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L’AUTRE QUÊTE Un projet sur la relation Homme Nature proposé par l’Association (1) & Fête le Mur Bordeaux Gironde Aquitaine Graine Centre - Val de Loire Alsace Nature & Graine Grand Est Pétale 07 & Association le Mat 07 Collectif Éduquer à la nature (1) L’Association Le grand secret du Lien, porteuse du projet , est nommée dans le texte l’Association

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L’AUTRE QUÊTEUn projet sur la relation Homme Nature

proposé par l’Association(1)

&Fête le Mur Bordeaux Gironde Aquitaine

Graine Centre - Val de Loire Alsace Nature & Graine Grand Est Pétale 07 & Association le Mat 07

Collectif Éduquer à la nature

(1) L’Association Le grand secret du Lien, porteuse du projet , est nommée dans le texte l’Association

Page 2: L’AUTRE QUÊTE - petale07.org · AN CERAP EEDD FCPN FLM BGA FNE FNH GGE Graine CVDL LGSL OASU REN SGDF SPP UNCPIE WT. Un prUpojetsr uleUsepuajie HnstmNmés’u’siUmAj’ rsumc(1c(1)c(&

Sommaire

Liste des sigles utilisés dans le texte

Avant-propos

Objectifs et approche globale

Les enjeux

Les partenaires

Les activités

Moyens humains

Budget prévisionnel

Calendrier

Annexes

Annexe 1 - Les groupes

Annexe 2 - La recherche

Annexe 3 - CV Directeur du projet

Contact

p.03

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[email protected] © Frédéric Plénard 01/01/2017

Sigles utiliséset sites internet

Alsace Naturehttp://www.alsacenature.org/

Centre de Recherche Active en Psychopédagogie perceptivehttp://www.cerap.org/

Éducation à l’environnement et au Développement Durablehttp://www.eedd.developpement-durable.gouv.fr/accueil

Fédération des Clubs pour la Naturehttp://www.fcpn.org/

Fête le Mur Bordeaux Gironde Aquitainehttp://fetelemur.com/

France Nature Environnementhttp://www.fne.asso.fr/

Fondation Nicolas Hulot (Agir pour la Nature)http://www.jagispourlanature.org/

Graine Grand Esthttp://www.grainelorraine.org/

Graine Centre Val de Loirehttp://www.grainecentre.org/

Le grand secret du Lienhttp://www.legrandsecretdulien.org

Observatoire Aquitaine des Sciences de l’Universwww.oasu.u-bordeaux.fr

Réseau Ecole et Naturehttp://reseauecoleetnature.org/

Scouts et Guides de Francehttps://www.sgdf.fr/

Somato Psycho Pédagogiehttp://www.cerap.org/

Union Nationale des Centres Permanents d’Initiatives pour l’Environnement.http://www.cpie.fr/

Association Wild Touchhttps://www.wildtouch.org

AN

CERAP

EEDD

FCPN

FLM BGA

FNE

FNH

GGE

Graine CVDL

LGSL

OASU

REN

SGDF

SPP

UNCPIE

WT

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[email protected] © Frédéric Plénard 01/01/2017

Avant-propos

-1- Le texte sur l’éducation à l’environnement et au développement durable (EEDD) adressé aux rectrices et recteurs d’académie le 4 février 2015, par Mme la Ministre de l’Education Nationale (M.E.N.) , place la culture comme un élément majeur de l’EEDD : « [...] Il est nécessaire de transmettre aux enfants la connaissance, la compétence et la culture qui leur permettront tout au long de leur vie, en tant que citoyens, de connaître, comprendre, décider et agir en fonction des enjeux du développement durable ».

-2- Dans le Rapport de synthèse de l’Évaluation des Écosystèmes pour le millénaire, de 2005, est définit la notion de service écosystémique comme étant : « La relation entre les aspects biophysiques des écosystèmes et les bénéfices humains ». Parmi ces services, classés en 8 catégories, se trouvent les services culturels, définis comme étant tous les bénéfices non matériels que les êtres humains retirent des écosystèmes.

-3- Dans les années 1980, Gaston Pineau, par le concept d’écoformation émet l’idée que « L’environnement forme au moins autant qu’il est formé ou déformé. » et parlant plus précisément de la nature « Nous dépendons des éléments naturels plus que ceux-ci ne dépendent de nous [...] C’est en comprenant les forces vitales qui nous lient à l ’environnement que nous apprendrons à composer avec les équilibres de la nature, [...] que nous saurons comment former un environnement viable et durable ». Dominique Cottereau précise : « [...] Explorer l ’écoformation c’est conscientiser la manière dont nous sommes affectés, touchés, formés, éduqués par la terre : par ses climats, ses régions et ses éléments ».

L’expérience du film « Le Lien », les nombreux témoignages reçus lors des projections, la lecture du sondage de Gilles Pronovost(1), et autres travaux de recherche(2), confirment que la compréhension du fonctionnement des écosystèmes, un regard attentif et sensible sur la nature, une attitude empathique sur le monde vivant, sont des qualités indispensables chez le jeune, pour « comprendre, décider et agir en fonction des enjeux du développement durable ».Nous faisons un parallèle entre ces qualités et la« culture » évoquée par le M.E.N. et pensons que son apprentissage est à relier avec les « services écosystémiques culturels » ; c’est pourquoi, dans « Le grand secret du Lien », nous positionnons l’écoformation et l’activité de pleine nature, comme éléments fondamentaux de l’EEDD, en portant notre attention sur la pédagogie pour ne pas tomber dans ce que Philippe Meirieu nomme le « spontanéisme écologique(3) ».

(1) Sondage sur les attitudes des jeunes en regard de la nature et des activités de plein air (novembre 2010).(2) Notamment les travaux de Nathalie Blanc, géographe de l’Université Paris 7.(3) Le simple fait de mettre un jeune dans la nature suffit à l’éduquer.

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Objectifs et approche

Objectif globalFaire évoluer chez les jeunes(4), leur rapport à la nature et aux écosystèmes pour les amener à mieux les protéger.

Objectifs spécifiques1) Faire connaître auprès de tous les acteurs de l’éducation(5) , des méthodes pédagogiques pour qu’ils organisent avec les jeunes, des activités de nature qui mobilisent les sens, le corps sensible et qui favorisent une compréhension scientifique des écosystèmes.

2) Faciliter l’accompagnement en nature pour les parents, enseignants, animateurs et éducateurs, en expliquant et valorisant l’écoformation, et en levant les freins qui la limitent aujourd’hui, comme l’idée que la nature peut être dangereuse, sale, que la nature est un lieu ennuyeux, les préjugés selon lesquels il faudrait des qualifications pour éduquer les enfants dans la nature, que la nature n’est pas un lieu d’éveil culturel, etc.

Approche globale pour atteindre l’objectif du projet

Un Voyage avec la nature

Mise en place, pour 5 groupes de 8 à 12 jeunes, dans 5 régions de France : Nouvelle Aquitaine, Auvergne Rhônes Alpes, Normandie, Centre-Val de Loire et GrandEst, de 7 temps d’immersion en pédagogie d’écoformation, dans les milieux naturels sauvages ou aménagés, et mise en valeur de ces moments d’immersion par des témoignages filmés des jeunes, par les jeunes.

Une recherche scientifique

Organisation d’une recherche sur l’impact d’une activité accompagnée, de pleine nature auprès des jeunes et rédaction de publications dans des revues spécialisées et magazines grand public.

Un documentaire

Réalisation d’un documentaire pour définir et valoriser l’écoformation, et la rendre accessible aux parents, enseignants, animateurs et éducateurs, autour du contact direct avec la nature de proximité.

Des actions

Mise en place dans toute la France et les pays de l’UE, d’une série de conférences ouvertes au grand public, soutenues par le documentaire, les témoignages des groupes et les publications scientifiques, pour que s’engagent dans les territoires des actions qui permettent aux jeunes de retrouver le lien avec la nature, afin de mieux la protéger et comprendre les enjeux du développement durable.

(4) Sont considérés dans ce projet comme jeunes les enfants, adolescents et jeunes adultes entre 9 et 20 ans issus de tous milieux socioculturels. (5) Nous considérons comme acteurs de l’éducation : les parents, les enseignants, les éducateurs nature, les animateurs et éducateurs socioculturels.

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Les enjeuxdu projet

La gouvernanceDans ce projet, le jeune vit une activité de pleine nature qui lui permet de ressentir et comprendre les liens qui l’unissent à celle-ci. Ce vécu l’amène vers une conscience de son appartenance aux écosystèmes. Il ne vit plus la nature comme extérieure à lui, mais comme un élément faisant partie de lui et comprend qu’en la protégeant, il se protège lui-même. Il devient responsable.

L’éthique (la culture) communeDans un contexte d’urgence majeure écologique, il est fondamental que tous les acteurs sociaux soit dans une convergence d’action et de culture. Ce projet met en place, au delà de toutes les divergences, contraintes logistiques et financières, un dispositif pour permettre à tout un écosystème humain de travailler ensemble autour d’un projet commun et au service des groupes d’enfants. Dans une perspective plus large, on peut penser que l’apprentissage de la culture construite autour des liens entre l’humain et la nature, développe des valeurs communes et partagées.

Le développement durableDans le texte adressé aux rectrices et recteurs d’académie du 4 février 2015, Mme la Ministre de l’Education Nationale précise à propos de la mise en place de l’EEDD : « Cette mission s’exerce dans le cadre d’une démarche partenariale entre la communauté éducative, les collectivités territoriales et les parties prenantes et associations intervenant dans le champ de cette éducation transversale ». Cette idée de partenariat est aussi reprise dans les consignes du Conseil National de la Transition Écologique (CNTE), commission consultative du Ministère de l’Environnement, de l’Energie et de la Mer, dans sa délibération du 26 janvier 2015 : « L’appropriation des enjeux de la transition écologique

et l ’expérimentation des solutions peuvent être mises en œuvre par le citoyen dans sa vie quotidienne [...] »

Les textes de Mme la Ministre de l’Éducation Nationale et du CNTE vont bien au delà des seuls enseignants. C’est l’ensemble des acteurs de la communauté éducative qui sont concernés dont les parents. Gilles Pronovost le souligne dans son rapport final sur les attitudes des jeunes en regard des activités de plein air : « En d’autres termes, il semble bien que ce soit le milieu familial qui ait l ’influence positive la plus forte auprès des jeunes [...] ».

La délibération du CNTE du 26 janvier précise également l’importance du contact direct avec la nature : « ...notamment par le contact direct avec la nature, qui constitue la clé d’une responsabilisation individuelle et collective et d’une évolution des modes de pensée ».

Au regard des directives de ces deux ministères, nous proposons de développer une EEDD en lien direct avec les activités de pleine nature, placée sous la responsabilité partagée de tous les acteurs de l’éducation, à la croisée de la connaissance, des savoirs faire et des savoirs être. Une EEDD capable d’éveiller chez le jeune des comportements citoyens, mais bien plus encore, qui lui donne une force de conviction et un engagement construit à partir d’une culture de la nature et de la perception et la prise de conscience des liens qui l’unissent à la Terre, sensibles et profonds.

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Les partenaires

Acteurs engagés Motivations Stratégie

Partenaires nationaux

Les PasseursProfessionnels des associations d’éducation à l’environnement, adhérentes aux Réseaux Nationaux (voir ci-contre).

REN - Perfectionner leur pratique et les élargir dans le domaine du sensible- Renforcer leur rôle de formateur pour tous les acteurs de l’éducation (parents / animateurs / éducateurs sociaux)- Devenir force de proposition et d’influence sur les institutions.

- Concertation et réflexion collective sur les pratiques d’écoformation à mettre en œuvre, avant, pendant et après le voyage.- Échanges sur les stratégies éducatives avec les chercheurs.- Rencontres et échanges avec les parents, animateurs des structures participantes.

FNE

FCPN

FNH (AN)

UNCPIE

SGDF(6)

Les GuidesProfessionnels en SPP qui permettent aux enfants, sans aucune influence, de verbaliser leurexpérience de nature.

Les praticiens en SPP associés au Cerap

Le Cerap travaille sur la pédagogie perceptive : une méthode qui s’appuie sur la perception sensorielle.L’activité de pleine nature, qui mobilise tous les sens offre une perspective d’approfondis-sement de cette pédagogie.

-Préparation des jeunes à vivre les activités de nature avec une approche sensorielle.- Participation aux immersions en pleine nature.- Organiser des entretiens et échanges avec les enfants.

Les TémoinsPersonnes qui aident les groupes à monter leur film.

Wild Touch(6) Action en lien direct avec leurs activités et une occasion de se mettre en lien avec les structures d’éducation à l’environnement.

Mise à disposition de la plate forme internet, de soutien à la création audiovisuelle mis en place par WT.

(6) Partenariat en cours de constitution. Sera définitif au 16 mars 2017.

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Les activités

Activité 1 :Organisation d’un voyage avec la nature pour 40 à 60 jeunes dans 5 régions de France

1.1 Constitution du groupe de jeunes

Dans chaque région, est constitué, dans une zone géographique limitée, un groupe de 8 à 12 jeunes. Ce nombre réduit permet de travailler la relation sensible à la nature, de reproduire au plus près, un contexte familial et de faciliter l’organisation pratique des immersions (transport, regroupement, activités). La parité entre garçons et filles est respectée. L’ensemble des 40 (à 60) jeunes représente tous les milieux socioculturels, une classe d’âge entre 9 et 20 ans et intègre des jeunes en situation de handicap. Les parents sont totalement intégrés au dispositif et peuvent participer aux temps d’immersions.

1-2 : Rencontre avec le Conseil des Sages de la Nature (CSN)

Un Conseil des Sages est formé. Il regroupe ZAZ(7), Emmanuelle Grundmann, Françoise Serre Collet, Pierre Rabhi, Philippe Meirieu, et Vincent Munier. Les 5 groupes de jeunes sont réunis pendant 2 jours en Ardèche au Village du Vieil Audon pour rencontrer le CSN qui leur parle du grand secret du Lien (8), et les invite à le découvrir en se reconnectant aux liens qui les unissent à la nature. Ces liens, ils vont les retrouver en faisant le Voyage : 7 à 8 temps de rencontre avec la nature. Une mission leur est alors confiée : chaque groupe devra révéler ce grand secret par un film de 4 à 6 minutes.

1-3 : Les temps de rencontre avec la nature : les étapes du voyage

Entre septembre 2017 et août 2018 et en dehors des temps scolaires, 7 à 8 temps d’immersion de 2 à 10 jours, en milieu naturel, tant sauvage, qu’urbain (jardins publics, jardins partagés, etc.) sont mis en place. Au total, les jeunes passeront au minimum 20 jours et autant de nuits, en nature.

Ils suivent un programme pédagogique construit sur les conseils des chercheurs du Centre de recherche appliquée en psychopédagogie perceptive (CERAP) et d’experts en sciences de l’éducation et en écoformation. Ce programme qui sollicite les 5 sens, le corps sensible et l’esprit, placera le jeune, dans les conditions les plus favorables pour l’exploration de l’éco-formation.

Les groupes sont accompagnés par les « Passeurs » ; accompagnateurs nature, membres des associations des réseaux nationaux d’éducation à l’environnement : Réseau École et Nature (REN) / France Nature Environnement (FNE) / Ligue de Protection des Oiseaux (LPO) / Union Nationale des Centre Permanents d’Initiatives à l’Environnement (UNCPIE) / Fédération des Clubs Pour la Nature (FCPN) /J’agis pour la nature de la Fondation Nicolas Hulot et Scouts et Guides de France (SGDF). Ils animent et encadrent l’immersion. Les éducateurs, animateurs vivent les immersions avec les enfants, les parents peuvent y participer.

(7) Zaz est envisagée comme membre du CSN, mais son accord est en attente.(8) Le grand secret du Lien se trouve dans les services écosystémiques culturels : c’est tout ce que l’être humain peut retirer d’une reconnexion à la nature : du point de vue de sa propre construction, de la construction de son rapport à l’autre et au monde.

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Ces groupes sont accompagnés des « Guides », praticiens en somato psychopédagogie (SPP) associés au CERAP. Les Guides sont présents à chaque immersion. Avec des techniques d’introspection, gymnastique sensorielle ou entretiens verbaux, ils aident les enfants à verbaliser leur expérience sensible de la nature, d’une part dans l’instant de l’immersion et d’autre part, 8 à 10 jours après chaque immersion.

Pendant les immersions, dans chaque groupe, une personne (qui tournera) est chargée de faire des images vidéo.

Activités et démarches pédagogiquesExemple : Sortie de 3 jours en forêt de Sologne :

Les jeunes construisent le camp de base avec les éléments de la nature (chaises, tables, lieu de réunion, toilettes sèches, etc. ). Par des jeux, les enfants mettent leurs sens en éveil pour observer, écouter, sentir les odeurs et goûter les plantes sauvages. Ils ont des temps libres pour évoluer dans un espace limité pendant lesquels ils sont invités à construire des cabanes, faire des barrages dans le ruisseau, grimper dans les arbres ou ne rien faire.. Des temps de solitude sont mis en place pour se fondre dans l’espace naturel. L’enfant participe à la préparation des repas et utilise au maximum les éléments de la nature (feu de bois pour cuisiner, herbes sauvages pour enrichir les plats, eau naturelle pour la vaisselle, etc. ). Des temps de création artistique sont organisés avec du bois, des branchages, des pierres. Une rencontre avec des professionnels qui travaillent dans la nature est organisée. Ils parlent aux enfants de leur relation à la nature.

1-4 : Retour avec le CSN

Au plus tard, 2 à 3 mois après la fin du voyage (décembre 2018), les groupes sont à nouveau réunis avec le Conseil des Sages. Chaque groupe présente le film qui sera validé pour une diffusion.

Activité 2 : Recherche scientifiqueLes chercheurs du Cerap en soutien avec des spécialistes en écoformation, élaborent un protocole de recherche et font des publications sur les types d’activités de nature et les conditions pédagogiques qui rendent l’écoformation mieux à même de favoriser, chez les enfants, la perception et la compréhension des liens qui les unissent à la nature, et qui améliore leur comportement citoyen.

Activité 3 : Réalisation d’un film de 4 à 6 minutes par chacun des groupesÀ partir des mots verbalisés et des images captées, les groupes, aidés par des professionnels de la communication, construisent un film de 4 à 6 minutes pour faire le récit de leur quête. Ces films devront être montés au plus tard 3 mois après le voyage et seront présentés au CSN. Ils sont intégrés au coffret Le grand secret du Lien et diffusés sur tous les réseaux sociaux des partenaires (plus de deux millions de personnes), des négociations sont en cours pour une diffusion sur des chaînes de télévision.

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Activité 4 : Réalisation d’un documentaireUn film documentaire de 90 minutes produit par Jupiter Films est réalisé. Ce film suit les immersions des groupes, questionne les jeunes, les éducateurs, les chercheurs et les Sages. Ce film centré sur la relation homme-nature, pose un autre regard sur l’EEDD, centrée sur l’écoformation et placée sous une responsabilité partagée entre les professionnels de l’EEDD et l’ensemble des acteurs de l’éducation, parents, éducateurs nature, scientifiques, enseignants. Le documentaire rassure : « La nature n’est pas plus dangereuse qu’une autre activité sportive, on ne s’ennuie pas dans la nature, il n’y a pas besoin d’être naturaliste ou éducateur nature pour accompagner son enfant dans la nature ». Le documentaire propose des situations pédagogiques simples et reproductibles, dans une nature de proximité par des parents, enseignants, animateurs et éducateurs socioculturels.

Activité 5 : Édition du coffret Le grand secret du LienLe coffret « Le grand secret du Lien » est un outil proposés aux jeunes, pour les motiver à sortir en nature et aux acteurs de l’éducation, pour les inciter à vivre ces temps de nature avec eux et les guider dans l’accompagnement pédagogique. Dans ce coffret on trouve : le documentaire, les films des groupes, un inventaire des activités reconnues dans la recherche et dans le documentaire et un résumé des résultats de la recherche accessible au grand public. Il est distribué par les réseaux et médias partenaires et pendant les conférences.

Activité 6 : Organisation de conférences et soutien aux actions locales.À l’issue du voyage, des conférences soutenues par le documentaire, les films des groupes et les publications scientifiques, sont mises en place dans les 5 régions puis dans le reste de la France, voire dans les pays de l’Union Européenne. Ces conférences invitent les acteurs de l’éducation et les jeunes à organiser des temps de nature pour retrouver les liens qui les unissent à elle. Tous les acteurs et partenaires du Grand secret du Lien, mettront leur compétences et leurs ressources pour les y aider.

Note : Il est très probable que d’autres actions se mettent en place suite au grand secret du Lien, comme l’organisation de rassemblements nationaux sur l’écoformation ou la création d’un fond de soutien pour aider les parents à amener leurs enfants vers des activités de pleine nature. Elle seront l’émanation des conférences et des initiatives émergentes à l’issue des conférences.

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Moyens humainsDirection du projetFrédéric PlénardPrésident de l’Association

Association Le grand secret du Lien

Expérience : Plus de 200 films réalisés, 20 ans dans l’enseignement et l’accompagnement de projets avec les enfants et les jeunes adultes.Rôle : Animation du projet, réalisation du documentaire et décision en dernier recours.

Groupe de Pilotage National8 personnes :- 5 représentants des Associations porteuses du projet en région (voir ci contre)- 1 chercheur du Cerap- 1 chargé de Com.- 1 élue de la Mairie de Paris chargé d’EDD

Pétale 07 & Le Mat 07 Auvergne Rhône-Alpes

Expérience : Plus de 20 ans d’expérience de gestion de projets multipartenariaux.Rôle : Fixe le cahier des charges du voyage et de la recherche et assure la cohérence entre les toutes les activités menées dans les 5 régions, édite le coffret Le grand secret du Lien et organise les conférences.

Collectif Éduquer à la NatureNormandie

AN / Graine Grand Est

FLM / BGATerre et Océans Nouvelle Aquitaine

Graine CVDL Centre Val de Loire

Les Groupes de pilotages régionaux20 personnes (4 par région)- 1 référent des passeurs - 1 référent des guides- 1 référent des Témoins - 1 référent des jeunes

Rôle : Assure la mise en œuvre du projet dans chacune des 5 régions en respectant le cahier des charges.

Les Passeurs35 personnes7 animateurs par région

Expérience : Ils appartiennent à des associations locales d’EDD adhérentes aux mouvements nationaux partenaires.Rôle : Assurent les animations et l’encadrement des étapes du voyage dans les 5 régions.

Les Guides10 personnes2 praticiens SPP par région

Expérience : Exercent en cabinet de Somato Psycho Pédagogie.Rôle : Conduisent les enfants à verbaliser leur expérience sensible de nature.

Les Témoins5 personnes1 par région

Rôle : Aident les groupes à construire le film du voyage à partir des rushes fait par les enfants.

Équipe de recherche27 personnes- 2 chercheurs du Cerap- 10 praticiens SPP enquêteurs - 15 étudiants en Master 2

Rôle : Élaboration et mise en place du protocole de recherche, entretiens individuels et collectifs des enfants, recueil des données, expertise des résultats et publications scientifiques.

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Budget prévisionnelUnité Nombre

unitésCout

unitaireTotal Année

1Année

2Année

3

1. Ressources humaines

1.1 Salaires1.1.1 Technique : Directeur mission (coût total du salaire) Par mois 24 5 000 120 000 30 000 30 000 60 0001.2 Per diems pour missions/voyages 5 (frais repas et hébergements)1.2.2 Mission F. Plénard pour Groupe de pilotage national Per diem 90 70 6 300 3 150 3 1501.2.3 10 Mission pour 10 réunions pour 10 pers GPN Indemnité repas 100 15 1 500 750 750

Sous-total Ressources humaines 127 800 33 900 33 900 60 0002.Transports et déplacements

2.1. Voyages immersion (Location 5 camions / 250 euros) Par jour 90 250 22 500 11 250 11 2502.2. Déplacements 5 GPR ( 30 personnes) / 50 euros/pers) Par trajet A/R 750 50 37 500 18 750 18 7502.3 Déplacements GPN (10 réunions pour 10 personnes) Par trajet A/R 100 100 10 000 5 000 5 0002.4 Déplacements directeur projet en régions Par trajet A/R 12 100 1 200 600 6002.5 : Repas groupes d’enfants (12 personnes) Repas 1200 8 9 600 4 800 4 800

Sous-total Voyages 80 800 40 400 40 400 03. Équipement et fournitures

3.1 Essence pour 5 camions Par mois 90 50 4 500 2 250 2 2503.2 Achat caméra et accessoire de tournage Par groupe 5 1 000 5 000 2 250 2 2503.3 Achat équipement spécifique pour activités de nature Par Enfant 40 200 8 000 4 000 4 000 0

Sous-total Équipement et fournitures 17 500 8 750 8 7504. Bureau local

4.1 Fournitures de bureau pour les 5 GPR Par groupe 5 250 1 250 625 6254.2 Fournitures pour le GPN 500 250 250Sous-total Bureau local 1750 875 875 0

5. Autres coûts, services

5.1 Études, recherche 40 000 13 400 13 400 13 2005.2 Coûts des conférences projection Par conférence 24 250 9 600 9 6005.4 Communication (outils, sites réseaux sociaux, etc.) 30 000 15 000 10 000 5 0005.5 Constitution du coffret LGSL 5 000 4 0005.6 Intervention expert sciences de l’éducation Demi journée 8 400 3200 1 600 1 6005.7 Coûts d’ évaluation 15 000 15 000

Sous-total Autres coûts, services 102 800 30 000 26 000 46 8006. Autres

6.1 Prestation EDD locales par jour 100 350 35 000 17 500 17 5006.2 Prestation 1 praticien SPP par jour 100 250 25 000 12 500 12 5006.3 Prestation 1 accompagnateur par région par jour 100 100 10 000 5 000 5 0006.4 Mise à disposition personnel pour organisation (10 jours/ région) 50 350 17 500 8 750 8 7506.5 Prestation assistance technique films groupe par jour 20 250 5 000 2 500 2 5006.6 Tournage documentaire 100 000 50 000 50 0006.6 Prestation GPN pour réunions (10 personnes) par jour 100 300 30 000 15 000 15 000

Sous-total Autres 222 500 111 250 111 250 07. Sous-total des coûts directs éligibles de l’action (1 à 6) 553 150 225 175 221 175 106 8008. Coûts administratifs (maximum 7%) 380 720 15 762 15 482 7 4769. Total des coûts directs éligibles de l’action (7+8) 591 870 240 937 236 657 114 276

10 Provision pour imprévus (maximum 5 % de «7 total des coûts directs éligibles de l’action»)

27 657 11 258 11 058 5 340

11. Total des coûts éligibles (9+10) 619 527 252 195 247 715 119 616

12. - Contributions en nature 0 0 013. Total des coûts acceptés de l’Action (11+12) 619 527 252 195 247 715 119 616

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[email protected] © Frédéric Plénard 01/01/2017 [email protected] © Frédéric Plénard 01/01/2017

Calendrier Prévisionnel 2017 2018

Activités Sous activités 1 2 3 4 5 6 7 8 9 1 2 3 4 5 6 7 8 9

A 1 : Le voyage Définition du Cahier des charges voyage

Constitution des groupes en régions

Réunions avec les parents

Mise en place du voyage en régions

Rencontre 1 avec le CSN

Le voyage : la quête des groupes

Rencontre 2 avec le CSN

A 2 : Films des Groupes

Signature convention WT

Suivi des groupes

Montage des films

A 3 : La recherche Signature convention

Cahier des charges guides. Protocole

Mise en place de la recherche en régions

Rencontres avec G, P et Témoins

La recherche

Analyse et publications

A 4 : Film Écriture

Tournage et Montage

Post production

A 5 : Conférence Préparation

Diffusion

Communication Visibilité

Conférence de Presse

Calendrier

1011 1112 12 1.. 12..10

2019

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Annexe 1 - Les groupes

Constitution des groupes de jeunesDans chaque région, le Groupe de Pilotage Régional constitue un groupe de 8 à 12 jeunes. Les groupes sont d’une même classe d’âge dans une région donnée et toutes les classes d’âges sont représentées dans les 5 régions réunies. Les principaux types de territoires (urbains, ruraux, montagnes, mer campagne, etc. ) et les principaux milieux socio-culturels sont représentés sur l’ensemble des 5 régions.

- Région Nouvelle Aquitaine : 8 enfants entre 9 et 12 ans principalement issus de quartiers difficiles.

- Région Centre Val de Loire : 8 adolescents principalement en situation de décrochage scolaire.

- Région Normandie : 8 enfants de 12 à 16 ans associés à un club FCPN

- Région Grand Est : 4 enfants en situation de handicap d’un IME et 4 étudiants de BTS Gestion de la Forêt.

- Région Auvergne Rhône- Alpes : 8 aides-animateurs de 16 à 18 ans de plusieurs communauté de communes.

Constitution du Conseil des SagesPierre RabhiPhilosophe agroécologiste de réputation mondiale.

Vincent MunierPhotographe animalier français. Il est spécialisé dans les photographies dans des conditions hivernales.

Emmanuelle GrundmannBiologiste, naturaliste et reporter animalière française, spécialiste de la protection et de la réintroduction des grands singes en Afrique et en Asie.

ZAZ(9)

Chanteuse et auteur-compositrice-interprète française mêlant les styles variété française, folk et soul.

Philippe MeirieuChercheur et écrivain français, spécialiste des sciences de l’éducation et de la pédagogie.

Françoise Serre ColletChargée de médiation scientifique au Muséum HN de Paris. Herpétologue

Constitution et rôle du Groupe de pilotage national : (GPN)Annie Mandion - Référente région Centre-VDL0682886704 / [email protected]

Bernard Wentz - Référent région Grand Est0388089214/ [email protected]

François Lenormand - Référent région Normandie0688339273 / [email protected]

Frédéric Plénard - Animateur0683182021 / [email protected]

Hélène Bourhis - CERAP0682120901 / [email protected]

Hélène Ramajo - Chargée de Communication0630183338 / [email protected]

Marie Simon - Référent région ARA0679401805 / [email protected]

Steve Gérachios - Référent région NA0637982623 / [email protected]

(9) Participation envisagée et à confirmer.

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Annexe 2 -La recherche

Extraits du dossier de recherche écrit par Hélène Bourhis et Danis Bois (texte entier disponible)

Hypothèse de rechercheLe contact avec la nature, organisé et accompagné par des éducateurs à l’environnement, et des praticiens de l’éveil sensible, est susceptible de modifier le rapport à la nature des participants et leurs actions en lien avec les comportements écologiques.

Une recherche qualitative et compréhensive« Le chercheur doit s’efforcer de pénétrer, de saisir, d’exprimer et de communiquer le plus adéquatement possible la façon de penser et de vivre des personnes qui sont l ’objet de sa recherche. » Dilthey (1926)Nous inscrivons notre recherche dans les sciences qualitatives. La formulation de la question de recherche permettra d’évaluer et d’analyser :- les impacts éducatifs et d’apprentissage(écoformation),- les impacts d’un rapport privilégié avec la nature sur la façon de la voir et de se la représenter (Gould 2011), - les impacts sur la rencontre avec soi-même retour à soi (Ormiston, 2003)- les impacts sur les comportements citoyens (Cottereau & Bachelart 2003).

Objectifs opérationnels- Évaluer la nature de l’expérience sensible découlant des activités d’éveil sensoriel au contact de la nature- Mettre en évidence des impacts de l’expérience sensible au niveau personnel, social et comportemental de la population étudiée.

Objectifs Généraux- Proposer des outils éducatifs permettant aux parents, animateurs et éducateurs socio-culturels des collectivités territoriales, d’accomplir une fonction d’éducateur à l’environnement auprès des jeunes.- Proposer dans le milieu scolaire, aux professeurs, des programmes d’activités éducatives à l’environnement facilement reproductibles en milieu scolaire et susceptibles de favoriser le déploiement de comportements citoyens.

Pertinence de la rechercheLa recherche proposée dans le « grand secret du Lien » répond en partie aux grands enjeux qui apparaissent dans la littérature scientifique. En effet, le projet du « grand secret du Lien » :- Vise à éduquer les acteurs non professionnels de l’EEDD à devenir des « passeurs de nature »- Offre des perspectives nouvelles pour permettre aux parents et professeurs d’accompagner les jeunes à apprendre de la nature- Contribue à l’éducation de comportements écocitoyens- Elle introduit la dimension de l’expérience du sensible chez les jeunes immergés dans la nature- Elle étudie les effets personnels, sociaux et comportementaux qui sont éventuellement obtenus dans cette expérience.

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MéthodologieDeux types de population étudiées :Les membres de l’équipe éducative : Passeurs et Référents enfants (éducateurs, enseignants, etc. ).Les enfants, adolescents et jeunes adultes : 40 à 60 participants répartis en 5 groupes de 8 à 12 jeunes dans 5 régions de France.

Recueil des données :Entretien sur la base d’un guide d’entretien menés pas 3 praticiens de la pédagogie perceptive suis la direction de 3chercheurs du CERAP.Dynamique de groupe : enregistrements retranscrits ciblés sur les objectifs de la recherche.Écriture à partir de questions.

Construction d’une grille catégoriellePhase préalable consistant à anticiper les différentes orientations à développer pour recueillir le maximum de données en lien avec le projet de recherche (approche catégorielle).

Nous évaluerons également un ensemble d’expériences qui sont directement liées à la découverte de la nature et à l’expérience sensible en nous appuyant sur des catégories a priori comprenant les notions :- De bien-être (plaisir, forme physique, relaxation),- Les situations de défis (aventure, dépassement, compétition),- Le rapport aux autres (socialisation, communication)- Le rapport à la nature (rapprochement avec la nature, contemplation),- L’expérience sensible (perceptions ressentis, vécus du corps), et- Le retour vers soi (évasion, émotions, introspection, prises de conscience, décisions) et- Le déploiement de nouvelles attitudes envers la nature (comportements éco citoyens, attitude prospective).

Exemple de question en lien avec la catégorie notion de bien être :« Peux-tu nous raconter un moment dans ta vie où tu t’es réellement ressenti(e) bien avec la nature et peux tu décrire les sensations qui t’ont interpellé(e) ? »

Un autre approche catégorielle sera réalisée pour construire un guide d’entretien auprès des équipes pédagogiques et les pédagogues de la perception.

Quelles sont les activités proposées ? Quelle est la cible de chaque activité ?

Comment vous vous y prenez ? La pratique est elle standardisée ou bien y a t il de la place donnée à l ’imprévisible dans les processus d’apprentissage ?

Quelles sont les compétences que vous pensez développer auprès des enfants en line avec l ’activité ? Comment procèdent ils pour éduquer le sensible ?

Quelle place est donnée à la réflexion de l ’enfant ? Moment de partage d’interaction, de réflexion ? Qu’est ce qui ressort de ces expérience ?

Peut on dégager une approche standardisée capable de servir de base à la transmission des savoirs afin de transmettre cela aux parents, et autres éducateurs ?

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Annexe 3 -CV Frédéric Plénard,Réalisateur du documentaire

Depuis plus de 20 ans je réalise des films par passion. Je me suis formé de façon autodidacte à la prise de vue et au montage et à la création de DVD. Depuis Septembre 2000, j’ai créé une Association : Aquitaine Vidéo, dont l’objet social est le travail autour de la création audiovisuelle. Depuis Septembre 2006, dirigeant d’une micro entreprise de réalisation audiovisuelle. Professeur de biologie, Professeur certifié de Sciences de la Vie et de la Terre depuis 1991, j’ai exercé dans plusieurs collèges et lycées de la Gironde. Dans chaque établissement, j’ai développé de nombreux projets, centrés d’une part sur la vie scolaire (présidence de foyer, responsable de la formation des délégués, etc.) et d’autre part sur les sciences (réalisation de films en géologie, organisation de conférences faites par des élèves, etc.).

ExpériencesAudiovisuel : 20 ans de pratique audio-visuelle sur banc analogique puis sur PC

Réalisateur Indépendant depuis 7 ans : tournage, montage, authoring DVD sur Encore

Réalisation de plus de 150 films (reportages et documentaires)

Compétences Tournage :maîtrise de caméras HD / XDCam

Montage : maîtrise des logiciels de montage Adobe première / Final cut sur Mac

Prise de son : maîtrise captation sur caméra et HF

Pédagogie : 15 années d’enseignement et nombreuses animations avec des jeunes Expériences 3 ans d’enseignement dans le premier degré.

12 ans d’enseignement en second degré.

7 ans de fonction d’animateur en centres de vacances.

2 ans au service de l’ancien Conseil Départemental et National des Adolescents puis avec l’Office Central de la Coopération à l’Ecole.

FormationsDiplômes et certifications Capes : Sciences de la Vie et de la Terre.

Diplôme d’instituteur : académie de Bordeaux.

Maîtrise de Biologie (université de Bordeaux I)

BAFA : Brevet d’Aptitude aux Fonctions d’Animation.

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CONTACTFrédéric Plénard

Résidence Compostelle B 24 G 3 / 3600 Pessac 06 83 18 20 21

http://www.legrandsecretdulien.org [email protected]