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1 N° 116 Eté 2014 Look d’été Robert Pattinson et Jean-Paul Belmondo La fête du slip

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N° 116Eté 2014

Look d’été

Robert Pattinson etJean-Paul Belmondo

La fête du slip

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CHAUSSETTES DE STAR> Philipp Lahm : chaussettesmulti usages> Robert Pattinson a desproblèmes avec ses chaussettes> Jean-Paul Belmondo :populaire jusqu’au bout de seschaussettes

pages 2 à 4

VECU> Une chaussette sur la route> L’étudiant

page 5

TENDANCELook d’été : faut-il porter deschaussettes ?

pages 6 et 7

LITTERATUREJournal d’un corps

page 8

DANS LA PEAU DE...Slip story

pages 9 à 11

TEMOIGNAGEDécrassage en solo

page 12

NOUVELLES : LA FETE DUSLIP> Les slips de mon cousin

pages 13 à 16> Inspection de slip

page 17> Les boxers de Karim

pages 18 à 21

LEGENDELa Air Jordan 7

page 21

DESSINL’homme qui adore les souliersde football

page 22

SOCKS

Chaussette multi-usagesSorti pour cause de blessure, l’international allemand duBayern Munich Philipp Lahm est assis nu pied sur le banc detouche, essuyant son nez endolori avec l’extrémité supérieured’une de ses chaussettes !

(Bild)

PAROLES

“Je n’ai pas de gros besoins. J’ai juste ungros budget Stan Smith ! Que je ne portequ’avec des chaussettes rouges.”

L’acteur Laurent Lafitte dans Elle

SommaireSommaireSommaireSommaire

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SOCKS

Robert Pattinson a des problèmes avec ses chaussettes

Présent en 2012 au Festival de Cannes pour le film« Cosmopolis », Robert Pattinson, le beau vampireromantique de Twilight, a été interrogé au « GrandJournal » de Canal+ par Michel Denisot sur unmessage qu'avait laissé pour lui, dans uneprécédente émission, Charlize Theron. A laquestion de savoir quel défaut elle pouvait luitrouver, l'actrice américaine avait répondu: « Seschaussettes, peut-être... ».« Eh oui, Charlize aime bien cambrioler mamaison pour me piquer mes sous-vêtements, sentirmes chaussettes. C'est quelque chose qui aura desconséquences un jour... », a-t-il plaisanté. « Mais ily a un problème avec mes chaussettes que je neconnaissais pas », a-t-il ajouté alors que la camérazoomait sur ses pieds, auxquels il portaiteffectivement des chaussettes noires dans sesbaskets (cris des admiratrices dans la foule duMartinez).

francesoir.fr

Aujourd’hui, Robert Pattinsonest une star internationale qui

tourne avec de prestigieuxréalisateurs.

Mais comme de nombreusescélébrités, ce cher Rob traîne

aussi quelques « casseroles ».En surfant sur la Toile, l’équipe

du site aufeminin.com estretombée sur de vieilles photos

de l’acteur anglais où iln’apparaît pas franchement à

son avantage.Alors adolescent, Robert

Pattinson avait en effetparticipé en 2001 à un shooting

pour la marque Miu Miupendant lequel il avait posé en

caleçon avec une écharpenoire autour du cou, des

chaussettes relevées jusquesous les genoux et des

mocassins. Bref, un look pasfranchement glam ! Et surtout,

on remarque que le jeuneacteur, accompagné d’une

blondinette, n’avait pasfranchement l’air à l’aise

devant l’objectif.D’après les souvenirs du

photographe, Rob était « trèstimide et incroyablement poli »mais aussi « un peu nerveux »

car il l’avait fait poseravec une fille (sic)

Robert Pattinsonarrive au concertde Bobby Long auTroubadour, lepetit clubd’Hollywood…et ilsemble qu’il se soittrompé dechaussettes…Il est distrait ou ill’a fait exprès ?Sortir avec deschaussettesdifférentes nepouvait qu’êtreremarqué ! Certes,ça ne dépare pas desa dégaine très« laisser-aller »mais ça a aussi faitle buzz chez lesfans…

x17france.com

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SOCKS

Jean-Paul Belmondo figure en tête du classement des

« 50 Français les plus stylés » du magazine GQ. En 60 ans

de carrière, le « Magnifique », comme on le surnomme,

a traversé les époques en affinant son style jusqu’à

devenir une figure à laquelle tout homme qui se

respecte doit se mesurer.

Et pourtant, à ses débuts, Belmondo n’est pas du tout

un anti-héros, mais un « pignouf » utilisé en tant que tel.

En 1960, dans A bout de souffle (photo ci-dessus), Jean-

Luc Godard lui fait porter des vestes trop amples et

fumer des cigarettes exagérément grosses pour

renforcer la médiocrité de son personnage. Et

l’exposition insolente de ses chaussettes sales contribue

à accentuer cette impression. Mais ce naturel et sa

classe populaire seront la recette de ses plus grands

succès.

Jean-Paul BELMONDOPopulaire jusqu’au bout des chaussettes

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Une chaussette sur la routeUne chaussette noire gisait, à l’envers, en bordure d’un parterre de ronces dansune zone commerciale. C’est toujours triste cette pollution par des déchets, oùque l’on soit. Mais une chaussette jetée là, méprisamment, c’est toujours uncoup au cœur pour un fétichiste. Qui va essayer de trouver une explication àcette présence inattendue.

Etant donné le genre d’endroit (où la circulation piétonne est quasiinexistante), une évidence s’impose : cette chaussette a été jetée d’une voitureen route. Examinons les possibilités.

Par jeu pour un groupe de jeunes, l’un de déchausse… Ça pue grave ! Balancetes chaussettes, ordonne-t-on au fautif. Ni une ni deux, la première chaussetteretirée (à l’envers parce qu’elle colle aux pieds) est jetée par la portière. Unpeu plus loin la deuxième subit le même sort. Mais comme en fait ce sont lespieds qui posent problème, le gars se retrouve à remettre ses skets pour éviterd’asphyxier ses potes. En attendant, ça a bien fait rigoler la bande !

Des voyous examinent le butin de leur larcin. Parmi celui-ci, un sac de sport. Al’intérieur, parmi des fringues bonnes à recéler, des chaussettes sales. Aucunintérêt, on jette…

Un pet qui fuit. On récupère une de ses chaussettes et on nettoie comme onpeut le cul souillé et le fond du slip. La chaussette en fera les frais…

A vous d’imaginer d’autres alternatives…

P.P.

L’étudiantA la médiathèque, salle des révisions.Un bel étudiant planche sur ses cours.Cheveux ras, lunettes aux monturesd’écailles, tee-shirt noir, pantalon desurvêt, chaussettes blanches dans unepaire de Nike Air Max bleu foncé.Quand il prend des notes, appliqué surson calepin, le voilà penchant de soncôté droit, sa nuque laiteuse largementdénudée du ras des cheveux àl’encolure de son tee-shirt. Monregard a du mal à se détourner de sonattitude studieuse, et je craque de voirce physique parfait en pleine ébullitionintellectuelle.

Quelquefois, au moment d’un doute, ilrelève sa tête et se passe une main surses cheveux ; un geste que je trouved’un érotisme torride. Les jambestendues sous la table, j’avais vue surses chaussettes qui lui remontaientbien sur les mollets, l’extrémité de latige n’étant jamais visible…

Et puis, il s’est levé. Une fille à sescôtés également. Laissant sur la tablelivres et cahiers, ils sont allés fumer àl’extérieur et là, ils oubliaient leurscours. Le garçon conversait à proposde son week-end avec ses potes, enfait de ce qui faisait son quotidien dejeune homme bien dans sa peau. Lesétudes étaient-elles secondaires ouavait-il des facilités de compréhensionpour s’en détacher, je ne saurai le diremais sur le moment j’ai admiré cegarçon qui savait si bien passer de laconcentration à la légèreté…

P.P.

VécuVécuVécuVécu

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Avec les beaux jours,nombreux sont ceux quiprévoient de passerquelques jours au bord

de la mer où ils pensent pouvoirrencontrer tout un tas de garçonset/ou filles canons. Et qui ditrencontres, dit séduction… et donctravail sur son apparencepersonnelle pour sortir du lot. Si ona tous nos petits secretsvestimentaires, j’ai souventremarqué un élément tout bête, maisqui faisait débat, en partant avecmes potes : le cas des chaussettes !Il y a deux clans, les proschaussettes, qui les gardent mêmeavec des sandales, quitte à avoirl’air… heu… ringards, et les antis,qui au contraire n’en porteront pasdu tout, même si cela signifie qu’ilsdoivent suinter, suer et au final puerdes pieds. Dur, dur, de faire sonchoix et d’incorporer le tout dans unlook approprié !

1. UN LOOK SANS

CHAUSSETTES, COMMENT

FAIRE ?

Si vous êtes en train de préparervotre valise, vous avez sans doutedéjà une petite idée des tenues quevous allez porter. Je suis certain quequelques uns d’entre vous ont prévuleurs ensembles stylés pour avoir la

classe, même sur la plage (du genrepolo Ralph Lauren, short trois-quarts Burton et chaussures bateauen daim…). Le problème reste desavoir si vous devez vousencombrer avec des chaussettes. Etc’est là que le débat entre nos deuxclans commence. « Si, c’est mieuxavec, ça complète la tenue », « Non,ça te donne l’air idiot, surtout si tufais un détour par la plage »…Et s’ils avaient tous raison ?C’est vrai, zappez les chaussettes etles poussières mixées à la sueurrendront vos pieds répugnants…Portez-les hautes et vous aurez

l’air… allemand ! La solution, c’estdonc un compromis entre ces deuxpositions. Utilisez des chaussettestrès fines qui s’arrêtent sous lacheville et seront dissimulées parvos chaussures. Plus qu’un looksans chaussettes, c’est donc un looksans chaussettes apparentes quisemble être la meilleure option.Pour ceux qui ont un avis plustranché et qui ont donc décidé que,non, ils n’emporteront pas dechaussettes sur leur lieu devillégiature, il existe des poudres ouspray pour éviter la transpiration.

2. QUEL TYPE DECHAUSSURES UTILISERPOUR PARFAIRE UN LOOK

SANS CHAUSSETTES?

Bonne question ! Et si vous vous laposez, c’est sans doute parce quevous avez compris que l’esprit duséducteur en vacances se démarquede celui du simple plaisancier quitraînera pendant trois semaines avecdes indémodables tongs et sonmarcel.Les incontournables, ce sont leschaussures bateau et les chaussures

(Suite page 7)

SOCKSTendanceTendanceTendanceTendance

Look d’été

Faut-il porter des

chaussettes ?

C’est le casse-tête de l’été… Que porter aux

pieds qui allie esthétique et pratique ? Du

choix des chaussures dépend le port de

chaussettes.

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skate… C’est le moment d’innover !En ce qui concerne les teintes, jevous conseille des couleurs douces,comme le beige, le blanc cassé,l’ocre ou le marron très clair. Trèsfacilement adaptable à un look pluscoloré, c’est la petite touche qui faittoute la différence.

3. QUAND DOIT -ON ARRÊTERDE PORTER DE GROSSES

CHAUSSETTES ?

Le fait de ne pasporter de chaussettesou d’avoir recoursaux socquettes peutrapidement devenirune habitude, maiscela doit restersaisonnier. Leséducteur adaptetoujours son lookaux conditionsclimatiques et à lapériode de l’année.Ah, un dernierconseil au passage :si cet été vous êtesde sortie pour unepetite balade en villeet que vous avezadopté le style sanschaussettes, veillez àtoujours retrousservotre pantalon enformant un petitourlet afin qu’onpuisse voir voschevilles. Car si vousportez un pantalonlong et qu’onaperçoit juste unpetit bout de peau àl’extrémité de cedernier, cela faitrapidement bizarre.

Kamal

basses en toile qui vous donnerontcette petite touche classe que denombreuses personnes se refusent àadopter pendant la période estivale.Cela dit, cela devient de plus en plus« in » de porter des Oxfords en cuir(chaussures qu’on associegénéralement avec le port d’uncostume) sans chaussettesapparentes… Même si cela estréservé aux moins jeunes d’entrevous.

Dans une optique plus cool, vousavez aussi les sandales (en cuir depréférence et bien finies, pas cellesà 2 euros qu’on trouve dans toutesles boutiques du sud de la France)ou les espadrilles. Evitez les basketsou vos habituelles pompes de

(Suite de la page 6)

SOCKS

Les règles du

sans chaussettes

Depuis plusieurs saisons unetendance s’est immiscée dans lasilhouette des élégants : dénuderostensiblement ses chevilles enlaissant les chaussettes au vestiaire.Pourtant, quelques règles s’imposent.Contrairement à ce que l’on pourraitpenser, ce n’est pas une question desaison et de température. Si on estaudacieux et pas frileux, on peutassumer le pied nu dans leschaussures, même en hiver. Tout est

question de style et de confort. Etaussi d’altruisme… Personne, mêmeen invoquant la raison du look, nepeut imposer l’odeur de basketsportées sans chaussettes. On choisitalors le port des socquettes. Et pourles chaussures de ville (mocassins,derbys…) on martyrise son pied enessayant de lui faire comprendre ceque sont la mode et une belle allure.

(Têtu)

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SOCKSLittératureLittératureLittératureLittérature

Le livre est le récit, de12 à 87 ans, de cejardin secret etterritoire communqu’est le corps.Descriptions de sesmanifestations(agréables ou non) aufil des âges. Dans lesdeux situationsdécrites ci-après,pénis et chaussettessont associés dansdeux fonctionsdifférentes : de façonimagée pour désignerle prépuce dans latechnique d’urinerdroit ; et pour le côtépratique lors despremièreséjaculations.

“Journal d’un corps”,par Daniel Pennac(Gallimard)

Journal d’un corps

Dodo m’a réveillé, en pleine nuit. Il pleurait. Je lui ai demandé pourquoi, iln’a pas voulu me le dire. Alors je lui ai demandé pourquoi il me réveillait. Ila fini par me dire que ses copains le moquaient parce qu’il faisait pipi moinsloin qu’eux. J’ai demandé jusqu’où. Il m’a dit pas loin. Maman ne t’a pasappris ? Non. Je lui ai demandé s’il avait envie maintenant. Oui. Je lui aidemandé s’il roulait bien sa chaussette avant de faire pipi. Il m’a dit : Quoima chaussette ? Nous sommes allés sur le balcon et je lui ai montrécomment rouler sa chaussette. (…) Son petit bout est sorti et il a pissé trèsloin, jusque sur le toit de la Hotchkiss des Bergerac. Elle était garée sous lamaison. Il a pissé aussi loin que la largeur du trottoir. Il était tellementcontent qu’il faisait pipi en riant. Ça envoyait le jet encore plus loin, parsecousses. (…)Il y a trois façons de pisser chez les garçons : 1) Assis. 2) Debout sans roulersa chaussette. 3) Debout en la roulant. (La chaussette, c’est le prépuce.Confirmé par le dictionnaire.) Quand tu la roules, tu pisses beaucoup plusloin. Il est tout de même incroyable que maman n’ait pas appris ça à Dodo !D’un autre côté n’est-ce pas instinctif ? Si oui, pourquoi Dodo ne l’a-t-il pasdécouvert tout seul ? (…) Est-il possible que des hommes arrosent leurspieds toute leur vie parce qu’ils n’ont jamais eu l’idée de rouler leurchaussette ? Je me suis posé cette question toute la journée en écoutant mesprofesseurs parler (…) Ces choses innombrables qu’ils savent sur « lamarche du monde » sans peut-être avoir jamais eu l’idée de rouler leurchaussette !

***

« Pollution », annonce Mona en enfournant les draps des garçons dans lamachine à laver. Nocturne ? Et diurne, précise-t-elle en y ajoutant une pairede chaussettes poisseuses et deux slips vitrifiés par le sperme.Eh oui, pour la morve on a inventé le mouchoir, le crachoir pour la salive,le papier pour les selles, le pistolet pour l’urine, le fin cristal pour les larmesde la Renaissance, mais rien de spécifique pour le sperme. En sorte quedepuis que l’homme est adolescent et qu’il décharge partout où la pulsion l’ypousse, il tente de cacher son forfait avec les moyens du bord : draps,chaussettes, gants de toilette, torchons, mouchoirs, kleenex, serviettes debain, brouillons de dissertations, journal du jour, filtre à café, tout y passe,même les rideaux, les serpillières et les tapis. La source étant intarissable,innombrables et imprévisibles étant les pulsions, notre environnement estun honteux foutoir. C’est absurde. Il est urgent d’imaginer un réceptacle àsperme qu’on offrirait à chaque garçon le jour de sa première éjaculation.L’affaire serait rituellement réglée, ce serait l’occasion d’une fête familiale, legarçon porterait son bijou en sautoir, aussi fièrement que sa montre decommuniant.

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pas tous sortir de notre emballage enmême temps, si bien que nous nesavions pas ce qui nous attendait unefois entre les mains de la personne quinous saisissait. Nous connaissions justenotre but final : maintenir les couillesde ces messieurs.

C’était maintenant l’heure pour moid’être saisi par la préparatrice de rayon.Elle me posa sur un roll, ajoutaquelques uns de mes frères, mais pas lesidentiques. Elle choisit les plus grands,les plus colorés. Il fallait croire qu’elleavait assez de bleus taille S sur sonétalage. Elle nous promena un instantdans la réserve, puis elle nous recouvritd’autres sous-vêtements. C’est là quenous rencontrâmes nos cousins : lesboxers, les caleçons, les strings, et lestangas ! On est tous des mecs. On fitconnaissance entre nous, mais déjà desdisputes éclatèrent ! Les boxers seprenaient pour des stars en raison deleur supériorité numérique. Ils sevantaient d’être les modèles préférésdes hommes, or il semblait qu’il y aitplusieurs familles de boxers quifinalement se disputaient. Dim et CalvinKlein se battaient ; chacun d’euxvoulait être le plus représentatif de laclientèle masculine. Il s’ensuivitplusieurs débats superficiels : les jeunespréfèreraient les boxers, les homos lesstrings et les tangas qui partirontgroupés, quant aux caleçons, certainscommérages affirmaient qu’ils étaienthas-been.

Nous fûmes rejoints dans le chariot parde drôles de sous-vêtements : leschaussettes. Leur rôle consistait àprotéger les pieds des humains desagressions des chaussures qu’ilsportent. Nous entrions alors tous dansun grand débat. Nous n’enviions pas lesort de certaines d’entre elles, car ilparaissait que lorsque les genstranspiraient, cela pouvait parfoisdégager une odeur assez forte. Jepensais que ce devait être dégoûtant enfin de journée, de se retrouver face àelles. Une dispute fit rage entre nous :elles n’enviaient pas notre sort nonplus. Elles racontèrent que certainsd’entre nous seraient maculés degouttes de pisse, de foutre, et pour lesmoins chanceux d’entre nous, des tracesde merde viendraient se coller sur notrepan arrière. Beurk ! J’aurais vouluqu’on me remette dans le carton etqu’on me réexpédie à Taiwan !

(Suite page 10)

J’étais un petit slip, à la coupekangourou, à la fois classique etmoderne, j’étais composé d’untissu côtelé synthétique bleu

ciel, d’une ceinture élastique blancheà la taille. Comme mes frères, j’avaisété conçu dans une petite usine deTaiwan, découpé, assemblé, et cousupar des machines orchestrées par dejeunes ouvrières sous-payées. J’étaisle fruit de l’exploitation capitaliste despays occidentaux. J’avais plusieurscentaines de frères jumeaux de par lemonde, mais nous avions été séparés

au fur et à mesure de notre réalisation, car nous étionsdes modèles standard faits en série.

Après avoir été sélectionnés, avec quelques uns de mesjumeaux, et de mes frères de différentes tailles et coloris,nous avons été conditionnés dans de gros cartons. Nousvoyagions en avion, vers on ne sait quelle destination.Nous ne le saurions qu’au moment de notre réceptiondans la réserve d’un supermarché de banlieue parisienne.On prit quelques uns de mes frères. Les séparationsétaient parfois violentes. Nous avions été surpris de ne

SOCKS

DANS LA PEAU

D’UN... SLIP

SlipstoryMême neuf, un slip

kangourou a du mal à

séduire. Suivons

l’itinéraire d’une de

ces pièces, balancée

entre espoir et

désespoir au fur et à

mesure des

manipulations et des

rejets successifs. Pour

une fin pitoyable et

injuste…

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Arrivés enrayon, onnous classapar famille.

Les chaussettesdescendirent en premier.J’espérais ne jamais lesrecroiser, puis ce fut letour des strings et destangas. Je fus l’un desderniers à descendre duchariot, me retrouvantainsi placé en premièreligne sur les allées dumagasin. Je voyais passerdes gens devant moi, desfemmes, des hommes, desenfants. Plusieurs fois, onme prit en main, mais trèsvite, on me reposa,préférant un autre coloris,une autre taille ou unautre modèle. Puis, vintle moment du véritabledépart. Unequinquagénaire me saisit,m’observa un moment,consulta mon étiquette,puis me jeta vulgairementdans son panier oùs’entassaient quelqueslégumes, des boîtes deconserve, de la viandesanguinolente sous sonemballage de cellophane.On me sortit du sac unepremière fois, me posantsur un tapis roulant encaoutchouc qui puait lavieille vinasse et les légumes écrasés,avant d’être rejoint par mescompagnons de besace. Je les trouvaishostiles. Je me demandai ce que j’avaisà voir avec eux… J’apprendrais plustard que je serai certainement le dernierà les voir transiter, morts etdécomposés, tombant par jets puissantsou par gros ploufs dans la cuvette destoilettes.

A peine arrivé au domicile de monacquéreuse, elle me tendit à son fils, ungrand gaillard de 17 ans. Il me regardad’un air dégoûté, la remercia, puis mejeta au fond d’un tiroir, où attendaientd’autres sous-vêtements. La plupartétaient des boxers, de couleurs vives,auprès desquels j’essayais de merenseigner sur mon devenir. Jeretrouvais les mêmes discussionssuperficielles que j’avais entendues aumagasin. J’étais à la fois enthousiaste etpétrifié. On me parlait du rapport au

(Suite de la page 9)

corps de mon possesseur, de ma missionde protéger son intimité du froid ou desagressions extérieures comme lefrottement avec le pantalon avec lequelje devrais flirter la plupart du temps. Onme parlait aussi de l’érection, de lagouttelette de pisse, de la tâche defoutre post-branlette, ou de l’éventuelaccident scatologique…

Le temps passait, le tiroir s’ouvraitquotidiennement sans que monpropriétaire ne décide de m’affecter à lamission pour laquelle j’avais été conçu.Les boxers partaient les uns après lesautres. Au début, je n’en avais passouffert, mais l’orgueil démesuré desfashions-boxers m’exaspérait. Ilsadoraient raconter leur quotidien en sepavanant, vantant leurs exploits… etapparemment, il y en avait eu !L’adolescent avait enfin perdu sonpucelage, si bien que les boxers avaientrencontrés les strings en dentelles et

s’étaient offerts des mêléesorgiaques, échangeant leursexpériences concernant lesvariantes de genres de nospropriétaires. J’avais écoutépendant longtemps leursvies fantastiques avant desombrer dans laneurasthénie. Visiblement,chaque fois que monpropriétaire m’avait entreles mains, il éprouvait àmon égard un mépris total.De ce fait, les autres mecharrièrent si bien qu’il n’yeut qu’au fond du tiroir queje pus me réfugiertranquillement, à l’abri desquolibets destructeurs demes camarades. J’avaisl’impression d’être enprison, je me demandais cequ’étaient devenus mesfrères de l’usine, ou mescousins du rayon sous-vêtements. J’espéraisqu’eux au moins menaientune existence palpitante,tandis que je croupissais là,où je ne savais plus trèsbien ce que j’attendais.

Etrangement, letiroir s’étaitprogressivementvidé. Les boxers

étaient partis les uns aprèsles autres, et contrairementaux habitudes, ils nesemblaient pas être revenusaprès leur passage en

machine à laver. Même ça, je neconnaissais pas. C’était le seul momentoù tous les vêtements se retrouvaientensemble pour festoyer au rythme dutambour, puis lézarder au soleil avant deretourner à leurs existences respectives.Or, à ce jour, la plupart des boxersn’était pas rentré. Cela faisait près dedeux semaines que leur disparitionprogressive avait commencé. Jem’attendais à être le dernier occupantdu tiroir, et pourtant, c’est moi que monpropriétaire sortit. La lumière extérieurem’aveugla quelques secondes avant queje ne reprisse mes esprits. Il me tendait àun garçon de 20 ans en disant : « Tiens,je peux te filer celui là. Et puis, tu n’asqu’à le garder ». C’est alors que jedécouvris le visage de mon nouveaupropriétaire, un jeune gothique avec unebelle crête. On m’avait parlé des poils,et je me mis tout à coup à flipper. Onracontait souvent qu’ils sentaient

(Suite page 11)

SOCKS

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suffisait pas, elle me gaza à grand coupde cire en bombe avant de m’écraser etde me frotter le long d’une commode enchêne. Le liquide me brûlait tout en mepénétrant, la poussière venait obstruermes pores, je suffoquais. La main seleva au-dessus de la commode que jevenais de dépoussiérer. « Ce torchon estd’une mauvaise qualité, il ne nettoierien. ». On sortit dans le jardin, et là, onme jeta sur le barbecue embrasé. Jedisparus très vite dans les flammes.Finalement, j’aurais préféré être unboxer Dolce&Gabbana chez un richepropriétaire hétéro, on m’aurait aspergéde champagne, j’aurai flirté avec desstrings, et peut-être même avec un peude chance, j’aurais défilé sur lespodiums, j’aurais été mitraillé par lesflashs des appareils photos… Au lieu deça, rien. On ne fait jamais que subir cesorigines et la haine des autres quand onne correspond pas à une mode.

Thomas Slut(ceinture2queers)

tu viens deTaiwan, je n’aivraiment pasenvie qu’on mevoit avectoi ! ». J’ai eubeaucoup dechance, unorteil se coinçadans une demes coutures etm’envoya volerquelquescentimètresplus loin, sousle lit ou je suisrestélongtemps.

J’ai vu lapoussières’entassersur moi,

des objetsglisser sous lelit, puis desvêtements. Il nese passait rien.J’avaisl’impressionque le destindes ancienshabitants dutiroir mepoursuivait. Je finirai donc là, pendantque le temps s’écoulerait, abandonné.Les semaines ont passé, l’air étaitdevenu irrespirable lorsqu’un objet àlarge tête et aux longs poils poussiéreuxvint nous délivrer. On entendit : « Maisc’est une vraie porcherie cettechambre ! » puis une main de femmeme saisit : « Qu’est ce que c’est cettehorreur ? ». Elle me jeta sur la table denuit, passa l’aspirateur, puis revint mechercher pour me ranger dans unnouveau placard, avec les torchons etles produits domestiques. D’emblée, lesautres textiles me charrièrent. « Et lenouveau, joue pas au snob, ici on esttous logé à la même enseigne, alors tefais pas trop remarquer, ok ? » Je nerépondis pas, j’étais retourné au bagne,et contrairement aux boxers du tiroir,mes nouveaux camarades nepartageaient pas leurs expériences devies. Je compris très vite qu’ici, c’estchacun pour soi, et que la sortie n’étaitjamais une délivrance mais une séancede torture. Lorsque la ménagère mesortit, elle s’empressa de m’arracher endeux. J’eu très mal, tant physiquementque moralement. Finalement, je neserais plus jamais un slip. Comme si latorture qu’elle m’avait infligée ne

mauvais. Je craignais que son pubis nesoit garni de la même espèce. Je sortaisd’une prison, j’espérais que ce n’étaitpas pour aller vivre en enfer. Jeregardais autour de moi une dernièrefois avant qu’il ne me mette dans sonsac à dos ; l’étrange disparition desboxers devint alors limpide ! Personnene les avait lavé. Ils étaient là, tachés desueur, allongés sur la moquette, aumilieu des chaussettes malodorantes,des jeans boueux… J’imaginais cequ’était leur enfer, et je relativisais lasouffrance de mon passé d’exclu. Jen’aurais jamais supporté être humilié dela sorte, et je me mis à espérer que celane m’arrivera jamais.

Mon propriétaire m’enfila par les piedscomme on me l’avait indiqué lors demon arrivée au tiroir puis vint me collercontre son bassin. Je fis la connaissancede la verge. Je m’attendais à quelquechose de légèrement sale, avec laquelleje devais cohabiter quelques heures…Or, à ma grande surprise, celle-ci étaitune princesse des plus agréables àprotéger. Je rêvassais au point où jepensais que mon rôle de garde du corpsde ce nouveau propriétaire étaitfinalement un destin qui avait valu lapeine d’attendre. Le corps se mit enmouvement puis je fus recouvert à montour par le pantalon. Je ne sais pascombien de temps a duré ma premièremission, mais il me semble qu’elle futtrès courte. J’étais tellement fasciné parla verge que j’enveloppais, que je n’aipas été affecté par le souffle, en théorietrès désagréable, qui sortit à un momentde l’anus de mon propriétaire : il ne metoucha pas, il me pénétra et me traversasans que je ne souffre. Si tous les petssuivants pouvaient être les mêmes, alorsj’apprécierais ma nouvelle vie. Cettesérénité fut pourtant bouleversée. Jesentis le corps de mon hôte vibrer. Sabite grossit d’un seul coup, m’étranglantcontre le pantalon, et comme ce n’étaitpas suffisant quelque chose de massifvint nous serrer davantage. Mon tissufrottait de part et d’autre ; le pantalonme brûlait, et de l’autre coté, la verge semit à suinter un liquide limpidemalodorant qui s’imprégna tant bienque mal dans mes fibres. J’entendis laboucle de la ceinture s’ouvrir, lepantalon glissa très vite, puis ce fut montour d’être libéré. On me jeta au sol.Tout ce que je compris, c’est que monréceptacle était hostile à ma présence.« Dis donc le kangourou, c’est pasparce que nos proprios sont pédésqu’on doit les imiter ! Dégage, en plus,

(Suite de la page 10)

SOCKS

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SOCKS

Décrassage en solo

Au début, je ne me lavais pas souvent, parfainéantise. J'aimais l'odeur de ma queue qui sesalissait de jour en jour et curieusement j'adoraisl'odeur des WC publics. Au fur et mesure, je me

suis aperçu que je n'étais pas le seul à aimer les odeurs deteubs sales et de pisse. J'ai découvert de nouveaux trips.Depuis, je ne me lave plus la queue et quand elle est tropchargée, j'ai mon rituel pour me décrasser...

Je vais faire un long footing dans mes vêtements de sportque je n'ai pas lavé. Je fais bien sûr en sorte de beaucouptranspirer. En rentrant, je fais couler de l'eau bouillante dansle lavabo et la douche pour faire en sorte que l'atmosphèresoit très humide. Je ressors de la salle de bain en fermanthermétiquement la porte pour que l'humidité reste et aille enaugmentant. Je me déshabille dans la chambre et ne gardesur moi que mes chaussettes qui sont alors très trèsodorantes et mon caleçon (porté au moins une semaine,jour et nuit, travail et sport). J'entre à nouveau dans la sallede bain qui est maintenant extrêmement humide et chaudeen atmosphère. J'arrête les robinets. Je me metscomplètement nu, assis dans le bac de la douche. Jeprends tout d'abord les chaussettes que je sniffedoucement, sniffant l'une et caressant ma queue et mon

torse avec l'autre. Une fois rassasié de ces deux pièces detissu odorantes, je prends le boxer que je sniffe d'abord surl'endroit et surtout côté cul.

Je m'imprègne de son odeur étrange et portant si bandante.Ensuite je le mets sur l'envers et je plaque le tissu humide etpoisseux (par les restes de sperme qui y sont encoreimbibés dans le tissu et par le sperme que j'ai juté encourant à l'idée de ma petite séance à venir) sur monvisage. Je le sniffe à plein poumon, gémissant de plaisir telun petit minet.

Je prends alors mon gode qui est de la taille d'un long tubede colle (mon petit cul est très serré) et je l'enfoncedoucement "à sec" (l'humidité du lieu et la moiteur de monanus suite à mon état d'excitation faisant office de lubrifiant,et puis j'aime souffrir un peu !), le boxer toujours collé à monvisage. Une fois en moi, je lui imprime un petit mouvementde ramonage tout en léchant consciencieusement le tissupour bien tout déguster…

Une fois le tissu récuré, je profite encore de l'odeur de monanus en sniffant l'arrière du boxer. Je suis alors en train debander comme un fou, transpirant et remuant du cul commeune chatte en chaleur. J'abandonne ce repas de délicesqu'était mon boxer pour passer au "dessert" : ma queue. Ilfaut toujours garder le meilleur pour la fin, n'est-ce pas ?

Marc

(teubcrade.com)

témoignagetémoignagetémoignagetémoignage

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I l y a quelques semaines, mamère me voyant traîner dans lequartier à ne rien faire eût labonne idée de m'envoyer chez

un cousin que je connaissais à peine.Il avait besoin d'une aide pour lestravaux qu'il réalisait chez lui et mamère y vit l'occasion de m'occuperutilement !

A mon arrivée sur le quai de la gare,quelques personnes étaient là,attendant leur famille. Une simplephoto des voyageurs aurait suffit àquiconque pour comprendre quej'étais arrivé au fin fond de laFrance. Je cherchais du coin de l’œilce cousin inconnu, sachant à peine àquoi il pouvait ressembler, quand

Les slips de moncousin

soudain je sentis deux petits coupssur mon épaule :- Alors petit, c'est bien toi Mathieu,le fainéant ?Ça commençait fort ! Apparemment,ma mère avait donné quelqueséléments à mon cousin qui savaitvisiblement à quoi s'en tenir ! Et ilavait l’air bien décidé à me fairetravailler !

Le cousin était plutôt grand, unebonne trentaine. Il était bâti commedoit l'être un agriculteur et un mechabitué aux travaux manuels. Ildevait être très poilu vu l'avant deses bras. La peau de son visage étaitdéjà burinée ; une barbe de troisjours, une chemise pas nette, des

(Suite page 14)

SOCKS

La fête du slip

Vous aimez les odeurs des

chaussettes ? Vous aimerez

celle du slip… Ce vêtement qui

protège nos parties génitales

et notre puits d’amour… Pas

plus sale que les odeurs de

pieds et pareillement

incarnation d’un fétichiste

olfactif comme le prouvent les

histoires rassemblées ci-après :

une prise en main par un

cousin pas vraiment porté sur

la propreté de ses sous-

vêtements (pages 13 à 16) ; un

maître qui prend plaisir à punir

pour des slips négligés (page

17) ; un rebeu bien chaud pas

mécontent d’avoir trouvé un

collègue de travail amateur de

ses slips gluants (pages 18 à

21). Bonne branle !

NouvellesNouvellesNouvellesNouvelles

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CAT craquelées d’où s’échappaientde grosses chaussettes de laine à lacouleur indéfinissable : visiblement,il ne semblait pas trop porté sur lapropreté ! J'avoue qu'au premierabord il ne m'inspirait pas grandeconfiance !- Allez, on y va,me dit il. Tu doisavoir la dalle. Jet’ai préparé unebonne soupe etaprès au lit. On adu boulot demain.J'étais démoralisé,et presqueanxieux. Je nem'attendais pas dutout à cet accueil,tout à la fois froidet rustre.

Dans la voiture, ilne me parlait pasbeaucoup. Ilregardait la routesans broncher,comme absorbé. Ilne prêtait aucuneattention à moi.Pour ma part, jen'avais aucuneenvie de lui tenirla conversationmais en mêmetemps, ce mecviril à mes côtéscommençaitvraiment àm’intriguer ! Je lemataisdiscrètement. Jefixais autant que je le pouvais sonentrejambe. Il portait encore desjeans étroits. Sa bite et ses couillesfaisaient un paquet bien proéminant,avec le tissu bien râpé là où il yavait les bosses les plus prononcées.

Célibataire, la trentaine, vivant seul,aucune copine connue : « Ce mecest pédé », me disais-je. Jecommençais sûrement à me fairedes films mais bon pour le momentje n'avais aucun élément pour êtresûr de cela ou du contraire !Arrivé à la maison, je tombais surune quasi-ruine. Et les rares espaces

(Suite de la page 13) habitables étaient encombrésd'objets et d'habits qui traînaient. Ily régnait un bordel incroyable. De lavaisselle sale trempait dans l’évier ;des couverts étaient encore sur latable, du linge sale et odorants'amoncelait à côté de la machine àlaver... Dans le tas, je distinguais

des chaussettes grises de crasse. Jeme dis qu’il était depuis longtempsplus possible de rendre leurblancheur d’origine.Mon cousin me dit alors :- Alors gamin, t’es content d’êtrearrivé ? Moi, ça va me faire un peude compagnie. Je suis bien content

de t'avoir pourquelques jours.On va bientravailler et biens'amuser !- S'amuser ! Moncul ! pensai-je enme détournant. Ilétait clair qu'il n'yavait personne àla ronde, mêmepas un petitvillage pour allerjouer au flipper,rien ! Il n'y avaitque la campagne àperte de vue et cemec, mal rasé,mal fringué et àl’odeur de putoispour seulcompagnon !Après avoirmangé, il me dit :- Allez ! Au lit !Demain, on selève tôt.Et il monta secoucher melaissant seulcomme un idiot,au milieu de lapièce qui tenaitlieu de cuisine,salon et salle à

manger ! Je montais moi aussi etgagnais la pièce qui allait me servirde chambre !

Quelques instants plus tard, il étaitapparemment déjà couché : ilrégnait un silence à peine troublépar le craquement de la charpente etle tic-tac d'une vieille horloge.J'avais une furieuse envie d'allerpisser et je décidais de me rendredans la salle de bain. Elle n'était pasplus propre que l'ensemble de labaraque ! Il y avait sur le rebord dela baignoire des chaussettes sales,

(Suite page 15)

SOCKS

LE COUSIN PORTAITDES CAT

CRAQUELÉES D’OÙS’ÉCHAPPAIENT DE

GROSSESCHAUSSETTES DELAINE À LACOULEUR

INDÉFINISSABLE...

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des tee-shirts tachés et marqués parde la transpiration au niveau desaisselles et des vieux slips. Malgrél'envie pressante, je ne pusm'empêcher d'en prendre un. Il étaitblanc, à poche, un peu ringard toutde même. Il était parsemé par demultiples taches de pisse(visiblement, il ne devait pas sesecouer la queue) et des taches defoutre. Des poils de cul et decouilles étaient encore collés àl'intérieur sur le tissu. Je le portais àmon nez et le sniffais légèrement :une odeur âcre s’en dégageait,sûrement déposée par des heures detranspiration de ses couilles et deson cul.

N'en pouvant plus de vouloir pisser,je le reposais là où je l'avais pris etme vidais par petits jets saccadésdans les chiottes quand j’entendismon cousin se lever dans la pièce àcôté. Je ne voulais absolument pasqu'il me voie là et n'avais en plusaucune envie de lui parler !La porte de la salle de bain s'ouvrit :- Ah ! T’es là gamin, je t’entendaispas. Je me suis dit : c'est pas vraique ce petit con s’est barré! Tamère m'avait prévenu de ne pas telâcher.Tout en parlant, il me regardaitpisser, fixant ma mini queue, touterabougrie par la situation !- Dis-moi, elle est pas très grosse tabite ?Je ne répondis rien, m'égouttantdoucement et aussi naturellementque possible.- Un de ces quatre, je t'apprendraisà t'égoutter la bite et pisser commeun homme, gamin. Et il claqua laporte. Je ne savais quoi penser !J’étais comme figé ! J'allais mecoucher et dans le lit je repensais àce que le cousin m’avait dit !Parlait-il toujours comme ça, aussicrûment ? Serait-ce de la provoc ouvoulait-il vraiment me toucher lateub ? Je ne savais plus et j’avouequ'imaginer sa grosse paluche surmon zob commençait à m'exciter !Je m’endormis pourtant rapidementdans ce lit qui sentait la naphtaline...

(Suite de la page 14)

Le lendemain matin, je me réveillaistranquillement, quand j’entendis aufond du couloir mon cousin quim’appelait : « Oh gamin ! Je suisaux chiottes, viens voir ! J'ai besoinde toi ! » La journée commençaitbien ! J'avançais doucement dans lecouloir, vers la porte de la salle debain qui était masquée derrière unangle, prudemment, genre « on vaaller doucement » quand soudain jeme trouvais nez à nez avec le cousinassis sur la cuvette des chiottes, laporte grande ouverte.- Tu vas dans le petit meuble blancsur le palier et tu me ramènes unrouleau de PQ !J'étais pétrifié, la bouche à moitiéouverte, ne bougeant plus ! Il étaitlà, sans gêne, cuisses ouvertes entrain de chier son coup, pas le moinstroublé par le fait que je le vois !Après avoir repris le dessus et mesesprits, j'allais donc chercher lerouleau de PQ et le lui tendis !- Ben alors coco, t’as jamais vu unmec sur les chiottes… C’est quoicette tronche que tu fais. Faut sortirmon gars ! Ca se voit que t’as pasfait l'armée !

Je balbutiais :- Euh, ben si ... J'ai vu quelquespotes mais pas souvent dans cettesituation.- Ben alors, décoince. Tu vas meregarder chier toute la matinée ouquoi ! C'est ma bite quit'impressionne et qui te fait faire unarrêt sur image ?Je voyais sa queue qui pendouillaitdans la cuvette, une belle bite,lourde et foncée avec un prépuceassez épais. Juste derrière jedistinguais ses couilles, un peupoilues.- Euh non, ce n'est pas ça, c estjuste que c’est assez troublant de tevoir là, assis et déculotté.- Ca t’excite apparemment de memater ! Tu as le pyjama toutdéformé. Tu bandes mon gars !Je savais plus où me foutre. Je nem'étais même pas rendu compte queje bandais comme un âne etvisiblement, ça le choquait pas plusque ça !- Approche. Tu veux que je mebranle devant toi ? J'suis du matin !me dit il.

(Suite page 16)

SOCKS

IL Y AVAIT SUR LE REBORD DE LABAIGNOIRE DES CHAUSSETTES SALES, DESTEE-SHIRT TÂCHÉS ET DES VIEUX SLIPS. JENE PUS M'EMPÊCHER D'EN PRENDRE UN...

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Je ne savais que dire etsans plus attendre,avant même que jeréponde, il a pris sa biteentre ses doigts: « Tiensrégale-toi, mattebien ! »

J’étais devant luidans la salle debain, face auxchiottes. Lui, il

avait quitté la cuvette,s'était bien calé contrele mur. Je voyais saqueue encore lourde, samain faire les va-et-vient. Il sedécalottait lentement, laissantapparaître le gland, gros et violacé,puis le recouvrait à nouveau avecson prépuce. Il me dégoûtait par soncôté naturel et crade autant qu'ilm’excitait !- Tu aimes ça ! me dit-il. Tiens,approche un peu.Je n'osais pas faire un pas ! Lasituation était insensée! Et pourtantje fis le pas de trop ! Mon cousincommença alors à me dégrafer lebas de mon pyjama ! Je meretrouvais à poil devant lui, la queueraide et bien droite, de laquellesortaient quelques gouttes demouille.- Et bien, mon cochon, elle est plusbelle que hier soir, me dit-il.Il commençait à me caresserdoucement d'une main ! Son autregrosse paluche chaude agrippa monsexe et je pus constater que lecousin savait y faire ! Il me branlaitavec une douceur incroyable, sagrosse main était un fourreau, chaudet moite à la fois. J'avais peur dedécharger directement dans sa main,comme un con.De son côté, il s’astiquait lemanche. Il bandait comme untaureau et j’avoue que la situationcommençait vraiment à me faireperdre pied !- Viens Mathieu, me dit il,accroupis-toi devant moi et suce-moi le chibre.Il s'était rassis sur les chiottes.J'étais à présent à poil, accroupidevant la cuvette, la tête entre sescuisses poilues. Je lui malaxais les

(Suite de la page 15)

burnes doucement et commençaisfortement à être saoulé par l'odeurqui se dégageait de son entrejambe,de sa queue épaisse et violacée et deses couilles. Il n'avait pas dû passerà la douche depuis plusieurs jours !- Allez, suce-moi, nettoie-moi laqueue.Pour m'encourager, il prit ma tête etl'appliqua sur sa bite et ses poils.J'avais l'impression d'en avoirpartout. Je sentais son gland taperdans le fond de la gorge. J'étais dansun état second et exécutais tout cequ'il me demandait, allant plus vitequand il l'exigeait, ralentissant etpassant ma langue sous son glandquand il le fallait. Je profitais decette grosse queue, je la suçais endouceur, faisant glisser le prépuce etaspirant bien le gland. Mon cousingémissait :- Ohhhhh mon salaud, tu sucescomme une vraie reine, continue,ouiiiiiiii !Machinalement, je commence à luipalper les cuisses et les couillespendantes dans la cuvette.J'accélérais, Je le suçais à mort et jeme branlais comme un dingue. Il merendait fou, j'avais honte mais je nepouvais m'arrêter. La situationm'échappait et je la trouvaisincroyablement excitante !- Tu vas me faire gicler, ta langue,hummmmmmm ta langue !Je m’arrêtais de le sucer etcontinuais à le branler doucement.En baissant les yeux, je remarquaisqu'il avait encore aux chevilles sonslob, un slibard à poche.- Tu me laisserais renifler ton slip ?

lui demandais-je.- Fais comme tu lesens...Il se libéra du slibard etme le tendit. Le slibarddu cousin était encorechaud, légèrementhumide (il avait dûdormir avec). Je le missur mon nez et pendantque je le reniflais, assispar terre, mon cousins'essuya le cul devantmoi tout en se branlantcomme s'il se trouvaitencore au servicemilitaire avec ses potes

de chambrée en pleine campagne decombat.- Hummmmmm, tu m’excites à mort,Mathieu, me dit il. J'aime te voirreluquer le fond de mon slibardcrade. Lèche-le bien, nettoie bienles coins et les recoins !L'odeur du slip était forte mais neme gênait plus vraiment, tellementj'étais excité par ce mec viril. Jereniflais l'odeur de sa queue, sapisse et son cul comme un fou ! Il seleva brusquement du WC et mebalança dessus une grande rasade desperme chaud. La simple sensationde son foutre gluant sur ma troncheme fit gicler à mon tour sur le sol.- Ahhhhhhhhhhhh putain Mathieu,je pense que ton séjour nous prometde sacrés moments.Je ne pouvais même plus répondre.J'étais comme saoulé, partagé entrela honte et le plaisir du momentvécu ! Je ne savais plus quoi faire,assis à poil par terre, le visagedégoulinant de sperme, la queuegluante et déjà à moitié molle dansles mains.

En me laissant écroulé dans lechiotte, mon cousin se retourna etdu palier me dit : « Tu peux garderle slibard, cadeau de bienvenue ».Les vacances s'annonçaient sous lesmeilleurs auspices ! J'avais rarementressenti autant d'émotionscontradictoires, d'excitation. Je neregrettais pas d'avoir surpris moncousin sur les toilettes pourcommencer mon séjour.

(slipchaud.over-blog.com)

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les chaussettes descendues en boulesur les cheville, sans fourchette nicouteau, donc on devait lapercomme des bêtes ou manger avecles doigts.

Puis le grand maître arrive et medemande de le rejoindre dans sonbureau. « Baisse ton slip et donne-lemoi que je regarde son état depropreté… » Mon slip entre lesmains du maître, il commença àl’inspecter de fond en comble. Il yavait une petite tache brune au fond.« Tu vas te mettre à genoux, mainssur la tête et te baisser pourrecevoir ta correction… » Jem’exécute et là une avalanche decoups de martinet me zèbre le dos.J’ai dû trop crier et agacer monmaître puisqu’il m’ordonne deretirer une de mes chaussettes et deme l’enfoncer dans la bouche. Puisla correction a repris. Ensuite, il medemande de voir mes chaussettes,les sent et regarde leur propreté.« Mais elles sentent fort, teschaussettes, mon garçon ! », me dit-il. « Ben oui, maître, j’ai pas eu le

temps d’en changer avant de venirici et je les avais depuis deuxjours. »

« Quoi ? Tu sais pas que les sous-vêtements se changent tous lesjours ? Tu sais pas ça, non ? Ecarteles fesses, face contre terre ! » Lamort dans l’âme, je m’exécute etouvre mon trou au maître qui mecaresse la rondelle, me crachedessus, me doigte puis je sens untruc dur et gros commencer à forcerl’entrée de mon cul. Le maître melaboure les entrailles pendant qu’unautre esclave entre dans la pièce, lesmains et les pieds enchaînés avec unslip, une chaussette plantée dans labouche et un autre slip pendu à soncou.

« Retire ton slip et montrel’intérieur à ton maître… Il estclean le tien et il sent bon, c’estbien… Et les chaussettes, c’estpareil ? »« Oh oui, maître, toutes propres dece matin avant de venir. »Le garçon, qui bande de me voirdéfoncer la chatte, reçoit l’ordred’accrocher un ses slips à son sexeet de s’enfoncer un autre entre lesfesses. Le maître explose en moideux minutes plus tard et faitapprocher le garçon, le suce, lui tireles couilles et demande :« Elles sont bien pleines ? »« Oh oui, maître »« On va vérifier ça… »Et là le maître avale la bite dugarçon et me demande de le fouetteravec mon slip.

Avant le couchage au pied du lit dumaître, douche à l’eau froide pourcalmer nos ardeurs de jeunes mâlesen rut et plantage d’un plug dansnotre rectum avant remise en placede notre slip. Le matin, nous avonsdû montrer nos bites en érectiondans nos slips puis inspection duplug pour voir s’il n’y avait pas dematière fécale dessus… Notredeuxième journée d’esclave pouvaitcommencer…

Adapté d’un article du siteslipdemec.centerblog.net

SOCKS

Inspection de slip

Je devais me présenter pour unepremière inspection de lamarchandise, comme il aimaità le dire, à 8h du matin à

Genève après avoir répondu à uneannonce publiée sur le Net :« Recherche esclaves pour plansoumission ». Nous étions cinq àavoir répondu. On devait arriver enchemise à carreaux et jean, porter unslip à poche (taille haute ou bassemais blanc) et des chaussettesmontantes de couleur sombre avecdes chaussures bateau.

Tour à tour, on est reçu par le maître.« Mets-toi en slip et chaussettes etfais un paquet avec ton jean et teschaussures, tu n’en auras pas besoinpendant les deux prochains jours… »Puis l’inspection commence.« Baissez vos slips… A genoux…Ecartez vos fesses… » Les mecscommençaient à avoir des bossesdans le slip, ce qui en disait long surce qui les attendait. Puis, on plaça lespetites bites d’un côté et les grossesde l’autre. Le repas devait être prisassis, à poil, le slip à mi-cuisses et

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J'avais connu Karim au taf, oùon était collègues. Moi 23ans, lui 20 ans, il me faisaittriper, car ultra mignon. Des

yeux bleu de ouf, brun, 1m75, hyperbien foutu. Macho par excellence, ilenchaînait les meufs et les traitaientcomme de la merde. Moi, jefantasmais grave sur lui, mais jesavais qu'il ne pourrait rien sepasser.

En venant au taf, il arrivait souventde la salle de sport où il s'entraînaitavant et je le voyais souvent sechanger. Un soir j'arrivais après luidans le vestiaire, et il était quasi àpoil en train de changer de boxeravant de mettre son uniforme. Jematais l'air de rien, mais il avait pascapté. Il savait que j'étais plus oumoins bi mais on en avait jamaistrop parlé.

Kiffant les trips survêts et odeurs,de l'avoir vu se changer, m'avaitgrave chauffé. Le soir même,pendant le taf, je retournais donc auvestiaire pour voir ce qu'il y avaitdans son casier. Son sac de sportétait là avec son jogging, un tee-shirt et un boxer Dim rouge. Directen le voyant j'étais en érection. Je lepris et le suiffai. Ça sentait bon lemec, la bite circoncise qui avait

frotté pendant l'effort au sport. Je nepus m'empêcher de léchergoulûment à l'endroit où son glandse plaçait. Je ne restais paslongtemps de peur de me faireprendre, mais j'avais trop envie dejuter rien qu'en sentant son odeur demec.

Depuis que j'avais commencé àsniffer ses boxers dans le vestiairec'était devenu comme une drogue etchaque jour où on travaillaitensemble, j'étais obligé d'allerfouiller dans ses affaires, commeattiré.

En plus, ça sentait grave la queue,vu qu'il était circoncis, son glandfrottait encore plus sur ses sous-vêtements, et je kiffais encore plus.J'adorais aussi sniffer ses tee-shirtssentant bon la transpi quand ilvenait directement du sport au taf.

Au fur et à mesure, on parlait pasmal au taf de tout et de rien et ons'était dit qu’un de ces soirs onpourrait se faire une soirée jeuxvidéos. J'étais pas hyper calé, maisc'était l'occas' d'aller chez lui, vuqu'il habitait seul.

Rendez vous fut pris quelques joursplus tard.

On se posa dans son studio, lui avecson jogging noir habituel et moi enjean. J'en profitais pour aller auxtoilettes, qui étaient dans sa salle debains, avec une idée derrière la tête.

Direct je repérai le sac à linge saleet cherchai quelques boxers, que jetrouvais sans problème. Les sniffantvite fait et me collant direct latrique, j'en pris un et le mis dans mapoche. Ne faisant l'air de rien, jeretournai auprès de lui pour jouer.On parla de choses et d'autres,notamment qu'il avait plus ou moinsune meuf, « une bonne chienne quiaimait la bite ». Bizarrement onn'évoqua pas mon sujet, mais jem'en foutais car j'étais obnubilé parle fait que j'avais un de ses boxers.

Prétextant un truc bidon, je lequittais rapidement et rentrais bienvite chez moi. Une fois dans monpieu, je sortis un Dim noir et lecollai directement contre ma gueule.C'était l'extase, on sentait sescouilles et sa grosse queue quiavaient bien macéré dedans. En cinqminutes je jutais grave, en ayant leboxer sur la gueule et en le reniflantà pleins poumons.

(Suite page 19)

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LesboxersdeKarim

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Un jour où on commençaiten même temps je mechangeais dans levestiaire quand il arriva.

- Je reviens du sport, y'avait une deces meufs là, trop bonne, elle m'acollé la gaule tout le long… Je luiaurai bien mise.- T'as rien tenté ?- Nan, impossible, y'avait un mecavec.

Il commençait à enlever son joggingpendant que je prenais bien montemps pour me changer quand jel'entendais à moitié gueuler :« Merde… L'autre pute m’a tropexcité, là, j'ai un peu juté dans moncalbute… »- Bolooos...- Oh oh, fais pas le chaud toi, chuisûr que tu kifferai lécher…Et il me lança son boxer à la gueule.Je le traitai de bâtard et fonçais surlui.- T'es ouf toi de me lancer ton boxercomme ça, je suis pas une de tesputes, mec lui dis-je en le chopantpar le cou.- Tranquille wesh, je délire…

Je le laissais et il s'habilla enprenant bien son temps, enchangeant de boxer et en mettantson pantalon de travail. Il chopa sonboxer par terre et le mit dans sonsac. Au passage il me mit une petitetape sur l'épaule et alla bosser.

Je restais évidemment dans levestiaire et me ruais sur son boxerpour aller sniffer et lécher ce quipouvait l'être. Et là, en deuxsecondes à peine, le temps de meretourner, il déboula sur moi et memit une tape sur la tête.- Ouais, sale mytho, je croyais quetu t'en battais les couilles de mescalbutes !Un peu gêné mais assumant, je luidis : « Bah nan, je voulais voir, vu

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que tu faisais le mec,là ! »- C'est pas une raisonpour sniffer mes boxers,c'est degueu wesh ! Jevais le dire à tout lemonde au taf !- Vas-y, je dirais que t'esun mytho !

Ne sachant plus quoi dire,il me colla contre le mur,attrapa son boxer et me lecolla contre la gueule. Ilsentait bon sa queue et sesboules qui avaient bienfrotté contre le tissu.Evidemment il y avaiteffectivement quelquesgouttes de liquide pré-séminal. « Vas-y, goutte, chui sûrque tu kiffes en vrai ! » Et il me lemit carrément sur les lèvres.« Voilà, lèche bien ! » Après, ilreprit son boxer, le jeta dans soncasier et se cassa au taf.

On n'en parla plus mais la semained'après, alors qu'on rebossaitensemble en commençant en mêmetemps, il arriva du sport et direct

vient me voir, son boxer à la main.- Je reviens du sport et j'ai jutédedans dans le vestiaire !- Ouais, c'est bien, je m'en fous…- Arrête de faire le mec, je sais quetu kiffes, donc lèche maintenant toutmon jus ou je te forcerai à le faire…

Il était encore en short, y'avaitpersonne dans le vestiaire et il avaitson boxer en boule dans sa main.Un Dim bordeaux, avec la bandenoire au-dessus. Je ne savais pasquoi faire, j'avais trop envie, maisd'un autre côté je ne savais pas oùtout cela me mènerait car il allaitcontinuer à prendre le dessus.

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IL ME COLLA DIRECT SON BOXER DANS LAGUEULE. Y’AVAIT PAS MAL DE JUS

DEDANS...

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« Bon, dépêche-toi, en plus j'ai jutégrave ! » Et il me montrait sonboxer et apparemment y'avait pasmal de jus dedans… « Tiens,d'ailleurs regarde, il m'en reste surle bout de ma queue… » Il baissason short et je vis qu'il n'avait riendessous. Son pubis bien rasé et saqueue circoncise bien épaisse aurepos me firent grave de l'effet. Ilprit son boxer et essuya les gouttesdessus. « Dépêche, on va être enretard ! » Et il me colla direct sonboxer dans la gueule et je léchaistout. « Ouais, tu kiffes sale pute, mabonne pine de rebeu… »

Je ne disais rien, car déjà y'en avaitbeaucoup à lécher et je kiffais qu'ilme parle mal. Je voyais que dansson short ça s'activait un peu, jetentais de toucher, mais je me prisune claque monumentale. « Chuipas pédé, touche pas à maqueue ! » Il me fout son boxer dansla bouche, sort sa teub et commenceà s'astiquer en se passant la mainsous son tee-shirt. Il fermait lesyeux et marmonnait des trucs avecdes meufs.

Moi, j'attendais tout penaud sonboxer dans la bouche, lui branlantsa grosse teub. Au bout de troisminutes, il se raidit, vint sur moi etjuta quatre giclées sur ma gueule,bien chaudes, bien épaisses. Ilpoussa un long râle de mec ets'égoutta encore sur moi. Ensuite, ilprit son boxer, s'essuya la teub avec,étala son sperme sur ma gueule et secassa. Tout penaud mais excité, jeme branlai vite fait et léchai tout lejus qu'il avait pu mettre sur moi. Ilavait un goût hyper fort, mais je n'enoubliai pas une goutte.

V ers minuit ce soir-là, jereçu un texto de lui.- AU FAIT, ÇA FERA20 BALLES POUR

MON JUS.- OUAIS, C'EST ÇA !- JE RIGOLE PAS, C'EST PASGRATIS, CHUI PAS PEDE ETJ'AI BESOIN DE THUNES.

Je réfléchis vite fait et décidai derentrer dans son jeu, on verrait bienoù cela me mènerait. Le lendemain,

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je déposai donc 20 euros dans soncasier. A la fin du taf, je vis qu'ilm'attendait devant sur son scoot,toujours avec son jogging noir, sesNike, de belles chaussettes noires etun tee-shirt assez moulant.

- C'est bien, je vois que t’ascompris… Tu passes à la maison ?- Si tu veux…Comme d'hab, c'était un peu lebordel chez lui : plein de fringuesqui traînait partout. Lui se posa dansson canap et moi je restais debout.Je vis qu'il avait la main dans sonboxer.- Si tu veux y goûter c'est pasgratuit, tu sais ?- Bah, les meufs elles paient pas,si ?- Ouais mais t'es pas une meuf…Déjà range un peu chez moi et onverra…- Chui pas ton esclave !- Tu vas le devenir, t’inquiète !

Je ne dis rien et commençait àdébarrasser la table et ranger deuxtrois trucs. Il se mit sur son ordi etdeux minutes après j'entendais ce

qui devait être un porno car unemeuf gémissait. Il avait sorti saqueue qui commençait à bander.- Range mes fringues, là, dans lecoin…Il y avait des chaussettes et quelquesboxers.- Ils sont sales ! lui dis je.- Ouais, tiens, d'ailleurs sniffe-moiça !

Je ne me fis pas prier et je pris enpleine gueule ses deux Dim et sonfree gun. Ils sentaient grave sa teubet je kiffais grave. Quelques tracesde pisse et de sperme étaient sur unet je léchai. « T'es une chienne unpeu », me balança t-il. Je ne dis rien,je le regardai se branler et me misassis devant lui. Il avait toujours sonjoggo et ses shoes et avait juste sortisa teub. J'étais à ses pieds sniffantses boxers. Soudain, il me lance :« Enlève mes shoes et sniffededans ! »

J’obéis rapidement. J'avais un peupeur que ça pue la mort mais en fait

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« ENLÈVE MES SHOES ET SNIFFE DEDANS ! »

J’OBÉIS RAPIDEMENT. J'AVAIS UN PEUPEUR QUE ÇA PUE LA MORT MAIS EN FAIT

ÇA ALLAIT.

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ça allait. Il y avait une petite odeur,mais normale. Il attrapa l'autre et lamit sur sa queue pour se branler unpeu avec. Moi je sniffais toujoursl'autre. Je kiffais trop, des Nikenoires toutes simples avec le logoen blanc. Il jouait avec sa basket,tapait sa queue contre, la remettaitdedans... Puis, il me colla direct sateub dans la bouche et poussacomme un bourrin. Ce bâtard medonnait des coups de reins et j'avaiscarrément ses boules contre magueule ainsi que son pubis rasé.« Ouais, voilà, suce ma teub, c'estbon ça ! » Il rentrait, sortait, me larecollait direct, limite il me violaitla bouche. Il prit une shoes et me ladonna à sniffer tout en collant sateub avec.

« Dépêche-toi de sucer, j'ai enviede me pieuter ! » J'attrapais donc saqueue et le branlait en le suçant.J'adorais trop son gros glandcirconcis mais je n'en profitais paslongtemps car il reprit les choses enmain et recommença à me baiser mabouche. Deux minutes après jesentis qu'il se raidissait et je reçustout son foutre dans ma bouche. Illaissa bien ma tête sur sa teub afinque j'avale tout. J'eu un peu de malcar au final y'avait pas mal de jus,toujours aussi épais et fort mais jem'en foutais. Je lui léchais le glandpour nettoyer et il rangea sa teub. Ilenleva son tee-shirt, son joggo et secala au lit

- Bon, bouge maintenant, j’vais mecoucher. Tiens, en même temps, vuque tu bouges, tu prendras mesfringues sales et tu me les laveras etdemain je veux mes 20 balles pourmon jus…- T'es sérieux, là ?- Ouais, allez bouge !Et je me cassai de chez lui avec sonsac de linge sale et avec une gauled'enfer.

Pierre

(www.cyrillo.biz)

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La AIR JORDAN 7 :la basket de rêve

On l’appelait la « Bugs » ou « Air Jordan 7 ». Portée par MichaelJordan pendant les JO de Barcelone, cette mythique paire de basketsest apparue pour la première fois dans une publicité légendaire,montrant la star des Bulls et le héros de cartoon, Bugs Bunny, faisantla leçon à des effrontés sur un parquet.Si l’année 1992 marqua un tournant sur la planète basket, elledémarra également une nouvelle ère dans le marketing du sportwearen Europe. Pour la première fois, le grand public pouvait mettre lamain sur les baskets portées par les athlètes en compétition. « EnEurope, à l’époque, avoir un modèle de chaussures était déjà bien,mais avoir un coloris particulier ou une édition collector étaitimpensable, explique Vincent Le Thuy, spécialiste et collectionneur desneakers. Barcelone a tout changé. Au lieu d’aller sur un marchéparallèle pour récupérer leurs baskets, pour la première fois, lesmagasins vendaient la gamme complète sortie par Nike pour équiperles membres de la Dream Team. »D’autres modèles étaient aussi commercialisés : les baskets de Magicet Larry Bird chez Converse, celles de Clyde Drexler chez Avia et lamythique « Next Stop Eclipse Hi » de Patrick Ewing chez Adidas.Mais aucun de ces modèles n’a atteint la renommée de la « Bugs ».

(Source : L’Equipe)

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