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Info - Anchin w w w . a n c h i n
. o r g
Année scolaire 2011-2012 Numéro 31
Mars 2012
Année après année, ré-
forme après réforme, à
Anchin comme dans l’en-
semble des lycées de
France, le bac S reste tou-jours le bac le plus deman-
dé. Une majorité d’élèves
et de parents sont persua-
dés qu’il s’agit du meilleur des bacs, ou-
vrant grand toutes les portes. Pourtant,
année après année, la réussite de nos
élèves au bac et après le bac, nous incite à
penser le contraire.
Le meilleur des bacs est d’abord celui qui
motive l’élève par son contenu : tous les
élèves ne sont pas obligés d’être passion-
nés uniquement par des matières générales.
Le meilleur des bacs est aussi celui qui motive l’élève par des notes lui donnant
confiance et l’incitant à travailler davan-
tage. Le meilleur des bacs est enfin celui
que l’élève obtient avec une mention, dé-
montrant par là ses capacités à poursuivre
ses études.
Quelles sont donc les formations supé-
rieures les plus recherchées ? Les statis-
tiques sont formelles : les formations sé-
lectionnées en premier vœu par les
quelques 680 000 candidats d’admission
post-bac sont constituées à près de 38% par des BTS, suivis de loin par les licences
à 28%, et les DUT à 16%.
Or, le Ministère de l’Education Nationale
impose à toutes les sections BTS de recru-
ter prioritairement des bacs technologiques
et des bacs professionnels. Un argument de
plus pour élargir son horizon d’orientation
au-delà du bac S.
F. FAYE, Directeur.
TOUS LES SECONDES AU THÉÂTRE :
DR JEKYLL & MR HYDE DE STEVENSON Le meilleur
des bacs.
Secondes Edito
UN CADRE POUR REUSSIR
Les cinq classes de secondes se sont rendues jeudi 15 mars au théâtre Sebastopole
de Lille dans le cadre des cours de langue anglaise. En effet, ils avaient lu une édi-
tion abrégée du chef d’œuvre de Robert Louis Stevenson. Ils découvraient cette
nouvelle création 2010, utilisant un écran vidéo géant sur scène. Adaptation de
l'œuvre par Emma Reeves & Andrew Loudon, mise en scène Lucille O'Flanagan. Une équipe 100% Britannique. Qui est le mystérieux et répugnant Mr. Hyde ?
D'ou vient-il ? Pourquoi n'a-t-il ni famille, ni amis ? Et pourquoi exerce-t-il autant
d'influence sur le respectable Dr. Jekyll ? Les amis de Jekyll mènent l'enquête, et
découvrent un secret épouvantable. Jekyll en cherchant à dépasser les limites de
son corps, a libéré en lui un terrible pouvoir qu'il ne
parvient plus à contrôler...
Le roman révolutionnaire de Robert Louis Stevenson
a hanté l'imagination collective depuis sa publication
en 1886. Cette nouvelle version multimédia examine
le pouvoir de la dépendance et les pulsions contradic-
toires qui se confrontent en chacun de nous. En utili-
sant deux comédiens différents pour les rôles de Je-
kyll et de Hyde ainsi que de courtes séquences fil-mées, la production illustre ce conflit intérieur dans
un spectacle physique, contemporain, théâtrale et
accessible avec un niveau d'anglais même basique.
Tél. : 03.27.86.42.54
D’ICI JAILLIT L’OR BLEU EATDD
Ce vendredi 27 janvier, 53 élèves
suivant l’option EATDD (Ecologie,
Agronomie, Territoire et développe-
ment Durable) avec Mme Henniaux
sont allés visiter la station d’épura-
tion de Lewarde. Par demi-groupes
ils apprenaient le cheminement de
l’eau : cela commence par le poste
de relèvement des eaux brutes, puis
un pré-traitement de ces eaux, un
égouttage des boues, ensuite le cla-
rificateur et pour terminer le canal
des comptages des eaux épurées. « Il en arrive des choses à l’eau, après une douche
ou une chasse d’eau » déclarait Fred (animateur de C’est pas Sorcier) qui, avec son
ami Jamy par le biais d’une vidéo nous ont démontré l’importance de cette station
d’épuration située au cœur du territoire d’Ostrevent. L’eau est présente en très
grande quantité sur les communes du cœur d’Ostrevent. C’est à nous de la préserver
et le respect commence par la connaissance de cet or bleu. « Comprendre le fonc-
tionnement d’une station d’épuration, apprendre de façon ludique le cycle de l’eau,
approcher sa gestion et développer son écocitoyenneté : tels sont les objectifs de cet
outil pédagogique unique dans l’arrondissement ».
Mathilde Ingelaere & Margaux Falys, 2de2.
Le Bac STAV (Sciences
et Technologies de
l’Agronomie et du Vi-
vant) a quelques particu-
larités. En premier lieu,
Que faire avec un Bac
STAV ?
-
EPS
Orientation
Trouver sa voie lors-
qu'on est titulaire
d'un bac S n'est pas
chose aisée tant les
possibilités sont
nombreuses et va-
riées. Difficile dans
ce contexte de définir le cursus le
mieux adapté à son projet profes-
sionnel.
Que faire avec un Bac
S ?
COMPETITION REGIONALE DE BADMINTON
14 élèves d’Anchin engagés sur cette compétition, une centaine de
participants, quelques places disponibles pour accéder au niveau ré-
gional. Le badminton dans la région est une activité très pratiquée qui
propose en plus un bon niveau de jeu.
Melle Marie GUILBERT (Médaillée d’Argent) ainsi que Melle
Louise CIONI ont réussi à décrocher le sésame pour accéder au
championnat régional qui se déroulera mercredi 28 mars 2012 à La Bassée. Fabrice Pon-
tier (éducateur à Anchin) a accompagné les élèves pour ce déplacement.
Théatre L’ATELIER THEATRE SUR LES PLANCHES
L’Atelier théâtre de l’Institut d’Anchin est ouvert à tous les
élèves de l’établissement le jeudi de 18h à 19h30. La majorité
des élèves s’inscrivent en septembre, d’autres rejoignent le
groupe en cours d’année. Pour certains, passionnés, leur expé-
rience dure depuis 3 ans. Chaque début d’année, l’atelier
ouvre les festivités par une série d’exercices : mémorisation,
concentration, articulation…et des sketchs d’improvisation.
L’objectif est d’apprendre à se connaître, de prendre confiance
en soi et d’assimiler quelques techniques théâtrales. Les an-
nées précédentes un spectacle avait été joué en fin d’année
scolaire mais cette année, le challenge a été relevé dès la ren-
trée de janvier. Les 14 élèves volontaires sont montés sur les
planches le jeudi 26 janvier pour jouer la pièce d’Yvon Tabu-
let « Un réveillon à la montagne ». Deux représentations ont
eu lieu à la salle des fêtes de Pecquencourt, une l’après-midi face aux élèves de 2des et
une, en soirée, ouverte aux internes, familles, Pecquencourtois et à tous les amateurs de
théâtre. Le droit d’entrée, d’un euro, était symbolique, la somme obtenue étant destinée à
parrainer des enfants d’Afrique. Une nouvelle représentation est prévue rapidement pour
le plaisir des acteurs, des spectateurs et pour faire prospérer le projet de coopération in-
ternationale.
Mi-décembre était organisé un forum des métiers et des for-
mations à l’Institut d’Anchin. Une soixantaine d’écoles, de
formations et de professions était proposée aux élèves de se-
conde, première et terminale de l’Institut. L’occasion pour les
plus jeunes et les plus âgés de se renseigner sur ce qui les
attend après le baccalauréat : formations, écoles, IUP, IUT,
écoles préparatoires, facultés, concours, etc… Quelques jours
plus tard, les terminales STAV se rendaient à Coulogne pour
un forum présentant les formations agricoles post baccalau-
réat. L’ensemble des BTSA était ainsi représenté. Par ailleurs,
comme tous les ans les Terminales S et ES se sont rendues au Salon de l’Etudiant à Lille,
temple de l’orientation s’il en est. Enfin, en février M. Vincent Stal., responsable com-
munication de la Catho à Lille, venait présenter aux premières S et ES le système L.M.D
et aux terminales S et ES les exigences de l’enseignement supérieur.
QUATRE RENDEZ-VOUS POUR UN
OBJECTIF : L’ORIENTATION !
BTS TC LES ETUDIANTS EN VISITE CHEZ PASQUIER
Le 10 mars, les 27 élèves de BTS 1ère année, ont visité l’usine de fabrica-
tion de Brioches PASQUIER à Aubigny en Artois. Au cours de cette visite,
ils ont pu observer la fabrication du Pitch et du pain au lait. En même
temps que la visite, la responsable donnait des explications de fabrication et certaines
données pouvant intéresser nos étudiants. Pendant la visite, un point sur les règles d’hy-
giène et de sécurité a été fait. L’usine mettant un point d’honneur à respecter sur ces diffé-
rentes règles. Après que chacun ait vu la fabrication, les étudiants ont pu observer la par-
ties commercialisation, avec un petit film et la visite du magasin. Notons
qu’il y a quelques années, un sujet d’examens au BTS avait pour thème : la
brioche Pasquier !
il est le seul à faire cohabiter les
sciences humaines, les matières
scientifiques, et les sciences tech-
niques. En second lieu, il est à 50 %
en contrôle en cours de formation. C'est-à-dire qu’une partie de l’exa-
men est passée durant l’année sco-
laire, l’autre en contrôle final.
Il est judicieux de préparer un bac
STAV pour s’orienter :
en école d’ingénieur Agri/
Agro, pour les meilleurs
En BTS/ DUT
Dans les carrières para médi-
cales après concours.
Que faire avec un
Bac ES ?
La filière ES néces-
site tout d’abord de
la culture et de l’inté-
rêt aux faits d’actua-
lité. Elle met en effet l’accent sur une véri-
table formation géné-
rale ouverte à d’autres disciplines
telle que le Droit, la Gestion ou la
Sociologie, pour permettre de
mieux comprendre la société ac-
tuelle.
Grâce au contenu de la formation,
la filière ES prépare et forme les
jeunes aux exigences de l’enseigne-
ment supérieur. Bien mené, ce pro-
jet permet d’envisager des études
supérieures plus ou moins longues : BTS ou DUT avec différentes spé-
cialités (GEA, TC, Banques, Assu-
rances, Commerce International,
Finances, etc.) ; à l’Université
(Economie, Gestion, Sociologie,
Droit, etc.) ; en Classe préparatoire
aux grandes écoles économiques et
commerciale, Lettres,), en Ecole de
Commerce (IESEG, ESPEME, ES-
TICE, EGC, etc.), en Ecoles de
carrières sociales ou paramédicales (infirmière, orthophonie, éducateur
spécialisé, etc.)
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Pour autant, ce n’est pas parce
que l’on pense pouvoir tout faire,
qu’il faut faire n’importe quoi ! Il existe trois bacs S offrant chacun
une option différente : - Le Bac S – SI (Sciences de
l’Ingénieur) ;
- Le Bac S – SVT (Sciences et Vie
de la Terre) ;
- Le Bac S – BIO (Biologie –
Écologie).
Il n’y a pas de hiérarchie de va-
leur pour ces options (le lauréat
du Bac constatera sur son diplôme
qu’il est titulaire d’un Bac scienti-
fique mais n’y verra aucune réfé-
rence à sa spécialité) ; le choix se fait en fonction des centres d’inté-
rêt des élèves.
Trois pistes principales s’offrent
aux titulaires d’un bac S
Les cycles courts : vers une intégration
professionnelle facilitée :
Reconnaissons d'emblée que les
cycles courts n'ont pas, à l'ori-
gine, été conçus pour
les bacheliers de série S mais
pour les bacs Technologiques. Ils ne sont donc, à priori pas priori-
taires pour ce type de filière.
L’université : une orientation à mul-
tiples facettes :
Une part importante
des bacheliers de série S s'oriente
vers l'université. En fin de L2,
certains étudiants optent pour les
concours ou les procédures d'ad-
missions parallèles organisés par
les écoles d'ingénieurs et intègrent,
par la suite, un cycle d'études de trois ans ; en fin de licence.
Au terme de la L3, les effectifs
restants poursuivent leur cursus
universitaire au minimum deux
années de plus pour valider un
Master de recherche ou un Master
professionnel (pour, par exemple
passer les concours d’enseigne-
ment). Quoi qu'il en soit, à l'heure
de l'orientation post-bac, il est vive-
ment recommandé d'opter pour la filière correspondant le mieux à sa
formation – donc des licences à
vocation scientifique ; par
exemple :
MIAS (Mathématiques, Infor-
matique et Application
aux Sciences)
SM (Sciences de la Matière)
SV (Sciences de la Vie)
STAPS (Sciences et Tech-
niques des Activités Phy-siques et Sportives)
(suite page suivante)
Orientation
Le 25 janvier les élèves des cinq classes de
Terminale passaient, à tour de rôle, un en-
tretien devant un jury composé de deux
personnes. En effet, une quarantaine de
jurys s’était mobilisée pour l’occasion afin
d’écouter et de conseiller les lycéens à
propos de leur prestation. A noter que les
professionnels actifs ou retraités, parents
d’élèves ou non, ont offert une journée
entière d’écoute et de bienveillance aux
jeunes. Merci à eux.
Exposer ses motivations, rester naturel
malgré le stress, faire bonne impression… cela n’est pas chose facile. C’est une expé-
rience appréciable qui permet de faire le point sur son « savoir », son « savoir faire » et
son « faire savoir ». Lors de leurs futurs entretiens, les terminales se souviendront de
cette première expérience.
SIMULATIONS D’ENTRETIEN : 40 JURYS
À L’ÉCOUTE DES JEUNES.
Seconde SÉJOUR LINGUISTIQUE EN ESPAGNE
18 élèves de seconde vont prendre l’avion pour partir,
du 10 au 19 avril, à Ronda, à la rencontre de leurs cor-
respondants. Ils vont, pendant une dizaine de jours,
découvrir l’Andalousie et ses coutumes mais surtout
adopter le rythme de vie des jeunes andalous de leur
âge en partageant leur quotidien et en assistant à leurs
cours. Souhaitons leur bon voyage et qu’ils reviennent
plus riches de leur expérience.
Dans le cadre de la prévention santé, Agathe Duchatelle, profes-
seur de français, a décidé de mener une action de sensibilisa-
tion… .
auprès des jeunes scolarisés à l'Institut. Ce fléau des temps mo-
dernes nécessite qu'une information précise soit transmise aux élèves. C'est pourquoi, il a été demandé le soutien du service de
prévention Santé de Somain (SPS), afin d'apporter le regard de
professionnels de santé sur ce sujet. Mmes Mazy, infirmière,
Canda, assistante sociale, et Meunet, ont été détachées du SPS
pour aider l'équipe enseignante à mettre en place et animer cette
journée. Tout au long de celle-ci, les classes sont venues les ren-
contrer au foyer. Dans la convivialité, autour d'un verre de jus de
fruits, les élèves ont participé à des ateliers : séparés en petits
groupes, ils ont pu discuter objectivement de ce qu'est le Sida.
Les professionnels de la santé ont pu, quant à eux, éclairer les jeunes, répondre à leurs
interrogations afin qu'ils soient suffisamment informés et ainsi éviter d'être concernés par
cette terrible maladie. . Les jeunes ont pu s'amuser en répondant à un quizz : parmi les bonnes réponses, un tirage
au sort a eu lieu et des places de cinéma ont été offertes aux gagnants. Une vente des fa-
meux petits rubans était également organisée. Des élèves volontaires de seconde ont revê-
tu l'habit d'ambassadrices et ont permis de récolter une cen-
taine d'euros qui seront reversés au Sidaction. Agathe Du-
chatelle a proposé aux différentes classes des mises en situa-
tion. Sous forme de petites saynettes, les élèves ont imaginé ce
qu'il pouvait advenir dans certaines situations de la vie quoti-
dienne. « L'enthousiasme et l'intérêt montrés par les élèves à
participer aux différents ateliers nous renseignent bien sur leur
besoin d'informations sur de telles thématiques. Cette journée fut riche en rencontres, et restera un des temps forts de l'année
scolaire à l'Institut. », souligna l'enseignante.
CDI SIDACTION A ANCHIN
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EPS DES COMPÉTITIONS DE FUTSAL
Ce Mercredi 18 janvier 2012 après-midi, se déroulait, au
lycée Hélène Boucher de Somain la finale départementale
UGSEL Nord-Cambrai de Futsal. L’équipe de terminales et
de premières, termine à la 8ème place sur le département.
L’équipe de secondes, a manqué la qualification de peu, se positionnant en 4ème position départementale. C’était une
belle compétition, l’équipe de seconde est prometteuse et
nous continuerons à miser sur leur performance la saison
prochaine.
Le jeudi 2 février, les étudiants en BTS ont ac-
cueilli deux animatrices du CFSI (Comité Français
pour la Solidarité Internationale). Ce CFSI est une
association regroupant 24 organisations qui ani-
ment le site plateforme et ressources ALIMEN-
TERRE. Au cours de cette après-midi, les étu-
diants ont d’abord participé à une animation qui
avait plusieurs objectifs : - Comprendre la réparti-
tion des richesses agricoles mondiales afin de les
sensibiliser au partage équitable des ressources naturelles de la planète - évaluer les
outils de production mondiale agricole pour faciliter le transfert de technologie entre le
Nord riche et le Sud pauvre - Sensibiliser les étudiants aux besoins des agriculteurs du
sud afin d’améliorer la justice sociale et réduire la pauvreté et les inégalités crois-
santes. Ensuite, ils ont regardé un film qui expliquait l’organisation de la filière
« Banane » au travers du monde (de l’agriculteur du Sud jusqu’au consommateur du
Nord en passant par tous les intermédiaires qui régulent ce marché). En effet, incon-
nue dans les pays occidentaux au début du 20ème siècle, la banane est aujourd’hui le
fruit le plus produit, le plus exporté et le plus consommé au monde. En Europe, ce fruit
exotique est devenu un produit d’appel du rayon fruits et légumes frais, mais à quel
prix ? Une guerre commerciale féroce oppose les Etats-Unis à l’Europe. Le modèle
social le pire est économiquement gagnant sur les marchés. Enfin, cette après-midi
s’est terminée par un petit débat sur les moyens ainsi que le comportement à adopter
pour garantir un revenu minimal à ces producteurs du Sud.
BTS TC ALIMENTERRE : POUR MIEUX COMPRENDRE...
Le secteur médical et paramédical,
domaine privilégié de la filière S, est
très en vogue depuis quelques an-
nées. Néanmoins, le cap de la pre-
mière année de médecine reste dé-
sespérément difficile à franchir : les
candidats sont nombreux et le numerus
clausus restreint !
Depuis la dernière réforme, le PCEM1
(Premier Cycle d’Études Médicales)
réunit tous les acteurs des études médi-
cales et paramédicales en un unique
tronc commun (médecine, chirurgie-
dentaire, pharmacie, sage-femme et
kinésithérapie).
Les classes préparatoires : l’excellence au
bout du chemin :
S'orienter vers une classe préparatoire
aux concours des grandes écoles d’ingénieurs
Prépa MPSI (Mathématiques,
Physique et Sciences de
l'ingénieur) après un bac S
spécialités Mathématiques et
Physique/Chimie,
Prépa PCSI (Physique, Chimie et
Sciences de l'ingénieur) après
un bac S spécialités Mathé-
matiques et Physique/Chimie,
Prépa BCPST (Biologie, Chimie, Physique et Sciences de la
Terre) après un bac S spécia-
lités Maths, Physique/Chimie,
Sciences de la Vie et de la
Terre,
reste un parcours intéressant pour qui
sait faire preuve de courage, d'endu-
rance, de régularité et de motivation.
Car rien ne sera épargné aux étudiants
durant ces deux exigeantes premières
années. Certains préfèrent contourner cet écueil en optant pour une école
d’ingénieur avec prépa intégrée telle
que, par exemple, l’ISA (Institut Su-
périeur d’Agronomie) ou l’ICAM
(Institut Catholique des Arts et Mé-
tiers).
Lors du week end du Salon de la moto, le relais Saint Gilles et la paroisse
se sont mobilisés pour récolter des fonds, afin de financer la rénovation de
l’église. Un groupe d’Anchinois proposait aux motards un parking dans
l’enceinte du presbytère ainsi qu’une bénédiction des motards et de leurs
motos sous l’égide du comité du relais et du père André Sowowski. Un
beau week end en perspective, puisque les fonds serviront à l’achat de
nappes, d’objets religieux pour embellir l’église après la rénovation.
Pasto ANCHIN, LA PAROISSE, AU SALON DE LA MOTO.
Lorsque les oies volent en formation, elles vont environ 70 % plus vite
que lorsqu'elles volent seules. Les oies partagent la direction. Lorsque
la meneuse fatigue, elle reprend sa place dans le V et une autre prend la
tête. Les oies tiennent compagnie à celles qui tombent. Lorsqu'une oie
malade ou faible doit quitter la formation de vol, au moins une autre oie se joint à elle pour l'aider et la protéger. En faisant partie d'une équipe, nous aussi nous pouvons
faire beaucoup plus et beaucoup plus rapidement. Les mots d'encouragement et d'ap-
pui (comme les cris de l'oie) contribuent à inspirer et à stimuler ceux qui sont en pre-
mière ligne, les aidant à soutenir le rythme, les tensions et la fatigue quotidienne.
Il y a enfin la compassion et l'altruisme envers ceux qui appartiennent à l'ultime
é q u i p e q u e r e p r é s e n t e l ' h u m a n i t é …
La prochaine fois que vous verrez une formation d'oies, rappelez-vous que c'est à la
fois un enrichissement, un défi et un privilège que d'être membre à part entière d'une
équipe.
Pasto ENSEMBLE...EN FORMATION D’OIES.