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© S.A. IPM 2015. Toute représentation ou reproduction, même partielle, de la présente publication, sous quelque forme que ce soit, est interdite sans autorisation préalable et écrite de l'éditeur ou de ses ayants droit.

Souple et flexibleLE BUREAU 2.0Notre nouvelle façon de travailler, guidée entre autrespar les innovations technologiques récentes, impliquede nouveaux aménagements des espaces de bureaux.

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PortraitP.3L’immobilier médical selonPierre Vanquaillie, gérantde l’agence Medicimmo.

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ProjetP.6La Tour Léopold, boulevardLéopold III, à Evere, bientôtreconvertie en logements.

En vueP.3Clap deuxième pourle Forum immobilier carolo,petit “Mipim” hennuyer.

ZoomPP.8-9

Rixensart, Genval etLa Hulpe sous la loupe.

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Supplément à La Libre Belgique - N°299 - Semaine du 17 au 23 septembre 2015


2 EN VUE SEMAINE DU 17 AU 23 SEPTEMBRE 2015 LIBRE IMMO

AgendaEvénementDimanche en famille. Le Parc naturel deGaume et la Maison de l’urbanisme Lorraine-Ardenne convient le grand public le dimanche27 septembre à une série d’animationsgratuites dans le parc et au Centre culturel deRossignol. Entre autres, de 10 à 18h, petits etgrands pourront faire le tour de “Bâtisses aupays des Merveilles”, une visite lors delaquelle l’aménagement du territoire,l’urbanisme et l’architecture de la régionseront mises à l’honneur de manière ludique.Au programme également, une initiation au“geocaching”, pour découvrir le village deRossignol en famille, armé d’un smartphoneou un GPS; et deux randonnées historiques.U Infos : http://www.murla.be

Journée d’étudePropriétaires et investisseurs. Le réseaud’agences belge Trevi Group organise, le17 octobre prochain, une journée d’étudedestinée aux propriétaires et investisseursavec la participation de PwC et de laFédération royale du notariat belge. Troissujets seront abordés : la “Fiscalité desrevenus immobiliers de l’achat à la vente.Planification d’une acquisition immobilière”,par Sylvie Dumortier, Director Tax Consultantchez PwC et Virginie Dehalleux, SeniorManager Corporate chez PwC; un “Etat deslieux du marché immobilier résidentiel et les10 règles de l’investissement immobilier”,par Eric Verlinden, CEO de Trevi; et les“Aspects successoraux en matièreimmobilière. Aspects pratiques etplanification”, par Valerie Bruyaux, notaireassocié au sein de l’étude de Clippele,Delgomme et Bruyaux.U17/10, Salle Hôtel de la Poste, Tour&Taxis,av. du Port 86c à 1000 Bruxelles. Inscriptionhttp://www.trevi.be/mailing/888/trevi_invest_day_formulaire_fr.html

Kots étudiants :un marché divisé

Rentrée académique oblige, tourd’horizon de l’actu sur les marchésétudiants bruxellois et wallons.

SI ELLES SE SUIVENT DE PRÈS dans les rankingsinternationaux, les différentes universités du paysvivent des destins immobiliers plutôt opposés.Quelques petites nouvelles des unes et des autres,en cette semaine de rentrée académique.

A Bruxelles, l’ULB et l’Université SaintLouisont annoncé ce lundi une pénurie de places publiques pour leurs étudiants. La première n’avaitplus que 4 % de disponibilité dans ses résidences,sur un total de 1 700 lits, vacance aussitôt résorbée courant de semaine. C’est que l’offre ne couvre encore cette année qu’une demande sur 4. Eneffet, en 201415, une pause a été marquée dans ledéveloppement du parc immobilier de l’ULB pourpréparer des grands projets sur le campus Erasme,où la problématique du manque de logements estla plus criante, et dans les casernes d’Etterbeek, enpartenariat avec la VUB. De quoi donner des idéesau secteur privé, qui développe deux projets auxalentours du campus de la Plaine.

Toujours dans la capitale, le site de Woluwe

SaintLambert de l’UCL affiche, lui, un rapport offredemande à l’équilibre.

Au sein de son homologue wallonne, l’UNamurvient de lancer un master plan de rénovation deson campus sur une durée de 5 ans. Quid du logement étudiant ? Avec 450 unités contre les 670qui devraient être offertes, l’université ne remplitpas son contrat. Dans le collimateur de l’UNamur,4 bâtiments situés Rempart de la Vierge, qui pourraient passer sur le marché résidentiel ou être réservés aux facultés namuroises. Lesquelles soulignent également être toujours candidates à l’acquisition de l’ancien palais de justice de Namur.

A LouvainlaNeuve, l’heure était, mercredi, àl’inauguration des 49 premiers kots sociaux deWallonie, bâtis par la société de logement de service public Notre Maison. Lesquels ont déjà accueilli leurs premiers locataires la semaine dernière, au nombre de 41.

Enfin, à Liège, où le marché du kot étudiant estglobalement à l’équilibre, une nouvelle résidencepour étudiants vient d’ouvrir officiellement sesportes dans l’ancienne gare de Jonfosse, anciennement réhabilitée en salle de spectacle (Soundstation, fermée en 2008) : Sudentstation. Le bâtiment, entièrement rénové, compte 57 kots hautde gamme, dont 90 % sont déjà loués.

F.Ma., avec Belga

Les 49 kots sociaux de la sociétéde logement de service publicNotre Maison ont été inaugurésce mercredi à Louvain-la-Neuve.

751,8DES VENTES EN HAUSSE POUR IKEA

Les résultats annuels de l’exercice décalé (2014-15) d’Ikea font état d’un chiffre d’affaires de

31,9 milliards d’euros. Soit, en tenant compte deseffets de change, une belle progression de 8,9 %

par rapport à l’exercice précédent. Dans desmagasins comparables, les ventes du groupe ont

gonflé de 5,1 %. En Belgique, elles ont atteint751,8 millions d’euros (+2,5 % dans des magasins

comparables).

449,32015, UN BON CRU POUR LE RETAIL

Dans un rapport consacré au marché belge du retail, lecourtier JLL se félicite des bons résultats de l’année en

cours : au 1er semestre, le volume d’investissementgrimpe à… 449,3 millions d’euros ! Quid des autres

indicateurs ? La prise en occupation s’élève à près de160 000 m² (+14,3 % par rapport à 2014).

La livraison de nouveaux projets atteint 172 500 m²,dans la moyenne des 5 dernières années; un nombre

déjà dépasssé par les projets en cours (pour 2016).

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2 EN VUE SEMAINE DU 17 AU 23 SEPTEMBRE 2015 LIBRE IMMO 3EN VUEPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE

L’agence immobilière des médecinsDepuis maintenant deux ans, les courtiers Pierre Vanquaillie et ses associéss’efforcent de dénicher la perle rare pour les professionnels de la médecine.Une véritable expertise ciblée, au service d’une clientèle exigeante.

“A MA CONNAISSANCE, nous sommes les seuls en Belgique à être spécialisés dans ce domaine”, prévientPierre Vanquaillie, cofondateur deMedicimmo, une agence immobilière dédiée aux médecins, dentistes et autres kinés qui recherchentou proposent un cabinet médical.Une offre unique qu’il compare volontiers aux spécialisations quiexistent dans le secteur. “Il y a desmédecins spécialistes du foie, d’autresde l’estomac, etc. Je pense que c’estdans cette direction que beaucoup deprofessions vont se diriger, expliquetil. Les gens recherchent de plusen plus une approche particulière.Notre force réside dans notre connaissance du milieu et dans l’accompagnement que nous offrons tout au

long du processus.” L’immobiliern’est en effet pas la seule corde àl’arc de Pierre Vanquaillie, dont lesservices s’étendent aussi à l’assurance, la structuration patrimoniale et le financement (via Médifinance). C’était d’ailleurs son activité principale avant qu’il ne créeMedicimmo, il y a près de 2 ans.

Bercé dans le milieu médical depuis qu’il est jeune, c’est tout naturellement que cet ancien del’Ephec s’y intéresse de plus prèsau début des années 2000, avantde se tourner vers l’immobilier en2014. “Depuis 2002, j’ai appris àconnaître et former les jeunes médecins, notamment dans les aspects financiers de leur métier. Mais je sentais qu’il manquait quelque chosepour proposer une offre à 360° et j’ailancé Medicimmo.” La formule a directement bien fonctionné, grâce à

son large réseau et sa fine connaissance de sa clientèle, généralementà la recherche de biens pas toujours accessibles à l’ensemble de lapopulation. “Il n’y a pas de types decabinets plus populaires que d’autres.Mais c’est certain que, de par leur rémunération, les médecins peuvents’offrir des biens plus chers que lamoyenne”, confirmetil. Avec cecique, bien que le cliché du médecinde famille qui officie à domicile a lapeau dure, de nombreux jeunespréfèrent à présent se regrouper ausein de centres médicaux.

Récemment approché par degros promoteurs immobiliers afind’accompagner la construction etla vente de plusieurs centres médicaux à Bruxelles et en Wallonie,Pierre Vanquaillie s’est associé avecdeux amis de longue date pourporter ce projet, baptisé Mediplug.

L’un est kinésithérapeute et déjàpropriétaire de centres médicaux;l’autre gère une société spécialiséeen équipement médical. Une façon, ici aussi, de tout superviser deA à Z dans un secteur qu’il connaîtcomme sa poche et qu’il ne se voitpas quitter de sitôt. “Nous ne comptons pas nous diversifier pour le moment. Il est nécessaire selon moi derester spécialisé. La création des centresmédicaux au sein deMediplug vabeaucoup nous occuper tandis que lapartie agence immobilière proprement dite continuera à fonctionnercomme avant”, affirme Pierre Vanquaillie. Actif à Bruxelles et en Wallonie, “jusque Namur et dans le Hainaut”, précisetil, Medicimmopourrait également rapidementétendre ses activités à l’ensemblede la Belgique.

Bertrand Lodewyckx

FORUM IMMOBILIER CAROLO, ET DE DEUX !La Ville de Charleroi et l’intercommunale Igretec persistent et signent. La 2e édition de leur Forum

immobilier se tiendra le jeudi 22 et le vendredi 23 octobre. Ce que beaucoup – dont le bourgmestrede Charleroi, Paul Magnette – avaient décrit comme un “Mipim” hennuyer n’en est, à vrai dire, pas

vraiment un. Sur le fond, oui : comme le “marché immobilier” cannois – qui en sera, en mars 2016, àsa 27e édition – le “Forum immobilier” carolo mise sur les contacts professionnels et, surtout, sur lamise en relation d’auteurs de projets, publics ou privés, et d’investisseurs à même de les mener. Sur

la forme, par contre, les deux événements ne se ressemblent guère. En bord de Méditerranée, lepremier est plus axé sur l’espace d’exposition (une grande partie du Palais des Festivals est réservée

à des centaines de stands); le long de la Sambre, le second est davantage le fait de conférencespermettant aux opérateurs de présenter les projets et potentialités d’investissement de la région; pas

seulement ceux de la ville de Charleroi, mais ceux de tout le Sud du Hainaut. De quoi déboucher surune certaine vision des villes de demain, qui donnera lieu à une conférence-débat à partir de 18h30.

Esprit novateur oblige, en fin d’après-midi, seront présentées les nouvelles techniques etapplications wallonnes dans le domaine de la construction. Le vendredi, la journée sera dédiée aux

étudiants. “L’an dernier déjà, les étudiants étaient conviés au Forum mais pas de manière aussiencadrée”, dit-on au cabinet du bourgmestre. Ils auront le loisir d’écouter des interventions d’experts

de l’IFAPME, de l’ENSA, de la FUCAM… dans les domaines de l’urbanisme et de l’architecture. Enparallèle sera présenté le jeu concours organisé par la Cité des Métiers de Charleroi et ses écoles

primaires partenaires; un outil pédagogique qui initie les élèves à la création d’une ville et lesconfronte aux contraintes urbanistiques, écologiques et budgétaires. Ce Forum est par ailleurs

l’occasion d’une réédition de l’ouvrage “Charleroi métropole”, actualisé à la lumière de l’évolutiondes projets de redéploiement urbain sur le territoire de la ville.

(C.M.)

PETIT À PETIT, TOUR&TAXIS SE BÂTITLe chantier se poursuit enfin pour le site bruxellois de Tour&Taxis,

avec le lancement d’un premier appel d’offres portant sur dulogement. C’est que le schéma directeur de son aménagement a été

approuvé en… 2008 déjà. Autant dire que cela faisait longtempsque tous guettaient le moindre mouvement animant l’immense

friche en bordure du canal. Courant de ce mois, une étapeimportante a donc été conclue avec le projet de Masterplan

Tour&Taxis Zone M, établi en accord avec l’ensemble des parties :le propriétaire de ladite zone M (située derrière les entrepôts,

délimitée par la rue Picard, le bâtiment Gare maritime, le parc et letalus de Laekenveld, côté rue de l’Escaut), la Région de Bruxelles-

Capitale, la Ville de Bruxelles et le Bouwmeester bruxellois,Kristiaan Borret. Au programme : 90 000 m² résidentiels (environ

900 logements), 9 000 m² d’immobilier de santé et quelque3 000 m² de retail et d’équipements publics, le tout livré à

l’horizon 2019. Premier coup d’accélérateur du processus, lapublication de documents de marché organisant un concours

d’architecture. A noter que le rythme est soutenu, la date limited’introduction des demandes de participation étant arrêtée au…

30 septembre prochain. Les offres sont, elles, attendues pour la finnovembre, la désignation et le lancement de la mission étant

prévus en décembre.

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A nouveau monde du travail,nouveaux espaces de bureaux

Flexibilité, mobilité… Notre façonde travailler a changé. Les espacesde bureaux s’adaptent à ce que l’onappelle désormais le “new world ofwork” ou “new ways of working”.

Analyse Solange Berger

LES INNOVATIONS TECHNOLOGIQUES ont eu une influence considérable sur notre facon de travailler. Et,dès lors, sur l’aménagement des espaces de travail. Letravailleur est aujourd’hui mobile dans le temps etl’espace. Il est plus autonome. Bienvenue dans leNWOW, pour “new world of work” ou “new ways ofworking” ! Un concept qui accorde aussi une place plusimportante au bienêtre des travailleurs. C’est connu,un travailleur heureux est plus productif.“C’est toute notre façon de travailler qui a changé, ex

plique Thomas Loward, business consultant chez NewGame, un bureau de consultance spécialisé dans leNWOW. Avant, les tâches étaient plus individualisées.Aujourd’hui, la collaboration entre les travailleurs est deplus en plus indispensable. On travaille notamment parprojet. Mais il faut de la variété dans les espaces de collaboration : des salles de réunion de tailles diverses, des espaces plus informels – avec des poufs par exemple – ouplus dynamiques – avec dumobilier en hauteur. Parallèlement, on demande aussi aux travailleurs de plus en plusde créativité. Et donc de travail individuel. Il faut alorspouvoir s’extraire mentalement de cet espace de bureau.”

Fonctionnement“Il faut comprendre comment fonctionne l’entreprise et

traduire cela dans l’espace de bureaux”, note par ailleursLionel Andries, Senior Director, responsable du département Workplace chez CBRE. Cet espace doit favoriser la productivité et la créativité, intégrer de nouvellesgénérations, être flexible pour être adaptable aux évolutions possibles de l’organisation, se développer enfonction de l’activité – “un bureau d’avocats ne se conçoit pas comme une boîte de consultants” –, intégrer lesnouvelles techniques, etc. “Ces espaces ouverts doiventsusciter chez les collaborateurs l’envie de travailler ensemble. Des espaces plus petits sont prévus pour favoriser

la proximité et les échanges. La multiplicité des espacespermet aussi de travailler en tenant compte de ces besoins : échanges, concentration, rencontres informelles…”,poursuit Lionel Andries, qui souligne encore que “plusl’espace est optimisé, moins on a besoin de mètres carrés.L’argent reste souvent le nerf de la guerre”.

“La jeune génération n’a pas vraiment besoin d’uneplace fixe, intervient Elodie Parisis, project manager etarchitecte d’intérieur chez CBRE. Ce qui est importantpour les jeunes, c’est de se sentir bien dans l’espace. Il fautprévoir des espaces où l’on peut se concentrer, d’autres oùl’on peut travailler ou discuter demanière moins formelleautour d’un café.” Avec des lounges, la cafétéria devientune zone de travail.

IT et RH, des éléments prédominantsLa technologie doit suivre cette évolution. “La mo

bilité est essentielle. En interne et en externe. Il faut pouvoir être joignable et avoir accès à ses données de n’importe quel poste de travail. Il faut avoir la possibilité detravailler de chez soi, d’un café, avec un horaire décalé sion le souhaite. Ces outils existent. Mais, encore trop souvent, les collaborateurs ne savent pas les utiliser, reprend Thomas Loward. Il y a dix ans, l’immobilier primait. Et ce n’est qu’en derrière minute qu’on se souciaitde l’informatique. Il est aujourd’hui essentiel d’impliquer l’IT dans le projet dès le départ. Tout comme les ressources humaines d’ailleurs.”

L’accompagnement des collaborateurs est également fondamental. Sans quoi le nouveau conceptrisque d’être voué à l’échec. “Certaines implémentations n’ont pas tenu compte de l’aspect RH ou n’ont pasprévu l’accompagnement des collaborateurs, qui utilisent mal ces nouveaux espaces. Deux personnes qui souhaitent avoir une conversation, par exemple, doiventtrouver un lieu qui ne gêne pas les autres. Il faut aussioser s’isoler si l’on a besoin de concentration”, poursuitThomas Loward, qui estime qu’une culture d’entreprise ne se modifie pas en un déménagement.

“Pour certains, ce ‘new way of work’ est un véritablechoc”, ajoute Lionel Andries, qui remarque que certaines sociétés sont réfractaires à ces changements.“Nous leur proposons alors des aménagements classiques”, détailletil, tout en pointant le fait que “lesnouveaux espaces de travail ont le pouvoir de véhiculerune culture d’entreprise. Le choix d’une localisation,d’un type de bâtiment ou d’un aménagement est unpuissant vecteur de communication”.

NouveautéPolyvalent. Combiner l’ambiance familialeet l’atmosphère stimulante d’un salon decafé avec le support technologique et leconfort ergonomique nécessaires pourpouvoir travailler de manière effective etréfléchie : tel est le principe d’un nouveauconcept d’environnement de travail conçupar Steelcase et baptisé WorkCafé.L’objectif est d’encourager les rencontresspontanées, la réflexion créative etl’échange d’idées. Installé au sein del’entreprise, le WorkCafé comprend 5 zonesdifférentes : la cuisine et le lieu de repas,le ‘hub’ social pour prendre un café, desespaces de réunion, des postes de travailpour s’isoler et le centre de ressources(casiers, imprimantes…). Ces zones sontconceptuelles et la mise en œuvre pratiquepeut différer d’une organisation à l’autre,précise Steelcase. Plus polyvalent etattrayant qu’une cantine qui n’est souventoccupée qu’à l’heure du déjeuner, leWorkCafé l’est, lui, toute la journée.

DécorationDe A à Z. Designer de bien-être, ValérieHambye s’est spécialisée, via sa sociétéValdéco, dans l’aménagement de bureauxde A à Z. Chaque élément est important :l’espace certes, mais aussi l’acoustique –“il existe 1001 solutions pour réduire lebruit”, – l’éclairage – “il ne doit pas fatiguerles yeux” –, la décoration – “pour conféreraux lieux une identité ou un côté plusapaisant”. Pour la designer, il faut agir autravers des 5 sens pour définir un espace detravail qui favorise le bien-être de chacun.“Souvent des choses toutes simples suffisentpour créer un environnement de travail bienpensé, qui améliore la productivité, noteValérie Hambye. Certains aménagements nedemandent pas beaucoup de frais. Et puis,il faut le voir comme un investissement et pascomme un coût.”

TendanceIntimité. “De nombreux employés seplaignent du manque d’intimité dans leurespace de travail”, constate Catherine Gall,membre de l’équipe de recherche deSteelcase, qui note que 95% destravailleurs de la connaissance ont besoinde davantage de tranquillité sur le lieude travail. Chacun a besoin de temps etd’espace pour soi pour prendre du recul,effectuer une tâche qui exige de laconcentration ou recharger ses batteries.Pour Steelcase, l’idéal est d’offrir un espacede travail qui comporte une large palettede lieux de travail, afin que chacun puisseutiliser celui qui convient le mieux à unmoment donné pour une tâche précise.

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Des objets personnels, comme à la maisonDes entreprises achètent à des particuliers des objets pour personnaliser leurs espaces. Un exemple avec Kapaza.

Près de 50 % des collaborateurs travaillant en openspace jugent leur espace de travail impersonnel etpeu propice à stimuler la productivité. C’est ce quiressort d’une enquête que Kapaza a menée auprèsde ses utilisateurs lors de son récent déménagement. Aujourd’hui, les employés auraient besoinde se sentir au bureau comme à la maison. Et notamment en s’entourant d’objets qui donnerontune identité propre à leur espace de travail. Desobjets de seconde main, achetés à des particuliers,dans des brocantes ou sur des sites tels que… Kapaza.

“Ce principe de ‘C2B’(‘consumer to business’) estdéjà appliqué aux EtatsUnis, explique BertrandViellevoye, responsable de la communication chezKapaza. Il existe bien sûr des sociétés spécialisées quiconçoivent de beaux meubles pour les bureaux. Maisacheter ces meubles à des particuliers fait encore plus‘comme à la maison’. Il y a une demande des travailleurs pour cela. Sans tomber dans l’excès évidemment : il faut que les bureaux ressemblent encore à desbureaux.” Et d’évoquer le déménagement de l’entreprise, de Diegem vers le quartier Montgomery, àBruxelles. “Rien que cela, c’était déjà un changementimportant pour les employés ! Nous avons désormaisde grands espaces de travail. Et d’autres, plus petits,pour pouvoir se concentrer, par exemple. Nous disposons également de ‘salons’pour des réunions plus informelles. Pour créer l’ambiance, nous avons travailléavec une architecte qui a cherché pas mal d’objets encollaboration avec notre directeur, qui connaît bien

ses employés. Chacun a pu apporter aussi des objets.Mais il a fallu trouver un compromis entre la décoration de l’architecte et la personnalisation de chacunpour éviter que cela ne parte dans tous les sens.”

Parmi les objets, des canapés, tables basses, fauteuils, jeux de fléchette… “Nous avons une salle deréunion aménagée comme pourrait l’être une pièce

chez soi, précise Bertrand Viellevoye. On se sentvraiment mieux dans notre nouvel espace de travail.Certains s’y promènent d’ailleurs en pantoufles…”

UKapaza a filmé toute la transformationde ses bureaux, visible sur Internet via le lien :https ://www.youtube.com/watch?v=0vcXJnNm8TM

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“Bien au-delà d’un simple déménagement”Les nouveaux bureaux de Randstad reflètent une autre façon de travailler ensemble.

Cela fait 9 mois que Randstad Group Belgium(Randstad et TempoTeam) a emménagé dans unnouveau bâtiment situé avenue CharlesQuint, àBruxelles, quittant l’esplanade du Heysel. “Il nousfallait un immeuble facile d’accès et écologique”, explique Sandra Leliaert, responsable du projet, justifiant ce choix. Mais cet immeuble avait un autre

avantage : il était casco (gros œuvre fermé), c’estàdire que tous les aménagements y étaient encore possibles. “L’idée n’était pas de simplement déménager. Nous voulions profiter de ce changementpour réfléchir sur une nouvelle façon de travaillerensemble. Nous sommes partis d’une vision de la direction basée sur trois motsclés : ‘connected’, ‘inspi

red’ et ‘engaged’. Et l’avons traduite de façon concrète dans le nouvel espace.” Cela donne des bureaux partagés, des modules pour pouvoirs’isoler, des ‘loungescapes’ pour des discussionsplus informelles, des salles de réunion de taillesdifférentes, des casiers pour ranger ses affaires,une politique de travail ‘sans papier’…

Ce nouvel espace a nécessité un changement decomportement des collaborateurs. “Nous les yavons préparés, avons formé les managers. En fait,nous avons travaillé sur le projet avec toute uneéquipe incluant des responsables IT, Facilities, RH…”précise Sandra Leliaert.

Le projet a demandé également une adaptationde la téléphonie et de l’informatique. “Nous avonsvoulu favoriser la communication entre les collèguestout en assurant une plus grande mobilité”, explique Katrien De Ryck, Facility manager. Les laptops ont remplacé les ordinateurs fixes, le Wifi aété installé partout, tous les collaborateurs ont unseul numéro de téléphone pour être joignables oùqu’ils soient… “On travaille encore sur d’autres projets, comme le ‘hang out’, qui est une sorte de vidéoconférence qui permet aussi le partage de documents, explique Renaud Dechamps, manager Public Relations&Public Affairs de Randstad GroupBelgium. Ce système permet un meilleur équilibrevie privée et professionnelle car il peut être utilisé den’importe quel endroit. Il existe déjà chez nous maison peut encore l’optimaliser. Le changement prenddu temps…”

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6 ARCHITECTURE SEMAINE DU 17 AU 23 SEPTEMBRE 2015 LIBRE IMMO

En bref

Joint-ventureRedevco, spécialiste européen enimmobilier commercial et AresManagement, gestionnaireinternational d’actifs alternatifs,annoncent la création de RedevcoIberian Ventures, une filialecommune forte de 500 millionsd’euros ayant pour cible l’immobiliercommercial (centres commerciaux,parcs commerciaux et boutiques encentre-ville) en Espagne et, dansune moindre mesure, au Portugal.

Secondes résidencesCôte belge. Dans deux arrêts datésdu 3 septembre dernier, la Cour decassation a débouté la commune deCoxyde dans une affaire concernantla taxe qu’elle imposait auxsecondes résidences établies sur

son territoire. L’affaire portait surl’année d’imposition 2007,indiquent nos confrères de L’Echo.La cour d’appel de Gand avait déjàestimé, en 2013, que cet impôtviolait le principe d’égalité, dans lamesure où les propriétaires d’uneseconde résidence et les habitantsde la commune étaient traitésdifféremment. La Ville de Coxyde aannoncé qu’elle continuerait depercevoir la taxe sur les secondesrésidences car celle-ci repose sur unnouveau règlement fiscal. (Belga)

Prévention incendieEnquête. L’Américain Nest,spécialiste en domotique etfabricants de détecteurs de fumée etde thermostats intelligents, livre lesrésultats, pour le moinspréoccupants, d’une enquête sur les

attitudes et les connaissances desBelges en matière de préventionincendie, réalisée à l’occasion de laQuinzaine de la sécurité organiséepar le SPF Intérieur du 12 au27 septembre. Obligatoire depuis2010 en Wallonie et depuis 2005 àBruxelles, le détecteur de fumée nefait pas l’unanimité au sein desfoyers francophones du pays. Selonle sondage effectué par Nest auprèsde 1 000 consommateurs belges,73 % des répondants s’en trouvent…dérangés, par les fausses alertes etles nuisances sonores occasionnées.78 % admettent ne pas le contrôlerune fois par mois et 13 %, ne jamaisle tester. De façon peu surprenante,l’enquête révèle que seule 1personne sur 4 se dit convaincueque tous les détecteurs de son foyersont en parfait état de marche. Avecceci que, même si les détecteurs de

fumée permettent de réduire demoitié le risque de décès en casd’incendie, ils ne sont qu’un deséléments de prévention permettantaux occupants d’un foyer de réagirrapidement dans une telle situation.Moins d’1 participant sur 10 déclareavoir prévu un plan d’évacuationtesté par au moins un membre de lafamille, tandis que 92 % desrépondants assurent qu’ilsvoudraient récupérer des effetspersonnels avant de se mettre àl’abri des flammes. Ce manqued’urgence pourrait s’expliquer par lefait que la majorité des répondants(86%) sous-estiment ou ignorent letemps qu’il faut pour qu’un incendiese propage dans une pièce, à savoirmoins de 5 minutes, contre 30 dansles années 1970. Près d’1 sur 10(9 %) pense que ce laps de temps sesitue entre 30 et 59 minutes. (Belga)

Sise à deux pas du siège de l’Otan,véritable signal urbain portant sonnom en étendard sur sa façadeseptentrionale, la Tour Léopold estbien connue des navetteurs qui entrentet sortent de Bruxelles en empruntantle boulevard Léopold III, à Evere.Erigée en 1976, puis rénovée en 2003,l’ancien immeuble de bureaux déploie,pour quelques jours encore, sonimposante silhouette orangée sur19 000 m² de surface plancher,assortis de 377 places de parking.De moins en moins prise en occupationces dernières années, elle était toutedésignée pour un changementd’affectation. Une aubaine pour ledéveloppeur flamand Matexi, qui s’enempare en 2014 avec la ferme volonté

de relever le défi architectural de satransformation complète en unerésidence à appartements.Et de s’affairer, ni une, ni deux, à cenouveau projet, choisissant de negarder de la tour originelle que sastructure portante. “Grâce au suivi de lacommune, le projet a pu se développerrapidement, et les travaux pourrontainsi commencer dans les prochainessemaines par l’enlèvement des façades”,assure, sur son site Internet, ledéveloppeur, qui donnait officiellementle coup d’envoi des opérations cemercredi, en présence de RudiVervoort, Ministre-président de laRégion de Bruxelles-Capitale.

Rendez-vous le 20 septembreUn moment que Matexi souhaitaitemblématique, dévoilant le nouveaunom de l’édifice – Leopold Views – ets’adjoignant pour l’occasion les talentsdu ‘street artist’ bruxellois SteveLocatelli, chargé de décorer la façadeestampillée “Léopold” d’une fresquemurale éphémère de plus de 800 m².Œuvre en cours d’élaboration que lepublic est invité à apprécier lors de laJournée sans voiture du dimanche20 septembre prochain, en ce comprisune série d’activités* proposées parMatexi (descente en rappel de 10, 25ou 50 m pour grands et petits, visite du12e étage du bâtiment pour profiterd’une vue sur tout Bruxelles…)“La Tour Léopold est un emblème deBruxelles, et le restera, confie GaëtanHannecart, CEO de Matexi, cité dans uncommuniqué. Ceci étant, notre groupecroit et investit beaucoup dans lareconversion de sites, comme c’est le casici. Ce type de projets permet, en effet,d’augmenter l’offre en logements dequalité dans les villes tout en respectantle paysage existant. La fresquesymbolise à la fois cette transformation,

cet ancrage bruxellois et une nouvellemanière de vivre ensemble qui sont aucœur même de notre projet.”

Un mode de vie ‘urban lifestyle’Au programme de la future TourLeopold Views ? Non moins de 201foyers “répondant à la pénurie d’offre delogements durables et abordables ausein de la Région bruxelloise”, préciseMatexi. S’étendant sur 35 à 130 m²(studios, 1-2-3 chambres, penthouses),les logements seront assortis de vastesterrasses sur toute la largeur desfaçades, intimisées grâce à despanneaux coulissants. Matexi aégalement prévu une panoplie deservices (conciergerie virtuelle via unsystème de casiers, commerces au rez-de-chaussée de l’immeuble...) et desespaces collectifs, adaptés à unnouveau mode de vie dit ‘urbanlifestyle’, “où les enfants pourront jouerensemble et les parents se retrouver” :terrasses communes, buanderiecommune, atelier de réparation vélos…Soit de quoi créer “un véritable petit

quartier en plein milieu de la ville”. Quidde la mobilité ? Outre les transports encommun aisément accessibles auxenvirons de la tour, celle-ci sera paréede 300 emplacements de parking pourvoitures et 205 emplacements pourvélos.Le permis n’est pas encore obtenu – “àce jour, nous ne sommes pas encore toutà fait au bout de la procédureadministrative puisque la Région et lacommune nous ont demandé d’apporterquelques adaptations mineuresaméliorant encore le projet, souligne ledéveloppeur. Nous avons donc déposédes plans modifiés répondant à cesconditions et espérons pouvoir obtenir lepermis dans les prochaines semaines.”Si tout se passe bien, le premier coupde pioche sera donné en octobre ounovembre prochain, pour une livraisonde l’ensemble prévue en 2018. Quid duprix des logements ? Entre 140 000 et400 000 euros environ. (F.Ma.)

*L’événement se déroulera de 10 à 18h,rue de Genève n°10, à 1140 Evere.

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Le projet de la semaine

LEOPOLD VIEWSMatexi – Evere

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6 ARCHITECTURE SEMAINE DU 17 AU 23 SEPTEMBRE 2015 LIBRE IMMO 7MARCHÉPLUS D’ANNONCES SUR WWW.LOGIC-IMMO.BE

Un “app” store pour les commerces bruxelloisAtrium planche sur un nouveauschéma de développementcommercial et sur la transitiondigitale des commerces.

SI ATRIUM A ÉTÉ MISE SUR PIED par la Régionbruxelloise voici dix ans dans le but de revitaliser les noyaux commerciaux en déclin de la capitale*, cela ne fait que quelques mois, depuis ledébut de l’été dernier, que l’agence régionale ducommerce est dotée de son premier contrat degestion, fixant ses obligations et objectifs. Fort deceluici, elle planchera d’ici la fin de l’an prochain sur un nouveau schéma de développement commercial appelé à entrer en vigueur en2017.

“Think”, “Open” et “Boost my shop”L’outil reposera sur une photographie mise à

jour de l’offre commerciale existante à Bruxelles,en ce compris la liste des structures et activitéspar quartier, et contiendra aussi une étude dechalandise et une analyse prospective assortie deplusieurs scenarii et de recommandations. Parailleurs, il concrétisera les trois programmesprincipaux du contrat de gestion, articulésautour de trois enjeux.

Sous le label “Think”, vient en premier lieu uneétude du commerce à Bruxelles, de son évolution passée et à venir, qui débouchera sur le futurschéma de développement commercial. Celuicis’attardera notamment sur la structure de l’offrecommerciale, la redéfinition des territoires commerciaux en ville, l’impact du développementdes shopping centers en périphérie, l’étude deszones de chalandise des quartiers, des relevés sociodémographiques des quartiers, des recommandations destinées à alimenter la stratégie dedémarchage, etc.

Sous le label “Open”, il prolongera, en le mettant au goût du jour, le programme Opensoon,destiné à soutenir l’ouverture de nouveaux commerces en visant la diversification et l’appui aulancement de 50 projets innovants s’inscrivantdans le concept de l’économie circulaire axée surle développement durable.

Le troisième projet, baptisé “Boost my shop”,vise un soutien à la transition digitale des commerces bruxellois et le développement d’uneplateforme digitale et d’un “app” store pourcommerçants. (Belga)

U*L’an dernier, Atrium a contribué à l’ouverture de42 commerces (soit la création de 154 emploisdirects). Il a octroyé près de 346 000 euros deprimes à l’ouverture de magasins. Ses démarchesont aidé à l’embellissement de 160 commerces et àla rénovation de 135 devantures de magasins. ©

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Maison |WemmelLe 11 juin dernier, lors d’une séance de ventepublique unique, une maison unifamiliale sise J.Vander Vekenstraat n°18 à Wemmel, en Brabantflamand, a changé de mains pour la somme de265 000 euros. Le bien, de type bel étage, secompose d’un hall d’entrée, un débarras, unechambre, une buanderie et un W.-C. au rez-de-chaussée; un salon-salle à manger, une cuisineavec terrasse, une chambre, une salle de bain etun W.-C. au 1er étage; et un grenier sous les toits.Le tout est assorti d’un garage et d’un jardin.Superficie au sol : 3 a 63 ca. PEB :612 kWh/m²/an. Revenu cadastral : 1 479 euros.UVente réalisée par M. Robberechts et C. VanCauwelaert, et C. Denys, respectivementnotaires à Zaventem et Termonde.

265 000 euros

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Maison de maître |EtterbeekLe 15 juin dernier, lors d’une séance de ventepublique unique, le marteau est tombé à700 000 euros pour une maison de maître à belétage avec jardin située avenue Boileau n°24 àEtterbeek (Bruxelles). Le bien, construit en 1922,se compose d’un garage et de caves au sous-sol;un salon, une salle à manger, une cuisine au 1erétage; 3 chambres dont une avec salle de bainau 2e étage; 2 chambres, une salle de douche etun placard au 3e étage; un grenier aménageablesous les toits. Superficie au sol du bien et duterrain : 2 a 35 ca. PEB : G. CO2 : 142 kg/m²/an.Revenu cadastral : 2 783 euros.UVente réalisée par HugoMeersman, notaireà Bruxelles (1040).

700 000 euros

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Maison | LinkebeekLe 16 juin dernier, une maison sise Bloemhofn°37 à Linkebeek, en province de Brabantflamand, a été adjugée à 305 000 euros. C’estprès du double de la somme atteinte lors d’uneprécédente séance de vente avec faculté desurenchère : 160 000 euros. Le bien se composed’un garage et d’un débarras au sous-sol, d’unhall, un salon-salle à manger avec feu ouvert etune cuisine avec citerne d’eau de pluie au rez-de-chaussée; 2 chambres et une salle de bain au1er étage; 2 chambres au 2e étage; et un greniersous les toits. Le tout est assorti d’un jardin.Superficie du bien et du terrain. 6 a 30 ca. PEB :844 kWh/m²/an. Revenu cadastral : 1 644 euros.UVente réalisée par Gaétan Bleeckx, notaireà Bruxelles (1060).

305 000 euros

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Libre Immo - Supplément hebdomadaire à La Libre Belgique. Coordination rédactionnelle: FrédériqueMasquelier. - 02/211.28.28 - [email protected] Illustrations: Etienne Scholasse.Réalisation: IPM Press Print. Administrateur délégué - éditeur responsable: François le Hodey. Directeur général: Denis Pierrard. Rédacteur en chef: Francis Van deWoestyne. Rédacteurs en chef adjoints:Xavier Ducarme et Gilles Milecan. Conception graphique: Jean-Pierre Lambert (responsable graphique). Publicité: Véronique Le Clercq - +322/211.27.64 - [email protected]


8 ZOOM SUR LE SEMAINE DU 17 AU 23 SEPTEMBRE 2015 LIBRE IMMO


8 ZOOM SUR LE SEMAINE DU 17 AU 23 SEPTEMBRE 2015 LIBRE IMMO 9BRABANTWALLON

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12 ANNONCES SEMAINE DU 17 AU 23 SEPTEMBRE 2015 LIBRE IMMO



à vendre

MAISONS250.000à500.000€

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à vendre

MAISONS>500.000€

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à vendre

MAISONSnonprécisé

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à vendre

APPARTEMENTS<250.000€

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APPARTEMENTS250.000à500.000€

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APPARTEMENTS>500.000€

21-112050008-08

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21-112055505-05

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21-112055708-08

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21-112050002-02

21-112055508-08

à vendre

APPARTEMENTSnonprécisé

21-112022702-02

VIAGER

21-109768901-01

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salle de ventes

BRUXELLES

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ventes par notaires

BRABANT

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à louer

MAISONS

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à louer

APPARTEMENTS

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21-112049404-04

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à louer

MEUBLÉS

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INVESTISSEMENTS

21-111920601-01

à louer

LITTORAL

21-110163701-01

21-110008701-01



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ventes par notaires

AUTRES PROVINCES

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supllb 20150917 imo full

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