les sÉminaires État de l’artdématérialisation : synthèse et mise en œuvre p. 24...
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EDITO
Madame, Monsieur,
Les séminaires Orsys sont destinés à vous, dirigeants d’entreprise, décideurs, DSI, et à vos proches collaborateurs chargés d’élaborer des stratégies efficaces en vue de mener la transition numérique et souhaitant faire le point sur les récentes avancées technologiques et les nouvelles approches managériales.
Vous trouverez dans ce catalogue les programmes détaillés de 40 séminaires de synthèse consacrés aux évolutions les plus récentes des technologies numériques et à leur intégration dans la vie des entreprises et dans la société en général : Cloud Computing, Cybersécurité, Big Data, Internet des objets, Smart cities, Marketing Digital, Gouvernance d’entreprise, évolution des métiers ...Ces séminaires reposent sur un équilibre savant entre les aspects conceptuels et les informations concrètes nécessaires à leur mise en œuvre. Ils constituent aussi un moment de convivialité où vous pourrez dialoguer avec les meilleurs experts et échanger vos expériences avec des responsables occupant des positions similaires à la vôtre.
Nous espérons bien vous y rencontrer.
Très sincèrement,
Michel Belli Denis Levy-Willard directeur général président
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.orsys.fr [email protected] 1
2 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.orsys.fr [email protected] ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
z Les séminaires Orsys p. 4
z Entreprise et digitalEntreprise numérique : enjeux et perspectives p. 6Stratégie digitale : les clés de la réussite p. 8Le digital : l‘impact sur les métiers p. 10Les enjeux juridiques de la révolution digitale p. 12Marketing digital : synthèse et tendances p. 14Marketing digital : les enjeux du cross-canal p. 16DRH : définir et mettre en place votre stratégie digitale p. 18Smart Cities : enjeux et perspectives pour la ville et les territoires... p. 20
z Digital : technologies et applicationsLa révolution digitale : synthèse sur l’évolution des technologies p. 22Dématérialisation : synthèse et mise en œuvre p. 24L’entreprise face aux défis du Cloud, BYOD et Big Data p. 26User Experience : état de l’art et tendances en ergonomie et IHM p. 28Impression 3D : synthèse et perspectives p. 30
z Management du SIGouvernance informatique : synthèse p. 32DevOps : démarche et mise en œuvre p. 34
z Direction de projetsDirection de projets informatiques : les points clés p. 36
z Architecture et urbanisation des SIUrbanisation et architecture des systèmes d’information p. 38Nouvelles architectures des systèmes d’information p. 40SOA, architecture orientée services, synthèse p. 42
Notre sélection : programmes
détaillés
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z Big Data et Business IntelligenceBig Data : synthèse p. 44Systèmes décisionnels : démarches et solutions p. 46Social Media Analytics : stratégie et usages p. 48
z Cloud Computing et virtualisationCloud Computing : synthèse p. 50Virtualisation : synthèse p. 52
z Sécurité du SI et gestion des risquesSécurité des systèmes d’information : synthèse p. 54Cybersécurité réseaux/Internet : synthèse p. 56
z RéseauxRéseaux : synthèse technique p. 58Virtualisation des réseaux SDN, NV, NFV p. 60VoLTE : déploiement et nouveaux services p. 62
z Internet et technologies webInternet des objets : synthèse p. 64Architectures et technologies du Web : synthèse et évolutions p. 66Digital Analytics : stratégie et bonnes pratiques p. 68Droit et Internet : risques et responsabilités de l’entreprise p. 70
z Management d’entrepriseLes clés du management d’entreprise p. 72Gouvernance d’entreprise : stratégie, risques et projets p. 74Transformer une organisation : les clés de la réussite p. 76Réussir le changement : les stratégies gagnantes p. 78Lean Management : état de l’art p. 80Business Relationship Manager : les meilleures pratiques p. 82Pilotage de la formation professionnelle : synthèse et perspectives p. 84
z Planning des sessions à Paris p. 86
z Planning des sessions à Bruxelles/Luxembourg/Genève p. 88
Etat de l’artLes séminaires
Tous nos séminaires : dates des sessions 2016
4 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.orsys.fr [email protected] ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
Pour réussir la transition numérique
Plus de 100 séminaires destinés aux dirigeants d’entreprises, aux décideurs, aux DSI et à leurs proches collaborateurs. Ils vous présentent d’une manière précise et concrète l’Etat de l’Art, les concepts, les solutions, la mise en œuvre, dans le domaine des nouvelles technologies, de la transition numérique et du management.
Les spécialistes Orsys mènent une recherche permanente sur les avancées les plus significatives en matière de technologies et de management. Créativité, innovation, rigueur..., nous réunissons toutes ces valeurs pour vous apporter le meilleur en termes de synthèse et de solutions opérationnelles.
Les intervenants des séminaires Orsys sont des experts de premier plan, directeurs de mission, consultants de haut niveau ayant occupé des postes à responsabilité en entreprise et conduit des projets d’envergure. Au fait des dernières avancées technologiques, ils savent conjuguer expertise, esprit de synthèse et qualités pédagogiques pour vous transmettre leurs connaissances et leur expérience terrain.
Une indépendance complète vis-à-vis des écoles de pensée, des éditeurs ou des acteurs économiques pour vous assurer la plus grande objectivité en matière d’évaluation des solutions et des recommandations, pour vous garantir des contenus sans influence et sans langue de bois.
Etat de l’artLes séminaires
Des séminaires de synthèse
L’innovation
Des experts de premier plan
L’indépendance
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Nos séminaires font l’objet d’une préparation rigoureuse par l’équipe pédagogique Orsys et les intervenants experts chargés de leur conception et de leur animation. Des programmes détaillés et précis en définissent les objectifs et le contenu. Chaque séminaire forme un ensemble cohérent et complet, abordant tous les aspects conceptuels, stratégiques et opérationnels.
Les supports de cours comprennent de nombreuses informations et références qui peuvent vous être utiles par la suite. Ils vous sont aussi remis en format numérique dès le début du séminaire pour vous permettre de suivre le cours depuis votre ordinateur portable, si vous le souhaitez.
Une très grande attention est portée à l’accueil : les séminaires ont lieu dans des hôtels de grand standing proches des transports : Claridge, Hilton, Pullman, Renaissance... Les pauses café et les déjeuners sont offerts. Ils constituent des moments privilégiés pour échanger avec les autres participants et comparer vos expériences.
C’est le signe d’une exigence de qualité qui ne se dément pas au fil des années : 97,4% de taux de satisfaction. Que ce soit sur le contenu, les solutions présentées ou la prestation des intervenants, nos séminaires apportent une vraie valeur ajoutée et constituent une aide précieuse pour mener vos projets avec succès.
Les séminaires
Une préparation rigoureuse
Des supports de référence
L’excellence de l’accueil
Plus de 200 000 professionnels
formés
6 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
Entreprise numérique : enjeux et perspectives
T ransition digitale
Qu’elles évoluent dans le transport, le tourisme, la distribution ou la banque, les entreprises ont aujourd’hui pris conscience des impacts du numérique sur leur activité. Face aux risques d’« ubérisation », se transformer devient même une question de survie pour certaines d’entre elles. Pour autant, il ne s’agit pas de partir tête baissée. Dirigeants, responsables métier, DSI… toutes les parties prenantes doivent participer à l’élaboration d’une stratégie de transition numérique. Après avoir évoqué les enjeux qui attendent l’entreprise numérique – Cloud, dématérialisation, Big Data, marketing digital, réseaux sociaux… – ce séminaire expose les nouveaux modèles d’organisation et de management.
Jour 1
z L’économie numérique : démonstration par les chiffres - L’évolution de nos économies au cours du temps. Une réalité souvent
ignorée. Comment se crée la valeur ? - Pourquoi les pays en voie de développement créent déjà plus de valeur
que les pays développés ? - Les exemples de pays qui réussissent : la Chine, la Corée, Singapour,
l’Estonie... tout sauf le fruit du hasard. - Pourquoi nos pays sont en panne ? - Place du secteur informatique et télécommunications.
z Les fondamentaux de la performance et de la compétitivité d’entreprise - Les bases de l’entreprise d’aujourd’hui. - La différence entre productivité, performance, compétitivité et
innovation. - Les méthodes et outils d’analyse qu’il faut connaître. L’importance de la
chaîne de valeur de Michael Porter. - Les modèles d’analyse d’entreprise : BCG, McKinsey... - Stratégie de coûts versus différenciation. Les choix structurants :
productivité, intimité client ou innovation. - Comment une gestion par les budgets peut s’avérer dangereuse pour
l’organisation ? - Quels sont les vrais bons indicateurs de la performance ?
INTERVENANT
Christophe LEGRENZI Docteur ès sciences de gestion, auditeur certifié en informatique, en gouver-nance d’entreprise et infor-matique et en gestion des
risques, il est spécialisé dans les domaines du ma-nagement et de la performance des organisations numériques. Expert judiciaire auprès des tribunaux et conseiller au Commerce Extérieur de la France, vice-président du club européen de la gouvernance des systèmes d’information et délégué pour la France, il dirige Acadys France, société de conseil et d’audit spécialisée dans les méthodes et tech-niques de management et gouvernance de la fonc-tion informatique. Il anime des séminaires et des conférences autour du thème de la gouvernance informatique, l’entreprise numérique, la révolution digitale.Publications« Best Practices Revues et Corrigées » (2015)« Cité du Futur » (Hermès, 2013) « Nouveaux schémas directeurs des systèmes d’information » (Hermès, 2013)« Contrôle de Gestion des Systèmes d’Information » Dunod (2012) « Tableau de bord de la DSI » (2011), prix du Meilleur Ouvrage informatique francophone.
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : TUN
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
7-8 avril9-10 juin 6-7 octobre15-16 décembre
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 7
z Le rôle de l’informatique dans l’entreprise performante - Les exemples d’entreprises ayant créé un avantage compétitif
grâce à leur informatique. - Le niveau d’informatisation des entreprises selon le modèle de
la chaîne de valeur de Porter. - Le positionnement des approches intégrées, de type ERP,
CRM, STP, etc. - Comment évaluer rapidement le positionnement de sa DSI au
sein de son entreprise ? - La performance d’entreprise est en corrélation directe avec la
gouvernance informatique. - Comment évaluer son niveau de gouvernance actuel ?
z La stratégie numérique - Méthode : le schéma directeur stratégique des SI ou schéma
directeur de l’entreprise ou de l’administration numérique. - La méthode pour élaborer un schéma directeur numérique. - L’importance de la sensibilisation et de l’implication de la
direction générale, des métiers et de la DSI. - L’impérative nécessité de penser et d’ouvrir son SI à
l’ensemble de l’écosystème. - Les caractéristiques du SI centralisé, distribué ou étendu. - Les approches de type « Business Process Reengineering
Numérique ». - Les meilleures méthodes de type BPM/BPR, Lean Six Sigma,
Difotai, etc. - Les différentes étapes, les acteurs, le planning, l’organisation,
etc.
Jour 2
z Les composantes de l’entreprise numérique - Les meilleures pratiques d’urbanisation d’un SI. - Le framework de Zachman : analyse du méta-modèle. - Les atouts de TOGAF. - Modèle européen versus modèle américain. - ERP : sur quels critères sélectionner ses solutions ? - CRM, Marketing : une des applications les plus critiques. - Cloud : un défi à la fois technique, managérial et stratégique. - Les solutions IaaS, PaaS et SaaS. WOA : les Mashups. - Dématérialisation : pour quel usage et quel besoin ? GED,
CMS... - Big Data : un environnement riche et complexe à la fois. - Le BYOD : la propriété des outils change de main. - La sécurité : la dimension « Numérisque » de l’entreprise.
z Les nouveaux usages numériques - Comment repenser les usages Métier classiques ? - Pouvoir ouvrir les applications internes aux clients et
partenaires ? - Gestion du changement : les notions de « Digital Immigrants »
et «Digital Natives ». - L’identité numérique : peut-on ignorer l’e-réputation ? - Blogs, Wikis, Twitter : comment tirer parti des réseaux
sociaux ? - Intégrer les concepts du SOLOMO : Social, Local, Mobile. - Web 2 : les apports Métier pour les entreprises numériques. - Les « Applications Store » : comment les contrôler ? - HTML 5 : réponse possible à la fragmentation du Web.
z Les nouveaux modèles d’organisation de l’entreprise numérique - Pourquoi les frontières traditionnelles de l’entreprise sont-
elles remises en question ? - Pourquoi les modèles numériques sont-ils bien supérieurs et
rendent les structures et approches classiques obsolètes ? - Le cas du libraire ou du détaillant : version « Click » versus
version « Mortar ». - Le cas de Benetton : changer le Business Model du secteur en
optimisant les processus. Repenser sa chaîne de valeur. - Le cas de Procter & Gamble : utiliser l’intelligence collective
(« Crowd Sourcing »). - Vente par Internet : modification profonde du marché. - Le changement de logique expliqué par la « Long Tail » de Chris
Anderson. - Quel positionnement pour la DSI ? S’appelle-t-elle encore DSI ?
z Les nouveaux modèles de management de l’entreprise numérique - Pourquoi l’organisation taylorienne du travail est-elle
aujourd’hui complètement dépassée ? - Une entreprise sans manager peut-elle exister ? Oui, si l’on en
croit l’exemple singulier de Global Star. - Le rôle du manager : manager en réseau ou araignée. - Le plus grand risque : l’homéostasie ou la résistance au
changement. - Quel rôle pour le DSI ? Existera-t-il encore et, si oui, sous
quelle forme ?
« Rien n’est permanent sauf le changement » (Héraclite d’Éphèse, philosophe)
8 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
INTERVENANT
Patrick HERENG DSI pendant près de vingt-cinq ans dont dix ans en tant que DSI du Groupe Total, il a piloté la straté-gie des systèmes d’infor-
mation et concentré les services partagés d’in-frastructures dans une filiale. En juillet 2015, il a créé LiberateIT et est devenu Managing Partner de Sensing pour accompagner les entreprises dans la transformation digitale. Durant son parcours de DSI, il a dirigé une branche et la banque de marché de la Caisse des Dépôts avant d’intégrer le groupe Total pour réussir la fusion des systèmes d’infor-mation entre Total, Petrofina et Elf pour la branche Raffinage Marketing.Diplômé ingénieur ISEN, il a commencé sa carrière chez un constructeur français pour développer du logiciel système avant de piloter des grands pro-jets pour une grande société de services française pendant six ans. Il a été administrateur du CIGREF pendant sept ans et DSI de l’innovation en 2011. Aujourd’hui, il gère diverses structures, est conseil auprès d’entreprises, anime des séminaires et s’investit dans le milieu associatif mondial.
Ubériser ou se faire ubériser. Alors que le tsunami digital n’épargne aucun secteur, élaborer un plan de transformation numérique devient une préoccupation de premier plan pour toutes les entreprises. Même une question de survie pour certaines. Il s’agit notamment de maîtriser les concepts du moment (Cloud, Big Data…), de diffuser la culture digitale en interne, d’adopter de nouveaux modes de management participatif et de s’ouvrir au monde des startups et de l’innovation. Ce séminaire vous permettra d’identifier les leviers et freins liés à la transformation digitale, en analysant notamment les stratégies de groupes du CAC40. Par une approche pragmatique et interactive, il donnera les clés de la réussite et les pistes directement applicables dans votre entreprise
Jour 1
z Les enjeux du digital : une transformation inéluctable - Les grands chiffres du digital : les données, les objets connectés, le
HPC, les hauts débits... - Le poids des GAFA et des autres entreprises digitales, leurs projets,
leurs chiffres... - La nouvelle économie, du produit au client : l’économie circulaire,
l’économie de partage, les monnaies virtuelles... - La transformation digitale de la société (santé, industrie, service
public...). - Les nouveaux modes de travail du digital : freelance, télétravail,
téléprésence... - Vers un monde connecté en permanence ? - Conclusion : vers un autre monde.
Réflexion collectiveLes apports du digital.
z Les stratégies de groupes du CAC 40 : comment éviter l’ubérisation ? - La typologie des impacts du digital sur les entreprises. - Les 7 apports du digital. - Les stratégies digitales de groupes industriels. - Les stratégies digitales dans la banque assurance. - Les stratégies digitales dans les entreprises publiques et
l’administration.
Stratégie digitale : les clés de la réussite
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Réf. : SDG
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
31 mars-1 avril23-24 juin6-7 octobre15-16 décembre
T ransition digitale
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 9
- Les stratégies digitales dans les services et les utilities. - Les stratégies digitales dans l’énergie. - Les stratégies digitales dans la distribution. - Synthèse : erreurs à éviter, bonnes pratiques, enseignements.
EchangesLes différentes situations des participants au séminaire.
z Les nouveaux usages du Digital : économie du partage et de la coopération ? - Passer de la propriété à l’usage. - Les objets connectés dans la santé, les véhicules connectés :
quelles utilisations ? - L’usine 4.0 : objets connectés, coopération, robots, drones,
réalité virtuelle... - Les MOOC : impacts sur l’éducation ? - La relation client : le CRM 360, le multicanal, le e-marketing. - Le digital dans l’énergie : les smart grids, les compteurs
connectés... - Qu’est-ce qu’une bonne communication digitale ?
L’e-réputation. - Les impacts du digital sur les DRH. - La géolocalisation omniprésente dans les applications. - Les nouveaux business modèles : Uber, Google, Blablacar,
Tesla, Amazon, Airbnb...Mise en situationQuels nouveaux usages pour mon entreprise ?
Jour 2
z Les nouvelles technologies du digital : une révolution technologique ? - Les données pétrole de l’avenir : nécessité de revoir
l’urbanisation. - Le Big Data : Hadoop, MDM, data driven, open data... - Les objets connectés et la mobilité : Internet des objets, le
BYOD, la réalité augmentée. - Les imprimantes 3D : exemples d’utilisation, les fablabs... - Les réseaux sociaux : Facebook, Instagram, LinkedIn,
Whatsapp... - Les hauts débits : les satellites basse altitude, les ballons, les
fibres, WIFI, 4G, IPV6... - La cyber sécurité : les risques, les démarches à suivre, les
outils à implémenter, l’informatique industrielle. - Le Web 3.0 : Web sémantique ? objets connectés ? - Le HPC : quelles utilisations ? l’intelligence artificielle ? - Le sans-contact (RFID, QR codes, NFC...).
Mise en situationQuelles technologies pour mon entreprise ?
z Le Cloud sous toutes ses formes : mirage ou réalité ? - Définition du Cloud et typologie : hybride, privé, public. - Stratégies d’utilisation du PaaS, IaaS, SaaS. - Analyse des principales offres sur le marché (Drive, ICloud,
Google Apps, Office 360...). - Sécurité : comment protéger ses données ? - Les grands acteurs du Cloud : Amazon, Microsoft, Google,
Apple, Salesforce, Dropbox... - Migrer vers le Cloud : pourquoi ? Comment ? A quelle vitesse ?
EchangesLes succès d’utilisation.
z Les nouvelles méthodes et les nouveaux modèles de management digital - Pourquoi le taylorisme et le hiérarchique sont dépassés ? - Nouvelles méthodes : Lean, Six Sigma, Scrum. - DevOps (Jenkins, GIT...) : les principes de développement,
d’intégration, de déploiement continu. - Les nouveaux modes de management : entreprises libérées,
hiérarchies plates, coopératif, RSE... - L’open innovation, les digital labs, le capital-risque... - Les innovations games : speed boat... - L’agilité dans l’entreprise et la fin du modèle MOA/MOE et du
cycle en V : launch and iterate, try and stop... - Les nouveaux paradigmes des systèmes d’information.
Mise en situationLes innovations games.
z Les clés de la réussite de la transformation digitale - Comprendre les freins et les résistances au changement. - Analyse du Legacy et stratégie d’évolution. - Les résistances des équipes DSI : les comprendre et les
traiter. - Vers la culture numérique : le modèle du CIGREF. - Comment lancer des projets agiles et réussir ? - La conduite du changement vers le digital. - Comment installer la confiance ? - Synthèse : les clés de réussite de la transformation
numérique.Réflexion collectiveIdentifier les clés de la réussite du DSI.
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INTERVENANT
Olivier MARTINERIECustomer Success Ma-nager, il a commencé sa carrière “ digitale ” en parti-cipant au lancement d’une start-up au sein d’un grand
groupe il y a 20 ans. Il a ensuite enchaîné diverses activités (dirigeant de Web Agency, responsable partenaires éditeurs e-business, analyste pour un VC) avant de gérer, pendant quatorze ans, sa société d’expertise e-Commerce. Au sein de cette structure, il accompagne ses clients dans la mise en œuvre de projets e-Commerce prestigieux, généralement pour de grands comptes et dans des contextes multipays multi/cross-canaux. La société a rejoint le groupe Clever Age en 2014. Il accompagne désormais, dans son rôle de respon-sable de la BU Conseil, les clients du groupe dans l’élaboration et la mise en œuvre de leurs trajec-toires digitales : animation de formations et sémi-naires, missions de stratégie digitale, cadrage de projets, accompagnement de consultations édi-teurs, expertise fonctionnelle et technologique sur les domaines e-Commerce, PIM, CMS…
La transformation numérique n’est pas seulement portée par le DSI ou le Chief Digital Officer. Les directions métiers doivent aussi adopter de nouveaux comportements pour répondre présent aux évolutions en cours. Après avoir cerné les nouveaux usages, ce séminaire se propose d’analyser les impacts et les bénéfices de la digitalisation sur les entités les plus exposées. A commencer par le DRH qui, avec le recrutement sur les réseaux sociaux, la formation en ligne, les nouveaux modes de collaboration (RSE) et d’organisation du travail, voit son rôle changer. Du web-to-store au store-to-web, le marketing et le service de relation client doivent, eux, cerner au mieux les attentes du consommateur dans un parcours omnicanal de plus en plus complexe.
Jour 1
z L’évolution du Web, du mobile et du digital - L’évolution des systèmes informatiques et des réseaux de
télécommunications : historique et dates clés. - Les principaux acteurs du marché du Web. Le cas particulier de Google. - La révolution numérique en chiffres. - Du Web classique au Web 2.0 (réseaux et blogs). - L’avènement du Web 3.0 : le Web sémantique. - La démocratisation du mobile. Les fonctionnalités actuelles :
géolocalisation, accéléromètre, paiement sans contact... - Les principaux acteurs du marché et les différents systèmes
d’exploitation : iOS, Android, Blackberry, Windows Phone... - Les concepts de Mobile First, Responsive Design et Adaptative Design. - Les évolutions sociologiques : les comportements digitaux des
générations X, Y et Z.
z Les évolutions technologiques récentes - Les technologies sans contact : QR Codes, RFID et NFC. - L’impression 3D : vers une troisième révolution industrielle. - La réalité augmentée : ses usages et bénéfices. - L’intelligence artificielle et ses perspectives. - Le Cloud Computing : genèse et enjeux. - La Big Data : tendances et usages professionnels. - L’Internet of Everything (IoE) : panorama et tendances.
Le digital : l’impact sur les métiers
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : DIJ
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
7-8 avril16-17 juin 29-30 septembre8-9 décembre
T ransition digitale
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 11
- Les objets connectés : lunettes, montres, robots... - Le e-sport et la e-santé : le corps humain connecté. - Les Smart Cities : leurs finalités et les acteurs concernés.
z Les nouveaux usages et comportements digitaux - Les apports du e-commerce dans les processus d’achat. - ROPO (Research Online Purchase Offline), SIBO (Search
Instore Buy Online) et SOBI (Search Online Buy Instore). - Les Digital Shoppers et les Uber Digitaux. - L’économie participative et le Crowdfunding. - La domotique et la maison connectée.
z La transformation digitale des entreprises - Le contexte, les enjeux et les objectifs de la digitalisation
pour l’entreprise. - Les conséquences et bénéfices de la digitalisation pour les
entreprises et leurs collaborateurs. - La gestion de la dématérialisation avec les clients et les
collaborateurs. - L’expérience client enrichie, multicanale et cohérente. - L’importance croissante du recueil des avis clients et de
l’analyse de leurs comportements.
Jour 2
z Les apports du digital pour la fonction RH - Les impacts du digital sur l’évolution des métiers et des
fonctions dans l’entreprise. - Le nouveau rôle du manager digital. - Le recrutement 2.0 via les réseaux sociaux. - La e-formation et ses déclinaisons : e-learning, Serious
Games, classes virtuelles... - Les outils et services aux collaborateurs : dématérialisation,
e-services, Réseaux Sociaux d’Entreprises (RSE). - Les nouveaux modes de travail : télétravail, bureaux
dynamiques, espaces de travail collaboratifs...
z Le digital et la fonction marketing - L’amélioration des campagnes marketing : connaissance
client, ciblage et tracking. - Le référencement payant (SEM : Search Engine Marketing). - Le référencement naturel (SMO : Search Media Optimization). - Le marketing viral et le Buzz marketing. - Le marketing mobile et le marketing de proximité. - La e-réputation : définition, législation, gestion et enjeux. - Les évolutions du e-commerce : omni-canal, cross-canal,
cross-sell...
z La Relation Client et la distribution à l’ère digitale - Les évolutions de la Relation Client. - L’émergence du Social CRM : enjeux et marché. - Les modèles Click to Call, Call Back et Click to Chat. - Le concept SoLoMo (Social Local Mobile). - L’évolution du e-commerce et les nouveaux canaux de vente. - Les acteurs du e-commerce et les attentes de
consommateurs. - La grande distribution : état des lieux et perspectives. - Le Digital Retail : drive pour la grande distribution, les sites
e-commerce, etc. - Les modèles omni-canal, cross-canal (Web2Shop, Shop2Web),
multi-canal et cross-cell.
z Les impacts du digital sur le Système d’information - L’agilité du SI : flexibilité, réutilisation et mutualisation. - L’architecture cross-canal du SI. - La vision client 360°. - Le 100% dématérialisation. - Le Digital Asset Management. - Le Cloud Computing : offres de service et modes de
déploiement. - Le BYOD (Bring Your Own Device) et ses implications pour
l’entreprise.
« Aujourd’hui, les entreprises ne peuvent se permettre d’ignorer le tsunami digital, ni de se croire à l’abri de cette déferlante… »
(Franck La Pinta, Société Générale)
12 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
INTERVENANT
Hervé GABADOUAvocat inscrit au barreau de Paris depuis 1987 et spécialisé en droit de l’in-formatique depuis 1990, il intervient, en conseil et en
contentieux, sur tous les sujets des entreprises comportant une dimension technologique. Il ac-compagne les directions techniques, les directions juridiques et de la conformité, dans leurs projets informatiques ou numériques. Après avoir effectué la majeure partie de sa carrière chez Courtois Le-bel où il a fondé le département « Digital et Inno-vation », il a rejoint récemment SEA avocats, pre-mier cabinet d’avocats français entièrement dédié à deux secteurs d’activité, convaincu que cette approche sectorielle était la plus adaptée aux be-soins des clients. Auparavant, il avait été associé IT chez PwC Legal et directeur de département chez Alain Bensoussan-avocats. Il maîtrise les ques-tions juridiques associées aux objets connectés, à la sécurité informatique, au Cloud computing, au commerce électronique et à la protection des don-nées personnelles. Il a été chargé d’enseignement en DESS de Méthodes expertales et arbitrales en informatique et techniques associées.
Les objets connectés et le Big Data rendent plus efficaces les campagnes de marketing ou le parcours de soins. Le BYOD favorise la mobilité des salariés. Si la transformation numérique apporte des progrès indéniables, elle soulève un grand nombre de questions liées à la sécurité et à la protection des données personnelles. Le droit est là pour assurer un équilibre salutaire et veiller au bon usage des technologies. S’en soucier, c’est prendre conscience de son caractère transversal. Aussi, ce séminaire se propose d’évaluer le niveau de maturité juridique de votre organisation en revenant notamment sur l’approche réglementaire et contractuelle des nouvelles technologies et en dégageant les meilleures pratiques.
Jour 1
z Introduction - La mise en perspective juridique de la «troisième plateforme» (SMAC). - La transversalité de la transformation numérique vue par un juriste. - Le sourcing protéiforme de l’IT et ses enjeux juridiques (CSP, BPO, Cloud,
ITO...). - Les données personnelles, le droit du travail, l’éthique et l’agilité de
l’organisation au centre des préoccupations. - La transversalité de l’organisation juridique pour assurer la gouvernance
juridique des projets de transformation. - La cible et le cadrage juridique des projets de transformation numérique. - Le digital dans l’entreprise (réseaux sociaux et Big Data). - Quelques exemples concrets d’offres digitales qui interpellent les
juristes. Minority report aujourd’hui.
z L’agilité : comment, avec qui et pourquoi faire sur le plan contractuel ? - L’agilité dans les développements applicatifs. - Le cycle en V et les méthodes Agiles : enjeux contractuels. - Les pièges à éviter et les bonnes pratiques contractuelles. - La contractualisation des CSP : comparaison avec ITO/ BPO. - Le recentrage sur les activités cœur et le SIAM. - Les enjeux en termes de responsabilité. - Les enjeux en termes de sécurité juridique.
Les enjeux juridiques de la révolution digitale (Big Data, Cloud, Mobilité BYOD...)
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : RDJ
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
31 mars-1 avril23-24 juin6-7 octobre15-16 décembre
T ransition digitale
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- Tentative d’approche originale des contrats d’outsourcing dans un mode plus collaboratif. La robotique dans les ITO.
z La data au centre des programmes - Rappel des référentiels législatifs. - Les quelques définitions à mémoriser. - Les principales règles à respecter y compris en matière de
flux transfrontaliers. - La nouvelle donne avec les IoT. Les différents moyens de
collecte de la data et le droit. L’homme augmenté. - Le Big Data dans l’entreprise et le tout numérique, y compris
sous l’angle social. Que dit le Code du travail ? - Le Big Data et l’open data (et access). L’exploitation de la
data, la protection des données et de la vie privée. - La sécurité, la traçabilité de leur protection, la localisation et
la minimisation des données. - Du consommateur au consomm’acteur. La notion de «Privacy
by design», le droit à l’oubli.
z Approche réglementaire et contractuelle du Cloud computing - Rappel de la typologie des services en mode «aaS». - Mise en perspective avec des situations rencontrées. - Qualification juridique des fournisseurs de services en mode
«aaS». - Les recommandations de la CNIL pour ceux qui souhaitent
souscrire de tels services. - La double nature juridique des contrats SaaS et PaaS. - La phase de négociation des contrats Cloud. Le «build» et le
«run». - Les pièges des contrats SaaS. Notamment la coréalisation de
la solution applicative, la PI. - Les points à négocier selon les enjeux et contraintes. Les SLA.
Les KPI. La réversibilité.
Jour 2
z Les objets connectés - Quelques exemples d’objets connectés qui floutent les
frontières. Les quantified self, les dispositifs médicaux... - Les diverses applications par secteur d’activité (automotive,
assurance, santé, bien-être...). - La collecte des données via les différents capteurs / traceurs. - Les problématiques juridiques et sécuritaires associées à
certains usages des IoT. Les imprimantes 3D.
- Les IoT ne sont que le prolongement d’un système d’information. L’interconnexion de fichiers et la loi. - Les plateformes de DMP, nationales et internationales. Droit
applicable, qualifications juridiques possibles. - L’avis du G29 sur l’Internet des objets. - Vision prospective de la réglementation en matière de
protection des données et impacts sur les IoT.
z La sécurité informatique combinée avec le numérique - Rappel des règles obligatoires en matière de sécurité des
données personnelles. - La documentaire sécuritaire et sa nécessaire évolution. - La nécessaire sensibilisation aux enjeux sécuritaires. - Réflexions autour de la jurisprudence définissant le droit de la
sécurité. - Quelques conseils pratiques en termes d’organisation, de
documentation et de mesures pour les directions des risques. - La fraude informatique, la loi Godfrain à l’heure du numérique. - La notification des failles de sécurité. - Les certifications sécurité.
z Les tendances et meilleures pratiques - Les différentes initiatives de labellisation et de certification.
Valeur juridique d’une norme. - L’Empowerment de l’individu et les délires des GAFA. - La transformation digitale du secteur bancaire et ses
contraintes réglementaires. - La transformation digitale du secteur de la santé et ses
contraintes réglementaires. - Le projet de règlement européen dans les «starting blocks». - Le projet de loi pour la république numérique. - Le rôle accru des DPO, la responsabilité pénale des sous-
traitants, le pouvoir de sanction des APD. - Le principe d’accountability dans une entreprise numérique. - La gouvernance et la compliance dans une entreprise
numérique.
« Les enjeux juridiques sont d’autant plus considérables que les questions posées par les objets connectés poussent le droit dans ses derniers retranchements »
(Isabelle Renard, juriste)
14 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
INTERVENANT
Hervé DRUEZFondateur et dirigeant de la société Kerops depuis 2004, il est diplomé d’ES-CP Europe et a entamé un parcours en SSII puis dans
un grand groupe de presse américain où il a as-sumé les fonctions de Vice-Président Europe. Sa société est une structure de conseil en stratégie digitale et mesure de performance. Avec plus de trois cents missions Grands Comptes à son actif (EDF, Canal, L’Oréal, etc.), il a acquis une expertise reconnue dans l’intégration du digital dans les stratégies marketing-communication et en parti-culier, les problématiques de suivi et d’optimisa-tion des actions menées. Intervenant auprès de nombreux organismes de formation (Les Echos, Orsys, CCM Benchmark Group…) et au sein d’uni-versités digitales de grandes entreprises (France télévision, Canal, etc.), il est également professeur affilié à l’ESCP Europe où il assure la coordination pédagogique du Certificat Marketing Digital depuis deux ans.
De l’e-mailing au programme relationnel multicanal, le numérique change la façon dont le marketing s’adresse aux consommateurs. Il doit changer son approche pour s’adapter à leurs nouveaux comportements. Brique par brique, ce séminaire de trois jours propose de bâtir une stratégie efficace sur les terminaux mobiles, les réseaux sociaux, les moteurs de recherche. Comment, ensuite, recourir à la publicité digitale et notamment l’achat programmatique. Le séminaire aborde également les grandes tendances du moment avec la digitalisation des points de vente et l’apport des objets connectés. Avec une fonction marketing de plus en plus digitalisée se pose, enfin, la question de la convergence avec la DSI.
Jour 1
z Evolution et enjeux du digital dans les entreprises - Du Web 1.0 à l’Internet des objets : comprendre les grandes phases qui
ont structuré le monde du digital. - Du business model à la communication, de nouvelles opportunités pour
les entreprises. - Intégration et transformation : de la vision product-centric au customer-
centric. Comment repenser l’entreprise ?
z Mettre en place un dispositif digital efficace : site, mobile, application - Des objectifs aux tableaux de bord : bien définir et suivre sa stratégie. - Maîtriser les fondamentaux de la mesure site-centric : objectifs, tunnel
de conversion, url tracking, etc. - Construire un site : les méthodologies et concepts clés (personas, UX
design, responsive design, tunnel...). - L’outil de personnalisation de site en temps réel : la data au cœur de
l’expérience client. - Les nouveaux outils de relation client en temps réel ou comment mieux
gérer ses canaux de relation client. - L’optimisation permanente du parcours des internautes sur un site :
outils et méthodes. - Le panorama des solutions du marché.
Marketing digital : synthèse et tendances
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : MAK
Durée : 3 jours
Prix HT : 2 680 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
22-24 mars7-9 juin4-6 octobre6-8 décembre
T ransition digitale
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 15
Jour 2
z Mettre en place une stratégie de présence sur les réseaux sociaux - Les fondamentaux des réseaux sociaux : panorama, chiffres
clés et usages, règles de fonctionnement. - L’image, propagation, buzz, influence, relation-client,
e-commerce... quelles stratégies sur les réseaux sociaux ? - Le contenu au cœur des présences sur les réseaux : définir sa
présence et son contenu pour être plus efficace. - La mise en place d’une stratégie sur les réseaux : les outils de
gestion centralisée. - De la propagation à l’e-réputation, les outils pour piloter et
optimiser sa présence. Les indicateurs clés à connaître. - L’audit de son dispositif : les points clés.
z Mettre en place une stratégie sur les moteurs de recherche - Comprendre les bases de Google pour optimiser son
référencement naturel : indexation, critère on-page et off-page, etc. - Bien définir son plan de mots-clés, une étape majeure du
référencement naturel : outils, méthodologie et exemple. - Comprendre le fonctionnement du référencement payant :
principe des enchères, ciblages, logiques d’optimisation. - Bâtir une stratégie : les indicateurs à suivre et les
complémentarités entre le référencement naturel et payant.
z De l’emailing au programme relationnel multi-canal - Les fondamentaux de l’emailing, les indicateurs à suivre et les
benchmarks à connaître. - Le programme relationnel à l’heure du digital : nouvelle
segmentation client, cycle de vie modifié. - L’évolution des outils de gestion des campagnes :
personnalisation et scénarios multi-terminaux.
Jour 3
z La data au cœur de la publicité digitale - Les fondamentaux de la publicité : chiffres clés, adservers,
panel Médiamétrie, régies, formats standard IAB, etc. - L’achat programmatique : comprendre le fonctionnement, les
briques et l’écosystème. - En quoi l’audience planning révolutionne-t-elle la publicité
digitale ? - L’audience planning : modes d’achat, transparence des
supports, ciblages, temps réel, personnalisation des messages. - La mesure des performances des campagnes : les critères
d’évaluation.
z Vers une convergence du marketing avec la DSI ? - La solution de Tag Management Système : pourquoi
implémenter ces outils sur vos sites ? - Les outils TMS pour centraliser tous les tags et faciliter la
collecte de datas sur les sites. - Les principales composantes d’un outil TMS : containeur,
balise, déclencheur, Datalayer, etc. - La Data Management Platform et les bases de données à
l’heure du cookie, pourquoi mettre en œuvre une DMP ? - Bien comprendre les briques d’une Data Management Platform
et l’écosystème d’acteurs lié aux DMP. - Les principaux acteurs du marché.
z Quand le digital s’empare du monde physique - De l’e-commerce à la digitalisation des points de vente, les
magasins connectés : chiffres clés, enjeux et exemples. - L’Internet des objets : nouvel eldorado ou véritables enjeux
pour les entreprises ? - Le focus sur les usages des objets connectés et les exemples
d’utilisation. - Et demain ? Regards sur quelques technologies émergentes
et leurs impacts à moyen terme.
« Les acheteurs d’aujourd’hui exigent des communications extrêmement pertinentes qui s’adressent à eux en tant qu’individus »
(Sanjay Dholakia, Marketo)
16 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
INTERVENANT
Christian DELABRE Consultant entrepreneur et expert du Web depuis 1995, il a accompagné les tout premiers pas de grandes enseignes sur le Web, et
participé au lancement e-Commerce de plusieurs marques d’un groupe de distribution international. Il se consacre aujourd’hui à la mise en œuvre de projets Web. Depuis 2010, il accompagne les entreprises dans le développement de leur stratégie cross-canale. L’innovation et la mise en œuvre de stratégies disruptives forment les bases de ses recommandations. Ses domaines de compétence : marketing stratégique, réseaux sociaux, connaissance client, visibilité, e-réputation, stratégies mobiles, optimisation des performances commerciales, coaching projets. Il conçoit et anime des séminaires et des programmes de formation sur-mesure, et est également intervenant auprès d’écoles de commerce et d’universités.
Entre le magasin, le Web, le mobile, le CRM (SMS, e-mail), les réseaux sociaux ou les centres d’appel, le parcours du consommateur devient de plus en plus complexe et imprévisible. Pour couvrir toutes ces interactions et offrir une relation-client sans couture, une marque doit utiliser l’ensemble des technologies à sa disposition. Ce séminaire vous aidera à élaborer une stratégie véritablement cross-canale pour dégager une vision client à 360°. Il rappellera aussi les enjeux de la digitalisation du point de vente (beacons, geofencing) et l’apport du Big Data en matière d’acquisition et de fidélisation. Un discours étayé par des études de cas chez les pure players du Web comme le modèle prédictif d’Amazon et l’engagement client chez Zappos.
Jour 1
z Le cross-canal à l’heure du Web 4.0 - Etat des lieux et chiffres-clés du cross-canal. - Modèles existants et exemples caractéristiques du cross-canal. - Passer du monocanal au cross-canal : les principaux changements. - Nouveaux enjeux et impacts du cross-canal dans l’entreprise digitale. - Vocabulaire actuel du cross-canal : ROPO, ATAWAD, SOLOMO... - Nouveaux comportements du consommateur à prendre en compte. - Nouveaux parcours clients à définir. Multiplier les points de contact : les
touchpoints.Etude de casLe parcours client idéal selon McKinsey.
z Les stratégies gagnantes du cross-canal - L’importance de la recommandation client : du FMOT au ZMOT. - L’Inbound Marketing : définition, enjeux et mécanismes. - Accompagner le client et le transformer en ambassadeur : la stratégie
du Sherpa. - Mettre en œuvre le lead nurturing : définition et enjeux. - Découvrir les nouveaux visages de l’e-commerce : Web-to-store, Web-in-
Store... - La révolution mobile et les enjeux des réseaux sociaux. - La technologie pour alliée : NFC, RFID...
Marketing digital : les enjeux du cross-canal
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : MMC
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
7-8 avril23-24 juin22-23 septembre1-2 décembre
T ransition digitale
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 17
- Digitaliser le point de vente : beacons et geofencing. - Le commerce sans points de vente : mythe ou réalité ?
Amazon FireFly, centre commercial virtuel ultime, etc.
z Le Big Data : réalités, enjeux et contraintes - Le Big Data : nouvel eldorado du marketing. - Le Data mining : définition et enjeux. - Placer les données au cœur du processus marketing. - Centraliser et consolider les données : le référentiel client
unique (RCU). - La donnée produit : clé de voûte du modèle cross-canal. - La donnée client : quelles données collecter ? Comment et
pourquoi ? - Le Data Scientist : un métier en émergence.
z Comment adapter l’entreprise aux nouveaux enjeux digitaux ? - Prendre conscience des impacts du cross-canal : mise en
œuvre de l’ECRM, pilotage transversal, SI et ERP. - Mettre en œuvre une organisation d’entreprise adaptée aux
nouveaux enjeux du cross-canal. - Gérer les performances des différents canaux. Déterminer les
clés de répartition. - Intégrer les nouveaux métiers du cross-canal dans
l’organisation de l’entreprise. - Définir des objectifs communs, favoriser la transversalité. - Partager l’information : la clé de la réussite de la transition
vers le cross-canal.
Jour 2
z Le client au cœur de la relation client 360° - Définition de la relation client 360°. - Les sept étapes de la relation client 360°. - Passer du mode transactionnel au mode relationnel : les
nouvelles formes du marketing. - Anticiper les attentes et besoins clients grâce au marketing
prédictif. - Les services : au cœur de la relation client. - Les nouveaux modèles de la fidélisation par la valeur : AirBnB,
BlaBlaCar... - Les enjeux de l’e-réputation.
Etude de casLe modèle prédictif d’Amazon, l’engagement client chez Zappos.
z La politique produit dans une stratégie cross-canale - Découvrir les fondamentaux du merchandising Web. - Définir la politique d’assortiment cross-canal. - Assurer la cohérence produit cross-canal. - Mesurer l’impact des descriptifs produits sur la présence
dans les moteurs de recherche. - Construire la fiche produit idéale. - Déterminer la politique de prix dans un modèle cross-canal.
Maîtriser les aspects techniques et juridiques.
z La connaissance client et les enjeux du e-CRM - e-CRM : outil essentiel de la démarche cross-canale. - Mettre la relation client au cœur du digital. - Augmenter la valeur du client : passer du prospect à
l’ambassadeur. - Mettre en place des actions opérationnelles de gestion de la
relation client. - Piloter l’e-CRM, déterminer l’organisation-type. - Panorama des outils de l’e-CRM. - Social CRM : les facteurs-clés du succès.
z Construire le plan marketing cross-canal - Définir les objectifs et priorités de l’entreprise. - Mixer les leviers du marketing cross-canal. - Découvrir les principes d’acquisition POEM (Paid, Owned et
Earn Media). - Identifier les leviers clés de succès : SEM, affiliation... - Concevoir un plan marketing cross-canal efficace, déterminer
un budget pertinent. - Définir et mettre en œuvre les indicateurs clés de
performance (KPI). - Analyse et pilotage des résultats : Google Analytics,
Omniture...
18 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
INTERVENANT
Antoine ANGLADE Dirigeant de la pratique RH du cabinet Infhotep, c’est un ancien DRH dans les secteurs de l’hôtellerie, de la restauration et des mé-
dias. Il est aujourd’hui consultant, conférencier, auteur et formateur spécialisé sur la question de la transformation digitale de la fonction RH : re-crutement, leadership, développement des com-pétences, management participatif, démarche d’innovation, modernisation des relations sociales, réseaux sociaux et plateformes collaboratives. Il accompagne sur ces thèmes les directions des Ressources Humaines de grands comptes du sec-teur privé et du secteur public. Dernièrement, il a assisté un leader de l’assurance dans la digitalisa-tion de son modèle de formation, pour répondre au défi suivant : former plus et mieux, tout en restant compétitif. Il anime des séminaires, des forma-tions ainsi que des webinaires notamment sur la transformation digitale de la fonction Ressources Humaines.
PublicationsL’étude RH « Tous Serial Learners dans une entreprise ouverte et apprenante »
90% des DRH affirment que la transformation digitale est essentielle pour leur organisation mais seuls 17% ont défini une stratégie précise en la matière (Solucom, 2014). Longtemps considérée comme le parent pauvre de l’informatique, la DRH voit aujourd’hui les projets se multiplier, de la dématérialisation du bulletin de paie à la formation en ligne (e-learning, serious games, MOOC) en passant par les nouvelles organisations du travail (télétravail, coworking) et de collaboration (réseau social d’entreprise). Sans parler du Big Data qui introduit la notion de recrutement prédictif. Quelle stratégie RH mettre alors en œuvre pour saisir les opportunités du digital ?
Matin
z Comprendre la digitalisation et se situer dans sa maturité digitale - Les origines de la digitalisation : de la contre-culture au 2.0. - Les trois natures de la révolution digitale pour l’entreprise : outils,
usages et culture. - Des données, encore des données, toujours des données. - La socialisation du Web : d’Internet à Facebook et Snapchat. - L’analyse de vos pratiques digitales au sein de la DRH. - Les impacts du digital sur vos principales activités : automatisation,
innovation, ubérisation, etc. - Vos expérimentations et projets en cours, en lien avec le digital au sein
de la DRH et dans l’entreprise. - Les opportunités et impacts communs à tous les participants.
Etude de casDigitaLog : identifier des pistes de transformation digitale pour une entreprise du secteur de la logistique. Echanges de pratiques et retours d’expériences entre les participants.
z Mesurer les impacts de la digitalisation sur la fonction RH - De nouvelles manières de faire : administration du personnel,
recrutement, développement des compétences, etc. - De nouveaux risques : e-réputation, fuites d’information, infobésité,
fracture digitale, propriété intellectuelle, etc.
DRH : définir et mettre en place votre stratégie digitale
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : HUG
Durée : 1 jour
Prix HT : 1 010 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
1er avril17 juin7 octobre16 décembre
T ransition digitale
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 19
- L’émergence d’une nouvelle culture d’entreprise et le renouveau du collectif au travail. - De nouveaux métiers et de nouvelles compétences à
développer. - La possible « ubérisation » de la fonction RH. - La quantification et le Big Data. - La désintermédiation ou l’ubérisation. - L’automatisation et l’intelligence artificielle. - Le coût marginal nul. - L’expérience utilisateur et le design thinking. - La mobilité et l’hyper-espace. - La démarche d’innovation et de disruption. - D’une logique de la propriété à celle d’usage. - L’économie du don et du partage.
Etude de casSuite du cas DigitaLog : décliner les impacts business sur la fonction RH d’une entreprise dans le secteur de la logistique.
Après-midi
z Clés 1 et 2 de la transformation : leadership digital et marketing RH - Le digital bouleverse la structure des pouvoirs au sein d’une
organisation. - Le leadership digital, facteur clé de succès numéro un. - Le ying et le yang de l’organisation « digitalisée » : un modèle
d’organisation hybride. - Le principe de subsidiarité ou l’inversion de la délégation de
pouvoir. - Les démarches d’innovation sous-jacentes de la digitalisation. - Le marketing RH pour conduire la transformation. - Le savoir-faire et le faire savoir : la DRH doit apprendre à
communiquer efficacement. - Le marketing et la communication : les deux faces d’une
même médaille. - La marque employeur : l’opportunité des réseaux sociaux et
les autres outils numériques. - Le marketing interne : « employee’s first, customer second ». - Le marketing 2.0 appliqué à la fonction RH : les étapes
progressives. - La viralité et les influenceurs : pour une communication plus
efficace.EchangesIdentifier des projets concrets dans votre entreprise : démarches organisationnelles de digitalisation, marketing RH.
z Clés 3, 4, 5 : données RH, entreprise étendue, nouveaux espaces de travail - Le Big Data, le système décisionnel et le reporting : point sur
ces différents concepts. - Le besoin de plus en plus grand d’intégration des données RH. - Vers le Big Data RH : description, prédiction et prescription. - Les opportunités et risques de l’automatisation et de
l’ubérisation de la fonction RH. - L’ouverture au monde : le digital abolit les frontières
géographiques et temporelles. - Le passé, le présent et le futur de vos employés. - L’entreprise étendue : véritable enjeu sous-jacent de la
digitalisation. - L’accès universel à l’information et à la connaissance. Les
MOOC. - Les risques de fuite d’information et l’e-réputation. - Le numérique et la propriété intellectuelle. - Le réagencement des espaces de travail. - L’analyse critique de nos environnements de travail, héritage
de l’ère industrielle. - L’agilité organisationnelle et la modularité des espaces de
travail. - La virtualisation des espaces de travail : vers de nouveaux
modes de collaboration. - Quelques sources d’inspiration : espaces de co-working,
FabLab.EchangesIdentifier des projets concrets dans votre entreprise : mise à profit des données RH, entreprise étendue, réagencement des espaces de travail.
« Les salariés sont le plus souvent plus matures sur le numérique que leur direction »
Didier Baichère (Akka Technologies)
20 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
INTERVENANT
Christophe LEGRENZI Docteur ès sciences de gestion, auditeur certifié en informatique, en gouver-nance d’entreprise et infor-matique et en gestion des
risques, il est spécialisé dans les domaines du ma-nagement et de la performance des organisations numériques. Expert judiciaire auprès des tribunaux et conseiller au Commerce Extérieur de la France, vice-président du club européen de la gouvernance des systèmes d’information et délégué pour la France, il dirige Acadys France, société de conseil et d’audit spécialisée dans les méthodes et tech-niques de management et gouvernance de la fonc-tion informatique. Il anime des séminaires et des conférences autour du thème de la gouvernance informatique, l’entreprise numérique, la révolution digitale.Publications« Best Practices Revues et Corrigées » (2015)« Cité du Futur » (Hermès, 2013) « Nouveaux schémas directeurs des systèmes d’information » (Hermès, 2013)« Contrôle de Gestion des Systèmes d’Information » Dunod (2012) « Tableau de bord de la DSI » (2011), prix du Meilleur Ouvrage informatique francophone.
T ransition digitale
La ville de demain sera à la fois plus économe, écologique et participative. Le concept de ville intelligente, ou « Smart City », est une nouvelle façon de repenser le paysage urbain en profitant des opportunités apportées par les nouvelles technologies. Le numérique améliore la mobilité, concourt à la maîtrise de l’énergie, favorise l’engagement citoyen, participe au développement économique d’un territoire. De l’éducation à la santé en passant par la gestion des infrastructures, tous les services locaux sont concernés. Esquisser la cité du futur est devenu une obligation de tout décideur public ou privé. Ce séminaire fait le point sur les concepts de la Smart City et sur ses impacts sur le terrain.
Jour 1
z L’émergence des Smart Cities - Principaux concepts des Smart Cities ou villes intelligentes. - Les villes intelligentes au service de la performance des villes. - L’e-administration, vers une simplification et une plus grande
performance des administrations. - Le cadre européen des Smart Cities. - Le cadre réglementaire (CNIL, Open Data...). - Les standards (ISO TC21, ISO 9001, ISO 37101...). - L’état de l’art des projets européens et dans le reste du monde (New
York, Tokyo...). - Les six dimensions d’une ville intelligente. - Principaux défis à soulever.
z Smart Cities au service de l’espace public - Donner au Smartphone le rôle de « télécommande de la ville ». - Rendre les immeubles plus intelligents. - La domotique et la gestion technique des bâtiments. - Le comptage intelligent (Linky le compteur de ERDF). - Les NTIC pour adapter l’habitat aux personnes en difficulté. - L’équipement. Gestion des déchets. - Pouvoir simuler les conditions de vie dans un quartier. - Penser aux circuits courts pour une gestion plus efficiente. - Accéder à l’information sans limites.
Smart Cities : enjeux et perspectives pour la ville et les territoires du futur
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : SGD
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
24-25 mars2-3 juin22-23 septembre15-16 décembre
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 21
z Infrastructures multiservices de ville et développement des Smart Cities - Les infrastructures multiservices : définition et utilité. - Vers une optimisation des performances énergétiques :
gestion de l’eau, de l’électricité, du gaz... - Réseau fédérateur multiservice (téléphone, informatique,
vidéosurveillance, capteurs). - Réseau très haut débit FTTH. - Communiquer avec les infrastructures grâce aux capteurs et
réseaux de télémétrie. - Les Smarts Grids.
z La mobilité et les déplacements - La gestion des flux. - L’économie du partage. - L’anticipation des besoins et comportements. - Les interfaces d’information pour les usagers. - Mettre le stationnement à portée d’un clic. - Un système d’aide à la gestion des déplacements (véhicules
intelligents). - Fluidifier les transports et limiter la pollution.
Jour 2
z De l’Open Data vers le Big Data - La réutilisation des données publiques : les promesses. - L’ouverture des données publiques en France, points
d’améliorations. - Quel business model mettre en place ? - La mutualisation des données. - De l’Open Data vers le Big Data. - Libérer la donnée pour stimuler l’innovation. - La monétisation de données, est-ce une nouvelle source de
revenus pour nos collectivités territoriales ? - La mémoire des territoires.
z L’éducation et la démocratie du futur - L’école numérique. La lutte contre l’échec scolaire. - Repenser l’enseignement et la transmission des savoirs. - Relation parents-enseignants-collectivités locales. Profiter de
l’intelligence collective. - Du cartable à la tablette. Les leçons des premières
expérimentations. - Pourquoi les MOOC fonctionnent-ils ? Quels sont les véritables
changements ? Bénéfices ? - De la pédagogie à l’anthropogogie.
- La démocratie participative. Faire participer les habitants à la fabrication et au développement de la ville. - L’e-référendum. Signaler des dysfonctionnements via des
applications mobiles. - Comment exploiter le collaboratif e-citoyen dans une région,
un département, une communauté de communes... ? - Quels sont les véritables bénéfices et enjeux ?
z La cité du futur et la prospective territoriale - Les districts culturels. - Les « living labs » déclinés sous toutes les formes : medialabs,
fablabs... - Faire coopérer les habitants et les commerçants. - Accroître la qualité de vie des administrés avec un service
personnalisé. - Adapter les méthodes d’analyse décisionnelle (Business
Intelligence) aux besoins de la police. - Eduquer les futurs acteurs de l’économie de la connaissance. - Concevoir de nouvelles interactions avec le milieu urbain.
z L’innovation territoriale et le développement économique - Collecter et corréler les données liées à la santé publique. - Privilégier la télésanté. - Les relations sociales repensées. - Gestion de la mémoire et de l’identité numérique. - Réduire les dépenses en recourant aux nouvelles
technologies. - Transformer des compétences individuelles en activités
rentables. - Produire les biens à domicile. - Le réseau électrique au service du développement durable. - La « clusterisation » des territoires constitue l’un des
vecteurs de cette économie du lien. - Mutualiser les équipements.
« L’objectif de la Smart City est de faciliter la vie du citoyen, mais aussi de gérer au mieux les budgets de fonctionnement et l’utilisation des ressources »
(Tanguy de Coatpont, Kaspersky Lab)
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INTERVENANT
Yannick DELSAHUTFondateur et dirigeant de la société Goldstark depuis quatorze ans, il accompagne de grandes entreprises dans leurs pro-
jets multicanaux et la stratégie liée à leur trans-formation digitale : création du 1er comparateur d’assurance-crédit MyComparateur B2B, expert et consultant pour la transformation digitale de courtiers, banques, assurances en France et au Luxembourg, consultant et maître d’ouvrage pour de grands sites marchands et des joailliers. Préala- blement responsable Innovation et nouvelles tech-nologies à la Direction technique d’informatique de la Caisse des Dépôts, il participe à de multiples projets européens. Il rejoint en tant que consultant e-Business et innovation la direction de la straté-gie du Groupe pour participer au comité en charge de la réflexion stratégique et du plan d’action.
La révolution digitale est en marche. Selon le cabinet McKinsey, la France pourrait, d’ici 2020, accroître la part du numérique dans son PIB de 100 milliards d’euros par an à condition que les entreprises accélèrent nettement leur transformation numérique. Elles doivent pour cela s’approprier les technologies disruptives que sont le Cloud Computing, l’Internet des objets, le Big Data ou le BYOD. Ce séminaire de trois jours détaillera ces concepts et leurs impacts sur votre organisation. A l’ère du digital, l’entreprise doit adopter une nouvelle gouvernance, recourir aux méthodes agiles pour livrer des services « time to market » tout en faisant de la sécurité et de la confidentialité des données personnelles une préoccupation de tous les instants.
Jour 1
z Numérique ou digital ? - Définition des concepts numérique et digital. - Enjeux des technologies digitales sur la gouvernance et la compétitivité. - ROI, TCO, flexibilité, impact sur les architectures, conception applicative. - Innovation, levier primordial pour la compétitivité. - Mixité des générations X,Y,Z au cœur du digital.
z Réseaux : les évolutions - Réseaux filaires : VDSL, Giga Ethernet, LTE... - Réseaux sans fil (wifi, wimax, 3G+, 4G, 5G), les offres satellites, wifi
certifié Passpoint. - L’IPv6 et les objets connectés. - Solutions de géolocalisation, GeoIP, Beacons, outils de scoring. - Protocoles d’échange HTTP/2, HTTPS, Google Quic. - Qualité de service QoS, MPLS. - Protocoles de téléphonie SIP, VOIP. - Impact du réseau sur la conception applicative.
z Terminaux, BYOD, Internet des objets - Terminaux : wearable, mobile, tablette... - BYOD, CYOD, BYOA. - Internet des objets. - OS du marché : Windows, MacOS, ChromeOs, iOS, Android... - Avenir des OS Cloud et convergence. OS HTML5. - Enjeux des processeurs. - Impact des terminaux sur l’ergonomie : Flat Design, Responsive Design.
La révolution digitale : synthèse sur l’évolution des technologies
Digital : technologies et applications
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : NTI
Durée : 3 jours
Prix HT : 2 680 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
7-9 mars14-16 juin4-6 octobre13-15 décembre
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 23
- Stores d’application interne ASE, public. Impact sur l’architecture Digital compliance. - Rôle du terminal sur les approches BYOD, CYOD, BYOA.
z Internet et ses services - Algorithme de référencement de Google. Impacts sur la
conception Web. - Web 3.0 ou Web sémantique ? Les Rich Snippets. - Réseaux sociaux, Viadeo, LinkedIn... - Partage documentaire, le drive : Dropbox, Google drive... - Solutions bureautiques (Zimbra, Office 365...). - Solutions de téléphonie / visiophonie, Facetime, Whatsapp,
Hangout, Skype... - Formation en ligne.
z Technologies du poste client - Familles de navigateurs (Webkit, Gecko, Blink, Trident). - Rôle futur du navigateur au cœur de l’architecture. - HTML5, CSS3 : solutions de stockage, réseau (websocket,
ajax, postmessage). - Frameworks de conception d’interface graphique, BootStrap,
AngularJs... - Retour en force du JavaScript, ECMAScript. - Solution hybride cross-plateforme avec PhoneGap, générateur
de code (Xamarin, gwt).
Jour 2
z Architecture SI et urbanisation - Architecture client-serveur. Virtualisation et supervision.
Solutions de container. - Langages Web. Serveurs d’application et d’hébergement. - Serveurs de stockage : SSD, Cloud, synchronisé... Serveurs
exaData, Hana SAP. - Software Defined Data Center. - Protocoles client-serveur (Rest, soap, RSS) et formats
d’échange (json, xml, text). - BDD SQL Server, Oracle, MySQL. Architectures OData. Le « In
Memory ». - Architecture SOA. - XML au cœur des échanges. API au cœur des plateformes
eBusiness. Normalisation des bus de service ESB. - Urbanisation du SI : EAI, monitoring (BAM), modélisation
(BPMN, BPEL). - Portail B2B, B2C, portail collaboratif.
z Sécurité - Cadre normatif et réglementaire (SOX, COSO...). - Plans de secours et continuité, PCA/PRA, PSI, RTO/RPO... - Solutions de sécurité du poste de travail et mobile. - Composants de la sécurité (firewall, VPN, DMZ, biométrie,
certificats...).
- Authentification : fédération d’identité (SAML, OAuth), API des réseaux sociaux. - Dématérialisation et signature numérique. - Sécurisation des échanges. - Normes ISO 27002, 27003, 27004. - Sécurisation des devices, informations, applications au cœur
du BYOD. - Risques des multi-licences opensource, data, API.
z Cloud Computing - Modèle Software vs Cloud Computing. Impact réglementaire,
garantie de PRA. - Principaux acteurs Cloud et types de solutions : SalesForce,
Amazon, Google, Microsoft, Cloudwatt... - Réglementation européenne. - Patriot Act et solutions de sécurité et de cryptage. - Impact du Cloud sur les technologies serveurs, émergence de
NodeJs et du javascript-serveur. - Cloud public, privé et hybride. - Impact du SaaS et du Cloud Computing sur le Green IT.
Jour 3
z Big Data, gestion des données - Enjeux de la Big data. - Cycle de vie des données. Solutions sur la collecte,
consolidation, analyse et visualisation. - Complémentarité avec les solutions BI, Business Analytics,
DatawareHouse. - Collecte de données : émergence des architectures temps
réel. - Solutions de stockage : HDFS, BDD NoSQL, Hadoop, HBase,
MongoDB... - Manipulation des données, Pig, Hive... - Open Data. BDD NoSQL. - Crawling et scraping. - Les Data Scientists au cœur du décisionnel.
z Entreprise digitale, gouvernance - Rupture, cycle de vie des produits, approche « Time to
Market », « Time to value ». - Le collaboratif au cœur de la transformation digitale. - L’e-réputation, surveillance de son image, gestion de ses IRM.
API des réseaux sociaux. - La dématérialisation. Gestion de contenu et CMS. Marketing
multicanal et enjeux de gouvernance. - Budgétisation du passage au digital. - Méthodes de gestion des projets agiles et cycle en V. - Pilotage par les risques, Benchmark et audit. - L’offshore. SLA et ITL au service de la QoS.
« La transformation numérique change les business models, les processus, les façons de travailler »
(Éric Hazan, McKinsey)
24 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
INTERVENANT
François MADJLESSIDirecteur des systèmes d’information de l’université Paris Dauphine, consultant et formateur dans le do-maine de développement
d’applications mobiles et convergence au sein de Télécom Paris Tech. Ingénieur diplômé de l’Insti-tut Mines-Télécom Paristech, il a été architecte réseau, responsable informatique, directeur des études principalement dans le secteur privé avant d’entamer une carrière dans l’administration pu-blique tout d’abord en tant que chef de service systèmes et réseaux au Conseil Général de Marne et, de 2011 à 2015, en tant que DSI de la ville de Vincennes – Trophée CIO de l’efficacité opération-nelle, Trophée de management du service public, Trophée de la meilleure application K2 (BPM), Prix Coup de pouce de la pratique la plus innovante dans une administration (SGMAP/ministère de l’Économie). Il a participé en plus de vingt ans à la mise en place de nombreux projets de déma-térialisation pour Nokia, SFR, Vodafone, Starup MobiSun… De plus, il anime des séminaires, des formations et publie des articles sur son domaine de prédilection : la dématérialisation.
Factures, commandes, contrats, bulletins de paie, chèques, appels d’offres… La dématérialisation gagne la quasi-totalité des contenus. Pour 63% des décideurs, le numérique représente une opportunité pour optimiser la gestion des processus documentaires (Markess, 2015). Avec la dématérialisation, l’entreprise réduit le délai de traitement tout en assurant sa traçabilité. Illustré d’études de cas, ce séminaire se propose de faire un point sur les enjeux et les apports de la dématérialisation, notamment dans une démarche multicanale. Il passe aussi en revue les solutions du marché en termes d’acquisition (LAD, OCR/ICR…), de GED, d’archivage ainsi que les architectures techniques disponibles pour intégrer les flux documentaires dans un système d’information.
Jour 1
z Enjeux et démarche de la dématérialisation - La dématérialisation au service de transformation de l’entreprise. - Les enjeux : gain de productivité, optimisation des processus, gain de
performance, améliorer la traçabilité. - Domaines concernés. Les bénéfices. Les principaux freins. - Schéma directeur. Facteurs de réussite. Impacts. ROI. - Principales approches. Re-engineering processus et organisation. - Comment conduire avec succès un projet de dématérialisation ? - Approche moderne : SOA, Agilité, ITIL. - Organisation et gouvernance. La conduite de changement. - Quelle est la place de la DSI pour accompagner l’organisation dans cette
nouvelle approche ?Etude de casLes factures et envois PES.V2 vers le trésor public dans le cadre d’une collectivité territoriale.
z La dématérialisation, le multicanal et la mobilité - La dématérialisation au service d’une stratégie Multicanal. - Les enjeux et la vision à 360° du client. - L’harmonisation des canaux : Web mobile, téléphone physique. - Comment passer d’une organisation par silo vers une organisation
intégrée multicanale ?
Dématérialisation : synthèse et mise en œuvre
Digital : technologies et applications
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : DMA
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
24-25 mars23-24 juin6-7 octobre15-16 décembre
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 25
- Comment harmoniser le traitement des demandes téléphones, courriers, courriels, physiques ? - Comment mesurer la performance des demandes pour chaque
canal ? - La dématérialisation et la mobilité. Les apports de la mobilité
à la dématérialisation. - La solution de dématérialisation via des Smartphones et
tablettes. - Piloter le système avec un Smartphone ou une tablette. - Industrialiser et harmoniser le portage des processus métiers
sur les différents environnements et OS mobiles. - Quelles architectures techniques pour industrialiser des
solutions de mobilité ?Etude de casLa dématérialisation des courriers et des marchés.
z Parapheur et signature électronique - Définition technique (hachage, CRL...). - Identité numérique (classe 1, 2 et 3). - Fabrication du certificat (carte à puce, code PI...). - Chaîne de confiance : ANSSI, RGS... - Formats de signature électronique : XAdES, CAdES, PAdES. - Mobilité : contrainte des iOS, Android, Microsoft. - Interopérabilité : formats de signature, connecteurs...
Etude de casLa dématérialisation des contrats crèches et signatures électronique via CDC FAST. La dématérialisation de la délivrance des diplômes en ligne via la solution Digipost/Decapost.
z La dématérialisation et la collaboration - L’approche Intranet 2.0 au service de la dématérialisation. - Réseau Sociaux d’Entreprise. - Du fichier au partage. - Du direct vers broadcast. - Du délai vers temps réel. - Social Networks au service de la chaîne de dématérialisation
(LinkedIn, Facebook).
Jour 2
z Le décisionnel et le Big Data au service de la dématérialisation - Le décisionnel dans un contexte de dématérialisation,
pourquoi et pour qui ? - L’apport des processus pour mettre en place des indicateurs. - Indicateurs temps réel d’optimisation flux. - Indicateurs de la direction générale.
- Processus d’optimisation cross canal. - Architecture technique : ETL, infocentre, intégration logiciels
métiers. - De l’infocentre au Datawarehouse.
z Cadre juridique - Signature électronique : directives européennes, lois et
décrets d’application. - Gestion de la preuve : loi de mars 2000. - Conservation des documents : code civil, code du commerce... - Archivage électronique : norme NF Z 42-013. - Normes documentaires : ODF, OOXML, RSS... - Standards d’échanges : SEDA, ACTES... - La CNIL.
Etude de casLa mise en place d’une solution de signature en ligne dans une banque.
z Panorama des solutions techniques de dématérialisation - Archivage légal ou à valeur probante. Archivage électronique.
Cloud et volet juridique. Prestataires de services. - Standards : SMI, HSM, NF Z 42-013... - Tiers archiveurs : CDC Arkhinéo, Doc@post... - Chaîne d’acquisition. Document numérique : ODA, SGML, SPDL.
Document numérique : ODA, SGML, SPDL. - Sécurité : authentification de l’émetteur, certificats
électroniques, cryptographie. Référentiel Général. - Parapheur et GED. Intégration avec les logiciels métiers. - Solutions Cloud. - Reconnaissance Automatique de Documents. - Lecture Automatique de Documents. - Optical Character Recognition. Intelligent Character
Recognition.
z Les architectures techniques - Approche orientée processus. Modélisation des processus. - Les noms et la modélisation : BPMN. - Les outils : Business Process Manager (BPM), Business
Activity Management Architecture d’intégration. - Entreprise Service Bus (ESB). Extract, Transform & Load
(ETL). - Protocole d’intégration : Webservice (SOAP, REST), CMIS, LDAP,
SIP. - Annuaire et gestion des identités : SSO, SAML, OpenID. - Panorama des solutions : Open source, propriétaire.
Urbanisation : ESB, Portail, webservices. - Solution en mode Cloud versus intégrée. Intégration des
nouveaux médias : tablette, Smartphone.
26 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
INTERVENANT
Lionel VILLARDOConsultant senior pour le compte d’ACADYS France depuis plus de sept ans, il opère principalement dans le cadre de missions d’éla-
boration de schémas directeurs, d’urbanisation du SI, d’architecture d’entreprise, et de veille et innovation. Il débute son parcours en tant que chef de pro-jets dans le cadre de missions d’administration d’infrastructures IT et de développement d’appli-cations métiers. Fort de ses expériences réussies et de sa curiosité pour le monde de l’IT, il est in-tervenu très tôt sur des sujets de développement Web, de transition de solution Mainframe et de téléphonie. Confronté à des sujets variés tel que BYOD, Big Data, solutions connectées (M2M), il s’est forgé une solide expertise dans le domaine des solutions Cloud et a travaillé dans de multiples secteurs pour des sociétés de type opérateurs de téléphonie, intégrateurs de solutions télécoms, banques, assurances, sociétés d’édition de solu-tions applicatives, agroalimentaire, logistique et transport. Il est, par ailleurs, consultant-formateur à destination des DSI sur les défis du Cloud, du BYOD et du Big Data.
Cloud, BYOD et Big Data. Ce sont les trois “buzz words” du moment qui changent, à des degrés divers, nos organisations. Le cloud « dématérialise » des pans entiers de l’infrastructure informatique tandis que le concept de BYOD (Bring Your Own Device) introduit une multitude de terminaux mobiles personnels au sein du système d’information. Avec le Big Data, il s’agit de saisir les opportunités qui découlent de l’explosion du volume des données. Après avoir défini les principes fondamentaux du cloud, du BYOD et du Big Data, ce séminaire se propose d’appréhender leurs impacts tout en identifiant leurs opportunités. Il s’agira aussi de déterminer les enjeux managériaux, organisationnels et techniques en termes de gouvernance du SI.
Jour 1
z Le SI actuel révolutionné - Les raisons pour lesquelles les entreprises vont devoir faire face à la
3ème révolution informatique. - Les investissements dans ces technologies représentent déjà des
dizaines de milliards de dollars. - Plus de la moitié de la dépense informatique se retrouvera en dehors du
contrôle des DSI. - Un véritable défi stratégique pour le DSI ! - Risque de marginaliser la majorité des pratiques actuelles de
gouvernance, de fonctionnement et de gestion des projets. - L’impact du Cloud, du BYOD et du Big Data dans le SI de l’entreprise.
z La révolution du Cloud - Les nouveaux outils du Cloud sur la base du modèle SPI (SaaS, PaaS,
IaaS). - De nouveaux acteurs émergents marginalisent les acteurs traditionnels
du secteur informatique. - Ce nouveau marché est aujourd’hui dominé par un libraire, une agence
de pub et un éditeur... - Les apports de la révolution du Cloud sont passés en revue à 360° dans
toutes les dimensions de l’entreprise. - Les enjeux stratégiques, l’externalisation, l’impact des changements
sur les processus métiers.
L’entreprise face aux défis du Cloud, BYOD et Big Data
Digital : technologies et applications
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : MBD
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
31 mars-1 avril9-10 juin3-4 octobre5-6 décembre
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 27
- Les impacts sur le management, les organisations et les hommes, les problématiques, les partenaires... - L’état de l’art des meilleures pratiques du Cloud Computing en
matière de déploiement d’outils, de technologies... - Nouveaux outils : SaaS, PaaS, IaaS. Les différents modèles du
Cloud Computing, HaaS (Hardware as a Service). - BPaas, XaaS ... comment définir les autres déclinaisons du
Cloud ? - Quels bénéfices en attendre ? Quelles architectures
techniques choisir ? - L’ERP dans le Cloud ? Quel impact ? Quels enjeux ? - Quels nouveaux modèles d’organisation et de gouvernance ?
Comment doit se positionner la DSI ?
z La révolution du BYOD - Ces nouveaux usages hybrides « pro-perso » ne peuvent plus
être ignorés. - Comment les intégrer dans une réflexion globale afin
d’anticiper les solutions innovantes de demain ? - La génération Y arrive dans nos entreprises avec son lot
d’équipements. - Nouveaux outils : mobilité, la révolution du mobile (NFC,
RFID...), la tablette, le DaaS, le poste/bureau virtuel... - Quelles sont les questions à se poser avant de s’orienter vers
le BYOD ? - Quelle est la différence fondamentale avec les outils
traditionnels ? - Quels bénéfices en attendre ? Quels changements
fondamentaux à prévoir à terme ? - Quels sont les enjeux en matière de sécurité et les aspects
juridiques à considérer ? - Qui sont les demandeurs ? D’où viennent leurs besoins ?
Comment les satisfaire ? - Comment doit se positionner la DSI ? - Pourquoi faut-il s’y préparer ?
Jour 2
z La révolution du Big Data - Les nouveaux outils du Big Data. - Les référentiels, Master Data Management, Business
Intelligence, Data Warehouse, Data Mining, Open Data... - Appréhender les décisions de manière plus scientifique avec
l’approche : « evidence based decision making ». - La connaissance fine des clients, de leurs habitudes, de la
concurrence, est devenue un levier majeur de compétitivité.
- De nouveaux métiers voient le jour comme les « data scientists », les « information managers ». - Comprendre le besoin des entreprises dans le domaine de la
prise de décisions. - Quelles lignes directrices pour avancer ? - Quelle est la différence fondamentale avec les outils
traditionnels ? - Comment associer données structurées et non structurées ? - Quels bénéfices en attendre ? Quels changements
fondamentaux à prévoir à terme ? - Quels sont les premiers retours d’expériences ? Dans quels
domaines rencontre-t-on des solutions ou projets Big Data ? - Comment doit se positionner la DSI ?
z Les enjeux managériaux - Stratégique : pourquoi l’entreprise doit-elle revoir ses outils et
ses pratiques ? - Management : en quoi ces nouveaux concepts modifient
singulièrement les modes de management ? - Organisation : en quoi ces outils modifient-ils
considérablement les structures organisationnelles actuelles ? - Technique : les outils transforment littéralement les
architectures traditionnelles. - Finance : les enjeux économiques apportent des solutions où
les coûts d’investissements sont bien plus faibles. - Juridique : de nouveaux partenariats et contrats doivent être
signés. - Sécurité : les enjeux de confidentialité mais aussi de risques
opérationnels sont explicités.
z Conseils pour tirer profit de cette 3ème révolution informatique - Comment approcher ces nouveaux concepts ? - Quels sont les opportunités, les bénéfices, les enjeux et les
risques potentiels ? - Par quoi et comment faut-il commencer ? - Comment réaliser les premières expériences ? - Quels sont les acteurs internes et externes à identifier ?
« L’entreprise a tout à gagner à organiser le BYOD plutôt que laisser émerger des pratiques “ sous le radar ” »
(Bertrand Duperrin, Emakina.fr)
28 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
INTERVENANT
Teresa COLOMBIPsychologue cogniticienne et docteur de recherche en ergonomie et interac-tion homme-machine, elle est spécialisée en enregis-
trement et analyse des mouvements oculaires. Elle a co-fondé la société LudoTIC en 2004. Ses travaux de recherche se poursuivent dans le do-maine de la User Experience en particulier sur des sujets comme la gamification, les nouvelles formes d’interaction homme-machine, l’impact du design émotionnel et la mesure de la charge men-tale des utilisateurs par le biais du eye tracking (mouvements oculaires). Elle a dirigé de nombreux projets clients pour des grands comptes tels qu’Orange, Thales Underwater Systems, ACOSS, Amadeus, Generali, etc. Elle a aussi accompagné de nombreuses PME et Start-ups innovantes. Elle enseigne depuis 2001 l’ergonomie et l’interaction homme-machine aussi bien dans le privé qu’au sein de plusieurs universités et institutions fran-çaises (Inria, CNRS…) et étrangères.
Dans un monde de plus en plus informatisé et technologique, il devient essentiel de comprendre les utilisateurs, d’appréhender les usages et d‘anticiper les tendances en termes d’expérience utilisateur et d’adoption des innovations. Après avoir analysé les enjeux et identifié le retour sur investissement lié aux interfaces et à la « User Experience » (UX), ce séminaire présente les principales tendances à suivre, telles que le design émotionnel, la gamification, le « wearable computing », la réalité augmentée ou le guidage oculaire des interfaces.
Jour 1
z Introduction : contexte, définitions et enjeux - Le marché de l’informatique et le besoin d’ergonomie. - Les premiers pas de l’ergonomie : du taylorisme aux postes de travail,
en passant par le domaine militaire. - Des « Human Factors » aux « Human Actors » : mettre l’utilisateur au
centre du process. - User Experience : présent et futur de la discipline, profils
professionnels, compétences et diplômes. - User Experience et Design : points communs et différences. - User Experience et Marketing : points communs et différences. - La norme ISO 9241 : le cadre de référence en termes d’approche et de
métriques. - Qui est le « consommateur » de technologie aujourd’hui ? Et demain ?
génération Y et Digital Natives. - L’impact de la technologie sur nos vies quotidiennes : Internet, les
Smartphones, les réseaux sociaux et les jeux vidéo. - Comment connaître la population cible d’un produit informatique ?
Techniques de modélisation des utilisateurs.
User Experience : état de l’art et tendances en ergonomie et IHM
Digital : technologies et applications
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : IUT
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
31 mars-1 avril23-24 juin6-7 octobre15-16 décembre
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 29
z Comprendre l’innovation, anticiper les usages de demain - De l’innovation centrée sur la technologie à celle centrée sur
les besoins des utilisateurs. - Exemples d’innovations réussies et d’innovations ratées :
analyse en termes d’usages. - Rétablir le cycle Artefact-Tâche : remettre l’humain au centre
du process, rationaliser l’évolution des produits IT. - Convaincre un client d’innover : le Retour sur Investissement
de la User Experience du BtoB au BtoC. - Estimer le degré de maturité d’une organisation vis-à-vis de
l’UX : êtes-vous prêt à vous lancer ? - Innovation et réticences au changement : comment y faire
face et les dépasser grâce à l’UX. - Mettre l’utilisateur dans la boucle : le design thinking. - Use Cases et exemples d’innovations dans le cadre d’une
démarche «centrée utilisateurs».
Jour 2
z L’évolution des interfaces homme-machine : vers quoi on se dirige - Du skeuomorphisme au flat design : tendances graphiques
dans les interfaces. - Web 1.0/Web 2.0 : ce qui change en termes d’affichage et
d’interaction homme-machine. - Web for all : les enjeux de l’accessibilité du Web et les normes
en vigueur en France et à l’étranger. - Des lignes guides Apple à celles de Google : le material design. - Concevoir pour du mobile : mobile first ou mobile only ? Sites
responsifs ou applications natives ? - Le Web 3.0 : du Web sémantique à l’Internet des objets, ce qui
nous attend dans un futur proche. - Des GUI (Graphical User Interfaces) aux NUI (Natural User
Interfaces) : l’interaction gestuelle (leapmotion, kinect...). - Des GUI (Graphical User Interfaces) aux NUI (Natural User
Interfaces) : l’interaction vocale (Siri, OK Google...).
z Les tendances de l’ère digitale : technologie et usages de demain - UX et Big Data : comment afficher et exploiter cette masse
d’informations ? - Le Design émotionnel : savoir toucher l’utilisateur pour devenir
inoubliable.
- Le Persuasive Design : adopter une communication efficace pour convaincre. - Gamification et Serious Games : rendre l’interaction ludique et
immersive pour booster apprentissage et productivité. - Réalité Virtuelle / Augmentée : technologie et applications
(Oculus Rift, Google Glass, hologrammes, smart cities...). - « Wearable Computing » : quand les ordinateurs se fondent
dans nos vêtements et accessoires. Les projections corporelles. - Le guidage oculaire : piloter un ordinateur avec les yeux, entre
innovation et peur du «big brother». - Brain-Computer Interaction, ou le pilotage par la pensée : du
milieu du handicap à des interactions futuristes.
z Mesurer la User Experience - Key Performances Indicators : comment mesurer le ROI d’une
intervention d’ergonomie ? - Produits BtoB et BtoC : quelles différences en termes de User
Experience et KPI ? - Quick wins versus interventions en profondeur. - Mesurer opinions et attitudes : méthodologie. - Mesurer le comportement en laboratoire : les tests
utilisateurs. Méthodes de base et techniques de pointe (eye tracking). - Mesurer le comportement « dans la vraie vie » : analytics et
mouchards dans le code. - Démarche itérative et amélioration continue de l’UX : le
modèle américain. - Use Cases et exemples de projets avec la démarche de recueil
de données utilisateur (user research). - Prochaines étapes : nommer un UX champion dans votre
entreprise et définir une trajectoire.
30 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
INTERVENANT
Alexandre DESORBAIXFormé au monde de la pro-ductique, de l’électronique et du développement logi-ciel, inventeur à ses heures perdues, il s’intéresse très vite aux nouvelles tech-
niques de conception informatisée et de produc-tion de pièces accessibles à bas coût. Il devient rapidement imprimeur 3D FFF pour ThingsTalk IoT France, pour le développement de nouvelles solutions ou bien de maquettes de présentations commerciales. Souhaitant mettre à disposition cette expérience du milieu de l’impression 3D, il in-tervient auprès d’entreprises sur les différents as-pects liés à l’impression 3D en les aidant à mettre en œuvre ces technologies tout en guidant leurs choix économiques et techniques tout au long de leurs adaptations. En parallèle, il forme depuis plus de 5 ans à l’université Paris Dauphine et pour Or-sys sur XML, les technologies Web et l’impression 3D.
Implant médical, collier de joaillier, pièce mécanique… Selon Gartner, 10% de la population mondiale devrait posséder au moins un produit fabriqué à l’aide d’imprimantes 3D d’ici à 2019. L’impression 3D est en train de révolutionner les modèles économiques de certains secteurs d’activité comme l’aéronautique, l’automobile, l’architecture ou la médecine en réduisant les temps de production et de prototypage. Ce séminaire en présente les enjeux, les défis et les promesses tout en rappelant le cadre juridique (code de propriété intellectuelle, droit de copie et contrefaçon…). Il détaille les logiciels et les techniques d’impression, les matériaux et les modèles d’imprimantes et les différents modes de créations entre la modélisation, la récupération de fichier ou la scannérisation.
Jour 1
z Impacts économiques, quels avantages pour votre entreprise ? - «Maker culture», extension du Do It Yourself. - Historique de l’impression 3D. - Besoins comblés par une technologie disruptive. - Rendre son entreprise plus compétitive avec la 3D. - Une réactivité accrue face aux demandes. - Une communication tout au long des phases de création de produits. - De la production vers la coproduction. Evolution de la relation client. - Recherche industrielle et marketing à faible coût. - Du soustractif à l’additif, une consommation de matière première
adaptée. - Les modèles économiques et valeur ajoutée. - Besoins de main d’œuvre.
EchangesEtudes de cas sur différentes entreprises utilisant fortement l’impression 3D.
z Procédures métier et mutations, comment s’adapter ? - Les secteurs concernés par l’impression 3D : aviation, automobile,
santé, architecture... - Profils et acteurs concernés par la démarche.
Impression 3D : synthèse et perspectives
Digital : technologies et applications
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : IPD
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
17-18 mars16-17 juin13-14 octobre8-9 décembre
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 31
- Temps d’adaptation : formation main d’œuvre, essais matériaux. - Vers l’évolution du prototypage, l’ouverture à la
communication pour chaque étape. - Valeur ajoutée, design complexe sans surcoût, pièces
impossibles à usiner. - Incubateur à idées, impression de concepts fonctionnels. - Réduction des temps de production et de prototypage. - Aide à la communication et conceptualisation inter-services
bureau d’étude, marketing, commercial. - Développements et productions de pièces rapides. - Modes de créations (modélisation, récupération de fichier,
scannérisation ou sous-traitance).EchangesLes procédures de modélisation et création.
z Approche juridique - Socle de droits des impressions. - Extensions envisageables du socle de droits. - Potentiel licite et droit non applicable. - Droits de douanes : vers des conceptions internationales. - Code de propriété intellectuelle CPI. - Droit de copie et contrefaçon. - Concepteur, plateforme de diffusion, centre d’impression,
particulier : à chaque acteur des droits liés à l’impression.EchangesAnalyses des impressions 3D interdites dans certains pays.
Jour 2
z Applications d’impression - Logiciels CAO, intégration dans les principaux outils existants
: AutoCAD, Catia, ABAQUS, Solid Works, 3DS. - Les scanner 3D : modéliser rapidement une pièce, pour le
«reverse engineering», pour créer des pièces d’adaptations... - Logiciel d’acquisition de données 3D. - Logiciel de post traitements. - Fichiers de Mesh des composants imprimables. - Le format standard STL. - Les autres standards VRML, PLY, 3DS, FBX, ZPR. - Découpe en couches «slice» des pièces. - Format G-code, le langage des imprimantes. - Caractéristiques d’une impression. - Traitements post impression, friteuse acétone, vapeur de
solvants, sablage... - Extension, imprimer en plus de 3 dimensions : impressions
3.5D et 4D.
DémonstrationLes principaux logiciels de création 3D, avantages et inconvénients.
z Techniques d’impression - Norme ASTM Additive Matériel. - Impressions par dépôt de matériaux liquides : Fused Deposit
Material, Fuse Filament Fabrication. - Impression par polymérisation : stéréolitique SLA et son
extension DLP. - Les impressions par frittage ou fusion : Selective Laser
Sintering / Melting, Direct Metal Laser Sintering. - PolyJetting : l’impression 3D aux couleurs arc-en-ciel issue
des concepts 2D jet d’encres. - Plaster Based 3D Printing (PP), l’impression de type plâtre lié.
DémonstrationDémonstration vidéo des principales techniques d’impression.
z Les matériaux - Matières plastiques, PLA, ABS, nylon, PC, résines, poudres... - Matière composite conductrice, carbone, métal, aimantée... - Matière de supports, cire, soluble. - Temps d’impression, précision de tête. - Remplissage de pièces. - Des supports pour vos impressions complexes. - L’impression couleur. - Achats consommables et stockage.
EchangesLes caractéristiques des principaux matériaux permettant l’impression 3D.
z Les modèles d’imprimantes - Technologies dérivées : stylo 3D, impression solaire,
impression de tissus biologiques. - Les nouveaux modes de fonctionnements : CNC à multi–têtes,
impression 3D, fraise, découpe laser... - Les principaux constructeurs : stratasys, 3D systems,
creatix3D, Cube 3D, MakerBot... - Modèle «RepRap» ou l’impression OpenSource : hardware,
software, communauté. - Construction d’une repRap «home manufactured». - Vers la fabrication du besoin et votre évolution de l’univers de
l’impression 3D.DémonstrationPrésentations vidéo d’imprimantes 3D.
« L’impression 3D porte un enjeu de relocalisation de la production, de ré-industrialisation de notre territoire... »
(Arnault Coulet, Fabulous)
32 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
INTERVENANT
Henri PUISSANTCEO d’I-Training & Services, un cabinet de conseil, il est diplômé en management et stratégie d’entreprise, titulaire d’une maîtrise de
mathématiques. Il a participé à la mutation du Cré-dit Agricole comme DSI, puis restructuré l’informa-tique de la branche Retraite du Groupe Caisse des Dépôts. Il a dirigé la fonction Système d’Informa-tion du Groupe Caisse des Dépôts en tant que Di-recteur délégué d’Informatique CDC et conduit des politiques de sous-traitance dans des contextes sociaux difficiles. Il est spécialiste de l’organisa-tion des services informatiques, en a construit, fusionné et séparé un grand nombre. Il anime des séminaires et des formations sur la gouvernance informatique, la gouvernance d’entreprise, la pros-pective, l’architecture d’entreprise, la Qualité, COBIT, CMMI, Prince2®, ITIL®, P-CMM, eSCM … Il intervient dans la mise en place des démarches fondées sur les bonnes pratiques, l’offre de service et le système de facturation afférent, effectue des audits et diagnostics des SI et coache des chefs de projets importants.
Avec la transformation numérique, les systèmes d’information représentent plus que jamais une partie significative de la valeur ajoutée créée par les entreprises. A condition de se doter des moyens de gestion et de régulation pour atteindre ses objectifs business. C’est tout l’enjeu d’une gouvernance informatique bien conduite. Riche d’exemples concrets, ce séminaire couvre l’ensemble des méthodes (ITIL®, CMMi, COBIT…), des outils et des bonnes pratiques que les DSI doivent mettre en œuvre pour améliorer leurs résultats. Vous verrez notamment comment concevoir la stratégie la plus adaptée à vos besoins pour définir les objectifs de la DSI à moyen et à long terme puis comment mettre en place un pilotage efficace permettant d’atteindre ces objectifs.
Jour 1
z Définition et principes fondamentaux - Gouvernance des SI, partie intégrante de la gouvernance d’entreprise. - Principes fondamentaux : relation entre gouvernance, valeurs, culture et
éthique. - Gouvernance, risques, responsabilité et sécurité dans un monde
numérique. - Règlementations, normes et évolutions. - Implication pour les systèmes d’information. - Etat des lieux des pratiques dans les entreprises.
EchangesEvaluation de la maturité des entreprises au regard de la gouvernance SI.
z Place de la DSI dans l’entreprise et contribution à la création de valeur - Perception de la DSI dans l’entreprise. - Débat «coût» et «valeur» du SI. - Paradoxe de SOLO. - Contribution de l’informatique à la création de valeur. - Mission de la DSI dans un monde devenu numérique. - Relations entre DSI et les Directions opérationnelles, répartition du
pouvoir. - Le Chief Digital Officer.
EchangesPerception de la DSI dans l’entreprise.
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Réf. : GOU
Durée : 3 jours
Prix HT : 2 680 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
11-13 avril13-15 juin11-13 octobre6-8 décembre
Gouvernance informatique : synthèse
Management du SI
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z Mettre en place un système de gouvernance - Principes clés et cadre d’application. - Ecosystème de la DSI et ses parties prenantes. - Maîtrise des biens informationnels : éléments à contrôler. - Système de gouvernance : organes, règles de fonctionnement,
comportement, décisions, information et surveillance. - Modéliser la DSI et son activité au sein de l’entreprise :
normes et référentiels principaux. - Aligner les pratiques sur les normes et référentiels, ‘Comply or
explain’. - Architecture d’entreprise, vers un SI du SI. - Organisation de la DSI : modèle centralisé, décentralisé,
fédéré. Règles de subsidiarité. - Rédiger et maintenir des textes, contrôler leur application.
DémonstrationApplication d’une gouvernance informatique.
Jour 2
z Stratégie technologique - Cycle de l’innovation. Obsolescence (technologique, programmée). - Veille et prospective technologique : typologie des
technologies en fonction de leur courbe de vie. - Evolution sociotechnique : trajectoires d’innovation
cyberespace, GAFAM, Big Data... - Impact sociotechnique du logiciel libre. - Offres Cloud (IaaS, PaaS, SaaS) et éclatement de la chaîne de
valeur de l’entreprise. - Nouvelles architectures : Cloud (Public, Interne, Hybride),
usage, tendance, sécurité, pilotage. - La 4ème révolution industrielle, l’industrie 4.0, la robotique, la
cobotique. - Gouvernance de l’entreprise numérique.
Etude de casOrganiser les transitions technologiques.
z Portefeuille de projets et de services - Gestion d’un portefeuille de projets. Analyser et qualifier les
projets. Priorisation. - Plan type d’un dossier préalable de projet. - Dix règles pour bien construire son Business Case. Typologies
des coûts et des gains. - Retour sur Investissement (ROI). - Méthodes financières classiques (VAN, TRI, payback-period,
EVA). - Estimation des charges de projet. Méthodes : COCOMO, points
de fonction, Delphes. - Relation entre charge totale, délai et ressources. Ratios clés. - Maîtriser la trajectoire du projet. Arrêt anticipé du projet.
- Courbe de montée en charge. Repérer les signes avant-coureurs de dérives.Etude de casMise en œuvre de la méthode des points de fonction.
Jour 3
z Maîtrise des coûts - Dynamique des coûts du SI (principaux inducteurs). - Structure type du budget et évolution dans le temps. Dépense
informatique totale de l’entreprise. - Mesure du coût de l’efficience des SI. Approches ABC, ABM. TCO. - Elaborer une stratégie de maîtrise des coûts. Mettre en place
un contrôle de gestion informatique. - Pistes de réduction des coûts. Optimisation des
infrastructures techniques. - Construire et vendre le budget informatique. - Suivre le budget. Analyser les écarts et recadrer. - Facturation interne des prestations de la DSI. - Catalogue de produits et de services de la DSI. - Développer une approche marketing et commerciale de la DSI.
EchangesElaborer une stratégie de maîtrise des coûts.
z Gestion du capital humain - Définition, lois sociologiques, gestion du changement, aspects
juridiques. - Mesurer l’efficacité des équipes. Affecter des individus aux
projets. - Définir un référentiel de compétences et des fiches de poste.
Centres de services, industrialisation des développements, externalisation. - Externalisation (outsourcing, joint-venture, etc.). - Choisir le prestataire. Conduire le processus d’externalisation.
Etude de casOffshore (enjeux, risques...).
z Démontrer la performance de la DSI - Définir et mesurer la performance. Benchmarking interne/externe. - Contrats de service ou SLA. Indicateurs pertinents. - Mesurer la satisfaction des utilisateurs (qualité perçue,
enquêtes de satisfaction, réclamations). - Communiquer les résultats auprès des parties prenantes. - Règles générales pour construire des tableaux de bord. - Tableaux de bord internes à la DSI. - Tableaux de bord à destination des directions opérationnelles. - Tableau de bord prospectif (Balanced Scorecard).
Conclusion
34 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
INTERVENANT
Alain SACQUETConsultant depuis plus de vingt ans dans l’optimisa-tion du fonctionnement des DSI, il est ingénieur de l’Ecole Centrale de Lille. Son but a toujours été de com-
prendre, par la pratique, l’ensemble des aspects de l’informatique : du développement technique à la modélisation systémique, de la direction de grands programmes auprès des responsables Etudes à la réorganisation des exploitations pour plus d’orien-tation vers les services. Il a travaillé comme di-recteur de production, mais aussi comme expert CMMi en charge d’équipes d’intégration et de qua-lification de système, à l’articulation des activités de développement et de production. Il s’est ainsi naturellement passionné depuis plusieurs années pour DevOps, nouveau cadre de ses interventions.
Publication à paraître« DevOps : Mise en œuvre et conduite du changement » aux éditions Dunod.
Comment faire travailler main dans la main les développeurs et les opérationnels en charge de l’exploitation et de la maintenance des solutions ? C’est tout l’enjeu du mouvement DevOps – contraction de « development » et « operations » –, qui vise à réconcilier ces deux mondes afin de s’assurer de la qualité et de la stabilité dans le temps d’un système et, ce, dès sa conception, dans une logique de livraison contenue. Née dans le sillage des Méthodes Agiles et Lean, cette démarche est rendue d’autant plus nécessaire que les entreprises ont pris le virage numérique. Elle nécessite toutefois un certain nombre de prérequis pour assurer son adoption. Ce séminaire précise le cadre organisationnel à mettre en œuvre au sein de la DSI.
Jour 1
z Démarche DevOps : à la recherche d’une première définition - Description de DevOps par les adeptes de DevOps. - Constat des objectifs divergents. - Origine de DevOps et sociétés de l’Internet. - La solution DevOps.
z La généalogie de DevOps : Méthodes Agiles et Lean Manufacturing - Quelques principes du Lean Manufacturing. - La fabrication de masse de l’informatique traditionnelle. - Le « juste à temps » ne s’intéresse pas à la nature des activités. - Le modèle du pièce-à-pièce : plus petit, plus vite, plus souvent. - Limitation de la demande et augmentation du débit. Les piles et le
pièce-à-pièce. - L’optimisation du flux et de la productivité. La chaîne de valeur. - La suppression des goulets d’étranglement et des gaspillages. - La diminution de la taille des lots jusqu’au pièce-à-pièce. - L’arrêt au premier défaut. - Les quatorze principes de Deming. - « Le système qui va changer le monde » de James Womack. - « Le manifeste Agile ».
DevOps : démarche et mise en œuvre
Management du SI
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Réf. : DOE
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
7-8 mars6-7 juin5-6 septembre7-8 novembre
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 35
- « Lean Software Development » des Poppendieck. - « Continuous Deployment » de Jez Humble. - « The phoenix project » de Gene KIM.
z Fonctionnement et procédés clés de la DSI DevOps - Cycle de vie de la Release. - Développement Agile de type Scrum. - Backlog et gaspillage, sprint et réactivité, Scrum Master et
management Lean. - Intégration continue : principe et outils (Jenkins, SVN, GIT). - « Les Branches sont le diable ». - L’automatisation des tests. - Déploiement continu. Modularité. Rôle des interfaces. - Industrialisation/automatisation de déploiements : outils
Capistrano, Ansible... - Cas des données, les types de packages et l’outil Liquibase. - Le « Zero Downtime Deployment ». - Le « Business Activity Monitoring ». - Infrastructure en service et provisionning des serveurs. - Puppet : administration des serveurs.
z De l’exploitabilité à la sûreté de fonctionnement - Les exigences non fonctionnelles. - Soutien Logistique Intégré et coût total de possession. - DevOps et la sûreté de fonctionnement. - Netflix et l’aptitude à survivre. - Atteindre la sûreté de fonctionnement par l’instrumentation
de la plateforme. - L’offre Cloud et l’instrumentation. - Infrastructure programmable. - Productivité et sûreté de fonctionnement : les deux piliers de
DevOps.
Jour 2
z Mouvement DevOps et DSI traditionnelles : des différences radicales - La réticence des DSI traditionnelles. - Logiciels « bons pour le service » ou « Production Ready ». - L’organisation des DSI traditionnelles. - « You build it, you run it » : une autre spécialisation de
l’organisation pour Amazon. - Mode intégré et mode taylorisé. - Deux façons de rechercher la productivité. - DevOps : un nouveau paradigme de l’informatique d’entreprise.
z Organiser une DSI traditionnelle vers DevOps - Un changement inévitable, souhaitable, possible, jusqu’où
et à quel prix ? - La révolution numérique, SaaS, Cloud et comportement des
métiers. - Faire du DevOps sans la DSI. Le shadow IT. - Une situation complexe, un déséquilibre possible.
z Quelle vision mettre au cœur du management de la transformation DevOps ? - Changements émergents versus changements top down : le
besoin d’une vision. - Détermination de la cible et DSI multimodales. - L’organisation de la DSI DevOps. L’exemple Spotify en 2014. - Redéfinition des rôles et responsabilités : quels rôles pour la
production ? - Les points délicats, les leviers du changement, la culture
DevOps. - Agile contre ITIL® ? - CALMS, la conduite de changement proposée par DevOps. - Conduite du changement au sens Lean : expérimentation plus
qu’imitation. - Faire le point sur le changement déjà engagé sur le terrain.
Limite des démarches bottom-up.
z L’architecture d’entreprise pour conduire le changement - Pourquoi l’architecture d’entreprise ? - Promesse DevOps : réactivité et sûreté de fonctionnement
pour les métiers. - Modification des responsabilités. Compétences nécessaires
et impact RH. Promotion d’une culture collaborative. - Construction de la trajectoire par application. Applications
éligibles. - Urbanisation et maîtrise des interfaces. Modularité du SI à
atteindre. - Impact sur la stratégie d’externalisation. Périmètre et
nouveaux types de contrats. - Programme d’instrumentation de la plateforme de production. - Gouvernance budgétaire : libéralisme ou colbertisme.
Réflexion collectiveSynthèse, conclusion, débats.
« Adopter DevOps, c’est un état d’esprit, une culture, pas un projet classique »
(Sanjeev Sharma, IBM)
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INTERVENANT
Daniel MAHESpécialiste des projets in-formatiques, il a, dès sa sortie de l’Université, mené des développements de logiciels dans les secteurs
de la recherche, des télécommunications et enfin de l’industrie. Puis il s’est consacré à des pro-grammes plus ambitieux de refonte complète de systèmes de management, d’aides financières et de mesures de l’environnement. Il rejoint en 2008 le cabinet PwC, en tant que Directeur Consul-ting IT, pour se concentrer sur ses domaines de prédilection : le management des grands projets et la gestion des risques Projet. A ce titre et comme membre de l’AFAI (Association Française d’Au-dit et de conseil en Informatique), il mène l’audit de grands projets et de portfolios de projets au sein de DSI de grands groupes. Il se concentre, aujourd’hui, à l’art de diriger un projet au cœur des contraintes de l’entreprise, sur sa maîtrise finan-cière et son alignement stratégique.
Délais ou budgets dépassés, fonctionnalités non tenues ou obsolètes, un projet informatique sur quatre est abandonné en cours de route (Standish Group, 2009). Diriger un projet informatique est tout sauf une sinécure. Il implique la capacité à gérer des environnements complexes et hétérogènes, et la maîtrise de techniques et outils de gestion. Basé sur les bonnes pratiques constatées et les référentiels actuels (PMI, CMMi), ce séminaire propose des réponses concrètes aux trois impératifs des projets, la maîtrise du coût, du délai et de la qualité. Il démontre également le rôle critique que joue le chef de projet en insistant sur l’importance de la communication, de la gestion du changement et du leadership dans sa mission.
Jour 1
z La direction de projet informatique - Constats, bonnes pratiques et projet reconnus. - Rôles : maîtrise d’ouvrage et maîtrise d’œuvre, chef de projet utilisateur,
chef de projet informatique. - Démarches projet : séquentiel, incrémental, évolutif. - Compétences attendues du chef de projet, les domaines de
connaissance du PMI, l’évolution du métier. - Rôle du chef de projet suivant les entreprises. - Spécificités des philosophies des projets agiles. - Niveau de maturité de l’entreprise (référentiel CMMI). - Critères de succès d’un projet : déterminer, valider et suivre sur la
durée.
z Les éléments essentiels pour le démarrage d’un projet - En amont du projet, le « business case », l’analyse de la valeur, le ROI ou
valeur ajoutée. - Lettre de mission du chef de projet ou comment asseoir sa légitimité et
son rôle. - Plan Projet : choix et mise en place des processus et des règles sur le
projet. - Comment le projet s’inscrit-il dans les normes et standards
d’entreprise ? - Déterminer les facteurs Qualité du projet, les moyens et mesures
Qualité associés.
Direction de projets informatiques :les points clés
Direction de projets
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Réf. : MAP
Durée : 3 jours
Prix HT : 2 680 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
9-11 février5-7 avril7-9 juin4-6 novembre6-8 décembre
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 37
- Adapter le plan projet à la nature du projet (développement, intégration, mise en place de progiciel, déploiement...).
z Maîtriser les délais et les risques - Définir la liste des travaux, les erreurs courantes, les règles. - Planification des travaux : règles de construction d’un PERT. - Plan de charge des équipes. Techniques d’estimation de
charge. - Estimation des coûts. - Gestion du temps sur le projet : l’ensemble des moyens et
outils de gestion adaptés. - Direction simultanée de plusieurs projets. - Identifier et évaluer l’impact des risques projet. - Prévoir un tableau de bord de maîtrise des risques.
Jour 2
z La communication Projet - Identifier les «cibles» de communication, les parties
prenantes, les acteurs impliqués, les unités opérationnelles. - Règles d’une bonne communication. Gestion du message et
des interlocuteurs. - Phases et outils de la communication Projet, le plan de
communication. - Les outils de planification pour communiquer.
z Organiser le management d’équipe - Structuration des équipes : mise en place, formation,
intégration des collaborateurs, gestion de leur départ. - Identifier les compétences individuelles et la motivation des
collaborateurs. - Affecter les travaux : définir, challenger, vérifier et valider
l’accord. - Contrôler les délais et résultats. - Créer la performance des équipes, travailler sous la pression
des délais. - Règles pour accélérer le développement de l’équipe et sa
cohésion. Prendre une décision en équipe. - Gérer les conflits et négocier, les principes et règles.
z Les enjeux du management transversal, le leadership - Diriger sans pouvoir hiérarchique. Rapports avec les
hiérarchies. - Impliquer les directions de l’entreprise sur son projet. - La direction des « contributeurs ponctuels » informatiques ou
métier, leur place dans l’équipe projet. - Savoir challenger un participant à temps partiel d’une autre
direction.
- Travailler en équipes pluridisciplinaires en tenant compte les différences « culturelles ». - Cas des projets multisites, emploi des outils de travail à
distance. Outils collaboratifs.
Jour 3
z Pilotage opérationnel du projet - Choix du mode de reporting dans les équipes. - Problématique de l’analyse des dérives, loi des 90%. - Indicateurs d’avancement projet. Estimation continue du
« Reste à Faire ». - Indicateurs financiers. L’EVM (Earned Value Management). - Tableaux de bord du chef de projet, les indicateurs à surveiller,
l’apport du BSC. - Comité Projet, comité de pilotage, réunions techniques,
revues. La gestion de crise. - Processus de gestion des évolutions, son dimensionnement,
sa mise en place. - Gestion des anomalies : règles. Optimiser les reprises et
anticiper.
z Pilotage des prestations externes - Cadre légal. - Objectifs et étapes de la réalisation, cahier des charges,
contrat, moyens de contrôle et de réception. - Suivi technique et contractuel du prestataire. - Délégation de personnel : le recours à l’assistance technique
forfaitaire. - Intégrer des collaborateurs en assistance technique.
z Conduire le changement - Analyse du changement (processus, acteurs, culture et
organisation). - Identifier leviers et résistances. La conduite du changement. - Définition d’un plan de conduite du changement. - Règles de base pour les informaticiens dans leur rapport avec
les utilisateurs.
z Bilan de projet et synthèse - Arrêter un projet « à temps » : indicateurs et règles. - Savoir transmettre aux services Production, Support ou
Maintenance. L’apport d’ITIL®. - Clôture administrative du projet. - Les bilans de projet, la capitalisation et la diffusion de
l’expérience. - Synthèse des meilleures pratiques de direction de projet
informatique.
« Il faut tenir une résolution parce qu’elle est bonne et non pas parce qu’on l’a prise »
(François de La Rochefoucauld, moraliste)
38 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
INTERVENANT
Henri PUISSANTCEO d’I-Training & Services, un cabinet de conseil, il est diplômé en management et stratégie d’entreprise, titulaire d’une maîtrise de
mathématiques. Il a participé à la mutation du Cré-dit Agricole comme DSI, puis restructuré l’informa-tique de la branche Retraite du Groupe Caisse des Dépôts. Il a dirigé la fonction Système d’Informa-tion du Groupe Caisse des Dépôts en tant que Di-recteur délégué d’Informatique CDC et conduit des politiques de sous-traitance dans des contextes sociaux difficiles. Il est spécialiste de l’organisa-tion des services informatiques, en a construit, fusionné et séparé un grand nombre. Il anime des séminaires et des formations sur la gouvernance informatique, la gouvernance d’entreprise, la pros-pective, l’architecture d’entreprise, la Qualité, COBIT, CMMI, Prince2®, ITIL®, P-CMM, eSCM … Il intervient dans la mise en place des démarches fondées sur les bonnes pratiques, l’offre de service et le système de facturation afférent, effectue des audits et diagnostics des SI et coache des chefs de projets importants.
Comment anticiper les évolutions du système d’information sans faire table rase du passé ? C’est tout l’enjeu de l’urbanisation qui vise à faire vivre le SI au gré des tendances technologiques tout en tenant compte de l’existant. Un enjeu d’autant plus essentiel que les strates se sont accumulées au gré des restructurations et des réorganisations. Il s’agit aussi de rendre son système d’information Agile et souple dans un monde numérique où tout est remis en question et au sein duquel des offres nouvelles et de nouveaux entrants apparaissent chaque jour. Outre les outils et méthodes, ce séminaire étudie, exemples à l’appui, les notions essentielles que recouvre une architecture d’entreprise pour réussir son projet d’urbanisation.
Jour 1
z Architecture, notions essentielles et problématique des SI - Point sur l’architecture des SI. Constats et promesses. - Architecture et maîtrise des concepts : taxonomies, terminologies,
ontologies. Rôle et importance des normes. - Systèmes d’information, finalités : création de valeur, agilité. - Liens entre les concepts : architecture, qualité des systèmes
d’information et valeur. - De l’architecture des SI à l’architecture d’entreprise. - Des patterns architecturaux. - Problématique des SI : complexité, changements, gestion du savoir,
ontologies métiers, entreprise numérique.EchangesLes notions essentielles d’une architecture SI à l’ère du numérique.
z L’architecture d’entreprise, une réponse à cette problématique - Approches françaises et anglo-saxonnes. Urbanisation (Sassoon,
Longépé), BSP (IBM), taxonomies de plans (Zachman). - Objectifs et principes généraux de l’architecture d’entreprise. - Compétences, missions, formations, certifications de l’architecte
d’entreprise.
Urbanisation et architecture des systèmes d’information
Airchitecture et urbanisation des SI
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Réf. : RBA
Durée : 3 jours
Prix HT : 2 680 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
22-24 mars20-22 juin4-6 octobre13-15 décembre
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 39
- Livrables attendus, indicateurs de performance. Les Méthodes Agiles (Scrum, RUP) et le rôle de l’architecte. - Référentiels : urbanisation des SI, TOGAF et ses dérivés (FEA,
DODAF, MODAF, NAF). - Normalisation internationale, ISO 42010 : objectifs et
exigences. - Le nouveau paradigme : le service et les architectures de
services (SOA, ITIL®, ISO 20000). - Les briques de base de la SOA et l’ontologie OASIS. - Evaluation des référentiels : vers une Blended Method. - Certifier son architecture. Architecture et maturité des
entreprises. Offre d’urbanisation.EchangesLa nécessité d’intégration de l’architecture SI à l’architecture d’entreprise.
Jour 2
z Méthodes et outils - Les principes et différentes approches. - Approche analytique et systémique : apports et limites.
Approche systémique comme méthode privilégiée de l’urbaniste. - Modèles et modélisation : rapport entre modèle et langage,
grandes étapes du processus. - Modèles, abstractions, représentations (diagrammes, boîtes,
graphes), des modèles canoniques. - Systémique géographique et cartographie des SI : les règles
et les meilleures pratiques d’expert. - Patterns et fonds de cartes : pattern longépéen, pattern SOA. - Perspectives en matière de représentation des SI (surface
tactile, univers virtuel, superviseur). - Elaboration d’un langage de modélisation : composition
d’ontologies, méta-modèle, langages idéographiques... - Modèles sectoriels et solutions standard (eTOM, IAA, ERP, Core
Banking). - Méthodes d’élaboration des architectures (ADM, Longépé,
URBA/EA, Praxeme), peuplement des CMDB (TADDM).DémonstrationExemples d’architectures longépéennes et/ou dérivées de TOGAF®.
z L’architecture illustrée couche par couche - Comprendre l’écosystème sociologique et business (digital
natives, cybersphère). - Saisir les avancées conceptuelles et technologiques.
- L’évolution du traitement des informations : Noosphère (MDM, EAI, ESB, BIG DATA). - L’évolution des processus métiers, des services et des
infrastructures (SOA, BAM, SAM, PBM, Cloud). - Points de vue et vues illustrés : direction générale, marketing,
BU, Data, techniques. - Techniques de construction et de mise en cohérence. - Modélisation de l’environnement stratégique (Porter).
Captation stratégique et tactique (SWOT, CFS, KPI). - Modélisation de l’entreprise (Porter, Hamel et Prahalad). - Représentations du monde réel (MCD, objets, objets
connectés, flux). - Modélisation de l’effort : processus et services (BPMN, SOA). - Représentation de l’infrastructure (Supervision, Openview,
Tivoli) CMDB (Taddm).EchangesLes particularités de chaque couche d’une architecture SI.
Jour 3
z L’architecture, un outil essentiel pour la gouvernance - Définition de la gouvernance et de la problématique afférente. - L’architecture, un outil essentiel pour assurer la sécurité et la
gouvernance de l’entreprise. - L’architecture et les contraintes règlementaires aux US et en
France. - L’architecture au sein des normes et référentiels de
gouvernance (COBIT, ITIL®, ISO 20000). - L’architecture et la conduite de projet : importance des PBS
et du management multiprojet.DémonstrationLa contribution de l’architecture SI à la gouvernance SI.
z Réussir son projet d’architecture - Principaux risques et facteurs clés de succès. - L’organisation de la coévolution SI et Entreprise (Sponsor,
Architecture Board, RACI). - Le choix des outils constitutifs d’une Blended Method et d’un
repository. - Les outils de modélisation (panorama, enjeux, bénéfices et
limites). - Le plan de mise en œuvre.
« C’est l’urbanisation qui permettra à l’entreprise de piloter la transformation continue de son système d’information »
(Gérard Blanc, GBAconseil)
40 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
INTERVENANT
Jean-François GALANOIl anime et conçoit de-puis plus de vingt ans des conférences et des sémi-naires dans le domaine des
nouvelles technologies, du e-commerce et de la stratégie digitale pour les plus grands organismes de formation en France, des grands comptes du privé et du public, et des universités et écoles d’ingénieurs. Il accompagne des grands comptes et des PME dans leur stratégie digitale et dans l’optimisation de leurs IHM, en particulier pour intégrer le Responsive Design et les applications mobiles dans leur développement sur le Web. Il in-tervient dans le cadre de projets basés sur des ar-chitectures innovantes, pour des projets intranet, Internet, d’intégration et mobiles. Il assiste des Directions générales et des DSI sur leurs choix en termes de stratégies d’évolution de SI, d’architec-ture technique et de positionnement de solutions innovantes.
De la SOA au Cloud Computing en passant par les environnements mobiles, le système d’information de l’entreprise a connu de grandes transformations depuis une quinzaine d’années. Faire évoluer l’architecture technique est devenu un enjeu majeur pour tous les DSI. Ces derniers doivent pouvoir s’appuyer sur des architectures robustes et évolutives afin de répondre aux nouveaux besoins des métiers et des utilisateurs tout en préservant le patrimoine informationnel. Ce séminaire dresse un panorama synthétique et pragmatique des nouvelles architectures et des process d’urbanisation du système d’information. Le temps d’appropriation des grands sauts technologiques étant de huit à dix ans en moyenne, il s’agit de le réduire en gardant la main sur son architecture technique.
Jour 1
z Introduction aux architectures SI et principes d’urbanisation du SI - Historique du marché, positionnement des acteurs. - L’architecture technique aujourd’hui, rôles, enjeux. - Qu’est-ce que l’urbanisation ? La cartographie de l’existant. Définir le SI
cible. - Qui sont les acteurs ? Quelle durée ? Quels sont les livrables ? - Quelle structure de pilotage ? Quelle approche ? Maturité, intégration,
coûts, risques. Retours terrain. - Plan de convergence : virage culturel pour l’entreprise et la DSI.
z Architectures Web : les fondamentaux - Les technologies Web. Naissance du réseau, héritage technique,
apports des architectures et contraintes fonctionnelles. - TCP/IP, HTTP/HTTPS, HTML5, CSS3, JavaScript. - Les fondamentaux. Les architectures : du serveur centralisé aux
architectures n-tiers. - Le client, les serveurs d’applications, le mode connecté et déconnecté. - Les notions de contexte, transaction, middleware, composants, objets. - Où en est l’architecture Java EE aujourd’hui ? Et demain ? - Présentation de l’architecture .NET. - L’alternative Open Source : la philosophie, les bénéfices, les risques. La
plateforme PHP.EchangesLe choix d’une stratégie Open Source.
Nouvelles architectures des systèmes d’information
Airchitecture et urbanisation des SI
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : AEB
Durée : 3 jours
Prix HT : 2 680 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
15-17 mars7-9 juin27-29 septembre22-24 novembre
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z Architectures orientées intégration - Pourquoi les problématiques d’intégration sont-elles d’ordre
plus organisationnel et fonctionnel que technique ? - Principes d’un EAI (Enterprise Application Integration). - L’architecture d’un EAI (Workflow, BPM, messaging,
connecteurs, etc.). - L’asynchronisme comme principe d’architecture. - ETL, au delà du décisionnel ! - Les outils du marché, l’offre des grands éditeurs et des
spécialistes.EchangesLe rôle de l’ETL.
Jour 2
z Architectures orientées service (SOA) - Qu’est-ce qu’un service ? - Différences entre gestionnaires et courtiers. Orchestration de
services. Aspects transactionnels. - Le couplage lâche et ses quatre dimensions. - Sécurité, supervision et maintenance. - Les ESB (Enterprise Service Bus) : une convergence SOA ?
EAI, un modèle d’architecture durable ? - Les Web Services. Concept et standards associés (SOAP,
WSDL, WS-*). - Développer et déployer des Web Services. - L’incontournable format Pivot dans un projet d’intégration. - Positionnement des principaux acteurs du marché.
EchangesLa problématique de la définition des services.
z Architectures Cloud - Cloud (SaaS, PaaS, IaaS), la virtualisation... - La vision SaaS (Software as a Service) : des architectures
pour le service au client. - Le Cloud : les modèles des principaux acteurs : Amazon,
Microsoft, Google, OVH, etc. Quels bénéfices ? - Atout majeur : la scalabilité. - Le succès du SaaS pour le CRM et le collaboratif. - Impact sur le déploiement. Impacts organisationnels. - Performance : Backend, Frontend, CDN...
EchangesComment faire le choix d’une stratégie Cloud.
z Architecture orientée données - La BI « classique », le décisionnel batch. - Architecture d’un entrepôt de données, extraction,
transformation, alimentation.
- Les enjeux des datamart pour les utilisateurs. - Les technologies décisionnelles. - Concept du Big Data. - Les technologies Big Data, l’architecture technique et
fonctionnelle de la collecte à la restitution. - Les bases NoSQL, de nouveaux paradigmes impactant la
culture des équipes. - Le data analyst.
EchangesLes nouvelles évolutions de la demande.
Jour 3
z Entreprise Content Management et portail - Le Web 2.0 et les nouvelles IHM. Définition, impact sur les
applications et les demandes utilisateur. - Les technologies Web 2.0 avec HTML5 et leurs retombées sur
les applications Web. - Les applications mobiles natives. - Les enjeux de la gestion de contenu. - Les offres : Sharepoint, Alfresco... - Apports de la personnalisation. - Gestion de la connaissance (Knowledge Management). - Portail d’intégration : rassembler les sources de données et
les diffuser à travers une interface unifiée. - Problématiques techniques. Architecture technique. - Le projet moteur de recherche. - Les outils du marché : IBM WebSphere Portal, Oracle, MS
SharePoint Server, Liferay...EchangesLe ROI du portail d’entreprise.
z Terminaux mobiles - Acteurs et marché. - Combien de plates-formes privilégier ? - Systèmes d’exploitation et supports. - Technologies, développement natif versus Framework. - Usages, équipements, réseaux, tendances. - Les types d’applications : natives, Web et hybrides.
EchangesApplication native ou application Web ?
z Conclusion - Comment réduire le temps d’adoption ? - Les facteurs de succès en termes d’architecture technique. - Evolutions attendues. - Comment organiser sa veille technologique ?
42 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
INTERVENANT
Laurent NELFondateur et dirigeant de la société Leuville Objects, so-ciété spécialisée en conseil et en recherche et dévelop-pement en nouvelles tech-nologies et architectures
logicielles, il est diplômé de l’Institut National Polytechnique de Lorraine. Il a d’abord été ingé-nieur, puis responsable technique dans un centre de recherche et développement d’Alstom, puis consultant sénior chez Valtech. Il assure à présent différentes missions d’architecte et expert tech-nique, et participe à de nombreux travaux de R&D, y compris sous la forme de publications scienti-fiques internationales. Il est également Maître de conférences associé de l’école d’ingénieurs Poly-tech Paris-Sud, où il dispense des enseignements liés aux nouvelles architectures logicielles.
Les architectures orientées services (SOA) répondent à la promesse de disposer d’un système d’information plus souple et moins coûteux. En décomposant les fonctionnalités en services correspondant aux processus métiers de l’entreprise, il s’agit de passer d’une informatique hétérogène, pliant sous le poids de l’existant, en une informatique homogène alignée sur les enjeux business. Un terrain qui prépare aux défis du Cloud ou du Big Data. Quel est le degré de maturité SOA de votre organisation ? Est-elle armée pour relever les défis engendrés par le passage d’une SOA technique à une SOA fonctionnelle dont le cadre échappe à la seule DSI ? Ce séminaire présente les enjeux organisationnels, fonctionnels et techniques de la SOA, en lien avec les Web Services, ainsi qu’un panorama des meilleures pratiques.
Jour 1
z Introduction : pourquoi l’approche SOA ? - Les enjeux pour l’entreprise. - Les architectures multiniveaux et les composants métiers : limites de
l’interopérabilité des middlewares classiques. - Services Web et interopérabilité des SI. - Des composants aux architectures orientées services (SOA) : limites de
la gestion par projet du SI. - Introduction aux services, contrats de service, orchestration de service,
bus de services d’entreprise (ESB)... - Gains : alignement du SI sur les processus métier, réduction des coûts,
normalisation, réutilisation, interopérabilité.
z Présentation d’une architecture SOA - Composants et couches d’une architecture SOA. - Service d’accès aux données, gestion des transactions. - Gestion des processus, interaction utilisateur (portail...), sécurité,
administration, supervision... - Le Web Oriented Architecture (WOA) et les architectures à base de
micro-services. - Le principe de couplage faible entre fournisseur et consommateur de
service.
SOA, architecture orientée services : synthèse
Airchitecture et urbanisation des SI
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : SAO
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
7-8 avril16-17 juin6-7 octobre1-2 décembre
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 43
z Services et processus - Le concept de service. - Exposition de service, couplage faible, synchronisme versus
asynchronisme. - Fournisseur et consommateur de services, contrat de service,
typologie des services (métier, technique...). - Différences entre services et composants, spécification de la
qualité de service. - Composant applicatifs métiers. - Unité d’exploitation dans les SOA, implémentation des
contrats, dépendances entre composants et orchestration. - Mise en correspondance processus métiers/services. - L’alignement du SI sur les processus métier : l’importance de
la modélisation des processus par les métiers. - Le standard de modélisation BPMN de l’OMG. - Positionnement par rapport au BPM. - Passer d’un modèle de processus métier à un service.
z Aspects techniques - Mise en œuvre de Web Services (Java EE, .NET, PHP...). - Les fondations XML. - Schéma XML pour l’interopérabilité et la description des
données applicatives. - Description des services avec WSDL et invocation avec SOAP. - Approche RESTfull. - Rechercher et publier des services (annuaires). - Design Patterns liés aux Services Web. - Lien entre SOA et EAI. - Middlewares Orientés Messages (MOM). - Enterprise Service Bus : notion d’ESB, ESB vs SOA. Le point
sur les standards. - Orchestration de services Web et intégration de processus
métiers (BPM, BPEL...). - Les standards et leur niveau d’implémentation : OMG, W3C,
OASIS, WS-I... - Sécurité et Services Web (WS-Security), gestion des
transactions (WS-Coordination). - Délivrance des messages (WS-ReliableMessaging),
interopérabilité et identification des messages (WS-Addressing). - Liens avec les autres composants du SI et les technologies
émergentes : Cloud, mobilité, Big Data.
Jour 2
z Modèles de conception et d’architecture SOA - La SOA vue comme un modèle d’intégration et les patterns
EIP (Enterprise Integration Patterns). - Les patterns SOA. - Les tentatives d’approches normalisées SCA et SDO.
- Peut-on concevoir une architecture SOA avec REST ? - La question de l’orchestration et la place de BPEL, BPMN et
des technologies de développement traditionnelles.
z La gouvernance d’un SI SOA - Les spécificités induites par le modèle SOA sur l’organisation. - Organiser la mise en place initiale et la réutilisation avec un
centre d’excellence SOA. - Les rôles clés : directeur métier, directeur technique,
architecte de domaine, architecte technique. - Les activités types de la gouvernance : gérer une candidature
de service, sa mise en place et ses évolutions. - Passer de la mise en place d’un service sur demande à
l’anticipation des besoins. - Comment rester Agile avec ce qui semble être un modèle
extrêmement centralisé ? - Les pièges et les erreurs à éviter.
z Démarche méthodologique de conception SOA - Les liens entre SOA et l’approche Objet. - Les méthodes disponibles sur le marché : UP, EUP, TOGAF®,
NAF, Praxeme... - Cycle de vie d’un projet SOA : vision stratégique et processus
organisationnel. - Métaphore de l’urbanisation et niveaux d’agrégation. - Modèle conceptuel d’un SOA. - La modélisation des services au sein de l’architecture
applicative avec UML. - Le passage du processus organisationnel aux services
métiers, des services métiers aux services applicatifs. - L’approche MDA de l’OMG.
z Les acteurs et produits du marché - Typologie des produits existants. - Les Enterprise Service Bus (ESB). - Les plates-formes EAI pour les nouvelles fonctionnalités Web
Services (Tibco, WebMethods...). - Les orchestrateurs SOA, les couches hautes pour les
annuaires, l’orchestration, l’administration. - Les fournisseurs de plates-formes (IBM, BEA, Oracle...). - Les acteurs du Cloud (Amazon, Google...). - Les modeleurs BPMN et leurs possibilités d’orchestration. - Les outils de supervision (métier et technique) et les
solutions d’administration. - L’offre et les projets Open Source : Apache ServiceMix/FUSE,
Mule, Celtix, Synapse...
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INTERVENANT
Guy CHESNOTResponsable avant-vente stockage et Big Data chez Silicon Graphics, c’est un ancien élève de l’École Poly-
technique et de Télécom ParisTech. Il se consacre à l’étude et à la préconisation des architectures de stockage (à ce titre, il est régulièrement cité dans des articles de presse), des grands projets de calcul intensif, des infrastructures d’analyse de données et des centres de données. Il était aupara-vant chez Cray Research. Il a également enseigné l’architecture des ordinateurs, la conception des systèmes d’exploitation, le stockage de données et le parallélisme à l’université de Marne-la-Vallée, en 2ème et 3ème cycles. Il donne des conférences sur les principes et les aspects techniques du Big Data depuis 2009, et préconise des architectures matérielles et logicielles dans le cadre d’analyses avancées de données numériques.
Publications chez Vuibert Informatique Logiciels de stockage de données (2001)Solutions Informatiques pour la Vidéo (2007)Cloud computing, big data, parallélisme, Hadoop – stockage de données du futur (2013, nominé en 2014 au Prix du livre informatique francophone).
Selon IBM, la planète génère, chaque jour, 2,5 trillions d’octets de données. Entre les données structurées et les informations tirées des réseaux sociaux, 90% des données actuelles ont été créées au cours des deux dernières années. Les technologies du big data se proposent d’analyser cette avalanche de données, structurées ou non, pour prévenir les pannes, détecter les anomalies, anticiper les besoins des consommateurs mais aussi créer des produits et services « disruptifs ». Ce séminaire de deux jours passe en revue les différentes méthodes utilisées pour enregistrer les données, les stocker, y accéder en temps réel, ainsi que les nouvelles méthodes d’analyse. Des exemples concrets illustrent également les différents cas d’usage du Big Data.
Jour 1
z Introduction - Les origines du Big Data : un monde de données numériques, l’e-santé,
chronologie. - Une définition par les quatre V : la provenance des données. - Une rupture : changements de quantité, de qualité, d’habitudes. - La valeur de la donnée : un changement d’importance. - La donnée en tant que matière première. - Le quatrième paradigme de la découverte scientifique.
z Big Data : traitements, depuis l’acquisition jusqu’au résultat - L’enchaînement des opérations. L’acquisition. - Le recueil des données : crawling, scraping. - La gestion de flux événementiel (Complex Event Processing, CEP). - L’indexation du flux entrant. - L’intégration avec les anciennes données. - La qualité des données : un cinquième V ? - Les différents types de traitement : recherche, apprentissage (machine
learning, transactionnel, data mining). - D’autres modèles d’enchaînement : Amazon, e-santé. - Un ou plusieurs gisements de données ? De Hadoop à l’in-memory. - De l’analyse de tonalité à la découverte de connaissances.
Big Data : synthèse
Big Data et Business Intelligence
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : BGA
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
24-25 mars23-24 juin22-23 septembre15-16 décembre
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 45
z Relations entre Cloud et Big Data - Le modèle d’architecture des Clouds publics et privés. - Les services XaaS. - Les objectifs et avantages des architectures Cloud. - Les infrastructures. - Les égalités et les différences entre Cloud et Big Data. - Les Clouds de stockage. - Classification, sécurité et confidentialité des données. - La structure comme critère de classification : non structurée,
structurée, semi-structurée. - Classification selon le cycle de vie : données temporaires ou
permanentes, archives actives. - Difficultés en matière de sécurité : augmentation des
volumétries, la distribution. - Les solutions potentielles.
z Introduction à l’Open Data - La philosophie des données ouvertes et les objectifs. - La libération des données publiques. - Les difficultés de la mise en œuvre. - Les caractéristiques essentielles des données ouvertes. - Les domaines d’application. Les bénéfices escomptés.
z Matériel pour les architectures de stockage - Les serveurs, disques, réseau et l’usage des disques SSD,
l’importance de l’infrastructure réseau. - Les architectures Cloud et les architectures plus
traditionnelles. - Les avantages et les difficultés. - Le TCO. La consommation électrique : serveurs (IPNM),
disques (MAID). - Le stockage objet : principe et avantages. - Le stockage objet par rapport aux stockages traditionnels
NAS et SAN. - L’architecture logicielle. - Niveaux d’implantation de la gestion du stockage. - Le « Software Defined Storage ». - Architecture centralisée (Hadoop File System). - L’architecture Peer-to-Peer et l’architecture mixte. - Les interfaces et connecteurs : S3, CDMI, FUSE, etc. - Avenir des autres stockages (NAS, SAN) par rapport au
stockage objet.
Jour 2
z Protection des données - La conservation dans le temps face aux accroissements de
volumétrie. - La sauvegarde, en ligne ou locale ? - L’archive traditionnelle et l’archive active. - Les liens avec la gestion de hiérarchie de stockage : avenir
des bandes magnétiques. - La réplication multisites. - La dégradation des supports de stockage.
z Méthodes de traitement et champs d’application - Classification des méthodes d’analyse selon le volume des
données et la puissance des traitements. - Hadoop : le modèle de traitement Map Reduce. - L’écosystème Hadoop : Hive, Pig. Les difficultés d’Hadoop. - Openstack et le gestionnaire de données Ceph. - Le Complex Event Processing : un exemple ? Storm. - Du BI au Big Data. - Le décisionnel et le transactionnel renouvelés : les bases de
données NoSQL.Typologie et exemples. - L’ingestion de données et l’indexation. Deux exemples : splunk
et Logstash. - Les crawlers open source. - Recherche et analyse : elasticsearch. - L’apprentissage : Mahout. In-memory. - Visualisation : temps réel ou non, sur le Cloud (Bime),
comparaison Qlikview, Tibco Spotfire, Tableau. - Une architecture générale du data mining via le Big Data.
z Cas d’usage à travers des exemples et conclusion - L’anticipation : besoins des utilisateurs dans les entreprises,
maintenance des équipements. - La sécurité : des personnes, détection de fraude (postale,
taxes), le réseau. - La recommandation. Analyses marketing et analyses d’impact. - Analyses de parcours. Distribution de contenu vidéo. - Big Data pour l’industrie automobile ? Pour l’industrie
pétrolière ? - Faut-il se lancer dans un projet Big Data ? - Quel avenir pour les données ? - Gouvernance du stockage des données : rôle et
recommandations, le data scientist, les compétences d’un projet Big Data.
« Google crée tous les deux jours autant d’informations qu’il en a été créé depuis l’aube de l’humanité jusqu’en 2003 »
(Eric Schmidt, Google)
46 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
INTERVENANT
Pascal MUCKENHIRNExpert de la Business Intelligence, consultant en systèmes d’information depuis plus de vingt ans, spécialiste des migrations
de SI Décisionnel (SID), il aide aujourd’hui les entreprises à intégrer le Big Data dans le SID pour profiter des opportunités tout en maîtrisant les coûts. Il est à l’origine de la mise en place récente de SID mélangeant bases de données classiques et NoSQL. Il est l’un des rares spécialistes français à avoir une double expérience d’exploitation métier et de construction des SID dans des secteurs variés, expertise qu’il met au service de l’animation de séminaires et de formations depuis plus de quinze ans.
PublicationsLes systèmes décisionnels. Expériences et perspectives, Hermès, 2008.Business Intelligence. Exploration, corrélation, pilotage sans limite, Hermès, 2013.
80% des dirigeants attribuent une importance stratégique à l’extraction de la valeur de l’information par le datamining et l’analyse. Pour autant, 43% des entreprises sondées déclarent ne dégager que peu d’avantages concrets de ses informations (PwC, 2015). Pour tirer pleinement profit du levier de croissance que représentent les données, les entreprises doivent s’approprier les nouvelles technologies liées au Big Data. Ce séminaire de trois jours dresse un état des lieux des outils et des infrastructures décisionnels, propriétaires ou open source, avec notamment un focus sur Hadoop et NoSQL. Il détaille aussi l’organisation à mettre en œuvre pour bâtir un système d’information décisionnel (SID) et créer de la valeur ajoutée de l’analyse des données.
Jour 1
z Finalité et principes des SID - Positionnement du SID par rapport au SIO (Système d’Information
Opérationnel). - Tendances et évolutions primordiales du décisionnel. Data Lake,
promesse et réalité. - Les nouveaux enjeux : valorisation de l’information, corrélation rapide.
Les besoins des directions générales. - L’architecture d’organisation des données. - Les choix stratégiques d’architecture : fonctionnelle et technique. - Le rôle fondamental de la modélisation des informations et sa réussite.
z Démarche de conception du SID - La typologie des demandes sur un SID. - Déterminer le processus de conception adapté aux besoins exprimés et
aux différentes restitutions à produire. - Comment passer de datamarts en silo à un système décisionnel
partagé ? - Cohérence des modèles en étoile : multidimensionnel et relationnel.
Analyse en mémoire contre modèle en étoile. - Différence entre l’analyse multidimensionnelle et prédictive. - Modèle en vecteur pour l’analyse du comportement client (ou autre). - Impacts du NoSQL sur les modèles existants. - Eviter le foisonnement d’agrégats et d’indicateurs en réutilisant les
développements.Etude de casProposer une démarche de conception à partir de besoins d’analyse exprimés.
Systèmes décisionnels : démarche et solutions
Big Data et Business Intelligence
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Réf. : SID
Durée : 3 jours
Prix HT : 2 680 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
5-7 avril21-23 juin27-29 septembre29 nov-1 décembre
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 47
z Construire les référentiels - Comment faciliter l’accès aux informations ? Réconcilier MOA,
MOE autour du référentiel. - Construire le référentiel d’entreprise. Les dimensions
d’analyse et les indicateurs partageables. - Construire une architecture couvrant toutes les étapes, du
pilotage à l’analyse des comportements. - Construire les dictionnaires pour le SID, utiliser les
métadonnées pour gérer la cohérence.Etude de casDéploiement des méthodes proposées sur des exemples.
Jour 2
z Optimiser l’accès aux données - Comment répondre aux besoins et définir les réponses
informatiques optimales ? - Le multidimensionnel, ROLAP, MOLAP ou Hybride : les critères
de choix, les évolutions futures. - Résoudre les problèmes de volumétrie. - Couvrir un besoin avec plusieurs cubes multidimensionnels. - Gérer la montée en puissance de la solution
multidimensionnelle. - Appliquer une normalisation décisionnelle à vos modèles en
étoile.
z Mesurer les performances du SID - Comment mettre le SID en adéquation avec la stratégie de
l’entreprise ? - Process décisionnels et urbanisation du SID pour éviter trop
de traitements et des couches sémantiques surchargées. - Identifier les zones éligibles au Cloud Computing. - Définir les critères d’efficacité d’un SID. - Quantifier la valeur ajoutée du décisionnel. Mesurer la
performance du SID.
z Mise en production et fiabilisation d’un SID - Avoir la vision complète de son décisionnel. - Construire un plan de production informatique pour son SID. - Check-list des recommandations. - Industrialiser des cubes multidimensionnels. - Comment garantir la fiabilité des données et des
informations ? - Mettre en place le processus de la gestion de la qualité. - Définir les contrôles qualité minimum. Définir le phasing des
contrôles.
z Etat de l’art des outils décisionnels - Panorama des suites décisionnelles : SAS, Microsoft suite BI,
SAP Business Objects... - Intégration d’un ETL. Outils multidimensionnels. Déploiement
Web. - Les outils Open Source : Pentaho, Jaspersoft... - Analytique temps réel. Big Data intégré au SID. BD NoSQL.
Analyse en mémoire. Exemple QlikView. - Positionnement de l’écosystème HADOOP dans l’analyse du
comportement client. - Comment intégrer les nouvelles architectures dans le SID
existant ? - Basculer le SID sur une BD NoSQL ou intégrer les approches ? - Combiner une solution Agile de data-discovery et des
capacités d’industrialisation de la BI.
Jour 3
z Opportunité et création de valeur pour l’entreprise - Comment évaluer la valeur ajoutée pour l’entreprise ? - Gérer son portefeuille de projets. Quel projet pilote choisir ? - Prioriser vos projets décisionnels. Critères de lotissement
d’un projet décisionnel. - Les spécificités de la recette d’un projet décisionnel en
particulier pour le multidimensionnel. - Les techniques d’analyse de besoin en décisionnel, les pièges
à éviter. - Comment évaluer la complexité, la maturité des besoins ? - Comment conduire le passage de l’infocentre, du décisionnel
éparpillé au SID ?
z Organisation d’un projet SID - Les différents acteurs et leurs rôles respectifs. La relation
MOA-MOE. - Positionner le décisionnel au sein de l’entreprise. Organiser la
gouvernance. - L’organisation pour exploiter son SID : centralisée ou
décentralisée ? - Coordonner l’exploitation interfonctionnelle des données en
cohérence avec les objectifs métier. - Préserver l’autonomie des utilisateurs. Gérer la réactivité. - Administrer les différents composants du système
d’information décisionnel. - Organiser un centre de compétences décisionnelles. Faire du
décisionnel un centre de valeur.
« Vous pouvez avoir des données sans informations, mais vous ne pouvez pas avoir d’informations sans données »
(Daniel Keys Moran, auteur, programmeur)
48 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
INTERVENANT
Cédric JACQUESDirecteur Conseil et assistance MOA et formateur indépendant, il a, en plus d’une formation acadé-mique et des meilleures pratiques de direction de projets, enrichi sa formation de ses expériences opérationnelles de direction de projets complexes. Il pratique le conseil en management depuis plus de dix ans dans les secteurs de l’assurance, l’énergie, l’automobile, la distribution, l’immobilier, le transport et les télécommunications. Au-delà de ses expertises sectorielles, fonctionnelles et méthodologiques, il a développé des capacités à mobiliser et fédérer des équipes autour de projets complexes, à aiguiser son sens des organisations et son esprit d’analyse, à faire preuve de créativité et de pragmatisme et à transmettre, à expliquer simplement les sujets complexes. Il capitalise sur les expériences, veille sur les meilleures pratiques pour mieux prendre du recul et les adapter aux contextes et à la culture de ses clients. Il s’investit dans l’association HEC Paris et donne ponctuelle-ment des formations ou retours d’expérience au sein de grandes écoles et organismes de forma-tion (HEC Paris, Centrale Paris, Orsys).
Chaque jour, des millions d’internautes partagent leurs expériences, donnent leur avis sur les produits et les marques au travers des différents médias sociaux. Une entreprise se doit d’intégrer ces échanges entre une marque et ses consommateurs afin de construire une relation client plus personnalisée et pertinente. Les outils de social data analytics viennent aider les services client et marketing à analyser et valoriser ces données non structurées issues de médias variés (photos, vidéos, forums, blogs). Ce séminaire donne les clés pour mener une approche de « Social Business » en ligne avec les objectifs stratégiques de l’entreprise et construire les bons indicateurs.
Jour 1
z Comprendre les enjeux du Social Business - Définition du Social media et de ses usages. - Compréhension et définition des médias sociaux, Social CRM, Social
Analytics. - Social media, ou l’empowerment du consommateur. - Panoramas et chiffres clés du Social Business dans le monde et en
France. - Evolutions et impacts sur le Social Business. - Analyse du contexte : de la relation à l’interaction Web via des
technologies complexes. - Le Paid Media, le Owned media, le Earned media, définitions et
bénéfices. - Typologies d’usages du Social Business dans les entreprises. - Les applications du Social Business au Marketing, aux RH, R&D,
Innovations et ventes. - Les enjeux du Social Business : image, trafic, conversion et fidélisation.
Les enjeux de son pilotage. - Le social media, un risque à anticiper.
Social Media Analytics : stratégie et usages
Big Data et Business Intelligence
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : BIM
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
3-4 mars2-3 juin29-30 septembre15-16 décembre
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 49
z Cadrer la stratégie de Business Intelligence pour le Social Business - Les facteurs clés du succès de la Business Intelligence pour
le Social Business. - Les principaux risques à éviter sur les objectifs, l’apport de
valeur, l’organisation, les impacts IT, l’implication. - Les principales étapes et la méthodologie. Questions clés et
facteurs de réussite. - Diagnostiquer la maturité dans l’entreprise et le changement. - Les questions clés pour établir un diagnostic, les différents
stades de maturité. - Identifier les freins à l’adoption d’une stratégie Social
Business. - Définir les objectifs métiers et les usages cibles, lier les
objectifs du Social Business aux objectifs Business. - Exemple d’une roadmap Social Business. - Piloter la stratégie et mettre en place une organisation
adaptée. Les différents modes d’organisation. - Zoom sur les équipes consacrées aux médias sociaux. - Construire un plan de veille technologique, objectifs et bonnes
pratiques. - Benchmark des solutions du marché, les bonnes questions à
se poser. - Respecter la réglementation (vie privée, CNIL). Les données
personnelles et les réseaux sociaux.
Jour 2
z Mettre en œuvre la stratégie BI pour le Social Business - Définir la tactique en mode intégré ou spécifique. - Vue d’ensemble de l’approche intégrée. - Panorama des solutions du marché (outils de Social Media
Management, de Social CRM). - Vue d’ensemble de l’approche spécifique, de ses avantages et
des contraintes. - Panorama des technologies : représentation d’une plateforme
Big Data, outils de Data Visualization (DataViz). - Etablir la méthode de benchmark des solutions. - Comparaison des deux approches. Analyse des avantages et
inconvénients de chaque méthode. - Mettre en œuvre de manière Agile l’approche retenue. Mise en
œuvre d’un Proof of Concept, de l’idée à l’action. - Zoom sur la conduite du changement. Principes, règles et
actions du changement. - Maintenir et optimiser la stratégie. Bonnes pratiques globales
et points spécifiques à chaque méthode.
z Cas concret d’usage de KPI et tableaux de bord Social Business - Pourquoi mettre en place des indicateurs de performance ?
Les différents indicateurs (de résultat, de performance...). - Mesurer l’e-réputation et la notoriété de sa marque. Une
frontière qui s’amenuise entre réputation et e-réputation. - Les indicateurs de mesure de l’e-réputation : mentions,
analyse sentimentale, reach/exposition, Share of Voice (SOV). - Comment mesurer les différents indicateurs et quand les
utiliser ? - Mesurer le ROI des influenceurs et l’efficacité des
programmes Social Business. - Les influenceurs, qui sont-ils ? Leurs différentes catégories.
Comment bien les choisir ? Quelle stratégie adopter ? - Audience Growth rate, engagement, partage, influence. Un
exemple de calcul du ROI des réseaux sociaux. - Optimiser le ROI des campagnes marketing, facteurs à
prendre en compte et bonnes pratiques. - Identifier l’apport de valeur ajoutée des différents canaux
digitaux. Les plateformes sociales préférées des marketeurs. - Mesurer l’impact des médias sociaux sur le cycle et le
processus de vente des produits ou services. - Mesurer l’expérience et la satisfaction client, optimiser le
parcours client.
z Synthèse et compléments - Opportunités du social media. - Perspectives pour demain. - Pour aller plus loin.
50 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
INTERVENANT
Nicolas FONROSEFondateur de la startup Teevity qui opère le service « Teevity Cloud Costs Analy-tics », une solution SaaS de gestion et d’optimisation
des dépenses liées à l’utilisation des solutions Cloud Computing AWS, Azure et Google Cloud de-puis 2012. Il intervenait auparavant en tant que consultant auprès de sociétés en France et en Europe pour les aider à utiliser des Clouds publics (AWS et Google Cloud principalement), notamment chez des éditeurs pour les accompagner d’un point de vue technique dans la création de leurs offres SaaS sur ces plateformes, ou dans des entreprises pour les aider à utiliser les capacités d’automati-sation de ces Clouds dans le cadre de la migration de leur IT interne. Il anime très régulièrement des séminaires publics sur le Cloud Computing. Il a aussi travaillé pendant plus de dix ans en tant que consultant sur des systèmes à architecture dis-tribuée en France et à l’étranger et est intervenu dans des conférences dans différents pays.
Après un retard à l’allumage, les entreprises françaises montent dans le nuage. 36 % des sociétés de plus de 250 personnes ont adopté le cloud computing, soit autant que la moyenne européenne (Insee, 2014). Elles débutent généralement par les solutions logicielles en mode SaaS (messagerie, stockage) avant de faire appel aux offres d’infrastructures (IaaS) et de plateformes mutualisées (PaaS). Avec la difficulté de faire le tri entre les offres révolutionnaires et celles qui relèvent du concept marketing. Le cloud changeant radicalement la manière d’aborder l’informatique d’entreprise, il convient aussi d’analyser à quels niveaux ces changements se produisent. Ce séminaire dresse l’état de l’art des solutions, assorti de cas d’usage, tout en abordant le volet sécurité.
Jour 1
z Introduction - Définition et origines du Cloud Computing. - Les Application Service Provider (ASP). - Historique menant au SaaS (Software as a Service) au Cloud
Computing. - Positionnement du SaaS, du Cloud Computing. - Rapport entre virtualisation et Cloud Computing. - Rapport entre les architectures SOA et le Cloud Computing.
z SaaS et Cloud Computing, les différences - Le modèle Software vs Cloud Computing. - SaaS et Cloud Computing, à quels besoins permettent-ils de répondre ? - La virtualisation comme socle. - Aligner ses coûts et ses besoins. - Ce que vont attendre les utilisateurs de demain. - Avantages du Cloud Computing : externalisation des ressources,
allocation dynamique, isolation logique... - Inconvénients du Cloud Computing : sécurité, législation... - Consommation du Cloud Computing.
Cloud computing : synthèse
Big Data et Business Intelligence
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : AAS
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
10-11 mars9-10 juin29-30 septembre1-2 décembre
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 51
z Etat de l’art des solutions et scénarios d’utilisation du Cloud Computing - Offre SaaS. Cloud Computing public, privé, hybride et
communautaire. - Les principaux fournisseurs du Cloud. - Solutions de service (SalesForce et Service Cloud...). - Solutions de stockage (Dropbox, iCloud, etc.). - Solutions collaboratives (Office Web Apps, Google Apps...).
Autres solutions... - Scénarios d’utilisation du Cloud Computing. - Impact du SaaS et du Cloud Computing sur le Green IT.
Scénarios présentés sous l’angle technique (IaaS, PaaS). - Scénarios présentés sous l’angle des usages (automatisation,
mobilité, intégration Web...). - Eligibilité des applications à externaliser (applications
métiers, collaboratives, gestion de relation client, etc.). - Réseaux sociaux, SSO Web...
z Sécurité - Les niveaux où la sécurité doit être mise en œuvre. - Principales questions et préoccupations. - Aspects légaux, pratiques et techniques de la protection des
données. - Choix du fournisseur et contractualisation. - Sécurité de bout en bout. - Politique des mots de passe. - Quelle stratégie de sauvegarde ? - Délégation d’authentification ? - Gestion des backups. - Les normes et référentiels internationaux sur la sécurité
Cloud.
Jour 2
z SaaS et Cloud - Objectifs possibles en fonction du contexte. - Pour les grands comptes ? Les PME ? Les startups ? - Externaliser l’informatique non critique et critique. - Risques de l’externalisation. - Quels critères pour prendre sa décision ? - Mesurer et comparer les coûts. - Réversibilité, quelle stratégie ? Comment vaincre les
réticences ? - Mener un projet SaaS et Cloud Computing - L’impact sur la gouvernance. - Les impacts organisationnels. Les étapes à suivre. - L’intégration avec l’existant.
- Les critères de choix des briques à externaliser. - La formation du personnel. Accompagner le changement. - La position des DSI face aux directions métiers.
z Intégration du SaaS et du Cloud Computing dans les entreprises - Les aspects législatifs et réglementaires. - Les principales craintes. - Les raisons objectives. - Risques perçus. - Les aspects techniques : communication entre le SI et les
solutions Cloud/SaaS. - Le Single Sign On. - La gestion des comptes internes, externes et des accès. - Choisir le mode de facturation.
z Architecture intégrant le Cloud Computing - Architecture SI et SOA. - Schéma du SI étendu pour inclure SaaS et Cloud. - Patterns d’architectures applicatives Cloud. - L’intégration entre SI et solutions SaaS. - Problématiques d’intégration entre SI et Cloud. - Problématiques d’intégration entre briques Cloud. - Migration des briques du SI vers le Cloud. - Gérer la dépendance au réseau.
z Cloud privé versus Cloud hybride - La définition du Cloud Computing privé. - Différence avec Data Center et Compute Grid. - Bases et principales technologies de virtualisation. - Les outils Open Source. Les technologies propriétaires. Les
grandes familles de Clouds privés. - Quels défis pour la réalisation d’un vrai Cloud privé :
infrastructures IT convergentes. - Pourquoi le Cloud privé ne prend vraiment tout son sens qu’en
mode hybride ? - Quels défis pour mettre en place une solution hybride ? - Quelles solutions aujourd’hui pour des Clouds hybrides ? Cloud
ou VDC ? - Les solutions techniques pour le Cloud. - Les bases de données pour le Cloud. Utilisation. - Emergence des bases de données NoSQL et RDBMS.
Fondements des bases de données RDBMS et NoSQL. - Possibilités et limites des SGBDR. - Principales bases de données NoSQL utilisées pour le Cloud
(MongoDBn Cassandra, CouchDB, Hadoop). - Les plateformes du marché IaaS (Amazon EC2 et S3). Les
plateformes du marché PaaS (Amazon SQS, SimpleDB...). - RunMyProcess.com, Cordys, Facebook, Twitter...
« Je ne veux pas d’un disque dur dans mon ordinateur si j’ai un serveur plus rapide »
(Steve Jobs, Apple)
52 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
INTERVENANT
Joël FIZYKICo-fondateur d’Arum Tech-nologies et titulaire d’un Master of Science et d’un MBA de l’INSEAD, il est spé-cialiste de la virtualisation et du cloud dans ses dif-
férentes déclinaisons (privé, hybride, public). Il a conçu outils et méthodologies destinés à tirer le meilleur parti des technologies de partage de puis-sance de calcul, dont l’aide au dimensionnement des infrastructures, la définition des architectures techniques et catalogues de niveau de service, le calcul des coûts par classe de service. Il a piloté des travaux de conseil, d’architecture, de déploie-ment et de suivi pour près de 3000 professionnels, lui donnant le recul et permettant de partager la compréhension des concepts essentiels et des tendances lourdes de l’évolution en cours pour donner une vision claire et globale de l’offre du marché. Il s’adresse aussi bien aux décideurs, aux responsables de systèmes d’information, qu’aux populations fonctionnelles de l’entreprise.
Le précepte qui voulait que toute application soit hébergée sur un serveur interne n’a aujourd’hui plus cours. La virtualisation est envisagée par 63 % des décideurs français (Markess, 2015). Ses atouts sont connus. Elle permet d’optimiser et d’accroître le taux d’utilisation des ressources serveurs et postes de travail tout réduisant les coûts de maintenance, d’exploitation et d’énergie. Passer en environnement virtualisé fait aussi gagner en qualité de service et en disponibilité. Enfin, l’avènement du bureau virtuel favorise la mobilité en permettant aux collaborateurs d’accéder à leurs applications métier depuis n’importe quel terminal connecté. Ce séminaire expose les fondamentaux de la virtualisation, les solutions du marché et les bonnes pratiques de mise en œuvre.
Jour 1
z Présentation - L’histoire de la virtualisation. - L’évolution du marché de la virtualisation. - La rationalisation des services IT par la virtualisation, les enjeux et les
gains. - L’évolution du marché de la virtualisation.
z Les fondamentaux de la virtualisation - Les cas d’utilisation de la virtualisation. - Quel impact sur les redevances logicielles ? - Le concept de Cloud Computing. - Les modèles de services (SaaS, PaaS, IaaS) et les modèles de
déploiement (privé, public, hybride). - Les composants supplémentaires d’un Cloud privé par rapport à une
infrastructure virtuelle. - Un tour d’horizon des technologies de virtualisation des systèmes x86. - Les différentes approches pour virtualiser un serveur. - La virtualisation native, assistée par le matériel, virtualisation au niveau
de l’OS. Hyperviseurs de type 1, type 2. - Un panorama des composants : virtualisation de système d’exploitation,
d’application. - Les différents acteurs du marché.
Virtualisation : synthèse
Big Data et Business Intelligence
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : VIR
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
24-25 mars9-10 juin8-9 septembre17-18 novembre
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 53
z Les fonctionnalités de la virtualisation - Le déploiement de l’infrastructure virtuelle, la flexibilité de
création des machines virtuelles. - L’évolutivité de la plateforme virtuelle. - La simplification de l’administration et de l’exploitation. - L’optimisation de la gestion des ressources : VM, CPU,
mémoire, stockage, réseau. - La continuité de services, haute disponibilité. - L’intégration des réseaux virtuels aux réseaux physiques. - L’utilisation des différents types de stockage et leur criticité.
z Les solutions du marché - Le panorama des différentes offres (Microsoft, Xen,
VMware...). - Quelles sont les différences entre les éditions et licences ?
Que choisir ? - Comparatif et positionnement des leaders du marché. - VMware : vue d’ensemble de l’architecture de VMware
vSphere, hyperviseur ESXi. La console vCenter... - Microsoft : Hyper-V et la suite System Center. - Citrix : Xen, XenServer, XenApp, XenDesktop. - Linux KVM : QEMU, Libvirt Architecture, Red Hat Entreprise. - L’évolution du marché des hyperviseurs.
Jour 2
z La virtualisation de serveurs - Les différences techniques entre virtualiser un poste de
travail et un serveur. - Quelles limites ? Peut-on virtualiser tous les serveurs ? - La flexibilité de création des machines virtuelles. - Les différents types de stockage : DAS, SAN, NAS. - La virtualisation du stockage pour la virtualisation de
serveurs. - La virtualisation du réseau : cartes réseaux physiques et
virtuelles, les switchs réseaux physiques et virtuels. - La qualité de service. Le déploiement. - L’administration de la solution de virtualisation. - Les coûts d’exploitation. - La continuité de service (PCA). Le plan de reprise d’activité
(PRA). - La flexibilité du système d’information : faciliter le PRA.
z La virtualisation du poste de travail - Les enjeux liés à la virtualisation des postes de travail. - La technologies de virtualisation des postes de travail. - Les stratégies de déploiement des postes de travail
virtualisés. - La virtualisation des applications. - Les différents acteurs du marché.
z La gestion de l’environnement virtualisé - La supervision de l’infrastructure virtuelle : alertes, actions,
reporting, capacité... - L’analyse et le suivi des performances de l’infrastructure
virtuelle, sa supervision. - Les outils de migration du marché X2X (P2V, V2V, V2P). - Le P2V : conversion d’une machine physique en machine
virtuelle. - Le V2V : conversion d’un ordinateur virtuel en ordinateur
virtuel, migration. - Le V2P : conversion d’une machine virtuelle en machine
physique. - La sauvegarde des machines virtuelles, les solutions du
marché (Platespin, VizionCore, Veeam...). - L’automatisation des opérations sur les infrastructures
virtuelles. - La sécurisation des réseaux et des données. - Appréhender la sécurité et le PRA (Plan de Reprise d’Activité)
d’une infrastructure virtuelle. - Ce qu’est un PRA (Plan de Reprise d’Activité), ce qu’il
contient, son objectif.
z Les bonnes pratiques de mise en œuvre d’un projet de virtualisation - La méthodologie de mise en œuvre d’un projet de
virtualisation. - Les impacts sur le TCO (Total Cost of Ownership) et le ROI
(Return On Investment). - La mise en œuvre : risques, limites et recommandations. - Les bonnes pratiques pour migrer de version ou d’hyperviseur.
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INTERVENANT
Pascal GOUACHEExpert en cybersécurité et ingénieur Telecom Paris Tech (ENST), son expé-rience de la sécurité des technologies de l’Informa-
tion lui a permis successivement de réaliser des missions d’intégration et de conseil auprès de grands groupes privés et publics, puis de deve-nir responsable du pôle Intégration de Sécurité IT au sein de Thales. En 2005, il est à l’initia-tive du développement du premier appliance pare-feu applicatif français. Il sensibilise alors de grandes banques françaises et européennes à la cybersécurité. Depuis huit ans, il assure des missions d’audit de sécurité dans les do-maines industriels et financiers. Il est un des référents français sur des projets de sécurité ISO 27001/27002 et sur le standard de sécu-rité de Visa/Mastercard PCI DSS. Une de ces dernières missions a été d’auditer un service industriel très sensible en matière de transport aérien afin de déterminer le niveau de sécurité lié aux référentiels de l’ANSSI et en perspective des obligations « OIV » et de la Loi de Program-mation Militaire.
Sony, eBay, Home Depot, JP Morgan, Target, VTech… Les cyberattaques se multiplient et n’épargnent aucun secteur d’activité. La révolution numérique s’accompagne de nouveaux risques avec le vol et la fraude de données, les attaques par déni de service jusqu’au « breakdown » total des infrastructures. En 2015, pour la première fois dans l’histoire, les risques IT figurent dans le top 5 des risques globaux identifiés par le Forum de Davos. Par où commencer ? Audit, analyse des risques, normes et référentiels, cadre juridique et réglementaire, rôle du RSSI, choix de solutions de protection et de supervision, sensibilisation des salariés, budget… Ce séminaire passe en revue toutes les réflexions à mener pour conduire une politique de sécurisation des systèmes d’information.
Jour 1
z Introduction à la gestion des risques - La définition du risque et ses caractéristiques : potentialité, impact,
gravité. - Les différents types de risques : accident, erreur, malveillance. - La classification DIC : Disponibilité, Intégrité et Confidentialité d’une
information. - Les contre-mesures en gestion des risques : prévention, protection,
report de risque, externalisation.
z RSSI : chef d’orchestre de la sécurité - Quels sont le rôle et les responsabilités du Responsable Sécurité SI ? - Vers une organisation de la sécurité, le rôle des « Assets Owners ». - Gestion optimale des moyens et des ressources alloués. - Le Risk Manager dans l’entreprise ; son rôle par rapport au Responsable
Sécurité SI.
z Les cadres normatifs et réglementaires - Les réglementations SOX, COSO, COBIT. Pour qui ? Pour quoi ? - Vers la gouvernance du système d’information. Les liens avec ITIL® et
CMMI. - La norme ISO 27001 dans une démarche système de management de la
sécurité de l’information.
Sécurité des systèmes d’information : synthèse
Sécurité SI et gestion des risques
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : SSI
Durée : 3 jours
Prix HT : 2 680 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
22-24 mars14-16 juin13-15 septembre29 nov.-1 déc.
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 55
- Les liens avec ISO 15408 : critères communs, ITSEC, TCSEC. - Les atouts de la certification ISO 27001 pour les
organisations.
Jour 2
z Le processus d’analyse des risques - Identification et classification des risques. - Risques opérationnels, physiques, logiques. - Comment constituer sa propre base de connaissances des
menaces et vulnérabilités ? - Utiliser les méthodes et référentiels : EBIOS/FEROS, MEHARI. - La démarche d’analyse de risques dans le cadre de l’ISO
27001, l’approche PDCA (Plan, Do, Check, Act). - Le standard ISO 27005 et les évolutions des méthodes
françaises. - De l’appréciation des risques au plan de traitement des
risques : les bonnes pratiques.
z Les audits de sécurité et le plan de sensibilisation - Processus continu et complet. - Les catégories d’audits, de l’audit organisationnel au test
d’intrusion. - Les bonnes pratiques de la norme 19011 appliquées à la
sécurité. - Comment créer son programme d’audit interne ? Comment
qualifier ses auditeurs ? - Apports comparés, démarche récursive, les implications
humaines. - Sensibilisation à la sécurité : qui ? Quoi ? Comment ? - Définitions de Morale/Déontologie/Ethique. - La charte de sécurité, son existence légale, son contenu, sa
validation.
z Le coût de la sécurité et les plans de secours - Les budgets sécurité. - La définition du Return On Security Investment (ROSI). - Les techniques d’évaluation des coûts, les différentes
méthodes de calcul, le Total Cost of Ownership (TCO). - La notion anglo-saxonne du « Payback Period ». - La couverture des risques et la stratégie de continuité. - Plans de secours, de continuité, de reprise et de gestion de
crise, PCA/PRA, PSI, RTO/RPO. - Développer un plan de continuité, l’insérer dans une démarche
qualité.
Jour 3
z Concevoir des solutions optimales - Démarche de sélection des solutions de sécurisation
adaptées pour chaque action. - Définition d’une architecture cible. - La norme ISO 1540 comme critère de choix. - Choisir entre IDS et IPS, le contrôle de contenu comme
nécessité. - Comment déployer un projet PKI ? Les pièges à éviter. - Les techniques d’authentification, vers des projets SSO,
fédération d’identité. - La démarche sécurité dans les projets SI, le cycle PDCA idéal.
z Supervision de la sécurité - Gestion des risques : constats, certitudes... - Indicateurs et tableaux de bord clés, vers une démarche ISO
et PDCA. - Externalisation : intérêts et limites.
z Les atteintes juridiques au Système de Traitement Automatique des Données - Rappel, définition du Système de Traitement Automatique des
Données (STAD). - Types d’atteintes, contexte européen, la loi LCEN. - Quels risques juridiques pour l’entreprise, ses dirigeants, le
RSSI ?
z Recommandations pour une sécurisation « légale » du SI - La protection des données à caractère personnel, sanctions
prévues en cas de non-respect. - De l’usage de la biométrie en France. - La cybersurveillance des salariés : limites et contraintes
légales. - Le droit des salariés et les sanctions encourues par
l’employeur.
« Près de la moitié des entreprises ne disposent toujours pas d’une stratégie adaptée pour lutter contre le piratage informatique »
(Jocelyn Grignon, Grant Thornton)
INTERVENANT
Boris MOTYLEWSKIIl a fondé et dirigé la socié-té ExperLAN SA, SSII fran-çaise spécialisée dans la sécurité des Systèmes d’Information (conseil,
audit et tests d’intrusion) qui sera rachetée en 2001 par Thales. Il fonde ensuite la société Axiliance SA et dépose le premier brevet mondial pour la protection active des applications Web. Ses travaux de Recherche et Développement donneront naissance au produit RealSentry, l’un des premiers WAF (Web Application Firewall) disponible dans le monde. Il est aujourd’hui Président de Verisafe, un cabinet de conseil en cybersécurité dont les principaux domaines d’expertise sont la sécurité dans le Cloud com-puting, les applications Web ainsi que les cy-ber-risques liés aux nouveaux usages et tech-nologies (IoT, objets connectés, smartphones et mobilité). De formation ingénieur ESIGETEL, il est également expert judiciaire auprès de la cour d’appel de Montpellier.
Vol ou altération de données personnelles, violation de la propriété intellectuelle, fraudes financières, attaques par déni de service … La cybercriminalité prend des formes les plus diverses avec un niveau de sophistication toujours plus élevé. Les cas médiatiques touchant des multinationales ne peuvent faire oublier que ce fléau affecte aussi des sociétés plus petites. Pour assurer leur cybersécurité, les entreprises doivent comprendre les risques, évaluer les menaces en temps réel et mettre en place des contre-mesures efficaces afin de protéger leur organisation contre toute perte financière, impact d’image ou risque juridique. Ce séminaire passe en revue les différentes solutions pour sécuriser les réseaux, les postes de travail, les terminaux mobiles ou les applications.
Jour 1
z Sécurité de l’information et cybercriminalité - Principes de sécurité : défense en profondeur, politique de sécurité. - Notions fondamentales : risque, actif, menace, vulnérabilité, impact. - Les méthodes de gestion de risques (ISO 27005, EBIOS, MEHARI).
Panorama des normes ISO 2700x. - Evolution de la cybercriminalité en France et dans le monde. - L’identification des agents de menace. - Les nouvelles menaces (APT, spear phishing, watering hole, exploit
kit...). - Les failles de sécurité dans les logiciels (évolution et cycle de vie). - Le déroulement d’une cyberattaque (NIST). - Les failles 0day, 0day Exploit et kit d’exploitation.
z Firewall, virtualisation et Cloud computing - Les serveurs proxy, reverse proxy, le masquage d’adresse. - La protection périmétrique basée sur les firewalls. - Quelles différences entre firewalls UTM, enterprise, NG et NG-v2 ? - Les produits IPS (Intrusion Prevention System) et IPS NG. - La mise en place de solutions DMZ (zones démilitarisées). - Les vulnérabilités dans la virtualisation et les bonnes pratiques. - Les risques associés au Cloud Computing selon l’ANSSI, l’ENISA et la
CSA. - Le Cloud Control Matrix et son utilisation pour l’évaluation des
fournisseurs de Cloud.
Cybersécurité réseaux/Internet : synthèse
Sécurité SI et gestion des risques
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : SRI
Durée : 3 jours
Prix HT : 2 680 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
15-17 mars14-16 juin4-6 octobre6-8 décembre
56 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
z Sécurité des postes clients - Comprendre les menaces orientées postes clients. - Le rôle du firewall personnel et ses limites. - Les logiciels anti-virus / anti-spyware. - Comment gérer les correctifs de sécurité sur les postes
clients ? - Comment sécuriser les périphériques amovibles ? - Le contrôle de conformité du client Cisco NAC, Microsoft NAP. - Les vulnérabilités des navigateurs et des plug-ins. - Drive-by download.
Jour 2
z Fondamentaux de la cryptographie - Législation et principales contraintes d’utilisation en France
et dans le monde. - Les techniques cryptographiques. - Les algorithmes à clés publiques et symétriques. - Les fonctions de hachage. - Les architectures à clés publiques. - Les programmes de cryptanalyse de la NSA et du GCHQ.
z Authentification et habilitation des utilisateurs - L’authentification biométrique et les aspects juridiques. - L’authentification par challenge/response. - Techniques de vol de mot de passe, brute force, entropie des
secrets. - L’authentification forte. - L’authentification par carte à puce et certificat client X509. - Architectures « 3A » : concept de SSO, Kerberos. - Les plates-formes d’IAM. - La fédération d’identité via les API des réseaux sociaux. - La fédération d’identité pour l’entreprise et le Cloud (SAML
v2).
z La sécurité des flux - La crypto API SSL et ses évolutions de SSL v2 à TLS v1.3. - Les attaques sur les protocoles SSL/TLS. - Les attaques sur les flux HTTPS. - Le confinement hardware des clés, certifications FIPS-140-2. - Comment évaluer facilement la sécurité d’un serveur HTTPS ? - Le standard IPsec, les modes AH et ESP, IKE et la gestion des
clés. - Comment surmonter les problèmes entre IPSec et NAT ? - Les VPN SSL. Quel intérêt par rapport à IPSec ? - Utilisation de SSH et OpenSSH pour l’administration distante
sécurisée. - Déchiffrement des flux à la volée : aspects juridiques.
Jour 3
z Sécurité Wifi - Attaques spécifiques Wifi. - Comment détecter les Rogue AP ? - Mécanismes de sécurité des bornes. - Vulnérabilités WEP. Faiblesse de l’algorithme RC4. - Description des risques. - Le standard de sécurité IEEE 802.11i. - Architecture des WLAN. - Authentification des utilisateurs et des terminaux. - L’authentification wifi dans l’entreprise. - Outils d’audit, logiciels libres, aircrack-ng, Netstumbler,
WifiScanner...
z Sécurité des Smartphones - Les menaces et attaques sur la mobilité. - iOS, Android, Windows mobile : panorama des forces et des
faiblesses. - Virus et codes malveillants sur mobile : quel est le risque réel ? - Les solutions de MDM et EMM pour la gestion de flotte.
z Sécurité des applications - La défense en profondeur pour sécuriser les applications. - Applications Web et mobiles : quelles différences en matière
de sécurité ? - Les principaux risques selon l’OWASP. - Focus sur les attaques XSS, CSRF, SQL injection et session
hijacking. - Les principales méthodes de développement sécurisé. - Quelle clause de sécurité dans les contrats de développement ? - Le pare-feu applicatif ou WAF. - Comment évaluer le niveau de sécurité d’une application ?
z Gestion et supervision active de la sécurité - Les tableaux de bord Sécurité. - Les audits de sécurité. - Les tests d’intrusion. - Aspects juridiques des tests d’intrusion. - Les outils spécialisés (sondes IDS, scanner VDS, WASS). - Comment répondre efficacement aux attaques ? - Comment consigner les éléments de preuve et mettre en
œuvre un plan de riposte ? - Mettre en place une solution de SIEM. - Les labels ANSSI (PASSI, PDIS & PRIS) pour l’externalisation. - Comment réagir en cas d’intrusion ? - L’expertise judiciaire : le rôle d’un expert judiciaire (au pénal
ou au civil). - L’expertise judiciaire privée au service des entreprises.
« La cybersécurité n’est pas un frein à la transformation numérique mais un préalable »
(Jean-Paul Mazoyer, Cercle Cybersécurité du Cigref)
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INTERVENANT
Serge FDIDAProfesseur à l’Université Pierre et Marie Curie de-puis 1995, son domaine de recherche couvre les technologies et architec-
tures Internet avec un accent particulier sur la distribution de contenus, les réseaux véhicu-laires ou la conception de fédération de plate-formes de test Internet. Il a publié de nombreux articles et a joué un rôle actif dans de nom-breuses manifestations scientifiques. Il pré-sente également une grande expérience de va-lorisation et de transfert technologique. Il a été directeur d’un laboratoire commun avec Thales, co-fondateur de la société Qosmos, pionnier et fondateur du pôle de compétitivité Cap Digital et Vice-Président du RNRT (Réseau National de la Recherche en Télécommunications). De plus, il a passé une année chez IBM RTP aux USA et a dirigé plusieurs projets européens ambitieux qui ont permis le développement de plateformes de tests internationales. De même, il est l’auteur d’un standard IETF et détient plusieurs brevets. Enfin, il a occupé plusieurs fonctions de direc-tion de la recherche ou tenu le rôle d’évaluateur au sein du CNRS, de l’UPMC de la CEE ou d’ins-tances internationales.
La virtualisation, le Cloud Computing et les nouvelles technologies modifient en profondeur les réseaux de communication en entreprise. Une complexification qui peut entraîner une hausse des opérations de supervision et de maintenance sans que ne diminuent les risques de dysfonctionnement. Dans le même temps, la demande évolue vers des besoins dynamiques – consommation élastique des ressources – pour lesquels les garanties de services doivent être satisfaites. Ce séminaire se propose de reprendre les fondements des architectures réseaux et de rappeler les différentes technologies filaires ou mobiles. Les réseaux privés virtuels, le Cloud et la virtualisation des fonctions réseaux sont également abordés. Enfin, se dessinent les réseaux de demain et notamment ceux dédiés à l’Internet des objets.
Jour 1
z Fondements des architectures de réseaux - Les principes de base des architectures de réseau. - Transmission d’un signal et bande passante. - Acheminement, commutation, adressage, nommage, numérisation. - Services, applications et modèles de communication. - Qualité de Service. Congestion dans les réseaux. Service offert par IP. - Centralisation des serveurs et des données, Data Center, Cloud et
Virtualisation. - Réseaux d’opérateurs, Overlays et distribution de contenu. - Réseaux cellulaires et mobiles. - L’Internet des objets et les communications de machine à machine.
z Architecture Internet, fonctionnement et organisation - Principes fondateurs : le datagramme, l’interconnexion. La pile
protocolaire TCP/IP. - Adressage public et privé. Le NAT. Le DNS. - Le mode non connecté et l’acheminement dans IP. - Protocole IPv4, IPV6. ICMP. Transport : TCP, UDP, RTP. - La gestion de réseaux IP. L’approche SNMP. - Principes de Qualité de Service dans IP. - La gestion de la mobilité dans IP, IPMobile. - Les applicatifs : de la messagerie à la VoD. Skype, Google, Netflix,
Facebook.
Réseaux : synthèse technique
Réseaux
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : TER
Durée : 3 jours
Prix HT : 2 680 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
12-14 avril28-30 juin27-29 septembre6-8 décembre
58 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
z Les réseaux à l’accès pour la connexion des terminaux et usagers - La boucle locale résidentielle. Comment transmettre plus vite ? - La transmission sur paire torsadée : ADSL, VDSL. - La boucle locale optique (FTTB, FTTH, FTTdp). - Les solutions câblo-opérateurs. Modems câbles. - La boucle locale radio. Wifi. - Les solutions cellulaires 3G/4G/4G+/5G. - Les réseaux de domicile : Wifi et CPL. - La boucle locale des entreprises.
Jour 2
z Les technologies et l’articulation des réseaux de transport - Acheminement, commutation, routage. - La complexité et les débits considérés. - La commutation de labels. Architecture MPLS. - Les VPN et les solutions pour les construire. - Ethernet pour les réseaux opérateurs. - Les réseaux Overlay (CDN). Exemple Akamai. - Les réseaux programmables et leur adéquation avec les
solutions opérateurs.
z Les réseaux sans-fil et la mobilité - Typologies : WPAN, WLAN, WMAN, WRAN. Hot-spot, handover,
roaming, GPRS, UMTS. - Les techniques associées à la 4G. Principes de la 5G. - Technologies des réseaux sans fil. L’IEEE 802.15 et les WPAN.
Bluetooth, ZigBee et UWB. - L’IEEE 802.11 (a/b/e/g/n). QoS. Sécurité. - Nouvelles générations Wifi (ac, af, ah, WiGig). - L’IEEE 802.22 et les futurs produits Wi-RAN. - L’Internet ambiant et ses évolutions : réseaux mesh, ad-hoc,
réseaux de capteurs et RFID, NFC. - La radio cognitive et la radio logicielle.
z Le Cloud et la virtualisation des réseaux - La virtualisation des serveurs et l’impact sur l’infrastructure. - Les besoins à traiter. - La centralisation du plan de contrôle et les fonctions du
contrôleur. - La virtualisation du réseau. - La programmabilité des équipements. - Le protocole OpenFlow et l’évolution SDN (Software Defined
Network). - La solution OpenDaylight. - La virtualisation des fonctions réseaux (NFV).
Jour 3
z Data Center et réseaux d’entreprise - Les technologies des réseaux locaux. Architecture : réseaux
capillaires et cœur de réseau. - Câblage. Les supports et les topologies. - La normalisation et les évolutions des réseaux locaux. - Principe de la technique d’accès : ISO 8802.3 (CSMA/CD). - La normalisation. IEEE 802 et ISO. Les couches physiques,
MAC, et LLC. Les principaux protocoles. - Les réseaux locaux virtuels : le principe des VLAN. - Les réseaux locaux Ethernet. Ethernet pour tous les
environnements (SAN, LAN, WAN). - La qualité de service dans Ethernet. - Pont, Commutation de niveau 3, de niveau 4, de niveau 7. - Le Spanning Tree, le Routage Ethernet. - Evolutions d’Ethernet : réseaux d’opérateurs, boucle locale,
DataCenter...
z Les interconnexions et les réseaux privés virtuels - Le commutateur de niveaux 3, 4 et de contenu. - La commutation versus routage. Le Spanning tree. Routage IP
intra et inter-domaine. Commutation de labels. - Les réseaux Overlays, CDN et P2P. - La technologie VPN. - La sécurité des échanges. - Le filtrage de l’information. La sécurité et la gestion. - Les environnements VPN-IPIPsec et VPN-IP-MPLS.
z La disponibilité et la sécurité des réseaux - SNMP : fonctionnalités, proxies, MIB. Versions 2 et 3. - Les attaques : virus, Worms, DDOS. Les solutions : firewall,
authentification (MD5, RSA). - Le chiffrement (DES, IDEA), signature électronique... - Les annuaires pour la sécurité. Le modèle LDAP. - Le modèle IPSEC. Les services, la mise en œuvre. - Les éléments sécurisés. - Le paiement mobile. - Le Cloud de sécurité.
z Les réseaux demain - L’Internet des objets. - La gestion de l’énergie. - Les réseaux programmables et la virtualisation intensive des
systèmes. - La gestion et la sécurité. - L’évolution des acteurs.
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 59
INTERVENANT
Hakima CHAOUCHIChercheur associé au Kings College à Londres, professeur à l’Institut Mines Telecom en France, elle enseigne différents
sujets autour de l’Internet des objets, les ar-chitectures de réseaux et services émergents, la cybersécurité et les approches d’innovation et d’open innovation. Elle est membre de l’al-liance AIOTI de la commission européenne pour le développement de l’Internet des objets dans différents secteurs verticaux comme les Smart Cities, la santé et le bien-être, les réseaux cri-tiques et l’industrie 4.0… Elle coordonne aussi des projets de recherche et innovation natio-naux et internationaux, accompagne les indus-triels dans leurs projets stratégiques de trans-formation digitale avec une approche « user, information and data centric ». Elle est auteur de nombreux ouvrages spécialisés dont « The Internet of Things: Connecting Objects » (2010) aux éditions Willey.
Après le poste de travail, le serveur et le stockage, la virtualisation gagne le monde des réseaux. Le Software Defined Network (SDN), associé à la Network Function Virtualization (NFV), répond à cette volonté de disposer d’un réseau plus évolutif, configurable et sécurisé à l’heure du Big Data et de l’Internet des objets. Le pilotage du réseau par logiciel devient incontournable aux opérateurs et fournisseurs de services pour rester compétitifs. En améliorant l’agilité de leur infrastructure, ils réduisent aussi les délais de lancement de nouveaux services. Après avoir évoqué les principes fondamentaux de la virtualisation des réseaux, ce séminaire rappelle les techniques et les applications du SDN, les tendances du marché, le positionnement des différents équipementiers.
Jour 1
z La virtualisation et les réseaux - Le marché et les besoins de virtualisation. - Le passage du modèle de système d’information internalisé vers
l’externalisé. - L’impact des technologies haut débit sur la virtualisation réseau (fibre
optique, réseaux cellulaires haut débit...). - Des supercalculateurs aux datacenters. - Les projets de recherche académiques et industriels précurseurs du
SDN. - La virtualisation : concept, modèles et principes. - Les hyperviseurs (Xen, VMware/vSphere, OpenVZ, Linux VServer, Hyper-V,
KVM). - Les différentes solutions de Cloud (SaaS, PaaS, IaaS). - L’intégration du réseau dans le Cloud : Neutron dans OpenStack. - Les équipements virtualisés. - La caractérisation de la Qualité de Service (QoS), les mécanismes qui
permettent de la garantir. - Exemples de virtualisation de fonctionnalités réseaux (Firewalls,
Switch, Routeur, PC...).
z L’architecture et sa normalisation - Les organismes de normalisation. - La normalisation en cours avec NFV (Network Functions Virtualisation). - L’architecture ONF (Open Network Foundation). - Les interfaces nord, sud, est et ouest.
Virtualisation des réseaux SDN, NV, NFV
Réseaux
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : VTU
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
31 mars-1 avril23-24 juin6-7 octobre15-16 décembre
60 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
- Les architectures de Cloud (Central Cloud, Cloudlet). - Les usages (Infrastructure, Service, Mobile...). - Les contraintes d’hébergement de données sensibles et
régulation.
z Les techniques et les applications du SDN (Software Defined Networking) - Les architectures de réseaux SDN. - Le découplage plan de transmission – contrôle. - Les couches d’abstraction. - Les contrôleurs physiques et virtuels. - Le SDN dans les réseaux locaux. - Les contrôleurs LAN, applicatifs. - Les acteurs du SDN : Open Networking Foundation, IETF, les
opérateurs. - Le contrôle de l’infrastructure (centralisée ou distribuée). - L’automatisation de la gestion du réseau. - La coexistence de réseaux virtualisés et traditionnels. - La migration de réseaux virtuels. - La virtualisation de la sécurité (firewalls virtuels), ce qu’il est
possible de réaliser. - La gestion du contrôle d’accès (authentification, gestion
d’identité...). - La Haute Disponibilité, l’équilibrage de charge (Load
Balancing). - La gestion de la consommation d’énergie, comment diminuer
cette consommation ?
z Les réseaux OpenFlow - Le couplage contrôleur-nœud de transfert. - Les fonctionnalités et les trames OpenFlow. - Les commutateurs OpenFlow, Open vSwitch. - Les contrôleurs compatibles OpenFlow, NOX, FlowVisor. - Les développements Open Source, OpenDaylight, OpenContrail.
Jour 2
z Les niveaux de protocoles - Le niveau trame, paquet : avantages et inconvénients. - Les solutions d’interconnexion pour les datacenters. - La compatibilité avec Ethernet. - Le routage de niveau 2. - La QoS : MPLS/GMPLS. - Les Overlays : NaaS. - Les technologies de niveaux 3 : NVGRE, VXLAN. - Les protocoles d’encapsulation VXLAN (Virtual Extensible
LAN). - Les tendances : STT, NVGRE, SPB.
z La virtualisation de réseaux sans fil - La virtualisation dans les réseaux de mobiles : HLR, VLR,
antennes virtuelles. - La coexistence de réseaux mobiles virtualisés et non
virtualisés, le Cloud-RAN. - La virtualisation de l’IMS (IP Multimedia Subsystem). - Les points d’accès virtuels Passpoint. - Migration de points d’accès virtuels.
z Les nouveaux paradigmes réseaux - Les limites et inconvénients de l’architecture actuelle. - Le SDN et le support de nouveaux paradigmes réseaux. - Le SDN dans l’Internet des objets. - Le protocole TRILL (TRansparent Interconnection of Lots of
Links). - Le protocole LISP (Locator/Identifier Separation Protocol). - Le modèle ICN (Information Centric Network).
z Les équipementiers du SDN, les nouvelles tendances - Les produits standard des équipementiers. - L’ACI (Application Centric Infrastructure) de CISCO. - NSX de VMware, FlexNetwork de HP. - Les autres propositions : Brocade, Juniper, Alcatel-Lucent/
Nokia. - Les performances : les accélérateurs matériels. - Les tendances chez les opérateurs, les premiers
déploiements : Google, Orange... - La maturité des solutions SDN. - Le positionnement du Cloud Networking. - La convergence des réseaux (Mobile et Cloud). - L’impact de la virtualisation sur les applications et les
services. - Les prévisions de déploiement. - Les chances de succès des nouvelles générations de
protocoles. - Les tendances du marché.
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INTERVENANT
Frédéric LAUNAYChercheur-enseignant à l’Université de Poitiers depuis 2004, au sein du département Réseaux et Télécoms et chercheur
au LIAS (Laboratoire Informatique et d’Automa-tique pour les systèmes), il a mis en place la formation Licence Professionnelle ISVD (Métier de la Téléphonie sur IP) et a créé et anime les séminaires et les formations concernant : la téléphonie fixe, le déploiement de la téléphonie d’entreprise, la téléphonie mobile : de la 2G à la 4G, la Triple Play : mise en place de serveurs et réseaux d’accès xDSL et FTTx, la VoLTE. De plus, il propose des formations sur la téléphonie 4G (formateur Orange) ainsi que des formations sur les Applications ToIP (Aastra AXS 5000 ou Asterisk, Freeswitch…). En tant que chercheur, il a travaillé entre autres sur les modèles dyna-miques non linéaires. Il a également publié de nombreuses communications lors de colloques nationaux et internationaux.
Actuellement, la 4G n’est utilisée que pour les transferts de données, la voix passant toujours par les réseaux GSM, 2G/3G. La VoLTE (pour Voice over LTE) consiste à faire transiter également la voix sur les réseaux de téléphonie mobile haut débit de type 4G LTE (Long Term Evolution). La VoLTE arrivera en France en 2016 apportant une meilleure qualité vocale, un temps de mise en connexion réduit et la possibilité de passer aux services communications unifiées tels que la messagerie instantanée, l’indicateur de présence ou le partage vidéo. Ce séminaire reprend le fonctionnement d’un réseau LTE, les principes de l’architecture IMS (IP Multimedia Subsystem) et les différentes solutions de voix en 4G et sur LTE (Joyn d’Orange, Skype de Microsoft…).
Jour 1
z Les réseaux cellulaires 2G et 3G - Présentation de l’architecture du réseau 2G. GSM : séparation du cœur
radio et cœur réseau. - Description de l’évolution du GSM au GPRS. - Evolution du réseau avec l’arrivée de la 3G : étude du cœur radio UTRAN. - Evolution du cœur réseau : de la R.99 vers le NGN. - Les entités du réseau 2G et 3G. Rôle et fonctionnalité. - Procédure de gestion de la ressource radio. - Services voix et transmission de données des réseaux 2G et 3G. - Le réseau à commutation de circuits et de paquets. - Etude d’un appel : Mobile Originating Call et Mobile Terminating Call. - Attachement sur le réseau Data. - Notions de PDP Context.
z Le réseau LTE - Architecture du réseau EPS : LTE (Long Term Evolution) SAE. - Description des entités : eNB, MME, SGW, PGW, PCRF, HSS. - Interfaces réseaux X2, S1-U, S1-MME, S5/S8, S6, S11, Gx. - Signalisation dans le plan de contrôle et le plan usager. - Protocoles : RRC, S1-AP, X2-AP, GTP-C, Diameter. - Présentation du protocole AS et NAS. - Description des protocoles de gestion de la mobilité (EMM), des
sessions (ESM). - Description de la couche physique : Modulation, Multiplexage, PRB. - Notion de bearer, paramètres de QoS. - Bearer par défaut, bearer dédié. - Le PCC : QoS et taxation.
VoLTE : déploiement et nouveaux services
Réseaux
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Réf. : LTE
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
17-18 mars9-10 juin8-9 septembre17-18 novembre
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z SIP : présentation et architecture - Principes et définition. - Architecture SIP et description des entités fonctionnelles :
Proxy. Registrar. Redirection Location. - Protocole SIP : mécanismes de la signalisation et des flux
voix. - Les messages SIP : description des requêtes et des réponses. - Protocole RTP : transport de la voix. - Présentation des codecs : impact sur la MoS. - Les mécanismes d’adressage SIP (URI, IP, E164). - Les méthodes. Détails des méthodes : INFO, OPTION,
MESSAGE. - SIP et les mobiles. Le GSM, le GPRS. La 3GPP. - Exemple de communication SIP : étude des call FLows
(enregistrement, appel...).
z L’architecture IMS - Présentation de l’IMS. - Les protocoles utilisés. - Serveur IMS (IP Multimedia Subsystem) : P-CSCF, I-CSCF,
S-CSCF. - Equipements HSS, PCRF, MGCF, MGW/SGW. - AAA dans l’IMS : étude du protocole Diameter. - Authentification du client. - Architecture de facturation (Online et Offline). - Signalisation dans l’IMS : le protocole SIP/SDP (réservation de
ressources). - Procédures d’enregistrement et de gestion des services :
étude de Call Flow. - Services IMS et serveurs d’application.
Jour 2
z Fonctionnalité radio pour la voix - Gestion des Bearers de voix : QoS, QCI, ARP, GBR, non GBR. - Politique d’admission. - Préemption du eNb. - Stratégie de scheduling : dynamique, semi-persistant. - Mode DRX options VAD (Voice Activity Detection) et génération
de bruit de confort. - Fonctionnalités TTI Bundling. - Compression des headers IP : RoHC, principes et
performances. - Gestion des Handovers. - Etude pratique : limitation du nombre d’appels simultanés en
fonction du nombre de PRB.
z Les solutions de voix sur 4G - Solutions technologiques CSFB (Circuit Switched FallBack). - Interconnexion MSC (Mobile Switch Center) / MME (Mobility
Management Entity). - Enregistrement sur le réseau à commutation de circuit et sur
le réseau IMS : notion de double attachement. - Dérivation de VLR : TAI/LAI. - Interface SG et SV. - Fonction SR-VCC (Single Radio Voice Call Continuity). - SRVCC : transfert de session dans le cœur réseau et transfert
d’appel sur la couche radio. - Réception/Emission d’un SMS sur le réseau 4G. - Roaming et interconnexion. - Taxation et QoS.
z La voix sur LTE - Procédure d’attachement. Création du bearer Default. - Procédure d’enregistrement au réseau IMS : étude de la
signalisation SIP et de la SIG 4G. - Adressage IMS Privée/Publique. - Négociation des codecs et disponibilité des ressources radio. - Mise en place d’un appel/session SIP : création du bearer
dédié. - Services téléphoniques apportés par le serveur IMS. - Call flow sur l’enregistrement d’un utilisateur. - Interconnexion entre le réseau LTE/EPC et l’IMS. Rôle du
P-CSCF. - Etude de requêtes SIP : NOTIFY/SUBSCRIBE. - Services RCS et OTT : Joyn, Skype. - Fonction SRVCC : impact sur l’enregistrement et
l’établissement de session, handover PS-CS, maintien de la session. - Entité ATCF/ATGW et serveur SCC AS. - Evolution de l’architecture LTE et IMS : e-SRVCC, v-SRVCC,
r-SRVCC.Etude de casCall FLow : SMSoSG et Mobile Originated Call (MOC), Mobile Terminate Call (MTC) et roaming.
z La voix sur Wifi : Wifi Calling - Appel sur le Wifi. - Extension du réseau LTE au Wifi : passerelle ePDG, T-ADS
(Terminating Access Domain Selection). - Authentification sur le réseau Wifi. - Continuité d’appel. Handover. - Evolution du Vi-Wifi.
« La voix sur LTE permettra un établissement d’appel quasi-instantané. Ça arrive très bientôt ! »
(Stéphane Richard, Orange)
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INTERVENANT
Hakima CHAOUCHIChercheur associé au Kings College à Londres, professeur à l’Institut Mines Telecom en France, elle enseigne différents
sujets autour de l’Internet des objets, les ar-chitectures de réseaux et services émergents, la cybersécurité et les approches d’innovation et d’open innovation. Elle est membre de l’al-liance AIOTI de la commission européenne pour le développement de l’Internet des objets dans différents secteurs verticaux comme les Smart Cities, la santé et le bien-être, les réseaux cri-tiques et l’industrie 4.0… Elle coordonne aussi des projets de recherche et innovation natio-naux et internationaux, accompagne les indus-triels dans leurs projets stratégiques de trans-formation digitale avec une approche « user, information and data centric ». Elle est auteur de nombreux ouvrages spécialisés dont « The Internet of Things: Connecting Objects » (2010) aux éditions Willey.
20,8 milliards, c’est le nombre d’objets qui seront connectés en 2020 selon le cabinet d’études Gartner. A cette date, chaque foyer français devrait accueillir alors en moyenne 30 objets connectés (Gfk, 2015). L’Internet des objets va changer notre vie quotidienne mais aussi des pans entiers de notre économie comme la distribution de l’énergie, les transports, le médical, l’agriculture ou l’industrie en automatisant la remontée d’information. Voitures autonomes ou villes intelligentes, ces objets connectés sont aussi à l’origine de nouveaux concepts. Ce séminaire détaille ces domaines d’application tout en rappelant les différentes architectures et technologies de communication sans fil utilisées pour donner vie à ces objets.
Jour 1
z Concept d’objets et de l’Internet des objets - Définition du terme Internet des objets (Internet of Things, Thing to
Thing, Internet of Everything...). - Concepts, modèle et principes. - Terminologie d’objet connecté (QRCode, RFID Tag, Sensor, Actuator). - Architecture microcontrôleur : microchip, systèmes numériques
(Arduino, System On Chip...). - Terminal mono-interface, multi-interface/multimode. Wearable terminal. - Autour du système d’exploitation de l’objet connecté (TinyOS, Contiki,
RIOT...). - Industrie électronique et objets connectés. - Enjeux de la consommation d’énergie optimisée au niveau des circuits
intégrés.DémonstrationMontre connectée, véhicule connecté, capteur industriel, capteur corps humain, station météo connectée...
z Fonctionnalités et technologies de communication des IoT - Fonctionnalités d’identification (Identifying Thing), de capture (Feeling
Thing) et de localisation. - Fonctionnalités d’inférence, de décision (Smart Thinking) et de
déclenchement (Actionning). - Technologies de communication. CPL (Courant Porteur en Ligne). - Communication radio courte portée et réseaux sans fil : Wifi, ZigBee,
HomeRF, RFID, NFC, WirelessHart...
Internet des objets : synthèse
Internet et technologies web
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Réf. : IOB
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
7-8 avril9-10 juin20-21 octobre6-7 décembre
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- Communications radio mobiles longue portée (LORA, SigFox, LTE NarrowBand...). - Notions de passerelles et interaction entre les technologies
hétérogènes. - Autres technologies : nanotechnologie. Robotique, Internet
tactile, réalité augmentée... - Scénarios de services avec choix technologiques.
DémonstrationScénarios de services et choix technologiques.
z Mise en réseau et architectures de l’Internet des objets - Limites du modèle IP/Internet et consommation d’énergie de
l’Internet des objets. - Evolution du modèle IP/Internet pour répondre aux nouveaux
besoins de l’Internet des objets. - Architecture nano-IP et architecture 6LowPan. Routage :
ROLL. Compression IP. - Techniques de nommage et identification d’objets. Object
Name Service (ONS). - Architecture d’accès aux services, composition de service
pour l’Internet des objets. - Géolocalisation en intérieur et en extérieur. Tracking d’objets.
Traçabilité et nouvelles solutions Beaconning. - Nouvelles approches : « Autonomic communication »,
« Information Centric Network ».EchangesLes principales limites du modèle IP/Internet.
Jour 2
z Domaines d’application et nouveaux services - Surveillance et monitoring : écologie, aide à la personne... - Automatisation de processus autour de la personne : domicile,
bureau... - Automatisation de processus autour de l’entreprise et de
l’industrie : automatisation des chaînes de production. - Automatisation et systèmes critiques (CPS). - Automatisation de processus autour de la santé : e-gestion
des dossiers de malades. - Automatisation de la lecture des compteurs (électricité, eau,
etc.) : Smart Cities.DémonstrationLes différents domaines d’application.
z Standardisation, alliances industrielles, IoT Plateforms et sécurité - Standardisation des réseaux cellulaires (LTE Narrowband...). - Standardisation des réseaux IoT (OneM2M, ITU, GS1,
EPCGlobal...).
- Standardisation ITU. - Alliances industrielles : AllSeen, OIC, IPSO... - Passerelle de communication avec les objets de technologies
hétérogènes. - Solution de gestion d’objets connectés à un saut ou en multi-
saut. - Plateformes IoT et Cloudification (ThingWorks, Oracle,
Cisco...). - Sécurité IoT. Authentification et contrôle d’accès. - Chiffrement et contrôle d’intégrité. - Sécurité et sûreté. Propriété de la donnée et vie privée.
Réflexion collectiveRéflexion sur les différentes alliances.
z Produits de l’Internet des objets sur le marché - Produits objets connectés avec scénarios applicatifs. - Produits passerelles (produits Cisco, Microsoft, SAP, Oracle...). - Produits de serveurs de stockage et traitement
d’informations. - Contraintes spécifiques autour des informations de la santé. - Contraintes spécifiques autour des applications temps réel,
BUS CAN et systèmes embarqués.DémonstrationPrésentation des produits du marché.
z Internet des objets et Big Data - Dimensionnement de trafic de l’Internet des objets. - Architectures de stockage des données. - Traitement de données de l’Internet des objets en boucle
locale ou dans le Cloud. - Algorithmes de gestion de complexité. - Approches et algorithmes d’inférences.
ExempleExemple d’application Big Data et Internet des objets.
z Stratégie, innovation, entrepreunariat dans le domaine IoT - Nouveaux besoins et services. - Services réseaux de l’Internet des objets. Paiement bancaire
en mobile et NFC. - Système de surveillance. - Location based services, Crowdsensing et Urban Sensing. - Plateformes expérimentales réseaux : Senslab, IoT Lab,
Winlab, Arduino... - Le smartphone au centre des nouvelles applications et
services. - Innovation et entrepreunariat : WorldSensing, WiThings,
SigFox...
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INTERVENANT
Yannick DELSAHUTFondateur et dirigeant de la société Goldstark depuis quatorze ans, il accompagne de grandes entreprises dans leurs
projets multicanaux et la stratégie liée à leur transformation digitale : création du 1er compa-rateur d’assurance-crédit MyComparateur B2B, expert et consultant pour la transformation digitale de courtiers, banques, assurances en France et au Luxembourg, consultant et maître d’ouvrage de projets pour de grands sites mar-chands et des joailliers. Préalablement res-ponsable Innovation et nouvelles technologies à la Direction technique d’informatique de la Caisse des Dépôts, il participe à de multiples projets européens. Il rejoint en tant que consul-tant e-Business et innovation la direction de la stratégie du Groupe pour participer au comité en charge de la réflexion stratégique et du plan d’action.
Depuis plus de 25 ans, le Web a transformé notre société, nos comportements. Impossible de faire l’impasse sur ce formidable vecteur de communication quand 87,6 % des Français sont connectés à Internet via leur ordinateur, leur tablette ou leur mobile, voire les trois à la fois (Médiamétrie/Netratings, 2015). Pour s’adapter à ces nouveaux usages, le Web évolue en permanence. Ce séminaire fait un point complet sur les technologies client et serveur, les services Web, les architectures distribuées, les réseaux fixes et mobiles mais aussi les plateformes dédiées au Cloud ou au Big Data. Avec, en filigrane, la préoccupation constante de la sécurisation des échanges.
Jour 1
z Le système d’information - Rôle des applications intranet, Internet, Extranet dans le SI. - Nouvelle infrastructure. Evolution vers les architectures n-tiers. - Evolution vers le Cloud Computing.
z Fonctionnement d’une infrastructure Internet - Architecture. Protocoles IP, IPv6, GeoIP. Adressage, ports applicatifs,
DNS, routage. Qualité de service MPLS. - Impact du réseau sur les performances Web. - Topologie du réseau : fournisseurs d’accès. Opérateurs. Evolution vers
les hauts débits : fibre optique FTTH.
z Les services de base - Messagerie : MIME. Les protocoles (POP3, IMAP4, SMTP). Le spam.
Clients et serveurs de messagerie. - Annuaires : concept. Gestion des utilisateurs, Whois, X.500. Protocole
LDAP. LDIF. OpenLDAP, Domino. Critères de choix. - Moteurs de recherche : indexation, référencement, analyse du trafic,
liens sponsorisés (Criteo, Adwords). - Outils collaboratifs : quels outils pour quels besoins ? Portail, blog, wiki,
bureautique en ligne... - Réseaux sociaux d’entreprise, les espaces collaboratifs, les CMS
(SharePoint, Joomla, Drupal...).
Architectures et technologies du Web : synthèse et évolutions
Internet et technologies web
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Réf. : IRT
Durée : 3 jours
Prix HT : 2 680 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
5-7 avril14-16 juin4-6 octobre6-8 décembre
66 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
- Multimédia sur IP : image, son, vidéo à la demande, streaming. Diffusion multicast. IPTV. Protocole SIP, VoIP, H323. - Le commerce électronique : principe. Les plateformes
(Prestashop...). Le e-paiement.
Jour 2
z La sécurité - Les types d’attaques sur TCP/IP. - Services de sécurité : confidentialité, authentification,
intégrité, refus de service, non-répudiation. - Authentification : oAuth, Active Card, Secure ID, biométrie...
SSO, authentification Kerberos... - Sécurité d’accès : le firewall, le proxy. Architecture, la DMZ. Le
filtrage de paquets, les routeurs filtrants, ACL. - Réseau privé virtuel : VPN. Fonctionnement IPSEC, les
protocoles sécurisés L2F, PPTP. Tunnel de sécurité, SSH. - Cryptographie : législation. Clé publique (PKI/EGC), certificat,
signature électronique, SSL. Le tiers de confiance. - Obligations légales : CNIL, normes ISO 2700x.
z Technologies côté client - Les navigateurs, leurs impacts. Les plug-ins. Les URI, le
protocole HTTP. - Les langages HTML5, CSS3 et JavaScript. Les apports
d’EcmaScript 6. - Les API JavaScript HTML 5 (gestion de la persistance, accès
aux ressources des terminaux...). - Les frameworks JavaScript (AngularJS, jQuery...). - Les spécificités des terminaux mobiles et des tablettes :
taille écran, capacité mémoire, OS... - Impact des terminaux mobiles, tablettes, ordinateurs sur les
interfaces Web : le Responsive et le Material Design. - Les technologies d’industrialisation du Front End (Grunt,
Bower, Yeoman, Jasmine...). - Le langage XML, les XML Schema. Les parseurs. - Les interfaces graphiques XML : SVG, XAML. Définition des
interfaces Android via XML. - Les interfaces riches et leur ergonomie : Java FX8, QT, Flash. - Les traitements XSLT. La publication avec XSL-FO. Les
services Web.
z Technologies côté serveur - Les architectures n-tiers. Les approches orientées
composants. - L’architecture Java EE (JSF, JPA, EJB, JAX-RS...). Le
framework Spring. - Le framework .NET et les frameworks associés (NHibernate...).
- PHP, Zend Framework 2, Symfony 2. - Genèse du JavaScript côté serveur et de Node.js. Le moteur
Google V8. - L’accès aux données.
Jour 3
z Les serveurs Web et les serveurs d’applications - Les serveurs : bases de données, applications, Web. Leur
positionnement par rapport à Internet. - La répartition de charge et la haute disponibilité, NginX.
L’approche cluster. - Les serveurs Web (Apache, IIS...). Serveurs JavaScript
NodeJS. Hébergeurs. - Les serveurs d’applications. Service de présentation, d’objets
distribués, d’administration... - L’offre commerciale : IBM WebSphere, Oracle Application
Server... - L’offre Open Source : Tomcat, JBoss WildFly, GlassFish...
z Les architectures distribuées et les Web Services - Les standards (SOAP, WSDL, UDDI, BPML, BPEL), mise en
œuvre. - Les services Web SOAP et REST. La connexion des Web
Services aux applications existantes. - Les architectures SOA. Spécificités. Panorama des autres
technologies. - Les plateformes de Cloud Computing : IaaS, PaaS, SaaS
(Amazon Web Services, Azure...). - Le Big Data et le NoSQL (Hadoop, Cloudera, MongoDB,
Cassandra). - La virtualisation des ressources.
z Mobilité - Les PAN et les normes Wifi, Wimax, Bluetooth. Réseaux LAN,
Wireless Wan, boucle radio. - Technologies en environnement cellulaire : réseaux haut débit.
3G, 4G. La VoIP sur LTE (VoLTE). - Réseaux haut débit. Réseaux privés sans fil. IP en
environnement mobile. Terminaux nomades. La sécurité. - Les objets connectés. Les réseaux bas débit de l’IOT : SigFox,
LoRa...
z Comprendre le Digital - Différence entre Numérique et Digital. - e-Réputation et publication web. - Enjeux des données privées, règlementation européenne. - Impact du time to market sur les risques pour l’entreprise.
« 87,6 % des Français sont connectés à Internet »(Médiamétrie/Netratings, 2015)
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INTERVENANT
Hervé DRUEZFondateur et dirigeant de la société Kerops depuis 2004, il est diplomé d’ES-CP Europe et a entamé un parcours en SSII puis dans
un grand groupe de presse américain où il a as-sumé les fonctions de Vice-Président Europe. Sa société est une structure de conseil en stra-tégie digitale et mesure de performance. Avec plus de trois cents missions Grands Comptes à son actif (EDF, Canal, L’Oréal, etc.), il a acquis une expertise reconnue dans l’intégration du digital dans les stratégies marketing-commu-nication et en particulier, les problématiques de suivi et d’optimisation des actions menées. Intervenant auprès de nombreux organismes de formation (Les Echos, Orsys, CCM Benchmark Group…) et au sein d’universités digitales de grandes entreprises (France télévision, Canal, etc.), il est également professeur affilié à l’ESCP Europe où il assure la coordination pédagogique du Certificat Marketing Digital depuis deux ans.
Tel un petit poucet, le consommateur laisse des traces toujours plus nombreuses sur les sites d’e-commerce, les réseaux sociaux, les centres de contacts. La digitalisation de la relation-client rend incontournable la collecte, l’analyse et la valorisation de ces données, dans une approche multicanale. C’est même devenu la préoccupation quotidienne des directions du marketing et du digital. Dans une optique « data driven », ce séminaire vous donnera les clés pour optimiser le parcours client, piloter et exploiter les données sur un site (fixe ou mobile) ou les réseaux sociaux. Il s’agira aussi de voir comment optimiser les investissements publicitaires dans le cadre de campagnes d’e-mailing, de « display » ou de référencement naturel et payant.
Jour 1
z Les enjeux de la data dans les stratégies digitales - Pilotage digital : bien évaluer le parcours client, avoir une vision
synthétique et transversale de votre stratégie. - Indicateur de performance, indicateur d’optimisation : hiérarchiser vos
indicateurs pour prendre les bonnes décisions. - Tableaux de bord Internet : avoir une vision intégrée et interactive, zoom
sur les nouveaux outils BI à l’heure du Web. - DMP, les nouvelles bases de données en mode cookies, bien comprendre
les briques d’une « Data Management Platform ». - DMP, le point d’entrée des nouvelles stratégies médias : pour quels
usages et pour quels avantages ? - Un site différent pour chaque visiteur, la data pour personnaliser
l’expérience des internautes sur votre site. - La data pour optimiser la relation client en temps réel, les nouveaux
outils de relation client. - Gérer vos projets d’optimisation de site en mode « test and learn » :
outils de test A/B ou multi-variable à connaître. - Point sur la législation cookie, comment être en phase avec la
réglementation imposée sur l’utilisation des cookies ?
Digital Analytics : stratégie et bonnes pratiques
Internet et technologies web
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Réf. : DAL
Durée : 2 jours
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Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
7-8 avril23-24 juin22-23 septembre1-2 décembre
68 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
z Pilotage et exploitation des données de son site web - Les fondamentaux de la mesure « site centric ». - Tags et cookies, comprendre comment les données sont
collectées et les limites de la mesure « site-centric ». - Quelles solutions de « site-centric » choisir ? - Panorama des solutions de marché : Adobe Analytics, AT
Internet, Universal Analytics, Comscore... - Bien paramétrer ses objectifs et ses tunnels de conversion,
pour donner du sens à votre mesure « site-centric ». - Codification de campagne et URL Tracking : un prérequis pour
analyser les performances de ses investissements. - TMS, outil de « Tag Management System », la nouvelle brique
incontournable dans la collecte de données Internet. - Containeur, balise, déclencheur : comprendre les composants
d’un « Tag Management System » pour centraliser tous vos tags. - Bien définir son Datalayer (couche de data), comment les TMS
facilitent la collecte de données sur votre site ? Exemples. - Choisir une solution de « Tag Management System ». - Panorama des solutions du marché (Tag Comander, Adobe Tag
Manager, Google Tag Manager...).
Jour 2
z La data au service de l’optimisation de vos investissements publicitaires - Les indicateurs pour suivre vos campagnes emailing :
déliverabilité, taux d’ouverture, taux de réactivité, hard bounce. - Référencement naturel : piloter sa présence sur les moteurs
(visibilité, nombre d’impressions, taux de clics...). - Référencement payant, indicateurs pour optimiser ses
campagnes : taux de clics, quality score, impressions perdues. - Campagnes Display, indicateurs de performance : indicateurs
d’adversing, taux de complétion, taux de visibilité... - Arbitrage de campagne, la fin de l’attribution au dernier clic ? - Quels indicateurs pour mieux évaluer le rôle et la contribution
de chacun des leviers sur le parcours client ? - Mediaplanning, l’évolution des panels : comment Médiamétrie
s’est adaptée aux usages (panel mobile, panel tablette...). - Evolution des méthodes de calcul. - Les outils spécifiques au programmatique. Quels nouveaux
outils et indicateurs pour évaluer les campagnes bannières ?
z Réseaux sociaux : pilotage et données sociales - Mesurer votre réputation sur le Web : part de buzz, net
sentiment... - Quels indicateurs pour évaluer votre réputation sur Internet ? - Outils d’e-réputation (listening consumer) : fonctionnement. - Quels paramétrages à mettre en œuvre ? Zoom sur les
différents acteurs du marché. - Facebook Insight : évaluer la performance de votre community
management (nombre de fans, reach, viralité des posts...). - Twitter Analytics, Youtube Analytics, Simply measured... :
suivre votre présence sur les réseaux sociaux. - Publicité sur les médias sociaux : nouveaux ciblages et
pilotage des campagnes publicitaires sur les réseaux sociaux. - Plateforme de management social (Bringr, Hootsuite...) : bien
gérer vos prises de parole sur les réseaux sociaux.
« Il ne suffit pas de parler, il faut parler juste »(William Shakespeare)
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INTERVENANT
Caroline LEGROSAvocate, elle possède un doctorat de droit fiscal ob-tenu à l’Université Paris I Panthéon-Sorbonne. Elle a commencé sa carrière en
étant ATER puis chargée d’enseignement à Pa-ris I, activité conjuguée avec celle de rédactrice en droit fiscal et de formatrice auprès d’écoles de commerce et de management. Après un pas-sage dans un cabinet d’avocats international où elle se spécialise dans la fiscalité des entre-prises et des personnes, tant au niveau national qu’international, elle a ouvert son propre cabinet en 2010, dont le champ d’action couvre princi-palement le droit fiscal et le droit des affaires. Parallèlement à l’exercice de la profession d’avocat, elle dirige, depuis 2013, un MSc 2 en fiscalité, droit des affaires, conseil et gestion d’entreprise, au sein de l’école de commerce et de management INSEEC MSc MBA Paris.
Nul n’est censé ignorer la loi… y compris sur Internet. Loin d’être une zone de non-droit que d’aucuns décrivent, la Toile est non seulement soumise aux Codes civil et pénal mais aussi à un cadre juridique spécifique qui se bâtit au gré des lois et de la jurisprudence. Droits d’auteur, sécurisation des transactions en ligne, utilisation des outils numériques sur le lieu de travail… Il convient de connaître les risques et responsabilités que font peser les nouvelles technologies sur son entreprise afin d’éviter les contentieux en justice, souvent longs et coûteux. Ce séminaire vous permettra d’approfondir les aspects juridiques essentiels liés à l’utilisation d’Internet, particulièrement en matière d’e-commerce et de protection des données personnelles.
Jour 1
z Connaître l’environnement juridique d’Internet - Dissiper le mythe du vide juridique : le droit d’Internet et le droit
applicable à Internet. - Acquérir les connaissances générales habituelles en matière de cadre
juridique d’Internet. - Identifier les principaux acteurs en France et à l’étranger : ICANN, AFNIC,
CNIL, HADOPI... - Connaître le cadre juridique de la protection contractuelle spécifique à
Internet : la LCEN, la loi DADVSI... - Cerner les contraintes juridiques relatives à la protection du
consommateur dans les contrats à distance (BtoC). - Définir précisément les lois régissant la publicité sur Internet et leurs
implications concrètes.
z Sécuriser les contrats de vente et de prestations de services en ligne - L’acceptation de l’offre de vente et la conclusion du contrat de vente
sur Internet. - Appliquer les obligations de l’acheteur et du cybervendeur : les points de
vigilance. - Les modalités de mise en jeu des responsabilités juridiques dans le
cadre du e-commerce. - Les ventes réalisées à l’étranger : la question du droit applicable.
Droit et Internet : risques et responsabilités de l’entreprise
Internet et technologies web
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : IRR
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 € HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
31 mars-1 avril16-17 juin29-30 septembre8-9 décembre
70 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
- La gestion de la contrainte du droit de rétractation du consommateur. - Les risques encourus dans l’hypothèse de non-respect des
obligations d’un cybervendeur.
z Identifier et limiter les risques liés aux données personnelles - Les différentes atteintes à la vie privée des clients ou des
salariés de l’entreprise. - La gestion de la problématique de l’usurpation d’identité. - La diffamation, l’injure et le dénigrement : comment les
appréhender ? - La nécessaire modération des contenus et les modalités de
filtrage des commentaires. - Le respect des règles de collecte des données personnelles :
conservation, archivage, confidentialité. - Le droit d’accès et de rectification des données personnelles. - Le dialogue avec la Commission Nationale Informatique et
Liberté (CNIL). - L’e-réputation et le droit à l’oubli : les récentes évolutions
réglementaires. - La question de la protection des données personnelles et les
difficultés afférentes.
Jour 2
z Cerner les responsabilités liées à la diffusion d’un contenu illicite en ligne - L’identification du responsable au niveau juridique. - La problématique éditeur/hébergeur : la distinction des
responsabilités de chacun. - Les modalités de mise en œuvre de la responsabilité juridique. - Le régime de la preuve de l’infraction. - Les différentes sanctions applicables. - Exemple de mise en jeu de la responsabilité juridique de
l’entreprise.
z Sécuriser efficacement les transactions et les paiements en ligne - La notion de fourniture de service de paiement. - L’usurpation d’identité sur Internet : recours et
conséquences. - La question de la révocabilité de l’ordre de paiement par carte
bancaire. - La responsabilité en matière de sécurité des transactions. - La protection des données : la cryptologie. - Etude d’un cas relatif au paiement en ligne.
z Publicité sur Internet : quelles sont les contraintes ? - Le cadre juridique global de la publicité sur Internet. - Les règles spécifiques de la prospection commerciale par
e-mailing. - Les sanctions applicables. - Etude d’un cas réel de litige relatif à la publicité en ligne.
z Eviter et gérer les contentieux liés à Internet - Les différents types de litiges possibles. - Le traitement des échanges internationaux de biens et de
services par Internet. - La problématique des faits commis à l’étranger. - Etude d’un cas de contentieux lié à Internet.
z Droit du travail et Internet : savoir limiter les conflits. - Le surf sur Internet : les droits et obligations des salariés. - Les modalités de contrôle de l’utilisation d’Internet par les
salariés. - Les modalités de contrôle de l’utilisation de la messagerie par
les salariés. - Les modalités d’accès par l’employeur au poste de travail et à
la messagerie des salariés. - L’intérêt de la création d’une charte interne à l’entreprise. - L’indispensable suivi de la jurisprudence en la matière. - Les différents arrêts rendus par les cours d’appel et la Cour
de cassation.
« Avec Internet, la sphère privée telle que nous la connaissions ne peut plus exister »
(Eric Schmidt, Google)
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INTERVENANT
Gérard COHENDocteur d’Etat en Ges-tion, diplômé d’HEC, ti-tulaire d’une maîtrise de droit et ès lettres, il a une expérience de plus de 25
ans en tant que directeur de l’organisation et des systèmes d’information, puis de directeur de département dans plusieurs grands groupes industriels. Il se considère comme un théoricien de l’art de la guerre appliqué aux affaires, sujet qui occupe sa réflexion depuis l’origine. Sa car-rière se partage entre l’entreprise, le consulting et l’enseignement supérieur. Aujourd’hui, il s’oc-cupe activement d’entrepreneuriat et anime des séminaires de formation.Publications - Les Nouveaux Samouraïs (« Ou comment les Japonais appliquent l’art de la guerre à la conquête économique du monde », essai, Laffont)- De la guerre industrielle (Traité de guerre industrielle, essai, Dunod)- Un Vent mauvais (Histoire et métahistoire, essai, CreateSpace-Amazon.fr).- La Marche de l’Immobilité (CreateSpace-Amazon.fr).
La réussite en affaires ne s’improvise pas : elle nécessite technique et vision. Du marketing au pricing, une entreprise doit soigner le positionnement concurrentiel de sa gamme de produits et services, puis s’appuyer sur le bon réseau de distribution et de communication. Elle doit aussi se doter d’une stratégie qui l’aidera à maintenir le cap lors des périodes difficiles et d’incertitude. La révolution numérique ouvre ainsi de nouvelles problématiques mais aussi de nouvelles opportunités qu’il faut savoir anticiper à temps. Après avoir abordé les différents outils méthodologiques (les matrices SWOT, McKinsey, Arthur D. Little…), ce séminaire, riche en études de cas, parcourera toutes les composantes d’une stratégie d’entreprise réussie.
Jour 1
z Les éléments constitutifs d’une entreprise - Des fonctions. - Une systémique. - Une logique. - Une organisation. - Comment la révolution numérique va-t-elle transformer le modus
operandi ?
z La définition de la stratégie : outils méthodologiques et conceptuels - Les concepts de base : politique, stratégie, tactique, engagement. - Quelques principes stratégiques fondamentaux. - La matrice SWOT : menaces / opportunités, forces / faiblesses,
synthèse. - La matrice de Porter : les concurrents, les nouveaux entrants, les
clients, les fournisseurs, la technologie. - La matrice McKinsey : attrait du marché et intérêt de l’activité. La
notion de position relative. - La matrice Arthur D. Little : son apport. Les cas privilégiés d’application.
Les principales contre-indications. - Les matrices Boston Consulting Group 1 et 2 : domaines d’activités
stratégiques (DAS), Part de Marché Relative (PMR). - Les «vaches à lait», « dilemmes » et autres cas de figure. - Les actions par les coûts ou par la « compétence distinctive ».
Les clés du management d’entreprise
Management d’entreprise
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : MBA
Durée : 3 jours
Prix HT : 2 680 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
22-24 mars6-8 juin5-7 septembre5-7 décembre
72 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
Jour 2
z Les volets 1 et 2 de l’analyse marketing : l’amont, le produit - L’amont. - La veille générale, technologique et marketing, environnement
de l’activité. - Les sources d’information. - Les domaines à suivre. - Les moyens à mettre en œuvre. - Le produit. - L’optique usuelle et large du produit. - Le positionnement produit et la notion d’avantage distinctif. - La courbe de vie. - La gamme produit.
z Les volets 3 et 4 : le marché, la concurrence - Le marché. - La détermination d’un marché : parc / marché, volume / valeur,
valeur absolue et pourcentage, techniques de segmentation. - Les notions de cible et de ciblage. - La pénétration et le taux de pénétration. - Les études de marché : quantitatives et qualitatives. Test de
l’idée, base de sondage, échantillonnage. - La construction et l’administration du questionnaire. Le
traitement des informations. - Le cas particulier du point de vente : courbe isochrone et
merchandising. - La concurrence. - La concurrence qui ne tombe pas sous le sens immédiat. - Les concurrents directs. - Les concurrents indirects.
z Les volets 5 et 6 : la distribution, la communication - La distribution. - Le produit mis à portée du consommateur. - Le circuit long / Le circuit court. - Le canal vs le circuit. - Le marketing du point de vente (MPV). - La communication. - L’image positive véhiculée de sa marque. - Les attributs, critères de choix, croyances, attitudes,
comportements, fidélité. - Le groupe de référence. - Le leader d’opinion. - Les techniques de promotion des ventes.
Jour 3
z Les volets 7 et 8 : le pricing, la synthèse - Le pricing. - Quel prix choisir pour quelle marge ? - L’élasticité-prix. - Le prix psychologique. - Le compte de résultat prévisionnel de l’activité et ses
paramètres. - La synthèse. - L’art et la manière d’assembler toutes les étapes qui
précèdent une synthèse globale. - Le mix marketing : les 4 « P » et les 8 « A ». - La typologie différentielle : marketing des produits grand
public, industriels et des services. - Le construction du plan marketing : les étapes clés.
z Les concepts comptables et financiers fondamentaux - La fonction financière et ses composantes : comptabilité
générale, analyse financière, « corporate » finance, etc. - Les éléments essentiels de comptabilité française et anglo-
saxonne. - Les documents comptables de base de l’analyse financière :
bilan, compte de résultat. - Les états annexes : immobilisations, amortissements,
provisions, état des créances et des dettes, etc.
z L’analyse financière : les bonnes pratiques - A partir du compte de résultat : quel est mon résultat et
comment se génère-t-il ? - Les soldes intermédiaires de gestion (SIG). - La capacité d’autofinancement (CAF). - Le point mort. - Le compte de résultat différentiel. - A partir du bilan : quelle est ma rentabilité ? Quelle est la
solidité de ma structure ? Quid en cas de fermeture ? - Quelle est la qualité de mon exploitation ? - La notion de bilan fonctionnel et financier. - Le fonds de roulement et le besoin en fonds de roulement. La
trésorerie. - Le crédit client et fournisseur, la rotation des stocks. - Le fonds de roulement normatif prévisionnel. - Le tableau de financement. Quelques ratios pertinents :
structure, rentabilité, activité. - L’investissement : la décision, l’actualisation, la rentabilité. - Un outil de synthèse : le tableau de bord.
« La meilleure façon de prédire l’avenir, c’est de le créer »
(Peter Drucker, « pape » du management)
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INTERVENANT
Henri PUISSANTCEO d’I-Training & Ser-vices, un cabinet de conseil, il est diplômé en management et straté-gie d’entreprise, titulaire
d’une maîtrise de mathématiques. Il a partici-pé à la mutation du Crédit Agricole comme DSI, puis restructuré l’informatique de la branche Retraite du Groupe Caisse des Dépôts. Il a diri-gé la fonction Système d’Information du Groupe Caisse des Dépôts en tant que Directeur dé-légué d’Informatique CDC et conduit des poli-tiques de sous-traitance dans des contextes sociaux difficiles. Il est spécialiste de l’organisa-tion des services informatiques, en a construit, fusionné et séparé un grand nombre. Il anime des séminaires et des formations sur la gou-vernance informatique, la gouvernance d’entre-prise, la prospective, l’architecture d’entreprise, la Qualité, COBIT, CMMI, Prince2®, ITIL®, P-CMM, eSCM … Il intervient dans la mise en place des démarches fondées sur les bonnes pratiques, l’offre de service et le système de facturation afférent, effectue des audits et diagnostics des SI et coache des chefs de projets importants.
Entre maîtrise des coûts et création de valeur, des méthodes éprouvées permettent d’assurer la bonne gouvernance d’une entreprise qu’il s’agisse de mesurer son activité (Balanced Scorecard, ABC), d’aligner son système d’information sur les enjeux business (Cobit, ITIL®) ou de mettre en œuvre des plans qualité (normes ISO). Riche en exemples concrets, ce séminaire explore ces diverses méthodes de gouvernance ainsi que les outils nécessaires au développement de la stratégie et au pilotage de l’entreprise. Vous apprendrez comment mettre en place le cadre organisationnel vous assurant une prise de décision optimale. Il s’agira aussi de bâtir les tableaux de bord et les différents niveaux de reporting afin de démontrer les gains de performance.
Jour 1
z Définitions et principes fondamentaux - La définition des concepts : déontologie, éthique, autorités de régulation
et de contrôle, règlementations et normes. - L’évolution du contexte et conséquences pour l’entreprise actuelle :
basculement des entreprises dans la Cybersphère. - Un nouveau monde, un nouvel homme, l’entreprise numérique, l’usine
4.0 : implications pour la gouvernance d’entreprise. - Un système de gouvernance favorisant l’empowerment : principes
fondamentaux, référentiels et normes. - Les apports et modalités d’intégration de la DSI dans la direction
générale de l’entité.
z Le management stratégique - Le management stratégique, tactique et opérationnel : définitions,
répartition des rôles et des responsabilités. - La stratégie de l’entreprise : la poursuite de la valeur, l’évolution des
attentes des parties prenantes... - Les nouveaux lieux de création ou de destruction de valeur : uberisation,
robotisation, Long Tail... - Le rôle du CDO (Chief Digital Officer). - La stratégie : établir des scénarios, fixer des objectifs. Le tableau de
bord prospectif (Balanced Scorecard).
Gouvernance d’entreprise : stratégie, risques et projets
Management d’entreprise
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : GOE
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
7-8 avril23-24 juin17-18 octobre19-20 décembre
74 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
- La gestion des risques : image, Business Intelligence, traitement et formalisation des différents risques. - La performance : benchmarks, utilité et méthodes. - La communication avec les conseils d’administration et
parties prenantes : organiser et produire des documents.
z Le management tactique ou pilotage - La modélisation de l’entreprise : rôles et enjeux. - L’entreprise vue comme système de processus et de services. - La représentation du monde réel, les référentiels de données,
le Big Data : définition, enjeux et perspectives. - L’alignement stratégique : définir les choix tactiques (CFS,
KPI) et définir les projets. - L’externalisation en question : de la sous-traitance à
l’outsourcing.
Jour 2
z Piloter les projets - Qu’est-ce qu’un projet ? Les différences entre projets et
opérations. - L’alignement stratégique et le portefeuille de projets :
régulation, discrimination, pilotage, étude économique. - Les meilleures pratiques de management des projets :
PMBOK, Prince 2®, ISO 21500... - Les nouvelles méthodes de management de projet : Scrum,
RUP, avantages, inconvénients... - La planification des projets : découpage, détermination des
charges et des responsabilités, gestion des risques. - La bonne gouvernance des projets : principes fondamentaux,
organisation, management multiprojet...
z Piloter les opérations - Planifier l’activité et les ressources, mettre les ressources en
adéquation avec la demande (les méthodes ABC, ABB). - Maîtriser les outils, les stratégies d’approvisionnement et de
réduction de coûts, la rationalisation des achats. - Piloter au quotidien de la chaîne de la valeur : son maintien en
conditions opérationnelles. - Optimiser le fonctionnement : contrôler l’efficacité et
l’efficience des processus (Qualité, Lean Six Sigma, ABM). - Gérer le portefeuille de processus et services : déterminer,
planifier et gérer les changements. - Contrôler la création de valeur : le système Client Fournisseur,
la mesure de la satisfaction, la chaîne de causalités.
- Organiser et piloter la sous-traitance : la gestion des fournisseurs, les référentiels de meilleures pratiques...
z Piloter le capital humain - Définition et problématique : règlementation, lois
sociologiques, nouveaux risques... - De nouveaux acteurs : les Digital Natives. De nouveaux styles
de management. - Gouvernance des savoirs : l’entreprise apprenante, l’impact de
la sous-traitance... - Alignement du Capital Humain et de la stratégie de
l’entreprise. Cartographie des compétences. - Référentiels de meilleures pratiques (P-CMM). - Prise de responsabilité, intrapreunariat. - Développement des compétences et de l’innovation :
l’absorptive capacity.
« La gouvernance devrait être un aiguillon de haute performance, un souffle d’énergie ; elle doit contribuer à la création de valeur durable pour l’organisation »
(Yvan Allaire et Mihaela Firsirotu, professeurs)
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INTERVENANT
Daniel MAHESpécialiste des projets informatiques, il a, dès sa sortie de l’Université, mené des développe-ments de logiciels dans
les secteurs de la recherche, des télécommu-nications et enfin de l’industrie. Puis il s’est consacré à des programmes plus ambitieux de refonte complète de systèmes de mana-gement, d’aides financières et de mesures de l’environnement. Il rejoint en 2008 le cabinet PwC, en tant que Directeur Consulting IT, pour se concentrer sur ses domaines de prédilec-tion : le management des grands projets et la gestion des risques Projet. A ce titre et comme membre de l’AFAI (Association Française d’Au-dit et de conseil en Informatique), il mène l’audit de grands projets et de portfolios de projets au sein de DSI de grands groupes. Il se consacre aujourd’hui à l’art de diriger un projet au cœur des contraintes de l’entreprise, sur sa maîtrise financière et son alignement stratégique.
La transformation numérique n’est pas que technologique. Elle est aussi humaine, managériale et financière. Le digital conduit l’entreprise à repenser son modèle économique et ses processus internes, à adopter de nouveaux standards et à optimiser sa structure. Pour accompagner ces mutations organisationnelles, ce séminaire se propose de revoir le rôle du management et de la conduite de projet. Il s’agit aussi de lever les résistances au changement en emportant l’adhésion de tous les collaborateurs par des actions de motivation, de communication, d’innovation participative, de gestion des talents. Ce qui suppose aussi d’associer étroitement la DSI, la direction des ressources humaines et le management intermédiaire.
Jour 1
z Les transformations dans les organisations - Les buts internes des transformations : renforcer la compétitivité,
repenser l’efficacité, accélérer la croissance... - Les causes externes : s’adapter à une nouvelle donne réglementaire, se
repositionner après fusion ou acquisition... - Les différentes typologies : modification de processus, mise en place
d’une nouvelle application, restructuration... - Les éléments communs des transformations et leur place dans les
organisations.
z La conception du projet de transformation - De la situation actuelle à la cible : les éléments clés de l’analyse. - Le choix des modalités de gouvernance : du directif au participatif et la
gradation des possibilités. - La modélisation des futurs process, règles et standards. - Les nouveaux aspects ressources humaines, les profils, les postes, le
staffing et l’acquisition des compétences. - L’identification des changements structurels, organisationnels,
techniques et culturels. - Le business case du projet : budget et ROI du projet, les gains métier et
financiers attendus.
Transformer une organisation : les clés de la réussite
Management d’entreprise
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : TFO
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
10-11 mars12-13 mai8-9 septembre8-9 décembre
76 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
z Les acteurs du projet - Le rôle du management : la place du sponsor et des parties
prenantes au projet. - L’engagement des managers : les attitudes attendues et les
actions demandées, le timing d’intervention du management. - L’équipe projet : les compétences nécessaires, l’assistance
de consultants spécialisés. - Les contributeurs : la Direction des Ressources Humaines, les
services juridiques et la DSI.
Jour 2
z Les étapes du projet - L’analyse de la transformation, les éléments de vision
stratégique et les objectifs du projet. - La collecte des informations sur la structure actuelle : quelles
données et comment les organiser ? - L’étude de la cible : processus métier, processus de
management et processus support. - L’étude de la cible : indicateurs clés, organisation,
compétences, impacts légaux, installations et équipements. - La conception du projet : évaluer les scénarios possibles,
définir les priorités, développer les axes d’amélioration. - La création ou l’adaptation des outils : procédures, définitions
de poste, formations, documents, outils informatiques. - La définition du planning détaillé du projet, les phases de
transition, les pilotes et la mesure des résultats. - Les actions de transition et de communication. Motiver et
soutenir. Piloter et ajuster. - L’évaluation de l’atteinte des objectifs et la communication
sur les résultats du projet.
z Savoir lever les résistances - L’analyse systémique de la transformation et de ses impacts. - Les axes d’analyse de la transformation : métier, structure,
ressources humaines, juridique, technique et culturel. - Les causes profondes des résistances : typologie des
comportements des acteurs impactés. - La logique du changement : les cinq phases de réaction et les
principaux pièges. - L’impact du changement sur les opérations : dynamique de
transformation et phénomènes d’essoufflement du projet. - Les outils de la transformation : communication, participation,
expérimentation, diffusion, documentation et formation. - L’adhésion des acteurs à la vision, l’identification et la gestion
des talents.
z Focus sur le management du projet - Le management du projet : plan projet, planification, suivi et
contrôle des changements. - Le plan de communication interne : personnes directement
impactées, management, représentants sociaux... - La communication externe : clients, fournisseurs et
partenaires. - La gestion des risques et les facteurs de succès. - Les indicateurs de suivi et le tableau de bord du projet,
l’emploi des enquêtes.
« Apprenez à vous occuper de vos employés, le reste suivra »
(Richard Branson, Virgin)
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 77
INTERVENANT
Daniel MAHESpécialiste des projets informatiques, il a, dès sa sortie de l’Université, mené des développe-ments de logiciels dans
les secteurs de la recherche, des télécommu-nications et enfin de l’industrie. Puis il s’est consacré à des programmes plus ambitieux de refonte complète de systèmes de mana-gement, d’aides financières et de mesures de l’environnement. Il rejoint en 2008 le cabinet PwC, en tant que Directeur Consulting IT, pour se concentrer sur ses domaines de prédilec-tion : le management des grands projets et la gestion des risques Projet. A ce titre et comme membre de l’AFAI (Association Française d’Au-dit et de conseil en Informatique), il mène l’audit de grands projets et de portfolios de projets au sein de DSI de grands groupes. Il se consacre, aujourd’hui, à l’art de diriger un projet au cœur des contraintes de l’entreprise, sur sa maîtrise financière et son alignement stratégique.
Comment impulser le changement en mobilisant tous les acteurs ? Face à la mondialisation et au tsunami numérique, les entreprises se trouvent dans l’obligation de s’adapter continuellement à leur environnement, de réorganiser leurs modes de fonctionnement et de faire évoluer leurs produits et services. Le choix de la stratégie de changement et de ses modalités est crucial. Il faut choisir un mode de gouvernance, définir les principes du changement par entités et étapes, et surtout opter pour une approche éprouvée parmi les méthodologies proposées. Ce séminaire passe en revue les différentes écoles de conduite du changement (Kotter, Prosci, Autissier…) et leurs approches, tout en les illustrant de divers retours d’expérience.
Jour 1
z L’émergence de la conduite du changement - Variété des origines et des principes : le comportementalisme, la
réingénierie des processus, l’analyse des risques... - Dominance des pratiques basées sur les sciences humaines : le
behaviourisme, l’analyse cognitive, la psychodynamique... - Du changement individuel au changement organisationnel : prise en
compte des procédures, outils, espaces de travail... - Les leçons des échecs de la conduite du changement : prendre en
compte les aspects humains (adhésion, croyances...). - Les tendances actuelles de la conduite du changement : intégrer et
mixer plusieurs approches pour garantir le succès.
z Les écoles de la conduite du changement - Kotter, une démarche holistique en huit étapes : méthode, cibles,
applications, exemples et expériences. - Prosci, méthode et techniques de pilotage opérationnel du
changement : le changement comme un processus en trois étapes. - L’Ecole de Boston (Harvard, MIT) et les bases du leadership du
changement organisationnel : le leader et l’influence. - Autissier et l’école française : une démarche cartésienne et
structurante, fondée sur un cycle de trois phases.
Réussir le changement : les stratégies gagnantes
Management d’entreprise
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : REX
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
7-8 avril23-24 juin22-23 septembre1-2 décembre
78 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
Jour 2
z Choisir une méthode de conduite de changement gagnante - Les éléments déterminants : le niveau de maturité de
l’entreprise, l’implication des managers, le périmètre du projet... - La définition des contextes : concurrence accrue, fusion/
mutualisation, adaptation technologique, restructuration... - La définition des changements : nouvelle organisation,
nouvelle stratégie, nouveaux produits ou services... - Les impacts sur les équipes : outils, conditions de travail,
processus, finalités collectives, système de valeur... - La mobilisation des acteurs : cartographie des acteurs
impliqués, valorisation et communication de mobilisation. - Le cadre d’action des RH : les métiers impactés, les
compétences associées, le diagnostic des risques psychosociaux... - La valorisation du capital humain : optimiser les carrières,
attirer les talents et favoriser la mobilité. - La gestion des équipes : favoriser l’engagement collectif et
renforcer l’efficacité des pratiques du management. - L’amélioration continue et durable : suivre les changements et
leur progression dans le temps, rendre compte des écarts. - Les critères de performance : atteinte des objectifs,
satisfaction des clients, respect du planning et du budget... - L’adoption du changement par les équipes : vitesse
d’adoption, utilisation finale, développement des compétences...
z Perspectives sur l’évolution de la conduite du changement - L’exigence des entreprises pour des approches fiables,
rigoureuses et opérationnelles de la conduite du changement. - L’absence d’organisation reconnue et officielle pouvant
qualifier ou auditer les méthodes de conduite de changement. - L’intégration de la conduite de changement avec la gestion de
projet : générer des résultats avérés et contrôlables. - Améliorer la qualité de la gestion de projet en y intégrant plus
de techniques issues de la gestion du changement. - L’importance d’une méthodologie unifiée pour assurer la
réussite d’un projet et d’un changement organisationnel. - Un modèle d’audit de la conduite du changement : critères et
mesures pour auditer un projet de changement.
- Le modèle COSO-ERM pour la conduite du changement et l’adaptation de son cadre méthodologique à la gestion des risques. - Tableau de bord du portfolio de changements : approche
structurée, outils de gestion d’un portefeuille de changements.
z Retours d’expériences sur la conduite du changement - Exemples détaillés de techniques et méthodes de conduite de
changement utilisées dans les entreprises. - Focus sur la méthode EDF-Litchi : une expérience réussie de
déploiement d’un nouvel outil de gestion en entreprise. - Focus sur une méthode de changement mise en œuvre dans
une société d’assurance : restructuration d’un groupe mondial. - Retours d’expérience : les multiples facettes de la conduite
des changements dans un environnement complexe.
« Les espèces qui survivent ne sont pas les espèces les plus fortes, ni les plus intelligentes, mais celles qui s’adaptent le mieux aux changements »
(Charles Darwin, naturaliste)
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INTERVENANT
Gianfranco FRANCIOTTIConseil en organisation, transformation et gouver-nance du SI, il est diplômé de l’école d’ingénieur de
Bologne en Italie, et a passé les dix premières années de sa carrière entre l’Italie, la France et le Canada dans la filière informatique où il a occupé diverses fonctions (chef de Projet, di-recteur Programme, responsable Qualité, pilote Portefeuille Projets). Suite à l’obtention d’un Executive MBA à l’Université de Paris Dauphine et à l’UQAM de Montréal, il s’est réorienté vers le conseil en performance d’entreprise. Dans cette seconde partie de carrière, il s’est spécialisé dans les méthodologies de management Lean Six Sigma avec l’obtention d’une certification Black Belt à l’Ecole Centrale de Paris. Il a piloté la Transformation Lean de plusieurs organisa-tions dans différents secteurs. Pour assurer la réussite de ces transformations, il a conçu une approche innovante fondée sur la combinaison de différentes méthodologies (Lean, Six Sigma, Théorie de Contraintes, Lean Startup).
Le Lean Management, une démarche d’amélioration continue des processus d’origine japonaise, permet d’éliminer les sources d’inefficacité et de gaspillage qui nuisent à la performance. Depuis sa popularisation par Toyota, l’application de ses principes a apporté des résultats convaincants, parfois spectaculaires. Mais le Lean n’est pas une approche statique. Elle se développe, évolue, s’étend en permanence. Ce séminaire parcourt l’histoire du Lean Management et du Six Sigma, de leurs origines jusqu’à leurs dernières évolutions, et montre comment appréhender et réussir une démarche d’amélioration de la performance. Si le Lean repose sur la stratégie des petits pas (Kaizen), il doit emporter l’adhésion de tous et notamment du management intermédiaire.
Matin
z Toyota Production System, Lean Management et Six Sigma : les origines - Le Toyota Production System : le contexte économique après la
Seconde Guerre mondiale. - Les 14 principes fondateurs du Toyota Production System. - Du Toyota Production System au Lean Management : l’analyse du MIT et
« le Système qui va changer le monde ». - Les principes fondateurs du Lean Management : de la Voix du Client au
flux tiré en minimisant les gaspillages. - La naissance du Six Sigma : de la TQM à l’approche statistique chez
Motorola. Les précurseurs de l’approche. - Les principes fondateurs du Six Sigma : maîtriser la variation des
processus comme clé pour atteindre le « 0 défaut ». - Lean Management et Six Sigma : comparatif des deux approches,
différences et similitudes. - Les synergies des deux approches : comment vitesse et qualité sont
liées et permettent d’obtenir le « 1+1=3 » ? - Plusieurs retours d’expériences sur l’approche intégrée : mises en
œuvre et critères d’utilisation.
Lean Management : état de l’art
Management d’entreprise
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : LME
Durée : 1 jour
Prix HT : 1 010 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
1er avril17 juin7 octobre16 décembre
80 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
z Applications dans l’industrie, les services et les SI - Le Lean Management dans l’industrie : domaines d’application,
spécificités d’implémentation et outils. - Le Lean Management dans les services : techniques et outils
d’implémentations, domaines couverts, spécificités... - La mise en œuvre du Lean Management : études de cas réels
et retours d’expérience. - Comment et pourquoi le Lean Management permet d’améliorer
la performance des fonctions support d’une entreprise ? - Les premières applications du Lean Management au
développement logiciel : le manifeste Agile. - Les méthodologies de développement logiciel inspirées du
Lean Management. - Les autres applications du Lean Management dans le système
d’information : l’alignement stratégique et la gouvernance. - L’application du Lean Management aux activités support du
système d’information. - La mesure de la performance et la mesure de la valeur créée
dans le système d’information. - Les exemples de mise en œuvre du Lean Management dans le
SI : études de cas réels et retours d’expérience. - Le Lean IT comme levier pour réussir la transformation digitale
de l’entreprise.
Après-midi
z Les applications les plus récentes : ToC LSS, Lean Startup et Running Lean - La théorie des contraintes : origines, principes fondateurs et
applications. - La théorie des contraintes : les goulots, le système « tambour,
tampon, corde ». Exemples d’application et études de cas. - Le Lean Six Sigma et la théorie des contraintes : comparatif
des deux approches, différences et similitudes. - Le Lean Six Sigma et la théorie des contraintes : les synergies
des deux approches, études de cas, retours d’expérience. - Le Lean Startup : origines, principes fondateurs et
applications. Les facteurs de succès. - Le Lean Startup : vision, pilotage et accélération. - Le Lean Startup : zoom sur la boucle de feedback « produire
mesurer apprendre ». - La méthode Running Lean : origines, principes fondateurs et
applications. - Du Lean Startup au Running Lean : similitudes et différences.
- La mise en œuvre d’une démarche Lean pour les startups, mais également pour d’autres types d’organisations. - Autres exemples d’applications : conception d’un nouveau
produit ou création d’un nouveau service...
z La transformation Lean : les facteurs clés pour réussir - Les impacts du Lean Management dans la répartition des
rôles et des responsabilités au sein d’une entreprise. - Comment réussir les changements de paradigmes des
acteurs de l’organisation ? - L’impact du Lean Management sur les relations managériales :
repenser le management. - Les prérequis et les facteurs clés de succès pour réussir sa
transformation Lean. - Des stratégies de déploiement alignées avec les principes de
la démarche Lean. - Des expériences réussies de transformation Lean.
« Tirer le profit le meilleur de ce qui est : s’ingénier à l’améliorer plutôt que de chercher à le changer »
(André Gide)
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INTERVENANT
Henri PUISSANTCEO d’I-Training & Ser-vices, un cabinet de conseil, il est diplômé en management et straté-gie d’entreprise, titulaire
d’une maîtrise de mathématiques. Il a partici-pé à la mutation du Crédit Agricole comme DSI, puis restructuré l’informatique de la branche Retraite du Groupe Caisse des Dépôts. Il a diri-gé la fonction Système d’Information du Groupe Caisse des Dépôts en tant que Directeur dé-légué d’Informatique CDC et conduit des poli-tiques de sous-traitance dans des contextes sociaux difficiles. Il est spécialiste de l’organisa-tion des services informatiques, en a construit, fusionné et séparé un grand nombre. Il anime des séminaires et des formations sur la gou-vernance informatique, la gouvernance d’entre-prise, la prospective, l’architecture d’entreprise, la Qualité, COBIT, CMMI, Prince2®, ITIL®, P-CMM, eSCM … Il intervient dans la mise en place des démarches fondées sur les bonnes pratiques, l’offre de service et le système de facturation afférent, effectue des audits et diagnostics des SI et coache des chefs de projets importants.
Alors que l’entreprise bascule dans un monde numérique et que les fournisseurs de services se multiplient, émerge une nouvelle fonction-clé : le Business Relationship Manager. A l’instar du CRM pour les clients externes, ce BRM identifie les besoins des métiers et s’assure que les prestataires retenus soient en mesure de les satisfaire via la gestion d’un catalogue de services, le suivi de niveaux d’engagement qualité et les enquêtes de satisfaction. Un poste stratégique, issu de la démarche ITIL®, et qui échappe à la traditionnelle division entre les études-développement et l’exploitation. Ce séminaire décrit le rôle et la posture du BRM au sein de la DSI. Il fournit aussi les concepts et techniques nécessaires pour assurer cette fonction.
Jour 1
z Perspectives d’évolution des entreprises et de leurs SI - La nouvelle donne : de nouvelles architectures des SI, Service-Oriented
Architecture, Resource Oriented Architecture. - Les offres Cloud (IaaS, PaaS, SaaS) Cloud public, Cloud interne, Cloud
hybride (usage, tendance, sécurité, pilotage). - Une 4ème révolution industrielle, l’entreprise numérique, l’industrie 4.0,
la robotique, la cobotique. - L’architecture d’entreprise : une structure symbiotique de la
cybersphère et de l’entreprise. - Le service comme atome de l’architecture d’entreprise : définition
centrée sur la valeur. - L’impact sur l’organisation de la DSI : la fin du bi-pôle Etude-
Exploitation, l’émergence de nouvelles fonctions.
z Emergence et rôle clé du Business Relationship Manager - Définition du rôle du Business Relationship Manager. - L’importance croissante de la fonction : l’éclatement de la chaîne de
valeur de l’entreprise et ses conséquences. - Management stratégique, tactique et opérationnel : définitions,
positionnement du Business Relationship Manager. - Des compétences requises à l’intersection des technologies et des
métiers : stratégie, marketing, techniques, etc.
Business Relationship Manager : les meilleures pratiques
Management d’entreprise
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : BRM
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
17-18 mars23-24 juin13-14 octobre15-16 décembre
82 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
- Maîtriser les relations métiers selon les niveaux stratégiques, tactiques et opérationnels. - Savoir évaluer la maturité de l’offre des fournisseurs au regard
des exigences business et assurer l’adéquation. - L’organisation de la fonction et la répartition des
responsabilités au sein de la DSI, définition de la matrice RACI. - Des normes et des référentiels de bonnes pratiques : ISO
20000, ITIL®, CMMI for services.
z Le BRM, partenaire stratégique et tactique de l’entreprise - Comprendre comment se forment les demandes des métiers. - Maîtriser les processus relatifs au management des relations
stratégiques. - Comprendre la stratégie, modéliser l’écosystème de
l’entreprise : le modèle des forces de Porter, l’analyse SWOT. - Intégrer la gestion des risques : types de risque, traitement et
formalisation des différents risques. - Comprendre le management des biens stratégiques, les
trajectoires d’innovation. - Comprendre l’architecture de l’entreprise : les lieux de
création ou de destruction de valeur. - L’alignement stratégique : la définition des choix tactiques,
les facteurs critiques de succès et les KPI. - Les stratégies et tactiques d’outsourcing : sous-traitance,
coopération, coopétition – vue globale du référentiel e-SCM (CL & SP).
Jour 2
z La gestion du portefeuille de services et la création de valeur - Définition du portefeuille de services et du catalogue de
services : définitions, périmètres, interactions. - L’étude économique des services : le business case du
service, sa constitution, son cycle de vie. - Le management du portefeuille de services garant de la
création de valeur. - La création des services, l’établissement des priorités,
l’équilibre stratégique du portefeuille. - La transition des services au sein des processus business. - Le pilotage des services : création ou destruction de valeur et
retrait des services. - Les tableaux de bord et le pilotage de la valeur.
z Le Business Relationship Management et le Customer Relationship Management - Business Relationship Management et marketing relationnel :
l’établissement de relations de confiance durables. - Le Customer Relationship Management : un outil de partage
entre tous les acteurs qui interviennent sur les services. - L’anticipation des besoins de l’entreprise : captation des
exigences des métiers. - La mesure et le suivi de la satisfaction client et les Service
Level Agreement (SLA). - La gestion des réclamations clients. - La communication : l’information et l’organisation du
reporting.
« 30% des DSI jugent qu’elles n’ont pas ou peu d’outils pour communiquer vis-à-vis des métiers… »
(Zineb El Hassani, Devoteam Consulting)
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INTERVENANT
Philippe ARGOUGESProfessionnel de la forma-tion, avec une expérience de près de trente ans dans ce domaine, acquise au sein des entités for-
mation de plusieurs sociétés multinationales (Sun Microsystems, Parametric Technology, Mi-crosoft), tant sur le plan pédagogique que ma-nagérial, il a une formation d’ingénieur à l’Ecole Centrale Lyon. Depuis sept ans consultant et formateur en communication écrite et orale, il est spécialisé dans le domaine de la forma-tion : formation de formateurs, management de la formation, création de plans de formation, nouvelles techniques de formation, etc. En pa-rallèle, il propose aux entreprises des services d’accompagnement à la formation, comme l’écriture de documentation de formation, le développement ou l’animation de parcours de formation ou le développement de nouvelles modalités d’apprentissage.
La loi du 5 mars 2014 est venue bouleverser l’univers plutôt stable de la formation professionnelle en France. Elle introduit notamment le Compte Personnel de Formation (CPF), en lieu et place du DIF, et un entretien professionnel qui précise l’évolution de carrière du salarié et ses souhaits de formation. Est-ce une simple évolution ou une vraie révolution ? Ce séminaire explore les nouveautés concrètes de la loi et leurs conséquences. Il met aussi en valeur les nouveaux dispositifs de formation à distance qu’autorise le numérique avec l’e-learning, les serious games ou les MOOC. Pourquoi ne décollent-ils pas en France sachant que 91% des formations dispensées sont en présentiel ? Le séminaire apportera quelques éléments de réponse en mettant en avant les bonnes pratiques en la matière.
Jour 1
z Identifier les orientations ayant présidé à la rédaction de la loi - La nécessaire simplification. - De l’obligation de payer à l’obligation de former. - A qui profite la formation professionnelle ? - Le besoin de contrôle et les risques associés. - Comment garantir le professionnalisme des formations ? - Le rôle des Organismes Paritaires Collecteurs Agréés (OPCA). - La formation, le diplôme et la certification professionnelle. - La formation professionnelle est-elle efficace ?
EchangesLa formation professionnelle en France, partage d’expériences.
z Mettre en avant les nouveautés concrètes de la loi et leurs conséquences - Contribuer moins, former mieux : qu’en est-il vraiment ? - Déconnecter la formation professionnelle des besoins de l’entreprise. - Du DIF au CPF : quels sont les changements ? - L’entretien professionnel : comment vraiment parler du développement
de ses collaborateurs ? - Des plans sur le long terme : est-ce réaliste ? - Le développement du rôle de support des OPCA. - Panorama de l’ensemble des dispositifs. - Ce qu’il reste à préciser, ce qui devra encore évoluer.
EchangesDiscussions sur les nouveautés mises en application depuis le 1er janvier 2015, partage d’expériences.
Pilotage de la formation professionnelle : synthèse et perspectives
Management d’entreprise
Voir tous nos séminaires à Bruxelles, Genève et Luxembourg au planning p.88
Réf. : EVF
Durée : 2 jours
Prix HT : 1 950 €HT
Prochaines sessions 2016
Paris etLa Défense
31 mars-1 avril23-24 juin6-7 octobre15-16 décembre
84 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected]
z Expliquer la réalité de la situation en France - Les chiffres de la formation professionnelle en France. - Que s’est-il passé depuis l’entrée en vigueur de la loi ? - La formation peut-elle aussi apporter quelque chose aux
collaborateurs ? - Les modalités de formation en France : surtout le stage
présentiel. - Analyse-t-on vraiment les retours ? - Comment parle-t-on de la formation à ses collaborateurs
aujourd’hui ? - La réalité du DIF et le futur du CPF : la situation aujourd’hui. - Vos nouveaux collaborateurs savent-ils se former ?
EchangesDiscussions sur les pratiques et les changements induits par la nouvelle loi dans leurs entreprises respectives. Comparaison par rapport aux dispositifs dans les autres pays, partage d’expériences.
Jour 2
z Identifier les méthodes de formation et leur utilisation en entreprise - Ce qu’on peut faire avec les nouvelles technologies : vidéos,
tutoriels, etc. - La révolution technologique a-t-elle touché la formation ? - L’e-learning : une évolution plutôt qu’une révolution. - Reparlons concrètement de Serious Games. - Les MOOC, de l’effet de mode à un usage raisonné : ont-ils leur
place en entreprise ? - S’appuyer sur les outils mobiles en formation : téléphones,
tablettes. - Du bon usage des classes virtuelles : comment les mettre en
place, les présenter, les utiliser ? - Les fausses bonnes idées et les vrais bénéfices. - Combinons et recombinons : la multimodalité.
ExemplePrésentations d’exemples concrets, discussions et échanges sur l’efficacité des différents dispositifs, partage d’expériences.
z Présenter les évolutions dans le pilotage de la formation professionnelle - En quoi la loi favorise-t-elle ces évolutions ? - Besoins de l’entreprise et envies du collaborateur : intégrer
l’un et l’autre. - Formation professionnelle et CPF.
- Diplôme et certification professionnelle : doit-on les prendre en compte, et comment ? - Comment bien utiliser des formateurs internes ? - Et si on s’intéressait vraiment à l’efficacité des formations ? - Du stage au processus intégré d’apprentissage. - Mettre en place des sessions de suivi. - Utiliser concrètement tous les dispositifs de la formation
professionnelle.Réflexion collectiveDiscussions et échanges sur les diverses possibilités et perspectives d’évolution, partage d’expériences.
z Vendre la formation et ses nouvelles modalités dans son entreprise - Les programmes de formation et la manière de les présenter. - Mettre en avant les bénéfices pour les différents acteurs :
apprenants, managers, etc. - Les nouvelles modalités de formation : un atout ou un frein ? - Convaincre les réticents et combattre les idées reçues. - Quelques idées pour faire évoluer les mentalités. - Intégrer les nouvelles modalités de formation dans la
présentation aux IRP. - Vendre l’e-Learning, les MOOC ou les classes virtuelles.
EchangesDiscussions et partage d’expériences sur la présentation de parcours de formations intégrant diverses modalités, échanges d’idées.
« …La loi a déplacé la responsabilité de l’entreprise vers une obligation effective de former »
(Laurent Amice, Université de Technologie de Troyes)
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Planning des séminaires 2016 - ParisLa transition digitale réf. page durée prix fév. mars avril mai juin j./a. sept. oct. nov. déc.
Entreprise numérique : enjeux et perspectives TUN p. 6 2 j 1 950 € 7 9 6 15
Stratégie digitale : les clés de la réussite Nouveau SDG p. 8 2 j 1 950 € 31 23 6 15
Le digital : l’impact sur les métiers DIJ p. 10 2 j 1 950 € 7 16 29 8
Les enjeux juridiques de la révolution digitale (Big Data, Cloud, Mobilité …) Nouv. RDJ p. 12 2 j 1 950 € 31 23 6 15
Entreprise numérique : conduite du changement CHN cf @ 2 j 1 950 € 4 13 19 19
Chief Digital Officer : les clés du métier CDO cf @ 2 j 1 950 € 3 23 29 1
Marketing digital : synthèse et tendances Nouveau MAK p. 14 3 j 2 680 € 22 7 4 6
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Smart Cities, enjeux et perspectives pour la ville et les territoires du futur SGD p. 20 2 j 1 950 € 24 2 22 15
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Le digital : technologies et applications réf. page durée prix fév. mars avril mai juin j./a. sept. oct. nov. déc.
La révolution digitale : synthèse sur l’évolution des technologies NTI p. 22 3 j 2 680 € 7 14 4 13
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L’entreprise face aux défis du Cloud, BYOD et Big Data MBD p. 26 2 j 1 950 € 31 9 3 5
Bring Your Own Device (BYOD), enjeux et solutions BYO cf @ 2 j 1 950 € 14 9 8 9
Plateformes et applications mobiles : état de l’art des solutions techniques PLM cf @ 2 j 1 950 € 17 16 13 15
User Experience : état de l’art et tendances en ergonomie et IHM Nouveau IUT p. 28 2 j 1 950 € 31 23 6 15
Impression 3D : synthèse et perspectives Nouveau IPD p. 30 2 j 1 950 € 17 16 13 8
Management des systèmes d’information réf. page durée prix fév. mars avril mai juin j./a. sept. oct. nov. déc.
Gouvernance informatique : synthèse GOU p. 32 3 j 2 680 € 11 13 11 6
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DSI, l’adaptation aux nouveaux enjeux du digital TND cf @ 2 j 1 950 € 7 9 6 8
DevOps, démarche et mise en œuvre DOE p. 34 2 j 1 950 € 7 6 5 7
Relations DSI-Métiers à l’ère du digital DSM cf @ 2 j 1 950 € 14 16 6 8
Analyse de la valeur des systèmes d’information AVA cf @ 3 j 2 680 € 18 7 12 12
Qualité du SI : mettre en place une stratégie efficace STQ cf @ 2 j 1 950 € 21 30 13 15
Sous-traitance informatique : piloter l’externalisation SST cf @ 2 j 1 950 € 24 16 13 15
Maîtriser les coûts informatiques MCO cf @ 2 j 1 950 € 4 16 6 1
Construire l’offre de services de la DSI SCL cf @ 2 j 1 950 € 24 23 13 15
Promouvoir les services de la DSI : stratégie marketing MKS cf @ 2 j 1 950 € 7 9 6 8
DSI : anticiper et gérer une crise GCI cf @ 2 j 1 950 € 7 16 13 8
Management du SI : risques juridiques et responsabilités RJR cf @ 2 j 1 950 € 7 23 6 15
Nouvelles technologies informatiques : synthèse TEC cf @ 3 j 2 680 € 22 14 4 6
Performance et disponibilité des systèmes d’information PEF cf @ 3 j 2 680 € 8 21 4 6
Référentiels pour la gouvernance réf. page durée prix fév. mars avril mai juin j./a. sept. oct. nov. déc.
ITIL®, COBIT, CMMI : l’essentiel ICM cf @ 2 j 1 950 € 10 9 15 14
ITIL® 2011 Foundation : préparation à la certification ITP cf @ 2 j 1 950 € 17 16 13 11 1 20j•24a 7•28 19 23 21
COBIT® 5 : introduction aux bonnes pratiques de gouvernance BOC cf @ 1 j 1 010 € 11 17 16 18
COBIT® 4 : vers une gouvernance IT efficiente BIT cf @ 2 j 1 950 € 15 18 16 5 24
Référentiel eSCM : améliorer la relation client/fournisseur de services SI SCM cf @ 2 j 1 950 € 17 16 13 1
Direction de projets réf. page durée prix fév. mars avril mai juin j./a. sept. oct. nov. déc.
Diriger un projet : les bonnes pratiques DIE cf @ 3 j 2 680 € 21 20 26 28
Direction de projets informatiques : les points clés MAP p. 36 3 j 2 680 € 9 5 7 4 6
Analyse économique et financière d’un projet AEF cf @ 2 j 1 950 € 3 9 6 8
Manager un portfolio de projets PFP cf @ 2 j 1 950 € 7 2 6 8
Manager les risques des projets informatiques MRI cf @ 2 j 1 950 € 7 9 13 15
Mener un audit de projet informatique ADT cf @ 2 j 1 950 € 29 2 22 7
Maîtriser vos contrats de projets informatiques COI cf @ 2 j 1 950 € 17 9 22 24
Piloter son projet SIRH SIH cf @ 2 j 1 950 € 14 9 12 28
Systèmes d’information, pour la maîtrise d’ouvrage SIW cf @ 3 j 2 680 € 22 22 4 6
Architecture et urbanisation des SI réf. page durée prix fév. mars avril mai juin j./a. sept. oct. nov. déc.
Urbanisation et architecture des systèmes d’information RBA p. 38 3 j 2 680 € 22 20 4 13
Nouvelles architectures des systèmes d’information AEB p. 40 3 j 2 680 € 15 7 27 22
SOA, architecture orientée services, synthèse SAO p. 42 2 j 1 950 € 7 16 6 1
Etat de l’artLes séminaires
Planning en date du 01/01/2016, soumis à modifications
ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 87 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.seminaires-orsys.fr [email protected] 87
Planning des séminaires 2016 - Paris
Big Data et Business Intelligence réf. page durée prix fév. mars avril mai juin j./a. sept. oct. nov. déc.
Big Data : synthèse BGA p. 44 2 j 1 950 € 24 23 22 15
Bases de données NoSQL, enjeux et solutions NSQ cf @ 2 j 1 950 € 11 26 22 8
Systèmes décisionnels : démarche et solutions SID p. 46 3 j 2 680 € 5 21 27 29
Data Mining : synthèse DMI cf @ 2 j 1 950 € 24 9 6 8
Social Media Analytics : stratégie et usages BIM p. 48 2 j 1 950 € 3 2 29 15
Géomarketing : principes et solutions GEM cf @ 3 j 2 680 € 4 13 17 12
Cloud Computing et virtualisation réf. page durée prix fév. mars avril mai juin j./a. sept. oct. nov. déc.
Cloud Computing : synthèse AAS p. 50 2 j 1 950 € 10 9 29 1
Cloud Computing : sécurité OUD cf @ 2 j 1 950 € 7 23 6 1
Virtualisation : synthèse VIR p. 52 2 j 1 950 € 24 9 8 17
Sécurité SI et gestion des risques réf. page durée prix fév. mars avril mai juin j./a. sept. oct. nov. déc.
Sécurité des systèmes d’information : synthèse SSI p. 54 3 j 2 680 € 22 14 13 29
Cybersécurité réseaux/Internet : synthèse SRI p. 56 3 j 2 680 € 15 14 4 6
Implémenter et gérer un projet ISO 27001:2013 ASE cf @ 3 j 2 680 € 14 30 12 14
ISO 27001:2013 Bridge : passer de la version 2005 à la version 2013 NIM cf @ 1 j 1 010 € 8 27 16 25
ISO 27005:2011 Risk Manager : préparation à la certification AIR cf @ 3 j 2 680 € 11 20 19 28
Audit, indicateurs et contrôle de la sécurité UDI cf @ 2 j 1 950 € 31 9 1 17
SAML 2, fédération des identités : synthèse FED cf @ 2 j 1 950 € 21 30 8 17
PCI-DSS, protection des données des cartes bancaires : synthèse PCI cf @ 2 j 1 950 € 17 25 22 24
Plan de secours et de continuité PDS cf @ 2 j 1 950 € 7 23 6 15
Sécurité VPN, sans-fil et mobilité : synthèse VPN cf @ 2 j 1 950 € 5 7 13 15
Sécurité des applications Web : synthèse SEW cf @ 2 j 1 950 € 31 9 6 8
Sécurité des terminaux et des applications mobiles : synthèse SPM cf @ 1 j 1 010 € 1 24 14 16
Réseaux réf. page durée prix fév. mars avril mai juin j./a. sept. oct. nov. déc.
Réseaux : synthèse technique TER p. 58 3 j 2 680 € 12 28 27 6
Réseaux et Internet : les récentes évolutions RNG cf @ 3 j 2 680 € 22 14 17 12
Virtualisation des réseaux SDN, NV, NFV Nouveau VTU p. 60 2 j 1 950 € 31 23 6 15
Introduction aux télécommunications IAT cf @ 2 j 1 950 € 17 16 22 1
Téléphonie sur IP, architectures et solutions VIP cf @ 2 j 1 950 € 24 9 13 15
VoLTE : déploiement et nouveaux services LTE p. 62 2 j 1 950 € 17 9 8 17
Réseaux sans fil/Wi-Fi : solutions et applications RSW cf @ 3 j 2 680 € 5 21 4 13
Audit et analyse des réseaux AUR cf @ 2 j 1 950 € 24 20 6 1
Réseaux de stockage, SAN/NAS SAN cf @ 2 j 1 950 € 14 16 6 1
Internet et technologies Web réf. page durée prix fév. mars avril mai juin j./a. sept. oct. nov. déc.
Internet des objets : synthèse IOB p. 64 2 j 1 950 € 7 9 20 6
Architectures et technologies du Web : synthèse et évolutions IRT p. 66 3 j 2 680 € 5 14 4 6
Services Web et interopérabilité : synthèse WSN cf @ 2 j 1 950 € 17 16 27 22
Web 2.0 et réseaux sociaux en entreprise : synthèse WRS cf @ 2 j 1 950 € 7 9 15 15
Digital Analytics : stratégie et bonnes pratiques Nouveau DAL p. 68 2 j 1 950 € 7 23 22 1
Droit et Internet : risques et responsabilités de l’entreprise Nouveau IRR p. 70 2 j 1 950 € 31 16 29 8
Test et développement logiciel réf. page durée prix fév. mars avril mai juin j./a. sept. oct. nov. déc.
Enjeux économiques et techniques des métiers du test JEU cf @ 1 j 1 010 € 24 17 23 12
Technologies Objet : synthèse TOO cf @ 3 j 2 680 € 5 21 4 13
Concepts, services et architectures Java EE : synthèse TEE cf @ 2 j 1 950 € 24 9 6 8
TMA : Tierce Maintenance Applicative TMA cf @ 2 j 1 950 € 31 16 6 8
Management d’entreprise réf. page durée prix fév. mars avril mai juin j./a. sept. oct. nov. déc.
Les clés du management d’entreprise MBA p. 72 3 j 2 680 € 22 6 5 5
Gouvernance d’entreprise : stratégie, risques et projets GOE p. 74 2 j 1 950 € 7 23 17 19
Balanced Scorecard : bâtir et piloter sa stratégie d’entreprise TBO cf @ 2 j 1 900 € 17 23 13 15
Transformer une organisation : les clés de la réussite TFO p. 76 2 j 1 950 € 10 12 8 8
Réussir le changement : les stratégies gagnantes Nouveau REX p. 78 2 j 1 950 € 7 23 22 1
Lean Management : état de l’art Nouveau LME p. 80 1 j 1 010 € 1 17 7 16
Analyse de la valeur : optimiser vos produits et services RTC cf @ 2 j 1 950 € 24 23 29 1
Maîtriser les contrats d’outsourcing OUR cf @ 2 j 1 950 € 31 2 22 8
Business Relationship Manager : les meilleures pratiques Nouveau BRM p. 82 2 j 1 950 € 17 23 13 15
Rôles et usages des nouvelles technologies, pour managers NMO cf @ 3 j 2 680 € 15 20 27 6
Pilotage de la formation professionnelle : synthèse et perspectives Nouveau EVF p. 84 2 j 1 950 € 31 23 6 15
Planning en date du 01/01/2016, soumis à modifications
88 ORSYS tél :+33 (0)1 49 07 73 73 www.orsys.fr [email protected]
Planning des séminaires 2016
Pour vous et vos équipes, des formations ORSYS 100% opérationnelles
Orsys conçoit et organise depuis 40 ans des formations de haut niveau,
séminaires ou stages pratiques. Orsys s’est très vite imposé comme
l’acteur incontournable de la formation aux nouvelles technologies
et au management.
› Une offre de plus de 1900 formations
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› Des certifications et des parcours de formation permettant une évolution rapide
Paris • Bruxelles • Genève • Luxembourg Aix-en-Provence • Bordeaux • Grenoble • Lille • Lyon • Montpellier • Nantes • Rennes • Sophia-Antipolis • Strasbourg • Toulouse
Séminaires réf. page durée prix fév. mars avril mai juin j./a. sept. oct. nov. déc.
Entreprise numérique : élaborer une stratégie pour la performance TUN p.6 2 j 1 950 € 7•14 9•16 29•22 24•17
Le digital : l’impact sur les métiers DIJ p.10 2 j 1 950 € 7•14 16•27 6•13 8•15
La révolution digitale : synthèse sur l’évolution des technologies NTI p.22 3 j 2 680 € 20•27 21•28
L’entreprise face aux défis du Cloud, BYOD et Big Data MBD p.26 2 j 1 950 € 9•16 21•24
Gouvernance informatique GOU p.32 3 j 2 680 € 4 20•27 19•12
DevOps, démarche et mise en œuvre DOE p.34 2 j 1 950 € 9•16 8•15
ITIL®, COBIT, CMMI, l’essentiel ICM cf @ 2 j 1 950 € 12•19 15•8
Direction de projets informatiques MAP p.36 3 j 2 680 € 6•13 12•5
Manager les risques des projets informatiques MRI cf @ 2 j 1 950 € 9•16 24•21
Urbanisation et architecture des systèmes d’information RBA p.38 3 j 2 680 € 4 13•20 21•28
Nouvelles architectures des systèmes d’information AEB p.40 3 j 2 680 € 14 6•13 19•12
SOA, architecture orientée services, synthèse SAO p.42 2 j 1 950 € 7 9•16 17•24
Big Data, synthèse BGA p.44 2 j 1 950 € 4 7 13•20 15•8
Bases de données NoSQL, enjeux et solutions NSQ cf @ 2 j 1 950 € 26 2 24 1
Systèmes décisionnels, démarche et solutions SID p.46 3 j 2 680 € 13•20 28•21
Cloud Computing : synthèse AAS p.50 2 j 1 950 € 13•20 24 1
Cloud Computing : sécurité OUD cf @ 2 j 1 950 € 23•30 17•24
Virtualisation : synthèse VIR p.52 2 j 1 950 € 9•16 15•8
Sécurité des systèmes d’information : synthèse SSI p.54 3 j 2 680 € 20•27 19•12
Cybersécurité réseaux/Internet : synthèse SRI p.56 3 j 2 680 € 13•27 5•5
ISO 27001:2013 Bridge, passer de la version 2005 à la version 2013 NIM cf @ 1 j 1 010 € 17•27 16•9
ISO 27005:2011 Risk Manager, préparation à la certification AIR cf @ 3 j 2 680 € 20•27 21•28
Sécurité VPN, sans-fil et mobilité : synthèse VPN cf @ 2 j 1 950 € 9•16 24 1
Sécurité des applications Web : synthèse SEW cf @ 2 j 1 950 € 9•16 24 1
Réseaux : synthèse technique TER p.58 3 j 2 680 € 4 6•13 12•5
Réseaux et Internet : les récentes évolutions RNG cf @ 3 j 2 680 € 20•27 12•19
Introduction aux télécommunications IAT cf @ 2 j 1 950 € 16•20 28•21
Téléphonie sur IP : architectures et solutions VIP cf @ 2 j 1 950 € 9•16 24 1
Réseaux sans fil/Wi-Fi : solutions et applications RSW cf @ 3 j 2 680 € 20•27 28•21
Architectures et technologies du Web : synthèse et évolutions IRT p.66 3 j 2 680 € 11 20•27 21•28
Enjeux économiques et techniques des métiers du test JEU cf @ 1 j 1 010 € 17•24 9•2
Concepts, services et architectures Java EE : synthèse TEE cf @ 2 j 1 950 € 9•16 24
Les clés du management d’entreprise MBA p.72 3 j 2 680 € 4 6•13 5•12
Rôles et usages des nouvelles technologies, pour managers NMO cf @ 3 j 2 390 € 20•27 12•5
Bruxelles - Genève - Luxembourg
Planning en date du 01/01/2016, soumis à modifications - Les dates en bleu représentent les sessions données en anglais
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z Comment s’inscrire ?
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z Frais d’inscription
• Les prix indiqués correspondent aux tarifs 2016. Pour la France, la TVA s’applique aux tarifs indiqués dans ce catalogue (20%). Ils comprennent les repas, les rafraîchissements et la documentation. Tarifs préférentiels : ils sont accordés aux entreprises désireuses d’inscrire un nombre important de participants. N’hésitez pas à nous contacter à ce sujet.
z Facturation - Convention
• La facture envoyée tient lieu de Convention de Formation Simplifiée. • L’attestation de présence est envoyée à la fin du cours. En cas de non-participation, toute inscription qui n’aurait pas été annulée par écrit au moins une semaine avant le début du séminaire sera due intégralement, il est toujours possible de se faire remplacer par une autre personne de l’entreprise.
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Les séminaires ont lieu de 9h à 17h30. Le premier jour, le cours débute à 9h30 et le dernier jour, il se termine à 17h. Tous les jours, notre personnel d’accueil se tient à votre disposition dès 8h45 pour vous accueillir autour d’un petit-déjeuner. Les déjeuners sont servis entre 12h30 et 14h.
z Hébergement
Les participants qui désirent réserver une chambre doivent le faire par leurs propres moyens. Une liste des principaux hôtels à proximité du lieu du séminaire peut être envoyée sur simple demande.
z Lieux des séminairesaris - La Défense >
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