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BMEAtlX .fuir.,1/1ut houle, 41. Mardi 15 Mai 1876 TOURNAI, DE TOOI, POLITIQUE ET LITTERAIRE ToaROSase I .Hors ToWoasw I HEURES DES DÉPARTS ET DES ARRIVÉES DES TRAINS DES CHEMINS DE FER DO MIDI ET D'ORLÉANS SIX IS..'... finir. LN AN., , ; - 60 fr. ABONNEMENTS MAIS... 28 - TROISMOIS.. ff, I TROIS M015. fq Ligue de Borderez. 111 Ansoscs, la ligne........ Oh: 50 "parcs: INSERTI0NSSRRCLAMOS,' id. 0 50 FAITS Divines, id. 50 Ale 19eclelé Générale des Annonces LES ARNONCES ( ZL Rai nss Dssancna, TOULOUSE. SONT REÇUES Choc MM. Havre, LafBte et 8, rasai ea u Boesse, PARIS. Matin (direct) 19 h 15 Malru (exprJ, fi 30 Soir, t 35 Soir (Aime), 6 301 Matin fdireoi) 316 là Matin (Agen), 8 4R Soie (espr.), 4 45 Soir, 3 35 Suis, 10 40. Dépara : Arrivées Maim 40 0 .. Sorr, t h 15 Soir (expr.), E , So r, 4 51 40 15 Soie, 4 Soir.doras1 Soir Carc 6 15 So r 1. 1 55 Matin, 1h50 (pu.), 12 1110 Sut, (Manse.), 5 40 Ligue de Fol.. Départs Arrivées : Matin; 9h 20 Matin, 9h55 Soir, 2 Suis Soir, 5 50 Soir, 5 20 oir, 9 40 Ligne d'Orléenea Leeos-Alhl. Mal. I5lonh.), 9635 1 Matin, Son (Pau), 1 35 Matin, Soir (Bayant,, 5 35 Soir, Soir, 9 55 Soir, 1h505 l0 4 1 55 5 40 9h55 3 47 C. (Matin ldreeal, 3 h ID Malin (C h arc) tl , 55 (Matin. 5 ces,., r en Toulouse, 25 Mai M. Talain roi,''uat le projet, Il sepro- nonce tre l n e m nopole en repro ,- -caant aux grandes c mpagnies d'élever trop smsvent les tarifs Le Ministre des travaux blice dé- l'ÉI,ÉCjRAPfiiE PRIVÉE ci." que le monopole des Îmmla. de Paris, 24 mai, 5 h. 35 do soir, Le centre droit et le groupe Wallon sont tombés d'accord pour établir la proportion suivante dons la Commission o05tituticnuelle : 13 membres des ga- ches, 5 du groupe Wallon, 4 do centre droit, 1 du groupe de Cleraq, 4 de la droite modérée, 3 de l'extrême droiçe. Les noms arrêtés par le centra droit, d'accord avec le groupe Wallon, Bout: ppur l'extrême droite, MM, Aubry, de Belcaatel, de La BachIronie. Disac nia pour la droite, MM. de Serdrel, de Cnmout, de Rességnier, de Seigey ; pour le centre droit' MM. Paris, Selsol, Telle., Lambert Sainte-Croix I pour le groupe Wallon, M51. de Lavergne, Deau, Ant. Lefévre-Puntalis ; le b' nom n'est pas encore arrêté. Le dfonismr dit que Ni. Amiral, vice. présidenl do Conseil d'Elat, dans une longue erineersation avec Il. liulfet, lai fait observer qui il paumait -loir once énergie le scrutin par arrondisse ment, soue poser par aven'. la question de cabines, et surtout sans laisse courir le bruit que la question de cabinet pour- rait deoeair une question de gouver- morat. M. Bulrnt o maintenu ses déelaru lions précédentes, et s 'cet montré décidé à po- ser la question de emsfsassr, Les délégués du groupe VVallms ont conféré avec les groupes de la gauche, relative.mentà la o mission des Trials. L'euteote n'a posssible. Les né- Bout rompues. La gauche prépare une liste de candi- pels. La droite et le groupe Wallon en préparent une autre. Le comte OrluI est parti hier flanc Ems. Il a rait samedi une visite à M. le maréchal de 51a, àlalson. Le bruit d'on échange de lettres en te' le président de la République et le Pape, est démenti. e vécue". Paris ,s24am i, 8 b. 40 do soir. L'AssemLlée nationale a repris lu dé- lihérntion du projet relatif' à la conces- sion de chemins de fer à la compagnie de ParisI,yun-5léditrrranie. M. Cézavne, rappoeleur, sourient le projet de loi. Il fout remarquer que les grandes compagnies construisent beancuup plu, rapidement que les ompagnrea llesles. Il prouve cette as- sertion par une statistique détaillée et ranclul en priant ]'Assemblés de ne pas rompre et l'unité do réseau des chemins de fer français. Cemmenl échapper à Celle horrible auernative de trahir mon frère de la faç'o la Plus odieuse, au de s erilii,r cou nr 7 Patsr la première fuis, le mut, les vrai mot se d res.so devant mai : j'aimais Soi, hir, je l'aimais éperdument. Mais Olivier l'aimait aussi, il l,dlaitdmm que l'un d. mous deux, le doue percé lie l'autre, restât s r le champ clos -:1.B pnussrit ..tee malheureux destin. - T. ne me réponds pus, Cny, reprit Olivier, psrleras tunsà ophie P Allons t allo 11 las Pan-Arech I 'Wons cela de loin M. do Qnillio qui ve Hait d'arriver au terrier. Debout, ça rades I vit, ici ! ça commemce à gentil. ler larfessons. - Oni r amurai-je d'une voix creu s e je I ni' parlerai, je te le promets. Nous us levâmes, olivier et moi. Olivier m aAressa un regard ecooovais- sont. OMIS, I il interprétait trop bru,.. blemen l rnon émotion; Il gémissais an- tant s,r m i cens Bar lui. qui m'a donné d,, rhns- - Qui est e n, dit M. ,h, Quinto, quand .. .B nous l'âmes rapprochés; les est une forme de l'administration de l'Rtut et un véritable monopole national. Il ajoute que les grandes compagnies veloppent dans le pays la richesse et travail. Le ministre dérdare que le gouver- nement présentera prochainement un projet concernant les employés de che- mina de fer. 11 fait remarquer que les petites compagnies vinent à obtenir la concession d'un grand réseau Bous le prétexte de petites lignes et de Iras. çoas. Il demande de renvoyer, la discus- ton à de. Ce est décidé par l'Assem- blée. La séance est levée. Londres, 24 Si. mUn article du Timea, faisant allusion à l'attitude de l'Angleterre pendant la celle récente, dit: La L'racer et l'AIle- e paraissent étonnées qua lord Uorby ose offrir un conseil ;nous n'hé- sitous pus à dire que, comparée à d'au- tres nations I'Anglelerre est au moins si forte aujourd'hui que la veille de la grande guerre française. Les valsons du continent an trompent i elles s'imaginent que lAngleterre cer- s a d'employer sa diplomatie pour la cause de la paix et de la défense de la justice. Nma trouvons maintenant les aRaires de France plus mléeessantes que les nôtres. Le mi ,isture des atteins étrangères pourrait facilement redevenir le dépaetenseut le plus en vol. Londres, 24 mai. A la Chambre des Communes, M. Diseaéli , répondant h M. Aetiogtuo, oufirmn que l'Angleterre a fait des représentations au goeeer.emant alle mort sur les relations entre I'Allemu- gue et la France. Le c raclére de ces eprésegtations a été de corriger de fausses conrepttuns et d'assurer la pais. Le gionnte ,cessent a reçu une réponse satisl'aisanteh ces représentations. L'm- térél public exige que la correspondance ne sort pus communiquée. av- »forée.. Paris, 24 mai, 10 h. soir. du salon: Peinture, médailles dePrieD classe; 51M. Cuurtal, Cou pli, Jacquet; gravure, M. 15001; architac. ture, M. D'tort. Berlin, 24 mai. Le dfaniteur o/ficiel de l'Empire dé ment de nouveau calég eiquemeot 1. bruits répandus par le Nord.Deutsche et voilh tout à l'heure la besogue faile, et vous restiez là à bayer aux coesetltes I Je ne supposais pas, répondit Olivier, que le travail irait Si rapide- ment. - Ah ! dame, vous vous croyez à Saint-Médéac dans vos terres dures et tailleuses ; ici nous n'usons que d. sable, ou bêche là-dedans comme duos du beorro. Mais ce n'est pas ça, ces il soles sont en route, elle ne se pres- eunssgealeur rdimz, mi reedo hmter lespaaoasutre- menu, zut pour elles ! Olivier parti, M. do Quillio voulut canter des histoires de chasse ; tais peu en humeur d'écouter; saisis- et un outil, je m is 3 piocher à tour de brus. L'arrivée des darnes tas u'interrompit point, à peina levai-je min isslsnl ira yeux d.: leur côté, la poux- 'ra volait auteur de moi, on cil dit q rer une créature que je voulais dét er vivante. - Pan 1 boum Y pan ! boum 1 allons, ça eu, maure Guy, cna;t M. do Qnillio corde I quel bédheux I voilà quia s'appelle y mettre de l'hoite de bras. - Arrêtez ! arrêtez I reprit-il min ins- tant ,peés, voyons nu peu ce qui se passe b dedans. Du silence, s'il vous plait, mesdn mes I I1 descendit dans l'excavation que nous avions faite, se coucha à plat eeo- tee et écoute, l'oreille contre terre. - La mère y est 1 cria-t-il eu se rele- vant, la la été y est, ou entend un remue- ménage du 'i' ahle- Je repris mon travail avec la même ardeur. 'Finir coup, ma pioche s'étant enfoncée jusqu'à moitié du manche, il se 8 51 11 25 Ornolbue de Banlieue Lluwn, lec...oi. , uaeawal, ] 9. 55 h. m i 4 h. I b. . N h m.; 1 h. 5 h. a h. 5s,re-8emon, Parle Léeière... li 6.10 h. Ith. m.; 9h. i h. e 0 h. el.f A, 5. e h' e' 1, 8, t h. Ceo,a-paueaae-Lsr.ma.... ] h. 11. h. m., 3 h. î h. s. 1 h. 11 hm.; B h.1. h. A pucnec, par l ehire... ] h. 11 h. m., 3 h. 7 h. I. tl h. lP4 m . â h 11Y m ?1., 1 4 . n . . ; 5 h 1P. Caonxoz......... Larooncairrn 005.55.: T h. I. 8 h. m.; l h a h. I h 8 h. I. Monraiwan, par le pwt d. peur. t! h. m. ; 5 h. n. 10 h. m la . t . I. S e. 8 . m. 56 11! lles.. , (i h. m. { 4 h. a:so-uoe, per les Yre ]!P 0.sçe Maarm, 7 hh.1E h. m. ; 5 h. s. e h. il h. m. euewnue, P:nuowv..... 7 . m . 4b. a. 8h. 11!m.; 5h. .1 r. SunrsAcna, mnrxwr.. , .. 8 b. 10 h. m. 4. h. e. 7ha' li 11 h.lllm.t 5b.1! Pnaae .... ... , 1 hu m 1 h. a. Nora»-Duea-a'Av...... ] h. m. Nora: Louasse, d. a Tilla aammenee d 6 A. du m.,id d ifna d r A.da lek d'autres journaux, que la Prusse aurait commissionque la majorité fut favorable avait l'honneur de le posséder, et ce- envoyé une cireuhire relativement aux au scrutin de liste; de groupe Wallon a perdait peraoone oe s'apercevait que cadres de l'armée française. refusé. le temps fuyait, d'une marche lente, jour par mais inexorable, en amenant, Bruselles, 24 mai. A. Sénat, le ministre des aftires élraogéres a dit : Le gouvernement doit ..Sénat la communiralinn des documents diplomatiques ichangts entre b Belgg' lue et l'Allemagne, Le Séoat décide que ces docmnents ne seront pas lu,, ils seront déposés duos les bureaux. Le ministre ajoute que les pièces re- latives à l'instruetlou de f'il'aire Du= chesne ont été remises samedi à M. Perponcher, h ces documents étaient jointes des explications. Les pièces ar- rtveront josed'hui seulement à Ber- lin, Le Sénat comprendra la réserve que le gouvernement garde actuelle- ment. Celai-ci espéra pouvoir s'expli- quer à bref délai. La discusstou sur les documents dé' posés est mise en tète de l'ordre du jour. Berlin, 24 mai. La Gazette Nationale ostots que M. de llohenlohe, à la dernière réception de lit. de Mac-Mahoo, a lait plus qu'un =q'1 e témoignage de Paillasse. Avant uitter la Prusse, il a été halte par l'empereur d'assurer M. de Mac-Mahon de ses sentiments les plus bienveil- ants A1. de Mac-Mahon aurait adressé à celte occasion les remerciements les plus ommuni- cordOua, on n'empressant-da quer cette bonne nouvelle à tout sue en lus rage. Berne, 224 mai. Les résultats comm. do .te général donnent : Pour la lui relative - rcage civil, 205,588 vni. contre 181,057; pour la lui autorisant les Suisses domi- ciliés dans un But" canton que celui de leur origine, à prendLe. part aux vo- les du canton où ils se veut .prés 'x mois de séjeup 194,501 contre 184,775. Le eésulmt do vote général .'est pas encore définitif, mais 1. loi sur le ma- riage ciell peut être considérée comme adoptée à une faible majorité ; l'autre loi est rejetée. ateor cfrfcun Paris, 25 mai, 6 h. du matin. Il se confirme que les gauches mat proposé une liste spéciale de candidats pour la eummisstou des Trente ; le groupe {Vallon nue autre leste. On igno- re encore Si les droites auront u e liste spéciale ou Si elles appuieront la liste Wallon. La capture a été principalement vo- eovioonée par la question du scrutin de liste. Les gauches voudraient dans la Le Jouirait des Débat, est autorisé h déclarer que M. Raille décline toute candidature pose lu commission des Trente. L'GCAO f uioersel dit que dans une nou- velle coegeesation; hier, entre M. Beth. mot et M. Reflet, ce dernier a déclaré jamais formellement qu'il nbccepterait q le scrutin deliste, et u'il préférerait se retirerutr que faire des élections généra- les aement Il, 'avec le scrutin d'ar- rondissement. Moeehd de Pari, du 23 mai 1875. Spiritueux52 + à .+ CHRONIQUE LOCALE La procession générale de la fête Dieu sortira dimanche prochain 50 mai, à 1 heure de_l'apeèu.midi. Elle se reu- drn directement à la place de la T'ri- mté, suivra -suite les rues des Chan- ges et St-Rome, le côté ouest de la place do Capitule, et la rne du Taur j usyri à l'église de ce nom, où elle fera stade.. Eu sortant de N.-D. do Tour, la i, B.i les rues S. du T, la place St-Gcorges, la rue Boul. bpou I pl St l:tiBons et re l'ara dansé église Metropolrtarne. Les compositions écriées du concours d'admission à l'école navale se feront dues tous les centres d'examen les 11, et 2 joie piochai.. Les ouancoms o ux auront lie. à Tou- louse le 14 août. ACADÉMIE DES SCIENCES Inscriptions' et Belles.Lettres de Toulouse. Séance publique du 23 mai. Éloge do H F. Par M. Aug. Pmos., embce _ida t. Oui, easieses, ce qui semblait être impossible, est osalheureusem¢ot vrai ; ce que nous n'aurions jamais osé crain- dre ou prévoir s'eut qae trop certain : cet excellent homme, au '.or ardent, à l'esprit alerte, qui paraissait toucher à Pli e au se il de 1. vieillesse, ce conlrére vénéré, Si assidu à nos séances, aTecluenx pour nous, il nest plus ! Depuis bien des armées, l'Académie jour, l'heure fatale 1 Sa place est vide au milieu de nous I soua ne verrons plus ses traits doux et sgmpathigaes, son charmant sourire nous m enten- drons plus les obserratiosa délicates et fines qri il avec tant de grd- ne..... - Eu a.nonçnot la mort de l'ab lié de Coulanges, le bien bon, madame de Sévigné disait h Busst-Rabutin La .'perte q.'on fait des vieilles gens s n'empêche pas qu'elle an sait aemsi . bée, quand on a de grandes raisons e de les aimer, et qu'au les a toujours e vol. Mou cher oncle avait 80 ans ; n il était accablé de la pesanteur de est âge ; il étuit infirma et triste de o élut' la vie o'éloit plus g.'un . fardeau pour lui. Qu' eût-on donc . voulu lui souhaiter I uon aonliuuation v de souffrances t Ce sont ces réflexions . qui ont aidé à me faire prendre pu- . tienne. + Nous lo avons pas, messieurs, le ro@me sujet de consolation que la marquise de Sévigné. A 86 ans, M. Sauvage ne 'Basenlast ri a la pesas- tour ni les infirmités de âge. Une mortsondainu, inattendue, nous l'a en levé, possédant le libre et c mplet exercice de ses facultés. Pour adoucir l'amertume de vos regrets, vous avee, voulu que la voix d'on ami de quarante années fut l'iutveproi. de 'ai sentt- ments ; vous avez souhaité q.'une xisteuce aussi bien vent plie bissât au 'v Y AMmolree. a quelque tra tr dans .s L cs orage par votre meuve de l' e pins lin iodai , t ncnrr, par le souvenir de 'affeu'lot e que nouapan éminent frère m'accordait, je .'ai pas craint et d'e [reprendre cette tâche difficile, de l'accomplir avec les seules ressour- ces de mon cmar. 51F Sauvage était né à Bri-ns, département de la Corrèze, le 22 septembre 1788. Il appartenait à e de ces honnêtes et laborieuses familles qui conservaient les mmurs tradition- nelles de la province, dans leur aus- tère simplicité. Il reçut, de bonne heu- re, un enseignement et un exemple, dont il garda toujours l'empreinte; il apprit, au milieu des siens, le respect de sot-méme , la science du devoir, l'utilité du travail. Comment S'écoulé. eut ses premières armées, nous l'igno- . L'enfant de ces âpres montagnes, tous i éloignées à celte époque du. courba de la civilisatiuo hançaise, dt tirer profit des écoles fondées à 1. smille de la révolution de 1789 et y recevoir les premiers rudiments des lettres. Doué d'une extrême vivacité, d'une péné[mtion sivguliére, favorisé de Il existait alors encore même à Tou- v l'in0uener. ser:réte .dont parle Bol lause, ce qu'on nommait denSalons ces Irait, le jeune Sauvage fit des progrès 1 réunions entretenaient l'esprit français rapides dans les langues Irançaise et et le goût des lettres. M. Sauvage y fut latine, qui alors étaient peesq e l'uni- I accueilli avee empres »mention applau- que objet de l'enseignement classique. lissait à ses saillies, à ses boutades, à fi éboulement à l'entour. Un énor- Je restai au terrier sous prétexte de me renard, prompt comme l'éclair, bun- diriger le travail. Mais à peine la com- dit par l'ouverture, me rasa la jambe pagaie hors de vue, ,je m'éloignai à mon et franchit l'excavation salué e tour. Traversant la Il de de P16mi, je haut par les cris de toutes ies personnes gagnai des coteaux qui la Terminaient présentas, fou de terreur, il rejeta doux au loin, et, de ('Bulle côté, je descendis un épais buisson de roncos qui joignait dans une vallée inculte et cou;,rte de un des côtés du terrier ; je m'étais broussailles. .l'allais sans but, cher- élancé à la poursuite de l'saimal. Le chant seulemeal la solitude. voyant qui se frayait diffcilemeot pas- Depuis vingt-trois ans que j'étais ms sage à travers les ronces, je me jetai monde, le chagrin n'avmt pas clfleuré sur lui et, le saisissant par la peu. du mon âme; pour la première fois il cou, je l'enlevai de terre ; il ne pouvait m'atteignait en me portant un coup pas nie mordre, mais avec ses grilles il Si soudain et si terrible, qae tout on me labourait le bras ;j'avais mis habit être intérieur s'en trouvait ébeanlé. Je bas pour piocher plus à l'aise. Olivier sentaia min moi un mal profond ; je .'a- secouent, et au risque de se faire mor. vais pas le courage d'y porter le il dre, saisit les pattes de la bête folieu. gord, il me suffisait de le savoir sans se, d es cordes bientôt, et dé bâillonné, mède. avec posés pur terre. feCOmme un taureau blessé cherche min Cependant mon beau calculait de ring. objet contre lequel exercer sa forma, Sophie, pâle et toute II'emblante, s'ap- j'appelais sur ennemi : Il ne se prés,n- procha de moi' ôta uu fief'. de mous. lait à mes yeux que la Aouce image de saline qui lui entourait le cou et muse, mon frein une demandant pardms d'un loppa man bras. moment de défiance. J'auesie voulu des - Merci ! lui dis-je, la blessure est querelles, des reproches amers, des guérie. S'il n'y en avait jamais de plus aces ; je ne trouvais que des preso- profondes t... ues nde In touehsnte amitié. I1n On s'empressa autour de moi, on instant la plus pensée me vint qu'on se jouait m'interrogea avec sollicitude. Je repon peut-étre de moi, qu'on spéculait sur dis assez brusquement, et, pour cou. Il ^ a gé'éeosilé ; le sang bouillonna dans per court, jr me hâtai de remettre mon la B les. Mais non, c lIe supposition habit comme Si eientde n'était. n'était pas possible : en fait, o. se Il- La renarde prise, prendre les petits "ait volontairement à moi, on s'espo fut l'affaire de cinq miaules. On les sait à être trahi ; or les fourbes crai plaça dans on panier colvert ;puis M. gent la fourberie ; la loyauté, seule, ur'eùt du Quillio donna le signal de I. retraite. roll à la loyauté. Mais ce qui Il avait eu le soin de laisser ses gens rasséréné l'âme en toute antre cireone- Si ou ce arrière, pou reboucher le trop, tance, m'accablait présenlemenl. duos la crainte qu'il ne ramât necideot était droit et confiant avec pou- sus bestiaux qui venaient paître dans voie-je titre faux et trompeurs? s.Î'entre- Il lande. j voyais la nécessité d'an sacrifice qui me faisait frémir d'épouvante. Les choses, toutefois, ne m'apparaissaient encore que tusément, je n'avala pas assez de liberté d'esprit pour démêler la voie à suivre. X. Deux ou trois heures s'écoulèrent ; le soleil baissait à l'horizon ; il était temps de rentrer pour le souper. Lorsque j'arrivas au Plesquen, ou allait se mettre à table. - Et votre bras, vaillant Cny P aria M. do Qnillio, dès qu'il m'urperçut. - Mon bras 9.,. répondis-,je d'un air étonné ; ah 1 oui: oh 1 ce n'est ciao. - Diable! verra êtes donc dur comme regcin ; car la maligne bête vous eüt enlevé In peau en deux minutas, si ou l'avait luissée faire. - 110'Ilemeny tu as eu tort de o pars revwlr tout de suite, ma dit s père, il fallait soigner ça ; Olivine a été tu chercher et si a pu le trouver. - Je me sois un peu égaré, repris- je, en voulant suivre en chemin cou- ea -- Par ma foi ! s'écria 51. de Qntllia, il faut y mettre de la bonne olonté pour s'égarer de la lande de Plémi au Plesgnon. Enfin, égaré s'est pas perd., voilà l'enfant prodigue, allons manger le veau gras. A table, non bras me fit bien v ci, que les souffrances morales n'enlèvent pas complétemeot le sentiment du mal physique. Es portant ma c iller à ma bouche, j'éprouvais des tiraillements si cruels, que je fus obligé de me servir de la main gauche. Lu reste, en un sens, cela me devint utile; je ue pouvais pas manger, chaque bouchée m'étirant. Fortifié par de saines lecturee, api' le fils do Limousin, niâtre à l'étude , une des régions où le dialecte local est encore le plus défectueux, en vint à parler et à écrire avec une parfaite pps raté ces deux langues admirables. liés ce moment, il se sest(t attiré vers l'tna- trhetion de la jeunesse. L'heure était venue pour lui de choisir e prafea- sion utile. Une carrière agitée, comme tufs des armes, ne convenait nullement à son esprit méditatif ; il suivit dans Il I&1111 où le portaient ses goûts na- torels. lj y ,var., au commencement dei'Empies, nue grande pénurie de pro fepseses ; M, Sauvage était une es' celiente recrue pour cette milice, qui sait aussi donner des preuves de dé- vouement et d'abnégation et conlribner, pour une boule part, 11 la gloire et à l'honneur du Pays. Les commencements de M. Saurage turent modestes ; il assey7ait ses forces et se souvenait de la légeole d'Icare. li fut attaché d'abord à l'enseignement libre, et de 1806 1820, '1 remplit les functioos de proàfesseur donsedivers établissements privés. Nous le voyons, en 1800, chargé des classes ilémentaves à Villeleasehe d'Aveyron ; en 1807 pro- fesseur de 3' à Uaerche (Corrèze) ; 1808, dirigeant801la mémo clasnotre se à Pé- tgsreux. Ln 0, rudu, bonne fortune conduit M. Sauvage à Toulouse, q.'il adopte pour patrie et qu'il an quit- tera plus. Iletenez bien nette date, mes- sieurs, pendant 65 années il a vécu de votre vie, il a prodigué à nos pères et à nous-mêmes tous les trésors de son âme et deea pensée. N est-ce pas le plus bel éloge t du puisse faire d'un homme, que de signa Ier une telle cons- tance et un si long dévouement - 11 passa once annéee dans l'tnstilulion St-Martial, dirigée par M. De-.c ; des professeurs très.dlslissguis, dont sieurs parvinrent à des emplois hono- rables, dosnatest là l'enseignement à de nombreux élèves. 5I. Saurage était de tous le plus distingué. Plein d'éner- gie,rude au travail, il soutenait sa thèse de tic scié eu droit, sn'vait assidûment les séances de la Société de dettes, où il avait pour collègues 0I. Adolphe Clac, et M. Tajan, qui devaient us jour être ses confrères à notre Aca- démie ; il continuait en mémo temps ses études privées qu'il ne déserta ja- mais, et Irouvait score des Iseures pour écrire dans le Joarnal de Tou- hause de nombreux articles sur des su- jeta littéraires et artisliq.ea ; il y a laissé l'empreinte de son esprit 'déli- cat, de sa verve brillante, de son Style élégant, et de son inaltérable respect de la tangue glait, la maladresse et la lenteur de mes mouvements purent expliquer pourquoi mon assiette ne se vidait pas. vs 1. lin I, dit M. du Qnillio er du souper, que faisons.nous de notre peisonviert Voulez.vous voir nue chasse a vue sur la prairie, mesdames r - Comment ! dit madame de Qnillio, allez.vous limiter cette vilaine bête qui continuera à dépeupler nos poulail- lers P - La lâcher, sans doute, mais bien muselée, Ivre Drendor, Loubino, Vitesse et Iranfure à ses trousses ; je répands qu'elle sera prise au bout d'uoe demi- heure. - Oui ! oui I de tontes parts, ce sera charmant, une chasse à me. Enehsmé de voir son idée si chaude- ment accueillie, M. du Qnillio distribua les places et les rôles immédiatement. Les dames iraient occuper le point le plus élevé de la prairie vers le milieu ; de là il leur serait facile de suivre de l'mil toutes les évolutions de la chasse. Olivier, à uoe extrémité de la prairie, et moi de l'outre, chagun à la tête de deux ou trois gens de l'lesg.en, nous anciens pour mission d'elbeayer le re- nard à son approche, ,lin de loi foire rebrousser chemin ; il ne pouvait gnére s'échapper par ailleurs : la prairie était bordée dans le sens de ea longueur, h droite par un ruisseau, à gauche par un talus tort élevé : de la sorte, l'ani- mal faisant la navette, la chasse se poursuivrait toujours sur la prairie jus- qu'à la période finale, Msoev en L1voNN1lnn. (La sui(, d demain). Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

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BMEAtlX .fuir.,1/1ut houle, 41. Mardi 15 Mai 1876

TOURNAI, DE TOOI,POLITIQUE ET LITTERAIRE

ToaROSase I .Hors ToWoaswI HEURES DES DÉPARTS ET DES ARRIVÉES DES TRAINS DES CHEMINS DE FER DO MIDI ET D'ORLÉANS

SIXM1IAN. IS..'... finir. LN AN., , ; - 60 fr.ABONNEMENTS

MAIS... 28 -TROISMOIS.. ff, I TROIS M015. fq Ligue de Borderez.

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Ale 19eclelé Générale des AnnoncesLES ARNONCES (

ZL Rai nss Dssancna, TOULOUSE.

SONT REÇUES Choc MM. Havre, LafBte et8, rasai ea u Boesse, PARIS.

Matin (direct) 19 h 15

Malru (exprJ, fi

30

Soir, t 35Soir (Aime), 6 301

Matin fdireoi) 316 làMatin (Agen), 8 4RSoie (espr.), 4 45Soir, 3 35Suis, 10 40.

Dépara : Arrivées

Maim 40 0 .. Sorr, t h 15Soir (expr.), E , So r, 4 51

40 15Soie, 4 Soir.doras1Soir Carc 6 15 So r 1. 1 55

Matin, 1h50

(pu.), 12 1110

Sut, (Manse.), 5 40

Ligue de Fol..Départs Arrivées :

Matin; 9h 20 Matin, 9h55Soir, 2

Suis

Soir, 5 50Soir, 5 20 oir, 9 40

Ligne d'Orléenea Leeos-Alhl.

Mal. I5lonh.), 9635

1

Matin,Son (Pau), 1 35 Matin,Soir (Bayant,, 5 35 Soir,Soir, 9 55 Soir,

1h505l0 4

1 555 40

9h553 47C. (Matin ldreeal, 3 h ID Malin (C harc) tl, 55

(Matin. 5 ces,., r en

Toulouse, 25 Mai M. Talain roi,''uat le projet, Il sepro-nonce tre ln e m nopole en repro,--caant aux grandes c mpagnies d'élevertrop smsvent les tarifs

Le Ministre des travaux blice dé-l'ÉI,ÉCjRAPfiiE PRIVÉE ci." que le monopole des Îmmla. de

Paris, 24 mai, 5 h. 35 do soir,Le centre droit et le groupe Wallon

sont tombés d'accord pour établir laproportion suivante dons la Commissiono05tituticnuelle : 13 membres des ga-

ches, 5 du groupe Wallon, 4 do centredroit, 1 du groupe de Cleraq, 4 de ladroite modérée, 3 de l'extrême droiçe.

Les noms arrêtés par le centra droit,d'accord avec le groupe Wallon, Bout:ppur l'extrême droite, MM, Aubry, deBelcaatel, de La BachIronie. Disacnia pour la droite, MM. de Serdrel,de Cnmout, de Rességnier, de Seigey ;pour le centre droit' MM. Paris, Selsol,Telle., Lambert Sainte-Croix I pour legroupe Wallon, M51. de Lavergne, Deau,Ant. Lefévre-Puntalis ; le b' nom n'estpas encore arrêté.

Le dfonismr dit que Ni. Amiral, vice.présidenl do Conseil d'Elat, dans unelongue erineersation avec Il. liulfet, lai

fait observer qui il paumait -loironce énergie le scrutin par arrondissement, soue poser par aven'. la questionde cabines, et surtout sans laisse courirle bruit que la question de cabinet pour-rait deoeair une question de gouver-morat.

M. Bulrnt o maintenu ses déelaru lions

précédentes, et s 'cet montré décidé à po-ser la question de emsfsassr,

Les délégués du groupe VVallms ontconféré avec les groupes de la gauche,relative.mentà la o mission des Trials.L'euteote n'a posssible. Les né-

Bout rompues.La gauche prépare une liste de candi-

pels. La droite et le groupe Wallon enpréparent une autre.

Le comte OrluI est parti hier flancEms. Il a rait samedi une visite à M. lemaréchal de 51a, àlalson.

Le bruit d'on échange de lettres ente'

le président de la République et lePape, est démenti.

e vécue".Paris ,s24am i, 8 b. 40 do soir.

L'AssemLlée nationale a repris lu dé-

lihérntion du projet relatif' à la conces-

sion de chemins de fer à la compagniede ParisI,yun-5léditrrranie.

M. Cézavne, rappoeleur, sourient leprojet de loi. Il fout remarquer queles grandes compagnies construisentbeancuup plu, rapidement que les

ompagnrea llesles. Il prouve cette as-sertion par une statistique détaillée etranclul en priant ]'Assemblés de ne pasrompre et l'unité do réseaudes chemins de fer français.

Cemmenl échapper à Celle horribleauernative de trahir mon frère de lafaç'o la Plus odieuse, au de s erilii,rcou nr 7 Patsr la première fuis, lemut, les vrai mot se d res.so devant mai :j'aimais Soi, hir, je l'aimais éperdument.Mais Olivier l'aimait aussi, il l,dlaitdmmque l'un d. mous deux, le doue percélie l'autre, restât s r le champ clos

-:1.B pnussrit ..tee malheureuxdestin.

- T. ne me réponds pus, Cny, repritOlivier, psrleras tunsà ophie P

Allons t allo11

las Pan-Arech I'Wons cela de loin M. do Qnillio qui veHait d'arriver au terrier. Debout, çarades I vit, ici ! ça commemce à gentil.ler larfessons.

- Oni r amurai-je d'une voix creuse je I ni' parlerai, je te le promets.

Nous us levâmes, olivier et moi.Olivier m aAressa un regard ecooovais-sont. OMIS, I il interprétait trop bru,..blemen l rnon émotion; Il gémissais an-tant

s,r m i cens Bar lui.qui m'a donné d,, rhns-- Qui est e

n, dit M. ,h, Quinto,quand .. .B nous l'âmes rapprochés;

les est une forme de l'administration del'Rtut et un véritable monopole national.Il ajoute que les grandes compagniesdéveloppent dans le pays la richesse et

travail.

Le ministre dérdare que le gouver-nement présentera prochainement unprojet concernant les employés de che-mina de fer. 11 fait remarquer que lespetites compagnies vinent à obtenir laconcession d'un grand réseau Bous leprétexte de petites lignes et de Iras.çoas. Il demande de renvoyer, la discus-ton à

de.Ce est décidé par l'Assem-blée.

La séance est levée.

Londres, 24 Si.mUnarticle du Timea, faisant allusion

à l'attitude de l'Angleterre pendant lacelle récente, dit: La L'racer et l'AIle-

e paraissent étonnées qua lordUorby ose offrir un conseil ;nous n'hé-sitous pus à dire que, comparée à d'au-tres nations I'Anglelerre est au moins

si forte aujourd'hui que la veille dela grande guerre française.

Les valsons du continent an trompenti elles s'imaginent que lAngleterre cer-

s a d'employer sa diplomatie pour lacause de la paix et de la défense de lajustice. Nma trouvons maintenant lesaRaires de France plus mléeessantes queles nôtres. Le mi ,isture des atteinsétrangères pourrait facilement redevenirle dépaetenseut le plus en vol.

Londres, 24 mai.A la Chambre des Communes, M.

Diseaéli , répondant h M. Aetiogtuo,oufirmn que l'Angleterre a fait desreprésentations au goeeer.emant allemort sur les relations entre I'Allemu-

gue et la France. Le c raclére de ceseprésegtations a été de corriger defausses conrepttuns et d'assurer la

pais.

Le gionnte ,cessent a reçu une réponsesatisl'aisanteh ces représentations. L'm-térél public exige que la correspondancene sort pus communiquée.

av- »forée..Paris, 24 mai, 10 h. soir.du salon: Peinture, médaillesdePrieD

classe; 51M. Cuurtal,Cou

pli,Jacquet; gravure, M. 15001; architac.ture, M. D'tort.

Berlin, 24 mai.Le dfaniteur o/ficiel de l'Empire dé

ment de nouveau calég eiquemeot 1.bruits répandus par le Nord.Deutsche et

voilh tout à l'heure la besogue faile,et vous restiez là à bayer aux coesetltes I

Je ne supposais pas, réponditOlivier, que le travail irait

Sirapide-

ment.- Ah ! dame, vous vous croyez à

Saint-Médéac dans vos terres dures ettailleuses ; ici nous n'usons que d.

sable, ou bêche là-dedans comme duosdu beorro. Mais ce n'est pas ça, cesil soles

sont en route, elle ne se pres-eunssgealeur rdimz, mi

reedo hmter lespaaoasutre-menu, zut pour elles !

Olivier parti, M. do Quillio voulutcanter des histoires de chasse ;

tais peu en humeur d'écouter; saisis-et un outil, je m is 3 piocher à

tour de brus. L'arrivée des darnes tasu'interrompit point, à peina levai-je min

isslsnl ira yeux d.: leur côté, la poux-

'ra volait auteur de moi, on cil ditq

rer une créatureque je voulais déter

vivante.

- Pan 1 boum Y pan ! boum 1 allons,ça eu, maure Guy, cna;t M. do Qnillio

corde I quel bédheux I voilàquia s'appelle y mettre de l'hoite debras.

- Arrêtez ! arrêtez I reprit-il min ins-tant ,peés, voyons nu peu ce qui sepasse b dedans. Du silence, s'il vousplait, mesdn mes I

I1 descendit dans l'excavation que

nous avions faite, se coucha à plat eeo-

tee et écoute, l'oreille contre terre.

- La mère y est 1 cria-t-il eu se rele-

vant, lala été

y est, ou entend un remue-ménage du

'i'

ahle-

Je repris mon travail avec la mêmeardeur. 'Finir coup, ma pioche s'étantenfoncée jusqu'à moitié du manche, il se

8 51

11 25

Ornolbue de Banlieue

Lluwn, lec...oi. , uaeawal, ] 9. 55 h. mi

4 h. I b. . N h m.; 1 h. 5 h. a h.5s,re-8emon, Parle Léeière... li 6.10 h. Ith. m.; 9h. i h. e 0 h. el.f A, 5. e h' e'

1, 8, t h.Ceo,a-paueaae-Lsr.ma.... ] h. 11. h. m., 3 h. î h. s. 1 h. 11 hm.;B h.1.h.Apucnec, par l ehire... ] h. 11 h. m., 3 h. 7 h. I. tl h. lP4 m .

â h 11Y m?1.,

1 4 . n . . ; 5 h 1P.Caonxoz.........Larooncairrn 005.55.: T h. I. 8 h. m.; l h a h. I

h

8 h. I.Monraiwan, par le pwt d. peur. t! h. m. ; 5 h. n. 10 h. mla

. t. I.

S e. 8 . m. 56 11!lles.. , (i h. m. { 4 h.a:so-uoe, per les Yre ]!P0.sçe Maarm, 7 hh.1E h. m. ; 5 h. s. e h. il h. m.euewnue, P:nuowv..... 7 . m . 4b. a. 8h. 11!m.; 5h. .1 r.SunrsAcna, mnrxwr.. , .. 8 b. 10 h. m. 4. h. e. 7ha' li 11 h.lllm.t 5b.1!Pnaae .... ... , 1 hu m 1 h. a.Nora»-Duea-a'Av...... ] h. m.

Nora: Louasse, d. a Tilla aammenee d 6 A. du m.,id d ifna d r A.da lek

d'autres journaux, que la Prusse aurait commissionque la majorité fut favorable avait l'honneur de le posséder, et ce-envoyé une cireuhire relativement aux au scrutin de liste; de groupe Wallon a perdait peraoone oe s'apercevait quecadres de l'armée française. refusé. le temps fuyait, d'une marche lente,

jour parmais inexorable, en amenant,

Bruselles, 24 mai.A. Sénat, le ministre des aftires

élraogéres a dit : Le gouvernementdoit

..Sénat

la communiralinn desdocuments diplomatiques ichangts entreb Belgg' lue et l'Allemagne,Le Séoat décide que ces docmnents

ne seront pas lu,, ils seront déposésduos

les bureaux.

Le ministre ajoute que les pièces re-latives à l'instruetlou de f'il'aire Du=chesne ont été remises samedi à M.Perponcher, h ces documents étaientjointes des explications. Les pièces ar-rtveront josed'hui seulement à Ber-lin, Le Sénat comprendra la réserveque le gouvernement garde actuelle-ment. Celai-ci espéra pouvoir s'expli-quer à bref délai.

La discusstou sur les documents dé'posés est mise en tète de l'ordre dujour.

Berlin, 24 mai.La Gazette Nationale ostots que

M. de llohenlohe, à la dernière réceptionde lit. de Mac-Mahoo, a lait plus qu'un=q'1

e témoignage dePaillasse.

Avantuitter la Prusse, il a été halte par

l'empereur d'assurer M. de Mac-Mahonde ses sentiments les plus bienveil-antsA1. de Mac-Mahon aurait adressé à

celte occasion les remerciements les plus

ommuni-cordOua, on n'empressant-daquer cette bonne nouvelle à tout sueen lus rage.

Berne, 224 mai.Les résultats comm. do .te général

donnent : Pour la lui relative -rcage civil, 205,588 vni. contre 181,057;pour la lui autorisant les Suisses domi-ciliés dans un But" canton que celuide leur origine, à prendLe. part aux vo-les du canton où ils se veut .prés'x mois de séjeup 194,501 contre

184,775.Le eésulmt do vote général .'est pas

encore définitif, mais 1. loi sur le ma-riage ciell peut être considérée commeadoptée à une faible majorité ; l'autreloi est rejetée.

ateor cfrfcun

Paris, 25 mai, 6 h. du matin.Il se confirme que les gauches mat

proposé une liste spéciale de candidatspour la eummisstou des Trente ; legroupe {Vallon nue autre leste. On igno-re encore

Si

les droites auront u eliste spéciale ou Si elles appuieront laliste Wallon.

La capture a été principalement vo-eovioonée par la question du scrutin de

liste. Les gauches voudraient dans la

Le Jouirait des Débat, est autorisé h

déclarer que M. Raille décline toute

candidature pose lu commission desTrente.

L'GCAO f uioersel dit que dans une nou-velle coegeesation; hier, entre M. Beth.

mot et M. Reflet, ce dernier a déclaréjamaisformellement qu'il nbccepterait

qle scrutin deliste, et u'il préférerait se

retirerutrque faire des élections généra-les aement Il, 'avec le scrutin d'ar-rondissement.

Moeehd de Pari, du 23 mai 1875.

Spiritueux52 + à .+

CHRONIQUE LOCALE

La procession générale de la fêteDieu sortira dimanche prochain 50 mai,à 1 heure de_l'apeèu.midi. Elle se reu-drn directement à la place de la T'ri-mté, suivra -suite les rues des Chan-ges et St-Rome, le côté ouest de laplace do Capitule, et la rne du Taurj usyri à l'église de ce nom, où elle ferastade..

Eu sortant de N.-D. do Tour, la

i,B.i les rues S.

du T, la place St-Gcorges, la rue Boul.bpou I pl St l:tiBons et re l'aradansé église Metropolrtarne.

Les compositions écriées du concoursd'admission à l'école navale se feront

dues tous les centres d'examen les 11,et 2 joie piochai..

Les ouancoms o ux auront lie. à Tou-louse le 14 août.

ACADÉMIE DES SCIENCESInscriptions' et Belles.Lettres

de Toulouse.

Séance publique du 23 mai.

Éloge do H F.Par M. Aug. Pmos.,

embce _ida t.

Oui, easieses, ce qui semblait êtreimpossible, est osalheureusem¢ot vrai ;ce que nous n'aurions jamais osé crain-

dre ou prévoir s'eut qae trop certain :cet excellent homme, au '.or ardent,à l'esprit alerte, qui paraissait toucher

àPli

e au se il de 1. vieillesse, ceconlrére vénéré, Si assidu à nos séances,

aTecluenx pour nous, il nest plus !Depuis bien des armées, l'Académie

jour, l'heure fatale 1 Sa place est videau milieu de nous I soua ne verronsplus ses traits doux et sgmpathigaes,son charmant sourire nous m enten-drons plus les obserratiosa délicates etfines qri il avec tant de grd-ne..... - Eu a.nonçnot la mort de l'ablié de Coulanges, le bien bon, madamede Sévigné disait h Busst-Rabutin La.'perte q.'on fait des vieilles genss n'empêche pas qu'elle an sait aemsi. bée, quand on a de grandes raisonse de les aimer, et qu'au les a toujourse

vol.Mou cher oncle avait 80 ans ;

n il était accablé de la pesanteur deest âge ; il étuit infirma et triste de

o

élut'la vie o'éloit plus g.'un

. fardeau pour lui. Qu' eût-on donc

. voulu lui souhaiter I uon aonliuuationv de souffrances t Ce sont ces réflexions. qui ont aidé à me faire prendre pu-. tienne. + Nous lo avons pas, messieurs,le ro@me sujet de consolation que lamarquise de Sévigné. A 86 ans, M.Sauvage ne 'Basenlast ri a la pesas-tour ni les infirmités de âge. Unemortsondainu, inattendue, nous l'a enlevé, possédant le libre et c mpletexercice de ses facultés. Pour adoucirl'amertume de vos regrets, vous avee,voulu que la voix d'on ami de quaranteannées fut l'iutveproi. de

'aisentt-

ments ; vous avez souhaité q.'unexisteuce aussi bien vent plie bissât au

'v Y AMmolree.a quelque tra tr dans .sL cs orage par votre meuve de l' epinslin

iodai

, tncnrr, par le souvenir de 'affeu'lot

e que nouapanéminentfrère m'accordait, je .'ai pas craint

etd'e [reprendre cette tâche difficile,de l'accomplir avec les seules ressour-ces de mon cmar.

51F Sauvage était né à Bri-ns,département de la Corrèze, le 22

septembre 1788. Il appartenait à e

de ces honnêtes et laborieuses famillesqui conservaient les mmurs tradition-nelles de la province, dans leur aus-tère simplicité. Il reçut, de bonne heu-re, un enseignement et un exemple,dont il garda toujours l'empreinte; ilapprit, au milieu des siens, le respectde sot-méme , la science du devoir,l'utilité du travail. Comment S'écoulé.eut ses premières armées, nous l'igno-

. L'enfant de ces âpres montagnes,tousi éloignées à celte époque du. courba

de la civilisatiuo hançaise, dt tirerprofit des écoles fondées à

1.

smillede la révolution de 1789 et y recevoirles premiers rudiments des lettres.Doué d'une extrême vivacité, d'unepéné[mtion sivguliére, favorisé de Il existait alors encore même à Tou-

v l'in0uener. ser:réte .dont parle Bol lause, ce qu'on nommait denSalons cesIrait, le jeune Sauvage fit des progrès

1réunions entretenaient l'esprit français

rapides dans les langues Irançaise et et le goût des lettres. M. Sauvage y fut

latine, qui alors étaient peesq e l'uni- I accueilli avee empres »mention applau-que objet de l'enseignement classique. lissait à ses saillies, à ses boutades, à

fi éboulement à l'entour. Un énor- Je restai au terrier sous prétexte deme renard, prompt comme l'éclair, bun- diriger le travail. Mais à peine la com-dit par l'ouverture, me rasa la jambe pagaie hors de vue, ,je m'éloignai à monet franchit l'excavation salué e tour. Traversant la Il de de P16mi, jehaut par les cris de toutes ies personnes gagnai des coteaux qui la Terminaientprésentas, fou de terreur, il rejeta

douxau loin, et, de ('Bulle côté, je descendis

un épais buisson de roncos qui joignait dans une vallée inculte et cou;,rte deun des côtés du terrier ; je m'étais broussailles. .l'allais sans but, cher-élancé à la poursuite de l'saimal. Le chant seulemeal la solitude.voyant qui se frayait diffcilemeot pas- Depuis vingt-trois ans que j'étais mssage à travers les ronces, je me jetai monde, le chagrin n'avmt pas clfleurésur lui et, le saisissant par la peu. du mon âme; pour la première fois ilcou, je l'enlevai de terre ; il ne pouvait m'atteignait en me portant un couppas nie mordre, mais avec ses grilles il Si soudain et si terrible, qae tout onme labourait le bras ;j'avais mis habit être intérieur s'en trouvait ébeanlé. Jebas pour piocher plus à l'aise. Olivier sentaia min moi un mal profond ; je .'a-secouent, et au risque de se faire mor. vais pas le courage d'y porter le ildre, saisit les pattes de la bête folieu. gord, il me suffisait de le savoir sansse,

d es cordesbientôt,

et débâillonné, mède.avec

posés pur terre. feCOmme un taureau blessé cherche minCependant mon beau calculait de ring. objet contre lequel exercer sa forma,Sophie, pâle et toute II'emblante, s'ap- j'appelais sur ennemi : Il ne se prés,n-procha de

moi'ôta uu

fief'.de mous. lait à mes yeux que la Aouce image de

saline qui lui entourait le cou et muse, mon frein une demandant pardms d'unloppa man bras. moment de défiance. J'auesie voulu des

- Merci ! lui dis-je, la blessure est querelles, des reproches amers, desguérie. S'il n'y en avait jamais de plus aces ; je ne trouvais que des preso-

profondes t... ues nde In touehsnte amitié. I1n

On s'empressa autour de moi, on instant laplus

pensée me vint qu'on se jouaitm'interrogea avec sollicitude. Je repon peut-étre de moi, qu'on spéculait surdis assez brusquement, et, pour cou.

Il^ a gé'éeosilé ; le sang bouillonna dans

per court, jr me hâtai de remettre mon la B les. Mais non, c lIe suppositionhabit comme Si eientde n'était. n'était pas possible : en fait, o. se Il-

La renarde prise, prendre les petits "ait volontairement à moi, on s'espofut l'affaire de cinq miaules. On les sait à être trahi ; or les fourbes craiplaça dans on panier colvert ;puis M. gent la fourberie ; la loyauté, seule,

ur'eùtdu Quillio donna le signal de I. retraite. roll à la loyauté. Mais ce quiIl avait eu le soin de laisser ses gens rasséréné l'âme en toute antre cireone-

Si ouce arrière, pou reboucher le trop, tance, m'accablait présenlemenl.duos la crainte qu'il ne ramât necideot était droit et confiant avec pou-sus bestiaux qui venaient paître dans voie-je titre faux et trompeurs? s.Î'entre-Il lande.

j

voyais la nécessité d'an sacrifice qui me

faisait frémir d'épouvante. Les choses,toutefois, ne m'apparaissaient encore

que tusément, je n'avala pas assez

de liberté d'esprit pour démêler la voie

à suivre.

X.

Deux ou trois heures s'écoulèrent ;

le soleil baissait à l'horizon ; il était

temps de rentrer pour le souper.Lorsque j'arrivas au Plesquen, ou

allait se mettre à table.- Et votre bras, vaillant Cny P

aria M. do Qnillio, dès qu'il m'urperçut.- Mon bras 9.,. répondis-,je d'un air

étonné ; ah 1oui:

oh 1 ce n'est ciao.- Diable! verra êtes donc dur commeregcin ; car la maligne bête vous

eüt enlevé In peau en deux minutas, si

ou l'avait luissée faire.- 110'Ilemeny tu as eu tort de o

pars revwlr tout de suite, ma dit s

père, il fallait soigner ça ; Olivine a ététu chercher et si a pu le trouver.- Je me sois un peu égaré, repris-

je, en voulant suivre en chemin cou-

ea-- Par ma foi ! s'écria 51. de Qntllia,

il faut y mettre de la bonne olontépour s'égarer de la lande de Plémi auPlesgnon. Enfin, égaré s'est pas perd.,voilà l'enfant prodigue, allons mangerle veau gras.

A table, non bras me fit bien v ci,que les souffrances morales n'enlèventpas complétemeot le sentiment du malphysique. Es portant ma c iller à mabouche, j'éprouvais des tiraillements sicruels, que je fus obligé de me servirde la main gauche.

Lureste, en un

sens, cela me devint utile; je ue pouvaispas manger, chaque bouchée m'étirant.

Fortifié par de saines lecturee, api'

le fils do Limousin,niâtre à l'étude ,une des régions où le dialecte local est

encore le plus défectueux, en vint à

parler et à écrire avec une parfaite pps

raté ces deux langues admirables. liés

ce moment, il se sest(t attiré vers l'tna-trhetion de la jeunesse. L'heure était

venue pour lui de choisir e prafea-

sion utile. Une carrière agitée, commetufs des armes, ne convenait nullement

à son esprit méditatif ; il suivit dans

IlI&1111 où le portaient ses goûts na-

torels. lj y ,var., au commencementdei'Empies, nue grande pénurie de profepseses ; M, Sauvage était une es'celiente recrue pour cette milice, quisait aussi donner des preuves de dé-vouement et d'abnégation et conlribner,pour une boule part, 11 la gloire et à

l'honneur du Pays.Les commencements de M. Saurage

turent modestes ; il assey7ait ses forceset se souvenait de la légeole d'Icare.li fut attaché d'abord à l'enseignementlibre, et de 1806 1820, '1 remplitles functioos de

proàfesseurdonsedivers

établissements privés. Nous le voyons,en 1800, chargé des classes ilémentavesà Villeleasehe d'Aveyron ; en 1807 pro-fesseur de 3' à Uaerche (Corrèze) ;1808, dirigeant801la mémo clasnotrese à Pé-tgsreux. Ln 0, rudu, bonne

fortune conduit M. Sauvage à Toulouse,q.'il adopte pour patrie et qu'il an quit-tera plus. Iletenez bien nette date, mes-sieurs, pendant 65 années il a vécu devotre vie, il a prodigué à nos pères età nous-mêmes tous les trésors de sonâme et deea pensée. N est-ce pas leplus bel éloge

t dupuisse faire d'un

homme, que de signa Ier une telle cons-tance et un si long dévouement -

11 passa once annéee dans l'tnstilulionSt-Martial, dirigée par M. De-.c ; des

professeurs très.dlslissguis, dontsieurs

parvinrent à des emplois hono-

rables, dosnatest là l'enseignement à

de nombreux élèves. 5I. Saurage était

de tous le plus distingué. Plein d'éner-

gie,rude au travail, il soutenait sa thèsede tic scié eu droit, sn'vait assidûmentles séances de la Société de

dettes, où il avait pour collègues 0I.

Adolphe Clac, et M. Tajan, qui devaientus jour être ses confrères à notre Aca-démie ; il continuait en mémo tempsses études privées qu'il ne déserta ja-

mais, et Irouvait score des Iseures

pour écrire dans le Joarnal de Tou-

hause de nombreux articles sur des su-

jeta littéraires et artisliq.ea ; il y a

laissé l'empreinte de son esprit 'déli-cat, de sa verve brillante, de son Styleélégant, et de son inaltérable respect

de la tangue

glait, la maladresse et la lenteur de mesmouvements purent expliquer pourquoimon assiette ne se vidait pas.

vs 1. linI, dit M. du Qnillio erdu souper, que faisons.nous de notre

peisonviert Voulez.vous voir nue chasse

a vue sur la prairie, mesdames r- Comment ! dit madame de Qnillio,

allez.vous limiter cette vilaine bêtequi continuera à dépeupler nos poulail-lers P- La lâcher, sans doute, mais bien

muselée, Ivre Drendor, Loubino, Vitesse

et Iranfure à ses trousses ; je répandsqu'elle sera prise au bout d'uoe demi-heure.

- Oui ! oui I de tontes

parts, ce sera charmant, une chasse à

me.Enehsmé de voir son idée si chaude-

ment accueillie, M. du Qnillio distribuales places et les rôles immédiatement.Les dames iraient occuper le point leplus élevé de la prairie vers le milieu ;de là il leur serait facile de suivre del'mil toutes les évolutions de la chasse.Olivier, à uoe extrémité de la prairie, etmoi de l'outre, chagun à la tête dedeux ou trois gens de l'lesg.en, nousanciens pour mission d'elbeayer le re-nard à son approche, ,lin de loi foirerebrousser chemin ; il ne pouvait gnéres'échapper par ailleurs : la prairie étaitbordée dans le sens de ea longueur, hdroite par un ruisseau, à gauche parun talus tort élevé : de la sorte, l'ani-mal faisant la navette, la chasse sepoursuivrait toujours sur la prairie jus-qu'à la période finale,

Msoev en L1voNN1lnn.

(La sui(, d demain).

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Page 2: BMEAtlX .fuir.,1/1ut houle, 41. Mardi 15 Mai 1876 TOURNAI ...images.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1875/B315556101_JOUTOU_1875_05_25.pdf · le bruit que la question de cabinet pour-rait

r;..r..v; _.

la grise, mee'e. Ileooil, rée.ts: n l

Comme Lincisif, l u 0 Li 01 ie !fort bi In + np

nphei.eo Ira plu, r,a ris 1s.' lev un tour pjoli, dé I lI Il Il

t I II'" itp airlion h 1 r,la t a 1'.l

dans ,i gilde I l a

1 b.doleurs J t r 1

entent lire un jour des. ,l lu Dupede femmes, les vers des Géorgiques ailVirgiie raconte Irs 01fela déplorables des

filer ie sciviles. le n'oublierai ja mate l'ef-

{ produisit; si le gré^i eux andi-toirene comprit nos le sens des mots,il eut une ioluiaiun compléta dr. l'idée,et je vis les visages pitié et les yeux semouiller de l.rn.es,A cité drs salons ù se réunit dent

les personnages lce plus Coreidérahlesde ville, il exiuLait un peu partoutdos 'llieus de rendez-vous pan, les bon

avides de science, épris des lettres,

ux te part de bien dire. Qd11masoit permis de rappeler que Le Jour.nul, honoré des commuoicatinns deàl. Sauvage, était un de ces asiles pri-réris. Là, pendant dn longues a nées,an succédèrent les esprits distingués sur.

lie de nos Facultés, de nos Académies,de l'armée et du monde c'était letemps des fines causeries, des luttes del'intelligence, des petites querelles où

trou disait tendrement . Le pull.tique méfait parfais sa Dote discordante

à ce charmant concert ; rode si elleamenait quelques esc mo hes, le paisdonner l'assurance q 1 fleurets

étaient mouchetés. li ys'iliade blessures séclé. sc.le i s durai

pas, messieurs, les 1 s de' 1 esanis qui Prégn..nr. n1. dol t

bureau de j'art il, I pi 1. t sentparvenus h de tes butes posi-tions; quelques- mis siègent eneoeo danscette enceinte. M. Sauvage était l'baie l'l.rallier de la maison; il n'eu oublia jamaisle cleeuiin, et bi au pin de jours avantea art, 'I venait encore sasseoir dansle fauteuil qui loi était. réservé depuis

plus de cinquante années.M. Sauvage souhaitait avec passion

d'entrer dans l'instruction publique.I:n 1820 son désir YoC satisfait ; arc dé-

du ministre le nomma xgeégéousen.près le Collége royal de Toulouse et lechargea d'une divas on de seconda Lafille atuée do cil le F mdisait alors, l'Univcra lé eiopta Ion janteet tant Pf , déjà f 1 ou

l'envi g iemrnt et q -oit laitpreuves. Cotte n ,o l et I:rL ;. In

r gadru Ils ait II il propre,lieue Ils l plat gp teSauver 1 l'

t f l' M 1

tl'olégo duLaridis que la S'il bonnei ti ,

t"rance p é t t I p f I

ptii.s é lits q . notre siècle ait prodoits, Il Plus h irubie établissement deI'Uriver té F sait d, hommes demérite, [ahuriras, intelligent,, I

bien de bleu enseigner ce qu'ils soue ttiré -hier.

1 of . tt e de se-ou le el827, M. 8 g. tut po urv de lai,h ire de rhétnr 1ne on 1821 li as trouva t la saP son vrombis lorrain ;

uus;

tel il vite renargré et son rap de pas

royaldd 1iselr:nLblesnsPUVnirsau Collége

l.e 29 uo em bec 1930, rrété lenomma pr'desseinde littérature Lutineà la bruité des qui (avait dé-signé en première ligne au 'bois duMinistre. M. SneIge était alors danstonl.e la vigueur de 1'1ge et préparé auxradie labeurs q local n souvetlea fouctious lui imposaient et qui s'angmen-laient des nécessités de temps.

Quelle époque i 1. quels hommes 1 Lesluttes pnlitiyuns, philvaophiques, lutté-' ar tillgnes, s'im pnsnientires, footsc

le et puranmic IrsIàlydui-

Ues controversesarasnteS

se prolent rhaque jour sur les hommes, Sur

les livres, sur les opinions. C'était l

voc, parce que la vie est le combat.Le

e

gouvernement constitutionnel, en don-nant la liberté à In Frauee, avait favo-risé ces guerres de la puisée, cent luisplus l'éoond'a que le char, des armées :l;hal.nxobri d Déranger, ra r Ilea-vigne, cuizt, Cousin,

Thuehier,

Victoresrilu Lleeu ts, Villemain,excitaient, à

des

s fil". divers, la pas-

sion du pnblir,. La Iribans polttfgne

entendait des orateurs d'une ia impa-rable éingnence. Ce vieil "pritloulou-ou

franchi lo brèrhufaite pur le 50,111e libéral qui animait

celte époque mémorable. Les journauxce mnüipliaient ; d'a publications

"Il-le s, comme la roue du hfidi ou 1.ltosaïgae, illustrée de dessine par Dida,attiraient des écrivains de talent et

d'avenir ; des éditions nouvelles de

reov et bons livres enrichissaient nos

bibliothi:gnes dus congréa appelaientdans 1. vieille cité une jeunesse avidede science et de progrès, et las mem-brus de ces assemblées se domptaientpur milliers. Ce qu'on appulla l'ordre

'à1att pas tri blé le mo du me nde.vnnn

lie

, Lion, fl ..,. ie l s, rr1 iw I oliA

i le

tillas de la hbute, parce que la liberté,eu api

rasIl le droit, maintient la né.

lutté du devoir et eo impose la facileobligation et le respect.

En ce même temps, Ils salles de nosl'acuité t pain à -flair lesflots pressés d. saisuum. La philoso-phie, l'histoire, la littérature, les scien-ces elles-mémos, moins aceesaibles agrand nombre, comptaient des audi.leurs intelligents, amie des fortes élu-des, admirateurs parfois peu discretsrte leurs martres. Les bruits de chaqueJ , les querelle. d'a î...otiqaea etde il

lasiliques tr. trnaievt dans Cas

assemblées joui ressi nal les une vive I De ce froid -po. é, il lut nu dtsenu'a soit ma titrée a le ril r et 1 "allée dé'alto.. Mais ue qui domiaait tout, élogaeot. Vingt-denx fois, il trouva le nommée rua de Dnyareoe et allée den'était l'esprit français, le sentiment de secret de rajeunir le même jet et de Garonne par la dernière commissionla grandeur et do génie de la France. Plaire au public d'élite qui sl'écoutait. municipale.Oui, Messieurs, on se faisait honneur I Il y pensait sans cesse, le faisait un Cette proposition, prise eu considéra'

lia l à d él , fortes choses En ce p chxq filer il y donnait à la jea- tien, est renvoyée à M. Laeaae, Calvett li, o a a r o t I s m es de Dos , d'exIl, ts n .ei le, frai rare et Gaillard. VlaIll)

ot lo 1 t Lt oI [ t à "a- ti C y 3 Ibru

loit I L "h l ! é Il 1lé é étt 1 l l l tbien 1 a t - tgn ,ocaif dpose pour1. c a+ e

t ... I 1 I, au 1 mps Lm ii ilfoi, étions d 'st I l siègent oupei d I d .uté.es t sa

1 il;, il 01 t u' e Ce q se p -s i I 1 1 S i I ".a ip f te ajoutait à s il I Moire répond que le budget esta

Q . 1 Y N t d 1 quedisco

e ga,e pat I maus en p dooration et la'il sera :léposéni ii i 11 ildit ltl fi de lia, t', h 1 r a. M h l .t Ai t Is e peraen au inana sesson.

ém t "so6 4 t, t 11 v. Nous voulioro cou, de faire t té à l impression.nid et I filon pa ter la lao u. +1; La Beopéee et

d, I1 s '"fous p d p-n R 1.1 d e de Rome

.t r'AO é à t oves du tantde n,hesaes , nous nova luiuns 'au leslongues étr:mgéers étaient inutiles, lelatin et le Lançais étant on langage

isole Nous avions le sentimentdeil'iailnene, que la France exerçaitdans le ruade ; notre chère Patrie alc-cupail alors le premier ring dans es

sciences et dans les ho hies ; elle régnaitpar les idéal, par oie volte du mouve-ment généreux gn'elir. +ommnniquait

natte, -Lieux. Cela none suffisait,

Messfeurs, cela nous rendait fiera etheureaa, noies travaillions, cous vivions

pro aria et fade, e1 nouas chantions aven

néronger :

Si Pau est Prussien en Plume,En Fronce soyons Français.

Nais avoue été bien punis de ce noblemais fol orgueil, mais n'est-os pas al-lé trop loin eu ..as imposait de non.veaux dieux, et eu nous fesaut délais-ser peu à peu ce qui dormait h antrepaye i ne physionomie propre q i.n forn+e, r quclgn sorte, le c eoctè-a trafdio net " Tout est changé,

Ion ira I u 1 p.. t Ll'ota S; b I..:

I'.,Ir d 1 I tvIrdi..ri q I.Lniveraiii de Lr s i

+pplei le nistére Le, l'i uctionb

e

l i.1noui s Pdispose t dosiin dr.+ prufesa.. ai et

us avons vu anglecro lin des plus e [no set des plus aimée parme o uns,jeune par l'esprit et 'intelligence, oblL-gé à nue retraite prématurée, sans panvoir parer le coup qui le frappait. Uninstant, le drapeau de la France a été

eu gaestion. Les Salons sont fer-mée,sles peti tees réunimrs intimes ontdisparu, on a semé parmi nous les eau-

' instincts, la méfiance et ln division,et. suivant le mot de Tacite, on nia, acondamnés à un triste ieolem¢nt, .sodi-badinme foriunt. La langue elle-mémea éprouvé de rudes atteintes. Lis m -gmf q ule léro on'el s te l l s+, onlluira Ji it uns nos d n dienota étr. 01eiu, qas r ,ci es dhené.,mom+t l'avis d: M nuage, r ho.t Ilr 01 1 f àl.. "L pro

uniullion, , Plutôt lune ubaenae dentyl, lu f . le ag N. s l'ut roi } t le

h l I l t l t u' ttb clin Il, I pl "t t i l t

et rnain, le génie pote, i.i,e do Ionge franeOdis.

NI. 5 g p té pendant l tev t _ léc d fa

none G e q u a v a n t t ri était

tangara u lia e ,ritan

I,ier1,hsti neti on dr ll grande et de la porte

p dti m, i t t btile qui mainte tL i, nr l Midi, d file. n L t `III,an detr l u' I I g. t t +le Ilrlieerh t t jou s le b. .l s rotureiehcate ce se intentait pas du g+d-

aux et du joli. Aucun noble enti-icut ne lui , été étrar ger ; il vnv' t

font de haut. Le commerce des gro décnvaius, des penseurs par excelles 'r,tenait sur Soie élavée ; ou instinct particulier sua canars d'élite lui 00on traitlà l'idéal cher aux poètes, cher a

hommes de bien. Il estimait mieux Dossuit, [racine et Molière, fileron, Hors-ce et Virgiie, que l'a contradicteurs deces génies i mortels. Il ne mettaitren an-dessus d'eux et il avait raison...

Soyons de notre temps, a me disait-il nn,jour, =mis ne sacrifions jamaisau mauvais goût.

é1. Sauvage apporta ces idées danss'a chaire de la Faculté des lettres etil les exprima avec toute l'énergie deses convictions, pendant 13 années. Ilétait lui-méme ma oxcelleot modèle:personne n'émit plus que fui dans lecourant des choses, il voyait beaucoupde mondé, et sans prendre une partdécisive aux unclef les des partis, ilsuivait d'on mol attentif les événementsde taos les jonra; il se ennl 1, dansas leçons, de cr :+etualilés pour rn

jaunir les visas auteurs qu'il conon -tait avec une grande science et rune

intime et parfaite de 1.Innguesi

onceatine. Ses cours u Cicérou et

Virgile, ses auteurs préférés , a., lesépigrammes de Martial, sur les char-monts petits poiimea d'Iloraee sont restésdors la mémoire de taus ceux qui onteu le bonheur d'y assister. Ilsy frisaitgrande dépense d'esprit, mai il émit siriche ente fondes que ses prodigalitése parvenaient pas h l'appauvrir. Il

préparait beaucoup et laborieusementses liions, et sen m'éoccnpait long-Loups ia l'avance ; devant le public quil'accueillait ove, des apploudiesemants,la p ode (le l'honnal de follet 1

oint t s l f,illir, d p L

ct, 1, âi tfl 'i i 1 0 ti d le rs sy ! thiq ues .a par I

e,sp.

t .II airs, t'en adTable. On aurai

`

pu s nonessans en changer im "col sont et nn'avons qu'un regret, c'est qu'an s'y aitpas pensé. Nous aurons aujunrdhni detr" beaux rommentau es de ta littéra-ture romaine.En 1910, M. Sauvage fat nommé

doyen de la Faculté dira lettres. Il eue.

cé t:ut b nn profilasse, éminent et fartaimé, M. Cahmuus; les nouvelles fouc-fiors de notre regretté confrère l'obli.

geaient à présenter toits les ans le

c rmpterendu d tra vaux de la Faculté.

Du prie d dune pourraitsaisir la tiare d '-e défaillance.

(La fin d demain).

CONSEIL MUAICIPgL

Séance du 5 mai 1875.

Suite et n

M. I:aripuy rappelle qu'il y a quel-ques années, il fut question de la re-ansmuction eu pierre d'ans partie du

pont eu fil de l'or de 5ambMichel du cô-té du fiebourg de ce nom. L'admïeia-tration des ponts-et-chaussées fit lesplains et devis.

La reronstruction du pont, est toutentière aux frais de la ville. Or, h cetteépoque, c'est l'état qui s'en chargeait,eu demandant toutefois que ce lut parce P.W. et le quai de Truands, que 1. rou-te nationale n' 113 de Narbonne, vint serallier an grand part de pierre; à elle

s national, a^20 de Paris en Lapa -su

gne. Uttar demandait ev outre louver.rare de le rue depuis si longtemps al-teatue de la place SamdLKichel auditpart du méme nom.

Il yau f me semble grand luté.,Ii Pour I à réussir dans

soipro-11,

D'ous"d

taos qu'il t Ou..t.g, d 1 eu démontrer 1 insai

ulh lia uede demanda aaCon ilq plaise de nommer

i a " irait chargée d'éwlier,rit

aRenvo F, ua ,retable, à I'Admims-trait! n.y p

M, Garipuy dépose la proposition

sui vante,

JLf l'honneur de demander au Con-seil qu'il veuille bien appuyer ubien souvent déjà émis, que la hall, deSaint-Agne soit convertie en statiov degrande vitesse

Le Conseil municipal, le conseil d'or-

rdissoimeatet le conseil général ontformé à diverses reprises ce v<nn,

démontrant looguemeut l'utilité et Ira

l t.oa t i Il I

.h delf`,n I pp t le M PI 1

Cun seO i. L JI_n. L d

piusieur l . p l l boi de teraies apt t r.1 s la ville.

Suri 1, t d 11 Il tl leI d t l u' laGansait (!an,,,

d i - J PI ;, t C-' i De-l v do' 1 4 Clé it

Idolefidhd. l'or t n

rit Lgd le de C cilla onttraie Li+ d ".t Il, jo tira à dater djour de 1 dl eu 111 f r.ions de troncs était négbr_cs co for-

et à Partiale 6 de i'ueeêlé muast ml du i1 00 .pcolon 1815

Sûba 1 ppcrt de M Canton, lovemeule de 2,0010 le, à prendre air lesfonds libres de l',xercice cour-ou' estaise à 1, disposition de M. le Moire,pour l'installation d'un p!>.nt à bancaleà la barrière du pont des Demoiselles.

M. la Maire est autorisé à foira

cette dépense par voie de régie écono'

miqur8nenu rapport présenté par M.

Mn lé:Le Conseil municipal émet un avis fa-

orablc à l'acceptation par l'admiaislra-tion des hospices civils de ToulousePart legs de deux mille francs, fait parla dame veuve Aaam dans son testamenteu date du 11 mars 1858, alieelé à lafondation de deux places d'orphelinsdans lesdits hospices, et formant leomplétemeet d'un

legsde somme plna

tarte et déjà réguhérement accepté.- 011. I'asserien huit da proposition

suivante :Je demande le rétablissement do buste

et des insignes de la République dose1. salle des dElibértlim, du Conseil

micipal.PI. l'asscrien ne croit pas avoir be-

soin de développer aa proposition. Lapolitique, dit'il, est généralement bou-

e de cette enreinte, domine d'ailleurselle; est, en ce moment, étrangère 'a madétermination. Mais la llépubligne setnjuurd' 'ai le gouvernement légal de le

France, et ce, 'est pas trop présumern demnio ooot uqui son el'hgie préside

dieormais à nos délibératmr+s.Le ConaeO, rouan 1m par M. le flaire,

Prend m considération la propositionprésentée par M. Passerien.

M. Calvet rappelle que le'général l d Va ,i ayant exprimé uu

,nbi 1 il yft 'p ténetci "1 la I l- i i

éfet,M. Clolos demande que, selon I usage,

la propumtion sort renvoyée à l'examend'en commission.

Sur l'ubse ov fite par plrafnrsnombrs qu'il

nesaurait y avoir mabéra

à ua eloomm "'Il' rque Puisqu'il s'agitd'un hommage rendre au pnnmpe

ému d gouvernement qui régit laFrance,

lee Conseil décide que la propo-

sition dont il vient de voter la prise enrsidérativv cet renvoyée à l'Admi-

nistration.- Ib. Lacaze demande folle démenui.

nation de rue et:illée de la rétablit ,

La sémne cet levée.

e,,;c t ma, seois- os anreeesx

Mardi, 25 mai 1875.

Cours de Géologie, h 3 heures du snir,Professeur M. Lanene

Sujet du eonrs : Stratigraphie des

terrains primaires supérieurs. - Devo-

nien. - Cnrhovilèer.

Cours de Zoologie, Anatomie et Phy-siologie .emparées, à 7 h. 1j2 dusoir. - Professeur M. Jocv.

seau, nus ,coures

Mardi, à 4 beures 1J2, - ProfesseurM. Clins,

Etude des Stipules, des plantées et

de l'InOSrescence. - Famille des Géraniacées.

Leajenoes gens dont les noms suivent,dn canton sud de Toulouse, dassse1870, sont priés de passer, chez le briga-dier de gendarmerie (bureau militaire)pour renseignements : Jr.. Jean (Jean.Leurs , Dandy (lacquea CélestAudisot (Loms-François), 'fourriee (Domiui-qnr), Diu (Jean), Almade (Mlrhel).Il 1 (I;mfle), Deville (] pb(, liai(I t ocaesés (Paul), VD'r,'au (I,-an), ai L.iribe

(Se r i, ), S. rraméa (Ib.iptiste), U uand(lacquea), Thomas (Breeond Jean-Viu-

cent),ejyribié (François), Dupré (JeuneMarie), Gilabert (Revoient),

Taillade

(Michel), Tropis (Alphonse).

Le nommé D..., dgé de 21 une, pécher, do noble, a été oenêté pour s'étre

donné la fausse qualité d'employé dela régie et avoir menacé d'uu procès-

verbal le sdenr Planlié, marchand daai., eue

S o,RVAlllIQ f t40 F tf (.1S

cane 113 mont'211 mues sv95x

,,..r on. foi

-on w-, a.

v n2 li ma. te fa!ro s. 05015Il Illat. a n 0.11 id.7s ' 31 If 0 br. 080 f ill0 n. 753 f 1}11 4 id NO tértua. 44752 21 2f n NNO taille1s5, 711,11 , 1 ',21 be,NO lé.

Thermomètre cent q d

Maximum du 23 ... 20 .2A' n ,ie'n roi, anive,t +138Légère rosée dans la matinée do 2,

Extraie des l I I a q"desil Statu, , f émité usa

"IL sgOrande Allée - Alt rude . lus-.

Du 24 mai.Therm. centige. manie. d'hier : + 22x2

id min. delanuit,:}15^2a ses. eaanatenu. irai sa eixx. Vanne9 h. m. 0x,707 0 beau. 0 modéré.midi, 0.7564 nuage Id.Le baromètre redescend lentement.Ie temps est beau et ch and, l'air for.Température à midi, 22',1.

DÉPARTEMENTS

M. Daguilhoe-Lasselva, député doTarn, a été élu membre de la commis-sion de comptabilité.

Nous lisons dans l'indépendant desPyrénées-0rientatm :Nous apprenons que huit condamnés

de Pia viennent d'étee l'objet d'une

commuLotion de peine.m-La peine des travaux forcés P""'cée contre ena, pour une durée variant

de 5 à 2é ers, aéré remplacée, savuie opour Salines, par 20 ans de détention ;pour Pey et.. Manont, par 10 ans de lé-et nsioa; porr Capallére, par 8 ans il,,Allusion ; pour Prntz, Rainus, Escailaet Jorda, par 5 ans de la méme peine.

Marseille, 22 mai,Il y a en, avan4hier matin, sur le

,filai gué év Dix nerf

d Pista par le lia rie à ap. Clmentiae, se sont évadés au moment oan Ire e,induisait à l'hôpital. Pu ru'

rrq den, était allé le p cadre airFeioul, où la Cldmcntine est en grrarau-taine. Une fois à terre,

Ilsse sont mis

n Pnte avec ou rapidité telle qu'ila été impossible de les ees r. voilàd'étranges malades ! Ce qusil y a depl ua triste, c'est qu'à bord de lu Cld-mcntinese lrouveait evonre noce passa-gers et plusieurs hommes d'équipage

oeoattein[sde la variole. On ne sait vraiont pou air sont pasnés les dix-neuf

fugitifs. Ponrvn qu'ilden'yo sif. pasridas?suite de cette escap , i ne re

cerce d'épidémie variolique + Ilrrrègimvilla une certaine inquiétude h ce

miel.

vendasee parttealiérr

quoi, d s ont les adversaires du triple

à ni,etir, sol ::,and f, pphqu i nu la

+ fil, dde la

division du l+a-jo,il civ+ l? A quoi Ire

é

l rrt sire

la c1 onmiseme nnig p ,a

paris, 23 mai. I du trava0, au lieu d'être outil, auraitll sait que Irs délégués du g i t" g Yves. Les trous lois

L v, eg Mal D v faon et de La' q sot t e t 11. des rapportsb t t leur examen si-g o+t n ntrevue avrc le bu.

sle. eu lie 'reau du centre droit, qui a déclaré n li éert rendu plus facile et pinsa

c .pter, pour la coinposi lion de la non- prompt par 1 lé méme. Cetteveule commission des Trente, eue liste opinion l'a a p Lé t 1 Siecde n7 vaitcomposée de la ment e auvents : 13

embees de la drolle,o13 de la gauche,4 do groupe Lavregne. Le centre droita, en outre, exprimé le désir que les 13membres de la droite soient choisis dela maviére suivante : 3 membres del'eelréme droi u, 4 de la droite modérée,D du centre droit, sur lesquels 3 ayant

artenu à l'ancienne commission desTrente et voté les lois constitutionnel-les. Ces trois derniers seraient 11011. Lam-bert Ste-Croix, Paris et Tellon.

C. Propos fi...ont été sourciers aux

bureaux des trois gauches par les délé-gués du groupe Lenregne dans roue

qui a duré de cinq heures à sixbrunes et demie,

Les bureaux des gauches Det parudésirer une liste composée de la maniÀ-

esuivante : Il membres de la gauche,

5 du groupe Lasagne : I1 des ,lidéren.tes fractions de la droite. Les négocia-tions continuent. Vous savez déjà qui eu

cas d'accord entre les gauches et legroupe Wallon, le présidence de la nou-

ille commission des Trente serait con-

férée à M. Léonce de Lue tg n

Après lia long débat, la Chambre g sseigneurs a, Prinsa 000011m d u

e e le'.l 1 P "("t de loi sur Le,ppresaro 1 rticles 1h, 10 et 18

0e la rouet t. 'I y 69

a ,aoro29dil"i I 'lin pi I ai,rails' sur ldopta':.éeveLI- d n l t LChambre a uite, e pie fièrelecturq après avoir repoussé plusieursamendements, le projet de lui sue les

vents, tel que l'a voté la Chambreâgé députés.

Le plupart des journaux de Madrid sedéclarent très satisfaits dr manifesta dugouvernement qui annonce l'ouverturede la période électorale. Les organesdes partis l'approuvent dansl'ensemble, et ne font que peu de criti-quas de détail. Quant à la partie diapo-sitive, les éloges sort moins rv esou,

1'e:. mit sa

pè ru ur lit o. oqo u de.iun L.:yole m. moulaindc M \V'llas, repo osé

Pas grand fmonvénieot polie sa part, i'a 'i' on que la commission soit com-posée de façon à donner à l'opinion pu-blique foules les garanties qu'elle est eudroit d'exige.r.

Le Soleil estime quo les projets delois organiques présentés par M. Dot'au-ce sont dignes, dans leur ensemble, del'homme éminent qui les a rédigés etqui, dans le cours de sa longue car-rière de légiste et d'homme politique,a su accumuler tant de science et d'ex-périence. Aussi les abjections que cejournal pourrait faire à l'ensemble deces projets sont-elles p mbeeuses,La responsabilité ministérielle ait la na-ture de la sanction qu'elle eutesine sontclairement définies et nettement indi-nuées ;les pouvoirs du présideul s texactement précisés et il lui semblequ'aucune des préraukims qui peuvent"i les rapports des pouvoirs entreeux sil été omise. Le Soleil fait remar-quer le troisième paragraphe de l'art.10 du projet de toi sur les pouvoirspublics qui attribue au président de leDépnbligne 1. d t de faire juger par

Sénat to t. p. prévenue d'et-le

tniat c,m os r outre la sûreté de1 Ltut, s Il finit réfléchir, poursuit leSolin, file la présente organisationc t t Il

erre]le est faite en vue d'un

état d, bises qui peut durer (les né-pubnca is ne a us en voudront pas decette hypothèse); que dès lors il estsage de prévoir le cas iil le maréchalde Mac-Mahon recevrait un successeur,qui damait ni aa modération, ni sesvertus, et qui pourra il abuser du pou-voir

redootable couines dans l'art. 10.La Chambre pensera peut-étre que lepouvoir conféré par l'art. 10, son pas

maréchal de Mac-Mahon, mais :+upresident de la DépnGllque quel vqu'ilsoit, aurait besoin d'étre sensiblementatténué ou limité.La Fr©n ait prévu le 'oonfrsinn

Loi devaitrergo'nflic le earotin du 18l'i .t 1 I d port et d'antre

ce i,it, I't lot p lié à faux. Ceux quiI 10Lao di_nl _-.^- -^ pli hrmatiae

,cana n'ai 5. lét. llie aQ il e 1

f LI ràicido t l 0 1.1

a

M1t 11. f J l, si L 5 y C.Ib Ir $0,001010 démolis Licol, L l

,é t '1 d p t qà IA bl 1.1o', la solution

111 g d ta fer] . nées jar rot t t ' f t l barn

er l'équilibré pas, 1876 par desuédumt d Lé .

Geste d t i n gé é 1 dont lebut est de l emeltrele pl p o pi

t 1 dissolution de 11 I I,. étéI,é gé éealemeot alpro U p

n quoi n été presgoe i ne c'estlinqu'il convrnuit de va . promptear-m lebudget rte 1976 ; ou oo presque partoutsaigné le 1' it nomme date estrêm,

d laquelle t. 1 lie discusemne insu.ctéres devaient être t'rminéea.

Tons lia mioistrea étaient présentedans leurs bureaux ,,p,,tIfa. el. Léon

Say a profité de lu discussion pour dam-quelques intéressants détails. L'ho-

norable mmmtre des finances a dit que

l'excédant de re llu des impôts iodi-recLs, qui avait été de 23 millions rI" 9crent Premiers mais de 1875,

poué

a,toit accru de 5 millions dans les Il"ma,premiers jours de mai et qüà la fin

du présent mois il attendrait en é

entière,mil il s. On espère que dors l'année

atteindra n chiffre tel quel'an neserz pas obligé d'avoir r. oursà la somme de 40 millions qui formela moitié du prés de la Banque à l'Etat

hfunscnti l'année dernière.Celte situation se renouvelant e

1876, il est permis d'espérer que laa,+-.rée, soit 50 millions, poli

être réservIII, pour l'année 1877 et servirà réduire d'autant l'amortissement del'ancienne dette de l'état vis-à-vis de labanque.

La commission se réunira lundi, à 1heure, pour constituer son bureau.

La commission du budget de 1876ommée hier, oe sera pas longue h ter-

ra tache, s'il est vrai, ..me oudit, que él. 01'nloasski serait nommé

rapporteur et déposerait sas rapportavant In fin de la semaine.

S'il faut en croire la Pravice, le conseildrs 0+inistres qui -IL réuni hier àVersailles, sous la présidence de non ré.rhol de àiac-Mahon, s'est cemopé de la

imposition de la oonveile commissiondes loi,

d .t1 p ériLecoostl r. r on le 24de iodas oe a l

. La efir

d les -faudra f br' s s y sera disrtée.L'E,ho , P d t de D Il.s

annon-e q e :a or , éra d c 18 l oui v apas 'lé dfntrib0A ar Paris, àeanse d'uninoire bibl pli qnr s le livre deIl. Albert Ré

'.Ili'lIircl t d

laina'tde la diunitc de lesxas Ghroet, que -o tde publier la librairie Germer-Liail-lière.

1:, prisa la 'ténrptvt-o st ute

d 2 t . G q u i estnrlue it I- majonre ép blt u' L l q l d L

p tffection il t

J tétt i t fa

'Il I a fait l t t Or la situ non9 I 1 Il I. l 2' lés nri, non-e -Poulet subliltl, lucide ill j I .t

Vol ici,

vsrai lit en or-i I:' t p lle.Le vase du

18 a a été que le rélidait d'unef - t 1 l

d tsi,ai1 1 oelér i

itla majorité eépn'

bl il t l p d'ar-t I xt f d t .I +j, p rf "t . tdégrée a ol pas rer mnonear lexpé-

ii5cc fil 26 mai.Le Cnnatitulionoel reproche ana dé-

putés de 1 g. he de faire bue mar-ché drs p p. en lait des rotind'arrondissement, de pléhimite, et de ce

cr que de l'intérét de leur

parti. n

Le Jouirait dos Débats appelle l'atten-lieu de es lecteurs sur nue lettre qui

loi est adressée d'cros et dont lainier,basse d'origine, férule, disent que lesDébets, pour de tréaboooes raisons,, et

fiél'em e eIr

Alexandfils

rr pro uns

prétés à ornul booaportiaie. Le, Débats rappellent

que, dans une prétendue cou ,lotionle prince ede bis-qu'il ai rait rie, 'or,

czer, undire du (bnusI he-m artiste, aurait. fait valoir, entre a

tres arguments propres à ramener snnintsrloeuleur à des ,colimeals polo0-ques,-lapproche des élections généra-les qui vont avoir lieu eu Fronce et laprnb:, bilil.é. non ,calculent du triompheri r!o i::I a. tin périal is'les, mais n

du rétablissement de la dynastie déchueet wndamnée-

Le Journal des Débats ajoute : r En re-Ievant l'cxlravagnuce de cette nouvelle,

notre correspondant proteste contre

la tactique de ce parti quia r, o

sait t oprés quellrs doon"P"""i"abituded'associer la Russie à sa politi-

que et de fifre à cette puissance desampromettantes, bien qu'on

soit loin de ri n faire à Saisi Pètes.bourg qui les auurise et les encourage.La Dnssie n'a nanan motif d'aimer par-tio:uli,eament 1,11 Napoléons, dont le

veille chez elle des en ré

irrritants ; aetto dynastie lest poureriren

dans la sympathie que le puys éprouveà l gmn u' 1 l' icé et dont d vientil d o .ttlmoigrmge. Il y a

s d -v t d'a 'anses s(r de r pt rnrhemen t, surtout de-pois le g s elbangroner te politiqueset t or x q le contioant euro-p sahi, 1-fouis dix mu. Cest ceqoo exprime fort ],feu notre eo respon-dant quand il dit que lis raisons qui

g g. aient 14111ernagne à désirer lee.toir de l'empire devraient engager la

Dnssie à ne point le désirer. nIl cet triste de voir, 'écria le

rappel, d'a Franraia qui, après ce tri-but de cinq midiarde,;après la Lorraine

A. dire du Siècle, parmi les députés et l'Alsace perdons, chrechentà éveillerqui ont voté pour ou contre le renvoi l'attention de l'étranger sur qui se

dés rillsts lois constitn [tonnelles parle. passe chez n et qui, gdes roiusuraires h c e commission unique., il l leurs intérêts menacés, se tour-

lu a beaucoup qui par des votes oint vers 10 FenneC et crient: Am se-

tout oovtraires, poursuivent te méme coure I ,

résultat, c'est à-dire un prompt examen Le démode se réjouit de voir la portionen vue d'une prompte dissolution, Pour- honnfile de la population protestante eu

Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 3: BMEAtlX .fuir.,1/1ut houle, 41. Mardi 15 Mai 1876 TOURNAI ...images.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1875/B315556101_JOUTOU_1875_05_25.pdf · le bruit que la question de cabinet pour-rait

Surs", r erdi incr les i, c es 1 b^r- la m,hi écime, d, générai dans leté,rrlrge,.t 1u a te s P, entdn,f,1,, 0010, 1frcis éminnntnrie lao le lie d nu t ,., pr p I 1 ent, le I, l,i-pl.

i u t I l g tr L t l y 6 I. 1: I d l,pendaate.p 1 p 1 e I I

h,ît t i 1 l. b t Il 1 I 1 L I

M v tel Il' ,it,,,,lI 1 1 1 p 1 t t 11 etp Ira en rare la cause des persre.u- I i ptte. - I .l ! p .Iil 'te';

1 t é Itb 'yrite ingr Y

Nutr t cil militaire L l él t idépôts . L q u i p t

Le ch trima d budget r d aux é t lt. I t 1 té l t ri ltell le 1 a go cet,., , - I let f1

trot lin site gril fin"Il".

bon t ri pr lus d eal.s.o I ndmts -sdeeeprolltre, rai elle réturc à éant rerritoieesuu se trnv,ri.1 les -depuis.les allégations ,le la presse allemande.v- les ,.ne éq ,. d t 1 i scadres. Il e t dit q tt IiÀ -m

't trac chits'i e Il. Cncalcrletant soue p 1 t pour lél t l'et pont Ire J l e t f Lhistmred la "p tuf t de Sdservile,s.

e o g i,il'irrImJ,'turc permettrait parli t t l r , Il t t l eu,ailess rianie lebudget

de ta g eue r. 11. N 1 caillant' 1 II I

Mas,, guerr t ri I s 1 I

anoblindd'oautrledéfinitive, le n

e put,1,11.

eelie implique1,

mpliqie,de

es.t , . que s I t 1 hon-

ca0inns importantes et nnnbrec o plus la Iran' e, mais 1

i dans l'arme de l'infanterie,lueur

edn sont franç,is ..., Ouveira,rra,

la nsppeession de liés cnmpagni;;s lais' d'a tires le témlignage méme de l'ena à la suite 16711 officiers, dont 500 re mr quej'mats nos soldats n'm,t étévermoins reslerernt encore à planer an plus héroïques qu'en ce our de mal-

1876. De plot, il faudra sccrohre les herr :effectifs des aunes spéciales et des équi- Fauchée par la mitrailla des Prus-pages

airs.etéprouvout de. portes énormes

On ne saurait doue opérer toutes ces utile trie del'iI.fanteri' qui avam;ait durond iliralions d'une manière initial sans ord et de I'ouest, l'aile gauche du 7'

re à la tulidité même des nouveaux corps français cmnmenra a faiblir danscadres; eu les eopaça.t snr plusieurs a résiatanco. Comme le général Illliaiannées, , assurera ait ,nntraire la trait été obligé d'envoyer ses réservesréalisalioncompléte, tout eu ménageant d'infanterie sue d'noires parties domieux le ressources du Teélue. champ de bataille, la cavalerie se lança

. lia conséquence, l'organisation ne dans la lutte, indifférente à son propre

sera pis achevée avant la fin de 1877. sacrifice.

Vve suite, le budget de 1876, tort en Le général Margneritte déboucha dorapprochant sensihtement, rumine ca- bois de la Careuoe à la tète do

cinqrires, des fixations de la loi du 13 mars égiments de cavalerie légère, la bel.1175, pied de paix, présente, en ce qui

gode Savxresse et plusieurs escadrons

e lev corps de troupe, un e0rc- le, cuirassiers de la division Dunnemainlifgénéral inféeinnr de 6:1,350 hommes dtachés an 12 corps. Alors que cette

de 11,917 chevaux à celai éterminé rai eon de cavalerie commait à gravirlit a d enç

par 1. loi. IIlaaolline, afin d'atteindre le plateua

Il s'est pas besoin d'insister, dit par le cté ouest' la général Msrgneritte,nationale, cor la portée de ces qui s'était auto-é en ,e o

décloeatilrIl ; on voit qu'il y a loin en i bn blessé Le généraltee cette feç io de procéder, cool orme à 1 a I ffel prit b, co,nrnar,demenl, se tiret

o habitudes de lentearudminislratve, à la Lite de sa drvimou et la coudoisiret la au amant précipitation avec la- contra l'infunlerre Pr-,sienne, dont une

parti. atteint à t 1

loi d . . ndr . : , m ime en lnpnlt lies ces . t ri l ' é l . t 1 .,

ts, i,,hV, w i que lamieesa'Il tsu ll est ajouté qur t'tngmentation de t gr: ir les pontes escarpé d",111111 :ul-dénrnse, pour 187fi m'eet lien de 1ina. -

l2Ut1714f : rite somnee étérg iu, L fmn t des 1-. tt, debd 11m et eer êtes s is pur file' 11 p e i 6 01 I

1, I t.,P",

de I g II, 1 t. aitmulot j iq ePeu di, lé ..IlcndsDt,rO le corps de 1 ,n '1 I d 1

da

11,; a1 ié et )stonre% pou t d I \'

h ss, i,lr, et 4 "I il1 ion leur, cil e t p

t , menac pn pa0 u fer'o'. l 1 t . ,-ré nenl,; I ne enL ont la x lie ana rr- - -ail aIl i a a e tde I Curop,. t I ...-

0 t el I . 1 l h j I t f875 le d i li t1 t ,br: e t la rieici, nIl', r, le 1

,liset de I.yoa, 1, val, ri 1 air,1ue, ,h:

desu

terriL aires a,éemnx nt ,ce trollvae raté q.e la e, ,cannd f, t l per I: p p u td é tel II 70i té

vol l t - ht

fi t t l I o n i., d ces ire zip ur

Law,

é I r e

de c ,ni. n. tauequelles ""i",es trou' I 45 rt .e ce i i teslins ri! assujetties, es do Fioing. I: e,'I

C Fs[ainsi,fi t Ics trouPsoi lioanées taon-ills,nfueu, da fis laq 'nettes,,'s imir-,,fis les départemeurhs de Is seine, lie a""" LI , bat pendant n as c ledu i Dis L! Il t , fit h I L

i

C l lesd u' 1 sr t b é f la I t l I i ie q 1 't p

1 f P ie 1 I d

fl

, 1 lit[ 1 de d'It i". to

ilt ,l F 11. i.

d I , rt

c fit i Lyon, tan s I I dites , a - s boa Lr gueij ces l'alla gucr,ov dansId"'et rie leur r me la de corps l'ensemble du lable.n.d'armée sous le app

ett

dd t I L cari I 4' romp cent lat le st i I lit 1 dos. pllne 45 beige-l.', t ri ('.al, et, mailllo,

i lori"""' du personnel IL de l adoré gre d "d. d, mitre Ire, ilnislration Pnrebrent lu possnge jasgdà la batterie

Sets tpierunons q Il le géaérat da de huit larcins embue ,sur la cite, aufissey viral de [,ai sineltre a x gêné' sud de Fioing. Les r. ont nniers eurentroux u naallais dosr corps d'armée, à te orale 111, Innra sunna et, de toursmi qu'aux g u militais de i;;onvlllons ,,.r .s^ défendre, et le 11. a

Pari: ni deLyonceril

g courrnenr gé- mandant d,; la division, le major vosic ut civil de l'Algérie, des ordres pour Ualar, se trouva aux prisas a c plu-giuéeati;er d. t i ,L te ,ai . f ç., t r lia.rire appti,zhi'a Laites les troupe, dé toue du 94° eégim ut, r nmai ié par letachées d'au t,'rrituire dans un autre. colonel Schnolleab(h 'I, nfil reculer len-

Le principe, Ira corpx de trou lia on mi par son fea acesbtant, et repoussal'rar ils, dr. corps, les beige ils et les eeés charge de cuir l'I'l

.

cdivisions ,Lui font partie da lac sem lanée ter sas derriérosuuvr ,ale deun rune d'armée fit

tlos

= Les

eous

urhxurs de il bel -ti

i decetel

lrlVentdétae,bés si', le territoire d'eu gale, ainsi que l'ailie droit,, de teamlre cnrp. d'armée, relèveront ,Je méme brigade, firent en même temps

an tint dit corps d'armée auquel ,essai luis par les hnasards, les rnirassmrs,ellaeappmriicnoent, sn s le rapport do les rhass.... d'Ain qua eIL r ,ill'Instenetion, de la mobilisation, de la piusi surs e,Ii,,e; i rs e l'es rapidediscipline intérieure, da personnel et des compagnies le secours truobla lade l'administration. clvatnria ennemie dent mie partie fut,Au

point dit m dos "2,1i,,,, d'ordre précipitée le long de la pente n nepéepollue, du armoire et de la disriptine .Doux escadrons do 1" régiment degénérale, ce' troupes seront placées ansées, i'averaérenl tonte l'iafante-sons I'antueilé dn oouotoblat da corps rie r prasaionno et parvinrent jnsgi,'àd'ar rmée dans le c nandam.ot de- Clathre; m is à l'entrée Je ce villagequel eues sont slat'e'Ié s, et eues four- ifs 4nnbdrent inopioémenl s e deux

,fit à cet généeuel les rapports ;a le c s do 15, de leu sar,10 q ui onte t t ' n renseignements divers qû i l pourra été envoyés contre r u . . Le ma,jar aieavoir à leur demander, Crieshiem lança deux co:npsgaie! c

'I' sur uis, les troupes dn génie devant ire l'ennemi et cuir duisit le reste par:tPr l st t é . ' égim t h que échelu,s à l'aile drote, Lac l i plil aI

1 ft iilnn t Il rte 1 .

et lisha, le luné de la )1,,I,;,,, I.: e,

d rmée dit It é d'If irero,t, lit étaient reçu. p rte d- I , lé s

P"'l i v e f

l :Imob L de d ue, I gn d p et d ie

1 mv[r ont ,n, d i p r n e t , ie i , les- t ehe,e ,.; , , o hntrr0e. ils s . e,j.,tu u.tciplin intérim" et ,' "' tninislrclion, r Flux , ils l,rrnttaitspri

0 toutou i t o l u gu,ar I p I ! s ri p l f igéreér,l co d' t te p d .née d i 1 tir Q Ij , p' d t

rletonteu i q r - 1 t e t t i par d,. es t,ép trs ,,ber, pnrn e-tfo, priurlp,eim dn resim,mt.

on

eumul.r fin praoalut1, eatidir"a odeL'esprit de i: s 1,,,I, ilions diverses,

crd...os lecteur. I. pour bol dmaintenir tégr I

e

e t l t et l u .né d l' u d, L eh , tub 1 -al du tub,ual ri-

troues, Ii g d t 9 t i 11 1 ,r dx l f 1. s gé s n Id ,I d

commas tant tus hrg rte t tel d i - !ii ,r le Il - etl avaitdouepusé a l rr,sites s l'anUnn et la responsabd té de h éq d I i ver la 5 -1 Il I risleur ndem,mt. d, B r, rein y It e de

Le gêner I d L `t coul iso,raIL

é ers 7u'lgaule ,1arlritri ir et le 19, cadeau dutrain

des équipages.Quant a,x troupes qui an l'eut point)ta

I f l 1 1rte d ecorps d'arm tll., que 1 d

çaise, ne punit la te.nlativ- Veto cime 0, é rI de Bilé. à la Cnlni,ete mains pour les externes et les interules, i'ou .délit I d t / r.q de 49 mi : pes 6,3,d....

Inton de le r, ett rte 1 U n lit o, d l pin I et L était h eut t dit, t c'était Iter,d acte t formant a. h. k Il o ""i'

mi lie o s ,eu- f t souple m In e.. ,ai qui ,lac

n tuant d execuluou. d L sus su,lonr o. li rlin, 01 paraît, re r st pis m simple, e. t fi', r IIs- 1

\ p,p. d t[ i u" d t g i auA

p lion . t , ru; vac,ro à bé 'L tlieI M il. 0 6 s'e p ro 1 1 t la B t 1 A. I t sur mesures administratives. L' "loin ils

s L ;u, t s o In ie la p t p rm t qu'il me- j prend pas loujuola

vola [, 'Il

J 1

,iItoie ocr clapi [. I t fil bel g, 1 Il.s t Ir I tsa e, olis dé;ruttil fée t f t t après pl

ss }tt Itaiilacune il 'le '

p bl" d fil bloc" d t lits or se bl, Plus à ra ndre.!'or

Iccm reste r belle quel ia, p

nous nom ü ulre part, oa Or,eet t dans les sN o t r e aurait pu, edéhl p. r élue m no plu p L" I

ét. d a elitique à la léo,alal,oer les

acte,' Pays, rie non pensons qu'il

eh,echeratten vain dans le code pénal deI f d 1 A gtte r d 1 IL Itd: IAIi n d"'p to 1 1

bl l l oc.te tout il e plaint. 1

lé sl [ H P 9naieda,t deo u

cfis 1 n bI té, i

df t uns .,,,,.L;elles, Violon-il." et le foi[.

Crt uorident donne un intérêt d in-tualr[éàuaremarquable ne orle duredes meilleures revues 'eh do et adairesd'Angleterre. L'E'canomist, revenant sarla seconde Nuit, frisante de 13 avril,dit gn'il a'aperçnn, aucune roisonsérie.-

ertu de laquelle la Belgique se-il nhligéede prendr, l'iuitialivrd'une

réforme dors la lèpres sinu des délits' . Ainsi ua rapprochement s'est ém-'ntr rnatinnux, et que M. d'Aspeemoot- bit de ce côté encore et pour longtempsLinde. était pariaitement dans son émit entre les deux paye, rapprochement quien déclarant que la Belgique, avant ne peut que profiter à l'all'armissementd'entrer elle-même, dans lexamen de de la paix.tintée question, attendrait les décisions i . Ceci, comme ..as disions, esmon-que les autres puissances auraient 'pet ferait à quelque temps déjà, mais aes. I?Ils s'empresseront alors de e n- été établi avec certitude qu'à l'ocasion

sidérer les réformes e'elle poorruit toies

limitesdans sen code pénal sous sertir

des limites oh les tuteurs traditionnellesdv plies et les principes de la Conslitu-Lion Ion prescrivent de es renfermer.

Msis, an demande l'Eoauamial, est-ilbien certain que les grandes puissances,

y compris l'AllemagneeIle-méme, soientdisposées à reviser leurs lois pénales

de façon à assurer la position d'actes

xsalogues à celui dont llnchesue .'etrendu coupable ? Arriveront'elles à

prononcer la culpabilité d'uen pur-

positron verbale eu écrite, tendante àtrouver ua compl,0e en vue d'un crimeou d'uudélit pelleté, ,lors même qu'unepareille proposition, loin d'être accep-

tée, aurait été rejetée aveu indigna-

tien ?A cette question qu'il se posa, l'ECO-mâsl trouve dibleile de répandre ,,ù-

roulent. Elle tnrplignarail.,clo effet, plu.

aleurs n,oditïcatioes tant dues le droit

t , é q dans le droit international.

L'pénal,, a osaimes de searappticrlions,

,s le mettre e,, pers son tuas lesautres pointe. La Pratque de droit d'a.aile, les règles qui présidant aux traitésd extrad'tio t, matéers déjà délestes et

pl q é l ti . L il ". c,ulro.

rl eie n e. '.t onsideréea et fixées

ànota"su.notaCependant l'Eoonolis6 reco0nai t, se'

Ion ositée, qu'il y a quelquechose à faire ; et est temps,de au, naltre à aie disora stuutnn g,onpe de question t laflnsu Ilm,hesne n est qu'au cote purs ;ulier, ut de déterminer pins , nllementlu portée et le degré de culpabilité desoneu>es à l'adresse d'un g i tétranger Cct é lu' n pis tl

i t glas, t q tlit Pour pull, ' o, p

'I t hl duu

le eaellemnutd ai tecer laam u pénavpratiquée qu'à In conhition que la ré

firme les toit aussi umsersellementconsentis. (Journal des Débuts).

- 0. lit dans la Meuse, de Liége,sons la date du 21 mai, à propos del'ina-lruetiuu de l'affaire Unchesne :

. filer, la chambre du conseil du tri-

bunal civil de Liége était appelée àstatuer sur cette importante affaire,

quia fait tant de bruit depuis quelquesmli Après

al oie pris eunnafssane.e de la

longue et mn ritienne instruction à la-quelle cette affaire a donné lie., et quia été dirigée avec le plus gravi s in

parNi.

le juge d'instruction Nihon,ula

lambre du eunaeil a décidé, sur lerapport de cet honorable magistrat, etsar l'avis conforme de M. le procn-lear du roi, qu'il n'y avait pas lieu depoursuivre le sieur Alexandre Ducl,esne,maitrechaudronnier à Herstal, du chefdes faits qui

loiétaient imputés.

. Oct as rappelle ces faits : dalle mueIct[re .dressée à Algr l'arrhevéque deparis le 9 septembre 1873, fauteur s'of-frait d'assassiner le prince de Bismarckmoyennant une somme de 60,000 fr.Il transmettait m. mètre temps un al-phabet chi0ré, aie que personne ue pullriel ver la torr pondante.a1ne deuxième lettre, sans date,

fat adressée eu même prélat. Unes.,y joignait mou photographie qu'il disaitnitre la airune et donnait soi adresse :

Ducfese, Poumelel, rua Léopold, à Se-tmng (Belgique)

. Le 2l septembre, Duchesse adressamême mehevéque une dépérhe chif-

Dée, dans laquelle il conirmail la lot-te, pricéd, nie et es déclarant prêt àagir, Cette lettre portait l'empreinted'oneachet marqué II, p

. 0. tait que Mgr commu-igna m'a Ili, temeui cette correspon-

dance au gouvernement français, quin hl part au gouvernement belge.. Duehesne a avoué, dans les dr0é-

.fit t.rog.tuires qu'il e suis, avoir

écrit ces lettres le même jour, se trou.vaut en état d'uvrretc, et soue I, dictée

d'an ami qu'il a persisté à ne pas 000'ir taire tonna ifs e, pour loi éviter, .-

p.,aaffames de Tq flat a fuel, ou Dit. merci - une épeoslat.o quel était g fit s caca pot lite vérole ne o n ee,

et ou lus

I entente dot tris ,tup i cers, qui, dé- anorJons ce snjel e l qu ait i fis p

puis les deu,iers événements, parait plus colt avoir enco d Idées a er sin-assoré, que jamais. On avait conclu à guliér,a sur l'immueité do virus ra-ton de la position que la Russie a riolique. Que de personnes -aloi t. t

prise à librva, et qui plraissait difnale- leur médecin à cet égard t été

ont coueilraIde avec les assurascs vacciné il y .?d' x ms faut-il r m a

données r. u pnm.ipe par le e erle de air, docteur 0u bien L vieil8 h. alolf à I rires que l'affaire au- à très'bien pus 1 nuée riel mère , lev,ait p ur c P,1 ç tension de l'abri de tout da ger Or bien l u-

rapports entre [la deux cabinets. uculation est ,ratée l uses effet, le lac-. L é,é met n'a pas conhrméces tin ne veut p s pion e sur moi, je puis

prévisiona Le IL scie a, 's'il, I, réussi donc braver L.variolire,

etc...à convuiaeme l',\ngleterre que ee qu'elle Les réponses saut bien loin de s'ac-a fait à Ehirn avait été allumé pur la ,'order ; au nord et au and, a l'est et à

force des choses, contrairement à ce l'ouest, suivant le dépportement, elles

qu'elle se proposait en commençant, et différent en général. Los mus rocom-que c'était inévitable. maodeut la

.... i.atic.

répétée 1 lesim-

àde la présence dit chancelier ....

ores rassurent leurs clients vaccinés

récemment ; d'anions enhu - et tmu-reusement ces derniers sont eu trés-petite minorité - défendent touterevaccination eu temps d'épidémie ,omms une opéra lion dangereuse. Onle ,,>il donc, la question a besoin d'êtrereprise, .an pas, bien entendu, pourles médecins qui ont le droit d'aval,

e opinion trds-arrêtée en pareille ma.hère, mais pour le public qui demandede tous elfes qu'on le Lire d'embarraset d'incertitude, et qu'on lui dise net-

Berlin. La lissais, par suite de l'affairede Ehiva, avait, si l'on peut s'exprimer

contracté avec l'Angleterre unedette murale que l'empereur Alexandrie.,doute. connaît la Inyaaté, ne pouvaitacquitter que pour l'accord intervenu.

- M. le colonel Alleyrou, gouverneurintérimaire de la Nouvelle-Calédonie,

a pris, à la date du 2 février dernier,

l'arrêté sentant :s Le gouve,neur de la Nouvelle-Calé-

donie,Vo la dépénhe ministérielle de 12

septembre 1874;L ,étant e bon nombre de

déportés b,timnt à montrer pour letravail une rspugnao,.a qui

A résistéà tons les niions entrepris pour entriompher ;

e Attendu que MIL ne peut pluscontinuer délivrer la rouan e taire

déportés qui ne veulent rien faire ;Sur 1, p oposilion du direeleur de

la deportat, ,,A. I ét

L déportés simples dent les nomsvint, qui lit durs la eol,nie deli rs

deux ,n et ,ici se sort loujo aimé

hoillIA

1 b u l l e espace de t I p 5

ami cite e cr les dépenses far lis p1, la

muInopute, ne rerevroni, e partir du 5

rI,orileant,

Il,a le plia, las légumes se s,

hu, lv, tagro eutle,,,,-fi,(Suivent 1 déportés

eu sur le premier lai la D lie.. Le dirculr or du scrute de

1 l,

a dé-pollution et le commandant territorialde l'île rien pion 'out chargés, chaeos

ce qui le concerne, de l'exécntron duprésent mêlé.

. Fait à N,nméa, le 2 février 1875n,Le

trorese ,. A, Le direclsar de lu déportation,

. Itu,- Le Guu,O t j os vin lredl,

à l'hd ol.1 Leblanc, e SainL-André; 1a,à Mnntnartre, M. Leheau, tPléeinitier, a

fait une expérience qui, si elle réussii,

sera décisive.

En présence d'u. assez grand nombrede vétérinaires, de journalistes, dodocteur Thé, I.et, etc., M. Lebeau, e

ité le viens rabique à ,eh, ehiein,ueh

,cetéspour cette triste, .;lis utile

opératmn-`Un poncés'verbal minutieux a été dres-sé et M. Lebeau s'est engage à traiter

huit ers pauvres bêtes par son ceméie.

Les huit outres soit sacrifiés.

S i ,

du

ans un mois, dues n, avingt-tuons plut, les huit

chieePI, -

ar lui ,cet restés sainset bi

et bien staras e si nos huit autres u morts dedosa rage, t ainsi qu'il affirme que les cho-e àei il

s n'

'y aède pins àun

do dounrl

écruplus

à lier, la remède contra11rage sera enfin ululé.Nous tiendrons eus lecteurs an un..

mont de cette énergique et décisive ten-tative.

- L'express de paris arrivant à Lillevers midi 40 m-notes, a é'happé maruià un grand péril, prds de Longuean. Esapprochant d'un croisement de voies,la uséronicirn aperçut mn train de mar.ahan lices qui était sur le point de letraverser ; il réussit, hettelme ment,en

nv90sa.t as vapeur, a .'téler sn loe à I instant mémo ou le convoidemotiv

d ,ft f Q, t ai point de. 1 et à enter ainsi une Lech

hl, ,es, mitre.

DEVUIE DES SCIENCES

Ill, teille : In va. ire et il public. - 1)e

dl té ail ciao t t -[ p d I h

d 3, .Il l l ,1 .]il IS Il.opni,n d. I4 d 1 a[ firme--

b d b'. ul I p Ml ',ilS 1 P d

D Il 1pf

'tecl b d 1 g "-r-e, pleine epud Un

'.é plu I - t 0.r la "1 :' La

p rie !' 9 t d J laaer. r -.I1111ocsl ta e p mutes pendaul l'epidé

made ,870 1871

60,0011 t L g t .1i, ,,,,,,,d i t -il dit d désagréments.: t I s é d I , . t irrident 5 la ll osait de décider si ces faits

h rte rr a e gneat,, n d plmnai,q uet.,

et sous l'application de nos loisd'en intérêt général. La il émsmn de la I pénales.

parlait ce qu il doit faire. Il noua pa-rait donc utile de faire connaître mi,

oo pas l'avis d'un praticiee isolé, maisl'opinion qui en

cemoment à

l'Académie de Médecine au Paris.Et d'abord, au premier point qui in-

hiresee le douteur, peut-on Bzer euehoue l quelconque à la Préserv t on ob-t p r la vaëciuë humaine ? (1)"Voyons les faits.

Dans les épidémies de PhiladelphieI1823 1824),de Suède (182'1825), de

Vmence (1825), la variole -'taque petn-ipalement les vaccinés depnrs dex ou

douce ans. Eu 1820, de Corroi le pro-pagutcar de la vaccine à Vienne, voit,dans e méme famille qui comptaith t, més vaccinéa, cinq de cesfaits

s atteints de la Petite vérole. En1822, vis d's, médecin d'Eclsernf,orde,est témoin d'une petite épidémie de v -

i.ale, importée par en enfant rails.bond, qui troque pmaieurs enfants

,, és En 1822, permet observa e

E'.:s mas de var mle ,hl' III, m. fait Lsdune même famille, doet quatre vice

s. fendant l'Epidémie de New-lorhen 1824, la plupart des cas de oie s,moutrâlinit

chez les démiu1i a2da

ess

I:hi'historique

relèvel'épidémie

. J

e de 1824na C,penhafies eléve plus d 900

mo

a

relatifs à des nflots varriné A fila -

seille, en Ille, l'épmé,n,e vaeortee Al1,445 vicL ne Robert rappelle quechu' les collets ,.tentés depuis plu-

années, la variole avait été aussiim'a sa que chez les non vaccinés.

M. Hrenicu, dans un ,,avait ioléres-e,nt, communiqué à l'Académie de Mé-decine eu octobre dernier, e donné lerelevé d'un très-grand .ombre d'obser-lutera de même nature qui monte ILla va ide s'altoquant à des enfantsvaecités depuis

cinqmais jusqu à sept

a Ainsi, s 505 comm aida ...linolycées par Villeneuve, rapporteur detla commission de vaccine en 1818, 68fout mention de sujets .troqués quel-ques semaines upeès avoir été acelués.Badder, dans sa statistique de Cuurlande(1826-1850), conclut que la maladie nefrappe que les sujets de dix à vingt anis.L ait t Blache (Revue médicale,1829) . me q t que la variole sévitsur les sujets vaccinés depuis peu de

s ou peu d'années. Le professeurReins dans se evé d'a é idémieo re1 p t

du néveberg, de 1831on à 1856, ce itque

lala réceptivité

paour

la variole peul'vitre au bout de cinq à six

ans'prEn

Bavière, sar 158 enfants revaccinés de

huit à dix ami, on compte 15 vaccineslégitimes,

50voterons m dtlées, 78

succès partiels et 5 isonnets. Nagnsrde &.hlinlr,r dit que 'est de huit àvingt ans qu'il a vu le plus grand mon.bel de bonnes secondes saleurs..

Je passe .aire. Ces exemples r[cent que la préservation par In vaccineest absolument temporaire. Ce sent desezemples rares mais probants. Trousseauavait fixé à cinq ans la durée de la pré.

ovation; Bartbez et Billet, à sept ..s;Grisolle, à séuf ;, Caillot, à douze; Ser-

s, à quatorze, te. La vérité est quela durée est très'variable, puisque nousl'avons vue dépasser dix

.a'et descen-

dre à un an et méme à quelques moisà peine.

A quelques mois 1 Mais alors, est-cebien la peine de se faire vacciner P Lapensante antivarioliqu de la vaccinees['rite mime bien réelle 1 Le Il.,

ont naturellement après de semblablesssultats.Il ne tant pas qu'il y ait méprise à cet

égard. La propriété préservatrice de lavaccine est certaine et démontrée, matssa purssancesemble très-variable M. Mer-sien, de l'Académie de Médecine, expli-gnait récemment ces différences d'ae-lie. en faisaniremarquer qu'à lent pren-dre, le vacem n'est que le rontre-poisonde la variole, et quand la dose et l'étier.

gon du pinson absoehé sont supérieure.à la dose et à l'énergie du contrepoi-son, celui-ci peut rester sans mulet on nepodsire qu'un effet iusuffssant (2). In-dépendamment des conditions de ricep.

chi libre mie Liège a été priss à Vit ait, . La chambre dit conseil, à l'celui- li y a gaelque temps, un jeune élèvemité, s u r les conclusions de M. l e juge 1 mité, s'est prononcée négativement, In en médeerns monrnt d'une variole ton-d' .e,i,;.ticl ' a v i sl avis cen1m I ,i pu ,issas1 la tentative d'un m tractée dans le service fi 'un bépilal de (1) J 1 de tété la vaccin animale,

hrig.t les et régiments ,lit 1 :1 dit prucurenrrlu roi , ,lie est juridique m d'In délit que lorsque 1. résolu DOa Paris. La presse médicale, justement t up û mtcuits da uo lu p5ec gare

dé7ne,txnle a r q. ernl uns bita , llons t naetaquahir. On sont an effet , !u, de le eu mettre a été ,c amfestée ar émue, e l uo pas P I Il f 'sac être de q ly e oursm , p e ma q

hostilede réclamer da ta d. ourson.

de ch lepersonnel,

a pied, ,lins reldvea oi loi bel gai ue sir ce flirt eon ma des actes qni ion muet un nom-

i

sinonpour

eh iga- (8) on da l'AO.démü da DT6deeanr, 9 1d-

'Ilpour le personnel, l'administration

e

et i sur presquetanttous les s autres à la loi franc i menceme.t d'exécutive de ce crime.

10150,taire, sinon pour tons res élèves, au ,réer

1871, i1875,

tivé (5) propres a l'mdividnl et quipe ,"rte l f e l'.crtidnn de la

rinleiuel,1 ail l litt , p 05 vuriolique

elit niellai 'alia bI .

La v. le pr es. 1 s

II,

emp l(,c 1 t t , fl mpsd pu' aemir.D t l toit v,I. 1 1 graves d. la maladie :

la

e Iyt1 J I tourie 1 la 0a

I f i p 1 ti nf fat esttant a ir. g à l'état sporadiq

L t 1 té .niol p' a l

1ffe normal à10 1 t2500;le _t t I t tuttgni: pour

dé ,n de P is de 1871. Al'état se radique, In maladie 01t

"Il-

l"

(, t t e a t lép

t .,lp ll Ileo P r ur [ I pp tlde AI B L pl s it prà.II l'eu' t tu ta p tnet à d étude-unes, an le

fulener.pue p i i'

que a l rt saute On,s'explique facilement ainsi que l'éne'gmm raide de In

variolea

se développant

selon les épidémies, taudis que 1'éner-gin dit c,ontre-poisou n'augmentant PasL vaccine puisse ne pas préserver le

malade.C'est là une théorie. Aussi je demande

j permission de faire elle réserve surcelte e;,r ImuOOn admise eu médecine;

Car jr nee e91,i ; as ce que c'est qii an

contre-p ison qui xn,rlntient efficace,pendant des années entle:_s,8005 l'ue-

n'en ni s la petite

idée soit, lot exl,..osseu qui en

-casestassai

pli pi: li-

vnun s)1" sent etlses

faits restent ; or;ceuxci sentirréfulables. irenlent

à tee opinion fort ,étendue, ,

00an orcon-

.ait pas la durée de prdservatirni de la

préservantla vaccine n'eslpastuujuu poolpréserrvatif

de m petite vérole. M. Drpaulle ,,, Pelmt récemment Rumquerne

1.lutté quinze, vingt ails pour it plu,laqu'une f os eon n on n'avait plus

variole. Si unen-ant

vacciné, la sontéctait' démit dit-il, parle en il veuf,

été mal vsccinien t non;

ointes fois on

a .

e vu desbienentants nies

vaccinés /li r lu petite vérole, très

la petite vérole. Dune, la vaccine est none

.ont-ils'

il

est

Iraicéldtfnnjour8

précaution utile, ce n'est pas un préser-votif comtats.

Mais si un se fait revacciner au me.ment d'une épidémie I

Il le lui t, cent une chance de plusde ne pas contracter le mal; cependant

'est pas unecgarantie absolve, on

l'a déjà vu . vo i n semple plus ré-

cent : Pendant l'épidémie de 1870 71

à l'anis, les donnant, Caudolé et Revil-luit est relevé 21 1 ont 4 3 ion dentdaOq es cas e'apphqumept ,i mdi-

J squi

v o ont d'êtrerevacà

cinés allés é Il fout pas en conclure, com-me lent fuit légèrement quelques mé-demns, qu'Il est d.mgnreux de se faire

n temps d'épidémie, maisshnplement que l'énergie du viras ,a-rmllque l'a emporté sur l'énergie du

us vaccin. On atténue le danger e

pareil cas, si un ne le fait pas entiére-

meut disparaître.Monniouany aile vaccin ne prend pas,

cal-ce fin signe d'immunité? S'il neprend pas malgré plusieurs essais, rot-e garanti en ire In mut1 Nullement,

eu vous y trompe' Pas.Variole et ,accru flot deus. On peut

être réfractaire à In vaccine et usi-bie à la aréole, et

rénipeaqurmeserest

,on peul même être réfracaire à telleheure, à la vaccine eu à ln variole, etne l'âtre plus queiqu s heures plustard. D 1822 à 18 G 4V Ifs , Ifufeland,

Thomee

na, det,2 Jufresue (dn l;me-n)soutinrent que la réceptivité de

l'organisme pour la variole était lamême que pour la vaccine. En 1839,Ceedy s élneva reremeut contre celte opi-néon, qui était ou'u impie munira-lune. Ilueintenant n admet, sans raisonsthéoriques meilleures à invoquer, quela réarptivité-des deux virus n'est pasla méme. On n'en peut rues soveir,

r, la réceptivité de l'orgasisme restantla même' il suffirait d'usa différenced'énergie dans l'un ou l'autre virus pourque l'un dût s'acclimater et que l'autreéchouât. Tout ce qu'on peut dire, c'estqu'il est défendu de conclure à 1 moral.

été pour la variole, par cela seul quel'on ne peut parvenir à e fuir, vacci-ner. Pendant le siège, M. ]assoit' vitmnnrie de la variole, dans sua ,,vie.d'b,4pïlal, un jeune homme absolunrretréfractaire à la vaccination, et ga01'inoccis persistznt de plusieurs vaccina.

lions inutilement répétées préocnnpsitlisse, pour qu'il les nul renouvelées desa propre mai..

Donc, la variole peut vous attaquermun seulement si vous ailé été vacciné,mais encore si ,auto organisme s'estmontré rebelle à l'inoculation du varusjnasérien-

M. Chauffard faisait remarquer ré-cemment avice raison que la réeeptiviléde l'organisme pour le us variolqueest éminemment variable. Ainsi , to

individu vivant dons ue milieu m-fecté de miasmes varioliques aurarésisté longtemps dans toile la périodesévère de l'épidémie, et cependant il

,.et...lors

la variole alors que l'épi-démie sera aune le dédie.

Ces faits n'ont ce taciement riel durassurant pour le public; mais il vaut

cou, I E ver le, ma-e3) d'emplaie leri m I pé Ihos dons iesnne1 ap.tat pion ou o ig de de Pu ra,visma

t t l atadie Ce mot .''a .amonentIlle

( )18l ilfillait

dornor explicationon pareille mat u oi ,s lu ehetehneion, darselev ezamples que nanogre le dévelop1peme tdes étron orgameé 1 lin utrunl.Cors", alias fin pause n : l,,volil li o gnni-peén s deislle méme 1,00 0 .,I l'eutgn'a-pres

uu eeraine 1111, l'un oédo la place r

l...,e ; t la raison du plus fort, ton,janra

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Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés

Page 4: BMEAtlX .fuir.,1/1ut houle, 41. Mardi 15 Mai 1876 TOURNAI ...images.jdt.bibliotheque.toulouse.fr/1875/B315556101_JOUTOU_1875_05_25.pdf · le bruit que la question de cabinet pour-rait

tolj rs mieux dire la vérité que de lao 'I N 1 mass aulunrd but

6 1 u n d u Une Apldémlq au-cun danger .'est à redouter ; anus ou'

s aucune crainte de frapper le rn

val. Cent lenourri

de tout dire pourqu'un Couse medilir à l' une lesprécautions qu'il conviendrait d . pets'die si l'heure Ju péril sonnait de nou-veau.

On pourrait se demander, a1 réa cequi précède,sil ne serait pas possibled'aller un peu plus Imn qui un nr, l afait Jusyu'ic1, et de trouver nn préser-

vatifde la variole plus efficace que levirus lesoéries, C'est n problème quiéchappe à notre compétence, Toutefois,il nous.sers permissans doute de pré-senter h ce sujet quelques remarque..La vaccine et m variole se combattentmutuellement. Là où l'une a passé, l'au-tre peut très.bien passer et se dévelop-per ; mais, évidemment, la seconde pri'se de possession est toujours mainscomplète que la première,

Si même il était possible de faireagir successivement les deux virus dansl'économie, il est probable qu'aprà.

M. le docteur D. C. Lombard d L Bonzom (Marre.Anne), 95 ans, plue, s° urs sons Jnc}druts dignes d Atrs lents à 1 R alesrière Do Bairy.roui\ éa. 1805, se lit culer la Saint Georges, a l rel tés L f t I d quatre

Ntv r 1, d iz neuf ans lus tard Deux I:s vinasse Juse h , 35 ans, rue de Cette situation m à 1 article vins sa 0 I f

gpf te, d r ne 4'u orrdr r, e ismnr

Cules

dse d .rit avec. a é ' dpIé 1 1 t t l , 20. (

P )1 e I t . 0 . '

pi f I h 1 h l 1 t ar n t admira l , d 'onvi 1 .

lt 1

partagere.

liseclé r -L lisent apport U.Ipye ; I .ire), 49 ans, üe Salnln b pp L I.

Il'éj e 1, L I q I t t n 1 Lr't I d

-

1,

1

1 Ildepuis avec des ranoleux et I tr ve G - .0 r, 111 f e gr e,.. r, It u p u gnee à d n s 1 l us lG m d s pli 1.1 61 es merlu ma d.

phi cieuro épidémies sans c t ter ln Layle (t sol), 32 ans, rue des Fontai.

Il

, I, eécnlle abat'` le 1r.1 874 lesrail t }. I t mé i l I re I'alls.

,

bon,cela ladre. Son frère, i t clé e, Lcslnng N osishn,uns que maigre les oppa- val d li rit nr êlé

CONTREFA ONS Les n srcol ici c a

qui-, seriné, eut une for''avariole à l'a-.

Glanes (I eanne Marre), épouse Sempi rem:rs dl. la re,. aile n, r A ,I n y a les cols et ,ovpn l,,,, I Ç pets une Iiié a six "Enris alors qu'elle i en il

leet dans t ,rue I o lesiérrs. I l I I I d 1

r1 et I I t 1 f t

gl v t , }t

f.i t i1,t n .x1 fd t la do t I I Wp ,tLes hôpitaux.Ce sont là évidemment d ex aptes - -- p r rI O aile , lie c é I! t deF u avec It. t I Pal ,t . t J , ci, et si bette parte la

Insuffisants pour juger une pro liquel ( d ne cluteparel lie dans la um rs d'a luér es,cros. Elle est quatre fois plumois qu'on les rapproche dea sucrés ob- 1islj}¢`tJL xall[JJaist.i t`IL.: nutritive que la iande.

signai';DesDSOrtr

tee u autrefois pur les disciples de Jeu- - --- r Noirs n ons p s e co m s c J nui ce crias L'Cnu du Il' Onr.AcAils olh eut mahére à COesion. EL . HARGNE DE TOIILOIIST pendant la set é, . lés d B Cure 70 374

val 1 'L t la plus vi+,, donlmn etsurtout, quand on voit le 11éau éclater que Iq ploi I Pore t ' Rue du T sel, Val .nie (D'arc), r ,I,. I, ,-,1Ie vraie ducs les Pluie-

b div

u 2 mai 1 som-tde nos jours avec plus de furie que ja 5. s I.menl que les beauvins fou 17 billet 1871.mais, Citai ne serait-il pas superflu Notre marché était s1ondamment plélemenl delout et qu'en l'absence des Mon infant àgé de trois mois et demi,Je vesce r en an ire t de tenter de pourvu en blés les prn[ r ét sa I six, les d'alle lis

entre a vie et la mort, avec une dlarceJa s lcornme autrefois, au ni dilis a dé ci "dod. t à ver d p és, c de la

ps

l t è, mus dans lev prix de cI fi arhée et des vonllssemenls continuels, je

litre d'essai méthodique, les ioocsl.ILi008 b l1 pp en d lo :; Itc Les arhm 18 f l 'h cl. l'in dépars de, ocre excellentepost-vaceinalest leur`, pro n'aibreux, étalent très-véser- Les petits réas se cotent eaile 8 et gevulesclére qui l'a parfaitement guéri-Jr sais Lien, que l'on pourrait sain. vos; et, malgré que noms n':lynns pas de 10 fi. l'bect' ELISA Stoatuece ALnx.

J, en i culant la venais, de mollie lgemeut à signaler, ,uxscros

lier les ig r d fection, G verrier de 's bonne . HEnciel., 'est lu

n

- ) nés'G Y st

une "'Il'

dire q I .hé er (

ls. i }un, las I .îeusé é opp sec àpminé avec tend Y I bdssç suriner PI nui ente que la viaderixn

Ia e ng pratique. Mais riel e démon. pour les qualité, ord aires. ée ° e

. iaqu .11¢ sou f dée. La variole, ainsi salivez l s 1;11(8111$ tué le i ces La re 114 kit , 2 b. 25;. 7 fi k it

peu u32 fr ;

grenas. En fout cas, lest sur ce point

caire 5 BU fois son p

i.aculée, est bé mgue et peu c.onta- -'__"- - -- - -112

60 I Lk I 4 f /fil 7 Ir

i contre-

$ v bon dea . 1

12 k'Ite

d bl d 32 et 60 fr. franco.douleuz queexpé dorveat porter les rechar

PRIXNtIMb Ly Ii N 1 P th V pharmacien

n

o,oënsis llj ) t lcher des nmentoteurs,

1

Cheneble}n-Conr(ent 11, en e0et, de rester où nous s i Pqq x Tue I.nla elle, 3 ;

au r ouous f utmns rue du 'l'air 46 Prosper

leur action d ne resterait plus guèrede

!

longtemps, d`os l'orgams matée

nouvelle acclimatation Filé l vo-rableà l'évoluhon et uévelppp eutdu mai aerad a! ;ur0é Inun ur t°uJours (11 Es! îaux Je étendrefo r émeu qui a en unualadi. enu estforcément exempte, à l'aveulrl , dumalus pour longtemps, L'idée viral ainsiLent naturellement d'essayer l'innocalat}onear}ol}que `prés l'inoculationjeu-oérien.e. Ce serait à la fois m eau.trôle de l'action de la vaccine et unenouvelle garantie coutre la variole,

lys est conduit à revenir ainsi auxancieunea pratiques. Jeuner,en effet, ettissu tes vRGGinatnurs qai sent ve.aaimmédiatemmd prés lui ,ont inoculéla variole après le virus vaccin, etc'estsans doute à cette doubleque es premiers vaceinés

duo

commcu-cement de ce siècle ont d0 de traverserindemnes les diverses épidémies de va-riole qui ae saut succédé jnsgn'en 18I8-A partir de celte époque, ms s'a t con-tenté de vacciner, sans sosie ôter lavertu préservatrice du vaccin pur l'ino-c ration variolique. On a évidemmentchangé les conditions de la pratiqueprimitive.

Un médecin habile, M. le docteur Lutien Papilla°d, avait déjà fait ermzr-gnee en 1856 l'impormnee de celle mn.dificatian à te méthode jennérienne ; ily est revenu de nouveau, en 1075, deusn Mémoire couronné par la Société

u édico-cloenegiuale de Liégé. Pendantl'épidémie ilde 18701871, il s'est inoculésept fois la variole; sur ces sept inocu-

lations, une seules été suivie de ré-sultat s'est produit une u niqueil t 00 snol c cul Il u inoculé présde 500 sujets vacunés ou revaccinés etoi on a rencontré les deux tiers aocessi-

vêv à la variole. Tous ont été préservis (Il

(C) Gaxerie +nddicale de Paris mare 1816..

e. nommes! D;i pets man Partout on déplace que. Pontant - la périé rue Anstrlitz, 2; Gelabert; AlpJe me résume très explicilemenl : Ne bac hem joie de la famille et l'espoir de la nation yaglun Rou nul D eville 1 Dernarbeignservez aucune sécurité lroropeuse -- __ st fort I al traité! Par l'i encartes t.Paul, partout, chez

Noce, la vaccine ne vous met en aucun --- 11

revacciné

B JiI robin, sera. S

cas absolument bora de dan er. Vacciné, Blé A. se Bladette... - 80 20 2v te 75 sexle des mères oe des nourrices, il e. les pharmaciens et épiciers.E Bladette onnet.... ... 80 9 .1 r0 meurt I1 première année GU,000 en Du RADDY et C'°, 2B, Place

revacciné,50

encore, vous pou. France et 40,000 en Aun] eteeev I Cette (321)Bladetteb

mldxne, Parie. 19),rdinai .. 80 110 19,, , lesval contracter la variole dent le 8e Iortalilé esi amquement due à une8 00

moins dinli Rlé mita 6a...... 0 1R 15 50é déraies. Lu socle,

néanprn

ue Blé

mulllin

in oMinaire 80 17 00 17 50 rriOrre erronée et trop fréquente ann notabl les atténuo- ein ; mu bisa à l'usage do lait de vacheter 1. maladie ;

elle

leatténueu es

touttout Seigle .............. 75 12 61113 0U loinclin

cas 1° ravin du mal. 11 importe donc Avoine.............

vo 10 5011 50 ou rde '.h

ge

avre, nu la panaideo tons

beaucoup de revacciner, e s d'épidé- Avoine ........... . 50 11 50.11 oU me ts :

dmissible

s, et 9 rdiouire-

mie, les jets de tout 5 Si le

lemraccrn Mais aux.... -..... 75 13 95 13 75. ment, améueut une

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22 °0 1111 d' _hé., des vo n ssem .nts continuels,cru'opélat il y p i lieu deerecommencer Lent ..

s, . .. - 78 iIl 110!10 vo

l trop 1pru, leu spermes et lu' Cespréc à1,ansjele L entill e..... .. .. ... 82 0 0 I R1 0 0 0o :r hie, les cam

pr18B8 Fèves .............. 56 16 0000 Co mort. On a reconnu que la digestionquC'aescceptentprécept,esd, e répète d'un jeune enfant, une fois ccm

rt

l'étatactuel, .out

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C'estmaintenant au ,nous, d re'en faire Bé:m pour la famille et pour le pays

que

son t. Wons, m li no- Colza.. ........ . .. .. 65Profi Nous avons , p Esparcette S ufoiu 50 13 00 13 50 cette destruction cruelle ! 11 y u pourront

[re r01e. y.0 129 0 un moyen ei unple et peu xraina) 10 1(

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11 penov depi0.......Satn f g(Journal tin DADaIr). tl. DE PenvrLLE. Sain[oin (graves) Lua. f00 100 140 0 parer et qui a fat ses l ap' Is, et d

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Toulouse. IJean-Louis.Jules Uejeam sanseprofession, à oulouseI la

PURGE dume Jeanne - Marie- Aune-b'uvroTUEquns LLausna , Tlréodnrme Amatein, épouse

do sieur Pierre D'ionU aidé,Suivant exploit enregistré, sucé négociant ; lesieur Ju

les Dejean, à Toutou le 1.Je Croc, IIninsic 9 Toulouse,ml date du dix-sept mai cun- dame Aune - Suaanne.

""a-rani, lo sieur Antoine tieguier huais calcul, épousa du sieur

ou Slgumr, employé ou I hemin Jean-los pli Marir-Alexandre.de ter, demeurenty à Toulouse, Iiustare P g è s, avocat, de.

utfait slgnifrercopie à la dame mearuet à SL 1 s (Bé It)J e Lalous, sans profession, la dame LI ab tb Lafdont,ép du sieur Michel ]Larron, veille d si e Ph Ilpp Galemployé au chemin de ter du cul, prop él à To lo ,

M d J miciliée à Toulouse, et et que I présent e 1 +erbonI

à M. le Prowreur de la Ré- serait faite pour p rger les hy.publique prés

11'.T,

civil pathéques légales luwnnues.de Toulouse, II'uh procès-vea- Pour extrait:bal, dressé le tconte avril (416) J. CABOS, avoué, signé.

dernier par le greffier dudit ._-'l'ribuuaL constatant le dépôt Etude de Me BECQUIÉ DE PEY-tail à c greffe de la copie REVILLE, avoué, rue de lapublie, nregistrée, d'un Fonderie, 4.sein c, au rapport de MPPouy, noWae à Toulouse, en A VENDRE

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ment bunillle à l'eau et au sel. C'est, en

somme le sauveur des enfant. par excel-lence qui, sertie, uaranlit contre Linsles accidents d, l'enfonce.

des prenvesabon-

doctes de son L,Ilncnce insu eiablemrnt

s lul:,ire, même dans les cas tes pinsdésespérés.

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ou rg, fait le rapport su r rit à la cli-bNarboone, 20 mai. nique de llrrlid, le 8 avril 1872:

La température ne aintient 0 0010' ie n'oublierai jamais qu¢ je dois la' d e mes enrénenuution de la vie dblé à la vigne et la végétation poursuit pun

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mime exploit à la dite dameLajous, épouse Darrou, danssue propre !.lérêt, et à Ni. leProcureur de la Ilépnbligna,dans l'intérêt de qui de dru }td'avoir, dans le délai de deuxmois, à compter de ce jade,à prendre eue J'imme blvends, telle. inscriptions d'hypathéques lég les q,i ils uniseraient, aveu déclaration queles peéeédents propriétairesdudit immeuble sont , la dameMarié TOéeèse-Célestine An-

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