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Hog Jesus Infante Granja Mama Mgita Casa Lucia St-Pie F .M.A Casa Cueva Mot du Président L’AUTOROUTE 13 ET VALLEGRANDE Une tempête de neige exceptionnelle et son impact sur 300 personnes prises en otage sur l’Autoroute 13 ont mobilisé toute l’attention médiatique en cette mi-mars. Il n’y a pas qu’au Québec que les variations climatiques ont des impacts majeurs. Pendant l’été austral, soit de novembre à mars, la Bolivie a connu une période exceptionnelle de sécheresse qui a affecté les récoltes et l’accès à l’eau. Des mesures d’urgence ont été imposées. Vallegrande n’y a pas échappé. Le Hogar a subi des interruptions d’eau courantes. Comment pourvoir à l’alimentation et à l’hygiène (douches, toilettes, ménage) de plus de 100 enfants ? La ferme, qui héberge une ving- taine d’adolescents, tout en vivant les mêmes problématiques, voit ses cultures mises en danger malgré les 2 bassins de rétention d’eau qui sont à un niveau minimal. Et depuis les dernières semaines, c’est le déluge en Amérique du Sud. À la ferme, il est impossible d’aller aux champs tellement la terre est détrempée et encore une fois, les cultures sont mises en péril. Et que dire du Hogar dont la structure portante (les murs) est faite d’adobe, soit de briques de boue séchée et de paille. Ces murs peuvent résister pendant quelque 20 ans mais par la suite, ils absorbent l’eau, rendant le milieu humide et propice aux champignons. Bref, des défis énormes à relever : l’éducation et l’encadrement d’enfants et d’adolescents que Enfants de Bolivie accompagne dans une qualité améliorée de vie vers l’âge adulte, la structure du Hogar qui a grand besoin d’attention. Enfants de Bolivie s’appuie sur ses bienfaiteurs pour assurer sa mission. Vos dons sont aujourd’hui fort nécessaires. Devant l’urgence actuelle de la situation, nous vous remercions de votre générosité renouvelée. François Rabeau. M.Psed, LL.B., M.Adm Président Conseil d’administration Édition avril 2017 RAPPEL CHANGEMENT D’ADRESSE En juin 2016, Enfants de Bolivie a modifié l’adresse postale de son administration bénévole. Des dons sont parfois envoyés à l’adresse postale antérieure. Veuillez noter que tout courrier doit être adressé à ENFANTS DE BOLIVIE 403-1101, Boul. Lucille-Teasdale, Terrebonne, Qc J6V 0B1 une ferme qui représente un potentiel intéressant d’une part pour permettre le développement de compétences à des jeunes et d’autre part pour assurer une certaine autonomie financière à l’organisation,

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Hogar Jesus InfanteGranja Mama Margarita

Casa Lucia St-Pierre F.M.ACasa Cueva

Mot du Président

L’AUTOROUTE 13 ET VALLEGRANDEUne tempête de neige exceptionnelle et son impact sur 300 personnes prises en otage sur l’Autoroute 13 ont mobilisé toute l’attention médiatique en cette mi-mars. Il n’y a pas qu’au Québec que les variations climatiques ont des impacts majeurs.

Pendant l’été austral, soit de novembre à mars, la Bolivie a connu une période exceptionnelle de sécheresse qui a affecté les récoltes et l’accès à l’eau. Des mesures d’urgence ont été imposées. Vallegrande n’y a pas échappé. Le Hogar a subi des interruptions d’eau courantes. Comment pourvoir à l’alimentation et à l’hygiène (douches, toilettes, ménage) de plus de 100 enfants ? La ferme, qui héberge une ving-taine d’adolescents, tout en vivant les mêmes problématiques, voit ses cultures mises en danger malgré les 2 bassins de rétention d’eau qui sont à un niveau minimal.

Et depuis les dernières semaines, c’est le déluge en Amérique du Sud. À la ferme, il est impossible d’aller aux champs tellement la terre est détrempée et encore une fois, les cultures sont mises en péril. Et que dire du Hogar dont la structure portante (les murs) est faite d’adobe, soit de briques de boue séchée et de paille. Ces murs peuvent résister pendant quelque 20 ans mais par la suite, ils absorbent l’eau, rendant le milieu humide et propice aux champignons.

Bref, des défis énormes à relever : •l’éducationetl’encadrementd’enfantsetd’adolescentsqueEnfants de Bolivie accompagne dans une qualité améliorée de vie vers l’âge adulte,

•lastructureduHogarquiagrandbesoind’attention.

Enfants de Bolivie s’appuie sur ses bienfaiteurs pour assurer sa mission. Vos dons sont aujourd’hui fort nécessaires. Devant l’urgence actuelle de la situation, nous vous remercions de votre générosité renouvelée.

François Rabeau. M.Psed, LL.B., M.AdmPrésidentConseil d’administration

Édition avril 2017

RAPPEL CHANGEMENT D’ADRESSE

En juin 2016, Enfants de Bolivie a modifié l’adresse postale de son administration bénévole.Des dons sont parfois envoyés à l’adresse postale antérieure.

Veuillez noter que tout courrier doit être adressé à

ENFANTS DE BOLIVIE403-1101, Boul. Lucille-Teasdale, Terrebonne, Qc J6V 0B1

une ferme qui représente un potentiel intéressant d’une part pour permettre le développement de compétences à des jeunes et d’autre part pour assurer une certaine autonomie financière à l’organisation,

Pâques 2017Bonjour à vous toutes et tous,

Le mot magique de notre enfance. Fini le carême, les sacrifices ! À nous le chocolat, les gâteries, les journées plus longues et un brin de chaleur. Devenus adultes, Pâques est devenu synonyme de printemps, de renaissance, de retour à une vie nouvelle. La résurrection du Christ nous apporte l’espérance d’une vie renouvelée.

En Bolivie, c’est l’automne avec ses pluies diluviennes, ses journées plus froides. Mais c’est aussi l’espérance d’une vie meilleure.

Depuis 22 ans, le Québec joue un rôle important pour tous ces enfants abandonnés que vous aidez chaque jour. Grâce à votre soutien le foyer aide bon an mal an nos enfants leur permettant de vivre une vie décente, d’étudier et surtout de rêver...

Je serai de retour au Québec le 19 avril pour avoir le plaisir de vous rencontrer, de parler de la mission, de la situation des foyers et en particulier du nôtre. Je visiterai quelques paroisses et serai disponible pour vous rencontrer personnellement. Nos enfants ont besoin de vous. Pour rendez-vous, communiquer avec Monique Laveau, 514-642-3566. Au plaisir de vous revoir bientôt.

Et à vous toutes et tous je redis : « MERCI! MERCI! MERCI ! », beau printemps et à bientôt !

Yvon Sabourin,Directeur général

Mot du directeur général

Bonjour,

Je suis arrivé au Hogar Jesus Infante à l’âge de 13 ans. Mes parents avaient de grandes difficultés financières et ne pouvaient plus m’envoyer à l’école. Grâce à l’aide reçue au Hogar et à tous les donateurs du Canada, je peux me dépasser jour après jour.

Je suis parti de Vallegrande il y a un an. Je suis maintenant à la Casa Lucia, à Santa Cruz. Les responsables, Yamil Cruz et son épouse Diana, nous aident beaucoup.

Grâce à Dieu, j’ai pu entrer à l’université et j’en suis à ma première année de médecine. Votre aide est très importante pour nous. Nous avons besoin de vous pour nous aider à avoir un avenir meilleur. Je vous re-mercie tous et chacun du fond du coeur.

Merci beaucoup,

Luis Moscoso Arteaga20 ans

Mots d’enfants du foyer

Nouvelles brèvesVoici quelques nouvelles des derniers mois en provenance de Vallegrande

•AMITIÉGATINEAUMONDE(AGM)

•PROJETDEREVOIRL’UTILISATIONDELAGRANJA

•NOUVELLESCONCERNANTCERTAINSENFANTS

Bonjour à tous,

Premièrement, je voudrais saluer tous les généreux donateurs et bénévoles qui nous permettent de rêver à un avenir meilleur.

Je suis orphelin de père et j’ai 4 frères. Je suis arrivé au Hogar Jesus Infante quand j’étais petit. J’ai été accueilli à bras ouverts, comme tous les autres enfants. Depuis ce temps, j’ai vielli ! Je fais actuellement des études universitaires en administration d’entreprise. Lorsque j’aurai gradué, j’aimerais beaucoup aider à mon tour les enfants boliviens.

En terminant, J’aimerais encore vous remercier pour votre support. Nous sommes très recon-naissants de l’aide que vous nous apportez et nous nous sentons très chanceux qu’il existe des gens au grand coeur qui nous aident, nous, les enfants boliviens.

Merci de tout coeur,

Juan Carlos Vilca Terceros21 ans

Un bénévole québécois et agronome, Jean Tanguay, a mis son expertise au service d’Enfants de Bolivie afin de revoir notre exploitation de ce terrain et de proposer une approche qui tienne compte du contexte climatique, culturel et économique de la Bolivie et surtout, de Vallegrande.

Un groupe de 17 bénévoles d’AGM, sous le dynamique leadership de Lise Desmarais, a fourni un apport important à deux niveaux ;

•ÀlaGranja,laconstructiond’unterraindefootball(soccer)qu’onappelleCANCHA.Ceterrainseraengazonnaturel et bénéficiera éventuellement d’un éclairage électrique permettant aux jeunes de l’utiliser en soirée.

•AuHogar,destravauximportantsd’entretienetdemiseàniveaudecertainséquipements :peinture,nettoyagedes bâtiments et de la cour, jardinage.

• Juan Diego, jeune de 11 ans victime de brûlures importantes aux jambes, vous remercie de l’aide apportée. Il récupère bien. Il ne restera que quelques cicatrices qu’il pourra plus facilement oublier.

•Reinaldo, 18 ans, qui a connu une problématique de santé mentale, a bénéficié de l’aide de quelques québécois et d’un généreux donateur bolivien. La période cruciale est passée mais il demeure sous traitements.

•Daniel, 7 ans, dont nous fait mention Renald Dutil dans un article du présent journal, a été en situation comateuse pendant 3 jours, opéré d’urgence à Santa Cruz et a reçu son congé médical le 29 mars. Soulagement pour tous.

Nous attendions le printemps avec impatience : jours plus longs, luminosité plus intense et regain d’énergie afin d’entreprendre de nou-veaux projets. Malgré tout, nous nous plaignons parfois de notre sort. Il faut avouer que nous sommes privilégiés de vivre dans un pays doté d’institutions démocratiques et de tradition de respect des individus. Ce n’est pas la situation dans d’autres pays.

Parrainer un enfant de Bolivie peut devenir pour vous une occasion idéale d’effectuer un partage significatif qui apporte la joie desavoir qu’un enfant (ou plusieurs) bénéficie(nt) de votre support.

L’État bolivien a modifié les lois concernant la protection de l’enfance. Cela a pour conséquence que les séjours des jeunes dans les foyers seront vraisemblablement plus brefs, entraînant des changements plus fréquents de « filleul » parrainé. Enfants de Bolivie revoit sa façon de faire pour s’adapter le plus possible à la réalité bolivienne.

Il est maintenant possible de parrainer un groupe (composé de 16 à 20 jeunes) qui réside au Hogar ou à la Granja. Une marraine ou un parrain pourrait donc s’investir pour un groupe de jeunes qui résident dans le même dortoir et, sur demande, elle ou il pourrait recevoir des nouvelles de ces jeunes. 

En terminant, nous désirons souligner à nouveau que votre participation au parrainage permet de procurer un mieux-être aux enfants (nourriture, éducation, soins médicaux, loisirs, écoute et support) qu’ils n’auraient pu obtenir sans votre appui.

Nous vous remercions d’appuyer et de supporter Enfants de Bolivie en permettant de changer l’avenir de tous ces jeunes dont l’avenir repose aussi sur votre générosité.  Un grand MERCI à chacune et chacun d’entre vous.

Élise Boutin Responsable du parrainage

Le printemps et le parrainage

Impressions d’une première foisDepuis quelques années j’entends parler d’Enfants de Bolivie. J’ai toujours appuyé l’œuvre car j’y crois fermement. Récemment, j’ai eu l’occasion de faire un séjour à Vallegrande. Quelle chance ! J’ai pu constater la réalité de la mission ! L’espace de quelques lignes, je vous partage mon expérience.

Ma première impression : les enfants du Hogar sont heureux. Ils ne vivent pas dans l’abondance, Ils vivent de peu mais dégagent la sérénité de l’enfance heureuse. Les moyens sont limités mais les enfants ne se plaignent pas. Ils mangent ce qu’il y a à manger. Ils sourient, rient et s’amusent ensemble. Ils aident à toutes les tâches sans se plaindre. Et les employés qui s’occupent des enfants ont les yeux remplis d’amour !

Quand je pense que tous ces enfants vivraient des conditions de misère si ce n’était du Hogar Jesus Infante, je suis fière de les supporter par le biais d’Enfants de Bolivie. Nous, les bienfaiteurs de l’œuvre, leur permettons d’avoir accès au minimum, de bénéficier d’un milieu serein et surtout, d’avoir espoir en l’avenir.

Continuons de les aider, ces enfants nécessitent notre apport pour leur avenir.

Diane RenaudBénévole

Enfants de Bolivie et la relation avec l’État bolivien.

Le Hogar Jesus Infante et la Granja Mama Margarita accueillent depuis plusieurs années des jeunes de moins de 18 ans. Tous ces jeunes sont confiés à notre œuvre par l’État bolivien. Leur séjour au Hogar était traditionnellement d’une durée assez longue. Un jeune pouvait y terminer ses études primaires, secondaires et même parfois techniques ou universitaires.

L’État bolivien veut modifier cette façon de faire, à l’instar des états occidentaux, comme au Québec. Par la loi Nouveau code de l’enfant et de l’adolescent, l’État bolivien désire clairement axer son intervention sur la réinsertion familiale. Le placement des jeunes en milieu d’accueil se doit de demeurer un recours exceptionnel et provisoire, requis uniquement en situation d’extrême urgence et d’absence de moyens autres de protection. Ces mesures de protection, dont le séjour en foyer d’accueil, doivent faire l’objet d’une révision à chaque six mois afin de réaffirmer le droit du jeune de vivre dans sa famille.

Cette nouvelle approche favorise la responsabilisation familiale et le développement du jeune dans sa famille. Cette approche est aussi celle prônée au Québec. Par contre l’application de cette loi pose problème. En effet, l’État bolivien dispose de moyens fort limités et ne peut donc faire une évaluation exhaustive du milieu familial de l’enfant ou l’adolescent ni assurer un suivi adéquat des mesures de protection. Des pressions sont parfois exercées auprès de certaines familles afin qu’elles reprennent leur enfant sous la menace de mettre leur enfant en adoption, des jeunes sont déplacés d’un foyer à un autre, les procédures de référence à un foyer sont plus lourdes et le service d’aide à la jeunesse bolivien apparaît multiplier ses exigences. Il y a une absence de cohésion dans la mise en œuvre de ces chan-gements. Des jeunes sont retournés plus rapidement au sein d’une famille parfois dysfonctionnelle. Les séjours au Hogar et la Granja sont moins prolongés.

Des parrains ou marraines ont exprimé l’opinion que la direction des foyers boliviens devrait s’opposer à des mesures de réinsertion sociale que nous pouvons estimer inadéquates pour l’enfant. La direction bolivienne du Hogar et de la Granja fait régulièrement les représentations auprès des autorités mais la décision appartient à l’État bolivien. Nous travaillons dans le contexte bolivien et devons respecter ses lois et valeurs. Les enfants sont confiés au Hogar ou à la Granja pour un temps déterminé par l’État. Les équipes du Hogar et de la Granja s’impliquent entièrement pour que le séjour de chaque enfant puisse lui permettre de faire des acquis lui permettant de s’épanouir. Nous avons reçu de nombreux témoignages de jeunes qui affirment conserver un souvenir très positif de leur séjour. C’est notre récompense la plus chère : avoir accompagner un jeune dans son développement vers l’autonomie.

Richard Tremblay Vice-président

Des besoins toujours aussi grandsDepuis le 1er février je participe aux activités d’Enfants de Bolivie à Vallegrande, particulièrement au Hogar Jésus Infante et à Granja. C’est mon quatrième séjour en Bolivie à titre de bénévole. Je réalise combien le contexte bolivien est différent du nôtre. Actuellement, il y a plus de 103 enfants hébergés au Hogar. N’oublions pas en plus le soutien aux quelques 25 étudiants universitaires dont 10 vivent à la Casa Lucia située dans la grande ville de Santa-Cruz.

La beauté du paysage andin impressionne toujours, mais la pauvreté est omniprésente, extrême pour certaines familles avec ses consé-quences sociales. Les enfants en sont les premières victimes. À leur arrivée, ils en portent les stigmates. Le Hogar devient pour eux un oasis qui leur assure de manger tous les jours et d’être accompagné par des responsables affectueux jouant le rôle de parents substituts. (Voir l’article IMPRESSIONS D’UNE PREMIÈRE FOIS). Chaque jour, il s’y fait des petits miracles pour réussir à donner aux enfants ce dont ils ont besoin.

Yvon Sabourin et son équipe n’y arriveraient pas sans votre précieuse contribution. Les subventions gouvernementales boliviennes (beca) représentent environ 56 % des coûts de fonctionnement. La communauté de Vallegrande ne peut guère aider. Peut-on leur reprocher ? La majorité des habitants sont en mode de survivance. Les enfants admis au foyer ont été référés par la Defensoria de la Niñez, structure départementale de protection de l’enfance. Ne sont admis que des enfants victimes d’une extrême pauvreté avec peu ou pas de milieu familial apte à pourvoir à leurs besoins. La fermeture du Hogar retournerait à la rue plusieurs de ces enfants. Certains n’y survivraient pas.

Depuis ces deux dernières années, le coût des denrées et marchandises de base a augmenté. Des imprévus surviennent chaque semaine. Ils viennent taxer davantage les maigres ressources du Hogar. Les soins de santé coûtent chers. Plus de la moitié des enfants auraient besoin de soins dentaires. Les dirigeants du Hogar se préoccupent des soins requis pour chacun mais ils doivent composer avec les moyens disponibles, i.e. les becas et la contribution d’Enfants de Bolivie.

À titre d’illustration, mentionnons un accident malheureux survenu ces derniers jours. Un enfant de 7 ans a fait une chute en jouant avec son ami ; il s’est frappé durement la tête sur un plancher. Il a dû être transporté d’urgence dans un hôpital de Santa-Cruz (5-6 hres de route) pour y être opéré car il présentait une importante hémorragie cérébrale et fracture du crâne. Notre préoccupation de son état de santé nous a conduit à prendre toutes les dispositions pour qu’il reçoive les soins requis en neurochirurgie. Aujourd’hui, 29 mars, nous savons qu’il est hors de danger. Mais il est plus que probable que le Hogar ait à défrayer les frais hospitaliers et médicaux qui ne sont pas assumés par l’État.

Votre contribution est toujours aussi nécessaire et cruciale. Enfants de Bolivie est un magnifique exemple de solidarité internationale qui a permis et permet encore à de nombreux enfants de retrouver leur dignité. Il nous faut poursuivre ce qu’ont si bien réalisé Yvon Sabourin, les bénévoles et l’équipe bolivienne depuis plus de 20 ans.

Renald Dutil, mdVice-président au développementEnfants de Bolivie

Graphiste : Joannie Daviau

Soirée Claudine Mercier : un gros merci !

Le 6 janvier dernier, vous avez été nombreux à assister au spectacle de l’humoriste Claudine Mercier qui versait la totalité des recettes perçues au profit d’Enfants de Bolivie.

Un vrai succès! La grande générosité de Madame Mercier ainsi que votre réponse enthousiaste et nombreuse a permis de recueillir quelques 13 000 $ pour

Enfants de Bolivie ! UnimmenseMERCIàtous!