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Vaincre son diabète de type 2 Jacques Staehle Tout ce que vous devez savoir pour le guérir ou y échapper

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Vaincre son diabète de type 2

Jacques Staehle

Tout ce que vous devez savoir pour le guérir ou y échapper

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DU MÊME AUTEUR

ChEz lE MêME éDiTEUR

L’énergie qui guérit, 2008Les chakras de la guérison, 2010

Effacer le ventre, 2014Les messages du corps, 2016Détox & régénération, 2018

AUx éDiTions ChARioT D’oR

Yoga, digitopuncture & alimentation, 2013

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C e livre a été écrit pour éviter à bon nombre d’entre nous ce qui m’est arrivé le 2 août 1997. Alors que je séjourne dans un centre de vacances, une attaque cérébrale me para-

lyse le bras gauche et partiellement la parole. J’étais alors mal en point et très affaibli.

Alité, j’ai recours à une arme qui s’avère plus puissante que je ne le pensais : la foi. Je m’adresse à Dieu et lui demande son aide. Est-ce sa réponse, l’arrivée de cet homme que je crois être le docteur mais qui est en fait le maître-nageur de la plage ? Il va, quoi qu’il en soit, me rendre un inestimable secours.

Rassemblant le peu de force qu’il me reste, je lui explique la situation et lui demande de me masser un point sous le pied que nous tonifions en digitopuncture pour réanimer les personnes évanouies. Après trois minutes je me sens déjà mieux, et cinq minutes de massage suffisent à endiguer la paralysie.

Avec du repos, une saine alimentation et quelques massages je repris des forces ; mais quelques jours plus tard, en montant les escaliers du bureau de poste de Cagnes-sur-Mer, je suis pris d’une crise de tachycardie et je me sens défaillant. Après une semaine d’examens sophistiqués dans une clinique locale, le médecin en chef du service de neurocardiologie conclut que je suis un patient en bonne santé et me conseille simplement de prendre de l’aspi-rine. Rassuré de n’avoir rien de grave, mais bien loin de me sentir en forme, je quitte l’établissement de soins.

Introduction

Pourquoi ce livre ?

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IntroductionVAINCRE SON DIABÈTE DE TYPE 26

Il me faudra plusieurs mois pour retrouver une meilleure forme, avec cependant des moments de défaillance et des accès de fatigue.

Tant bien que mal je remontai la pente, avec des hauts et des moins hauts.

J’ai pu constater que mes malaises augmentaient après l’ab-sorption d’aliments glucidiques : desserts, crèmes glacées, fruits sucrés.

Quelques années après, une douleur dans la poitrine ne me laissait prédire rien de bon. Je demande à un médecin de m’ac-compagner à la clinique d’Antibes, on l’on constate l’infarctus. Après quelques jours d’hospitalisation et d’examens, les cardio-logues proposent un stent et des médicaments à prendre à vie. Après réflexion et signature d’une décharge, je quitte la clinique au grand dam des cardiologues qui me préviennent que j’en-cours un risque de décès en agissant ainsi.

Vingt-trois ans plus tard je suis toujours là et en pleine forme, sans stent ni médicaments. Mais le cardiologue qui m’avait averti d’un risque de décès est décédé quelque temps après.

Ce sont mes recherches qui m’ont sauvé la vie et permis de retrouver la pleine forme, puisqu’à bientôt 90 ans je fais à nouveau du tennis, du ski, du vélo, de grandes marches. Je continue à faire des conférences, à donner des journées de formations. Bref, j’ai encore beaucoup de projets et particulièrement celui de transmettre mes connaissances acquises après des années de recherche, de constatations et d’expériences personnelles à tra-vers le monde, et avec des méthodes que mon esprit rationnel avait jusqu’alors rejeté. C’est ainsi que je pris connaissance de la médecine quantique, de la biorésonance, de la radionique, qui m’ont permis d’explorer et de mieux comprendre les processus physiologiques qui entretiennent l’homéostasie, et de toutes les manifestations qui perturbent et déstabilisent cette autorégula-tion. J’ai pu alors constater l’effet délétère que pouvait provo-quer l’excès ou l’insuffisance de certains aliments, en particulier les hydrates de carbone (voir p. 37).

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Introduction 7

De plus, et surtout, ces outils me permettaient de corrobo-rer mes ressentis et constatations préalables. Ils m’ont permis de mieux comprendre les mécanismes de fonctionnement de mon corps, leurs dérèglements et les moyens d’y remédier. En pre-mière ligne figuraient des perturbations au niveau des intestins, de la rate et du pancréas, ainsi que les conseils pour les soigner.

Dès lors, tenant compte de ces pertinentes informations, je mis en application des propositions de soins et j’en perçus rapi-dement les bienfaits. J’ai eu aussi du plaisir à en faire profiter mes amis et mes patients. C’est pourquoi j’ai décidé de vous en informer en écrivant ce livre.

Pour mieux comprendre, voici préalablement quelques consta-tations qui m’ont mis sur la voie.

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Mes premières constatationsPremière constatation : mes problèmes cardio-circulatoires

apparaissaient toujours après avoir mangé des desserts sucrés.Deuxième constatation : j’avais davantage d’énergie jusqu’à

midi après un petit déjeuner limité à un pamplemousse plutôt qu’avec un petit déjeuner traditionnel : pain, beurre, miel ou confiture.

Troisième constatation : je me suis surpris à éprouver un certain malaise après avoir mangé plusieurs abricots bien mûrs, cueillis sur l’arbre. Je remarquais également que j’éprouvais parfois une sorte vertige après avoir mangé des crèmes glacées.

Quatrième constatation : je me sentais mieux les jours où je n’avais pas mangé d’aliments sucrés.

Cinquième constatation : je me sentais mieux après avoir fait de l’exercice ou une marche en plein air.

Qu’en conclure ?Après avoir observé l’impact déplaisant des aliments sucrés sur

ma forme physique, je décidai de consulter un endocrinologue de renom et lui fis part de mes malaises. D’après lui, les examens étaient rassurants, rien ne laissait supposer que je puisse être dia-bétique.

Cela aurait pu en rester là. Mais mes problèmes n’étaient pas solutionnés pour autant, pire, ils s’aggravaient. À mes malaises précédents s’ajoutaient des troubles de la mémoire et de

Chapitre 1

Constatations

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1. ConstatationsVAINCRE SON DIABÈTE DE TYPE 210

l’équilibre. Ce qui m’incita à continuer mes recherches tous azi-muts. J’appris que les chiffres dits normaux de la glycémie ne sont pas forcément signifiants de l’absence de diabète de type 2.

Résultat de mes recherchesL’Académie américaine de neurologie (AAN) a publié dans la

revue scientifique Neurology (4 septembre 2012) un article sur l’effet délétère des glucides au niveau du cerveau 1. Cette étude, réalisée par le docteur Nicolas Cherbuin et l’université nationale australienne à Cambera sur 249 personnes dont la glycémie était dans la fourchette supérieure de la normalité admise par l’OMS, a permis de constater des altérations cérébrales de l’ordre de 6 à 10 %. Cette recherche très sérieuse a été financée par le Conseil national australien de la santé et de la recherche médicale.

Cette étude m’a permis de comprendre et d’admettre que tout en ayant une glycémie officiellement dans les normes, cela n’excluait pas la possibilité d’avoir des effets délétères sur le cer-veau, entre autres. En me référant à mes analyses, je constatais que tous les chiffres relatifs à ma glycémie étaient à la limite de la norme. C’était faussement rassurant et dangereux d’en rester là sous prétexte que j’étais dans les normes. Cette étude m’avait donné l’envie d’en savoir plus et d’agir en conséquence.

Je pris également connaissance de nombreuses études réa-lisées aux États-Unis et en Europe décrivant le nombre impres-sionnant d’individus souffrant de problèmes divers, notamment neurologiques, en rapport avec leur métabolisme glucidique.

Au début, ces problèmes se traduisent souvent par de simples incommodités : troubles de l’équilibre ou légers vertiges, défi-cit de concentration, mémoire défaillante, anxiété, troubles de la vision, besoin impératif d’uriner, bouche sèche, salive filante, fatigues inexpliquées, problèmes digestifs avec quelquefois un processus inflammatoire interne et silencieux.

1. N. Cherbuin, P. Sachdev, K.J Ansley, « L’augmentation de la glycémie plasmatique à jeun normal est associée à une atrophie de l’hippocampe : étude PATH », Neurology, 2012, 79(10): 1019.

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1. Constatations 11

Ces problèmes peuvent apparaître chez des personnes dont les examens sont considérés comme normaux, mais à la limite de cette normalité. Ce qui me laisse supposer que les normes seront probablement reconsidérées dans les années à venir.

Qu’en conclure ?En attendant que les normes des examens soient reconsidé-

rées à la baisse, j’ai considéré que des chiffres limites, en rapport avec des troubles répétitifs, suite à la prise de certains aliments sucrés, devaient faire l’objet de recherches plus avancées vis-à-vis d’un éventuel diabète de type 2. D’où l’intérêt de rester vigilant et attentif à nos réactions en rapport avec notre alimentation.

J’ai aussi compris que mes problèmes cardio-vasculaires étaient dus en grande partie à un processus silencieux inflamma-toire entretenu en partie par mon diabète type 2.

Le danger de l’inflammationL’inflammation résulte d’un processus de défense de l’orga-

nisme. C’est notre système immunitaire qui réagit contre lui-même. Si ce phénomène intervient épisodiquement et rarement, il n’y a pas spécialement de problèmes. Par contre, si l’inflamma-tion persiste et adopte une certaine chronicité, alors cela peut entraîner des répercussions très dommageables.

En effet, dès que le corps subit une agression ou considère que tel ou tel élément est potentiellement dangereux, il réagit afin de nous protéger.

Un organisme exposé en permanence à un excès de subs-tances non souhaitables peut déclencher un réflexe inflamma-toire constant, avec une multitude de réactions chimiques plus ou moins toxiques pour l’organisme. Les répercussions peuvent à la longue être gravissimes. Certaines cellules seront attaquées et mourront précocement. Certaines fonctions seront ralen-ties. Les cellules cérébrales peuvent être touchées, entraînant découragement, anxiété, perte de mémoire, fatigue inexpliquée et besoin de grignoter pour compenser ; on subit à la fois le côté

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1. ConstatationsVAINCRE SON DIABÈTE DE TYPE 212

physique de l’hypoglycémie et aussi le côté psychologique de l’impression de lassitude ou d’anxiété.

Plus grave, l’inflammation chronique entretient le diabète et favorise l’artériosclérose, car elle durcit les artères qui perdent leur élasticité (à ce propos, il est enfin admis que les maladies coronariennes sont davantage occasionnées par une inflamma-tion que par une hypercholestérolémie.)

Le cerveau n’est pas à l’abri des méfaits de cette inflamma-tion insidieuse et silencieuse et pourrait probablement favoriser la venue de la maladie d’Alzheimer, de la sclérose en plaques, entre autres.

Cette inflammation est bien entendu souvent vectrice de dou-leurs articulaires, d’arthrose, d’arthrite, de tendinite, de névrite.

Les anti-inflammatoires naturelsHeureusement la nature nous propose des plantes aux proprié-

tés anti-inflammatoires efficaces.

Curcuma Les propriétés médicinales du Curcuma longa sont connues

en Inde et en Chine depuis des millénaires. Sur le plan culinaire, on le trouve dans tous les currys et est très apprécié pour ses qualités digestives. C’est l’épice à la propriété anti-inflammatoire la plus étudiée actuellement. L’OMS a reconnu son efficacité. Elle doit sa réputation à son principe actif, la curcumine, un puissant antioxydant. De plus, le curcuma protège le système digestif : l’es-tomac, le foie, le pancréas et surtout les intestins. C’est une pré-cieuse épice pour se préserver du diabète de type 2.

Utilisation :- En gélules (voir par exemple les produits du laboratoire

Dynveo, du site anastore.com, ou de la société alsacienne Well And You, spécialisée dans ce domaine).

- En poudre : une petite cuillère à café diluée dans l’eau.- En teinture : 10 ml par jour.Contre-indication : en cas d’obstruction (calculs biliaires).

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1. Constatations 13

OrtieL’ortie est connue de longue date pour ses multiples vertus :

reminéralisante, diurétique, anti-inflammatoire. Elle est riche en vitamines (A, B, C, K), minéraux et oligo-éléments : silice, fer, magnésium, manganèse, calcium, sélénium, phosphore, potas-sium, zinc, cuivre.

Sa composition minérale aide les reins et les surrénales à drai-ner l’acide urique, alcaliniser l’organisme et lutter contre l’inflam-mation, et aussi à jouer un rôle favorable pour réguler la glycémie. C’est un cadeau de la nature très appréciable pour notre santé. Profitons-en.

Utilisation :- Boire une à deux tisanes par jour : infuser 10 minutes des

feuilles sèches ou fraîches.- En poudre dans le potage.- En extrait dans l’alcool ou le vinaigre.Contre-indication : en cas d’allergie à l’ortie.

Griffe de chat – Una de gato, Uncaria tomentosaC’est une liane caoutchouteuse que l’on trouve en forêt ama-

zonienne. Elle grimpe aux arbres et s’y fixe grâce à ses épines en forme de griffes.

Les Amérindiens la considèrent comme une plante sacrée et l’utilisent depuis plus de 2 000 ans pour ses propriétés anti-inflammatoires et comme tonique immunitaire.

Elle est antioxydante et antivirale.Elle favorise également la cicatrisation des muqueuses de l’ap-

pareil digestif, tout en assainissant le milieu intestinal.Utilisation :On la trouve en capsules ou en extrait hydrosoluble dans les

pharmacies, les magasins bio ou sur Internet.Contre-indication : déconseillée aux femmes enceintes et aux

malades de Parkinson.

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1. ConstatationsVAINCRE SON DIABÈTE DE TYPE 214

Tulsi (basilic sacré)Le tulsi est très utilisé en médecine ayurvédique. Cette plante

pousse à l’état sauvage dans les forêts de l’Inde. On lui reconnaît d’innombrables vertus, notamment antioxydantes et anti-inflam-matoires.

BromélaïneLa bromélaïne est une enzyme extraite de la tige fraîche de

l’ananas qui favorise la digestion des protéines. Elle a également des propriétés anti-inflammatoires intéressantes.

QuercétineLa quercétine est un flavonoïde, c’est-à-dire un pigment natu-

rel présent dans les végétaux. C’est un puissant antioxydant que l’on trouve dans les aliments colorés : oignons rouges, cerises, bleuets, myrtilles, cassis, canneberges, raisins, également câpres, livèches, brocolis. Le ginkgo et le millepertuis doivent une partie de leurs propriétés à leur teneur en quercétine.

RutineLa rutine fait aussi partie de la famille des flavonoïdes ; comme

la quercétine, c’est un puissant antioxydant.Elle réduit la fragilité des vaisseaux sanguins et est considérée

comme une pseudo-vitamine P (pour son rôle bienfaisant sur la perméabilité capillaire).

Elle a également un rôle anti-inflammatoire.On la trouve dans le sarrasin, les oignons, les asperges, les

haricots verts, le brocoli, la laitue, les tomates, les agrumes, les raisins rouges, les cerises, les mûres, les abricots, les pommes (particulièrement dans leur pelure). On trouve également de la rutine dans les infusions de thé vert (15 mg/L), le vin rouge (variable de 5 à 15 mg/L), le jus de raisin (7 à 9 mg/L).

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1. Constatations 15

Le stress oxydatifIl s’agit d’un stress au niveau des cellules occasionné par des

radicaux libres, qui sont des molécules simples d’oxygène (O), différentes de celles que nous respirons dans l’air (c’est-à-dire O2, appelé « dioxygène »).

Cet oxygène « singulet » peut endommager les cellules de tous les tissus, qui s’oxydent et sont perturbés dans leur fonction-nement. Cela nous rend plus vulnérable et ouvre la porte à cer-taines défaillances chez des sujets prédisposés génétiquement. Et c’est là que l’épigénétique peut intervenir. Autrement dit, nous pouvons enrayer le processus de dégradation. Nous pouvons nous préserver et conserver ou retrouver une parfaite santé. Nous disposons d’un libre arbitre qui nous permet de prendre la bonne direction. En ce moment même vous êtes sur le bon chemin et je vais vous accompagner dans cette démarche.

Explorons plus avant ces fameux et dangereux agents oxy-dants. Nous apprendrons ensuite comment contrer leurs méfaits grâce aux antioxydants alimentaires.

Les radicaux libresLes réactions physico-chimiques entretenant la vie dans notre

corps peuvent libérer une particule isolée : un électron libre. La molécule ayant subi cette perte va essayer de récupérer cet élec-tron sur une autre molécule. À son tour, la molécule délestée de cet électron va s’attaquer à la membrane des cellules qui sont à sa portée, et même à leur protéine et à leur ADN.

Le résultat, c’est une réaction en chaîne difficile à stopper, comme la survenue du stress oxydatif dont les conséquences peuvent être désastreuses et insidieuses. Les radicaux libres sont considérés aujourd’hui comme l’un des principaux facteurs du vieillissement cellulaire. Ils prédisposent à la dégénérescence du système cardio-vasculaire et du cerveau. Ils favorisent l’arthrose, les rides, la sénilité précoce. Ils sont impliqués dans le durcisse-ment et l’épaississement des parois artérielles et favorisent l’athé-rosclérose.

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VAINCRE SON DIABÈTE DE TYPE 216

Heureusement l’intelligence du corps a prévu une parade : il va fabriquer des antioxydants à partir de la nourriture.

Les antioxydantsLes antioxydants s’opposent à l’oxydation causée par les radi-

caux libres. Ils protègent nos cellules et donc tous nos organes, et évitent une sénescence anticipée des tissus. Ils nous permettent de rester jeune plus longtemps.

Notre corps produit spontanément des antioxydants, mais cette production est limitée et s’amenuise avec le temps et la pollution. Pour éviter qu’elle ne soit insuffisante, nous pouvons avoir recours à un apport alimentaire approprié, éventuellement soutenu par des compléments.

Les aliments riches en antioxydantsCe sont les aliments riches en vitamines C et E, oligo-éléments,

polyphénols, bêtacarotène, flavonoïdes, resvératrol, asthaxan-thine, sélénium et manganèse.

La plupart de ces aliments sont colorés : - Rouge ou orange : oignons rouges, carottes, poivrons,

tomates, betteraves rouges, haricots rouges, raisins rouges, fram-boises, fraises, canneberges.

- Vert : épinards, brocolis, artichauts, asperges, salades, cresson, thé vert, fenouil, kiwis, olives vertes, poireaux.

- Jaune : abricots, pommes, poivrons jaunes, citrouille, potiron.- Violet : cassis, myrtilles, mûres, prunes, pruneaux.La mer nous offre de merveilleux antioxydants riches en

asthaxanthine : krills, crevettes, saumons sauvages, algues rouges.La nature a beaucoup à nous offrir, par exemple les flavonoïdes

du ginkgo biloba.Et la plupart des épices sont de précieux alliés : principale-

ment curcuma, gingembre, cannelle.Sans oublier les herbes aromatiques – basilic, thym, romarin,

coriandre – et aussi les noix, particulièrement les noix de pécan.

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Table des matières

introDuction. Pourquoi ce livre ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . 51. Constatations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9

Résultat de mes recherches . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10Le danger de l’inflammation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11Les anti-inflammatoires naturels . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12Le stress oxydatif . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15

2. Association de malfaiteurs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 17Que penser du gluten ? Impact gluten/diabète . . . . . . . . . . . . 17Addiction aux glucides . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 19Les mycoses et leur impact sur le diabète . . . . . . . . . . . . . . . . 20

3. L’épidémie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 25Pourquoi devient-on insulino-résistant ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26Les signes révélateurs du prédiabète . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 26Répercussions . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28Diabète et maladie cérébrale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 28Le foie gras . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 29

4. Le dépistage du diabète de type 2 . . . . . . . . . . . . . 31Les huit signes importants qui peuvent nous alerter . . . . . . . . 31Les analyses sanguines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 32Les analyses urinaires . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 34

5. Comprendre pour agir efficacement . . . . . . . . . . . . 35Les moyens . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36Comprendre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 36Les hydrates de carbone . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37

Les besoins glucidiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 37Les différentes formes de glucides . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 38Teneur approximative en glucides des aliments courants . . . . . . . 39Les aliments qui ne contiennent pas ou peu de glucides . . . . . . . 39Les bons et les moins bons glucides . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40

Index glycémique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 40La charge glycémique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 42Index insulinémique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 46L’intérêt de ces trois critères . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 48

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Impact glycémique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49Rôle essentiel des fibres . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49Microbiote et diabète . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 50Digitopuncture pour les intestins . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 53Les vitamines et compléments favorables aux intestins . . . . . . 56Bilan et action . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 56Mise en pratique : cure antidiabète . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 59Se déshabituer des douceurs tout en se faisant plaisir . . . . . . 59

1. L’alimentation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 592. Compléments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 623. Une aide précieuse par la digitopuncture : le point 36 E . . . . . 634. Aides mentales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 63

6. Autres considérations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65L’insuline . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 65La thyroïde influence la glycémie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 66Graisse abdominale et diabète . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 68Circulation veineuse et diabète . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70

Plaie variqueuse . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 70Les aliments favorables à la circulation sanguine . . . . . . . . . . . . . 70Les plantes bénéfiques pour la circulation veineuse . . . . . . . . . . . 71Massages . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 72

Digitopuncture . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 737. Les remèdes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79

Les objectifs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79Les moyens . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 79Résultats . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80Résumé : marche à suivre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 80L’alimentation idéale . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 82Une aide précieuse : la digitopuncture . . . . . . . . . . . . . . . . . . 83

Pour favoriser le métabolisme glucidique . . . . . . . . . . . . . . . . . . 83Aide à la digestion des aliments et dissipation les soucis . . . . . . . 85Harmoniser les fonctions pancréatiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 86Favoriser les fonctions hépatiques . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 87Harmoniser les rapports reins / vésicule biliaire . . . . . . . . . . . . . . 88Aider à la détente et la détoxination . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 89Digitopuncture pour diminuer le ventre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 90

Les compléments . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 93Gemmothérapie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 98Homéopathie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 101Activités appropriées . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 102

La marche . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 102Le yoga . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 103Le qigong . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 108

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Les exercices appropriés . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 109Autohypnose . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 114

8. Alimentation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 117Besoins en glucides . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 117Les aliments à densité calorique faible . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 118Desserts sans sucre . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 119

9. Régalez-vous et guérissez : mes recettes faciles . . . 123Les légumes . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 123Les céréales . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 131Les œufs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 134Les fruits . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 135Les légumineuses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 139Les graines . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 141Les noix . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 142Le konjac . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 144

Le konjac et son utilisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 144Recettes rapides au konjac . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 145

Agar-agar . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 150Desserts avec agar-agar . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 152

Les algues . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15510. Résumé . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 163

Exemple d’une semaine en hiver . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 165Exemple d’une semaine en été . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 169

inDex DeS PointS . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 173