vaucluse magazine n°6

MagazineNord Vaucluse

jacques bompard

jacques bompard aux côtés des paysans

se bat pour

vous

Le Journal deJacques Bompardvotre député Ligue du Sud

N°6

dossier spécial

MagazineNord Vaucluse3MagazineNord Vaucluse

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Chers Vauclusiens

Cette rentrée politique n’augure rien de bon pour les Français et singulièrement pour les Vauclusiens. Le gouvernement Hollande continue à prouver son incurie : hausse des im-pôts et des taxes, laxisme judiciaire,

grand remplacement, chômage. Le quinquennat de toutes les trahisons continue sur sa lancée : les Fran-çais paieront ainsi de leur poche plus de 1 milliard d’euros dues à la Russie à laquelle le parti socialiste refuse de livrer la commande de navires Mistral.

Chacun appréciera que François Hollande fasse payer le prix de ses inimitiés aux contribuables. Vous qui, peut être, vous demandez comment boucler cette an-née ou financer la rentrée, vous voyez là le pire des maux de la politique des gros partis parisiens : rien pour les Gens d’ici, tout pour les idéologies.

C’est face à ce système que je me dresse. A vos côtés depuis des années, j’ai commencé par transformer la ville d’Orange en un modèle de gestion qui fait dé-sormais école. A vos côtés, nous avons débarrassé la ville de Bollène de sa gestion socialo-communiste. A vos côtés, nous avons évacué la majorité socialiste du Conseil Départemental de Vaucluse. Et c’est enfin à vos côtés, que je présente les propositions les plus au-dacieuses à l’Assemblée Nationale.

Je suis le député non inscrit qui a déposé le plus de propositions de loi cette année. C’est un immense succès pour un homme indépendant de tout parti parisien et de tout financement étranger. J’ai déposé la proposition de loi la plus complète dans la lutte

Nord Vaucluse Magazine - N° 6 - septembre 2015. Directeur de publication : Guillaume Bompard.ISSN en cours et dépôt légal à parution. Tirage : 55 000 exemplaires - imprimerie SOGECOM.

Siret : 442 528 642. Adresse : Clos Cavalier - La Blissone - 84100 Orange

contre l’immigration : près de cent pages qui remettent à plat des années de discours mensongers sur la question. Retour au pays, suppression et recensement de l’en-semble des aides sociales favorisant l’inva-sion migratoire, renforcement des sanctions contres les étrangers délinquants. Rien n’a été oublié. J’ai promu la justice dans l’attri-bution des subventions publiques en dépo-sant un texte qui réorienterait les soutiens financiers vers les structures locales et ac-tives plutôt que l’infâme copinage actuel qui n’est rien d’autre qu’une corruption qui ne dit pas son nom.

Bien d’autres textes ont été déposés et vous pouvez les découvrir sur le site de l’assem-blée nationale. Mais je veux en souligner un dernier : une proposition de résolution créant une commission d’enquête sur les liens entre la France et l’Arabie Saoudite.

J’y démontre, preuves à l’appui, l’imbri-cation de représentants socialistes et des hautes instances saoudiennes. Rappelons que l’Arabie Saoudite lapide encore les femmes, finance le terrorisme international et commet des massacres quotidiens au Ye-men et en Syrie. C’est donc avec écœure-ment que les Français ont découvert que

l’amitié entre le roi d’Arabie Saoudite et François Hollande permet au souverain islamiste de privatiser une plage française et de laisser 3 millions d’euros de dette au système hospitalier français. Les amitiés is-lamistes coûtent cher.

Voilà donc l’étendue de la dégradation mo-rale et politique du système que nous com-battons. Sans votre soutien, je ne pourrai être le député qui propose le plus de textes prag-matiques et décisifs à l’assemblée nationale. C’est donc avec un grand bonheur que je vois votre confiance se renouveler dans notre mouvement : la Ligue du Sud. Un mouve-ment indépendant, localiste et enraciné dont vous pourrez découvrir une jeune figure, Yann qui a battu au Printemps dernier l’UMP, le PS, le FN, et la coalition des médias.

C’est cela l’identité de notre terre : préfé-rer les Gens d’ici aux coutumes d’ailleurs, préférer servir notre territoire plutôt que la soupe des intérêts parisiens. Ensemble, continuons à faire face à ce système ! Cordialement,

Jacques Bomparddéputé de Vaucluse - maire d’Orange


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La Ligue du Sud connaît une belle progression. Notre assise dans le Nord-Vaucluse tient à la somme des efforts de nos militants et à la confiance que vous nous accordez élection après élection. Certains

cependant nous demandent ce qu’est la Ligue du Sud. Quelle est son originalité ? Pourquoi la préférer à tel ou tel ? Comment peut-elle devenir l’organe de l’union des droites ? Explications.

La Ligue du Sud doit son succès à trois principes : l’enracinement, le bon sens et l’efficacité. Jacques Bompard, maire depuis 1995 et deux fois député l’incarne par sa méthode, celles que les médias appellent d’ailleurs la méthode Bompard.

Notre originalité c’est que nous sommes l’inverse des gros partis politiques. Nous travaillons pour vous et avec vous. Nos élus sont des gens d’ici qui préfèrent régler les problèmes plutôt que briller devant les caméras. Et cela fonctionne, nous avons profondément transformé la gestion d’Orange et de Bollène

Cela nous vaut votre confiance. Et sans vous, notre travail n’aurait aucun sens ! C’est cette confiance, celle que vous avez par exemple donné à nos élus au Conseil départemental, qui nous permet d’avoir une parole libre et forte sur bien des sujets : Grand Remplacement, retour au pays des étrangers délinquants ou djihadistes, défense des agriculteurs, des petits commerçants, promotion de la vie et de la famille. Beaucoup considèrent Jacques Bompard comme l’un des députés les plus courageux de France !

La Ligue du Sud défend son indépendance. Cette défense ne répond pas à un égoïsme quelconque, mais à un projet politique. Notre pays est au bord de l’effondrement : identitaire, économique, spirituel. Il nous appartient de sauver notre territoire de cette décadence. Ils préfèrent les petites phrases ? Nous préférons les grands changements ! Ils préfèrent dépenser sans compter ? Nous réduisons dette et impôts ! Ils donnent aux Autres, nous servons les

Vauclusiens !

Aujourd’hui la méthode Bompard a fait ses preuves, mieux, vous verrez comment de nombreuses villes ou circonscriptions imitent ce que nous sommes parvenus à faire. Et c’est pour cela que nous vous engageons à nous rejoindre, à nous soutenir, à promouvoir autour de vous et avec nous cette politique qui a amélioré

notre quotidien.

Face au système, la Ligue du Sud vous défend et Jacques Bompard se bat pour vous. Montrons lui notre soutien !

La Ligue du Sudles médias en parlentEnracinement et efficacitéà votre service

« La crise au FN prouve que les partis politiques sont totalitaires», estime le maire d’Orange »

« Les régionales sont une élection anti-démocra-tique, tout comme les européennes. (...) C’est d’une immoralité et d’une anti-démocratie totale! »

« La «méthode Bompard», une formule de la Ligue du Sud qui, (est) «une méthode qui a déjà porté ses fruits, une solution de bon sens pour sauver le territoire». »

« Lorsque la jeune Marion Maréchal-Le Pen se présente pour la première fois en 2012 aux législatives, dans le Vaucluse, Jacques Bompard, décidé à enterrer la hache de guerre, lui prête main-forte pendant la campagne.»

« il crée en 2010 la Ligue du Sud, parti à vocation locale. «Notre seule doctrine, c’est le bon sens »

« Le député de la Ligue du Sud Jacques Bompard (...) s’en prend à l’immigration qui, selon lui, menacerait «la paix civile».»

« La proposition de loi visant à contrôler les subventions versées par les organisations publiques aux associations qu’il vient de déposer à l’Assemblée Nationale est particulièrement intéressante »

« La Ligue du Sud du député et maire d’Orange Jacques Bompard a également gagné deux cantons, soit quatre sièges. »

Jacques Bompard veut lui s’inscrire dans une logique «de bon sens». «Nous acceptons que l’IVG soit une blessure pour les femmes, et c’est précisément ce pourquoi nous essayons de la leur éviter».

LIGUE DU SUD

Bon

sens

- Tradition - Enracinem

ent


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La Ligue du Sud aux départementales

un succès !M

erci, c’est par ces mots que Yann Bompard a entamé son discours après l’annonce de la victoire du duo qu’il formait

avec Marie-Thérèse Galmard lors des élections départementales.

L’élection connaîssait le même résultat dans le canton de Bollène. Marie-Claude Bompard et Xavier Fruleux mettant fin au règne de Jean-Pierre Lambertin, 1er vice-président sortant du Conseil départemental de Vaucluse. Ce membre d’une majorité socialiste qui n’a cessé d’encourager le plus d’impôt, d’immigration, de chômage et de gaspillage dans notre département.

Ce sont donc quatre élus enracinés, authentiques et déterminés qui porteront les projets des vauclusiens au Conseil départemental. La Ligue du Sud y continuera son œuvre de propositions concrètes et de dénonciation de tous les abus du système. Et ce n’était pas gagné d’avance puisque les médias avaient décidé de spolier les électeurs de cette élection en la transformant en un scrutin national, ce qu’elle n’était

pas.

Ils firent la promotion de Marion Le Pen pendant toute la campagne contre le bilan de Jacques Bompard. Ils firent le service après-vente de la majorité socialiste sortante contre les faits : la gauche a ruiné notre département. Ils firent les yeux doux à une majorité nouvelle UMP qui refuse toujours la main tendue de la Ligue du Sud. Bref, ils firent la promotion de ceux qui profitent du système tandis que le Vaucluse souffre.

Seuls nos élus ont déjà montré leur combativité : participation aux commissions pour connaître la réalité des décisions, réclamation de la suppression du RSA pour les djihadistes partis égorger chrétiens et musulmans chiites en Syrie ou en Irak.

De plus, lors de l’intronisation de la nouvelle assemblée, le binôme Marie-Thérèse Galmard et Yann Bompard

a présidé l’élection. En effet, notre groupe possède et le doyen (Madame Galmard) et le benjamin (Yann Bompard) de l’assemblée du Conseil Départemental.

Cette combativité manque visiblement aux autres puisque même le Front National prétend qu’il est impossible de supprimer le RSA aux djihadistes : un comble et un mensonge !

Merci aux électeurs qui font confiance à la méthode Bompard, c’est leur soutien qui donne du corps à notre travail. Grâce à vous, nous pouvons être la preuve vivante qu’une autre gestion est possible tout en conservant les principes éthiques fondamentaux !

A la suite de la polémique de décembre dernier à propos de l’installation de crèches dans des bâtiments publics, la nécessité de défendre les

traditions françaises par la loi s’est faite d’autant plus forte. C’est la raison pour laquelle Jacques Bompard a immédiatement déposé une proposition de loi répondant au plus près à cet objectif.

Face aux attaques de plus en plus virulentes d’un laïcisme totalitaire et destructeur, il faut que la loi puisse protéger les traditions françaises et locales les plus profondément ancrées. C’est, en effet, au nom d’une laïcité mal-comprise que certains tentent de détruire des traditions d’origine cultuelle mais qui, par l’action de l’Histoire, sont aussi passées dans le champ culturel. Il convenait alors, non pas de porter atteinte à la loi de 1905 sur la séparation des Eglises et de l’Etat, mais plutôt de la compléter. Les propositions faites par Jacques Bompard ne viennent, d’ailleurs, que confirmer la jurisprudence existante du Conseil d’Etat qui protégeait l’Histoire et la culture française : la plus haute juridiction administrative française avait ainsi déjà jugé que la prohibition des processions catholiques violait manifestement les libertés publiques, justement parce que ces processions font partie des traditions locales de notre pays.

Dans cette optique-là, la proposition de loi suggère qu’un conseil municipal puisse décider (à la majorité de ses 2/3) d’ériger au rang de tradition

locale et française une pratique, fête ou installation revêtant un caractère traditionnel : crèches, processions, danses locales, rogations, bénédictions de villes ou de lieux, fêtes liées aux récoltes ou aux saisons, sons de cloches, etc. De plus, les bâtiments ou lieux abritant ces dernières rejoindraient alors les emplacements publics pour lesquels ne s’appliquent pas l’interdiction de signe religieux (lieux de culte, cimetières, musées,…).

En outre, afin d’éviter les déjà trop nombreuses exactions des Femen, agressions choquantes de ressortissants le plus souvent étrangers contre des manifestations traditionnelles françaises, la loi propose des poursuites contre tout ressortissant étranger se permettant de dégrader une pratique ou une installation de nature traditionnelle. La proposition prévoit aussi, de toute façon, une interdiction de séjour dans la commune concernée pour toute personne se livrant à de tels actes.

En conséquence, l’opportunité de cette proposition de loi n’est plus à démontrer : tout d’abord, préserver les racines chrétiennes multiséculaires de la France qui constituent notre héritage d’aujourd’hui, et ensuite, maintenir, au travers de la défense de notre identité, la concorde nationale et locale. Parce que « celui qui ne sait pas d ’où il vient ne peut savoir où il va car il ne sait pas où il est » (Otto de Habsbourg).

Pour la défensede nos traditions

LIGUE DU SUDle bon sens au service du bien commun

LIGUE DU SUD

LIGUE DU SUD

le bon sens au service du bien commun

LA LIGUE DU SUDAU CONSEIL DÉPARTEMENTAL DE VAUCLUSE

LA LIGUE DU SUDAU CONSEIL DÉPARTEMENTAL DE VAUCLUSE

Bon

sens

- Tradition - Enracinnem

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Jacques Bompard interpelle le ministre de l’Intérieur au sujet du grand remplacement. Les ornières idéologiques qui aveuglent le gouvernement ont alors poussé Cazeneuve à qualifier de « fantasme », cette réalité pourtant indéniable.

Jacques Bompard intervient aux assises de la remigration. Vous pouvez trouver ici une partie de son discours : « Alors je vous engage à être cela : humains et politiques d’abord, c’est-à-dire debout comme militants et comme responsables pour contrer ce remplace-ment imposé à nos familles, à nos cités, à notre peuple. »(https://www.youtube.com/watch?v=EAh-TO8kNqI)

Jacques Bompard dépose une proposition de loi de lutte contre l’immigration. (Vous pouvez la trouver ici : http://www.assemblee-nationale.fr/14/propositions/pion2516.asp). « Les derniers sondages montrent que l’immigration devient un sujet de préoccupation majeure des Français au même titre que le chômage, la situation économique et l’insécu-rité. Dans un sondage Ipsos paru en janvier 2014, environ 70 % des Français estimaient qu’il y avait trop d’étrangers en France. Selon le rapport rendu public le 4 avril 2014 de la Commission nationale consultative des droits de l’homme (CNCDH), ils seraient même 74 % à considérer qu’« il y a trop d’immigrés en France » et 60 % à ne plus se sentir chez eux en France comme avant »

Jacques Bompard dépose une proposition de résolution européenne relative à la lutte contre le grand remplacement (http://www.assemblee-nationale.fr//14/propositions/pion2536.asp) « Notre pays est depuis plusieurs années confronté à un défi majeur, celui de l’immigration. (...) La conclusion s’impose d’elle-même : il est indispensable de réformer les réglementations européennes relatives à l’immigration. »

Lutte contre l ’immigrationBompardse bat pour vous

Contribuables associés souligne mon travail pour un meilleur contrôle des subventions aux associations.

Lettre àl’attention du député :

Je souhaite vous remercier pour votre ini-tiative visant à rompre le silence qui en-toure les chrétiens du kosovo

Le député-maire d’Orange, Jacques Bompard, s’indigne de l’inertie des pouvoirs publics face au péril djihadiste.

Saluons ici le courage du député du Vaucluse et maire d’Orange, Jacques Bom-pard, d’une fidélité sans faille dans la défense de notre civilisation.

En France, on pourrait faire rétablir en son plein droit la place de la faiblesse dans une société, mais il est tellement plus aisé d’y préférer une défini-tion matérialiste de la vie humaine.

Jacques Bompard prit la parole pour demander pardon pour tous les bébés tués par le crime de l’avortement.

En matière de défense des chrétiens, ce député est, décidément, sur tous les fronts. Et ils sont nombreux… Merci !

Au sujet de l’agriculture (...) il est capital de re-venir à une agriculture « raisonnée » ou « bio »

La Ligue du Sud fera tout son possible par son enracinement et sa gestion de bon sens au service du bien commun.

Jacques Bompard dénonce le remplace-ment de population (...) et souligne les problèmes identitaires et sécuritaires.

La théorie du grand remplacement fait alors son entrée à l’Assemblée Nationale. Désormais, les grands media en parlent et mentionnent Jacques Bompard : «l’immigration massive a abouti à une situation explosive et dangereuse pour la paix civile et l’avenir de la France». (http://www.bfmtv.com/politique/jacques-bompard-propose-une-loi-sur-le-grand-remplacement-861469.html)Il veut «redonner aux Etats membres de l’Union européenne et de l’espace Schengen leur souve-raineté en matière d’immigration». (http://lelab.europe1.fr/Le-depute-d-extreme-droite-Jacques-Bompard-fait-entrer-la-theorie-du-grand-remplacement-a-l-Assemblee-nationale-20932)

Je vous appelle à l’engagement individuel et collectif pour affirmer notre identité et notre projet national.

les médias en parlent

La Ligue du Sud aux départementales

un succès !

NO

VEMBRE

82 0 1 4

NO

VEMBRE

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JANVIER

212 0 1 5

JANVIER

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Fidèle à la doctrine de la Ligue du Sud, Yann est un opposant farouche au projet ERIDAN qui dé-truirait une partie de l’identité et de l’éco-système de son canton. Le projet ERIDAN est typique d’une magouille sans intérêt pour les locaux, diri-gée par des financements étrangers avec la com-plicité totale de l’UMP et du Parti Socialiste. Yann suit ce dossier avec la plus grande attention, il a notamment rencontré un urbaniste et un membre de l’association « Non au Gazoduc, de Fos à Dun-kerque »

Le 11 mai Yann assistait à la passation de fanion au PI2G par le Général David Galtier à la gen-darmerie d’Orange en présence du Procureur, du Colonel Jardin, commandant la BA115 et d’un membre du GIGN. La Gendarmerie Nationale possède une vocation de maîtrise de l’ordre sur le territoire rurale remarquable. Jeune élu, cette pré-sence auprès des forces vives et actives de notre pays n’a pas manqué de toucher Yann. La France est riche de ses corps institutionnels, défendons les au quotidien !

Le 22 mai dernier Yann s’est rendu au Conseil départemental décentralisé à Valréas. La Ligue du Sud y assure une participation constructive et engagée. Nous voulons y tourner la page d’une gestion socialiste calamiteuse, des petits arran-gements entre amis de l’UMP tout en évitant l’opposition stérile du Front National. La Ligue du Sud et Yann se mobilisent pour l’union des droites dans l’exigence !

Le 18 juin, lors du vote du Compte administratif, Yann Bompard a exposé la position de la Ligue du Sud sur la gestion des comptes publics. Après avoir rappelé quelques éléments du bilan catastro-phique de la précédente majorité socialo-commu-niste, il a exposé à la nouvelle équipe dirigeante du département la politique attendue par la très grande majorité des vauclusiens : lutte contre la fraude aux aides sociales, baisse du nombre de fonctionnaires, lutte contre les croisements de compétences, relance de l’emploi par l’investisse-ment local. Loin des postures partisanes, La Ligue du Sud continue d’être une force de proposition constructive. Elle s’oppose à toute augmentation d’impôts qui pourrait être voulue par la majorité, mais ne manquera pas de soutenir toute action qui ira dans le sens du Bien Commun.

Yann est également engagé en commission : ap-pels d’offres, finances, économie, développement numérique et tourisme. Il fera toujours primer la maxime de la méthode Bompard : primauté à la gestion, intransigeance dans les principes. Cette méthode qui couronne la Ligue du Sud comme le principal organe de l’union des droites dans le Vaucluse !

Yann Bompardun benjamin exemplaire au Conseil départemental de VaucluseYann Bompard a été élu dans la nouvelle assemblée du Conseil départemental de Vaucluse. A la suite d’une campagne particulièrement difficile où tous les partis du système désinformaient à propos de la méthode Bompard, il s’est engagé à fond dans la défense de son territoire. Militant de toujours et désormais élu de la Ligue du Sud, Yann applique au quotidien la méthode Bompard. Aperçu de sa présence.

Le 7 avril dernier, Yann était présent à l’assemblée générale de l’ARPE (Association du Rieu de Pio-lenc et de ses Environs). Elle défend les intérêts d’habitants du canton victimes de catastrophes na-turelles. A leur écoute et devant leur expertise, un jeune élu discerne l’urgence de ses mobilisations à venir.

Le 27 avril Yann montrait son attachement aux principes fondamentaux de la Ligue du Sud dans la promotion de la loi naturelle et la défense de notre patrimoine chrétien. Il était ainsi présent à l’as-semblée générale des amis de la chapelle de Gabet.

Quand la société civile se mobilise pour défendre son héritage, c’est le rôle d’un élu que d’être pleine-ment à ses côtés.

Le 29 avril Yann participait à un moment fort des commémorations locales. Il était présent lors de la cérémonie de commémoration de la journée natio-nale du souvenir de la déportation à Piolenc. Les blessures au sein de la communauté nationale et la réunion de l’ensemble des forces de notre région y sont un beau signe du désir de continuer à écrire notre si belle histoire provençale et française.


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Le vin irrigue les veines de notre département. Il fait l’honneur du Vaucluse. Nous avons la chance de posséder trois A.O.C.

(Appellation d’Origine Contrô-lée) : les côtes du Rhône, les vins du Ventoux et ceux du Lube-ron. Cette diversité permet de satisfaire tous les palais et offre à notre département une répu-tation inébranlable. D’ailleurs, parmi une multitude de grands crus en France, nombreux -d’une renommée indiscutée- sont issus de notre terroir : Châteauneuf-du-Pape, Gigondas, Vacqueyras, Beaumes-de-Venise...Ces liquides gracieux et on-doyants a vocation à nous char-

mer, mais aussi tous les amateurs de vins. Nous pouvons en tirer une grande fierté !

Issu de nos vignes rayonnantes sous le soleil, du travail passion-né des viticulteurs, élevé en fûts avec une attention et un amour de la Tradition, le vin qui coule de notre terroir est dans notre culture. Il faut le protéger !

Toutefois, ce secteur est per-pétuellement menacé. Dans un monde où la finance tient à tout homogénéiser, la viticulture et sa diversité pourraient disparaître. Ce monde de la finance détruit aussi les plus petits, où aucun soutien ne leur est apporté. Je

souhaite que les viticulteurs et que tous ceux qui travaillent dans le monde du vin se sentent sou-tenus dans leur métier.

Les viticulteurs français parti-cipent à la défense du terroir, ils sont la fierté du Vaucluse, Jacques Bompard les défend ! Jacques Bompard les défend pour la protection de ce patrimoine d’une richesse incroyable. Dans un contexte économique diffi-cile, avec des réglementations de plus en plus dures, il soutient tous ceux qui participent à cette entreprise. En tant que député, Jacques Bompard a récemment cosigné une proposition de loi

Le vin et les viticulteursnous ne lâcherons rien pourdéfendre cette tradition

« visant à la mise en place d’une ré-serve qualitative par la généralisa-tion des ‘volumes complémentaires individuels’ ». Elle permet de protéger les viticulteurs dont les récoltes auraient été mauvaises les années précédentes. Jacques Bompard a aussi écrit une pro-position de loi (que vous pouvez trouver au lien suivant : http://www.assemblee-nationale.fr/14/propositions/pion1609.asp) pour « la protection et le développement de la filière viti-vinicole ». Je me permets de vous en donner un extrait :

« La filière viticole est l ’exemple du patrimoine français dans la mon-dialisation. Riche de la légende des siècles elle est également créative et entreprenante pour s’adapter aux enjeux complexes de la mondialisa-tion (contrefaçon, protectionnisme indirect par les normes, uniformi-sation des produits). Fort heureu-sement le terroir de notre pays re-cèle assez de talent pour tenir tête à ces nouveaux enjeux et il s’agit de ne pas contraindre son action par des millefeuilles réglementaires ou

des taxes qui ajouteraient une dif-ficulté de plus à une filière produc-tive et symbolique » Son soutien envers cette tradi-tion vinicole se traduit aussi dans son refus de soutenir le TAFTA ce partenariat transatlantique de commerce et d’investissement. Il est une atteinte aux libertés des agriculteurs français, crée une instabilité sur le marché des vins Français, n’accorde plus de protection dans un monde éco-nomique déjà difficile et permet l’entrée de produits dont la qua-lité diffère de celle de la France.

Jacques Bompard s’oppose donc fermement à ce traité sous la forme de question écrite.

Notre gouvernement a aussi cherché à détruire un peu plus l’influence du secteur vino-viti-cole en France. Le projet de loi Santé a cherché à instaurer une hégémonie dans la prévention de l’abus d’alcool. La formule « l ’abus de l ’alcool est dangereux pour la santé » pourrait être mo-difié à loisir tel : « l ’alcool tue ».

Des centaines de vignerons et cavistes se sont mobilisés et ont interpellé le député. Jacques Bompard a présenté des amen-dements (comme par exemple celui-ci : http://www.assem-blee-nationale.f r/14/amende-ments/2673/AN/1028.asp) pour s’y opposer fermement et a voté contre cette loi qui aurait défi-nitivement tué la consommation du vin en France. Il est une ri-chesse pour nous. Jacques Bom-pard tient sa place et la défend !Enfin, parmi d’autres ques-tions écrites, Jacques Bom-

pard a également tenu à dé-fendre nos terres pour qu’elles puissent toujours appartenir à des Français. De nombreux domaines sont vendus chaque année à des étrangers et no-tamment à des Chinois. Ces transactions sont une atteinte à notre terroir. Les Français doivent être soutenus dans leur travail, nos terres doivent nous appartenir. Jacques Bompard en défenseur de l’identité, pro-tège votre terroir !

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Entretien avecJACQUES BOMPARD

Votre circonscription est ru-rale, comment vous engagez vous pour ces territoires ?

Tout d’abord un mot : je mène une politique localiste et enracinée. Je me sens donc un devoir moral et politique de toujours être aux côtés des paysans. Contre les tech-nocrates qui les méprisent, contre les réglementations aberrantes qui font fi des dif-ficultés du métier, contre la morgue des grands groupes qui voudraient étouffer la sève de notre territoire.

Je m’engage de trois manières dans la défense des paysans de notre territoire :● par mes interventions à l’Assemblée Nationale ; ● par le contact, la proximité avec les paysans de notre ter-ritoire ;● par la promotion locale de nos crus.

Quelques interventions signifi-catives auprès du gouvernement:

Préservation de la filière

viande : « Les accords de libre-échange avec les États-unis (TAFTA ou TTIP) et avec le Canada (CETA) et l ’Union européenne imposent un quota d ’importation de viandes bo-vines nord-américaines avec un droit de douane nul estimé à 200 000 tonnes minimum. Cette concurrence subie et à des prix inférieurs à ceux européens causera la mort d ’une partie de cette profession. » (http://www.jacquesbompard.fr/sur-la-disparition-des-filieres-de-viandes-francaises-cause-du-libre-echange-avec-les-usa/ )

Le contrat vendange.

« Ce contrat avait un rôle de simplification administrative extrêmement important pour le monde viticole et pourtant alors que la simplification ad-ministrative est officiellement à l ’ordre du jour du Gouverne-ment, le projet de loi de finances pour 2015 prévoit de suppri-mer l ’exonération partielle des cotisations d ’assurance sociale. La profession est à juste titre furieuse. Il demande à ce que soit maintenu le contrat ven-dange et souhaite savoir quelles sont les raisons poussant le Gouvernement à vouloir le supprimer. » (http://www.jacquesbompard.f r/sur-le-contrat-vendange/ )

Retraite des agriculteurs.« Ces citoyens qui ont travaillé et cotisé toute leur vie ne béné-ficient que de 3 euros de retraite par jour. En même temps, les candidats au droit d ’asile – rentrés bien souvent illégale-ment sans le moindre respect pour les devoirs qui incombent à tout visiteur en territoire étranger – reçoivent 11,40 eu-ros d ’indemnités par jour au

titre de l ’allocation temporaire d ’attente (ATA). Il demande, au nom de l ’équité et des de-voirs de l ’État vis-à-vis de nos concitoyens, que la retraite des agriculteurs soit au moins le double de celles des deman-deurs d ’asile. » (http://www.jacquesbompard.f r/sur-les-retraites-des-agriculteurs/ )

Vous parlez du risque de « l’extinction d’une part de notre identité ». Mais l’iden-tité rurale n’a-t-elle pas d’ores et déjà disparu ?

Notre identité rurale a prati-quement disparu, elle survit grâce à la création de labels ou de certifications. Ces deux moyens sont les ultimes bar-ricades face à cette mondiali-sation désincarnante.L’objectif de l’UE a toujours été la mise en place de l’ou-verture des marchés, l’uni-formisation et la création de grands ensembles de pro-duction sur le modèle amé-ricain libéral. Ces fermes de 1000 vaches en sont un des

exemples concrets.Plus largement, au sujet de l’agriculture et du TAFTA, il est capital de revenir non pas à une agriculture « rai-sonnée » ou « bio », il s’agit de changer, de se poser les vrais questions : Quel est le rôle de l’agriculture en France pour les français ? Pourquoi l’érosion des sols est un pro-blème préoccupant ? Pour-quoi en 6000 ans d’agricul-ture, l’homme a provoqué 2 milliards d’hectares de dé-sert, dont 1 milliard au 20ème siècle ? Pourquoi l’intensité de l’érosion augmente d’1 tonne à l’hectare par an ?Notre objectif doit être de poursuivre le bien com-mun des français et des vau-clusiens et non le profit de quelques lobbies financiers.

Où en sont les négociations du TAFTA menées si discrè-tement ?

Le TAFTA n’est pas un simple traité dont les négo-ciations ont commencé en

2013. La création des grandes organisations internationales a commencé il y a bien long-temps : le GATT en 1947, la CECA, la CEE, Maastricht, l’ALENA, le MERCOSUR et j’en passe. La création de l’OMC en 1995 fut un évè-nement important car elle est devenue l’arbitre mondiale du commerce. Avec le TAF-TA, nous atteignons une étape majeure dans la course au libre-échange, car il y en-gage l’ensemble du monde occidental moderne : l’Eu-rope et les Etats-Unis.

Il est difficile de vous dire où en est le développement de l’impérialisme planétaire car, malheureusement, il semble que cette arme de destruc-tion massive des nations, de


La politique de Jacques Bompard a profondé-ment transformée la ville d’Orange. D’ailleurs, la ville d’Orange est par-

ticulièrement connue pour les résultats de la méthode Bom-pard, pour cette gestion en bon père de famille des intérêts des Orangeois. Pour mémoire, ci-tons quelques réussites de cette méthode de bon sens : depuis 2015, la dette des orangeois est totalement remboursée ; d’un point de vue sécuritaire, la ville d’Orange est la plus sûre de la région PACA et la 21ème ville la plus sûre de France ; la vie culturelle y est foisonnante et l’opposition au conseil muni-cipal ne trouve rien à redire de concret concernant les projets et actions réalisées.

La méthode Bompard devient donc célèbre grâce à ses excel-lents résultats. Et, finalement, de nombreuses villes se rendent compte d’une chose : le bon sens, ça marche ! Ainsi, afin d’obtenir les mêmes résultats, les maires de ces dernières s’inspirent de la méthode Bompard. Jeunes ou moins jeunes, ces élus vont jusqu’à solliciter Jacques Bom-pard au sujet du secret de sa réussite. Souvent, nous pouvons entendre le député-maire com-menter ces entrevues : « Lorsque des élus viennent me demander

mon avis sur tel ou tel sujet, je leur réponds de suivre le bon sens et de gérer leur municipalité en bon père de famille ».

La seconde preuve de l’effi-cacité de cette méthode est la réussite de la ville de Bollène. Depuis que Marie-Claude Bompard en est devenue maire, depuis qu’elle a remplacé la non-gestion socialiste par une gestion de bon sens, la mé-thode porte ses fruits, les ré-sultats sont là.

Depuis quelques années main-tenant, certains élus de villes plus importantes – des villes placées sous la lumière des projecteurs du moment – ap-pliquent la méthode Bompard. Ils la copient sur les théma-tiques de la sécurité, de la maî-trise des dépenses publiques, ou de la rénovation des voiries. Il est vrai que la constitution d’une Police Municipale im-partiale et forte permet aux ha-bitants d’être rassurés et d’éra-diquer la délinquance. Enfin, l’arrêt du gaspillage de l’argent public permet à terme de ré-duire le montant de vos feuilles d’impôts.

Cette année, Orange fête les 20 ans de la méthode Bompard. Ces 20 ans sont l’anniversaire d’une réussite et d’un exemple à suivre pour tous les élus du peuple. Continuez donc à co-pier la méthode Bompard, la méthode du bon sens au ser-vice du bien commun !

Orangela ville qu’ils copient tous

nos vies et de notre planète... soit effectivement en marche sans que rien ne puisse l’ar-rêter. Mais rassurons-nous le combat pour le bien commun n’est jamais perdu.

Ce projet majeur concerne di-rectement les vauclusiens, les français et les européens (soit 742 millions de personnes !) qui devraient être selon les règles de la démocratie les pre-miers informés de l’état des négociations mais comme trop souvent ils sont tenus à l’écart.

La filière vino-victicole est importante dans la IVème cir-conscription de Vaucluse : comment la défendez-vous ?

Je suis un amateur de vin. Et je défends de tout cœur, avec d’ailleurs le plus grand plaisir, les crus de notre région. J’ai d’ailleurs déposé l’année der-nière une proposition de loi de défense de ce secteur.

Plusieurs axes de travail me pa-raissent par ailleurs importants. La question des assurances est cruciale dans la gestion du risque en matière de produc-tion viticole comme l’a prouvé l’association FranceAgriMer : sur 800 000 hectares de vigne, seulement 100 000 sont assu-rés. Les tarifs prohibitifs des compagnies privées et leur mode de gestion contraignent les exploitants à assumer des risques insupportables et à su-bir des coûts qui dépassent de loin leurs capacités d’épargne et d’investissement.

La saine ambition de lutter contre les excès dans la consom-mation de spiritueux a amené à la création de textes qui n’ont pas su distinguer la place sin-gulière que le vin occupe dans la civilisation française.

Aussi au lieu de l’uniformisa-tion attenante à la loi Évin, il s’agit d’éduquer le public au vin afin de préserver les em-

plois et les savoir-faire de la filière.

En un mot, luttons pour les plus beaux de nos produits !


Nous sommes tous tributaires de notre belle Provence ! Région d’exception, peuple provençal à l’identité et l’indépendance marqués, nous devons nous lever pour défendre ce don. C’est pourquoi la Ligue du Sud vous propose les moyens de suivre, participer et vous engager en faveur de La Méthode Bompard !

La Ligue du Sud et le localisme des moyens àvotre disposition

La première manière de connaître la Ligue du Sud c’est de rencontrer ses élus. Ils sont plus que jamais à votre service :

permanences parlementaires de Jacques Bompard, adresses des conseillers généraux ; dis-ponibilité des élus orangeois et bollènois. Ensemble ils œuvrent pour vous et en fonction de vos attentes. La politique, c’est le service du bien commun, or personne ne sait mieux que vous quels sont les fardeaux qui vous contraignent.

Mais la Ligue du Sud tient éga-lement à garder le contact ! Du journal du député que vous te-nez entre les mains à ceux des Conseillers Départementaux, en passant par notre site internet : www.liguedusud.fr , nous vous tenons informés de notre action. Et le dernier né de cette série de liens qui nous réunissent, c’est « Le Petit Daudet », un journal libre, engagé et courageux qui vous présente réflexions et ana-lyses sur l’actualité mais aussi la pensée politique. Le Petit Daudet a déjà évoqué

de nombreux sujets : djihadisme international, localisme, islam, agriculture, principe de sub-sidiarité. Il fait le pari de l’ac-cessibilité et de l’intelligence. Ce ne sont pas les gros partis et les médias qui nous laisseront développer une pensée authen-tique.

C’est à nous, ensemble, de nous bâtir références et grilles d’ana-lyses. C’est le pari du petit Dau-det retrouvez et diffusez ses nu-méros ! C’est gratuit !http://lepetitdaudet.tumblr.com/

La France compte un nombre très élevé d’associations (1,3 millions). Celles-ci fournissent, dans la plupart des cas, un travail pro-fitable pour les causes les plus justes. Etant donné cette partici-pation au bien commun de la Na-tion, il est légitime que l’Etat les soutienne.

C e p e n d a n t , l e s quelques 1,9 milliards d’euros accordés en 2012 aux associations ne profitent qu’à une minorité d’entre elles : 7% des associations accaparent 70% des subventions publiques, 80% n’en reçoivent aucune. Cer-taines associations se gavent ainsi de subventions, porte ouverte à de nombreux abus. Les scandales (détournement de fond, abus de biens sociaux) se comptent en dizaines voire en centaines de milliers d’euros : SOS Racisme, FIDL, Ni putes ni soumises, etc.Ces faits sont d’autant plus scan-

daleux que, généralement, les associations en cause ne servent pas l’intérêt des Français mais, en plus, profitent du fruit de notre travail, de nos impôts. En effet, les associations qui soutiennent l’immigration illégale (220 mil-lions de subventions pour celle-ci selon Jean-Paul Gourévitch) et les formes modernes d’esclavagisme ne servent pas l’intérêt général des contributeurs. Au contraire, des associations qui ne servent ni le bien commun, ni la France, ni sa population, se trouvent bé-néficiaires de sommes publiques colossales. Leurs actions nuisent même à l’intérêt national en participant à la dégradation de l’identité de la France et de la déstabilisation de notre pays. Il a donc paru nécessaire à Jacques Bompard de déposer une proposi-tion de loi dans le but de contrô-ler l’attribution des subventions aux associations par respect pour le fruit du labeur des contri-

buables français. Ainsi, les subventionnements opaques ou trop généreux de l’Etat à l’égard de cer-taines associations et donc les financements frauduleux

avec l’argent et l’impôt des Français se-raient évités.

Afin de favoriser l’unité nationale et l’amour de la Patrie, il convient, tout d’abord, de privilégier les ci-toyens et l’identité française dans l’attribution des subventions. Les Français imposables sont, en effet, en droit d’exiger que ces subven-tions soient à leur service. Ensuite, l’encadrement, le contrôle et, le cas échéant, la poursuite en justice de ceux qui abusent de la solidarité nationale sont nécessaires.

La proposition de loi entend ainsi supprimer la dépendance des as-sociations aux subventions pour leur permettre une autosuffisance, gage d’un service d’intérêt géné-ral. En effet, si une association relève de l’intérêt général, elle est en mesure de susciter dons et aides diverses. La proposition de loi se concrétise alors en une triple exigence de transparence, de non-cumul des subventions et de priorité nationale couplée d’un contrôle à tous les niveaux (Etat et collectivités territoriales).

Face aux abus et dérives de l’attribution puis de l’utilisation des subventions publiques aux associations, il est nécessaire d’opposer un contrôle plus ferme de ces subventions. Il en va de l’intérêt de tous.

Proposit ion de loi de Jacques Bompard Pour un contrôle strict de l’octroi desubventions de l’Etat aux associations.


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La défense de la famille a toujours été au coeur de l’engagement politique de Jacques Bompard. Cellules de base de la société, les familles françaises doivent être protégées. Cette priorité est sensible dans son action. Dès qu’il l’a pu, Jacques Bompard a manifesté son opposition à une politique libertaire qui ne se soucie plus de la dignité de l’homme, qui n’a aucune attention envers les plus faibles de notre société.

Il a ainsi participé à la marche pour la vie le 25 janvier 2O15 à Paris. Il fut interrogé par le rouge & le noir à ce sujet : « La tiédeur est devenue le ciment du changement de Civilisation soutenu par tous les sectarismes partisans et les docteurs en politiquement correct. Aux familles qui manifestent, perpétuez votre engagement. Engagez-vous chez vous et dans votre vie : identité, mise en accord de « la petite vie » (comme dit Chantal Delsol) avec vos idées, prise de pouvoir local, voilà vos objectifs. » Jacques Bompard refuse la léthargie et a placé une grande partie de son combat politique au service de la vie, de la dignité, de la famille.

Cette année, plusieurs projets de loi ou propositions ont été d’un grand danger pour la famille. Il y a d’abord eu celle « sur la fin de vie », en janvier/février. Le gouvernement n’a jamais voulu recon-naître qu’il s’agissait de tuer les personnes les plus faibles, en fin de vie. Celles qui ne

sont plus des « acteurs économiques », mais qui ont leur dignité et leur richesse. Dans une ques-tion au gouvernement du 18 novembre 2014 Jacques Bompard disait : « vous aller légaliser le suicide en laissant une société morcelée s’al-léger des anciens ». A cette réalité, nul n’a voulu répondre.

Notre société préfère proposer la mort par une formule froide : « la sédation profonde et conti-nue ». Jacques Bompard s’y est toujours oppo-sé. Il a toujours tenu à présenter une alter-native : les soins palliatifs. Voici un extrait d’un amendement déposé à ce sujet (http://www.assemblee-nationale.f r/14/amende-ments/2435/AN/8.asp) :« La République Française ne doit pas proposer des crimes comme solution à la souffrance, à la vieillesse. Les derniers

instants de la vie sont riches pour la personne qui les subis mais aussi pour ses proches. Entourer avec amour, soutenir, soulager sont autant de termes respectueux de la dignité qui sont offerts avec les soins pal-liatifs. Ce sont les soins pal-liatifs qu’il faut faire primer. François Hollande l’avait pro-mis, qu’en est-il ? »

Puis, il y eut la loi « santé ». Une loi présentée par le gou-vernement qui a encore affaibli le respect qui doit exister vis-à-vis de la dignité humaine. Tous les projets les plus délé-tères ont été avancés : l’auto-

risation des salles de shoot, le risque de disparition du secret médical par mise à disposition des données de santé mais aus-si d’autres projets mortifères qui mettent en danger l’huma-nité.

Le gouvernement a souhaité la légalisation des recherches sur embryon qui dénaturent et matérialise le corps de bé-bés à naître, imposer un quota d’avortements par hôpital niant la détresse et la souffrance ma-térielle et psychologique de la femme, supprimer le délai de réflexion avant l’avortement, imposer aux sages-femmes de pratiquer des IVG, banaliser la contraception…

Le Figaro a relaté une partie du combat de notre député : « Il entend «faire prendre conscience à la mère de la réali-té de ce qu’elle porte». Le dépu-té-maire Ligue du Sud d ’Orange (Vaucluse), Jacques Bompard, refuse de prendre acte de l ’adop-tion, mercredi nuit par l ’Assem-blée nationale, de la suppression du délai de réflexion de sept jours imposé aux femmes souhaitant une interruption volontaire de grossesse. » (http://www.le-figaro.f r/polit ique/le-scan/citations/2015/04/09/25002-20150409ART FIG00167-jacques-bompard-veut-que-

l e s - f e m m e s - e c o u t e n t - l e -coeur-du-foetus-avant-une-ivg.php ) Jacques Bompard s’est toujours opposé à ces projets. Il l’a ma-nifesté à travers des dizaines d’amendements, des questions écrites, des communiqués de presse,... A cette occasion, nombreux sont les journaux à avoir mentionné Jacques Bom-pard : BFMTV, le lab Europe 1, libération, le Monde ...

Jacques Bompard a aussi dé-fendu les familles dans leur quotidien. La loi Macron fut une atteinte grave. Elle ins-

i l y a ceux qui en parlent et ceux qui la défendent. La Famille


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Une journée avecMarie-Thérèse Galmardartisan de la méthode Bompard

Depuis le 29 mars 2015, elle est également conseillère départementale au sein du Groupe Ligue du Sud au Département de Vaucluse.

8h30 : Comme tous les ma-tins, Marie Thérèse Galmard se rend à son bureau du CCAS. En tant que Vice-Présidente de cet organisme, elle veille à son bon fonctionnement éco-nomique.Elle participe également à l’instruction des dossiers ainsi qu’aux demandes diverses des administrés (demande d’aide ménagère, inscription à la crèche, gestion du relais d’assistante maternelles).

10h 30 : En tant que nouvelle élue au Conseil dé-partemental, Marie-Thérèse Galmard est membre des com-missions « Habitat/Emploi/Insertion/Jeunesse » et « Soli-darité et Handicap ». Le social est l’une des plus importantes dépenses du Conseil départe-mental, elle doit donc en étu-

dier les nombreux rapports. Forte de son expérience et de sa compétence en matière so-ciale, Marie-Thérèse Galmard, plus qu’une élue, est une vé-ritable technicienne et une grande force de proposition pour ces commissions. 14h30-17h30 : En tant qu’artisan de la méthode Bompard, Madame Galmard met un point d’honneur à être disponible pour les adminis-trés. Tous les après-midi, elle reçoit des rendez-vous très divers avec les habitants qui sollicitent son aide : recherche d’emploi ou de logement, mise en place de dossier relatifs à l’aide sociale

18h : Egalement élue muni-cipale d’Orange, Marie-Thé-rèse Galmard participe au Conseil de majorité en mai-rie d’Orange. C’est lors de ces réunions que se décident les choix politiques qui sont pris par la municipalité, avec le succès que l’on sait.

Marie-Thérèse Galmard est l’adjointe aux affaires sociales de la ville d’Orange depuis 2OO1. Elle est également Vice-Présidente du Centre Communal d’Action Social (4,5 millions d’euros de budget).

taurait entre autre chose la léga-lisation du travail du dimanche. Notre député s’y est fermement opposé. Le dimanche est sacré et doit le rester. Suite à de nom-breux amendements, Jacques Bompard refusait de légaliser le travail du dimanche car : « c’est une violation du repos dominical qui est dû à tous et une atteinte à l ’unité nationale en empêchant une journée de loisir, de retrou-vailles familiales et amicales » (http://lesalonbeige.blogs.com/my_web log/2015/01/ l e- t r a-vail-du-dimanche-une-atteinte-%C3%A0-lunit%C3%A9-na-tionale.html). D’autre part, la fiscalité insupportable qui as-saille les familles est intolérable.

J. Bompard a interpellé le mi-nistre des finances « Il demande quand le Gouvernement, face à ces échecs, abandonnera sa politique idéologique pour la mise en place d ’une doctrine de bon sens donnant à chacun selon son travail. » (http://questions.assemblee-nationale.fr/q14/14-73857QE.htm).

Enfin, Jacques Bompard a at-tiré l’attention du ministère des affaires sociales sur la baisse du nombre de mariages en France et la hausse du divorce. Cette situa-tion est pré-o c c u p a n t e . Le mariage instaure une stabilité dans les familles. Il écrivait :

« Le mariage est une protection pour les couples et pour les en-fants, c’est un facteur de stabilité et de recon- n a i s s a n c e sociale. Il p a r t i -

cipe à l’unité nationale au sens où la famille unie et reconnue est la cellule de base de la société. Le mariage participe à la relève démographique de demain »

(h t t p : / /que s t i ons . a s s em-blee-nationale.f r/q14/14-74053QE.htm). Jacques Bompard dans la tourmente

créée par le gouver-nement a toujours tenu sa place. Sa voix s’est fait entendre pour manifester son

opposition et défendre la famille. La

famille est au cœur de son en-

gagement, il ne la trahira pas !

✁❏ Je désire être contacté par Jacques Bompard ou son représentant❏ Je désire recevoir des informations sur l’Union des Droites

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à renvoyer à Jacques Bompard - Ligue du Sud - Clos Cavalier - 84100 [email protected] - 06 62 71 79 54

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vaucluse magazine n°6

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