p. j. strydom administrateur général. bétail 171 000 porcs sevrés (8 mois; 180-240 kg), parcs...
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P. J. Strydom
Administrateur général
Bétail 171 000 porcs sevrés (8 mois; 180-240 kg), parcs d'engraissement sud-
africains 115 000 bouvillons – abattoirs d'exportation de l'UE (Meatco & Witvlei)
Petits troupeaux 190 000 moutons – Afrique du Sud (marché informel) 270 000 chèvres – Afrique du Sud Kwazulu-Natal (marché cérémonial)
Bœuf 9 400 tonnes – Afrique du Sud (Woolworths, bouvillons) 9 500 tonnes – UE (R-U, Norvège, Allemagne, Suisse, Pays-Bas)
Agneau 850 000 carcasses - Afrique du Sud
(Checkers, Pick.n Pay, Spar) ? (500) tonnes – Norvège
Springbok (90) tonnes – Norvège
PERFORMANCES DE L'INDUSTRIE DE LA VIANDE NAMIBIENNE
Orientée vers l'export – 85 % (1,6 milliard $)
Obstacles au commerce de la CDAACoût de conformité du pays d'importation et du
consommateurAccords commerciaux – améliorent le commerce ? Contrôle médiocre des maladies
animales et de la zootechnieAbsence d'infrastructures de marketing
et d'informationAbsence de politiques et de stratégies
gouvernementales harmoniséesPratiques culturelles liées à la propriété
Conformité aux exigences SPS (1)Fixées par les pays importateurs et les
consommateurs Coûteuse pour les petites économies :
Hygiène de la viande et infrastructures d'abattoirsÉtablissement de zones exemptes de maladie et
cordonnement La Namibie a 3 zones vétérinaires et le Botswana, 17.
Mise en œuvre de systèmes d'assurance qualité comme FANMeat (Namibie)Adoption de législations,
interdiction de substances hormonales, de suppléments
antibiotiques de routine etde produits dérivés animaux
Conformité aux exigences SPS (2)• Normes supplémentaires des pays importateurs :
• Désossage et maturation • Surveillance ESB• Bien-être animal
• Normes privées plus strictes des distributeurs• Responsabilité de la certification par une autorité
compétente• Sécurité du consommateur, traçabilité,
biosécurité, qualité de la viande• Avec des finances et des capacités
limitées• Les coûts de conformité sont principalement supportés par
l'industrie de la viande elle-même• Les exportations à l'UE se conforment
à ces normes
Volume et valeur des importations de viande UE de la Namibie (en haut) et du Botswana (en bas)
Exportations de la Namibie vers l'UE et l'Afrique du Sud (en prix 2000)
Source ODI
Avantages commerciaux
Dilemmes commerciaux Maintenir et améliorer l'accès au marché (AELE, USA, UDAA)Fin de l'accès au marché de l'UE
La Namibie pourrait perdre 30,76 millions € par an « Annulation » des investissement UE et namibiens Pertes d'emplois (directes – 203) Conséquences socioéconomiques (affectant 160 000 agriculteurs) Équivalent à une augmentation des tarifs de 72 % pour le Botswana et de 63 % pour la Namibie
États-Unis La Namibie a subi une inspection APHIS et a reçu la certification Elle attend l'audit FSIS
L'AELE a augmenté son quota en NorvègeLes exportations UE de bœufs sont directement en concurrence avec
des petits producteurs
Quelles sont les entraves au secteur de l'élevage de la CDAA ?
• Normes internationales et statut des maladies animales
•Difficiles avec le gibier sauvage en liberté
• Réseaux et compétences commerciales rudimentaires • Pouvoir et capacités de négociation limités
•Capacité de négocier avec des pays avec davantage de capacités
•Services de soutien à l'élevage médiocres
Que doit faire la CDAA ?• Les gouvernements de la CDAA devraient jouer un rôle plus central et cohérent !
•en utilisant la base de ressources d'élevage
• Adoption d'une approche de la certification SPS basée sur les produits (selon les règles OIE)• Repenser les nouvelles approches de la certification des produits
•Sans augmenter les risques SPS pour le pays importateur
• Implication dans la diversification des marchés et des produits
•Plein air, viande namibienne d'exploitation garantie, élevage à la campagne
• Aide commerciale pouvant couvrir le coût de conformité• Contribution de l'industrie, notamment via une taxe (Namibie)
• Programme de mentorat • Égalité de statut de santé animale
Merci de votre attention
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