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secondesLe milieud
pour évilelbien dessoucis !
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Dé,ueloppelnent durable-tion Ocûobre 2015
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Drjà fautontu 2015
Eh !! Oul lt De retour de nos vacances estlvales qul j'espère furent énergllsantes etamusantes, déjà nous devons nous lemettle en mode actlon.
llautomne s'annonce des plus mouvementés, nous avons beaucoup de mandats àtravalller et de plus en plus il nous faut falre preuve d'lmaglnatlon.
J'al conflance qu'ayec la contrlbutlon de chacun et la force du travall d'équlpenous obtlendrons les résultats souhaltés tout en malntenant nos servlces de quall-té.
Les défls pour notre prochaine année :
P Oérnrrr"r les nouveaux projets tels que la salle des sens et l'aménagement de certains es-
paces extérieurs;
P tmplanter un nouveau programme de formation «Symptômes comportementaux et psy-
chologiques de la démence »;
E- or le biais d'un sondage, évaluer la satisfaction au travail et établir un plan d'action;
P *ér,r"r. ",
appliquer le programme de formation en prévention des infections;
P Réfle*ion sur la fermeture de l'établissement durant les périodes d'éclosion;
P ,od,t,"r. la présentation des philosophies d'intervention et de gestion ainsi que de la nou-
velle vision.
Mercl à tous pour votre précleuse collaboratlonl
Je proflte de I'occasion pour vous dlte que I'espète tous vous lecevoh à !aMarlna du Vleux Port Ie vendredi 4 décembre 2015 pour le Party des Fêtes.
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Sonia Bergeron, Directrice générale
TABI.EDESMATIÈRES
çnérale
des Infections
deVie
et 25e
I(atrfurcIânontagneàhconæptbndu
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JOANIE TREMBLAY
KARINE ST-PIERRE
CHANTALE DESGAGNÉ
NICOLA PARÉ
MYRIAM FRANCOEUR
LAURIE.ANN DUPONT
SOPHIE TREMBLAY
JOHANNE TRUCHON
JANIE PARENT
FRANçOIS TREMBLAY
NATHATIE TREMBLAY
LINE MAILLOUX
CYNTH!A VEILLEUX
NDREANNE HARVEY
ALEX L'ESPERANCE
BLANCHETTE
l$iænueparminous!
-Glmmnnement
Iür*lapause
Égeptnrmaceuüque
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Edes muscdosqueleüiques
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Comité CAQSL'amélioration continue de la qualité des soins infirmiers
scruter à la LEUPE!
L'amélioration continue de la qualité . c'est d'améliorer de façon progressive, sys-tématique et continue, la prestation des services aux résidents. On le fait : en véri-fiant la qualité et la pertinence des interventions cliniques, en orientant mieux nosprises de décisions, en cernant les situations et en apportant les correctifs néces-saires.
Pour vérifier si la qualité est en constante évolution dans notre centre, nous de-vons faire des contrôles de qualité deux fois par année, en mai et en novembreafin de cibler nos forces et nos faiblesses. C'est pourquoi, nos deux détectives,membres du comité, Lise et Andréanne, sont libérées de leurs tâches habituellespour aller scruter les dossiers des résidents.
A partir de la grille d'évaluation, elles recueillent des données comme par exem-ple : Est-ce que le PTI est élaboré dans la première semaine suivant l'admission?Est-ce que le constat est inscrit? Est-ce que les directives infirmières sont perti-nentes et apparaissent au plan de travail? À la suite de cette collecte de données,une analyse est faite par la directrice des soins infirmiers et la conseillère en mi-lieu de vie et un plan d'action est mis en ceuvre afin de faire ressortir les lacuneset les pistes d'amélioration à apporter. Une présentation du plan d'action est faiteaux AlC, cela permet de connaître leurs points forts et les points qu'elles auront àaméliorer au cours de l'année.
Le sondage de satisfaction de la clientèle distribué à chaque année aux résidentset aux familles, contribue également à I'amélioration continue de la qualité. Cetteannée, un sondage-résident et un sondage-famille ont été élaborés par différentsmembres de l'Association des établissements privés conventionnés selon les re-commandations d'Agrément Canada. lls seront utilisésres et en partie les années paires.
La direction et le comité des usagers et des résiderüg travasatisfaire les besoins de la clientèle. Un plan d'action eqldes résultats afin d'améliorer nos services. Vous pourrezp
en entier les années impai-
pournalyse
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c vorrle plan d'action de cette année car les sondages ont été réUisés
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Avosloupes et soyez un détective de la q té!!
mai20.15.
Nos lnterventlons sont faltes dans le mellleur esprlt d'6qulpe posslblet
MERC! d'y volrl
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Toute sltuatlon d'urgence est partlcullère et surtout Inattendue. Dans la malorlté
det cao, cela Impllque un ensemble d'é!6ment demandant
une lnteryentlon raplde. ll oût de notre devolr de:
+Falre dee pratlques d'lncendle à chaque ann6el
+Llre le plan d'actlon dans le cahler P.M.U.;
=Falre dec pratlques avec lec codes de couleurs;
= Avoh une formatlon annuelle evoc un pr6ventlon-
nlste dæ lncendlec.
La sécurlté, on y volt et on la pratlque!
Semalne de I'ENVIRONNEMENT
5 AU 11JUIN
Durant cette semaine, un klosque à été installé au rez-de-chaussée du centre d'hé-
bergement St-Francois pour montrer à quel point les employés(ées) partlclpent aux
petits gestes du quotidien pour I'envlronnement,
ll y a eu beaucoup de mlses au polnt afln de dlmlnuer les déchets le plus posslble.
Mercl à tous pour votre partlclpatlon. C'est I'occaston pour chacun de nous de
prendre des mesures qul aldent à préserver et à protéger notre envlronnement.
Gontlnuons ensemble et metcl de votre collaboratlonl
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Du 3 au 9 mai dernier se déroulait la semaine sur la santé mentale I Lethème pour cette année était:
« PRENDRE UNE PAUSE! »
Nous avons donc organisé un salon-santé où un punch et une colla-tion étaient servis aux employés(ées), également des jeux ont été or-ganisés et des prix de participation pour tous.
Nous avons profité de cette occasion pour sensibiliser les gens à l'im-portance et aux bienfaits de prendre une pause.
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Prenez une pauoepour volr les choses
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Votre comité SST Merci à fous et BONNE PAUSE! Page 6
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Certains comportements ne répondent pas à la médication, quelques exemples :
l'errance, la fugue, les cris, les mouvements répétitifs.
En première ligne, l'approche non-pharmacologique est de mise pour les symptô-mes peu fréquents ou n'entraînant pas de risque ou de détresse.
Le traitement pharmacologique est réservé aux situations où la détresse et le risquepour le résident et l'entourage sont élevés.
le bien-être de nos résidents!
Molécule(quétiapine)
Administra-tion
Séroquel régu-lier
1 à 2 heures Jusqu'àI heures
out 1à 2foisparjou r
PRN :oui6 heures Pour la plupart
des individus :
24 heures
non 1 fois par jour
PRN : non
Page 7Mme Sonia Couture, pharmacienne
t4 page rharmoeceuü0quc)Séroquel XR et Séroquel régulier, quelles sont les différences ?
Pic action :
Maximumd'effet aprèsla Drise
Duréed'action :
Temps del'effet
Sécable
Séroquel XR
Les effets secondaires de la formulation XR et régulière sont presque les mêmes. Ce-pendant, comme le pic d'action est moins important, la forme XR donne moins d'hypo-tension (donc, moins d'étourdissement) que le comprimé régulier. Par contre, si le com-primé de Séroquel XR est coupé ou écrasé, toute la dose est libérée immédiatement.C'est donc comme si vous aviez donné un comprimé régulier car il a perdu son effet delongue action.
Traitement de l'agitation verbale et psychomotrice... À retenir
ll est plus facile de commencer avec une seule molécule afin d'optimi-ser la dose et la durée du traitement. La situation change, le traite-ment avec les neuroleptiques doit alors être révisé, voir même ces-sé. Tentons de chercher la cause (car e!!e est souvent réversible),d'identifier le message caché d'un besoin physique, psychologique oud'une douleur non soulagée.
Beau défi d'équipe à accomplir pour
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CloéFille de Stéphanie Lavoie
26 NOVEMBRE 2014Nolan
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Page 8Garçon de Valérie Savard
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Fille de François Tremblay
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Comité de prévention des infectionsVaccin contre la grippe ?
Les années se suivent, mais ne se ressemblent pas !
Au cours de la saison grippale 2014-201 5, le virus le plus prévalent au Québec a étéI'influenza A(H3N2). On aurait pu penser que le vaccin administré I'automne dernierallait le combattre, puisqu'il contenait une souche de H3N2. En réalité, la majoité (95%) des souches du virus de I'influenza de type A(H3N2) iso/ées au Canada, ont subiune modification dans la séquence génétique d'une protéine du virus.
Cette année, cette modification a eu un effet néfaste sur I'efficacité du vaccin antioio-pal administré, tellement qu'on I'a qualifiée de minimale à nulle
Taux d'efficacité du vaccin au Canada :
2014-2015 0%2013-2014 70%
À la lumière des résulfats de cette année, il serait tentant d'affirmer que la confiancedu public envers le vaccin contre la gippe pounait être ébranlée. Mais en revanche, ilest important de rappeler que le vaccin couramment administré au Québec contienttoujours au moins 3 souches, et que pour I'année en cours, il a démontré une bonneefficacité pour les 2 autres souches. Le vaccin est efficace contre I'influenza de type Bqui circule encore actuellement.
ll est vrai que I'efficacité du vaccin contre la gippe est parfois imprévisible d'une annéeà l'autre, mais majoritairement il est efficace, d'autant plus que c'est la première foisque le taux d'efficacité du vaccin esf sl bas depuis /es 10 dernières années.En terminant, t7 esf essenflel de rappeler que la vaccination est la meilleure protectiondisponible pour les personnes à isque, comme /es personnes âgées de même que lestravailleurs de la santé qui les côtoient
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Durantia salson de grippe, le vaccin antigrippal demeure la meilleure façon de se pro-téger contre cette infection, surtout pour les personnes /es p/us vulnérables telles que/es personnes âgées. Son efficacité dépend essentiellement de la conformité entre lessouches de virus contenues dans le vaccin et celles qui circulent dans la populationpour une saison gippale donnée.
Chaque année, un comité de I'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) se réunit aumois de février, afin de déterminer quelles souches de la grippe seront incluses dans /evaccin pour /a salson à venir. Les experls de ce comité se basenf sur /es souches encirculation paftout sur la planète, par un processus de surveillance de laboratoires desanté publique de référence de I'OMS. Une bonne prédiction fait en softe que le vaccinprotège les vaccinés et leur entourage, mais l'inverse est malheureusement fouf ausslvrai.
2012-2013 50%2011-2012 60%
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Le comité milieu de vie a débuté avec un nouveau mandat cette année qui a pourobjectif premier d'assurer un milieu de vie de qualité, accueillant et personnaliséaux besoins de chaque résident, où l'ambiance familiale est bien présente. Noustravaillerons sur /es quatre grands thèmes qui sont recommandés par le Ministèrede la santé et des seruices socraux (MSSS) soit: I'accueildu résident, les activitésde la vie quotidienne (AVq, bs lieux adaptés et l'accompagnement à l'étape defin de vie.
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« STOP JE VOUVOIE! Je ne suis pas ta belle,je ne suis paston chéri, je ne suis pas ta fleun je ne suls pas ton amour, jesuis madame Iherèse Sponsable! »
savlezvous?IL'usage de diminutifs ou de mots dits « affectueux» (ex. : ma chérie, ma belle,mon petit monsieur, très cher, ma belle enfant, etc.») peut être interprétéscomme des siqnes infantilisants. voir déniqrants pour les personnes hébergéeset porter atteinte à leur disnité.Le vouvoiement permet de créer une distance positive dans /es relations entrele résident et le personnel et renforce le lien thérapeutioue. pafticulièrementavec les résidents ayant des troubles de comportement.
Page 10Julie Morin, conseillère en milieu de vie
Nous accueillons chaleureusement fous /es membres du comité: Mme Marie-Blanche Lefebvre, représentante du comité des résrdenfs, Roxane Pineault, chefdu secteur alimentaire, Annie Boudreault, technicienne en éducation spécialisée,Mme Marie-Claude Fortin, préposée aux bénéficiaires, M. Jasmin Dallaire, prépo-sé aux bénéficiaires, Mme Shirley Boivin, assr.sfanfe infirmière-chef et Mme Natha-lie Doré, directrice des soins infirmiers. Les membres travailleront sur divers sujetspour promouvoir les pratiques visant le bien-être des résrdenfs.
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Uannée passée, grâce à laI
présence d'unhypnotiseur, nous avons pu découvrir qui d'entre nous pouvaittomber sous l'emprise de ce phénomène. Ce fût une belle activi-té pour tous nous divertir et pour permettre aux participantsd'oublier tous leurs soucis!
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À votre disposition sur te babillard du comité SST se trouve lediaporama présenté par Ia TRP pour vous aider à comoren dre eta Évtrgn les blessures musculosquelettiques pouvant survenirdurant votre travail. Un aide-mémoire est aussi affiché pour sa-voir quand et comment utiliser la glace ou la chaleur lorsqu'unedouleur vous incommode.Une bonne connaissance des troubles musculosqulettiquesvous permettra de mieux comprendre vos douleurs et ainsi deIes ÉVrgn II BoNNE LEcTURE!
Katrine Lamontagne, TRP
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