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2 0 . — annéet t a f v i

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A m n Ii. , an b a rca ti d u Jo u rN alip U M d t TRd^ («I dcVillej — A rarit. cfws M. HâVAS. ^n^âo fu M Kummu. 0 , «9t clieii liMMBar» LA VH TE'B ULIdPA ct C o w p ., | d m du la llourae H| — et cbn ica librairei tU .DICIAIRËS.

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m i i i é t T iô us len

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'Oj^MCCS JlIDICI AIKEH. M 'VéU U’I ^ ,»iiN>NCF8 DIVERSES, ,W Jdi.2!> • '• v.. tn U .• <■ . .

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Jy B m p e rtn f, jlà à ra p a g a è de S. H . lo Hui d es Pasu-lkis,■ a .p a « é ip a rd ià deox beilreii.‘àii ch'am p.de Mara, Ih revue■ la gard e impériale» vlalioniiéea A Parte» V er

sdJlwa.et Saiul«<Ieriiiaii|» e l cellea du 1*' coi^m< d ’a r m étien deux corps préscdlaient un erTecIir d e M baluilloits;

o6 eseadrous e t 1g batterie s allelées..-L’inraiitérie éta it rô rm i^ su r-d c u x 'l ig n e s p a r balaillon

eu ra a s se jf t drbilo A recolefM illIalra. • : . /;•U prem ière .'1 . com prenait lès troupes de la «.vrilc.

e l la deuxièm e les lrou|>es du prem ie r corps. a*/?La cavalerie form ait tro is lignés rateaiit face afik 'ligm »

d m faitlerio. L’artillerie occupait le fuud ducham p d e Mars, fa isan t.raeeà l’Eèolé'M ililaire.'

Le bataillon dcs-ëlëves d o ' 9ailit<Cyr é ta it placé en ba- taino le-lôifg d e rE eol»M itllaire; re scad ron d e cavalerie de la m êm e école occupait la dro ite d e la prem ière liane de oavélerie. i o

L L M M -l'Em pereur e l le ftol des Pays-Bas, sortU A che­val des Tuileries, sont arriv és A deux heures à ia têle du

Suit d léu a , e t y ont é té retpiA p a r LL. ÉExc. le m aréchal agnau, .conim andaiil.le .1" -corps .d ’armée^ qui avait le

* î! 'T jff f i5S S 2 * réan iés,,e l le m aré -■ * ^ » . W ^ t H t ’Apfiélr, com m aédaiil la gard e

a i» P » g W « « 1!é M ;ïx c . le marécii?I^BAndou, m io istre d e la g u e rre , e t suivies d ’mi M oibreux etAt:m àjor, ou l'on roraarqupit beaucoup d'uffl- ciew géiiéi'eUk e t plusieurs officiers é tran g ers.

W aw N ^ é s , ap rès avoir iMKsé devant le front des di- venw sont venues sé p lacer devant lé pavillon cen- Irai de I Ecole-Miiitaire.

B. M. l'Jropératricü e t te Reine des PaysrBas. qui avaient ^ a le n e n l passé devant l« front des troupes en calèche dé- «ouverte, ont p ris place au ba)cop d u ni& ue pavillon.

P ar oçd re d e I E m pereu r, le dcHIé a eu lieu dans Tordre suivant :

U . bataillon d e Sainl-Cyr,deux-divisions d 'in fan te rie de la g ard e im périale ,

lAs tro te divMions d ’in fan terie d u 1" corps, - halaillon d e sapéurs-pom pien . -v

L Jufanlerie d e la gard e d e P aris, î '’*îîl!!®*‘l® ^ Téijulpage de pont,L artillerie ,de la lig n e , l.'escadrnu d e Saiiit-Cyr,La brigade d e cu irassiers d e la garde,Ia division d e cavalerie dn prem ier corps,U train des équipages d e la garde.el d e la ligne.^ <*c toutes arm es, en passant devant U i i r s H a-

jestes, ^ ont açclaroéés avec le p lus vif enthousiasm e.

- ^ i r e s aux Tuileries au m ilieu d 'un-conconrs nom breux <ie population q u i, m alg ré une pluie axses furie , s 'é tait portée s u r leu r passage e U e s a salués p a r les p lus chaleu­reuses acclam atioiis........................................

l>rurR Majestés ont daigné tém oigner A pluaieurs reprises aux m aréchaux toute le u r satisfaction p o u r la belle tenue v l ?*.*“ régu la rité avec laquelle elles on t déflié .e t S. H. le Rwi des.PaysiBas les a p r i ^ d e leu r fairu part en son nom .de tou t le p la is ir qu ’il a éprouvé à les voir.

M ercredi so ir, A huit heu res, le roi ol la reine d e Hol- lande on t q u itté P aris. Un tra in spécial a été m is A leu r Î E seron t acconipaghés ju sq u ’à la frontière p a rplusieurs officiers d e la m aison de l ’Em pereur.

à l«i llpye; la reine se te n d à S tiillgnrd auprès de sou p i r e , roi de W urtem berg.

Un pelolou de eenl-g.irdes les a conduits Tun et T aulre A la gare du chem iu d e fer.

u priiteo Napoléon est parti d e P aris s.imedl si-ir p a r S r f ï a d e M arseille, accom pagné de tro is de ses

•**; ^ F raco iiifrc e t MM. les lieu-rn?.rt * * ' fe rri-P isa n l, e t de MM. deC han-î in n iî i ’' *.• Ecole Im périale des m ines, e t deLongpérier, m em bre d e T lnsliin i.

,^ 't! Nalioléoii K l a r r iv i i K n'plc, | , 13 m al. S. A. I . SK lm oiiIréc a ïo c le r o i s u r l e l i a l r o u d u palais, La faule

a .rall éilU ndri! I » cri» dé ; Â Home! Ÿ k c la M ^ Y C ii Hai pQtùHÎ ha ville e s t en fôle.

Uj ro i d ’IU lle, dont le voyage es t un véritab le Irioihphe, a été visiter Salcn ie ; il s 'ës t em barqué te 10 pour Messine: Il a d à aller à Reggiu p o u r re n tre r a Naptes.

I,e vice-roi d 'E gypte est a rriv é à Rumu te 0 mai.

Le MoHiieur m iverse t de m ard i contient un iMpitorI du contre-am iral B onnard su r les dern ie rs engagem ents qui on t eu lieu en Cocliinebine. Ce rapport signale les résultats q u i su ivent i

I* Conquête, pncillealion et organis.ition de la province d e Bien-lloa :

^ Deslrticlioii d e Tarmi’Kt régulière onnnm ilc du nord;o* Oispersion de Tarm ée annam ite du snd ;4* Prise de deux citadelles e t d e plus de tren te forts:5* P rise de 120 pièces de canon s u r Teimemi.

On lit dans la Patrie :Uuc dépêche d e Saigon, dO “SU m ars , nous aiinunee que

le co rm expéditionnaire franç:iis, coniniandé p.ir te cimtro- am ira l B onard, venait de s 'em p are r de lu place forte de Vluh-Long, située s u r te gruud b ru s du M éicoiipii fleuve C am bodge. -r«—

- - Une dépêche d e l..oudres annonce, d 'ap rès te jo u rn al de la m arine de la Vei.-i-Criix. qu ’à lu su ite d ’iinu confé­rence tenue en tre les pléiiipotentiaireH .illiés à Orizaba, les F r a n c is ont résolu que leu r division expéditionnaire a v a ^ r a i l dans l 'in té rieu r du Mexique; les Fi-.incais pren­d ra ie n t sous leu r responsabilité ce tte initiative. i,ês troupes Irançaises son t partie s pour Mexico. Le.s Angtals e t le» Espagnols ont résolu de se re tire r. I,curs trou iies se p ré­parera ien t à re to u rn er à te Vera-Cruz. Le p arti réaction­naire , ajoute te correspondance, a cuam iencé une cam ­pagne eu règle con tre Juarez.

Des dé|>èchcs officielles e t iniportuiiles son t >irnvée.s, on date d e Vera-Cruz te 15 avril :

■ Anglais e t tes Espagnols, considérant que te réso­lution des Pranç.iis d e m archer s u r Mexicu éiaii une viola­tion du tra ité , on t enlièréineul re tiré leurs forces e l laissé les Français seuls poursu iv re l'expédition.,. " . d W d e que les vaisseaux du gnerre angteis par­tira ien t im m édiatem ent. Le m inistre anglais devait iin iite r le Mexique le S I.

■ 1 -esF rançab devaient m archer s u r Mexico te 21. •

vient ^ frappor le royiuunc des Pays- : te s .T In îiiceàdte te rr ib le a ré d u it «n cè ii.lrc » 'la ŸÎIîe' d fe.nocbede. d e là province d'Over.ys.sel. Pliisicnrs églises, q u a tre lilalurM A vapeur, onze ti&taiideries. des te in ture­ries et les sept huitièm es des maisons sont deveiiuus la iiroie dos flammes. Plus de cinq mille personnes sont sans abri, sans inpyen d e trava il, ayant perdu tout leu r avoir. On es­tim e les perles à p lusieurs millions de florins. Le sinlKti» a été SI général, ses ravages si rap ides, qu’on a «ru d ’abord a un ac te crm iiucl. U cureuscm enl, ces b ru its ne se conflr- iuent pas.

Le re i de Portugal v.» se n iariu r avec te princesse H arie-1 le, cinquièm e enfant du ro i Viclur-Eniniiinnol cl ^ u r p a r conséquent de la princesse Clolildo. Elle est âgée do i l ans e t dem i.

— M. le m niislre d e te g u erre a été consulté s u r la question de savoir si les m ilitaires liésausc rv icc avec prim e libérables en IS fti, et auxquels des pioloiigalions du congé ont été accordées, en exécution du la circulairu iniuislé- rielle du 0 mai I8C2, doivent re jo indre leu r corps à l’ex- p iralion d é d i te s prolongations.'E n princiiiu, et conform é­m ent aux Instructions en vigueur, les honiines servant en vertu de la loi du 26 avril 1855, doivent accointdir inté­gralem ent te tem ps d e service pour lequel une rén innéra- hou pécuniaire leu r es t allouée. Toutefois, commu tes li- b- rables do 1802 n ’au ron t plus que quelques mois à accom p u r à 1 expiration des prolungutions du congé qu 'ils ont obtenues, M. te m itiistru consent, p a r excupilon ut utin d ’é­v iter des frais iniiiiles, à tes dispunser du l’obligation de n 'jom dre le u r corps.

— M, N aussm ann.'préfet de te Scinc, vient d ’ob ten ir un nouveau succès auprès du conseil des m inte trrs. ITa rén tsi a fa ire adopter, m algré une vivo résistance, un projel qui 1)0 m ettra pas en inouvumcnt moins de 125 millions.j Ce projet so ra ttache , assure-i-oii. à loiitn iino série de iio u v ^ u x u t grands travaux d'em bultisseinent. P arm i ce.s trav a u x , on cite iiolam meiit 1a consirnciion, su r Tancleu em pteçem ent de te b a rrlô ied ti T rône, d ’un a rc de triom phe de.»t né à pen ié tue r te souvenir des victoires runiportéus p a r lo t arm ées françaises du second Em pire un Crimée, en llîd iü , en Chine, en Coctiincliiiie, ainsi qu’au Mexique, fais dépendes nécussitéos p a r eu m onuim ni nu sont iias évaluées a m oins de 50 m illions.

. — baron Ange Ily.'icliilhe-Maxence du Damas, an ­cien miuiMru de» uflaîres étraiigùrés, g é n é ra r e t pa ir de F rance, ne en 1785, gouvuriieiir du duo de Bordeaux en m u 1828, gruud • officier de te Légion d ’honneur, vient de m o u rir à P a n s ..........................

Le Journal de SjînloPéWrsbaurff aiuinii'^e que. p a r siiilo du m auvais é ta l de sa santé, te général lum iberi, q u i gardait toujour.-i le t i lr e d e lieutenant-gouverneur de Pologne, résigne dériuitivument su» fumnious Son.succes­se u r n ’est pas encore nommé. Le général Luders est re- j i a r t t puur V arw vie.

- Las événem ents en A m érique contiim unl à m arclier aveu len teur. Les nouvelles do New Yorli, du 26 avril, aniiAiiCent ionjoiir.» qu 'une bataillb e.st im m inente à Cariillh que les fédéraux inutluiit des canons en batterie à im m il­lier de m étros des re tranchem ents des confédérés à lo rk tow n, e t qu 'on bom barde toujours lu fort Jackübu pras d e là Nouvcllo-Orléaus. Auciln résu lta t décisif n 'est apporté piir ce d ern ie r arrivage.

P o u rex h a il ef i-cdacliou : E . REGMEU.

EDMÉE.I. . . . r i le du cœ ur ne se ^'com pense pus,

• . f * ' “ *• *“ r t r in n è re . M onilêiir P lan ," ï ï ” . j ‘ «UM pleinenienl s a lM iil de vous, d e voire coopd-

inlenllon e»Tfih ï? f »“ » P N n leiiie n |» . La p erte que je v ien . do aV »i «»»«>le: e l , pin» d 'n n négpcianl

n i t . / î r * ' * “ * * ni*nque.S K ? « « Ir iise r P»(if SJnurner IndOBnlrnénl Pellfct

inleplioiK A I ég a rd de sre employé». J 'a i tnès■ S l î " ? PM In

jujwrtenr i.eo ln l qu i von» m i alloné, d e ce jiin r J 'ai cnn- »S »i. <<««»•' W eu. u n e dette de ennseience,S ■ "? '1“ «I eiio réaniinil d 'n n e n ja d e .e Ï Ï m . iJ .i Mri.'l«ro»e, vcniilei vnn» cnnaidérer™«me Jouisaanl d 'nn irailem eni de 2.000 franc». A p a r tir

I a« ce m ois.:. tow m ecom blex; fnaiA l'augniéiilalionqucte mit m» .* .***? *»i ce qui m ’êraeul te roo iiu ;Mre L « i c g r é , ce son t les bonne* M d îlu ®ÿ* est rehaussée. Mais, su rlo g i. ce que je ne «elle ï!.lm P “ *»"* i«» «entim cnls de Justice éler-Ïû u re îï, W obàh$oz, dans une circonstance si dott-ï’anttemiA f ^ " P M te iH les grandes vertus civiles d e <»«iisM p l n ^ cro ire tenu A une chose arrê tée seiilem ent

te l dîvte! ' ®* ' 8 fan<*.“-• Je le ei^ is avec vous, mon am i; cl je ne fais que re iu

dru hom m age u te verlii, à prcinlrc ce mot dans sa larce c l féconde acception philosophique. — Grèce à Dieu, te fortune im m obilière qu i m e reste m e perm et de faire re- conslrn ire m a papêterie el je vais m ’occuper de eu soin, aussitôt que je sera i parvenu à placer provisuii cm enl mes ouvriers dans les papeteries d e m es am is, pour lc.< ruju-en- d re des que je M u rra i les occuper. — Nous esquisserou.» de* plans ensem ble; e l, pour com m encer, je vous conduirai dans quelque* jo u n ià la papeteried 'A net, où Ton fait usage de m achines à vapeur dont on d it le plus grand bien. Nous pourrons en acheter d e pareilles p o u r notre nouvelle panu-ten e .__________________________ |__________________ *

XXXI.XAICUIRITK.

u Le surlendem ain , M. Delapalme reçut une lettre ilo M, HIcbomnie pere , qu i lu i exprim ait « toute la p a rt qu ’il p renait au m alhçur qiii lui ô tait a rrivé . » An reste, ajou- |a ll-il , s i votre papeterie é ta it assurée, comme je me plais à le c ro ire , la perte ne vous regarde pas : te compagnie vous rem boursera , e l tout sera d ît Sciileuieul, vous aurez I em b a rra s de faire recoiisli u ire votre usine, il est vrai que ce se ra M u r vous une occasion favorable, pour inlrodiuro — sans bourse d élier, — dan» votre fabriralion te» pcrfec- Itennem enls dont Texpéricnce vous au ra it fait rccunnuitre te» M n s effets. Ces! l à , en tre nous, un avantage qui n ’est pas à dédaigner. ^

Et le roa iire de forge* a jouiail, en term inant ;• A r th u r. sera it allé vous faire ses c o m p lim en t de cou-

d o t^ iic e ; mai» Il e»| soiiOyant. en ce m om ent, et sou mé­decin lu i a défendu d e so rtir . I l m e charge du Tuxcuser aupre» de vous e t de M"* Delapalme e t vous prie Tun et I au tre d ag réer | expression de ses sentim ents du respect... •

1.6 m êm e co u rrie r avait égatemmuiit apporté à Valciitiii une lettre , qui nous a p a ru m ériter d 'è tro reproduite.

Cette le llre lui é ta it adressée p a r s» siciir.« Mon bon Ih jre , nou» avbiis été tous hvui'cux d ’apprcii-

- - Le cam p du Chàlons doit prochainem ent s’o u v rir; le* troupes qui on t reçu Tordre de s’y rendre y sou tu tteuducs vers_ la Itii du m ois courant. Ce cam p sera composé celle uniiee de te m anière siiivaiitc :

C.VMP DE ciu io x s, 1802. ~ Commandant en chef, maré- cliiil Cuiirubert. — Chef d ’état-m ajor générât, général de b rigade baron Anselme. — Comniandant de Tartilterie, général debrigade.Courlois-Iloussut (t'IIu ibal. — Coniman- daiit du genie, rh e f de bataillon Weyiiaiid. — Inlunduut m dita ire , T intem tent Fourn ier. Prévôt, capitaine de guu- dariucrie M aiubergcr.

I "Divisiox 0 INFANTERIE.—Commàtidaul la division, général ^ division de TAdm iraull; chef d 'éla t-m ajo r. colonel 0»- p io iid : co inraandanl.T artiite rte , c h e fd ’uscadreii Maittoi. — 1" brig.ide, comrnuiidaitt la brigade, général de brigade com te d ’Ëxéa; 12* bataillon de chasseur.» à pied, 16' régi­m ent d ’inrauterie de ligne, 45* idem . — 2 ' brigade : coin- inaudaiit ta brigade, général de brigade G renier; 46* régi­m ent d ’irir.Milerie de ligne, 53' idem , 3* ballerle du 7* ré- giuiuut d artillerie runutée, 4* idutn, 4 ' cuiniiagnie d e sa ­peur* du 2* régim ent du génie.

2* DIVISION d’in f a n t e r ie . — Commaiidnnl te division : gé- iirro t de division dcL in icr» ; uhi f d ’étal-m ajor : colonel do IMace; com m aiidaut Tnrliiloriu : chef d’escadron Lcgar- d cn r. — I" brigade : comniaridaiil la brigade : général de b rigade Gruncliamp; 13' b.ituilloii do chasseurs à pied, 12* régim ent d 'iufautcriu de ligne, 31* id , id. — 2* brigade : »»m niandanl la brigade : général du brigade de Moiitaudon ; ü6* régim ent d ’infanterie de ligue, 63* id .. id ., 3* batterie du 8 ' régim.'tit d 'a iiillc rie niuntée, 4* id ., id ., G' compagnie du sapenre du 3* régim ent du génie.

ô ' DIVISION d’in fan te rir . — t'om inandaiit la «livi.sion : gé­néra l de division Périgot ; éhef d ’cla l-m ajor : iwdoneISrhmilz roiim inndant Tiirtillcriu : chef d'uscudroii Suuuiur. — 1** b rigade : com m andant t.i brigaile : général de brigade Lndreil du tu t^harrièrc: 16 bataillon de chn.s»eur* A pi*-U; 71.* c l 84* réginieiils d 'infaniuric de ligne. — 2* brigade • com m andant la brigade : général du brigade Oubus ; 92* et 9 i*ivgim eul d ’inranlcriu du ligne. — 3* e l 4* b atterie dn H* régim ent d ’arlitte ric m ontée; 14' compagnie de sa- peui-s du 5 ' régim ent dn génie.

Uivisio.v DE «.WALERIR. — Commatuteul la division : géiié- iMl du division Feray; chef d ’éta t-n ia jor. colonel de Toulon- geon. — 1" brigade : com m andant la brigade t.géuéral do

d re , p a r la dern ière lettre , que tu es tonjoni*» satisfait de tu position et su t tout que tu contiiincs à tu liicn porter, ca r cusl 1.4 l'essentiel. Il y avait plu» de quinze jour» que lu no non» avais éc rit c l lo tem ps nous a paru bien long... .Ma­m an craignait que tu ne fusses m alade. El c’est mal .4 lui, mon «lier la le n lin . d ’inquiéter ainsi, par ton situnce, ce tte bonne incre. qui l'nim e tan t, l'rom efs-uioi de nu plus re ­tom ber dans le môme péché d'Iiabitnde, cl j e lo p ardon­nerai, nn nom de te famille. \ propo.», ruonsienr te cacho- tier, lu ne nous avais pas d it que M. Delapalme est père d une charm ante demoiselle, âgée de.dix-srpt an», A peine.

-H uis unu-persoune qiii-te-connait ine-Ta-appri»t-ainsi cela ne 1 au ra servi du rien , de te ta ire . On assure que cetlu deinoisutle est s u r te point do so m arier. Le jeune homme «ni asp ire à sa main es t, dit-on, tiés-aim uble ut très-bien d e sn pereonne. Ou parte déjà du la corlN*illc.]l paraît qu'on ,i achulera A l’ari». Il y » ponrian t ,4 Evrurtx et même à

ury, des élollb» e t dus bijpiix dont bien des jeunes tilles so conlcntur.TiRiit. Je fais de» vioux pour que ce tte dcmoisello soit heureuse on ménage, car ou la d it aussi bonne que bulle. E-st-cu vroi, mon frère? lo i, qui as la prétention de te connaîtra un bonté c l mêm e en buaiité... Voyez vous! qui e s lc o qu i au ra it pensé ça de M. V.vlentin Flanlerose. te ilis au pero Planlei ose le sabotier, ut te frèro du ftd te M.irgue- r lu qu i .1 pour m iro ir nu morceau du gtaco, dans lequel otlü O.SO a peine »c regarder, lan t elle se trouve telde... dans cu lte vilaine choso. Mais il nu s’agit p.as de M arguerite, — iii do son m iro ir; m ais bien de Vntenlin. Quand viendras- tu nous voir? Tu prom ets toujours c l antaiit en um iiorle te veut. I) abord , si tu ne viens p.is, je sais bien ce que je fe­ra i,. . Réponse du su ite . Adieu, vilain frère.

• Tu sœ ur rourroncéc.■ M ar o u b r it e . •

peux jo u is après, vers dix heures du m alin , M. Det.a- paline et sou jetinu commis parta ien t pour Aiiet, dans le bjil de visiter le.» nonvcllis machines de la papetcrio éta­blie «lans ce village, renommé p ar son vin, • qui se

brigade Euzeueu de S em lafla . S 'régim eut de’draaAiis. ^ id. — 2* brigade : comfBMÎdàiit^la brigadei; gétféiM 4le - brigade Feufeiileurtkrde Gbeffimtainr. 10* réginieitt d e dro-gou», {d' idem, 3* batterie du 20* ri imeul d’arifùeriÿ àcheval.

RésKRVB» ET PAics. — 3* hatleH è du 13* rég im ent d 'a r til- Icrie m ontée; 4* id . du 13*. régim ent d 'arliT leri» raoutée:4* id . du 20* régimunl d ’u riille rte à cheval; détachem en t d e ta 1" cuiupagiiie d 'ouvriur» d ’a r iiite r ie ; délaclienieiil d e là compagnie de sapeur» conducteur» d u S * r^ in ie iit d u génie; G* com pagnie du 4* escadron d u tra in de» équipage» 1" com pagnie du S* escadron du tra in des éiinipagu» ; dé- tacheineiit d'iiiU rœ ie rs m ililaiius ; détu rhcm eal d 'ouvrier» d 'ad in iiilslra tion .

FORCE FCBLIQUE. Délachemcul de gendarm erie .

llOimSLlÉS DËPlRTEpilTiLES.iB B tew iee |wfclâ«ixe. — Aei»*é*âe Me rw lB .

Nous, Préfet du départem en t d e TOUe, C hevalier . d e lu t^g io u d ’hohueür, .

Vu le déc re t du 24 n»ars 1851, p o rtan t rèsie raen t des ecoie» Horiiialesprimateewi.

Vu la circu laire m!nl»t«rielte du 21 a w il , «rai l'accoitr. ■ p.ngne ;

Vu te c ircu laire m ioislérielle du 2 fév rier 1853*A rrélen» eu qu i so it :

Article I**. Le* jeunes penionites qu i d ésire n t eoneoiirrr pour ê tre adoitse* au Cours norm al prim.Tire d 'élèves-m ui- tresses, étab li à 'B eauvais , d e v io u lse fa ire in scrire d u 5 m ai a u ^ ju ille t 1862, dans tes bureaux du T luspecliou aca* dém ique, rue de te P réfecture, 87, à Beauvais. où lia r e ­g istre est ouvert à cet effet.

Article 2 . Toute asp irau te devra déposer, au m om ént d e sou inscription :

1° Sun acte de naissance li^alisé au greffe d u tr ib u n a l civil, constatant qu ’au 1** septem bre 1862, elle a u ra a tte in t 17 an» au moin», e t 22 ans au p lus:

2* U ircertiflca tdeinédev iii, cuust.)iânl qu ’elle a é té v a c C illé e oti qu ’elle a eu la petite-vérole, e t qu 'elle n 'e s t a l- luinic d ’aucune iiiflrm ité.ou d ’aucun'vice d e conslitutioti qui te rende im propre à Tenscignemeiil ;

5* L'eiigagemeiil, légalisé, du se rv ir p en d an t d ix an s dans Tliislruclioii p rim aire publique.

Si elle est m ineure , Taspirauto p ro d u ira , én o u tre , une duclaralioii de son p ère, oU du soù tu te u r , l’a u to risa n t à con tracter cet cngagenieut ;

Ces deux dernières pièces devront ê tr e tu r papier tim bré, et legali»ée».par le P-

4* Une note signée de ra»|»ii:a#iyv «M ^^t'^ leT W o m u " ^ les lieux qu elle a babiié.s depuis TA » dq q !® ic .u ii» T ^ ;

a* De» cerliflcals de m oralité délivré* p i r ie$ \à ù su lâ tn écoles auxquelles elle au ra ap p arten u su it com m êT «êre . soit comme «ous raaitres.HC. e t p a r cliaciinu des autorité» locale» p r e p i ^ à Ip s i^ e i t te o c e e t à te direc tion m o ra le .

fo u le .nspirante A qui au ra .été accordée une bourse ou portion de lH>ui>e, ou sa famille, si elio est m ineure , dev ra con trac ter Tcugagemuut de rem bourser tu p rix du sa pen­sion, pour lu cas ou ul!o ne reste rait pas dix ans dan» I Eu- seigiiemenl, et |iour le cas où . p a r sou fait, elle su rtir.iit de I école qvaui 1e tem ps proscrit.

F ait à Beauvais. le 1” m ai 1862. p o u r copie conforme .* L e Préfol de lO ise.

L'Inspecteur de l'Actidéinie, Léo? CiirvRE.vu.Collet,

CMMBiirs résiMMl M’.trniB.

AVIS ADX EXPOSA.NTS.MM. tes Exposants sont prévenus qu 'ils seron t diitpen^s

du consigner fus droit» d 'octro i aux portes de cetlu ville pour les bestiaux q u ’il» iiiiroduironl.

Il» devront justifie r de leu r ca rie d ’adm ission c l il leu r sera rem is uii pussu-dcbout.

lilule de* SlflwlwMi du S u r r p ^ u r la deuxième «wmleu de ltlS9.

MM.Cozellc {Atexandru-Chartes), ren tie r à Songeons.

laisse b o ire ,» — e t célèbre p a r te ciiàtcaii qu 'y |U rôits- tru ire llciiri 11, poursu inaitresse, Diane de Poitiers. « coni- tciisc de Brézé. •

Le luôrac jo u r , vers m idi, une jeu n e tille parais.sanl âgéo d environ seize ans, en tra it d an s lu cour du M. Delapalme.

A rrctons-nous à la considérer, pendant q u ’elle referme ta porte .avec précaution e l prom ène au to u r d ette un re-- gard tim idem ent investigateur.

Elle porte un petit bounet d e liuon, p lu t, d it à te rosette. u irt en usage dans ta Beauce, notainm enl aux environs de

Aj«u>e* à cote un cas-iquiu de .siamoise, iiiie jnppa m d ienne1T in lll8 -ra iw ret"ilK ~^R i5” g ira lîe rsrC erie$ rto * - costiim eest peu avantageux. Mais lorsque Tivil, im pressionné tou t d ’abord désagréablem ent p a r les dissonance» d e cette m ise com m une. vTeul à ab stra ire ces dohor* rustique» c l à ' ne plu» considérer quo celle q u i porto cepie m isère, quel n est pas son étonnem ent de rencon tre r, su asc ettu cuifnire iiisiguiflante, une douce figure de v i e r ^ , d e beaux yeux bleu* et d r» cheveux adm irable». L 'exam en coiitim ie ut le cusuquin laisse deviner le» bultes ligne» pure* d 'u n corsage' digne du ciseau g rec ; la ju p e d 'iiidium ie es t oubliée, poùf deux jam bes de ducbess», c l le» souliers? Ah! qu ’ot) le» ou­blie aussi fltcilement pour ne songer qu 'aux deux iielit*^ l>ieds btençs qu 'il enserren t ! De» gants du coton voilent te» main», m ais comme on en devine la 'délicatesse, à-traver»- le lis.su com m un...

■Telle est ce tte jeune flile, considérée attentivem ent : unu perte fine, dans une eiivetoppu grossière.

Ajoutons que te Jeune a rrlvon ie porte au b ra s gauche un ' panier ca rru e t tien t à te inaii).druilu un-paraplu ie du co­ton. avec I annotiii tvadiiruunut;

Médor, qui-vient du s’uvelllér.. ajaiHirçu lii jeune fllIe, e t se m et à aboyer avec uifu force qno Ton iiu lui uomiaissait' pas encore. R èttreiisénienhqu’iiue uxcellentu chaîne d e Âi* te re tien t à s a niche e t l’èiunôehu du jo ind re les voies du» fa it aux menace».(L a suite aurprochain numéro.) ■ Elucim JOURDAIN.,

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Kninm eliii (Iliilicrl); n iilliva lcu r au ric^^^i^i-UeUcviMt'. , PiiHoüx (l^ u is-Jen ii'B ap listc^ p ro p riè la ire à ItoauvaiK.BiguI (l.oins>Aiig.>l‘V»ii^ois}, nutaii'c lio iio rn iic ù

en>Chaussée.Luciisi CLoui»}, eX 'phurm acien A Bcauvnis.Du Roucy (A drien), nropriétu irc e l n in lrc ù M orlincoiirl. I*r«quin (EUciiiie*Nii'olas). cuU ivolcui- A Graiiilvillcrs-nit-

B ois.P aycn (P ierre), proprii^tairc A E squeiinoy.L’E sp inello (Gainilicn*Rni'tliélcniy). vArincalcur d e l ’enre*

g islrcm eiit à Glerreont. r.hevatier (LoiiiH-Juscpli), propriéliiii-c c l m aire A Clairolx. B eauchahi (Ananiu-Aluxis). rubricaiit d e bniiiieleric à Feu*

quiôrcs.l.ero y (EugèiiÈ-Arllnir). p ro p r . c l utiU ivaleiii’ à llo la iigy . C olleaux (A iiguslc). cu lliv a le tir à r.ruuy>i'n-'i'tielle.D cbelliisy (Ilonorê-A lexandre). propr. A la Croix*Sl*Oueu. iilarchau l (C lovis-A iigiislc), iiùtiiire A Aeby.Bougon (A ristide A iigu sle), p rop iii'ia ire à Noyoïi.P e lil (Charles F rançois), r.u ltivalenr A P ierretim ds.Vatlols (Cyr*Jeaii C hrysoslùm c). propriAUdrc à llre icu il. D npnis (A niêdôeL c.n lliva len r à l\cm y .Denoyelle (3can*Bapllsle-Pa\il), p rù p n ô la ircA Mouy.Alélais (PieiTC-AnloinC'Consiiiiit), m aire A ('.ourrellcsdes*

.'GisurSi ; .VncheU e(C harlcinngno-D t'siré), nêgucian i A Crcil.B ouhiois (R éniond'A rsônc). cn ilivu tunr A S iiin t'T liiban lI.Hny (C laii(lc>LoiiiH)..propriAlalre A la V ilicneuve-I.eruy. Théron (P ierre-Jusi Mussid<n'}, prnpriéla ire A Clei'm oiil. j L avoisier (G iiU iilannit-R crnard), m U iv a tcn r A Ilunville . j D union licr (ils (Achllle>LAon). h u iss ier A Fsiréus SI-D enis. ! P alria (V irlor'C harlcm agne), eu ltivu lou r A Fontainedes* j

C ornu.De Com bunll (Archam b.anll). com te d 'A nieiiii. piM|iriiMuii e

' A Berncuil.Sallem bien (Jeun-A lcxis), rn lliv.al. c l adjoint A ('.anibronno. Piltoii (Adolphe^Xavier), p rop riéla ire A Beanvais. l.cd nu (F rançois-Joseph), cn lliv a len r à Fresneniix.Ilesoùges (I .ân rcn l-A u gn sle G ervais), propi'ièUiirc A M ôni. C hevallier (lAU iis-Slanislas), c iiilivn lon r A Orniny-Villers. A ncel (Thihuiore), r u iliv a le n r A Villeneuve.Thoma.s (C yrC onstnncicn). propriclaii'C A Hroloui!.

Jn rJ s sitiijilcntcnlaire.f.U enanll (F.liennc-Dé.sirê',, m archand boim elier A Beaiivais. Jos.sel (F ran ro is-Josep h -K d m otid ), lunîlre cliarj'cn iior A

BcunvaU.{.egrand-D esriolzeanx (A niédée-Françoi.s), propriéUiiiT à

Beanvnis.T avanx (F ranrois-E douard ,. niarcltam l de lcrs A Ite.iuvais.

C IlA N T ihlA ’. — La p rem ière jo u r iire d es cou rses fivt’e an d im anche 18 d e ce m ois verra rem |iorier le.s cin i| prix snlv.'ïtils ; déJa R cinc-B lanelus iln Gros C lièn e.d e.sE cu ries,

. d e Diane e l ü 'A prcn iou l.

— On lions ècr il à b d a te du 15 m ai :. Mardi d c in ic r , ver.s o n te b c n r c sd n m alin , un incendie

èc la ln il A Chantilly , d ans uu( i é c u r ie en p lanches apparie* hanl A Al. T om lin r s l flis, en lra în cu r . Ce s în is lre aurait inévilab icm ent |>ris d es proportions con.'iidérable.s, .si riio- norablu Al. C an vtt, e n c c m o m o n i au m ilieu de se s ouvriers, i i ’rùl élA averti p ar une l'oric o d eu r d e bois brû lé . Il n'en e û l pas p lus lût découvert la ca u se , qu'à l ’instan l m êm e il organ isa d es secou rs en ap p elan l s e s ou vriers A la, ma* n œ u v r c e l A ralimcuDiJiiQH de sa pom pe. L'eau de son ré­servo ir . heurensem èttl aiU ié A p roxim ité du feu , rondil le p lu s grand serv ice .

* P cndanl ce lte prem ière e l v igoureuse n llaqno, ta g é ­néra le se fa isail en len d rc d ans la v ille , et les s;i|>eurs-pom*

fners, avec cet é lan c l ce zè le In lelligcn l q u e tout le m oi.d c cor con n aît, .se rend irent nu pas d e cou rse .sur le ihéA ire

d e l'incendie. Jo ignant a lors leu rs courageux e lfor ls A re.iix d es ouvriers d e la n ia lu re , don t la con d u ilc a é té d igne d'éloges, ils ne lardèrent pas A se rendre m aiires du feu, qui déjA m enaçait sér icu sem cu l la m aison voi.âne.

» Ô: n'est p as la prem ière fois q u e nous avons occasion d e sign a ler A ra ifen iio n pub lique la b e lle e l g én éreu se rnn* d u ile 'd e n o ire com pagnie dans tes j o u is d e d.nigcr.s c l de sacr^flces.

•• Des tém oign ages p articu liers de reconnaissance lu i oui a u ssi é té adre.ssés p lusieurs fols déjà . Je n ’cn veux c ilcr qu'un. A la s iiife d e f in c c n d ie q u i. â ir m o is d e d écem bre d ern ier , avait d évoré une partie d e m aison app arle iian l au D om aine, Al. Alac ('.ail. ad in in istra lcn r . cu vora il A l'osii* m able lieulenniH -des pom|>iers u n e som m e de cen t francs

' pour être versée d an s Lv ca isse de la com pagnie, c l lui adressa it en m êm e tem ps les rem erc ic in en is les plus cha* leurcnx et les p lus nalteui-s pour lu zè le ronurquntilc dont e lle avait fait preuve ru ce lle r irron slau re.

• Cet h om m age é ta it b ien m é r ilê ; Il fait ru m êm e tem ps l'é loge d e rhonoruble ad m iu islra tcn r qui a si b ien su r e ­con n a ître 1rs serv ice s rendus, r l ce lu i d es hom m es n io . d e s le s p leins d e rcspeci pour l'ordre et la <lisciplino, et cou rageusem ent d évou és à la cunservalion des propriétés et A la sécu rité pub liq u e. - Vu (ibiiuiiv. -

CREIL. — La fê le d e Crrit. qui peut p asser pour une de.s p lus bclics c l d es plus fréquentér.s du dépai lem cnl, aura lieu les d im a n ch e , lundi c l m ard i de la l ’en lecù le .

LA CiiAPELLE*EN*SËRVAL. ~ Le K m a i. vers huit lio iires du malin.- lé s ie u r A lexandre Pasqu ier, m açon, éta it occu p é à travailler nu fond d ’un [u iils. Il allait s e m ettre à réparer la m u ra ille , qu an d tout*A*conp la m arne su r la ­q u elle ce lle m nraillu reposait se rapprocha du lu i et lui serra forlcm cnt le s jam b es. Deux p ierres a ssez lîirgrs lui couvrirent la tê te , sa n s cependant l 'a ile in d r u .- l’ii instant a p rès, la m u ra ille s'écrou la su r lu i. Do prom pts secours lu i R trcnt au ssilô l p rod igu és; to u te fo is ce nr fu i qu'au bon i d e deux heu res qu'on parvint ù le tir er de l'espèce de cage o ù ilé tà itren ferm é . 11 eu fui q u ille h eureusem ent pour quel* q u es contusions e t d e légères écorch u res.

iLlANCOFRT. — U ne sou scrip tion vient d 'être ouverte A Ifiiahcourl pour le renouvellem ent d e s in sirn m en is de la n iu s iq u c 'd e C e'bourg . Al. le b aron d e PInncy, député l'arion d issorn cn t, a b ien voulu y p articip er pour une som m e 4 e m J r .

l ü R J l I V D C O iV C O U R NDE

ft^OlES D'HtBIOillE ET SE FAHFABES•W /Ei|r*«01ITATAllE I AR L’AUtOStît MÜIIICIPALE

£ T D B fiA M S Ë .PAH LÀ .■FANFARE DES FORGES J to IHwMWir tK i f«* ! « • « .

pBze heures du' matin, réunion et réceplinn de tous les Corps de Musique au passage à niveau duéhemiD de fer de Creil à Dcaiivais,

l e Concours aura lieu dans le Parc du C/iàfeau d e J f . le baron de Condè.

PM&RAMMEn M N I liM il« E l us SOCIÉTÉS B£VBO\t COÜCêtRU'.

P À r i . r s . . Chef d e m usique d o la G arde du P a lis . RIEDEL. . . C hef d e m usique d e la G eûdarm cric

d e la (iard c .La r A i r r A M x m t o b o b s n e prend poin t part nu

C on cou rs, m a is e lle eu fait l'ou vcrin rc par la Fnnlaisip In tiln léo : L a liéncdicH ott d e s V o ù jn m ls des U u g im o U (AlEVERUEcn) .................... (;iicf : ( î.-J . !10FF.tt.ANN.

l'nnD*»*.**!». — -A* lllv ls io n .M édaille de Verm eil,

ni. id. iil.

Alédaillc d 'A rgeiil.iil. iil. id .

i " PRIX.‘i* —5' —J . _ rr PRIX, ü' —7* —8 ' —

I' LA NEUVILLE-EK'HEZ (M E xéeu l.). C h ef; P A L tjllE T .L a l 'Iv itr d e s HcIIcs, Slarelic. . C.mitazau.

*J' J0UV*S0US-THELLE(1-1 E xéen la iils) C h ef: LEltULN.La /V*<-.<ere<'ttH5rt, .Marche . . . E. Mauik.

5* OERNEUIL (I l E xécnta lils) . . . . (d \ef : I.FCGYER. . Lu Pr«CD5«(ou. Fantaisie pashi*

raie Arm'nv do Roi:i.li;v. G iief: M.VG.MER.E. Marie.C h ef. E. PAIIQUET.C.OUTCRIER.Clicl : .\.»KVII.LE.llLVaCtlETR.An. Chef:CllARPIv.NÏIER E. .M.arie.( lie f : RIZET.t-'OUTL-niER.C h ef: BARON.Baiio.n.C h ef; Cn. JÉRÔME. E. Marie.Chef : LAUn fE . Gui.uiiai..C hef : LEREL.

-P 0RANDVILLIEns(2'iE.\éciK.inlS).D ia n e d e V o i l i e r s , Fantaisie .

5' HAUOIVILIERS (18 Exécutants) .t'/n /iw et WoJCj, V alse. . . .

Il* berthecourt{IG Exéeulant.s) .V iv i la i s i c m i l i l i t i r e ...........................

7* BURY (18 E x é c u la n is ) ....................Dôm e de V o i l i e r s , F a n la is ie . .

8' verBERIE i23 E xécu lan is) . . . .F o i i l n is ie d u U iO e iu o u lu is . . .

0' AHCY (18 E xéciit.in is) .................M a r c h e ......................................................

10 L’ISLI-AOAII (2ti E xécu lan is). . .I l i i i n e d e V o i l i e r s , F a a l.i is ie . .

11' SENLIS (*i'i E xécu lan is)....................L 'À i i s v i la in e , M a r c h e .................

12* S'*WAAST*LES*ll£LLO ('21 E xécut.).Les E c h o s d u D o is d e S " -A u iw .

!-■>' RIOUY (20 E x é c u la n is ) ....................GeHère, F a n t a is ie .........................

l i ' ATTtCHY (10 E x é c u ta n t s ................A iid a a /e .............................................

LV LE MEUX (18 E x écu la n is )..................1<V v tu ic s u r te s i iw l i f s d e h t

M o r i n a ................................ Alir.mK.A l i t r a i t a i i i r . — B A ii îM io n H | i é c i n l e . '>

I" PRIX. M édaille d'Or.2* PRIX. .Médaille de Vermeil.

1' CJBES-LES-MELLO ('27 E xéeiita iils).. C hef: PO T R IO IE T ., J - M o sa ïq u e d e D on J u a n . . . . lhaiii.2 ” Z i i i r d e . \ c l l i i .................Itossi.xi— ■

2' NEUILLY-EH-THELLE (19 Exécutants) Chef : I.ANGLOIS.1“ L e s S ir è n e s , O iiverlurc . . . E. AIarik.2* I n lr o d i ic l io n e l V r iè r e d e J « -

se fili d e M ê h u I ........... lh.A'ciiKTi;Ai’.ô ' aEAÜBO«T-SUR*OISE (Ô3 Exécut ) . C hef: POlItE'l’.

1- D n r c a r o U e ............................GfiRT.XKR.2* C r a n d M r v a r i é .............. J . C lk .m lx t.

F a i t f H r e M . — 3 ' C l l t i i « j o i i . i" PRIX M édaille d'Or.2* — — de Verm eil.5 ' — — id. ~ — id.5' PRIX. M édaille d'ArgcnI.

C hef: BARON. GtiRT.xrn.C hef: D IFA II. WlLI.IAMXr.C hef: LEtd.ÈRE.

. C h ef: DOLILA.NGER. E. .Mahik.

. Mnxcra..

. BLAXtaiKTKAU.

. C lief : TJSSKRA.M). .Mktra.

. Ai-rkrv ut' Rdixlkv.

. ZléGLKR., C hef: FAUQEET.

Rlaxcuetsau.

MMMcaiW ca 4 a Sm rj.

C O l^ E R C h erd ’b rcl^ eslradu G ym nnsc. flAUVEANE. P rofesseur a u Conservâioirc im péria l

d o m usique.OUFRÈNE . C hef d ’orcb estrc d es bals d e la Cour.

8* — —-l^B A lA euv 'M E.xéeiil.Tiils) . .

L e s .S'û-eHei-, O uverture.2 ‘ t 'a n ln iiie su r la . \o n n a . . . BLAXCiiETEAii.

2* auneuil (18 E xéctitunis}................ L huf: LEM AlllE.h S ans V rc lc n lio n ,O u \e rW u u . E. Marie.2* A r l s e l V a lric , FanCiisie . . Bcrgmaîï.x.

5* $AiNTE*8ENEViÉVE(*il Exocuiatil.s) C hef; JE.MEL.1" F a n la is ie .....................................E . .Marir.2 ' T 'E n s o u r ie n s - lu , M r x n n é . CotTtWKii.

P LA BOiSSiERC (13 E xéculanis) . . C h ef: RURDIER.1“ rf«/.<e................................. ...2" F a n la is ie ............................

3' BORNEL (28 Exécutants) . . .I" I l T ru ia lo re , F a n la is ie .2- L a C o rm ie d e M onlerinos,

M arche .........................Vié.C* BÉTHISV*SAtNT*PiERRE(1 3 Exécut:} C hef: BRAILl.ON.

1' L u /'d ix . O üverlure . . . . E. .Marie.1 * L a F cle -lH eu . Marche . . . .Martin uk i.a MoutrE.

7' LUZARCHES (13 E xécu lan is) . . . Chef : G A llt ' l .1' M osaïque su r U a ijd é e ................ ItfiEK.2* L es D am es Caiiilaiucs, Fan-

l.-t is ic ............................. ItéeEii.8' VILIERS-S-*SÉPULCBE (13 Ex«-Clil., Chef : llACL'É.

L L e t ’hevalier-E rranI, i ) u \e vtu rc...................................... .

2 - Fliunicur a u x Trom bonesF iin ta is ie .............................

9' CREIL ('22 E x é c u la n is ) ....................l* O lhello , M arche.....................2" L e Ite lo iir d es Lagunes, Ra r*

c a r o i lu .....................................R tor.Ih' LA BOSSE (13 Exécutants) . . . . Chef : KE.NOD.

1" F an la is ie s u r les m o lifs d e •lUvhard C œ ur de L io n . . E. M arie.

2 ' O lhello, F a n la is ie .....................B lanciiéteau .i l ' VALOAMPIERRE ( U E xécutants . . C hef: PJGACliE>.

1* A'durcnn-fduCa'iii'.Fanlaisie Auukry nu IIuullev.2* iur/o'.V orm n . . . E. Marie.

12' BELLOY (17 E x é c u ta n ts ) .................C hef: SARAZIN.l ' 6'üii.î/V i7ch/ joii, (Ju \er lu rc . E. Marie.2* d r /r et Patrm. Fantaistu . . Buromanx.

15' S'-LEU*&’ESSERENT(l8Exécnlants) C h ef: BARBIER.P F a i\ la is tc .................................... C outurier.2 “ M a r c h e .........................................Couturier.

l i* HERMES (18 E x é c u la n is ) .................Chef : TR U PTIL.1* L e s E chos des D ires d e l'E u ro Auuéhy du B ou llky .2° F a n la is ie m i l i l a i r c .................J. B lanc.

15’ pERSAN*BEAUHûHT{21Exécutanls) C h er:G O R lN ,1 ’ L e s V isions' d u Clmleau mijs-

lé r ic u T , Syinphm iie. . .' . Aurérv uu B oullky .2" L a G racieuse E spagnole, Bo-

lé r u ................................ . . . . ZiÉcLER.16' MiRU ( ^ E x écu la n is )'.....................Chef rP IC IlE R IE .

1* L a B elle A rlcsiea n c , Cuver*turc. . . . . . . ' Coxstast.

2 ' L 'd jm ut m u itca i, Air varié . E. ^Iabib.D iv ii i is iB ■ • • p é r i f f t ir e ,

HUSIQUE DE LA 6AR0E NATMRALE DE CLERHONT(50 E x é c u ta n ts ) .................... Chcf:PEM ODY

1* F a n ta is ie su r la p a r t d u D iable-. . . Auber,2* A ir ta r ii ' su r le Carnaval d e V en ise .

F B i x S H O ir n s D B . M édaille d 'O r.( 1" PRIX. M édaille d'Or.

F B i x s s BDZ.I : < 2' — — d e Verm eil.( 3- — — id.

MORCEAU I>'ESSEMBI.E E xécu té par tou s les Corps d e M usique réu n is sou s la dircc*

lio n do M. HOFFMANN, ch e f d e la FAsrAiiE uk.s Funr.c.s L e Zouave vengeur. Pas redoublé. . M iciikl BiéGKR.

I l i s é r S I k u l i o u d e s P r i x .I.CS M édailles so n t oiforles par S . M. l'E m pereur, M. le

b aron d e C ondé. le Conseil m unicipal, rA dininibli a liun des Forges c l lo t H abitants d e la cunununu

PONTPOINT. — Le déparicm oiil d e FOise n é lé digno* m ent représenté à l'exPosilldn lu tcrn u llo iia lc d es voIollIrB français c l é lrangei-s qu i n eu liou récem m ent an jardin zoologique du Bois d e D ootogue. Un d e nos éleveurs, .M. Mnupas d e Mnrii (com m une d e Poutpuiut). a exposé p lus do tren te lo is d e sc s m agniRquca an im au x du basHo-caqr, cl a obtenu tro is m éd a illes d ’a rgen t, u n o ip éd u illo de bronze c l nue m cn lio ii houuralde-

N ous so m m es heureu x 'd 'çn rêg islrer le nouveau Buçcès obum u par M. M aupas, d 'au lros tr iom p h es, é llen ^ cn l en^ corc ce t hnbüo agricu lteur, qu i h rendu do graniffu Stu'vlccs d ans sa con trée , en a cc lim a lan l les ra ces i^ rfcc lion n éu s d 'an im aux d e basse-cour et en donnant u n e grande èxlen- siou à la cu ltu re fourragère. A . Ju tlia rd .

POiN'r-SAINTË-MAXENCË. — l.c 12 m a i, vers cinq h eu ­res du so ir , un accident qu i pouvait avo ir d es su ites fu ­n estes osl arrivé eu am niil du pont d e l'O ise, eu f.tre le port d 'em barquem ent, à Pont-Saiutc-M axuuce. Voici ce qui s'est passé :

Le s ieu r Louis (Charlrs A m b ro isc );a n b erg is le . dcm ou- ran l à S arrau , cau lon du L iaiicourt, su iv a it lu c liem iu de halago «ver. sa vo ilu re a tte lée d 'nii o h eva l.-e t ilA nslaquçlh• ii é l.iil m unlé avec sc s d eu x p e lils garçon s, àgé.s, l'uti de quatre an.s, l'autre d e sept.. II venait d e rh erch er à la ville plusieiii*s sa cs d 'avoine. A rr ivéà l 'e s lr é in ilé d u q u a i, il S’ar­rêta pour u llen d re sa fem m e, qu i éta it à lh m l e l qui dev.-rli le rejoim lre cn col en d ro ii. Au boni d e q u cim ics lu iu u lcs, il voulut rem elire son elieVal en m arche. Lnuim 'al, so it q u ’il cû l p eur ou qu'il fiit un peu ré lif , recu la brusqucim uif vers la b erge : vo ilure, chêv.il, hom m e, -en fants, tout fut précip ité dans l'Oise.

Par un hasard p rovid en lic l, Louis put so r lir de l ’eau c l appeler au secou rs; car, à dem i-évanou i, il lui^élait im p os­sib le de sauver se s en fan ls. Le sieu r M'assy (Jhles), âgé de. 5-i ans. né à Coudé (N ord), m arin ier â bord du tié M U 'a leu r , eu .ilation dan.s le port, eu len d il s e s cr is; il arriva en toute lià le dans sa barque, se précip ita réso lum ent tout h ab illé d a n s l'eau, c l parvint, ap rès bien d es é tro its, à ram ener su r le rivage tes deux enfanls.- dont l’a în é p araissa it déjà asphyxié. Les deux petits garçon s ftirenl portés im m éd ia - Icmc'ni d .m s une m aison voisine o ù . en l i s réchautTaiit, on les tappula à la vie. Ensuite on relira du l'unu le cheval cl la voilu i'e; ils n 'étaient end om m agés ni l'nu ni l'autre.

t.e sauvetage a i ail é té d 'au la iil plus d in ic ilc qu'il y a p ins d e quatre m èircs d'éau en cet en d ro it. Sans l'arrivéu du sieu r Massy, les deux enfan ls auraient assu rém en t p ér i; ils dcnvent leu r sa lu t nu courageux dévou em en t, à l'énergie et au sa n g lr o id du bravo m arin ier , dont la con d u ite m érilc d 'être sign a lée à l’au tor ité supériunru. On com prend qu'il iiil reçu les l'éiicitalionÿ d e la fou ie , accou ru e su r le lieu de l’a ccid cn i.

IJuanI au sieui' L ou is, il en fut q u ille pour la p eu r, el d eu x heures a p rès, il regagnait so n dom ic ile avec sa f.i- m ille , en core im pressionnée du m alh eu r don t e lle avait failli être v ictim e.

SENLIS. — M. r a r o n , v iid o n islc , 1" p rix du Conserva to ire . donnera m .ird i 20 m ai, à 8 h eu res d u s o ir , au th é à lic P alin ier , un grand concert vocal e l in slru iiien la l.

Le théâtre P olonais continue avec su ercs le coiii's d e se s riqiresenirtiions. Chaque so ir un nom breux pub lie applaudit ce i-h.irmanl sper.larie, qui doit rester ju sq u 'au diiiM iirhc 2 5 m ai. Avis aux am ateu rs.

— Le dépôt du 6 ' lanciers, a r r iv é -d e p n is peu cn notre v ille , avait reçu l'ordre de se rendre a Joigny (Yonne), où il é ta it a lteii.ln le 2 0 . Déjà la com p agn ie hor.s rang éta it partie , les iiagages préparés c i em b a ilcs. ip ia iid . le 12, d ans l'après-m id i, un nouvel ordre est arrivé, q u i m ainlunnit les d eu x esca iirons à Sen lis. Il va san s d ire q u e la jo ie fu t gé nérale , e l la gai-nison a m anife.sié la sien n e-en illum inant, d an s la so irée , les doux casern es q u ’e l l t urctipc.

VERNEt'ii>. — Un bonhom m e do ce v illage qui é ln il a llé s e p rom ener, m ardi t> du eu u ron l, à la fo ire do S en lis. s'a- p erçn l, (en m elia n i la m ain à la poche u ou r y prendre sa buiir.<e. alin d e payer son d în er , q u e. hcla.s! c lic avail d is- (laru. Il parait rpic ru bon p .iysan, qu i est un de.seondant du N u sirad aim is. pendant tout le tem ps q u ’a d u ré sa p ro ­m en ad e. a é té occupé à lire d ans le prem ier q tiarlier d e la lune, s i n o u s aurions p lu ie on beau Icnip.s.

— D em ain D im anche, fê le palronalc . G rand bal son s u n e len te élég.iinm ent d écorée c l é c la irée à giorno, ü f* c iic s lrc conduit pai- .M. L auren l.

deiHCiiranl à Vez, so itl p réven u s d 'avoir ch a ssé aux boU rses e t ntl fùret en tem ps proh ibé. l ,e s in cu lp és prê len d eiil q u ’ils son t pourvus d'atilorlsalionB d é liv rées par le s liroprié* luii'es, e l ce la peut ê tre e l e s t m êm e vra i. D’ab ord , ils avaient ces n u tor isa lion s v erb ales, m a is ayant é té in q u iétés par la g en d arm erie . Ils s e so n i full d é liv rer c e s m êm es a u ­torisations par éc r il. Le brigad ier d e gen d arm erie do tà’é |iy , in form é d u fait im p u ié «ux p réven u s, s 'é la iil rendu à Vez près d 'eu x , le s Ireuva occuj)« i d a n s le b o is A le iid re leurs bourses et .A in trod u ire le furet d a n s le s terriers. Ces h ç m m is nvairnl -avec e u x d çs ch ien s, i ls n e son t n i pro* priébaires, ni ferm iers, n i d é lcn ieu rg , Ils n ’o n t pgs d'auto* risation ém a n ée d e la p réloclu ro , c l to u lcs ces'c irconstances réun ies et m êm es,p r ises iso lÿm en t paralysent-la perm ission qu 'ils prélnndunt a v é lé reçu e. I.e tr ibunal condam ne Cia* baux père ut (U s-em ohacuii 5 0 fr . d ’am en d e e l to u s d eu x su lid iin c iiicn t.a u x frais-

- V irginie C horon, â g ée d e 2 5 a n s . fem m e d e E uchère C rétel, m anonvricru , d em eu ran t A C nlpv, est prévenue de su u slrac lio ii d'un m ou eb oir d it fo u la rd ; e lle a fa it l’aveu d e c e lle fau te an m om ent o ù on a rech erch é l'au leu r du .v o U l qn'uRe^'rst^vuaiti i d ftil aM e«eM t MaMMçiiMMée:et>accu* sé e ; aujourd'hui e lle J u g e 'd o n c in u tile d e s e p résen ter àl'anditMice pour renou veler e n pu b lie c e s av eu x , q u ’e lle ne peut pins uonvRi'lir e n d é n te a llo u s . Le Iribunat e s t d t^ e certain d e ne point fa ire u n e fau sse app lication d e la lo i e trontlm nno la fem m e O iérCt en un m o is d e p r isp n e t auxdépens. Il eû t q ieut«être 'é ( é p lu s a v a n l^ e u x p ou r cette fem m e de s e présenter à V aitd ience a u Heu d e s e fa lée c o n ­dam ner par d éfu n t; m ais e n ce la , c lia cu û a sa m a n iè r e d evoir tes c h o s e s . .

^ Fr<i|>çe>ArPh|lippe L egen , â gé d e 6 5 a n s , btUoheron, et son-flls, Jran -B ap ilisterl^ llip p e lo igcn , â g é d e 3 6 a n s , inar* çhuiid d e b o ls , tou s d e u x d em eu ran l â C oyc, son t prévenus d 'avo ir;u d ressé d e s itùures-à H . le m a ire d e la com m u n e, et pourtant eem a g jslrA l lu i-m êm o e s l é to n n é d ’u ne pareille sortie d e lu part d e d eu x ad m in istrés su r lesq u els ja m a is il ne lui e s t parvenu .iiicu n e p la in te et d o n t la Condüile a tou* juin s ju sq u 'a lors é lu Irréprocliab ie . La d ép osition biedvcil* la n le d c M. le m aire .a lle iiu c s in gu lièrem en t lés Ibrlb d es prévenus, inHis n c.'lcs.fn il' p as d isp ara îlre ;e iiiiè éem en l,-e l le tribunal cutiîiam ne l.eg en père eu 2 5 fr . d ’am en d e. Legen fils e n 5 0 fr . d e 1» m êm e p e in e , e l con d am n e les d eu x pré* vem i.4so lid u irem eiit-aux fra is .

. La Cour im p éria le d 'A m iens, çh iim bre do.-i ap p els d e pp- lice eorrec liu m ic llc , d a n s son à iid ibnce d u 8 m ai 186 2 , ,i in lirm é lu ju gem en t du Irib iinal correction n el d e Sentis.du 9 avril 1 8 6 2 , qu i avait ren v o y é d e s pou rsu ites d irigées contre eu x , p ou r ex c ita tio n A lu .débauche : 1? Niço|as*)idot* plie Sim onnut, em p lo y é 'd è .b u reâ u . d em puratil à C pm bles; 2 ’ e t Hippulyte K oyer, c h e f d 'u n e malltùii d e lo iérn iiçç , de- m éiiran l A S e n tis , e t e lle le s A cptidam nés ch a çd d pn 16 francs d 'am en d e.

Dans son a tid lèn ce d u 9. m a i f 8 |^ , la Cour a con firm é îc ju gcm en l du tribunal cor tèc llo n n é l d e S en lis . d u .2 6 inan; dern ier, qu i a renvoyé d e s p o u rsu ites dlri8<^ès co n tre hii pour ch asse en tem p s p roh ib é ,'Ju les B ou i^ eo is , preipriè- lo ire , d em eu ran t à V incuil.

S ia ln a u l:su r l’appel iu ler je lé par N ico las F rançq is, d'is- illa téu r , d em eu ra n t,â . P a r » , r u e -d u C ard inab i^raoine. * 7 , d 'u n jîig e m c iil 'd u jr ib u n a ic o r r e c lip n p e l d o S ç n lisd u

2 avril d ern ier , qui rà v a il con d am n é, pour.fatsificpUnii do su b sta iice .s-a lim en ta ires , â h u it Jours d'em m bM innèm enl. üO fr. d'«mund>>, av a it o rd on n é en o u tr e l'am che-du jugc- m cnt e l son insertion d a n s le s d eu x ju tirnaux d e 8 en lis , h cou r a Inlirm é led it ju g cm en l e t ren voyé le p rév en u 'd es tins d e la p la in te , sa n s d ép en s.

S ln tn an l su r l'appel in terje té p ar Josçph-A lfréd Faronx, d istilla teu r , d en ie iira u l.â S en tis, d ’u n jU gem opt d u tribu­nal correction n el d e S e n lis , d u -2 6 m a rs d ern ier , .qui Ça condam né p ou r falsiQ calioti d e liq u id es. A h u it jo u r s drem- prisonnem cntt 50 fr d ’am en d e , a ord on n é: l ’a llic lie d u ju - geincnt e t son Insertion d a n s k s d eu x ju iiruaux d e Senlis, la Cour a in flrm éiled it ju gem en t d a n s lu d isposition qui condam ne Faruux à l'em p rison n em en l c ico n ftrm é le j u ^ - in cn t.q iiu n l uu su rp lu s.

c o È ' t ' e c l i o t m e f f i f t f c S e i t f i a .

PiiKsinrxcK i)!: M. Vatin.

A ud ience du m ercred i l- i '.Vwi 18G2.

Prospcr B.iiun, d-' 4 ! an s, rharn-lio i', dctnuuranl à S entis, cs l on tiç peut p lu s dou x , d it-o n , <]iianil il est ré- cRut, m ais il d oviciil m auvais quatnl il e st ivre ot m ôm e qu.ind il e s l ce qu'on n |)|ictle en tre «leux vins; j | est rare q u'il ne fasse pas d es so liiso s e l qu'il n'ail pas à i-églçruvec la ju stice . i |iii finira p;ir é lru co iilra in lu d e prendre d çs ine- su res d étin ilives |>i>ur assu i’or 11 Iran q u illiié puldiqiie. Blpn d es fois ib'jà il a uron iis de ne p lus b n irè .,b le iî .iies fuis au ssi le ti'ibnnal s esl n ion irê iu tlu lgeiit; m ais nqssiJôl-qii’il est q u ille avec in poiie.e, il se cr'oil dd iis rob ligutlo ii, de contracivr d e nnuvolies d ettes , e i; p ou r ce là , il n'a .que quelqui‘.s b n iile illc s .d e vin bleu à absoi-hér. Le. 6 i k .Çc. m ois, après que|i]iie.s lib a tion s su p p lém en ta ires .'il faisait tapage, et la gendiirm ci'le s'esl p réscu léè po'iir {e cajinepè m ais B.ilon s'esl cou ch é par lc r ie , a rué «les p ieds ut de.s poings, vim iféré, n rraclié , u l il a fallu p lusieurs' p érsoim es requises pour le con len ir ; les Injures s'érliappcnl do sa bouche c o m m e ,l'e a u d 'une fim laine, à l'adrês.sc de loqs. reu x q n i.se préscn ien l. Le irilm nal éco u le encore lès jiru- m esses de rot iucom niodo p er lu rb a le iir et l ’indulgeiice, accourt c e lle fois encore à son a id e ; il est cô iid a iim é eu un m ois de prison c i aux d ép en s. Mais qu'il preniig garde,, co r nous {Kuisens q u'il a d é lin itivem cn l ép u isé su rç§suqrçc' o rd in a iie .

— Joseph D encve. âgé d e 41 ans, la illo u rd 'h a b ils ; Jules* Isidore lle iir le u r , âgé d e 2 3 an s. e t P ierre A uloy, du m êm e âgo, CM d eu x d ern iers ou vriers de fabriclue. lon s-lro is db- incuranl à M oola la ire . nssisUiienl le 2 9 avril A- In -noce d'un de leurs cam arades. On éta it venu à G ixil se divci tir . c l , selon la quast-cou liim e, ce d ivertissem en t nva il dégén éré e n quere lle , pu is en rixe. Q uelques Invités von*

-la ien i, si»us u n -p ré lu x to -fr iv o le , s e m esu rer ; ehaciio pre mut f.iit et ca u sé san s savo ir trop à quel litre n i pour quel m otif, lorsque to gar<lc-cham |)être se présenta ul invila ées liH dnilenls A s e retirer , pu isqu’ilB a v a le iil consom m é plus q u e là su ftlsa iice; m ais les têtes êchaufTécs tic d én iord cn l pas fucilem cnl. aus.si, d ans la m êlée , le gnrde'-fu i-il ,ai(sez gravom i’ul m ollrn ilé . I.e.s tro is prévenus ussurenl q u e leu r in len iio ii cL iit.seu lom cn l d ’cm p êiilicrq u ’on n o'se ciillmlAl;

.p cu l-êlrc ê ln il-rc le iii-v ér ita b le inolif, m ais leu r p o s it io n - 'm onia le h s c .\a llu it. c l , nu lien do ré ia b lir jccn lin o et la

Ca ix , ils cau sa ien t troub le e l scan d a le; furieux de çe q u e {'garde rlia tn p êln ', selon «mix. no concevait pas leur b u t,

ils riujui ièrcn l, tu in a llra ilèrrn l, san s penser A co qti'ils fa isa ien t, pnlsipi'aynnt arrach é , dès le (n'incipc, la canne,

-dudit gard e , ils im aginent o | assurent encore aujourd’h u i q u ’ils onl leçn d es coups d e l>âloii p eur ton te in lrrvcolio ii.' Le (riliunal. '.'iprè.s avoir p esé les lo r is «le rhar.nn d es p r é ­venus l'I 6 \ é leur pai l, condam ne A uloy en 10 jou rs do prison , D enève en 8 jours e l H curicur eu C jours, e t k-g condam ne loii.s trois so lid a irem en l aux d ép en s.

— L ouis-V ietor-François G labniix, âgé de 5 3 .ans, c \ sou (ils , Ctémcnt-l-'raiiçois c ia b a iix , âgé de 2 5 a ns, iiianouvijcrs,!

r A I T S D I V E R S .

— On «ait q u e l'E m pereur d es Franr.ais s'occu p e d'une h isto ire d o la v ie e l p ar licu lièçe iiiep l d e s cam pagnes de César, e l q il’il a eu bcsolD p o u r cela d ’u u c |>crsonno qu i f|B nai fa ilem en t a u coU ranl « e s an tiq u ité s rom aines d é s con* irées rh én an es su r lesq u e lle s c e s eam p agn ès.se so n t éten­d u es. M. d e O ïliau se ii. n in jor d u g é u ir p ru ssien , allachû jusqu'ici â la co iu m isslôn m ilita ire d e la D iète germ anique, vien i d 'être autorisé à s e ren d re i P ar is A c e t e ffe l.

— N ous Irouvons d a n s u n e R evue a g r ico le les sa g es con­se ils su iv a n ts su r la n p u rr ilu re d es.b rstia u x :

« B ie iilô l v n c e r o m e iic e r p o u r le a r J ie v a Ù x le rég im e <|d vert, xi 'n^parateur p o u r .la p lu p a rt, e t cep en d an t s i funeste â q u elq u es-u n s, p a r s a l le d e lu t t^ l ig e n c e d e beaucoup de cu ltivn leu rs.

• ijes p réca iilion s à p ren d re so n t poU rlân l b ien s im p le , elles consislepil ;- -•. l ” A m én ager u n e Iran sacllon en tr e l ’usage du . four­rage se c e t ce lu i d e l'h erb e n o u v elle , a m en an i a in si gra-

.d iie llem en t p ar le m élan ge d e l ’un e i d e l’a u tre , pcndaal q u elques jo u r s , les au ln ia u x A se n ou rr ir ei^cluslvemcQl et sa n s d a n g er d u v er t; on év ite d e la so r te ’ d rS in d ig è s lié iù . sn ile lm p fréq u en te d e l ’a v id ité q u e m anifea len l ton s les h erb ivores p o u r c e nou veau r ^ im e , e l l'on sa it combien sonI red ou tab les le s in d igestion s p o u r les ch evau x qai, com m e Ions les suljjtbdeü; aoht en ra ison d es dispositions anatom iq u es d e leu r e stq q ia c , p r ivés d e la facu llé de vom ir;

• 2* A ne conduire les bêles à la p â tu re qu’alors que cclle-vi n 'est plus im p r t^ é è d e roaée pu de pluie : c a r per­sonne n 'ignore aiijoUAxjBiibqtiedeâ féHrrages verts, e t sur­tou t te Irède, occasionnent tfans m s cènditions d 'hum idili des méléoriSAtion.s rap idem ent m ortelles. »

- -•G 'c s l jo u d i8 in a tq u 'a -Q o m n ien cé l’ai(B>irc des-com po­s iteu rs iypograithes,;d cvan l. la 6* ch am b re d e la police cor* rc ijio n n elle -'L ettce in te .d u trib u n a l é ta it rem pllede,boM O hcure-par li»! à n iis /e l . le a p a r c n ts .d e a p réven u s, d o n t.

. terrogato lre,- a in si auç; I’«uditioli. d e s iép lo in s . e- uccope touie.L'ai|dleD(»,=l,eAixinples*raiidaMtt<F v w ap p é fb if^ i

•les jourôpui^ tad iç ia iiY s.' v o u s fero iil e o ip p i^ d r o . 9 p o ^ le la le n u v è o l e q u e lp lw ie u n d espr,év9ftpiion l su: p r ^ ^ leurA H ènae, l,M avoentsiq«onl9selM A effi auiitionuent q u i l « st'in ço n tésla b le aujoiurdllm i que» .daos la profeseipjt d e .lip p g r jip h e , ô ii di»il,*ftmplec d œ hommesdu plus g ra n d ,m^H9*, . -

V endred i, o n n o a ie i id a i le m in islére. p u b lie dans ^ réq u is ilio n st m a in ie a a ù t la déli.t d e cooHUou La défense, a été p réw n léq p a r .H » A rm an d M ôvy.-T roipp révw ux-on | é té ren voyés ao ila p U in U ^ c« « on l R r . lU iit |i ie r . e l P a ro i; lee q u atre a u tres , D ebocn, O elaqretix ,. Gi-osley.

^ m i é . r o c o u p u a c o u p a b l e o d u - , d é l i t d ç ; ç o « l j | i o n > o i i i e ierond.Tmués';AdiKjottrsdîempHsonnèmenl,A 16 francs d a*

. niende et ap x frai» dp. procès.

— Ou iiL<dpp8 le /o u m o l à o S a in l‘Q»l»HM. .« V endredi 8 m a i,.e n vertu d 'nn.inBBdal i ,i

corn é , par. M, le-.juge d 'iim lrqcllon ■d^ tribunal d e - Q uentin , a eu f ie ii jdai}S-)P9 lr ç v ille l^ r w U l i o n do sa rp e ifcn n o dpns la .m atsp n d 'a rrêt. d ç .M . M ,- . , ®»!, iru n c m nisoii d e b an q u e d ’iin e v ille vè is in o . •.

* C elte arrestation , fa ite su r la p la in te d u n goram

S â . l s r ' ^ '* " ■" p'™"=-d-Uniô:

^igiialiircs;, . . ' K «*| M w lc 9 f l i ie ,n 9 t t s p o i iv o n s d ir e d c c ô n o arrcsla -

lion« m aiiile iih c e iieora A ( lie u r c où n ou s é c r iv e n t , en m eii- lion n a»! qu 'tm e aiiRpeiMfoii d e pAiement d ’un e m aison d e nolr^ .v ille dun l.4a;|p p^liiliié é la ll le com m erce d e s su cres, e la it ven u e , a ju iiler qùefqtios jo u rs h iip aravan i, aux préoc- eiip a lio n s.d e n p lié p lade cd fom éroiaie. >

l^ ^ te m p s , les prérets se pinigncnl auprès de H® fâcheux où se trouve

ré d u it 1 aH IhéAiral dans lès déparlem eiiis.je t ils réclà* m ent au nèin-des pfipulallons que le goiivernemeut vienne reniedior u lo la l-.d e choses aciitel. On a ssu re qu ’un projet nouveau, .destiné 4 réglem enter rexplollaiioii des ihèAlros

.dons les ;pi;uvi|icj^,.èti.t 4 i’éludo , et qu ’il y a l.oiile chance a amener.|i||Qaq|qlloii.Çàypraulc de la question engagée.

- ü n Journal do th éâ tre , le F/porO'/Vo{/ruHi»ic, assigne.U*H*I flA* M n a o ta r n a m s n lo m i l IikI .«..i .li.V ___i_

. ■ y " J««™ ai uo inca ire . le f tgaro'troffram m e, assigne,a aprÿs d,(i ngnw ilpenienls qui.lili oui Olé iran..rgis, l.i »a.

m i l*^00 rA • la aaCIrvia Ia ;J n».1

etc ., e tc .Le tném e'journalq ffnrm e :

garçon s è^lùV6::â,‘fMi0 . ,d i 64^lo lrc .d o n n é aux

garçon s a*élève.;â,‘fdU^.,dA6^wOt^^ ô e c o m p ta n td u e ,la çonsomrna.Ooù d e !'

j*v <•••». «M. v c q u i Ç.11 p lu s c to im a iinissé une lllle iégilime qui n ’a que 15 ans.

I l * B i E I V P A I I S A m C ï i : .n " t ? " P '" " ''» " ! <lM licllej. .Iliii. . ,H o g m .; « I K '" ' l " ' '» ' ! ' " sain lK n.iramc.,;

1 les e n v in s ,Jî ™ I n i ï g Vi l’ ™'""* Briiiiili'iira.iil va. Ju in des cités, s u r sa couclio Indjgeiiic (.onM ler qn secret rhu inaiiité souirranle. ’

A hl sans doute son cœ ut est de bronze pétri.Ou bien s u r le Caucase un m onstre l’a nourri Jjeiui qu i, repoussant loiilc peiiséc liuinalue.Volt le pauvre soulTi lr sans partager sa peine.^ Je le plains, celui-là qui ne vit que p o u r lui,OUI» de la so if do 1 o r lourm culé jo u r et luiil,A toujours m éconnu la douce jouissance t) exercer le bienfait, do donner en silence.

«len plus heureux celui qui reçut en naissant u n e am e généreuse, un cœ u r çompatissnni* w n sem blable tonjoui's le louche cl l’mU'i esse i l verse s u r son so rt des larrae.s de leiidr»;:;sc.

J e m e rappelle encore, ô triste wm vcnir 'De quelle ém otion je me sèniis saisir A l’aspect déchiran t d ’une sensible m ère Acconipagiiani son (Ilsque l’on p o rta il en te rre ; ç éta it son nis unique, il ciail son am our : iie ia s i â son printem ps il a qu ilié le jo u r '0 m alheur accablan t! ô désespoir! é l.irnies!

cnfarit SL clion , co nis si (iluin ,|c charm es,.Il II csl plusl pour jam ais il ,i furmé t e yeux i hlle reniplissall i 'n ir ilo sc.s cri» doiiloiiréiu ' Arr,ns,iil le deslin , ie ciel, la m ori criiollc;.haeim pliiigiiijil sou sorl cl plciir.iil .avec clic-

1.0 p rc iro , irop Pmii p.armi ces cieiirs iinvriS». n e poiivall prononcer les flornicrs mois sacrés r o le do sa douleur, Inconsolable m ère Helüsl elle voulait, dans sa douleur am è ir n loinbe, y suivre son enfanl.’..

'0 II • ^"’Porter p.^le, sans mouvement, te lle , dans scs petits qu 'une adresse cruelle

A laviü nus encore à l’amouj' maleriic'llc. i iiljiinr c, appelant l ’objet de .sa douleur.Attiisle le bosquet tém oin-de son m alheurAnn^îi'i î" ’“ i"« faible opulenceAppailicnt moins A moi qii’A la triste ind igenre '1^ I);!!'''-' ®’ soit, est l'objet de m es soins,

que je puis donner je l’offre A scs besoins.A ! quand on a connu rabaiido ii, lu m isère , nH i '•ans te bien qu ’on peut faire.On eilmo A secourir, A consoler au tru i Des peines du m alheur qu ’on sen tit com m e lui.

Je n'envierais tout l’o r de Crésu.s et d ’A tlalc.1.08 immenses trésors que le Slexiquc élale .

fc.ti offiaril aux vertus d ’augustc.s m onum ents.

MiVvli*y'‘‘ 'Vn ®' î"‘Wimc exemple.Ma ni.1111, en t honorant, t'érigcrait un tem nle;NS rit'* '- y®'-'""’ lernonarquo oppres-seiir,N | I Lgm.Nie ingrat, n i I avare sa n s cœ ur,fti ces lioAiiiics cruels qu i, n ’aim ant que la giiej-re.

Mettent toute leu r gloire A désoler la (e rre , • f aroiichoa conquérants A qui l'hum anllé llenroche leu r triom phe o l leu r célébrité.

L Amitié, la Tendresse e t la Kcconnaissancc Seules y brilleraient avec la Bieiiraisatice:Cœtirs bon.s, âm es de bien, hornincs]coDi & u le , votre statue y recevrait reiicens:Je ceindrais do lau rie rs vos télés vénérées, h t partou t dans ces m urs, kous ces voûtés sacrées.Vos noms, en lettres d 'o r ilJustranl votre a u l e l , .Bi jtleraient A vos pieds su r mi m arb re, im m ortel.

Victor OPFROŸ. de. D am m arlin.

P a r arfé :é d e M v Ic iP ré fiddurd ise . approuvé p a r S . Exe.- le M inistre d.o VlUiérieiir. le

. 'd l« u r a a l D çfilba a é té désigné pour in ­sé re r en I8 6 2 ,d a n s ra rron ilissem en tde Senjis, toutes annonces jud iciaires et l i â t e s .

U piiiiücftiion légale des ac tes de société e s t obligatoire pour l'année mit h u it ce n t ' soixante-deux, dans cliaciinc des deux fcnilies d e ra rrondissem ent, désignées pour l’in ser­tion des annonces j^u(|ic|aires

A r t . f .

Etude de M* J ulm TilEMliV, avoué à Senlis,r u c d u E h â lé i ,V 21 . -

y J E M ï ESUR PUBLICATIONS JU D IC IA IR E S.

l 'é t u d e e t p a r le m i i m l è r e d e SI» C a r t i e r S a i k t - U b n é . N o/(iiV e à S e ii lv t ,

c o m m is à c e t t f f e t .

JIE U NUE-PROP^IÉTÉ

DE 4,064 FR«'79 C.Reposant p o u r l’usufruit su r la tétc d ’une

personne âgée do C3 ans.

1 /a d jn d ic a Ü ttn a u r a l io u le M a rd i v in g t-s e p t M a i 1 8 6 2 , à q u a t r e h e u r e s d e re le v é e .

En exécution d 'iin j^ e m e i i t ..rendu co n tra - diciolFemcnt e n tre les p a r t ^ ei-^aprè.s nom ­mées par le T ribuna l civil d e prem ière instance séant U Scnlis (O isèf*'!» vm gt-trd is janv ier mil huit cen l soixante^dcux, c iiir^ is tré et s i­g n ifié , •< . .

Il se ra , aux re q u ê te , fo u rsu iie e t diligence do M. Jo an -B a p tu le . A ndraul, m archand de laines, dem eurant à S cn lis,

C réancier poursuivant ; . •Ayant pouravouüConstiriioM 'JiilcsT licm rv,

exerçant près le T ribunal c iv il.d e prem ière insianco .dç S cn lis. dçm euraiil en ladite ville rue-du Cliàtel, n® 21 ‘ ’

l’ ro c t^d -o o n lrc âl. Ju licn^M qriti. m àltrè ' cordonnier-.(bottier, dem euraiu oi^^dcvant à i:iiantilly,cl actuellem ent san s domicile m ré ­sidence coQ niis'èn Erâiicc ; . *

« U d i t ùicur .Moriq-iaiit eu çgn nom ijer- 8 sonncl. q u e p p û r Assister e t a t tU is é r la » danro soii épôûsjs-dTaprès dom m ée" e t la » valûHlé; »

Et m odatne’Elisc-A glae. G uyot, épouse du sieur Mofin stiS-nom m é, avcà' lequél elle d e ­meurait è i-deyanl A Chantilly et acliiellem cnt sans domicile ni résidencc-cçriniis en F ran c e ;

Parties sa is ies , n ’ayant pas d ’avoué é o o - slilné ; " ; •

En p n » en ce o u eu s d îiraeut appelés d e :• y madame Honoriné^Delphine Perpello ,'veuve

de M. C lém enl-Pascal M oriii, p rop rié fàire. demeurant â.C hâniillyV '

« Ladtic dam e d ^ itV icc de la créance c i- » après désignée ; »

Ayant pour avoué constitué M® Ju les Godin, d e ^ i i r a m h J^cnlis, rua>Mewv.(Mie*Pans<u®^;

2® El Çéon-fqîrmgiij Mélapd, t tfc n id ’a f^ faircs, dem eurant à S eü lis, . 7

« Au nom e t com m e Kvitdic d e la faillite du » 8icur lo u is-A rtto ih û liu llo l, lan p eu r, d e - » m eu ra iilâ Poni-Saiu te-M axcnce; »

Ayant p o u r ovoué ,M® Relbois, dem vurant b ^ n l is , ru e Rougcm ailfc, n* 1 0 ;I Alexandre t i^ u i iy - m a l l r è d 'h â te l, deroèuraolhC liaiitilly ; ' - .

' A ** Marie-Augiisiiiio T hierry, veuvede M ,..R aul-Josepl).llou lis« .f«opriétaire ,-de- m m a n t à Poot-Saiiitu-âlaxeucé ;

N ayant pas d ’avoiié Constitué ;«-1,06 iro iA dén iiers nom m és se prélenthinl

" cçM onnaires de la créance ci-ai»rè» tlés i- • ghéc. s ' •

A ^ vente p a r adiudication, au plus offrant jernicr enchérisseur et b rcx tin c tio n des feux;

la ^tie propriété de la créance dont la d é - ••goalW suit : "

' ' ï ( â S I 9 l T 4 . T I 0 1 T . .

an*?. (“ '"■ y l’usnfruitao d éc ^ .y e m adam e H ononué-R èlphine F e r -

M- a é m e n l r f a s ia l Morin, K ? n '? * iem euw H » î» Chantilly, néo audit vier ï ï im ® m vésc an v u (huit jan -

som m e de ^uq tre mille w 'xm i/c-quajra franct so ixa n te -d ix -n eu f cen­

times. faisant partie de plus forte som m e d u e «lu s ieu r Ju lien M orin, sus•lim m né, par rna- tlam e v^uve M orin, eu venu d ’iiu iie:e rer» par M C aron , notaire b Cliauliiiv, le.s dix-sept etjriD gt-sopt féviier mil huit cent cinqiiaiiie- i eux , enreg istré , conicnani partage des biens oependant d e la com m unauté avant existé en tre ledit s ieu r .Morin et la dam e sou énonse, née P erp e tte , c l de la succession dudit slcnr .Morin.

P a r cet acle,*il a été abandonné h M. Julien Morin, p o u r le rem plir dc .se.s dro its dans la succession de son père , ju squ’à duc concur­rence, une som m e de s ix mille soixante-quatre francs^so ixante-d ix-neiif centimes, en nue p ro­p riété seu lem ent, p o u r y réu n ir rusufriiii nu «te<^s de m adam e veuve M orin, à qui cet usu friiit a é té abandonné.

En déduction de ladite som m e de six mille sn ixaniü-qualrc franc» so ixante-d ix-ncul ccn-lim es, Cl . .......................... (j 0 64 f,- 79ledit s icu r Ju lien Morin a re ­connu avoir reçu une som m e de cinq cen ts francs, dont leditéta t liqu idatif p o rtequ ittancc ,c i oOO 00

Q u an ta u sn rp lu sd c laso m m e abandonnée en nue proprié té à â |. Ju lien â lorin , c ’es l-à -ih re à cinq mille cinq cent so ixan te- quatre francs soixanlc-dix-ncurcentim es, c i ................................................... fr. 79ij a e tc expressém ent convenu e n tre les par­ties que les hérilici^s de la dam e veuve Morin née l'o rpettc , seraien t tenus d ’en faire le rem ­boursem ent au sieu r Julien Moi in ou 'a scs rep résen tan ts, savoir :

Moitié ou deux mille se p t cent q u atre v in "!- deux fjrgnœ Iren le -n e u f cen tim es, six mois après le décès de ta dam e veuve .Morin •

E t l’au tre m oitié un .an après ledit décès.1 0 tou t avec intérêt b a ®„ par a n , sans

re tenue, payable auuuclleineni, ii coiiipier du jo u r dudit décè.s.

I.a créance de q i m t r * lu i i i n naW nnX e- q u « « r e f r a n m 8 0 luni«>-tliA-gi(>«»ft i m e s présentem ent m ise en vente fait partie des cinq nulle cinq cent so ixan te-quatre francs so ix an te -d ix -n eu f centim es dont s’agit.

P o u r sû re té cl garan tie de ladite créance de « l» a ( r e a n l l l e s o i s n u t è - ^ i i n t r » f r o H r» n o l s a n t e - ^ l s - n e u r ecnX iiiieM , une in ­scription de privilège .i é té requise contre m adam e veuve Morin au bureau dos livpo- ib m p cs de Saillis , le 3 0 novem bre 18o9 vQlDme 4 8 6 , n ® 2 H , su r iiiie m aison e t dé- nendaûces situées à Chantilly, Grande R ue, et les au tre s im m eubles abandonnés îi ladite dam e veuve Morin p a r l’ac te de liqiiidniinn et partage des dix-sepj e t vingl-sept février 18o2 siis-én-incé. *

AfDJUDICATIO.X M i s a A . P U I S .

S uivanl |iroc4s-vcrhal clrossiS par SI' C aiiirr b a m l-R e n é ,n o ta i re b S en tis, le qn in /o m.ii iréscnl n .o is , consialan l la lectnre et la p u - jlication du cahier des charges dressé pour

parven ir à la vente d e la créance ci-dessus désignée . I adjiidiM tion a é té fixée au 3Iardi vln a t^e p l M a iJ 8 6 i , à ifuatre heures de relevée, en I é lude dudil M® G iriie r Sâinl-R éiiô .

Elle au ra , en conséquence, lieu auxd itsio tir lieu c l heu re , aux charges, clauses et condi­tions énoncées on re n c b è re , c l, eu o u tre , su r la m ise b prix d e ................................... 1 ,2 0 0 fr

^ ^ H S f f e r p o u r les renseignements : - -J® A M® J u l e s THEM RY, o io u é , dem eu­

ran t a S en tis , rue d u Chàteî, «® S l .p o u r - sutuaul. la veiite;

^ pO RIN .auow é à Sen lis.rue N euve- d e - P a n t , n * ^ 9 , prisônt à la vente ;

4 M* PELBO IS. avoué aud it S en tit, rue nougiimfnUe, présent à là vente;

■■ 4^ ‘4.M®'G(jL*ÈÀS-NÉRY, huissier ô Sen lis ', 5® d M® C artie ii.^ A IN T -R E N É , notaire

a Seuil», dépositaire d u cahier des charges et des titres de p ropreté .

F ait c l rédigé par m oi, avoué poursuivant, soussigné.

A ^ i i l i s , le seize mai 1602., „ . , , • JuuES TIIFMHY.\ E n fi^ is lré à im nlis, le seize m il IS O ’ - reçu un franc dix cen tim es, dixièm e compris.’

_ S igné ; Gnf.isomK.' P our insertion :

S igué ; Ju les T iiusiry . I

ji Itlustralion contient dans sou num éro du 10 roar • Ueviio poliim ne de la sem aine. - O uvorlure de l’Expo-

silion inleinatum ale de Londres. — Oniirrlor dê-i*uris.'. — c . ? T *F‘*“ jo u t natlsie aux

Etats du Sud (suite). La clef des cham ps. — Gazelle du palais. - - Les industries du bas.sin de la Loire (suite). — La Pointe A-I'itre et son p o rl (ite de la Gundeloupe). —

la raiinicipalilé d e f t a t e . Ouverlaï c d e l'E jnosllieii^ ii- 1eM)a|ir)ii(ile de l.ondrca. — Le pritilenrpa. — Voyage du roi d llalie ; A n ivép de I tec ad ra de S. M. d a n s la t a ie de ta p ie s . — Usines de .MM. Félin e l Gandel ; Fabricalion des jilaqiira do lilnidage p eu r la m arine , k Sainl-Uliamond • — finge des grandes pièces pour la m arine . .V Hive-de-Gier— M. Jules |p ;er. — Vue de la ra d e de la l’ein ic à l’ü rc— LpecjilTerle an général D. IL MUre. — Rélius.

L e Ceronl retponialile, E b.s e s i R eC K IEIl”

A r t . 2 .Klinle de M-Jui.es Ï HEMnV. avené i Senlis.

V îîA iT K s i :r P U iJL ic .x iio .N s J U in c i .x n iK s ,

A N c u f c l ic i ic s (O ise ) , o n ta ii),müoii c i - a p r è s in t i iq u é o .

Pur le ministcrc de M' Cn.urx, m fa in ; à ic i commLui cet effet,

h 'm

FOU BE COMIIEBCEDE VINS ET D’Epicerie

Av e c i e s

ACIiAl.t.\'DAfiE, ClIESîÉLE 4 1I.1RCBA11SESlin dèpemlaiit,

AT m;D R O IT ATT B A IÛ

•5e II, .n n i e n n e , » é p e i i i l« i ie e « ,b isra il N r u f c i i e l i e s , canlon de lie u .

Dans laquelle est exploité ledit Fonds ^ de Commerce.

L ’A d jii il ic a lio n a u r a lieu le D im a n c h e v in g t-c in q M a i 1 8 6 2 , h e u r e d e m id i.

E n exécution d ’un Jugomeiil su r requête rendu par le T ribunal civil de prem ière in ­stance de Scnlis (Oise), lo six mai 1862. en ­re g is tre .

Il seiM, .aux requête, poursuite et diligence ne : i ’ M. A nloine-Je.iu Cli.iponet, bêr‘»cr dem eurant b Ctiampagny, ® ’

« Agi.ssiint à c.insc de la com m unauté de b iens qni a existé cuire lui c l la d.uiic

« Lmiise-Ai 61e (lio la t , son épouse , décédée w a N eulctifllcs. te d u q m ars 1 8 0 2 ; »

2° De ilam e Amieite C haponet, épouse <lo ftl. r ran ço is Lorciice, boiiclicx, avec lequel elle dem eure à Creteil (S rine), et dudit sieur L orence , p o u r l’assistanec île la dam e son epoiise et la validité;

5" El d«> M. iJonoré-Josi’pIi Chaponet, in:i- noiivrii-r, dcm euraui à la r e i ié-so iis-Jouarre;

« La dam e Lorence et lu sieu r H onoré- Joseph Chaponet. agiss.mt comme habiles à

» se d ire et po rter héritii-rs chacun pour inoi- • lie de la dam e Ch ipouet, née C h o h i, leur

i n e r e ; »Ayant, les sus-nommés, pour avoué M® Jutes

llion iry , exerçant près le 'frih iinat civil du h e n lis , d em n irau t en l.iditu v ille , rue du Clialel, 11" 21 ;

IVocédé il la vente .siii- publicaliûns Jiidi- cia ires, au |d u s offrant « lernior'enchérisseur cl a I cx liu tlion des feux, mais sans attribiilion d e qualités pour les poursiiivaniR, du Fonds de Lomiuorco -et du d iéil a I5.^ à tiô n ,- ( lf tn l la dcsignalioii su it ; • •

Dâsiq^iTAï’îoiT.Un Fonds de Gommerce du Vins e t d ’Epi-

c m e üxploité à Neufcirellos, canton de Butz (Oiscj et que fou m adame Cliaponei, née Clio- lai, laisait valoir. ,. .

Ce fond com preqàijos acliiilandage et c licn- tcto (pu s ’y iroiiveiil^'jaitacbés, e l le dro it à ta location, pour le teinps. qui en reste b courir, de la maison oi'i ledit fonds de com m erce est exploite.

L ’’|djudicataire sera tenu de p rendre pour lo chulrc de l’estim ation à dire d ’expert, tous k s objets e t m archandises dépendant dudit fonds d(î comniçrciCei détaillés au cahier des charges de I .adjudication dont s ’agit.

ADJUDICATIOIV M is a --

L adjudicàiion du fonds de comincrcfi sus- destgne aura lieu le Dimanche vingt-cinq M ai 4862. A eurar^ à Neufclicltes, en la m ai- son DÛ il s’ex 'T cc, e t p.ar le m inistère (le ,q® O raux , n o ia ire ji Acy, com m is b cet effet, su r la m ise b prix de cent fraiic.s, fixée jiàr lo jugem ent sus énoncé, ci , . . . .juj)

O iiira la charge p r l'ailjiiilicaialM île nrcn- d re , a d ire d ’uxpeii, tous les objets cl ù ia r- charulises dépondànt dudit fonds, ainsi qu’il est c i-dessus d i t , et d ’oxéculcr toutes les charges, cl.msoa el conditioiis du bail de la m aison où s ’exerçe ledit faods de com m erce, pour tout le tem ps qui en reste à courir.

S adresser pour avoir des renseignements;<• A .mAJri.es ITIK.MIIY, a v m f. d m m -

r.iiK (I h m h . , rue ilu C'lutlel, ii" 2 / . tioursui- vaut la vente;

h t d M' Gît \IJX , no/Anv à A ry . dêpo- silairc du cahier des cluinjcs.

l 'a it e t rédigé par l'avoué poursuivant soussigné.

A Senlis, lu 13 mai 1862.S igne : Jules TiiEHiiv.

Liircgistré II S e n lis . le quinze mai 1802 reçu un Iraric dix centim es, dixièm e compris,

S igné : Giiég o iu e . F o u r ius('rlion ;

S igné ; Ju les T iirmiiv.

A r t . 3 .A I»Jt;L E sT m :M U Y . . iv r>»C’ .i S ’,’,ii :s (0 :* j.)

VKNITESUR Pt^IlLIC.vnoXS VOl.Ü.XT.llUES,

En la maison d ’é(!ole de In com m une d ’O rrv- la-V ille.

Pur le m i’iiiière de M' Be:<oI8T, notaire a Senlis,

» ’ I I ! V E l l A l S O i \A l im a g e

b a tiiien ts , c o u r , .iardin. Cii*r3Ki(ftances et l8é|ieiiUniiccH,

Le tout s itué à MoxTCRftsiN, com m une (i’Orry-t.i-Ville,

s u XrBT 8ED& ZiOT.L ’A iljtH licalion a u r a l ie u le D im a n c h e

p r e m ie r J u i n 1862 . h e u re d e m id i.

..S 'adresser p our les renseignements :A â!" J u l e s TIIE.MRY, aeuinf à Senlis,

rnc du Chàtel, n” 2 t . poursuivant la vente;2 ‘ A M' FE I.R O IS , aconé audit Senlis,

rue Itougematllc, «" 40, présent à la vente;BEiVOÏST, notaire à Seid is,

dépositaire des litres de propriété et du cahier des charges.

A r t . 4 .Kiudu du M* MOREL, docteur on dro it, avoué

a Beaiivais. rue Saiui-F.inlaléon; n" H . successeur do M* Di:nniE.

X y 5 : a $ 3 - (Q kSUR SA ISIE IM M O DILIÊRE,

A u Palais de Justice de Beauvais (Oise).| j e « tn m e d i 9 J u i n t S « « , à m i d i ,

1® n ’uKK T R ÈS-BE LLE

U SIN ESituée a R o n io is , com m une de Laiinov-Cuil-

lèrc, canlon de Form crie (Oise), à proxim ité des m archés im portants d ’Aiirn.tle. F orm e- rie et G raudvilliers.

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û l i r imonté (t’après le système anglais, élevé do

tro is étages,MOULIN A HUILE,

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A D Ë T i p y M ü B L ËSituées aux terro irs de ^onim êrcux , Beaudé-

duit cl dii M csuil-Contcville, canton do GrandvilÜéra (Oise).

S'adresser pour tous renseignements :. A Ml M o re l, avoué q Beauvais, pom suieaut

là vei\(e.

9 - d e l a F E R U I S d a d U l i e u .Louée O.OÜO frênes. ' '• ^

3 ' c i d e l a F E B U Ë d e jB u i s e X ixde IGsî IJi^ctares. loiiéu 12 .000 francs.

d e t a beetM ’eH d e lu e c n i - l if iu e s P i e r r e s d e roeSte.

erop loyé lsau Louvre, b I H ü tcl-dc-> illc , à SaiD t-C lolilde, au Palais de I Industrie , an T im bre, b la caserne du I r m ^ E u g è n e . aux gare» de l’Est e t de Lvon, e tc . On ne les trouve que dans la propViété b vendre.

H araraoul e t Fuisenx sont a ffois et à cinq fedometres de la s ta iio q de Villcrs-Cotterei.s ‘ (2 heures de P âris l. L igné de Paris à Soissons e t Reim s.

ADaCDICATIOIVl.e Mardi 20 Mai 1862,

/iii l'ilu tle (Il M- SaisT-llESÉ, nolaice à S m lis(O iscjf

B'DIIE BRIE U MDE VILLE ET C A nPA & H E

E ’T n ’FÀi B A ’TIAIFA’TA usage do

( D i l u é e k t S e u l i s ,La maison a 2Gj)l6ccs d’hab ita tion , vastes

conimilns,- aerrea, ja rd in d ’IiiïcV, p are boisé, potagers.

Le üiïtim ent de la Fabrique est propre à une Filalare ou toute au tre industrie.

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S’ailrcsscr à M- SAiST-ltÈse, no laire â Scnlis.

lîi.A VF.X'ORE; a i /A M IA B A ,l

1 i ' £ i i m mSise a Luzarcbcs. dans une situation ma­

gnifique. dom inanl.la camp,ignu et la foret de (.haniilly; — Ecurie, rcnli^c, bas.'àe-cour, j a r ­din divisé cir plusieurs parties, foniianl te r-

2° DNE MAISON DE CAMPAGNESise b C linum onlel, prè-i |jiz ,a rchés; __

Salon , «illu b im itge r, petit salon , cuisine, salle de bains; {diisiuurs chambn>» au prem ier é i.ige; écurie, rem ise ; jaid in .anglais de 1 t a n s ; potager contenant 31 .ire s 0 5 centiares

3 ’ T R O I S M Â f é O N SSises b Gouvieux, canton de C reil, rue des

P rê tre s ; — B âtim ents, pressoirs, cou rs, ja r ­dins c l au tres dépeDdauccs.

S ’adresser : à Paris, à M. GKtRAS, rue de la Mtcfiodière, n’ 5 ;

A G ouvieux, à M . l.tv i^ iE , propriétaire;A B oran, à Al. J a r l k t , cultivateur:-i Luzarchies, à AI® L.VLl iiEn, notaire.

M 4 Z3 Q NFrw^krmriK ’d # r* é e i •»€« JARDÜV,

S itm k b SE N L IS , rue du Lion, n ‘ 6 ,

A LO'lJEdK |i r é « e n l^ |c i i i .

A n n o n c e s O i v e r s c s .

ClUIElD ET FEBHESP r è » V l l i c f - C o < t f n > i B

Fji l'élude et par le m iim tère de M® M iu^t, no taire d fa Ferté-M ilon,

Le Lundi 2 3 Ju in 1862,I ” «lu CIIAXKAMJ de» i^'ossé»

d’llai®àmonA,Beau Parc de 11 hi’ciares, Eaux vives. Cas­

cades, Canal navigable, A rbres séculaires.

A L O U E K imNiédîaAeiiieiatfÿ_______________ UNE

llîïISOJ!,fiQOfiG£OIS£Appartenant 4 la viile de Senlis,

S ituée èn cc tlè y illc ^ ic d e s T tibunàpx . 11* 1" en face la 'placc Sain t-F ram boùrg ,

S ’ad resser an Sccrétafidl de h Maine.

A C H D i ^ n d æ : i S M J i T e

Dans un chef-licii de cantén du déparicm cntde l’Oise

S ’adresser à M. COLLÀS-NKRV,ô S'<ii/is.

huissier

• M M M W 4 U W W O T I R J J V M MS liu é cb Sçnlls., dç'Ciÿil,* h‘4 2 . Filtrée ehfouissaiite lé '4*' octobre 4862.

S 'adresser uudil M' Bkxoist, iiot.iirc.

9 - t l l e c la r e ê » 9 0 I k r t s O O C 'e u t .

DE TERRE, PRÉ Et BOISA ux (P ito iia d e la C b a p cIle -en -S erv a t,

O rry>4a-Villc e t P on lar in é ,

UN m m CORPS de ferrev s m m i t A i s o x T

A la C h a p e lle -en -S o rv a l,

J k V E i V D R Er a r a d t |H d lM « lo a « a t o a t A l r r .

Le L u n d i t h la Penteeùle 9 J u in i 8 6 i , à m id i, Kn la M aison d ’éco lo d e la ,C hapone^i'ii-Serval Par le m in istire de Bl* Bekoist, uotaircà Seuils,

Kh présence de Bl* db Hat, mo/h<Vc à Pont. S ’adrt»8ser an xd tis M** Bk;<o ist c l d b Ma y .

H l l e « t a r e s 0 7 A r e s S O C^erat.

DE TERBEAux icrroii's do V ér in es e t d e Bélhisy->Saini>

- M ariln.

PAR AiMl’DU'JtTIOX VOinXTAIRB.Le- Dimanche 23 M ai 1862, à m idi,

A N éry, en la m aison d ’é c o le .Par le ininislerc de M* DcxoLsr. notaire à StuUs.

BIENS¥lu Bur«iin ate Bleefwiiwnre de Senli»,

A l u O U E R p a r a i y i i d i r a l i o u ,Le Mardi 15 Mai I8(>2. h m idi.

En t’éfiide et par le m m stc re de .M' Ükxoist, HuMiVe ù Seiilis,

Une pièce de te rre sise au lerro ir de SeuMs, con tenan t 3 lioclares -Vl ares 58 centiares.

Kt 1 h ec tare T ia r e s 5 0 centiares de terre, eu neu f p ièces an te rro ir ilc Baron.

^ 'ad rerrei' audit 51* Bcxuisi. Rotiiire.E t à 51. Lahourneur, trm -e u r dtulil èum iii

de bienfaisauce. à Sentis.

E tude deH * LKMOIM-^ nela ite à t ’.hanlilly.

MAISONS ise b Clianlilly, p lace du .Marché, n ’ 21 ,

.d tx reA V R A D H E

PAR AinunirATioa voLoaTAinE.En l’ép/de e f /uw le ministère de 51* Lkmoink,

notaire « ChanllHij, l .e Lundi d e là re n to c ô lc O Ju in 1802, ù midi

Jdiiissancc de suüe.Stise d p r ix 20 ,000 fr .

On tra ite ra uvunt Padjudicntion s 'il es t hiit des onVessiiftisuiiles.

■ S'iulretser andlt .M* I.kmoi>k , HO/airt*.

Mêm e é tu de.

GRANDE ET BEI-LE

MÂÎSOR DE GAMPÂfiRESise a S ain l-L en d ’K sserent,

A L O t l K H

S’adresser à 51* Iæ m o i:«k, no taire à Chan illy.

5ièine é tu de.

PETITE RAISON ROllRGEOISESise à Vineuil, p rès Chantilly, ru e des Sœ urs,

Avec Jnrdin.

A A R A D R E : a L M lir A B I Æ .S'adresser audit 51' Lkvoixe, notaire

51èntc élttde.

TERRAINAujeiira*hMl en Jnrdln,

j>A*es*rc m M if f r .d ’uiio conienance snperficicille de 1,527™ 79 '

Aitué d Clianlilly, rue de Paris,A v r a u r i î :

PA It ADJUDICATION V O LO N T A IltH .En deux lots qui pourront ê tre réunis,

En t'éludé M par le ministère de 5I'L buoinc, notaire d CbariliUij,

I.A: L undi de la Pentecôte 9 Ju in 1802, j midi Entrée en jouissance du su ite .

On tra ite ra a ra n t radjudfCatiou, s’il est fait des olTres sunisantcs.

S 'a d re a er audit M* LnMOtNe, notaire.

Etude d e SI* R IV IÈRE, no taire à Creil (Oise'.

UNE USINEf V p r i f r a M l ^ M e

D'une forte réalUie de 20 à 25 ckeoaux. S ituée *a V illers-Sain t-Paul. canton ilc Creîl,

a 4 kilom ètres de la (tare de C reil, e t à 5 00 m ètres de l’O ise,

A V E U D R B A L,*A1IIIABIÆ , C ette usine com prend cinq paires de mctiles.

Jtfeleur entiirem ent neuf. R àtim enis, Enclos, Ja rd in , le tou t contenant 5 h ec t. 2 ares 50 c.

S ’adresser tuidlt M* RnnàiiB, wotaire. M iu B -d T n P K .- - .............

10 PIÈCES DE TERBE ET ItOISS ituées te rro irs d e H onlata irc e t S ain l-

Vaast-les-M éllo..A V E A D R E

P a r ■ d i ja J I le a t I * * v ^ a a u i l r » .En la salle d e la m airie de M onlataire.

Par le mlHlstère de M’ Rivierb, notaire ù Creil, Le Dim anche 2 5 Mai 1802, deux heures,

Jouissance de suite.Facilités (tour )e paiem ent.

S'adresser aiuUt N ’ Rivière,\nofa(>e.

E tude d e M* TOURNEUR, nota ire à V erbcric .

A V E A D R R o « A L O V E RrAR ADIUIHCATIOS VGLONTAIRK,

B a Uaaam mm p a r 'tmtm.Le Dim anches 2 5 Jn in 1802, h une heure .

E n Fétude e t par le ministère do M* TouRxstiR, notaire è^^erberie,

UNE FEBSIESituée h V illenenve-sur-V erberio,

ET DIVKBS

S itués terro irs de Vcrbcric. S aint-V aast, Villeneuve cl R aray, \E n v ing t-hu it piicès,

d e 19 l lc e ln r e s A r cs 5 3 V ent.Kucilité.s pour le paiem ent.

Il sera procédé d ’abu id it ia ven te ,u l aiissilôt ap rès à la loc.'ition des im m eubles non vendus.

S ’üih-csrw am ht 51* Touft^NRCR, notaire

EtudeüeM BIGOT,m d aireau IMesslsTlelluville

MAISONA v e e J ^ r d lM

Sise à Erm enonville, h ta rrichc du Cim etière A V E A B R E

P ar adjudication volontaire,.4 /■.Vme«o»u’i7/i‘, on la .1/aiVon d'école.

Lu Üimancliu 1*' Ju in I8G2. à 2 heures. Par le ministère dudit 51* Bigot, notaire.

Jouissance lun l de .suite.S'adresser audit 31' Bigot, m taire.

3lèmc é tude.

SEPT PIECES DE TEBRESises aux terro irs du N aniuuil-ie-!laudouin,

Silly- lu-Loug e t Ogncs,A Y E A D R E a u x oni*hèr<*NyPur le miiiisterc de >1' B igot, notaire au

Plessis-Uvllvrille,A SiBy-lu-Lou}». en la salle d’école.

l.e Dimanche 13 J u in 1862. d une heure. S'adresser audit 51' Bigot, notaire.

Elude du M* T ASS.VRT, nota ire A Crépy.

A Y B A i m BP.in .VUJIIDIC.VTIO.N VOLONT.VIRK.

En l'vltide et jH ir le ministère de .'1* T .issart, notaire à C répu..

Le Diinanchu2.> 5lai 1802. à midi,

DR HARCHE de TEBRESitué terriloire .sdc Lévignen e t Rouville,

E n t i piVccs,C«nlen«nS • heclnres 49 nres tttf e.

Facilités pour le paiement.S'adresser audit >1* T.\ss.\nT, twtaiie.

D.)llGilÉ DE TEDIIE k PilÉ

tableaiiS, 2 0 0 volunie.'i, instrum ents de m usi­que, ustensiles do ch iriii^ io . ferraille, ton ­neaux e t boitleilles vides*, ou tils de jard iuage et une g ran d e quantité d ’a u tre s objets.

S ’adresser audit M* Maitbb<Bkvallos

MfiME énuDE.

A Y B Â i M t l * :l'AU ADJiniCATIUN VOl.ONTAtitK,

Pur le ppnHi.»/i'/ t' de 3T T.vss.\iit, uotuire à Crépy, et en son étude,

LeD iniancIiu 15 Juin 1802, à midi.

l 'IF IJ

Situé su r les territo ires du Crépy, Rouvillu vi Duvy,

C * « n le n fin t 4 h rc C n m * 4 1 n r e a WS r .Jouissance .'iprès la récolte.

(•randus raidlités pour lu (taluniunl du pi lx. S'adresser audit .M* T.vss.vbt, notaire,

Kliklu dc>l* GUISÜ.N nolaircàBOt!iisy-S‘*Piurru

.% Y B A 'D R B |K i r A d j u i l i e a t i t D n ,.1 (h r o n y , près Vfe.py, en l'usine.

Lu Dimanche 2,5 Mai lH 02, à on^u heures. Pur le ministère de 51* Grison, Hofaire à llélhisy^

Saittt'P ierre,

BELLE USINEu ^ o t m o v \ y

NouvuUemenl constru ite e t à usage du

FÉCULERIE ET HUILERIEP onçan t servir à tout établissement industriel.

S ituée b O rrouy. canton de Crépy (Oise), su r ta rivière d ’Aulornne,

Ensemble les tournants, virants et tracadlants, et tout le matériel se traucan t da tu rnsine. Im m édiaicm cnl ap rès l’ajudication, il sera

procédé ù la vente aux enchères, en détail, de « o u t I r M n tè r i e l d 'c s ^ t o l t a l i s n r t d e d e u x P ic c e * d e T e r r e e t P r é .

S'adresser audit 31* Grihon notaire.

Elude du 31* ROUSSEAU, notaire a .Mcllo.

hmsdrU rgeoiseBeau Jard in , C’«ur et Parte eachère,Sis il Pont-Sain te-5 taxencc. station du cliurnin

de r<;r du N ord, à 0 0 m inutes de Parie,A Y B A D R B

« d ja d le e tle a « • tM ln lre ,Le Dimanche 2 5 51ui 1862, à trois lu’.urus. E n l’étude et p<u- le m inistère de M* I’.vyev,

notaire à i'«Ht*A’oin/a*.Vaxe«ce,E n présence de M* Ruussk.vc . notaire à Mello.

. il y a toute sû re té pour ac i|uérlr. S'adresser auxdits M“ Roi;s.sbau et Paven.

Klude de M* MAITR&ÜEVAliLO.N, uoliiiro— à Ghanibly (Oise).

P a r suite d u drcés de M. IsAMBEnr, un " médecin \ A ChamMy,

Kn la m aison qu’il occupait, sise rue du Gisors, Par le mifiietcre de M* 5Iaitrc>D evallon,

notaire à Chamblij,Le D im anche 18 51ai 1862, à m idi, e t lu len -

dem ain, s’il y a lieu.

C.etie vente consistera en : garn itures de feu , p o terie , vaisselle, verrerie , ustensiles de m é­nage , belle batterie de cu isine, alam bic, m eu­b les. lite rie , rideaux , linge de lit, du table ci d e co rps, h ab its , g laces, pendules, Hambeaux,

F.ludu dc31'ilBXRiSALLÊ, com m issairo-priscur A SeuHs.

T O & O K T A I B S , VA Sniui-Nlcolttti, iirèii Üenliu,

Au Moulin du M. B i n a n t ,Par le m inistère de U* IL S.vllè, com missaire’

prisetirà Senlis,Le l.unui 10 Mai 1862 , h m idi.

Ladite vente conslstèra en : ustensiles de cuisine èt .le m énage, fouimeau |)onatir , m en- Idcs, lite rie , horloge, bouteilles vides, futailles, planches. 1' >» ’f î ' .

E t alftreé'pbjeis.A n Ç a m r t M i l . — l ' è n u « r« llM a lrc » .

Ltude du 5P IIÈ R 0ÜART, h u issier à Nantciiil.

VENTE DÉFINITIVE.1 raiiJC de rrsjatiou volontaire de culture,

«lé tou t le

MATÈBIELCom|)Osan't rcxp lo ilalion de M. G k a n g ë .

A Vrrsinny prèH .Nanleuil-lr-lliiudoulii. Le JC U Ü I2 0 Mai 1862, b onze hcm es, /*«»• le im’m jtfrfl de M* IIè ro u a rt, htilsiier-priseur

à Santeuil-lo-liaudouin.

C onsistant e n : lrü .s-honschevaux, vaches, volailles, voitures, chario t, m oulins, bascules, lléuux c l balances, m esures, sacs, pelles, four­ches, ustensiles de cuisine cl de fournil.

Bonne Maebine n bnlire.E t quantité d ’objets et iiiftrunitfnts aralaires

servant ù l'usage de la eid ture.F acilités p o u r .le paiem ent.

Ktudu du 51* BILLLT;^gl^ffiur-priseur ù Retz.

yfmm atoiitiLiàisP our cause du décès,

1(1 domicile où est décédée NI™* CiiATur.CT, aubergiste à Neufchellcs,

l.u Dimanche 18 .Mai 1862, ù m idi, c l jou rs su ivants, s’il y a lieu.

Par te ministère dudit 51* BiLte r , grcf'liur’priscur

Gonsislanl en : garn itures de foyer, In tter ic c l iisteusites de cu isine, vaisselle, verrerie, puierie . chaises, labourcls, m eubles, literie: linge, baignoire , poêle; ou tils do jardinage];el au tre s , p lanches, bois à brû ler, pom m es ée terre , paille; bascule; porc, poules, la|iins. couverts, cu illères à café et louche eu Itiiolz. m on ire on o r . et' une grande quantité d ’objets.

.%n € * M { i lu a ( . V ra l i i o r d ln a l r c M .

.4dniljnl»lralle§B Je rKniwg;iiilremeni et des iiomainrs.

VENTE

H o rs d^usagé.Le L undi 19 M ai 4862, h quatre heures de

relevée, le R eceveur des Uomainus, procédera à l’Ilôlel-de-V itle de S enlis, .à ta vente aux enchères de 20 ballots de papier.s cl registres hors d ’usage. Ibrm ant un poids de 8 7 0 kilog

4«E t ù la charijede 5 c.jiar fr.applicablesau.r frais.

IL\ÈTÉPËRDl' !

t o m i n t i n e «le I» C 'b n p c i le -c i t- S e rv a l .

wjuTïiBmifc ADJUDICATION AU RABAIS

^Par voie de soum issions cachetées

TRAVAUX ÜE PAVAGEP o u r le Diman'chè''25 Niai l8>'2. à midi,

E n la sa lle tU la ila iiiedelaC hapelle-en-Sercal.

I.c Nlairc de la co iém unc de la Chapelle-en* Serval fait savoir que le Dimanche 2.5 5lai 1862. à m idi. Il sera procédé à l’adjudicaliou p ar voie de soum issions cachelécs. des travaux de pavage à exécuter en 1 8 6 2 , dans les rues du .Mouton e l D auphine , lesquels son t estim és ù la som m e de 1,226 fr 12 c.

On t*ourra prendre connaissance du devis et cahier des charges, au Secrétariat de la .Vairie de la Chapelle-en’Serval,ou bureau de .51. P éron. vyeut’Voyer principal à Sentis.

un C'birn r«unin«tricolore, luarqité

d'un S à droite. ' «Lo rumeiicr choï M. S o b d a n , café An»

glais, à Clianlilly.Bmine Bécnmpettsr.

T O ^ X E V i E RPlnee Je le Huile > n* 4«, A bK.NAItf

Fait la Tonnellerie en tou t g e n re , ‘encavc le vin e l le m et en bouleitle. T ien t le Vinaigre d U rté au s .p u rv in ,.e ti.g ro s jR j:iijlé laU ._______

néc*Mvcr«e laè»M<fewü»le'y j m Scrtu,GAU .t o n iq u e :

PARAGPTÉ DES GHETEUXUe «llAlEMUrt Chlnalete.

O l t c ctMnpMUion « i( in ra illib te (w ur a r r ê te r i>roni|i- U m n t la c liu te «IcadM vcHt t e lle e n em|>ét:ii<* la dcco b n t i o n , neKoiepnr^tfileMMf b c K irc A e v e /u , ité lru il tes m itlièn:» gruU ttu t«$ » t p e llie m itt b t s u e h d lr t i ; se t proprié tés reK tnéraU icei n v o r ts tn t ta repro iluc lion •te nou v ea u x eheveiir . Ira fa it èpat>kir e t tec ren d »uui |>te« e l L rilla u t* . c l cmpècfce le L lauetiin ien l} c t i a a

a . — f r iv d u IhTacuii, 3 f r .Pttbriaue à Rouen, rue de t’HApilal, I«>. — Dép-U

daui luuie* le* ville» de Freaee» — a Bi-auvnie, chri M. f.,ingtel, rue Saint-Sauveur j — M a SralM.elie, U . r i » l l l b « H , co i/T eur-pur/uM eur, P t a e e d c ia I talie '

FEDDOITS rHAHiÇEDTIODEBipprMTbywl'iuJliiiiaririiltétlldeciN

POUORrSULFUREUSE• DE. M ;'." P O Ü ÎL E D T .Xoui ■•r<(«rrr toi-niÉme, iu,UsitaD.'imut

H avec U (ilut (rande Économie, ima m pe-.r DrlrMv.ünol le* |uo|iriÉtÉe

.,P A ST I.U 'E S ,A T ,P O U D R E R

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S ...

u n i i l I t i r t î

l'uur |(iv)>aiTr M.i-iiisiiie la W'iilai’t.' lu i.i iia.le.le liciKÉ an ciltale il.' itiaïiir-i ', il ,uli1 de Faire un Rai'On Uc o lût l'on.l»i» I>i.ul,ill,r JVau.I •.tfi'jea.le a toi.Ma . ..

iiUF»r. le |'l«* aftiéA'

>n lie la rl-I.HiMe iptl.leur* , itf l'aiii'iiiii;. Je l.i leuclKiirre. | .... FDrliliri’ E t li'm|<ri'.iiiie»l> lail.les <'li{iiijiha- ■iq»e*.et,laiKliU'l-----

f i r s ' s s r ' ...

FfllRHU lEN S DÉror.lTiiiRESN ealfw , MM. C lia^ta log; ■ e a « T « li* , G rtn d ;

E e» ll-n« r-N i® ye, lA^rranu; Itoutlcrju -C r e i l . i ’(» ii:,i i> :C rd |i7 .F uu riiic r:f‘o r i t i e v l« Campx M è r i i , W aiiaras H alnC *J«N l.«a>C *b«liM iêe .C ulrav .

n * M A iT H B -B E V A IiM B r» i l c h M M b trv

D em ande UM SECOJVD CLERC.

AVIS.M. DEGUISE (Jean-U apliste), auberg iste

vieille n ie d e P aris , ii* 10* rep rend l’étab lis­sem ent d e M. P a r f a i t NoitMAitû, auberg iste , porte dri C reil, h l’e n s e ip c du P as Relevé, tenu aucicniiem enl p a r UM. L bbas.

Il offre h la clientèle attachée b ce t élab lis- sem eni scs so ins e t ses services* it fera tous scs efforts p o u r m ériler la conllanco d o n t'cc t établissom ont a tou jours été liouoré.

PILUbÉS VÉGÉTALESooimatAisfiss—mméÂTivAS

«lo C Y u V lN I, d e P « H s .C«» PILULES i>ar le u r efficacité e t p a r le u r emplAl fai-ile auquel ,clle» »e t a l e n t , «on t le m e illeu r p n r g a l i j 'p o u r (-om lu ltrc .ta con- I flipa tion , d c lru irc le» A uiM H n e t l 'd ere lé d u * M g , e t p o u r ra - 'm cuer l'Iiaru iuu io ilao» les fono (m as r ila lea . Com posées d e ^u&sIORces fc g c la tes , c -tcs o u i

la p ro p rié té d e d o n n e r d u lu n a u i in te stin s ,-d e p u rg e r sans ra tisu e r rc tlo n ia c n i a ffaib lir auuuii o rgane .

!.«•» PILULES CAUViN uV sigeu t n i régim o^ni bo is­son s p é c u le ; sous ce rap p o r t, c ites c o iis ii tu eu t te plu* com m ode e t I r p lus efficace de* p u r g a tî /s r - ~ n u » ; aussi so n K lte s o rdonnées avec succès d a n inniadies aiguë* e t c lim n lques, g a s lr ite s , engo lge- n tenis. asthm es, e a la n itr s , d o u te iu ^ , d a r t ie s , m i. g ia in e s , scro fu tes , élu.

U m érite d es P lI.U I .tS CVUVIN |>eut se résum er Cil CCS m ots < ré ta h tir ou en tre ten ir la M iilé. Id l/S Iwile d e 50 P ilu les, tt fr- , la liutte do SO Piliites .5 fr. 50 c.

pRKPAPécS UNIQCEMRNT P.VRJ . P . c.tuvifir

Ptiarm acien d e t'éco te su|iéri< a rc d e Paris, place d e l'A rc-de-T riom plie d e t'G toile; Cham ps-

P.lfsée*. P s s is .SOT». Une instruetion.csplicaliTeest rcnrcrroce dans

rîisque Iwiîle.D épûl, chea M. C h a n w lisK * pharm acien é S en tis

ETAT CIVIL IIB SENLIS.iVaifjaiicr.

R upoot (MarLi-Alphonsioe).Mariage.

3Iunjuc (Jeati'IdiuU}, e l Morizu (Vicluire-Vir« giuie)

BMbil«»il«iis Je Merlesee.Entre 31. Guurhind (l.ouis-Vicior). m açon à

SeiilU. e l Narcisse (Adète*Ëriiestiiie), do* inestique b Rpberval.

Ë utrc 'M . Lepetit (Auguste), com m is distilla* le u r h Senlis. e t .M“* Leroy (Iléluise-Adeliiir)* sans pruft-ssioii à SeiiHs.

AU NOUVEAU JU IF-ER R A N T.

lÆ A S ^ O aA lT D B D B X T O U V B A IT T d S B T O O IH ’B O T IO V , 'M ite e s t e J* .fp jM » r# -« c M -JF * M J M * m * J » «■

A riio im eu r de |ii'évcuir les dam es qu’elle » jo in t b son com m erce 1*A V A B R IC A T IO V iMv'ë l 'O R ié E i'ü i imnM co ia iw i'c a it l ’.orsuls algériens. Corsets brassières a riiii|)éra lrice d ’uuu solidité garan lie , » p a r tir do 12 fr. b 1 5 fr. ; C orsets deiiiHCOUSU, coupés au procédé m é c a n i q u e ù 6 ' e) 8 f r . ; Corsets cousus, depuis 5 fr, ju sq u ’il 15 fr. ; C orscis enfants, s a » cou tu res, depuis 2 f r . jusqu’à 6 f r . 5 0 c . .

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C e ir, mai IM9.

E n ra g iitra h S e n t i t , te 1862, P

POMILiDi: DES EHATEL.tllNESo n LHTGIËNE DO HOTEN-A6E.

C ette Pom m ade e*t com poice d e p lan te» logiétiique*. à lKi*e Im ^ w e . - - DéccMTCrt |m r CIIALMIN, dan* an mac..i*crit. « rem ède înTalUible é ta it eniplojrc p a r no» M i e . e liite b in c a d u p o u r c o n a r rre r , ju*q«»l 'à - c le ■•!■■* avancé leur» cheveu» d 'u n e beau té rcn )an |uab l« . — C a p r o d u tt a c tiv a avec v ig u e u r la c ru* de» cheveu» , le u r do n n e d u b r i l la n t , d e là »oui.1e»»c, e l le* em pêche d e id a u ck ir , « u a 'e n aerv au t journetterneB l.— (h>ii>pinée p a r CIIALMIN. c liim iste -pa rfun ieu r. a R ouen , rue d e l’H êp ital, 3 t e t «a .

P R I X D U P O 'i 's o f r . 5o *. e l i j r . &• c.

- Dépôt b ^ ’vnfw, r.licz M. P u iL iP B R T , coiffeur-parfum eur* place d e la H a lle* 5 5 ,à Iteauvais, chezM . L a n g l e t , rue S ain t-S a u v eu r.

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Senlis. C onipii'gne. Bcauvais. tie rm o n l. Uriipy. iNunicuil. l'on i

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S E M IS , TYPOCIIAPIIIE ET EITIIOCBAPHIE DE M“ - V ' REGNIER

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