the inseec times - avril 2011
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Le journal de l'association Inseec Invest du mois d'Avril 2011TRANSCRIPT
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INSEEC TIMES Avril 2011 www.inseec-invest.com
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Nouvelle rubrique Débat : la mondialisation
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Débat : la mondialisation
L’éloge de la mondialisation ! L’ascension irrésistible de la mondialisation est deve-
nue au fil du temps un phénomène irréversible.
Après la seconde guerre mondiale (1939-1945), elle a
conquis le cœur et l’esprit des responsables politiques
et instauré une paix relative en Occident.
L’isolationnisme américain, le nationalisme et le tota-
litarisme de certains pays européens ont laissé place à
un formidable essor du commerce international. La
mondialisation a modifié les rapports entre Etat, en
sonnant le glas, des égoïsmes nationaux et du protec-
tionnisme absolu.
Le commerce international est le moteur de la croissance mondiale,
incarnée par le consommateur américain et l’atelier du monde «
made in China ». Au début du XXIème siècle, la croissance mon-
diale était de 5% par an, jusqu’à ce que la crise financière et écono-
mique résorbe cette prospérité fragile.
La globalisation de l’économie est synonyme de développement
économique, d’éradication de la misère et de la famine. Elle donne
la possibilité de lutter efficacement contre l’analphabétisme, la mor-
talité infantile.
Evidemment c’est une vision angélique et idéaliste, les pays les
moins avancés n’ont jamais goûté aux délices de l’opulence, l’ostra-
cisme vis-à-vis de ces pays où l’on meurt affamé est pourtant iné-
luctable.
La mondialisation prospère dans les pays où le régime politique est
stable, le droit de la propriété privée est respecté et les systèmes de
népotisme, de corruption sont ardemment combattus.
La mondialisation avait bien sur besoin d’un cadre légal et d’un
système économique pour s’imposer.
Le libre-échange est un système qui favorise le commerce interna-
tional en luttant contre toutes formes d’entraves aux échanges com-
merciaux telles que les barrières tarifaires (droit de douane) ou non
tarifaires (normes sanitaires). Dans les années 80, la libéralisation
des marchés de capitaux a renforcé ce système et augmenté les
mouvements de biens et marchandises.
La globalisation financière est le bras financier de la mondialisation,
les marchés boursiers financent le développement des entreprises
exportatrices qui souhaitent s’imposer au sein de marchés étrangers
fructueux. L’organisation mondiale du commerce (OMC), dirigée
par le français Pascal Lamy, cautionne et défend le libre-échange
car il est source de richesse pour les détenteurs de capitaux, les in-
vestisseurs de tout acabit. De surcroît, il offre aussi aux consomma-
teurs une grande diversité de produits ainsi que des prix compétitifs
grâce à la libre concurrence. L’internationalisation de l’investisse-
ment et de la consommation stimule la croissance mondiale.
Pour les pays émergents, dont la croissance est mercantiliste c'est-à
-dire tirée par les exportations, la mondialisation est bénéfique pour
leur croissance et la lutte contre la pauvreté.
En revanche, pour les pays industrialisés, la mondialisation est sy-
nonyme de concurrence internationale féroce et de déclin. Il faut
tordre le cou à cette idée reçu, toutes les multinationales françaises
du CAC 40 réalisent la majorité de leur chiffre d’affaires à l’étran-
ger grâce aux marchés colossaux des pays émergents.
Cependant, il faut souligner, que les petites et moyennes entreprises
(PME) des pays riches subissent la mondialisation et ne parviennent
pas atteindre la taille critique c'est-à-dire la taille minimale pour être
rentable sur un marché. Excepté, les PME allemandes qui battent
des records en termes d’exportations, reflétant l’innovation, la quali-
té et l’excellence de leurs produits.
L’Occident doit se spécialiser dans des productions à forte valeur
ajoutée nécessitant des technologies avancées afin d’innover perpé-
tuellement et se différencier des productions bas de gamme et
moyenne gamme des pays émergents.
La mondialisation a engendré des conséquences sociales et humai-
nes indéniables puisque l’idée de libre circulation des hommes est la
suite logique de ce formidable mouvement de libéralisme économi-
que.
Les flux migratoires humains ont augmenté mais en réalité propor-
tionnellement à l’augmentation de la population mondiale, ils de-
meurent marginaux (3% de la population mondiale).
De plus, il faut souligner que cette migration humaine est le fait des
individus les plus misérables qui souhaitent fuir la misère, les guer-
res civiles où le despotisme d’un dictateur sanguinaire. Aucun gou-
vernement, aucune loi ne peux empêcher un homme ou une femme
affamée de vouloir mettre fin à une vie misérable, en embarquant
dans des bateaux de fortune, en traversant des océans, des mers au
risque de mourir. D’ailleurs, il n’existe qu’une seule solution effica-
ce pour résorber sans haine ni violence l’immigration clandestine,
c’est le co-développement, l’investissement exogène dans les pays
sous développés. Mais sans cette immigration irrégulière, les res-
ponsables politiques d’Occident n’auront plus de boucs-émissaires
pour dissimuler leur incompétence et leur impuissance liées à la
désindustrialisation de leur pays respectif.
La mondialisation est une machine à fabriquer de la liberté et de la
prospérité, de l’efficacité mais aussi de l’inégalité. La mondialisa-
tion pragmatique, ne promet pas le grand soir ni l’épanouissement
des peuples.
Des marchands de rêve, déguisés en politicien idéaliste prôneront
toujours la mise en œuvre de la fameuse justice sociale dans un
monde idyllique sans inégalités.
La globalisation ne diffuse pas le bonheur, en revanche, elle permet
à davantage d’individus de devenir les maîtres de leur destin et
d’améliorer leurs conditions de vie. Libre à chacun de construire
son propre bonheur dans un monde capitaliste où règne indiscuta-
blement un individualisme exacerbé.
N.B
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Débat : la mondialisation
Depuis Ricardo et son livre Des princi-
pes de l’économie politique et de l’impôt
nous savons que le libre-échange et
l’ouverture des économies sont des
conditions indispensables au dévelop-
pement. Si Adam Smith et les physio-
crates avaient déjà prôné l’ouverture
des économies française et anglaises au
18ème siècle, ce n’est qu’avec les tra-
vaux de David Ricardo au début 19ème
que la pensé économique va basculer.
Avec la théorie des avantages compara-
tifs, publiée dans son ouvrage de 1817,
les théoriciens de l’économie ont com-
mencé à comprendre que le salut des éco-
nomies nationales passerait nécessaire-
ment par le libre-échange, et non par le
protectionnisme. A l’époque cette révolu-
tion idéologique avait fait couler beau-
coup d’ancre et nombreux sont ceux qui
avaient critiqué la pensée ricardièenne.
Près de deux siècles après la publication
Des principes de l’économie politique et
de l’impôt les critiques continuent de s’a-
battent sur le libre-échange. Certes la
nouvelle phase de mondialisation que
nous connaissions depuis des années 50 a
été vertueuse- ouverture de nouveaux
marchés, augmentation du niveau de vie
global, développement de nouveaux pays.
Néanmoins la mondialisation a entrainé
dans son sillage des désagréments qui
nuisent aux économies des PDEM mais
aussi au PVD.
Les pays développés subissent la mondia-
lisation depuis près de trente ans. Ils
voient leur usines être délocalisées dans
des régions où la main d’œuvre est mois
chère, ils voient les des firmes étrangères
leur prendre des part de marché et le chô-
mage augmenter.
De leur coté les pays en voie de dévelop-
pement subissent aussi la mondialisation.
Ils sont dans l’obligation de faire des ef-
forts considérables au niveau de la forma-
tion et des infrastructures pour suivre le
rythme des pays les plus avancés. Ils doi-
vent par ailleurs sacrifier leurs systèmes
sociaux pour rester compétitifs aux yeux
des multinationales.
La mondialisation n’est peut être pas la
solution, le libre-échange tel qu’il à été
construit par le GATT puis l’OMC n’est
peut être pas la meilleure façon d’aider
au développement global. Sans renier le
libre-échange il est possible de trouver
une alternative à une mondialisation ef-
frénée qui génère un grand nombre dégât
collatéraux.
Pour allier libre-échange et développe-
ment il est peut être préférable de passer
par une régionalisation des flux commer-
ciaux. De très nombreux pays ont d’ail-
leurs pris des initiatives qui vont dans ce
sens.
La plus célèbre alliance économique ré-
gionale et bien entendu l’Union Euro-
péenne. Elle est le résultat de plus d’un
demi-siècle de travail depuis que les pè-
res fondateurs ont posé les bases d’une
union économique européenne.
Mais de nombreuses autres alliances éco-
nomiques ont vu le jour depuis les années
70. Le MERCOSUR en Amérique du
Sud, l’ASEAN en Asie ou l’ALEAN en-
tre le Mexique les Etats-Unis et le Cana-
da, sont des alliances économiques qui
favorisent le libre échange entre des pays
au développement similaire.
La régionalisation des flux commerciaux
semble être une voie de développement
privilégiée car elle permet de tirer tous
les avantages du libre échange.
Le commerce régional est préférable pour
de nombreuses raisons. Premièrement il
facilite les échanges entre pays ayant un
niveau de développement assez proche.
Les alliances en place sont faites entre
des pays ayant des économies assez simi-
laires bien qu’elles soient spatialisées. A
un niveau de développement équivalem-
ment et avec des spatialisations nationa-
les, les pays d’une union économique
régionale ont tous intérêts à commercer
entre eux pour élargir leurs marchés.
Deuxièmement faire des échanges avec
des pays ayants un même niveau de déve-
loppement entraine des échanges équili-
brés. Ce qui n’est pas le cas lorsque les
échanges ont lieu entre un pays très riche
et un pays très pauvre. Dans une situation
d’échanges équilibrés, les pays partenai-
res sont gagnants-gagnants, ce qui n’est
pas le cas dans la mondialisation actuelle.
La régionalisation des échanges n’est pas
incompatible avec la mondialisation, elle
peut même être complémentaire si les
blocs économiques commercent entre
eux. Mais il est impératif que les pays
échangent avec leurs voisins. L’UE est
un modèle que les autres régions du mon-
de devraient expérimenter de façon plus
approfondie pour qu’ils se développent et
qu’ils tirent les avenages et non les in-
convenants du libre-échange.
C.M
La régionalisation plutôt que la mondialisation
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Actu
Un souffle d’air frais pour les grandes villes
Paris, Saint-Denis, Lyon, Grenoble, Clermont Fer-
rand, Bordeaux, Nice et Aix-en-Provence vont être
les 8 grandes villes qui vont expérimenter les Zapa
(Zones d’action prioritaires pour l’air) instaurés par
le gouvernement français pour améliorer la qualité
de l’air dans ces grandes villes.
Les Zapa sont donc des zones urbaines dans les quelles la
circulation des véhicules les plus polluants seront interdits.
Certaines voitures datant d’avant le 30 septembre 1997 et les
deux roues datant d’avant le 30 juin 2004 se verront donc
interdire le passage dans certains périmètres contrôlés com-
me le centre-ville et à certains moments de la journée ou de
l’année come l’été. Pour s’assurer du bon fonctionnement de
cette norme mise en place pour 3 ans à partir de 2012, des
moyens de surveillance ont été développés : l’utilisation de la
surveillance vidéo ou le contrôle visuel par la police. Londres
et l’Allemagne pratiquent déjà cette mesure avec la vidéo
surveillance pour l’une, où la lecture de la plaque d’immatri-
culation par les caméras renseigne de l’âge du véhicule, et
pour l’autre le contrôle visuel est aidé par une vignette collée
sur le pare-brise.
L’objectif de ces zones est de réduire la pollution atmosphé-
rique pour se conformer aux valeurs limites de la réglementa-
tion européenne concernant le dioxyde d’azote et les particu-
les cancérigènes en suspensions émises par les voitures.
On ne se préoccupe pas de la question environnementale car
les émissions de CO2 et de gaz à effet de serre ne seront pas
pris en compte, l’enjeu est uniquement sanitaire. Selon
l’OMS (Organisation mondiale de la santé), la pollution des
grandes villes serait la cause de bons nombres de problèmes
de santé comme l’asthme, les troubles cardiaques ou encore
les problèmes respiratoires. Cette pollution ferait aussi recu-
ler de neuf mois l’espérance de vie des personnes vivants
dans les zones les plus polluées.
"La qualité de l'air extérieur s'est améliorée en France au
cours des vingt dernières années pour certains polluants, no-
tamment le dioxyde de soufre, le monoxyde de carbone, le
plomb et le benzène, explique Joëlle Colosio, chef du service
Qualité de l'Air à l'Ademe. Mais les concentrations de parti-
cules fines et d'oxydes d'azote dans certaines grandes agglo-
mérations sont encore trop élevées." En effet, la France ne
fait pas bonne figure car elle dépasse régulièrement les nor-
mes de qualité de l’air fixées par l’Europe. Selon l’OMS,
42 000 morts prématurés par an en France seraient dues à ce
problème de qualité de l’air.
Les Zapa ont-elles été efficaces dans les autres pays ?
"Les exemples européens montrent que la mise en place de
ces zones ont une réelle efficacité en termes de réduction de
la pollution atmosphérique, indique Joëlle Colosio. L'effort
n'est bien sûr pas suffisant pour faire disparaître totalement la
pollution, mais cela participe vraiment à l'amélioration de la
qualité de l'air."
A.M
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High Tech
Buzz marketing autour de l’Ipad 2 La conférence de presse pour le lancement de l’Ipad 2,
annoncé depuis quelques semaines par Apple, s’est dé-
roulée le 2 mars dernier. L’invitation avait été envoyée à
tous les journalistes High Tech via la photo ci-contre, his-
toire d’entretenir un peu plus le buzz. Ce fut l’occasion
pour Steve Jobs, annoncé en fin de vie par certains ta-
bloïds, de démontrer toute son énergie pour présenter son
nouveau joujou.
Quelle différence avec l’Ipad de première génération ?
Un an après la sortie de la première tablette tactile au succès
fulgurant, il fallait pour Apple innover. L’Ipad 2 est ainsi
plus léger, plus fin, légèrement plus rapide et avec comme
seule nouveauté un gyroscope. Bien maigre innovation me
direz-vous ! Oui mais l’Ipad 1 était tellement évolué qu’il
était difficile de bouleverser un écosystème tellement perfor-
mant. L’Ipad 2 est ainsi une belle évolution sans être une ré-
volution. Elle ravira ainsi tous les « Geeks » qui se pressent
devant les revendeurs Apple dès sa sortie, pour juger des der-
nières évolutions technologiques. Seulement voila, les chif-
fres l’attestent, l’Ipad 2 a su séduire. Selon le site DigitTi-
mes, 2,5 millions d’Ipad 2 se sont vendus sur le seul mois de
Mars 2011. Bouleversant pour la concurrence…
Mais pourquoi tant de buzz autour de sa sortie ?
La sortie de l’Ipad 2 a provoqué des heures de queue devant
les « AppleStore » du monde entier, si bien que la marque à
la Pomme s’est retrouvée en rupture de stock 2 jours après.
La conférence de presse de Steve Jobs, annoncée quelques
jours avant, entretenait toutes les rumeurs sur le web. La
conférence de presse du 2 mars a été l’occasion pour Apple
de montrer l’évolution de la marque depuis la sortie du pre-
mier Ipod en 2001. Steve Jobs, a ainsi pu mettre en avant son
système iOS, présent sur l’Iphone, l’Ipod Touch et l’Ipad,
avec les quelques 400 000 applications disponibles aujourd-
’hui sur l’AppStore !
La tablette, nouvel outil de relation client.
Nature & Découvertes, spécialiste des produits domestiques,
a décidé d’équiper les vendeurs de ses magasins de ces fa-
meuses tablettes, transformées pour l'occasion en terminaux
d’encaissement. Via la tablette, les vendeurs peuvent infor-
mer les clients et également procéder à des pré-
encaissements. Si c’est bien l’aspect relation client et l’amé-
lioration de l’image du groupe qui ont motivé cette décision,
Marie-Claude Poelman-Fargeot, DSI du groupe, parle égale-
ment d’un choix financier : « il s’agissait de palier à la sai-
sonnalité de notre chiffre d’affaire, et avec les tablettes on
peut diminuer l’implémentation de matériel supplémentai-
re », souligne-t-elle, tout en mettant en avant le côté séduc-
tion auprès de ses vendeurs, “dont certains font partie des
Digital Natives”.
Relation clients toujours chez Natixis, qui commercialise des
solutions bancaires et financières, qui via sa cellule d’innova-
tion, a également entrepris de tester l’implémentation de ta-
blettes pour se rapprocher de ses clients. La tablette est alors
intégrée au « parcours commercial, à la préparation de rendez
-vous, à la relation, à la prise de note, au compte rendu et à sa
diffusion », commente Oliver Laborde directeur marketing et
innovation du groupe. “Un effet "waouh !", apprécié de la
force commerciale et des clients », lance-t-il enfin.
Insolite : Apple entretient le buzz.
MacRumors rapporte qu'un client ayant acheté l'iPad 2 a dû
le retourner pour la simple et bonne raison que sa femme a
dit "NON" pour le garder.
Aussitôt, l'homme très obéissant a rapporté la tablette à son
« AppleStore» contre un remboursement. Il faut noter que
chaque employé doit mentionner la raison du retour sur un
petit post-it ou via logiciel interne. L'employé exécute son
travail et accepte le remboursement de la tablette ...
Mais seulement, deux sympathiques vice-présidents d'Apple
ont eu la bonne idée de renvoyer un iPad 2 au même homme
dont la femme a dit non, en y imposant un post-it avec écrit
dessus : "Apple dit oui". Voila un homme qui se retrouve
avec un Ipad 2 gratuit, vous savez maintenant ce qu’il vous
reste à faire…
Q.C
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Espace Jeux
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>Découvres les solutions des jeux et le nom des vainqueurs des quizz dans la ru-
brique Espace Jeux
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