Le journal bimensuel du SQFT FOI (EST)Région de Québec

LE MERCREDI 14 FÉVRIER 2007

Adsum, Garnison Valcartier, CP 1000, succ. Forces, Courcelette (QC) G0A 4Z0. No convention : 40012192

Loin du froid québécois,nos militaires s’entraînent

au Texas

Loin du froid québécois,nos militaires s’entraînent

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Le paysage de Fort Bliss au Texas ressemble à s’y méprendre à l’Afghanistan. C’estd’ailleurs ce qui a motivé le choix de ce lieu pour entraîner les 2300 militaires quipartiront au mois d’août pour ce pays du Moyen-Orient. Sur la photo, un membre del'équipe de tireurs d'élite du Groupement tactique s'exerce au tir en élévation enmontagne avec un fusil longue portée C-15 MacMellan de calibre .50.

Le paysage de Fort Bliss au Texas ressemble à s’y méprendre à l’Afghanistan. C’estd’ailleurs ce qui a motivé le choix de ce lieu pour entraîner les 2300 militaires quipartiront au mois d’août pour ce pays du Moyen-Orient. Sur la photo, un membre del'équipe de tireurs d'élite du Groupement tactique s'exerce au tir en élévation enmontagne avec un fusil longue portée C-15 MacMellan de calibre .50.

Photo : Cpl Bruno Turcotte – Imagerie, F0 3-07Photo : Cpl Bruno Turcotte – Imagerie, F0 3-07

L’Adsum à Fort Bliss : surveillez nos reportages dans la prochaine édition!

NOUVEAU:Les loisirs communautaireslancent un service de gardeen soirée.

Championnat régionalde hockey 2007Du 16 au 21 févrierà l’aréna Clément-Boulanger

L’Adsum envoyé à descentaines de familles!Le tirage du journal a été aug-menté de 1850 copies pour êtreposté aux familles des militairesdéployés en Afghanistan ou qui leseront en août prochain.

Toute l'équipe du 5 GSS tient à souhaiterune heureuse Saint-Valentin à tous, etparticulièrement aux militaires canadiensdéployés en Afghanistan ou en entraîne-ment, de même qu'à leur douce moitiérestée à la maison. Le 5 GSS désire remer-cier ces hommes et ces femmes pour leurcourage, leur engagement et leur contribu-tion pour le pays et souligne leur sacrificeen cette fête de l'amour loin des leurs.

Heureuse Saint-Valentin,même à distance!

Pour une petite pause romantique, lisez les messagesd’amour que nous ont envoyés des lecteurs pour leursValentins et Valentines (p. 15)

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14 février 2007 / Adsum

/ Page 3La communauté militaire discute des moyens de mieuxsoutenir troupes et familles pendant le déploiement

Deux membres du 5 RGCjouent aux bons samaritainsPar sous-lieutenant Guillaume MoreauO Rens, 5e Régiment du génie de combat

Le 13 janvier, après une semaine de cours auFort Leonard Wood au Missouri, le lieutenantBlaise Lapointe et le sergent Steve Bolducespéraient bien revenir à Québec auprès deleurs proches, mais leur avion a été cloué ausol en raison d’une tempête de verglas.

Les quelques centimètres de verglas ontfait crouler les arbres de la région qui ne sontpas habitués à de telles conditions clima-tiques, causant, de plus, une importante panneélectrique. Comparativement au Québec, lesmaisons sont moins isolées et les systèmesde chauffage d’appoint se font plus rares. Lasituation était donc critique, d’autant plusque les prévisions indiquaient que la tem-pérature allait chuter aux alentours de-14 °C dans les prochains jours.

Avec tout ce temps libre, le lieutenantLapointe et le sergent Bolduc auraient puprofiter du confort de leur chambre d’hôtelpour relaxer devant la télévision. Cependant,constatant le chaos qui régnait autour d’eux,ils étaient incapables de rester à rien faire.Les autorités locales les ont confiés au 203e

Bataillon de génie de combat. Nos deuxCanadiens ont été affectés au déblaiement

des rues qui étaient encombrées de branch-es d’arbres.

La population locale a été agréablementsurprise de voir des soldats canadiens leurdonner un coup de main. Devant ce dévoue-ment, un important journal de Springfield aconsacré une portion d’article à l’effortde ces deux membres du 5 RGC. C’est finale-ment trois jours plus tard que nos bonsSamaritains ont réussi à prendre leur avionpour rentrer à la maison. Voilà une belle façonde représenter nos valeurs canadiennes àl’étranger!

Un soldat de la garde nationale coupe des branches.- Photo : Steve J.P Liand

Par Yan Bélanger et Caroline CharestJournal Adsum

Le déploiement de nos troupes l’étéprochain en Afghanistan fera vivredes heures intenses à ceux qui par-tiront, mais également à ceux qui res-teront derrière pour donner le sou-tien aux troupes et aux familles. Siquelqu’un en doute encore, c’est qu’iln’a pas assisté au séminaire qui s’esttenu le 2 février à Valcartier. Le colonelGerry Champagne, commandant du5e Groupe de soutien de secteur etorganisateur de l’événement, ad’ailleurs bien illustré ce qui attendles services de soutien : «On s’en vatous en mission, pas juste ceux quivont de l’autre bord».Les intentions du colonel Champagneétaient claires quant au résultat qu’ilsouhaitait obtenir d’un tel séminaire :«assurer un soutien infaillible aux troupeset aux familles qui auront à vivre undéploiement prochain». Ce séminaire aurapermis à la centaine de participants présentsde mesurer l’ampleur de ce qui s’en vientgrâce aux présentations données par desreprésentants militaires d’Edmonton et dePetawawa qui ont déjà vécu un déploiementen Afghanistan. L’auditoire a ainsi pu tirerprofit des leçons apprises par ces forma-tions.

Au cours des présentations, les partici-pants étaient encouragés à poser des ques-tions, et il n’était pas rare que ce soit unautre participant qui se lève pour y répon-dre ou pour apporter des précisions. Etc’était justement l’un des objectifs du sémi-naire. En effet, les unités, organisations etservices concernés par le bien-être de latroupe et des familles sont nombreux et,malgré la bonne volonté de tous, il est dif-ficile de connaître toutes les initiatives quise font de part et d’autre dans ce domaine.

Dans la salle, on comptait des aumôniers,du personnel des services de santé desForces canadiennes, des représentants deplusieurs formations et unités du Secteurdu Québec ainsi que des PSP, d’Ancienscombattants Canada, des centres deressources pour les familles et du Groupede soutien au déploiement. Quelques famillesétaient même invitées à prendre part à l’ac-tivité.

Le séminaire était donc propice au réseau-tage. «Cette rencontre a donné l’occasionaux participants de mieux comprendreleurs responsabilités respectives et les effetsque leurs décisions peuvent avoir sur d’autres,d’où l’importance d’avoir une coordina-tion centralisée», explique le lieutenant-colonel Kevin Brown, à la tête de l’Unitéde soutien au commandement qui cha-peaute bon nombre d’organismes et deservices de soutien. «La journée de travailaura certainement contribué à répertori-er des situations problématiques, à lesprévenir et à s’assurer d’avoir les ressourcesen place. Ainsi, nous pourrons être plusproactifs que réactifs face aux situationsqui pourraient émerger.»

QUAND LA RÉALITÉ NOUS RATTRAPEDes cas réels vécus par d’autres bases dansl’Ouest du pays, relatés par les conférenciers,étayaient leurs propos. Expliquer que lesfiches de renseignements personnels doiventêtre remplies avec la plus grande rigueur

est une chose, expliquer quelles conséquencespeut entraîner une fiche mal remplie enest une autre. Ainsi, un simple numéro detéléphone incomplet sur la fiche d’un mi-litaire décédé en théâtre a obligé les autoritésà faire des recherches sur Google pourretrouver la famille du défunt, occasion-nant un délai de 18 h avant de leur annon-cer la triste nouvelle.

Les conférenciers ont aussi abordé laquestion des zones d’ombre qui existenten matière de soutien aux blessés. Quiassume par exemple les frais de transportd’un père vivant en région qui doit faire50 kilomètres par jour pour conduire sonfils à ses traitements de physiothérapie?

Cependant, les conférenciers avaientsurtout de judicieux conseils à donner.«Établissez des ententes avec des ressourceslocales en santé mentale pour aider lesadultes, mais aussi les enfants à gérer leurstress» en est un exemple.

AU TRAVAIL!Les participants ont ensuite été divisés endifférents groupes de travail. Chaque groupese penchait sur un sujet en particulier :soutien aux familles et aux soldats, gestiondes incidents critiques, rapatriement desblessés et soins offerts, transition de car-rière, liens avec les communautés avoisi-nantes et opérations de communication.Pour chacun de ces thèmes, ils devaientélaborer des pistes de solution possibles àdes problèmes potentiels, question d’êtreprêts à faire face à la musique le tempsvenu.

Un petit nombre de militaires du12e Régiment blindé du Canada, récem-ment revenus de mission, se promenait detable en table pour parler des défis qu’ilsavaient rencontrés en théâtre et à leurretour. C’était le moyen tout trouvé pourramener les groupes de travail à leur rai-son d’être : le bien-être de la troupe etdes familles.

Le capitaine Dominique Vallée, coordon-natrice du GSD, animait le groupe detravail portant sur le soutien aux familles.Des représentants des familles qui pre-

naient place à sa table ont exprimé l’idéequ’un numéro de téléphone unique soitinstauré pour recevoir les requêtes et deman-des d’information des familles. «L’idée faitson chemin et a été bien reçue par lesautorités militaires présentes. Un réparti-teur pourrait réorienter la demande versla ressource appropriée selon le besoinexprimé», indique-t-elle.

OFFICIER DÉSIGNÉ : UN RÔLE À NEPAS PRENDRE À LA LÉGÈRELes conférenciers ont martelé un messagecommun : les officiers désignés remplis-

sent un rôle crucial et difficile. L’officierdésigné est un lien vital entre les FC etles proches parents d’un militaire blesséou décédé. Tout en respectant les politiqueset directives des FC, il doit prêter une oreilleattentive aux besoins du militaire blesséou de la famille éprouvée, et bien les informersur les services et programmes auxquelsils ont droit. Plus facile à dire qu’à fairequand on est pris dans le tourbillon d’é-motions qu’entraînent certains événementstragiques.

UN SÉMINAIRE RASSURANT POURLES FAMILLESCaroline Lamothe est bénévole au Centrede la famille Valcartier. Son conjoint, lecaporal-chef Jean Laberge, du 12e Régimentblindé du Canada, partira en Afghanistanl’été prochain. Elle restera ici avec leursdeux filles, Geneviève, 7 ans, et Amélie,9 ans.

Le séminaire lui a permis de bien com-prendre «les dessous militaires» quientourent la préparation d’un déploiement.«En partant, j’étais rassurée de savoir quela garnison consacre autant d’énergie àmieux se préparer lorsque viendra le tempsdu déploiement. Je suis également satis-faite de ce que j’y ai entendu», a-t-elle ajouté.

POUR EN SAVOIR PLUSGroupe de soutienau déploiement . . . . . www.gsdv.ca . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 877 844-5607

Centres de ressources pour les famillesdes militaires . . . . . . . . www.crfmmontreal.org . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . www.crfm.com

Le séminaire sur le soutien au déploiement a réuni pas moins d’une centaine d’intervenants concernéspar le bien-être de la troupe et des familles. - Photo : cpl M.-A. Gaudreault, Imagerie Grn Va

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PPPAR ALBERT TRANQUILLE

Médiateur, Centre de résolution des conflits

arler pour s’entendre

Les conversations difficiles- seconde partie

Par Albert TranquilleMédiateur senior, Centre de résolution des conflits

NN.D.L.R. Ce texte aborde la questiondes conversations difficiles. Dans notredernière édition, l’auuteur a traité deséléments conduisant les personnes versune conversation difficile et a décritbrièèvement comment faire en sorte pouréviter un tel écueil. Le présent texteaborde plus en détails less éléments d’uneconversation pour qu’elle demeuredavantage facile à aborder.Les conversations difficiles découlenthabituellement d’un désaccord, réel ouperçu. Ce désaccord est enregistré différem-ment de part et d’autre parce que notreinterprétation des faits, ou de ce que nousappelons ainsi, n’est pas la même. C’estdire que les vis-à-vis ne possèdent pas lamême information. Et à cela, comme leprétendent certains auteurs en gestion desconflits, nous ajoutons une dimension :celle où nous observons la réalité à partirde ce que nous sommes et de ce dont nousnous soucions. Nous ne sommes pas toussensibles aux relations, au pouvoir, auxsentiments, au statut ou aux faits de lamême façon.

Il est bon de se rappeler que notre inter-prétation de la réalité repose tant sur nosexpériences passées que sur les règlesimplicites que nous avons apprises à pro-pos des choses à faire et à ne pas faire, àdire ou à ne pas dire. Ces règles sont lemiroir de notre monde, du moins tel quenous le concevons. De là, nous tirons nosconceptions des façons d’agir et de ne pasagir, de comment les choses sont supposéesêtre. Elles sont le fondement à revisiterlorsque nous sommes impliqués dans uneconversation difficile. C’est de là que vouset moi tirons des concepts de vie tels «tudevrais investir dans un régime enregistréd’épargne retraite, être plus studieux etmettre ton argent dans des investissementspayants». Il y a aussi des principes comme«il ne faut pas relever le siège des toiletteset vider le tube de dentifrice par le milieu».

CE QUI IMPORTE POUR L’AUTRENotre vision du monde ne peut être com-prise par notre vis-à-vis grâce à nos seulesconclusions puisque trop d’éléments man-quent à sa connaissance de nous-même.Pour comprendre le récit de l’autre, il estnécessaire de comprendre ce qui est impor-tant pour celui-ci, c’est-à-dire les motifsqui sous-tendent ses opinions et son raison-nement. Mais comment peut-on faire cela?Facilement! Il s’agit de manifester de lacuriosité à l’égard de ce que votre vis-à-visdit autant qu’à l’égard des motivations quile conduisent à ses conclusions.

Mais peut-être voulez-vous seulementque l’autre vous entende et accepte votrepoint de vue, quitte à débattre avec celui-ci pour y parvenir? Si c’est le cas, il se peutalors que votre seule version de la réalitésoit vouée ad vitam aeternam aux conver-sations difficiles. Toutefois, si vous acceptezque votre vis-à-vis possède peut-être uneversion du monde qui soit aussi valableque la vôtre, alors aurez-vous appris quelque

chose de votre échange avec celui-ci. Cetteouverture modifiera la conversation, maisaussi certains des présupposés ordinaire-ment communs aux personnes tenant desconversations difficiles.

Il se peut que vous croyiez devoir lais-ser tomber votre vision de la réalité pourconverser avec quelqu’un qui en a une autre.Pourtant, il est possible que les deux ver-sions se complètent ou existent dans descirconstances différentes. Essayez de biencomprendre la version de l’autre et de décou-vrir ce qui est important pour vous-mêmeet pour votre vis-à-vis. Cette attitude diteconciliatrice vous accorde une place pourprésenter vos opinions et vos sentimentssans avoir à contredire les opinions et sen-timents du vis-à-vis. Vos deux conceptionsdu monde ont peut-être leur place.

PARLER DE LA MÊME CHOSELe problème lorsque la conversation devientdifficile est que le sujet discuté par les per-sonnes n’est pas le même. Illustrons ce pro-pos avec l’exemple d’une radio qui jouetrop fort.

- «Tu ne trouves pas que ta radio joue unpeu fort?», demande Annie. (Au fond, elleest agacée par le type de musique diffusée)

- «Non, répond Robert. Elle est presqueau minimum. Elle ne devrait pas te déranger,car il y a une cloison entre nos bureaux quicoupe le son». (Robert a l’habitude de met-tre la radio dans le plancher lorsqu’il esten auto.)

Quel est le sujet de conversation d’Annie,le vrai sujet? Le type de musique. Quel estle sujet de conversation de Robert? Le vo-lume du son. Quels sont les éléments impor-tants pour les deux collègues de travail :ne pas être dérangée pour Annie et êtredérangé pour Robert.

Si Robert et Annie ne désirent pas en-trer dans une conversation difficile, il leurfaudra rapidement revenir à ce qui comptepour eux et s’en faire mutuellement partrespectueusement. Par exemple:

- «Bonjour Robert! J’ai remarqué que taradio jouait de la musique western toutela matinée. Je dois t’avouer que cette musiquem’agresse. Je me demandais comment nouspourrions cohabiter dans nos cubicules,faire notre travail et faire en sorte que lamusique ne me dérange pas autant»?

- J’avais peur Annie que tu me dises quele volume était trop élevé. Habituellement,partout où j’écoute ma musique, je la metsdans le plancher. Moi, le western ou bienautre chose, ça fait pareil. Que proposes-tu que l’on écoute?»

En faisant en sorte de travailler ensem-ble sur le même problème, les personnesont plus de chances de s’éloigner des con-versations difficiles.

Comprendre son vis-à-vis débute par secomprendre d’abord au plan de ses pro-pres intérêts. Cette compréhension com-mune n’oblige personne à abandonnersa propre vision du monde. Elle lui permetseulement de mieux la concilier avec cellesdes autres. Cet article est inspiré du livre «Commentmener des conversations difficiles» de Stone,Patton et Heen, publié aux Éditions du Seuil,2001, 271 pages.

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La violence conjugaleet familiale, une réalitéqui nous frappe enplein visage!Le 6 décembre 2005, la police militaire ainsique les Services d’aumônerie, le Centre dela famille Valcartier, le Centre de santé deValcartier et les Services de promotion de lasanté signaient un protocole d’entente enmatière de violence familiale. Cette ententeétablit les bases d’une approche concertéede prévention, de dépistage, d’intervention,de soutien et de protection envers les indi-vidus touchés par ce problème.

Au cours des prochaines semaines, le comitéde prévention de la violence publiera de pe-tites capsules d’information sur la violencequi vous aideront d’abord à mieux compren-dre le phénomène de la violence et à savoirsi vous, ou une personne qui est proche devous, vivez une situation de violence conju-gale et familiale!

LA VIOLENCE CONJUGALE ET FAMILIALE :VOUS POUVEZ VOUS EN SORTIR!La violence conjugale, c’est contraindre unepersonne à agir contre sa volonté en employ-ant la force, l’intimidation ou la peur pourla contrôler ou la dominer. La violence con-jugale et familiale a des conséquences né-fastes sur tous les membres de la famille.

Être témoin de violence conjugale peutêtre aussi nuisible qu’en être victime. Les en-fants qui grandissent dans un foyerviolent pensent que ça n’arrive qu’à eux etveulent que la violence s’arrête sans queles parents se séparent.

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Maison Kinsmen . . . . . . . . . . . . . . . . . .688-9024Maison du Coeur . . . . . . . . . . . . . . . . . .841-0011Violence info . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .667-8770Tel-jeune . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .1 800 263-2266Centre de prévention suicide . . . . . . . .1-866-APPELLECentre de la famille Valcartier . . . . . . .844-6060Service de santé mentale du CSV . . . . .5802

14 février 2007 / Adsum

/ Page 5DÎNER DE LA TROUPE - ESN 3-07

Mieux vaut tardque jamais!Par le capitaine Serge CôtéCapitaine-adjudant ESN 3-07

Avez-vous déjà entendu parler d’un dînerde la troupe tenu en janvier? Eh bien, toutest possible avec la troupe de l’Élémentde soutien national de la FO 3-07 (ESN3-07).

En effet, afin de souligner leur appré-ciation pour le soutien et le travail remar-quable accompli durant l’année par latroupe, les officiers et sous-officierssupérieurs de l’ESN 3-07 ont servi letraditionnel dîner de la troupe. Cet événe-ment s’est tenu à la cuisine de la troupede Valcartier, le 16 janvier.

Le rythme endiablé des préparatifs, telsque la tenue du NMC4 au camp Vimy du4 au 8 décembre, la préparation desvéhicules sur les plates-formes ainsique la préparation de l’équipement dansles conteneurs maritimes pour l’exerciceRÉFLEXE RAPIDE, n’avait pas permisla tenue d’un dîner de la troupe en décem-bre.

L’activité a débuté par l’allocution ducommandant d’un jour, le cavalier Bélairde la troupe D&S (escorte de convoi), quia souhaité une bonne année, de la santéet du bonheur aux 430 membres de l’ESN3-07 présents. Le commandant de l’ESN3-07, le lieutenant-colonel Eldaoud, a parla suite enchaîné et a tenu à offrir à tousainsi qu’à leur famille une très bonneannée. Il a entre autres souligné l’effortcolossal de tous les membres de l’unitédepuis le début de l’entraînement et plus

spécialement lors de la préparation del’exercice RÉFLEXE RAPIDE qui se tientprésentement au Texas. Son souhait leplus profond est de revoir toute la trouperevenir en santé lors du retour de missionen février 2008.

Avant le repas, tous les membres ontvisionné la vidéo «A TRIBUTE TO THEFALLEN, THE PROUD AND THESTRONG CANADIAN» qui rend hom-mage à tous nos soldats qui ont perdu lavie en Afghanistan. Cet excellent docu-ment nous porte à réfléchir sur le sacri-fice ultime de nos confrères et consœurslors de cette mission.

Pour le repas, la traditionnelle dindea été remplacée par des ailes de poulet etde la pizza. Tous ont apprécié ce menupeu orthodoxe pour l’occasion. À la findu repas, une compétition entre les dif-férents pelotons a été organisée. Avec en-viron une centaine de ballons gonflableschacun, les pelotons avaient 15 minutespour créer une œuvre d’art. Un représen-tant de chaque peloton avait ensuite deuxminutes pour expliquer leur chef-d’oeu-vre à l’auditoire. Nous avons eu droit àtoutes sortes d’explications toutes aussiloufoques les unes que les autres. Lesgrands gagnants : la troupe D&S (escortede convoi).

Un merci particulier aux organisateursde ce dîner, le lieutenant Michel Purnelle,ainsi que l’adjudant-chef Michel Landry.Félicitations aussi à tous les cuisiniers del’ESN pour la préparation de cet excel-lent repas.

Les grands gagnants de la compétition, le peloton Défense et sécurité du camp, en compagnie du com-mandant d’un jour et du commandant de l’ESN 3-07.

Valcartier ne souffre pas duréchauffement planétaire Par le sous-lieutenant Jean-Pierre HarveyOL/CB, 55e Escadron d’appui, 5 RGC

Après avoir suivi leur cours de guerre hiver-nale, 34 sapeurs du 5e Régiment du géniede combat vous diraient que Valcartier nesouffre pas du réchauffement planétaire.En effet, du 16 au 19 janvier, le 5 RGC atenu un cours de guerre hivernale pour ses30 nouveaux sapeurs, quatre officiers etson padré, le capitaine Audet.

Les deux premiers jours se sont déroulésen garnison, histoire de bien apprendre lesjoies et les rudiments de l’hiver. Nous avonsreçu des cours sur les premiers soins hiver-naux, des lectures et des démonstrationssur l’hygiène, les vêtements, les tentes etsacs de couchage, les raquettes, la naviga-tion et l’entretien de l’équipement.

Assez de théorie, maintenant la pratique.C’est avec un beau soleil de janvier par unetempérature de -32 degrés Celcius, en comp-tant le facteur de refroidissement éolien,que les quatre sections sont parties de lagarnison en raquettes et toboggan en direc-tion du point de rendez-vous.

Après un copieux souper de rations dures,nous avons entrepris la laborieuse mon-tée vers notre bivouac du lac Noir. Le mon-tage des tentes et la routine de camp étaientles activités prévues pour le reste de la nuit.«Tiens, la température s’est réchauffée, ilfait -27 degrés Celcius...» La deuxièmejournée a été consacrée à la construction

d’ouvrages défensifs et d’un nid douilletpour passer la nuit: un abri de fortune faitde planches, de rondins et de branches desapin.

La dernière journée a été la plus mar-quante. Nous avons défait nos ouvrages etsommes redescendus de la montagne. Aprèsquelques minutes de marche, nous avonspris position et essuyé avec plaisir le bliz-zard de neige provoqué par quatre hélicop-tères Griffon venus nous chercher. Que debeaux souvenirs !

Pour les intéressés, il existe quatre règlespour s’adapter au froid : se tenir en forme,boire beaucoup d’eau, manger fréquem-ment et surtout, garder le moral.

Le sapeur Audrey Bouchard est prêt pour une nuit à la belle étoile. - Photo: cpl JCH Dubé

Le bivouac du lac Noir.

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2007

Fondé par le 12e Régiment blindé du Canada

Le journal Adsum est une publication non officiellepubliée un mercredi sur deux avec la permissiondu Commandant du 5e Groupe de soutien desecteur. Les opinions et les points de vue exprimésdans ce journal ne sont pas nécessairement ceuxdu MDN, des FC et de l’ASPFC / Personnel desFNP.Le journal Adsum informe la communauté militaire de la garnison et de la grande région deQuébec depuis 1972. Notre publication constituel’un des principaux outils de communicationinterne de l’Armée au Québec. C’est un moyenprivilégié pour le Secteur du Québec de la Forceterrestre (SQFT) de communiquer avec son per-sonnel et les familles. Les succès, les intérêts etles préoccupations de la grande équipe du SQFT,voilà la matière avec laquelle est bâti l’Adsum.

Tirage : 7350 copies

ÉditeurCol Gerry Champagne, cmdt 5 GSSRédactrice en chefCaroline Charest, poste 5672charest.c@forces.gc.caJournalisteYan Bélanger, poste 6656belanger.y3@forces.gc.caConseiller militaireLt Ginette Champagne, poste 7641Conseillère en publicitéGinette Demers, 871-1274gdemers@videotron.caResponsable petites annonces et comptabilitéNathalie Nadeau poste 5598nadeau.n2@forces.gc.caInfographeJosée Lessard poste 6656production_journalvalcartier@videotron.caImprimerieLes Presses du Fleuve

Toute correspondance doit être adressée à larédactrice en chef. Les demandes de publicationdoivent être acheminées par courrier électroniqueà +adsum@forces.gc.ca. Soumettre les textes enformat Word et les photos en jpg. La rédactrice enchef se réserve le droit de rejeter ou de modifiertout matériel rédactionnel ou publicitaire. Lesauteurs des textes ne seront pas nécessairementavisés des modifications apportées à leurs textes.

Les articles publiés dans ce journal sont la propriété de l’Adsum et ne pourront être publiés,utilisés ou reproduits sans l’autorisation de larédactrice en chef ou de l’auteur.

Le journal Adsum est une entité des Programmesde soutien du personnel (PSP) et est financé engrande partie par les fonds non publics. Lesrevenus générés par les annonces publicitairescontribuent en majeure partie au financement dujournal. Nous vous remercions d’encourager nosannonceurs.

Abonnement: 25,00 $ par année (22 éditions), taxes en sus

ISSN 0705-0992

ADRESSE :JOURNAL ADSUM

GARNISON VALCARTIER, BÂT. 200C.P. 1000, SUCC. FORCESCOURCELETTE (QUÉBEC)

G0A 4Z0

TÉLÉPHONE :(418) 844-5000, POSTE 5598

TÉLÉCOPIEUR : (418) 844-6934

COURRIER ÉLECTRONIQUE :+adsum@forces.gc.ca

35e année, No 16, mercredi 14 février 2007

PROCHAINE PARUTION :MERCREDI 28 FÉVRIER

DATE DE TOMBÉE : LUNDI 19 FÉVRIER

De l’instruction individuelle pour les membresde la Force opérationnelle 3-07Par le sous-lieutenant Alexandre DionneCommandant du peloton Instruction, 1 R22eR

Depuis le 15 janvier se déroule le coursd’opérateur tourelle à la Garnison Valcartier.Afin d’appuyer l’effort des unités de com-bat de Valcartier présentement enAfghanistan, une école de brigade a étémise sur pied pour former des soldats capa-bles d’opérer les véhicules à blindage légerde type III (VBL III), entrés en service en1998.

Le blindage des VBL III est un moyenefficace de protéger les soldats contre desattaques ennemies et leur puissance de feupermet d’effectuer des opérations offen-sives de taille. La demande toujours crois-sante de personnel apte à manœuvrerces véhicules est proportionnelle au besoingrandissant d’équiper les unités de com-bat de VBL III. La technologie avancée duVBL III fait en sorte qu’il est important debien connaître son équipement afin d’êtreaussi efficace que possible en terrain opéra-tionnel. Conséquemment, il est donc aussiimportant pour les unités d’avoir un bonbassin de personnel qualifié dans ce domainepour être prêt à fournir une relève au besoin.

Ainsi, à Valcartier, plusieurs instructeursexpérimentés sur les VBL III transmettentleur expertise aux nombreux candidatsprésents sur le cours dans le but de lesretourner dans leur unité d’appartenanceprêts à être employés sur ces véhicules.

Durant l’école de brigade, les élèvesrecevront une formation sur les principeset les techniques d’engagement de cibles,les procédures radio, le maniement desdiverses composantes du VBL III et de sessystèmes d’armes, son utilisation tactiqueet bien plus encore. Le tout sera couron-né par des exercices pratiques sur la gar-

nison et par des champs de tir réels à la findu cours. Pendant les quelques mois quirestent avant le déploiement de la Forceopérationnelle 3-07 (FO 3-07), le 5e Groupe-brigade mécanisé du Canada entend bienrelever haut la main son mandat de fournirà ses unités de combat des soldats quali-fiés sur les VBL III.

Le soldat Downing du 1er Bataillon du Royal 22e Régiment, à l’intérieur de la tourelle du VBL III, regardepar le système de visée pour faire l’acquisition d’une cible et garde sa main sur le manche pour l’engager.- Photo : cpl JRSE Blanchard, 1 R22eR

LE LIQUIDATEUR

Par internetmboilard@notarius.net

NotaireMario Boilard

Ste-Catherine 875-1671Valcartier 842-4448

Liquider une succession est une expériencequi peut vite se transformer en cauchemar si

vous n’êtes pas suffisamment préparé. De plus le liquidateur devra donner suite aux

volontés du défunt, que cela plaise ou non à son entourage.

Si le liquidateur a besoin de conseils, il nedevrait pas hésiter à consulter un profession-nel à chaque étape de la succession car cer-taines décisions peuvent entraînées des con-

séquences fiscales et civiles lourdes.

En effet, le liquidateur peut être tenu respons-able des dommages causés aux héritiers si cesderniers font la preuve qu’il y a eu négligence

dans l’accomplissement de ses fonctions.

Pour plus d’informations,

14 février 2007 / Adsum

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Jouer au SUDOKU, c’est simple. Une seulerègle : chaque ligne, colonne et carré de3 x 3 doit contenir tous les chiffres de 1 à 9.

VOTRE SUDOKU

Voir solution en page 14.

L’équipe de recrutement de la DeuxièmeForce opérationnelle interarmées à ValcartierL’équipe de recrutement de la Deuxième Forceopérationnelle interarmées sera à la GarnisonValcartier dans le cadre de sa campagne derecrutement annuelle. En effet, elle sera auSalon Multi-Défis (pièce no 2) le 1er mars,à 15 heures. Les recruteurs sont à la recherchede membres des Forces canadiennes intéressésà faire partie de l’unité, soit en qualité demembre de la force d’intervention spéciale,soit en qualité de personnel de soutien decette force.

En tant que membre de la Deuxième Forceopérationnelle interarmées (FOI 2), vousferez partie de la collectivité des opérationsspéciales et vous serez entraînés à réagir pra-tiquement sans préavis pour accomplir desmissions au pays et à l’étranger. Vous pren-drez part aux opérations antiterroristes et delibération d’otages du gouvernement fédéralet vous serez chargé de contrer les menacesqui pourraient peser sur la sécurité nationale.Vous subirez un entraînement intensif et con-tinu, et maintiendrez un état de préparationopérationnelle élevé, car vous pourrez êtreappelé, à court préavis, à partir en missionn’importe où dans le monde. Les membresde la FOI 2 sont des personnes très motivéesqui sont en bonne forme physique, possè-dent un bon esprit d’équipe et aiment releverdes défis. Si vous êtes prêt à relever le défique représente l’adhésion à la FOI 2, les recru-teurs seront là pour répondre à vos questionset vous renseigner lors de leur visite annuelleà la base.

La FOI 2, qui relève du Commandementde la Force d’opérations spéciales du Canada(COMFOSCAN) des Forces canadiennes (FC),est chargée de mener des opérations spécialeset antiterroristes et d’accomplir toute autremission en vue de contrer une menace poten-tielle pour la sécurité nationale. Les mem-bres de la FOI 2 acquièrent et perfectionnentleurs compétences dans les domaines spé-cialisés suivants : tactiques, armes, explosifset équipement. La FOI 2 donne un entraîne-ment réaliste afin que ses membres soientprêts à réagir face aux menaces réelles quiexistent dans le contexte géopolitique actuel,qui s’avère plutôt instable.

Chaque année, la FOI 2 recrute les mem-bres des FC qui sont mûrs, dignes de confi-ance, dévoués et en bonne santé physique etmentale. Les recrues doivent être des profes-sionnels militaires dévoués et très intègresqui sont prêts à se rendre au bout d’eux-mêmes.

UNE UNITÉ, DEUX CATÉGORIESLa FOI 2 englobe deux catégories de person-nel, A et B.

Le personnel de la catégorie A, c’est-à-direles membres de la force d’intervention spé-ciale, contribue directement aux aspects tac-tiques de la mission d’une unité.

Quant au personnel de la catégorie B, c’est-à-dire les capitaines d’armes - opérations spé-ciales, les spécialistes et le personnel de sou-tien, il assure le soutien logistique desopérations et remplit des fonctions de serv-ice de soutien.

COMMENT POSER SA CANDIDATURELes membres de la Force régulière ayant accu-mulé au moins deux années de service, ainsique les réservistes ayant accumulé trois annéesde service et qui possèdent toutes les quali-fications de leur GPM peuvent poser leur can-didature par l’entremise de leur chaîne decommandement. Il suffit de remplir le for-mulaire de candidature - FOI 2. Les aspirantsmembres de la FOI 2 doivent réussir l’épreuved’aptitude physique applicable à leur caté-gorie d’emploi à l’unité.

Tous les membres des FC ont le droit deposer leur candidature pour faire partie dela FOI 2 à condition de répondre aux critèresd’admissibilité de base.

Pour les candidats de la catégorie A, onprocède à la présélection, aux entrevues et àl’évaluation de la capacité cognitive au bureaude sélection du personnel de la base. Les can-didats admissibles sont invités à participerà un processus de sélection d’une durée desept jours (dix jours dans le cas d’officiers) àl’unité. Ils peuvent se procurer un programmede préparation à la présélection au bureauPSP de leur base, et on les encourage forte-ment à s’en prévaloir. Les candidats aux postesde capitaine d’armes pour opérations spé-ciales font eux aussi l’objet d’un processusde sélection.

En ce qui a trait aux spécialistes et aupersonnel de soutien, ils sont choisis en fonc-tion de leurs compétences professionnelles,leur rendement au travail, leurs qualifica-tions et leurs qualités personnelles.Les candidats retenus sont invités à l’unitépour une entrevue d’emploi et une évalua-tion psychologique.

SÉANCES D’INFORMATIONDANS LES BASES

L’équipe de recrutement de la FOI 2 tiendra desséances d’information à la Garnison Valcartier et dansles bases à l’échelle du pays. Tous les militairesintéressés et leur conjoint ou conjointe y sont invités.Pour des raisons de sécurité, les militaires devrontprésenter leur carte d’identité militaire à l’entrée.Pour obtenir des précisions sur la FOI 2 et lacampagne de recrutement de cette année,veuillez visiter le site Web de l’unité (Internet)http://www.cansofcom.forces.gc.ca/fr/recruiting_f.aspou (Intranet du MDN) : http://www.cansofcom-com-foscan.mil.ca./fr/recruiting_f.aspLes militaires peuvent également téléphoner à la ligned’information de la FOI 2, au 1 800 959-9188. Pendantles visites dans les bases, vous pouvez joindre l’équipede recrutement de la FOI 2 au numéro de téléavertis-seur 1 888 501-8276.Si vous souhaitez obtenir de plus amples renseigne-ments sur la campagne de recrutement, veuillez con-sulter le CANFORGEN portant sur la campagne derecrutement de la FOI 2, qui a été publié au débutde 2007.Pour vous renseigner davantage sur leCommandement de la Force d’opérations spéciales duCanada (COMFOSCAN), rendez-vous à l’adresseInternet suivante : http://www.cansofcom.forces.gc.ca

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QUALIFICATION MILITAIRE DE BASE - TERRE 0622

Du jamais vu!Par le soldat Sabrina LessardCandidate sur le cours QMB-T 0622 au CI SQFT

Le 9 janvier 2007, débutait le premiercours de Qualification militaire debase (Terre), qui remplace le cours deQualification de soldat.Les 33 soldats prenant part à ce cours d’unevingtaine de jours proviennent des trois coursde Qualification militaire de base qui se sontterminés à Saint-Jean et à Valcartier décem-bre 2006. C’est après des vacances bien méritéesque la majorité des soldats de l’Armée de terrenon fantassins, qui constituaient le pelotonde la Qualification militaire de base 0603 deValcartier, et les nouveaux arrivants étaientprêts à entamer la formation.

Revêtant une formule plus condensée, cenouveau cours, donné au Centre d’instruction

du Secteur de la Force terrestre, consiste prin-cipalement à se familiariser avec les notionsde base relatives au métier d’infanterie. C’estsous l’égide du sous-lieutenant ChristianMaranda, de l’adjudant Fréderic Caron et d’uneéquipe d’instructeurs expérimentés que lessoldats du cours pilote QMB-T 0622 assimi-lent les diverses notions essentielles à la réus-site du cours : manipulation des armes de typeC-6 et C-9 ainsi que lancer de la grenade. Selonle soldat Anik Dubois, la pertinence d’un telcours ne fait aucun doute compte tenu de lasituation actuelle en Afghanistan : «De plusen plus, les soldats de divers métiers ont à faireface à des attaques ou à des embuscades.»

De plus, afin de s’assurer que le travail d’équipeprime au sein du peloton, les soldats devaientatteindre, en moins de deux semaines, un stan-dard à la hauteur des attentes du major LaurentGiroux, commandant de la compagnie B. Grâceà un esprit d’équipe fortifié par des instruc-teurs acharnés, il a été possible d’allier les dif-férentes forces des soldats du peloton et ainsid’imposer un standard plus élevé que certainspelotons ont atteint en quatre semaines. «Jesuis heureux de constater que la majorité dugroupe a du cœur au ventre», affirme le capo-ral Philippe Lacroix, candidat sur le cours.

Déjà à la fin de la troisième semaine, les sol-dats auront réussi avec succès l’examen dela mitrailleuse polyvalente C-6, de la mitrailleuselégère C-9 ainsi que le tir de la grenade. Lachimie du groupe, déjà palpable après deuxsemaines, laisse croire que l’exercice en cam-pagne sera une réussite. Cette harmonie, faci-litant la cohésion du groupe, nous aidera sansdoute à surmonter les différentes épreuves dela semaine d’exercice en campagne superviséepar les instructeurs appartenant principale-ment au Royal 22e Régiment. Il faut dire quedéjà, les quelques marches de retour aprèsdivers exercices, donnent un excellent préludeà l’exercice final du cours. Sur ce, le pelotonQMB-T 0622 conclut selon sa devise : «Toujoursprêts!».

Sur le champ de tir grenade de Valcartier,la soldat Sabrina Lessard est la premièrecandidate du cours à lancer sa grenade.

Changement de commandantd’escadron au 5 RGCPar l’adjudant-maître Michel RivardSergent-major, 58e Escadron de comman-dement et services, 5 RGC

Le 25 janvier a eu lieu lechangement de commandantdu 58e Escadron de comman-dement et services, entre lemajor Réjean Côté et le majorCaroline Lapalme. Le lieu-tenant-colonel Jaques O’Keefe,commandant du 5e Régimentdu génie de combat, présidaitcette cérémonie de passationde commandement. Après plus de six mois commecommandant du 58 Esc C&S, lemaj Côté laisse sa place au majLapalme. Le maj Côté nous quitteaprès plus de 27 ans de serviceau sein des Forces canadiennes,dont plus de 15 ans au 5 RGC.Son passage au 5 RGC aura mar-

qué le personnel. Il a su main-tenir la réputation d’excel-lence du régiment tout aulong de sa carrière. Récem-ment promu au grade demajor, le maj Lapalme estenthousiaste à l’idée de pren-dre les rênes du 58 Esc C&S.

Le lcol O’Keefe a profitéde l’occasion pour remettrele certificat de fin de serviceau caporal-chef StéphaneMélançon de la troupe demaintenance. Le cplcMélançon a servi au sein desForces canadiennes du2 février 1987 au 2 février2007. Il fait partie du5 RGC depuis le 14 juin 2003.Le 5 RGC lui souhaite unebonne retraite, ainsi quedu succès dans ses futursprojets.

Le caporal-chef StéphaneMélançon quitte les Forcescanadiennes après 20 ansde service.

Major Caroline Lapalmecommandera le 58e Esca-dron de commandement etservices en remplacementdu major Réjean Côté.- Photo : cpl D. Morissette

Exercice MERCUREÉLÉMENTAIRE au QGETPar soldat Denis LabrecqueOpérateur des transmissions au QGET

La troupe B du Quartier général et escadrondes transmissions (QGET) a effectué un exer-cice intitulé MERCURE ÉLÉMENTAIRE du23 au 25 janvier. Au total, 27 personnes y ontparticipé. Le but de l’exercice était de rafraîchirles compétences des opérateurs de la troupeB, et de permettre à des soldats et à des capo-raux des troupes A et PC d’élargir leurs con-naissances sur l’équipement et le fonction-nement général de la troupe B.

L’exercice s’est déroulé au camp Vimy dela Garnison Valcartier. Deux nœuds radio deQG étaient employés dont un était le noeudprincipal et l’autre le noeud secondaire. Lacommunication entre les nœuds passait parun radio relais avec un lien hertzien. Chaquenœud comprenait un radio relais, un TCV(«tactical control vehicule»), un TTM (ter-minal de transmission moyen) et un Rad V(VSLR). De plus, il y avait un VSLR (PC) quiétait au QGET pour les communications entrele QG et le personnel de l’exercice. À l’intérieurdes nœuds, les véhicules étaient reliés parfibre optique.

Le personnel en provenance des autrestroupes a reçu une formation portant sur lefonctionnement du matériel par les chefs denœuds. Le personnel des troupes A et PC aappris le montage de différentes antennes(Launcher, mât de 10,5 mètres avec bande

quatre et mât Vixam) pour le radio relais ainsique les possibilités de branchement entre lesvéhicules et les différentes façons d’organi-ser les nœuds.

Voici un exemple de configuration : unnœud de QG sans Rad V communique parradio relais à un autre nœud qui possède unRad V, alors le nœud de QG peut communi-quer par les airs avec le Rad V de l’autre nœud.

Nous avons dû faire face à des problèmescausés par le froid, mais nous avons réussi àsurmonter les problèmes.

Félicitations pour l’esprit de corps entreles différentes troupes, ainsi que pour lepartage des méthodes de travail.

Radio relais avec TCV - Photo : cplc A. Coulombe

Une visite mémorablePar le sous-lieutenant Lussier-Nivischiuk12 Régiment blindé du Canada

C’est par une douce journée de décembre quetrois jeunes officiers du 12e Régiment blindédu Canada ont eu l’honneur de rencontrer,dans sa résidence de Pierrefonds, un des hommesqui a contribué, plus souvent qu’à son tour, àmodeler l’excellente réputation de leur unité.

La Sicile, le nord de l’Italie, l’Europe del’Ouest. Le lieutenant-colonel à la retraite FrankW. Johnson a participé activement aux cam-pagnes de la Seconde guerre mondiale. Levétéran, modeste, a su rappeler au lieutenantNicolas Wheeler, au lieutenant Scott Fowleret au sous-lieutenant Nicolas Lussier-Nivischiukl’importance de la camaraderie qui unit lesmilitaires en temps de guerre. La fierté qu’ilressent face aux incroyables accomplissementsdu Three Rivers Regiment est difficilementdescriptible. Il est sûr d’une chose : les troupesqui l’entouraient étaient plus que compétentes.

Chargée d’émotions par mo-ments, cette rencontre a permisaux lieutenants de donner un vi-sage humain à l’histoire régimen-taire. En effet, une simple photode M. Johnson en uniforme alorsqu’il était dans la vingtaine a per-mis aux visiteurs, pour un instant,d’imaginer ce que pouvait être lavie de l’époque. Les récits de cedernier nous ont transportés à Trois-Rivières dans les années 1930 durantdes parties de basketball aprêmentdisputées ou lorsque le régiment,de retour au Canada, a paradé dansles rues de sa ville natale. Sans oublier les his-toires de guerre provenant des nombreusescampagnes auxquelles il a participé.

En somme, le lieutenant-colonel à la retraiteJohnson a su capter l’attention de ses visiteurset leur a fait redécouvrir l’importance de porterle flambeau régimentaire bien haut. De bons

hommes ont donné leur vie pour des idéauxqui leur tenaient à cœur. À nous de les hono-rer en continuant de les défendreet en portant fièrement les armoiries d’uneville qui a vu une génération de jeunes hommespartir au combat pour une cause desplus noble.

Le lieutenant-colonel Frank W. Johnson a participé aux cam-pagnes de la Sicile, du nord de l’Italie et de l’Europe de l’Ouest.

14 février 2007 / Adsum

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UN DRAPEAU CANADIEN HUMAINPendant que 2300 de nos militaires de Valcartier s’entraînent intensément à Fort Bliss au Texas en vue de leur déploiement en Afghanistan l’été prochain, un premier groupe de 120 soldats a quitté le 19 jan-vier la base de Gagetown au Nouveau-Brunswick en direction de Kandahar pour y relever leurs confrères d’arme. Ces militaires ont eu droit à une démonstration éclatante de solidarité de la part de leur com-munauté. Dans le cadre des «Vendredis rouges», le Centre de ressources pour les familles de l’endroit a organisé une activité toute spéciale, en même temps qu’une journée familiale, afin de donner à la col-lectivité de Gagetown l’occasion de démontrer son soutien aux militaires et de souligner avec dignité leur départ. Plus de 3000 personnes, des amis et voisins, se sont rassemblées sur le terrain de soccer letemps d’une photo, tâchant par tous les moyens de se dénicher une petite place sur la neige, en tenant un carton rouge pour former le plus gros unifolié «vivant» du pays. Belle initiative! (Y.B.)

Photo : sdt S. Adamson, Imagerie BFC Gagetown

1- 30 janvier 2007 - Le caporal Francois Boutin, de la Compagnie de protec-tion de la force, fait le guet sur le site de l’Université de Kandahar pourassurer la sécurité de l’Équipe de reconstruction provinciale.

2- 21 janvier 2007 - Le commandant de la Compagnie de protection de laforce, le major Richard Collin, mène une patrouille formée de Canadienset de Français à travers les rues de Kandahar.

3- 21 janvier 2007 - Le commandant de la Compagnie de protection de laforce, le major Richard Collin, et le capitaine Dan Richel, tous les deuxmembres de la compagnie C, du 1er Bataillon Royal 22e Régiment, avant ledépart d’une patrouille qui protègera l’Équipe de reconstruction provin-ciale de Kandahar.

LES NOTRES EN AFGHANISTAN

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Par le capitaine Jonathan HubbleO Rens, 2e Bataillon, Royal 22e Régiment

L’adjudant Éric Lapalme prend sa retraitede la Force régulière après 21 ans de ser-vice, passés principalement au sein du2e Bataillon,Royal 22e

Régiment. Enplus d’avoirservi dans l’in-fanterie, il aoccupé despostes d’instruc-tion tant auxécoles de com-bat qu’avec lesRangers cana-diens dans leGrand nord.L’ a d j u d a n tLapalme a servioutremer àChypres, enCroatie et enHaïti.

L’adjudant Lapalme quitte la Forcerégulière en vue de démarrer une entre-prise en rénovation. Le résidant de PontRouge restera au sein des Forces canadi-ennes comme membre du Régiment dela Chaudière. Lorsqu’on lui demande quelsconseils il donnerait à des nouvelles recrues,il répond après une courte réflexion : «Lafranchise est une belle vertu. Bâtissez voscarrières sur cette vertu, et elle sera longueet payante.»

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07Le 2 R22eRsouligne avecdignité le départde ses membres

L’adjudant Éric Lapalmequitte les Forces canadiennesen vue de démarrer uneentreprise de rénovation.

Mission accomplie pour le coursQMB 0603!Par le soldat Sabrina LessardCandidate sur le QMB 0603 au CI SQFT

Au Centre d’instruction du Secteurdu Québec de la Force terrestre, c’estle 4 décembre 2006 que débutait lepoint culminant d’un séjour de13 semaines pour les 47 soldats dunouveau cours de Qualificationmilitaire de base, leur exercice final.

Sous l’égide du capitaine Courchesne, del’adjudant Gravel et des commandants de sec-tion, le peloton de la Qualification militairede base (améliorée) 0603 a donc passé qua-tre jours dans les secteurs d’entraînement,près de la maison bleue. La mission du pelo-ton : «assurer la sécurité du village et le défendrecontre toutes attaques».

L’enseignement, donné méticuleusementpar les instructeurs expérimentés tout au longdes trois derniers mois, a permis aux futurssoldats de bien réagir aux divers scénariossusceptibles d’être rencontrés en terrain opéra-tionnel. «J’ai eu la chance de vivre d’intéres-santes simulations de guerre», affirme le sol-dat Stéphane Coulombe. Ceux-ci devaient,entre autres, effectuer tour à tour différentespatrouilles sur le terrain et assurer le contrôlede la guérite donnant accès au village. De parcet exercice, il a été également possible d’ob-server la témérité des différents soldats, notam-ment celle de Bruno-Pierre Paquette. Celui-ci s’est courageusement rué vers l’ennemil’empêchant ainsi d’infiltrer le village.

Avides de sensations fortes, certains soldatsdu peloton demandaient encore plus d’actionen début de semaine. Ils furent sans aucundoute servis lors de la dernière nuit, car plusieursattaques nocturnes ont eu lieu. Malgré lafatigue accumulée, le sens de l’urgence dévelop-pé chez les recrues était toujours présent àminuit sonnant. S’inspirant de la devise queprône l’adjudant Luc Gravel, le peloton était

toujours prêt! Les recrues des quatre sectionsdistinctes du peloton se sont habillées à lavitesse de l’éclair pour aller combattre l’enne-mi alors que d’autres assuraient la sécuritéau poste de commandement. Selon les deuxpersonnes au poste de commandement, il futplus difficile de contrer le sommeil que devaincre l’ennemi avec la symphonie de ron-flement soufflée par le personnel instructeurce soir-là.

Puisque l’ignorance n’est plus une excusepour le peloton, il va de soi que les recruessavaient comment réagir et appliquer les dif-férentes notions acquises au cours du trimestrelors de l’attaque finale. Pour le soldat Ouellet,les différentes tactiques pratiquées dans cetexercice en campagne ont démontré l’impor-tance réelle de la profession des armes dansles Forces canadiennes.

Outre les différentes tactiques assimiléesdurant cet exercice, il a été possible de cons-tater l’importance d’exercer un perpétueltravail d’équipe dans pareille situation. Le sol-dat Nancy Baril a qualifié cette expérience

Les soldats Benjamen Séguin-Pénelle à gauche et William Ouelletà droite contrôlent l’accès du village durant l’exercice final de leurcours de qualification militaire de base.

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À la fin de cet exercice, même si la fatigueétait palpable au sein du peloton, par-dessustout, il était possible de ressentir un puissantsentiment de fierté émanant de ce grand accom-plissement. «Ce fut une expérience comme jen’en avais jamais connue! Difficile physique-ment, mais combien importante pour ma car-rière!» a déclaré le soldat Stéphane Dion qui,à 38 ans, est le doyen du peloton. Quant ausoldat Anissa Gray, elle affirme qu’elle se sou-viendra toute sa vie de sa première expériencedans le «clos» où elle a eu droit à un specta-cle pyrotechnique dépassant ses attentes!

La fin de cet exercice a été marquée par unpuissant cri de guerre adroitement orchestrépar le soldat Bruno-Pierre Paquette : «QMB0603 : dress, drill, discipline!» s’est écrié d’uneseule voix le peloton.

14 février 2007 / Adsum

/ Page 11En garde!Par le caporal-chef Erica OliverCandidate sur le cours d’instructeur en combat rap-proché au CI SQFT

Le 13 décembre 2006 au Centred’instruction du Secteur du Québecde la Force terrestre, 11 candidatsont terminé avec succès une forma-tion intensive de 25 jours qui leur aoctroyé la qualification d’instructeuren techniques de combat rapproché.

Le 8 novembre, 16 personnes provenantde différents régiments ont débuté un coursde combat rapproché de base. Comme laplupart d’entre nous en avaient été infor-més, nous nous engagions dans un coursplein de défis qui allait nous demander nonseulement d’être en très bonne formephysique, mais également d’être très alertesmentalement. Nous l’avons d’ailleursconstaté rapidement, lorsque après troisjours, nous avions déjà perdu deux collèguesde cours.

Les deux premiers jours du cours ont prisd’assaut tous nos muscles, alors que nousdevenions rapidement familiers avec l’ex-ercice préféré du sergent Dominic April etdu caporal-chef Sylvain Fortier : les fentes!Cependant, malgré plusieurs paires dejambes endolories et de multiples couchesd’A5-35, nous avons poursuivi l’entraîne-ment.

ENTRAÎNEMENT PHYSIQUE, BOXEET PUGILATCe cours a engendré deux sessions d’en-traînement physique par jour, qui étaienttous à caractère cardiovasculaire de com-bat spécifique. Nous avions égalementplusieurs combats chaque jour afin de met-tre en pratique ce qui avait été appris dansles leçons précédentes. Tous les entraîne-ments physiques ont été jumelés avec de laboxe et du pugilat. Ces leçons, qui sedéroulaient durant la plus grande partie dela journée, n’ont pas laissé beaucoup de

l’utilisation des différentes tech-niques enseignées durant lecours et ce, dans un environ-nement recréant la réalité. Ensomme, chacun de nous a beau-coup appris avec beaucoup deplaisir. Une fois les tests finauxcomplétés, nous nous sommesvus remettre nos certificatsattestant que nous avions com-plété le cours avec succès.

À NOUS D’ENSEIGNERLE COMBATLe 17 novembre, 12 d’entre nousont poursuivi l’aventure avecle cours d’instructeur en com-bat rapproché qui, comme lecours de base, comportait sonlot de nouveaux concepts et dedéfis. Nous avons davantageappris de nouvelles techniqueset d’une façon encore plus détail-lée par rapport au cours de base.Nous avons également apprisà enseigner ces techniques àd’autres stagiaires.

L’allure du cours n’a cepen-dant pas changé, et nous par-ticipions toujours à deux ses-sions d’entraînement physiquepar jour, dirigées par les étudi-ants eux-mêmes. Si les instruc-teurs ne trouvaient pas l’en-traînement à leur goût, nous

avions droit à un entraînement physiquemené par le sergent April et le caporal-chefFortier pour nous rappeler rapidement lebut des entraînements que nous devionsdonner.

Le contenu du cours d’instructeur en tech-niques de combat rapproché est très intéres-sant, et nous avons appris plusieurs tech-niques différentes et ce, dans des styles variéstels que Jiu-Jitsu, Aïkido, la boxe, et monpréféré : le combat au sol. Cette partie ducours a été très captivante, et le sergent Aprila même invité un maître (RENSHI) durantun cours afin qu’il nous enseigne de nou-velles techniques, ainsi que des variationssur les méthodes déjà apprises.

Ensuite, nous avons appris commentmanipuler et se défendre contre des armesd’impact, telles que couteaux, kalistickset bâtons télescopiques. Même si nous nousentraînions avec des couteaux de caoutchouc,le sergent Patrice Charette du 3e Bataillon,Royal 22e Régiment a quand même trouvéle moyen de se couper! Et malgré ses blessuresde combat, il s’est relevé et a continué lecombat!

Durant ce cours, nous avons égalementeu l’opportunité de développer notre pro-pre circuit avec scénarios, matériel, etc. Lecircuit proposé par le caporal-chef Paul-André Forgues a été retenu et nous l’avonsbâti. Les caporaux Maxime Lehaye-Lemay,Jonathan Dion, Alex Bélanger et le caporal-chef Roch Valcourt ont été appelés à testerce circuit et l’ont tous trouvé digne pourpratiquer les techniques apprises. Le scé-nario créé par le cplc Forgues était de pre-mier ordre et a requis beaucoup d’habiletéstelles que parachutisme, techniques en cam-pagne et bien sûr, du combat rapproché àla baïonnette et à mains nues.

DE MEILLEURS COMBATTANTSNous accomplissons actuellement notredernière semaine de cours et avons bienhâte de terminer. Nous retirons tous uneexcellente expérience de ces deux cours. Ceque j’ai personnellement le plus aimé, c’estque tout ce que nous avons appris, nouspouvons l’appliquer dans notre vie de tousles jours et dans le cadre de notre carrièremilitaire. Nous nous sommes tous retrou-vés un jour ou l’autre dans une situationdangereuse, que ce soit en mission et mêmeici. Ce cours nous a donné des outils pournous permettre de résoudre ces situations.La qualification des soldats au cours decombat rapproché devrait être obliga-toire dans les unités du fait qu’on y enseignel’autodiscipline. Donc, il est important qu’oninsiste sur l’importance de la forme physique,ce qui fait que cela contribue à l’estime desoi. Les leçons et les techniques apprisesnous serviront un jour et ont définitivementfait de nous de meilleurs combattants.

Le Renshi Goudreault donne quelques conseils à la caporal-chefErica Oliver durant une tentative de renversement contre le capo-ral Maxime Lahaye-Lemay lors du combat au sol.

temps ni d’énergie pour de l’entraînementsupplémentaire après le travail, et ce, mal-gré nos bonnes intentions!

Malgré la fatigue accumulée, tous les sta-giaires ont gardé une attitude positive etdémontré beaucoup d’enthousiasme pourl’apprentissage de la progression de la force,des points de pression, des régions de frappedu corps et des différentes techniques demise à terre.

Le cours de base en combat rapprochés’est terminé avec un exercice réalisable,mais très éprouvant. Ce test est conçu pourle combat rapproché à la baïonnette et per-met non seulement d’évaluer notre façonde transiger avec l’obstacle, mais également

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14 février 2007 / Adsum

/ Page 13QUAND LE CONJOINT MILITAIRE S’ABSENTE

Nouveau service de garde pour permettre aux famillesde pratiquer sports et loisirs en soirée

Déneigement sur la garnison :un hiver bien tranquille!

CHRONIQUE LLECTURE

Qui suis-je?Redécouvrir son identité

Le désir de plaire et deconsommer à tout prixnous mène à porter unjugement sévère surnous-mêmes, ce quinous conduit trop sou-vent à des impassespersonnelles. Le faitd’exiger toujours plusde nous-mêmes nenous amène-t-il pas à

nous perdre et à perdre de vue ce qui estessentiel? Le livre de Nicolas Sarrasin nousmontre comment accepter de nousaccorder la valeur que nous méritons. Ilnous aide à prendre de l’autonomie et àdevenir pleinement nous-mêmes!

TITRE : QUI SUIS-JE?REDÉCOUVRIR SON IDENTITÉ

AUTEURS : Nicolas SarrasinÉDITEUR : Les Éditions de l’HommePAGES : 288PRIX : 24,95$

Le commentairede notre lectrice volontaire

Par le caporal Chantal Taillon ,5e Peloton de police militaire

«L’IDENTITÉ N’EST PAS DONNÉUNE FOIS POUR TOUTES, ELLE

SE CONSTRUIT ET SE TRANSFORMETOUT AU LONG DE L’EXISTENCE.»

- AMIN MAALOUFVoilà ce que l’auteur nous explique dans sonouvrage. Comment vaincre les déséquilibresidentitaires comme la culpabilité, le manqued’estime de soi, le dénigrement des autres etcomment nous reconstruire?On tarde à arriver dans le vif du sujet et lesmises en situation de la vie courante auraientpu être plus élaborées. Mais ce que j’ai appré-cié, outre le fait d’avoir acquis de nouvellesconnaissances et quelques sons de cloche surmes propres lacunes identitaires, sont lespensées choisies à chaque début de chapitrequi portent à réflexion et l’aide que l’auteurest aller chercher dans les fables de la Grèceantique pour imager certaines notions.Même si le livre nous demande une bonneconcentration à la lecture, il nous apporteune lumière sur les comportements des autreset sur nous-même.

Par Yan BélangerJournal Adsum

Saviez-vous qu’après chaque tempête, entre72 et 96 heures de travail sont nécessairespour déneiger en totalité la Garnison Valcartieret les secteurs d’entraînement? Cela dépendbien évidemment de la quantité de neigetombée au sol.

Les opérations de déneigement sur la gar-nison relèvent de la section Routes et Terrainsdu service du Génie; aucun entrepreneurn’est engagé pour ce travail. Chaque bordéede neige entraîne donc un travail colossalqui exige une planification préalable rigoureuseafin d’affecter, au bon moment et au bonendroit, le personnel et la machinerie lourde.

Au total, ce sont 12 manœuvres et 30 opéra-teurs de machinerie lourde, tous des employéscivils, qui se partagent le travail de déneige-ment, répartis sur trois quarts de travail.Pendant que les uns manient la pelle pourdégager l’accès aux bâtiments et les instal-lations d’urgence, les autres défilent dans lesrues et stationnements de la garnison auxcommandes des souffleurs, niveleuses, char-rues, chargeuses et tracteurs qui composentla flotte de la section.

L’an dernier, les accumulations de neigeau sol, qui ont atteint plus de 480 centimètres,ont donné bien des maux de tête autant auxusagers de la route qu’à ceux qui avaient laresponsabilité de les dégager. Cette année,

on est encore loin du compte avec moins de50 cm.

La tâche qui est considérée comme la plusexigeante pour le personnel affecté au déneige-

Marcel Langlois, 59 ans, employé civil à la sectionRoutes et Terrains du service du Génie sur la GarnisonValcartier, s’affaire à dégager une borne-fontaineaprès une faible accumulation de neige au sol. Il enest à ses dernières pelletées puisqu’il tirera sarévérence l’automne prochain pour une retraite bienméritée après 30 ans de bons et loyaux services pourla Défense nationale.

Par Yan BélangerJournal Adsum

Lorsque le conjoint militaire s’absen-tera pour raison professionnelle, celuiou celle qui «tient le fort» pourra désor-mais confier les petits au nouveau ser-vice de garde offert par les Loisirs com-munautaires afin de pouvoir pratiquerson sport ou son loisir préféré en soirée.Trouver une gardienne en qui on peut avoirune confiance absolue pour lui confier lagarde de ses enfants représente souvent uncasse-tête pour les parents. Afin de comblerun besoin exprimé par les membres de notrecommunauté, les Loisirs communautaires,en collaboration avec la halte-garderie duCentre de la famille Valcartier, offre depuisaujourd’hui un service de garde à prix mod-ique. Ce projet-pilote qui durera jusqu’aumois de mai s’adresse à ceux et celles quiveulent s’adonner à la pratique de leurs activ-ités sportives et de loisirs en soirée.

«Plusieurs conjointes et conjoints nousont indiqué qu’ils ne pouvaient profiter denos activités en soirée, n’ayant personne pour

faire garder les enfants. Cela est particulière-ment vrai lorsque la personne militaire dansle couple s’absente», affirme Martin Juneau,directeur des Loisirs communautaires surla Garnison Valcartier.

Ce nouveau service s’adresse exclusive-ment aux familles vivant l’absence prolongéed’un proche militaire et est offert en prio-rité aux membres du Plan sports et loisirs(PSL). «Seuls les enfants âgés entre 0 et5 ans sont admissibles. S’il reste des placesde garde disponibles, le service sera éten-du à l’ensemble de la communauté», préciseM. Juneau.

Les frais de garde ont été fixés à 3,25$ parheure par enfant pour les membres PSL età 3,50$ pour les non-membres. Un rabaiss’applique également selon le nombre d’en-fants que chaque famille confie au servicede garde.

Le service de halte-garderie en soirée seradisponible, au début trois soirs par semaine,les mardi, mercredi et jeudi soirs, de 18 heures

à 21 heures, question de permettre aux respon-sables d’évaluer la pertinence de maintenirle service ou encore de l’augmenter.

Le 5e Groupe de soutien de secteur s’estengagé, pour sa part, à absorber le manqueà gagner pour les soirées à faible achalandageafin de couvrir les frais d’exploitation crééspar ce nouveau service. Advenant le cas oùdes profits seraient enregistrés, ils serontréinjectés dans le service de halte-garderiepour équiper la Maison Sésame.

Le nouveau service n’est offert que sur réservation,24 heures à l’avance, auprès de Nathalie Boudreault,coordonnatrice des services de la petite enfance au844-6060. Les gens qui désirent cependant obtenirde plus amples informations sur le sujet doiventcomposer le 844-5000, poste 5226.

Photo : Y. Bélanger

DES KILOMÈTRES DE DÉNEIGEMENT...- 70 km de routes- Plus de 150 km de chemins en terre dans les

secteurs d’entraînement- 7,5 km de piste cyclable et multifonctionnelle- 850 000 mètres carrés d’espaces de stationnement- Budget annuel : 200 000$ (excluant la masse

salariale) pour l’essence et l’achat d’abrasifs

ment est l’entretien de l’héliport du 430e

Escadron tactique d’hélicoptères. L’héliportdemande en effet un traitement particulierpuisque l’endroit doit être maintenu sur lebéton à l’année. Et le sel n’est pas permis!On utilise plutôt de l’urée avant les précipi-tations pour éviter toute corrosion sur lesappareils.

Les secteurs d’entraînement, avec leursroutes de terre sinueuses et souvent glacéesen hiver, ne sont pas en reste. Qu’à cela netienne, nos courageux «déneigeurs» veillentà ouvrir les routes pour tous.

LA VALSE DES REMORQUAGESLes militaires qui demeurent dans les loge-ments pour célibataires sur la garnison doiventapporter une attention spéciale à la signa-lisation qui les avertit qu’il y aura du déneige-ment au cours de la nuit. Lorsque les feuxclignotent, ils doivent déplacer leur véhicule,soit sur le terrain de parade, soit dans le sta-tionnement longue durée situé à côté du bâti-ment 515. Malheureusement, malgré les avisrépétés, chaque opération de déneigemententraîne plus de 60 remorquages de véhicules;ce qui complique grandement le travail dupersonnel de la section Routes et Terrains.

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07Jean-Claude Bernard, coiffeur auComplexe naval de la Pointe-à-CarcyPar Yan BélangerJournal Adsum

Installé dans un local intime du deux-ième étage des Résidences du Complexenaval de la Pointe-à-Carcy, dans le Vieux-Port, Jean-Claude Bernard, coiffeur,manœuvre depuis 50 ans les ciseauxavec la même passion qu’à ses débutsen France. L’Adsum y a fait un détourpour le rencontrer. PORTRAIT«Lorsque j’ai un nouveau client, je lui dis queje vais lui faire la coupe que je connais si bienmais que je fais si mal», lance à la blaguel’homme qui entend souvent à rire. Né àLa Rochelle en France, une petite ville côtièresituée à plus de 400 km au sud-ouest de Paris,Jean-Claude Bernard, 64 ans, s’est installéau Canada en mai 1968 avec l’intention d’yfonder une famille. Aujourd’hui, il tient unpetit salon de coiffure pour hommes sous labannière Coiffure de la Marine au Complexenaval de la Pointe-à-Carcy. «M. Bernardest une personne cultivée et très proche desgens. Avec lui, un calembour n’attend pasl’autre», indique le capitaine de corvette LucCharron, officier des affaires publiques pourla Réserve navale et aussi fidèle client de l’en-droit.

Depuis 12 ans, employés civils et marinsdu Quartier général de la Réserve navale etde l’École navale des Forces canadiennes,fantassins et militaires de l’Aviation venusparfaire leur formation, défilent chaque joursur sa chaise le temps de se refaire une tête.La coupe militaire, il connaît! Notre cousinfrançais a aussi fait son service militaireobligatoire et servi quelques années commesoldat du feu et coiffeur de compagnie à sacaserne d’affectation avec la Brigade dessapeurs-pompiers de Paris. «Lorsque mesclients me disent qu’ils veulent les cheveuxcourts, il faut savoir que c’est différent pourchacun selon qu’ils sont de l’Armée, de laMarine ou de l’Aviation. Vous savez, je suisprivilégié d’être ici, poursuit le coiffeur. Lesmilitaires sont des gens agréables à côtoyer.Mon salon est ouvert aussi au grand public.C’était ma seule condition lorsqu’on m’adonné l’occasion de m’installer ici.»

Lorsqu’il a immigré au Canada, Jean-Claudecumulait déjà plusieurs années de métier.«J’ai commencé mon apprentissage commecoiffeur à l’âge de 14 ans. J’ai fait des stagesdans des écoles de coiffure à Paris, notam-ment chez Perma et Eugène-Galia commecoloriste et permanentiste et j’ai par la suitetravaillé dans plusieurs salons.»

À Québec, il a décroché son premier emploiauprès d’un Italien, Renosto, qui tenait unsalon de coiffure rue Saint-Jean et travailléde nombreuses années pour les salons LaurentVeilleux et Darbourgs avant de finalementse lancer en affaires. «J’ai possédé trois salonsLa coiffure Bernard, dont un était situé surla rue de la Canardière.»

Depuis qu’il est installé confortablementà Pointe-à-Carcy, Jean-Claude Bernardjouit d’une pré-retraite. Avec 2300 clientspar année, il trouve le temps de respirerun peu entre les coupes et de profiter delongs weekends de trois jours. Ce derniercompte bien continuer dans le métier encoredix ans si la santé le lui permet. Vous aurezdonc suffisamment de temps pour faireun détour par le Vieux-Port afin de faire sarencontre.

Jean-Claude Bernard, coiffeur au Complexe navalde la Pointe-à-Carcy, coiffe une connaissance etami de longue date, Michel Desprès. Ce dernier estfidèle à son barbier depuis 30 ans. - Photo : Y. Bélanger, journal Adsum

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14 février 2007 / Adsum

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À : Émilie AllaireDe : Stéphane Lessard

Bonne Saint-Valentin mon amour. Je t’aime.

À : Shari RooneyDe : Daniel Kucherhan

Shari,Tu as touché mon cœur, tu as enlevé mapeur,Tu as soulagé mes pleurs, on a partagé lesheures,Et même pendant les moments difficiles,On s’est trouvé une vie facile,En restant toujours ensemble.

À : Isabelle HélieDe : Jeff Germain

À toi mon amour, qui prend le temps pourmoi à tous les jours,qui réussit à vivre malgré les départs etl’ absence,qui réussit à sourire malgré les peines etsouffrances,qui réussit à m’aimer,d’une passion inestimée,je t’aime.Jeff xoxoxoxox

À : Patrick LocatelliDe : Nadine Rancier

Attention! Ceci n’est pas un message deSaint-Valentin, mais un avertissementsérieux : l’homme le plus merveilleux et leplus viril du monde circule présentementsur la base de Valcartier. Arriverez-vous àle démasquer? Un indice : c’est un hommegalant, affectueux et attentionné commeil ne s’en fait plus! Il n’est pas facile à repé-rer, car il ne laisse pas facilement transparaîtreses attributs exceptionnels. Pour les curieusesavides de découvrir son identité, son cœurest malheureusement déjà pris par unefemme complètement éperdue de lui! Vousavez tout de même le droit de le saluer sivous le retracez...D’une femme comblée

À : Normand BeaulieuDe : Carol Doucet

Pour plusieurs, tu es un ami, pour d’autres,un patron, un frère, un fils, un père et pourmoi, tu es mon mari. Tu n’a qu’à deman-der à n’importe qui qui te connaît et ils vonttous dire que tu es une personne merveilleuse,pleine d’amour et n’arrête à rien pour faireplaisir au autre. On a fait le choix de vivre ensemble voilàbien des années, nous avons bâti ensembleune famille (deux belles filles, Audrey etRoxanne) et encore à ce jour, je peux te direque je suis en amour avec toi. C’est grâce àtoi que moi et tes filles sommes devenuesdes personnes avec un cœur plein d’amourcomme toi. Je t’aime de tout mon cœur, nechange pas mon amour.Ta femme qui t’aime

À : Jennifer TrépanierDe : René Doucet

Jennifer, ma MéditerrannéeViens dans mes rêves, mon amourVois ce rouge et imagine,Chante, de ta voix fantastique,Et de tes perçants yeux bleus souffle surUne fleur, le ciel, un hirondelle,Fais voler tes cheveux blondsAvec les poissons rouges, dans une mag-nifique valse...Et de tes seins de Vénus constellés, Jennifer,Illumine la mer... Je t’aime et on se revoitbientôt.

À : René DoucetDe : Jennifer, Olivier et Anthony

Ce message est pour toi mon amour. Je veuxque tu saches que je t’adore et que la dis-tance qui nous sépare en ce moment ne faitqu’augmenter le désir d’être avec toi en cettebelle journée de Saint-Valentin. Même situ es loin de ta famille, nous pensons à toitous les jours et nous sommes très fiers detoi! Tes enfants qui ont hâte de te voir! Àtantôt xxx

À : Capt DesrosiersDe : Mélanie

Tu es au Texas, loin de moi hélas...Tu es à Fort Bliss, dans un désert peut-être sans oasis.Te pratiquer pour aller à la guerre enAfghanistanOù tu seras encore plus loin de moi.Je ne te l’ai peut-être jamais dis, mais je suisfière de toi.Tu aimes ton travail, tu le fais avec acharne-ment.Et moi pendant ce temps, je m’ennuiede toi.Pour la fête des amoureux, je te fais cet aveu:Tu es mon roi, tu es mon Dieu.Je t’attendrai toujours jusqu’à ton retour.Tu seras toujours mon seul amour...Je pense à toi.-Mellah xoxoxo

À : Lydia ArsenaultDe : Sébastien Balleux

Ton sourire est mon soleil...Ta tendresse est merveille...Tu es la lumière qui m’illumine,Une étoile qui me fascine...Contre toi, je suis libéré...Dans tes bras, j’aime m’envoler...Avoir l’impression d’avoir des ailes,La sensation de toucher le ciel...Il y a eu des temps magiques, Des instants romantiques...Des périodes difficiles...Des chagrins, des moments fragiles...Mais voilà un petit bout de chemin,Que nous avançons main dans la main...Et pour la Saint Valentin, fête des amoureux, Ma plume t’écrit ces mots heureux...Jardinons notre amour avec tendresse...Pour que notre relation jamais ne cesse...À toi Lydia, à jamais je serai ton roi,Un douce moitié, qui fait en sorte que jesuis... moi!

Cher ValentinChère Valentine

NOUVELLESEEXPRESSCette rubrique vous présente dif-férentes nouvelles concernant laDéfense nationale qui sont, à nottreavis, d’intérêt pour nos lecteurs.

Le Canada remet le commandementsupérieur qu’il assumait au seinde l’OTANLe commodore Denis Rouleau, de la Marinecanadienne, a remis le 26 janvier le comman-dement du 1er Groupe de la Force navale per-manente de l’OTAN (SNMG 1) à son suc-cesseur américain, le contre-amiral MichaelMahon, au cours d’une cérémonie de passa-tion de commandement tenue à Halifax, enNouvelle-Écosse.

Le SNMG 1 est une flotte permanente multi-nationale constituée de destroyers et defrégates de pays membres de l’OTAN qui s’en-traînent et opèrent dans l’Atlantique Nord,dans la Mer du Nord et dans la merMéditerranée. À titre de capacité maritimepermanente de l’OTAN, le SNMG 1 peut répon-dre à une variété de situations d’urgence,incluant l’évacuation de non combattants,des opérations d’embargo et des activitésantiterroristes.

L’aumônier général des FC accueillela 18e Conférence internationaleannuelle des chefs des aumôniersmilitairesL’Aumônier général des Forces canadiennesaccueillait la semaine dernière, du 5 au 9février, à Ottawa, conjointement avec leCommandement américain en Europe, la18e Conférence internationale des chefs desaumôniers militaires. Cet important événe-ment, qui réunit des aumôniers provenantd’une trentaine de pays, se tenait pour la pre-mière fois en sol canadien.

La conférence est pour les aumôniersmilitaires de toutes les principales confes-sions une occasion de partager expérienceset méthodes de travail, de se pencher sur lesmoyens d’améliorer l’interopérabilité de leursservices et sur les défis que pose la prestationdu soutien religieux aux hommes et auxfemmes qui servent à l’étranger.

Adjudication du contratd’aérotransport stratégiqueLes ministres de la Défense nationale, desTravaux publics et de l’Industrie ont confir-mé, le 2 février, l’adjudication d’un contrats’élevant au montant de 3,4 milliards de dol-lars, à la compagnie Boeing pour l’achat dequatre aéronefs de transport stratégique C-17 Globemaster afin de procéder au trans-port rapide, fiable et souple de grands nom-bres de passagers et de gros volumes dematériel militaire sur de longues distancesen situation d’urgence nationale et de criseinternationale. Le contrat comprend égale-ment le soutien en service sur les appareilsau cours d’une période de 20 ans.

Pause des opérations de voldes CH 124 Sea KingLa flotte d’hélicoptères Sea King des Forcescanadiennes a repris ses opérations normalesde vol après une brève pause opérationnelle.La pause avait été imposée le 2 février en rai-son d’une étude réalisée récemment par lefabricant de l’équipement d’origine qui révèlequ’il fallait réduire la durée utile de certainscomposants des hélicoptères.

Après de longues consultations menéesauprès des autorités techniques et opéra-tionnelles des FC, il a été décidé de permet-tre à la flotte de Sea King de reprendre sesopérations de vol.

Nouveau colonel en chef pourle PPCLIAdrienne Clarkson sera nommée, le 17 marsprochain, en remplacement de la comtesseMountbatten de Birmanie Lady PatriciaBrabourne, colonel en chef du PrincessPatricia’s Canadian Light Infantry (PPCLI).Elle deviendra ainsi le premier colonel enchef canadien des Forces canadiennes. MmeClarkson s’était toujours préoccupée du bien-être des hommes et des femmes membresdes FC alors qu’elle occupait le poste de gou-verneure générale du pays.

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PROTECTION DES DOCUMENTSPAR MOT DE PASSE

La protection par mot de passe, dans l’envi-ronnement de travail de notre organisation,peut être utilisée pour deux raisons princi-pales. Pour protéger l’intégrité d’un docu-ment de travail et restreindre l’accès au con-tenu d’un document à un nombre limitéd’individus. Mais il est important de noterles points qui suivent.

L’algorithme de chiffrement utilisé pourla protection d’un document par mot de passene peut en aucun temps être considéré commeun moyen fiable de protection puisqu’unemultitude d’outils disponibles sur Internetpermettent de briser en quelques secondesle mécanisme de protection. Par conséquent,la protection d’un document par mot de passe,à l’intérieur de la suite Microsoft Office, nepermet en aucun temps d’outrepasser la régle-mentation en ce qui a trait à la classificationet à la désignation des documents créés etentreposés sur le RID.

De plus, la protection d’un document parmot de passe, à l’intérieur de la suite MicrosoftOffice, n’offre aucune protection contre lareproduction d’un document. En effet, unepersonne ayant accès à un document en lec-ture seulement peut effectuer une copie dudocument original sans toutefois pouvoirmodifier l’original. Cette fonctionnalité per-met jusqu’à un certain point de préserverl’intégrité du contenu d’un document de tra-vail en limitant l’accès et la sauvegarde decelui-ci aux individus qui détiennent le motde passe.

La protection d’un document par mot depasse est inadéquate pour un document detype protégé B. Tout document de type pro-tégé B qui est enregistré sur le réseau doitêtre obligatoirement chiffré à l’aide de lacarte Entrust.

Vous pouvez protèger un document enle sauvegardant à l’aide la fonction Enregistrersous. Dans cette fenêtre, cliquer sur l’optionOutils puis sélectionner Options générales.

À l’intérieur de la fenêtre suivante, inti-tulée Enregistrement, plusieurs optionssont offertes, dont celles-ci : Mot de passepour la lecture et Mot de passe pour lamodification. Ces options permettent d’éviterque le document soit ouvert par d’autres per-sonnes que celles à qui le mot de passe a étédistribué.

Si vous entrez unmot de passe pour lalecture, le documentsera ouvert lorsqu’un

utilisateur entrera le mot de passe. Si vousoubliez ou perdez le mot de passe, vous nepourrez plus ouvrir le document. Un mot depasse peut compter jusqu’à 15 caractères,incluant des lettres, chiffres et symboles,et respecte la casse.

Afin d’utiliser cette capacité, il suffitd’inscrire un mot de passe dans la case inti-tulée Mot de passe pour la lecture puis decliquer sur le bouton OK.

Le fait d’utiliser un mot de passe pour lalecture seulement ne peut empêcher un usagerqui possède ce mot de passe de modifier ledocument. Afin d’empêcher un usager demodifier le document, l’option Mot de passepour la modification doit être utilisée enplus de l’option de lecture seule.

Si vous entrez un mot de passe pour lamodification, le document sera ouvert enlecture et en écriture lorsqu’un utilisateurentrera le mot de passe. Si vous oubliez ou

perdez le mot de passe, vous ne pourrez ouvrirle document qu’en lecture seule.

Afin d’utiliser cette capacité, il suffitd’inscrire un mot de passe dans la case inti-tulée Mot de passe pour la modification,puis de cliquer sur le bouton OK.

Pour obtenir des informations supplémen-taires, veuillez consulter la page de Gestionde l’information sur votre Intranet (Arméeen direct) sous la rubrique «Trucs et astucesde la semaine». Ou bien contactez les mem-bres de l’équipe de la gestion de l’informa-tion :Capt A. Boulianne, RCCC 621-4487France Poliquin RCCC 621-2420

TRUCS & ASTUCESi n format iques

Une chronique de l'équipe de la Gestionde l'information

Gardez ouvertes les lignes de la communicationPar Kristen Zolten et Nicholas LongCenter for Effective Parenting

La communication prend une toute autreimportance lorsqu’un couple devient pa-rents. Les personnes du couple subissentsouvent beaucoup de stress et elles risquentde négliger leur relation, alors que la rela-tion qui existe entre les parents est la rela-tion la plus importante de la famille. Il n’estpas toujours facile de ne pas couper la com-munication. Tous les couples, à un momentdonné, ont de la difficulté à communiquer,surtout compte tenu du stress lié aux rôlesparentaux. Pour bien communiquer, il fauty travailler, mais le jeu en vaut la chandelle.

Le présent article contient des renseigne-ments importants pour les parents à proposde la communication. Savoir communiquerefficacement et savoir ce qui entrave unecommunication efficace est important pourla relation entre les parents, mais aussi pourles enfants. Les enfants apprennent à com-muniquer en observant leurs parents. Lesparents doivent donc être des communica-teurs habiles pour transmettre cette compé-tence importante à leurs enfants.

LE TEMPSPasser du temps en couple est très impor-tant pour toute relation. Or, lorsqu’on ades enfants, il n’est pas toujours facile detrouver du temps pour le faire. Les parentsdevraient donc se réserver du temps ensem-ble. S’il n’est pas possible de le faire chaquejour, pas de panique. Ce qui est important,c’est que les parents se réservent régulière-ment des moments à passer ensemble. Celapeut être chaque jour, tous les deux jours ouune fois par semaine - il faut choisir ce quiconvient aux parents. Ce temps spécial peutêtre utilisé pour discuter, pour participer àune activité ou pour toute autre activité qui

intéresse les deux parents. Ce qui importe,c’est que le temps soit consacré à une cer-taine sorte de communication. Le temps spé-cialement réservé au couple ne tombera pasdu ciel. Il doit être prévu et protégé par lesdeux parents. Le temps en couple est trèsimportant pour communiquer.

COMMUNIQUER EFFICACEMENTUn autre aspect important de la communi-cation entre les parents est d’apprendre à lefaire correctement. Si les parents ne com-muniquent pas efficacement, ils transmet-tront leurs méthodes de communication inef-ficaces à leurs enfants.• Pour communiquer efficacement, les motsdoivent être appuyés par des gestes. Parexemple, si un parent dit à l’autre qu’il n’estpas fâché tout en ayant un air renfrogné, enutilisant un ton de voix brusque et que sespoings sont fermés, ses paroles ne sont pasreflétées dans ses gestes et il ne peut y avoirde communication efficace. Ils envoient ainsides messages contradictoires. Les parentsdoivent être honnêtes à propos de leurs sen-timents. S’ils sont en colère, ils doivent trou-ver des façons appropriées d’exprimer leurcolère.

• Le toucher est un excellent moyen de com-muniquer de façon non verbale. Une petitetape dans le dos ou une embrassade sontd’excellentes façons d’exprimer à un con-joint ou à un enfant qu’on l’apprécie. • L’attention et l’écoute sont deux compé-tences primordiales à cultiver pour une com-munication efficace. L’attention consiste àse concentrer sur la personne qui parle.On peut le faire en cessant toute autre activ-ité, en regardant la personne qui parle dansles yeux et en étant complètement silencieux.L’écoute consiste à écouter attentivement cequi est dit, non seulement dans les paroles,mais aussi en langage corporel.• Donner de la rétroaction et en deman-der aide à éviter les malentendus. Donnerde la rétroaction consiste à répéter à soninterlocuteur ce qu’on entend de lui ou d’elleafin d’être certain de capter le message de lapersonne. Demander de la rétroaction aideà s’assurer que la personne qui vous écoutereçoit bien le message. NDLR : Le prochain article vous présen-tera les facteurs qui minent la communi-cation efficace.Article tiré de www.parenting-ed.org.

14 février 2007 / Adsum

/ Page 17BLOCNOTE

Prochaine parution du Bloc-note :28 février 2007

Soumettez vos communiqués au plus tardle 19 février par la poste (voir notre adresse dansl’encadré en p. 6), par télécopieur au 844-6934ou par courriel à +adsum@forces.gc.ca.

Il y a quelques mois, du sang neuf a étéajouté au cheptel de chèvres de la mascottedu Royal 22e Régiment. Des démarches en cesens avaient été entreprises il y a longtemps.Même la reine Élisabeth II avait le dossier àcœur, comme en fait foi l'extrait suivant.De son château de Balmoral, la reineÉlisabeth II (Colonel en chef du régiment) faitparvenir cette réponse à un officier britan-nique qui cherche un bouc de remplacementpour la mascotte de son régiment:«Sa Majesté a mentionné qu'il pourrait êtreavantageux pour le régiment de parler avecles "22nd" (Royal 22e Régiment) au Canadaqui ont aussi un bouc comme mascotte. LaReine se demande si un peu de croisemententre le Canada et le pays de Galles renforci-rait la lignée.»Source: Musée du Royal 22e Régiment, F22-2K, 1955,ph-002.

Du sang neuf

UN MOMENT DD’HISTOIRE AVEC LE MUSÉE DU R22ERR

Batisse I à l'entraînement avec le caporal Gagnon àValcartier en 1955.

CHAMPIONNAT RÉGIONAL DE HOCKEYSUR GLACE 2007La Garnison Valcartier sera l’hôte du cham-pionnat régional de hockey du 16 au 21 févri-er prochain. Comme à chaque année, l’aré-na Clément-Boulanger reçoit les équipesmilitaires de la région du Québec dans lestrois catégories de hockey sur glace. Nousvous attendons en grand nombre à venirencourager nos Lions de Valcartier qui dis-puteront le titre de Champion régional.

COMPTOIR DES AUBAINESLe Comptoir des Aubaines de Sainte-Catherine-de-la-Jacques-Cartier (sous-sol de l’église au2, rue Jolicoeur) sera ouvert le samedi 17février de 13 h 30 à 16 h.

FÊTE HIVERNALELes organismes de la Garnison Valcartiervoués au soutien des familles militaires vousinvitent à prendre part nombreux à laprochaine Fête hivernale qui aura lieu ledimanche 18 février, de 10 h à 15 h, au Centreplein air Castor. Sur le site : prêt de raque-ttes, de skis de fond et de tubes avec accèsaux pistes, courses diverses, maquillage pourenfant, jeux gonflables, patinoire, tir au filetet plus encore. L’activité est gratuite. Repasspaghetti offert au coût de 10$ par famille.Information et réservation pour le repas :Chantal Thompson au 844-6060. En cas depluie, l’activité sera remise au 25 février.

TRANSFORMER SA VIEPAR LA MÉDITATIONDans le cadre des activités pastorales de lagarnison, vous êtes invité à prendre part auxenseignements bouddhistes donnés par GenKelsang Chögyan, nonne bouddhiste kadampa.Le prochain cours, dont le thème sera «Lefondement de la confiance en soi», aura lieule lundi 19 février de 19 h à 20 h 30 à labibliothèque de l’école Dollard-des-Ormeaux(18, rue Ladas). Chaque séance débute parune méditation guidée et est suivie d’unenseignement sur l’application de la penséebouddhiste à notre mode de vie occupé. Toussont les bienvenus; civils et militaires. Chaquecours est structuré de manière indépendanteet il n’est pas nécessaire de s’inscrire.Information : padré Gorniak au 844-5000,poste 7890. Coût : 10$ la séance, 40$ pourcinq séances.

HEURE DES FAMILLES AVEC LA CHAÎNEDE COMMANDEMENTLes familles des militaires qui seront déployésen Afghanistan cet été sont conviées aux ren-dez-vous mensuels de L’Heure des famillesavec la chaîne de commandement. La prochainerencontre aura lieu le mercredi 21 février à19 h au Centre communautaire (bât. 93)de la Garnison Valcartier. Favorisant le rap-prochement des familles avec la chaîne decommandement, l’activité est considéréecomme une occasion unique pour les con-joint(e)s des militaires déployés de connaîtreles dernières nouvelles relatives à la missionet au théâtre opérationnel, et de poser lesquestions qui les préoccupent.

RENCONTRE PRÉPARATOIRE POURLE SACREMENT DE LA CONFIRMATIONLa réunion de parents avec les enfants quieffectueront cette année leur sacrement dela confirmation aura lieu le mardi 27 févri-er à 19 h à la chapelle Sainte-Jeanne d’Arcsur la Garnison Valcartier. Vous devez avoiravec vous pour cette réunion une copie ducertificat de baptême de votre enfant ainsique 10$ pour couvrir les frais pour l’achatdu livre de préparation au sacrement. Lesacrement de la confirmation s’adresse auxenfants qui sont en 6e année et plus. Une let-tre et une feuille d’inscription ont déjà étédistribuées aux enfants visés dans les class-es de l’école Alexander-Wolff à ce sujet. Sivous n’avez pas encore reçu cette lettre ainsique le formulaire d’inscription et désirezinscrire votre enfant, prière de communi-quer avec le padré Guy D’Amours au numéro844-5000, poste 6281. La célébration de cesacrement aura lieu le dimanche 13 mai à10 h 30.

MEETING FOR THE SACREMENTOF CONFIRMATIONThe meeting for the parents with the chil-dren will be held on Tuesday February 27th

at 19:00 at the Ste-Jeanne D’Arc Chapel onValcartier Garrison. All the details for thecourses will be given at the parents meeting.Please bring a photocopy of your child’sBaptismal certificate. A fee of $10 will alsobe needed at the meeting to purchase thepreparation book. The Sacrement ofConfirmation concern the children of grade6 and above. A letter and a registration formhave been given to the children of grade 6 atDollard-des-Ormeaux School regarding thesacramental preparation of the children. Ifyou did not receive the letter and the regis-tration form and would like to register yourchild, please contact padre Guy D’Amoursat 844-5000, ext. 6281. The celebration ofthis sacrament will be held on Sunday May13th at 10:30.

SALON MULTI-DÉFISLes militaires et les employés civils ainsi queleurs conjointes et conjoints sont conviés à

la 8e édition du Salon Multi-Défis qui auralieu les 28 février et 1er mars. Une trentainede stands et autant de conférences attendentle public désireux de s’informer sur les thèmesdu développement professionnel, du perfec-tionnement académique, de la seconde car-rière, du changement de métier et de la retraite.Notez que comparativement aux dernièreséditions où le Salon se tenait au CC-119, lesexposants seront installés cette année à lasalle Saint-Jean de la caserne du 1er Bataillon,Royal 22e Régiment, au bâtiment 314, et lesconférences seront présentées à l’intérieurde l’Académie (bât. 534).

EXPOSITIONLa Bibliothèque municipale de Shannonaccueille l’artiste peintre Gilles St-Laurentqui y présente des toiles de scènes d’hiver etd’églises de notre patrimoine québécois etreligieux.

30E BONSPIEL DE LA LOGISTIQUEL’hiver vous donne le cafard? Sortez de votreroutine et participez au 30e Tournoi de curl-ing du Service de la Logistique qui aura lieules 15, 16 et 17 mars au Club de curling deLongue-Pointe. Parrainé par le 25e Dépôtd’approvisionnement des Forces canadi-ennes, cet événement est l’un des plus cou-rus de tous les logisticiens de la Région duQuébec et de la capitale nationale. Le Bonspielréunit chaque année près d’une trentained’équipes, dont au-delà de 100 personnesprêtes à s’affronter pour un tournoi amicald’une durée de trois jours. La cérémonied’ouverture aura lieu le jeudi 15 mars à19 h avec le lancer officiel de la premièrepierre par l’invité d’honneur. La soirée sepoursuivra avec un petit buffet de bienvenue.Le coût d’inscription est de 200$ par équipeou 50$ par personne, incluant un souper et

une soirée dansante. L’événement est ouvertà tous les gens des métiers, civils ou mili-taires, de la branche logistique incluant lesRMS, chauffeurs, cuisiniers, etc. Informationet inscription en communiquant auprès del’adjudant-maître Y. Larochelle par courrielou par téléphone au (514) 252-2777, poste2605.

NAGEURS RECHERCHÉSLe club de natation de la Garnison Valcartierest à la recherche de nageurs. Les entraîne-ments ont lieu les lundis et mardis de 16 h30 à 18 h 30. Information : sergent MarcGrenier au 844-4000, poste 4449.

MASSAGE BÉBÉLe Centre de la famille Valcartier offre descours de massage pour les tout-petits. Lemassage pour bébé aide les parents à appren-dre à reconnaître les signes et le langage non-verbal de leur bébé et d’y répondre facile-ment. Le massage diminue le stress de votreenfant, il favorise un meilleur sommeil, ildéveloppe la confiance chez le parent et chezl’enfant. Les parents sont invités à assister àquatre rencontres, d’une durée d’une heureet demie, une fois par semaine, afin de sefamiliariser avec les techniques de massagepour bébé. Les ateliers sont offerts par unepersonne qualifiée, membre de l’Associationinternationale en massage pour bébé.Information et inscription : Tanya Langlois,intervenante aux programmes à l’enfanceau CFV, 844-6060.

19 février

21 février

16 au 21 février

27 février

Les 28 et 1er mars

Jusqu’au 5 mars

18 février

Les 15, 16 et 17 mars

Divers

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17 février

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Pour la cinquième année consécutive, l’équipeÉnergiser les Forces lance sa campagne pourencourager les gens à cesser de fumer. Renoncezenfin au tabac en acceptant de relever ledéfi « Le 1er mars, j’arrête!» pour lequel vousne devez pas fumer pendant au moins quatresemaines, soit du 1er mars au 2 avril.

Le défi permet aux fumeurs qui veulentarrêter de fumer de fixer une date à laquelleils doivent renoncer au tabac. Les non-fumeurspeuvent également prendre part au programmeen tant que parrains pour encourager et con-seiller les fumeurs.

Les participants et les parrains inscrits auprogramme courent la chance de gagner desprix d’une valeur de plus de 16 000$ en chèques-cadeaux.

L’an dernier, 3819 personnes ont pris partau programme. En tout, 1273 fumeurs ontaccepté de relever le défi, et 2546 parrains lesont appuyés, soit 79% de plus qu’en 2005.

Pour vous inscrire (la date limite est le28 février), remplissez simplement le formu-laire à l’adresse www.cfpsa.com/health oucommuniquez avec le directeur de la Promotionde la Santé de n’importe quelle base, escadreou unité des FC.

RENSEIGNEMENTS- Tél. : 844-5000, poste 4677- Courriel : +Promo Santé@5 GSS

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La colère,pour oucontre soi!Vous aimeriez dévelop-per vos habiletés inter-personnelles, acquérirde nouveaux outilspour résoudre les prob-lèmes au travail ou àla maison, augmentervotre performancepersonnelle et dimi-nuer le niveau de stresset d'anxiété face àdes événements et cir-constances qui sontsources de colère? Ehoui, il est possible d'ap-

prendre à gérer efficacement la colère!Les recherches indiquent que vous vivrez

plus de 20 moments contrariants cette semaine.Sept d'entre eux seront suffisamment impor-tants pour vous mettre en colère. Le programme«Gérer les moments de colère» vous permet-tra d'explorer votre relation avec la colère envous aidant à mieux comprendre et à faire faceà vos déclencheurs de façon à prévenir uneescalade de la colère. En participant au pro-gramme, vous pourrez identifier les situationsprécises qui engendrent de la colère et mettreen application des stratégies d'adaptationfructueuses face à ces situations.

Nous avons tous nos moments de colère, c'estla façon de les gérer qui compte!

Le programme Gestion des moments de colèrecomporte huit rencontres d'une durée de troisheures par semaine.

Séance d'information : le jeudi 15 février à13 h 30 au Centre des sports, salle 182.

Le programme aura lieu les jeudis de 13 hà 16 h du 22 février au 26 avril.

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Les Bulldogs, vous vous rappelez?

CLASSEMENT LIGUE INTER-UNITÉS(EN DATE DU 9 FÉVRIER)

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Relevez le défi «Le 1er mars,j’arrête! » et abandonnezla cigarette

Par le caporal-chef AndréDénomméeQuartier général et escadrondes transmissions

Les Bulldogs, une équipede la Ligue de footballQuébec (LFQ), sont à larecherche de nouveauxtalents. Que vous soyezun joueur débutant, nou-vellement arrivé dans larégion ou tout simple-ment joueur dans uneautre équipe, vous êtestous les bienvenus aucamp d’entraînement.

Notre gang de gars avécu une expérienceextraordinaire l’an passé.En tant qu’équipe enpleine expansion, nousavons fait partie desséries éliminatoires, dujamais vu dans cette ligue. Nous nous sommesinclinés en demi-finale contre l’équipe quipar la suite devait remporter les grands hon-neurs.

Cette saison, la ligue comptera six équipescomparativement à cinq l’an dernier. Lecalendrier comportera huit parties : touteune saison en perspective! L’horaire estdisponible sur le site Internet de la ligue àLFQ.ca.

Nous ne sommes pas prétentieux, ni tropconfiants, mais nous avons confiance ennos moyens. Nous voulons performer con-tre les meilleurs. Il y a toujours place pourde bons joueurs, donc si vous pensez pou-voir nous aider à améliorer nos statistiqueset notre place au classement, joignez-vousaux Bulldogs! Le coût du camp d’entraîne-ment n’est que de 20$ et est payable lors dela première pratique.

Nous débuterons notre camp le jeudi 15 mars à19 h 30 dans la salle Dubé du 2e Bataillon Royal22e Régiment, au bâtiment 313. Pour informations, contacter le cplc AndréDénommée du QGET au 875-0725 ou le cplcStéphane Rioux du 12 RBC au 847-1076.

14 février 2007 / Adsum

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