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LA REVUE DE L’ÉCLAIRAGE FLASH LUMIÈRE ET VOITURE CONNECTÉE INTÉRIEUR TRAVAIL ET DÉTENTE DANS LES SALONS TGV LUMIÈRES DE VILLE GUÉRANDE OPTE POUR LA GESTION NUMÉRIQUE MADE IN FRANCE MELJAC, L’APPAREILLAGE HAUTE COUTURE ON AIME SÉLECTION SALON ONLYLIGHT MEDIA PARTNER PARIS 1 er AU 4 NOVEMBRE 2017 CAHIER SPÉCIAL LA CONCEPTION FRANÇAISE À L’HONNEUR 7 14 30 38 66 62 293 - SEPTEMBRE-OCTOBRE 2017 DOSSIER HÔTELS : DE L’ACCUEIL À LA CHAMBRE, LES NOUVEAUX CODES 27/09/2017 11:53

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    LA REVUE

    DE L’ÉCLAIRA

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    FLASHLUMIÈRE ET VOITURE CONNECTÉE

    INTÉRIEURTRAVAIL ET DÉTENTE

    DANS LES SALONS TGV

    LUMIÈRES DE VILLEGUÉRANDE OPTE POUR LA GESTION NUMÉRIQUE

    MADE IN FRANCEMELJAC, L’APPAREILLAGE

    HAUTE COUTURE

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    MEDIA PARTNERPARIS 1er AU 4 NOVEMBRE 2017

    CAHIER SPÉCIALLA CONCEPTION FRANÇAISE À L’HONNEUR

    up to 72 paper presentations / more than 1500 attendees expected / latest know-how and research findings / 6 renowned Keynote Speakers / exhibition of leading manufacturers / gala dinner and PLD

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    ParisProfessional Lighting Design Convention

    www.pld-c.com

    PLDC is a brand of the

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    1. - 4. November, 20177

    CALL FOR PAPERS

    The Call for Papers for PLDC 2017 will be published on 1. September, 2016!!

    Play an active part in the PLDC 2017 programme and submit your paper for review at www.pld-c.com.

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    N°293 - SEPTEMBRE-OCTOBRE 2017

    DOSSIER HÔTELS : DE L’ACCUEIL À LA CHAMBRE, LES NOUVEAUX CODES

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  • la revue de l’éclairagefondée en 1928 par joseph wetzel

    lux société d’édition et de formation17, rue de l’amiral-hamelin75783 Paris Cedex 16

    Association française de l’éclairagePrésident Michel Francony—Éditions LUX Directrice de la publicationMarie-Pierre [email protected]—RédactionVertBatimBP 5003378590 Noisy-le-Roi Cedex—Directeur éditorialJacques [email protected]—Secrétaire de rédactionLucie [email protected]—Ont collaboré à ce numéroLucie Cluzan, Vincent Laganier et Pascale Renou—Publicité et AbonnementsSociété LUX17, rue de l’Amiral-Hamelin75783 Paris Cedex 16Tél : 33(0) 1 45 05 72 [email protected]—Gestion et administration des ventes et paiementsPublicité/AbonnementsB.E.C.83/87, rue de Paris92100 Boulogne-BillancourtMathieu [email protected]él. : 33(0)1 41 90 65 90—Mise en pageAntoine Maiffretwww.maiffret.net—Impression Imprimerie de ChampagneLangres (52)—En couvertureEye_Beacon, UNStudio et MDT-tex. Pavillon accueil Amsterdam Light Festival. Photo © Janus van den Eijnden

    Dépôt légal : à parution. Ce numéro comporte un encart PLDC inséré en page 32 et un encart Formation et abonnement inséré en page 63.Il est interdit de reproduire tout ou partie du présent magazine sans l’accord de l’éditeur. Imprimé en France. ISSN 00247669

    Les bureaux, ces oubliésRetour vers ce qui était annoncé comme un futur ! Il y a 20 ans, dans son édition d’avril 1997, LUX se félicitait, qu’à l’exposition Elec 96, « la gestion de l’éclairage était bien représentée ». Trois propositions étaient alors avancées : tout d’abord, celles des fabricants de sources et matériels d’éclairage ; ensuite, celles des constructeurs d’appareillages électriques pour lesquels les automatismes du bâtiment représentent le prolongement naturel de leurs activités traditionnelles et enfin, celles issues de l’univers des réseaux de communication du bâtiment, qui avaient alors pour noms Batibus, EIBus, Lonworks…Depuis 20 ans, que sont devenues ces promesses, particulièrement au niveau de l’éclairage des bureaux ?Il y a 10 ans, à l’occasion de la publication de la directive « EuP » (Energy using Products) visant à exclure du marché les produits les moins performants en termes d’efficacité énergétique (dont les ballasts ferromagnétiques), le Syndicat de l’éclairage confiait au CEREN (Centre d’études et de recherches économiques pour l’énergie) une première étude portant sur l’état des installations d’éclairage dans les bureaux. Analysée dans l’édition de LUX de janvier-février 2007, l’enquête dénonçait déjà « la structure et l’organisation du marché freinant la pénétration de l’éclairage électronique ».Qu’en est-il aujourd’hui alors que, ce 10 octobre, le Syndicat de l’éclairage présente les résultats d’une nouvelle étude réalisée par le CEREN ? Menée auprès d’un échantillon d’une centaine de sites audités, ses résultats ont été extrapolés aux 217 millions de mètres carrés de bureaux exploités en France. « L’évolution aurait pu être meilleure », estime Dominique Ouvrard, délégué général adjoint du Syndicat de l’Eclairage, pour qui « la prise de conscience des maîtres d’ouvrage et maîtres d’œuvre n’a pas encore eu lieu »… Notamment au niveau de la gestion des installations : seulement 10 % d’entre elles utilisent la détection de présence et 5 % l’apport de lumière naturelle.Autre constat regrettable : la qualité des installations reste trop souvent passable et ne prend pas en compte le bien-être par la lumière. D’où le plaidoyer de l’organisation professionnelle : « Les performances énergétiques des LED ne doivent pas conduire à négliger le confort visuel, le bien-être et les règles de l’art de tout projet d’éclairage. »À suivre l’analyse complète de l’étude dans la prochaine édition de LUX.

    septembre-octobre2017

    « LES PERFORMANCES ÉNERGÉTIQUES DES LED NE DOIVENT PAS CONDUIRE À NÉGLIGER LE CONFORT VISUEL, LE BIEN-ÊTRE ET LES RÈGLES DE L’ART DE TOUT PROJET D’ÉCLAIRAGE. »

    Jacques Darmon,directeur éditorial LUX

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    Simplicité et pureté des formes : un processus raffiné de simplification de la réalité qui est réduite à sa structure la plus essentielle. Pour sa nouvelle collection, la créativité SIMES s’exprime à travers un jeu de géométries primaires qui renferment la lumière. La lumière définit l’espace, elle accentue, donne le rythme, modèle les formes et définit l’équilibre de la structure. La gamme COOL CARRÉ se caractérise par des formes extrêmement simples et minimalistes et intègre la technologie LED de dernière génération au service de luminaires extérieurs à la fois performants et durables. COOL CARRÉ est un volume creux qui diffuse la lumière de manière indirecte grâce à une série de LED ultrafines disposée à proximité du diffuseur. www.simes.it/cool-square

    Partenaire exclusif :

    SOMMAIRENUMERO 293

    24 LUMIÈRES CRÉATIVES24 La Paris Design Week et les luminaires d’hier et de demain26 Le Dépli de la Lumière de Nathalie

    Junod-Ponsard sur l’immeuble Austerlitz

    28 LUMIÈRES INTÉRIEURES28 Les fresques de Giotto à Padoue entrent dans l’ère de l’IoT30 Ambiances travail et détente

    dans les salons TGV de la SNCF34 Aéroport de Paris favorise l’activité

    commerces dans les terminaux

    62 ON AIMELes produits phare d’OnlylightAppareillage et contrôle, derniers lancements

    71 VISION SMART LIGHTING SECTEUR72 AGENDA ADRESSES

    68 SHOWROOMEuropean Experience Centre Lutron au cœur de Londres

    12 TOPLUXGuide AFE de l’éclairage public14 FLASH14 Lumière et voiture connectées selon Philips et Renault

    16 Brèves design, prix, architecture…

    66 MADE IN FRANCEMeljac, l’appareillage haute couture

    58 FOCUS58 Gestion de la lumière : le bon détecteur60 Rénovation des installations d’éclairage intérieur : nouvelles dispositions

    36 LUMIÈRES ÉXTÉRIEURES36 Le Parc Olympique Lyonnais et l’éclairage dynamique 100 % LED38 La gestion numérique de la ville

    de Guérande

    22 PERSPECTIVESDijon : l’axe de la Liberté à l’heure de la créativité20 RENCONTREBenjamin Azoulay sur les nouveaux besoins en connectivité et la LiFi

    43 DOSSIERHÔTELS   DE L’ACCUEIL À LA CHAMBRE L’ÉCLAIRAGE SUIT  LES NOUVEAUX CODES52 Sélection produits

    SPÉCIAL

    PLDCI Une convention des concepteurs

    lumière pour quoi faire ?II La conception lumière en France

    vue de l’intérieureV Roger Narboni

    et ses ambiances nocturnesVI Savoir-faire et savoir être français

    dans le monde

  • Renseignements : [email protected]

    POINT DE VUE AFEPOURQUOI SE FORMER

    EN ÉCLAIRAGE ?

    LUXMAITRE LES FORMATIONS LUXBimensuel d’information du CFPE (Centre de Formation et de Perfectionnement en Éclairage) de l’AFE SUPPLÉMENT LUX n°293 • SEPT-OCT 2017

    Si il est une chose que l’électronique et l’informatique ne pourront apporter, quel que soit le métier de la personne derrière l’écran, c’est la valeur ajoutée humaine, primordiale dans les métiers de l’éclairage, notamment dans un secteur d’ac-tivité qui répond aux besoins humains. Cette valeur ajoutée, que l’on nomme compétence, ne peut exis-ter sans connaissances, sans cesse mises à jour.

    Car l’éclairage offre l’avantage (ou l’inconvénient, question de point de vue), de rassembler plusieurs disciplines : santé, vision, sécurité, attractivité… Ces dimensions, dont plusieurs sont subjectives, ne peuvent se résumer à un chiffre et nécessitent de véritables études, donc, de véritables compétences. « C’est la seule stratégie valable. »

    La première fracture les projets via des micro-investissements, par rue ou par quartier si l’on prend le cas de l’éclairage public, et n’induit pas seule-ment une perte de cohérence, mais éga-lement une perte de qualité. Une absence d’approche globale, de projet d’éclairage, qui coûte cher, notamment en maintenance.

    Les deux autres questionnent l’intégrité d’une ingénierie globale de l’éclairage. Car, in fine, ce qui se trame, c’est bien de déterminer si les projets d’éclairage doivent faire l’objet d’une ingénierie en soi, ou s’ils peuvent se contenter de la su-perposition des autres.

    urgence Avant la démocratisation des connais-sances en matière d’éclairage, les acteurs de la filière étaient des techniciens dispo-sant d’un pré carré de compétences. Aujourd’hui, les métiers de l’éclairage sont « grignotés » par le marketing vert et l’électronique. Demain, l’ensemble de l’industrie risque de basculer vers l’infor-matique. « Il est urgent, pour les différents métiers de la filière éclairage, de donner du sens aux nouvelles technologies et so-lutions  pour  ne  pas  être  victimes  de l’« Ubérisation », l’économie digitale re-mettant  rapidement  en  cause  le  vieux modèle  de  l’économie  traditionnelle  » (LUX, la revue de l’éclairage n°285).

    renouveler son socle de connaissances Si repenser le marketing de l’éclairage, donc son sens, est essentiel, ce reposi-tionnement ne pourra, seul, lui redonner une vraie place dans le paysage des tra-vaux publics. Le vrai danger pour l’éclairage n’est pas de se convertir au numérique. Le véritable piège est de lais-ser cette transition le reléguer au statut de petit dernier qui ne récupère que les miettes. La survie de l’éclairage passera par un renouveau du socle de connais-sances, et de compétences, commun à tous les acteurs.

    Des compétences qui tendent à se perdre face à la complexité du marché et aux nouveaux entrants, de plus en plus nom-breux, et pas forcément solides techniquement.

    L’INGÉNIERIE DE L’ÉCLAIRAGE DISPARAÎT

    SE DIFFÉRENCIER PAR LA COMPÉTENCE

    À ce constat, trois causes principales : une ingénierie financière en profonde mutation,

    l’ère du numérique et les LED.

  • RÉFÉRENCEMENTDepuis 2017, le CFPE (Centre de formation et de perfectionne-ment en éclairage) est référencé officiellement auprès de tous les OPCA (processus Datadock) après avoir répondu positive-ment aux 21 critères imposés par la loi du 5 mars 2014. confie à tous les financeurs de la formation professionnelles la res-ponsabilité du suivi et du contrôle de la qualité des organismes de formation avec lesquels ils travaillent, pour améliorer la transparence de l’offre de formation et favoriser la qualité des actions de formation.

    Les participants sont interrogés à l’issue de chaque formation pour en noter la qualité.

    LUXMAITRE LES FORMATIONS LUX

    Bimensuel d’information du CFPE (Centre de Formation et de Perfectionnement en Éclairage) de l’AFE SUPPLÉMENT LUX n°293 • SEPT-OCT 2017

    Renseignements : [email protected]

    LES COMPÉTENCES TRANSVERSALES, LE DÉFI DES 5 PROCHAINES ANNÉES

    D’ici 2020, de nouvelles obligations réglementaires européennes et françaises vont obliger la maîtrise d’ou-vrage publique (collectivités) et privée (industrie et tertiaire) à investir plusieurs millions d’euros pour la mise en confor-mité de leurs ouvrages d’éclairage et des réseaux. Un pic de rénovation des in-frastructures d’éclairage, en intérieur comme en extérieur, va être atteint, du fait des réglementations actuelles et en révision (notamment plusieurs directives en révision dans les cartons de l’UE)

    • Les décrets de rénovation énergétique des bâtiments tertiaires

    • La réglementation DT-DICT, qui va induire des millions d’euros d’inves-tissements, va permettre de géo- localiser les réseaux, dont ceux d’éclairage, et d’induire les choix qui en découlent

    • La bataille des réseaux de communica-tion et des protocoles de communication, fréquences, CPL, 4G (avec une 5G prévue pour 2020), va s’engager et déterminer les investissements de demain

    Des bouleversements auxquels s’ajoute-ront :• la question des solutions de finance-

    ment, toujours en suspens mais qui joueront un rôle majeur dans l’ingénie-rie de l’éclairage de demain ;

    • l’évolution des connaissances scienti-fiques et médicales sur les effets de la lumière.

    L’éclairage jouera une place centrale pour les maîtres d’ouvrage publics et privés, en tant que levier de financement par économies d’énergie ou en tant que dépense inéluctable. Aux acteurs

    de l’éclairage de les accompagner pour redonner une véritable valeur ajoutée à l’éclairage.

    EXEMPLES DE RÉSULTATS 2017

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    base en éclairage intérieur

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    initiation à l’éclairage

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  • DOSSIER PARKINGS SOUTERRAINS

    N°292 - MAI-JUIN 2017

    LA REVUE

    DE L’ÉCLAIRA

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    FLASHLA CONCEPTION FRANÇAISE AUX IALD AWARDS

    LUMIÈRES CRÉATIVESLES PORCELAINES

    DE SYLVIE MARÉCHAL

    LUMIÈRES INTÉRIEURESBOUTIQUES DE L’AÉROPORT PIERRE-ELLIOTT TRUDEAU

    LUMIÈRES EXTÉRIEURESL’ÉCLAIRAGE SOLAIRE

    ISOLÉ EN SEINE-ET-MARNE

    ON AIMEDE RETOUR DU SALON EUROLUCE

    MEDIA PARTNERPARIS 1er AU 4 NOVEMBRE 2017

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    1. - 4. November, 20177

    CALL FOR PAPERS

    The Call for Papers for PLDC 2017 will be published on 1. September, 2016!!

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    DOSSIERÉCLAIRAGES CONNECTÉS POUR POINTS DE VENTE BRANCHÉS

    N°288 - SEPTEMBRE 2016

    LA REVUE

    DE L’ÉCLAIRA

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    MEDIA PARTNERPARIS 1er - 4 / 11 / 2017

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    Venez nous rendre vis i te à ARCHITECT@WORK 2016 | 22 – 23 Septembre | Par i s | Stand 107

    PERSPECTIVESQUAND L’ÉCLAIRAGE SE MET AU BIM

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    LUMIÈRES INTÉRIEURESNOUVELLE BIBLIOTHÈQUE UNIVERSITAIRE D’HELSINKI

    LUMIÈRES DE VILLECONCEPTO ILLUMINE 21 KM

    DE BERGES À SHANGHAI

    FOCUSLES EFFETS NON VISUELS DE LA LUMIÈRE

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    CALL FOR PAPERS

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    Offical PLDC Media Partner

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    «L a lumière était l’un des enjeux de ce projet pilote », intro-duit Brigitte Cachon en précisant que la foncière Gecina a été accompagnée, pour le mener, par la start-up LBMG, pour laquelle « le passage à l’ère digitale entraîne une mutation de l’organisation du travail, ce dernier devenant nomade, distribué et col-laboratif », et par le groupe Artdesk, contribuant à apporter réponse aux entreprises, soucieuses de savoir « comment créer l’environne-ment favorable à un engagement maximal des équipes ? » Cette approche « change tout » puisqu’elle s’écarte d’une problé-matique purement économique : « Comment optimiser mes mètres carrés ? » La lumière se devait d’y participer. Artdesk a ainsi choisi Feilo Sylvania pour y parvenir. « Les économies d’énergie représentant 

    également un critère important pour Gecina, nous avons préconisé des luminaires LED intégrant notre système de gestion d’éclairage Organic Response », poursuit Pierre Taing, chef de produits chez le fabricant d’éclairage.

    ÉCLAIRAGE SUR-MESURELes nouveaux espaces, bénéficiant de l’apport de lumière naturelle, ont été repensés en fonction des besoins et usages des utilisateurs avec un rééquilibrage entre les espaces « solos » et communs. Au fi-nal, ont été imaginées 101 possibilités d’assises de travail et beaucoup plus d’espaces utiles, qu’ils soient collaboratifs (salle de brainstor-ming, petites salles de réunion, espace détente) ou individuels (postes

    individuels, salle silence, module repos). Si, auparavant, l’installa-tion d’éclairage était constituée de luminaires encastrés équipés de tubes fluorescents T5 de 39 W, aujourd’hui 50 luminaires Rana Linear LED O.R., intégrant le système de gestion d’éclairage Organic Response (O.R.), ont été installés dans les bureaux.Spécialement conçus dans des longueurs de 900 x 90 mm afin de les intégrer harmonieusement à ces nouveaux espaces, ils offrent un flux lumineux de 2 200 lm et une température de couleur de 4 000 K. En complément, 33 downlights Syl-Lighter LED II, d’une puissance de 21 W, et 25 mètres de ruban lumineux Lumistrip, de la marque Lumiance, ont été choisis pour éclairer les circulations et la zone centrale.Plus de 6 mois après le début de l’expérimentation, « le bien-être au travail a été accru, les trois quarts de collaborateurs constatent une meilleure cohésion d’équipe », se félicite Brigitte Cachon.

    LES AVANTAGES CONSTATÉSQuatre principaux avantages contribuent à la flexibilité de cette solution. Côté usagers, chacun d’eux pourra, individuellement, per-sonnaliser le luminaire grâce au pilotage via Smartphone ou tablette. « Ce qui permet d’optimiser l’éclairage, zone par zone, en fonction du taux d’occupation et des activités », souligne Pierre Taing. Par ail-leurs, grâce à un capteur de luminosité intégré, est prise en compte la lumière naturelle, le luminaire « prenant le relais si les apports ex-térieurs ne sont pas suffisants ».Côté exploitant, le niveau d’économies d’énergie obtenues est signi-ficatif puisqu’elles peuvent atteindre jusqu’à 70 % par rapport à un système d’éclairage non géré. Côté mise en œuvre, l’installation est facilitée et rapide grâce à la gestion d’éclairage O.R. directement in-tégrée dans le luminaire. Enfin, ce système permet de comprendre les taux d’occupation par type d’usage. Cette analyse sera prochai-nement disponible grâce aux données recueillies et récupérables par Bluetooth sur le cloud. JD

    MIEUX COMPRENDRE LE BUREAU PAR L’USAGE

    Dans le cadre de sa stratégie d’innovation portant sur l’aménagement de ses bureaux, la foncière Gecina a mené une expérimentation au 3e étage de son siège parisien.

    Avec quel objectif ? « Réfléchir à l’organisation du travail et aux nouveaux usages en testant, en conditions réelles, les concepts d’aménagement et d’optimisation des espaces que nous proposerons

    demain à nos clients », explique Brigitte Cachon, directrice exécutive Transformation, Marketing & RSE.

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    DOSSIER BUREAUX

    En tant que partenaire exclusif des Trophées Nouveaux usages tertiaires décernés par le SIMI (Salon de l’immobilier d’entreprise), Gecina assiste à une mutation radicale des espaces et des modes de travail. « Mieux connecter l’immeuble au bien-être des bâtiments. » Tel est, selon la foncière, le sens de ces récompenses qui intéressent autant les directeurs de l’immobilier que les gestionnaires et les utilisateurs. Au niveau de son siège parisien, elle s’est appliqué ce bon sens.

    LUX, la revue de référence des applications de l’éclairage et des lumières connectées

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    Éclairage santé et bien-être # 280 janvier-février 2015

    Éclairage, énergie et sécurité routière : l’intelligente exemplarité des tunnels # 281 mars-avril 2015

    Préparer la qualité des réseaux au Smart Lighting. # 282 mai-juin 2015

    Commerces : la lumière connecte pour mieux vendre # 283 septembre-octobre 2015

    Le « juste parler » de la transition éclairagiste # 284 octobre-novembre 2015

    Industries : prévention au travail et éclairages LED # 285 janvier-février 2016

    Éclairage connecté : valoriser aussi lumières et bien-être dans les bureaux # 286 mars-avril 2016

    Luminaires : de l’éco à la smart conception # 287 mai-juin 2016

    Éclairage connectés pour points de vente branchés # 288 septembre 2016

    Extérieur : protection et maintenance contre les surtensions # 289 novembre 2016

    La LED éclaire la grande hauteur et les grands espaces # 290 février 2017

    Bureaux : mieux s’éclairer pour mieux travailler à l’ère du numérique # 291 avril 2017

    Parkings souterrains # 292 juin 2017

  • Janvier 1928 ! Dans le monde de l’éclairage, cette date marque un événement. Celui de la première parution de la revue LUX. C’est ainsi que, depuis 90 ans, elle anticipe et accompagne les multiples évolutions technologiques ayant permis le développement des applications de l’éclairage dans notre quotidien, qu’il soit domestique, professionnel, urbain ou de loisirs.

    VOIR AUTREMENTEt maintenant ? Après le règne de l’incandescence, de la fluorescence et des lampes à décharge, ainsi que des luminaires et équipements associés, le soudain avènement de la technologie LED oblige à voir autrement. LUX y contribue en considérant qu’il ne suffit plus de parler de produits et même de systèmes d’éclairage, mais de solutions lumières, associant le naturel à l’artificiel, l’humain à la technologie, l’usager à ses besoins légitimes de confort visuel et de bien-être.

    OPPORTUNE TECHNOLOGIE LEDMême si la « brutalité » de son avènement bouleverse les habitudes professionnelles de bon nombre, la technologie LED représente une opportunité pour permettre aux divers usages de l’éclairage de retrouver le rang qu’il n’aurait pas dû perdre au cœur des bâtiments et des territoires connectés. Trois atouts « LEDifiants » le favorisent :

    - tout d’abord, elle délivre une lumière énergétiquement efficace et de qualité, favorable à une meilleure ergonomie visuelle ;

    - ensuite, elle participe à l’intelligence des bâtiments concrétisée par l’intéropérabilité des différents usages (éclairage, chauffage-climatisation, contrôle d’accès, gestion des stores…) afin d’obtenir un meilleur confort dans les locaux (luminosité, qualité de l’air, humidité, niveau sonore…). L’étude CEREN qui vient d’être présentée confirme qu’il y a beaucoup à faire, dans les bureaux principalement ;

    - enfin, la technologie LED ouvre à la communication sécurisée via soit le VLC (Visible light Communication) soit le Li-Fi (Light Fidelity).

    OPPORTUNE TECHNOLOGIE LEDApplicable dès le 1er janvier 2018, l’arrêté, paru au J.O. du 25 mars 2017, fixe les nouvelles dispositions de la réglementation thermique des bâtiments existants, « élément par élément », de moins de 1 000 m2. L’éclairage intérieur, tant public que privé, est concerné par trois dispositions essentielles : tout d’abord, extinction automatique de l’éclairage dans les locaux, parcs de stationnement et parties communes; ensuite, gradation de l’éclairage en fonction de l’apport de lumière naturelle; enfin, puissance maximale installée de 1,6 W/m2 de surface utile. À suivre donc en 2018....

    90 ANS ! ET MAINTENANT ?Depuis 9 décennies, la revue LUX accompagne les développements technologiques

    de l’éclairage « traditionnel », des applications en résultant et des métiers y contribuant. Aujourd’hui, la technologie LED impose de « tout voir autrement ».

    TRANSITION ÉNERGÉTIQUE DES BÂTIMENTS TERRITORIAUX

    QUID DE L’ÉCLAIRAGE ?À l’occasion du SMCL (Salon des maires et des collectivités locales), en novembre, LUX publiera dans sa prochaine édition (294) un dossier portant sur l’indispensable rénovation de l’éclairage des bâtiments territoriaux. Trois chapitres le caractériseront :- les bonnes pratiques de la transition énergétique. Les enseignements de l’étude « Coda Stratégies » pour le compte du SERCE,

    de la FFIE, du Gimelec et du Gesec, et conséquences de l’obligation, depuis le 1er janvier dernier, d’élaborer un plan climat territorial « Air-Energies » pour les territoires de plus de 20 000 habitants ;

    - depuis le décret de mars 2017, applicable dès janvier 2018, que préconiser au niveau des installations d’éclairage ? Est concerné un parc, estimé à 227 000 bâtiments, souvent mal connu y compris au niveau des usages. Y dominent les locaux d’enseignement, les bâtiments administratifs, stades, cuisines collectives, locaux techniques… ;

    - près de 10 années d’expérience de Guilhem Massip à Pau : services constructions publiques et maintenance au sein de la direction urbanisme, aménagement et constructions durables de Pau Béarn Pyrénées.