marketing des services
DESCRIPTION
Support de formation spécifique Marketing services stratégie marketing Plan d'action marketing services Les fondamentaux du marketing des servicesTRANSCRIPT
Objectifs de la formation
Connaitre les spécificités des services au regard des attentes des clients pour optimiser le développement des offres.
Concevoir et mettre en œuvre le mix marketing de son offre de services.
Maitriser la démarche et les outils pour piloter sa qualité de service.
Réussir l’élaboration de son plan marketing
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Sommaire
I –Spécificités des services
• Introduction P 06 - 07• La démarche marketing des services P 08 - 10• Recherche d’une définition des services P 11 - 12• La qualification des spécificités des services P 13 – 17 • Importance des comportement consommateurs P 18 - 19
II – Segmenter, cibler, positionner
• Segmenter son marché P 20 -26
• Cibler ses clients P 27- 28• Positionner son service P 29- 36
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Sommaire (suite)III – Construire le Mix marketing de son offre de service• Les 7 « P » P37 - 38• Quel « Produit » de service ? P39 - 43• Quel Prix ? P44 - 47• Quelle « Place » ? P48 - 51• Quelle « Promotion » ? P52 - 57• Quel Personnel ? P58• Quel Processus ? P59 - 60• Quelle Participation ? P61
IV – Optimiser et piloter sa qualité de service• Modèle global P62 - 64• Critères de qualité P65 - 68• Mesure de la qualité P69 - 79• Mise en place d’une Politique Qualité P80 - 93
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Sommaire (suite)
V – Elaborer son plan marketing La construction du plan marketing P95 – 96 Situation actuelle P97 Déploiement des objectifs P98 – 99 Les leviers du plan d’actions P100 Le plan d’actions P101 – 102 Suivi du plan d’actions P103 Contributions P104 - 105
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I –Spécificités des services
Introduction
Les services recouvrent un vaste champs d’activités :
Commerce Administration Transports Activités financières et immobilières Services aux entreprises Services aux particuliers L’éducation La santé L’action sociale
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Introduction
Zoom sur les services marchands* :
* Source Insee8
Location sans opérateur Activités audiovisuelles
Télécommunications Publicité et études de marché
Services professionnels Hôtels et restaurants
Sélection et fourniture de personnel Autres activités récréatives et culturelles
Agences de voyage Activités de poste et de courrier
Administration de l’entreprise Services logistiques (sécurité, nettoyage, services divers
Location immobilière Assainissement, voierie, gestion des déchets
Promotion et gestion immobilière Services personnels
La démarche Marketing des services
• Le marketing des services regroupe l’ensemble des techniques marketing dévolues à la création et la commercialisation des services.
• Le marketing des services tire l’essentiel de sa spécificité du caractère intangible des services et de l’importance primordiale de la qualité des différents éléments influençant la délivrance du service (accueil, conseils, relation humaine,..).
• La commercialisation des services est aussi influencée par l’absence de possibilités de stockage.
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Le marketing des services, c’est également…
Un ensemble de concepts et d’outils méthodologiques qui permettent de passer d’une culture du produit, de la règle, de la norme, industrielle, de processus… à une culture de service.
Un levier de transformation culturelle. c’est une « manière d’être » qui engage chacun au quotidien
dans ses relations avec ses clients, mais aussi avec ses collaborateurs.
Marketing des services/ Marketing classique
Ainsi, le marketing des services se situe également sur une frontière
poreuse entre marketing et management, qui s’intéresse, lui, aux modes de
pilotage des équipes et renvoie donc plutôt à des aspects RH.
Le marketing des services : « C’est prendre soin de ses
équipes
pour qu’elles prennent soin des clients »*
*Du management au marketing des services, publié chez Dunod, 2011, Charles Ditandy et benoit Meyronin.
Marketing des services/ Marketing classique
Le service est une activité économique qui crée de la valeur et fournit des avantages au consommateur, à un moment et un lieu donné.
Selon l’Insee, c’est la mise à disposition d’une capacité technique ou intellectuelle.
Les clients obtiennent la valeur des services sans en obtenir la propriété
Recherche d’une définition des services
Pour suivre les travaux fondateurs de Pierre Eiglier et Eric Langeard, (IAE d’Aix-en-Provence) :
3 ingrédients de base interagissent pour que le service existe :
1/ le support physique, 2/ la participation (ou coproduction) des clients3/ le personnel en contact.
Le service, c’est tout à la fois un processus et son résultat.
C’est un système de servuction, mais aussi le bénéfice qui permet de satisfaire son ou ses segments de clients
Recherche d’une définition des services
Le service ne se possède pas, ce qui rend difficile la
comparaison et l’évaluation :
Difficile d’évaluer objectivement les bénéfices pour le client d’une nuit d’hôtel, d’un spectacle ou d’un restaurant.
Le client utilise, expérimente mais ses critères d’évaluation sont subjectifs et valables à un instant T.
La qualification des spécificités des services
Le service est intangible mais nécessite le plus souvent des
équipements pour sa « livraison » au client :
Le choix et la qualité de ces équipements influent fortement sur la qualité de service.
Le niveau de prestations est lié à l’équipement dans de nombreux secteurs : salles de sport, loisirs en général, services de transports, location de matériels, hôtellerie et restauration…
La qualification des spécificités des services
Le personnel impacte sur la qualité et la valeur du service offert :
Le recrutement, la formation, le management, la motivation des personnes en charge de la prestation doivent être traités comme des composantes prioritaires.
Services de conseils aux entreprises, publicités, études de marché, services informatiques…
Services à la personne : bien-être, coiffure, soins, assistance aux personnes âgées…
La qualification des spécificités des services
Le service ne se stocke pas : l’une des difficulté majeure est de faire correspondre au mieux la disponibilité du service à la demande des clients.
Gestion du remplissage ou du taux d’occupation pour les services hôteliers, transports, restauration…
Disponibilité (temps d’attente, horaires d’accès) pour les services de conseil, d’assistance, dépannage, location…
La qualification des spécificités des services
Le client est impliqué dans le processus de fabrication :
Lorsque que la présence du client est requise sur le lieu de délivrance de la prestation : importance des critères d’emplacement, accès, sécurité, information…Ex : commerces, self-service, transports, services culturels et sportifs…
Lorsque le service se fait à distance ( télécommunications, e-commerce, services via Internet ou via le téléphone …) : importante de la « formation » du client, de l’information, des services d’assistance…
La qualification des spécificités des services
Le service est intangible: le client se fonde sur la promesse annoncée par le prestataire et l’idée qu’il se fait du service.
Le profil du client, ses besoins, ses attentes, son niveau d’implication influent fortement sur l’appréciation et la satisfaction globale.
Le même service délivré à 2 clients aux besoins différents, ne donnera pas au final la même prestation et les mêmes bénéfices.
Importance des comportements consommateurs
Comprendre les attentes clients et identifier les attentes discriminantes :
Importance des comportements consommateurs
Valeur d’usageCompréhension du métier
Compétences fonctionnellesCompétences commercialeFormation des utilisateurs
PrixRespects des engagements
Respects du cahier des chargesClarté des indicateurs qualité
Valeur du contrat
Innovat ionSe
rvic
es d
e ba
se
Adéquation au besoinCapacité à évoluer
Performance techniqueRégularité
Capacité d’innovationCompétences fonctionnelles
Suivi des dossiersInteractivité et relations
humaines
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II – Segmenter son marché,Cibler ses clientsPositionner son service
Le principe de base de la segmentation est de pouvoir s’adresser, non pas à un marché global, mais à différents groupes de cibles distincts.
Les segments pour être efficaces doivent être :
▪ Pertinents (profitables pour l’entreprise)
▪ Mesurables (potentiel actuel et futur, panier moyen…)
▪ Opérationnels (accessibles en terme de technologie, de concurrence…)
La sur-segmentation est inutile.
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La segmentation du marché
► Les critères de segmentation B to C
- Les critères classiques :▪ Géographiques : le pays, la région, le climat…▪ Socio-démographiques : l’âge, le sexe, la taille du foyer, le revenu
annuel, la catégorie socio-professionnelle, le niveau d’éducation…
- Les typologies :▪ Psychologiques : le style de vie, les valeurs (l’égocentrique, les bobos,
les cocooners, les écolos…), la personnalité (l’autoritaire, l’introverti, l’ambitieux, le maniaque…)
▪ Comportementales : la situation d’achat, les avantages recherchés, le niveau d’utilisation, la fidélité…
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La segmentation du marché
► Les critères de segmentation B to B
▪ L’environnement : le secteur industriel, la situation géographique, la taille de l’entreprise…
▪ Les caractéristiques d’exploitation : la technologie, les capacités financières.
▪ Les méthodes d’achat : la structure d’achat, l’organisation de la fonction achat, la politique d’achat...
▪ Les caractéristiques personnelles des acheteurs : l’attitude par rapport au risque, la personnalité...
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La segmentation du marché
Qui a besoin de quoi ?
Identifier des groupes d’entreprise ou de consommateurs
ayant des besoins homogènes et distincts entre eux .
Croisement de 2 variables :
- Les acteurs (entreprise ou consommateurs)
- les besoins (attentes)
La segmentation du marché
Répertorier et hiérarchiser les attentes
La segmentation du marché
Types d’attentes
Contenu Importance pour le client
(note de 1 à 5)Eléments techniques
Contenu technique du serviceFiabilité de réalisationCompétence technique du personnelAdaptation de la prestation à l’évolution des besoinsRégularité du service
Eléments fonctionnels
Rapidité de réaction aux incidentsDisponibilité du personnelQualité de la documentation écriteClarté des rôles entre le prestataire et le client
Eléments financiers
Clarté de la facturationFlexibilité du prixClarté de la facturation des services complémentairesRégularité de la facturation
Répertorier et hiérarchiser les attentes
La segmentation du marché
Types d’attentes
Contenu Importance pour le client
(note de 1 à 5)Eléments Relationnels
Qualité des relations humainesAptitude à prendre en compte remarques et suggestionsQualité et moyens de communication avec les utilisateursAptitude du personnel à conseiller
Eléments Institutionnels
Taille du prestataire ou de l’équipe dédiéeRéférencesLocalisation géographiqueImage du prestataire
L’entreprise doit ensuite choisir les segments sur lesquels elle fera porter son effort et ses actions marketing.
► Les critères de choix :
▪ Adéquation avec l’image de l’entreprise▪ Compatibilité avec les objectifs de l’entreprise▪ Taille et croissance prévisible▪ Situation concurrentielle▪ Savoir-faire technologique/Ressources▪ Niveau d’investissements nécessaires
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La phase de ciblage
3 stratégies de ciblage possibles :
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C1
C2
Service A
C3
C4
INDIFFERENCIATION DIFFERENCIATION CONCENTRATION
SA C1
SB C2
SC C3
SD C4
C1
SA C2
C3
C4
Demande homogène
Economie d’échelle
Demande hétérogène
Investissements plus élevés
La phase de ciblage
Définir le concept de Service
Déterminer avec précision les bénéfices qu’offre le service Fixer le prix envisagé et acceptable par le marché Définir l’ensemble des éléments qui distinguent le service de
ses concurrents.
Le positionnement du service
Les 5 composantes d’un concept de service
Le positionnement du service
Créativité
Engagementsaffichés
Processus itératifs
Eléments connus et existants
Besoins homogènes
1/ Créativité :
Les services ne sont pas brevetables. L’inventivité et l’innovation doivent permettre à l’entreprise de se prémunir du copiage.
Ex : création d’un nouveau « package » de service (Club Med et ses séjours tout compris)Ex : création d’un nouveau process (Bear Factory et ses peluches personnalisables sur le web…)
Le positionnement du service
2/ Engagements affichés :
La promesse est clairement énoncée Les engagements doivent prendre la forme d’un « défi »
difficile à relever pour les concurrents.
Ex : Domino’s Pizza, inventeur de la livraison de pizzas chaudes en
moins de 30m.
Ex : Darty et son « Contrat de confiance »
Le positionnement du service
3/ Processus itératifs:
L’entreprise met en place des processus systématiques en Back
Office et Front Office qui garantissent la délivrance du
service quelque soit l’intensité de la demande.
Ex : Engagements Mac Donald’s sur la provenance des produits /
fraicheur de la délivrance des hamburgers aux clients.
Le positionnement du service
4/ Eléments connus et existants :
Le concept de service s’appuie sur des services qui existent déjà mais dont les process de fabrication, de délivrance ou le type de Relation client se distinguent
Ex : Ikea qui a adapté le principe du « kit » à monter soi-même au monde de l’ameublement.Ex : Nespresso et son « Club Nespresso » haut de gamme qui assure la livraison dans le monde entier de ses dosettes, en se passant des réseaux de distribution classiques.
Le positionnement du service
5/ Besoins homogènes:
Le concept pour être efficace doit servir des besoins
spécifiques, clairement identifiés : éviter l’offre généraliste
qui attire des clients aux besoins différents.
Ex : Novotel qui destine son offre essentiellement aux clients en
voyages d’affaires.
Le positionnement du service
Le mapping de positionnement ou carte perceptuelle :Cet outil permet de positionner son offre au milieu de ses concurrents par rapport aux attentes prioritaires du marché cible.
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Attribut 2 FortAttribut 2 Faible
Attribut 1 Fort
Attribut 1 Faible
Produit A
Produit C
Produit B
Le positionnement du service
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III – Construire le Mix de son offre de services
En plus des « 4 P » qui structurent la démarche du marketing Produit, le marketing des services est plus complexe :
Les « 7 P » versus les « 4 P »
PERSONNEL
PARTICIPATION
PROCESSUS
Définir les caractéristiques de l’offre globale de services
3 composantes :
1/ L’offre de base par segment de client
2/ Les services périphériques
3/ Les services supplémentaires
Quel « Produit » de service ?
1/ L’offre de base par segment de client :
Raison essentielle pour laquelle le client choisi l’entreprise.
Savoir-faire et raison d’être de l’entreprise de service.
Ex : transports en TGV pour la SNCF
Attention ! Plus le service de base est le même pour des clients différents, plus l’entreprise prend le risque de mélanger des clients différents au même moment.
Création des IDZen et IDZap pour le service Idtgv, afin de « corriger » les effets du mélange de clientèle.
Quel « Produit » de service ?
2/ Services périphériques :
Prestations proposées dans le but d’améliorer l’offre globale, faciliter le déroulement, créer de la différence vis-à-vis des offres concurrentes
Les services périphériques optionnels sont à concevoir prioritairement en fonction de la cible visée :
Ex : Dans l’ hôtellerie, petit déjeuner buffet international pour une clientèle d’affaires.
Ex : Création d’une halte-garderie dans un centre commercial ou un centre de loisirs.
Quel « Produit » de service ?
3/ Services supplémentaires :
Services facilitants ou « de soutien » qui répondent aux besoins secondaires du client mais qui sont nécessaires pour la réalisation du service.
Ex : pour une gare Services secondaires nécessaires : accès parking, navettes, restauration, toilettes…
Services différenciants : accès Wifi, salle de repos, service consigne, boutiques…
Quel « Produit » de service ?
La Fleur des Services*
Quel « Produit » de service ?
COEUR
Information
Hospitalité
Prise de commande
Conseil
Sécurité
Exceptions
Facturation
Paiement
Source : Lovelock, 2008
Les critères à prendre en compte:
- Les coûts induits par les clients pour l’obtention de tel service : présence de personnel, achat de matériel, investissement en communication, sous-traitance…
- Les coûts pratiqués par la concurrence.
- La marge commerciale attendue par l’entreprise
- La sensibilité aux prix des différents segments de clientsN.B : un service « peu cher » ne génère pas de confiance. Dans certains secteurs, il est préférable d’offrir un service périphérique plutôt que d’éveiller la méfiance.
Quel(s) Prix ?
La répartition entre services facturés et non facturés:
- Option 1 : politique du package
Un ou plusieurs packages correspondants à différents niveaux de prestations.
Le client bénéficie d’une offre tout compris :-Valorisation-Tranquillité d’esprit- Facilité pour la gestion du budget, le prévisionnel- Relations Client facilités, tout est prévu…
Le client paye pour des services qu’il n’utilise pas forcément :-Insatisfaction-Sentiment de prestation trop chère- Risque de fuite à la concurrence
Quel(s) Prix ?
La répartition entre services facturés et non facturés:
- Option 2 : politique du prix à la carte
Des services périphériques facturés à la carte ou offerts en fonction de la fidélité et du niveau de contribution du client.
Le tarif du service de base est plus accessible :- Compétitivité- Facilité dans la conquête client- Fidélité accrue en période de crise
Chaque service facturé en plus génère des attentes élevées :- Risque de réclamations accrues- Relations clients plus tendues- Image dépréciée
Quel(s) Prix ?
► Stratégie de fixation du prix en fonction de la concurrence :
48Intensité de la concurrence
Valeur perçue du service
+
-
- +
services novateursou haut de gamme
Services de base avec une cible très large
Services de proximitéRencontrant une forte concurrence
Services innovant souhaitantréaliser rapidement
un gros volume de ventes
Stratégie d’écrémage : Prix élevé pour dégager des marges
Stratégie d’alignement :Prix fixé en fonction du principal concurrent. Eviter la guerre des prix
Stratégie prix économique : Jeu de la concurrence
qui tire les prix vers le bas
Stratégie de pénétration :Prix d’appel pour conquérir des
parts de marché
Quel(s) Prix ?
Le lieu de délivrance du service peut jouer un rôle essentiel dans la valeur perçue du service:
- Lieux de vente ou d’accueil traditionnels : commerces, entrepôts, agences nationales, locales, bureaux volants…
L’emplacement, l’accès, la proximité, la sécurité, les commodités
jouent un rôle plus ou moins importants en fonction du niveau de
gamme des prestations.
Quelle « Place » ?
Les services à distance:
- L’émergence des canaux à distance a permis de conquérir de nouvelles cibles et de renforcer sa différenciation vis-à-vis des concurrents :
Conseil, simulations, devis, cofabrication du service par le client à distance.
Commande par téléphone ou sur le web avec livraison et ou réalisation de la prestation à domicile, chez le particulier ou dans l’entreprise.
Quelle « Place » ?
La développement des offres multicanales :
- En plus des offres de service à distance, l’entreprise peut également mettre en place des supports physiques, technologiques pour faire transiter une partie de ses prestations.
Bornes d’informations interactives, de réservation… Bornes de paiement Distributeurs de billets, de denrées alimentaires, Magasins virtuels Partenaires relais pour les livraisons Partenaires hébergeant des bornes interactives etc.
Quelle « Place » ?
Les conséquences du développement des offres multicanales :
- Le client gagne en indépendance et en autonomie- Le client gagne du temps et réduit le nombre de ses interlocuteurs.- Le service peut être « détemporalisé » (accès 24h/24, 7j/7)- L’entreprise rationnalise ses ressources- L’entreprise s’adapte plus facilement à la variation de la demande, gestion des flux…- L’entreprise bénéficie d’un réseau plus dense, d’une présence géographique plus large…
- Nécessité d’investir dans l’ergonomie des supports et dans la fiabilité.- Risque de moindre de contact avec les clients, baisse de la proximité…
Quelle « Place » ?
HORS-MEDIASMEDIAS
RELATIONSPUBLIQUES
FORCE DE VENTE
InformationsPrimes
ConcoursCadeaux
publicitaires
PUBLICITE
TV Presse Radio
Affichage CinémaInternet(bandeaux
publicitaires)
MARKETINGDIRECTMailing
E-mailing
PROMOTIONOffre de prixVente à prime
Jeux et concours
Essai produit
SALONS
Les différents outils de Communication
Quelle « Promotion » ?
STRATEGIE PUSHCourt terme.
= Utiliser la force de vente et la promotion.Agir directement sur les comportements
d’achat
STRATEGIE PULLMoyen/Long terme.
= investir massivement en publicité.
Agir sur les attitudes en créant la préférence
RELATIONSPUBLIQUES
STIMULATIONFORCE DE VENTE
PUBLICITE
TV Presse Radio
Affichage CinémaInternet
MARKETINGDIRECTPROMOTION
SALONS SALONS
Les 2 stratégies à combiner :
Quelle « Promotion » ?
Méthodologie pour élaborer une campagne de communication :
QUOI DIRE ?Le message publicitaire
A QUI ?La cible
POUR QUEL EFFET ?Objectif(s)
QUAND ?Planning média
COMMENT ?Choix des médias
6 QUESTIONS
COMBIEN?Le budget
Quelle « Promotion » ?
Déterminer la ou les cible(s) :
► Identification : segment de marché, acheteurs actuels, acheteurs potentiels…
► Nature : Prescripteurs et/ou utilisateurs finaux
► Comportement d’achat attendu
► Quantification de la cible dans la mesure du possible.
Quelle « Promotion » ?
Déterminer l’ objectif ou les objectifs :
FAIRE VENDRE RecruterFidéliser
INFORMER(cognitif)
Accroître la notoriété.Dérouler
l’argumentation produit/service
FAIRE RESSENTIR(affectif)
Construire une image.Créer/renforcer la
Relation client.Susciter laPréférence.
ATTIRER(comportemental)
Faire essayer le produit.
Faire acheter.Créer du trafic
en magasin.
Quelle « Promotion » ?
La définition du budget :
► Un % du CA : 2 à 5% du CA en moyenneCette méthode limite le risque mais ne pousse pas au
développement. Elle évite les conflits avec la concurrence.
► L’alignement sur la concurrence : évite la guerre et la surenchère promotionnelle.
► La méthode fondée sur les objectifs et les moyens : méthode la plus rationnelle puisque basée sur la cible touchée par la communication et les objectifs quantitatifs fixés (taux d’exposition, taux de notoriété, taux d’utilisation…)
Quelle « Promotion » ?
Les leviers à étudier: Recrutement Formation Motivation Reconnaissance
Pour chaque levier, la démarche peut se structurer en s’appuyantsur la « fleur des services » :
Quel « Personnel » ?
Information Conseil
Commande Hospitalité
Sécurité Exceptions
Facturation Paiement
1/La définition de l’environnement physique :
► éléments tangibles nécessaires pour la réalisation du service : immeubles, véhicules, ameublement, locaux, design, équipement…
L’ensemble de ces éléments et leurs caractéristiques contribuent à construire l’idée que l’on veut que le client sefasse du service.
Quels « Processus » ?
2/La définition des méthodes, tâches et séquences requises :
Quels « Processus » ?
Processus Canal direct Canal à distance
Processus avant-venteConseilDevisSimulationProcessus de venteCommandeInstallationLivraisonFormationFacturationProcessus après-venteAssistance/conseilDépannageGestion réclamationsSuivi des résultats
La définition du rôle des clients :L’objectif est de déterminer quels sont les différents types d’actionsauxquelles le client peut ou doit participer
Quelle « Participation » ?
Processus Canal direct Canal à distance
Processus avant-vente
Répondre à un questionnaireFournir des documents administratifs ou financiers.Assister à une démonstration…
Sur le web, par téléphone, remplir une demande de devis, de réservation…Demander à être rappeléDemander une documentation papier…Processus
de venteCommande et paiementPrise de RDV pour livraison et installation
Paiement par CBImpression d’une factureConsultation d’une notice d’installation, d’une vidéo…
Processus après-vente
Retour matérielSuivi, bilan, réclamation…Demande d’assistance, dépannage…
Déposer un avisRenvoyer une enquête de satisfactionUtiliser les FAQ, l’assistance téléphonique…
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IV – Optimiser et piloter la qualité de service
La complémentarité des approches marketing et qualité est définitivement démontrée :
La qualité est fondée sur la satisfaction client et donc sur la connaissance approfondie du portefeuille prospects / clients.
La qualité a pour objectif de rendre l’entreprise plus performante que ses concurrents.
Le marketing doit puiser dans la qualité les éléments nécessaires à l’amélioration de son offre et donc à la fidélisation de ses clients.
Le modèle global
Renforcer ses avantages concurrentiels en s’assurant d’être au plusprêt des besoins clients et en anticipant les évolutions.
Quels sont les points forts et les points faibles de l’entreprise ?
Pourquoi nos prospects nous choisissent-ils ?
Pourquoi nos clients nous gardent-ils ?
Les enjeux vis-à-vis de la concurrence
Améliorer les résultats de façon durable
Faire baisser la non qualité
Déceler de nouvelles niches de clientèles et développer le C.A
Les enjeux économiques
Redéfinir les rapports consommateurs-marques : les marques doivententreprendre des stratégies destinées à réinjecter de la confiance.
Les enjeux vis-à-vis de la fidélisation
FacilitationSimplifier le
parcours client
Prévenance.Se soucier de
l’intérêt de ses clients
Humilité.Savoir
s’excuser
TransparenceRendre
l’information objective
Confiance a priori
envers ses clients
Développer une démarche autour de la satisfaction du client
Mobiliser le personnel autour du client
Impliquer la direction
Faire évoluer le management
Reconnaître et responsabiliser
Les enjeux vis-à-vis du management
Les 10 critères que le client utilise pour évaluer la qualité :
Les critères de qualité
Critères Définition Exemples de questionCrédibilité Digne de confiance,
HonnêteLe service de dépannage près de chez moi a t-il bonne réputation ?
Sécurité Absence de danger, de doutes
Existe-t-il des risques à voler avec cette compagnie aérienne?
Accessibilité Abord facile et contact aisé
L’hôtel est-il bien situé ?Le service client est-il facilement disponible au téléphone ?
Communication Ecoute des clients,Information régulière
En cas de réclamation, ma demande sera-t-elle prise en compte ?
Compréhensiondu client
Efforts pour connaitre les clients
Mes projets personnels sont-ils pris en compte par ma banque ?
Les 10 critères que le client utilise pour évaluer la qualité :
Les critères de qualité
Critères Définition Exemples de questionTangibilité Apparence de
l’équipement, du personnel…
Les locaux sont-ils agréables ? Le personnel est-il vêtu de manière appropriée ?
Fiabilité Capacité à réaliser le service promis
Ma voiture sera t-elle réparée dans les temps ?
Réactivité Volonté d’aider le client
En cas de sinistre, cet assureur se déplacera t-il rapidement ?
Compétence Maitrise des connaissances nécessaires
Mon consultant est-il spécialiste sur ce marché ?
Courtoisie Politesse, respect Le standardiste est-il toujours aimable en cas d’affluence ?
2 types de mesures :
Mesures « dures » : informations quantifiées dans le temps et mesurées spécifiquement par l’entreprise pour analyser les résultats ou les processus opérationnels.
Temps d’attente à l’accueil, au téléphone… Temps moyen entre 2 pannes Temps moyen d’expédition et de livraison Nombre de réclamations…
La mesure de la qualité
2 types de mesures :
Mesures « molles » : collectées auprès des clients, du personnel ou autres personnes.
Études marketing annuelles Enquêtes ponctuelles Panels clients / panels employés Clients mystères Feedback clientsFocus groupes (étude qualitative) Analyse des plaintes, réclamations, compliments…
La mesure de la qualité
La recherche des causes principales d’insatisfactionUtilisation du diagramme d’Ishikawa :Le diagramme dit « en arête de poisson » permet d’analyser les causes de disfonctionnement.
Pour les services, on retient 8 groupes de causes :-Equipement, Matériel-Procédures-Personnel Back Office-Personnel Front office-Logistique-Information-Clients-Autres causes
La mesure de la qualité
Exemple de diagramme d’Ishikawa adapté aux services
La mesure de la qualité
Mesure de la satisfaction des clients
L’enquête de satisfaction est l’outil idéal pour :
– Recueillir la perception des clients sur les produits et services
– Identifier les priorités d’amélioration– Suivre l’évolution de cette perception dans le temps– Produire un indice de satisfaction, homogène d’une année sur
l’autre pour réaliser des comparaisons.– Recueillir des Verbatims (commentaires réels des clients) et
mieux comprendre les clients.
La mesure de la qualité
Mesure de la satisfaction des clients
La mesure de la qualité
Techniques de recueil en enquête de satisfaction• Le questionnaire administré en face à face• Le questionnaire par téléphone• Le questionnaire directement complété par le client (papier / sur
Internet)
L’échantillon statistique• Soit auprès de la totalité des clients• Soit auprès d’un échantillon, dans ce cas prélèvement :
– Aléatoire (tirage au hasard)– En prédéfinissant des critères de sélection (Familles de services,
chiffre d’affaire, …)• La taille de l’échantillon est déterminée en fonction du degré de
fiabilité et de finesse des résultats souhaités.
La mesure de la qualité
Périodicité des enquêtes :
• Ponctuelles : mesure de la satisfaction à l’occasion d’un projet particulier
• Périodiques : mise en place d’enquêtes pour suivre la progression des résultats dans le temps, par exemple pour des enquêtes portant sur l’ensemble des produits et services, périodicité d’un an ou deux.
• En continu : les clients ayant récemment utilisé un service sont interrogés, et les données collectées « au fil de l’eau » viennent alimenter un tableau de bord des résultats mensuels, semestriels ou annuels.
La mesure de la qualité
Questionnaire : Nature des informations
• Mesurer la satisfaction des clients par rapport à leurs attentes et non par rapport à ce que produit l’organisme.
• Le questionnaire se place délibérément du point de vue client.
Il vaut mieux demander au client son appréciation sur le délai de livraison que lui demander d’estimer ce délai.
La mesure de la qualité
Type de questions
Questions fermées : une liste de réponses possibles est proposée àl’interviewé.• Question à réponse unique : une seule dans la liste proposée.• Question filtre (si oui passer à la question 3 sinon à la question 4)• Question à échelle d’attitude (très satisfait, satisfait, …)• Question à choix multiple : une ou plusieurs réponses dans la liste
proposée• Question par ordre hiérarchiqueQuestions ouvertes : l’interviewé répond comme il le désire en
utilisant sont propre langage. Exemple : Que pensez-vous de …. ?
La mesure de la qualité
Freins et limites
Un service est immatériel, intangible et la standardisation est difficile.
La perception d'un service varie énormément d'une personne à l'autre.
Quelques chiffres :
• Seulement 4 % des clients mécontents se manifestent
• 96 % repartent sans rien dire
• 91 % ne reviennent jamais.
• Pour un problème résolu sur le champs, 95 % des clients traitent à
nouveau avec vous et en parlent à 5 personnes, 1 client mécontent le dit
en moyenne à 11 personnes.
La mise en place d’une politique qualité
Moteur et facteurs clés de réussite :
" Ce n'est qu'avec les yeux des autres que l'on peut voir ses défauts ".
Prendre en compte les attentes et les besoins du client Raisonner client : faire la différence entre la qualité conçue et
la qualité perçue :
S’assurer que ce que l'on propose au client correspond à ce qu'il souhaite.S’assurer que l'expérience vécue par le client lui donne satisfaction à 100 %.
La mise en place d’une politique qualité
Moteur et facteurs clés de réussite :
La mise en place d’une politique qualité
Le diagnostic :
Analyser l'existant de votre entreprise en déterminant les forces, les faiblesses mais également les opportunités et les menaces auxquels vous pouvez être confronté.
La mise en place d’une politique qualité
LE PERSONNEL LES CLIENTSLA
CONCURRENCE
Diagnostic interne : le personnel
Pourquoi ?
• Identifier la perception du personnel sur la qualité de service offerte au client• Connaître les attentes• Découvrir les freins• Définir le degré de faisabilité
Comment ?
• Entretiens qualitatifs et quantitatifs
La mise en place d’une politique qualité
Diagnostic externe : les clients
Pourquoi ?
• Evaluer les perceptions des clients• Recueillir leurs attentes• Définir une segmentation service
Questions à se poser :
• Qui sont mes clients ? • Qu'attendent - ils de nous ?• Qu'est ce qui est important dans ce qu'ils attendent ?
Comment ?
• Etudes qualitatives et quantitatives
La mise en place d’une politique qualité
Diagnostic externe : la concurrence Pourquoi ?
• Découvrir les meilleures pratiques• Détecter les opportunités• Déceler des niches
Questions à se poser :
• Qui sont mes concurrents ?• Que proposent - ils de plus par rapport à moi ?
Comment ?
• Observer la concurrence (veille Internet, presse, salons…)• Faire des études de benchmarking
La mise en place d’une politique qualité
Définir ce que doit être la qualité de service :
Etablir le référentiel de service :
Ex : je m'engage à ce que mon client ait toujours un interlocuteur disponible et compétent dans les 5 minutes qui suivent sa demande.
En général, une dizaine d'engagement suffise
Pourquoi ?
• Définir l'engagement de l'entreprise et de la direction• Déterminer le niveau de service à offrir au client
Comment ?
• Créer un Comité de pilotage
La mise en place d’une politique qualité
Elaborer les standards
Pourquoi ?
• Définir les références pour satisfaire le client• Savoir qui fait quoi et comment
Comment ?
• Concevoir le schéma de servuction • Définir le résultats attendu par le client• Voir ce qui peut poser problème• Consulter le personnel opérationnel
La mise en place d’une politique qualité
Traduire en garanties de service
Pourquoi ?
• Extérioriser vis à vis des clients• Marquer la différence par rapport à la concurrence
Comment ?
• Déterminer les priorités• Analyser les compensations• Le communiquer aux clients (livret d’accueil, Newsletter…)
La mise en place d’une politique qualité
Mener les actions
Pourquoi ?
• Faire vivre le cadre de référence défini• Donner des priorités• Assurer une cohérences entre l'existant et le futur
Comment ?
• Définir les critères pour hiérarchiser les actions• Donner des objectifs de délais• Créer des groupes d'action qualité
La mise en place d’une politique qualité
Former le personnel
Pourquoi ?
• Renforcer l'état d'esprit Service• Mobiliser autour du Client• Développer le savoir-faire et le savoir être
Comment ?
• Par métier, sans niveau hiérarchique• Choisir et former des relais dans l'entreprise
La mise en place d’une politique qualité
Stimuler/récompenser
Pourquoi ?
• Reconnaître les performances• Valoriser ce qui est visible et bien pour le client• Entretenir la dynamique d'amélioration
Comment ?
• Définir les signes de reconnaissance ( tangibles et intangibles )• Avoir une politique de rémunération liée à la satisfaction client
La mise en place d’une politique qualité
Mesurer les progrès et communiquer
Pourquoi ?
• Contrôler en permanence la satisfaction client• Suivre le niveau de performance du personnel• Corriger les erreurs
Comment ?
• Evaluer l'externe ( mise en place de baromètres )• Evaluer l'interne ( suivi des indicateurs de qualité de service )• Exploiter les réclamations
• Communiquer
La mise en place d’une politique qualité
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V – Elaborer son plan marketing
La construction du Plan Marketing
Principes méthodologiques
Situation actuelle :
► Le rappel des éléments de la stratégie de l’entreprise
► Caractéristiques du marché
► Univers concurrentiel
► Offre actuelle
► Eléments de différenciation
► La planification et les budgets
La construction du Plan Marketing
1/Définir les objectifs stratégiques de 1 à 3 ans :▪ En volume et valeur (part de marché pour l’entreprise…)▪ En rentabilité▪ Les objectifs de positionnement▪ Les objectifs d’image
2/Définir les objectifs spécifiques: Chaque objectif doit contribuer à l’objectif stratégique de l’entreprise
▪ Par type de services▪ Par segment, par client▪ Par zone géographique…
Le déploiement des objectifs
Exemple de présentation
Le déploiement des objectifs
Ensemble des actions que l’entreprise veut mettre en oeuvre:
▪ Etablir un diagnostic pour chaque segment de client :
Faire une étude de satisfaction par segment Monter un groupe de travail pour chaque segment
Proposer des offres innovantes et différenciatrices :
Mobiliser et former en interne Externaliser une partie des prestations Etablir des réunions mensuelles de suivi du plan d’actions
Etc.
Les leviers du plan d’actions
ACTION 1
ACTION 2
BudgetPlanningRésultatsVisésDescriptifObjectifType
d’action
Le tableau du plan d’action
Le plan d’actions
Préparation Mise en place
Action 2
Action 1
DNOSAJJMAMFJ
La planification du plan d’action :
Le plan d’actions
Suivi des plans d’actions :
Le suivi du plan d’actions
Objectif Indicateur Situationcible
Diagnostic Actions Deadline Suivi et résultats
Etablir la contribution de chaque action à l’objectif :
Suivre la réalisation de l’objectif
Se rappeler le poids et l’importance d’une action pour la réalisation de l’objectif
Contributions
Exemple de présentation
Contributions
Bibliographie
▪ Du management au marketing des services : Benoit Meyronin, CharlesDitandy, Dunod 2011.
Marketing des services : les Topos; Denis LAPERT et Annie MUNOS, édition DUNOD, 2009.
▪ La boite à Outils du chef de produit: édition DUNOD, 2010
Sites :journaldunet.com etudes-marche.comabc-netmarketing.com e-marketing.fr