérés : selon le degré d’ancienneté dans l’entreprise et l’âgede l’apprenti, la loi définit précisément la rémunération due parl’employeur – une part variable du SMIC. Un certain nombred’aides financières est consenti à l’employeur qui embauche unou plusieurs apprentis. Ce système gagnant-gagnant permet auxentreprises de participer à la formation de leurs futurscollaborateurs. Hormis certains cas prévus par des conventionsparticulières, l’employé embauché en contrat à durée indéterminéeau terme d’une formation en alternance ne pourra être soumis àune période d’essai.
15
CADRE ET F I NANCEMENTL É G I S L A T I O N
16
©POLADAMONTE
CE QU ’ I L FAUT SAVO I RR É G I O N S
L’apprentissage,voie d’excellence
Àla rentrée 2014, les CFA franciliens ont ouvert
plus de 3500 nouvelles places et plus de
mille métiers sont accessibles par l’apprentis-
sage pour tous les niveaux de formation, du CAP au
Master professionnel en passant par les diplômes des
Grandes écoles. Depuis dix ans, la Région Île-de-
France mise sur l’apprentissage en augmentant
chaque année le budget qu’elle lui consacre. «Lesbesoins des entreprises franciliennes dans le secteurdes services sont importants, c’est pourquoi nousavons fait le choix de soutenir son développement enouvrant de nombreuses formations dans le supérieur,indique Jean-Paul Huchon, président de la Région
Île-de-France. Cela a largement contribué à changerl’image de l’apprentissage, auparavant considéréecomme une orientation par défaut et désormais vuecomme une voie d’excellence».
Avec 10% de sonbudget consacréà l’apprentissage,la région Île-de-Franceplace cette formed’enseignement au cœurde sa politique pourl’emploi. Plus de lamoitié des apprentisfranciliens sont inscritsdans le supérieur.
ÎLE-D
E-F
RANCE Double
compétence et
internationalisation
des cursus sont
les atouts majeurs
des formations
franciliennes.
PAR ROZENN GOURVENNEC
17
©GettyIm
ages/iSto
ckphoto
L’apprentissage,un levier contre le chômageL’apprentissage a en effet prouvé au fil des années
son pouvoir de levier contre le chômage des jeunes :
plus de 70% des apprentis trouvent un poste dans
les sept mois après leur formation, dont 65% en CDI.
Singularité de l’Ile-de-France, 55% sont inscrits dans
le supérieur. Un fait qui s’explique, selon Jean-Paul
Huchon, par la structure de l’économie francilienne :
«En Île-de-France, les cadres et professions intellec-tuelles supérieures représentent 29% de l’emploifrancilien, contre 17% en France métropolitaine. Sanssurprise, les apprentis suivent la même tendance :58% des apprentis préparent une formation dans lesservices en Île-de-France contre 40% au niveaunational. Nous sommes aujourd’hui vigilants à ce quel’apprentissage dans le supérieur bénéficie à ceux quien ont le plus besoin. Nous avons ainsi renforcé notresoutien sur les premiers niveaux de qualification(CAP et Bac pro) qui correspondent aux jeunes quisont le plus en difficulté sur le marché du travail».
Insérer les jeunes dans l’entrepriseL’insertion des jeunes alternants dans un emploi
durable est également un challenge que les entre-
prises veulent relever. 112 grands noms du SDF 120 et
du CAC 40 sont réunis depuis 1982 au sein de l’AFEP,
l’Association françaises des entreprises privées, pour
défendre leurs intérêts auprès des pouvoirs publics.
L’association s’implique dans l’emploi des jeunes
avec la démarche « Jeunes et entreprises », lancée en
2013. «Cette initiative part d’un constat : les grandesentreprises ont un rôle à jouer dans l’emploi desjeunes car elles ont les moyens financiers et humainsde les former en alternance, indique France Henry-
Labordère, directrice des affaires sociales à l’AFEP.
Or, avec la crise, elles ne peuvent pas forcément lesembaucher à l’issue de leur formation. D’où l’idée dela mise en place d’un portail «Engagement pour lesjeunes», qui met en relation les jeunes en alternanceet les PME-PMI susceptibles de les recruter, et ce, surtoute la France et dans tous les secteurs. D’un côté,les jeunes mettent en ligne leur CV sur cette base, del’autre les entreprises y postent leurs offres d’emploi.92 entreprises ont aujourd’hui rejoint ce portail. 1463jeunes alternants y ont activé un compte. 1819 postesont été ouverts aux jeunes diplômés. Les retours desentreprises sont très positifs ».
CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– Î L E - D E - F R A N C E –
R É G I O N S
18
TÉMOIGNAGE
Nicolas BurckelDIRECTEUR DU PÔLE ENTREPRISES
DU GROUPE ESSEC
«Pour la partie quota de la taxe d’apprentissage, nous percevons
environ onze millions d’euros qui nous servent à financer les études
de nos 660 étudiants en apprentissage. Pour la partie barème, qui
sera réduite aux deux-tiers en raison de la réforme, nous devrions
recevoir un million d’euros que nous utiliserons pour le matériel,
le financement d’une vingtaine de chaires pour la spécialisation
de nos étudiants, et le lancement de deux nouvelles formations :
le Master of sciences Data scientists and business analysts et une
nouvelle formule du BBA. Environ 1900 entreprises différentes
nous reversent la taxe, mais 90% de la somme totale provient de
200 entreprises. Un-tiers des apprentis sont embauchés dans les
entreprises qui les ont formés.»
Environ 1900entreprisesdifférentes nousreversent la taxe,mais 90% de lasomme totaleprovient de200 entreprises.
EN CHIFFRES
635 353étudiants
17universités
Plus de 350établissements
d’enseignement
supérieur non
universitaires
Source : Atlas régionaleffectifs d’étudiants en2012-2013, édition avril2014.
Attribuez à la formation des kinésithérapeutes
CEEInstitut de Formation en Masso-kinésithérapie agréé par le Ministère de la Santé
Centre Européen en Rééducation et Réadaptation FonctionnelleCampus Paramédical Porte de Paris - 36 rue Pinel 93200 Saint-Denis – www.ceerrf.fr
zueibtrAt gesaisntrepp’ae daxe ttrvo stepeuraéthsiékinesn dioatrmfolaà
TÉMOIGNAGE
Élodie BapstRESPONSABLE DU RECRUTEMENT ET
DE LA MARQUE EMPLOYEUR CHEZ ALTRAN
«Nous adressons le montant de notre taxe
d’apprentissage à tous types de structures :
les écoles d’ingénieurs et de commerces, mais
aussi des universités, des lycées, des écoles de
reconversion, des associations qui font la
promotion de la filière ingénieur. C’est un
moyen pour nous de gagner en visibilité auprès
des étudiants. Altran est reconnu comme un
acteur incontournable dans le marché de
l’ingénierie, mais il est important de présenter
aux jeunes le type de carrières possibles dans
le groupe car le métier de consultant offre une
infinité d’activités. Cela permet aussi de créer
une relation privilégiée avec les structures pour
intégrer des jeunes en stage, des alternants et
des apprentis, dans l’optique d’en recruter
certains par la suite.»
La taxe d’apprentissageest unmoyen pour nousde gagner en visibilitéauprès des étudiants (…)et de créer une relationprivilégiée avec lesstructures.
Diversifier les sources de talentsL’association ouvre aussi davantage les portes des
grandes entreprises aux étudiants d’université titu-
laires d’un Master 2, grâce au dispositif « Booster »,
mis en place en mars 2014. «Souvent les grandesentreprises recrutent des étudiants issus des écolesde management ou d’ingénieurs, poursuit France
Henry-Labordère. Or, la diversification du recrute-ment est un facteur de richesse dans l’entreprise.Avec « Booster », les entreprises partenaires serendent dans les universités pour rencontrer lesétudiants et étudier ensemble leur projet profes-sionnel. Nous travaillons pourl’instant avec trois universités :Aix-Marseille, Pierre et MarieCurie et Sorbonne-Nouvelle.Nous nous sommes fixés d’ac-compagner une centaine d’étu-diants vers l’emploi en 2014 etpas moins de mille en 2015 ».
Croiser les savoir-fairePour répondre à la demande
croissante des entreprises en
profils double compétence, les
établissements créent des par-
tenariats. Objectif : mixer les
savoir-faire des étudiants afin
de déployer des formations
encore plus pointues. L’Edhec
Business School et l’ESTP Paris
proposent par exemple un diplôme hybride axé sur
le management et l’ingénierie. Telecom ParisTech et
l’Ecole Polytechnique se sont associés à la rentrée
2014 pour créer le Master 2 Advanced Communica-
tion Networks (ACN), une formation d’excellence
dans le domaine des réseaux. L’ESSEC va lancer en
septembre prochain un MSc in data sciences and
business analytics dispensé conjointement avec
l’Ecole Centrale Paris. « Le monde est devenu digital,note Jean-Michel Blanquer, directeur général de
l’ESSEC. Aujourd’hui, l’objectif des entreprises est derecruter des talents qui ont intégré cette nouvelledonne, et pour cela, il faut inventer des formationsd’un genre nouveau. L’ambition de l’ESSEC et deCentrale Paris est de former ces talents, notamment
«Lemonde estdevenu digital.Aujourd’hui,l’objectif desentreprises est derecruter des talentsqui ont intégré cettenouvelle donne, etpour cela, il fautinventer desformations d’ungenre nouveau»,note Jean-MichelBlanquer, directeurgénéral de l’ESSEC.
CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– Î L E - D E - F R A N C E –
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20
7 pôles de compétitivité
81,9% de taux de réussite au bac (2012)
26 423 étudiants en CPGE
31 887 étudiants ingénieurs
EN CHIFFRES
Source : Atlas régional effectifs d’étudiants en 2012-2013, édition avril 2014
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TAXE D’APPRENTISSAGE 2014 Catégories C (+ B)
COMMENTVERSERLATAXE D’APPRENTISSAGE ?Chimie ParisTech est habilitée à percevoir la taxe d’apprentissagepour les catégories cadres supérieurs (C) et cadres moyens (B) (àcondition de tenir compte dela règle du cumul pour la catégorie B).Pour verser la taxe d’apprentissage au titre de l’année 2014, vousdevez obligatoirement adresser vos versements à un organismecollecteur (OCTA) agréé, avant le 1er mars 2014.
Merci de préciser sur le bordereau de l’OCTA :École Nationale Supérieure de Chimie de Paris,(Chimie ParisTech), 11 rue Pierre et Marie Curie 75005 Paris.
Votre contact :Direction du Développement des Relations Industrielles et de laFormation PermanenteHélène Fischer, Responsable administrative01 44 27 67 53 - [email protected]
VOTRE CONTRIBUTION NOUS EST PRÉCIEUSE !Chimie ParisTech est un établissement socialement responsable, engagé dans une procédure de mise aux normes qui devraconduire à la certification ISO 14001. L’École a le souci constant d’améliorer l’environnement général et technique dans lequel sesétudiants et enseignants s’épanouissent.
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CHIMIE PARISTECH : EN FRANCE, LAMEILLEURE ÉCOLED’INGÉNIEURS SPÉCIALISÉE EN CHIMIE
dans le cadre de leur alliance». Cette formation com-
mune portera à la fois sur les outils informatiques,
l’analyse quantitative, la compréhension de l’environ-
nement économique, et la manière pour le décideur
d’évoluer dans son entreprise armé de cette connais-
sance. « C’est un programme d’un genre nouveau caril ne s’agit pas d’un double diplôme, souligne Lionel
Gabet, professeur des universités en mathématiques
appliquées à l’Ecole Centrale Paris. Ce n’est pas lasimple addition de nos expertises, mais la synthèse :un programme conçu, produit et dispensé en com-mun. Notre objectif est de former des managers quiseront d’emblée à 100% des dirigeants alliant culturescientifique et orientation business et qui serontessentiellement des digital leaders».
Le luxe a la coteAutre filière d’excellence parisienne : le luxe. Un sec-
teur qui plébiscite l’apprentissage pour transmettre
les savoir-faire traditionnels et conserver son mono-
pole sur le marché international. Le groupe INSEEC a
inauguré en septembre dernier un Bachelor en com-
mercialisation des vins et spiritueux et un MBA Wine
CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– Î L E - D E - F R A N C E –
R É G I O N S
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TÉMOIGNAGE
Laura Ferr i -FioniCHEF DU DÉPARTEMENT STAGES, ORIENTATION, INSERTION
PROFESSIONNELLE DE L’ÉCOLE POLYTECHNIQUE DE PARIS
«La taxe sert à financer différents outils pédagogiques :
les équipements techniques des salles, des amphithéâtres et des
laboratoires de recherche, les bourses des élèves en stage en France
comme à l’international, les logiciels, l’accès aux banques de données
de la bibliothèque, le déploiement du e-learning… Les entreprises
donatrices sont aussi bien des grands groupes que des PME-PMI.
Nous leur permettons de mieux se faire connaître auprès de nos
étudiants. Et pour élargir le portfolio des entreprises partenaires,
nous nous appuyons sur nos anciens élèves qui font passer le
message auprès des sociétés dans lesquelles ils travaillent. Grâce à
la contribution de ces entreprises, l’École fait évoluer en permanence
son enseignement pour qu’il réponde aux enjeux du 21e siècle.»
Grâce à lacontributiondes entreprises,l’École fait évolueren permanenceson enseignementpour qu’il répondeaux enjeux du21e siècle.
EN CHIFFRES
+ de 400millions d’euros
consacrés par
la Région à
l’apprentissage
en 2013
163CFA en 2014
Source :Région Île de France.
©GettyIm
ages/iSto
ckphoto
Former des Psychomotriciens pour répondre auxgrands plans de Santé Publique lancés par leGouvernement Plan Maladies Neuro-dégénératives
Troisième Plan Cancer • Plan Autisme • Plan Petite enfancePlan de santé au travail • Plan Psychiatrie • Créationd’une fondation pour la recherche en psychomotricité etmaladies de civilisation (Fondation de France)
Former des Psychoomotriciens pour répondre aux
PSYCHOMOTRICIEN DE*UN MÉTIER QUI A DU SENS
Établissement d’enseignement supérieur libre agréé par le Ministère de l’Éducation Nationale et le Ministère de la Santépour la préparation au diplôme d’État de psychomotricien - Autorisations Conseils Régionaux Ile de France et Provence Alpes Côte d’Azur
TAXE D’APPRENTISSAGEDONNEZ UN AUTRE SENS
À VOTRE VERSEMENT
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À l’issue de 4 ans (1+3) d’études médicales et psy-chologiques, le psychomotricien intervient auprès :• D’enfants en difficulté scolaire• De personnes souffrant dehandicap mental ou moteur
• D’adultes en situation d’échec ou de blocage• De personnes âgées présentant despathologies dégénératives
• D’entreprises soucieuses de prévenirles risques liés au stress au travail.
Nous attirons votre attention sur l’importance de lapsychomotricité, citéedans lesdifférentsplansdeSantéPublique gouvernementaux mentionnés ci-dessus.
Les étudiants futurs professionnels attendent votresoutien pour que soient financées de nouvelles actionsde formation plus spécifiques, toujours en lien avecces pathologies nouvelles.
Les deux ISRP de Paris et de Marseille sont habilitésà recevoir la taxe d’apprentissage au titre du barèmecatégorie A pour Paris, B pour Marseille.
En versant tout ou partie de votre taxe d’apprentis-sage à l’ISRP, vous contribuez à une amélioration dela formation, à unemeilleure prise en charge futuredes pathologies psychomotrices et à la préventiondes risques psychosociaux en entreprise.
*DIPLÔMED’ÉTATDÉLIVRÉPARLE
MINISTÈREDELA
SANTÉ
©photos:B
enjamin
Brolet
TOUS, nous sommes ou nous serons concernés par la nécessité d’un développement psychomoteurharmonieux ou du maintien d’un équilibre personnel et d’une efficacité psychocorporelle.
TÉMOIGNAGE
Nathal ieGormezanoDIRECTRICE GÉNÉRALE DE L’ISIT
«La taxe d’apprentissage sert à financer
l’année de formation en apprentissage par
l’intermédiaire du quota pour les 40 apprentis
de l’ISIT qui bénéficient chaque année de cette
opportunité d’étudier une semaine sur deux à
l’ISIT et en entreprise, pour l’obtention de leur
Master. Avec le hors quota, nous développons
une politique d’égalité des chances en attirant
les meilleurs talents français et internationaux.
Principalement via un dispositif de bourses
suffisamment attractif et la gratuité des frais
de scolarité pour des étudiants d’excellence
issus des milieux les plus modestes.
Pour accompagner le développement des
formations au service des étudiants, nous
avons également investi dans des modalités
de transmission des savoirs innovants et
interactifs.»
Avec le hors quota,nous développonsune politique d’égalitédes chances enattirant les meilleurstalents français etinternationaux.
Marketing & Management accessible à bac+2. Son
objectif : devenir le leader mondial de l’éducation sur
le luxe, le vin et le digital. L’école de management
Istec lance quant à elle un «Summer program» inti-
tulé «French Business and Luxury Brand Manage-ment», une formation qui aura lieu tous les ans en été
et qui répond aux besoins d’étudiants étrangers dési-
reux de bénéficier de l’expertise française.
L’American Business School propose depuis la ren-
trée 2014 un «Bachelor in fashion, luxury and retailmanagement» dédié aux métiers de l’industrie du
luxe. Un secteur qui ne connaît pas la crise et où les
débouchés sont nombreux à l’international. «Cetteformation correspond à un besoin du marché, sou-ligne Jarlath Dillon, directeur du programme. Elle estconçue en partenariat avec des professionnels duluxe qui ont proposé, avant même l’ouverturedu Bachelor, des stages et des postes à pourvoirde vendeurs online ou physiques. Le secteur du luxeprévoit une croissance d’environ 7% par an, grâce audéveloppement de circuits de distribution dans lesBRICS et les nouveaux marchés émergents que sontle Nigeria, la Turquie, la Malaisie, l’Indonésie. Il y a doncun important besoin en recrutement. Le fait de pro-poser une formation tout en anglais permettra auxjeunes diplômés de travailler à l’international».
L’ouverture à l’internationalPour asseoir une notoriété mondiale et permettre aux
futurs cadres de construire une carrière au-delà de nos
frontières, les grandes écoles jouent la carte de l’inter-
national de différentes manières : programmes bilin-
gues ou uniquement en anglais, doubles diplômes en
France et à l’étranger, campus à l’autre bout du
monde… À l’instar du groupe INSEEC qui va ouvrir un
campus à San Francisco courant 2015 et qui déve-
loppe des partenariats avec Shanghaï, Genève, la
Corée du Sud et le Japon. Ou encore l’IDRAC Business
School qui s’implante en République Tchèque avec
l’ouverture d’un campus à Brno. De son côté, l’école
d’ingénieurs EPF propose une formation franco-alle-
mande en collaboration avec la Hochschule de Munich.
Un cursus en alternance géographique pendant cinq
ans qui permet d’obtenir un diplôme conjoint en pro-
duction et automatisation. Réservé aux excellents
étudiants à la fois en langues et dans leur spécialité !
CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– Î L E - D E - F R A N C E –
R É G I O N S
24
103 591 apprentis au 15 janvier 2014
55% des apprentis inscrits dans le supérieur
28% d’étudiants étrangers
EN CHIFFRES
Sources : Étude BVA/Campus France - Région Île de France.
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Comment nous verser la taxe d’apprentissage ?Vous devez verser votre taxe par l’intermédiaire d’un OCTA agréé
(Organisme Collecteur de Taxe d’Apprentissage).
Le CFA Stephenson est habilité à percevoir la totalité de la taxe d’apprentissage :quota/hors quota* ainsi que la CSA.
Vos instructions doivent indiquer :nom du bénéficiaire : CFA Stephenson / n° établissement : 0752206R.
*en complément du montant versé au titre du solde du quota lorsque ce montant est inférieurà celui des concours obligatoires dus au CFA Stephenson.
Votre contact au CFA StephensonNathalie BEDER, Directrice des Relations Entreprises
Tél. +33 (0)1 44 92 88 53 - Mail. [email protected]
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RELATION CLIENT ET MANAGEMENT
COMMUNIQUÉ
Face aux enjeux de recrutement et defidélisation des collaborateurs, le CFAStephenson, en veille permanente sur
les problématiques économiques et sociales,répond aux exigences de l’entreprise en pro-posant une solution globale : une équipe struc-turée étudie les besoins, met en place desactions de pré-recrutement, organise desjournées de recrutement et simplifie les pro-cédures administratives.
Pourquoi nous confier la taxe ?
Favoriser la culture de la relationentreprise : création d’un départementdédié aux relations avec les entreprises afind’apporter des solutions adaptées à leursbesoins et permettre la sécurisation du par-cours des apprentis en les accompagnant,dès la recherche d’un contrat d’apprentis-sage jusqu’à l’obtention du diplôme et l’inser-tion en entreprise. Pour cela ils sont suivis
par des formateurs « Chargés de RelationsEntreprises », eux-mêmes issus de la profes-sion qui connaissent les prérequis des entre-prises, se rendent sur le terrain, co-réalisentdes bilans avec les maîtres d’apprentissage.
Eviter les ruptures en cours de for-mation : accompagnement personnalisétout au long de l’année par des formateursréférents, création d’outils éveillant les jeunesà une démarche « compétences » et à la valo-risation de leur employabilité.
Encourager l’ouverture : création d’unposte de « responsable projet handicap etdéveloppement international ».En relation avec les associations, participeraux engagements citoyens des entreprisesdans leur démarche handicap.Grâce à l’obtention du label « ERASMUS + »,le CFA Stephenson renforce la qualité del’apprentissage à l’échelle européenne.
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1 200≥ FORMATIONS
30 formationsdu CAP au Master II
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88% de réussite aux examens
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CFA TRAJECTOIRE UAI 0782093 B
C F A
CFA ACADEMIQUE TRAJECTOIRE 0782093 B
COMMUNIQUÉ
Le CFA TRAJECTOIRE (UAI 0782093 B)est un centre de formation crée en 1993à l’initiative du ministère de l’éducation
nationale, la Région Ile de France, des entre-prises. Le CFA TRAJECTOIRE organisechaque année au profit de 430 apprentis, desformations de qualité du CAP à la licence pro,préparant aux métiers de l’hôtellerie, de larestauration, du management, du tourisme,de l’alimentation et du commerce.
Le CFA TRAJECTOIRE estcomposé de plusieurs antennes :• CFA du lycée Hôtelier et du tourismede GUYANCOURT (78)
• Université de Versailles/Saint Quentin (78)• UFA du lycée Camille CLAUDEL à Mantesla ville (78)
• UFA du lycée Santos Dumont à Saint Cloud (92)• UFA du lycée Auguste Escoffier à Eragny (95)• UFA du lycée St Pierre à Brunoy (91)
Nos 6 établissements réunissent des forma-tions de la filière professionnelle du CAP auMASTER, en formation initiale et continue,sous statut scolaire ou par l’apprentissageavec + de 3000 élèves sous statut scolaire.
Nos engagements :Mutualiser les outils et ressources péda-gogiques, valoriser l’apprentissage et lesdémarches innovantes, développer les passe-relles, maitriser les coûts de formation, adap-ter nos enseignements aux nouvelles techno-logies, développer la mobilité internationale.Nos élèves inscrits sur les dispositifs passe-relles (SDAM, passerelle Handicap, passerelleUniversitaire) effectuent des stages dans lesentreprises. Nos élèves en formation initialesous statut scolaire (CAP,BAC PRO, MC, BTS,MAN) effectuent des stages dans les entre-prises de 16 à 22 semaines en fonction desdiplômes en France et à l’étranger.
Contribuez, dès aujourd’hui à la qualité de leur formation.Nous développons l’apprentissage.Contribuez dès aujourd’hui à l’ouverture de nouvelles formations.Nous développons l’enseignement technique.Contribuez dès aujourd’hui à faciliter l’insertion professionnelle.
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CFA TRAJECTOIRE (Siège social) UAI 0782093 BPlace François RABELAIS - BP 67 - 78042 GUYANCOURTTél. : 01 30 96 12 01 - Fax : 01 30 44 24 91www.cfa-trajectoire-hotellerie.ac-versailles.fr
STATUTCFA ACADEMIQUE
DIPLÔMES
15diplômes du niveau V au niveau II
UNITÉS DE FORMATION
6 en Île de France
APPRENTIS
430 (+ 15%)
ÉTUDIANTS
+de3000 élèves dans nosétablissements
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PHARMACIE / COMMERCE / SERVICE À LA PERSONNE
CFA DE LA PHARMACIE PARIS ILE DE FRANCE
COMMUNIQUÉ
Parce que nous subventionner, c’est :• Assurer aux 1000 jeunes que nous formons chaque année une formation de qualité,• Offrir à nos entreprises partenaires - (pharmacies officinales et hospitalières, parapharmacies,maisons de retraites, crèches, centres de rééducation) - des collaborateurs efficaces et pro-fessionnels.
• Accompagner nos diplômés tout au long de leurs carrières avec nos formations continues.
En 2014, 24% du financement de nos formations a été assuré par la perception de la taxed’apprentissage. Cette subvention, certes modeste, nous a permis de poursuivre des actionsindispensables à la formation de ces futurs professionnels :• Maintien du niveau de formation des jeunes qui nous sont confiés,• Développement de nos capacités d’innovation pédagogique,• Adaptation des formations,• Renforcement de nos relations avec les professionnels.
Notre dynamisme, notre volonté de coller au terrain, notre responsabilité face aux jeuneset aux entreprises qui nous font confiance ont besoin de soutien financier.La dernière réforme de la taxe d’apprentissage restreint nos habilitations et fragilise un équilibredéjà précaire. Pour maintenir nos filières d’apprentissage et garantir notre pérennité, nous vousserions reconnaissants de nous affecter vos versements dans les catégories QUOTA et/ou CSA,lors de votre règlement à votre OCTA.
Nous espérons vivement que vous nous accorderez votre confiance.
Au nom de l’ensemble des apprentis et du personnel du Centre, nous vous adressons nosplus sincères remerciements.
Françoise TISSEUIL Michel BAZENNERYE,Pharmacien, Présidente de l’ACPPP Pharmacien, Directeur du CFA
Et si cette année vous souteniez notre centre deformation avec votre taxe d’apprentissage ?
DEPUIS PLUS DE 60 ANS, NOUS FORMONSLES JEUNES EN ALTERNANCEAUX MÉTIERS DE LA PHARMACIE ETDE L’AIDE À LA PERSONNE, FONDANTNOS ENSEIGNEMENTS SUR LA RIGUEURET LE SÉRIEUX INHÉRENTS AUX MÉTIERS.
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CHOISISSEZ LA PRESTATIONQUI VOUS CONVIENT LE MIEUXFormule internet• aide au calcul de votre taxe sur internet,• possibilité de déclarer et régler en ligne.Formule papierVous nous adressez :• le premier exemplaire de votre déclaration
de versement signée,• les pièces justificatives de vos déductions,• le règlement à l’ordre de la CCI Paris IDF.Vous recevrez :• un accusé de réception de votre paiement
avec le numéro de votre dossier, vous permettantun contact simplifié.
• un état des reversements qui seront effectuésen votre nom, que nous vous proposonspour accord, avant envoi des règlementsaux établissements bénéficiaires.
• le reçu libératoire au titre des versementsd’apprentissage et le cas échéant, de la CSA.
Nous nous chargeons• de vérifier l’ensemble de votre dossier,• d’informer les CFA et sections d’apprentissage
des montants que vous leur versez avant le 16 mai,• d’établir votre reçu libératoire,• de verser vos fonds aux établissements
habilités de votre choix,• de reverser la part revenant au Trésor Public,• d’assurer le suivi complet de votre dossier
auprès de l’administration fiscale.
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COMMUN IQUÉ
L’ÉCOLE DE L’INGÉNIERIEÉCO-ÉNERGÉTIQUE
ET DU DÉVELOPPEMENT DURABLE
L’ENSIATE est parfaitement adaptée à l’ensemble des métiers d’avenir dans lesdomaines de l’énergie, de l’environnement et du développement durable.Nous formons des professionnels multi-compétences en phase avec les besoinsde recrutement des entreprises. Notre formation fait une large place à la profes-sionnalisation au travers du principe d’alternance en entreprise. La présence deprofesseurs en activité dans des entreprises et un coaching réalisé par des chefsd’entreprise et des cadres, externes à l’ENSIATE, permet à nos élèves de béné-ficier d’un accompagnement de tuteurs séniors.
L’éco-énergétique conjugue les quatre savoir-faire dans le domaine des énergies(classiques et renouvelables). Nos élèves deviennent des experts techniques depremier ordre dans des domaines très recherchés :
• les énergies et la thermique • le traitement de la pollution• l’efficacité énergétique • le génie climatique
Ils bénéficient, à la sortie de l’ENSIATE, d’une expérience réelle de l’ordre de deuxans, du fait de leurs études en cycle alterné. Les élèves, issus de l’ENSIATE, sontd’autant plus recherchés qu’ils possèdent, aux yeux des entreprises, ces deuxcaractéristiques déterminantes, l’expertise et l’expérience. La grande majoritédes étudiants est embauchée dès la fin de leurs études. Le cycle alterné école /entreprise de dernière année s’effectue de plus en plus souvent dans le cadred’un contrat de travail.
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DES FORMATIONS NOUVELLES DANS L’ÉNERGIE ET L’ENVIRONNE-MENT, LE GÉNIE CLIMATIQUE ET LES ÉNERGIES RENOUVELABLES,
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ENSIATE : 79, rue Charles Duflos - 92270 Bois ColombesTél. : 01 47 84 81 39 - email : [email protected] - www.ensiate.fr
ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR D’INGÉNIERIE APPLIQUÉEÀ LA THERMIQUE, À L’ENERGIE ET À L’ENVIRONNEMENT
E N S E I G N E M E N T S U P É R I E U R D ’ I N G É N I E R I E A P P L I Q U É E
ENS IATE
COMMUNIQUÉ
Notre ProjetGrâce à votre aide, nous serons en mesured’améliorer notre plate‐forme technique des‐tinée aux travaux pratiques et à la rechercheet développement.
Performance et InnovationNos élèves expérimentent sur ces bancsd’essais, les dernières technologies liées :
• aux énergies renouvelables,• Photovoltaïque,• Solaire thermique,• Eolien,• au génie climatique,
• pompe a chaleur,• CTA Centrale de traitement de l’air,• à la performance énergétiquedu bâtiment,
• à la CO‐Génération.
La plate‐forme utilisée par nos élèves estégalement ouverte pour la formation Profes‐sionnelle des entreprises.
Ce projet a reçu le concoursdu FEDER Fonds Européende Développement Régional
DEPUIS 2003 NOUS FORMONSNOS ÉLÈVES À L’ECO‐ÉNERGÉ‐TIQUE. EN VERSANT VOTRETAXE D’APPRENTISSAGEÀ L’ENSIATE, POUR LESCATÉGORIES B ET C, VOUSPARTICIPEZ AU DÉVELOPPE‐MENT DE NOTRE PROJET,ET VOUS PERMETTREZ ÀNOS ÉTUDIANTS DE DEVENIRLES FUTURS EXPERTS DEVOS ENTREPRISES.
ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR D’INGÉNIERIE APPLIQUÉE À LA THERMIQUE,À L’ÉNERGIE ET À L’ENVIRONNEMENT79 rue Charles DUFLOS ‐ 92270 BOIS COLOMBESTél. 01 47 84 81 39 ‐ email : [email protected] ‐ www.ensiate.fr
STATUTAssociation loi 1901.Titre niveau 1, bac +5reconnu par l’état
ÉTUDIANTS
250
ENSEIGNANTS
6 professeurs permanents
et40 vacataires
DIPLÔMÉS
300
Voici comment les fonds de votre taxe d’apprentissageseront utilisés par notre école.
L’ENSL’école Normale Sociale c’est :
• un centre de formation aux métiers du vivre ensemble
• un centre social, l’Espace Torcy, un lieu d’engagementet de promotion sociale et collective
INformatIoNS :2, rue de torcy - 75018 [email protected]él : 01 40 38 67 00
L’ENS est une association loi 1901L’ENS est membre adhérent de l’UNAFORIS,du PREFAS-GRIF et de la Fédération des centressociaux et sociaux culturels de Paris et de France.
SolidaritéPartageCitoyenneté
laboratoiredu travail social
Sa vocation :
• former aux métiers du travail social, en formations initiales,supérieures et continues
• appliquer son expérience dans son centre social, espace d’animationouvert sur le quartier de La Chapelle à Paris et ses habitants
ensparis.fr
’’
É C O L E N O R M A L E S O C I A L E
ENS
COMMUNIQUÉ
Soutenir la formation au travail social :un investissement pour l’avenirInterview de Martine Trapon,Directrice générale de l’ENS.
QUELLE EST LA SPÉCIFICITÉ DE L’ENS ?L’ENS est à la fois un lieu d’apprentissage et unlieu d’intervention sociale : l’ENS est pionnièredepuis 1911 dans le travail social, et notammentdans la formation des travailleurs sociaux, de lapréparation aux concours d’entrée en formationsociale aux diplômes d’Etat d’assistant deservice social (DEASS) ; et depuis 1987, l’ENSest aussi un centre social, l’Espace Torcy.
POURQUOI SOUTENIR LA FORMATIONAU TRAVAIL SOCIAL ?Le travail social est un espace de rencontreet d’échanges qui permet d’accompagner lespersonnes, de les aider à surmonter leursdifficultés, de les guider dans leurs démarches.L’action sociale nous concerne tous : l’amélio-ration de chaque situation individuelle concourtà l’équilibre de toute la société. C’est pourquoila formation à l’action sociale est un investisse-ment pour l’avenir.
QUE REPRÉSENTE LA TAXED’APPRENTISSAGE POUR L’ENS ?Elle est une ressource indispensable à notrecentre de formation. Les actions soutenuesgrâce à cette contribution permettent de parti-ciper au financement de voyages d’études età l’amélioration de nos outils pédagogiques.Nous sommes habilités à recevoir la taxed’apprentissage hors quota pour le niveauBac +2, catégorie B, et la formation au DEASSest celle susceptible de recevoir la Taxe.
POURQUOI VERSER CETTE TAXE À L’ENS ?En nous soutenant, vous faites plus que donnerà nos étudiants des moyens leur permettant desuivre leur formation dans les meilleures condi-tions : vous vous inscrivez avec nous dans unedémarche solidaire et une action citoyenne.
TÉMOIGNAGE DE RIHAM,en formation initiale d’Assistante de service social.«Grâce à la taxe d’apprentissage, nous sommes partisà Berlin pour un projet d’étude sur l’appropriation del’espace urbain et la création de jardins partagés. Nousavons découvert la spécificité de chaque jardin, leurfinalité, leur organisation, en rencontrant les responsableset les adhérents. Une expérience très formatrice !»
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160 en formation initiale et
80 en formation supérieure
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6 cadres permanents et
140 universitaires et intervenantsde terrain
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80% de réussite aux examens
Un versement obligatoire qUi peUt devenir
une action de santé publiqueLaformations’inscritdansunedynamiquereposantsurdeséchangesréciproquesentre formateur
et apprenant ainsi que sur une pédagogie visant à rendre l’étudiant acteur de sa formation
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INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS
COMMUNIQUÉ
L’Institut de Formation en SoinsInfirmiers de l’Institut HospitalierFranco-britannique a été créé en1959. Installé d’abord à LEVALLOIS-PERRET il a déménagé en août 2014 auCNIT 3 à la Défense dans des locaux spa-cieux et modernes situés dans un envi-ronnement prestigieux.
L’IFSI comprend deux départementsde formation :• Un département de formation initiale ;• Un département de formation continue.
Le département de formationinitiale dispense les formationssuivantes :• Diplôme d’Etat d’infirmier/ère :90 étudiants par promotion, 3 années deformation. Rentrée en septembre.
• Diplôme d’Etat d’aide-soignant/te :60 élèves par promotion, 1 année deformation. Rentrée en janvier.
• Diplôme d’Etat d’auxiliaire de puériculture :45 élèves par promotion, 1 année deformation. Rentrée en septembre.
• Diplôme d’Etat d’infirmier/ère pour lesmédecins titulaires d’un doctorat enmédecine obtenu hors de la CommunautéEuropéenne.
Le département de formationcontinue assure les formationssuivantes :• VAE (Validation des Acquis de l’Expé-rience) pour les aides-soignants/tesles auxiliaires de puériculture.
• Formation à l’AFGSU (Attestationde Formation aux Gestes et Soinsd’Urgence).
• Format ions d’approfondissementdestinées aux infirmiers/ères (tutorat,analyse des pratiques professionnelles…).
• Préparation aux concours d’entrée enformation infirmière, aide-soignante etauxiliaire de puériculture.
Résolument tourné vers l’avenir l’IFSI asigné la Charte ERASMUS et crée un parte-nariat avec différents pays européens, il estaussi engagé dans une charte qualité.L’évolution des techniques nous oblige àdévelopper en permanence nos outils deformation et à actualiser les connaissances,la taxe d’apprentissage constitue donc unepartie importante de nos ressources.Elle nous permet notamment d’acquérir lematériel informatique, multimédia et pratiquenécessaire à la formation de professionnelscompétents répondant aux besoins de santédes populations de notre bassin d’emploi.
Un versement obligatoire qui peut devenir une action de santé publique.
Votre soutien nous est donc indispensable nous comptons sur vous !
NOTRE IFSI DIPLÔME CHAQUEANNÉE 90 INFIRMIERS/ÈRES,60 AIDES-SOIGNANTS/TES,45 AUXILIAIRES DE PUÉRICULTURE.GRÂCE À VOTRE SOUTIEN LESÉTUDIANTS POURRONT BÉNÉFICIERD’UN ÉQUIPEMENT INFORMATIQUE,MULTIMÉDIA ET PRATIQUE QUICONTRIBUERA À LA QUALITÉ DELA FORMATION DISPENSÉE.
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70 ans d’expérienceau service de la qualification professionnelle de vos salariés• Une offre de formation adaptée en permanence à vos besoins et à l’évolution des métiers,
• Un champ d’intervention complet : orientation, aide à la construction de projet professionnel, bilan decompétences, accompagnement démarche de validation des acquis de l’expérience (V.A.E.), Formation Ouverte etADistance (FOAD), formationprofessionnelle qualifiante, formation continue surmesure (intra ou interentreprises),formation en alternance (contrat d’apprentissage et contrat de professionnalisation).
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INSTITUT NATIONAL DE FORMATION ET D’APPLICATION
COMMUNIQUÉ
L ’INFA (Institut National de Formation et d’Application) est une association à but non lucratifissue du Centre de Culture Ouvrière, créé en 1945, qui oriente, accompagne et forme avecpassion, chaque année, au travers de ses différentes composantes, des milliers de jeunes et
d’adultes en vue de favoriser leur réussite par la qualification professionnelle.Dans un contexte de chômage élevé, l’ambition de l’INFA est de contribuer à faciliter l’accès ou leretour à l’emploi, la reconversion et la mobilité professionnelle ou la promotion des jeunes etadultes accueillis chaque année dans ses centres, par une offre de formation répondant auxbesoins des entreprises et grâce à un travail pédagogique élaboré, héritage d’une longue pratiquede la formation professionnelle qualifiante des adultes.
La taxe d’apprentissage :un soutien indispensable pour mener à bien nos projetsLes premières formations technologiques etprofessionnelles ainsi que l’apprentissage, quisont financées en partie par cette taxe, consti-tuent des voies d’avenir pour les jeunes quenous accueillons en formation. L’INFA et le CFAde l’INFA ont besoin de votre contribution pour :• Continuer à améliorer la communicationauprès des jeunes et attirer plus de jeunesvers les métiers préparés par la voie de l’ap-prentissage.
• Poursuivre l’introduction de la formationouverte et à distance (FOAD) dans toutes nos
formations au travers de la plate-forme d’en-seignement à distance « INFA Chorus ».
• Renforcer la relation terrain professionnel /centre de formation, afin d’optimiser la pro-fessionnalisation
• Maintenir à niveau notre matériel pédago-gique afin que les jeunes soient formés auplus près de la réalité des environnements detravail des entreprises.
• Développer l’apprentissage en ouvrant denouvelles formations répondant aux besoinsd’emploi et de qualification des entreprises.
L’INFA, UNE AMBITION.
FACILITER L’ACCÈS OU LE RETOURÀ L’EMPLOI, LA RECONVERSIONET LA MOBILITÉ PROFESSIONNELLE OULA PROMOTION DES JEUNES ET ADULTESACCUEILLIS CHAQUE ANNÉE DANSSES CENTRES, PAR UNE OFFRE DEFORMATION RÉPONDANT AUX BESOINSDES ENTREPRISES.
INFA - Siège social et centre de formation Île de France5-9, rue Anquetil - 94130 NOGENT SUR MARNEwww.infa-formation.comwww.facebook.com/INFA.FORMATION - Twitter @infaformation
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150 cycles de formation
préparant à plus de50 métiers
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Le traitement d’avenir contre Les maLadies est entre vosmainsMaladies infectieuses, cancers, maladies du cerveau… En versant votre taxe d’apprentissage2015 au Centre d’enseignement de l’Institut Pasteur, vous serez à l’origine des grandesdécouvertes à venir.
Centre d’enseignementde l’Institut Pasteur :➜ 500 nouveaux chercheurs
formés chaque année.➜ 500 nouveaux espoirs
de découvertes.
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Centre d’enseignement de l’institut Pasteur
COmmuniQuÉ
Depuis la création en 1889 du premiercours de microbiologie au monde,l’enseignement constitue une des
missions de l’Institut Pasteur, avec larecherche et la santé publique.
Formation reconnue au niveau international, leCentre d’Enseignement de l’Institut Pasteuroffre un dispositif exceptionnel : situé aucœur d’un campus où sont implantés noslaboratoires et nos plateformes technologiques,il accueille tout à la fois étudiants,scientifiques, médecins, pharmaciens,ingénieurs et vétérinaires.
Fidèles à la tradition pasteurienne, les courss’organisent en 3 pôles thématiques : Biologiedes microorganismes (Centré sur l’étude desmicroorganismes pathogènes, bactéries,champignons et virus), Epidémiologie etsanté publique (Consacré à l’épidémiologie età la santé publique dans le domaine des
maladies infectieuses et tropicales) etMécanismes du vivant (Dédié auxmécanismes fondamentaux du vivant, de lamolécule à la cellule et à l’organisme)Assurés par des scientifiques de hautniveau, les cours mettent l’accent sur lesinteractions entre les intervenants et lesparticipants, ainsi que sur l’expérience acquiselors des travaux pratiques et des discussions.
En partenariat avec les universités d’Ile-de-France et le Cnam, de nombreux cours sontaccrédités dans des cursus universitaires demasters 2 (M2), de formations doctorales etdu mastère spécialisé en santé publique, oupeuvent donner lieu à l’obtention de diplômesd’université (DU).
Demain, ces nouveaux chercheurs mettrontleurs connaissances et leur curiosité auservice de la lutte contre les maladies duXXIe siècle.
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Diplômes
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1 programme doctoral international«Pasteur-Paris University internationaldoctoral program»
500nouveaux chercheurs formés chaqueannée
750conférenciers français et étrangers
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COMMUNIQUÉ
L’IRFASE a pour vocation de travailleren étroite collaboration avec lesprofessionnels des secteurs sanitaire,
social et médico social, la recherche et lespouvoirs publics.
Son projet s’articule autour des axes suivants :
- Autonomie et nouvelles technologies
- Inscription du parcours de vie des usagerset intelligence de territoire
- Innovation des pratiques professionnelles ;citoyenneté, interculturalité et accès auxdroits pour tous
- Art, culture et médias pour la rencontre
Ces principaux axes sont déclinés tout au longdu parcours de formation et abordés selondifférentes approches disciplinaires. Il s’agit,pour l’IRFASE, de contribuer avec l’ensembledes acteurs aux débats du secteur.
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École d’Ingénieursdu Numérique
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ISEP
COMMUNIQUÉ
Entretien avec Michel Ciazynski,Directeur Général de l’ISEPet Dieudonné Abboud, Directeur del’Enseignement.
POUVEZ-VOUS NOUS DIRE EN QUOI CONSISTE« L’APPROCHE MÉTIERS » ?D. Abboud : Partant du postulat que l’entrepriserecherche des diplômés opérationnels, l’apprentis-sage par projet introduit à l’ISEP se révèle trèsefficace et garantit l’adéquation entre la formationet les réalités du monde économique. Les élèvestravaillent en petites équipes sur des projets inspi-rés de la réalité professionnelle et acquièrent ainsiune très grande autonomie.M. Ciazynski : À cet apprentissage s’ajoute unetrès forte implication des entreprises : coaching,tutorat, simulation d’entretiens ou participation d’in-tervenants professionnels, à l’instar de Capgeminidans le parcours « systèmes d’information &Finances» ou General Electrics dans le tout nou-veau parcours «numérique et santé». Tout celafavorise l’émergence d’un projet professionnelpersonnalisé.
QU’ENTENDEZ-VOUS PAR « CURSUS À LA CARTE » ?D. Abboud : Après la première année de tronccommun, la formation se décline en «parcours»librement choisis. Les possibilités sont aussi nom-breuses que passionnantes : des parcours abou-tissent à une double compétence dans un domaineparticulier comme la Finance ou la Santé, d’autresparticipent à la personnalisation du cursus : stagedans les laboratoires de recherche de l’universitéStanford aux États-Unis, double diplôme « ingé-
nieur manager » en partenariat avec AudenciaNantes, «ingénieur-chercheur» avec Supelec…Certains élèves choisissent aussi de compléter leurformation à l’ISEP par un Mastère Spécialisé àl’ESSEC ou HEC par exemple.
COMMENT SE TRADUIT LA DIMENSIONMANAGÉRIALE DANS L’ENSEIGNEMENT ?D. Abboud :Manager une équipe, un projet ou unbudget ne s’improvise pas et les élèves bénéficientà l’ISEP d’une formation managériale complète.Dès le début du cycle ingénieur des cours demanagement et de finances sont dispensés et denombreux autres cours tels que «macroéconomie»,«marketing» ou «stratégie» sont proposés pourconstruire un socle de compétences solide. Lesisépiens peuvent aussi se former à l’entrepreneu-riat, comme Gabriel Jarrosson qui a suivi l’Electif«création d’entreprise». Gabriel a d’ailleurs reçu leprix de la meilleure start-up numérique en 2013 !Citons aussi comme autre point fort du dispositif,le partenariat avec l’incubateur d’Arts et MétiersParisTech et l’association ISEP Business Angels.
QUE DIRE DE LA JUNIOR ENTREPRISE DE L’ISEP ?M. Ciazynski : Junior ISEP est certainement lameilleure Junior Entreprise Ingénieur française surces 10 dernières années, avec notamment deux Prixd’Excellence, devant les meilleures grandes écoleset, au niveau européen, un remarquable «ExcellentAward» en 2013 et le «label ingénieur» en 2014 !S’impliquer dans une telle association est unemanière moins académique de renforcer ses com-pétences managériales. De façon générale, la vieassociative est fortement encouragée à l’école.
À L’ISEP, PÉDAGOGIE INNOVANTE, EXPERTISE TECHNIQUEET FORMATIONMANAGÉRIALE SE CONJUGUENT POURFONDER UN PROFIL D’INGÉNIEUR DU NUMÉRIQUE TRÈSRECHERCHÉ DES ENTREPRISES. UNE FORTE OUVERTUREINTERNATIONALE ET DES MODULES À LA CARTE(MANAGEMENT, RECHERCHE, CRÉATION D’ENTREPRISE,ETC.) PERMETTENT AUX ÉLÈVES DE CONSTRUIRE LEURPROPRE PARCOURS PROFESSIONNEL.
CAMPUS DE PARIS :28, rue Notre Dame des Champs75006 Paris
CAMPUS D’ISSY-LES-MOULINEAUX :10, rue de Vanves92130 Issy-les-Moulineaux
www.isep.fr
LES CHIFFRES
100%taux net d’emploi
39200€salaire d’embauche moyen
14eécole d’ingénieur de France
(Usine Nouvelle)
2eécole du numérique de France
(Usine Nouvelle)
103 universités partenairesdans le monde entier
1 semestre académique à l’étrangerobligatoire
3eannée du cycle ingénieur,
tous les cours sont en anglais
Le service emploide l’école reçoit prèsde 3000 offres par an !
U n i v e r s i t é
FACULTÉ DE PHARMACIE - UNIVERSITÉ PARIS-SUD
COMMUNIQUÉ
La Faculté de Pharmacie forme chaqueannée près de 270 pharmaciensdiplômés à des métiers multiples dans de
nombreux domaines (hospitalier, industriel,officine, la recherche). Leur préparation à lav ie act ive doi t être de plus en plusadaptée aux exigences des métiers de lapharmacie et les moyens accordés à l’Univer-sité par l’Etat ne sont pas toujours à la hauteurde nos ambitions pédagogiques. Aussi, la taxed’apprentissage est un complément financiercapital pour maintenir nos formations auniveau d’excellence qu’elles se doiventd’atteindre.
Nous verser la taxe, c’est participer àl’amélioration et à la valorisation du cursuspédagogique de nos futurs docteurs enpharmacie et diplômés en master, servi par uncorps professoral de qualité. Elle permetégalement d’investir dans des équipementsTICE et professionnels spécifiques pour
l’aménagement de salles spécialisées (labora-toires de langues/de travaux pratiques).
Un gage pour l’avenirLa faculté se caractérise par un choix étendude formations, où une place prépondérante estattribuée à la recherche et à l’apprentissage enentreprise. Ainsi, elle offre un excellent taux deplacement de nos diplômés.Notre établissement bénéficie également derelations privilégiées avec les industrielspharmaceutiques, les organismes de santéainsi que les pharmaciens d’officine. Véritableatout, ces échanges permettent aux étudiantsde bénéficier d’un réseau de professionnelssolide et de s’adapter à un secteur enperpétuelle évolution.
En versant la taxe d’apprentissage à notreétablissement, vous soutenez directementl’insertion professionnelle de nos étudiants, quiseront demain nos futurs experts de la santé.
DEPUIS PLUS DE 40 ANS,LA FACULTÉ DE PHARMACIEFORME NOS FUTURSPROFESSIONNELS DE LA SANTÉ,QUI EXERCERONT LEURSACTIVITÉS AUSSI BIEN ENOFFICINE QUE DANS LE MILIEUHOSPITALIER OU INDUSTRIEL.
ELLE JOUE AINSI UN RÔLEMAJEUR DANS LE MONDEPHARMACEUTIQUE.
5 rue Jean-Baptiste Clément92296 Châtenay-Malabry Cedex - FranceTél + 33 (0)1 46 83 53 33 - Fax +33 (0)1 46 83 57 35www.pharmacie.u-psud.fr
≥ STATUTComposante de l’Université Paris-Sud
≥DIPLÔMEDiplôme de Docteur en Pharmacie,Diplôme Master Professionnel etRecherche
≥CAMPUS
9 hectares et 8 tours de recherches
≥ ÉTUDIANTS
3 250≥DIPLÔMÉS
270 Docteurs en Pharmacie
270 Diplômés en Master
≥ CORPS PROFESSORAL
210 enseignants-chercheurs
©J-RLecompt
/Université
Paris
-Sud
U n i v e r s i t é P a r i s - s U d
UFR ScienceS et techniqUe deS APS
COMMUNIQUÉ
L’UFR STAPS propose :• 4 spécialités de Licence comprenant 5parcours et 2 licences professionnelles
• 8 spécialités de Master réparties en 3masters recherche et 5 masters profes-sionnels
• 3 DU (prévention des blessures, de ladouleur et du dopage)
dans les domaines de management du sport,entraînement sportif, activités physiquesadaptées, remise en forme, animation et poli-tique de la ville, enseignement physique etsportif ou de recherche en sciences du sportet du sport humainElle est également le sceau principal de l’EcoleDoctorale « Sciences de la Motricité, du Mou-vement Humain »
L’évolution de l’offre de formation de l’UFRSTAPS de l’Université Paris Sud s’inscrit dansle cadre de la création de l’Université ParisSaclay où elle aura une place majeure dans laSchool « Sciences du Sport et du MouvementHumain » qui ouvrira ses premières forma-tions en septembre 2015.
La Taxe d’apprentissage pour quoi faire ?L’UFR STAPS est l’une des pionnières sur lesquestions d’insertion et de professionnalisa-tion des étudiants. Pour répondre à laconstante évolution de leurs demandes etcelles des entreprises, l’établissement doit êtreen mesure de maintenir et développer la qua-lité de ses formations en étant force de propo-sition. Cela passe par des investissementsimportants en équipements sportifs, informa-tiques, vidéo-multimédias … grâce à la contri-bution des partenaires économiques etsociaux.
Donnez un sens à votre taxeEn choisissant de nous verser cette dernière,vous apportez un soutien précieux à notreUFR. Votre entreprise aura la possibilité deconfier à certains de nos étudiants une mis-sion dans le cadre de projets tuteurés, de nousenvoyer vos collaborateurs en formation conti-nue ou devenir intervenants auprès de notrepublic.
GrâCe à sON Offre de fOrMatIONINItIale et CONtINUe de la lICeNCe aUdOCtOrat, l’Ufr staPs PrÉPare ÉtU-dIaNts et PrOfessIONNels aUx MÉtIersde l’eNseIGNeMeNt, dU haNdICaP, del’eNtraîNeMeNt sPOrtIf et dU MaNaGe-MeNt dU sPOrt.
Ufr staPs - UNIversItÉ ParIs-sUdBât. 335 - rue Pierre de Coubertin - 91405 Orsay Cedextél + 33 (0)1 69 15 30 79www.staps.u-psud.fr
Æ étudiants
1360équipe pédagogiqueÆ enseignants
71Æ professionnelset vacataires
247Æ administratifs
37taux de réussiteÆ licences
70%Æ licences profession-nelles et masters
92%taux d’insertionprofessionnelleÆ toutes formations
95%
52
©VENTDU
SUD
CE QU ’ I L FAUT SAVO I RR É G I O N S
En routevers le big data
Terre riche de formations de haut niveau, la
région Rhône-Alpes est reconnue pour ses
pôles d’excellence en ingénierie, micro et
nanotechnologies, santé, chimie, logiciels, énergies
renouvelables et développement durable. Dans le
domaine de la santé, deux grands projets sont d’ail-
leurs actuellement en travaux : le pôle Ecotox de
Rovaltain, structure de recherche qui va se consacrer
à l’étude d’impact des substances chimiques sur l’en-
vironnement et la santé ; et l’école de cancérologie
Rhône-Alpes-Auvergne, un réseau de recherche des
doctorants pour faciliter l’échange et la mobilité
des chercheurs de Clermont-Ferrand, Lyon, Saint-
Étienne et Grenoble. La plateforme de recherche en
écotoxicologie et en toxicologie aura pour vocation
d’évaluer et de prévoir les risques sur la santé et sur
Au deuxième rang desrégions françaises enmatière d’enseignementsupérieur et derecherche, la régionRhône-Alpes proposeune offre de formationlarge et innovante.Cette année, l’accentest mis sur les nouveauxsecteurs porteurs :le big data et les Moocs.
RHÔNE-A
LPES La région innove
en répondant
aux nouveaux
besoins de la
société.
PAR ROZENN GOURVENNEC
53
©GettyIm
ages/iSto
ckphoto
l’environnement d’agents potentiellement toxiques.
Un équipement qui non seulement répond à la
demande de la recherche publique, mais aussi à celle
des communautés industrielles qui souhaitent faire
des études et de la R&D. La Région Rhône-Alpes
est en effet particulièrement active en matière de
R&D puisqu’elle figure parmi les régions de l’Union
européenne qui consacrent plus de 2% de leur PIB
à cette filière.
Le big data, secteur d’avenirToujours à la pointe de l’innovation, la région a choisi
cette année de se positionner sur un marché en pleine
croissance : le big data. À Lyon, l’école d’informatique
EPSI et l’école supérieure de commerce IDRAC offrent
depuis la rentrée 2014 aux étudiants titulaires d’un bac
+4 un MBA en Management stratégique de l’analyse
de données marketing. De leur côté, à Grenoble,
l’école de management EMSI et l’école d’ingénieurs
ENSIMAG se sont associées autour d’un master spé-
cialisé «Big data, management et valorisation respon-
sable». «Il existe une très forte attente des entreprisesen data scientists, affirme François Trouillet, directeur
de l’EMSI Grenoble. On estime à 4,4 millions le nombrede demandes de compétences dans ce domaine en
2015 dans le monde. Il n’y a pas un secteur qui estépargné par le phénomène du big data. Toutes lesentreprises sont confrontées à une immense masse dedonnées (texte, vidéos, images, commentaires sur lesréseaux sociaux, etc) qui nécessite gestion et analyse.Notre formation est différente des autres, dans le sensoù elle permet d’appréhender la réalité du big data parla double compétence technique et business, à l’imagedu data scientist qui est hybride. Il nécessite à la foisdes compétences mathématiques, informatiques etstatistiques mais aussi des capacités d’analyses dedonnées, de création de valeurs, de business modèles.Nos deux écoles sont garantes de ces aspects scienti-fiques et business éthique ».
Le sport à l ’ internat ionalDans un tout autre domaine, l’IUT d’Annecy a lancé en
septembre 2014 une licence professionnelle axée sur
la commercialisation des produits sportifs, intitulée
«International sales specialists in sports». Comme son
nom l’indique, cette enseignement est dispensé entiè-
rement en anglais et forme des commerciaux destinés
à travailler dans le monde du sport à l’international.
«Nous avons co-construit le programme de cette for-mation avec l’association Outdoor Sport Vallée qui a
CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– R H Ô N E - A L P E S –
R É G I O N S
54
TÉMOIGNAGE
Maël le Al la inDIRECTRICE RELATIONS DONATEURS & PARTENAIRES,
À L’ECAM, ÉCOLE D’INGÉNIEUR DE LYON
«École de statut associatif, l’ECAM ne perçoit qu’une faible subvention
de l’État et doit assumer son autofinancement. Sa pérennité est donc
largement tributaire du versement de la taxe d’apprentissage.
En 2014, elle représentait 830000 euros. 15 % du coût de formation d’un
ingénieur est pris en charge par cette taxe. Elle nous permet également
de concrétiser des projets pédagogiques. En 2014, 250000 euros ont
ainsi été affectés à la construction d’un amphithéâtre. La réforme de la
taxe d’apprentissage modifie considérablement la répartition de la taxe.
Notre école va être durement touchée puisque le volume récolté va
diminuer de moitié. Nous allons donc jouer la prudence pour les projets
2015 et nous focaliser sur le maintien des frais de scolarité modérés
pour les familles.»
La réformede la taxed’apprentissageva toucherdurement notreécole puisquele volume récoltéva diminuerdemoitié.
EN CHIFFRES
255 130étudiants, soit
10% du nombre
d’étudiants
en France
métropolitaine
8 387étudiants
en CPGE
17 811étudiants
ingénieurs
Source : Atlas régionaleffectifs d’étudiants en2012-2013, édition avril2014.
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91% 56%
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de réussiteaux examens
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TÉMOIGNAGE
Véronique Jai l letDIRECTRICE DES RESSOURCES HUMAINES,
SANOFI PASTEUR
«Sanofi Pasteur recrute plus de 250 alternants
par an dans tous les domaines d’activité (R&D,
production, fonctions supports, opérations
commerciales), de bac à bac +5 et plus.
L’engagement de Sanofi Pasteur, dont l’activité
est dédiée à la R&D et à la production de
vaccins, est prioritairement orienté vers des
écoles, universités ou instituts de recherche
dont les programmes sont axés autour de nos
domaines de spécialités et avec lesquels nous
avons établi des liens de coopération. Dans le
cadre de notre politique de développement
durable et notre responsabilité sociale, nous
nous engageons à promouvoir la diversité en
soutenant des organismes spécialisés dans la
formation des personnes handicapées, des
établissements situés en zone sensible, ainsi
qu’un tissu d’écoles locales.»
Dans le cadre denotre politiquede développementdurable et notreresponsabilité sociale,nous nous engageonsà promouvoirla diversité.
sondé les entreprises sportives pour connaître leursbesoins, explique Catherine Puthod, responsable de la
formation. Le bassin annecien accueille énormémentde sièges sociaux d’entreprises du monde de l’out-door, comme Salomon, Adidas, Fusalp, Millet ou Pata-gonia. Plus de 250 entreprises de cette industrie sontprésentes dans la région Rhône-Alpes».
Des managers opérat ionnelsAutre diplôme recherché par les sociétés internatio-
nales, le Bachelor in Business Administration a fait
son apparition dans le programme de l’École de
management de Lyon en sep-
tembre dernier. «L’objectif estde former des jeunes managersopérationnels dans les affairesinternationales, qui ont les com-pétences techniques, qui saventtravailler en mode projets et quisont flexibles, car c’est ce querecherchent les entreprises,souligne Jean-Charles Clément,
responsable du programme.
Nous formons des baroudeurs,qui sont capables aussi bien de travailler dans lemarketing en Amérique du Sud que sur un nouveauprojet en Asie, ou en tant que contrôleur de gestionen Amérique du Nord. Ils possèdent des capacitésd’adaptation importantes».
La tendance des MOOCSEntre l’université Lyon1, l’EM Lyon, l’ENS Lyon, Lyon3,
Grenoble Ecole de management ou l’INP Grenoble,
on ne compte plus le nombre d’établissements d’en-
seignement supérieur rhônalpins qui surfent sur la
vague des MOOCS (Massive online open course). Ces
cours gratuits en ligne, ouverts à tous, attirent une
population très disparate et internationale. Une
enquête IFOP/le Figaro Etudiant auprès des étu-
diants et Lycéens a d'ailleurs révélé en 2014 que 50%
d'entre eux ont déjà entendu parler de ces Moocs et
que 88% pensent que c'est un bon moyen pour favo-
riser leur réussite. Si l’assiduité à un cours et la réus-
site aux épreuves sont généralement récompensées
par un certificat, Lyon 1 envisage de délivrer un
diplôme officiel. La révolution de l’enseignement ?
«Il existe une très forteattente des entreprisesen data scientists.On estime à 4,4millionsle nombre de demandesde compétences dansce domaine en 2015dans le monde».
CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– R H Ô N E - A L P E S –
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30 000 chercheurs
43 000 jeunes formésdans les CFA en 2013
37 grandes écoles dont21 écoles d’ingénieurs
60 CFA
12 pôles decompétitivité
87,4% de taux deréussite au bac (2012)
EN CHIFFRES
Sources : Guide de l’apprentissage Rhône-Alpes édition 2014-2015.INSEE, juillet 2012. CCI. Région Rhône-Alpes. DEPP 2012.
d’apprentissageTAXE
2015
81%d’insertion
professionnelleen 2013
83%de réussite
aux examens en 2013
26Diplômes
900Jeunes formés
par an
Investissez dans les formationsdu CFA IFIR ARL pour assurerles compétences de vos futurscollaborateurs !Un réel investissementVous contribuez à l’optimisation de l’apprentissage enrégion Rhône-Alpes :• Propositions de nouvelles formations aux 16-25 ans,adaptées au marché de l’emploi, pour une insertionprofessionnelle réussie• Mise en place d’outils de suivi, de management etd’améliorations des compétences pour les employeurs(formation des Maîtres d’Apprentissage), pour lesenseignants (pédagogies innovantes) et pour les apprentis(livret d’apprentissage électronique, certificat voltaire…)• Développement de projets afin d’améliorer l’employabilitédes apprentis (intégration des apprentis handicapés,mobilité européenne, sécurité routière …)
Le CFA IFIR ARL, l’apprentissage d’un métier dans les domaines suivants
Vous employez des apprentis
Pour financer la formation vous devez vous acquitter d’unmontant fixé par la Préfecture de Région (publication avant le31/12), ce montant est prélevé sur le quota, si ce dernier n’estpas suffisant complétez avec le hors quota A et B.
Vous n’employez pas d’apprenti cette année
Pour participer au financement des formations dans vosmétiers demandez à votre octa d’affecter votre quotaau CFA IFIR ARL.
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interlocuteurs financiers :Monique Silvestre - 04 78 77 05 58 - [email protected]ébastien Debese - 04 78 77 83 13 - [email protected]
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2015
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UNIVERSITÉ FRANÇAISE EN LETTRES, LANGUES, SCIENCES HUMAINES ET SOCIALES
UNIVERSITÉ LUMIÈRE LYON 2
COMMUNIQUÉ
À QUOI SERT LA TAXE D’APPRENTISSAGE ?Réalisations 2014• Interventions de professionnels au seindes diplômes ;
• Actions en faveur de l’insertionprofessionnelle des étudiants :organisation de journées métiers,«Semaine premier emploi» : ateliers derecherche de stages et emplois, simulationd’entretien de recrutement, conférences ;
• Achats d’ouvrages et abonnements ;• Informatique et audiovisuel : e-learning,acquisition de matériel informatique ;
• Aménagement des salles de cours.
Projets 2015• Insertion professionnelle : développementde nouvelles formations professionnalisantes,du réseau des anciens ;
• Développement de projets pédagogiquesinnovants : préparation aux concoursd’entrée aux écoles supérieures decommerce et aux concours administratifs,
jeux d’entreprises et serious games,création d’un DU entrepreneuriat,développement de MOOCs ;
• Documentation : développement de l’accèsà des bases de données numériques ;
• Internationalisation : soutien des parcoursinternationaux existants et développementde nouveaux accords avec les Universitésétrangères.
Devenir notre partenaire, c’est :• Participez à nos enseignements ;• Formez vos collaborateurs dans le cadrede notre offre formation continue ;
• Encadrez avec nous nos stagiaires etétudiants en apprentissage ;
• Organisez des manifestations thématiquesdans nos locaux ;
• Présentez votre activité et vos métiersà nos étudiants ;
• Développer les chaires et projets derecherche avec nos laboratoires.
CRÉÉE EN 1973, L’UNIVERSITÉ LUMIÈRE LYON 2 ESTCONSIDÉRÉE COMME LA DEUXIÈME UNIVERSITÉFRANÇAISE EN LETTRES, LANGUES, SCIENCESHUMAINES ET SOCIALES. L’UNIVERSITÉ ACCUEILLESUR 2 CAMPUS PRÈS DE 28000 ÉTUDIANTS, DE LALICENCE AU DOCTORAT.
PROCHAINS RENDEZ-VOUS :- Salon de l’Étudiant du 16 au 18 janvier 2015- Journées portes ouvertes (JES) le 28 et 29 janvier 2015
- Salon des masters le 28 mars 2015
CHIFFRES CLÉS
28680 étudiants
6 facultés et6 instituts
37 équipes et laboratoiresde recherche
5209 stages réalisés
4742 étudiants internationauxinscrits
1500 personnesen formation continue
88% taux d’insertionprofessionnel(Licence et Master pro)
L’Université Lumière Lyon 2 compte 13 entités de formation réparties dans4 domaines de formation et de recherche :
Université Lumière Lyon 2Retrouvez toutes les informations et la liste des formations habilitées à percevoir la taxed’apprentissage sur notre site internet :www.univ-lyon2.fr
• Arts, lettres, langues• Droit, économie, gestion
• Sciences humaines et sociales• Sciences, technologie, santé
Une grande Université Européenne
60
©ISSOCK-O
TCN
CE QU ’ I L FAUT SAVO I RR É G I O N S
Des experts auxcursus internationaux
Avec onze millions de visiteurs dont la moitié
d’étrangers, la Côte d’Azur est la deuxième
destination touristique en France. Et pour-
tant, il existe très peu de formations dédiées à ce
secteur dans la région PACA, en dehors des BTS.
C’est pourquoi l’IEFT, École supérieure de tourisme,
a ouvert en septembre dernier, en plus de Lyon
et Paris, un troisième campus à Sophia Antipolis
avec une vingtaine d’étudiants en bac +3. « Il s’agitd’une formation ouverte en alternance, axée surle e-tourisme qui a particulièrement le vent en poupeaujourd’hui, précise le directeur Eric Anton. Les étu-diants travaillent sur la gestion des agences devoyage en ligne. Ils font du comparatif de voyagesclés en main, de la gestion en ligne pour de grandsgroupes prestataires». Les débouchés sont nombreux
De Nice à Montpellier,la région Sud-Estcomprend de nombreuxpôles d’enseignementssupérieurs qui la placentparmi les premièresde France en nombred’étudiants.De nouvelles formationssont venues renouvelerl’offre à la rentrée 2014.
SUD-E
ST Des formations
d’excellence,
de réputation
nationale voire
internationale,
sont dispensées
dans la région.
PAR ROZENN GOURVENNEC
61
©GettyIm
ages/iSto
ckphoto
dans la région mais aussi en France et en télétravail.
«Des opportunités existent dans de grandes agencesen ligne, chez les croisiéristes de la Côte d’Azur oudans le tourisme d’affaires ou industriel. Nous travail-lons avec des syndicats professionnels qui nous fontpart de leurs besoins en compétences et adaptonsnos formations en ce sens. Nous sommes ainsi qua-si-assurés de pouvoir placer nos étudiants à la sortiede l’école ». En 2015, l’IEFT élargira son offre aux
Master 1 et Master 2, avec des spécialisations en
phase avec les besoins locaux. La région compte par
exemple de nombreux parcs régionaux et nationaux
qui nécessitent des profils experts en écotourisme
pour désenclaver certains sites, dans le haut-pays
notamment.
Retour à la mineÀ Alès, l’École des Mines forme dans son Centre
d’études supérieures pour la sécurité et l’environne-
ment miniers (CESSEM), des experts reconnus dans le
domaine. Le programme a été modifié en 2014 et
accrédité au niveau «Master spécialisé». Ce nouveau
cursus intitulé « Exploitation et environnement
miniers » forme en un an des ingénieurs spécialisés
pour les besoins de l’industrie extractive. Une activité
qui renaît grâce aux besoins croissants en matières
premières des pays émergents et à la sécurisation de
l’approvisionnement en métaux stratégiques des pays
développés.
« Une reprise des activités minières ne peut êtreenvisagée sans prendre en compte le traitementdes impacts environnementaux des exploitations,garant de son acceptation sociétale, souligne Hossein
Ahmadzadeh, directeur du CESSEM. La formation descadres miniers des pays producteurs et exportateursde matières premières est donc devenue stratégique.Ce cursus de perfectionnement à finalité profession-nelle accueille essentiellement des élèves internatio-naux et fait une large part aux travaux dirigés, auxexercices de mise en situation et aux visites tech-niques en France et à l’étranger. La moitié de cesenseignements sont dispensés par des professionnelsdu secteur de l’environnement minier et de l’industrieextractive ».Les diplômés trouveront des débouchés dans des
bureaux d’études spécialisés en environnement dans
le domaine des mines et carrières ou dans l’industrie
extractive. Ils exerceront le plus souvent des métiers
de responsables d’unité d’exploitation (REX) et de
responsables/consultants dans des bureaux d'études
CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– S U D - E S T –
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TÉMOIGNAGE
Hélène DominguezDIRECTRICE DE L’IUT D’AVIGNON
«Notre IUT comprend quatre départements : technique de
commercialisation, génie biologique, packaging et statistique et
informatique décisionnelle. La contribution des entreprises nous aide
à financer les consommables utiles aux travaux pratiques, le matériel
de laboratoire et à renouveler l’équipement informatique. Au cours de
ces dernières années, la taxe d’apprentissage a permis par exemple
d’acheter une appareil de chromatographie liquide à haute pression,
des équipements audiovisuels, de nouveaux serveurs et réseaux,
d’assurer la mise en sécurité des machines haute technologie et de
financer des travaux pratiques sur sites spécifiques extérieurs à l’IUT.
Les entreprises donatrices collaborent avec nous sur les projets tutorés,
les stages et l’apprentissage».
La contributiondes entreprisesnous aide àfinancer lesconsommablesutiles aux travauxpratiques et àrenouvelerl’équipementinformatique.
EN CHIFFRES
254 809étudiants
53 sitesd’enseignement
supérieur
34 700apprentis enLanguedoc-Roussillon
et PACA
Sources : Atlas régionaleffectifs d’étudiants en2012-2013, édition avril2014, pour les deuxrégions Languedoc-Roussillon et Paca.RERS 2014.
TÉMOIGNAGE
Constancede MontmarinDIRECTRICE DÉVELOPPEMENT RH CHEZ KONE
«Nous versons notre taxe d’apprentissage,
d’un montant de 400000 euros, auprès de nos
écoles partenaires pour l’accompagnement des
jeunes, que ce soit dans les métiers techniques
(Mention complémentaires ascensoristes),
du commerce (écoles de commerce) ou
d’ingénierie (écoles d’ingénieurs). Nous
travaillons également avec des universités et
des écoles qui disposent d’un projet handicap,
sujet sur lequel nous sommes extrêmement
sensibles. Le versement de la taxe
d’apprentissage, au même titre que notre
participation aux évènements étudiants et
l’accueil d’alternants et de stagiaires, s’inscrit
dans notre engagement auprès des écoles pour
préparer les étudiants à intégrer le monde de
l’entreprise. Ces structures constituent pour
nous une pépinière de futurs collaborateurs».
Le versement de la taxed’apprentissage s’inscritdans notre engagementauprès des écoles pourpréparer les étudiants àintégrer le monde del’entreprise.
spécialisés. Les ministères des principaux produc-
teurs et exportateurs des ressources minérales se
sont déjà montrés intéressés par le recrutement des
élèves issus de cette formation.
Le double cursus, la voie royaleL’IPAG de Nice mise elle aussi sur l’international et sur
les doubles cursus. En collaboration avec le Poli-
tecnico de Turin, elle propose le double diplôme
«Management en ingénierie», qui permet de maîtri-
ser en cinq ans des compétences complémentaires
en business et en management des opérations.
«C’est un profil qui va s’arracher !, assure Hélène
Guidicelli, directeur-adjoint des rela-
tions extérieures du groupe IPAG. Lesétudiants sortent avec deux diplômes :un Master of Science de la meilleureécole d’ingénieur d’Italie et un Masterde management de l’IPAG. C’est laseule formation de ce genre proposéesur cinq ans en France. Cette doublecompétence permet de mieux appré-hender un marché et d’être beaucoupplus performant à l’international. Parexemple, une personne pourra lancerun produit avec toute la technique du marketing, touten connaissant parfaitement la partie industrielle.Un acheteur sera à même d’acheter à l’internationaldes produits techniques. Il connaîtra le vocabulairepour mieux négocier son achat. Ce profil est particu-lièrement recherché par les entreprises françaiseset internationales. Nous prévoyons d’ailleurs dedévelopper ce cursus avec l’Allemagne ou un paysanglo-saxon ».Pour aider ses diplômés à conquérir les marchés
internationaux, l’IPAG Business School a également
lancé les Track Pays, une option destinée à mieux
appréhender la culture et la langue d’un pays. Après
l’anglais, la Chine, le Brésil et la Russie, le Track Alle-
magne sera proposé aux étudiants dès la rentrée
2015. «Se familiariser avec l’esprit du pays, son éco-nomie, sa politique et y passer un an complet en uni-versité partenaire est un plus pour pouvoir ensuite ytravailler, mieux comprendre la façon de penser descollaborateurs étrangers et mieux négocier», conclutHélène Guidicelli.
«La doublecompétencepermet de mieuxappréhender unmarché et d’êtrebeaucoup plusperformant àl’international».
CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– S U D - E S T –
R É G I O N S
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8 240 étudiantsen CPGE
7 920 étudiantsingénieurs
93 CFA
83,9% de taux deréussite au bac enLanguedoc-Roussillonet PACA (2012)
EN CHIFFRES
Sources : Atlas régional effectifs d’étudiants en 2012-2013, édition avril 2014,pour les deux régions Languedoc-Roussillon et Paca. DEPP 2012.
64
©DR
CE QU ’ I L FAUT SAVO I RR É G I O N S
Artisans ettechniciens recherchés
Le luxe ne connaît pas la crise. Pour preuve, les
entreprises de la chaussure, de la sellerie et de
la maroquinerie - dont Repetto, Hermès et
Weston - rencontrent des difficultés de recrutement
du fait du manque d’artisans qualifiés. Pour répondre
à cette attente, les régions Aquitaine, Limousin et
Poitou-Charentes se sont unies pour créer le Pôle
d’excellence aquitain des métiers du cuir et du luxe.
Ouvert en septembre 2014 à Thiviers en Dordogne,
il forme des demandeurs d’emploi à ces métiers
particulièrement prisés.
«La création de ce pôle correspond à une volonté dela région de structurer des pôles de formation d’excel-lence sur l’ensemble des filières jugées stratégiques,
Les spécialités du Sud-Ouestne sont pas que dansl’assiette ! Aéronautique,optique, industrie etagroalimentaire représententles filières d’excellence dela région. Les nouvellesformations répondent auxattentes des entrepriseset du marché de l’emploi.
SUD-O
UEST La formation
est un outil
de premier
plan pour le
développement
du territoire.
PAR ROZENN GOURVENNEC
65
©GettyIm
ages/iSto
ckphoto
déclare Alain Rousset, président de la Région Aqui-
taine. Nous avons investi 1,5 millions d’euros dans ceprojet. Le résultat, c’est un espace de formation uniquedans lequel 500m2 d’équipements pédagogiques sontmis à la disposition des 103 entreprises potentiellementconcernées en Aquitaine, en Limousin et en Poi-tou-Charentes. On estime à environ 330 personnes surtrois ans le besoin en formation avant recrutement, et à270 personnes sur trois ans celui en formation dessalariés. Notre objectif, dans un premier temps, est deformer plus de cent personnes par an».Le panel de formations du Pôle cuir et luxe pourrait
ensuite évoluer pour porter sur l’aménagement de
cabines d’avions ou de bateaux, en mixant les com-
pétences « cuir » aux compétences « bois » présentes
depuis 2012 dans cet établissement de Thiviers.
En 2011, la région Aquitaine avait déjà créé Aérocam-
pus Aquitaine, dédié à la formation aux métiers
de la maintenance aéronautique, et en 2013 un pôle
d’excellence consacré aux métiers du bois. Objectif
de ces formations enseignées au lycée Haroun-
Tazieff de Saint-Paul-lès-Dax dans les Landes :
promouvoir et développer les emplois de la filière
bois, former des personnels qualifiés et initier les
élèves aux techniques du futur, liées notamment à
l’éco-conception, au BIM (Building Information
Modeling) et à la réalité augmentée.
Pénurie de cadres intermédiairesÀ Bordeaux, l’École nationale supérieure des Arts et
Métiers (ENSAM) s’intéresse aux filières technolo-
giques qui font face elles aussi à une pénurie de main
d’œuvre. C’est pourquoi elle a ouvert en septembre
dernier une formation accessible dès le bac. Le
Bachelor de technologie s’adresse aux bacheliers
STID2, pour qui l’entrée en BTS, en prépa ou à l’uni-
versité n’est pas toujours assurée. « La voie technolo-gique n’est pas valorisée et souvent choisie pardéfaut, déplore Laurent Carraro, directeur général
d’Arts et Métiers. Notre école veut participer à lareconstruction de cette filière en France et proposerune formation supérieure complète, du bac à bac +5.Les jeunes peuvent s’arrêter au bout de trois avec lediplôme de Bachelor de technologie pour être assis-tants ingénieurs ou cadres de maîtrise ou poursuivreleurs études pour devenir ingénieurs ou doctorants
CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– S U D - O U E S T –
R É G I O N S
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TÉMOIGNAGE
Hervé BlanchardDRH DU GROUPE LATÉCOÈRE
«Dans nos activités Aérostructure, notre politique est de reverser
une partie de la taxe directement aux CFA avec lesquels nous signons
un contrat d’apprentissage. Nous accueillons autant de jeunes apprentis
compagnons que des techniciens de niveau bac +2 ou des ingénieurs.
Latécoère s’engage sur l’alternance. En 2013, les effectifs de la branche
Aérostructure comprenaient 5,5% d’apprentis, un taux en légère hausse
par rapport aux années précédentes. La partie barème est affectée de
façon homogène à une liste d’établissements classés par catégorie,
A, B ou C, selon le niveau d’études. Cela comprend aussi bien des
écoles locales que nationales. Nous menons également des actions
avec l’École régionale de la deuxième chance et La Cadène – Les
Apprentis d’Auteuil ».
Latécoère s’engagesur l’alternance. En2013, les effectifsde la brancheAérostructurecomprenaient 5,5%d’apprentis, untaux en hausse parrapport aux annéesprécédentes.
EN CHIFFRES
233 494étudiants
148 063étudiants
en universités
37 500apprentisen 2013
Sources : Atlas régionaleffectifs d’étudiants en2012-2013, édition avril2014, pour les deux régionsAquitaine et Midi-Pyrénées.
TÉMOIGNAGE
Anne Mol in iéRESPONSABLE RELATIONS ENTREPRISESÀ L’ENSAT, TOULOUSE
«La taxe d’apprentissage représente 37% de
notre budget de formation. Nos entreprises
partenaires sont très diversifiées : ce sont aussi
bien des PME-TPE que des grands groupes.
Leurs contributions nous permettent de
renouveler les équipements, d’améliorer les
dispositifs pédagogiques, de développer
des projets de formations. Nous mettons
par exemple en place un learning center,une nouvelle conception de bibliothèque qui
favorise la pédagogie active et l’autonomie des
étudiants avec un mode de travail en gestion
de projets. Nous avons également ouvert
l’année dernière le diplôme national
d’œnologue en alternance. En 2015, nous allons
poursuivre le déploiement de formations par
apprentissage et la mise en place du statut
d’étudiant entrepreneur».
Les contributionsdes entreprisesnous permettent derenouveler les équipe-ments, d’améliorerles dispositifs pédago-giques, de développerdes projets deformations.
dans l’industrie ». Un statut de cadre intermédiaire
particulièrement recherché par les entreprises. «Lesconstructeurs aéronautiques sont obligés d’utiliserdes ingénieurs pour piloter une ligne de production.Cela leur coûte plus cher et les ingénieurs se sententsous-employés. Il y a donc un vrai besoin en cadresintermédiaires dans l’industrie ». L’ENSAM réfléchit
maintenant à exporter ce cursus en Malaisie et au
Mexique, à la demande des industriels français instal-
lés sur place et qui manquent de main d’œuvre locale
qualifiée.
La domotique, secteur en progressionAvec des diplômes de plus en plus élevés et pointus,
les artisans aussi s’organisent pour accompagner les
mutations de leur secteur. Dans le Tarn, la Chambre
de métiers et de l’artisanat propose
depuis la rentrée 2013 un BTS Fluides
Énergies Domotique, pour concevoir
des solutions techniques destinées à la
«maison intelligente». «La domotiqueest un secteur en constante progres-sion, analyse Valérie Gallerand, conseil-
lère en formations à l’Université régio-
nale des métiers et de l’artisanat du
Tarn. Utilisée au début par une clientèled’entreprise, elle touche désormais lesparticuliers pour programmer à dis-tance le chauffage, l’éclairage, l’alarme,les vidéos de surveillance, mais aussipour maintenir les personnes âgéesà domicile. C’est donc une filière d’ave-nir qui manque encore de formations.Il existe à peine une dizaine de BTSDomotique en France, dont seulementdeux en région Midi-Pyrénées ». Ce BTS dit «option C»
forme des spécialistes en organisation des systèmes
automatisés du cadre de vie, pour les logements indi-
viduels, et des spécialistes bâtiments tertiaires intelli-
gents. «Ce qui fait la différence de notre BTS, c’est lecursus en alternance, un type de formation privilégiépar les étudiants et les entreprises. Nos apprentisviennent de toute la région». Preuve que l’artisanat
a encore de belles cartes à jouer dans l’économie de
demain.
«La filièretechnologiquen’est pasvalorisée etsouvent choisiepar défaut. (…)Pourtant, il y aun vrai besoinen cadresintermédiairesdans l’industrie»,affirme LaurentCarraro, directeurgénéral d’Arts etMétiers.
CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– S U D - O U E S T –
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6 902 étudiantsen CPGE
13 993 étudiantsingénieurs
130 CFA en 2013
86,8% en Aquitaineet 86,9% enMidi-Pyrénées (2012)
EN CHIFFRES
Sources : Atlas régional effectifs d’étudiants en 2012-2013, édition avril 2014,pour les deux régions Aquitaine et Midi-Pyrénées. DEPP 2012.
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es.
www.midi-pyrenees.cci.fr
> Agnès HAREL> Tél. : 05 62 74 20 03> email : [email protected]
Faites votre déclaration en ligne sur le site internet :
CHAMBRE DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE MIDI-PYRÉNÉES5, rue Dieudonné Costes - BP 80032 - 31 701 BLAGNAC Cedex
www.midi-pyrenees.cci.fr
Versez lanouvelle Taxe
d’Apprentissageà votre CCI avant
le 28 février 2015Pour répondre à toutes vos questions,
vos conseillers « taxe d’apprentissage »sont à votre disposition
C C I
LES FORMATIONS DES CHAMBRES DE COMMERCE ET D’INDUSTRIE
COMMUNIQUÉ
Chaque année, les écoles des Chambres de commerce etd’industrie (CCI) de Midi-Pyrénées accueillent plus 5000étudiants, tandis que 1 300 jeunes passent par la voie de
l’apprentissage et 900 recourent aux contrats de professionnali-sations. Des effectifs en croissance régulière. En matière de résul-tats, les CCI enregistrent des taux d’insertion professionnelle supé-rieurs à la moyenne des autres organismes de formation (84%).Une réussite qui s’explique notamment par l’adaptation de leuroffre aux besoins des chefs d’entreprises.En matière de recrutement de personnels opérationnels, d’accom-pagnement de l’employabilité de leurs salariés, mais aussi d’acqui-sition de compétences spécifiques à leur métier de dirigeant.
Des formations en prise directe avec le terrainAu niveau Bac +2, la priorité est ainsi donnée à la « professionna-lisation » avec des formations orientées vers le tertiaire, la filièrela plus demandée. Toutes les CCI de la région proposent à ce stadedes offres comparables tournant autour des métiers de la vente,du commerce et de la gestion, sans oublier la spécificité du«e-commerce», qui peuvent être suivies en formation initiale oupar l’alternance. Elles sont déployées dans le cadre de BTS, duréseau Négoventis et d’une Ecole de Gestion et de Commerce(EGC) sur 3 sites : Montauban, Rodez et Tarbes, qui délivre desdiplômes reconnus par l’Etat. Cette EGC dispense le programmeBachelor qui tend essentiellement à former aux fonctions commer-ciales, de marketing, de gestion et d’assistance à l’export. Un cur-sus qui s’étend sur trois semestres, soit 15 mois répartis à 75%en entreprise et 25% en cours (1 à 2 jours en moyenne parsemaine). 93% des jeunes diplômés de ce Bachelor obtiennentun emploi dans les six mois. Preuve qu’en formant des managersintermédiaires, proches du terrain et multi-compétents, les EGCrépondent là encore efficacement aux besoins des entreprises.Le réseau des CCI crée, en outre, pour les licences profession-nelles et les diplômes universitaires, des partenariats étroits avecles universités toulousaines : l’IAE (Toulouse 1 Capitole), le Mirail
ou Paul Sabatier. Dispensées au cœur des départements, cesdiplômes sont créés avec l’Université pour répondre aux besoinsspécifiques d’un territoire. Ainsi, nous avons développé une filièreautomobile dans le Tarn, hôtellerie-restauration dans lesHautes-Pyrénées, ou achats et logistique dans le Tarn-et-Garonne.Le titulaire d’un tel diplôme se donne toutes les chances de trouverun emploi dans la région.Les grandes écoles sont enfin la figure de proue de l’enseigne-ment consulaire. Citons à titre d’exemples, l’école d’audioprothé-sistes de Cahors, l’Institut de Promotion Industrielle dans le Tarn,la très réputée Ecole des managers, destinés à former les futursdirigeants d’entreprises dans l’Aveyron et le Tarn ou encore l’écoled’Ingénieurs Informatiques 3IL de Rodez. Il faut également souli-gner que la plupart de ces diplômes sont également ouverts àl’alternance.Enfin, triplement accréditée au plan international, présente surToulouse, Barcelone, Casablanca et Paris, Toulouse BusinessSchool propose une offre complète de formations au managementtant en formation initiale que pour des cadres plus expérimentésau travers de ses programmes Bachelor (Bac +3), ProgrammeGrande Ecole (Bac+5, Grade de Master), Mastères Spécialisés etDoctorat (Ecole Doctorale de l’Université de Toulouse), ExecutiveMBA, Advanced Management Program (CPA), DBA (Doctorateof Business Administration) et ses programmes de formationcontinue (Executive Education).
DEUXIÈME FORMATEUR APRÈS L’EDUCATIONNATIONALE, LES CHAMBRES DE COMMERCEET D’INDUSTRIE (CCI) DISPOSENT D’UNEOFFRE DE FORMATION DIVERSIFIÉE DUBAC +2 AU MASTER QUI S’ADAPTE AU PLUSPRÈS DES BESOINS DES ENTREPRISES.
Renseignements :http://formation.midi-pyrenees.cci.fr
Philippe Poulain,Directeur Emploi-Formation-Apprentissage-Alternanceà la CCI Midi-Pyrénées.
É C O L E D E C O M M E R C E
TOULOUSE BUSINESS SCHOOL
COMMUNIQUÉ
ACCOMPAGNER L’ÉVOLUTION DES BESOINSEN COMPÉTENCES DES ENTREPRISESEST L’UNE DE NOS MISSIONS MAJEURES.NOUS Y ŒUVRONS QUOTIDIENNEMENTEN ASSURANT LA PRÉPARATION ETLA FORMATION DE LEURS FUTURSCOLLABORATEURS ET MANAGERS AINSIQUE DE LEURS CADRES ET DIRIGEANTS,SELON DES STANDARDS DE QUALITÉRECONNUS INTERNATIONALEMENT.
TOULOUSE BUSINESS SCHOOL20, bd Lascrosses - BP 7010 - 31068 Toulouse Cedex 7Tél. 05 61 29 49 49 - www.tbs-education.fr
STATUTÉcole reconnue par l’Etat
DIPLÔMESDiplômes Grande Écolevisé, grade de MasterBachelor en Managementvisé, certifié niveau II
30000 diplômésen France et à l’étranger
CAMPUS
3 campus (Toulouse,Barcelone, Casablanca)+ 1 antenne à Paris
ÉTUDIANTS
4300
MÉTIERS
92 professeurspermanents
Un atout pourles carrières professionnellesDe la préparation du projet professionnel jusqu’audéveloppement de carrière, les entreprises ont de mul-tiples occasions de rencontrer les jeunes talents deTBS. Citons en particulier :• La participation aux forums stages-emploi TBS,outils privilégiés pour identifier et recruter lesstagiaires ou futurs collaborateurs :- Forum Mastèr(e)s «Talents et Avenir»- Forum Bachelor «Good Job Good Life»- Forum Mastèr(e)s «Perspectives Métiers»- Journée «Entreprises» du campusde Barcelone
• L’accueil de stagiaires, élément essentiel de la profes-sionnalisation des étudiants : les stages permettent eneffet de confronter acquis pédagogiques et réalité del’entreprise, de mieux affiner son orientation et d’ac-quérir progressivement des responsabilités.
• L’accueil d’apprentis, via le Centre de Formation desApprentis (CFA) créé par TBS en 2003. Une relationécole/entreprise particulièrement étroite, la pédagogiede l’alternance exigeant une forte coopération entrel’organisme de formation et l’entreprise d’accueil.
• L’appui au dispositif d’accompagnement vers l’emploides étudiants - le Career Stater® : entreprises et/oucabinets RH sont ici associés aux actions de coachingou de speed-coaching des étudiants, aux ateliersmétiers ou présentations d’employeurs.
Un site web «stage/emploi » (www.stage-emploi.tbs-education.fr) permet à l’entreprise de proposer àtout moment des offres de stage ou d’emploi, d’appren-tissage ou de contrats de professionnalisation à nosétudiants et diplômés… pour mieux les recruter !
Une relation gagnant-gagnantL’engagement des entreprises auprès de TBS constitueun levier déterminant des projets de développement duGroupe. TBS tisse donc des partenariats étroits avecles entreprises sur la base d’engagements réciproquesfondés sur des objectifs convergents et concrets.En versant leur taxe d’apprentissage à TBS, les entre-prises contribuent non seulement à l’évolution de notreCentre de Formation des Apprentis, mais également audéveloppement de nouveaux programmes et à l’inter-nationalisation du corps professoral.
Par ailleurs, la Fondation de TBS bénéficie depuis sacréation d’un soutien fort des entreprises. Cela lui per-met de déployer des actions concrètes en faveur de ladiversité (au travers d’un programme de boursessociales), et de développer des pôles d’expertise (via lesChaires d’entreprises). Qu’elles soient partenaires,clientes de nos programmes de Formation Continue –Executive Education -, participantes à nos forums derecrutement, ou parties prenantes de nos évènements,les entreprises bénéficient d’une relation privilégiée avecTBS, ses équipes, ses professeurs et ses étudiants.
©FOTOLIA
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CE QU ’ I L FAUT SAVO I RR É G I O N S
Cap sur lesmétiers d’avenir
Croiser les savoir-faire, les cursus et les cultures
pour mieux répondre aux attentes des entreprises.
C’est tout l’enjeu des formations d’aujourd’hui qui
doivent s’adapter aux évolutions de la société et anticiper
les nouveaux besoins. À Polytech Nantes, le nouveau D.U.
Dessiin ouvert à la rentrée 2014 fait rencontrer deux corps
de métier, le designer et l’ingénieur, dans une dynamique
de complémentarité et de transdisciplinarité. «C’est uneformation consacrée aux objets connectés (téléphones,montres, vêtements, capteurs), explique Patrick Le Callet,
coresponsable de la formation. Ils sont imaginés par desdesigners et conçus par des ingénieurs informaticiens ouélectroniciens, deux professions qui devront collaborerdans l’entreprise mais qui n’ont pas développé une culturecommune de travail. Dans ce cursus, ils travaillent enbinômes. Ainsi, les jeunes diplômés arriveront sur le mar-ché de l’emploi en ayant déjà vécu cette expérience croi-sée. Cette formation fait écho à un réel besoin des entre-prises, notamment celles des villes labellisées French Techou de la plateforme Design’In Pays de la Loire dédiée àl’innovation par le design».
Véritable puissanceagricole et maritime,la région Grand Ouesta naturellementdéveloppé ces filièresancrées dans le paysageéconomique tout en sepositionnant parmi lesterritoires français lesplus actifs en matièred’innovation.
GRAND
OUEST Toujours à
la pointe de
l’innovation,
la région adapte
ses formations
aux enjeux
de demain.
PAR ROZENN GOURVENNEC
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©GettyIm
ages/iSto
ckphoto
Des ingénieurs es systèmes embarqués à CaenÀ Caen aussi, l’école d’ingénieur ESIX se positionne sur
les métiers d’avenir avec la nouvelle spécialité « Ingé-nieur en mécatronique et système nomade». Elle forme
en trois ans des ingénieurs capables de faire de la
recherche-développement-exploita-
tion de systèmes embarqués pour les
voitures, l’aéronautique ou les télé-
phones mobiles. « Ce secteur sedéveloppe de plus en plus et lesbesoins en la matière sont impor-tants, affirme David Houivet, direc-
teur de l’école. Dans la région, leséquipementiers automobiles tels queValéo, Bosch ou Faurécia sont inté-ressés par ce type de compétences,tout comme les entreprises du Pôle de compétitivitéautomobile Mov’éo ou du Pôle d’excellence NormandieAeroEspace qui soutiennent la formation».
Laval, championne de la réalité virtuelleCapitale européenne de la réalité virtuelle, Laval devrait
accueillir à l’automne 2015 la Cité de la réalité virtuelle,
un équipement unique en Europe qui sera à la fois
show-room, lieu de conférences et d’expérimentations
et pépinière d’une trentaine de start-ups. C’est pour
contribuer à ce projet ambitieux que la société califor-
nienne Eon Reality, leader mondial de la réalité virtuelle
et augmentée, a décidé d’installer sa filiale française à
Laval. Et pour trouver les compétences qu’elle
recherche, elle s’est alliée à l’Institut
d’informatique appliquée (IIA) pour
créer une formation « Concep-teur-développeur en réalité virtuelleet augmentée». «C’est un domaineencore peu enseigné, si ce n’est surun niveau plus élevé, à bac+5, indiqueAlexia Lavelle, responsable forma-
tions à l’IIA. Or, Eon Reality rechercheplutôt des techniciens supérieurs, àbac+2 ou +3. C’est pourquoi nous
avons ouvert ce cursus, qui comprend 18 étudiants cetteannée, dont une bonne partie sera recrutée par Eon à lasortie. Nous devrions en admettre le double à la rentrée2015». Une formation en un an dispensée en majorité en
anglais pour permettre aux étudiants de travailler par la
suite à l’international. «Le métier de concepteur-déve-loppeur en réalité virtuelle est un métier d’avenir, quisera amené à se développer considérablement dans lesprochaines années», assure Alexia Lavelle.
CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– G R A N D O U E S T –
R É G I O N S
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TÉMOIGNAGE
Erwann Créac ’hDIRECTEUR D’A L’AISE BREIZH
« Nous reversons l’ensemble de notre taxe d’apprentissage
aux écoles dans lesquelles nous trouvons des apprentis.
Ce sont des centres de formations et écoles de ventes situés
à Quimper, Brest et Saint-Malo. L’apprentissage fait partie
de notre méthode de recrutement. Plus de la moitié de nos
responsables de magasins et de nos vendeurs sont d’anciens
apprentis. Nous les prenons pour une période d’un à trois
ans, ce qui nous laisse le temps de bien les former à notre
technique de vente et à notre manière de gérer les magasins,
mais aussi de mieux les connaître et de voir s’ils peuvent
convenir à un poste. Nous plaçons un apprenti par magasin
et dès qu’une nouvelle boutique ouvre, si la personne est
opérationnelle, elle devient responsable de magasin ».
L’apprentissagefait partie de notreméthode derecrutement. Plusde la moitié de nosresponsables demagasins et denos vendeurs sontd’anciens apprentis.
EN CHIFFRES
271 000 étudiants
Environ 160 000étudiants en université
17 804 étudiants
ingénieurs
9096 étudiants en CPGE
57617 apprentis
131 CFA
Sources : Atlas régional effectifsd’étudiants en 2012-2013, éditionavril 2014. Régions Bretagne, Paysde Loire et Basse-Normandie.
« Lemétier de concepteur-développeur devrait sedévelopper considérablementdans les prochaines années »,note Alexia Lavelle, responsableformations à l’Institutd’informatique appliquée.
Boostez leurscarrières !
Depuis 19196000 diplômés
580 étudiants
École d’ingénieurs en agriculture
L’Esitpa est habilitée à percevoir la taxe d’apprentissage dans la catégorie B du Hors quota.Merci de préciser sur le bordereau de l’OCTA : Esitpa, école d’ingénieurs en agriculture - Contact : [email protected]
Nos engagements :
> Soutenir financièrement les étudiants en difficultés> Développer nos partenariats entreprises> Renforcer les équipements informatiques
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Plus dʼinfos ?Contactez Sophie Picot, chargée des relations entreprises
au 02 31 56 65 15 / [email protected]
www.iae.unicaen.fr#WeAreIAECaen
É C O L E U N I V E R S I TA I R E D E M A N A G E M E N T
IAE CAEN
COMMUNIQUÉ
L ’IAE Caen, l’école de management del’Université de Caen, compte chaqueannée 2 000 étudiants répartis en 3
pôles : Management, Finance et SocialSanté. L’école a depuis toujours cherché àmixer les profils de ses étudiants et accueilleaussi bien les jeunes en formation initiale queles actifs en formation continue au sein de ses9 licences et 17 masters.
Depuis sa création en 1956, l’IAE Caen atoujours eu pour mission de rapprocher lemonde de l’entreprise et celui de l’enseigne-ment supérieur public. Avec bientôt 60 ansd’expertise en gestion et de collaborationsavec les entreprises de notre territoire,l’IAE Caen est capable de comprendre et derépondre au plus près des attentes desemployeurs en termes de formation.
Nous avons depuis longtemps pris conscienceque les savoirs théoriques ne faisaient pastout et qu’une entreprise attendait surtout deses collaborateurs qu’ils soient capables de
faire preuve d’initiative, de polyvalenceet d’efficacité lorsqu’il s’agit de travailleren équipe. C’est avec ces objectifs et valeursen tête que nous construisons nos pro-grammes de formation et que nous remettonssans cesse en question nos pratiques péda-gogiques afin de préparer nos étudiants auxréalités du monde de l’entreprise.
C’est la taxe d’apprentissage dont vous vousacquittez et que vous avez l’occasion deflécher vers l’IAE Caen qui nous permet detoujours innover pédagogiquement, de donneraccès à des outils de formation performants,de sortir les étudiants des salles de cours, deles faire penser différemment et librement, oud’équiper l’école d’un FabLab (espace de pro-totypage où futurs managers et ingénieurspartageront leurs compétences pour dévelop-per une vision plus globale de la résolutionde problème). En versant votre taxe d’appren-tissage à l’IAE Caen, vous permettez à l’écolede répondre à ces objectifs et de mettre enœuvre de nouveaux projets.
DEPUIS TOUJOURS CENTRÉSUR L’ENTREPRISE, L’IAE CAENS’EFFORCE, DANS UN MONDEDE PLUS EN PLUS COMPÉTITIF,DE RÉPONDRE AU PLUS PRÈSDES BESOINS DES ENTREPRISES.LA TAXE D’APPRENTISSAGE,RESSOURCE CRUCIALE POURL’ÉCOLE, PERMET NOTAMMENTDE FINANCER SES INNOVATIONSPÉDAGOGIQUES.
IAE CAEN3 Rue Claude Bloch, CS 25160, 14075 Caen Cedex 5Tél. 02 31 56 65 [email protected] - www.iae.unicaen.fr
STATUT
École reconnue par l’État
ÉTUDIANTS
2000• 1000 en formation initiale
dont 300 en apprentissage
• 1 000 en formation continue
dont 500 en eLearning
DIPLÔMÉS
25000
INSERTION
82% à 6 mois
©OTCLLILLELAURENTGHESQUIERE
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Le numérique,un secteur qui recrute
Si les jeunes de toute la France et des pays limi-
trophes viennent étudier dans le Nord-Pas-de-Ca-
lais, ce n’est pas que pour le légendaire accueil des
Ch’tis. L’offre de formation y est particulièrement large et
son économie très dynamique, grâce à de nombreuses
implantations et créations d’entreprises.
Parmi les nouveaux cursus de la rentrée 2014, on note
l’arrivée de WIS (Web International School), une école qui
forme aux métiers du web. «Le besoin des entreprisesdans ce domaine est énorme, souligne Laurent Espine,
directeur national du réseau WIS. Or, il existait jusqu’alorspeu d’écoles en province, la plupart étant essentiellementsituées en région parisienne. Avec le label French Tech,beaucoup de villes en régions ont développé de nouveauxsecteurs économiques dans le domaine du web. Nousavons donc décidé d’ouvrir cinq écoles WIS en septembre
Textile, métallurgie, automobile, agroalimentaire et ferroviairefigurent parmi les pôles d’excellence de la région, qui s’ouvreégalement aux métiers de demain.
PAR ROZENN GOURVENNEC
NORD La région attire
7% des étudiants
français grâce à
un large panel
de formations.
2014 à Lille, Amiens, Lyon, Nantes et Bordeaux. Une pro-chaine ouverture est prévue en 2015 à Montpellier ».
Le web, un tremplin pour l'internationalCréée par l’association de quatre écoles (l’EPSI, l’IDRAC,
l’IFAG et SUP DE COM), WIS regroupe des champs d’exper-
tise complémentaires : développement web, e-commerce,
start-up et communication. Elle est accessible post-bacmais
aussi en alternance dès la deuxième année ou avec un bac+2
après une remise à niveau. «Les débouchés sont nombreuxet variés : community manager, responsable marketingdigital, chef de projet e-commerce, business developper...Ce sont des métiers d’avenir qui intéressent les TPE-PME,bien installées sur leur territoire économique et qui cherchentà se développer à l’international. Celles qui ont opéré ce choixont vu leur chiffre d’affaires bondir de plus de 20% en un an».
CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– N O R D –
R É G I O N S
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TÉMOIGNAGE
Benoit PacceuRESPONSABLE DÉVELOPPEMENT RH KILOUTOU
«Nous reversons notre taxe d’apprentissage à des écoles de
commerce et à des filières techniques, comme les BTS électro-
techniques, BTS électromécaniques, bac pro maintenance industrielle.
Ce sont des structures qui vont du bac pro au bac +5. Nous
définissons le montant des enveloppes en fonction des niveaux de
formation. Nos recrutements en alternance et en CDI se font
essentiellement sur des métiers de conseiller technico-commercial en
agence ou de technicien de maintenance. Nous prenons une centaine
de jeunes en contrat d’alternance, notre objectif étant de faire de nos
alternants d’aujourd’hui nos CDI de demain. Nous avons également
développé avec un institut spécialisé une école qualifiante dans le but
de former nos techniciens de maintenance».
En prenant desjeunes en contratd’alternance, notreobjectif est de fairede nos alternantsd’aujourd’hui nosCDI de demain.
EN CHIFFRES
163 561 étudiants
9780 étudiants en CPGE
9780 étudiants
en écoles d’ingénieur
26 sites d’enseignement
supérieur
83,5% Taux de réussite
au bac (2012)
Sources : Atlas régional effectifsd’étudiants en 2012-2013, édition avril2014. DEPP 2012.
Les chiffres clés19 unités de formations par apprentissage35 formations de la classe de DIMA à BAC+5
6 secteurs d’activités représentés450 formateurs au service du CF3A
plus de80% de réussite aux examens
ContactOlivier PRUVOST - Coordonnateur administratif et financier
20 bd d’Alsace Lorraine - 80063 Amiens cedex 9Tél. : 03 22 82 37 09 - Fax : 03 22 82 69 56
Courriel : [email protected] - Site: www.cf3a.ac-amiens.fr
SIRET : 198 011 942 00028 - RNE : 0802084F
CENTRE DE FORMATIOND’APPRENTISDE L’ACADEMIE D’AMIENS
Participez à la formation de vos futurscollaborateurs, versez votre taxe
d’apprentissage au CF3A
C E N T R E D E F O R M A T I O N D ’ A P P R E N T I S
CFA DE L’ACADEMIE D’AMIENS
COMMUNIQUÉ
Depuis la rentrée 2005, l’académied’Amiens s’est attachée à organiserun réseau d’établissements offrant
des formations par apprentissage sous laforme d’un CFA académique (CF3A) auquelsont rattachés des établissements adhérentssous la forme d’UFA (Unité de Formation parApprentissage).
Depuis cette création plus de 3000 appren-tis ont été accueillis dans les unités de for-mations en EPLE. Le CF3A est aujourd’huicomposé de 19 Unités de Formations parApprentissage qui proposent 35 formationsdu DIMA (Dispositif d’Initiation aux Métierspar Alternance) au bac + 5.Le CF3A représente 5,75 % de l’apprentis-sage régional avec une forte augmentationdes niveaux BTS. (59% des apprentis duCF3A).
Les apprentis ont à leur disposition l’en-semble des équipements professionnels desétablissements (salles spécialisées,
machines outils, informatique...) ainsi quetous les services des structures scolaires :centre de documentation et d’information,restauration, internat, salle de sport …
La taxe d’apprentissage pour leCF3ALa taxe d’apprentissage est l’une des prin-cipales sources de financement du CF3A,elle contribue à son fonctionnement et à sondéveloppement qualitatif. Elle est, de plus,nécessaire à l’acquisition et au renouvelle-ment des équipements indispensables à laformation, que les jeunes retrouveront chezleurs futurs employeurs.
Seul impôt libre d’attribution, la taxe d’ap-prentissage vous permet d’agir en faveurdes formations préparant aux métiers devotre secteur d’activité et de collaborer à lamise en œuvre d’enseignements adaptés àvos besoins. C’est dans vos entreprises queles jeunes formés au CF3A apporteront leursavoir-faire.
LE CF3A FORME DES JEUNESPAR LA VOIE DE L’APPRENTIS-SAGE DANS LES LYCEES PUBLICSDE L’ACADEMIE D’AMIENS.
LES 19 UNITES DE FORMATIONPAR APPRENTISSAGE PRO-POSENT DES FORMATIONS DUCAP AU NIVEAU BAC +5.
20, bd d’Alsace Lorraine80063 Amiens Cedex 9 - FranceTél + 33 (0)3 22 82 37 09 - Fax +33 (0)3 22 82 69 56Courriel : [email protected]
≥ STATUTCentre de Formation d’Apprentis
≥DIPLÔMESCAP, Bac Pro, BTS, diplômes Bac +3et Bac +5
≥ FORMATIONS
35 Formations dans 6 secteursd’activité différents
≥UNITES DE FORMATION
19 Unités de Formation parApprentissage réparties dans leslycées publics de l’Académie d’Amiens
≥ 650 APPRENTIS
≥DIPLÔMÉS
+ de 2500 depuis sacréation en 2005
≥450 FORMATEURS
©PACKSHOT
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L’apprentissagedépasse les frontières
Avec 47 diplômes franco-allemands dans tous les
domaines de formation, l’Université de Lorraine
s’est donnée pour objectifs de répondre aux
besoins du milieu économique lorrain et allemand et d’of-
frir à ses étudiants des perspectives de carrière à l’interna-
tional intéressantes. L’Alsace mise elle aussi sur la coopéra-
tion franco-allemande en permettant aux apprentis de
réaliser une partie de leur formation de l’autre côté de la
frontière. 30000 élèves sont engagés dans un cursus
bilingue, de la maternelle à la terminale, nombre que la
région Alsace souhaiterait doubler d’ici quelques années.
Un centre unique en EuropeAutre projet d’envergure pour la région : la création d’une
usine-école dans le domaine de la santé, qui ouvrira ses
portes en 2016 sur le campus d’Illkirch à Strasbourg. Pen-
sée par et pour les industriels, EASE offrira un large éven-
La région exploite sa dimension transfrontalière en développantla coopération avec l’Allemagne. Elle déploie également une usine-école dans le domaine de la santé attendue pour 2016.
PAR ROZENN GOURVENNEC
GRAND
EST
Bilinguisme et
transfrontalité
sont les
principaux
atouts de
la région.
tail de formations, prioritairement en alternance, de
l’agent de nettoyage au pharmacien industriel, avec une
capacité d’accueil de plus de 4000 apprenants par an.
«Ce nouveau centre facilitera la formation de main-d’œuvre qualifiée à de nombreux industriels qui trouve-ront en Alsace, souvent à proximité de leurs sites de pro-duction, toute une infrastructure de formation au plusprès du réel, souligne Jean-Yves Bonnefoy, président du
Pôle de compétitivité Alsace BioValley, qui porte le projet
avec l’Université de Strasbourg. C’est un vrai gage decompétitivité, notamment pour l’industrie pharmaceu-tique fortement représentée dans notre région. EASEconstitue en ce sens une formidable opportunité pourl’Alsace d’accompagner la mutation industrielle de sonterritoire en soutenant le développement de ses entre-prises et en permettant à de nouvelles entreprises des’implanter dans les meilleures conditions».
CE QU ’ I L FAUT SAVO I R– G R A N D E S T –
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TÉMOIGNAGE
Valér ie Tr iv iDIRECTRICE DES RESSOURCES HUMAINES CHEZ WELEDA
«Nous rencontrons des difficultés de recrutement dans les fonctions
communication, marketing et chef de produit en raison de la
localisation de notre siège social à 1 km de la Suisse où les salaires
sont plus attractifs et à 3 km de l’Allemagne. De plus, les candidats
préfèrent souvent travailler à Paris ou Lyon qu’en Alsace. Nous avons
donc misé sur l’accueil d’apprentis à différents niveaux de
qualification (CAP/BEP/Bac +2/Master) afin de nous assurer de leur
parfaite intégration à la culture de l’entreprise et à nos méthodes
de travail. L’objectif est d’intégrer rapidement le collaborateur et de
l’embaucher en CDI. Nous travaillons en majorité avec le CFA
universitaire d’Alsace qui répond tout à fait à nos besoins. C’est un
investissement gagnant-gagnant».
L’apprentissage estun investissementgagnant-gagnant.L’objectif pour nousest d’embaucher lecollaborateur en CDI.
EN CHIFFRES
145 625 étudiants
31 696 apprentis
51 sites d’enseignement
supérieur
87 CFA en Alsace-Lorraine
82,9% en Lorraine,
87,9% en Alsace
Taux de réussite au bac (2012)
Sources : Atlas régional effectifsd’étudiants en 2012-2013, édition avril2014 pour les régions Alsace et Lorraine
Sources:Xiti,Cadremploi
SélectionNos partenaires se présentent et vous font découvrir
leurs rôles et leurs projets pour développer l'apprentissage
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O R G A N I S M E C O L L E C T E U R D E L A T A X E D ’ A P P R E N T I S S A G E
AGIRES DEVELOPPEMENT
COMMUNIQUÉ
Àl’heure ou une réforme majeure dela taxe d’apprentissage intervient,AGIRES est aux côtés des entre-
prises pour les renseigner sur la nouvelleréglementation et leur apporter un conseilsur mesure. Confier le traitement de sataxe d’apprentissage à AGIRES DEVELOP-PEMENT, c’est la garantie de choisir unprestataire bénéficiant d’un solide savoir-faire, préservant à la fois les intérêts desentreprises et des écoles.
Dans cette démarche, AGIRES engage satotale responsabilité sur les élémentsqu’elle contrôle, sur les reversements auxécoles et se charge de l’intégralité du suiviadministratif des dossiers :• Gestion optimisée des exonérationset des reversements obligatoires.
• Pré-calcul des montants à verserdécomposés par catégorie.
• Gestion spécifique pour les groupes.• Vérification des habilitationsdes établissements à subventionner.
• Possibilité d’effectuer les règlements enligne (carte bancaire ou télépaiementsécurisé).
• Accès sécurisé à l’intégralité du dossieret à son historique.
• Frais de gestion limités.
Nous laissons une liberté totale de choix desécoles et/ou universités à subventionnersans minimum de reversement et transmet-tons systématiquement un état de réparti-tion clair pour accord avant l’envoi desrèglements aux établissements choisis.
Enfin, si l’entreprise souhaite mettre enavant ses dotations de taxe d’apprentis-sage, AGIRES propose des reversementspersonnalisés vers les écoles/universitéspartenaires pour le 30 juin au plus tard.
ASSOCIATION (LOI 1901) CRÉÉEEN 1991 POUR DÉVELOPPERLES RESSOURCES DEL’ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR,NOTAMMENT AU TRAVERSDE LA COLLECTE DE LA TAXED’APPRENTISSAGE, C’ESTAUJOURD’HUI LE SEUL OCTAPORTÉ PAR 80 ÉTABLISSE-MENTS DE L’ENSEIGNEMENTSUPÉRIEUR QUI PROPOSE DESSERVICES À VRAIE VALEURAJOUTÉE ET QUI ACCOM-PAGNE LES ENTREPRISESDANS UNE DÉMARCHEGLOBALE DE TAXED’APPRENTISSAGE.
S!ÈGE SOCIAL :2, avenue Hoche - 75008 ParisTél. 01 46 22 18 35
CENTRE DE TRAITEMENT :BP7 - 78184 St-Quentin-en-Yvelines cedexTél. 01 30 23 22 95 / Fax : 01 30 23 22 96
HABILITATIONOrganisme collecteur de la Taxed’apprentissage National etinterprofessionnel(J.O. du 27 février 2004).
RÉSEAU
80 grandes écoles et universitésreprésentant plus de
180000 étudiants.
AGIRES C’EST AUSSI...
Plus de60 «Vendredi d’AGIRES»,manifestations visant à rapprocherles acteurs économiques etéducatifs.
C E N T R E D E F O R M A T I O N P R O F E S S I O N N E L L E
CAMPUS DES MÉTIERS ET DE L’ENTREPRISE
COMMUNIQUÉ
Véritable accélérateur de talents, leCampus des Métiers et de l’Entrepriseest le premier pôle régional de forma-
tion professionnelle en Ile-de-France.Construit et géré par la Chambre de Métiers etde l’Artisanat de la Seine-Saint-Denis, en par-tenariat avec le Conseil régional d’Ile-de-France et le fond de développement Européen(FEDER), le Campus permet chaque année àprès de 2000 apprentis de suivre une forma-tion diplômante dans l’un des 20 métiers pro-posés (boulangerie-pâtisserie, beauté, com-merce, cordonnerie, électricité, fibre optique,gestion des déchets, mécanique, photogra-phie, plomberie, prothèse dentaire, sécurité,service à la personne, soudure…).Exigence pédagogique, audace dans le choixdes nouvelles formations…, pour maintenir ceniveau d’excellence et assurer l’avenir desmétiers en Ile-de-France, nous avons besoinde votre soutien.
Donnez de l’élan à nos projets !En reversant votre taxe d’apprentissage auCampus des Métiers et de l’Entreprise, vouscontribuerez au développement de nouvellesformations innovantes, offrant aux entreprisesfranciliennes un personnel qualifié, anticipantles modifications du marché de l’emploi.Vous aiderez à financer l’excellence et la créa-tivité d’équipes éducatives qui œuvrent au quo-tidien avec énergie et optimisme pour l’avenirde nombreux jeunes professionnels, futurscréateurs d’entreprises et indispensables ani-mateurs du tissu économique local.Investir pour le Campus, c’est aussi investirpour la pérennité des entreprises franci-liennes en mettant à leur disposition un outilde formation unique, qui permet auxemployeurs comme aux salariés de se for-mer et de développer leurs compétencespour s’adapter aux nouvelles caractéristiquesdu marché.
OUVERT EN SEPTEMBRE 2009,LE CAMPUS DES MÉTIERSET DE L’ENTREPRISE EST À CEJOUR UN DES PLUS GRANDSPÔLES DE FORMATIONPROFESSIONNELLE DEFRANCE ET FORME CHAQUEANNÉE QUELQUES2000 APPRENTIS DE TOUSÂGES DANS PLUS DE20 MÉTIERS DIFFÉRENTS.
CAMPUS DES MÉTIERS ET DE L’ENTREPRISE91-129 rue Edouard Renard - 93013 BOBIGNYTél. 01 41 83 38 38www.campus93.fr
CONTACT :René CUFFELTél. 01 41 83 38 [email protected]
STATUTCentre de formation professionnellede la Chambre de Métierset de l’Artisanat du 93
RÉSULTATS
83% de réussite aux examens
CAPACITÉ
3000 places
CURSUS
40 formations diplômantes
MÉTIERS
11 secteurs d’activité différents
CAPACITÉ
3000 apprenants
C E N T R E D E F O R M AT I O N D ’ A P P R E N T I S I N T E R P R O F E S S I O N N E L
CFA INTERPRO28 - 0280738A
COMMUNIQUÉ
La réforme de la taxe d’apprentissage apour objectif majeur le développementde l’alternance.
Si vous êtes convaincus que la compétences’exprime et s’épanouit sur le terrain, orientezvotre taxe d’apprentissage vers un lieu de forma-tion en… APPRENTISSAGE : le CFA Interpro28qui forme aujourd’hui près de 1200 jeunes auxmétiers de la boulangerie, pâtisserie, chocolate-rie, boucherie, charcuterie traiteur, de la cuisine,du restaurant, de la coiffure, de l’automobile(maintenance, réparation des carrosseries etpeinture), du commerce, de la vente… du CAPjusqu’au Bac +2 dans certaines sections. Depuisplus de 30 ans, notre CFA a ainsi formé plus de20000 salariés. Les taux de réussite aux exa-mens ont dépassé 86% en 2014.Cette année encore, nous souhaitons pour-suivre notre développement. La réussite desapprentis sera aussi la vôtre, avec la satisfactiond’avoir contribué à la formation de futurs profes-sionnels capables d’assurer demain, dans unenvironnement économique en mutation, leurmission dans vos entreprises.
La taxe, ressource vitale pour le CFA repré-sente près de 20% des recettes et autoriseingénierie pédagogique reconnue, accompagne-ment et suivi personnalisés…, aussi nous avonsbesoin de votre soutien pour poursuivre l’objectifd’excellence et de réussite que nous noussommes fixé, en s’attachant à la construction del’employabilité des apprentis.
Flécher votre taxe, c’est lui donner un sens.Pourquoi vers ce CFA ? Parce que son coûtapprenti est modéré et maîtrisé.En reversant votre taxe d’apprentissage au CFAInterpro 28, vous contribuerez :• à l’acquisition et au renouvellementd’équipements professionnels,
• au développement de méthodespédagogiques innovantes,
• aux accompagnements individualisés,• aux projets éducatifs et à une mobilitétransnationale,
• à une formation opérationnelle et adaptéeaux besoins des entreprises.
OUVERT EN 1976, LE CFAINTERPRO28 PROPOSE26 FORMATIONS EN ALTERNANCEPOUR 1200 APPRENTIS, SALARIÉSCONFIÉS PAR DES ENTREPRISESSIGNATRICES DE CONTRATSD’APPRENTISSAGE. SEPT PÔLESDE COMPÉTENCES PRÉPARENT,DU CAP AU BAC +2, À UNEINSERTION PROFESSIONNELLEET CITOYENNE RÉUSSIE.
CFA INTERPRO28Rue Charles Isidore Douin - CS 3081928008 CHARTRES cedexTél. 02 37 91 66 66www.cfainterpro-28.fr
CONTACT TAXE D’APPRENTISSAGE :Jean BATELLIERTél. 02 37 91 66 [email protected]
STATUTCentre de Formation d’ApprentisInterprofessionnel d’Eure-et-Loir(Association Loi 1901)
RÉSULTATS
86% de réussite aux examenset en progression sensible
CAPACITÉ
1350 places
CURSUS
26 formations diplômantes
MÉTIERS
7 secteurs d’activité différents
ACTIONDemande de reversement auCFA Interpro 28 – 0280738A
EDC PARIS BUSINESS SCHOOL
COMMUNIQUÉ /
Depuis 1950, EDC Paris forme desmanagers de haut niveau et descréateurs d’entreprise en France
comme à l’international. Devenue, en 1995,propriété de ses anciens élèves, tous chefsd’entreprise, l’École possède un savoir-faireunique, pour ajouter à l’excellence acadé-mique de son programme Grande École, desexpertises pédagogiques innovantes, trèsproches des entreprises et de leurs probléma-tiques. Les étudiants EDC Paris ont ainsi laréputation d’être responsables, créatifs et trèsopérationnels. Ils ont en commun un fortattachement à leur école et des valeurs indis-pensables dans le monde des affaires : ambi-tion et respect, éthique et solidarité.
Le programme Grande École EDC Paris,qui débouche sur un diplôme Bac+5conférant le Grade de Master, offre de
multiples ressources et opportunités d’appren-tissage à travers les stages, les missions deconsulting, la diversité des cours.
Pour soutenir les jeunes dans la créa-tion d’entreprise, de nombreux dispo-sitifs ont été mis en place comme le
Parcours Elève-Entrepreneur, créé parEDC Paris qui permet de concilier cours, exa-mens et obligations de « chef d’entreprise ».
En devenant partenaire et en versantvotre Taxe d’apprentissage à EDCParis Business School :
.Vous permettez à EDC Paris de financer desbourses d’études aux étudiants méritants etdes échanges académiques en relation avec nospartenaires internationaux
.Vous soutenez la recherche en lien avec lesbesoins de l’entreprise et le développement desinnovations pédagogiques.
.Vous soutenez l’Esprit d’entreprendre, notreADN, au cœur du programme pédagogique.
EDC - Isabelle Fontanella70 galerie des Damiers - Paris La Défense 192415 Courbevoie cedexTél. +33 (0)1 46 93 02 73 - [email protected]
# STATUTÉcole reconnue par l’État
# DIPLÔMEDiplôme Grande Ecole visé,BAC +5 / grade de master
# ÉTUDIANTS
1 350# OFFRES D’EMPLOI
2 500# DIPLÔMÉS
14 000# CRÉATEURS D’ENTREPRISEPAR PROMOTION
20 %# INSERTIONPROFESSIONNELLE
93 % dans les 2 mois après lediplôme
ÉCOLE DE COMMERCE
EDC Paris est une grande école decommerce indépendante, unique depar son appartenance à des chefsd’entreprise, anciens élèves, qui ontvoulu faire de «l’esprit d’entreprendre»le cœur du projet pédagogique.
EDC Paris Business School
Des valeurs fortes et partagéesavec les entreprises quel quesoit le contexte culturel et éco-nomique et quels que soient leschallenges !
‘‘
É C O L E D E C O M M E R C E
EM NORMANDIE
COMMUNIQUÉ
La reconnaissance :N°1 des écoles de commerce post-bac encinq ans (Palmarès Challenges 2014).
L’excellence :Accréditée, pour 5 ans, par deux labelsinternationaux d’excellence : AACSBet EPAS (Programme Grande Ecole enformation initiale).
L’attractivité :Record historique d’intégration avec plusde 900 nouveaux apprenants à la rentrée2014 : une croissance de 11% par rapportà l’an passé.
La croissance :Boom de la filière alternance. 320 alter-nants en contrat de professionnalisationet d’apprentissage soit une progression de+20% vs 2013-2014.
Le conseil :Plus de 400missions de conseil en entrepriseréalisées chaque année, à 85% dans des PME.
L’innovation :Développement de La SmartEcole®, unepédagogie multimodale participative uniqueen son genre pour former les managers dedemain.
NOS RÉUSSITES...
…SONT LES VÔTRES,ensemble poursuivons sur la voie du succès !
JEAN-GUY BERNARD,Directeur Général EM Normandie
«Face à un environnement économique enperpétuel mouvement, les attentes des recruteurs évoluent. Au servicedes entreprises et du territoire, l’EM Normandie relève, jour aprèsjour, le défi d’accompagner ces changements. Elle développe pour celades programmes pédagogiques de pointe destinés à former vos futurscollaborateurs.Cette quête du perfectionnement impose d’importants moyens techniques et humains qui nepourraient être mobilisés sans ressources financières externes. La taxe d’apprentissage est,dans ce sens, un levier de croissance considérable. Mais sa réforme impliquera mécanique-ment, en 2015, un déficit très important que vous pouvez nous aider à limiter en fléchant cetimpôt vers l’EM Normandie.Aujourd’hui, encore plus qu’hier, nous avons besoin de votre soutien pour assurer la pérennitéde ce schéma d’excellence et bâtir ensemble un avenir prometteur.»
SOUTENIR L’EM NORMANDIE,TOUT LE MONDE Y GAGNE !
EM Normandie30, rue de Richelieu76 087 Le Havre Cedexwww.em-normandie.fr
Votre interlocuteur : Mathilde BROSSIER,Directrice Adjointe Marketing et Relations EntreprisesTél. 02 31 46 94 [email protected]
2800 étudiants
et professionnels en formation
64 professeurs permanents
576 intervenants professionnels
12000 diplômés
5 campus (Caen, Deauville, Le Havre,
Paris, Oxford)
20 programmes de formation
initiale et continue
200 universités partenaires
dans 50 pays
5000 entreprises associées
95% des diplômés en activité
6 mois après leur sortie
ceviserAu uent. voléurs recrutedes attentes les uvement, motuel éperp
©Jean Richard De Vesvrotte
COMMUNIQUÉ
ÉCOLE SUPÉRIEURE DE GESTION ET D’EXPERTISE COMPTABLE
ENGDE
EN NOUS VERSANTLA TAXE D’APPRENTISSAGE,PARTICIPEZ ACTIVEMENTÀ LA FORMATION DE CEUXQUI SERONT LES FORCES VIVESDE VOTRE ENTREPRISE ETDE VOTRE RÉGION.
8-14 passage de la Main d’Or75011 PARISTél. 01 42 74 54 84www.engde.fr
ENGDE est depuis 50 ans au servicede la formation des Experts comp-tables, de leurs collaborateurs, des
cadres supérieurs de la gestion...Spécialistes de la préparation desdiplômes supérieurs, nous formons deBac +2 à Bac +5 sous statut étudiantmais aussi en alternance en contrat deprofessionnalisation. Nous proposonsdes actions de formation professionnellecontinue permettant aux collaborateursde compléter le Master ou de préparerles diplômes en CIF ou en période deprofessionnalisation.
Optimisez nos formations !En choisissant de nous aider, par le ver-sement de la taxe d’apprentissage, vousnous permettez de disposer des moyensfinanciers nécessaires afin de mieuxaccompagner dans leurs formations lesprofessionnels de demain.
Nous concentrons nos efforts sur les troisdiplômes d’État du cursus de l’expertisecomptable :• BTS CGO Bac+2Il permet aux jeunes de débuter en alter-nance des études post Bac en intégrantles services comptables des entreprisesou les cabinets d’expertise comptable...• DCG Bac+3 - LicenceIl prépare aux métiers de collaborateursen cabinet à comptables, contrôleurs degestion en entreprises, Il est proposé enalternance 2 jours école/3 jours entre-prise.• DSCG Bac+5 - Master 2Permet l’accès aux métiers à haute res-ponsabilité des directions financières,contrôleur de gestion, consolideur ainsiqu’en cabinet. C’est le sésame pourl’accès au stage du DEC. Cette forma-tion est aussi dispensée en alternance2 jours/3 jours.
STATUTÉtablissement d’enseignementsupérieur privé
DIPLÔMES D’ÉTATBac+2 à Bac+5
CAMPUSParis XIe
ÉTUDIANTS
400STAGES
400PROFESSIONNELS FORMÉS
+12000EXPERTS COMPTABLES FORMÉS
+2500
É C O L E S U P É R I E U R E D E C O M M E R C E
ESCP EUROPE
COMMUNIQUÉ
La filière apprentissage :un laboratoire pédagogiquepour ESCP EuropeConstruire une formation en alternance devraitnormalement conduire à repenser la pédago-gie. Or, le plus souvent l’alternance s’arrête à laporte des salles de cours, une remise en ques-tion est pourtant nécessaire. À ESCP Europe,nous avons atteint ce but grâce à l’implicationdes professeurs dans un dispositif centréautour du trinôme apprenti, professeur-tuteuret maître d’apprentissage. Le suivi des appren-tis par un expert de notre institution (seuls lesprofesseurs permanents peuvent assurer cesuivi) permet des échanges particulièrementfructueux et constitue un réel apport aux deuxinstitutions partenaires.
La filière apprentissage est devenue un labora-toire pédagogique au sein de ESCP Europe,inspiré du modèle de l’alternance conçu parGeay*, décliné dans le cadre de l’enseignementsupérieur au management. Ce laboratoire nouspermet d’expérimenter des dispositifs visant àaccompagner la construction des compétencesprofessionnelles de nos étudiants et à renforcerles liens avec les entreprises qui nous fontconfiance depuis maintenant 12 ans.Grâce à cette implication nous avons développédes cours électifs spécifiques, implémenté desméthodes d’enseignement différentes etconstruit des séminaires d’accompagnementautour des trois dimensions de la formation aumanagement : métier, organisation, personne.
Être partenaire d’ESCP Europe c’est construire des coopérations fructueusesÉcole-Entreprises afin de mieux intégrer la stratégie et les enjeux de chacun pourformer les talents de demain.
ESCP Europe :79 avenue de la République75543 Paris cedex 11Tél : 01 49 23 20 00www.escpeurope.eu
Échanger sur un partenariat : Michèle Dain - [email protected] sur la Taxe : Bénédicte Gosselin - [email protected]époser une offre d’apprentissage : Charlotte Gueury - [email protected]
ÉTUDIANTS
4000de90 nationalitésdifférentes
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STAGES
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+de130 permanents
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5 - Paris - Londres - Berlin -Madrid - Turin
EN SOUTENANT LE DÉVELOPPEMENT DE NOTRE ÉCOLE, VOUS FAITESLE CHOIX D’INVESTIR DANS LES TALENTS QUI INTÈGRERONT DEMAINVOTRE ENTREPRISE. NOTRE OBJECTIF EST DONC COMMUN : PRÉPARERENSEMBLE LES GÉNÉRATIONS FUTURES À RELEVER LE DÉFI DESTRANSFORMATIONS DU MONDE ÉCONOMIQUE.
*Hahn, Alexandre-Bailly, Geay et Vignon, Former les managers, quand l’alternance s’invite dans le débat, Vuibert.
É C O L E D ’ E X P E R T I S E C O M P T A B L E
APEP SUP - PARIS
COMMUNIQUÉ
APEP SUP est un institut de formationen initiale situé au coeur de Paris.Spécial isé dans les formations
supérieurs diplomantes et fort de plusieursannées d’expérience.
Notre centre de formation accueille chaqueannée un maximum de 400 élèves ce quipermet une réel le proximité entre lesétudiants, le service administratif et lesformateurs.
Pour optimiser les chances de réussite àl’examen, l’école met à la disposition desélèves :• Un corps enseignant fortement impliquédans le respect des programmes.• Une équipe pédagogique de qualitécomposée à la fo is de prat ic iens etd’enseignants qualifiés membres du jury auxexamens pour la plupart d’entre eux.• Des contrôles continus (examens blancs) et
audit régulier sur l’état d’avancement duprogramme avec cours de soutien sinécessaire.• Un équipement informatique à la pointe dela technologie.• Une aide au placement en entreprise dansle cadre du stage de fin d’année (UE13relations professionnelles), notre centre deformation dispose d’un réseau d’entreprisespartenaires composé de PME/PMI mais ausside très grands groupes internationaux, dansdes secteurs d’activité variés.
Chaque élève est suivi individuellementpendant toute sa formation par un conseillerformation.
Comment verser votre taxe :APEP au titre du hors quota catégorie Bn°établissement : 0755775V 7 rue de la véga75012 PARIS. COURRIEL : [email protected]
LA TAXE D’APPRENTISSAGE :
«FAITES DE VOTRE IMPÔT UNINVESTISSEMENT POUR VOTREENTREPRISE» EN VERSANTVOTRE TAXE À L’APEP SUP,VOUS CONTRIBUEZ FORCÉ-MENT AU DÉVELOPPEMENT DEVOTRE ENTREPRISE CAR VOUSCHOISISSEZ UNE ÉCOLE POURVOS FUTURS GESTIONNAIRESET EXPERTS.
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FORMATIONSBac +3 (DCG) à bac+5 (DSCG)
DIPLÔMESNationaux de licence et master
DÉBOUCHÉSL’APEP SUP forme aux métiers del’expertise comptable, de gestion-naire financier/comptable oucréateur d’entreprise dans tous lesdomaines d’activités à l’issue ducursus.
É C O L E S U P É R I E U R E D E S M É T I E R S D U S P O R T
ILEPS
COMMUNIQUÉ
École fondée en 1944, l’ILEPS, l’EcoleSupérieure des Métiers du Sport pré-pare et présente ses étudiants aux
diplômes nationaux de Licence et Masters.Ces diplômes sont accessibles en formationinitiale ou continue.
La formation et l’emploi des jeunessont un challenge pour l’avenir du pays.Nous réussirons ensemble en nous inscrivantdans une logique partenariale, la seule qui,aujourd’hui, a fait ses preuves.
Il s’agit de former des professionnels :• Audacieux, réalistes, conscients desexigences du monde du travail,
• Performants et humains, respectueuxd’eux-mêmes et respectueux des autres,
• Prêts à s’engager dans leur métier, dansleur vie et dans la société.
Croiser les valeurs du sport avec le sens del’engagement et nos convictions humanistesest l’un de nos objectifs majeurs. C’est le butdes «Missions de l’ILEPS» :- Une action conduite en équipe…au service des autres… bénévolement…
- Pour apprendre à s’engager,se professionnaliser
- Comprendre que le bénévolat ne repose pasque sur la bonne volonté mais appelle autantde rigueur et de professionnalisme que lapratique d’un métier.
72 missions en 5 ans,277 jeunes engagés.
Quelques exemples :• Organisation de sorties culturelles pourpersonnes handicapées
• Aide aux devoirs pour les jeunes de la citéen difficulté de la cité
• Animations en maisons de retraite• Collectes de matériels scolaires pour unorphelinat au Congo
• Collecte de vêtements et remise en étatpour EMMAÜS
• Maraudes nocturnes SDF avec La Croix deMalte
Acteur du monde économique, votre verse-ment de taxe d’apprentissage contribuera à laformation de vos collaborateurs de demaindans cet état d’esprit.
Pour réussir l’emploi des jeunes, soyons danscet état d’esprit.
PRÉPARER AUX MÉTIERS DU SPORT, FORMER DESHOMMES ET DES FEMMES ENGAGÉS, PERFORMANTS,AUDACIEUX, DANS UNE TRADITION HUMANISTEET PROFESSIONNELLE, TELLE EST L’AMBITIONDE L’ILEPS, STRUCTURE ORIGINALE QUI ALLIELA QUALITÉ D’APPORTS UNIVERSITAIRES AUXCARACTÉRISTIQUES D’UNE ÉCOLE.
ILEPS13 bd de l’Hautil - 95092 CERGY-PONTOISE cedexTél. 01 30 75 60 [email protected] - www.ileps.org
STATUTLoi Association 1901
DIPLÔMES• Licence STAPS
- Spécialité Education et Motricité- Spécialité Management du Sport
• Master Economie-Gestion - Sciencesdu Management et Métiers du Sport
• Master des Métiers del’Enseignement, de l’Educationet de la Formation
CHIFFRES• Licence
82% des étudiants ont obtenula licence en 3 ans.
15% en 4 ans.
• Master Economie-Gestion
70% d’étudiants sont insérésprofessionnellement moins de6 mois après être diplômé.
60% des étudiants ont suivi laformation en apprentissage.
• Master des Métiers de l’EnseignementDepuis la nouvelle réforme
82% ont validé leurmaster.
Sources:MédiamétrieNetRatings,XITI
INSTITUT UNIVERSITAIRE DE TECHNOLOGIE
IUT DE NANTES
COMMUNIQUÉ
Ses 7 DUT permettent d’atteindre un premierniveau de compétences dans ces domaines :Energie / Mécanique, productique etlogistique / Matériaux / Informatique,numérique, réseaux et communication /Gestion, commerce et organisation
Dans la continuité de ces domaines,ses 14 Licences Professionnellespermettent d’obtenir une :• double compétence• spécialisation en lien avec le territoireéconomique ou des activités émergentes
Les métiers préparés à l’IUT de NantesSon offre de formation couvre l’ensemble desétapes de fabrication d’un produit ou d’unservice, des métiers industriels aux fonctionssupports :• Métiers de l’industrie : études et conception /méthodes et production / maintenance
• Fonctions transverses : logistique / Gestion desstocks / qualité
• Fonctions supports : informatique / RH / achats,ventes et marketing / gestion et comptabilité
Les publicsL’établissement accompagne les étudiants enformation initiale et aussi les :• demandeurs d’emploi et personnes en reconver-sion souhaitant se former à un nouveau métier
• salariés souhaitant élargir leurs champs decompétences ou compléter leur formation initiale
• professionnels des RH cherchant des solutionsde formation adaptée pour accompagner lesévolutions économiques, sociales et technolo-giques de leurs entreprises
Des formations professionnelles• Alternance ou 2 mois de stage professionnel• Répartition des enseignements :50% Travaux Pratiques – 30% Projets etstages – 20% cours magistraux
• Pédagogie par projet• Modules d’enseignement organisés parcompétences et intervenants issus desentreprises
• Halle dotée d’équipements industriels récentspermettant un apprentissage en condition réelle
• Esprit d’innovation :près de 80 enseignants-chercheurs
800 DIPLÔMÉS PAR AN, À FORTPOTENTIEL TECHNIQUE ET MANAGÉRIALGRÂCE À :• DES EXIGENCES UNIVERSITAIRESALLIÉES À UNE SÉLECTIVITÉ DESFILIÈRES,
• DES APPRENTISSAGES PARL’EXPÉRIENCE, ANCRÉS DANSLA VIE DE L’ENTREPRISE,
• DES FORMATIONS FAVORISANT L’ESPRITD’INNOVATION.
LA FEURIAYE : 2 avenue du Pr Jean Rouxel - BP539 - 44475 Carquefou cedexCENTRE-VILLE : 3 rue du Maréchal Joffre - BP34103 - 44041 Nantes cedex 1Tél. +33(0)2 28 09 20 00 - Fax. +33 (0)2 28 09 21 99 - www.iutnantes.univ-nantes.fr
STATUTUniversité
DIPLÔME
21DUT etLicences Professionnelles,
19 en alternance
ÉTUDIANTS
1900ENSEIGNANTS
130ALTERNANCE
350 alternants et auditeursformation continue
DIPLÔMÉS
20000
INSTITUT UNIVERSITAIRE DE TECHNOLOGIE
IUT SÉNART-FONTAINEBLEAU
COMMUNIQUÉ
Chaque année, l’IUT Sénart-Fontaine-bleau forme 2 500 étudiants. Pour quenos formations restent en totale adé-
quation à la fois avec la réalité économiquetant locale que nationale et vos besoins, il estessentiel que l’IUT renouvelle régulièrementson matériel (informatique, machine infrarouge, oscilloscopes, bancs de travauxd’études...), ce qui nécessite des moyensimportants. Ces investissements lourds nepouvant être entièrement financés par lessubventions de l’État et des collectivités,le versement de votre taxe d’apprentissageest essentiel pour la formation de vos futurscollaborateurs.
Nos étudiants,vos futurs collaborateurs !Nous verser la taxe, c’est participer au finance-ment de la formation de nos étudiants et nouspermettre d’adapter encore davantage nosmoyens pédagogiques à vos besoins réels.
5de nos formations se maintiennent dansle classement SMBG des meilleureslicences, depuis 2010, date de leur inté-
gration, dont notamment 2 d’entre elles seclassant dans le trio de tête.
En outre, ces partenariats nous permettentégalement de mettre à votre disposition deséquipes travaillant sur des projets tutorés,pour répondre à vos besoins ponctuels au tra-vers d’études pluridisciplinaires encadrées parnos enseignants. En choisissant de vous allierà l’IUT Sénart-Fontainebleau, vous financezdonc des équipements de pointe et une péda-gogie innovante et professionnalisante, com-binant approche universitaire et mises ensituations professionnelles, tout en nous per-mettant de développer davantage cette culturede partenariats qui nous lient à vous.
DEPUIS PLUS DE 20 ANS,L’IUT S-F JOUE UN RÔLE MAJEURDANS LA FORMATION DESTECHNICIENS ET CADRESINTERMÉDIAIRES D’ÎLE DEFRANCE, NOTAMMENT EN SEINEET MARNE SUD. ORIENTÉ SUR4 PÔLES DE COMPÉTENCES,C’EST UN DES ÉTABLISSEMENTSFRANÇAIS LES PLUS ACTIFS DEL’APPRENTISSAGE.
IUT SÉNART-FONTAINEBLEAU36, rue Georges Charpak - 77567 Lieusaint CedexTél. : +33 (0)1 64 13 44 77 - Fax : +33 (0)1 64 13 45 05www.iutsf.com
AXES PÉDAGOGIQUESAlternance, FI, VAE, FC
FORMATIONS
6DUT &20 Licences Pro
CAMPUS
2 Sénart - Fontainebleau
ÉTUDIANTS
2500DIPLÔMÉS
20000ENSEIGNANTS
+500 intervenants professionnels& enseignants permanents
PROFESSIONNALISATION
environ900 intervenants
+1000 stagiaires
U N I V E R S I T E P A R I S - E S T C R E T E I L V A L D E M A R N E
FACULTÉ DES SCIENCES ET TECHNOLOGIE
COMMUNIQUÉ
Pluridisciplinaire , la faculté dessciences et technologie propose descursus en lien avec les réalités éco-
nomiques de son territoire et ouverts auxéchanges internationaux. Fortement pro-fessionnalisée, elle délivre des diplômes dela licence au master comprenant obligatoi-rement un stage de fin d’études.En proposant une formation par larecherche, appuyée sur l’activité de ses 9laboratoires, la faculté garantit la pertinencescientifique de ses enseignements. Lescours sont assurés par des enseignants etdes enseignants-chercheurs reconnus dansleur domaine au niveau national et interna-tional et par de nombreux professionnelsissus du monde de l’entreprise. Cet ensei-gnement de qualité laisse une large place àl’expérimentation scientifique grâce à desplateaux techniques possédant un équipe-ment professionnel. De fait, dès la licence,les TP (travaux pratiques) complètent les
cours magistraux. Ouverte sur l’extérieur, lafaculté des sciences et technologie a pourambition de promouvoir la culture scienti-fique et technique, de transmettre auxjeunes le goût de la découverte, de la tech-nologie et de l’innovation, de leur ouvrir lespossibles et les intéresser aux métiersd’avenir.En devenant notre partenaire, vous nouspermettez de maintenir notre qualité péda-gogique, poursuivre notre investissementdans la professionnalisation des formationset affirmer notre engagement à répondreaux besoins de la société. Nous vous propo-sons également de participer à notre ForumEntreprises, de collaborer aux conseils deperfectionnement des formations, d’agir ànos côtés sur la connaissance des métierset l’insertion professionnelle par le biais devisites d’entreprises et de laboratoires, deconférences et interviews métiers, de coa-ching et de projets tutorés.
INFORMATIQUE, SCIENCES DEL’INGÉNIEUR, RÉSEAUX, CHIMIE,BIOTECHNOLOGIES, HYGIÈNESÉCURITÉ ENVIRONNEMENT :DES FORMATIONSPROFESSIONNALISANTES ENSCIENCES ET TECHNOLOGIERÉPONDANT AUX BESOINS DESENTREPRISES ET AXÉES SURL’INNOVATIONTECHNOLOGIQUE.
UPEC - Faculté des sciences et technologie61, avenue du Général de Gaulle 94010 Créteil cedex - FranceTél + 33 (0)1 45 17 13 36 - [email protected]://sciences-tech.u-pec.fr/
≥ ÉTUDIANTS
3000 en formation initiale,continue et en apprentissage
≥ STAGES
500≥ ENSEIGNANTS ETENSEIGNANTS-CHERCHEURS
250≥ AUTRES INTERVENANTS
100 (de plus de 60 entreprises)
≥ UNIVERSITÉS PARTENAIRES
52 dans le monde
≥ LABORATOIRES DERECHERCHE
9
©UP
EC/N
icolas
Darphin
lllllllll CFA DUCRETET Ile-De-FranceCLICHY
llllll CFA DUCRETET Rhône-AlpesLYON
lll CFA DUCRETET AquitaineBORDEAUX
llll Faculté des Métiers - CMARENNES
lll ACTIF CNT - CFA ADEFAVALENCIENNES
l Installateur de Réseaux Câblés de Communicationl Technicien de Réseaux Câblés de Communicationl Technicien Services en Multimédial Technicien Services en Audiovisuel et Électrodomestiquel Conseiller Services en Électrodomestique et Multimédial Vendeur de l’Électrodomestique et du Multimédial BTS MUC Management Unités Commercialesl BTS NRC Négociation Relations Clientsl Licence Professionnelle Management de projet tertiaire
Un réseau national de CFA spécialisés proche des entreprises
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aux CFA du Réseau DUCRETETPartenaires de la performance des entreprises depuis 22 ans, les CFA du Réseau DUCRETET développent une pépinièrenationale de jeunes professionnels, directement employables et évolutifs. Ainsi, ce sont plus de 6500 apprentis spécialisésqui ont été formés avec succès aux métiers des Réseaux THD et de la Maison Communicante : monteurs-raccordeurs, techni-ciens, conseillers services, vendeurs B to C et commerciaux B to B.
Le Réseau DUCRETET au cœur de la"Convergence Numérique"Le Réseau DUCRETET propose des solutions dedéveloppement de compétences pour releverles nouveaux défis du Très Haut Débit, duSmart Home et des objets connectés.
Ethique et Qualité, les valeurs historiques duRéseau DUCRETETLes professionnels et les équipes du RéseauDUCRETET, association à but non lucratif,partagent tous les mêmes valeurs pour servirles intérêts des jeunes et des entreprises. UneCharte Qualité unit tous les partenaires quivisent l’excellence de la formation et de sesrésultats avec 90% d’insertion professionnelle.
Performance et efficacitéPour répondre aux besoins des entreprises, le Réseau DUCRETET est doté de moyens adaptés :humains, matériels et immatériels. Sa performance et son efficacité avérés reposent sur de fortesexigences en termes de compétences et d’expertise reconnue.
Une offre de formationde BAC+1 à BAC+3
CFA DUCRETET 84 rue Villeneuve - 92110 CLICHYContact : Denise GOMBERCourriel : [email protected] • Tél : 01 47 30 74 55
Salle de cours "Maison Communicante"Salle de cours "Maison Communicante"
INFORMATIONS ET FORMULAIRE EN LIGNEFORMULAIRE
Valenciennes
RennesClichy
BordeauxLyon
Direction du développement et dumécénat : 01 58 51 10 01
Cité de l’architecture & du patrimoinePalais de Chaillot - 1 place du Trocadéro
75116 Paris - M° Trocadéro
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TAXE D’APPRENTISSAGE / INFORMATIONS
L’École de Chaillot, Départementformation de la Cité de l’architec-ture, propose aux architectesdiplômés de se spécialiser dansla conservation et la restaurationdu patrimoine bâti.