voyage à gênes, les cinq terres et milan du 04 au 12 avril...
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Voyage à Gênes, les cinq Terres et Milan
Du 04 au 12 avril 2017
Mardi 04 avril
Après avoir failli ne jamais partir de TIA, à cause d’un portail rétif à une ouverture si matinale,
nous avons pris le chemin de Nantes pour nous envoler vers Nice.
À notre arrivée, sous le grand soleil de la Méditerranée, notre guide Marina nous attend. Un repas bienvenu devant la plage et nous prenons notre minibus pour découvrir les merveilles de la Riviera.
À quelques kilomètres de Vintimille, la première étape est la visite des jardins Hanbury. Plus
de 7000 espèces tropicales et méditerranéennes s’accrochent à des terrasses plongeant vers la mer.
Chacun à son rythme découvre ainsi des aloès, agaves, palmiers, cactus, yuccas … . Après une fontaine,
on accède au jardin des senteurs où la glycine
épanouie, les rosiers, pivoines, jasmins, lavandes,
offrent leurs délicats parfums Plus bas, après une
oliveraie, les plus courageux s’extasient devant la
collection d’agrumes : orangers, citronniers,
mandariniers, bergamotiers et bigaradiers. Cet écrin
de verdure est un jardin national, confié à l’université
de Gênes pour la préservation du patrimoine
botanique.
Puis nous roulons vers Gênes, que nous découvrons après les nombreux tunnels de cette route
creusée à flanc de rochers. C’est l’immense port gardé par son phare la Lanterna, d’une portée de
52 km qui est notre première vue de la ville. Notre bel hôtel est situé en centre-ville dans une rue
calme.
Mercredi 05 avril
Ce matin nous partons vers l’est à la découverte d’un lieu
merveilleux, parc national classé au patrimoine de l’Unesco.: les Cinq
Terres. Leurs noms : Monterosso, Vernazza, Corniglia, Manarola et
Riomaggiore.
Nous embarquons de la jolie station de la Spezia et longeons la côte
à la découverte de cinq villages. Des maisons colorées se blottissent sur les
pentes escarpées, des collines sculptées de terrasses sont plantées de vigne ou d’oliviers, et la mer
varie du turquoise à l’émeraude. Un arrêt à Vernazza perché sur un petit promontoire rocheux. Nous
empruntons les chemins escarpés les ruelles et escaliers étroits qui montent de la place, face au port.
C’est là que les connaisseurs nous font découvrir une spécialité
locale délicieuse la Focaccia : une sorte de pâte à pain salée,
moelleuse, légère, dorée à l’huile d’olive, et parfumée d'herbes
aromatiques.
Puis nouvelle étape à Monterosso al Mare où un
délicieux repas nous est servi. Nos assiettes se remplissent de
moules, poissons, poulpes, langoustines à n’en plus finir !
Nous poursuivons notre excursion maritime et nous découvrons Porto Venere (le port de Venus). C’est un village de pêcheurs, situé à l'extrémité d'une péninsule dans le golfe des poètes avec de pittoresques ruelles, des maisons de couleurs chaudes de l’ocre au rose. Une citadelle domine la ville mais c’est l’église San Pietro qui nous attire par son aspect zébré noir et blanc. Elle date du XIIIe siècle et fut construite sur les restes d'un vieux temple dédié à Vénus. À notre descente du bateau nous avons tous des bonnes couleurs !
Jeudi 06 avril
Aujourd’hui après un copieux petit déjeuner nous découvrons à pied le quartier noble, proche
de notre hôtel. La via Garibaldi impressionne par la succession de palais tous plus élégants les uns que
les autres, rivalisant de peintures et de sculptures d’une richesse extraordinaire. Ces palais, étaient
inscrits dans des registres (les rolli) pour être les résidences destinées à accueillir les invités d’honneur
de la ville. 42 palais parmi les 120 que compte la ville, sont classés au patrimoine de l’Humanité.
Ces palais somptueux de style renaissance et baroque, bâtis entre le
XVIe et le XVIIe siècle, très bien préservés témoignent de l’âge d’or de la
ville grâce aux riches familles d’armateurs. Les palais comportent
généralement trois ou quatre étages, avec de vastes halls d’entrée, des
escaliers ouverts, des cours et des loggias surplombant des jardins
intérieurs. La décoration comporte des fresques, des stucs et des décors
en trompe l’œil dont la particularité est qu’ils sont prolongés par des
éléments en relief qui sortent du cadre. Quelques palais se distinguent :
Le palais Bianco (Luca
Grimaldi), transformé en
pinacothèque il présente notamment des œuvres de
Rubens , van Dyck, Véronèse, le Caravage…
Le majestueux palais Doria Tursi (Niccolo Grimaldi) du
XVIe siècle, devenu l’hôtel de ville. Il offre une belle cour à
arcades. On peut y contempler le célèbre violon de
Paganini Il Cannone, ainsi que des manuscrits liés à
Christophe Colomb.
Le palais Rosso (Rodolfo e Francesco e Maria Brignole)
du XVIIe devenu le premier musée de Gênes. On peut y admirer l’allégorie du printemps (Vénus
séduisant Mars) par Grégorio de Ferrari.
La plupart de ces palais sont des musées, des banques ou des bâtiments
officiels comme le palazzo Carrega Cataldi qui abrite la chambre de
commerce et dans lequel nous admirons, entre autre, la galerie dorée.
Après un repas ligure terminé par une glace au sureau que nous avons
diversement appréciée, nous visitons la galerie du palais Spinola qui a
conservé intacte l’atmosphère d’une résidence du XVIIe/XVIIIe siècle.
Ces demeures accueillent d’importantes collections d’art italien, flamand et
espagnol, ainsi que du mobilier précieux.
Nous poursuivons notre promenade vers la basilique San Siro, très
ancienne, qui fut la première cathédrale de Gènes. Elle est ornée de fresques
de Carlone et Battista et d’incrustations de marbre blanc, noir et orangé.
Puis nous poursuivons par l’église della Santa Annunziata del Vastato. Cette
église du XVIIe. est l'une des plus riches de Gênes. Sa fastueuse décoration
intérieure mêlant ors, stucs et fresques, constitue un exemple
caractéristique du baroque génois.
Après ces merveilleuses visites, nous flânons dans les rues et nous nous
installons avec bonheur à une terrasse pour déguster les célèbres Gelati
(glaces italiennes). Les saveurs sont variées : rose, mimosa, fleur de lait, Stracciatella, Amaretto,
raisin... Le choix est difficile mais quel délice !
Vendredi 07 avril
La matinée débute par la visite du cimetière monumental de
Staglieno. C’est un des plus grands cimetières d'Europe. Les allées
serpentent le long de la colline et sont bordées de mausolées semblables
à de petits palais D'extraordinaires sculptures en marbre sur les stèles
offrent des scènes touchantes (veuve éplorée, orphelins, mendiants..) ou
encore la statue de la célèbre vendeuse de colliers de noisettes (Caterina
Campodonico) qui travailla toute sa vie pour avoir sa statue au Stagliano.
Nous prenons ensuite la route pour découvrir la Ligurie , terroir
de vignoble réputé. Le paysage change, les rochers font place à des collines de plus en plus hautes avec
des oliveraies et des vignes.
Le viticulteur nous accueille et nous invite à un repas de spécialités locales. Avec chaque mets, il nous
propose une dégustation de ses vins. La cuisine est savoureuse, le risotto est si goûteux que nous osons
en demander la recette à la cuisinière que nous félicitons ! Quand le dessert arrive, nos estomacs
demandent grâce mais c ‘est si tentant... A notre retour, repus, nous trouvons la pente bien raide !
Arrivés à Gênes, nous visitons le mercato orientale (marché). C'est un
curieux mélange de couleurs, d'odeurs, de visions et de saveurs... On y
trouve des produits frais et biologiques, poissons, crustacés, viandes
diverses, épices, fruits, fleurs et légumes, miels, truffes (blanches et
noires)... sans oublier le vrai « pesto alla genovese. ».
On est transporté dans un autre temps mais lorsqu’on sort de ce marché
on débouche sur une grande artère commerciale, qui nous rappelle
immédiatement que Gênes est une métropole de plus de
5OO OOO habitants!
Samedi 08 avril
Aujourd’hui, journée en mer à la découverte de la péninsule de Portofino. Nous embarquons
à Santa Margherita Ligure, station balnéaire animée du golfe de Tiguillio. Après avoir longé la côte,
nous poursuivons jusqu’à l’abbaye de san Fruttuoso. Nous accostons à Camogli ,dans une petite anse
inondée de soleil.
Les bâtiments de l’abbaye occupent presque toute la
minuscule crique. C’est ici que les reliques de Saint Fructueux
de Tarragone sont transportées, par des moines lorsque les
musulmans ont conquis l‘Espagne. Le site comprend une
église, l'abbaye ,une crypte avec les tombeaux des Doria, le
cloître ainsi qu'une tour côtière. Sur les fonds marins de la baie
repose la statue du Christ des Abysses immergée à la mémoire
de tous ceux qui ont péri en mer.
Nous embarquons à nouveau vers Portofino . Au creux d’une
baie bordée de pins ,le joli port de pêche de Portofino est une
station réputée Elle doit sa réputation aux artistes d’Hollywood
à partir des années 1970. Le village présente une belle place
face au port et une rue bordée de restaurants , de magasins de
luxe et de boutiques touristiques longe la côte.
De retour à Gênes avec les joues bien colorées, nous nous arrêtons
au port. Renzo Piano , architecte italien, a redonné l’accès de la
ville à la mer en réaménageant le vieux port lors des fêtes
célébrant les 500 ans de la découverte de l’Amérique. Il a restauré
des entrepôts désaffectés et construit des bâtiments nouveaux
tels l’aquarium avec sa serre tropicale dans une sphère en verre
et le Bigo (structure composée de mâts obliques), doté d’un
ascenseur panoramique. Après avoir fait le tour des quais à pied et
rêvé devant les yachts superbes, nous nous dirigeons vers le palais
San Georgio construit au XIIIe siècle. La façade est ornée de fresques en trompe l’œil qui célèbrent la
gloire de la république de Gênes. Marco Polo a été un temps, emprisonné dans ce palais et c’est là qu’il
commença à écrire le récit de ses voyages (le livre des merveilles).Ce palais, après avoir abrité la
douane, une prison puis une banque est désormais le siège des autorités portuaires.
Après dîner, une petite promenade digestive permet à quelques-uns d’admirer une dernière
fois les palais de la via Garibaldi. Puis guidés par la musique sur la piazza de Ferrari, ils contemplent la
fontaine en son centre et les bâtiments alentour dont l’éclairage souligne les façades sculptées.
Dimanche 09 avril
Les nombreux athlètes du demi-marathon, étant passés, nous
partons à la découverte du palais du prince, résidence d'Andrea Doria. À
l’époque le palais donnait sur la mer et Andrea Doria avait son port
particulier. La décoration fut confiée à un élève de Raphaël, qui exécuta les
fresques du vestibule, de la Loge des Héros et des appartements. Nous
sommes admiratifs des deux tapisseries, de la fin du XVIe, retraçant
l'histoire de la bataille de Lépante et l’histoire d’Alexandre le Grand. Puis,
nous prenons le soleil dans les jardins..
L’après-midi, nous visitons le Palazzo Reale où
nous découvrons une réplique de la galerie des
glaces avec de très belles fresques. Ce palais porte ce nom lorsqu’il devient
demeure de la maison de Savoie en 1825. En 1919,suite à une donation à
l’état, il devient galerie nationale, abritant des œuvres célèbres (le
Tintoret.Van Dick, le Benédette…)
Nous partons ensuite vers l’est de la ville, nous franchissons la porta Soprana,
formée par deux tours délimitant la ville médiévale du quartier du Castello.
Nous visitons alors le musée du couvent Sant Agostino qui conserve des
sculptures, fresques et vestiges de pierres tombales de l’époque médiévale.
Nous pouvons ainsi voir le gisant du premier doge de Gênes Simone
Boccanegra.
Lundi 10 avril
Ce matin nous grimpons sur la colline de Carignano, l'église est un
des exemples les plus réussis d'architecture renaissance à Gênes. Elle
présente un plan en croix latine et sa coupole remonte au XVIIe siècle..Elle
abrite deux statues de Pierre Puget : saint Sébastien et saint Alexandre
Sauli. De là, nous partons à travers les ruelles du vieux Gênes. Au cœur du
centre ancien, nous remarquons de nombreux
édicules votifs. Notre guide Marina, nous ouvre
des portes vers des cours insoupçonnées et elle
attire notre regard vers les portails en ardoise
avec les blasons des Spinoli. Ces anciens palais
désaffectés ont été réaménagés en logements
pour la bourgeoisie. Nous nous dirigeons vers la piazza San Matteo, place
forte des Doria depuis le XIIe siècle. La place carrée, bordée de belles
demeures est fermée par l’église San Matteo, église privée des Doria.
De là, nous remontons vers la cathédrale San Lorenzo, de type
gothique génois. Sa façade en bandeaux noirs et blancs est du XIIIe.
Le tympan présente la bénédiction du Christ, les symboles des
évangélistes et le martyr de saint Laurent . La chapelle saint Jean
Baptiste est richement décorée de marbre.
Après le repas nous découvrons
l’église del Gesu qui représente
le summum de l’art baroque à
Gênes. De l’albâtre et du marbre de différentes couleurs ornent
les sols et piliers. Le plafond est couvert de fresques. Elle abrite
deux tableaux de Rubens : la circoncision du Christ et le miracle
de saint Ignace.
Notre séjour à Gênes se termine ici.
Nous reprenons la route pour Milan où nous arrivons dans la soirée.Notre hôtel se situe à quelques pas de la cathédrale. Mardi 11 avril
Après avoir découvert le Duomo de nuit, nous partons ce matin à
pied visiter la troisième plus grande église du monde catholique : le
Duomo. L’intérieur est monumental (cinq nefs) Elle n’a été terminée qu’au
XXe siècle par les magnifiques portails sculptés en bronze. Elle est en
marbre blanc rosé veiné de gris ou de vert pâle. Ce qui frappe, c’est son
extraordinaire abondance de sculptures. Dans le chœur, sous la voûte, se
trouve la relique la plus précieuse du Duomo, le clou de la Vraie Croix.
Sur la terrasse, une forêt de
pinacles d’arcs-boutants et de
statues en marbre s’offre à nous. De
là, on domine la ville et ses divers
monuments entourant le Duomo.
À proximité de la cathédrale, sur la Piazza del Duomo, se trouve la Galerie Vittorio Emmanuele II, La
galerie contient de superbes arcades ainsi qu’une magnifique
coupole de fer et de verre. Lieu traditionnel de rencontre et de
promenade, elle abrite des magasins de luxe et des restaurants. A
deux pas de la galerie, on arrive devant la Scala, le théâtre lyrique
réputé où se sont illustrés entre autres Verdi, Puccini et Toscanini.
L’aspect extérieur est très simple. Nous entrons par groupes de
quatre dans une des loges surplombant la grande salle pour
assister à une partie de répétition.
Un musée décrit l’histoire de la musique Italienne à travers de
vieux instruments, partitions, tableaux et objets liés à l’art
lyrique. L‘après-midi pour compléter notre visite, nous allons
au sud de Milan où se tiennent les ateliers de décors et
costumes, il y a trois pavillons différents : un pour les décors,
un pour les costumes , et un pour les répétitions avec une scène
dont la taille est identique à celle de la Scala.
Ici sont créés les décors pour les nouvelles créations et la
reprise d’anciens opéras. Nous visitons un pavillon immense dans lequel se situent les ateliers de
dessin, peinture, modelage, sculpture, ferronnerie, menuiserie, et assemblage. Des maquettes
d’opéras sont exposées et nous permettent de mieux comprendre la complexité des décors. Dans un
autre pavillon, nous apercevons les couturières qui œuvrent aux derniers costumes. Nous pouvons voir
dans des meubles vitrés des coiffures et costumes splendides de divers opéras. Nous sommes
émerveillés par ce travail délicat.
L’après-midi, nous continuons notre visite de Milan par le couvent
dominicain Santa Maria delle Grazie. Après le petit cloître fleuri, nous
visitons l’église, très bel exemple du style renaissance lombarde. Mais c’est
surtout le réfectoire du couvent qui abrite une merveille: la Cène, peinte
par Léonard de Vinci. C’est une peinture murale réalisée à sec de 1494 à
1498 .Le commanditaire en est le duc de Milan, Ludovic Sforza (il Moro).
Très fragilisée par le temps et la technique employée, aussi seuls de petits
groupes peuvent la contempler pendant 15 minutes.
La peinture réalisée par l’artiste illustre la parole
prononcée par le Christ, «En vérité, je vous le dis,
l’un de vous me livrera», et les réactions de chacun
des apôtres de sorte que le spectateur lise
facilement leurs pensées au travers de leurs
mouvements. Nous sommes admiratifs devant ce
chef d’œuvre, qui a été malmené par le temps. Il a
fallu 21 ans pour le restaurer, en s’appuyant sur les
esquisses, bien conservées, de Léonard de Vinci.
Sur le mur opposé, nous pouvons admirer la
Crucifixion de Donato Montorfano (1495).
Mardi 12 avril
Notre dernière journée de voyage débute par la visite de la pinacothèque-bibliothèque
Ambroisienne dans laquelle nous avons vu l’adoration des mages du Titien, l’allégorie du feu et
l’allégorie de l’eau de Jan Brueghel, la corbeille de fruits du Caravage, mais surtout des dessins,
esquisses et notes de Léonard de Vinci.
Juste derrière la Scala, s’offre à nous le vieux quartier de Brera, avec son dédale de ruelles, ses
boutiques d’antiquités, ses cafés et ses petits restaurants à l'écart de l’agitation. Les artistes et ceux
qui aiment la mode et le design s’y retrouvent. On y croise également beaucoup d’étudiants qui sortent
de l’Académie des Beaux-Arts du Palais de Brera.
Après avoir flâné un peu dans ces rues animées et détaillé les vitrines, c’est dans ce quartier que nous
prenons notre dernier repas italien !
Le début d’après-midi nous transporte dans un univers bien différent : la
fondation Prada. Elle s’est installée dans une ancienne distillerie désaffectée
d’un quartier du sud de Milan. Dans cet environnement vaste et froid nous
commençons par la tour dorée. La découverte des œuvres de Louise
Bourgeois qui évoque sa relation difficile avec sa mère et Robert Gober qui
expose des « psycho-objets »pour traduire ses traumatismes, nous laisse sans
voix.
Dans un autre bâtiment, Thomas Demand présente une réplique du monde
réel qu’il photographie ensuite. Nous découvrons une immense grotte en
papier cartonné, qu’il relie à l’Origine du Monde de Courbet. Nous passons
rapidement dans les autres salles dont les expositions nous paraissent
hermétiques.
Après avoir admiré les chefs d’œuvre du passé, notre plongée dans l’art contemporain est un choc
violent. Nous avons grand besoin des explications de notre guide Donatella pour essayer d’en
comprendre la portée.
Puis sous le soleil Milanais et avec bonne humeur, nous repartons vers l’aéroport le cœur léger, la tête
emplie de souvenirs, le palais grisé de saveurs ligures et lombardes et l’oreille enivrée de sonorités
italiennes.
Martine et Michel
Grazie mille Jean per questa belle vacanza !