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Le roi de cœur Augias, réseau herculéen Entretiens 2009 500 cœurs de bourg septembre 2009 N°53 r z e rezo, la lettre de la fédération française de la franchise Lionel Bieder, créateur d’Augias

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Numéro de septembre de la lettre de la FFF, consacrée au réseau de nettoyage industriel et d'assainissement Augias.

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Le ro ide cœur

Augias, réseau herc u l é e n

E n t retiens 2009

500 cœurs de bourg

s e p t e m b re2 0 0 9N ° 5 3r ze

rezo, la lettre de la fédération française de la franchise

Lionel Bieder, créateur d’Augias

Le roi de cœurLe saviez-vous ? La franchise, bien loin des stéréotypes et de la mécaniquede la pure réussite fin a n c i è re, a du cœur et elle est attachée à sa région,et aux personnes qu’elle fait travailler. En témoigne Lionel Bieder, excep-tionnel patron d’un réseau qui ne l’est pas moins. Décidément, les mythesg recs (Augias, Midas...) portent chance à la franchise. À l’écoute de son temps, pour le meilleur (le retour des belles places devillage) et pour le pire (la grippe H1N1, pas drôle du tout), la franchise nes’est toujours pas rassise et pousse constamment ses acteurs à se dépas-s e r, à inventer, à innover...

F e n ê t re

Carentan, rue commerçante — un bourg comme le groupe de travail sur les cœurs de bourg les

aime...

“La pre m i è re fois qu’on a mis surscène c h e rcheurs et franchiseurs, se

souvient Chantal Zimmer, on a failli friserl’incident diplomatique : les uns et lesa u t res ne parlaient pas la même

langue...” C’était il y a 13 ans, et lesE n t retiens ont largement dépassé depuisl’âge de raison. Chercheurs et

e n t re p reneurs ont chacun fait un pas enavant : les premiers en renonçant engrande partie au charme obscur du

langage des initiés, les autres ens’emparant à bras-le-corps des rapport sde re c h e rche pour en tenter l’application

dans leurs pro p res réseaux. Et ça marche !En 2007, la FFF avait réuni pour unej o u rnée de réflexion une quinzaine de

franchiseurs assidûs des Entre t i e n s .Question de base : la re c h e rche vous a-t-elle appris à mieux maîtriser votre métier

de franchiseur. Les réponses, plutôtpositives, s’incarn è rent dans les tro i stables rondes des Entretiens 2007 :

l’évolution des stru c t u res capitalistiquesde la franchise, l’évolution des normes demanagement et l’implication du franchisé

dans l’organisation du réseau.

L’ e x e rcice est diff é rent en 2009, o ùdeux équipes de chercheurs vontprésenter les résultats d’études lourd e smenées sur les aspects concurrentiels de

la franchise. M a r i e - L a u re Allain (EcolePolytechnique), Philippe Février etThibaud Ve rgé, respectivement dire c t e u r

et chercheur au Laboratoire d’économieindustrielle du CREST, se sont penchés surles effets concurrentiels de la franchise en

épluchant la littérature consacrée à la

question, et en menant une étudeéconométrique sur le secteur des serv i c e s

automobiles. De leur côté, Assaâd ElA k remi (Université de Toulouse 1), OlivierH e rrbach (Bordeaux 4), Karim Mignonac

( Toulouse 1) et Rozenn Perrigot (Rennes1) se sont posés la question de savoirquels étaient les savoir- f a i re sources de

l’avantage concurrentiel en franchise... Siaucune de ces équipes ne propose derecette miracle, leurs analyses et leurs

m e s u res ont largement de quoi fairer é fléchir — et agir — les franchiseursp r é s e n t s .

Et pour recontextualiser ces études eten préciser le mode d’emploi, l e sE n t retiens 2009 pro p o s e ront égalementdes tables rondes essentiellementt o u rnées cette année vers

l ’ e n v i ronnement économique et urbain dela franchise. Le lien est fort avec lesre c h e rches présentées : faire, dans un

contexte commercial donné, le choix de lafranchise, aux dépends d’une autrestratégie commerciale, c’est, pour les

élus, pour les franchiseurs etn a t u rellement pour le franchisé lui-même,une démarche aux implications pro f o n d e s

— et finalement plus prévisibles qu’on nele pense généralement.

Franchiseurs, acteurs du commerce, l e28 octobre est donc une date à re t e n i rd ’ u rgence sur vos agendas ! Les

E n t retiens se tiendront comme pre s q u etous les ans au Ministère de l’économie,avec le précieux soutien de la Banque

P o p u l a i re et de BNPParibas.

R e c h e rc h e

La franchise construit l’avenirLa Fédération française de la franchise a de drôles de pratiques : nonseulement elle est la seule fédération du commerce et des services qui se soitdotée d’un programme de recherche universitaire ; mais encore, elle est lafédération de franchise qui, dans le monde, fait le plus étroitement collaborerentrepreneurs et chercheurs, dans le cadre de son Comité scientifique et de sesEntretiens. Illustration le 28 octobre 2009 avec les 11e Entretiens de lafranchise.

Au pro g r a m m edu 28 octobre

Matinée : La re c h e rche nous

é c l a i re sur les pratiques

• 8h30 Accueil

• 9h00 Depuis 20 ans, la

re c h e rche fait évoluer la

franchise… et les pratiques

économiques et urbaines.

Table ronde avec franchiseurs

et cherc h e u r s

• 9 h 45 Les cherc h e u r s

présentent les résultats de leur

étude. Premier acte : La

franchise : vecteur de

stimulation de la concurrence.

• 11 h 00 Deuxième acte : Le

s a v o i r- f a i re à la source du

c a r a c t è re pro - c o n c u rrentiel de

la franchise.

Après-midi : La re c h e rche nous

o u v re de nouvelles

p e r s p e c t i v e s

14 h Jeunes cherc h e u r s ,

nouvelles pistes : un(e) jeune

c h e rcheur(se) présente ses

travaux en cours

• 14 h 30 La franchise au cœur

des nouvelles pro b l é m a t i q u e s

urbaines.

• 15 h Des villages à la

capitale, les acteurs du

c o m m e rce s'engagent : 5

études de cas.

• 16 h La re c h e rc h e ,

l'innovation, l'engagement des

élus : des outils pour faire

p ro g resser les conditions de

vie en France.

Table ronde avec franchiseurs,

élus, cherc h e u r s .

17 h clôture

Il est peu de franchiseurs quiconnaissent leur vallée comme Lionel

Bieder connaît la sienne. Ce natif deMoselle, qui vit à quelques mètres dela forêt, maîtrise son département sur

le bout des doigts, des tours méro v i n-giennes du bord de fleuve aux besoinsdivers et variés de ses entreprises en

m a t i è re de nettoyage et d’assainisse-

ment. Les bureaux du réseau qu’ilmène tambour battant vers les 150

agences à l’horizon 2012 se dre s s e n tfiè rement à l’entrée de Yutz, ville limi-t rophe de Thionville. En toile de fond :

la centrale nucléaire de Cattenom etles montagnes du Luxembourg . L’ A l l e-magne n’est pas loin non plus, et c’est

dans ce pays des trois fro n t i è res, cre u-set de populations venues de tous lespays du monde, que ce chef d’entre-

prise pas tout à fait comme les autres acréé Augias.

“ Tout a commencé en 1997. J evoulais me mettre à mon compte ;j’avais travaillé à l’international pourun certain nombre de sociétés, et jen’avais que ma voiture . Je l’ai vendue,j’ai fait un emprunt, je me suis achetéun combi Volkswagen avec 100 000km au compteur, et je me suis lancé. ”

Et pourquoi le nettoyage industriel ?“C’est un secteur dans lequel il y abeaucoup de choses à faire. De plus,l’investissement de départ est assezfaible, ce qui m’arrangeait bien. Et 90% du marché est récurrent... ce n’estpas si fréquent dans le secteur dess e rvices, sorti d’EDF et des télécom. D es u rc roît, le marché est atomisé : les dixp re m i è res entreprises du secteur n’enre g roupent que 20 %.” C’est qu’enFrance, on n’extériorise pas volontiers

ses prestations de nettoyage. La moitiédes entreprises seulement ont re c o u r sà des pre s t a t a i res extérieurs, contre

moins du tiers en Allemagne. “C e l adit, on a beaucoup de volume, etnotamment des travailleurs qui appro-chent de l’âge de la retraite et dont lese n t reprises ne veulent pas se sépare r.”Ce qui signifie bien sûr qu’il va y avoir

e n c o re plus de travail pour les agencesA u g i a s .Mais revenons en 1997. Le tout jeune

dirigeant, muni de son camion et deson concept, se cherche aussi un nom.À l’aide de quelques encyclopédies, il

va le trouver dans un passé lointain —celui des travaux d’Herc u l e . Le héro s

g rec, en guise de cinquième travail,nettoie les fameuses écuries d’Augias,qui aurait dû le payer d’un tro u p e a u .

“C’est la pre m i è re prestation denettoyage payante de l’histoire”, plai-sante Lionel Bieder, qui ajoute avec

plus de sérieux qu’Augias commencepar la lettre A (c’est mieux pour lesa n n u a i res et le référencement), que le

nom n’était pas déjà pris, et qu’il estcompréhensible et prononçable danstoutes les langues. Sans compter que

l’audace, le courage et l’ingéniositéd ’ H e rcule sont des vertus fort inspira-tionnelles. Et puis cet Augias a des

f r è res, Actor et Aetas, dont les nomsont été également utilisés dans lecontexte du développement du

r é s e a u .

Augias est, comme son patro n , u n

concept en constante ébullition.a u j o u rd’hui riche de plus de 400clients dans les domaines les plus

divers, de la restauration aux casern e s ,de la PME au milieu scolaire, du mobi-lier urbain à la centrale nucléaire .

Augias s’est aussi spécialisée dans lesuivi de gros événements : installationde sanitaires, nettoyage, évacuation

des déchets de toutes sort e s . L e stâches effectuées par les interv e n a n t sd’Augias sont parfois aussi le re flet des

drames du temps. “Nous avons deplus en plus souvent à intervenir dansdes appartements après des décès de

Le roi de cœurEn France, et alors que les services aux personnes sont en plein boom, les services aux entreprises n’ont pase n c o re connu en franchise le grand décollage qu’on leur promettait dans les annés 90. Mais il existe de trèsbelles exceptions à la règle... Lionel Bieder, mosellan de naissance et de cœur, ardent défenseur de la pro x i m i t éet d’un terroir intelligemment repensé, a créé à Yutz, aux portes de Thionville, un réseau de franchise spécia-lisé dans le nettoyage industriel et l’assainissement. Des métiers, dit-il, que l’on embrasse rarement par voca-t i o n . Mais des métiers essentiels à l’équilibre économique et sanitaire des entreprises. Et pourtant... Entrefaucons, défibrillateurs et camionnettes de choc, portrait d’un réseau neuf et d’un homme de cœur.

La Une

personnes âgées”, explique Lionel

B i e d e r, qui se souvient aussi d’anec-doctes plus grotesques et plus isolées.“On nous a appelés un jour pournettoyer un entrepôt frigorifié. Lesp ro p r i é t a i res, en faillite, y avaientabandonnés des milliers de mètre scubes de viande de poulet, sans réfri-g é r a t i o n . ..” Entreprise de pro x i m i t é ,Augias veut rester au service et à la

p o rtée de clients diversifiés. Une atti-tude qui vaut aussi pour les franchisés.“Jamais nous ne laissons un clientnous fournir plus de 7 % de nos re v e-n u s . . .”

Après plus de 10 années de déve-l o p p e m e n t , Augias a sollicité etobtenu la norme ISO14001 : c’est

l’une des 10 entreprises françaises denettoyage à pourvoir s’en targ u e r, sur1 5 0 0 0 . A u t re spécificité de l’enseigne,

son travail sur l’axe des technologiesv e rtes — qui lui vaut d’ailleurs d’êtrec e rt i fiée Oseo comme entreprise inno-

vante. Et innovante, elle l’est sacré-ment... Sur les produits, de plus enplus respectueux de l’enviro n n e m e n t

( “le jour est proche où nos salariésp o u rront travailler sans gant, tant lesp roduits s’améliore n t”) ; sur les

méthodes... (re z o a eu le coup def o u d re pour l’oiseleur dont le faucone ffraie les pigeons, une méthode

p ro p re pour un problème part i c u l i è re-ment courant...) Le secteur est dyna-mique et peu atteint par la crise

a c t u e l l e . “Même en cas de re s t r i c t i o n sb u d g é t a i res, on continue de fairenettoyer ses locaux de travail !” Et la

c o n c u rrence ? “Il y a beaucoup detravail clandestin, déplore LionelB i e d e r, mais c’est une de nos forc e sque d’avoir été parfaitement franc surla question.” Et d’ajouter que les e c t e u r, s’il est très pro fitable pour les

dirigeants, l’est nettement moins pourles salariés. “Une situation qu’onessaie de pallier chez Augias par des

h o r a i res plus larges et des opport u n i-tés de form a t i o n .”

Et la franchise ? Quand l’idée est-elle venue à Lionel Bieder ? “Il fautcommencer par parler de réseau. D è sla création du concept, nous noussommes dit que l’activité ne pouvaitfonctionner qu’en proximité. Lesg rosses entreprises de nettoyage n’ontfinalement pour elles que leur poids :mais quand il s’agit de s’adapter à dessituations locales, très fines, ça nem a rche pas. La réactivité est une desclefs de notre métier.” D’où un début

de maillage assez serré qui permet auxagences de se constituer de vraiesclientèles locales sur des bassins de vie

de 75000 à 200000 habitants. “To u tdépend de la démographie des entre-prises et de la présence ou non de

c o n c u rrents. “La franchise est venue

assez logiquement se gre ffer là-dessus.En tant que jeune entreprise, nousavions nous aussi testé les bonheurs dela crise de croissance, et le caractèrec h ronophage des tâches administra-t i v e s . Peu à peu, nous avons acquis uns a v o i r- f a i re en matière de gestion desagences qui, ajouté à notre savoir- f a i rep rofessionnel et à notre développe-ment en réseau, a fini par constituerun vrai capital de franchiseur. .. ”

Augias peut ainsi proposer auxcandidats à la franchise un conceptpeu coûteux sur le plan matériel, maisen constante évolution, où les tâches

administratives sont grandements i m p l i fiées. Ce qui permet aux franchi-sés de se concentrer sur l’humain. Un

mot riche de sens dans la bouche dece jeune entre p re n e u r, père de famillen o m b reuse et petit-fils... d’un patro n

et d’un syndicaliste. “Dans le

La Une

nettoyage industriel, on ne fait pastravailler des robots. On fait travaillerdes gens pour qui ces métiers ne sontjamais des vocations, et pour lesquels ilfaut avoir du re s p e c t.” Ainsi, LionelBieder conçoit-il son réseau comme unecommunauté de patrons qui part a g e n t

des valeurs similaires. “Je ne me senspas capable de jauger un candidat à lafranchise sur ses aptitudes pro f e s s i o n-nelles, et nous utilisons un cabinetconseil pour cet aspect des choses. M a i sune fois sélectionnés, les futurs franchi-sés passent par chez nous. Et ils doiventavoir la fib re humaine...”

Cette philosophie modèle égale-ment l’évolution du — ou des réseauxAugias. Aetas (c’est le nom de l’un des

f r è res d’Augias, donc, l’homme auxécuries malpro p res) a été créé en colla-boration avec l’ASPP, association qui

g è re des entreprises d’insertion et desc e n t res d’aide par le travail. Sous lenom d’Aetes peuvent donc se dévelop-

per des agences qui mixent logique

c o m m e rciale et logique sociale, pro p o-

sant à des personnes souffrant dehandicaps sociaux, mentaux ouphysique une réinsertion dans le monde

du travail, avec, à la clef, un accès à unef o rmation et à un travail salarié. Uned é m a rche qui a séduit jusqu’en Suède,

où l’association Basta (réinsertion detoxicomanes) veut franchiser Aetas...

De quoi sera faite la rentrée pourAugias ? E n t re le projet défibrillateur(un dans chaque entreprise, avec form a-

tion des salariés), les mesures prisesc o n t re la grippe H1N1 et les pro j e t sd’expansion en France et à l’étranger,

les dossiers sont légion. Et Lionel Biederégalement enthousiaste et inventif surtous ces sujets (et d’autres dont il gard e

la primeur pour les années à venir. . . ) .Augias se vit aussi comme une centralede services pour ses franchisés, et

toutes ces innovations, une fois testées,sont mises à leur disposition. L’ e n s e i g n ere c rute en France, à son rythme ; elle

p rospecte dans les pays d’Euro p e

centrale (Roumanie et Bulgarie) et au

M a g h reb ; chose plus rare, elle estégalement en train de se développer enAfrique de l’Ouest, où, malgré la situa-

tion géopolitique, un Augias peut tro u-ver des marchés intéressant — marc h é spublics, grandes entreprises intern a t i o-

nales. Augias devrait ainsi s’implanter àCotonou et dans les anciennes coloniesbelges (Rwanda, Congo, Buru n d i ) . C ’ e s t

d’ailleurs là que l’historique combi VWque Lionel Bieder avait acheté auxp remiers jours de sa carr i è re d’entre p re-

neur va finir sa carr i è re, avec déjà 400000 kilomètres au moteur... Rien nem e u rt, tout se transforme, une vérité

qui prend tout son sens dans cette terremosellane souvent ecartelée par l’his-t o i re et les bouleversements écono-

miques.

La Une

Une enseigne qui ne se

cache plus

Cache-Cache a pris ses

m a rques dans le groupe de

p r ê t - à - p o rter Gro u p e

B e a u m a n o i r. Après avoir

p ro g ressivement évolué

depuis sa création en 1985,

la discrète marque qui

monte est passée de la 5e

place à celle de n°2 du prêt-

à - p o rter en

France, et ce en quelques

mois. Cache-Cache est

l'enseigne d'origine du

g roupe malouin. L e s

magasins de l’enseigne

d i ffusent une mode féminine

et accessible. En 2001, on

comptait déjà 100 magasins

Cache-Cache en France. Dès

2005, le Groupe Beaumanoir

se lance en Chine, avec

Cache Cache en fer de lance

cette marque pro m e t t e u s e .

Résultats 2009 : plus de 200

magasins. Aujourd ’ h u i ,

l’enseigne compte 460

magasins en France, pour un

total de plus de 800

magasins dans le monde. Et

elle résiste bien à la crise,

étant donné son

positionnement petits prix.

Selon les chiff res récents TNS

WorldPanel Fashion, la

m a rque Cache-Cache a

réalisé une ascension

fulgurante. En

six mois et dans le contexte

actuel, la marque est l'une

des seules du prêt-à port e r

français à

avoir gagné des parts de

m a rché, pour se hisser en

deuxième place, ex-aequo

avec H&M.

Evolution qui doit beaucoup

au travail au quotidien des

282 affiliés part e n a i res de la

m a rque. Le Gro u p e

Beaumanoir consolide sa

position de

p remier affilieur de France,

f o rce principale du Groupe.

P a rmi ses projets de re n t r é e ,

Cache-Cache sera part e n a i re

de l'Open GDF Suez de

B retagne,

4e t o u rnoi intern a t i o n a l

français de tennis féminin,

qui se déroulera du 19 au 27

s e p t e m b re

2009, à St Malo.

Ils vendent, ils ouvrent...

Lollipops enre g i s t re de bons

résultats au 1e r s e m e s t re

2009 (janvier-juin 2009),

avec un chiff re d'aff a i res de

6,950 millions d’euros en

hausse de 10 % (versus

p remier semestre 2008).

Malgré un ralentissement

des ventes sur les mois

d'avril et de mai, la société

finit sa saison d'été sans tro p

de stock et avec une marg e

en ligne avec les prévisions.

Après Compiègne au

printemps 2009, l'enseigne

s'apprête à ouvrir un

nouveau magasin franchisé à

B l o i s .

Eléphant re s p o n s a b l e

Avec plus de 500 centres en

France et aucun dépôt de

bilan en 20 ans de franchise,

Eléphant Bleu peut se

t a rguer d'être une entre p r i s e

citoyenne qui concilie

respect de l'enviro n n e m e n t

et croissance économique.

En moyenne, le retour

sur investissement d'un

c e n t re est de 4 à 5 ans, avec

une rentabilité de 25% à

p a rtir de la 3e année. Peu

d ' e n t reprises peuvent

présenter aux banques un

bilan comptable de leur

activité aussi satisfaisant

que celui d'Eléphant Bleu et

les derniers développements

techniques intégrés à la

nouvelle génération de

c e n t re « Evolution »

p e rmettent encore

d ' a m é l i o rer leur

rentabilité.

B r è v e s

F o rmations dela FFF

les journées de formationdestinées auxfranchiseurs sedérouleront les

24 septembre et 4 décembre 2009.

Les journées deformation futursfranchisés se déroulerontles

18 septembre et 19 novembre 2009.

Programmes et bulletind’inscription sur le site dela FFF :

www.franchise-fff.com

Retrouvez toute l’annéeles programmes deformation de la FFF surson site et dans rezo.

Votre contact :

Rose-Marie Moins,[email protected]

Entrée de bourg : Pamiers

B i l l e t

La crise est finie, dit-on.Mais bien malin celuiquipeut prévoir de quoila rentrée sera faite.Impact d'H1N1 ? On nesait pas.Licenciements enmasses? On ne sait pas.Eternelles incertitudesgéopolitiques ?Indéchiffrables.L'ambiance est donc ala prudence.Les banques se serrentles coudes et les grandsacteurs du tertiaire sepréparent aux basses-eaux. Et la franchise,dans ce contexte? Il sedit que jamais lenombre de reseauxcrées n'a été si grand,et queles recrutements defranchisés n'ont pasfaibli. Inconscients,donc, nosentrepreneurs? Ou plusprévoyants, plusutilemment prudents,pourrait-on dire, queles autres forceséconomiques du pays ?Onpenchera bien sûrpour cette dernièrehypothèse.

B r è v e s

Nouvelles options de lavage,

possibilité pour les franchisés

d’installer des portiques de

lavage automatique aussi

économiques que la haute

pression... toutes ces

activités répondent bien

évidemment aux exigences

du développement durable.

Cependant que les

franchisés s’intéressent

désormais à la démarche

Haute Qualité

Environnementale : c’est

ainsi que dans le Var,

Stéphane Benhamou est à la

tête d’un centre de lavage

HQE, qui travaille tout

autant que les autres mais

qui marque une évolution

notable par rapport aux sites

précédents — meilleure

intégration dans le paysage

(adaptation nécessaire au

plan de développement

urbain), respect plus affirmé

de l’environnement.

Maisons de plus en plus

vertes

Mikit livrera ce mois-ci à

Quittebeuf (près d'Evreux) sa

première maison BBC

Effinergie à très basse

consommation énergétique,

répondant déjà aux

exigences de la législation

applicable à tous les

constructeurs au 1er janvier

2013. Lors de la remise

officielle des clefs aux

acquéreurs, Alexandre

Macieira-Coelho, PDG de

Mikit France et Denis Peltier,

responsable produits,

expliqueront l'implication du

constructeur en faveur des

énergies renouvelables et

des matériaux à hautes

performances énergétiques.

Cet événement sera aussi

l'occasion pour Mikit de

donner la parole à ses

partenaires, afin d'expliquer

comment son concept

unique de maison en "prêt-

à-finir" peut s'inscrire dans

le cadre d'une construction

à faible consommation

énergétique, tout en

favorisant l'accession à la

propriété aux familles à

revenus modestes.

Croissants de plus en plus

malins

Une belle avancée technique

pour La Croissanterie, qui

vient d’adopter une carte de

fidélité révolutionnaire... La

carte peut se matérialiser

sous la forme traditionnelle

du carton de plastique qui

tient dans le portefeuille,

elle peut aussi trouver une

petite place sur l’iPhone de

l’utlisateur, ou — pour les

Franciliens qui utilisent les

transports en commun —

sur un petit coin de la puce

du passe Navigo... Cet

aspect multi-supports

permet à La

Croissanterie de fidéliser à

moindre coût tous ses clients

(coût d'émission de la carte

quasi-nul) et de véhiculer

une image innovante en

donnant un premier cas

d'usage au multi-applicatif.

La solution est testée pour

l’heure dans trois points de

vente du réseau, et sera sans

doute généralisée début

2010 à l’ensemble des

Croissanteries de France.

Naturellement, elle permet

aussi à l’enseigne de mieux

connaître ses clients (ils

peuvent personnaliser leur

profil sur Internet et

bénéficier d’actions ciblées)

et ses habitudes

alimentaires.

Cœur de bourg : Carentan

Loueurs auto de plus en plus

s u rf e u r s

Car’Go, le loueur qui monte,

vient de signer un partenariat

avec le courtier en location

Auto Escape pour permettre à

ses clients de louer une

voiture dans plus de 125 pays

à des conditions

particulièrement avantageuses

— il vous en coûtera par

exemple autour de 130 euros

pour une semaine de véhicule

catégorie B aux Etats-Unis. Un

onglet « Louez votre véhicule

de tourisme à l'étranger »

figure maintenant en

bonne place sur la page

d'accueil du site

www.cargo.fr. Cet onglet

mène directement sur

un module de réservation et

calcul de devis, qui permet au

visiteur de se faire une idée

très précise du résultat de sa

recherche : durée de la

location et prix correspondant,

promotion éventuelle, choix

du véhicule, équipements

nécessaires, conseils en

fonction du pays visité, etc.…

Car’Go se positionne

également sur le marché du

déménagement avec un site

www.cargo-demenagement.fr

et des offres dédiées.

Le défi des fleurs

On l’a connu dynamique

directeur de réseau chez

VillaVerde (il a notamment

piloté la métamorphose

réussie de cette enseigne

historique du secteur de la

jardinerie). Aujourd’hui, Benoît

Ganem se lance un beau défi

et rachète à son fondateur,

Michel Postulka, le réseau de

franchise Jardin des fleurs. À

vingt ans cet automne, c’est le

pionnier d’un secteur qui a

connu — en partie grâce à lui

— des bouleversements

notables ces dernières

années... Au cœur de ce

rachat, le souhait de redonner

au Jardin des fleurs son élan

originel et, comme l’a confié

Benoît Ganem à Franchise

Magazine, “des liens de

confiance forts au sein de la

chaîne.”

Les normes ont du bon !

Réseaux de franchise,

n’hésitez plus, faites comme

La Mie Câline ou Augias...

Pour la première fois en

France, une étude

commanditée par l’Afnor

constate la contribution de la

normalisation à la croissance

économique française. En

moyenne annuelle, cette

contribution est de 0,81%,

soit près de 25% de la

croissance du PIB représentant

plus de 5 milliards d'Euros. Ce

chiffre rejoint celui d'autres

pays leaders en technologie

comme l'Allemagne (1% du

PIB) ou le Royaume-Uni. Dans

une économie mûre comme

celle de la France, dont la

principale source de

croissance est le progrès

technologique, les normes

permettent de partager

l'innovation tout en faisant

évoluer les bonnes pratiques

générales du marché.

Cette étude, et c'est là toute

son originalité, a été

complétée par une enquête

auprès de 1790 entreprises,

de tous secteurs et toutes

tailles confondus, engagées

ou non dans des processus de

normalisation.

Les résultats balaient de

nombreuses idées reçues.

L'impact de la normalisation

est clairement perçu comme

un bénéfice. 5 grandes

tendances apparaissent :

• Valorisation : 70 % des

entreprises interrogées

considèrent que les normes

volontaires contribuent à la

valorisation de l'entreprise.

• Innovation : 63 % pensent

que la normalisation permet

de mieux partager l'innovation

et de mieux différencier les

produits.

• Transparence et éthique : 61

% considèrent que les normes

favorisent le respect des règles

concurrentielles et 56%

approuvent leur caractère

volontaire.

• International : pour 70 %

des personnes interrogées, les

normes qui sont à 90%

d'origine internationale

représentent un réel avantage

dans le développement des

échanges internationaux.

• Qualité des produits et

services : 74% des entreprises

interrogées constatent que les

normes permettent une plus

grande maîtrise des problèmes

de sécurité et 79% qu'elles

contribuent au respect de la

réglementation.

Actuellement, l'ISO

(Organisme international de

normalisation) se penche sur

la question de la

responsabilité sociétale. Cette

future norme, l'ISO 26000, a

pour objectif de définir et de

clarifier ce concept afin de le

rendre applicable à tout type

d'organisation. Elle sera

publiée en septembre 2010.

L’étude sur les normes est

disponible sur le portail du

Groupe Afnor :

etude normes

<http://www.afnor.org/liste-

des-

actualites/actualites/2009/juille

t/premiere-etude-impact-

economique-de-la-

normalisation-en-france>

B r è v e s

Cœur de bourg : Carentan

Depuis deux ans, les forums de lafranchise connaissent un nouveaus o u ffle. Les raisons en sont doubles :

tout d’abord, les CCI sont de plus enplus nombreuses à considérer la fran-chise comme une stratégie part i c u l i è re-

ment fiable de création d’entre p r i s e .Celles de Bordeaux ou de Lyon ontdéveloppé des actions et des analyses

spécifiques et font excellent accueil auxfranchiseurs comme aux futurs franchi-sés. La FFF a quant à elle trouvé en la

personne de Rose-Marie Moins uneé n e rgique ambassadrice de la franchiseen région. Le 14 septembre à Beauvais,

les 15 et 16 à Lille, le 28 à Narbonne, le7 octobre à Lyon, le 9 à Emerainville,en région parisienne, le 12 à Libourn e ,

le 23 à Saint-Lô, le 21 novembre àFécamp : le grand Ouest est gâté encette fin d’année 2009. Il est vrai que

l’Est (ou le Sud-est...) a, lui, son beausalon de Marseille (16 et 17 novembre ) .

Ces re n c o n t res co-organisées par laFFF et, la plupart du temps, les CCIl o c a l e s, sont à géométrie variable. Une

j o u rnée de conférences et dere n c o n t res, une causerie en soirée, unmini-salon, des speed datings entre

franchiseurs et candidats... L’ e s s e n t i e létant de faire passer le message de lafranchise dans un contexte de pro x i-

mité, auprès d’acteurs expérimentés etfins connaisseurs de leur contexteéconomique. Les franchiseurs adhé-

rents à la FFF sont donc fréquemmentsollicités pour participer à ces foru m s .

Un coup de projecteur sur tro i sdates de cette re n t r é e riche enre n c o n t re : Lille (14-16 septembre ) ,

Lyon (7 octobre) et Emerainville (9o c t o b re ) . À Lille, c’est en effet dans lecontexte d’un salon de la création

d ’ e n t reprise qui dure 3 jours que l’onre t rouvera la FFF sur le village fran-chise, ainsi qu’une bonne vingtaine

d’exposants, dont Beauty Success,Paul, Guy Hoquet, Try b a . AC Franchisey organisera des conférences, et L’ O b-

s e rv a t o i re de la franchise sera égale-ment présent.

À Lyon, c’est à la dynamique équipede Marc David (pôle commerce ets e rvices à la personne) que l’on doit le

f o rum du 7 octobre . C o n f é rences etexposants consolideront les élans dese n t re p reneurs lyonnais... La CCI de

Lyon, qui développe de nombre u s e sinitiatives en faveur du commerc eo rganisé (visites de rues et de zones

c o m m e rciales, recensement desréseaux présents, analyses de trafic...),a si bien compris les enjeux de la fran-

chise qu’on lui propose souvent defranchiser son savoir- f a i re auprèsd ’ a u t res CCI... Enfin, la CCI Seine et

M a rne propose une journée d’inform a-tion et de consultation franchise trèspointue, avec inscription en ligne et

re n c o n t re avec plus d’une quizained’enseignes...

Infos Lille :h t t p : / / w w w. s a l o n c re e r. c o mInfos Lyon :h t t p : / / w w w. l y o n . c c i . f rInfos Seine et Marne :h t t p : / / w w w. s e i n e e t m a rn e . c c i . f r

Et toujours :r. m . m o i n s @ f r a n c h i s e - fff . c o m

Développementdurable

La Fédération françaisede la franchise lance ungroupe de travailconsacré audéveloppement durable...Vous êtes adhérent(réseau, expert), et vousvoulez partager vosbonnes pratiques etréfléchir à desréférenciels communs ?Rejoignez-nous !

Déjà intéressés :Troc.com, Le Tanneur,Eléphant Bleu, MaisonsPhénix, Maisons Mikit,5àSec, NorbertDentressangle, CartridgeWorld, Guy Hoquet,Augias...

Contact FFF :

Anne-Sylvie [email protected]

La FFF sort de Pa r i s“ Vous n’avez pas de bureau à Toulouse ? (ou à Marseille, ou à Roubaix, ou àG renoble) ?” À peu près une fois par semaine, il faut décevoir un entre p re n e u ren herbe en lui expliquant, le rouge au front, que nous n’avons de bureaux qu’àParis. Ce qui ne signifie pas qu’il faille nécessairement monter à la capitale pournous re n c o n t rer et en savoir plus sur la franchise...

En région

Etat des UnionsL a u rent Bizouard, franchisé Rapid’Flore et membre de l’Association des commer-çants de Beaune. Pierre Faudemer, Jeff de Bruges, Association des commerçantsdieppois. Franck Azria, franchisé Quick, Association des commerçants de Grasse...Ce n’est, via les Rubans 2009, qu’un tout petit échantillon de la nombre u s ec o h o rte de franchisés qui sont aussi des membres actifs de leur association decommerçants locale. Des chiff res... et des points de vue.

“On est tous ensemble dans lamême barq u e”, m a rtèle MichelD ro n i e r, président de la Fédérationjurassienne du commerce, quand on lui

parle de franchise. Dans un départ e-ment où la plus grande ville dépasse àpeine les 20 000 habitants, les

c o m m e rces en franchise ne sont pasn é c e s s a i rement très nombreux : mais làoù ils s’implantent, ils jouent au mieux

la carte de la participation et de l’indé-p e n d a n c e .

Bien structurés et souvent accoutu-més à la discussion et au dialogue depar le fonctionnement même du réseau,

les franchisés de tempérament part i c i-patif ont tendance à se re t rouver tantdans les instances de leurs réseaux que

dans celles des institutions locales duc o m m e rce ou de la vie économique etc u l t u relle. Cette démarche d’intégration

à la vie commerciale locale devrait êtreencouragée par l’ensemble des réseaux,tant elle fait pour améliorer l’image de

la franchise au niveau local. Le franchisén’est pas i n f é o d é, il est lié par uncontrat respectueux des droits et des

devoirs de chaque partie à un réseau...Et sa qualité d’entre p reneur indépen-dant, responsable de son destin écono-

mique, doit lui laisser toute latituded ’ i n t é g rer des stru c t u res locales (Asso-ciations de commerçants, associations

s p o rtives et culturelles, chambres consu-l a i res, etc.) qui lui permettent de mieuxc o m p re n d re les enjeux socio-écono-

miques, et au final de faire fructifier sone n t re p r i s e .

De plus en plus efficaces, de plus enplus professionnelles, les unions etassociations de commerçants sont plusde 6000 en France pour 36000

communes... Elles ne sont pas l’apanagedes grandes villes, comme le rappelleMichèle Aron (responsable commerc e

de la CCI de Caen). Et elles ne sont pasdavantage réservées aux commerçantssans enseigne. “La perception du réseauet de l’enseigne est au contraire plutôtp o s i t i v e . N a t u rellement, on re t ro u v e r aplus souvent les franchisés dans les

unions de grandes villes ou de villesmoyennes — Bayeux, Caen — que dansles petites, comme Vi l l e r s - B o c a g e . . .” Onne peut donc qu’encourager cettes y n e rgie déjà fructueuse entre deux

courants structurants du commerc em o d e rne (même s’ils ont des racines dequelques siècles...), la franchise et les

unions de commerçants.

F r a n c h i s é s

Mapic is back !

Le Mapic 2009, ce sera du 18 au20 novembre 2009, au Palaisdes Festivals de Cannes. I n v i t éd ’ h o n n e u r, l’Allemagne (qui faitaussi l’objet, voir notre pageTelex, d’une mission spécifiqueU b i f r a n c e ) . On y exposera, maisl’on parlera aussi de la crise,des nouveaux marchés dans lespays émergents, des centre sc o m m e rciaux en Allemagne,avec deux invités d’honneur,Dan Stanek, de Retail Forw a rd ,et Isak Halfon, le développeurde Mango. À ne pas rater doncsi vous voulez compre n d re lesévolution du commerce sur unegrande échelle. À consulter, lesite du Mapic :

w w w. m a p i c . c o m

Des franchisés impliqués dans le

développement local et humain

* 35 % des franchisés sont membres

d’une association de commerçants

* 32 % sponsors d’une association

ou d’un club sportif

* 20 % mécènes ou sponsors d’une

manifestation culturelle

* 8 % mécènes ou sponsors d’une

action humanitaire

S o u rce : Enquête annuelle sur la

franchise, 2008.

Quel sera l’impact de la pandémie ? O nne le sait pas ; les projections et les

scénarios sont très variables. La grippes a i s o n n i è re touche d’ord i n a i re 10 % de lapopulation; H1N1, apparemment plus

contagieuse, pourrait concerner entre 25% et 35 % des Français. À noter que laFrance, avec de nombreux cas déclarés et

p resque une dizaine de décès, se trouve enniveau d’alerte 5A, soit deux niveaux avantla pandémie réelle.

Y a-t-il un vaccin ? Un vaccin spécifiqueest en cours d’élaboration et devrait être

disponible courant septembre. Cert a i n e se n t reprises se proposent d’ailleurs dep re n d re en charge dès que possible la

vaccination de l’ensemble de leurs salariés.Reste à voir dans quelles conditions cevaccin sera mis à disposition...

Quelles sont les dispositions prises parl’Etat ?Un Plan national de prévention et de luttePandémie grippale a été mis au point. Plusd’infos sur le site suivant, entière m e n t

dédié à la question :h t t p : / / w w w. p a n d e m i e - g r i p p a l e . g o u v. f rPar téléphone :

I n f o ’ G r i p p e0825 302 302 (0,15� la minute)du lundi au samedi (hors jours fériés)

de 9h00 à 19h00. Ce numéro estaccessible depuis l’étranger.

Quelles peuvent être les conséquencesde la pandémie sur la vie d’unee n t reprise ?“La diminution des effectifs présents sur lelieu de travail ; l’indisponibilité simultanéede plusieurs dirigeants, responsables ouspécialistes ; des diff i c u l t é sd ’ a p p rovisionnement et la défaillance de

f o u rnisseurs et de sous-traitants” ,préviennent notamment les auteurs du site

Pandémie-grippale. Il est doncrecommandé aux entreprises de mettre enplace un plan de continuité d’activité en se

basant sur un taux d’absentéisme de 25 %pendant dix semaines... Le plan doitnotamment identifier les postes

stratégiques, les possibles substituts, lesc i rcuits décisionnaires qui pourr a i e n ts o u ffrir d’une défaillance humaine... Au

demeurant, et même si la pandémie ne semanifeste pas avec la virulence attendue,l ’ e x e rcice ne sera pas vain. D’autre s

conséquences peuvent être envisagées siles transports en commun sont re s t re i n t sou temporairement supprimés ; ou si les

s t ru c t u res éducatives et / ou de garde desenfants sont fermées.

Quelles actions dans les locaux pourprévenir la propagation du virus ?C e rtains réseaux ont commencé à mettre

en place des bobonnes de désinfectants etdemandent à leurs salariés et à leursvisiteurs de se désinfecter les mains en

entrant dans les locaux. Il est égalementrecommandé, en cas de pandémiee ffective, d’habituer le personnel au port

du masque chiru rgical et de limitercontacts et déplacements au sein del ’ e n t reprise. Une information à l’attention

des franchisés a, dans certains cas(Monceau Fleurs, Augias, Comtesse duB a rry... ) été transmise pour les préparer à

la gestion d’une situation de crisepandémique. Dans tous les cas, et même sila crise sanitaire s’avère moins grave que

prévue, il n’aura pas été inutile de fédére rautour de plans d’action intelligents etlucides la communauté humaine que

constitue un réseau de franchise...

Franchiseurs,recrutez toutel’année !

Reed Expositions France etla FFF sont désorm a i sassociés sur deux salons etun site de re c ru t e m e n t ,dédiés aux franchiseurs endéveloppement et auxcréateurs d’entre p r i s etentés par la franchise :

• Franchise Expo Paris, lesalon européen de lacréation d’entreprise enr é s e a u . Plus de 450exposants, 30000 visiteurssur 4 jours.Dates 2010 : 14 au 17 mars(dont un dimanche...)

• Top FranchiseM é d i t e rranée, le salon dela création d’entreprise enréseau de la zoneM é d i t e rr a n é e . C e n tconcepts, 3500 visiteurs sur2 jours.Date 2009 : 16-17n o v e m b re

• Et toute l’annéed é s o rmais, l’Observ a t o i rede la franchise, le leaderfrançais des sites dere c rutement en franchise.Plus de 200 000 visiteursv i rtuels par mois.w w w.o b s e rv a t o i re d e l a f r a n c h i s e . f r

H 1 N 1

Des réseaux prévoya n t sC’est la grande incertitude de la rentrée. Selon quel scénario la grippe H1N1 va-t-ellese propager en France ? Les entreprises, la vie économique, vont-elles être touchées ?Réponses à quelques questions et rappel des mesures déjà prises par quelquesréseaux de franchise...

Qu’est-ce qu’un bourg ? C h a c u n ,

suivant sa province, a son modèle et sar é f é rence, de Feurs à Va i s o n - l a - R o m a i n e ,de Bletterans à Carentan. L’Insee, dans

une série d’études publiées en 2005, aune idée plus générale et définit 1745bassins de vie de 30 000 habitants

e n v i ron chacun, rayonnant autour dufameux bourg. Et, la plupart du temps, desa place... Souvent ancien foirail

t r a n s f o rmé en parking, plus rarement ens q u a re, et réquisitionné les jours dem a rché et les dimanches de vide-gre n i e r,

cette place concentre l’off re commerc i a l edu bourg, souvent complétée par une oudeux rues commerçantes. Souvent mis à

mal par la multiplication des commerc e sde périphérie (grandes surfaces etboulangeries notamment), ce modèle a

p o u rtant de quoi séduire . Et de quoié v o l u e r...

Sous la houlette de la FFF et de laFCGA, c’est donc un groupe de travailtrès orienté vers la proximité et l’harm o n i e

e n t re les divers types de stratégiec o m m e rciale qui s’est réuni le 2s e p t e m b re dans les locaux de la FFF. Y

siégeaient notamment Danielle Rosa,dynamique franchisée Yves Rocher àVendôme, Jean-Luc Pinson, directeur de la

f o rmation au Cefac, Jean-Pierre Lehman,président de la Fédération nationale desc e n t res villes, Florence Frangeul, de la

Confédération française de la boucheriec h a rcuterie, Bruno Ricard, directeur desétudes et de la prospective au Syndicat de

la presse quotidienne régionale, MichèleA ron, responsable commerce de la CCI de

Caen ; Corinne Rétaud-Bianchini de la CCI

de Seine et Marne, Colette Delage (Mairiede Roumazières), Michel Dro n i e r(Fédération jurassienne du commerc e ) ,

Jean-Claude Delorme (CCI de Saint-Etienne...) et quelques autres. Sansoublier Thibault Le Carpentier, brillant

analyste du commerce français, en trèsutile re n f o rt .

Objectif de cette pre m i è re réunion ?Travailler sur un cahier des charges quipuisse susciter auprès des élus et des

acteurs commerciaux des bourgs desp rogrammes de rénovation et deredynamisation des centres bourg s .

Durant la réunion, chacun a exposé etdébattu des bonnes pratiques (elles sontbien plus nombreuses qu’on ne le cro i t )

mais aussi des échecs, isolant ainsi desfacteurs de réussite à l’usage des élus etdes commerçants des bourgs. Vigueur des

unions commerciales, mise en placed’actions spécifiques, d’animationsc u l t u relles ou sportives récurrentes qui

redonnent du tonus au bourg ,restauration et protection du bâti,amélioration de la circ u l a t i o n ,

m o d e rnisation des techniquesc o m m e rciales, sécurisation et accessibilitédes rues, services nouveaux apportés aux

chalands, modernisation des vitrines...

500 bourgs et des idéesrezo vous avait présenté avant l’été, dans son numéro de mai, les grandes lignes dur a p p o rt que le député Jean-Paul Charié a consacré à l’urbanisme commercial enF r a n c e . Conséquence de ce rapport, près d’une vingtaine de groupes de travail sesont mis en place dès la fin du printemps. La FFF pilote, avec la Fédération des centre sde gestion agréés, le groupe intitulé 500 cœurs de bourgs — consacré, comme sonnom l’indique, à ces curieuses unités de vie qui ne sont plus villages et pas encoreville.

C o m m e rc e

Les groupes detravail

• 200 cœurs de ville• 200 entrées de ville• 200 centres dedistribution urbaine• 500 sites de magasins àloyer modéré• 300 pôles quartier deproximité• 500 places de centrebourg• 1000 commercesmultiservices• 50 halles et marchés• 500 Unionscommerçantesprofessionnelles• 200 services voituriers• 10 services hôpital àdomicile• 12 coopérationstransfrontalières• 150 partenariats agri -distribution• 200 réhabilitations delogements à l’étage• 10 régions exemplairesfoires salons congrès• 50 programmes recherchecommerce• 200 jardins familiaux• 200 projets promotion dugoût• 10 terrtoiresentrepreneurs d’avenir

Chachun de ces groupes aun ou deux pilote etregroupe de nombreuxpartenaires du mondeéconomique et social... Àsuivre dans les semainesqui viennent.

Petit rappel sur l’état des lieux auQuébec “En Amérique du Nord, nousdisait Pierre Garceau en mars 2009, sur le

stand que le Conseil Québécois de laFranchise tenait à Franchise Expo Paris, l ec o m m e rce de détail réalise 35 % de sesventes en franchise. Dans dix ans, ce sera50 %... Une tendance qui concerne plusde 350 millions de consommateurs, auxEtats-Unis et au Canada. Lequel re p ro d u i tassez rapidement les tendances de sonvoisin du Sud... Sur l’ensemble dut e rr i t o i re canadien, ce sont 1200 réseauxqui emploient la stratégie. Les 7,5millions d’habitants du Québec sep a rtagent quant à eux 300 réseaux, dont47 % des forces se concentrent sur legrand Montréal. Une écrasante majoritéde ces réseaux (225) sont d’originequébécoise ; les grandes enseignesi n t e rnationales (et notamment venuesdes Etats-Unis) se partageant les part srestantes. Celle des Français est encoret rop réduite.”

C’est à l’initiative du tout jeuneconseil québécois de la franchise (Il

s’est constitué en 2004, à la suite duConseil national sur le franchisage et lep a rtenariat, réaffirmant ainsi la primauté

de la franchise sur les autres formes dec o m m e rce associé) que se tient ce quisera le premier grand salon de Montréal.

Deux ans après un mémorable Congrèsau cours duquel des représentants despays du monde avaient pu se re n d re

compte des spécificités de la franchisequébécoise, le CQF ose le salon, avec lacomplicité de sa grande sœur, la

Canadian Franchise Association, qui,

quant à elle, organise déjà sur l’ensembledu terr i t o i re anglophone salons régionauxet confére n c e s . Salon à taille humaine

(on est plus proche du format deMarseille que de celui de Paris), Montréalest strictement réservé aux franchiseurs :

pas de consultants ni de fourn i s s e u r s ,plusieurs milliers de visiteurs attendus surles deux jours, des capacités

d’investissement non négligeables : 40 %des visiteurs potentiels voudraient investire n t re 10 et 100 000 Can $, 35 % entre

100 000 et 500 000 Can $. Ces pro j e t ssont à relativement court terme (1 à 2ans) pour 60 % d’entre eux. Et 70 % de

ces visiteurs potentiels ont entre 25 et 50a n s . . .

Les exposants, de France oud’ailleurs, b é n é fic i e ront, outre leur standde base (drapé et tapissé — on est en

Amérique du Nord, pas sur le magnifiq u eFranchise Expo Paris) d’une couvert u rep u b l i c i t a i re exceptionnelle. Et d’une liste

de clients potentiels, dans les dix joursqui suivent le salon. Les organisateurs dusalon ont mis sur pied toute une série de

f o rfaits part e n a i res qui simplifie ront la viedes exposants — et feront gagner untemps précieux aux exposants étrangers.

Et, exposant (et adhérent FFF) français,vous pourrez compter sur la sympathie etles précieux conseils de Pierre Garceau et

de sa joviale équipe. Ils vous sero n tp a rt i c u l i è rement utiles, dans un pre m i e rtemps, pour décrypter les belles

étrangetés du français québécois. Etp o u r, dans un deuxième temps, vouspositionner sur un marché de très grande

q u a l i t é .

L e sc o o rdonnées duConseil Québécoisde la franchise :

910 rue Sherbrooke Ouest

B u reau 100

Montréal QC

H3A 1G3 (Canada)

Tél : (514) 340-6018

Fax : (514) 499-0892

Email : [email protected]

Site Internet : www. cqf.ca

Les coordonnées de

la Fédération canadienne de

la franchise :

C FA

5399 Eglinton Avenue We s t

Suite 116

To ronto, Ontario

Canada M9C 5K6

Tél : (416) 695-2896

Fax : (416) 695 -1950

Email : [email protected]

Site Internet : www. c f a . c a

G l o b e

La franchise au Québec est en pleine évolution. Les 23 et 24 janvier 2010, aumoment des grands frimas, pourquoi ne pas venir le constater sur place, enexposant au salon de Montréal ? Une opportunité unique pour percer sur lemarché nord-américain en passant par la porte francophone...

Exposez-vous à Montréal !

Te l e x

Monde : lessalons à venir

Septembre

22-24 Buy Brand • Moscou •

Russie • www.buybrand.ru/en

Octobre

1-3 Rio Franchising Business •

Rio de Janeiro • Brésil •

www.riofranchisingbusiness.co

m.br

15-17 FLAsia Exhibit and

Conference • Singapour •

Tel: +65 6467 8385

Email: [email protected]

Novembre

2-4 Saudi International

Franchise Exhibition • Jeddah

2-3 Salon franchise Sofia •

Bulgarie • Phone: +359 884 597

517

e-mail: [email protected]

Janvier 2010

23-24 Salon de la franchise •

Montréal • Canada •

http://www.cqf.ca/afficheur.asp

?id=125

Tunisie en franchise

Depuis le 21 juillet 2009, le

système de franchise a fait

son entrée en Tunisie à

travers l'adoption d'un

projet de loi

reconnaissant ce concept.

Jusque-là "la franchise,

seulement régie par le

droit commun des

contrats, ne bénéficiait pas

en Tunisie de cadre juri-

dique spécifique. Le verse-

ment de royalties à une

entreprise étrangère, par

exemple, n’y était pas

autorisé car assimilé à une

fuite de capitaux et une

infraction aux changes."

Pour revenir à l'importance

de cette loi, tant attendue,

et dans le cadre de la

promotion du secteur de la

franchise en Tunisie, la

Chambre de Commerce et

d’Industrie de Tunis

annonce l'organisation du

1er Salon de la Franchise

(Tunis Med Franchise) du

10 au 12 Décembre 2009

au siège de l’UTICA, à

peine deux semaines après

l'adoption de la loi.

Cet événement regroupera

une cinquantaine d’entre-

prises de tous les secteurs,

et sera un lieu d’échanges

et de partenariats favori-

sant les relations directes

entre les franchiseurs et les

franchisés ainsi que la

sélection de leurs futurs

partenaires. (Source : Infos

du Net /

espacemanager.com)

Allemagne en décou-

verte

La Mission Economique de

Düsseldorf - Ubifrance en

Allemagne organise une

Mission Découverte dans le

secteur de la distribution à

Cologne et Berlin, du 28

au 30 septembre 2009. Le

but de cette action est de

vous faire découvrir les

différents formats de la

distribution en Allemagne

et de rencontrer les profes-

sionnels du secteur.

A Cologne, les dirigeants

de REWE, N°2 de la

grande distribution en Alle-

magne, vous présenteront

leur groupe et les diffé-

rentes enseignes. La jour-

née sera complétée par

des visites de concepts

innovants, de chaînes, de

discounters ou encore de

supermarchés bio.

A Berlin, les galeries de

designers, les centres

commerciaux, les

commerces de proximité,

mais aussi les magasins de

luxe comme le Quartier

206 sont au programme.

Le cabinet d'architectes et

concepteurs de magasins

Dan Pearlman exposera ses

réalisations et vous les fera

visiter.

Contact :

Elodie Chal

00 49 211 300 41 275

Web:

www.firmafrankreich.de

Chine toujours nouvelle

China Franchise City, un

centre d’exposition perma-

nente multifonctions ayant

pour but d’accueillir les

marques de franchise

locales et internationales,

va ouvrir prochainement

avec le soutien du gouver-

nement de la province du

Jiangsu (Chine). Ce projet

innovant est le premier

centre d’exposition multi-

fonctions pour franchise en

Chine, il se situe dans la

zone économique spéciale

de Huaqiao à côté de

Shanghai. L’espace d’expo-

sition occupe une superfi-

cie de 60 000 mètres

carrés et exposera un

nombre total de 300

marques locales et interna-

tionales provenant de 21

secteurs différents. Il

accueillera chaque année

150 000 investisseurs

potentiels.

Selon une étude menée

par Global Entrepreneur-

ship Monitor (GEM) en

2007, la Chine est le pays

ayant le plus fort potentiel

concernant le marché de la

franchise. Le nombre de

nouveaux entrepreneurs en

Chine atteint désormais

plus de 3.5 millions de

personnes par an et il est

estimé que le chiffre d’af-

faire du marché de la fran-

chise devrait représenter, à

partir de 2010, 30 % de la

vente totale de détail en

Chine. Le projet a le

soutien des homologues

chinois, hong-kongais et

taiwanais de la FFF. À

suivre dans ces colonnes !

Une bonne rentrée 2009

Elle commence le 2

septembre avec blablabla

le 14 septembre avec le

forum franchise de

Beauvais, le groupe de

travail Franchise et internet

le 16 (suivi l’après-midi

d’un atelier sur les réformes

commerciales appliquées à

la franchise). Plénière des

Experts le 17, CA le 23,

suivi d’un VDF, comme

c’est maintenant la

coutume. Forum de la

franchise à Narbonne le 28

et réunion du comité de

dialogue franchiseur

franchisé le même jour.

Trois forums en octobre,

mois traditonnellement

faste pour ce type de

rendez-vous ; Lyon le 7,

Libourne le 12, Saint Lo le

23. Et deux réunions

régionales : Rhône-Paca le

7, Grand Ouest le 8. Deux

séminaires pro : Le

recrutement des franchisés

(6-7 octobre) et La gestion

des conflits (21-22). Le

mois d’octobre s’achève sur

les Entretiens (28, à Bercy).

Et l’on retrouve

franchiseurs et

entrepreneurs à Top

Franchise Méditerranée les

16 et 17 novembre...

Conférence jurique le

lendemain (18 - voir ci-

dessous), forum de

Fécamps, réunion régionale

Nord-Est : la vie de la FFF se

conjugue aussi en région

(voir nos pages intérieures)

! Un conseil

d’administration et un VDF

le 2 décembre, les résultats

de l’enquête annuelle sur la

franchise le 3 décembre

Beau programme en

perspective pour la

Conférence juridique du

18 novembre !

Le grand témoin sera

Michel Jeannoutot, Premier

Président de la Cour

d'appel de Dijon.

Interviendront, après une

introduction de Guy Gras,

président de la FFF et

juriste émérite,

Marc Lanciaux

(L'organisation des achats

dans les réseaux) ;

Eric Schahl (La valorisation

via les droits de propriété

intellectuelle) ; François-Luc

Simon (La cession des

réseaux de franchise) ;

Gilles Amédée-Manesme (la

cession du fond franchisé) ;

et, sur les thèmes

d’actualité, Jean-Marie

Leloup (formation du

contrat de franchise) ;

Hubert Bensoussan

(exécution du contrat de

franchise) ; Rémi de

Balmann (Extinction du

contrat de franchise) ;

Didier Ferrier (La

jurisprudence à l'épreuve

du nouveau règlement

d'exemption).

Pierre Cussac animera la

conférence et Michel

Jeannoutot en proposera

une synthèse...

M a i s o n

rezo est une publication de la Fédération française de la franchise

9, rue Alfred de Vigny 75008 Paris • 015375 2225

[email protected] • www.franchise-fff.com •

Recrutement de franchisés : www.observatoiredelafranchise.fr

Directeur de la publication : Guy Gras Conception graphique : Loeb et associés •

Impression : Avenue de la Com Crédits photos : Une, E. Arthur. Pages intérieures, FFF

Illustrations : Sébastien Braun • ISSN : 1766-9367 • Dépôt légal : 4er trimestre 2008

Emmanuel deLabarre

Il y a des hommes qui ne

meurent pas. Emmanuel de

Labarre est de ceux-là !

Pendant 20 ans, il a partagé sa

connaissance des règles

urbanistiques et commerciales

avec les élus, les commerçants

et tous les acteurs du secteur. Il

a ainsi marqué le territoire

français !

Pendant 20 ans, il a partagé son

entrain, son humour, sa bonne

humeur : il a ainsi marqué notre

action !

Pendant 20 ans, il a partagé sa

générosité, sa droiture et son

ouverture à l’autre : il a ainsi

marqué nos cœurs !

Ne pleurons pas, mais

attachons-nous à continuer à le

faire vivre au milieu de nous en

portant ses valeurs.

Emmanuel de Labarre, directeur

de la Fédération Procos,

directeur général du cabinet

Bérénice et cofondateur

d’Eurélia, est mort le 9 août

2009 à l’âge de 52 ans.