ne,f. n° 278 to[ilotise -...
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6i,ue NE,F. - N° 278
nedeth à l'ans, dit qu il v est pie encore le dé artement d Gra. er p à pren ressource qui leur est indispensable, et rist de lié de sa cevtrGa a Ber- 1
p 'cl'c mv icipaux 1ntel,g % ,e claire et pcomplète
ici des dispositions de la lai e.t d-s r. cipaua pour assurer l'entretien des ° as récommandarmt Par es vote à la seiltlin. pour e¢ chemin avantages qu'elle offre papal ations. chemina qui vont être construits. itvd- du Gouvernement et dus conseils
Toulouse. -Saint-Cyprien (extra-mu-Le Teinpa mentionne le brait quo lv ï ris), immédiatement et à gauche du bu-
Pour y réussi" la colla oration la plue cxn:arrorv ne, xass onncès u' n i-- génér.vx.pas de une,
des
Corps IGgislatif serait convoqué ce u d'onotgau aetiv^a
du ce rcivil, lest midi'caca. La note présentée à l'Rmperoar Par mou ( Vo°s ne perdrez monsieurle préfet, qu'a la dbF6rence des centimes
verobre. - ° `ce.
p bgera meut île auront consacré leurs a Prédéceasenr eiroulait les difgevltps qui se neColomfero-Lae la.aa;
d1
i.préeenteraievt dans la pratique par aine
Italnteo9 21 maipeuonl lb 36
MERCREDI 7 OCTOBRE i 568,
TO[ILOtISE
BURfRALX RUE SAINT-ROME, 41t.
POLITIQU T LITTÉ R
I-
TARIFS DES) ANNONCES
ABONNEMENTS L Anno ces 1 1 gne ................. 0 fr. c
aT )ULOUSE : Un an, 40 f,,; 6 mois, 2l fr.; 3 mom, 11(fr,on 1"BC021 les CLB01271C111 C71tS Cl les annonces : ' Récla ]a g.. ................. 0 fr,
5030
c
8auta-Caroa.e TOCLOUSE, bar,... dul'J....a,, (meriSmnt-Romo, 44, - A Paris, chez M. Davns, 3, rue Jean-Jac yvee- gne 1 fr, 00 c.
6 fr.; 3 moie,,14 Pr.Faite divers, lp h
Dé etrmwle Un an, 50 fr.; 6 mois, 2A
! 1 R lau.aanar; LeerrirBuvc,aa Ut C--P", 8 lace le 'a Bon,,. Pl>NTarv 22 d Trévise,
Toulouse, Imp. Ph. Montaubi.p r St.Roue. 1.-,.
1 'neplace de '
7RANULR: Les frais supplément ree de poste en ana, acide correspondante peur Iea
le plan favorable est ca d ù ,l am"nt+
- - -- - ----- -- '-.ans le réseau ubvev- et
P Oil tltie , OC(ObPP.. ütfll ' 587 50 587 50 j nomination de maréchal Serran. an Pou Les porteurs de é cép és de face ch mine Ganpn+_ -:voue 'avis pour assurer l'exécution, en dix ami,
tutnohiens... 555 0 65fi vie eirprémo sen un accord préalable qbi ne Iee ont paa e car échangés contre normé ayant été fixée - vous ch-mms compris dxrs le réseau d'y offre
I.ombart ... 907 50 406 200
avec la majorité.e
des mrti i s rit invités à le faire dans de la immm,ssmu départemanna.., ter les rosunvrcea créées par là j ol dos 21te plus bref délai. û urez plus, monsieur le préfet, lceqû décr,r ne. e46 déduction faite des prélév°-
,fr017RSR DE PARIS mltut...... 000 00 675 0 Autre dépé.ehe. On rappelle xui souscripteurs que ces tifier aux communes intéressées mal e.,- - ces ressources au roenta opérés
or
nu 5 ocroaes.neier, .... 417 50 1417 0 titrese ne peuvent leur
G
être remis que cun- 'toua que vou0 mica rises. AParis, 1 octobre. que dela grande et de le LLmocen, vicee.rté-
ti+rs.a. ee.+"tmaeaws. ee +.o+ se. POtIRHE DE WOWUSR On lit deus leBulletin
du :Ifunit'.tre l versement da francs 511 ce, gea Il y a lieu de remarquer seulement
r+nre+taa La Jette u éme, élue àMadrid,:
estformant le complémentnt é à 3 de a- ! Iee commissions départementales out été la vérité, s commu Pe auraient
"'éuuiob, compter sur les subveutUms de l'État et
on 6 .cimes. a Pr utie. Des intérêts de retard à 5 0'0 sont autorisées, lors de leur dernière r léercomprendre, dans le rseau, deschami.e du département, qui doivent svP
âleet---a comprnz. définitivement ponatituée nomme suit: lus sur cette somma depuis le 29 sep. a é
'l.d
d ier n'avait pas m- la pauvreté de la caisse o onclassement régut l ete ssi,dansMM St Piésidents bru-d en_
3 010.......... 69 20,erran. erm, pr- tenue.ACTIONS, 32l 50 rairas; - cors été péré. Voue devrez inviter les ol'esas no.M
Ob. Midi ...... adminietrahons municipales à procéder à e -Jappât de laeubvvtion fait défautVotawe. Dernier stésident effectiflA
gorrepp90621 ffqui iedie rom.tanr,' Art. Orléans..,-,.,.,--.,ectuer
o.n rs Charentne immun (1863) . .. 305 50 Rlbéro , Veg. Ut Armijo, iDU-prési La Ministre de l'intérieur a adreué anx {ormes ordinaires.a emvant les lacurdage des
trop bienie en cmampris W.,e
dnts.hui 4°°sotque
lam;m
le mai"
are nul Rm. ' ' sac >s A. 45 octobre. préfets la cirmlaire avivante, relative à Aines que j'ai eu IoDessin. de le dire l'a cvuecilsnoter
municipauxles
uni ressourcipauxces ne
s,^
s>r nn .cari na
r
ro 1 italien 52 30 , "ré'tai ., en ce qui cm eeme les cam- dans le discussion da la loi, il Pourra ar- pas de e
arasa Comp. p.rieie.nne dg hax. as Espagnol ............. 268 75 {Lété imÎioû
van sol Obélgaat berce üünat de la loi du 11 juillet 1868, sur inca dans le coure de la période d'ezécu- à l oinseur, di
destipoaitimmuler
leureus
sels.soie, m`an-
-oci pouri
gis dee lac chemibauï: rwa vnComp. r .. 906 54
Orléans..........Camp été ouverte trier.
ine vic tic., que des besmns noavesuz résultant,ble que
. Il savart ou-
A. 31 octobre Plument regrettale réseau vicinal. genar,tmnaadamequs s'a , j Parie, le 22 septembre 18118. ar ezem le, de l'ouverture d'une "ilanses. il
si étaient négociée. .Monsieur le préfet, par ma circulaire da ferrée ou dune voire, réclament la sn lie- présentât des lacunes, précisément d
son aslsusageriai imp. serv Il x a. de affluence de eoueerip- °
.
mari,
>su n 3 peur OJO. ,, ...... , 69 15 i tente Lea ôhli atanal msrt, de 8a". , 'le vt ga lune i 11 aoot dernier, le provoquais le coucsnra titetion d'an chemin vicinal non remplis les localités où la dotation normale de laaa s He}aan a0rp... POU endos' 0 ü avec puma de 1 fr, 50 cent. die consels 6nérauz des dé arts t
a'é1é hie rh6e. e P d le réseau à tel antre chemin désor- vw,nalité permettrait d'ezécuter les ira
sol"Htala-U, s d.liare. - -a t Rr'p P peur l'achèvement des chemine . aie délassé Ja me borao va sans sacrifice extraordinaire.
. eo Dena Tu 5p .100 a Mad d, 6 octobre, soir. Lee conseil. généraux out répandu à cet ci cette ctrconencla qui neseee produiraira u- autre catégorie de communes sa
r . as, Crédit foncier d Autriche nn .0 Madrid, 6 octobre. Les désordres d'Ante4aéra ont été ré- ,,riel avec an empressement dan 1 q et amtaemblablemevt qu'- titre tout a fait composera de celles qui ne pourront povr-
OBLIC:ATIONS, La2°°te.été définitivement ueoetitnée rouer ne nouvelle prunes de lien xeeptieanel. Sana exclure cette éventen- orr àla dépense qu'en .tant, ivdépen-a Iea lité, j'appelle votre attentioncette vous de- entament des trois jourrnées de prestation
hier. sprimés' que Pays'mite O. Ponci>re SW t. 00 ., srz on Gazelle publie la protestation de la
Lea gGnéraux Dolce Ut Pierrard sont pmtmce ep e tracre à l'exécution
sas >n - f0. 4 01 1La attendus jeddl. de cette entreprlae. La faveur avec la- !urez appeler celle des conseils municipaux i et des o Inutimes établie par la loi d.
a
imes ace us autorisésmm an ronc. 5Qi i t p 1863' ers on reine prtcédée de ces route : Les tror 'a feront leur entrée jeudi. quelle ils avaient accueilli le prcjet ne 'sur Ix uéceasdé impérieuse, pour abmtm à 1830, les 3 cent
ueulcs z a s ne. e Ioohella n adreeaé bu manifeste anx L'acceutatnm de M, OlozaB° cet ton- e est pas démentie lorsqûi sisal agi d'en la réaliaatie du pregramme, d'en arrêter par l'article 3 de la loi du '14ajuillet 1867.
t;i5 do P;vis 4 nl°. i a lispagnaI la 7unto ne le quadnfie paa. jours probléatigeque.est arrivé
"Pli, Pénétrés de cette cun- f. le plan dés le début et den poursuivra Bmn que centimes aient ou earao-
fout paye, ,F Ceo n La Nation a jugé eouverxinement lue vti à Liebanve, notion quels eenstructim an réseau de la avec preuéeéeaeee l'application. A. sur- tére facultatif,' on peut s demander et
unLe comte Gie
Charente. 3 P.ur rial,00
a sites de la Ruine ;elle jus". tee a- netita rlcinalité u mpeneera des charges " Iris les modifications qni, dans des cas ! I spécialité ne les affecte pas, parve 11, 3 faon - .j est ie
P1°dn' ppeme° art rares, avance et au même titre n='ouvres
pour t odes n ro ic dévale tuq
car
P
of ta é pade
d la loi de 183G, à l'achevemeut desf ]in jeun,al intitulé l'Cmmm !b que, virt ose b e eggLneur, ment néwaéai,.
neiraientseront
devenirréclamées
les
A d ces 3 pour flan . jv mal.' éloigné t 1 ch mms eicinanx, et ai les Commanes queortavrse imdia li saL 3 d élpn us ouolé nea ai pp 1 téu .àc .dans un d
v.,C, t de tire. rte mrt ae..\/d y p Itro l'Marché de 6 octobre me réserve de ruas donnera moment r lent terminer les chemina c
4 tout à Falt ezce tonnelle les autres n p r omp a2 3 100. e Antre Uépéehé. b b®tterara, 74)75 P
ton des instructions e éeiales. dans le réseau subventi onné au moyen deont a es et oppor pontérand mal h-d t é0 n gala 1 ! tll0 ys g5
eiuv
s- U ansces 3 centimes, et ur ça
. 0 D'Il 't LOI. P r e, 6 octobre, loi,. consd érahle; q rell uexrorv nos néeervaES anx q Pn°r er
on,gemrmt de les voter, t fondées à
n v -R I - 3 0:0 L'A t nul publie un télég . Marseille, 6 octobre, soir, montrée mur larges, ' et presque commuez' tin, er à la mbvmtion.as ' h lem l e t 'h t d M i id cari t que lo g t.u!oura que nia ertuaton 1 01ra da nic,paux aient paC'est me t 1 ne ci t' tM.'it: H p Bg, I t 1 bl. nyp) en m t provisoire et décidé ' prononcer arch6 de ce jour. dé artement leur t d ait deé foI@l
lus. Po d les 6-n'aide que' Ion qu'i ppar leu
i en S1 ff. - ut des enfants lades r
Bl6a îlien s lues h Idem i, tp e ati e d'apprécié 1me e est ,meaqu'ils Qaa de trancher, pbsgne la répartrtiou de
n-¢ Obl Ou menas emredh b'
10 `oit Erra aite, au pventionn i car.,v
suh L
Pennés. Arriva, 16,100 c arges. cru dvolé env:aager la péridde dd dla d- t à c ée , il f t q 1 a(1
id. attendn. le piolet de uppress, on ae0ouense. 9e. 11 19 d.gt6, T+- uu décret dêlibê
01 I b qni sera soumis à 1 aeaem- I I snobe, 128112. e f 114, tout eatn6ra et armt créé des roesou c avecprédroiov les déps.'
inx
moc.-
es !.
.1061 lia mes Ixfibu nées o é auront à pourvoir. Ce dépt se r p ° d élagr t,én etéra ab _covd degré , p ar leané.
constira
ante. Marrai opob, 1281124, fr. 35 75.ue ^onr
es."",a 1NG5 Varna, 1271123, à fr. crucE32. q oeiOI 1 1 ,sur aide t s ! Cntona : pour le procin zercnce, on peut ffi er t : 1 a ce.e d h ! s pr bF. Lorngp it y aura tien de
IObI Nord ispagne a La Pi are ap rend de source cer taine,lés à présent q.'en ce qui coi 1 J tés; 2 e. l'r ntrenen, croissant p
d t la p .céder à ces opératone, ]o Gouvesne-
g P 1'areoua, à fr. 39.d dé t Ieal'E é é do da conatructdeshun mea ch rit et les assemblées départements
roreea
Otlne
trio. dn Rossra viendra passer i ..all p r ame.il, pr vrslone p prêté.tout cas,1
inter
à s.ne
ptd t dppp dam t 6C tés: de la loi. Je ne dentenie%icarnr,
u
lit la CHRONIQUE. LUCALU, Lee déportements sont donc ré o d 3 L ctl e ta dé à recueillie le set-pans 0,
m--I ni e Pour 100.
i disent qu Au- p p J love suesrune lis conseils seraumi'l
f 0..,mus, et
uvelleaee ; La Pranec et n vo darvice
i l 1 t y ue permettront de fournir, à cet rune la loi de ]SG7 Ieur a ourit aux comma à pN.. A t ic66 5041 ro p ne ou norM1
1 ég rd auz c s Is municlPauz toue lao gin est eu si compléta harmonie avec less so 0
non de Cmetantiuople Les travaux du Chemin de fer qui dcit rvo
onU, ceal :ol.,q. i t I a relier Auch à'Tovlouse sont déjà commen cha. Vous surLa Prance signalant la retour de M 130 crie, et eo continuent aveu activité dans
préfet, à leur en faciliter I esémt.n en regemgnements néceaeanes. heeoms de lirnrvra rune none abordo ns 1o-
h haut à faire dnéker dru, les ecu- ,le reviendrai tout à l'heure sur les dis- lourd'hni : ils se procureront nias, o
HOU2SE DE PARIS.u G octoenu 1868.
Aa Gemprnnl.S'meare air. carre de !wr loir. pair.a OIU G9 20 69 30
Cr2 010,.,,. 110 20 100 20Banque. .... 3100 00 3105 00
A verra..
i 010 1- o,., 69 12-der. cobra. 69 12IWYlen 6 OJO. 2 40
mob- ,. 2 71 25m. Eapag.. 270 00
Càeassne de fe,
69 1269 1552 32
270 00270 (0
Ortéane,lsx. coup. 888 75 907 50Nord français.. 1180 00 )177 50Lyon,..,,,.. 965 00 966 25
es nPlbrac (au bas da coteau, eut es ,ers efforts a une maure plue digne d° gouver- , 18Courber); amnt, pl., féconds pair prospérité
de la profonde in6galité qui eziste entre (être votés ar les conseils mmimpanx
I le--Des
ev d'aule ôoncouee des l imposés;Ja vais essayer de lac dipxrtementa rit,
vec Pua(des guevin)errant Lé13m.13m. ays l 'les
.,, p es un a-d é m le-'
entree' ce qui u- que, d'un autre côté, ils n'ont quguide. Merinvlell ;
.iI
m lifter leurm.v'r et
etlala
rvôtre, en vaus C t
émel
parC
tmeit
être ,set 0
Autre dépéahe.Paris, 7 octobre.
Madrid,
6
octobre,Le génbral Prim, retenu à Saragoeso
par la population, arrivera demain.Dos oommissions preparmd dos aria de
triomphe.Pluaieure provinces réclament contre la
e 1 t'r facultatif et ne pour,. aLitn'e elle ; adressant quelques explicationsonr lbxé- e
Liale-on-Jourdnin. codon des articles de la loi de 11 juillet eeroe ee dé ,aitements, est d'une vérité 1 racésd'offioeMa circulaire a aoùt18G
Aublot 1868, en ce qui concerne les comma-'., Plus frappante encore k ce gleurr rtuationvous a déjà signal0 ces différences; je meAuch, ose. i
e, et, rive n quez les boum à vous les rappeler.
camom
r rel
Le Ministère des finances vient de pu-blier l'avis solvant c..ocrant l'empruntde 429 millions:
e mmpofinanmére peste une traisièmo categonc de com-LaJoug n - Eu deicat.ons Commua a leur adresser,
ris, celles t termineri neLe longueur tuyatitrtquer attribuée à
epEn dehors des commuuce qui ont ter.1
dru ana tenu cheminssripris dans leko.votre députcmeu ayant été réglée parue miuc osera voies'iomaine et qui sent mats réseau subventionné, mème eu ojoutactarrêté ministériel, et la nomenclature des lommusemmt on bien petitnombre, le ça
Feullletou du JOUR\,1L DE T011,0USE. 1 - Il chante à plein gosier, pour vo almée la premiers de mes quatre on il e.:h elle les kaïlcs les plus tue, lesus raI é ffoa les mieuxour tieaue Iee plus soyma, es to'il tilt été nécessaire
é
LE
bisai, sana doute.- Je lui ferai chanter demainun autre
air dont il ne se doute pas, grommela leelle
'Il
TDE Cili1u
tluand rl est las de chanter, il .DeQ ce et rl noce lnlmie.
1u11p{ 1 is
l 1 1( Im-aIn'ures et menaces, '. lui ferai payerJ J
7,
'Voir la Journal de Puniras, de 6 ;
nn acentiCm.
lu tout avee usure.
- Il no l'aura pas volé, conclut leuhaouc, toujours prêt à flatter les inatints
auv's dn so maure.A-t-il pris quelque nourriture? de
nsnda lo cheik- Aucmm, Sidi, vos ordres n'alLiI-t
pas jvsq.n-là.- Tont is, Jette à ce fils de chien
quelques os de mouron à ronger, Fais lui
lisa- d. l'eau dan une pea de houe. Jea q 'il garde toutes mes folles pour le
Après avoir pris congé de l'émir, dont il sapplieo quo,je loi i réservé.Lu cha, narre
baisa ha mati droite en gne de v - tafroCsore
ri ne pârd itnutiles5ifns. vo.-lite, e cheik Sidi-1lxrrihi ,.n nvint Ien-
va- imena-NLament ocre son doucir. c p-h,t l'e.IG
Les Hadjoutce, pleine d'mthovsiaemo, Ne réponds à amours de es quesg
se dis iersairnl en tous sens et allaient tiers; soie muet avec lui;q.
'il ignore me
répaurÎro n loin In grande n velte. ntee,tions, il en soutl3,ra double : lot-O° arrêtait in .licite à choque pas pou tente do chàtin,eut est lits- creclie que le
lot demander plu. On détail les ordres et c6ntiment même.1. intentions do maltrc. Le chnou- sortit pour ezéset,r les or-
Mets fi sri contentait de rdpondro.: dies- duAh!
cheik,éécria celui-ci, dès qu'il fut-Guerre à 1d . L'é, s
eahandCnne la Dlitid je.. Pillez. brillez, rave.- ! l,rm maa vais donc ec an0co u. La g à egel, mnesacrez; Hommes et bi¢us sont f haine or m n ur. La guerre
votre proie. salitalivre molles franraieà
aune merci;fi al r deusclonnur nv otSou premier son, en entrant deux sa
dl arc, fut de réclamer sou chauve.Ce dernier aeu.rut avec l'obéissanoo
'.ruile que irons loi Connaissons.- Mon pcieonnior? demanda Sidr-liar-
e . ppous-en poprone. lie, loutA ri Sidi Ohd cet
hmomeh,IIil
mottet
nt plus que 1. moitié deUmil , il renfermé i
"0-nets, um gazelle, ma mur choisis entre
ribf d'an mn farouche. I toutes, la Irour de m.. paradis!- Il est kvjoure a. fond do silo où je. Il poussa un long soupir :
l'ai fait enfermer par votre ordre, - Allahl reprit il, pourquoi l'as-tun
pas- Bien. créée ai bulle, on pouryvoi 0 l'as-tu
1)eux do nes hommes veillent cor fait nitre dans nos tribus? Pour quel-lui et m'en répondent cor leur tête, que' pièces d'or, pour quelques caillou.,
- Et que fait-il là-dedans'? j je l'aurais obtenue de So. père, et je l'au-
ps s sans uqpou e ,
cela de répandra des Bots de sang. !brodées, les bijoux les plus rares ! A elie
Il parcourait la chambre àP.
précipités, ma belle jurai tetabl'a eh'asssi donnceamomaa mm
s, si segrtation fébrile pé p
(1 porto, .prés tout 1 g 5 1 1 m bc* égo, masainte. murmara,t fl I que
m
r tmpo te le la plus dévouée, mes vite le pins
culte des rouneisou le culte d'Allah ! Je ne empressés. On dit que les talismans 1111noie qu'Ello; d'elle seule occupe ma pansée.
Î
saint marshoot Mohamed-benMokreniElle v.et mieux faille moi qae Masrora, !ouss.nt d'un souverain pouvoir. J'irai
oe Irons prouver le saint maraboutMaloi
med-bcn-'Diemcen, lrorcm 1
Alger môme, avhoutigves, tours marchanda et mure étoffes I Mol ,id ,j'invoquerai son aide; je payeraiembaumées. Elle vaat mieux pl., moi rune , aa
poidsi
de l'or un de ses talismans, car je'elle mmille chouans, la fortune d'une tribu. Elle ! ax qu
'vaut rnieuz pou nul qu toutes nos tribusamble avec leurs cheiks, leurs califes et
leur sultan.Il recruta, poie, crispant lespoings dans
nos explosion de oolére :- Oh! misère ! s'écria-t-il : avoir vu ses
chevaux noirs, plus fins que la soin, nove-lppper ace épaules comme d'une nuée;
dirait desos,ansdc "rit' il perles fines ,t l âesG ,a dans du corail rouge ;
o front plus blanc que la neige quitombe sur l'Atlas; sa joua aussi tendre quole fruit qui mfe,t sur le pêcher; et ses cilsnoirs et ses z plus terribles aù omque le fusil que toit parler lanudr.; vo 1
utout
col. ; être r ,lie, être nobleavoir
êtrei belle tout poissant, et se dira :elle me
I'elle me profùre vil roumi I
All h !malheur à lot; m malheur aussià elle si, une fois mx priemsiniôre, elle per-s6vdre dans son immitié !
Il poussa u° mgssemmrt de tigre en lu-rmes.
P admernsuut par degrés.- Allah est grand, soupira`t il; Allah
cet bon pour u,e fidèles serv tours, Elleoubliera cet homme; lui mort, elle lbu-hu ras. I: esprit de la femme cet un sable
vent : les mprei°tas qu'y marque lepied, u° coup de veut les efface. Je lacem-
l'environne-blerai te tant de présents, jerai de tout de respmt,. te nGuénatton et detendresse, qu'elle (noirs psut.01ee par fran-chir la distance qui sépara sa rata de la
Il avait presque, un sanglot dans la voixn Prononcent cas derniers iots; mais
bientôt l'mahnct cmel reprit le dessus.- Oui, coi, s'écria-t-il doue soin terri-
ble ; qû elle masse I Il n'y aura pour elleque deux stternativve, ni épouser ou mou-rir ' Ciel écrit !
Tends que le tigre rugissait en haut, lelion prisonnier gémisexit en bas.
An fond du .silo noir qui loi servait decachot, Sucéphore Balendrin, le Tueur deohmc.ls, répétait 0.
soupirant
- Je vais mourir loin d'elle, et nule ono loi dira ll
corne m ferra ait teeque eet
dede-
cmeut ! Je vais mourir, et pas mêmeeou'ad.ne parole, pas même OU , pas
mémo .n regard de cet auge doucirateei agonie. B61as! ee ao fendra
dum ulnment, ne fùt-ca ya'uee minute, dupp
re chasseur qui, du fond de sou iii-' lament et de sou obscurité, osa lever sa
pansée, jusqu'à elle, si borne, si douce ets belle, comme on lève les yeux vers lesétoiles de Dieu !
Un bruit soudain l'interrompit.On soulevait la porte de biauehagas qui
fermait 1a priaon-Uer bouffée d'air froid lui fouille le vi-
sage.ldn mémo temps une voix rade, celle
du chanuo do Sidf-Ilare,bi lai crin
- Lros-toi, chic.,
- Comment le pourrais-je ? répondit leTueur de chacals qui, m, présence de
rappela toute sa placidité. Les cor-des dont m m'as 11-16 comme un vraisaacieeon d'Arles etc coupent bras etjam-bo.. Impossible de rn' soir de remuer
à de ire lever, Doncet, plus farte ralsomCl'a.m ie si
juste,veux, vairs00 . Allons,
vous
xutrce'ere,, aaj
"ta-t-icanail
leen S
cli s oUr Alloua,ntà
don. Bolides gaillards qui'uoocrôle
empa-gnaient, empvignezmai ce drôle et his-
eLees
de..ena Arabes santérent dans le silo,
risque d'écraser le peismr.ier, et le
eoulevaut, ils le jetèrent hors du trou,
ris plue de filou que s'il se fiât agi d'unebête morte.
Nicéphore en sentit meurtri par le ebac,..il il ue poussa pas uue plainte.
Il conseutart àmourir
puisque telleétait la destinée et que tout moyen d'é-chapper à la mort let était ravi' mais ilculait de moi.' périr eu brave et rester
ferme devant sec bourres.. jusqu'à lademiére heure,
Le Tueur de chacals s'es vlot rouler 0--pieds de Sidi-llauribi.
dente, mLe cheik, armé ,jusqu'aux en-toit son mrillooe barrai d'air. Uue cru-ruine d'Iladjoutes, également tout héris-sée d'armes, également à cheval, l'escor-taient, prêts à fendra l'espace et à faire
t da maître.ler la poudre cornu maCulot-ni fit
par
signe av chaos.En ou clin-d'mil Nieépàueo Baicetnin
fut hissé et ficelé sur un cheval .eue selle,qu'un ses Arabes tenait en laisse,
Cocr fait, le obeik cria- En avant !La petite troupe, enveloppant Sidi-Dar-
ribi et Nicéphorn Balendrin, Pla commen trait dons la direction de l'orient.
Ira hommes et les eheees ea clarté douce ;1. silence était profond, rira n'en troo-btait la scleun8é, 'mon le galop cadenc6
des chevaux, quieffleuraient
à peine losol.
0. marcha ainsi l'espace d'une domi-heure.
finis sur un nou vel ordre de Sidr llar-ribi, les chevaux lancés à toute bride,
rrétéecut court, comma par enchonte-ma
t.Oa avait atteint 1, bord de la Chiffes
cest d'dire l'eatrômc limite du royaumearabe, l'autre rive étant terre deunalse.
- C'est ici le heu de supplice, dit le
cheik,
Par unreffimoommt
Ion de cruauté, sol.Harribi voulait qae son ennemi ezpieàt en
de son paye, c'ea4à'diee à deux pasde la liberté.
Le charme et ses aides mireut pied àterre.
Les cavaliers ambre formèrent le cer-cla
On es trouvait sous aie sorte de mame-loi ou pdvtdt de coteau dont 1. pente aine.fléchissait vers lo fleuve.
Le sol était aride; il n'y croissait ni ai-buste ut brin d'herbe. 0,, out dit un coindu Sahara égaré dans le 'Tell.
Les chevaux enfo. aient à demi doué0ris poussière fine et noirâtre resseroblan4pesequo à de
1.
cendre.
- Creusez lu sable, ordonna le cheik.Et tandis que deux Arabes codeutaient
dans le sol mouvant none ezexvatfon -dede quelques pieds de profondeur, asseaemhlable à un puisa, le chaouc dépouil.
lait Nicéphore de ses vêtements.h ilcLa miel! demandé laUn
des servfteure décrocha l la selled'un des chevaux une autre de cuir dénotemrément gonflée par le produit savoureuxtoc xhoillce.La nuit était tiède et parfumée ; la brise
qui soufflait de oued mêlait de fruit hee ; - Ru o° on frotte le roumi de la têtédan mormarines senteurs balsu au pieds, Sidi-Barribi .
miquea des pieutes ;lala loue versait sur j Nieéphora Belendrin, qui suivait 4,11a
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
aux ressources spéciales de 1 1 de 1836 I11 e do lai de 18'7. L t t d
reont étru
c commua et évidemment 1 j I d . dt 1 tta ion a euel cipa t n00000 sels I p I :. t 1 1 t. 1
met, eu D 1 la y t de t et,
à
f é 1 t l,(article 2, ell pat f ont t b t 1 h p d t ll 0ton Suivant l'rue b- s t l trouvé d t 1,511,51,1 { l'ont-degré de pé et e L r po tance n t 1 , câble, ce qui of ie de puera
,émotion é. e ts.de leurs sen Lacs I
ra fade ,,es 1 éI t d -fib _____d sera tenu compte, a ces c d
i.;d:ïk . AFOII1M DE TOULOUBlttoua les centmos extraorrhua a cté,.'me des ..il soi autmneés parla loi du Directeur, M. D
241 'll=t1867. ne. b I,ay.=ar
Il , te ta", lac ie ics 1 1 0et taraordroaires i q 1- a t ç i +té dus le é bt(l' nt 4&1 o +lbil
a 1 l e x Lun ers n leurs ,,,,it,il g il. n. . e,7.,1 3 von F L
I ldP st), Ilo. H oIt, tresf,tt
on delror6n
td'S
rc. ooroen créé". pur levMidi 0- 7"0 2 .il p.... F.
faible."ils municipaux, tels ,lac journées de e,;,, U»,7,',0 1 - voilé - N N_O.tIrail, fonrmtura de matériaux, ahan faihle.
dons de tarrai e, soaseriptions en argent.Le barddrùtte, avoir ouatine", dePartout o
la'la' habitant, de, ne,rnl ua après
antoncequ do cette nature, quelque Il 1
t pondant sa it b aso
légè"m'htforme que' t 1 ogeuts voyers ,eues d 1 ce Ir.u 22 B
murale épi
do *l'évaluer en t , t la quotité ',a'. oui, hâla dt 22 da I at 6 L estprise en'o dé t
s
1 r 1 (aa par et.Suez humide.
ment, eom, c 11d 'S
crut s p pe Température moyenne de la fournéement dits. Il a paru équitable, coi effet, 'hier 13u, 1.
do tenir grau' compte de ces eacrifioespeu' la ctrenigne lsasle et font ir qui pr rèdr,
oloutaaes dans les c n qui ont A puins,irreleurs 'adieu es e
s
xtrxordmau engagésduos dastres do ,
qui,
alors mb-qu'elles
ont
tc0 'e
o la dpo fai-hué, n'y tro t q
,dot trrop0m-
blc pour serf t et1.
1
be. C'en` sortent t d cessituatlo.. ri I i d d aSollicitude q I I'' IQ tiqué
moi, ne d b 'pales I dos'tnbutmn de b d é l db'rire et l é t 1 neLIS
mmmut'. t b 1 ff .. cc11- q tIraplus d(,Shé,itôII, an oie. o t e tr la, d c tact des Prends a 1, ,ailesd ,,lanoline dit directement,soit par l'mt user I e déportementsq m coudront a,,, de cette faculté,
ta n a damna )
14. le général comte de Goyuur séna-teeu, c m andant le or corps d'armée,rentré Candi soir do ll,arrita, passer. de
di, à hua heures du matin, surI sillé'll Louis Napoléon, la revue desinsole, d
Ingmnson do 'l'eulones, et
distribue,.ides déceratious et médeilireaucordees pur l'Empereur.
àl le général de Lartig sp.ut..3_ é l d tir, est arrivé hisr à fou ousu,il
lit dansa',
u do Midi
Un assure dit J -and, que des cou-r 0 militaires très itéressantes sontfaille h
-'l 'o'semaine eu ministère de la
g erre, sous la présidence du général dedivision direct ur de dépit.
U éieires'état mnj f .,t instruiteson
-t h g g d t t des I f ,.ai-
tacue rpé ' I t s'sa iuq ittera, dit on,
grand talent.Ilparait quo, jusqu'i présent, cas eau-
férrocs ont porté aur Ie, invertie. .ce-vollos qui peuvent huit. sur l'art de la
re. Ainsi,l'emploi deer
lavoie
ferréecomlie agent -advint, celui dI, trac s-
on par le fil éleetriquo, et an si leballon captif pour les ,.ou issances!,,,a de portée de l'ennemi, sont des sujetstraités de préférenee,j.sgn'à c ment,dans lev eonférences du il'pdt rie la guerre.
Le sorvicr de la télégraphia militaire,
onfié jusqu'à présaIl aux officiers ducorps
crurd'étaumajmo, par les soins desquels
rait été prientiv= ont .,go.ent d'0tre donc é au g6mo et passe
onplétement dans les attr[buitious denette arme.
Il parait, du reste, qua les eapérioneosfaites au camp de Chdlons, tout cri don-,ant des résultutu avm,togeax, Saut loin
i'acore
d'irtro concluantes. Cet art do latélégraphie, dans son application à laguerre, est encore, il faut bien le recou-naitre, à l'état d'enl'enee1 mais grâce auxétudes sérieuses qui sont faites chaquejour avec le plus grand soin, on pause que
M. le docteur Cabanes nous adresse lalettre Suivante :
(rse J,,IA é le ï .club,, 1358[ 18 I ll i 1868, Sté I Emperoui des
D l( Ei t t. 6m t aa u qi jl i,nseils d' r ds
I 3 I d I d éo lt*la s
.le 1 JI M14 1 S prof t pvoit 1 . la t rmptd o
t l éf brut 1 odfi 1 1
bon pl oije
pposa qr I spect ons profondément
pdéc rt soc.é
Napoléon.lin conséquence, je devais m'attendre à
ie lettre de coueuettio.. A mou
grandétnieement jr rai vu arev quele garde eI evupétre, qui m' prié, de Il,SI art de M. le Sons-préfet de St Girons,
p r m. signature sur les états deE,
-linon,
entre les Commnees, des eoa.t h t
directes. Cesétais doivent erra
té 1 I s e b d Conseil réunis,""i..?oimoiu ni me collént_s deai,
lseeoudis_cment 'ayant été eu oqués,j'ai ,doué de donner rue signature decomplarsarc
Aujourd'hui, I diqui lu s
0elle ep t
avoir1
`doterrtem,nt an acte de S. Majesté 1 Lmles sur,
intervient vue déhba.r t elleSel dehoprise hora diaeinne éouit citpintant, ait plco
faveurtt"al
tiliesen ont un ,ait liouoré d'un ner-décret impérial.
Il cal, dit-on vn remède à tond les maux;A mon, le seul afrcace contre les Ille
4 lit st 1. Palliera je me bats debirr a 1'adnuoistratori départementale.
D' CauaNns,
Memlrs du Conseil d'erreudissencenl.
On I[t duos l'Oeèan, de Brest ia Un torsedie dent les effets ont été
terribles, a 6claté vendredi vsheures du ,Si,, duos une maison situéeprés Poetulésen.
» Cotte r tenu,élevée
d'un r Z-rle-ehauseèe et d'un sont étage, était bahitéepar n uf persmnes M. l,0 Conte, l,ibri-caut de fromages; sa femme, ai-dovzut
Cerne'; le gendre da cette der-nière,
venommé Le Gendre; as femme,
Louise Corne,, âgée de dix-huit ans, etleur enfant (dix met.); n., Cillons,ilIra
ce, fille cadette de Mme Le Conte,àgée ,le sept ans et demi. Un juedioier etdeus bonnes servaient ces deux famillesqui jouissaient d'une douce .,saune etd'nua eou,idéestion méritée.
» A. tex-de-chaussée couchaient, dans 1 liques :
col anxieux les mouvements de see anne-mis, sentit ses cheveux eu hérisser sur satôle. Un mi d'horreur expira dan. sa
goIll ".ait de comprendre enfin l'effrya-Lis S. pplice que lui recevait le chefar
Hélas! ce n'était point la mort des bra-ou d'a criminels :une balla trov..t
la poitrine, Su coup de yatagan abattantla tête, uns
cordeen poil de chameau
lient li ggorge fit fermant le passage à l'air,c'est.à-dfre à la vie.
Non, rien de m!Le chetl: des R'a'joutes venait d'i.vea
ter,pour,
savourer 1. vengeance, des raf-finements plie sauvages.
Il allait livrer le Roumi, piste et potugsliés, incapable de S. défendre et de se
es des insectes.
litpour enoit rrdavantage les mouches,Ira sauterelles et tee ac. pions à fondre euecette proie humaine, il leur pimentent erégal
S.endaisant de miel le corps de .S.
ennmi.Le Tueur de chacals, de.. Sa aulne.
e mouvement de désespoir, essaya debriser se. liens, pour fuir, pour résister,
pour fondre sure', loches qui regardaientfaim S. ricanant, qui raillaient froidement
l'a maux qu'il allait endurer.Mais los cordes étaient solides. Le charme
était .. habile b..,,,I..Les chaire boursouflées crièrent sous la
dessertes de poil traceront mmpreeaitln ot
jumb sanglant entour, dos poignets et desm du mnrlamII.a beeI,e puits achevé, ou plutôt la tomba,r c'était bien une tombe que les Arabes
,reusaiein, et, chose épouvantable à dire,nnetum pnn n Ôtes vivant NSolPhure
1ele y fit d buOn le maintint
debout.
I!}j
DaE
. 4
c Les Arabes rejetèrent lo sable autour do 1lui et ,omblèeent b o trou jusque l'orifim.Lé baseur 44e dhaadls nu trouva biearnt 1enterré jusqu'aux épaules; sa tête revue
la
émergeait, comme vue effrayante anneois-sa s, do au sel désert et na.
Il essaya de crier, craie le sable qui l'op-pressait aeeètait sa voix dans eu poitrine ;sa douleur .e s'exhalait que ppar de 1. ,a-talitre
oovtraetioee des maselee de la face.S'alèvres pleuraient.
Hagards, démesurés, eangluete,sesycax
qui reulaieut dans leur orbite demandaientgrfice.
Un bourdonnement confus battait au-tour de eus tempes et lui donnait le ver-tige, su vertige voisin de la folie.
Et pourtant son ocrvean aeneeeeaittoutesa lucidité.
Il comprenait son supplice, il en entre-oyait l'horreur, il supputait les longues
heures d'agonie qu'illui faudrait subir, ilcomptait''avou'e, ,an à une, les inmm-brablesnrorsucesgooles Inscrire fer îlotdans su chair, et rien, rien port ee déli-
mourir sur l'heure n'im-eu pdurpurte par qui, n'importe sommment 1 RienSeulue des ennemis impitoyables qao riaient
de nos d'insulte et qui ve aient à tourde rôle l'tnsdlter et lut cracher au visage.
A deux pas, le "'Il, enfonça duos lesable an poteau portant cette inscription
m raelèerr arabes.o Justice du puissant cheik Sidi-Har-ribi. o
Ces quelques mats suffisaient pour fer-mer le 'mur des passants à toute velléitéde campns:...
- Et maintenant, bel munir e dit lacheik en ricanant, je vais chercher taLancée a l'ha urh rie son pore. Mais sala
r ville tv Inonnes ]a saluer an pu. ,lieuiSi les mouches te F,étant vie tan je
"jolie voie par elle-.ô.. commente soieqme venger.
VIII
r,'a,,lQra
Rien ne transparut sucore dans la Mi
des chambres p 6 I trois domo:quos 1 I races, I malt- ocrapai
r ours enlaidit lé ttrione.Co. f e jour-
nés 6 o t son p y td hI L,d'un p t l SlIIIIIII,
L i f t Ilé I t td, a s qu slle ont réna a ont o imcqui soufhait .1-,!"i,.". Cét t le geai I-
artdesllam, I tan vde l'escalier eu b duquel trouvai t o n
as de tag ots t de jours dh ldosé,hbes da, I l l 1 feu avait pua.Dff-ay6d, ,1[o .ll on lani, ,III,
1t
p It 1 Il n"Pit ',p t t -u t 1 flammes 'ra'it iupt
1 te ontI t I
scl-rl s cI
Ef t fS lu fée d t1
F 1 é t l t ( ta Lemme t 1 petite Clai r nce, et, lev
sent par la bras, il emmat .,au ellescra la fend re, prés de laquelle eo trouvait
o pé 11 11 té ttl trois p j. l, 1 p. d l[ 1Ii p tI t1 t
1 1 fi t é purat,a 1, ait t. fat. Le Centecourant d1
tomba en avant par la fouette, so centraviolemment dans aa chut, et ,le-.auraétourd le sol, t I qui si
femme et sa f 'il , pro! nbl . eut a,-, lryxiées à l'i il ,tour L témh i utdans la chomh u,.1,0 olt psr druemort affreuse.
U I. lI I t domestirnes-6 Ilé 1 é t Esdel'oeore
dp
a v. e lt muuts par list ér s [u ne I -clamsait
» tiens. pue' t l pendant a. moup,d 6 o Le U 1
ig-au eue solL, p tl
i danshl p é
Piaulai 'I té {l6 p l. dla émer il était p do succombe, I let que déjà sa t osa -font tprdu o
nainsavaemine
Toujours t il 'Iet nté d'enlever sa fuinma rogne, ., panont y parvenir, ml a eu la force d'aller h
la croisée, de l'ouvrir et de an précipiter
hors de cette femraise.n Malgré la proximité d, l c 1
l'onleoéaen et l'ardeur avec laquelle ,ulsoldats de l'iofauterie de m i tportés carie liea du sinistre, rien l'a P.
o'tr sauvé.
O atro, é d , les d, libres l'ad o carbonisé. dos e a-
Emes. Au d lal-
t la-sa 'o Le Gante, I ont -qe e-,st tombé
entsa
a nota Plu. tc
Homo.06 sa
se teoav td lue l'endroitde Al- Le Ge plu' ai e t e f
ott cpd duot
l mplaoegent du I tb 0 p lise ln, .eetm euneF était t d q -lgnee mors.Le
j 1 t L deux caries out, aut
e l d4qel d ell , qui d E ma.
Iq pinta t 1
é d 100,,,il,"
qu'onI I dons 1 décombres, ainsi queI 'l
i t t lot ) I.peceao0t été, Mon, rtrouveee L'epauJules, les nouons et lis bijoux dos deuxménagea ue sont fondus.
u 0. me forait dlll1ollemmt nue liée dudésespoir dos époux .arrivants qui dot vupérir dors cet nmonx smmtrc loin, enfantaet le, compagnes auxqualies ne portaientla plus vive off ctioo.
a M. Le Canto, saris avoir des blesserassérieuses apparentes, cet très gravementaontnsionoé,
v L, nommé Qu6inoee, pompier de lae chargé la dépét d, pompas de
Pont nbare, a du peob[eme.t lotira 1.solidité de s n 'iHa', sur lequel .,aiCnormn pierre est tomhlo. e
Ou lit dans le Journal de Rome du 30eeptombre ,Lettre apostolique de no(rn Teée.Sniue.
Père Pie, pur fa divin, Providence, cari.' me Pape dru nom, a roue les protes
(... en les antres non
enlholiques.
Pte, souvmuio penlifa,neaviémedu noie,à tous les pretestans st autre, non eatho.
éjà tous savoir que nous
d té été CI é
choi'o 3 I et, p E
p él é
p b t t th I l .,
d q él
I ei .td d e 9a
n5ne Notent. i g ) é
pp t d pP 1 p 1
ton,I,
E abl frères et éq s do tact rut de I
a" icl'.é.lue j tèe lob(1I 1 tl t q c
viii é blsf SIpl( p d pr II rl p l
boules l L l t les,
pi p ttant p dil l'a Ples
ténèbres d 1 1d c,-Il, SiltltII riét de1 et ton, lustres,
S i t le
1 . 911 t
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e tf tous 1 j d ",a' on,JuscI 1 pi ef(os.
s vi;,,laus,lees
e
chrétiens &de la vraie foi
1113 Ildd la justice et de la paix véritahle de
Dieu.Nous reposant dent avec ..f c
fiance dans 1, pac!a ii u t étroit etn"s re t qui
relie
lie à non pmoines v6nÉli uq a noat c
é
porto
n = f qui . -1 jamais ,rosé, eaan-tempod dire pontificat , de donners et à os môme siège aposehque lus
lémoigoagoe lus plus telulans de Fui, d'a-rt de respect; nous ,les bien l'es
16 er gae,d qu'il er ééd sles s'è,la passés ponr les autr ouchesgénéraux, de meure, dan. ce l ¢ 1lceégep ou qé
data v Y dote la gan, d .[asf its 1 Il b e et 1 pl fé dru , a,
I 11 dgloire
dLion
e lel té Ida ho h éq
J t sent 1 L tér p p I I té de N t y
lq al éd -Il a'
'Savons Il 'Ilp.d l parole t,iq l
I.I.tan
à t o
,ai,t mt
t le mé liera Christ c me ré-l'il
a pt u et S. glonfient du .om dehrvue e, n professait point cependant
la foi ,,,utable du Christ et ne .uiv nqp t 1 n do '1'U gl tholt-:} Lt 1 P t t tp.or les avertir, 1
st
etle
ç
plitout autre et t Cou e notre
h té de voulu bien a dérar etesa-t 1 ivent bien la
prescrite par le mme S,; .JésusCuise, et ,Si
craintéans1 t ét 1
Prso une, on effort, vo pont '.ilai do.lorque J6 Ch iat lai méme, pour appliquer- t t l gé L t h I: L
'tous ^,a"
d , él pt .'ait ti lé l rP E ,IIp,,sI il
d 11. I t 1 1
lu t p t l'1 t 1 d o forél i vu entant lplu, que]é Ut 1
Pla fut son rué e.et nI
tact t que la méme,foi fat tir remise atous lao peuplés, à toutou les renies ettàtouteslea uanons, de telle sot q a
les hommes p il, se réunis dors ,a,,
tué, et a voulu mettre ce aistenen ;
qu'elles ne 1caue t a pias, eraniéro étre oou_i térees rr
naonm" 00mombr, at coin e p, r cuitedie Uglise, des 1 q I s b ,,élu
. soloes visiblement d 1 a F ds l9Co,nmo
cas
e étC t a 0 ;n etlao, de cette autorité vivant élis
par Dmu, qui enseigne avant tout auxhommes les choses de la foi et la ,sels desminera, qui les dirige et présidetons aux choses qui n-t t l l téternel, an,...C] ers étés elles
ont varié constamment dans leurfi et-ese, et cotte toubilité, oent' mestabi
lité n'ont jamais do terme pour, elle,.CI end Facilement et ,lit .et
to t et é demaa it que net état esttout a fait opposé à celui de l'Egbae étu-die par le Christ, notre Seig.car, église
6rrté doit aster toujourssans laquelle v jstable sans
ereu
re sujette à aucun 01]'dnge'Suormt'
'I mm'un dopée le
se
..né àdrue
toute son intégrité, dépôt pour la gardeduquel ia présence de l ptait
'Soi etet
ors dutété promisèà pe,p6tarto à cettette
L I p so e 'ignora, eu cuti, quedurs s t iv ts de doctrine et d'opinionces
donnent rimissincon id'S
schismes sociaux,et q de 1 dé oule l'origine de comme
set de sectes iii mbrables qui sepropagent davantage de four en four aa
nent de la roc ét6 chrétienne et delétrm1. a,cièté civile.
Quioongve, ou effet, reconnut la relidieu pour fond'meutde la eoa 6t6 humaine,
eluser 'admettre t d1117o it xorce t sur la c é é ci-vite des d r t e désaccords de pin.alpes de v lt nature E 5t s I
g lit Ion (nti 1 Soir-
et d ,locus f la é t d.mai1 té et abl' p ll 6 1 1.c t i tllg. l
Fi',3 1. rla i4. 171
'I'l. i. vIo '-ihlapotée, sexe te, u -"""P" t f ocrent"
éas troubles tc Ih âl
menu et des et be ta bat qagitent et qui laid t p qua taus lev
peuples d'un¢ manière déploeahlqEn conséquenoe, que tous
Il aipossèdent point l'uoiité et la v6 'to de 1 h-bl eh I qre ( t 1 g t ép. LXI,I CC%%III) t 1 o, k,sit U p' dans q 11:
glill ramé I q laqueitc tleur. ancft s t ee o'p'.1, ,on té mime, d vigueur et der= tg b qI lé t
6 del e tq I t I taux
i han à cet 0Ent dans 1 ciel ils .epeu ont 6ti r. assuré, de loue seins.
Qu'ils u ie s ci t sans er=se à Dieu halterréL,va l-spe: t t- 1 e gril ,a.-
,,,,,,
I d i T Pour gül disl té éb d 1 et e''lb"ru
d 1, Ilin d I["nain sainte,d'oh 1. rocrètlos .ni reçu 1 'ah -ners,
t ,,doloire de la vie t lin souedons sua tég t 1 doctiiee de
Jesue Christ, I t t
et
dispense les
myatéres de la g aile lé,cste.r d dplus
g d I
toute.1 t
_ut ions
b l , . t d [ 1 t é.eue oL p o u{ p
'0m p l CI Y
zS,. l
et l d vo l r toc:. 1..
r 1 cris da autre chmii p elless adre'as... colin lettre à tous les obré-
tiens aépm6s de nous, lettre par laquelle"'as
ous
exhortons et lesSIp 'tous S' .ahàtor do nevamc au bernait unique du
Christ.Car eus désirons de tout notre rond
Jour salut en Jésus-Christ, et rions orai-goon, d'avoir no joor à ,cadre compta deleu, ocres à ce mémo Jésus-Christ, autrejuge, si nous ne leur montrons et no leur
autant qu'il est eu nous la voieq u'il l'ont su re pour arriver a. salut.Auséi, dava toutes nos prières et nos sup-plications, nous ne oessoes jamais, au nu-,eu de nos actions de grâces, de accru-
de, humblement pour cnx, et le jour ot laait, les lumières célestes et l'abondante
des gràcea au l'aetmr éternel des âmes;et attendu que, malgré notre indignité,
uomplisss aur la terre les furetions
I
1, violon du Christ, nous attendons lusbras ouverts, le retour de ces fils égarés
i'vara l'église catholique, afin de pouvoi
]ea recevoir avec lente alfeetion, dons la,' art
de ace trésors u ép bldemeure du Pére céleste et lou",i'
lath Ira{ueà la
est dmu
que dlpeod 000 I t le saint danmm, ..tee dl,g6rsu
1 Il' et
hacnu en panne l' 1 1 I -
o
cétéahrais.net t t
et
d,
en lors,
il
"Il," SIu seulne sanrei
mvoue b puce
E t bl f 1
sordp ont
no.mo Il -11
pa t ur. ba t nluire, le 1.1
Donné à 1w_il lo
23 de une pontui-sepcrodnu lois, lai
cat.Le p p. met t I t ho té I
'ie que lai donnent lo fut" caraoc im6nigne, gdil on prend pas .,elle
récréatmns ondinOo croit à Rom I 1 Raille v artori-e P. au. é
ux
tl t s à prendre
pat ru. d le,su.(Jouir. de Parus.) A. Yla.quette.
4 h4sagae.Madrid, 2oetobro 1£69.
Vomi sur la bataille IPAl I des ers-eignements fournis par deaat nor$s cou
laines :Le 27 septembdSe crié a peu
de diataum da il o à ,,.,.,ihos sa qualité d ,e t c itaen
,
ItlAysda, afinde fuir nue su;,r,m: t'aloi-de co -gar ion L g é l l og p icé à
l'avantt-garde
de 1 é. y t t-, t é.
nérai, I,',ntrer ne entre M. A ela elle gé-d b i
ale dépt 1 t o i t
t Pt 1 1 A I
in
,
,hrt a melu ,projetsn,.,5éaetoa-an l, ,I
t l N
t t t I ' 1
q,, 1 IG I 1 g,
d t e
cuit
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le ci,dux d 1u
Gq. gn 1
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'a',',"",',"",',
le é ho l S-
t d t 00e gqa t lii as,
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A peine était il parti,d que No, co ld d
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foudo n loi olyranu la itberué on du aéce dans l'armée névo'otionnoee ; le lei-
aa t'en et l'u.tre, lieu d ine-rfus doux hou s, ba divi u
Salaza fil un ou n ont coucentrigte etplein de fougue, que I, corps de N vali-ehessoutint résolument. mas sans sucés;osr il'lot s rpli a,^ hâte eaMontorolais t le général Galner entre les niai..
deson
libéraux.i . tombalePendant co timpa , dvan
amine" r foin" e champ de ha-taille, ot prosul ne tenu s' termimuent parle triompha des t,,,,,,,,,", tricet. lriafi n,cru quatre heures du .,r,Ics briecdsa
Salasar et Alamiros réussiront à capturer
pagnieu de chan"c"re de Madrid,
pin
omaura
oldeiers générauxetan
duo na,sa.Le général Novallohes eut àc
emportée par un boulet ; le général Eurtortue recut une halle an genou.
Plusteârs libéraux qui n'appartenaient
pas à l'armée avaient prie .ne part activa
op }tq p l baptême, et r( q
t da 11 e t .ire v nouvelle dela g àm sans 1 g lie personne .e peutlamera ni mériter moutons 1. vie Cor
nulle, de telle sorte aussi que cette muée'Psgliao qui constitue son corps mystiquee,'u i ji uagda la en,isummatioa dru soldes,ferme, inébranlable dans sa propretttutiun, so développât avec '""a', ectfournit à ses enfsats toue les secours né.noce vires pour bons salut.
Maintenant quiconque veut bien eoaérer et examiner avec attention les con-ditions d'existence dos diverses sociétés re-ligieuses, divisées autre alias et séparésdo FEgbse catholique, laquelle dopais leSeig.our Jésus-Christ et ses apétree, atoojouo exercé anus interrapttonet exerce
re, par l'intermédiaire de ses paetourslégitimas, la puissance qui lai a été con-fiée pur le Seigneur jus-méme, quiconque,disons'nous, so lierons à cul examen, de-
are facilement que nt l'unegnelcongne de ces société, religieuses enpartmalier, ni tontes ces sociétés réuniesn onstituant nt n" sont an aucun ma-i6re rcete l'sglise nue et veille. qas Sac le
Seigneur Jésus-Christ a édifiée, u consti-
tidja de le future priee d'armes des Ara- dommage grade Ii jolie Pro priété Soit en-bes. fouie au Coud de l'Afrique! u .,.t-I11-
Il courait bien à travers la colonie une au milieu de notre bleu pays normand Iinquiétude vague et mal déduis, ou de ces elle vendrait ]o double et le triple.malaises ,ai précédent les grande orages, Les écus qu'il espérait entreser chaque
vis chacun croyait les Arabes domptés .nuée avec les produits du 1lumach de.-pour longtemps ntmeapables, en tors cea, soient dans son cerveau un car bandede porter la guerre aur le territoire fin- fsataatique qui chassait loinde lui lesom-
il .gais. maCotte ré curité devait étre fatale à toue.Mollirai. Robillard et S. famille paria-
goulot l'illusion cononano.L'haouc6, .n. fois la nuit senne, avait
éte fariné et barricadé comme de cottinie;on avait liché les chiens de garda à traversles mors : lue slougaie ahtcatne da»s laforme, et Yexoolleut terre-000ae qui ""cuitlefermiercommesonOmbre (lacs lapetite cour de la maison. Mais on oégli-gemtdepuislongtempsde pester m laterrasse le guetteur du ,,il qui, durantles premiers mois de l'exploitation, mon-lait la garde jusqu'au ion,.
Mathurin lioblllardS . _ce
perdu et ai, voulait pris tanguer inutile-mant, par une veille prolongée, es troiseeuls Prao pais à son aevme auxquels ilpût se m.ïer.
Le gars Nicolas ts.m avait oubliépas issait
.récentees. L'AL'A te l
nui apter
«paraissait maintenant aime
u.n tout notre
JoAlesi se douchat il ce soir-là en faisant
les plus beaux novae et en combinant lesplus magnifiques peojet,.i
Il su noyait déà à 1. téta ils l'exploita-tion de son ocle.
holfoulée puait belle, ,ans douta, maisla otui l'accupait par-dessus tout c'était la.
.
qH su(ormpr t pcar la viugttéme fois an
uaa ripe dnl Muthvrin Robillardaqueait co rami d'hec Ir co que chaque
hectare renfermait de pieds d'arbres et eoquo chaque pied d'arbre pouvait produtro,bon air niai an.
- Ah! soupirait-il for instant, quel
- Oh ! tore riche ! 't'a riche 1 murmu-rait-il eu essayent de clore les paupières,quoi de plus beau !
Un hurlmnm,t terrible du terre-neuvefavori de sou mine le glaça tout à corpd'effroi.
li ouvrit Ira yeux test grands.
Illoi sembla o s'agiter due ambres
cour moreslaue; ilvs ]es arcades de la,rin1voulut appeler au sc .aie peur
d'attirer le danger surb
lui le ,miel.Le dard normand était prudent comme
pas ru,Darse la farine, aépar6, do la maison puela tares
ecrtto, les ,lo"g"is d'Afriquepoussent des aboiements furieux.
Naoles se. ,rut d'nhord le ,jouet d'unavclremae, mais lev aboiements réitérée
des chiera lui pro..êrant qu'il était com-plétement éveillé.
Lue braves vaut droit a danger et
l'envisagent face à face; les poltrons etles autruches canent l'éviter en fermant
C yeux d l'évidence et en sa voilant laé.
Nicolas fit comme les autruches et' ]espoltrons, il se blottit sous sa couverture etattendit.
de quelques mutes il hu-Au bonisaréa col et prêts l'oreille.L'sbuiemont
des chiens avait cessé.
- Allms ! j'étuis fou, se dit il.101 redevenu brave Isar l'abeenm de pé-
ril, il se leva sans bruit et alla ciller l'oeilv troillle qui fermait la porte de sa
chamh[,.Ht pauvre Ni-1.S!
Le Spectacle qu'il entrevit glaça de a..- C'était loi qui, nrimeaot lestement parve le sang de ses voire.
Une douzaine d'hommes o plutôt dedémons a'agita[ent co ailence dans la pe-tite cour : la Iuue les éclairait fautastique-
t.Sur le pavé gisait, dans une mare deg, le corps
deps
du fidèle terre-neuve percé
deur ehacgA le rougc, à leurs burnous,hia
Nicolas reconnut des Arabes.Ils
étaientlà une douzaine, armés jus-
gda.a dents et se partant à voix basse.Ld terre-neuve avait Clé tué en un clin
d'ail, ma sana se défendre, cdeux des assaillant, gisaient sur le sol,affreasemeut mutilés.
Afin de les empocher do donner l'éveilpar les cria que leur arrachait la douleur,leurs oomplieee Ics avaient bâillonnés. Làsa bornaient lears coins pour l'heure.
Une discussion assez aminée. agitait leone ans Arabes.-Finisses vite, dit le cliaouc de Sidi-
Harrihi, car c'était lui =a.' it la bu"-de. or martre attend Exémtoessee ordres : la jeune fille d'abord, vouspillerez ensuite.
Les Arabes grommelèrent- Toi, Iiaddour, reprit le chaoue, con-
duis-sous à In ,,humble de la joues fille.laddour était un des Arabes auxiliaires
employés à l'exploitation.Depuis deux a.. qu'il l'oecepait, le
martre Robtlla,il n'avait rien remorqué doSaspect en mt honnie. Av coctroird, il eo
onlrait empmss6, .eé,eau nt, dCveu6, Sibisa que le fermier l'avait élevé a
f..caon, de serviteur intime, an lui anafiait gros travaux du manage.
Raddéur connaissait tous les ceins et ]esrecoins do le maison.
Mais Inaddoar cachait l'âme d'un trltresous l'enveloppe d'un serviteur Zélé.
Il servait d'espim au'liai]: des Beni-Chaib, qu'il teaait eceupuleasementcornant de ce qui as passait duos l'haonch.
dessus la terrasse de la ue:mism, avaitles verrous intérieurs de la porte 01 intro-
duit l'ennemi dans la plane.Ce Judas afric,dii accomplit jusqu'en
bout son cuver ténébreuse; ,pris avoirtrahi son martre il livra sa matlresac enindiquant au char., 1. chambra de Lu-cette.
- C'est ici, dit-il aveu une compassionhypocrite, craie ne faites pas de mal à lajeune maltresse; elle est Si bonne.
- Silence! eu u a pas de mnoplu à te,cadre, dit le ebeaouc, qui l'écarta brusque-ment de 1. main.
LI chambre qu'occupait Lucane s, trou-vait presque au fonul Ils la cour, sur le côtéattenant à la filin, ; Nicolas, au coelrsi-se,
logeait prés de la porte d'enlré'.Le gars ..,.end i u dan-
ger que couraitm
00011,ir,en s périlsqui metacaimt son oncle I'1 ne pensa gdsle, yvpre ,,colonial
(
e
i-i1; Sif
.Il pouvais, aue beoim,me glisser à
traverala porte entrbvveeeo avant queces moricauds vi aient dé,ouvert I ,.or ilsvoue tout ravager ot massacre, Il mettraan pillags, pour sur. Une fois dehors,
dans lirÂ'lois,u.ttti,ds le ;ours etd'mare
ic, l'Afrique! je regagna en Norman-fli,ma boire Normandie, où l'on dort
tranquille et oie l'on di,'Pro en pair.
fiant l'action àla puole, le garsnormand s'habite à il, hâté, sc. munit deo. bâton foré et d'un eonteau qui se
trouva a sa portée, ct, ua ,v t l'ilutantou les Arabes lui t"n000entle des,
il se
glissa n0Stement vers la perte.tA peine rat-il mis le pied dehort, quel
voulut reculer; mais il n'était plus rompe.
Francis Tacon,
La otite et demain,)
L Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
à la bataille ; parmi ces volontaires, ci- On vient , o créer à M dl' d loitons MM Ayala, lent l'ai parlé au début i nalqui d'op f( la 7antaruc (la Luilerna).de ce récit Ramon S-son neve dual ;or, tel, col, Fe
mer Tortue lournal etot, et 8autres cc p°-ulré l'avisvivaitpana, de Madrid, a
en Les graves événements aorte vos lavesotsnuit venue Serrano, qui davàp`
ettatitlAht d eti,
u cee capae n empceceon-eu fuir avec l'armée royale, forte p er, pour le m v nteI, la publication doramée pourtant, assura sri
is
"ne°t °''- autre,jouruat. En temps utile nous indem-façon voir recevoir an ' é'esitione de
uià Pon serons nesirir ipteors de cette auspen-gân ql attendait p ,g mont l'atta- tee,
nfionta. Une partie d^ er le !nndemalu -moirer, et à sud fat omplo à On mis eue le Pelai'-Royal de Man
mi
e e
Kli,v er
tar ces m,rveille uw- dn1 nette iscn pri il. q. er y tsurev o eschef -Pp et eeg0ole 0omptatt 1848, s.r les mars dos Teu . Junu v sec eus l
mais dont les msmgés s'étaient err- stuer. Les rlvdlutieas ont le mcev.es.rér'il'iire sue qus narvaaaent au pouvor prit partout.
riss royaux.- La rédact ui de la protestation de la
Allever clin jour, les libéraux
alléreut re'..e.1t 1 oh p de batailleSzu Lueb,Sartoris) "et à M. Mon
omte doet trouvèrent) positions dearoyi,-,e.piétement abandonnées.... Novaliehes et - On lit dans le Gauloisson état-major avaient disparu. Rait tenta a Le prive. don Juan do Bourbon, qui
delà environ jonchaient la plaine ; les habitait Londres, vient d'avoir nue entre-blessés avaient été calculs, sno a en fils don Carlos que les Iégiti-risQ Lg ]erres plus tard, ¢p grand ratese gno appellent Charlestrva
b d of. ire
royaux i rrivbront a Oetto entrevue a Beau eudru
ut tuteur riescamp pour y faire loin, soumission ; ils fin membres do
nsei
l dont s'est entamé lel',ont -or issue ove L'ahtt. L0 sou môme, prétendant, et don Juan y a salué sou file
r-lsl'armé'-royale t lst l S tt diu, ea nosuiree ro.selle de en définit` t I t le lents- n Don Carlos n'est dette pas on Espagne,
m à Madrid t da t aloi i p ee les mme quelques journana l'ont prétenduévénements q l v fie rai ,ré rot tona s derniers. »
) ar(Gironde.A. Robert. L 11 que ,bleus 1. G.ahis oseLa lelesa laquelle r sur o bé
a e, dit la Gazette de France.le maéchal N l' -il homb u. Le lit dans l'Jrurae Rat du 4 0o-1 était n
:
Ounxalhnuremx défenseur ae la reine a e; robredette lu uttolo ira 'Portés; ;Une loi ers Le bénéral Seremm e mis à la disposetait q ic le nea et lus veux intacts, viole du comte de Cirgeute ce casino capo.
- Dh le récit du cemhzt d'llcnlea é n°rit° h ces .il d ne voudrait pas.e nibhén
Prancc par Madrid. Le comteq.e pu l'Jnddpendance Gclge, c'est par de Girgnnh était, avant-hiar, à Audulaz.ga suhral ero de Rodas quo le mac--On lit deus vn oorea laves deit ces N
vuliehovaliehes aurait été frappé mor_ panto
l ci : M d d dressée à l'lndependance hetye0 ss e - dit le correspondant du I junte dn Csdix a cha,sü do Puerto
,,II I I Ige, que te généeu Cuba. routa M Pis }Serviles qui s'y tron-lere de Ltodas, en apercevant de loin le let, et ordonné la fermeture de leurgénéral Novaliehes, a piqué des doux et, maison.
rivé à quelque il statea, lui aurait ea.eé, e Pareille mesure va êtes prise crintudrue coup de pistolet, la partie droite de tous les couvents do moines .écemoi t]a mâchoire. ;> créés dans diverses provinces.
,.a un- eu' c éam 1 et rétablit., I l r f
r.
L C tt, d P # d publi 1 1 é "f! él d' ée p_ necooart, tIl 'c .rlmtin,,oventeriels Joute lreoisoieeté- t eh Iu,on
lisaile .
ilvolahonum re: 'f 9
nu' 1 a ehevey.o r'villesi à
-liona madrilènes,
1 1 .e tordre àtu
a L. he Aidéepar tee '.tell gevto ,dupera- nffragaute et aux curés des pa e dsp,sien ontao, mirbn
part p t t 11' pr réels pour l'ex raine et sa
q¢es, la dont' <v h t on, e ,,i, famille »n'oneut a ruche de remplir ex difficile Une lettre de. Barcelo0e du 1 octobre ,
sort l'ordre celte teno- adresstc au Messnyer du Midi, a noncegoilité qui rèë>ocut à Madrid depuis que y.0 le ertrnit du l'ove a été bridé, et
secondé, avec or snthonsiasme quan â décrété l'expaiaion des jüauitos.iidiaibie le cri de liberté et de rréé,gnen-tiou proféré à Cadix pur l'armée et fia ma- - Ou lit d;.ms ta Presteri e. heloued'hui que la révolution ,ou- ,a révtl selon nspag- e d a tente de pro-
nmée par lactuile du trhnedesBoueboes céder, nomme celle da 93 env!
pardomine lima toute l'Espagne, le moment la supproeeitu ou l'expulsion riss ordre:est venu de eélébror eethevreux événement eeligieua. L'une des communautés epar .or £éteoivique dont le principal orne. pagnoles eut d'arqué e dans la ville rte
r,e t'allégrer e pc eulxi Bourges ver mrrein d'une étendue coiinluvDans le vestibule te valais do Cortes, roll', du côté dn petit sbire e Baiut-ronbldd lé d !%éltit d SS C élmu eea netu peuple.esn enacr,eu , pourev,
s tro -a,jourd'hui réunis médintemsuit une série de re.......ions111pi l défié u' 1 E t t llh Dbose ranere t ri p u y regmnxue memres11 e f t il t vina ter I d Lt luth en,, ut idüe de aho.
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t été i terre et s et l'année elle
"Il,",
dés l'eut I q 1 tri t offi ,L- l'arvdsi entrer, à la face de l'l:.rope et do mon- Se Inc Carlos contra tua chnsneos. L'asde, qu'ilt intéreeeés '
locale-
le eiI sympathique qu'ils ont oe destriomphe
sflot
ndroits relie duels reconquis Berruyers, comme militaires leur api»lissé
a ai grand pris, et les lib'shit p.bligxea p'u'er q.1ls le recevraient contins pierresda tous 'os et
toitgîtes. E. Brocs.assvrbee.tlvere
pp libéraux, ivre du proie, Iarlde-luttartise
r cepag orle doit se, montrer toojomeSera de l'enKagmnent A'hoacone qu'elle a
On lit dans la h'rancecontranth et éenejeura armée da sa suveo- Les nouvelles dLspagne continuant
rainette. Vivo on aud'rage unie sel! vd'dtrn assez insignifiantes.
min! vive l'armée! vivawla Cette attente continuelle de gévéravale ponplo souvera
e,irai
qui ne se pressent pas d u tout d'arriverSigné: Lev memhret do la Joute lave la capitale, ouvre le champ à toutes
révolutio,naire tee suppositions.,
Prnyramme de la fde, eieiyue pour elii IlCo qu'il Ey u de cerLninc'est que, hil-e,momnbref 1, lr ion pli 7 l gl r. A du, ég Î rtt f a \1 )t b e q { rfiea
ser1eclnote etfa frateruity de d mimes pr, lue te égeammus, p établ;saement d uv
» LA Junte révolutionnaire doimuisto n provisoire
undu avoir lion
eut a ordonné :goure - quegjourd'hui
n 1, Aujonrd'hni 3 octobre, partir deAIqui nistère
L Pspxgne n'e10 heures dv malin 1 nrovtmme. L'inpr encore uvestibul edu palais go-tué
daet. p,^ e. D'aès nue Stedu Conres se ra orné 8ares de mouesn et pérhé tée de 6ladnd, hier a r, lede fluxg rira v rt d'6en :n la échut Ser rait télgve
ries.' rVivn lu s,iuveraiaeté uationala! au généra;Perce etàdhon
SirvSalustiaene 2, Les troupes de toutes armes de la Olozaga pour
I
former
garnison
dit IA capitalra se rangeront en avec lui are gouvernement qui ...ait litbataille, la frite, a;i1 e y nt sur la fontaine lt tiii t' a à les munsns e r e-ie paysntade Neptune .t après -Il été po'sés' eue d l'4bleirin ; e.ss
tasen, tOuaotn
ue parle capitaine-général du district,lIc fit ne parait i s que es deux per-lieutannnt-général Antonio Ros de Olano, iuhtii nes s leur tels r és deelles riel leront, à une heure, ,lavant le rendre dxns lv capitale riz 115'epagne.palais du Congri's'
f uurt au Enéral F:s i'ermro il ,a fslin .i, Los ouvra et les chefs do districtj r le e -rliebal ano,
c leu Lhfror.cec s armée' dont lie dispos la ,nais il n'a rien fait eonu,iitre de sesre
t, aesiateroirt à la
Smrpro-
de servira
cérémonie etdEGleront, jets ulttrieurs.avec fumets,
u r ip 'pas vonn 4, La junte rév Intioevuiru de gea-
i1faotes ôtes ""."l Il9urla toutes ces i ertitut l'absence 1.
mt, rhume Sans le vestilnlcdo
°
palxiendu Congres, assistera uu défilé detout plain préalahlarnen arrêté par le
l'armée et des forces armées du le,chefs du mouvement.
et elle las saluera au nom do la ëévôlm 1
ouvvrsible que, remis peur evvvemerle e t de 1. reine, les géué-tion ». ainqueurs sont un ce m ,out lave
- La Gazette de A9adrvd publie une té-,an,nembarras est-,-a , se défiant sn s
rie de dispositions prises par Iajmrt0 pre- dente las uns des Antres et peu jaloux dev iemre, Telat cevuret à l ergs C de la c tel à Télé ti 1 I. r iveen,
n-l
force ramée dans les districts La préoccu- A I tell qi 1 ont, les,io.t,e eévolutie.-pnfou qui domino presque entiocemene haires locales sont doue ers ales seule
iepoaitrean , c'est le maintien de pouvoirs qui fonctionnent en"dl]'ore. P. Fodcré.
- 0, se demande quel a Vu erre la ni -Go lit dana le Journal de Paris :tilde lit retraite de M. Madoz, lu tend'- Lis arécbal Serrent a frit sire outramain fin jour où l'armée, fnitrenisant avec doue Madrid. Par la tombent certainesle peuple, défi lait devint le président de suppositions qui, on doit l'avouer, ne pa-lajuste ? ont pas dlpou :s de toute espùa
Il snmblo qua ries dissontimoots graves du lin voymE le chef In plmcet du s'élever entre l'ancien nhef du parti considérable de I'ermneenetiere retarder deprogrcasiste et gnclgnes-cns de ses c llé- joui' en jour nec soties doris !a eu;ntalogves répuhlicaivs. Ou bien, se voyant déjà de l'Eepamn- mi commenp:nil à eu duman-e,
etdépnavi par les Lvénement u'1. Mari z d 1 disco Ieieaéta;t pa d,ja glivil''désespérertit-iI de pou untcn r la ré- deus le comp des ennomp7intevra, et
siles
voLtmn d:ni 1 t travées par les retarde dont il s'agit u lent pat pournu,gé é ]antes et le parole l'u principal motif s düeie grill ceacerart leil. 'n
il' I 1 é; ,le t maréeuul de rester à la polo de son arméei Lo dtoneteur garde là dessaa la silence. afin Se te tronam prit a toutes lue éven-Pt dlp 1 qq E ,moin confirmer la tuahtés Il n'e. ét t parait ii, L'a,]l l le M \1 d oneéc dans la tord ri a pas c S le lé_,, ee, lusquà préG tte t i Me irrd, n cet pas plue exph_ sent, parmi lai vmnq.eurs Peut Lire y
te .,t ée*.rl, at11 leu en t I 11 .
t q t(Pro''o il Baver. in ms en quel
n,_ 1sd I( 1
- La 7,pot nca ld ctmn dujqou'mild
sethni
pi
veut trac suris par I. ='-génraa,,,,,.
prononcée. d cette c lance par leé l I Dans ces paroles, ancien pnéa -nour
d t de Selle t ble e p b tlait d t d pp t d on,
prl 11 h t tdyrépondre I;¢, par exempta, devoir parler do sir
dt>ë[r d'union et déclarer à ce `repos guis,s'il était ou pouvoir, il s'empresserait d'of-trih un pertnievella à M. B,eeco, éest-à-dipe au rhef actuel dos démocrates spa-griols. D'outre part, fit a annoncé qu'ilse, n
dirY d J mi deux dépéche h
espa Pot,
cmaishouwdused
o pluni lenmettra à la
ocra o3detentPrunt
en son propre nom,utu et des antres
sme
géréraax.
Malheonureus
e
ement il n'a p gé,ira en ga'Espaetero a fit rép d
uému s'il avmt eépor de. Quoiq l t,il dépend du ares duc de lu Victoire dejouer aujourd'hui, en Espagne, u ruile
anmlog.e è suivi qui a été jo en iverpar I. Fafate en 1830,
eu.épar DPrupori6
(del'Eurea) enyet1848.
Nous v se s(etrôle le tentera. Gercé.
-On lit dues la Presse:L. co t m 1T p te qui vientfi'étceviré minrstr d 1 p
Fient au parti un t pneu do lpar-
'UnionI l.des,
Il set né o¢ Andalousie en1820- Il se
Steu,to.tmmarqu 1 Il i. le celle.,r commandent la f ,égale If d Allante, et'et bl é tT dart 11
gla [ Eoata oauaseé Ià l ll
Baud dD J Pr court, d lieus, qui um, im
été pp lé al' tè de t guerre, est.6 R (Catalogne), en 1811.
l,n 1834 le futur héros de les Castille-jos prit rangparmi tee volontaires d'Eea-
belle II et ev signala dans toutes les d-ntes où il assista : à Puyecrda, Ilubas'
Villa-Moy en, Pe p lg t A
l'dge da eingteis une il'tait riels marehxlde remplis suitedo la eacihcatian dela
Catalogne, qu'il aawmP't apeés dentjours de I.ttes terribles (184'3).
Nommé alorsN député sus Cortes ar laville de Bmcaloue, il 'signala
bpieutbt
parmi les membres les pins influents do
p lt18d1 tliteifld'éta rossiono..rq.e
t idie, les opérntions ils lageerrcd Orient.C'est p, d tl dern r d M c
-(18,19 1860 0 1r qv tété I humes de batadlo de lois (,ae-
t'll j'en1 G rpalmeeics, à 'Lét.an. On
nnalt tout ce
qui
a été dit et publié surloi au sujet ana affaires du Mcaique.
Don Balnstmno de 0lozaga, à qui a étéconfi( le portefeuille des u Cuirs étraugé-rés, est né en 1SOe, dura la Vieille-Cas-tille. Émigré en 1802ot condamné à mort,il vint à Paris, où il resta jusqu'à la mortdo Per-In unit VII.
Rentré eu Espagne, il flot élu député
ux Cortes eu 1836, oie il se fit remarquermn l'on des pie,dosera du Pur-
torrent et ecmmojvr;aconsulto üminevt.Anc n prüeidnnt fin ennsell ries minos-sm
é deuxfa.ait>.
ode e à Pa-ô de la 'l'oison-d' On, M. Olozu5n
tri1err e, commeitélo
rn3ynaahgve delabranche dan Bnnrbons,
rit. de Oloaag t 1Il
s prmci n nuerhepe , part; preg t , et, en rediretemps, un vrarlet loyal ami dumarquis deIl.
L'ustillaeroa,
le chef etda l'action.e prD'un caractère
mrabl,'
rablet évenaut, M.de 0- .g s'est montré toujours ploie debonté
pour
r ses amie et ses lemcvno.rs. -z gros, l'mJ vif et fiés expressif, la bar-
lie grisonnante, le vieaga mi peu rtesl':iuui hef des ministres
espagnois
le estonan nu
historien fort distingué.
Le maréchal Francisco Serrant a gagnétons eue grades poilant la gnoeno del'iadépendance. IL fut on des premiers àproclamer, .il 1843, à Berrelene, la dé-héwnee d'Fepartero, il combattit avecNnrvanz le m ui té
01pros I. ,es
anratien ae fia rame ter,M t rime, il fat renversé par
R and' S i roi, et, à ,,a tan,, il r'ene' le f tore Sot, Ilevanu b-
éerai, il futl'advoraairdNerveirz, quiléloigna dela cour. Depeie lors joegu',o1834, il siégea au Sénat sur les tracs dela gauche. Il rit partie de l'Union libéral,,et quand F.spa,tero et O'Beunr il se sépa-
rent,il
opta pour c dernier. ll étaitcapitaine général de la bastille lors dacoup d'L'tat de 1856. 11 remplvo 01 airs
collégnn a.Iour1'hvy à 1 1- .ariadeParis. Dnp.is, il n'ai coes6 de lutter con-tre Narvaee jusqu'à la mort de celui-ri.
ll lot 0ompnes réoemmcnt parmi les gb-hraux 'ailée par le cabinet (Uouzalez
Bra déporté sus oveiea, il est vmutiro à la tête
Csdo la ,évolution qui a
erse la reine Isabelle.
Il
est nujaxe-d'hniéidtdiitéprsenu rioaueou mnsre.Le maréchal Scrraob est né en Andalou-
aie cors 1810.
Le ministre de la justice, M. Aguirre, aété dep.té aux Cartes, et appartient, ainsique M. Caetèllaeo, le nouvel. .loisirs desommer , a. parie de l'Union libérale.
Paras, 6 Octobre.( Correspondance part uI )
Leprotcetati
, de la r e I lspagneque ient n os , j ourua.. a passé presqueappublerçue.
Comme le dit te matis ""?ce-val favorable cependant à la cause dsa-belle , « catn protestation ira rejoindracolles do toue les princes dépossédls depuis50 sus. l
Do reste fit patilt
que les eleelutonuai-nos espa0vols ne redoutent pas beaucouplo Ln= umeut de I opnuon lino que par delàlas 13 cor P-a au sujet des Snônamoufs ac-
mplee, puisq.o, d' après cite dfiplrlec dariladrid, ils n'attendent que la p.blieutiondu mm.ifiistn royal pour le faire afficherpartout et lai donner la plue grande pisblimt6
La prolos a(en de la junte ,)revis.!lequo f'u sous les yeux, peee nervi', qui aprécédé Initrée d. maréchal Srs ,ne àMndnd, daolare que eu roeoluhon, ndo peuple et de tous les partie lihéraus,
désire moutier à la bec u'0 l'lianrpo et dnonde, qa elle 'et ri éo a ls euider
le triomphe d. rira t1 urdnil nonnous a d prix et les lié
nells
reté p b.
quris
déf titillaient ass i J qui1 des Premiers actes de e
lala ]ante a été
cudre aux propriétaires erspectfs les,'1,s,C'est co qui résulte surtout cautionnements versés pour ira journaux.
'On 1 tso ,.cri passage avis fla s
la T t p s va parsit avoirb E téb'I l p p f s suern litre, 1 t t._ d la tàoh dnfdillet leur est rmpo é .
Lu démission de M. Mon, ambassade.,d'Espagne à isPar, a 6t0 acceptée par le
au goiivecneroent.Oncrmtgénérale-mentqus l'ambassade d'Espagne n seraattribuée, jvsgn'à nouvel ordre, à aucuntitulaire. Les affaires seront gô ée, pur un
pl chargé d sinises. Ou pause que desmotifs d'économie, ne sont pas limaugers àIntte re,.I" bon
Ou n'a pas de .duvettes d'Espartero quisemble devoir rester en dehors du meuven t t i b en que la junte do'. Mureie
d elles sous ni direcon
J o 0 dit qû il avait été quest,on deM. Soha tiano Olov ge, L'an ambosaa-deur
d'F,sppue
are à Pari', perse I porto desistre de a flaires étrangërea. do tiens
dit bou.esaureo qua cet hmnmo d'État arare, s jours dermes, de nombreux télé a e des chetb de la Révoluho.,n t rit de arlehal Serrauo et deMM. Contera et Rivera 'cour l'inviter à faireuartie de gouvernement provisoiro. Le donde la Terre amuit désiré ms e qu'il ac-replut, amer que le gé é I 1 n, le par-ag d g e t p l'a. Maatsilp fit q 21 OI I qu51 mioes,I m t en irbpveuhte de1 t et q l ait été l'un des plusn'dents promoteurs da I idée aétr-dyuasii
l'a qai vient de tnompher, dsire restera l'écart pour le moneut. Il e persistémalgré toutes les mskacrnt,
S'il faut eu croire l'Üneoers, don Carlosne seraitùpas, om on l'avait dit, en lispigne o l'1
cocurraitme
risque d'eue a.retéet fusillé, dit le,journat do M. Venillot,
e il dapréte à y entrer et à ap
Ni fie Ri
peleresvaspartisanel'ambassadeur
plitipagne.
1 A le e, a dh quitter cette vïll t estattendu ici.
M. de Go lie est, dit-on, revenu ,la Fou,talon Ila. da plus en plus savffrant.
Il n'y a encore rien da décidé quant es
retour dé l'Empereur ; u,vertut0 des'liasses impériales rat cependant, parait-il, fixée an 20de ça mois
L b 't .art q.e l'idée do l'; b'4
nroltg sentlcous le sceptre
devdo e Fer-
au l e,sl'unici de Portugal, soit le.a,. ,
celuidn roi .ataI
lier a e r lieu la 3a jeumoér dos coursesdu Bois de Béulognc. Le grand pria da'limper... (21,5011 £,.)a été disputé pardmgorle et hocadero, deux hesa.x deM. de Lagrange qui sont arisés dans l'or.
.lit Il
lire elenant deusemilele onna0sureleu entrées.t
Le public a an peu uré à cause dusur noue ru ^ coneurDote, ma à quipetit
Ilu député de la Ch---t Iuféeieure,M. Eeehmsori,eux a failli .,tort, de lamort d duc de Clarence, mn is su s M.1-,mille. M. Eschasseriaua et tombé dans
telse
t a pu échopper à l'asphyxie eu9e OmmpOneanl a.. para s dn la en OC.
0 I t 1 1 1 u' e'q v 'e laeo t ,; uarillmine.
Lie de plia grandes illestr'ti s
t général buronmihtanes, M. le nuit n aRochet est mort la unit dernièreà Telles,à l'àge d. 91 ans.
L'dneair national, a dcmaulé u000 ,ta-péfaction eo que M. le ministre d'Etatferades 95,000 numéros du Petit-Moniteur vaschaque jour e sa disposition par M. Wit-
hi 4,600 numérosterehlim. 11 y anis on 0pour les connnnoes; mais les 55,000 ra-tants, qu'on fera-t-on 'd
Il rat probable, dit l'dreair, que M. le'uistm d'État aura la i cuité do distri-
huer des abonnements ratumits aux l'anc-,iomai,,a qui so
serontgdrstgue,parleur
nô Inclut t él f Ainsi, ilo y at d t p a,
les amas du trv su.me degré qui auramntrefusé 1 pl der les afflobes du candidot do l oppos trou, des abonnements de
cois peur les amis l'In encond degré,et dos abonnements d'uu an pour histoireofheionx.
Pur là, la lecture, assidue du Petit Me'
sterne dovimnaralt .ne sorte de forcer
gracieuse de In part de 1'admmistmtion.four extrait: A. 1,.jet.
Nous 'vo uao,eaô , d'auras l'F, e
ont, riss na entrions quinem aient faitquelque bruite riais le nomme onour.Nous lieens aujourd'hui sur le mème sujet,loris la oorrapondauce par'laienne de l'In-dlperrdunce beige :
v Le chambre dos mises ce ceusation'lot ,pardonner la mine en liberté so
luctiou de M. llagolmaun, compromisdans P'lioir' Aycard. »
- Le 28 septembre n ce lie., su châ-tra. de Possenhofen, prés Mu.ich, le mu-,iage du duc f'ellen;pu, fis da duo de Ne-
ee la princesse Sophie-Charlottede
eurs,Bavflre. Les membres de la famille
d'Orléans ,ni assistaient à la e'lébnnironétaient: le comte de Paris, le duc deChartres, le duc de Nemeurs, père, du me-r é, irise que le s 1 ' \I rgareni- etBlanche, sce so;a[a, le prince et la prm-oease de Joiuvillo et le duo de Pnnthicvea.
La hiuldiotioei nentiale a été donnée
parle pire lfavnoborg, supérieur des lié.
nédietina.
A. banquet qui a suivi la cérémoniereligie.ee oh en se t'a.vaient réunis, ou-trc les membres des doux Pamüla, gval-
de lev entanrage leq.es pesonnesmoto de l'ove, continu rhaf de 1, famille
d'O,lb.es, a porté le toast aux jean..époux.
- II a0 negdmt qui a sait pn tir dessuil,s ficheu.e Peur Mong n, l'artrse
telolé l p é octal' donnée
l -DIl pria p1 lé il el fur n tc I toile ,onadde tomber nue
trit
1 l art, des Jfugire-t ait ry
oliqeen
evnh, es termine,par e
dArn i o I ,ctteura5e retr
MIl Titi,,,,gtaana .m ,1,.,",t do ln - do-rutoier ,^
1 I. I rri,Ed ils salle. Fleur t le'
docteur More était présent. A ,,i,6 doI c 1: s, il trouva té M 4 iiace nul ehmse,
sailegnant
beaucoup
d'moo blessure qu'il avait reçue près de l'oIl et pr et d'eu coup de s lireMalgré I¢ faiblesse causée à l'a t t par
1 bondance de 1 hemorihvg e, le docteurMoere, a, ,en lui avoir donné les premiers11
vina, e pu rassurer le publie, qui étatresté fana I. dalle en proie à oue' viveanxiété.
Bibliographie.
.il6tnIi,^l sur les Coquilles (oeonina rien
terrains d'eau douce du Sud-Oües1de la PTarace , Par M, le tiocteetrJ.-B. .OLLLT. -Il peut
'pupénible pour an cantonnier
de casser des pierres sur les chemina, mais,l'avoue que pmir l l rte t if d l'homme
.lieu lent pleines d ,intérêt; il ,aitdeeiprodfiges sur 1 grandronte, et dannchaque tranchée il lit une page d'histoire.Et pourtant, lr,plup tri pommes, mimemeIroets au niée d tous, t p sur le 1
qui 1 pp t un il, 61 loti tfésana ee dé1 S t e cet .a hé.rit g No per e Volta to t lo P's-noul, ta t a c épri ces pierres,ces g .,i"5 terre ée, déprit m st(
de It t s de la vis et du moufle lMafia de ,et hcrtag1e, nos rAicaglna, n es voi-sin t pa
E.te re pa
pl dans l d e c Eta c :étét, ggraphl , st en'Z',
r; iblement vue cette géologique dess, alors méme qu'il n;y a dans ces
terrains aueaae m et aucun gisementde roche
exploités.rIie
vous vous avisiez dedire dents cc
ri
que Toulouse, desunePremréres vils de l'Empiee, 0'a quereçucette .ailes, dans sa Faculté des ci s vase,
ri 6.1 b, deemplaira du la 11,.9.. og qFronce de u1M. Elïs de Bnt et Do,frenoy, vous ne rencontreriez que des in-crédules.
ourtantC, est p I. fàcheuao vérité, et sifaut t d Ifé t stres quI t
r ilt 1 b) tri plus an
llsdrmr.néIliait
lta à l'étude do lagéolo,iu, vu mus de 1 histoire naturellequa l eu semble vrarroeut redouter. IL y aIlion les pcegrainmev quoiqu'à leçons
n hié're Slnisoir 1 serrées à ces vantes insuline des, n humaines.Mais en quittant le lycée, au grand déses-pain dv "te
aencollent profeseom, nous
s bien oi s r ces matiérealitqu'un rotant des écoles primaires de laSuisse. - De sorte, que plus tard quandun de ces livres, comme celui que nousallons analyser, vient à parître oeox quipeuvent en comprendre la valeur et tinté',et sont peu ambrepx; -nls quelquesi.itiéa en font leurs délites, depuis lesplanhumbles naturalistes, les savants encoreau départ, jusqu'aux savants à l'arrivée,
' Là-.ire a "Institut.c eCeüest pas an livre nouveau, A ppropre-
m ent padeq que celai de M . le fenteuteint,Yr l t e t do é t n Se sesil
ira ou, ,ucouiet , il, 1'l ('g fit f l il , for-
t d d du lit_
d net de laFrance qui parurent pour la première foisen 1804, .aie elle est crusedérablemeut
montée son plue grand nombre de co-quilles sont emxrtérisers à l'aide de diw-
er crament fonn.lües. M. Nenliitee les yeux toutes les eepéces qu'il
décrit;, car il a visité e plusieurs reprises lesmentis
ri
les plus importune, e e mümeémps qu'il se procurait de nombreux ty-
s comparaison, soit de France, soit depesétranger, sis formant afosi une collection
miigxe et lent précieuse. Chacun, des troislistes de fossiles amactéristiqua des troisformations d'eau doute que le savant pro-
bousnur a recooa0es, t précédée d'oveiutrodxoeien destinée
,estconnut. lof
traits'-italien, deces grandshor gin.go abgousQ quel uo ns tout à fait élémeutaic
l'ont pan sans doute inutiles a.11, Illecteur pour ha parfaite intelligence de c
quoi nous avons à dire. L'écorce solide daglobe s'est d'abord firme e,el s verrontau dépens de In masse ignée perdant conti-wellemmrt de sa chaleur peimitise. CesPremiers terrains feront ,ccouverts par Ion
qu'une température aasezbassa avait,enfin, forcées de se condenser.
A.fout
d'un océan sansbeevms à l'origine, se ,1é.posèrenEdoe sédimeaty par surin de I'aIle-retien et de la décomposition des rochesEmovgbcs, ordo trauspoel dans leurs bas-
es par les eaux 0tiroaphüriques ales élI.t. Ces düpAIt formimèronn let qui
laosn provenaie pnnp
r euéea stratifiéesblemens sute,ontinnelement jusqu'à u ,jours desterrains arg'ilmi., marneux, sableux, cail-
louten., etc., en sont recouverts les vos
les autres.boulon changeait constamment do lit
nt les fluctuations lentes ou lrusquesdeil'écorce solide qui oscillait, ee plissait,
brisait, alu de combla, le vide qui te.-lait sans cesse à se former entre elle etles maiiérns inoandescontes qui sont sousos pan et diminuant de volume au se re-
froidiaeant Do sorte que la série des tes'a etrahiShs n'est pua rompléte partent;
las terrante les plue ancrons vont aussi teeplue toonnentés,,'.'.'t.',.',`.; pont le voirduos les paye de mquelquefoialeurs couches sous complétemcol redresséesn mhmes revvervlés, tondu quo lot pins
iéceuts, comme ceux qui sent
on,,
euvi-nc do Toulouse, co vrt horizontale-
ment la plaine. L'étole de la stratigraphiegdoleyie s[rai,grapliàyiee se complue
uéceesavemont par l'étole des fossiles deplantes et d'animaux quo l'on trouve da.ales , ouches, par la Palëc"telogic.
Les fiisstlea "-lent l'une youoho à unsantre, sivart la Race q cette uche
.c.pedmi la probe] ardu sol, suis srutles mimes dons toute 1 étendue de rhanunod11 0 rtpac g u'1 1 u'
r tp f I gt nItsir¢d Seulave(1r77), lirnpot co et la, lirenhcessité ho ütudae locale sot gicérxlea1 pl te . 1 f 'l s lorsqûonv t t c I h
de
lug r .
( 1 . t i t t g phi, eu pt I 1 1 éfo t .f
11,J t nt1 ryeondaim,
tertiaire, qat d ne
de1f tri Aeebaaale pünstylu du monda mit
dons; on y distingue de loin, à traversdes modifications en.. doute tops diverges,las g d a cté S x et aplant de nos jo Il d d c n s té.,,Il p is t et gené 1 il t d plus teesdés 1 pp dons la vaste région dont Tou.lo.se est le contes qua M. Noulet dési-gna par uu nom hlot,ueux : le Rassir neau-pynémicu. Chou noua comme dans le Nordde la b'rav'e, des lacs exclusivement d'eaudouce semblent suai ouvert la série desdéprit supérieursaux terrains secondaires;la mer remit ensuit t pe, pes-
on do sol et In dm pole, des rue-ehes cmarrérieées par la pois'o'n de Narnmitres, eoaqudln lenn;.ularra e'uv animalfort bas plcé dans L il 1 être, ranis et qui resycmbl lr p lui, f a
les des plue ancien ,d à cet Lo-1,oon première mnmfestntion d développerem de la vie amorale sur 1a terre. Lan 5m la perd ièro séria de, terrains ter-
tiaires on eonéüd gst constituée pont rien
.capes de 1,600 m de ,0000 eu aho r
e fossiles terrestre et la t s,dent te(partie de l'Aude, l' l é le Ilo t Ga,mu m, du Tarn, de Ta.. etUarem e; du
Lot, 1 D d gne ot 1 [ nde).-Le I et I s gai c nt mdnSO
pis noient dGGnrtiva t] inter t 1
tramèrent dans loi L 1 t 1 splus récentes formations Je l'Untels. quicommencent ce syst 1 4a- conta,gnea ù etrutificaAio très to téu quiras.
au pied de la grande chats' 1 1 aa-
nssiu souapyrénéen. Ce n'est pas .alent la dislocation d t le c U.r-
a qui Il' distingue J c et ee plusnpc'nues ou pester oo e ri s f s l tut
an.pénisos,-.,,a .as - ule caracterseent; et rec.erllrs eu, d s pointsn
dinars leur identité et leur coostanen éta-bliésvnt autre leurs glsemunts, pvartantéloigné' les mus des autres, vue comme-nauté dige et d'orige.
Parmi lesamiraux,in
dont q elq sdécouverts ou décrite par M. No let, ..aitle. vtwna un carnassierdetailla mryun-.e, le Pterodon; des pachydermes à dogesppaire Polopplotheetnm), à doigts impairs,let Palmotlia,iem et les Lophiodon coieivsfin Tupir, dos oiseaux, des Crooo lilas, denomb ,nus d I t fl vatl'uet d n lait q a 6 11 Les l-
'r q b pl 1 ablcs, les ac-galee, les gris,cncelont ,ours vestgeu, for-ment des étages an dessus lés uns des nu-tels; on runenuai nue ai bon ombre
""P"'
sont r ae diversessones,ee
"Il
établit leur evmma...Il d'àgequant a la période glologiqua pendant Ia-gvelle elles ont vécu, d'a.tms sont parti-
hlees à chacun de ces horizons calcaires-Le temps pendant lequel se déposoteneeesaédimsnta fut ai considérable quo certainstypes s'éteignent pour pe plue ne montrer,
i méue temps que d'autres types qui tee
cetandis que certains de leurs coutamp
mofile e... c.aient
-paraisse.,
pos ceux-ci parafissent à leur tour,
ns parsies nt et ainsi de e 1uiuvs supe ce
présentent
au arasas;
qu'on ana couchestes
e plus rfi-celles.Co
arn vea nsatnotinne, tes appantmna
successives e t simultanées d' s, ,ort t i "l""."
S
àl lv
.moines,rtlt .t d s t ut 1 1 p f aimée,fi p rs gnrl y a de t t c, laterre, sont prémsbme t .es faits profondé-ment myaténoux qua le p.llontelogietedoit usure renoncer à expliques ' t nnveut en lancer dans le domaine da l'hypo-thèse avec las syaténees de la création onde transformisme.
M. le pmfeaseur Noulet; signale senle-ont le probléme u lainons 1. statistique
,les espèces; ou but net : farta ers
créa. 'lins, il notelens eetspèces iommusreca
a basai. sous-pyrénéen et an bulot. deParis, aux gis, ante du RasBlrin et auxterrains tardai es de l'Il. de \Vight.
Les Pyrénées avaient grandi parce quetout autour le sol s'était abaissé; duoscet t dép selon les eaux donnes
t f d lacs immenses dont lesdépdts hennontanx reposent sue les ainestes de l'Emene rolovü sortent fax abordade la chine ; de grandes .,ans es répé-tant à da intervalles que rie, ne permetde préciser, distribuent leurs alluvions ter-
v' une espace à peine ood.lé,rouluslégèrement in clivé vers l'Océan, qui prendainsi après chaos.' de ces crues une alti-tude plus `paréo. On a talpulé yve les
de. i'yréuésseouE atfeiot plu site 700clé-tees d é sainocur D p .1 des I yrtvéeabvagdau riels de la Dordogne, et de lom-boeohnre de le rivière do l'Aveyron danscelle du Tarn j.agv'à l'Océan, lie se mon-trent à découvert, excepté dans les ,ai-lbce où des Jüpdts q.alernnires et las al-Insinue ma demes
jus
sunroenlovt sur dsas-es grandes étendues. Le cannelle laeus-
tee va jnegdà mo ligne 5e partge, falb:,arpeu élevé qui sépare
Il
bassin de ta Ga-
ne de
,,,as
de l'Adour et de. la Leyre,et a.-dolà de laquelle lue dépôts étaimrt
marina (.Molasse etquilliier marine).Pendant que les 'al'aires, argiles, m -s, on- volas et salles e dépen mut
parall`II, 0,:nt la litres, la faunemu,modifinitco, 1l ucll3mcot.Sur les monta500v ut les simples colli-
ibornaient la contrée o - ré-s qui sema e ussré.tomes a leur quelq.os c l'a,
Sr nombreux herbivores attmg rait desdimensions colossales, des Rhissoedros, d'é-
es Maatodontas, de gigantenques Di-uutherium dont las prodigioaons défensesde la màehoire inférieure sont rccourbles.n-dessous... Pont oxpligncr la présencee pmcile mo¢stres ont unit admettre
eichesroc movïe dune 1. végltation. Grillessalies de M. Noulet on sait eusali
effet quo enge uni losuperbes gra Ocu u dois ni
brun de r sagos .dana le ndore locale notuolle, ea dépouinant 00005
maliomeal de loues feuilles,mot are nord dan eaux co autos et des
lacs, tandis que des palet x frondésa,drvarsas st dos q l
ous a0uabri'
nu feuillage pli. t nt, a nbenel.
il oarbresnotreotre paye un reste de physionomie .,due
le qu'il a depuis complétumevt perdue.Cette olo Tomero aire a des an.le
c tenter ] flots, étudiés va
es euF let
l"ut, loba
m tt tlYl i uedII-L. d ,lu I, dis, e lui
ux et des planU f tdos
plusoulio vii ts, dont le pourquoi reste à troq.
;as 1 ievdant cotte môme Périodaer, c'estI v q
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t'Islands,les
l 1, 1 Sp t b tj t rit À 13as eu bdé ll, p e mo4 e t ust It i1 s 1t p
tr r eplé d'une qui date depuis le co e o ee rit A acite- et par préférence, I 00 t 1eux éehr c , aleut louant t de lu- A;s ot illusion é-ard p 1 800 Lires de la S de la Rr. m atins, ,a enmpo;b d t que la hull"t t@ des char e- 1 d'U A ll 0g son ne ct v pritr ire foePis acte It 1 l A t
qui1.
Ièiet
1 ed'he, co reine I Co droit de pr livlé o t t l'.r J l t t e C
pouJ .d anusoos 1 i f C h f dlit iq 11 j t le' 'en b nl
' em ra ls Ici complications t dllbl t s 14 d0,sario e sr t1 'I d t t 1 ç t d la nature algol pe t queour
lit, r ont 1 p t sec sur Ips 100,0(10 ri t"Il ai xM u ot p t- L."Ù iii, la :5 1 1 I ,. rl faut én, oinpose le Capital 6oelal, d 1 tloua a,, e
d t e c t 7 tt aussiI r t fait d 1 y t t t li Î f n qu t p é L 101 d l tr 1 C U r p tueultai nez'élis t c"t t t en t ôtra il g Nu v l I 1,n, t a dq é Itl m t.0
monhant de. p d ç t I 1 171 dira t on, do b L 9I le dect L emasiou est faite au prix de 4111des crocodile t d.- 6 I 1 t t I t d q Il P ode 1.1 r obli blesenfin des rooll q Uh q t d I 0 t tait ça pa gatton, paya commilits. , i, ni 1 L t e b le taochre a sa tit I t c II II
Pe mp 4 hl tq o des -11 d p le En souscrivant...... ... , fr. 40Sont dév Les Ilus ç t f t qû lt ta I pl s pl c Lora de la .i t t 60dout dans les argiles et aturnils, .t -Ii étt ii t sagamté, doffre, quelques ion Du 15 au1 \ 6 18cela ',
stnq t
(ri,. 75dans les cal,mms tournés au f 1 '111 lac' s 11et D is p i?rea et tmméd,atce et, ire Im D, ter a, 10 J or 1869.. , 75t qui contiennent en out 1 d t buse solide, de permettre à Du 1,, au 10 Fécrter 1869 73iaanaerec; las eapeoaa dur' t I dans t p ,t de plonger sui regarda jus. Du au 10 M s ... risd e subi et les grès délaissé par les maux qua de .cuveaux et plue Im¢tait s hara-IDI N let a éta ;, quo las terrains de
réasTotAL fr 410
lot, les out G P éd t en commua Émile Cavear6nec, Le premier coupon de 15yyrama, échéantt Iret,a¢es moyeu' le 1=r janvier 1860, sera déduit du rerte-
soit de J0bu ldAll magvc,quelqucs t a flect1 r 1869 sous au
espèC,ea ido t qrJne seul pe écu lim chut l'l;o ÉMISSION d ut commou q ta
tastre ¢ivaut.
Irène supèe t 1 mt cbno (I'lauorbsr
ti sera délivre, b ru de la répartitionCoran), 414,000 nnligatin a de lino 11. eea ohligarnna proeiaarea an porteur
IJuatee s lemr"rit ont survécu jusgiià ers r.A suie v rv i isam ienrve échangeables, après libérah pl tevos ]nous. At ta ris que t 1 c x A
rcontre des Obligations déft. t L
x, Y I cessa pt 1 8110111 CO INPI'RESS1oE Obhgat,ove provteoires et dét iihves sepoiaaane, modnsqura disp a t tour roui euoteestgnéee par un délégué doa tour, seuls les quatre plu
e
smolms Gouerrneme t lt 1 u. (Art. lrr do la
qnw a'aecommoderovt à dee chantre lot,n
` Convenbov )vous l'action desgeols 1w premiers avatout B A C S Les souscrtpteàre qui vbvdront eo libévieux abé, ]a uatar« hies et ainsi l'ingé- r mplétement autrutlae faucé d'anuie 'e apologue du 90e et du Roseau. DANS LE ROYAUME D'ITALIE
avt p Ples semants c
rechompté
àCst aussi rne loi que la longév,tb des leur profit de 4 010 l'an.
types est en raison muerai de la place Remboursement en f us Il erra perçu dur tort versement en re-il;qu ils ogcupevt doua l'échelle dos mires, en aomnauvi r. nu 1=r tonna, 1868. tard t tutesil à raison de 6 Ilé l'an.
raison iuvorer encore de la taille et de la Le
s
aooecriptenr qui, à la répartition,messe; et e t suivant cae lois qse 1a casa droit à trente obligations, eu à desSauu 'dor¢es.P( lad fin
dagl'iOi q t ctm au Conversdioadu 281ui 1888,"étonnés deslTitlrea
de tueramentcdans
Plwcèae louap q parla lot du
14 24
4 ao4t 1888. Pris P perque à leur t 1 e bacvne des trente' ses de manière
us pyréuéenuea dont é dé ç 1 yu à chacun dee trente téririages
semestrielseomouvement qui ers onte encore, sera certain dobtenir le rembo.rsement.
des claeæs el'avimaux et de digénon. mu- Ces Obligations eont émiaea pour faire au pair de 600 francs, d'une obligationdent à sa rapprocher de plue en plus de
auGo¢vorermect italien une avance s.r ans trente.
crue d'xulourd'hui, et d'autant plus qu il les produits du Monopole des tabacs. Les contractons ennt autorisés à déclad'agi! des espèces mférmures; l'établieae- Files rit assimilées aux titres de la r que ses obligations ci lées suaunie! de la tiare et de la faune actuelles, Dette publique, ot ne peuvent lamais étre Aoaeass de PASIS et de FL
serontrit date.
las r'Lefs et les entouré que nous trou- passibles d'aucun impur spécial. (Art.Irone à votre glebc,no datent relativement de la Convention.) LA SOUSCRIPTION SERA OUVERTEque de nue joute.
Ce endxn si Ellesaontp t les déco¢va de MM.les garanties ; Les mardi 6, mercredi 7, et jeudi 8 oetobravante ceux dé vie et
Dolaueay e
et autres aa 1868.vanta dont déli-Rivement ternies., l'hom- ' a SOOIP ANOYME, en oa-les urert vécu, non seulement ce qui est
le Par TL N` de 50 millions de lires italiennes, A Paria, cher. MM. A. J. Sui- et C+,
admis à la lie de l'époque tretiaiae nu constituée pour régir pendant quines au- r¢e du Cardinal-Fesch, 58.tant tonte ta période gaaterna',re il aurait ué e la NERML+ DES TABACS, et autan - A Londres, ehee MM. SaanN-Bxornn.s;acore laissé des traces 'e as. eEeur en sée à prélever sur Ira prodait, de co mu- A Francfort, chez M. JACau S. H.
]'rance da s les etaobe noir' neémémes. nepelc avant tout paiement a, gnue e- Srsvart0 Dest l'o0mion unawme aujourd'hui ement italien et aux actionnaves, tee
A Berdàn, chez MM. Rorenxv R'Aas-da:as la soienca qne tee âgés géologtgvae s es néeoesamm au servme des intér@tadnavea et C+;bot tous eu une durée mcalcvlabte; !'étude t de l'amortissement de cas Obligtions.
,.l'observation voua démontrent gui les (Art.5 ot 23 do la Convention.) En Radié, damais' bureaux de la Socrér>quelques dizaines de siècles gv'embrassont 2e Par le GOUVERNEMENT ITALIEN di,Nr cer.e III CaLmr womntex 11-1,rv, deae hrovtques seet peu do chose dans la (art. 1er de la Convention.) la Barv¢nr rvArio- .'' nu nosn.aii n'hre
aie de l'humanité, et que l'histoire de celle- Elles donnent droit : nrn et de la BArvgaa rarromer.é s ruserai tout 'afin'. ne compte pas plus dans La so uteripti sera également ..verte
ncipales places.J'hissaire, du monde quo la vie de eea éphe- le A un i térèt de 6010 l'an, ait par or la. autrespriou
mura, qu'un mbme soleil voit nalt, se per lare 30 nixéduib
à fi . 27,36s
Leses pasoucariptions eudunt relues directe-
rep-;odnice et muxrir ('aacnuc). Par larete
tenuede
el'ul'ipât général de 880 ment
ueo par o0rreapondanoe. );:lice devront
None nn pouvons doter au,jourd'hui :010 sur lés revenus mobihera. Cet inté tôt être aecompagnéce du premier versement
les contiveus et les mers, les animaux et est payable en nr, par semestre, le 1=r Jas. de 40 francs.les plantes, la soleil et la I,ne, 'oeq¢'à eea v a et la ter Ju'm,usr, soit en halls soit On peut, n aire, verser les fonda aumillions d'étoilee, mordes im es ré- a l'Etranger. crédit de M. A: J. SI.- et les soit à 1aprandus d... les profoeda... de ileinde, i, 2e Av remboursement soit o ltaMe, Boit R0000e ers Puonue 1 Parie, soit se Cxfc-
en de tout cala, sien n'a élu créé, pré- à l'Étranger, en or et au pair, en quinze mr Acoeuusa et à ses agences daos lesparé spécialement en une de l'Homme. Il années, à compter du 1 Jasvtra 1869, départements.est devenu le dianes incontesté d'eue pa'- an m03 ea de 30 tirages m striels Com- - M. Ozenve, directeur do l'Agence agri-tio de la terra, ogot régal à la aaefnee, ma e } promut chacun eue sèrie de 45,800 obli- dolede Toulouse, alléecLouis-Napoleen,1.ensemme, iil Ire uverne pas, il n' pu ", ,gateons. Le premier tirage aura lie. le Dans le ers o les domavdes escéde-porter atteinte aux lins naturelles que daoe Avntc 1869 ; les remboursements seront réieot le nombre de 474,000 obligations,
:assure ineiguilianta. Il faut, parsuitc, effectués trais mois après les tirages, sacs les souscriptions scrot soumises à anaeu prendec notre parti; le calmé, le repue aucune dbduction d'impbt. réduction proportionnelle.
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t t Lit Id 4 Ed t dot g e tl Jttgab
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l'eeyrit eu la ,ovéritable vie de fouillis :une sieoére IrenI h'Aisd
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pliIte le 4 Il Itril ""le ,ensI pI f gl . d I h} t p 1
p I \I t 11 d 1. 11 tI'- v,b i li M t 1 ae 1 t i 0
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timbre La rentre, e. t fixée eu 1 ocmbrei A LOCF.R
FAPRmttt CAILLAUCEPar BOUCHERei Foureisseurs du BUPPETEUROPFE.NUta
l'Exposition ae réelle de 1807
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rit 11 L i e t Mlle Thé - y°'Cl Llé ors S y 11 _ére à Dragnl- CH.I GEb7.11 C DOlu tCILT;^ an IJ ar).
M. Baptiste Deleae, propr,étmre, $aor M. Bore Méii emy a transféré eet Lal d et Mlle Magaente Rua naad, ry1IN0l'LRIE de la lice mootaudran à fa
L.Oa gu rua R d 48. 1400'FP" Dtlé à lI Ja treve, empoy
c le m litm re ae fat et Mlle MTarie-AA i`+ A x et tt " t 1 11
b àIcae
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Louise G , t I d r ec, jh,Pacl
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Ouolan 1 e 1 ', v v. lo,rlo IOle,JeauBm,a tee,'t,se and, à Maubeo' H axdo eTarn et Garonne), et Mile Jea.ce Du'- et l sucres eet aa nié Vair ,
s t t' é l ou vibres, l0 ÿ, .., = .M L 6 Lifiar, cap,taiee h
t ll d 1 vue da Vmceon t MIl : PII TILI'0 S70MACHIQIIPS CO] Fs RT-eMarie Lbsai eth Aimée Lmlehne Paris. Detm,ecnt ia C sri p / n, le (otir-
M. Jean Fran;ms Aeéma, sir d ssamende, laBil rie If d . t dPaegaminièee, 08, et Mlle Marie C Fll te tlaç p(t t L i -t l t I rlrua ae I"iffre lu 0,uora, 2, g t L gel' ç d
M. Joseph Lemaine, maraov L 1 Ty t l Ap pi f ,t P eed f . le h ( -Pae-de Colas, et Mlle Marie lie r tt L le ç 1 g Ta 5 o.
tIéO..p,olO d t Iles a 1 l ! Déprit 7 l I r1 '1 , 41I -M I. aF u d estigv pl d die, plu du C t l t af R.l cle,
Cap t I t MII Ma Faurou , iamié ph.: d Auch, chia BI d i,u e p0
Il"ede laDu d 4 _M B ard 4 7 ie q t +r
Com des l ta seuil -6ométéLalavde, et Mlle S 1u iii CQl t R ale, nymegara
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