top secret 18 - seclin.tourisme.free.frseclin.tourisme.free.fr/magazine_top_secret_num_18.pdf ·...

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PREMIERE FORMULE NUMÉROS 1, 2, 3, 4NUMÉROS 1, 2, 3, 4Magazine papier 16 pages présentant les dossiers contenus dans le cédérom Cédérom PC : + de 300 Pages de texte, 50 vidéos, 500 photos.

NOUVELLE FORMULE À PÀ PARARTIR DU NUMÉRO TIR DU NUMÉRO 55Magazine papier 68 pages vendu sans cédérom.Chacun de ces numéros existe aussi en version cédérom PC, version qui permet l’agrandissement des images et laprésentation de petites vidéos en rapport avec les articles. Les versions papier et cédérom sont vendues séparément.

PRIX :PRIX : 1 numéro : 10,50 euros. 2 numéros : 20 euros. 3 numéros 30 euros. 4 numéros : 40 euros. Prix indiqués pour la France. Ajouter 2,40 euros pour les Dom Tom et l’étranger. Montant de la commande Première Formule : ........ euros

Chacun de ces 4 premiers numéros estaccompagné d'un CDrom (PC)

MAGAZINE PAPIERMAGAZINE PAPIERPrix pour 1 numéro : 8 euros

Prix pour 2 numéros : 15 eurosPrix pour 3 numéros : 22 eurosPrix pour 4 numéros : 28 eurosPrix pour 5 numéros : 33 eurosPrix pour 6 numéros : 36 eurosAjoutez 6 euros pour chaquenuméro supplémentaire

MAGAZINE PAPIER ET CDRom PCMAGAZINE PAPIER ET CDRom PCPrix pour 1 numéro : 15 eurosPrix pour 2 numéros : 29 eurosPrix pour 3 numéros : 42 eurosPrix pour 4 numéros : 54 eurosPrix pour 5 numéros : 63 eurosPrix pour 6 numéros : 72 eurosAjoutez 12 euros pour chaque numérosupplémentaire

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Prix indiqués pour la France. Ajoutez 2.40 euros pour les Dom Tom et l’étranger+ 0,70 euros par exemplaire au-delà de 2 numéros.Montant de la commande Nouvelle Formule : ........ euros

COUPON DE COMMANDE DES ANCIENS NUMÉROS

Règlement d’un montant de............ eurosà l’ordre d’Eden Edition.

Par chèque.Carte bancaire (CB, Visa, Eurocard, Mastercard)

N° de carte : l l l lDate d’expiration : l l Signatures :

NOM : ............................................................PRENOM : .....................................................ADRESSE : ...................................................CODE POSTAL : ...........................................VILLE : ..........................................................TEL (facultatif) : ..................................................

BULLETIN À RETBULLETIN À RETOURNER AOURNER AVEC VOVEC VOTRE RÈGLEMENT À : TRE RÈGLEMENT À : ROCH SROCH SAÜQUERE - EDEN EDITION - 8, RUE PIERRE ET MARIE CURIE - 32600 LAÜQUERE - EDEN EDITION - 8, RUE PIERRE ET MARIE CURIE - 32600 L’ISLE JOURDAIN’ISLE JOURDAIN

Comme vous le savez, la rédaction deTOP SECRET s’amuse à envisager laconquête spatiale comme un vaste spec-tacle ayant peut-être intégré en sontemps un simulacre de guerre froide. Cescénario mondial serait ainsi destiné àdissimuler une vérité inavouable tout endistrayant les masses. Pour ce faire, lesscénaristes en charge de cette fictionconnaissent évidemment toutes lesrègles élémentaires d’un scénario parfai-tement réussi.N’oublions pas que si l'objectif n°1 estde cacher la “vérité” au peuple, l'objectifn°2, est de l'intéresser suffisamment

pour justifier les énormes crédits accor-dés chaque année aux organismes detype Nasa. Nous avons vu lors du pré-cédent éditorial, comment est atteintl’objectif n°1. Il convient à présent des'intéresser à l’objectif n°2.En matière de feuilleton, pour fidéliserles gens, rien de telle qu’une find’épisode brutale qui survient à l’instantcrucial. Il en est ainsi de l’histoire de laconquête spatiale. Les missions histo-riques, heureuses ou tragiques, sont par-semées de coups de théâtre, et parfoismême de miracles.Un de leur “truc” est assez facile àmettre en évidence, tant les scénaristes

-qu’ils soient de Baïkonour, de la Nasaou de l’E.S.A.- en ont usé et en abusentencore. C’est le coup de l'ultime photoinespérée de la sonde qui se pose pour lapremière fois sur un astre ! Aussitôtaprès cet instant d’émotion, on coupe latransmission ; fin d'épisode ! C’est undes Hits qui revient tout le temps ! C'esttout bonnement génial. Ça marche à tousles coups ; à chaque fois l’émotion est àson comble !

ROCH SAÜ[email protected]

Eden Edition8, rue Pierre et Marie Curie

32600 L’Isle JourdainTel : 05 62 07 38 57. Mobile : 06 61 42 34 16

ÉÉddii ttoorriiaallLa loi des séries...

À gauche de haut en bas : la surface de Vénus photographiée par lessondes soviétiques Venera 9 et 10, le 16 et le 23 octobre 1975. Exploitsconsidérables pour l'époque ! Ces images furent les seules images obte-nues. En dépit de la similitude extraordinaire du décor, similitude qui laisserêveur, les deux sondes se trouvaient séparées de 2100 km. Fin de trans-mission à cause des conditions éprouvantes. Suite au prochain épisode.L'épisode suivant, c'est la première vue panoramique couleur de Vénus,prise le 1er mars 1982. Un moment historique inoubliable obtenu par lacaméra de la sonde soviétique Venera 13. En dépit des conditions extrê-mes régnant à la surface de Vénus, Venera 13 a survécu assez longtemps

(2 heures et 7 mn au lieu des 32 mn prévues)pour nous faire parvenir ce panorama. Fin detransmission. Suite au prochain épisode. Ce sera Venera 14 , le 5 mars 1982.L'atterrisseur survécut 57 minutes, le tempsde nous faire parvenir cette ultime image.Ci-contre, Eros le 12 février 2001 : voici ladernière image de l'astéroïde 433 Eros àl'instant de l'atterrissage historique de lasonde Near Shoemaker. La ligne que l'on

peut voir indique la perte du signal de lasonde au moment de l’atterrissage.Cette image est considérée non seule-ment comme un exploit technologiquemais comme un miracle, la sonden'ayant jamais été conçue pour un atter-rissage. Fin de transmission à cause desantennes mal orientées ; suite au pro-chain épisode.Enfin en bas à droite, Titan : voici la seuleimage de la surface de Titan, satellite deSaturne. Cette photo a été obtenue le 14janvier 2005 par la sonde Huygens del'agence spatiale européenne. Lisez lescommentaires du site partenaire de l'ESA,Futura-science qui transmettaient endirect les données pour les internautesfrancophones : "14/01/2005 21:52:52 :Première image obtenue depuis le sol deTitan. Ce document est historique. Alorsque personne ne s'y attendait, la durée desurvie beaucoup plus importante queprévu de Huygens au sol lui a permis detransmettre cette vue étonnante."Une fois de plus le miracle a eu lieu. Etpuis la sonde a rendu l’âme…arrêt défi-nitif des transmissions à cause des bat-teries. Suite au prochain épisode...Conclusion, des caméras, ou plutôt desbatteries qui vivent plus longtemps queprévu ; assez résistantes pour survivre au voyage, à une entréeatmosphérique éprouvante, et à un atterrissage... et qui lâchent aussi-tôt après les premières images... C’est tout de même extraordinaire.On aurait voulu le calculer qu’on n’aurait pas pu obtenir ce résultataussi systématiquement !

TOP SECRET. Magazine bimestriel - Directeur de la publication-Responsable Editorial :Roch Saüquere. Ont participé à la rédaction : les auteurs, chercheurs qui ont souhaitépartager leurs connaissances avec nous. Corrections : Sophie Hartung. Imprimé parLéonce-Deprez. Ruitz France - Distribution NMPP. ISSN : 1638-0142 -Dépôt légal à paru-tion. Top Secret est édité par EDEN EDITION SARL au capital de 7622,45 euros - Principalactionnaire : Roch Saüquere - Siège social : 8, rue Pierre et Marie Curie. 32600 L’IsleJourdain - Tel : 05 62 07 38 57. Mobile : 06 61 42 34 16. Email : [email protected] Site web: http://www.topsecret.fr L'éditeur décline toute responsabilité quant aux contenus et opi-nions formulées par les articles contenus dans les sites Internet référencés, celles-ci n'en-gageant que leurs auteurs. Tous les textes ont été soumis à l'acceptation par l'auteur deleur libre publication dans le journal. Toute reproduction, toute traduction pour tous pays ettout support, intégrale ou partielle, fait sans le consentement de l'auteur sont illicites.Toute copie autre que destinée à un usage personnel est strictement interdite. Tous droitsréservés sur le matériel photo qui n'aurait pas fait l'objet d'une convention antérieure à la

parution en raison des difficultés d'identification liées au réseau Internet. De nombreusesphotographies de ce magazine proviennent des sites Internet de la NASA, et plus spécifi-quement du bureau d'histoire de la NASA, du centre de l'espace de Kennedy et du centrede l'espace de Johnson. Ces photographies ont été rassemblées de diverses sourcespubliques, et sont entrées dans le domaine public sauf indication contraire. Toutes lesphotographies provenant de l'appareil photo Mars Orbiter Camera sont utilisées parceque le Malin Space Science Systems le permet. En conformité avec le règlement sur l'uti-lisation de ces images, l'intégralité du crédit de ces images appartient au NASA/JPL/MalinSpace Science Systems. De même qu'appartiennent à la Nasa toutes les images astro-nomiques prises par les différentes sondes et engins de l'exploration spatiale. Toutes cesimages peuvent être téléchargées et employées dans n'importe quel but non interdit parloi. Elles ne peuvent, cependant, servir de label ou logo, ni laisser entendre qu'elles impli-quent un partenariat commercial quelconque entre la Nasa et une autre société, dans lebut d'inciter l'approbation de toute personne sur un produit ou un service.

Photos VÉNUS : Credit: Soviet Planetary Exploration Program

EROS. Crédit Nasa

VENERA 14

VENERA 13

VENERA 10

VENERA 9

Titan Crédit E.S.A.

TOP SECRET # 18

SOMMAIREÉDITORIAL 3Roch Saüquere

LES NEWS DE L’ÉNERGIE LIBRE 5J. et B. Soarès

NOUVELLES TECHNOLOGIES 8La Quasiturbine, un moteur pour l’exploration spatialeJean Rémillard

COMMANDE ANCIENS NUMEROS 11

COMMANDE NUMERO spécial 12

LES NEWS DE L’INSOLITE 13JDU, Ufopublication, Fabrice Kircher, Christian Macé

EXPÉRIENCES-TÉMOIGNAGES-RÉFLEXIONS 16Les lecteurs réagissent

ABONNEment à top secret 19

CHASSEURS D’ANOMALIES 21Planète Mars, une belle journée pour se baigner !

DOSSIER OVNI 22Réflexions sur “ceux qui savent” Daniel Robin

SCIENCE INTERDITE 40L’histoire des “Black Program” américainsJean-Marc Roeder

ÉNIGME 46Des avions antédiluviensJean Sider

HISTOIRE SECRÈTE 50Les confidences d’Arsène LupinRichard Khaitzine

COMMANDE du cédérom 57NEWS PUBLICATIONS 58

ARCHÉOLOGIE IMPOSSIBLE 64Les objets métalliques impossiblesTh. Van De Leur

TT OPOP SECRET - SECRET - 44

MYTHES ET LÉGENDES 59LE MMAÎTRE SSECRETDU NNOUVEL ORDRE MMONDIAL

Par Michel GirardPar Michel Girard

DOSSIER NASA 34PLANÈTE MMARS ::LES VVESTIGESD’UNE CCIVILISATIONINCONNUE ??

Par Nicolas MontigianiPar Nicolas Montigiani

PHÉNOMÈNE OVNI 28OVNIS EETAPPARITIONS MMARIALES

ParPar Alain MoreauAlain Moreau

L'inventeur de ce système brevetéle 17 juin 2003, est Gerald W.Rowley, mécanicien automobile,muni d'une solide expérience (15ans) sur de nombreux moteurs, de5 à 300 CVDepuis son plus jeune âge, avant de travaillerdans le monde des courses automobiles, ils'était posé de nombreuses questions surles carburants, les timings, les mélangesair/carburant. Après avoir étudié l'effet descarburants à indice d'octane élevé et trou-vé les bons équilibres entre les mélangesair/carburant, il en est arrivé à utiliser del 'essence vapor isée pourobtenir des performances demoteur supérieures. Pendant une dizaine d'an-nées, Rowley a fabriqué plusde 20 prototypes. Fin 80 ilarrêtait pour raisons person-nelles, puis il est revenu surson projet il y a quelquesannées en travaillant sur unbrevet décrivant le meilleurde ses prototypes, testé avecsuccès pendant 6 mois.Gérard Rowley est en contactavec l'Université de Miamipour faire des démonstrations(autres que celles faites devant des amis)qui valideraient son travail. Il affirme queson Vapster fonctionne vraiment et souhai-terait le présenter à nombre de personnes.Il est également en pourparlers avec diffé-rentes instances pour arriver à la commer-cialisation.Les expériences de Rowley comprenaient 1- l'adjonction d'eau dans le mélange car-burant2- l'injection de vapeur ou d'eau dans lemélange air/carburant Elles lui ont permis de voir que si l'eau étaitmélangée intimement avec le carburant le

moteur continuait à tourner. Si le carburantet l'eau se séparent avant d'être crackés lemoteur manifeste une hésitation.Il dit qu'il utilise l'eau dans le courantair/carburant afin de contrôler les tours dumoteur.Lorsque le moteur tourne sur la vapeur ilpréfère fonctionner grand ouvert. Quand l'eau est injectée dans le courantair/carburant vaporisé, le nombre de toursdiminue. Cependant lorsque c'est de lavapeur qui y est injectée le nombre detours ne change pas.C'est vraiment un système pour faire du

cracking et on peut utiliser n'importe quelcarburant qui ne laisse pas de résidu lourd(de goudron) dans la chambre de chauffece qui exclut le gasoil (de plus le diesel ad'ailleurs d'autres exigences de mélangeair/carburant.)Le Vapster qui se fixe facilement sur toutmoteur essence, remplace le système d'in-jection classique et les systèmes à carbura-teurs des moteurs à essence. Il n'accepte pas de gaz, pas d'hydrogèneet est seulement conçu pour des liquideset pour un fonctionnement quotidien àvitesse constante.

C'est un système qui utilise la chaleur perduede l'échappement pour chauffer le carburantet le mélange passe par une buse quiréduit la quantité d'air de la moitié ou dutiers par rapport à celle utilisée habituelle-ment car le mélange est très pauvre. L'appareil présenté dans le brevet US“6,578,532 : Fuel vaporizing and mixingsystem and method” comporte un systèmede ralentisseur grâce à de l'eau que l'onintroduit sous forme de brouillard.Le Vapster est un appareil sûr car il est en

acier inox. La chambre de chauf-fage est d'ailleurs celle d'un despremiers prototypes vieux de dixans. Le système fonctionne sousune faible pression, 1 - 2 livrespar pouce carré.Dans l ' appare i l l e mé langeair/carburant reste le même cequi donne la combustion maxi-mum à vitesse constante.L'alimentation en carburant d'ori-gine est opérationnelle jusqu'à ceque la température du Vapstersoit montée à 275-310 ° F. Unefois cette température atteinte,l'arrivée du carburant d'origine

est coupée et c'est le Vapster qui prend larelève.La réduction de consommation annoncéeest de 40 %. L'inventeur admet bien quece n'est pas une réponse complète au pro-blème des carburants mais son systèmepourrait participer à une importante réduc-tion des importations de pétrole, tout enpermettant aussi de consommer moinsd'air et d'oxygène.

Source :http://freeenergynews.com/Directory/index.html

Les News deLes News del’Energie LLibre

ENERGIE - DES SOLUTIONS POURPRODUIRE SANS DETRUIREL'ENVIRONNEMENT

"Il n'y a pas de crise de l'Energie,m a i s s i m p l e m e n t u n e c r i s ed'Ignorance"

B. Fuller

Les sujets t ra i tés par Quant 'Homme, l ibre e ti n d é p e n d a n t , c o n c e r n e n t l e s S c i e n c e s e tTechnologies liées aux énergies non polluantes et

particulièrement à l'Energie Libre. http://quanthomme.org

TT OPOP SECRET - SECRET - 55

VAPSTER : un système économiseur d'essence

TT OPOP SECRET - SECRET - 661

Nous avons reçu une documentationsur un système hybride d’alimentationen hydrogène sur véhicule à moteurclassique. Ce système à enrichisse-ment par hydrogène serait adaptablesur tout véhicule et sur tout moteurthermique. La photo ci-contre provientdu site de l’inventeur :http://pageperso.aol.fr/morojm/utopiatechnology.doc

L’inventeur et expérimentateur de ce proto-type est Jean-Marc Moreau, ingénieur R&Den cybernétique, spécialiste d’appareils detype biofeedback G.S.R. et autres appareilscapables de capter la pensée de l’utilisateurpour faire fonctionner à distance diverssystèmes par contrôle mental.Son appareil produisant de l’hydrogène àbord du véhicule et à la demande (mais quiconvient aussi à d’autres moteurs ou géné-rateurs fixes) est basé sur «la dissociationatomique provoquant la fragmentation dela molécule d’eau par résonance fréquen-tielle, grâce à un condensateur HF 5 étagesà diélectrique optimisé» et c’est là que résidele secret de l’inventeur.L’appareil (en fait il y a 2 systèmes), agitpar enrichissement du carburant de base(essence ou diesel) par l’apport d’hydrogèneet d’oxygène ce qui améliore la combustionet augmente le rendement thermique dumoteur. Les économies de carburant réaliséessont annoncées comme allant de 25 %jusqu’à 60 % dans desconditions de test idéal.Un bon 40 % d’économieétant une bonne moyenne.Un minimum de 20 % d’efficacité est garantipar l’inventeur. L’inventeur teste son systèmesur un véhicule diesel de plus de 12 ans etavec 250 000 km au compteur. À une vitessemoyenne de 95 km/h sur autoroute, lesrésultats indiquent une baisse notable : de8 l aux 100 km il serait passé à 2,05 l etquelques ml d’eau. Un aperçu de la philoso-phie de l’inventeur : il s’appuie sur «l’étatde nécessité» selon les articles 122.5 Al 1et 122.7 du code pénal.Il veut être participant et acteur de la luttecontre la pollution de la planète. Il proposeplusieurs solutions pour que d’autrespersonnes expérimentent et/ou acquièrentcette technologie - achat de plans- achat de kits- achat du système tout monté par un spé-c ia l is te avec garant ie d ’un an. Voic iquelques avantages présentés par l’inventeur :

“L'enrichissement du carburant habituel devotre véhicule avec ce gaz en améliore lacombustion et augmente le rendementthermique de votre moteur.Ce gaz utilisant uniquement l'eau commematière première n'étant ni stocké, ni missous haute pression, mais auto-produit etauto-consommé en roulant, son utilisationreste beaucoup plus sécuritaire que celledu gaz GPL (qui lui est stocké dans unréservoir généralement installé dans le cof-fre). Procédé parfaitement légal, n'entraî-

nant aucune modification moteur notable(Idéal car pouvant aisément être démontéen cas de revente du véhicule. Il ne néces-site aucun réglage à la mise en route. Il nemodifie en aucune manière le fonctionne-ment originel du véhicule et il peut être missur arrêt à tout moment. Ne générant niCO2 , ni monoxyde de carbone , ce gazparticipe à la dépollution de la planète . Saconsommation gratuite diminue d'autantvotre facture énergétique : Jusqu'à 50 %d'économies ! En sortie ce gaz propre estrecombiné en vapeur d'eau.”

À ce jour, nous n’en savons pas plus que cequi est dans le site indiqué précédemment ! Mais toute solution abordable aussi bienfinancièrement que techniquement et quiva dans le bon sens, c'est-à-dire la réduc-tion de la pollution et de la consommationest bonne à étudier.

Nous avons souvent signalé d’autres systè-mes que le PMC Pantone qui n'est pas leseul système qui permet de réduire demanière drastique la pollution sur la planè-te, sans tout chambouler au niveau desconstructeurs automobiles, ni des réseauxde distribution.Cependant à l’heure actuelle, même s'iln'est pas abouti, celui-ci fait partie dessolutions possibles, peu onéreuses, fiableset simples surtout en montage en dopage àeau comme l’a initié le tracteur n° 22.

À c e j o u r, l e P M CPantone a l’avantaged’être bien expérimenté,depuis 4 ans : dans les

seuls témoignages qui sont remontésjusqu’à nous, le PMC Pantone ou «à laPantone» a été reproduit des centaines defois en France, Belgique, Canada, Suisseetc. certains parmi nos correspondantsparlent même de milliers.M. Moreau n’est pas seul à étudier laquestion des moteurs hybrides à hydrogène,d’ailleurs il dit s’être inspiré d’autres travaux.Mais si le système de M. Moreau est àportée de main des Français…c’est uneaffaire à suivre.Dès que nous aurons des nouvelles sur unou plusieurs autres véhicules testant ceprocédé, nous y reviendrons.

Pour écrire à J. et B. [email protected]

http://quanthomme.org

LES NEWS DE L’ENERGIE LIBRE

UN SYSTÈME HYBRIDE ADAPTABLE SUR TOUT MOTEUR THERMIQUE ?Montage réalisé par l’inventeur

Si le système de M. Moreau est à portée de main des Français… alors c’est une affaire à suivre

Le 21 janvier 2005, Phi l ippeMeignan, lecteur de TOP SECRET,écrivait à la rédaction pour nousfaire part de ses premières expé-rimentations d’un PMC Pantonesur une tondeuse. Nous lui avonsdemandé de nous informer régu-lièrement des progrès qu’il réali-serait. Voici donc un petit compterendu bien concret d’un bon moisd ’ e x p é r i m e n t a t i o n d u P M CPantone.

21 janvier 2005“C'est avec l'aide d'un ami bricoleur que jeme suis lancé (avec suspicion au départ jedois dire) dans la réalisation d'un PMCPantone.Il me fallait en avoir le cœur net : ce systèmesemblait trop beau pour être vrai… Nous avons donc récupéré une banale ton-deuse à gazon et après quelques heures debricolage et de bonne volonté, nous avonsenfin lancé le moteur pour notre 1er essai :pas de mélange, de l'essence pure dans lebulleur pour commencer. Après de nom-breuses tentatives et un réglage laborieuxdes différentes vannes, le moteur s'estenfin lancé et a parfaitement fonctionné,pour notre plus grande joie.Fort de ce succès nous avons donc tenté desuite un second essai : cette fois directe-ment avec 50 % d'essence et 50 % d'eau.Quel ne fut pas notre étonnement de cons-tater qu'effectivement… ça fonctionneaussi avec un tel mélange !La pollution est quasi nulle (nous avons faitle test du mouchoir blanc à la sortie del'échappement), la tige s'est bien magnéti-sée après la période de rodage (l'aiguille dela boussole est bien déviée), c'est d'ailleursce dernier point qui nous semblait bienimprobable et pour le moins étrange…etpourtant ça marche !Toutefois, il nous fallait aller encore plusloin désormais, un troisième essai a donc été

tenté : un mélange composé cette fois de25% d'essence et de 75% d'eau.Malheureusement, des soudures trop faibleset un couvercle de bulleur (un vieux pot depeinture de récupération) devenu peuhermétique ne nous a pas permis de vali-der ce troisième test.La perte de pression engendrée par cesfuites nous a -pour l'instant- empêché d'allerplus loin dans nos expérimentations. Maisce n'est que partie remise !Il est clair qu'une parfaite étanchéité est laclé de la réussite de tout essai.Quoiqu'il en soit, et à ce stade, nous som-mes plus que satisfaits car nous avons pudémontrer que le PMC fonctionne réelle-ment et est vraiment très peu polluant.Satisfaction d'autant plus grande que notreprototype est très artisanal et peut êtregrandement amélioré, ce qui va être fait,croyez-moi !”

Le 19 février 2005“Dans le dernier courrier du 21 janvier,nous en étions resté à un mélange avec50% d'essence et 50% d'eau. Nous avonsdepuis résolu les problèmes de soudures etd'étanchéité. Le carburateur a été réinstalléen amont de l'admission avec une vannesupplémentaire afin de mieux démarrer lemoteur (plus simple qu'à la pipette) et sur-tout pour monter le réacteur à températureavant de basculer en PMC.Succès total ! Le système s'est bien mis enroute (les vannes étant bien réglées audépart), le moteur a vite pris des tours ettout cela avec un mélange composé cettefois de 25% d'essence et de 75% d'eau !Le PMC Pantone est vraiment incroyable !On se demande comment un système aussirudimentaire peut bien fonctionner…etpourtant il fonctionne, et qui plus est nepollue quasiment pas ! Nous sommesdésormais impatient de tenter de nou-veaux mélanges avec d'autres types d'hy-drocarbures.”

Le 27 février 2005Juste un dernier mot pour vous faire partde notre satisfaction d'atteindre désormaisun mélange de 1/6 d'essence pour 5/6d'eau, sans perte de régime-moteur ! (sansparler des autres mélanges avec aussi huilede vidange et de friture…avec un fonction-nement identique).L'efficacité du PMC Pantone est dingue !”

À suivre...Pour contacter l’expérimentateur

[email protected]

NDLR : En effet, et ça finira forcément unjour par se savoir, notamment grâce autravail de divulgation exemplaire effectuédepuis des années et dans un désintéres-sement total par J. et B. Soares du sitequanthomme. Ceux qui souhaitent découvrirles plans du PMC peuvent se rendre sur lesite : http://www.quanthomme.com

LES NEWS DE L’ÉNERGIE LIBRE

EXPÉRIMENTATION PMC PANTONE PAR UN LECTEUR DE TOP SECRET

LE FORUM DES EXPÉRIMENTATEURS DE PMC PANTONELes archives de PMC-France (plus de 3200 messages) restent consultables à http://fr.groups.yahoo.com/group/PMC-FrancePour tous ceux qui veulent continuer l'aventure, veuillez vous inscrire sur le forum de Christophe Martz. Il faut procéder de la sorte : Cliquez surhttp://www.econologie.com/forum/puis sur PMC-GEET Pantone dans section Motorisations et Carburants Alternatifs. Puis : Epinglé : Projet Unissons-nous ! Christophe Martz est justement en train d'initier une mise en commun des compétences acquises dans le domaine de l'expérimentation surdes PMC Pantone et de proposer à la réflexion de tous une voie vers la concrétisation d'une fédération regroupant toutes les ressources des acteursactuels et à venir dans ce domaine d'études qui reste encore à caractériser, développer et optimiser. Nous pensons que le système PMC Pantone ouses dérivés de montage "à la mode de chez nous'' nous réservent encore des surprises. C'est certainement grâce à la mise en commun judicieuse etéquitable de tout ce qui a été acquis depuis notre première expérimentation du 20 septembre 2000 et à la future fédération en gestation que nousaurons tous le plaisir de faire d'autres découvertes ...

TT OPOP SECRET - SECRET - 77

Ci-dessus montage du 21/01/05. Ci-dessous : 19/02/05

Nouvelles Nouvelles TT echnologies echnologies dd ans le domaine deans le domaine de

LL '' ÉÉ nergienergieLe présent article apporte sa part de fantastique, voire quelque chose de réellementextraordinaire, car bien des scientifiques de très haut niveau la croyaient impossible.Il s'agit d'un nouveau concept à la fois de moteur, de pompe et de compresseur ;voire, de moteur-pompe-compresseur, un même dispositif pouvant remplir les troisfonctions, parfois même celles de moteur et de pompe en même temps ! En dépit del'incrédulité initiale, non seulement le concept reçoit une validation de plus en plusgrande, car ses calculs sont accessibles à tout bon mathématicien et des prototypesexistent et fonctionnent sans faire appel à des matériaux exotiques ou sophistiqués...À telle enseigne que des universitaires américains la recommandent à la NASA pourl'expédition de mars 2012.

Un paradigme révolutionnaireLa Quasiturbine, c'est une infinité de dispo-sitifs possibles, mais d'abord et avant toutun nouveau concept de moteur rotatif, jus-qu'alors inattendu mais aujourd'hui suscep-tible de devenir le paradigme, la nouvelleréférence du domaine. Certes, il y a leWankel, dont le rotor triangulaire tournebien, mais qui présente de fortes anoma-lies, dont une pure translation au pointhaut. Ses nombreux problèmes, comme laconsommation élevée, ont freiné sonusage. Et c'est une impossibilité géomé-trique-mathématique de faire tourner unlosange quelconque, même variable, sans

qu'au moins un de ses angles ne perdecontact avec la courbe (sauf une circulaire)qui le contient ; ce qui implique un problè-me d'étanchéité. Or, il existe une solutionque tout bon mécanic ienconnaît : des segments vien-nent combler cet écart, qu'onappelle tolérance.Il fallait donc que l'inventeur dela Quasiturbine soit non seule-ment un excellent mathémati-cien, mais aussi féru de méca-nique-moteurs. Et c'est le casdu Québécois Gilles Saint-Hilaire, né au Saguenay, doc-teur en physique de l'Universitéde Montréal, ayant aussi étudiéla physique nucléaire à Saclay

en France, la physique des plasmas à Milanen Italie, et tous les moteurs d'avion à l'ÉcoleNationale d'Aérotechnique de Saint-Hubert,au sud de Montréal !La famille Saint-Hilaire, Mme Françoise,MM. Roxan et Ylliana, ont travaillé méthodi-quement, étudiant tous les types demoteurs connus, les mettant en formulesmathématiques informatisées pour en faireressortir quatorze paramètres comparatifs.Puis, ce fut l’étude de quelque 1800 bre-vets d'améliorations aux moteurs étudiés.Le constat fut le suivant : aucun de cesbrevets ne corrigeait fondamentalementces problèmes. Deux années de cogitations

et d'essais ont alors apporté une solutionsimple qui corrige d'un seul coup les qua-torze limitations : le concept Quasiturbineétait né.

Il fallait que l'inventeur de la Quasiturbine soit non seulement un excellent mathématicien, mais

aussi féru de mécanique-moteurs

Un texte de Jean RémillardUn texte de Jean Rémillard

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LL AA QQ UU AA SS II TT UU RR BB II NN EE ,, UU NN MM OO TT EE UU RR PP OO UU RR LL '' EE XX PP LL OO RR AA TT II OO NN SS PP AA TT II AA LL EE

LE CONCEPTLa Quasiturbine est un moteur rotatif au STATOR(partie fixe, externe) de forme quasi elliptique(comme un cercle un peu écrasé) et au ROTOR(partie en mouvement de rotation) formé d'untrain de 4 pales mises bout à bout qui prennentappui sur le stator, non sur un axe ; le centre de cemoteur est donc VIDE. Elle n'a pas de soupapes nila tringlerie associée, mais que des orifices judi-cieusement placés permettant des écoulementsgazeux quasi continus (d'où le nom Quasiturbine).Pas de vilebrequin ni volant d'inertie.Ainsi, une pale ayant franchi l'orifice d'entrée desgaz, elle les aspire dans la chambre A, puis lescomprime dans la chambre B à la sortie de laquel-le (point haut) ils s'enflamment sous l'action d'uneseule bougie en QTSC (sans chariot) ou sous lapression (comme en mode diesel) en QTAC (avecchariots), puis reçoit leur pression pour donner letravail utile en chambre C et les expulse en D. Les4 pales formant un train, chacune d'elles se trouvedans une chambre à un moment donné et passedans les trois autres par la suite; ce qui fait 4x4 =16 temps moteurs par tour, contre 2 pour un pis-ton ! Au surplus, la Quasiturbine ne produit pas devibrations, son centre de masse étant fixe peu impor-te la position du rotor, car les pales restent parfaite-ment symétriques 2 à 2 en tout temps autour de leurcentre.

Ci -contre : uneQuasiturbine àc y c l e v a p e u rc o u r t p o u r r afonctionner sansinterruption pen-dant 5 à 10 ansgrâce à des pas-tilles nucléaires.

C e n ' e s t p a s s a n s r a i s o n s q u e l aQuasiturbine est discrètement candidate àdes concepts de la NASA. Point capital pour tout engin spatial deconception humaine, ses rapports couple &puissance/masse sont les plus élevés detous les moteurs connus. Sur le diagrammedu Dr Tukashi SUZUKI, il se place théori-quement à l'extrême droite en haut. Enfait, une Quasiturbine est 4 à 5 fois pluscompacte et légère qu'un moteur à pistonséquivalent et donne un fort couple même àbas régime, ce que ne peuvent pas faire lespistons.La Quasiturbine consommera aussi 20%moins de carburant en cycle Beau deRochas (OTTO) et jusqu'à 60% moins enmode photodétonation; ce qui permet deséconomies de charge intéressantes.Une Quasiturbine à carburant (n'importelequel), n'ayant pas de carter d'huile, ellepeut fonctionner en toute orientation etm ê m e e nabsence de gra-vité : de l'huileen gouttelettese s t i n j e c t é eavec le combu-rant et se maintient contre l'intérieur dustator par simple centrifugation.On prévoit en plus une version à parois

internes revêtues de céramique qui fera unexcellent moteur à hydrogène. En effet, laQuasiturbine offre une entrée et une sortiedes gaz en deux chambres distinctes, qui lesont aussi de la chambre de combustion(ou de détonation), ainsi que la possibilitéd'injecter les gaz à des moments et lieuxdifférents (stratification). De plus la Quasiturbine est aussi unmoteur qui accepte les fortes pressionsinstantanées de la détonation, contraire-ment aux moteurs à pistons. Les revête-ments de céramique visent à éviter lesbesoins de lubrification, l'hydrogène dégra-dant rapidement toute huile.La densité de couple & puissance de laQuasiturbine pouvant être multipliée par 8en mode pneumatique, elle ferait un excel-lent moteur de carottage alimenté par lavapeur résiduelle d'une pile à hydrogène-oxygène (ce que suggèrent des universitai-res à la NASA) et à toute autre fin de moto-

risation, dont un générateur électrique !Ultimement, elle pourra fonctionner sansinterruption pendant 5 à 10 ans encycle vapeur court,

utilisant sans cesse le même liquide empri-sonné dans 4 chambres étanches isoléesthermiquement mais dont deux, opposées,contiendront des pastilles nucléaires ultra-chaudes alors que les deux autres, conti-guës, seront refroidies énergiquement. Elle

p o u r r a d o n ce n t r a î n e r u ngénérateur élec-t r i q u e e t , e nmême temps,f o u r n i r d e l a

chaleur récupérée du fluide refroidisseur ;ce qui est tout indiqué pour des missions

spatiales de longue durée.

Une Quasiturbine à carburant n'ayant pas de carter d'huile,elle peut fonctionner même en absence de gravité : de l'huileen gouttelettes est injectée avec le comburant et se maintient

contre l'intérieur du stator par simple centrifugation

POURQUOI LA QUASITURBINE EST-ELLE SI EXTRAORDINAIRE ?

UN MOTEUR ÉCOLOGIQUE EN DEUX VERSIONS,OFFRANT LE MEILLEUR DU PISTON ET DE LA TURBINE

SC : Sans Chariot

AC : Avec Chariot

Les applications de laQuasiturbine sont nom-

breuses. Ici par exemple,une tronçonneuse à zéro

vibration. Vingt foismoins bruyante qu’une

tronçonneuse classique,elle prévient la “maladie

du Bûcheron”.

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Révolutionner l'aéronautiqueEn aéronautique, la Quasiturbine pourraitservir : 1/ de moteur d'hélicoptères à prise directe(sans réducteur de vitesse)2/ de moteur d'avions à hélices sans vibra-tion et à faible entretien3/ à entraîner la soufflante (ou l'aspirateur)et le compresseur des moteurs à réaction,permettant de multiplier par un facteur 5ou 6 la température admissible dans lachambre à combustion et la tuyère, ce quiautorisera des performances du niveau desmoteurs de fusée et la réduction desconsommations de carburant. Forte de ses nombreuses qualités, laQuasiturbine devrait rencontrer le succès...C’est en tout cas ce que pensent beaucoupde personnes. Au Québec principalement,une association de plus de 500 membres ytravaille ; et une association sœur est enformation en France. Le monde a en effet besoin de la quasitur-bine pour réduire les pollutions. Que ce soitles émissions de CO2 (20% de réduction encycle Beau de Rocha (OTTO) puis de 60%en mode photodétonation) ; que ce soit lesémissions de CO (réduction de 100%) ; lesNOx (réduction des divers oxydes d'azotepar 500 fois). Qu’il s’agisse enfin de la pol-lution sonore, car le moteur Quasiturbineest avant tout vingt fois plus silencieuxqu’un moteur standard...

Le moteur du 21e siècle ?Cette réussite annoncée est d'autant plusvraisemblable que la Quasiturbine estreconnue par de nombreux scientifiques.Elle est également reconnue dans desrevues prestigieuses comme EuropeanAutomotive Design, Future Energies(Londres), Diesel Progress (ÉU), ScientificAmer i can , La Ma î t r i se de l ' Éne rg ie

(Québec), qui ont publié des articles defond, plusieurs qualifiant la Quasiturbine de"moteur pour le 21e siècle". La Quasiturbineest reconnue par des institutions commel'Imperial College de Londres, et l'encyclo-pédie électronique Wikipedia lui consacreun article intéressant que l’on peut consulterà cette adresse : http://fr.wikipedia.org/QuasiturbineAvec la Quasiturbine, il semble que nousdisposions potentiellement d’un nouveaumoteur révolutionnaire ; un nouveaumoyen, plus adapté, à la conquête de notresystème solaire...Toutefois, comme une bonne attitude cri-tique consiste à ne pas croire sur parole,prenez le temps de vérifier par vous même.

Jean Rémillard, président de l'APUQContacter l’auteur :

Tél.télécopie au Québec: (514) 388-4731. [email protected]

Assemblage du moteurQuasiturbine

Les vecteurs de force dans uneQuasiturbine sans chariot pneu-matique : le couple est d'originepurement tangentielle

Exemple : un moteur pneumatique-vapeurefficace et puissant et nerequérant aucun ajustement

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COMPATIBLE AVEC LE MODE PHOTODÉTONATION,CE MOTEUR A LE POTENTIEL DE RÉDUIRE DE 60%LA CONSOMMATION DES VÉHICULES À ESSENCE

CONTACTS EET IINFORMATIONS

On peut s’informer auprès de l'Associationd e P r o m o t i o n d e s U s a g e s d e l aQuasiturbine (APUQ) à l'adresse courrielsuivante www.pureinvention.com/apuq (auQuébec) ou communiquer, en France, avecMonsieur Serge Vieira de l'AssociationFrançaise de Promotion des Utilités de laQuasiturbine (AFPUQ) à l'adresse suivantewww.pureinvention.com/afpuqSerge Vieira - 89 bis, Route de St-Priest -69780 Moins - France - Tél.: 04-78-20-09-32. Par email : [email protected] à Monsieur Pierre Cormier

AFP. Vendredi 21 janvier 2005, 16h12 “Une mystérieuse panne paralyse depuis jeuditoutes les télécommandes électriques des voitu-res, garages et portails de la zone nord-est de laville d'Aoste, au nord-ouest de l'Italie, et la scien-ce semble impuissante face au phénomène.L'Agence régionale pour la protection environne-mentale (ARPA) a reconnu ne pas comprendre cequi se passe. Les analyses effectuées jeudi surles champs électromagnétiques n'ont signaléaucune anomalie et les systèmes d'alarmes deshabitations se sont révélés en parfait état defonctionnement. En attendant, les habitants des quartiers d'ArcoAugusto, Corso Ivrea, Roppoz et de l'hôpitalBeauregard à Aoste sont contraints, lorsqu'ils lepeuvent, d'ouvrir manuellement leurs portails etd'utiliser leurs clefs pour verrouiller et déver-rouiller leurs portes de voitures.’

Ce mystèrer a p p e l l ec e l u i q u it o u c h edepuis plusd'un an lequartier deC a n n e t odans unecommune proche de Messine en Sicile. Les habi-tants signalent en effet des départs de feu dansleurs circuits électriques, des alarmes qui sedéclenchent seules, des batteries de portable quise vident instantanément. Le mystère reste com-plet. Le 12 février 2004, dix-sept familles ont étérelogées à l'hôtel, leurs maisons ont été fermées,mises sous scellés et l'électricité a été coupée. Unan après, ils sont toujours à l'hôtel.

Le Réseau d'Investigationssur les OVNIS

Ce groupe d'études est un organismeindépendant du Journal de l'Ufologie,bien qu'il y soit associé pour favoriserune diffusion massive. R.I.O a étécréé dans le but de permettre unediffusion large et efficace. Le butétant de rendre ACCESSIBLE l'infor-mation au plus grand nombre, afind'optimiser nos chances d'obtenirdes témoignages plus [email protected]

Le journal de l’Ufologie

http://www.lejdu.com/Pour recevoir toutes les news del'Ufologie, en français, au jourle jour, inscrivez-vous sur la

liste de diffusion Ufoletter, enenvoyant un mail vide à cette

adresse : [email protected]

LES NNEWS DE

L’INSOLITEUN LAMA EN ÉGYPTE : RECTIFICATION

ENCORE UNE FOIS UNE IMAGE PEUT S'A-VÉRER ÊTRE TROMPEUSE...http://www.ldi5.com/archeo/lama.phpNous vous parlions lors du derniernuméro d'une représentation d'unlama trouvée à Abydos. En fait, ilsemblerait que le lama soit unegirafe . Voic i la palette d i te de"Battlefield" (champ de bataille)complète !

“DernièresNouvelles D’Alsacele 18/02/05

Cet article paru dansMétro le 03/12/04 peutsembler non insolite auxlecteurs cependant il estcaractéristique, voiree m b l é m a t i q u e d e sparasciences. Pendant25 ans des gens ontréussi à éviter la civilisa-tion ! On comprend mieuxmaintenant pourquoicertaines espèces ani-m a l e s i n c o n n u e s ,comme les Bigfoot, Yeti,etc. arr ivent à éviterl’homme. Surtout si ellesse concentrent en terri-toires hostiles dans les-quelles elles ont eu toutle temps de s’adapter.

Thierry R.

Cela fait plusieurs mois qu’avecnotre ami et chercheur ChristianMacé, nous travaillions à ce dossierinsolite, collectant toutes sortesd’informations relatives à l’appari-tion mystérieuse, partout sur la pla-nète, d’animaux sauvages, notam-ment de félins, et particulièrement depanthères noires.En effet, ces animaux sont au centre d’unphénomène aussi étrange que répétitif :des témoins les aperçoivent, et parvien-nent même parfois à les filmer. Alertées,les autorités organisent des battuesdurant les jours suivants, lesquelles se ter-minent systématiquement par un échec. Ainsi "Le Parisien" annonçait le mardi 03juillet 2001 : "La chasse au crocodile sur les

berges du Rhin aux environs d'Eltville (ouest de

l'Allemagne) a été levée hier, après cinq jours de

recherches, ont annoncé les autorités locales. Fin

juin, trois témoins, distants d'une centaine de

kilomètres, affirmaient avoir aperçu dans cette

zone un saurien de 1,50 m." Les crocodiles ne

nagent pas sur de longues distances et il est

impensable que l'un d'eux ait parcouru plus de

100 kilomètres en quelques jours", ont affirmé

des spécialistes.”

Et voici ce que nous apprenait le journalL'UNION daté du 24/08/00, soit un anauparavant dans la même région :"Allemagne : un mystérieux fauve en vadrouille

dans la forêt. La police de Schenkendorf était

sur les dents hier pour retrouver un mystérieux

fauve aperçu par des habitants dans la forêt voi-

sine. La battue organisée par cinquante poli-

ciers, quinze pompiers et un chasseur, assistés

d'un vétérinaire et de deux hélicoptères, n'a pas

suffi pour trouver l'animal, identifié par des rive-

rains comme étant un lion."

Ces affaires insolites, ou d’autres similaires,n'ont pas dû vous échapper, puisque queles grands médias en ont parlé et enparlent encore fréquemment, et souventavec une sorte de sourire en coin. Biensouvent plusieurs semaines s’écoulentpuis -sans doute pour calmer les esprits,les autorités finissent par montrer un petitchat noir et parlent de méprise. Est-cebien la vérité ?Voici un bon exemple : Le Parisien, éditionde la Seine et Marne du lundi 24 juillet2000, annonçait : "Recherches. Les gendarmes

d'Amiens recherchent toujours deux félins

aperçus jeudi dans les marais de la vallée de la

Somme. Les gendarmes ont repéré "les yeux en

amande d'un félin d'une hauteur au garrot d'un

mètre dix, qui a ensuite disparu dans la nuit".

Depuis, plus rien."

Libération d'ajouter le même jour : "Les

cirques et autres animaleries circulant dans le

département n'ayant signalé aucune disparition,

on ignore toujours d'où viennent ces fauves."

Libération du jeudi 27 juillet 2000 publiealors cette information : “...les experts du

Muséum d'Histoire Naturelle de Paris ont

tranché hier. Et fait parler les poils récupérés

sur les lieux de recherche des matous en cavale.

Il s'agirait de jeunes pumas, voire d'une grosse

espèce de chat exotique. Mais "La panthère, le

lion et, a priori, également le tigre, sont à exclure"

Notez au passage l’adjectif “jeune” devantpuma, lequel trahit le souci permanent dene pas affoler les masses. Mais commecette réduction ne suffit pas, la conclusiontombe le 03 août 2000, toujours dansLibération : "... Le Muséum d'Histoire Naturelle

de Paris vient de rendre sa réponse, analyses

génétiques de poils à l'appui : la bête féroce

n'était qu'un chat. Tigré ?"

Je vous laisse apprécier la pointe d’humour,“Tigré ?”. Exit donc le jeune puma, encoretrop effrayant. la ménagère peut doncdormir tranquille ! Nous ne pourrons pasciter tous les exemples rencontrés sachezseulement qu’il en existe une multitude depar le monde, que ce soit aux États-Unis,en Europe, au Canada, le phénomène seproduit partout, et à peu près avec lemême scénario. Apparition, disparition.Comment aborder le problème et sensibiliserle lecteur à ce mystère insoluble ? C’estfinalement notre ami Fabrice Kircher quinous a apporté la solution en nous adres-sant récemment une collection de coupurede journaux du Républicain Lorrain, accom-pagné d’un petit mot : “Voici quelquesentrefilets du Républicain Lorrain que jecollationne depuis quelques mois. En ce quiconcerne l’apparition de la panthère noirede Sillegny, j’ai de sérieux doutes concer-nant l’explication officielle donnée par lesgendarmes et le journal. Car commentexpliquer le comportement de ce chat ? Ilavait bondi en direction des promeneurs.Les témoins auraient dû alors s’apercevoirde leur méprise. Or, au contraire, ils n’ontjamais douté qu’il s’agissait d’un gros félin.D’ailleurs un chat de gouttière a un com-portement d’évitement systématique desinconnus (sauf s’ i l a la rage) ; c’estd’ailleurs ce qui s’est produit avec le chatque le gendarme attrapa finalement. Maisétait-ce bien le même animal ?”Voici donc un florilège d’articles récents quimettent le doigt sur un mystère, anodin,peut-être, mais qui demeure pourtant sansvéritable explication à ce jour.

"" VVAA GG UU EE DD '' OO VV NN II SS SS UU RR99 55 .. 22 ""

Didier de Plaige produittous les mardis soir àpar t i r de 23h00 desémissions de radio quiconcernent le phénomè-

ne Ovni et qui se terminent quand tout estdit !

Ces émissions conduites de main de maître par Didieret Alexandre sont rediffu-sées le matin entre 7h et14h sur le Net. "Radio Ici &Maintenant !" 95.2 FM(Pa r i s - I l e d e Fr a n c e ) .Streaming 24h/24 :h t tp :// ic ietmainte -nant.comL a va g u e d ’ ov n i d e l aRadio Ici et Maintenant,c’est l’occasion de découvrir un auteur ou un cher-cheur de l’impossible à qui vous pouvez poser desquestions en direct.

LES ÉÉMISSIONS SSUR CCÉDÉROMDÉSORMAIS LES ÉMISSIONS SONT DISPONI-

BLES SUR CDROM AU FORMAT MP3 POUR PC &CONSOLE DVD !

Vous avez raté un auteur, vous voulez réécouter uneémission, ou vous ne captez pas la radio depuis votrerégion. Ce n’est pas un problème. Vous pouvez vousprocurer le CDROM de l’émission qui vous intéresseen le commandant directement à la radio. Vous pou-vez choisir jusqu'à 3 émissions pour 1 seul CD au prixde 12 euros. Règlement à l'ordre de :

R.I.M. - IIci && MMaintenant !! 8, rrue VViolet - 775015 PParis

VOICI LLE ““TOPSECRET 10” DDES 10 ÉÉMISSIONS quenous vvous rrecommandons

1/ JJean-MMarc RROEDER - ““La Propulsion desovnis"2/ JJean-MMarc RROEDER - ““L'arme ultime duIIIe Reich - Les nazis & l'antigravitation”3/ JJean-MMarc RROEDER - “Le dossier du B2Spirit, les armes secrètes et l'antigravité”4/ NNenki ((François PPierre) - “Histoire del'Humanité & Conspiration”5/ PPaul RROUELLE : "Rennes-le-Château.Une histoire d’Apocalypse"6/ AAnne MMORO - “Le bilan des Crop-Circles2004”7 / MM a r i e - TT h é r è s e dd e BB R O S S E S -“Abductions, ovnis, parapsychologie”8/ GGilles PPINON - “Fatima, un Ovni pascomme les autres”9/ JJean-MMarc RROEDER eet RRoch SSAÜQUERE: “Mars : Nouveaux dossiers noirs”10/ RRoger SSABBAH - Les Secrets de laBible.

Alexandre

Didier De Plaige

Revue de presse : le mystère des panthères noires

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et autres animaux sauvages

AU SUJET D’A. SCHWARZENEGGERBonjour,Le texte de Nenki (TS N°17) sur Schwarzeneggerm'a incité à vous faire part d'un curieux messageprémonitoire contenu dans le film "DémolitionMan" sorti en salle en 1993 qui a été rediffusé àla TV française juste après la réélection de Bushjunior aux USA. Je rappelle aussi que c'est à cettepériode que l'on a commencé dans les grandsmédias français à présenter Schwarzeneggercomme le meilleur candidat pour représenter lesRépublicains en 2008. Les rôles principaux dufilm sont tenus par Sylvester Stallone qui campeun flic cryogénisé en 1993 et que l'on décryogé-nise en 2032 pour qu'il parte à la poursuite d'undangereux psychopathe de ses contemporainsdécryogénisés par erreur qui lui, est campé parWesley Snipes. Bien sûr, le monde futuriste pré-senté est une société post-apocalyptique où vit,dans la grande mégapole de Los Angeles, unepetite élite dans un monde paisible et non-violentobligeant le reste de la population à vivre sousterre comme des rats. L'une des scènes du filmmontre Stallone au volant d'un véhicule décou-vrant cette ville inconnue aux côtés d'une char-mante coéquipière (Sandra Bullock) répondant àses nombreuses interrogations sur les événe-ments survenus durant sa longue hibernation.Nous arrivons au passage intrigant.Le véhicule passe devant un édifice et la coéqui-pière lui présente le musée Schwarzenegger, cequi interpelle Stallone puis elle lui explique quefeu Schwarzi fut président au début du 21e siècleet que le monument honorait sa mémoire.Stallone s'interroge et lui fait judicieusementremarquer que Arnold S. n'était pas né sur le ter-ritoire étasunien mais elle lui explique que sous lapression populaire la constitution fut modifiéepour permettre sa candidature, Stallone esquisseun sourire amusé et la scène s'arrête là.On peut être surpris de la manière avec laquel-le le scénariste fait intervenir dans une fictionl'énonciation d'un acteur réel qui à l'époque dufilm faisait concurrence à Stallone sur le marchédu héros super musclé, ceci obligeant le specta-teur à sortir de la fiction pendant quelquessecondes. Maintenant arrêtons-nous sur le mes-sage qui à l'époque pouvait passer pour un clin-d'œil amusant mais plus de dix ans après prenddes allures prophétiques. Pour moi le hasardn'existe pas, il n'est que la somme de toutes nosignorances. Je suis convaincu que la rapideascension politique de Schwarzi est mûrementpréparée de longue date par de très puissantscercles occultes exerçants aujourd'hui un pouvoirquasi planétaire. Un fait troublant est qu'en s'in-téressant de près à la véritable histoire de l'ac-cession au pouvoir d'un certain Adolf Hitler l'ana-logie est réelle. Hitler fut choisi dès son adoles-cence et "téléguidé" vers sa future mission parun puissant "Ordre Noir". En regardant le parcourssans faute d'Arnold et les puissants personnagesqui croisent sa route, je me demande s'il n'a pasété choisi lui aussi pour une "mission". Quel serale "rôle" attribué à Schwarzenegger dans un pro-che avenir ? Je pense que l'industrie hollywoo-dienne du film tout comme la télévision ont une

utilité occulte que le commun des mortels nesoupçonne pas et que comme le fait remarquertrès justement Nenki la réponse se trouve peut-être dans l'évolution de la filmographie d'Arnold…Merci à TOP SECRET de nous permettre de fairepartager un regard différent sur le monde mêmesi celui-ci peut être dérangeant mais c'est ici levéritable exercice de la liberté d'expression.

[email protected]

AU SUJET DE DEWILDEBonjour,J'ai lu avec beaucoup d'attention l'article surDewilde sur Top Secret n°17.Cet article a retenu particulièrement mon atten-tion car cette histoire de métal remis à MariusDewilde me rappelle un téléfilm de StevenSpielberg "Disparitions" passé sur Canal + il y aquelques mois. Passionnant ce téléfilm en plu-sieurs épisodes. Je crois qu'il n'y a aucune raisonde douter de la parole de ce"visité".Je me demande si Spielberg qui fait ce genre defilm n'est pas au courant de faits que nous igno-rons et si lui-même n'a pas été "visité" . Peut-êtrea-t-il été au courant de cette affaire puisque appa-remment les Américains s'y sont intéressés ?Qu'en pensez-vous ? D'autre part quand j'aurai"digéré" l'article sur "les ovnis de la Bible" jereprendrai contact avec vous. C'est déjà unequestion que je m'étais posée ? mais je vaisréfléchir sur la portée de cet article par rapport àl'idée d'un DIEU créateur, cela met beaucoupd'idées reçues en question. Je suis profondémentcroyante en un "Etre Suprême" d'où qu'il vienneet à une autre Vie. Je dois réfléchir si cet articlepeut remettre en question ce genre de croyancepeut-être pas pour moi mais pour d'autrescroyants. Il est vrai que vous avez mis une "miseen garde". Souvent je me dis en lisant TOPSECRET qu'il ne faut peut-être pas tout croire cequi y est écrit mais après tout doit-on croire toutce que l'on veut nous faire croire depuis des siècles.De toute façon il est bon d'être curieux et dechercher la vérité.

Jacqueline H - [email protected]

AU SUJET DE DEWILDE (2)Bonjour,Vous trouverez ci-joint quelques photos d'un rési-du de nickel, provenant d'un atelier d'électrolysesitué dans la région de Mazamet (Tarn). Pour lechromage ou le nickelage, les petites pièces sontfixées sur un cadre métallique. La présence depetites fuites électriques provoque des dépôts demétal qui prennent ces formes étranges. Sur lapremière photo, comme sur celles de la page 25de TS N°17, on peut voir le point de contact avecle cadre métallique ou point de départ de la crois-sance du résidu (trace verte sur ma photo). C'estun produit bien terrestre et non fabriqué en ape-santeur. J'ai eu confirmation par une personneayant travaillé dans cet atelier d'électrolyse. Cerésidu représenté sur les photos ci-jointes estbien en nickel pur, provenant du cadre métalliqueservant de support aux pièces destinées au trai-tement dans le bain d'électrolyse. Malgré unegrande ressemblance avec les photos de la page25, la prudence me dit que sans une comparai-son et une analyse plus poussée, il est difficiled'affirmer seulement sur photo qu'ils ont lamême origine. P.S. Félicitations pour la revue TopSecret et ses articles bien documentés.

Jean A

Toujours de plus en plus de courriers, et de réflexions captivantes. Dilemme, nous n’avons pas assez deplace pour tout passer. Pour des raisons techniques, sachez que nous donnons -sauf rare exception- prio-rité aux courriers dactylographiés plutôt que manuscrits. Écrivez-nous, adressez une disquette, un cédé-rom à : Eden Edition - 8, rue Pierre et Marie Curie - 32600 L’Isle Jourdain. Ou un email : [email protected]

EE X P E R I E N C E SX P E R I E N C E S . . .. . . T E M O I G N A G E ST E M O I G N A G E S . . .. . . R E F L E X I O NR E F L E X I O N SS

LE RRENDEZ-VVOUS DDES LLECTEURSAvertissement : Cette rubrique présente un échantillon de témoignages,d’expériences, et de réflexions que nous recevons de lapart de nos lecteurs. Nous tenions à réserver un espacede liberté d’expression à tous les passionnés de mystère.Cependant, ne perdons pas de vue que ces courriers nesont absolument pas représentatifs d’une quelconqueopinion de la rédaction.

PETITESPETITES ANNONCESANNONCES

CONCEPT MOTEURPropose concept pour résoudre la crise del’énergie. Utiliser un moteur asynchrone trià 2 stators et à rotor commun de façon à ceque le courant qui entre dans le premierstator ressorte à 98 % par le second tandisque le couple moteur est doublé, moteurentraînant un alternateur dont le stator nedébite qu’au moment de l’éloignement dupôle du rotor du pôle du stator quand lecouple est moteur grâce à un dispositif simplesans électronique fonctionnant quelle quesoit la vitesse du rotor. Contact : BON Patrice.Tel : 04.77.31.98.13

COUPURE DE PRESSELa rédaction de TOP SECRET recherchedes brèves, des faits divers insolites dequelques lignes à peine parus dans la pressenationale ou locale. Si vous rencontrez cetype d'information étrange, le récit d’unfait sortant de l’ordinaire, exemple, pluiede grenouilles, énorme bloc de glace tombédu ciel...etc. merci de nous faire parvenir lacoupure de journal, ou une photocopie à : Eden EditionRoch Saüquere 8, rue Pierre et Marie Curie32600 L'Isle Jourdain.Tel : 05 62 07 38 57

TARIFS DES ANNONCES15 euros pour 25 mots et moins. Pour une annonce de 26 mots à 50 mots : 25 euros. L’insertion d’une photo : 15 eurosROCH SAÜQUERE - EDEN EDITION - SERVICE MESSAGES8, RUE PIERRE ET MARIE CURIE - 32600 L’ISLE JOURDAIN

Résidu de nickel, pro-venant d'un atelierd'électrolyse situédans la région deMazamet (Tarn)

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AU SUJET DE DEWILDE (3)Bonjour,Concernant le cas Dewilde, ce qui m'a tout desuite surpris lorsque j’ai découvert l’affaire, c'estque pour une fois nous avions un élément chiffrabledu poids de l'engin (environ 30 tonnes). Cela m'atout de suite fait penser à l'époque au poids d'unTokamak, seule source d'énergie suffisammentpuissante pour cette application (ce qui était uneidée gratuite je le reconnais). Aujourd’hui noussavons que pour faire évoluer un objet à proximi-té de la Terre la technologie terrestre des MFDest semblable (grossièrement) au Tokamak. Or,l'intérieur de ces enceintes sont en métal traité

généralement tita-ne voire nickel ?L'usure produitepa r l e s impac t srépétés des parti-cules échappanta u x c h a m p smagnét iques nepourrait-elle pascréer ce type derésidus, que vousmontrez p.25 TSN°17 ? Je me faispeut-être l'avocatdu diable mais nepour ra i t -on pasposer la question àMons i eu r J ean -Marc Roeder ?

[email protected]

LES OVNIS ET LA BIBLEJe souhaiterais réagir à l'article concernant lesovnis dans la Bible (TS N°17). Je précise que jesuis chrétien et que la thèse de l'auteur ne mechoque pas le moins du monde, j'adhère mêmetrès volontiers à cette hypothèse. Je tiens cepen-dant à apporter quelques précisions : si l'onconsidère que l'enjeu de l'humanité est de triom-pher de Satan, il faut comprendre que la stratégiede ce dernier consiste précisément à singer Dieu,à l'imiter aussi fidèlement que possible afin detromper les hommes. Rien de tel pour cela qued'employer des moyens technologiques quiquelques millénaires avant JC, dépassent l'enten-dement des peuples. D'où l'usage d'engins spa-tiaux dotés d'armes terrifiantes. Je tiens égale-ment à expliquer à vos lecteurs comment il estpossible pour un chrétien d'admettre tout celasans remettre sa foi en cause :Il faut pour cela distinguer "les croyances" de "lafoi". Les croyances peuvent être multiples (onpeut croire en Dieu ET aux extraterrestres, onpeut être chrétien ET croire en la réincarnation,etc.). Les croyances sont un phénomène mental,psychique, et peuvent être mises à mal par desrévélations ou des découvertes scientifiques. Toutcroyant a le devoir de se confronter à ces remisesen question (mais peu le font, hélas!). La foi, elle,se situe dans le coeur. Pour la recevoir, il fautavoir été capable d'ouvrir véritablement soncoeur au moins une fois dans sa vie, alors la fois'installe (je pense qu'il faut l'avoir vécu pour bienle comprendre). Une foi(s) installée, la foi estindestructible quoiqu'il arrive, quelques soient lesprodiges, quelques soient les découvertes scienti-fiques ou les théories (sur la création de l'hommepar exemple).Avis à vous tous, chercheurs, ufologues et autres,qui prenez pour certains un malin plaisir à dénigrerla Bible (tout en ne cessant de vous y référer),réfléchissez bien à tout ce que vous y lisez, y com-pris entre les lignes. Je vous assure que tout y est !

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CARNAC EN QUESTIONBonjour,Après avoir visité le site de Carnac en Bretagnej'ai été très impressionné par un seul des mégali-thes à savoir celui de Locmariaquer qui pèse plusde 500 Tonnes et mesure plus de 20 mètres.Auriez-vous un site à me conseiller pour com-prendre comment une poignée d'hommes peutériger un tel bloc ? La réponse de notre guide estresté très évasive. Je me suis également renduavec mon épouse à Stonehenge en Angleterre, etlà encore d'autres détails me sont apparus toutaussi passionnant. Je joins trois photos qui m'in-triguent. Il faut savoir qu'il est impossible de s'ap-procher ou de toucher les pierres. Seul le site deAvebury est autorisé au public, Sillbury est inac-cessible (fils barbelés) et le plan fait état d'unepyramide enfou ie sous ter re ? Le Tor deGlastonbury cacherait-il aussi une autre pyramide ?A-t-on des choses à cacher au pays anglo-saxons ?Aucune industrie ne s'est installée à proximité deces sites. On n’y trouve seulement des champsagricoles pour crop circles et puis l'armée. Si làaussi vous aviez quelques explications ? Mes pro-chains voyages sont axés sur les civilisationsMayas et Aztèques au Mexique et Guatemalaainsi que la civilisation Incas au Pérou, j'espère làaussi, trouver des choses intéressantes.

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COÏNCIDENCEBonjour,La Date 05/05/05 constitue un prochain beau tri-plet et se trouve à 1332 jours du 11/09/01. Et1332 c'est deux fois 666. Lucia, l'une des trois"voyantes" de Fatima est décédée dimanche 13février. Il n'y avait qu'une chance sur 30.5 quecela tombe sur un 13 comme la date des 6 appa-ritions mariales. De plus 13/02/2005 donne 1+3+2+2+5 = 13Sinon : Du 13 mai 1917, première apparition au13 fév 2005 il y a 32053 jours et 3+2+5+3 =13Du 13 oct. 1917, dernière apparition au 13 fév2005 il y a 31900 jours et 3+1+9 =13Ca ne marche pas avec les autres dates d'appari-tion : 9, 24, 20,16 !!!!Du 13 mai 1917 au 13 oct. 1917 il y a 153 jourset 153 a un petit relent de mysticisme !

Jean-Claude.

TSUNAMIBonjour,Le Tsunami est-il un événement naturel, commeil s'en produit tous les " x " temps où, est-il ladémonstration de force d'un état dément, qu'ilest inutile de nommer, pour montrer que ce quiest arrivé là-bas, pourra arriver demain chez celui(ou ceux) qui oserait ne pas obtempérer ?L'événement était-il connu à l'avance par (disons)les actuels " maîtres temporels " du monde ?En y réfléchissant ou plutôt en relisant des arti-cles, je doute de plus en plus que l'événementsoit "naturel". Inutile de philosopher où épiloguersur le bien ou le mal, conscience ou absence deconscience, la seule logique de l'état dominateurnon cité c'est la domination du monde !Cette domination n'est pas comparable aux domi-nations passées (comme celle deRome) d'abord, parce qu'elle touche vraiment lemonde, ensuite parce qu'elle met en péril la pla-nète entière ! Les chromosomes mémoires jouentlà un rôle majeur, comme l'aurait dit RobertCharroux, car ce n'est pas un hasard si c'estl'Amérique qui domine cette " fin de partie " ; Eneffet, il est pratiquement sûr que l'ancien conti-nent, aujourd'hui appelé Amérique du Nord, futdans un lointain passé l'Atlantide ou une autrecivilisation despotique, ayant sombré et, c'est làque vient le jeu des chromosomes mémoires (ou,éternel retour), les descendants des survivants(puisque, il y en eut sûrement) recommencentdes milliers d'années après leurs aïeux, la mêmedomination qui ne pourra que conduire à lamême fin.

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ÉTRANGES RESSEMBLANCESBonjour, Juste un petit mot pour attirer votre attention sur lacurieuse ressemblance entre l’ovni du Costa Ricaphotographié en 1971 (TS N°7) et le disque volantexpérimental de Townsend Brown (1958) dont vousavez souvent parlé à travers les expériences de J-LNaudin sur le Lifter.

EE X P E R I E N C E SX P E R I E N C E S . . .. . . T E M O I G N A G E ST E M O I G N A G E S . . .. . . R E F L E X I O NR E F L E X I O N SS

TT OPOP SECRET - SECRET - 1717

La portion de voie où s’est posé l’ovni deDewilde a été fermée à tout passage, soi-dis-

ant pour faire des tests de locomotive.Etonnant de voir que c’est justement cette

portion de voie qui a été choisie, et peu cou-rant de voir un tel arsenal de protection pour

un site civil, somme toute très banal !

Peut-on faire tenir deux gros blocsde pierre avec un tasseau en pierreet comment peut-on les transportersans le casser ?

Quelle est cette matière qui apparaîtau bas d'un bloc ?

Peut-on couler de la pierre commeon coule du béton ?

1971 1958

Forum Onnouscachetout

EE X P E R I E N C E SX P E R I E N C E S . . .. . . T E M O I G N A G E ST E M O I G N A G E S . . .. . . R E F L E X I O NR E F L E X I O N SSTSUNAMI (2)

(Courrier anonyme) Cette catastrophe du 26/12/2004 n’est nullementimputable à un séisme naturel au large de l’océanpacifique mais à une arme d’un nouveau type dignedu 3e millénaire, à savoir une bombe nanotech-nique. C’est ainsi que les plaques tectoniquesbasées sous l’océan ont été sérieusement ébran-lées d’où l'émergence de vagues géantes.Suite à cette catastrophe intensivement médiati-sée, d’énormes dons pécuniaires ont été récoltéspar les ONG de tous les pays du monde. Cettemanne financière a été récupérée par un “tierceorganisme” chargé de gérer les fonds. Ces fondsont été déposés dans un paradis fiscal et ce par l’in-termédiaire de la “lettre d’évidence” (dont l’unité devaleur de référence de base est le million de dol-lars). La banque permet ainsi au dépositaire dedisposer de l’ouverture d’une ligne de crédit pourune durée de 3 semaines au bout de laquelle cettepersonne perçoit au minimum 50% du bénéficeengrangé et reverse X% à des intermédiaires(ONU, HCR,...) d’où évidemment le déclenchementde la catastrophe avant la fin de l’année comptableen cours réalisant en 3 semaines le pont entre 2années comptables et accroissant du même coupconsidérablement le bénéfice. Au final 4 milliardsde dollars de bénéfice, et ni vu ni connu, l’organis-me reverse la somme initiale aux ONG ! Je préciseque les ONG ne sont pas en cause ici.N.B : Scénario quasi identique lors du séisme enIran le 26/12/2003. De même lors de la tempêtedu 26/12/1999 en France. Ce sont à chaque foisdes dates symboles mais aussi butoires pour libérerdes fonds publics et générer ces opérations debénéfices mirifiques qui ne laissent pas de trace.

LES OVNIS ET LA BIBLE (2)Bonjour,Suite à votre article “Les Ovnis de la Bible” parudans TOP SECRET N°17, je souhaiterais vousfaire part d’une remarque. J’ai relu récemmentL’Iliade et l’Odyssée d’Homère et là tout commedans votre démonstration sur la Bible, on retro-uve l’intervention des différents Dieux lors desconflits entre les humains. Savez-vous si desauteurs ont fait ce rapprochement et allez-vouspoursuivre votre enquête de la présence d’extra-terrestres dans les différents mythes terrestres ?

Hélène G. (13)NDLR : Vous trouverez la réponse à votre ques-tion à la page 59.

AU SUJET D’A. SCHWARZENEGGER (2)Monsieur,Dans votre magazine TS N°17, un article relatif àl ’ac teur Amér ica in et gouverneur Arno ldSchwarzenegger, marié à une nièce de l’ancien pré-sident John F. Kennedy. Sur une photo l’on peut voirl’épouse faire un signe que vous qualifiez de drôle.Vous ne croyez pas si bien écrire car ce signe anodinest le signe de Voor, signe satanique par excellence.C’est un parmi les 5 signes de la litanie des puissan-ces épouvantables réveillées par des mages noirsaméricains et anglais, puissances enfermées dansles abysses et qu’ils ne peuvent plus contrôler. Il estfacile de comprendre que A. Schwarzenegger n’estqu’un pion entouré de muscles sur lequel MlleShriver a mis la main dessus, avec l’approbation desa famille. Famille du même niveau que celle de GWBush nettement plus dangereuse ceci dit car l’indus-trie américaine s’est dotée de technologies directe-ment issues de l’industrie allemande ce qui impliqueune alliance mécano idéologique. Est-ce que lesAméricains ont pu pénétrer dans les bases alleman-des de l'Antarctique, et de la Terre de feu au Chili ?Ce serait étonnant sauf une soumission desAméricains ou une alliance, au quel cas, l’Europepeut s’attendre à un grand bouleversement, et lemonde à un désastre universel.

M. André P.

PETITE CONTRIBUTIONBonjour,La photo située p.40 de TS N°15, (Haunebu 1) mepousse à réagir. Voici quelques lignes qui pourrontpeut-être intéresser certains de vos lecteurs. Uneaprès-midi, à Orléansville en Algérie -maintenantChelif- en mai/juin 1942, j'étais étendu sur unechaise longue pour faire la sieste, imposée par ma mère (j'avais cinq ans). J'ai vu des points rosés-rouges (couleur voisine de l'orangé de M.F.D. TopSecret n°17, p.51) situés en altitude ; le ciel étaitdégagé. L'armée américaine (débarquée ennovembre 1942) tirait dessus avec son artillerie ;cela a duré une demi-heure... Les points rouges-rosés ne bougeaient pas...puis ont disparu soudai-nement.En juillet / août 1943, pendant les congés scolai-res (ma mère était institutrice à Orléansville),nous étions mon père et moi sur la terrasse de la villa- à flanc de coteau- où nous, notre famille,passions nos vacances à Tenès (donc en bord demer). Mon père était en tenue militaire (lieute-nant- capitaine) et à un moment un disque noir dela couleur de celui qui est situé page p.40(TopSecret n°15, Haunebu 1) est devenu visible(avait-il traversé les nuages ?), le ciel était cou-vert, ce rond noir filait lentement vers (Djidjelli)1 -donc vers l'ouest- en une courbe légèrement des-cendante ! Il avait cette particularité - je ne l'aijamais lue - d'avoir une portion triangulaire grisâtreou vide - ma mémoire me fait ici défaut- qui tour-nait lentement- sens dextrogyre (en 10-12 secon-des pour un tour complet). Mon père m'avait ditque c'était des engins secrets que les Allemandslançaient depuis la France sur l'Angleterre...

Ghj. P.B. (33)

PETITE CONTRIBUTION (2)Bonjour,Je circulais plusieurs fois par semaine à l’endroitoù les photos furent prises par un témoin en voi-ture (P.11 News de l’insolite TS N°17). Il m’estarrivé début 2004 un bien curieux incident avec larencontre d’un véhicule sombre venant sur moi enmarche arrière. Que ce soit le passager ou la voi-ture, tout cela avait des allures de MIB à faire froiddans le dos. Fin d’après-midi, solitude totale.Aucun témoin. à noter l’information diffusée parles médias presse-radio-TV, faisant état de l’utili-sation du massif boisé de ce secteur par l’organi-sation indépendantiste basque. Cette informationdifusée au conditionnel est retombée d’elle même

dans l’oubli. Tout cela pour dire qu’il se passepeut-être des choses étranges dans cette zone, etque votre news n’a pas dû passer inaperçue.Dernier détail, Rouffignac fut totalement pillée etincendiée -à part l’église- par l’armée allemandeen avril 44, et reconstruite par la suite. J’en ai ter-miné avec ma contribution.

M. A.

UN CIGARE ?Page 51 du supplément de “Le Monde” “Lesphotos de l’année 2004” on voit la photo ducyclone Yvan et à droite de l’oeil du cyclone, onremarque la présence d’un “cigare” de couleurbleue. Ovni ou simple reflet ?

Arnaud H.

IL M’A DIT...Mon histoire est simple. Je garde des maisonsquand les propriétaires ont besoin de s'absenter.J'étais en haute montagne dans les Pyrénées, etmes dons de médiumnité m'ont parlé au traversde l'écriture. En ce jour du mois d'août 2004, unbesoin intense de communiquer s'est produit.Surprise, oh ! surprise, un petit être au nom de"YOURI" m'a parlé. Il vient des Pléiades, mesureun mètre cinquante, a quatre doigts aux extrémi-tés. Il est équipé d'une combinaison fluorescente,très légère qui fait corps avec sa morphologie.II m'a dit que l'on se rencontrerait et me prévien-drait par télépathie. Il voyage dans des vaisseauxà propulsion, en dépassant la vitesse de la lumièreet en utilisant des tachions. Il démarre et s'arrêtesous pulsion. Il m'a expliqué que lorsqu'il appro-che de la terre, il ralentit afin de s'adapter auchamp magnétique de notre planète et de sesvibrations. Il m'a dit que les siens avaient descontacts fréquents avec les États-Unis et laRussie, mais qu'ils se gardent la primeur, nouscachent la vérité, et cela est néfaste pour notresociété. Il m'a dit de tout faire pour sauver la pla-nète qui est un être vivant comme nous, avantd'aller sur d'autres terrains. Il m'a expliqué quenous vivons tous dans l' Univers, que nous avonschoisi la Terre et que lui vit sur une autre planète,cela est dû au niveau d'évolution.Les petits gris existent bien, et de par la loi desaffinités ils sont attirés sur la Terre par des êtres

aux mêmes vibrations qu'eux. Il m'a ditque les temps changeront, que nousvivrons plus longtemps lorsque nousaurons la force nécessaire pour modifiernotre taux vibratoire et ce fameux ADNqui est en pleine restructuration. Il asurtout insisté sur le fait d'être toujoursà l'écoute, car à tout moment nous pou-vons être contactés tous par des êtresvenant d'autres planètes et recevoir desmessages bienfaisants. Il a insisté sur lefait que nous nous mettons des barriè-res par nos doutes et nos peurs ; il exis-te bien, et nous demande de lui faireconfiance,Merci de m'avoir écouté, ce témoignageest tout simple.

Annie G (47)

Plus fort que l’épouse d’A. Schwarzenegger, la familleBush au grand complet le 21/01/05 lors de l’investiturepour le second mandat. Même si officiellement ce signeest adressé à la fanfare du Texas dont c’est aussi le signede reconnaissance... c’est tout de même “mauvais signe”pour la paix dans le monde. Découvrez ce moment histo-rique en vidéo dans notre cédérom. Après les frasques duprince Harry, décidément que se passe-t-il dans la tête despuissants de ce monde ? (Voir TOP SECRET N°5)TT OPOP SECRET - SECRET - 1818

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TT OPOP SECRET - SECRET - 1919

En 1981, J-M Lesage crEn 1981, J-M Lesage créaiéait une association cult une association culturturelel le fle frranco-anco-péruvienne, lui permetpéruvienne, lui permettant de mener des intant de mener des invvestigations sur lesestigations sur lescivicivi ll isations prisations précolombiennes, d’étudier le chamanismeécolombiennes, d’étudier le chamanisme andin,andin,et de la selvet de la selva péruvienne. Sa péruvienne. Ses contacts aes contacts avvec divec divers spécialers spécialistesistesrrencontrencontrés au cours de ses périples, et sa participation àés au cours de ses périples, et sa participation àdidifffférérentes expériences particulentes expériences particul ièrières, l’amènent à compres, l’amènent à comprendrendreecetcette surprte surprenante renante réaléal ii té : c’est le même agent octé : c’est le même agent occulculte qui tirte qui tireeles ficelles ficel les de tout le scénario des maniles de tout le scénario des mani ffestations parestations paraphaphyy--siques, se trsiques, se trouvouvant aussi à la base du polythéisme rant aussi à la base du polythéisme relel igieux,igieux,cela depuis le commencecela depuis le commencement des temps. Lment des temps. L’espri’esprit humain estt humain estsoumis à une puissancesoumis à une puissance surnatursurnaturelel le, elle, el le-même alle-même al ll iée auxiée auxsociétés secrètes. Comment se prsociétés secrètes. Comment se pr éservéserver du contrôle deer du contrôle del’espril’espri t ?t ?

ISISSN : 0751-0616SN : 0751-0616NombrNombre de pages : 204e de pages : 204IImprimé en 1995.mprimé en 1995.

En rEn remontant aux remontant aux racines secrètes du mondialacines secrètes du mondial isme, Jisme, J .M.MLesage nous fLesage nous faiait constater l’existence de ft constater l’existence de fororces occes occulcultes quites quiagissent derrièragissent derrière les re les révévolutions et les conflolutions et les confliits mondiaux, ents mondiaux, envue de rvue de renenvverser “l’ancien orerser “l’ancien ordrdre des choses”e des choses”, pour instaur, pour instaurererun Nouvun Nouvel Orel Ordrdre lucie lucifférien.érien.Ce nouvCe nouvel orel ordrdre, tourné sur l’e, tourné sur l’humanisme, prhumanisme, préparépare l’ae l’avènevène--ment de l'ment de l'Antéchrist à la tête d’une élAntéchrist à la tête d’une éliite d’te d’ iniinitiés détenant letiés détenant levérivéri table pouvtable pouvoir et désiroir et désirant instalant instal ler un Pler un Pouvouvoir Mondialoir MondialUnique auxquelUnique auxquelles devrles devront se soumetont se soumettrtre les nations. Ce le les nations. Ce livrivreenous fnous faiait découvrir leur plan, leurs pouvt découvrir leur plan, leurs pouvoirs, leur foirs, leur façon d’opéaçon d’opé--rrerer...et surtout l’...et surtout l’ issue finale.issue finale.

ISBN : 2-9509463-2-1ISBN : 2-9509463-2-1NombrNombre de pages : 176e de pages : 176IImprimé en 1999.mprimé en 1999.Prix : 20 eurPrix : 20 eurosos

Ce lCe l ivrivre de 1982 est d’une modernie de 1982 est d’une moderni té imprté impressionnante.essionnante. C’estC’estmême de part son ancienneté, un document exmême de part son ancienneté, un document exceptionnel, visionceptionnel, vision--nairnaire de par certains aspects, qui a montre de par certains aspects, qui a montré la vé la voie à de très nomoie à de très nom--brbreux ouvreux ouvrages publages publiés après lui, et qui lui ont donné riés après lui, et qui lui ont donné raison aaison aposteriori. Cela démontrposteriori. Cela démontre si besoin étaie si besoin étai t, la qualt, la qual ii té du trté du traavvaiai llaa vvantant -gar-gar d iste du grd iste du gr oupe foupe f rr ança is Ourançais Ouranos. Cetanos. Cet te étudete étudedénonçaidénonçai t en eft en ef ffet pour la pret pour la premièremière fe fois, une action de subois, une action de sub--vversion perpétrersion perpétrée à trée à traavvers les phénomènes oers les phénomènes ovni, et parvni, et paraa--normaux, visant à crnormaux, visant à créer un état paréer un état parapsyapsychocrchocratique colatique col lectilecti ffsufsuf fif i sant pour laisser lsant pour laisser l ibribre cours à des fe cours à des fororces occes occulcul tes noirtes noiresestotaltotaliitairtaires, susceptibles de pres, susceptibles de prendrendre en main notre en main notre civie civill isation àisation àla suila suite d’une sucte d’une succession de “crises” génércession de “crises” généralalisées. Sisées. Sommes-nousommes-nousen tren train de vivrain de vivre ce qui étaie ce qui était annoncé dans ce lt annoncé dans ce livrivre ie i l y a 13 ans ?l y a 13 ans ?

Dépôt légal 3Dépôt légal 3ee trim 1982trim 1982NombrNombre de pages : 350e de pages : 350IImprimé en 1982mprimé en 1982Prix : 20 eurPrix : 20 eurosos

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TT OPOP SECRET - SECRET - 2020

Paramètres de l’imageRéférence image : M04-03925Date : 1999-08-29Longitude centre de l’image : 253.84°WLatitude centre de l’image : 21.97°SMètres par pixel : 5.62 mètresLargeur au sol : 2.88 kmLongueur au sol : 36.82 kmSolar longitude (Ls) : 196.73°Emission angle : 0.24°Incidence angle : 42.56°Phase angle : 42.50°North azimuth : 93.33°Sun azimuth : 17.45°Altitude : 374.58 kmSlant distance : 374.59 km

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“ILS“ILS ONTONT DESDES YEUXYEUX ETET NENE VOIENTVOIENT PPAS”AS”

CRÉDIT PHOTOS DE CE DOSSIER : NASA/MALIN SPACE SCIENCE SYSTEMS

UNE BELLE JOURNÉE POUR ALLER NAGERAgrandissement de la zone du cadre rouge (Photo verticale gauche)

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Comparaison avec un lac bienterrestre : le lac Mead (Nevada)

Source : http://www.geocities.com/natethegreat2u_2000/lake.html

LL AA RR ÉÉ GG II OO NN DD EETT YY RR RR HH EE NN AA PPAATT EE RR AA

Le lac de Mead (Nevada) vu depuis la surface. On se prendà rêver en songeant au paysage que nous pourrions avoirsur Mars

TT OPOP SECRET - SECRET - 2121

“ILS SAVENT " Ceci est non seule-ment une exclamation, mais aussiune affirmation qui repose sur qua-tre propositions que nous allonsmaintenant vous présenter.

Proposition n° 1 : les ovnis existentc'est un fait prouvé et personne aujourd'huine peut nier leur existence. Le volumineuxdossier des ovnis atteste de la réalité du

phénomène, mais sa complexité est telle, etil englobe des expériences si variées, qu'iln'a pas encore reçu à ce jour d'explicationdéfinitive globale.

Proposition n° 2 : il existe très certai-nement une minorité de militaires, descientifiques, et de politiques, formant lesélites des principales nations industrialisées

du monde moderne, qui sait de façon abso-lument certaine que notre espace aérienest très souvent traversé par des enginsvolants qui ne sont pas d'origine humaine.

Proposition n° 3 : si ce n'est en France,il est en revanche fort probable qu'auxEtats-Unis une "cellule" spéciale très fer-mée (voir notre organigramme plus loin) -composée exclusivement de militaires, de

scientifiques de haut niveau et de poli-tiques- étudie sérieusement le phénomèneovni depuis plusieurs décennies. Ces pro-grammes d'études aux Etats-Unis remon-tent probablement aux années qui suiventimmédiatement la fin de la seconde guerremondiale.Il existait en France une "cellule" de ce typeappelée le SEPRA (Service d'Expertise des

Il est probable qu'aux Etats-Unis une "cellule" composée de militaires, de scientifiques

et de politiques, étudie sérieusement le phénomèneovni depuis plusieurs décennies

Un texte de Daniel ROBINUn texte de Daniel ROBIN

RR EE FF LL EE XX II OO NN SS SS UU RR LL EE SSMILITAIRES, SSCIENTIFIQUES,

ET PPOLITIQUES

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À PROPOS DE LÀ PROPOS DE L’AUTEUR’AUTEUR

Daniel Robin est le vice-président del'association OVNI INVESTIGATION. Il estégalement le coauteur de l'étude pas-sionnante intitulée : "OVNI le mystèresubsiste" publiée aux Editions LesConfins http:// www.lesconfins.comIl nous livre ici un arti-cle à la fois énigma-tique et accrocheur,mais qui résume à luiseul une situation defait qu'il est désormaispossible de prouver etdont les implicationssont proprement hallu-cinantes. Nous espé-rons que cette premiè-re collaboration à TOPSECRET sera suivie debeaucoup d'autres et que d'autres mem-bres de cette équipe de chercheurs vou-dront à leur tour faire profiter nos lec-teurs de leurs réflexions et de leursdécouvertes.

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Phénomènes Rares Aérospatiaux, qui étaitétabli à Toulouse depuis 1977). Nous enparlons désormais au passé parce que cettestructure a été officiellement dissoute aumois de novembre 2002. En 25 annéesd'existence le SEPRA a accumulé près de6000 dossiers relatant l'observation de phé-nomènes étranges dans le ciel et a travailléen étroite collaboration avec la gendarme-rie, l'armée, des laboratoires et des sociétésciviles spécialisées dans le traitement desimages. Mais, et c'était peut-être une nou-velle version du fameux “french paradoxe”,cette "cellule" n'était pas secrète. Aucontraire, elle était reconnue par les pou-voirs publics comme étant l'organe officield'étude du phénomène ovni. Que sont devenues les archives du SEPRAdepuis sa dissolution ? Il règne désormaisautour d'elles un épais mystère. Peut-êtresont-elles étudiées de près par quelques"spécialistes" qui s'efforcent de percer lesecret des ovnis ? Ce qui est sûr en toutcas, c'est qu’à notre connaissance, aucunchercheur indépendant n'est habilité,

aujourd'hui, à les consulter. Dans le cadre promotionnel de la sortie deson livre “Ovnis, l'évidence” paru aux édi-tions Carnot, Jean-Jacques Velasco, ingé-nieur de formation et ancien directeur duSEPRA, répondait sans ambiguïté à unei n t e r v i ew du j o u r na l d e l ’ u f o l o g i e(www.lejdu.com). (ndlr : Rappelons queses réponses n’engageaient que lui-mêmeen tant qu’auteur de son livre, et non l’ad-ministration du CNES à laquelle Jean-Jacques Velasco appartient toujours).“Le JDU : Que sait-on réellement aujourd'-hui du phénomène ovni ?JJV : Ce que je peux dire, c'est que la réali-té physique du phénomène ovni est prati-quement établie. Et cela pour deux raisons ;depuis 1994, nous détenons un cas aéro-nautique de première importance, et puisnous avons des cas d'observations rappro-chées avec effets physiques. Le 28 janvier 1994, l'Airbus A300 du vol AirFrance AFR 3532 en provenance de Nice àdestination de Londres survole la régionparisienne. Il est 13 h 14 quand un memb-re d'équipage signale à ses coéquipiers unétrange objet. L'engin est une sorte de clo-che sombre, qui se détache distinctementsur le ciel. Quelques secondes plus tard,

l'objet prend la forme d'un oeuf. Sa trajec-toire demeure rectiligne, croisant à la per-pendiculaire celle de l'Airbus. Au total, l'ob-servation n'aura duré qu'une minute. Maisles radars militaires ont pu enregistrer lephénomène pendant près de six minutes !corrélées aux témoignages de l'équipage,les données des radars ont permis auSEPRA d'estimer la vitesse, la direction et lataille de l'engin (plusieurs dizaines de mèt-res). Si l'on crut dans un premier temps quele changement de forme était dû à unemodification de la trajectoire et de la per-spective, les enregistrementsradars montrent qu'iln'en est rien. D a n s 2 0 %des cas deso b s e r v a -tions fai-tes par lespilotes pro-f e s s i onne l s ,m i l i t a i r e s o uc i v i l s , ce l l e s - c i

sont confirmées par l'ob-servation des radars. Jep e n s e q u ' i l s ' a g i t d equelque chose ressemblantbigrement aux déclarationsdu Général Twining dans unmémorandum secret de sep-tembre 1947. Lorsque l'on superpose le travailde nos propres recherches auxc o n c l u s i o n s d e

Twin ing, qu i d i r igea i t l 'A i r Matér ie lCommand de l'US Air Force, nous avons dequoi être interloqué. Twining avance quenous avons affaire à des objets réels.”La réponse de Jean-Jacques Velasco estimportante car même s’il répond à titre per-sonnel, il n’en est pas moins un homme degrande expérience qui a eu l’occasion d’étu-dier un grand nombre de cas dans le cadrede son travail. N'oublions pas que le SEPRAétait un service officiel d'étude des ovnisqui dépendait du CNES (Centre Nationald'études Spatial). Le SEPRA disposait d'une

banque de

“Ce que je peux dire, c'est que la réalité physique du phénomène

ovni est pratiquement établie”

Le généralTwining. Enson temps,cet hommefaisait trèscertainementpartie deceux qui“savent”

données (6000 cas) dans laquelle étaientenregistrées de troublantes observationsd'ovnis. Certaines observations, de l'avismême de Monsieur Velasco, ne peuvent pasêtre expliquées autrement que par l'inter-vention d'une intelligence non humainedans notre environnement terrestre. Le mémorandum du Général NathanFarragut Twining (1897-1982), chef de l'AirMateriel Command de l'US Air Force, auquelfait allusion Jean-Jacques Velasco dans son

interview, est un document qui est bienconnu des ufologues. Ce document, quidate du 23 septembre 1947, est une notedest iné au brigadier Général GeorgeSchu lgen, chef de l 'A i r Inte l l igenceRequirements Division au Pentagone. Ledésormais fameux mémorandum duGénéral Twining n'a été rendu public qu'enjanvier 1969 lors de la parution du rapportCondon, dans lequel il figure en annexe R.

Ce document, qui était secret à l'époque,dit clairement en parlant du phénomèneovni que “le phénomène décrit est réel,qu’il n'est ni fictif, ni le produit d'hallucina-tions. Il existe des objets dont la formeapproximative est celle d'un disque, et dontles dimensions sont telles qu'ils paraissentêtre aussi grands que des avions de fabri-cation humaine. La description apparentecommune des objets est la suivante : surfa-ce métallique ou réfléchissante. Absence de

traînée de condensation, excepté dans unnombre réduit de cas où l'objet manœu-vrait dans des conditions de hautes perfor-mances. Forme elliptique ou circulaire, partieinférieure plate, partie supérieure compor-tant un dôme. Plusieurs rapports décriventdes vols de trois à neuf objets en formationbien tenue. Normalement aucun son n'estassocié, sauf dans trois cas où une sorte derugissement fut noté. Les vitesses en palier

dépassent généralement les 300 nœuds(soit 550 km/h )”.Le contenu du mémorandum de Twiningdécrit exactement l'apparence et le compor-tement de ce que l'on appelait à l'époqueles "disques volants", ou "les soucoupesvolantes", le terme "ovni" n'existant pasencore. Le texte a aujourd'hui plus de 50années d'existence et l'on imagine sanspeine que tout au long de ces 50 dernièresannées, l'étude des mystérieux "disquesvolants", et plus généralement du phéno-mène ovni, n'a pas cessé, contrairementaux allégations des autorités militairesaméricaines. Officiellement, en effet, larecherche sur les ovnis financée par desfonds publics n'existe plus aux Etats-Unis.Mais nous nous accordons le droit d'endouter… Enfin, si des groupes fermés(secrets) de politiques, de militaires et descientifiques, disposent d'informations irré-futables au sujet du phénomène ovni noussommes en droit de nous poser cette questionfondamentale qui est lourde de conséquen-ces : quels degrés d'implication ces groupesont-ils avec le phénomène ovni ?

Proposition n° 4 : nous pouvons retenirschématiquement trois degrés d'implication. Le degré zéro d’implication se résume àl’observation et à la simple détection àdistance du phénomène ovni. Il s’agit decollecter des rapports d'observations et detémoignages, d’assembler les enregistre-ments radar, les films, et les photos d'ovnisà des fins d’analyses, en vue de mieuxcomprendre le phénomène. Ce degré zéroconsiste aussi à la récupération de diversmatériaux dont l'origine n'est pas humaine.Dans ce schéma, le phénomène ne repré-sente pas une menace pour la sécurité desétats. Les autorités assistent impuissantesaux évolutions du phénomène ovni dansleur espace aérien. Pas de contact avec lephénomène, mais simple constat que lephénomène est bien réel. Le degré 1 d ’ impl icat ion quant à lu iimplique l’observation du phénomène ovniavec contacts sporadiques et limités, sansinfluence directe sur les affaires humaines.Il s’agit ici de rencontres secrètes que l'onpeut qualifier de "courtoises" entre desreprésentants de la civilisation (ou des civi-lisations) à l’origine du phénomène ovni etdes représentants terriens rigoureusementsélectionnés. Ce degré d’implication englobeles échanges d'informations, voire un trans-fert limité de technologies. Il s’illustreraitpar des démonstrations ponctuelles des

Selon M. Velasco, certaines observations, ne peuvent pas être expliquées autrement que

par l'intervention d'une intelligence non humaine dans notre environnement terrestre

Photographie de l’ovni deTijuca, côte du Brésil le 7mai 1952. Il s’agit d’un descas photographique réputéauthentique montrant lesfameux disques volantsévoqués dans le mémoran-dum du général Twining

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prouesses des ovnis afin de montrer auxterriens la supériorité technologique étran-gère. Dans ce schéma il y a donc contactsavec le phénomène ovni, mais pas d'inter-férence notable avec les affaires humaines.Tout se passe à un niveau très confidentiel.Le degré 2 d’implication en revanche cor-respond à des contacts importants et fré-quents au plus haut niveau. Ce stade d’im-plication comprend une collaboration activeavec la civilisation extraterrestre. Il existedes échanges importants d'informations etdes transferts massifs de technologies.Nous pouvons imaginer que dans le piredes scénarios, la civilisation extraterrestreexercerait un contrôle presque total surnotre planète. Les extraterrestres dicte-raient les grandes lignes de l'organisationéconomique, politique et scientifique desétats. Ils pourraient programmer notreavenir. Dans ce schéma, une infiltration desextraterrestres dans toutes les sphèresdirigeantes de la planète est aussi envisa-geable. Ils pourraient même prendre uneapparence humaine pour passer inaperçus.(ndlr : noter à ce sujet la présence inévi-table lors de cérémonies officielles impor-tantes, et ce toutes nations confondues,d’individus homme ou femme, proche despouvoirs, portant invariablement des lunettesnoires. Ce port de lunette noire de la partde personnes proches des gouvernementsest caractéristique et horripilant pour ceuxqui s’en sont fait la remarque. S’agit-ild’une coquetterie de la part de ces nota-bles car les lunettes sont portées mêmepar temps de pluie, ou bien convient-il deprotéger des yeux trop sensibles à la

lumière du jour comme le sont notoirementceux des Men In Black ou encore ceux desvampires ? Observez à votre tour ce phénomène lorsde cérémonies à la télévision. À noterégalement que certaines stars ne peu-vent jamais être vues sans leurs lunettes

noires. S’agit-il uniquement de préserverun look ?)Dans ce scénario de l'extrême, les poli-tiques seraient soumis aux extraterrestres.À ce niveau d'implication tout est possible.Le phénomène peut alors représenter unegrave menace pour notre planète et l'avenir

Question : quels sont les éléments dont nous disposonsaujourd'hui qui permettent de dire qu'un certain nombre depolitiques, de militaires de haut rang, et des scientifiques decompétence très élevée, savent que le phénomène ovni exis-te et qu'il représente un sujet d'étude d'une extrême impor-tance pour l'humanité ?Nous pensons que ces éléments sont les suivants :a) Les moyens de détection et d'observation performantsdont disposent les militaires et les scientifiques (radars lon-gue portée comme ceux utilisés par le NORAD par exemple,télescopes, satellites, sondes spatiales, avions, systèmesperfectionnés de surveillance de l'espace aérien, etc…) per-mettent d'affirmer que la réalité d'une présence étrangère(non humaine) dans notre environnement est désormaisprouvée.b) Les structures (militaires et scientifiques) impliquées dansl'étude du phénomène ovni disposent de ressources financiè-res importantes. Ces ressources sont prélevées sur les bud-gets des états concernés dans le but de développer des pro-grammes d'études très poussés. Ces programmes de recher-

ches sont menés avec une extrême discrétion.c) Les structures auxquelles nous faisons allusion disposentde ressources humaines d'excellente qualité pour mener cesétudes : scientifiques, chercheurs, ingénieurs, experts, spé-cialistes de toutes disciplines. Ces ressources humaines sontassociées à des moyens matériels quasiment illimités (labo-ratoires disposant de matériel très performant, bases secrè-tes, avions, bateaux, etc…). d) Implication de la Gendarmerie française dans certainesaffaires d'ovnis, et collecte systématique d'informations lors-qu'il y a observations d'ovnis. Ce dernier point est clairementexposé par Jean-Jacques Velasco lorsqu'il décrit le fonction-nement du SEPRA. e) Implication de militaires dans des observations d'ovnis. f) Implication de scientifiques (parfois de réputation interna-tionale) dans des observations d'ovnis. Aux Etats-Unis, parexemple, la NASA possède des documents filmés sur le phé-nomène ovni et des témoignages circonstanciés d'astronau-tes qui ont observé directement le phénomène.

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LES ÉLÉMENTS QUI NOUS PERMETTENT DE PENSER QU’ILS SAVENT

Un autre cas de photogra-phie réputée authentique.La photo prise par unemission de cartographieau Costa Rica en 1971(Voir TOP SECRET N°7)

de notre civilisation. Cependant, nous pou-vons aussi imaginer l'hypothèse inverse,c'est-à-dire que les extraterrestres exerce-raient un contrôle "bénéfique" sur notrecivilisation, avec l'intention de nous guideret de nous "éduquer", pour nous permettred'accéder à un niveau supérieur de civilisa-tion. Pour résumer ce degré 2 d’implication :les contacts sont étroits avec le phénomèneet celui-ci a une interférence maximumdans les affaires humaines, exerçant uneingérence illimitée. Tout se passe à unniveau confidentiel mais les militaires et lesscientifiques sont soumis au phénomènequi dicte sa loi.Ces trois niveaux d'implication des structu-res politiques, militaires, et scientifiques,décrits ci-dessus, sont bien évidemmenttrès schématiques. Il peut exister de nomb-reux degrés intermédiaires entre ces troisgrandes catégories. Toutes les combinai-sons sont en fait possibles. Ce qui est sûren tout cas, c'est que le "degré zéro" estaujourd'hui une réalité bien établie. Le"degré deux" est peu probable (mais saprobabilité n'est pas nulle). Il représente ledegré extrême d'implication.

Le problème de l’informationQuel que soit le degré d’implication, il estessentiel de prendre conscience du type derapports qui s’est établi entre ceux quisavent et la base. L'information concernantle phénomène ovni (et nous parlons d'uneinformation qui est autre que celle fourniepar les témoignages isolés ou sporadiques)est soigneusement filtrée et elle est entre-mêlée à de la désinformation. Pierre Guérin (aujourd'hui disparu) écrivaitfort judicieusement dans son ouvrage inti-tulé OVNI, les mécanismes d'une désinfor-mation : "Les scientifiques ne sont pas lesseuls à contribuer à la désinformation du

public sur le sujet (des ovnis). L'étude dudossier oblige à prendre conscience du faitque le phénomène a une composante poli-tique et militaire d'une importance énorme.Pour des raisons que je m'efforce d'analy-ser en de nombreux endroits de ce livre, ilexiste dans le monde occidental, orchestréedepuis les Etats-Unis, ce qui ressemble àune entreprise officielle de désinformationconsciente visant à déprécier, par différentsprocédés malhonnêtes, l'objectivité et lavaleur probante des observations d'ovnis,fussent-elles les plus précises et les plussûres".Dans son texte, Pierre Guérin stigmatisait

les seuls mécanismes de la désinformation.Nous pensons, cependant, que ces méca-nismes sont beaucoup plus subtils qu'il n'yparaît et qu'ils comportent aussi une partd'information, même si les éléments qui lacomposent sont soigneusement sélection-nés. Dans quel(s) but(s) est orchestréecette information/désinformation ? Nous ne pouvons, là encore, qu'émettredes hypothèses.

Désinformation / manipulation /conspirationOn a souvent avancé dans les milieux ufolo-giques que les structures dirigeantes vou-laient éviter un effet de panique dans lapopulation en dissimulant la vérité sur laréalité d'une présence non humaine dansnotre environnement. C'est possible, maisnous pensons aussi qu'il existe certaine-ment d'autres raisons. Ces raisons, même sinous avons du mal à les cerner, existentréellement.D'ailleurs elles ne sont pas, selon nous,nécessairement négatives.Peut-être subissons-nous une sorte d'appren-

tissage de la part du phénomène ovni. Peut-être les populations de notre planète sont-elles peu à peu préparées à l'idée d'unecohabitation avec une civilisation extrater-restre...Peut-être que nous ne sommes pas encoreprêts à entrer dans le grand cercle de lacivilisation galactique de la Voie lactée, etque nous avons besoin d'une préparationspéciale avant d'y être invité ?

On a souvent avancé que les structures dirigeantesvoulaient éviter un effet de panique dans la populationen dissimulant la vérité sur la réalité d'une présence

non humaine dans notre environnement

Les Américains disposent du Norad. Alors que la guerre froidebattait son plein, l’Amérique et le Canada craignent une attaqueaérienne venant de l’Union Soviétique. Afin de protéger leur espa-ce aérien des missiles nucléaires, ils créent le Norad. Mais depuisla chute de l’Union Soviétique, qu’en est-il désormais du rôle duNorad ? Le Norad utilise un réseau de radars à base terrestre, decapteurs et de chasseurs pour détecter, intercepter et, si besoinest, prendre à partie toute menace du continent. Le NORAD reçoitégalement des données de surveillance du Commandement spa-tial américain sur les menaces potentielles provenant de l'espa-ce. En outre, la couverture radar aéroportée est assurée par l'a-vion AWACS E-3 de l'USAF, qui vient s'ajouter au réseau de radarsd'acquisition de périmètre en période d'alerte. L'AWACS peutdétecter un objectif à une distance d'environ 350 milles, puis gui-der des chasseurs canadiens ou américains, pour que leur équi-page procède à l'identification visuelle de tout avion. Les

Américains disposent aussi de la Nasa, responsable du program-me spatial des États-Unis d'Amérique. La NASA a été créée le 29juillet 1958 pour mettre fin aux rivalités entre les différentes uni-tés d'armée américaines pour la mise en orbite d'un satellite afinde concurrencer les Soviétiques. Son directeur est toujours un civilchoisi, après consultation et accord du Sénat américain, par leprésident des Etats-Unis. La Nasa comprend 18 centres derecherches sur le sol américain dont le fameux Ames ResearchCenter de Mountain View ou encore le Jet Propulsion Laboratory(JPL) de Pasadena. Elle a accompli des “premières” comme l'en-voi de l'homme sur la Lune, le 21 juillet 1969, grâce à une initiati-ve de John F. Kennedy et Wernher von Braun, la réalisation de lastation spatiale Skylab, et la mise au point d'une navette spatialeréutilisable, Columbia. La NASA est donc une agence gouverne-mentale particulièrement bien placée pour recueillir de précieu-ses informations sur le phénomène ovni.

LES MOYENS DE SURVEILLANCE ET DE DÉTECTION

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LES MILITAIRES, SCIENTIFIQUES ET POLITIQUES QUI SAVENTPHÉNOMÈNE OVNI

CELLULE SPECIALEM. P. S.

MEDIASTÉLÉVISION, RADIO, PRESSE, INTERNET, CINÉMA

FILTRES DE L’INFORMATION

ENSEMBLE DES INDIVIDUSFORMANT LA SOCIÉTÉ

MILITAIRESM.

SCIENTIFIQUESS.

POLITIQUESP.

CONTACTS ?

INFORMATION ETDÉSINFORMATION

L'organigramme ci-contretente de montrer com-ment pourraient êtreorganisés les différentsniveaux d'implicationentre le phénomène ovniet notre civilisation.

GORDON COOPER, UN ASTRONAUTE QUI A OBSERVÉ LE PHÉNOMÈNE OVNINé en 1927, Gordon Cooper faisait partiedes astronautes érigés en héros qui ontaccompli le premier vol spatial habité améri-cain, à l'époque où les Etats-Unis étaientengagés dans une course sans merci avecl'URSS. Gordon Cooper, était l'un des septhommes du projet Mercury, et après sondépart de la Nasa il s'était passionné pour lephénomène ovni. Il s'est éteint le lundi 4octobre 2004. En 1957, pendant une mission, GordonCooper observe des disques volants : "Alors

que je volais avec d'autres pilotes de l'USAF au-dessus de l'Allemagne, en1957, nous avons observé de nombreux disques qui rayonnaient au-dessus denous. Nous ne pouvons pas vous dire à quelle altitude ils se trouvaient. Nousétions incapables d'atteindre cette hauteur".Plus tard, il relate l'incident suivant :"Alors qu'il était en train de travailler avec une équipe de tournage sur le testd'un nouvel appareil sur la base d'Edward, un cameraman filma l'atterrissaged'un objet en forme de disque qui volait au-dessus de nos têtes et qui atterritsur un lac asséché tout proche. Le cameraman s'approcha de la soucoupe elles'éleva alors au-dessus de la zone et s'envola très loin à une vitesse supérieureà n'importe quel avion connu."

ConclusionLa réponse à cette question du ou desmobiles qui imposent l'étrange politique dusecret orchestrée par les instances diri-geantes dépend en fait du “degré d'implica-tion” considéré. Si ce degré est égal à zéro,nous ne comprenons pas bien pourquoi cesinstances maintiendraient un secret qui ducoup n'aurait pas vraiment de raison d’être.Le souci de conserver une certaine crédibili-té vis-à-vis de l'opinion publique pourraitmotiver une telle attitude. Cependant, c’estune raison bien triviale au regard de ladébauche de moyen et d’énergie mise enplace pour maintenir le secret. En revanche,si nous nous situons dans un cas de figureproche du degré 2, alors les raisons d'un telsecret s'expliquent beaucoup mieux.

Daniel RobinPour écrire à l’auteur :[email protected]

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ORIENTATION BBIBLIOGRAPHIQUE

Jeune ufologue et spécialiste des technologies de l'armement, Clint Boschel est à larecherche d'un éditeur afin de faire paraître un ouvrage de vulgarisation ufologique sousforme de citations de 180 personnalités d'horizons divers, traitant du phénomène OVNI.Ce travail offrira au néophyte un voyage englobant les diverses facettes de ce mystère etproposera une méthode d'approche à la fois sérieuse, nouvelle et différente dans cedomaine complexe."DOCUMENTS INTERDITS, ce que savent les Etats-Majors" de Jean-Gabriel Greslé,Editions Dervy, 2004. Comme pour les ouvrages précédents, la qualité des informationscontenues dans cette étude est d'un niveau excellent. Selon nous, J.G. Greslé est sûre-ment un des meilleurs "écrivains ufologue" actuels de langue française. C'est unhomme lucide qui est parfaitement conscient des enjeux que représente le phénomèneovni. Nous recommandons donc vivement la lecture de son livre passionnant quidémontre (documents officiels à l'appui) que les Etats-Majors des principales puissan-ces militaires et industrielles occidentales savent depuis au moins une cinquantained'années que notre environnement terrestre est le théâtre de phénomènes dont l'origi-ne n'est pas humaine. Les conclusions de J.G. Greslé rejoignent sur tous les points cellesque nous présentons dans cet article : des groupes fermés composés de militaires et descientifiques de haut niveau étudient le phénomène ovni en secret. J.G. Greslé les appel-lent les " initiés ", ce qui sous-entend que nous ne serions que de pauvres " profanes ".

"OVNI : 60 ans de désinformation" de François Parmentier, Editions du Rocher Jean-PaulBertrand, collection " désinformation ", 2004. Un exposé savant et fouillé des subtilsmécanismes d'une désinformation qui tente de nous faire croire depuis de nombreusesannées que le phénomène ovni " n'est pas un sujet sérieux ".

"OVNIS l'évidence" de Jean-Jacques Velasco et Nicolas Montigiani, Edtitions Carnot, col-lection " Orbis enigma ", 2004. Enfin un livre de J.J. Velasco où l'on sent qu'il peut parlerlibrement des ovnis sans craindre pour sa carrière. Si J.J. Velasco dit que les ovnis sontun sujet digne d'intérêt c'est sans aucun doute vrai, parce que c'est un spécialiste quiconnaît bien le sujet. Dans cette étude fort documentée, le " monsieur ovni " préféré dupetit écran, ne dit pas le contraire de ce qu'il a sans doute toujours pensé : les ovnis exis-tent et représentent une vraie énigme qu'il convient de résoudre au plus vite.

" OVNI, les mécanismes d'une désinformation " de Pierre Guérin, Editions Albin Michel,2000. Le récit du parcours atypique d'un astrophysicien passionné par le phénomèneovni. Son ultime conclusion est que la vérité sur ce sujet est soigneusement et méthodi-quement cachée aux simple " mortels " que nous sommes.

TRANSFERTS DE TECHNOLOGIESLe degré 2 d'implication évoque la possi-bilité d'un transfert de technologies entreune civilisation extraterrestre évoluéeoccupant notre système solaire et deslaboratoires de recherches terrestres àl'avant-garde dans le domaine de l'infor-matique par exemple. Nous ne croyonspas à un transfert " massif " de technolo-gies entre humains et extraterrestres,mais dans le cadre de notre hypothèse,nous pouvons imaginer une sorte d'é-change de " bons procédés " qui pourraitprendre la forme suivante : " je te donnequelques bonnes astuces pour fabriquerdes ordinateurs très puissants, et enéchange tu prends toutes les mesuresnécessaires pour dissimuler notre pré-sence sur terre".

Dès 1985 est commercialisé le CRAY 2,premier ordinateur à dépasser la puissan-ce de 1 Gflop (1 Milliard de calculs en vir-gule flottante par seconde). La machineest équipée de 4 processeurs tournant à250 MHz et peut adresser jusqu'à 4 Go demémoire vive. Chaque processeur a unepuissance de 488 Mflops. Un programmede multiplication de matrices utilisant les4 processeurs dispose d'une puissance de1.7 Gflops. Si la commercialisation date de1985. À quand remonte la conception ?...

Fatima (Portugal), 1917Le 13 mai 1917, trois petits bergers (deuxfillettes et un garçon) déclarèrent avoiraperçu une Dame de Lumière, d'une gran-de beauté, laquelle avait flotté au-dessusde la cime d'un chêne vert. L'apparitionavait parlé : elle avait demandé notam-ment aux pastoureaux de revenir en cemême lieu le 13 du mois suivant.

Le 13 juin, une escorte accompagna lespetits à leur rendez-vous : "Là, les assistants purent voir les troisenfants tomber à genoux, cependant qu'unelégère vapeur blanche se formait autourd'eux ; la lumière du jour, ainsi que la tem-pérature, perdaient aussi de leur intensité ;une brise fraîche souffla. On ne distinguaitaucune ''belle dame'', mais l'aînée desenfants, Lucia, parlait comme si elle s'a-dressait à quelqu'un, puis écoutait d'inaudiblesréponses. Les villageois, eux, ne perce-vaient, selon leurs dires, qu'un léger bour-donnement… Au moment où Lucia signalale départ de la Dame, il se passa quelquechose : les branches du chêne vert s'incli-nèrent comme entraînées dans la directionindiquée par la petite fille."

Le 13 juillet, plusieurs centaines de person-nes s'agglomérèrent à la Cova da Iria, lieudes apparitions, pour assister à un specta-cle en tous points semblable à celui dumois précédent. Lucia déclara que la"Dame" lui avait confié des "secrets". Cettefois, le départ de la céleste visiteuse futponctué d'une détonation brutale, que tousentendirent, cependant qu'un portique defortune, érigé pour l'occasion, fut secouésur ses bases. L'administrateur de l'arrondissement voulutfaire avouer aux enfants qu'ils avaient toutinventé ; peine perdue. Il ne put non plusobtenir les "secrets" de la Dame. Le 13août, il séquestra les petits fauteurs detroubles à l'ordre public pour les soumettreà un nouvel interrogatoire : il menaça les

L'objectif du présent texte n'est pas de faire une étude des multiples apparitionsmariales répertoriées depuis des siècles (et notamment du 19e siècle à nosjours), mais de montrer le rapport existant entre certaines manifestations rele-

vant des ''mariophanies'' (apparitions de la Vierge) et certaines caractéristiques duphénomène ovni. Le 1er auteur à avoir fait des rapprochements pertinents entrel'apparition mariale de Fatima et certaines manifestations d'ovnis est, à ma connais-sance, Paul Misraki (1962.1968). Ultérieurement, d'autres auteurs ont aussi évoquéles ressemblances entre ces deux types de phénomènes.

Un texte de Un texte de Alain MoreauAlain Moreau

Le 13 juillet, Luciad é c l a r a q u e l a" D a m e " l u i a v a i tconfié des "secrets"

OVNISOVNISet apparitions

MARIALESMARIALES

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Première partie

enfants de les plonger dans une marmited'huile bouillante s'ils persistaient dans leurmutisme ! Pendant ce temps, à la Cova, lespèlerins assemblés apprirent que lesenfants ne viendraient pas. On entenditcependant une sorte de coup de tonnerre,semblable à l'éclatement d'un pétard, suivid'un éclair. La nuée blanche s'éleva du sol.Quatre jours après, les trois petits virent levallon s'illuminer de la teinte jaune d'or quiprécédait généralement les apparitions. La"Dame" se montra alors ; Lucia la suppliade faire en sorte que son entourage puissela croire quand elle raconte ce qu'elle a vu ;la Dame promit pour le mois d'octobre unprodige éclatant.

Le globe lumineuxLe 13 septembre, 20.000 à 30.000 person-nes étaient rassemblées autour de la Covada Iria. En plus de la vapeur blanche entou-rant les enfants, certains assistants aperçu-rent un globe lumineux traversant le ciel,en direction du chêne vert. Il cessa d'êtrevisible. Dix minutes après, le globe reparutet s'éloigna vers le ciel. On constate alorsqu'une pluie de corpuscules blancs, compa-rables à de minces flocons de neige, tombedu ciel et se désagrège au moment de tou-cher le sol. L'un des témoins vit clairementet distinctement un globe de lumière glis-sant lentement et majestueusement à tra-vers l'espace… Tous ceux qui aperçurent leglobe, dit un autre texte, en retirèrent l'im-pression qu'il s'agissait d'un aéroplane delumière apportant la "Mère de Dieu" aurendez-vous des pastoureaux, et la rappor-tant ensuite au "Paradis"…

Les corpuscules blancsJe viens de mentionner les corpusculesblancs aperçus par les assistants. Unedame déclara avoir vu un de ces "pétalesde fleurs" tomber sur son épaule gauche ;elle voulut le saisir, mais ne trouva plus rien. De semblables pluies blanches se sontreproduites par la suite, à la Cova da Iria, le13 mai 1918 (jour anniversaire de la 1èreapparition) et le 13 mai 1924. Paul Misraki fait ici un judicieux parallèleavec certains témoignages d'ovnis : En 1952, dans les Pyrénées-Atlantiques, onvit passer, dans le ciel d'Oloron, un cigareet plusieurs disques. Tous ces objets laissè-rent derrière eux "une abondante traînéequi tombait lentement vers le sol en se dés-agrégeant". Pendant quelques heures, il yen eut des paquets accrochés aux arbres,aux fils téléphoniques, sur le toit des mai-

sons. "C'était comme des fils de laine ou denylon, ressemblant à des fils de la Vierge ;ils devenaient rapidement gélatineux, puisfondaient et disparaissaient." Le 13 octobre1954 au-dessus de Graulhet (Tarn), et le 18octobre 1954 à Vienne (Isère), il y eut lamême pluie évoquant de la laine de verre oudes fils de toile d'araignée.

La "danse du Soleil"Le 13 octobre 1917, environ 50.000 ou70.000 personnes (selon les estimations)s'étaient rassemblées aux alentours de laCova da Iria. À 10 h, le ciel était couvert denuages noirs, et la pluie tombait dru. À midiheure locale, les nuages commencèrent àse disperser. Les enfants tombèrent enextase, et la coutumière nuée blanche, par

trois fois, se forma et s'éleva au-dessusd'eux. Au bout de quelques instants, Lucias'écria brusquement : ''Regardez le Soleil !''Un témoin déclara ce qui suit : "Je pus voirle soleil, (…), semblable à un disque àbords nets, à l'arête vive, lumineux etbrillant, mais n'imposant aux yeux nullefatigue. J'entendis des gens le comparer àun disque d'argent mat ; mais cette imagene me parut pas exacte, car il s'agissaitd'une couleur plus claire, active et riche,avec des chatoiements, comme l'orientd'une perle. Ce disque n'avait aucun lien deressemblance avec la lune telle qu'on peutla voir par une nuit transparente et pure : ilse voyait comme un astre vivant. À la diffé-rence de la lune, il n'était pas sphérique ; ilapparaissait comme un disque plat et poli,

qu'on aurait taillé dans la nacre d'unecoquille (…), et se distinguait nettementavec un bord taillé en arête comme uneplanche à dessin." Ce "Soleil" argenté, dis-coïde et plat, ne devait pas se trouver àune très grande altitude car, selon untémoin, les nuages ne masquaient pas lalumière de l'astre. L'"astre" se trouvait doncà ce moment-là entre les nuages et la terre."Soudain, le soleil frémit et bascula, puis semit à tournoyer sur lui-même, en faisantjaillir dans toutes les directions des gerbesde lumière qui changeaient de couleur àintervalles réguliers. Tout le paysage s'entrouva coloré : ''Mais, Madame, vous êtesjaune !'' s'écria, raconte-t-on, un des assis-tants, avant que la dame ne devînt verte,puis bleue, puis cramoisie, en même temps

que son entourage. Après deux ou troisminutes , l e d i sque parut demeurerquelques secondes en suspens, puis ilreprit son mouvement giratoire et multico-lore. Enfin, devenu rouge-sang, il se mit àdescendre, par une série de bonds succes-sifs en zigzag dont chacun le rapprochaitde la terre, où la chaleur ne cessait d'aug-menter. Enfin, après un dernier balance-ment plus lent, le disque remonta rapide-ment vers le ciel, à ce moment-là complè-tement débarrassé de nuages. Et toutredevint normal en un instant ; le Soleil,immobile en plein ciel, brillait de son éclatinsoutenable, empêchant la foule de conti-nuer à le regarder. Les vêtements de ceuxqui, depuis le matin, avaient pataugé sousla pluie, étaient secs."

“Tous ceux qui aperçurent le globe en retirèrent l'impression qu'il s'agissait d'un aéroplane

de lumière apportant la "Mère de Dieu" au rendez-vous, et la rapportant ensuite au "Paradis"”

La foule à Fatima, le jour de “la danse du soleil”

Autres apparitionsCrosia (Italie), 1987Ce cas a été rapporté par Jean Sider dansun livre publié en 1990. Le 23 mai 1987, àCrosia, petit village de Calabre, une statuede la Vierge Marie se mit à pleurer. Deuxjours après, Vincenzo Fullone (15 ans) etAnna Biasi (12 ans) commencèrent à béné-ficier de visions extatiques de la Madone.Les jours suivants, divers phénomènesfurent signalés : guérisons miraculeuses,"danse du Soleil", etc. Le 30 mai 1987, entre 22 h et 22 h 30, plusde 100 personnes veillaient dans la petiteéglise délabrée qui était le centre de ces

événements. Il y avait notamment le coif-feur local Pascal Campana, qui disposaitd'une ''télécaméra''. Soudain, VincenzoFullone, qui venait de sortir d'une transeextatique, se mit à crier : ''La Vierge m'est apparue et m'a informéqu'un prodige va se produire dans quelquesinstants. Sortez tous de l'église, et sur-veillez le ciel !''"Les témoins surexcités se ruent à l'exté-rieur de l'édifice. Pascal Campana est prêt,la télécaméra sur l'épaule réglée pourfonctionner dès que quoi que ce soit seproduit. Tout à coup, un brouhaha allantcrescendo monte parmi les fidèles : ''Lavoilà'' ! Un phénomène lumineux apparaîtdans le ciel que la foule pense être laVierge. Il s'agit en fait d'une petite boule delumière de forte intensité qui grossit au furet à mesure qu'elle se rapproche destémoins. À un moment donné, la boule setransforme en curieux aéromobile lenticu-laire, nanti d'un trou en son centre, et dedeux ''échancrures'' sur ses bords, diamé-tralement opposées (…)"

Pascal Campana a filmé, pendant plus de 6minutes, les évolutions de l'"objet" : viragesà angle aigu, démarrages foudroyants,arrêts subits, chutes brutales, remontéesinstantanées à la verticale, etc. Bref,comme le note J. Sider, "toute la panopliedes performances auxquelles les ovnis nousont habitués".

Brésil, 1993-1994C'est encore Jean Sider qui a évoqué, dansun autre de ses livres, ce cas brésilien. Ilnote que selon l'enquêteur brésilien A. J.Gevaerd, des visionnaires et des médiumsaffirment avoir reçu des messages de laVierge Marie dans des secteurs où sontapparus de nombreux ovnis. Ces événe-ments se sont produits essentiellementdans l'Etat de Cearà, dans une régionconnue sous le nom de Serra de Baturité.La chronologie de ces événements est lasuivante : À partir d'avril 1993, il y eut des apparitionsde la Vierge Marie, avec des messages déli-vrés à un jeune homme de 25 ans, JoséErnani. De décembre 1993 à août 1994, il yeut une vague de "boules de feu ou delumière", qui terrorisa les habitants du

secteur. En mai, juin et août 1994, il y eutau moins 36 rencontres rapprochées, avecatterrissages, poursuites de voitures, enlè-vements et observations de phénomènesaériens.C'est le 23 avril 1993 que José Ernani eutson 1er contact avec la Vierge, alors qu'ilpriait avec d'autres personnes dans unegrotte, à Vila Peri, Fortaleza. D'autres appa-ritions suivirent, chaque lundi et chaquevendredi. "La première fois qu'il affirma avoir vu laVierge, il la décrivit comme la silhouetted'une belle jeune fille d'environ 19 ans (!),avec des traits faciaux finement dessinés,la peau rose, la bouche en cœur (!), ainsiqu'une longue et épaisse chevelure de cou-leur brune. Le lieu des apparitions ne futpas toujours le même. Le 1er septembre1993, à Brejo (Serra de Baturité), vers 14 h10, la plupart des 3000 pèlerins présentspurent voir le "Soleil" changer de couleur etprendre l'apparence de la pleine lune, unvent léger commençant à atténuer la fortechaleur présente sur les lieux.

Dans son livre, "Des signes dans le ciel : lesextraterrestres" Paul Misraki a fait le parallèleentre la description du "miracle" de Fatima etle contenu de certains témoignages d'obser-vations d'ovnis contemporaines extraits desouvrages d 'Aimé Michel et de DonaldKeyhoe.En ce qui concerne Fatima, les rapports offi-ciellement consignés nous parlent en effetd'"un disque à bords nets, à l'arête vive, lumi-neux et brillant, mais n'imposant aux yeuxnulle fatigue". Voici ce qu'on trouve en matiè-re de témoignage d'ovni rapporté par l'équi-page d'un avion d'Air France en 1954:"L'objet était éclairé d'une lumière pâle, nonaveuglante, un peu semblable à celle dunéon". Et voici encore rapporté par un témoinà Fatima : "J'entendis des gens le comparer àun disque d'argent mat ; mais cette image neme parut pas exacte, car il s'agissait d'unecouleur plus claire, active et riche comme l'o-rient d'une perle. Ce disque nacré était animépar le vertige du mouvement. Ce n'était pasle scintillement d'un astre en pleine activité.Il tournait sur lui-même à une vitesse impé-tueuse." Et voici maintenant le témoignagerecueilli par Keyhoe auprès de l'équipaged'un avion de ligne de la T.W.A. aux Etats-Unis, en 1952 : "On eût dit une roue sembla-ble à du métal chauffé au rouge, tournant surelle-même." Poursuivant dans cette mêmelogique, Paul Misraki relève encore dans lesrapports consignés de Fatima : "Soudaintransformé en roue de feu, le soleil faisaitjaillir dans toutes les directions des gerbes delumière bleue, rouge, violette, jaune, verte."et met cette description en parallèle aveccette observation de 1952 en Arizona "Au-dessus de Phoenix, l'engin passe successive-ment du rouge au vert, puis du jaune aubleu."Que dire encore du comportement en vol dusoleil lors de l'apparition de Fatima le 13octobre 1917 ? "Soudain décroché du firma-ment, le soleil sembla ricocher sur l'azur parune série de sauts en cascade…" Ce récit rap-pelle assez bien le témoignage du lieutenantJ. Kilburn, à bord d'un chasseur à réaction, enseptembre 1952 : "Quand l'engin commençaà descendre, il se mit à osciller en feuillemorte ou, si l'on veut, à la manière d'un pen-dule." Voici enfin un dernier exemple signifi-catif : "Les vêtements de ceux qui, depuis lematin, avaient pataugé sous la pluie, étaiententièrement secs." Pour Paul Misraki, cedétail que l'on retrouve dans les rapports deFatima est à mettre en parallèle avec cetémoignage d'ovni datant d'octobre 1954 :"Après le passage d'un engin dégageant unechaleur intense, un négociant en bois deLusigny, près de Troyes, constate qu'en dépitde la pluie, la terre et les arbres sont aussisecs qu'en plein soleil."

“Dans le ciel apparaît un phénomène lumineux que la foule pense être la Vierge. Il s'agit en fait d'une

petite boule de lumière de forte intensité qui grossit aufur et à mesure qu'elle se rapproche des témoins”

OVNIS ET APPARITIONS MARIALES,UNE RESSEMBLANCE CRIANTE ?

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OVNIS ET APPARITIONS MARIALES À gauche, la fenêtre du Milton Hospital(Massachusetts). Des dizaines de milliersde personnes sont venus se recueillirdevant ce que certains affirment être unereprésentation miraculeuse de la Vierge

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OVNIS ET APPARITIONS MARIALES

Certaines personnes virent des phénomènes que d'autres perçurentde façon différente ou encore ne virent pas." On retrouve ici, commeà Fatima, les mêmes anomalies et diversités de perception. Les''fumées'' ou ''nuées'' sont omniprésentes dans les apparitions mariales,tout comme dans certaines rencontres rapprochées de la phénomé-nologie liée aux ovnis. "Le 1er septembre 1994, Marcos Rabelo vit un"nuage" qui se tenait au-dessus du lieu des apparitions, duquelpartaient des faisceaux multicolores de lumière qui s'étendaientpartout dans le ciel, tandis que d'autres étaient dirigés vers le sol jus-qu'à toucher le sommet des arbres". J. Sider rappelle à ce sujet queles ovnis s'entourent quelquefois d'une masse gazeuse opaque. Le 1er octobre 1994, une équipe du groupe C.P.U. menée par MarcosRabelo, vint à Brejo. Le matériel fut installé : détecteurs d'énergie etde champs magnétiques, appareils de prises de vues sur trépieds,caméras, etc. Sur place, il y avait environ 5000 personnes attendantce qu'avait annoncé, pour 14 h, le visionnaire, à savoir la descente duciel de la Vierge. Le "voyant" (José Ernani dos Santos) se mit à prierpuis prit place là où la Vierge était censée apparaître. Quelques nuagesse montrèrent, paraissant poussés par le vent vers le lieu desapparitions. Deux des plus gros nuages se dirigèrent l'un vers l'autre,puis se réunirent en une seule nuée. La foule devint quasimenthystérique… L'étrange nuage se stabilisa à la verticale de l'endroitconnu sous le nom de Sitio Labirinto. De son pourtour, jaillissaient desrayons multicolores sur le sommet des arbres. Le soleil n'était pascaché par le nuage ; un cercle de la taille de la pleine lune commen-ça à se former à ses côtés, puis se sublima lentement. Les implorations,les prières fusaient… Une personne avait pointé son doigt vers le ciel en criant : "Regardez !Les grains du rosaire de la Vierge !" Les enquêteurs Paulo CésarTàvora et Hélio Loyola prirent des photos de ce qui leur parut être 4ovnis camouflés dans un nuage. Leur diamètre fut estimé à 30 mchacun. Trois d'entre eux se trouvaient sur une même ligne, le 4e

étant à l'écart des autres et moins caché par le nuage protecteur. Ce4e objet fut décrit comme un disque métallique solide nettement défini.Sur le côté gauche, ces 4 ovnis émettaient une sorte de fumée. Ilsétaient en position stationnaire. Puis les nuages s'écartèrent, révélantdès lors les quatre "objets"… Des nuages naturels vinrent ensuite recouvrir les ovnis. Les docu-ments photographiques ne représentent pas, semble-il, ce qui a étéobservé à l'œil nu. A la place de trois "soucoupes", on voit sur un clichétrois colonnes "de ce qui ressemble à de la poussière descendant au-dessus du sommet des deux palmiers où la Vierge était supposée setrouver".Peu après 14 h 05, un nouveau nuage se forma. Les enquêteurs duC.P.U. virent un disque argenté de la taille de la Lune qui se trouvait àcôté du Soleil, alors que des éclairs de lumière dardaient autour desbords du nuage qui venait de se former. Quelques minutes après, le"show" se termina, le ciel étant redevenu normal avec quelquesnuages ordinaires.Une messe fut célébrée. Après celle-ci, José Ernani dos Santos déclaraque la Vierge avait promis de revenir au même endroit le 5 novembre1994 pour "confirmer les pouvoirs de Dieu sur les incroyants de cemonde", selon les termes de celui-ci.Au moment où le ''voyant'' déclara qu'il conversait avec la Vierge (unebrise rafraîchissante circulant parmi les pèlerins), "et bien que lesdétecteurs de champ magnétique n'aient rien décelé, le détecteur dechamp électrostatique enregistra 10 pulsations par seconde,confirmant ainsi la présence d'une charge puissante d'électricitéstatique sur les lieux ".

LA VIERGE ET LA FOULE

26.06.2002 - Des dizaines de milliers de personnes sontprésentes pour le 21e anniversaire de l’apparition de laVierge à Medjugorje (Croatie)

Mai 1968, durant des semaines des milliers depersonnes se réuniront chaque nuit pour assis-ter aux apparitions miraculeuses de la vierge au-dessus d’une petite église.

Découvrez quelques-unes des plus belles photographies duweb relatives aux évènements de Fatima, prises le jour de“la danse du soleil”, sur le site : http://www.santuario-fatima.pt/portal/

ou dans notre cédérom PC

Ci-dessous, la foule à Fatima, le jour de “la danse du soleil”

Sao PauloOn a signalé également des apparitionsprésumées de la Vierge dans l'Etat de SaoPaulo, dans la petite ville de Jacarei, le''voyant'' était Marcos Tadeu. L'un des mes-sages disait que la Vierge reviendrait l'a-près-midi du 7 septembre 1994. "Le jour dit, environ 300 personnes s'é-taient rassemblées autour du domicile duvisionnaire. À une heure non précisée, ungrand nombre de gens affirmèrent avoirremarqué que le soleil tournait dans le cielen effectuant de petites girations, du mêmegenre que les phénomènes solaires vus àF a t i m a . " S e l o n u n j o u r n a l l o c a l ,"Semarario", la plupart des gens présentspurent observer le phénomène. Peu après,la Vierge Marie serait apparue à certainespersonnes présentes, et Marcos Tadeuaurait eu un dialogue avec elle. Certainespersonnes purent poser des questions à

l'entité par l'intermédiaire du visionnaire. Lemessage délivré par la Vierge est identiqueà celui délivré dans la plupart des appari-tions mariales avec "messages". Marcos

Tadeu dit avoir bénéficié demessages de la Vierge pen-dant environ quatre ans ; ilne fut pas la seule personnede Jacarei à avoir reçu desmessages, puisqu'il y a aumoins trois autres individusqui ont d i t avo i r eu descontacts d i rects avec laVierge.

Italie et ÉgypteMichel Coquet cite les cassuivants : À Olivetto Citradans le sud de l'Italie, enmai 1985, des jeunes gensvirent un nuage lumineuxqu'ils prirent pour une étoilefilante. Ce nuage sillonnait leciel en direction d'une ruineoù se trouvaient les jeunesgens. Ils aperçurent unesorte de nuée dans laquelleapparut une dame qu' i lsidentifièrent à la Vierge. À Rome, en 1980, la Viergea v a i t a v e r t i B r u n oCornacchiola qu'il y aurait un

prodige. Près de 3000 personnes étaientprésentes. Le ''Soleil'' apparut sous la formed'une immense roue multicolore. Il effectuaune danse, tourna rapidement sur lui-même, "diffusant tout autour dans le ciel salumière irisée".Dans une église copte orthodoxe du Caire,une forme de dame blanche apparut le 2avril 1968, sur le dôme central. "Tout lemonde en est certain, il ne peut s'agir quede la Vierge. Or, juste avant l'apparition decette forme, qui a été filmée et photogra-phiée, des milliers de témoins voyaientapparaître de mystérieuses lumières quiéclairaient le sol ou bien un globe lumineuxresplendissant. D'autres fois, il y avait desdécharges électriques silencieuses. Assezfréquemment, une lumière éclairait toute latoiture, et au moment de son apparition lafemme en blanc semblait sortir du nuagelumineux. Ce phénomène s'étendit sur une

période de 14 mois et, selon les statis-tiques, cinquante mille personnes par nuitaccouraient pour contempler la divineforme."

ConclusionSe référant à Fatima, Coquet a noté qu'il"semble effectivement que cet événementreligieux ait été monté de toutes piècesautour de la cause réelle du phénomène, laprésence d'un ovni. Et il y a de fortes chan-ces, ajoute-t-il, pour qu'il en ait été ainsi detous les autres prodiges de nature solaire”.Il cite le cas de Thurn (Allemagne), en1949, où le "Soleil" tourna sur lui-même etoù, peu après la tombée de la nuit, uneétoile traversa le ciel. Elle mit six minutespour aller d'est en ouest, selon le constatdu docteur H. Walz, professeur de l'univer-sité de Bamberg. Le phénomène fut obser-vé par les sept "voyants", par le curé deThurn, ainsi que par 15.000 personnes. “Cequi semble être un "Soleil" peut, conclutCoquet, avoir été causé par une assembléede sages à l'intérieur d'un vaisseau spatialdont la mission aurait été de redonner aupetit peuple cette foi qui de nos jours faitcruellement défaut ".Il existe une confirmation inattendue dulien existant entre certaines manifestationsreligieuses et les ovnis. C'est dans l'artqu'on peut la trouver. En effet, il est parti-

Le nuage sillonnait le ciel en direction d'une ruine où se trouvaient les jeunes gens. Ils aperçurent alors

une sorte de nuée dans laquelle apparut une damequ'ils identifièrent à la Vierge

Dans son livre " Autres Dimensions " (RobertLaffont, 1989), l'informaticien et ufologuefranco-américain Jacques Vallée a lui aussimis en correspondance les caractéristiquesd'apparitions de type religieux, dont Fatima,et certains témoignages d'ovnis. "Les événe-ments de Fatima, écrit-il, mettent en scènedes boules lumineuses, des lueurs aux cou-leurs étranges, une sensation de ''vagueschaudes'', toutes les caractéristiques desovnis. On y trouve même la fameuse descen-te en feuille morte de la soucoupe qui traver-se l'air en zigzaguant. à cela viennent s'ajou-ter des prophéties et la perte de la conscien-ce ordinaire chez certains témoins, ce quej'ai appelé la composante psychique des obs-ervations d'ovnis, et que Jenny Randles dési-gne comme le ''Facteur Oz''."La conclusion de J. Vallée est celle-ci : "Le''miracle'' final était venu au point culminantd'une série très précise d'apparitions combi-nées avec des contacts et des messages quile placent clairement, à mon avis, dans la per-spective des ovnis. Non seulement un globeou un disque volant furent observés à plu-sieurs reprises, mais leur mouvement, leurtrajectoire en feuille morte, leurs effets lumi-neux, les coups de tonnerre, les ronflements,l'étrange odeur, la chute des ''cheveux d'ange''qui se dissolvent en atteignant le sol, la vaguede chaleur à l'approche du disque : toutes cescaractéristiques sont des paramètres fré-quents des ovnis dans tous les pays. Il en vade même pour la paralysie, l'amnésie, lesconversions et les guérisons miraculeuses."

OVNIS ET APPARITIONS MARIALES,L’AVIS DE JACQUES VALLÉE

En 1980 MadameWilson photographiaun arc en ciel depuischez elle dans leQueensland enAustralie. C’est lors dudéveloppement que luisont apparues laVierge et l’Enfant.Cette photo très trou-blante ne fut pas priseà travers une vitre.Notez également lesdeux “lumières” dansle ciel. Ovnis, reflets oudéfauts de pellicule ?...

culièrement intéressant de constater qu'il existe des peintures, remon-tant à plusieurs siècles, qui montrent incontestablement -ce qui estsurprenant- des scènes bibliques où sont présentsdes objets volants s'apparentant à des ovnis ! Ainsiun ovni apparaît sur un tableau du 15e siècle du pein-tre italien Carlo Crivelli (1430-1495). Un rayon delumière émanant de l'ovni vient toucher la Vierge enprière. Sur un autre tableau du 15e siècle, attribué àFilippo Lippi ou à son école, on voit un ovni au-des-sus de l'épaule de la Vierge. Sur un tableau de Masolino Da Panicale (1383-1440), Jésus se trouve dans une sorte de "vaisseau-mère" à l'horizontale d'où sortent une quinzained'ovnis. Et sur un autre tableau datant de 1600, "LaGlorification de l'Eucharistie", Bonaventura Salimbenia représenté Jésus sur un petit nuage avec ce quis'apparente à un satellite artificiel (avec un bouton etdeux antennes) ! Deux images du 18e siècle (1710)représentent un ovni : sur l'une, un personnageregarde l'engin avec une longue-vue ; sur la secon-de, qui représente le ''baptême du Christ'' d'Art deGelder (1645-1727), un ovni (qui envoie des rayons de lumière) faitoffice de colombe. (Voir TOP SECRET N°7 et n°8)Ces artistes ont-ils été "inspirés" dans leurs œuvres, le but recherchéétant la mise en évidence ultérieure du lien existant entre certainesmanifestations religieuses et les "futurs" ovnis ? C'est une question quel'on peut raisonnablement se poser !

Alain MoreauÉcrire à l’auteur :

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L’APPARITION DE LA VIERGE AU CAIRELes photos ci-dessous ont été prises entre le 13 avril et le 10juin 1968 par Mr. Wagih Rizk, en présence de milliers detémoins. Elles sont réputées authentiques. Notez la présencedes curieuses lumières en forme de Colombe qui volent par-fois en formation autour de la Vierge. Cette forme n’est passans rappeler celle de la boule lumineuse en couverture deTOP SECRET n°16.

DOCUMENTATION

Paul Misraki, "Des SSignes ddans lle CCiel" ((sous-ttitré :: ""LesExtraterrestres"), éd. Labergerie, 1968.

Jacques Vallée, "Autres DDimensions", éd. Robert Laffont, 1989,pp. 219-230, 241-244.

Jean Sider, "Ces OOvnis QQui FFont PPeur", éd. Axis Mundi, 1990, pp.434-435. Photo p. 436."Ovnis :: lle SSecret ddes AAliens", éd. Ramuel, 1998."Ovnis :: lles EEnvahisseurs DDémasqués", éd. Ramuel, 1999.

Michel Coquet, "Nouvelles DDimensions", JMG éditions, 2004 ; "O. VV. NN. II. àà lla LLumière dde lla TTradition", L'Or du Temps, 1992.

Le Père Brune, "La vvierge dde ll'Egypte", édition le jardin des livres,2004

D é c o u v r e z d a n snotre cédérom PCu n e p e t i te v i d é orelative aux appari-tions de la Vierge auCaire.

Le “nuage” lumineux visibleau début des apparitions dela Vierge au Caire

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À PPROPOS DDE LL 'AUTEURÀ PPROPOS DDE LL 'AUTEURNicolas Montigiani est phoNicolas Montigiani est phottographe prographe profofessionnel eessionnel et journalistt journalisteeindépendant. Il a traindépendant. Il a travvaillé au sein des plus grands laborataillé au sein des plus grands laboratoires deoires detraittraitement eement e t de dévt de développement de l' image (Keloppement de l' image (Kodakodak , F, Fujicolorujicolor,,Racine SpectRacine Spector). En 2002, après une enquêtor). En 2002, après une enquête appre approfofondie sur leondie sur lephénomène des Crphénomène des Cr op Cirop Cir cles (Anglecles (Angle tt erre, Wiltshire) , Nicolaserre, Wiltshire) , NicolasMontigiani fait la connaissance d'un scientifMontigiani fait la connaissance d'un scientif ique français traique français tra --vvaillant pour le comptaillant pour le compte du ministère de la Défe du ministère de la Défense française quiense française quile mele met sur la vt sur la voie de l'armée eoie de l'armée et des armes à micrt des armes à micro-ondes (o-ondes (CropCropCircles, manoeuvres dans le cielCircles, manoeuvres dans le ciel , Carno, Carnot - 2003). t - 2003). En 2004, il rencontre l'ingénieur Jean-Jacques VEn 2004, il rencontre l'ingénieur Jean-Jacques Velasco, du Centreelasco, du CentreNational d'Etudes Spatiales, aNational d'Etudes Spatiales, avvec lequel il écrit ec lequel il écrit Ovnis, l'évidenceOvnis, l'évidence

(Carno(Carnot - 2004), qui est une synthèset - 2004), qui est une synthèsede trentde trente années de rece années de recherhercches scienhes scien--tiftif iques ofiques of ff icielles sur le phénomèneicielles sur le phénomènedes Objedes Objets Vts Volants Non Identifolants Non Identif iés. Eniés. En2005, après a2005, après avvoir étudié des centaioir étudié des centai --nes d'images originales des sondesnes d'images originales des sondesm a rm a r t i e n n e s ( V i k i n g , M a rt i e n n e s ( V i k i n g , M a r s G l o b a ls G l o b a lSurSur vv ee yy or eor e t Mart Mar s Odysses Odysse y) , i l écr i ty ) , i l écr i tVVesestiges sur Martiges sur Marss (Carno(Carnot - 2005), unt - 2005), unlivre dans lequel il conduit une étudelivre dans lequel il conduit une étuderigoureuse erigoureuse et inéditt inédite sur la questione sur la questiont rès actue l le de la v ie mart rès actue l le de la v ie mar t ienne .t ienne .Nous espérNous espér ons qu ’ i l deons qu ’ i l de v iendra unv iendra unrédactrédacteur régulier eeur régulier et incontt incontournableournablede Tde TOPOP SECRETSECRET..

PLANÈTE PLANÈTE D’UND’UN

TToute l'"affaire" remonte à 1979 lorsque Voute l'"affaire" remonte à 1979 lorsque Vincent DiPietro, ingénieur auincent DiPietro, ingénieur auGoddard SGoddard Sppaceflight Centeraceflight Center, redécouvre dans les archives de la Nasa, redécouvre dans les archives de la Nasaune image prise trois ans plus tôt pune image prise trois ans plus tôt par la sonde martienne Var la sonde martienne Viking 1. Elleiking 1. Elle

montre, dans la région de Cydonia Mensae (41° Nord), une colline d'environmontre, dans la région de Cydonia Mensae (41° Nord), une colline d'environ1,5 kilomètre de long en forme de visage humain. Non loin de là, à moins de1,5 kilomètre de long en forme de visage humain. Non loin de là, à moins de10 kilomètres à l'ouest, on repère aussi un ensemble de roches à la forme10 kilomètres à l'ouest, on repère aussi un ensemble de roches à la formepyramidale. Caprices de la nature ? " Vpyramidale. Caprices de la nature ? " Vestiges " d'une antique civilisationestiges " d'une antique civilisationdispdisparue ? Pour la Nasa, qui reste froide, c'est l'évidence : ce soi-disantarue ? Pour la Nasa, qui reste froide, c'est l'évidence : ce soi-disant""visage" n'est qu'un mamelon rocheux pvisage" n'est qu'un mamelon rocheux parmi des milliers d'autres, une petitearmi des milliers d'autres, une petitemontmontagne sur laquelle un "jeu d'ombre et de lumière" forge des traitagne sur laquelle un "jeu d'ombre et de lumière" forge des traits évos évo--cateurs.cateurs. Pareil pour les soi-disant "pyramides". Pareil pour les soi-disant "pyramides". Aujourd'hui -et depuis la difAujourd'hui -et depuis la dif--fusion en fanfare, le 6 avril 1998, d'une nouvelle image haute résolutionfusion en fanfare, le 6 avril 1998, d'une nouvelle image haute résolution"démystificatrice" -les scientifiques nous invitent à mettre le "visage de"démystificatrice" -les scientifiques nous invitent à mettre le "visage deMars" au rayon des has been cosmiques. TMars" au rayon des has been cosmiques. Tout comme la "grande civilisationout comme la "grande civilisationmartienne" censée l'avoir "sculpté". martienne" censée l'avoir "sculpté". Alors, l'affaire est-elle classée ? Alors, l'affaire est-elle classée ? Pas si sûr… Enquête sur les clichés VPas si sûr… Enquête sur les clichés Viking de 1976.iking de 1976.

MARSMARSLES VESTIGESLES VESTIGES

NE CIVILISATIONE CIVILISATIONINCONNUE ?INCONNUE ?

Un dossier de Nicolas Montigiani Un dossier de Nicolas Montigiani

Les clichés de la sonde VikingSi la présence, sur Mars, d'une vie microbi-enne (passée ou présente) s'annonce deplus en plus comme une chose envisagea-ble et réaliste, il en va autrement d'unehypothèse plus fantastique encore : cellede l'existence de structures imaginées,réfléchies et conçues par une intelligenceextraterrestre. Le site de Cydonia, avec lafameuse structure que les chercheurs ontappelé “le Visage” est la figure de proue decette hypothèse fantastique.

Mars Global SurveyorSurnageant comme le monstre duLoch Ness au gré d'articles depresse et de documentaires depuisl'année où Vincent DiPietro a misla main dessus (1979), le "visagede Mars" est désormais aussic o nnu que l a Tou r E i f f e l o ul 'Empire State Bui ld ing. Pourcertains, c'est une œuvre d'artcosmique, une sculpture géanteen ruines traduisant aussi bien laforce et la permanence que la subtilespiritualité de ses concepteursdisparus. Pour d'autres, "il" n'estqu'une vulgaire colline érodée sur laquelleun amusant "jeu d'ombre et de lumière"simule orbite, nez et bouche. Toujours est-il que l'énigmatique structurereçoit un "coup fatal" le 6 avril 1998 lorsquela caméra Mars Orbiter ("Moc") de la sondeMars Global Surveyor ("Mgs") prend enfinde nouvelles photos de la zone. Plus devingt ans se sont écoulés depuis les clichésde Viking. Rappelons au passage que lacamera optique ("Moc") en charge d'effec-tuer des prises de vue de la planète Mars -et instal lée sur la sonde Mars GlobalSurveyor-, est dirigée depuis la Terre par ledocteur Michael Malin, directeur du Malin

Space Science Systems (Msss) et porte-parole "officieux" de la Nasa sur le sujetdes structures artificielles martiennes.Sujet vis-à-vis duquel il se montre franche-ment hostile. Quoi qu’il en soit, la sondeMars Global Surveyor révèle au monde uneautre "vérité”. Une image haute résolution (4,3 mètres parpixel), des scientifiques unanimes, desmédias "zélés". Les conditions sont alorsréunies : ensembles, elles vont mettre uncoup d'arrêt à l'épopée du "visage" version"cousin martien du grand Sphinx de Gizeh".Ainsi, victimes d'un amalgame, les structu-res rocheuses adjacentes -celles qui res-

semblent à des "pyramides"- vontsubir le même sort, sans mêmequ’on ait pris la peine de les repho-tographier ! Les clichés des autresstructures étranges obtenus un peuplus tard par Mars Global Surveyor(comme les fameuses "pyramides"à l'ouest du "visage" ou encore le"Tholus", une colline parfaitementronde plus au sud), passeront totale-ment inaperçues aux yeux du public,convaincu, suite à la "démystifica-tion" du "Visage", du non-sérieux detoute l'affaire… Aujourd'hui et après cette rapide"mise à mort", persister à vouloirencore voir autre chose sur Marsque des structures naturelles estune cause jugée "ascientifique". Jedoute pourtant que les personnesrapportant avoir observé des for-mations incongrues sur des clichésmartiens soient toutes victimesd'hallucinations… J'ai donc conti-nué l'enquête, en priorité dans lazone de Cydonia. Pour cela, je mesuis procuré des supports d'étudede haute qualité : les négatifsViking originaux.

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Ci-dessus : cliché 35A72. Premier passage dela sonde Viking 1 au-dessus de la zone deCydonia Mensae, 41° N. de la sonde Viking 1.Ci-dessous : cliché 70A13. Second passagede la Sonde Viking 1.À la surprise générale, en dépit du change-ment d’inclinaison et de luminosité, la collineressemble toujours à un visage...

GROS PLAN SUR LE “VISAGE”

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Image Moc 22003 "brute", 6 avril 1998.Lorsqu'elle est mise ligne sur le site duMalin Space Science Systems, cetteimage est accompagnée de la formule"Ce n'est pas un visage…" Pour les"sceptiques", la victoire est totale.(Nasa/Jpl/Msss)

L’AMALGAME

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Ce que d'aucuns considèrent comme une"campagne de démolition savammentorchestrée" aura particulièrement bienréussi à faire passer au sein du public l'idéeque l'élément appelé "visage" était le seul àsusciter une interrogation. La vérité estqu'il n'en est rien : comme nous l’avons dit,il existe alentours d'autres éléments bienplus étranges encore. À une dizaine de kilomètres à l'ouest du"visage", on découvre un ensemble d'ex-croissances rocheuses massives dont laplupart ressemblent à des pyramides. "Il vanous parler des fameuses "pyramides",diront les plus perspicaces, "pyramides"dont on sait bien, comme c'est le cas pourfeu le "visage ", qu'elles sont en réalité deséléments parfaitement naturels, des mon-tagnes érodées". Quelles que soient lesconvictions de chacun, je ne m'aventureraipas plus avant sur un chemin "glissant".

Force est de reconnaître qu'il est pour l'ins-tant impossible de conclure, dans un senscomme dans l'autre, sur la vraie nature deces "montagnes".Il existe par contre, à l'est de ces éléments,une structure discrète et dont la formeintrigante paraît ne rien devoir aux capricesde la "nature" martienne. Cet élément estcomposé par des lignes sombres et droitesqui s'organisent pour former un gigan-tesque " enclos " de forme rectangulaire(taille d'environ un sur deux kilomètres).Grand habitué de l'expertise photogra-phique, je dois avouer que cette structureprésente la même morphologie que certai-nes ruines terrestres vues en altitude(comme par exemple les " Temples Bas "égyptiens, reliés aux pyramides par de lon-gues allées couvertes). Une image plusrécente de cet endroit a été capturée en2002 par Mars Odyssey. Une véritableaubaine pour notre recherche puisque lesimages de cette sonde profitent d'une réso-

lution de 19 mètres par pixel (contre 45mètres par pixel pour l'image Viking). Il y adonc des chances pour que nous connais-sions le vrai " visage " de la structure enquestion. Alors, que voit-on sur ce précieuxcliché ? Plus rien… L'endroit est dorénavant"vierge" de tout relief. Cet état de fait n’est-il pas contraire à la logique ? En effet, uneimage d'une résolution supérieure nedevrait-elle pas affiner les détails présentssur une autre, plus vieille et de moinsbonne qualité ? Où sont donc passées leslignes sombres, comme des "murs", bienvisibles sur l'image de Viking 1 ? Où est l'en-clos rectangulaire ?(Ndlr : Il semblerait qu’un phénomèned’érosion extraordinaire se soit produit enl’espace d’une vingtaine d’années sur Mars.Nous constatons d’ailleurs le même processusavec le “visage”, à moins que cette érosionne soit que le résultat d’un savant réglagedes images en noir et blanc de la caméraMars Orbiter.)

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VESTIGES ?

À gauche : cliché 35A72 (zone de Cydonia Mensae,41° N), 25 juillet 1976, sonde Viking 1 : en encart, le"visage de Mars" (le "rond" présent au centre del'image est un artefact de la prise de vue). La réso-lution de l'image est d'environ 47 mètres par pixel.Au centre, à gauche, les "pyramides".

Détail cliché n° 20020413a, sonde Mars Odyssey (13 avril 2002) : contrairement à toute logique, l'insolite structure de forme rectangulaire visible sur l'image Viking 1 n° 35A72 n'est plus visible ici.Comment une image d'une résolution de 19 mètres par pixel peut-elle faire disparaître des éléments visibles sur une autre, plus vieille et de résolution moindre (47 mètres par pixel) ? C'estle paradoxe de la conquête martienne. À croire que plus les instruments embarqués sontprécis, plus la lecture des images devient difficile, le résultat opaque.

Une autre zone de Cydonia a fait l’objet,elle aussi, d'une inexplicable "disparition"d'éléments. Cela se situe au sud-est, à unequarantaine de kilomètres des “Pyramides”.Ici s'élève une colline ronde, d'environ 1,5kilomètre de diamètre, et que nous appelle-rons le "tholus". Première remarque : la forme circulaire du"tholus" contraste avec la morphologieangulaire des autres éléments de la zone.Deuxième remarque : l’étude du cliché35A72, il existe une sorte de "rampe",parfaitement rectiligne, qui part du bas dela structure pour monter jusqu'à son milieu,à la tangente d'un petit cratère.

Comment exp l i -quer cette "rampe"de façon rat ion-nelle ? Un rocheraurait-il dévalé lapente du "tholus"et laissé une tellee m p r e i n t e ?Indépendammentde sa nature, jeremarque que cecurieux détail a luiaussi mystérieuse-ment disparu surun cliché récent del a s o n d e M a r sGlobal Surveyor.

TUMULI OU PYRAMYDENDLR : Certains chercheurs ontcomparé cette anomalie circu-laire au tumuli de Silbury Hill enAngleterre. Cependant, la struc-ture visible sur le cliché de lasonde Viking, avec sa ramped’accès, fait également penserà la “pyramide” de Cuicuilco àMexico. Un des plus étonnants vestiges terrestres.

AUTRE DISPARITION

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Cliché Mars Global Surveyor n° M03-00766 (entre1999 et 2000, date exacte non communiquée).Mais où est passée la "rampe" (ou quoi que cesoit d'autre) bien visible sur le cliché Viking 1 ?

Détail cliché Viking 1 n° 35A72 : le "Tholus". Observez la"rampe" étonnamment rectiligne qui monte jusqu'à la moitié dela structure…(pour se repérer, voir le même cliché ci-dessousavec la flèche)

Silbury Hill

Cuicuilco

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Chercher à prouver qu'il existe un vaste "complot spatial" destiné àdissimuler des données (entre autres par des "retouches" d'images)pour cacher l'existence de structures artificielles sur Mars, est uneentreprise hautement risquée. Que celui qui s'y risque sache bienque, dans le meilleur des cas, il se mettrala communauté scientifique à dos -s'il n'estpas purement et simplement discrédité. Il existe, pourtant, un document officielaméricain -auquel personne ne fait jamaisréférence- qui envisage la rétention d'infor-mations spatiales "sensibles". Il s'agit du Rapport Brooking, commandépar la Nasa en 1960 au Brooking Institute,un organisme consultatif indépendant(basé à Washington DC). Disponible auxarchives fédérales américaines (Little Rock,Arkansas ), ce rapport fait le point sur lasituation spatiale américaine au début desannées 60. La section qui nous intéresse ici est sobre-ment intitulée Les implications de la décou-verte de la vie extraterrestre. Voici troispassages que l'on croirait volontiers tirésd'un épisode des X-Files, s'ils ne prove-naient pas d'un document officiel : "De l'avis d'un certain nombre de cosmolo-gues et d'astronomes, il est très probablequ'une vie intelligente puisse exister dansquantité d'autres systèmes solaires. […] dans le cadre de nos futures activitésspatiales sur la Lune, Mars ou Vénus, il sepeut que nous découvrions des objets lais-sés par ces formes de vie à un momentprécis…[ …] comment et dans quelles conditionsde telles informations doivent-elles êtrerévélées au public ? Quel pourrait être lerôle des chercheurs scientifiques et d'aut-res décisionnaires concernant la diffusionde cette découverte ?"

ConclusionNous avons vu plus haut que la "dispari-tion" d'éléments sur des clichés récents(sondes Mars Odyssey et Mars GlobalSurveyor) posait la question de l'existencede retouches appliquées à certains clichés.S'il est aujourd'hui impossible de prouverleur réalité, nous savons par le rapportBrooking, qu'ils ne sont pas impossibles. Aucun doute, dans ce cas, que le "visage"de l'exploration spatiale ne serait plusjamais le même…

Nicolas MontigianiÉcrire à l’auteur :

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DISPARITION AU PÔLE"Cydonia n'est pas la seule région "magique" de Mars où des élé-ments au sol disparaissent sans aucune raison. Dirigeons-nous àprésent vers le pôle Sud martien pour nous intéresser à une fantas-tique image obtenue en 1971 par la sonde américaine Mariner 9, quiest une vue panoramique de la calotte polaire australe. Au nord-ouest de la calotte se dessine une énorme structure enforme de "u" inversé, qui dénote avec la morphologie du sol alen-tours. Quelle peut-être sa nature ? Des falaises ? Des crevasses ? Lerésultat d'une différence d'albédo ? En tant que photographe, j'esti-

me la chose peu probable.Les parois rocheuses qui leconstituent -et qui s'étirentsur des dizaines de kilomè-tres- sont étonnammentrectilignes. La ressemblancede cet élément avec une"muraille" artificielle est fla-grante (certaines photogra-p h i e s a é r i e n n e s d e l aGrande Muraille de Chinesont similaires). Deux autresclichés de cet endroit, obte-nus par deux sondes diffé-rentes, vont nous permettrede l'analyser et de le compa-rer. Le premier est un clichéViking (1976). L' insol itestructure y est toujours visi-ble (ce qui prouve qu'il y abien quelque chose de "matériel" à cet endroit).Le deuxième cliché provientde la sonde Mars GlobalSurveyor (7 juin 2003). Et ilne montre plus rien !C'est à n'y plus rien com-prendre. L'évolution destechniques d'imagerie vou-drait pourtant qu'une camé-ra ultra performante (etrécente) comme celle deMars Global Surveyor nousgratifie de clichés de meilleu-re qualité que ceux réalisés ily a bientôt trente ans ! Ici,c'est exactement le contrai-r e q u i s e p r o d u i t : l e scurieux détails repérés surl'image Viking sont quasi-ment absents. Le contrasteest morne et fade. La struc-ture du sol est avare dedétails. Bref, on ne distingueplus rien d'intéressant… Ques'est-il passé ? Une tempêtede poussière peut-elle avoirtout recouvert ? S'agit-il deretouches volontaires ? Une question se pose : àquoi peuvent bien servir detel les images au niveauscientifique ?

LA NASA : "PAS DE COMPLOT OFFICIEL"

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Cliché de la sonde Mariner 9 :le pôle Sud Martien. Au nord-ouest de l'étendue glacée, onremarque une étrange structurecomposée de parois bien droi-tes sur des dizaines de kilomèt-res…

Cliché Viking du pôle Sud martien(1976) : l'imposante structurecomposée par des " murs " recti-lignes est toujours présente.

Image Mars Orbiter Cameran°E01-00179 (7 juin 2003) de lasonde Mars Global Surveyor :l'insolite structure en formed'"enclos", présente sur les cli-chés Mariner 9 et Viking, est icitellement atténuée qu'elle n'estpratiquement plus visible !

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Gros plan surla zone pointée

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IntroductionOn raconte que la première capture d'unovni aux États-Unis eut lieu en 1942 enCalifornie. Il s'agissait d'un vaisseau de 30mètres de diamètre qui était tombé intactdans la baie de San Diego. Toutefois, c'estle crash d'un ovni, dans la nuit du 4 au 5juillet 1947, près de la base du StrategicAir Command de Roswell qui fit connaîtreau monde l'existence d'épaves de vais-seaux extraterrestres. De nombreux crashs similaires eurent lieuaux États-Unis et ailleurs de 1942 à nosjours.Ainsi, le gouvernement américain dispose

aujourd'hui d'au moins neuf types d'ovnisdifférents en état de marche, dont cer-tains à de multiples exemplaires. Une fois leurs principes de fonctionne-ment compris, certains de ces ovnisfurent partiellement ou totalement repro-duits dans le cadre d'un ambitieux pro-gramme portant le nom de code "RedLight" (feu rouge). Cet article va vousdétailler les secrets d'un de ces vaisseauxcapturé puis reproduit, il s'agit du TR3A"Sportster" ("modèle sport"). Si certaines sources du Pentagone affir-ment que le TR3A désigne un missilehypersonique à propulsion EMHD, d'aut-res affirment qu'il désigne le véhiculeexposé dans cet article. Par commodité, et avec les réserves d'u-sage, nous baptiserons donc notre véhi-cule TR3A. Le premier à avoir décrit cevéhicule (en 1988) fut le technicien BobLazar. Douze autres témoins (scienti-fiques, ingénieurs et hauts gradés) ayanttravai l lé sur le Sportster ont depuisconfirmé et complété les informations deLazar.

Un peu d'histoire et de prospectiveAfin d'exercer un contrôle absolu sur ledossier ovni le président Truman crée, parun décret en date du 12 septembre 1947, leM A J I ( M a j o r i t y A g e n c y f o r J o i n tIntelligence) ou agence principale de ren-seignement unifié (à ne pas confondre avecle Majestic 12 qui n'a jamais existé). Sonpremier directoire, présidé par le secrétaired'état à la marine James Forrestal, compre-nait treize membres qui se surnommaienteux-mêmes "les treize affreux" ("the unho-ly thirteen"). Le MAJI, toujours actif de nosjours, dispose d'un budget autonome etsecret et n'a de comptes à rendre qu'à lui-même et au président. Il a autorité sur tousles corps d'état y compris le Pentagone et latotalité des services secrets. Ses membressont recrutés dans toutes les administrationsciviles et militaires ainsi que dans l'industrie,la finance et le monde scientifique. D’après certains chercheurs, il sembleraitque le premier contact officiel entre le MAJIet l'une des civilisations extraterrestres visi-tant notre planète se déroula le 20 février1 9 5 4 , e n p r é s e n c e d u p r é s i d e n t

L’HISL’HIS TTOIREOIRE desdes“black“black programprogram””

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Des études très sérieuses, telles que l'enquête de Gildas Bourdais sur le crashde Roswell, ont établi de façon convaincante que l'armée américaine a capturéplusieurs ovnis (dont certains en état de marche) depuis 1942. Il faut être tota-

lement naïf ou ignorant du fonctionnement du complexe militaro-industriel pourcroire une seule seconde que le Pentagone n'a pas mis en oeuvre des moyensgigantesques afin de reproduire et réussir à faire voler ces ovnis capturés.

Un dossier de Jean-Marc RoederUn dossier de Jean-Marc Roeder

AVERTISSEMENTNous voici presque arrivés au terme de notre série dedossiers sur les "black programs" américains. Il ne faitaucun doute que sur ces sujets il y a surtout des indi-ces (souvent ténus) ou des témoignages (qui ne sontjamais indiscutables) et fort peu de preuves. L'auteurayant pour habitude de penser ce qu'il dit et de dire cequ'il pense a choisi, dans cette série d'articles, de met-tre "les pieds dans le plat" et d'appeler un chat unchat. L'auteur n'a jamais fait mystère de ses sourcesdocumentaires qui sont accessibles à tous sur Internetet dans différents médias écrits. Les hypothèses et lesconclusions proposées dans ces articles ne sont doncpas le fruit d'une imagination fantaisiste ou d'unerecherche de sensationnalisme journalistique. Ellessont au contraire la conséquence d'une analyse minu-tieuse et fastidieuse d'une masse importante d'indi-ces convergents, dont certains avaient été négligéspar la plupart des enquêteurs. L'auteur ne doute pasque des scientifiques et des ingénieurs, bien plus com-pétents que lui, prendront le relais en étudiant cessujets. Il se peut que leurs découvertes fassent voleren éclat tout ou partie des thèses et des conclusionsde l'auteur. Il se peut aussi que certaines de leursconclusions rejoignent les siennes. Dans les deux casce travail n'aura pas été inutile. Gardons l'esprit ouvertaux thèses comme aux antithèses, sans jamais nousfiger sur une opinion, ce n'est qu'à ce prix que nousprogresserons vers des certitudes sur ces sujets.

De nombreux crashsd’ovnis eurent lieupartout dans le mondede 1942 à nos jours

Eisenhower, sur la base d'Edwards (cet évé-nement a inspiré la fin du film de Spielberg"Rencontres du troisième type"). Ces visi-teurs, physiquement identiques à nous,auraient révélé les vraies raisons de la pré-sence de plusieurs civilisations extraterrestressur terre. Ces révélations confirmaient ceque le gouvernement américain savait déjà,à tort ou à raison, à savoir que notre systè-me solaire subirait dans deux siècles desperturbations dévastatrices qui devraientdétruire presque toute vie sur Terre. Cesperturbations seraient provoquées par uneétoile mourante (peut-être une nainebrune), accompagnée d'un cortège dedébris planétaires gigantesques, qui s'ap-procherait de notre système solaire etdevrait être visible par les observatoirescivils d'ici la fin de notre siècle. Ce systèmesolaire chaotique commencerait à provo-quer d'énormes perturbations électroma-gnétiques et climatiques sur la terre en2137. Il perturberait “gravitationnellement”notre système solaire à partir de 2197 tout

en soumettant notre planète à un bombar-dement continu de météorites et de pous-sières stellaires, entraînant de nombreusescatastrophes, avant que l'étoile ne reparteen 2218. Cette étoile (qui revient périodi-quement) est annoncée dans de nombreuxtextes anciens parmi lesquels l'apocalypsede Jean, les centuries de Nostradamus, destextes hindouistes et bouddhistes ainsi quedans les prophéties des Indiens Hopi etNavajo. Les élites dirigeantes du monde,qui semblent connaître tout cela depuisbien plus longtemps qu'on ne pourrait lepenser, auraient choisi de cacher cette tra-

gédie à l'humanité. Si ces informations seconfirmaient, cela expliquerait la mise enplace d'un nouvel ordre mondial ainsi que lemépris total de ces élites pour la misèrehumaine et le saccage de notre écosystème.Ces élites auraient délibérément choisi, dèsles années 50, de ne sauver qu'une petitepartie de l'humanité, à savoir eux-mêmeset le personnel nécessaire pour continuer àles servir. Un tel scénario “conspirationniste”, expli-querait la politique de secret absolu sur lesovnis, car révéler ce que ces élites saventsur ces visiteurs et leurs technologies lesobligerait à dévoiler cette tragédie annon-cée. Une autre raison avancée par les théo-riciens, voudrait qu’ils se réservent l'énergielibre et la maîtrise de l'antigravité pour leurusage personnel et pour le jour où l'huma-nité sombrerait dans le chaos. Depuis 1956le MAJI aurait commencé la mise en placedu programme de sauvegarde des élitessous le nom de code "A l te rna t i ve" .Alternative 1 développerait les systèmes de

détection avancée des menaces cosmiquesqui seraient placés sur Terre ainsi que dansl'espace lointain durant notre siècle. Ildévelopperait aussi la mise en place pro-gressive (en deux siècles) d'un réseau destations de combat terrestres destinées, lejour venu, à détruire les milliers de météori-tes pénétrant notre atmosphère. Ces armeslaser et plasma sont développées dans lecadre de l'initiative de défense stratégiqueet officiellement destinées à la défenseantimissile qui n'est peut-être qu'un leurre.Alternative 1 développerait aussi des bom-bes à antimatière, capables de dévier ou

détruire des corps célestes de taille plané-taire, dont certaines auraient été testéessecrètement dans l'atmosphère de Jupiter(en 1994) dans le cadre de l'expérienceD S P 3 2 ( l a s u p p o s é e " c o m è t e "Schoemacher-Levy). Alternative 2 construirait un réseau debases souterraines destinées à abriter lesélites. Ces bases extrêmement luxueusesseraient reliées entre elles par un réseau detunnels baptisés "Terratrans" dans lesquelscirculeraient à 3200 Km/h des navettes àpropulsion électromagnétique. Il existeraitdéjà dans le monde 75 de ces bases dont65 aux États-Unis. Elles sont conçuescomme des petites villes, dont “certainsquartiers” seraient d’un luxe à faire pâlir lesplus grands palaces. Ces infrastructuressont capables de résister à des impactsdirects d'une puissance de 100 mégatonneset de survivre plus d'un siècle. La base decommandement suprême semble en coursde construction sous l'aéroport internatio-nal de Denver au Colorado et devrait êtreinaugurée en 2094. Enfin, la construction (sous la maîtrised'oeuvre de la société texane de forageParson) d'une base de fabrication et de lan-cement de véhicules spatiaux, qui devraits'étaler sur 150 ans, aurait commencé enl'an 2000 sous le fond de l'océan dans legolfe du Mexique. Alternative 3 serait encharge de la conception de tous les vais-seaux aériens et spatiaux réservés à l'élite,ainsi que de l'implantation de bases sur laLune et sur Mars (programme "Old NewMoon"). À en croire certaines rumeurs parve-nues à nos oreilles, certains individus richissi-mes seraient déjà en quête d’interlocuteursafin de négocier leur place et celle de leurfamille à l’intérieur d’un de ces vaisseaux.En effet, les premiers départs seraient rela-tivement proches et déjà programmés. Lesplaces sont évidemment très limitées.Alternative 3 serait en charge dans ce casdes programmes Astra (Top Secret nº 17),Red Light et Aquarius (dans le prochainnuméro).

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Ces armes laser et plasma sont développées dans le cadre de l'initiative de défense stratégique et officiellement destinées à la défense antimissile

qui n'est peut-être qu'un leurre

TR3A "extraterrestre" original (en 1966)

Le TR3A "Sportster"

Le premier TR3A Sportster fut capturéintact le 20 mai 1953 à K ingman enArizona. Quoique l'on ignore toujoursaujourd'hui s’il y avait encore des occu-pants à bord après le crash, on sait queceux-ci appartenaient à la désormais célèb-re espèce des "petits gris". Il s'agit de cespetits êtres d'environ 1 m 10, souvent vêtusd'une combinaison collante de couleurgrise, ce qui leur a valu leur surnom. Lemodèle de soucoupe capturé en Arizona futtrès souvent observé au-dessus des États-Unis durant les années 50 et 60. Il n'estdonc pas exclu que d'autres véhicules dumême modèle aient pu être capturésdurant cette période, il ne s'agit bien sûr icique d'une hypothèse. Ce qui est par contrebeaucoup moins hypothétique, c'est qu'ilsemble bien que le Sportster ait été repro-duit, à l'identique ou sous une forme simpli-fiée, depuis la fin des années 80. Le premier vol d'un Sportster capturé etpiloté par des êtres humains remonterait audébut de 1971. Il avait fallu pour cela modi-fier profondément l'appareil capturé dont leposte de pilotage d'ori-gine, placé au sommetde la soucoupe, étaitbeaucoup t rop pet i tpour accueillir un pilotehumain. Les ingénieursréussirent à installer deux sièges dansl'espace plus vaste situé sous le poste depilotage d'origine de l'engin. Ainsi que le

montre la figure, le Sportster dispose à cetendroit d'un espace d'une hauteur de 1 m80. Des capteurs et des caméras, permet-tant aux pilotes d'avoir une vue extérieure,furent placées dans l'ancien petit poste depilotage supérieur. La plus grande difficultéque rencontrèrent les ingénieurs militaires

fut le système de pilotage qui fonctionnaitsemble-t-il par impulsions cérébrales direc-tes. Malgré tous leurs efforts, il fut impossi-

ble aux ingénieurs de synchroniser un cer-veau humain au système de pilotage. C'estpourquoi fut conçue une interface électro-nique composée d'un ordinateur couplé àun dispositif de commande manuelle. Cetteinterface, conçue à l'origine pour un autreprototype antigravitationnel dont nous

parlerons dans le prochainarticle, comprend une sphèremunie de capteurs optiquesdont le pilote contrôle lesmouvements avec la paumede sa main. Ce dispositif est

très semblable aux "track ball" utilisés parles infographistes. En examinant la coupeschématique, on observe que le Sportster

La plus grande difficulté que rencontrèrent les ingénieurs militaires fut le système

de pilotage qui fonctionnait semble-t-il par impulsions cérébrales directes

LE TR3A "SPORTSTER"

Vestiges de l’antique Sodome oueffet naturel de l’érosion ?LE TR3A "SPORTSTER"

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La théorie de l'électromagnétisme, rédigée il y a 140 ans par les phy-siciens anglais Maxwell et Heaviside, était entachée de plusieurserreurs. Elle reposait entre autres sur le concept d'un temps absoluet d'un éther statique emplissant le vide, postulats qui se sont depuisrévélés faux. En 1903, le mathématicien et physicien britannique E.T. Whittaker publia une théorie unifiée des champs corrigeant leserreurs de la théorie de Maxwell Heaviside. Cette théorie fut complé-tée en 1966 par le physicien russe Ziolkovski. La plus grande révolu-tion qu'introduit cette théorie est la découverte des ondes longitudi-nales scalaires et du potentiel scalaire du vide. Selon cette théorie, àtoute différence de potentiel apparaissant dans le vide, représentéepar un vecteur (une flèche), correspond une différence de potentielde flèche temporelle inverse. Cette dernière est aussi représentéepar un vecteur, de même direction et superposé au premier, mais desens inverse. Comme le montre la première figure, à toute onde deflèche temporelle positive (direction passé futur) se propageant dansle vide correspond une onde identique mais de flèche temporellenégative (direction futur passé). Ces deux ondes parfaitement super-posées (en conjugaison de phase) forment un potentiel scalaire,c'est-à-dire un potentiel d'énergie représenté par un nombre (1, 2, 3,n). Les potentiels scalaires d'un champ forment des ondes longitudi-nales scalaires, appelées aussi par Ziolkovski ondes gravitationnel-les (à ne pas confondre avec les ondes gravitationnelles en relativité

générale). Comme le montre la deuxième figure, toute particule ouatome "baigne" dans les ondes scalaires emplissant le vide. Touteonde longitudinale scalaire entrant en contact avec un atome sedécompose instantanément en deux composantes. L'onde de flèchetemporelle positive est absorbée par les électrons alors que l'ondede flèche temporelle négative est absorbée par le noyau de l'atome.La "pression" d'onde que subit le noyau induit une réaction de forceégale à l'action (troisième loi de Newton). Cette "pression" uniformesur tous les côtés du noyau est ce qu'on appelle la masse. Si le noyau

POTENTIELS SCALAIRES

Le potentiel scalaire

se compose de trois compartiments super-posés entourés d'une double coque métal-lique étanche. Cette double coque, d'uneépaisseur totale de 15 cm, se compose dedeux coques superposées ayant chacuneune épaisseur de 35 mm. Lesdeux coques sont espacéesde 80 mm et forment unesorte de guide d'onde dontnous expliquerons la fonc-tion dans le paragraphesuivant. Trois autres gui-des d'ondesprennentp l a c edans lec o m -p a r t i -ment infé-r i e u r d uSpo r t s t e r.De forme cylindrique, ils ont une hauteurde 1 m 20 pour un diamètre d'environ 40cm. Le compart iment intermédia i recontient respectivement le poste de pilo-tage, le générateur d'énergie ainsi que tousles systèmes électroniques du vaisseau.Les témoins ayant approché le Sportsteront été impressionnés par le fait que l'en-semble des pièces du vaisseau semblentcomme moulées d'une seule pièce sansaucun assemblage ou élément de liaisonvisible. Le ou les métaux composant leSportster restent une énigme, tout cequ'on peut en dire est qu'ils sont de couleurargent sombre.

Les Secrets de propulsion du TR3A L'élément central du Sportster est songénérateur d'énergie. Il se compose d'uneenceinte blindée de forme hémisphériqueet d'un diamètre de 280 mm. Cette encein-te est surmontée d'un tube vertical de 100mm de diamètre contenant un guide d'on-de cylindrique de 80 mm de diamètre.L'enceinte hémisphérique du générateurcontient un générateur de protons dont lafonction est de bombarder une cible avec

ses protons. La cible de quelques milli-mètres, de forme triangulaire et

d'un poids de 223 gram-mes, se compose d'un

matériau ultra lourd,l 'élément 115. Le

rôle de cet élément 115 est deproduire l'antimatière nécessaire au fonc-tionnement du vaisseau. Cet élément 115est un quasi-cristal prenant l'apparenced'un métal de couleur orange v i f. I lconvient de préciser que pour la physiqueatomique classique un matériau ultra lourdcomme l'élément 115 nepeut pas exister sous uneforme stable. Toutefois,des découvertes récentesdans l e doma ine desstructures quasi cristalli-nes ainsi que de la fusionfroide ouvrent quelquespistes intéressantes. On aconstaté en effet que lastructure géométrique (lepavage) apériodique de

certains quasi-cristaux per-mettaient un refroidissementanharmonique des structuresatomiques. Certains atomesayant une température supé-r ieure au reste du cr istal(effet Coddens), les atomesles plus froids peuvent attein-dre leur seuil de condensationquant ique (condensat deBose Einstein) en formant unephase quantique unique àleur niveau d'énergie fondamentale.Simplement dit, ces atomes froids formentune "onde" unique, ce qui permettrait peut-être à des atomes plus légers de piéger desatomes ultras lourds. Le deux i ème é l émen t e s sen t i e l duSportster est un ensemble de trois guidesd'ondes orientables, situé dans le comparti-ment inférieur du vaisseau. Chaque guided'onde comprend un empilement de sixlentilles de focalisation électromagnétiquespermettant de faire converger un front

Guide d'ondes géné-rant et focalisant lesondes longitudinalesscalaires

est accéléré dans une direction, il subit une "pression" d'onde négati-ve supérieure suivant cette direction, c'est l'inertie. Si on émet sur lenoyau des ondes négatives de même phase temporelle que lesondes négatives agissant sur le noyau, mais de phase spatiale inverse,les deux ondes s'annulent. Le noyau ne subit alors plus aucune "pres-sion" du potentiel scalaire du vide. Sa masse et son inertie sontannulées, il y a antigravité. À ce stade, tout apport d'énergie tempo-rellement positive aux électrons augmentera l'effet antigravitationnel.

Si cette énergie est polarisée suivant une direction il y aura propul-sion mais sans inertie. C'est là le principe fondamental de tout dispo-sitif antigravitationnel. Ces effets ont été amplement démontrésexpérimentalement par les expériences des ingénieurs S. Floyd et T.Bearden ainsi que par les expériences de nombreux physiciens telsque F. De Aquino (voir références). Pour ceux que cela intéresse, lesite de J. L. Naudin expose les plans complets de ces appareils ainsique les mesures rigoureuses des résultats obtenus. L'une des preuvesde l'existence de l'énergie négative dont nous avons parlé, est l'ap-parition dans certains de ces appareils d'un effet Joule inverse. Avecde l'énergie temporellement positive (la seule que connaît la phy-sique institutionnelle), l'effet Joule se manifeste par un échauffe-ment des conducteurs électriques, proportionnel à l'énergie qui lestraverse. Avec de l'énergie temporellement négative l'effet Joule se manifesteau contraire par un refroidissement de ces conducteurs proportionnel àl'énergie qui les traverse. Ce fait expérimental est déjà à lui seul unevalidation de la théorie et contredit formellement les prédictions desthéories standard utilisées actuellement. Il n'y a pas lieu d'être troublé par ce fait, même si d'aucuns brandissentrageusement leurs modèles théoriques pour réfuter les ondes scalaireset l'antigravité, car en physique le seul juge est l'expérience et dansce cas elle a déjà tranché.

TT OPOP SECRET - SECRET - 4343Différence entre gravité et antigravité

ET ANTIGRAVITÉ

Vue en coupe du générateur du TR3A

Géométrie et principe de fonctionnement des guides d'ondes scalaires

d'onde à une distance quelconque du guided'onde. Ces ondes électromagnétiques,générées par le guide d'onde, ne sont pas desondes électromagnétiques classiques maisdes ondes scalaires. Il y a deux raisonsimpératives à cela, premièrement seule desondes scalaires peuvent passer à travers lacoque métallique intérieure du vaisseau(cage de Faraday). Deuxièmement cesondes scalaires sont indispensables à lacréation d'un champ de torsion dans l'espacetemps lorsque le Sportster accélère à unevitesse supérieure à celle de la lumière.Chaque guide d'onde est orientable danstoutes les directions indépendamment ouen association avec les autres. Comme lemontre le schéma, le générateur duSportster crée tout d'abord entre les deux

coques une "pellicule" uniforme d'ondesstationnaires qui annulent la masse et l'inertiedu vaisseau. Les trois guides d'onde créentensuite un ou plusieurs axes de pousséeassurant la propulsion et l'orientation duvaisseau. L'analyse photo de la coqueinférieure du TR3A montre clairement cesfaisceaux en action, de même que le grosp lan en couleur du Sports ter pr is àGrangemouth (écosse) en 1991. Ce modede propulsion "répulsif" n'est utilisé qu'àproximité d'une planète et présente l'incon-vénient d'être instable aux basses vitessesainsi que très sensible à la météo locale.

C'est d'ailleurs pour atténuer cette instabilitéque le Sportster tourne sur lui-même àenviron trois tours par seconde lorsqu'ilvole à très basse vitesse. Pour voler à vitesse“supraluminique”, le Sportster fait convergerses trois guides d'ondes vers un point dis-tant afin d'effectuer un bond instantanévers ce point en créant un champ de torsion.L'énergie fournie pour créer le champ detorsion étant proportionnelle à l'éloigne-

ment du point de destination, le Sportsterprocède par petits bonds successifs de lon-gueur limitée. De plus, tout obstacle situéentre le vaisseau et son point de destina-tion lors d'un bond à vitesse “supralumi-nique” provoquerait sa désintégrationinstantanée, ce qui impose une détectionprécise des obstacles dans l'espace parcou-ru lors d'un bond. On peut donc supposerque le voyage entre deux étoiles prendratout de même quelques semaines, même sichaque bond est effectué à vitesse quasiinfinie. Observez sur la photo noir et blancdu Sportster "tête en bas" le cône lumineux

formé par la focalisation de ses guidesd'ondes scalaires. La photo couleur (prisedans les Mammoth Mountains en 2000)montre la déformation de l'espace-temps(en forme de "coeur" ou "d'as de pique"),due au champ de torsion autour de l'ovniau moment où il s'apprête à effectuer un"bond" à vitesse “supraluminique”. Notezque le vaisseau est déjà transparent etpresque invisible. Enfin, comme l'a montrél'attaque de chars irakiens par un Sportsterlors de la guerre du Golfe de 1991, ce dernierdispose d'un armement. Il s'agit tout sim-plement de ses trois générateurs d'ondesscalaires qui disposent d'un mode demodulation particulier leur permettant defaire "émerger" un plasma destructeur surune cible. Voilà tout ce qu'il était possible de dire sur cevaisseau extraterrestre à partir du petit nom-bre d'indices et de témoignages disponibles.

LE TR3A "SPORTSTER"

Ce mode de propulsion "répulsif" présente l'inconvénient d'être instable aux basses vitesses

ainsi que très sensible à la météo locale

TR3A "tête en bas" en propulsionpar champ de torsion

TT OPOP SECRET - SECRET - 4444

Principe du générateurd'énergie et antigravité

Le générateur d'énergie du Sportster convertit directement l'énergiequantique du vide en énergie électromagnétique. Sur la première figure,un générateur de protons bombarde une petite cible composée d'unmatériau ultra lourd, l'élément 115. Sous l'action de ce bombardement,l'élément 115 émet des quantités massives d'anti-électrons, les posi-trons. Les positrons sont canalisés par un guide d'ondes vers l'espacevide entre les deux coques du vaisseau. Un générateur d'électrons, placéau sommet de la coque supérieure, produit un nuage d'électrons. Lesélectrons et leurs antiparticules, les positrons, s'annihilent réciproque-ment en se transformant en énergie. Ainsi que le prédisent les équationsde Dirac, électrons et positrons sont intégralement convertis en ondesélectromagnétiques. Une fois produite, une partie de l'énergie électro-magnétique est récupérée par induction pour alimenter les guides d'on-des scalaires du Sportster. Le reste de l'énergie se propage tout autourdu vaisseau sous forme d'un front d'ondes "piégé" entre les deux coques.Le front d'ondes interfère avec lui-même, créant ainsi une"nappe" uni-forme d'ondes stationnaires. Un déphasage adéquat de ces ondes, dansune plage de fréquence variant de 3 GHz à 30 GHz, produit des ondes deflèche temporelle inverse (énergie négative) annulant la masse et l'iner-tie du vaisseau (voir encadré 1). Une fois en antigravité, le Sportsterdispose de deux modes de propulsion. Dans le premier mode, les troisguides d'ondes scalaires focalisent leurs ondes sur une zone quelconque

de l'espace compris entre les deux coques inférieures. Une rotation dephase d'une des deux composantes vectorielles de l'onde longitudinalescalaire permet "l'émergence" en ce point d'une onde électromagné-tique, donc d'énergie réelle. Si cette onde est de flèche temporelle posi-tive, une poussée antigravitationnelle supplémentaire est créée auxpoints de focalisation. Les trois faisceaux scalaires orientables créenttrois axes indépendants de poussée permettant aux Sportster de virer,

GÉNÉRATION D'ÉNERGIE ET

Vue du dessous duTR3A “Sportster”en vol

ConclusionCet article vous a fait pénétrer au coeurultime du secret, toutefois le Sportster n'estpas le seul ovni à avoir été capturé (volon-tairement ?) et éventuellement reproduit.Tout semble indiquer que de nombreuxautres vaisseaux ont connu le même destin.Le dernier article sur les programmes noirsaméricains vous dévoilera les secrets duplus ancien des véhicules antigravitation-nels ayant volé aux États-Unis. Il s'agit del'ARV dont le premier vol remonte à 1954.Cet appareil, qui ne doit rien aux technolo-gies extraterrestres, découle directementdes travaux de Nicolas Tesla.

Jean-Marc RoederEcrire à l’auteur :

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LE TR3A "SPORTSTER"

Ovni préparant son "bond supraluminique”

s'incliner et accélérer dans n'importe quelle direction. Le véhicule ayantannulé sa masse et son inertie, ces manoeuvres sont instantanées. Ledeuxième mode de propulsion du Sportster lui permet de dépasser lavitesse de la lumière voire, si l'on en croit les témoins ayant approchél'appareil, d'atteindre une vitesse quasi infinie (si l'on peut encore par-ler de vitesse dans ce cas). Pour cela, le Sportster utiliserait ses fais-ceaux d'ondes scalaires pour créer un champ de torsion dans l'espace-temps devant lui. Pour prendre une image simple, imaginons quel'espace-temps est une feuille de caoutchouc posée sur une table etfixée sur celle-ci par des punaises aux quatre coins de la feuille. Une

pierre, symbolisant le vaisseau, est posée sur la feuille de caoutchouc àune extrémité de la table. On saisit une zone quelconque de la feuille decaoutchouc qui symbolise le point de destination. On tire ce point versle caillou avant de retirer les punaises qui retiennent le bord de lafeuille élastique où est posée la pierre. La feuille va se rétracter vers lepoint que nous avons tiré vers le caillou, entraînant celui-ci vers cepoint. En relâchant ce point, le caillou sera instantanément entraînéavec le point vers l'emplacement de la table où se trouvait ce pointavant qu'on le saisisse. Bien sûr, il ne s'agit ici que de donner une intui-tion grossière du principe. Il existe plusieurs descriptions théoriquesrigoureuses de ce principe, telles que la théorie de Fran De Aquino,celle de Eugene Jeong (Top Secret nº 17) et quelques autres (voir réfé-rences). Selon les témoignages dont nous disposons, le Sportster effec-tuerait la "traction" du point de destination en faisant converger ses gui-des d'ondes scalaires sur celui-ci. Une modulation et un déphasageadéquats des fronts d'ondes scalaires créant un champ de torsion del'espace-temps entre le vaisseau et ce point focal. La coupure des fais-ceaux scalaires focalisés "tire" instantanément le vaisseau vers le pointde destination. Comme le montre la deuxième figure, pour effectuercette opération le Sportster inverse sa position de vol (tête en bas) carsa propulsion est alors "attractive" et non plus "répulsive" comme dansle premier mode de vol.

TT OPOP SECRET - SECRET - 4545

PROPULSION DU TR3A "SPORTSTER"

RÉFÉRENCES(Note: certaines références de cette liste proposent des hypothèses différentes voire opposées à celles del'auteur. Elles sont toutes le fruit d'un travail de qualité et ont autant, voire plus, de valeur que celles devotre serviteur. Il est important de les connaître car, comme le disait André Malraux, penser c'est comparer.)

Introductionhttp://www.quanthomme.com/http://www.reco.zapto.org/http://www.ufocom.org/http://www.ovni.ch/Objets volants non identifiés, Bernard THOUANEL, éditions Michel Laffont.OVNIS: la levée progressive du secret, Gildas BOURDAIS, éditions JMG.L'affaire Roswell, Gildas BOURDAIS, éditions Presses du Châtelet. Des extraterrestres capturés à Varghina au Brésil: le nouveau Roswell, Dr. Roger K. LEIR, éditions LeMercure Dauphinois.

Histoire eet pprospectiveLa vie vient d'une intelligence supérieure: l'hypothèse extraterrestre, Jean SIDER, éditions JMG.Nostradamus: premier décodage daté, NOCAM, éditions Kapsos. (http://www.histoire-evenement.com/)Les grands bouleversements terrestres, Dr. Immanuel VELIKOVSKI, éditions Le jardin des livres.Mondes en collision, Dr. Immanuel VELIKOVSKI, éditions Le jardin des livres.Révélations, Dr. Steven M. GREER, éditions Nouvelle Terre.Les armes de l'ombre, Jean-Marc FILTERMAN, éditions Carnot. (http://membres.lycos.fr/filterman/)Ovnis et armes secrètes américaines, Jean-Pierre PETIT, éditions Albin Michel. (http://www.jp-petit.com/)

Encadré 11 :: Potentiels scalaires et antigravitéhttp://www.gravitysociety.org/E. T. Whittaker, "On an Expression of the Electromagnetic Field Due to Electrons by Means of Two ScalarPotential Functions", Math. Ann., Vol. I. VII., pp. 333-335, 1903.(http://www.cheniere.org/misc/Whittak/ORIw1903.pdf/)Floyd A. "Sparky" Sweet, "Nothing is Something: the Theory and Operation of a Phase Conjugated Vacuum Triode". (http://www.jnaudin.free.fr/)Fran De Aquino (Dr), "Correlation Between Gravitational and Inertial Mass: Theory and Experimental Test"(http://www.elo.com.br/~~deaquino/)Fran De Aquino (Dr), "Quantum Theory of Gravity" (Final Version October 8, 2004), CERN Document Server(Submission # 3155446_27287), CERN-OPEN-2004-028 arXiv, http://www.arXiv.org/abs/phy-sics/0212033/C.P. Kouropoulos; the Origin of Gravity, Physics / 0107015. (http://www.ovnis.atfreeweb.com/)

Encadré 22 // Génération d'énergie et propulsion du TR3A "Sportster"http://www.americanantigravity.com/ http://www.jnaudin.free.fr/http://www.cheniere.org/misc/index.htmlhttp://www.ovni.ch/The hunt for zero point: inside the classified world of antigravity technology, Nick COOK, Century, London,2001, Broadway.Hal Puthoff (Dr), S. R. Little and M. Ibison, "Engineering the Zero Point Field and Polarizable Vacuum forInterstellar Flight", JBIS vol. 55, p. 137-144, 2002.C. J. Isham, "Structural Problems Facing Quantum Gravity Theory", in Proceedings of the 14th InternationalConference on General Relativity and Gravitation, 167-209, (World Scientific, Singapore, 1997). P. Marquet, "Modèle d'Univers à Courbure Non Riemannienne". (http://www.premiumwanadoo.com/uni-ersons/ovni_gbfr/)Le défi de l'antigravitation, Marcel PAGES, éditions Chiron.Gravitation. les Universons, énergie du futur, Claude POHER, éditions du Rocher.http://www.oceano.org/io/diogene/equations/champs.html

IntroductionLes progrès dans différents domaines tech-nologiques ont permis de faire des décou-vertes qui remettent en cause l'anciennetéofficielle des civilisations. Par exemple audébut de 2003, grâce à un matériel robotiséde pointe, une compagnie d'explorationsous-marine canadienne a localisé une villesubmergée à une profondeur de 630 m aularge des côtes de Cuba, et à environ 80Km à l'est de la péninsule du Yucatán.D'après ma source il s'y trouve diversesconstructions faites d'énormes blocs depierre de 2 m à 5 m de long, et une pre-mière estimation lui confère un minimumde 6000 ans d'ancienneté. (Will Hart, TheGenesis Race). Autrement dit, ces ruinesseraient plus vieilles que celles laissées parles civilisations olmèque et égyptienneselon la science.J'ai récemment entendu à France-Info,

l'interview d'un scientifique qui évoquait unnouveau site archéologique localisé dansl'ancienne Mésopotamie, mis au jour il y apeu de temps. D'après les premières cons-tatations, il serait antérieur au plus anciensite connu jusqu'ici. Du reste, il faut s'at-tendre à ce que d'autres découvertes dumême genre soient enregistrées dans

l'avenir, car les recherches les plus poin-tues font appel à ces moyens modernesperformants comme par exemple la locali-sation par satellite, la photographie aérienne,des robots sous-marins etc… Or, les généticiens ont établi au début duIIIe millénaire que le gène du langage estapparu chez l'homme il y a environ 200.000ans selon La Recherche n°358 de novembre2002, p. 21. En conséquence, les citésenglouties ou enterrées restant à exhumerrisquent d'être plus nombreuses qu'on nele croyait jusqu'ici. Car qui dit langage ditintel l igence, les deux al lant de pair.Autrement dit, l'Homo sapiens est né surTerre il y a environ deux cents millénaires.Il a donc très bien pu développer diversescivilisations plus ou moins évoluées qui ontdisparu ensuite sans laisser de tracesmajeures visibles, à la suite de cata-strophes naturelles diverses. Songez que

notre civilisation actuelle est très jeune com-parée à l'ancienneté du gène du langage. Il se trouve d’ailleurs que tous les grandsmythes des principales civilisations dispa-rues connues (de l'ancienne Mésopotamie,d'Egypte, d'Amérique centrale, d'Amériquedu sud, de Chine et des Indes), font état de"dieux" ou d'hommes étrangers venus on

Il a pu se développer diverses civilisations plus ou moins évoluées qui ont disparu sans

laisser de traces majeures visibles, à la suite de catastrophes naturelles diverses

TT OPOP SECRET - SECRET - 4646

DES AVIONSANTÉDILUVIENS ??

Il existe des mystères sur le passé de l'humanité qui effraient la science parcequ'ils ne cadrent pas avec ses théories. L'archéologie en fournit de nombreuxexemples. Certains suggèrent fortement qu'une très ancienne civilisation

inconnue pratiquait l'aéronautique !

Un texte de Jean SiderUn texte de Jean Sider

À PROPOS DE LÀ PROPOS DE L’AUTEUR’AUTEUR

Jean Sider fait partie des ufologuesfrançais les plus actifs et les plus pro-ductifs, et à ce titre la rédaction deTOP SECRET est très heureuse de lecompter parmi ses proches collabora-teurs. L'auteur a écrit différents livresconsacrés au phénomène ovni. Ceuxqui souhaitent découvrir son oeuvrepeuvent se procurer en librairie sontout dernier ouvrage qui vient deparaître en librairie : "OVNIS Et lescréateurs de l’humanité", publié par

les EditionsJMG. T O PSECRET ato u j o u r ssouhaitésoutenir larechercheufologiquef r a n c o -phone, etê t r e e nm ê m et e m p s

une sorte “d'instantané” de l'état decette recherche. C’est pourquoi nousinvitons tous les chercheurs à venirs'exprimer librement dans notremagazine.

ne sait d'où leur apporter des connaissan-ces scientifiques qu'elles ne possédaientpas. En outre, il y a déjà longtemps quecertains chercheurs ont noté bon nombrede carences dans les datations des archéo-logues officiels. Mais, malgré leurs diplô-mes et leurs compétences dans leur domai-ne, ils n'ont été que des voix criant dans ledésert. Comme d'habitude pourrais-jedire…

Le Sphinx n'est pas KhephrenC'est ainsi que le géologue Robert Schoch,de l'université de Boston, a déclaré en sontemps que le Sphinx de Gizeh datait duonzième millénaire et peut-être même duquinzième millénaire avant J.C. ! Lesarchéologues officiels, pour leur part, l'at-tribuent au pharaon Khephren, qui a vécuau IIIe millénaire avant J.C. R. Schoch a émis ses contestations quand ila découvert que ce sontdes pluies diluviennesétalées sur des milliersd'années qui ont provo-qué l 'érosion de cettes c u l p t u r e . O r, s o u sKhephren et ses prédécesseurs de l'AncienEmpire, le climat ne se prêtait pas à unetelle densité de précipitations. Donc, s'ilfaut en croire ce géologue, le Sphinx seraitantédiluvien !Même l 'archéologue français GastonMaspero a affirmé que le Sphinx a étédégagé et rénové sous le règne de Kheops,et "qu'il était déjà recouvert par les sablesà l'époque de ce pharaon et de ses prédé-cesseurs". D'autre part la science prétendque le visage du Sphinx estcelui de Khephren, ce qui luipermet de soutenir une ancien-neté plus réduite. Le problème,c'est que cette affirmation estfausse. Un officier de la policede New York venu sur place -grand spécialiste des visages- acomparé ce faciès avec celui dela statue de Khephren conser-vée au Musée du Caire. Il a étéformel, ces deux visages nesont absolument pas ressem-blants, qui plus est, ils appar-tiennent à deux races différen-tes. Je suis totalement de sonavis sur ce point, car j'ai pueffectuer la même comparaisonà partir de photos publiées dansle livre de Herbie Brennan, TheSecret History of Ancient Egypt.

Une découverte dérangeanteD'autre part, certaines pyramides, dont cel-les du plateau de Gizeh, sont aussi beau-coup plus âgées que ne l'admet l'ortho-doxie scientif ique, qui les attr ibue àKheops, Khephren, et Mykérinos (tousayant vécu au IIIe millénaire). Le problème,c'est que ces constructions massives sonttotalement anachroniques avec le degré detechnologie des bâtisseurs qui oeuvraientdu temps de ces trois souverains de la IVe

dynastie (Graham Hancock, L'empreintedes Dieux).Notons aussi que l'ingénieur Robert Bauvala découvert en 1993 que l'alignement destrois grandes pyramides du plateau deGizeh correspondait exactement à l'aligne-ment que les trois étoiles de la ceintured'Orion avaient vers 10 450 avant J. C. !(R. Bauval, Le mystère d'Orion).Même le grand médium américain Edgar

Cayce, mort en janvier 1945, célèbre pourses " lectures " contenant des informationsissues de son "guide spirituel", a obtenu unélément qui va dans ce sens. En 1939,l 'ent i té qui le renseignai t a aff i rméqu'entre 11 000 et 10 000 avant J.C., desréfugiés venus d'une grande île submergée-l'Atlantide- sont arrivés et ont rapidementdominé les premiers occupants du paysgrâce à leurs connaissances scientifiquestrès supérieures aux autochtones (E. Cayce,

Visions d'Atlantide). Or, en 1939 ce que l'onsavait de la civilisation égyptienne se limi-tait aux théories qui étaient admises dansles sphères académiques, celles des rarescontestataires n'étant pas publiées dans lesouvrages de référence.

Des hiéroglyphes incroyablesEn 1842 une expédition d'archéologuesallemands a signalé avoir vu dans le templede Sethi 1er à Abydos, des inscriptions trèscurieuses se trouvant près d'un plafond, àenviron sept mètres du sol. Pour des rai-sons qui seront faciles à comprendre bien-tôt, cette découverte a été très vite misesous le boisseau. Pour quelles raisons ?Parce que le graphisme des objets repré-sentés ne s'accordait absolument pas avecl'ancienneté des civilisations humainesimposée par la science. Par la suite, des touristes ayant visité ce

même temple ontrapporté la des-cr ipt ion de cessignes.Malheureusement,les détails livrés

ont été jugés tellement énormes qu'on alongtemps cru à un canular. C'est d'ailleursla première réaction qu'a eue l'auteur AlanAfford. Pour lui, ces prétendus hiérogly-phes étaient trop beaux pour être vrais. Etpourtant, lors d'un voyage en Egypte en1997, il s'est rendu à Abydos, ce qui lui apermis de constater de ses yeux la réalitéd'un fait que son esprit ne voulait pasadmettre. Hélas pour Afford, ses clichés man-quaient de netteté.

En 1842 une expédition d'archéologues allemands asignalé avoir vu dans le temple de Sethi 1er à Abydos,des inscriptions très curieuses se trouvant près d'un

plafond, à environ sept mètres du sol

Les inscriptions étrangesdu site d’Abydos

Puis, la psychothérapeute Ruth Hover et sonmari, qui se rendent fréquemment enEgypte, ont été sollicités pour tenter deramener des photos plus claires. La photo laplus réussie de ce couple pouvait être trou-vée dès 1999 sur le site de l'ufologue trèsengagé Bill Hamilton.

Les debunkers réagissentDès que cette affaire a circulé dans lesmilieux de la recherche sur les phénomènesparanormaux et ufologiques, la revue anglai-se Fortean Times de septembre 1998 s'estempressée de dénoncer ce qu'elle a appelé"une manipulation délibérée de l'image". Lechercheur Bruce Rawles, qui a filmé l'inscrip-tion par la suite à l'aide de son caméscopeHi-8, a produit les mêmes "manipulations"qui ont déplu à F.T. ! Il a ouvert aussi un sitesur Internet la même année, et y a placé des

clichés extraits de son film. Alan Afford estime que le graphisme de cer-taines des inscriptions correspond à la repré-sentation artistique de véhicules autopropul-sés, aériens pour certains, mais que ceux-cin'ont strictement rien à voir avec la civilisa-tion égyptienne elle-même. Il soutient qu'ildoit s'agir des souvenirs imagés plus oumoins altérés d'une civilisation supérieure quiaurait précédé celle des pharaons, desconnaissances secrètes que les prêtres setransmettaient de génération en génération.Pour justifier cette hypothèse, il fait remar-quer, très justement d'ailleurs, que les pyra-mides et autres constructions mégalithiquesde l'ancienne Egypte ne portent pas un seulhiéroglyphe identique à ceux-là. Il ne s'agitdonc pas de caractères appartenant à la lan-gue égyptienne mais de dessins probable-

ment intraduisibles en caractèreshiéroglyphes. Ils sont gravésdans la pierre et pourraient êtrele résultat d'une transmissionsecrète que seul le corps sacer-dotal aurait perpétuée dans sonpropre milieu. Or Séthi 1er a d'a-bord été "grand prêtre de Seth"avant d'accéder au trône qu'il aoccupé de 1312 à 1298 avantJ.C. Il aurait donc pu prendre l'i-nitiative de placer cette iconogra-phie dans son temple.

Étranges "oiseaux"Je rappelle qu'en 1975, le chercheur IvanSanderson, bien connu en son temps, a faitconnaître l'existence d'un petit objet en boisde balsa exposé au Musée du Caire, identifiépar les archéologues comme étant une"maquette d'oiseau". Là, il ne s'agit pas nonplus d'une "manipulation " frauduleuse, maisd'une relique de l'ancienne Egypte trouvéeen 1898 dans une tombe appartenant aufameux site archéologique de Saqqarah. Ilavait été négligé avec d'autres trouvaillesanciennes entassées dans les sous-sols du

musée, mais i l aété retrouvé par le Dr. KahlilMessiha en 1969, qui l'a exposé avec treize

autres "oiseaux" identiques dans une vitrineaccessible au public en 1972. En fait, cet objet ne correspond pas au phy-sique d'un oiseau, mais suggère plutôt unplaneur. Le corps ressemble à un fuselage,les ailes sont droites et réunies ensemble surle dos du fuselage pour for-mer un seul bloc.Q u a n t à l aqueue, elle se termine non pas hori-zontalement mais verticalement, comme s'ils'agissait d'une dérive d'aéroplane, mais sansses empennages horizontaux. Cependant, I.Sanderson a questionné K. Messiha sur cepoint, et le scientifique égyptien a admis quecette partie a pu exister à l'origine. D'ailleursil lui a aussi avoué qu'une équipe de scienti-fiques de diverses disciplines a reconnu queces objets développaient un aérodynamisme

Alan Afford estime que le graphisme de certaines desinscriptions correspond à la représentation artistique

de véhicules autopropulsés, aériens pour certains

NDLR : Cette thèse du palimpseste estdéfendue par une majorité de chercheurset d’égyptologues. Ces derniers préten-dent que les formes ont été obtenues parle simple concours du hasard. Explication : d'un pharaon à l'autre, lessignes originaux ont pu être effacés etremplacés par de nouveaux. Cette pra-tique était assez courante. Les chercheursmontrent alors comment la superpositionde hiéroglyphes différents, ajouté à l'éro-sion de la surface de la pierre ont pu aufinal, donner ces formes aussi surpre-nantes. Pourquoi pas, de fait commenous le disons plus haut cette pratiqueétait assez courante en Egypte. Seulement, cette thèse présente tout demême une faiblesse de taille : commentexpliquer la concentration et l'accumu-lation de ces anomalies sur une seule etmême pierre, alors que le phénomènedes ressemblances même sur un hiéro-glyphe unique ne se retrouve nulle partailleurs en Egypte ? Du point de vuestatistique, la probabilité pour qu'unpareil concours de circonstance seproduise et se reproduise sur la mêmepetite surface est quasiment nulle !Ci-dessous : tentative d’explication desdifférentes juxtapositions de glyphes quiauraient permis d’aboutir au résultatfinal que nous connaissons. En noir, cequi est identifié avec certitude. En bleu,ce qui est identifié avec une possibilitéd’erreur. En Rouge, ce qui demeure nonidentifié.

LE PALIMPSESTE OU LE CONCOURSDE CIRCONSTANCE

LE JEU DES RESSEMBLANCES

surprenant. (Bruce Rux, Architects of theUnderworld).D'après le l ivre de Wil l iam Corl iss, AHandbook of Puzzling Arctefacts, cet"oiseau" non-conventionnel date de l'an 200avant J. C.

Les "oiseaux" d'Amérique du sudUn problème identique de datation abusiveconcerne Tiahuanaco, en Bolivie, où certai-nes structures mégalithiques ont été datéesde -15 000 avant J. C. par le professeurArthur Posnansky, érudit bolivien d'origineallemande. Entre 1927 et 1930, ses calculsont été soigneusement vérifiés par quatrescientifiques allemands, et dans leursconclusions ils ont admis que Posnansky"avait globalement raison". Or la versionofficielle parle toujours de nos jours de -500avant notre ère ! (G. Hancock, op. cit.). Des monuments colossaux, dont des pyrami-des à étages, montrent parfois des blocsgigantesques de plusieurs dizaines de ton-nes. Or, apparemment les populations à quil’on attribue leur construction ne possédaientpas les moyens techniques pour réaliser detels édifices. Les chercheurs privés pensentque les vrais bâtisseurs ont pu précéder cesethnies, pendant que d'autres, très engagés,voudraient nous faire croire que les pyrami-des de notre planète et celles de Mars sontl'œuvre de la même intelligence !Il y a aussi de bien curieux objets en or trou-vés sur des sites archéologiquesd'Amérique centrale et dusud, Les photos de cesénigmat iques pet i tsobjets cata loguéscomme étant des"bijoux" censés repré-senter des poissons volants,des oiseaux ou des abeilles, ontété publiées dans de nombreux ouvrages. Leproblème est que ces prétendues représen-tations animales ne correspondent à aucuneespèce connue. Ces objets ont une formebasique triangulaire en aile delta, une queuequi ressemble beaucoup à celle d'un appareilaérien (dérive verticale et deux empennageshorizontaux compris), et ce qui semble êtreun habitacle à l'avant. Tous ces détails écar-tent totalement l'idée d'un représentant de lagent ailée. Il y en a neuf exposés auMuséum national de Bogota, en Colombie,tous du même modèle, et leur aérodynamis-me est remarquable. Une photo les montreensemble, disposés comme une formationde chasseurs supersoniques, et c'est exacte-ment ce qu'ils suggèrent. Le chercheur David

Hatcher Childress signale aussi dansTechnology of the Gods qu'un objet iden-tique est détenu par le Field Museum ofNatural History à Chicago. L'orthodoxiescientifique date ces "poissons volants" d'en-viron 1000 ans, mais comme ils sont en or,donc pratiquement inaltérables, ils peuventêtre beaucoup plus anciens.

Que devons-nous croire ?Toutes ces informations--comme bon nom-bre d'autres du même type -ne se trouventjamais dans les ouvrages de référence, carelles s'opposent aux dogmes défendus avecl'énergie du désespoir par l'establishmentscientifique. Les mandarins ont une façonparticulièrement dictatoriale de concevoirl'évolution linéaire de la civilisation, ce qui lesconduit à rejeter systématiquement le faitqu'il y ait pu exister des groupes humains

plus évolués que les premières grandes civili-sations officiellement reconnues. Cette supé-riorité est au moins évidente dans certainsdomaines comme celui des constructionsgigantesques faites d'énormes blocs de pier-re dont certains atteignent plus de deuxcents tonnes. D'ailleurs, d'après le physicienJohn Zajac, même avec nos moyens tech-niques actuels, il nous serait quasimentimpossible de réaliser de telles structures.

(Will Hart, The Genesis Race). De même,les connaissances en

astronomie desMayas, des Incas,

des Egyptiens et desSumériens étaient extraordinaires d'autantqu'ils ne disposaient d'aucun télescope. Dureste, les Sumériens savaient qu'il y avaitneuf planètes dans notre système solaire. D'après les recherches de plusieurs spécialis-tes dont Graham Hancock, ceux qui ont initiéles anciens Egyptiens à diverses sciences etla construction des pyramides, sont venus dela mer en bateaux. C'est la même chosepour ce qui concerne ceux qui ont permisaux civilisations d'Amérique centrale etd'Amérique du sud de se développer. La plu-part des mythes d'Amérique centrale et dusud citent effectivement des hommes blancsde grande taille venus et repartis par la merdans leurs navires. Ce sont probablementces gens-là qui auraient survécu à l'anéantis-sement de leur ethnie (Atlante ou portant unautre nom), et auraient transmis certaines

de leurs connaissances à ces peuples incultes. Donc, apparemment, ces initiateurs n'appar-tenaient pas à une civilisation qui avait maî-trisé la navigation aérienne. À moins queleurs appareils aériens aient disparu dans ladestruction de leur pays. Sinon, ils ont pueux-mêmes être initiés par une autre civilisa-tion plus ancienne que la leur, elle-mêmedisparue dans un cataclysme quelconque. Cen'est pas impossible car l'idée de plusieursdéluges et de plusieurs Créations (au moinsdeux, sinon trois et même quatre) persistedans les mythes des six grandes civilisationscitées plus tôt, lesquelles sont les seulesconnues pour avoir produit des constructionsmégalithiques et/ou développé l'élevage etl'agriculture à un niveau plus ou moins élevé. Ces éventuelles machines volantes étaient

destinées dans le meilleur des cas à sedéplacer dans les airs et non dans l'espaceinterplanétaire. Cela se voit à leur aérodyna-misme mais surtout aux ailes, aux dérives,aux empennages de queue, et aux hélicespour deux d'entre elles (l'"hélicoptère"d’Abydos, et certains Vimana). Ce qui m'a-mène à la conclusion suivante : soit il y a euune ethnie terrienne ayant développé lesvoyages aériens qui a précédé toutes les plusanciennes civilisations connues, soit il n'y enjamais eu, les objets suggérant une tellehypothèse n'étant que des réalisations artis-tiques imaginaires.Mais, s'il n'y en a jamais eu, comment desartistes de trois ethnies du globe séparéespar des milliers de kilomètres et ignoranttout de la technologie aéronautique ont puconnaître aussi précisément toutes lescaractéristiques externes indispensablesqui permettent à des machines de sedéplacer dans les airs ?

Jean SiderPour contacter l’auteur écrire à la rédaction

Les connaissances en astronomie des Mayas, des Egyptiens et des Sumériens étaient extraordinaires

d'autant qu'ils ne disposaient d'aucun télescope

Les “bijoux” pla-cés en formation

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Plan reconstituéd’un vimana(voir TS n°16)

LL ee ss CC oo nn ff ii dd ee nn cc ee ssdd '' AA rr ss èè nn ee

L'article qui suit va vous plonger dans ce qui fut la plus grande opération decabale phonétique jamais montée. Dans le dernier quart du XIXe siècle, le der-nier des grands alchimistes français, craignant que ses travaux (non publiés)

soient perdus, décida d'orchestrer une extraordinaire opération de sauvegarde. Ilembaucha plusieurs écrivains à qui il confia des notes, à charge pour eux de les uti-liser dans leurs œuvres. Bien des années plus tard, en 1926 et en 1930, furentpubliés les deux livres d'alchimie signés Fulcanelli, pseudonyme qui masquait lacollaboration de cet alchimiste, Alphonse Jobert et d'un libraire érudit du nom dePierre Dujols. Ce libraire descendait des Valois Médicis, c'est-à-dire du mariage deFrançois d'Anjou, quatrième fils de Catherine de Médicis, avec une espagnole. Cettedernière était une descendante d'Alphonse X de Castille, roi érudit, auteur d'un traitéalchimique. C'est de cette famille espagnole que sortit, au XVIIIe siècle, un mysté-rieux personnage, aïeul de Pierre Dujols… le fameux Comte de Saint-Germain. Laboucle était bouclée !

Des mystères Des mystères de Rennes-le-Château de Rennes-le-Château

à l'énigme Fulcanellià l'énigme Fulcanelli

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Un texte de Richard KhaitzineUn texte de Richard Khaitzine

CONFIDENCEAu sein de l'article consacré à Da Vinci et à saJoconde (Voir TS : 17), nous vous avions confié quela connaissance ésotérique avait été contrainte dese cacher afin de survivre. Il était précisé que lespeintres initiés s'étaient servis de leurs peinturesafin de transmettre une contre-culture. Ils ne furentpas les seuls. Les constructeurs de cathédrales, lessculpteurs et les écr ivains f i rent de même.Concernant ces derniers, nombreux furent ceux quirédigèrent des textes à double niveau d'entende-ment. Dans leurs œuvres, sous le sens littéral, peuts'en découvrir un autre faisant référence à l'alchi-mie. Toutefois, accéder à ce niveau de compréhen-sion nécessite de savoir que les textes en questionfurent rédigés en usant de " la langue des oiseaux ",un code fonctionnant sur des rébus, des charades,des à-peu-près phonétiques. Ce code est parfoisnommé : gaye science, lanternois, etc. chezRabelais, jargon, coquillart, argot, langue verte chezVillon, langue du cheval ou petit langage desenfants, chez Jonathan Swift. Parfois, ce code estdésigné sous le nom, mentionné par André Breton,de cabale phonétique. Des auteurs aussi variés queHomère, Virgile, Dante, l'Arioste, Shakespeare,Cervantès, Cyrano de Bergerac, La Fontaine, CharlesPerrault, Victor Hugo, Gérard de Nerval, Jules Verne,Colette et son mari Willy, James Joyce, GeorgesPerec, etc. usèrent de ce procédé littéraire. Dansleurs œuvres, sous le texte apparent, peut s'endécouvrir un autre, ayant trait aux théories et à lapratique alchimique et contenant des confidencesquant à leur milieu respectif.

LL uu pp ii nnAlors que vient de sortir sur les écrans lefilm de Jean-Paul Salomé Arsène Lupin,adapté de la Comtesse de Cagliostro, ilsemble utile de faire savoir au public quel'œuvre de Maurice Leblanc demanderait àêtre lue entre les lignes. La Comtesse de Cagliostro -même si le filmprécité ne permet pas d'y avoir accès -com-porte nombre d'allusions, extrêmementprécises et impossibles à nier, concernantl'affaire de Rennes-le-Château, mais aussi àun alchimiste connu sous le pseudonymede Fulcanelli. Mon confrère Patrick Ferté, enun livre magistral et fort bien documenté, aremarquablement démontré les implicationsde la geste “lupinienne” avec l'affaireSaunière. Si Patrick Ferté peut être taxé dese tromper -mais qui ne commet jamaisd'erreurs ?- ce n'est jamais sur le fond, uni-quement sur des détails ou des interpréta-tions de sous-entendus. Ainsi, focalisantsur Rennes-le-Château et la toile LesBergers d'Arcadie de Nicolas Poussin,Patrick Ferté fait la démonstration suivante :"Dans la Dame blonde, Lupin fait jouer unrôle important àmaître Detinan,s o n a v o c a t -conseil, dont M.Leblanc précisegratuitement (…) que c'est un député radi-cal…" et Patrick Ferté d'en conclure qu'ilfaut ôter deux lettres D et N et lire l'ana-gramme de radical étina : L'ET IN ARCA-DIA, précisant que "l'appartement de maît-re Détinan est le lieu choisi…" Si le raison-nement est juste, la conclusion est erronée.Ce passage n'a pas vocation d'attirer l'at-tention sur la ville d'Alet (pagus electensisou lieu élu) mais bien sur un corps élu enalchimie.Un radical, en politique siège au centre et,par conséquent, il convient bien de ne pastenir compte de ce qui est à gauche ou àdroite du nom Détinan: D et N. SubsisteÉTINA, anagramme d'étain, métal consacré(nazir en hébreu) à Zeus ou Jupiter, etjamais mentionné par les textes sauf parBasi le Valentin et, discrètement, parFulcanelli. Rappelons que Saint-Nazaire futle port où transitaient les navires faisant lecommerce de l'étain et que Nazaire pro-v i e n t d e n a z i r. D e m ê m e , J o s e p hd'Arimathie, détenteur du Graal -autre nomde la Pierre philosophale- est censé avoirfait fortune dans le commerce de l'étain,dont le symbole chimique fut St (abrévia-tion de saint) avant de devenir Sn (initialesde Saint Nazaire). Cela ouvre quelques per-

spectives concernant le mythe du nazaréenfixé sur une croix (ou passé au creuset, l'é-tymologie des deux mots est identique)avec des pointes de fer ! Mais cela, commel'écrivit Kipling, "est une autre histoire".

Un alchimiste en quête d'auteursCe que vous allez lire risque fort de vousdéstabiliser, il est possible que vous jugiezces informations incroyables et, pourtant,tous les faits rapportés sont authentiques.En 1977, à l'occasion de la réédition desMohicans de Babel, un roman peu connu deGaston Leroux, François Rivière, l'auteur dela préface, constatait : "…Dans un de sesessais, G.K. Chesterton se demandait siGaston Leroux n'était pas l'autre nom deplume de Maurice Leblanc. Il y aurait, disait-il, une intéressante symétrie dans cetteinversion des noms par laquelle le gentle-man rouge écrit des histoires de détectiveet le gentleman blanc des histoires d'ai-grefins…"Évoquant, ensuite Le Mystère de la chambrejaune, ouvrage préfacé par Jean Cocteau,

François Rivière notait : "…un jeu de motsproprement “roussellien” préside à cettemise au monde historique : "serpent à son-nette" et "cordon de sonnette" donnent laclef de l'énigme de ce chef-d'œuvre du récitcriminel de chambre close…"Ayant associé, intuitivement (?) les nomsde Raymond Roussel (1877-1933), deMaurice Leblanc (1864-1941) et de GastonLeroux (1868-1927), si François Rivière lesavait reliés à celui d'Alfred Jarry (1873-1907), puis au pseudonyme d'un hermétis-te, il aurait sans doute pu découvrir ce quiconstitua la plus extraordinaire des entre-prises littéraires de tous les temps. Maisavant d'aller plus loin, ouvrons une paren-thèse.

Petite parenthèseLes biographes de Raymond Roussel ontsouligné que Roussel et Cocteau "s'aperçu-rent" dans une clinique où ils résidèrent à lamême époque. Roussel y soignait unedépression et Cocteau, consommateur d'o-pium, y subissait une cure de désintoxica-tion payée par Coco Chanel. Les deux hom-mes firent sans doute plus que se voir, à encroire les déclarations récentes de l'éditeurJean-Jacques Pauvert. Dans un livre, ce

À PROPOS DE L’AUTEURRichard Khaitzine a publié une ving-taine de livres consacrés à l'ésoté-risme et à son influence dans ledomaine des arts. De part sa grandeérudition dansle domaine del’alchimie, ilapportera àt raver s sesa r t i c l e s d en o u v e l l e spièces maî-t resses qu iviendront s'a-j o u t e r a up u z z l e q u enous sommesen train d'édi-f i e r t o u se n s e m b l e .C'est d'ores et déjà un grand plaisir dele compter parmi les collaborateursde TOP SECRET.

Ses llivres ddisponibles een llibrairie ::“La Langue des Oiseaux” (Dervy)“Le magnétisme curatif” (Dervy)“De la Parole Voilée à la ParolePerdue” ( le mythe d'Hiram et deMaître Jacques) Éditions Le MercureDauphinois“La Joconde, Histoire, énigme ets e c r et s ” É d i t i o n s L e M e r c u r eDauphinois“Paris, secrets et mystères” ÉditionsLe Mercure Dauphinois

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Il est possible que vous jugiez ces informations incroyables et, pourtant, tous

les faits rapportés ici sont authentiques

dernier révèle que Roussel fut l'amant deCocteau. Échangèrent-ils desconfidences et Roussellivra-t-il l'unique clefpermettant d'accé-der aux mystèresde sa vie secrètee t à c eux des o n œ u v r edéconcertan-t e ? À c estade, il estbon de savoirq u e J e a n -J a c q u e sPauvert procé-da à la réédi-tion des livres deRaymond Roussel,mais également àcelle du Mystère desc a t h é d r a l e s e t d e sDemeures philosophales, deuxouvrages écrits par un alchimiste les ayantsignés Fulcanelli. Ce fut, également, Jean-Jacques Pauvert qui publial e s l i v r e s d ' E u g è n eCanseliet, lequel prétendaitavoir été le seul et uniqueé l è v e e t d i s c i p l e d eFulcanelli.En diverses occasions, Eugène Canselietmentionna que Raymond Roussel connutFulcanelli, et que son œuvre littéraire, àcommencer par la p ièce int i tu lée LaPoussière de soleils, véhicule nombre d'al-lusions hermétiques. En réalité, l'œuvre deRoussel va bien plus loin et comporte desconfidences ayant trait à l'alchimiste enquestion. On trouve, notamment, dans letexte précité, un personnage appeléBuluxir, nom à lire ubu-l-xir (eut bu élixir) -qui n'est pas sans évoquer le père Ubud'Alfred Jarry- et un Minus habens oudemeuré philosophe, venant en rappel desDemeures philosophales.En revanche Eugène Canseliet ne semblepas s'être avisé que Raymond Roussel évo-qua Fulcanelli, dès ses textes de grandejeunesse et que, mieux encore, il y livra,sous forme de rébus ou de charades, lavéritable identité du Maître. En effet, dansun texte, intitulé Le haut de la figure,Roussel évoqua son précepteur et profes-seur de sciences, un personnage distrait,lunaire, répondant au pseudonyme deVolcan. Ce volcan ou Vulcain lunaire -outre quecette expression désigne, en alchimie, le

dissolvant, le feu secret- doit s'entendreVulcain Hellé ( Hellé était le nom de la

d é e s s e l u n e c h e z l e s G r e c sarchaïques) dénomination pro-

che , phoné t i quement , deFu lcane l l i . Refermons la

parenthèse.

Quatre auteursLes Mohicans de Babel, letitre du roman de GastonLeroux est pour le moinssurprenant s'appliquantà une histoire se dérou-lant à Paris, ville qui, sielle a eu ses "apaches",

n'a jamais vu l'ombre d'unMohican. En revanche le

nom de Babel n'évoque pasque la fameuse tour mention-

née par la Bible. Au sujet de laconfusion des langues, Fulcanelli fai-

sait observer dans son Mystère des cathé-drales que les hommes parlaient la "languedes oiseaux" ou cabale phonétique avant

l'édification de la tour. Une note invite à lirele "tour" ou "la tournure" ba employée pourbel. Concernant les Mohicans, un coupd'œil dans votre dictionnaire peut s'avérerutile. On y apprend que ces Indiensappartenaient à l'ethnie desA l g o n q u i n s , v a s t efamille linguistique,constituée de quatregrands groupesde tribus. P a r c o n s é -quent, ce titresemble inviterle lec teur àretrouver lesnoms de qua-t r e au t eu r sayant possédéun dénomina-teur commun.Ce d énom i na -teur, en littérature,on appelle cela l'artd e l a b o r d u r e , d e sécrits tramés, ou encorel'art du grimoire, le terme grimoirefaisant référence à l'art de "grimer", detravestir sa pensée.

Des deux sels, du mercure, dusoufre et de la littérature Aux alentours de 1885, celui qui allait deve-nir Fulcanelli n'avait pas encore publié seslivres et il ignorait vraisemblablement sicela serait un jour. Il décida de léguer sestravaux à la postér i té et, dans cetteoptique, il monta le jeu hermético-littérairele plus extraordinaire de tous les temps. Ilfournit un canevas, sans doute constitué deses notes et de "mises en situations" -desdessins- à charge pour quatre auteurs d'y"broder" leurs œuvres, de les utiliser selonla technique du carré bi-orthogonal chère àGeorges Perec. C'est ce qui explique la présence d'objets,de noms et de situations "contrebandiers"ou voyageurs qui peuvent se repérer d'unlivre à l'autre. Par exemple, ce "serpent àsonnette", ce crotale, Fulcanelli le mention-ne en toutes lettres à la page 428 de sesDemeures philosophales. Le hasard n'y eststrictement pour rien.Ce montage est déjà étonnant mais quedire de ce qui suit ? Fulcanelli commença

par embau-c h e r s o njeune élève,R a y m o n dRoussel et ce

dès 1894, puis ce fut le tour d'Alfred Jarry.Le premier était un homme d'esprit, lesecond pratiquait un humour de potache,lourd et souvent scatologique. Leur conver-sation, ainsi que le dit l'expression populai-

re, "ne manquait pas de sel". De là àleur faire tenir, symboliquement, le

rôle des deux sels métalliquesnécessaires afin de poursuivre

l'Œuvre, il n'y avait qu'un pasque le commanditaire fran-chit, d'autant que le nomde son élève s'y prêtait.Roussel n'est-il pas l'ana-gramme phonétique desel roux ? F u l c a ne l l i , engageaensuite deux auteurs der o m a n s p o p u l a i r e s :

Maurice Leblanc et GastonLeroux, à charge pour eux

de tenir, toujours symboli-quement, les rôles du mercure

et du soufre. Pour comprendrece qu'avait en tête le génial alchi-

miste, il convient de savoir ce qui suit.Les principes de l'alchimie sont identiques àceux qui régissent toute la vie de la nature.Les noms de sel, mercure et soufre ne

LES CONFIDENCES D’ARSENE LUPIN

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Fulcanelli décida de léguer ses travaux à la postérité et, dans cette optique, il monta le jeu hermético-littéraire

le plus extraordinaire de tous les temps

Raymond Roussel

Alfred Jarry

désignent pas des corps chimiques maisdes états différents du dynamisme vibratoire.L'esprit -la lumière pour simplifier- oumercure, donne naissance à une âme, ousoufre qui, elle-même va constituer uncorps, ou sel. C'est ce processus d'incarna-tion, commune au règne végétal, au règneminéral et animal, que l'alchimiste utilise. Il part d'un corps mort métallique afin d'yinfuser l'âme, puis l'esprit afin d'opérer leurfusion. C'est cette notion de fusion qui faitdésigner l'alchimie, parfois, du nom d'artd'amour. Maurice Leblanc fut chargé dedévelopper les vicissitudes du mercure aucours du premier œuvre, lequel porte le

nom d' Œuvre au blanc ! Appréciez les jubilations du hasard, d'au-tant que… Gaston Leroux, dont tous lespersonnages souffrent et sont reliés par lacouleur rouge, se chargea d'évoquer le soufreet l'œuvre au rouge, ce qui s'imposait pourun homme s'appelant Leroux ! Et "l'Œuvre au noir", vous demandez-vous ?N'en déplaise à Madame Yourcenar, enalchimie, il n'y a que deux Œuvres et pasde noir ! Fulcanelli, compliqua encore cemagistral exercice en faisanttenir à ces auteurs le rôle desdifférentes parties de ceq u e , e n m u s i q u e , o nappelle un canon ou unefugue. Pourquoi ? Parceque l'alchimie est aussin o m m é e a r t d em u s i q u e . To u s c e spoints nécessiteraientde plus amples dévelop-pements qui, malheureu-sement, nous entraîne-raient bien trop loin. Aussin o u s f a u d r a - t - i l n o u sc o n c e n t r e r s u r M a u r i c eLeblanc et Arsène Lupin.

Les confidences de M. LeblancAfin de conforter ce qui vient d'être exposé,nous allons fournir quelques exemples destélescopages qui peuvent être relevésentre les romans de Leblanc etl'œuvre de Fulcanelli. Dans laComtesse de Cagliostro, onpeut lire : "Sortant du châ-teau et rampant sous lelierre, il (Lupin) se hissa,grâce aux énormes raci-nes, jusqu'à l'ouverturepratiquée dans l'épais-se muraille (…) Ainsiplacé à cinq mètres dusol, la tête masquéepar du feuillage, il nep o u v a i t ê t r e v u e tvoyait…"Cet extrait est à mettre enparallèle avec ce passagedes Demeures philosophales,de Fulcanel l i , ayant trait àl'Hôtel des Invalides que se fit

construire un ministre de Louis XIV : "Unloup s'y trouve sculpté, à mi-corps ; les pat-tes s'abattent sur l'ouverture de l'œil-de-bœuf, qu'elles entourent ; la tête est à moi-tié cachée sous une touffe de palmes, et lesyeux sont ardemment fixés sur le sol de lacour (…) ce loup regarde, ce loup voit"(Louvois). Vous m'opposerez, sans douteque ce calembour ne peut fonctionner dans

le cas de Lupin. Erreur ! En lisant,Grasset d'Orcet, maître es

"langue des oiseaux" etque connut Fulcanelli

on peut lire : "LesCharbonniers pre-naient le nom del o u p s o ul u p i n s … " ( i nL e sCollaborateursd e J e a n n eD a r c ) . L aCharbonnerie àlaquelle Grasset

d'Orcet fait réfé-r e n c e , e s t l a

Franc-maçonnerieforestière, qualifiée

d ' o p é r a t i v e . L e s

enfants de maçons sont qualifiés de louve-teaux.Toujours dans la Comtesse de Cagliostro,

Lupin déclare :"Dieu que c'est drôle !

Madame est fâchée !...A lors , quoi ? p lus

moyen de se jouerdes petits tours?... Pour un rienl a m o u t a r d evous monte aunez ! " Out reque ce passa-ge fait référen-ce aux turlu-pins (une sectehérétique), pro-

che phonétique-ment de "tours de

lupin", il y a un clind'œil en direction du

Chéri-Bibi de GastonL e r o u x . O n y v o i t l e

bagnard prendre des bains depieds à la moutarde afin d'éviter unecongestion. Cette moutarde lorgne, égale-ment, en direction du chapitre IX deGargantua. Rabelais -auteur abondammentcité par Fulcanelli- fait référence au Songede Poliphile. Après s'être moqué des fai-seurs de rébus et jeux de mots ridicules,tels ceux qui peignent un pot à moutardepour signifier le cœur auquel "moult tarde",il prend un ton sérieux pour affirmer que"bien aultrement faisoient en temps jadisles saiges d'Égypte, quand ilz escrivoientpar lettres qu'i lz appeloient hiérogly-phiques, lesquelles nul n'entendoit quin'entendist" (s'ils n'étaient initiés à laméthode pour lire les images) ; "et chacunentendoit qui entendist la vertu, propriétéet nature des choses par icelles figurées ;desquelles Orus Apollon a en grec composédeux livres, et Polyphile (sic !) au Songesd'amours en a davantaige exposé."Nous pourrions multiplier les exemples, ycompris en utilisant les œuvres des troisautres comparses : Roussel, Jarry etLeroux. À l'appui de notre démonstration,mentionnons encore ceci.Un recuei l , int i tu lé Les Conf idencesd'Arsène Lupin, contenait une nouvelle,publiée en 1913 et titrée : Les jeux dusoleil. Or, en cette même année 1913,Raymond Roussel travaillait à son célèbreLocus solus, titre à rapprocher de celui dela nouvelle précitée, pour peu qu'il soit tra-duit en latin : Jocus solis ! Or dans Locus

Fulcanelli, compliqua encore ce magistral exercice en faisant tenir à ces auteurs le rôle des

différentes parties de ce que, en musique, on appelle un canon ou une fugue.

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LES CONFIDENCES D’ARSENE LUPIN

Eugène Canseliet

Maurice Leblanc

Gaston Leroux

solus, Roussel met en scène une inventionpour le moins surprenante, consistant en lacréation de "nègres rendus explosifs parceque transformés en poudre à canon." Lesexégètes se sont cassés les dents sur cettesingularité. On aurait tort d'y voir un quel-conque sadisme teinté de racisme. Ce pas-sage est à comprendre comme faisant réfé-rence à des nègres, au sens littéraire duterme, s'adonnant à d'étonnants (pourdétonants) travaux en canon ou à l'art de lafugue. Ce qui offre des prolongementsintéressants.Toujours est-il que l'œuvre de MauriceLeblanc contient d'énigmatiques référen-ces, à la fois au pays de Caux et au pays deSault, ainsi qu'à la localité de Rennes-le-Château, rendue célèbre par une affaire quifit beaucoup de bruit à la fin du XIXe siècleet au début du XXe, mais aussi à sa prochevoisine Rennes-les-Bains. Dans la Comtesse de Cagliostro, Leblancfait référence à trois toiles. MentionnantJoséphine Cagliostro, il évoque le sourirede la Joconde, et par conséquent la toile deLeonardo da Vinci. Le cocher s'appelle,d'ailleurs Léonard. La quête du trésor repo-se sur le frère Nicolas, ce qui suggère forte-ment Nicolas Poussin et ses Bergersd'Arcadie, d'autant que dans un passage dulivre, Lupin est agenouillé comme l'un despersonnages de la toile. Quant à la troisiè-me peinture, personne ne semble l'avoirmentionnée. Leblanc parle d'une peu vrai-semblable l iaison entre Cagliostro etJoséphine de Beauharnais, laquelle auraitdébouché sur la naissance d'une fille. Cetépisode est, en fait, destiné à suggérer aulecteur d'aller voir du côté d'une toile dePrud'hon : Joséphine à la Malmaison.Joséphine y est figurée assise en pleineforêt sur un siège de pierre. Or la végéta-tion et le paysage évoquent fortement ceque l'on voit après s'être assis dans le célè-bre Fauteuil du Diable de Rennes-les-Bains ! Nous allons voir que Maurice Leblanc nepouvait ignorer l'affaire de Rennes-le-Château mais, auparavant, il convient devous livrer des informations totalementinédites et ô combien sensationnelles.Aucun auteur ne s'est avisé que Fulcanellimentionne, dans le Mystère des cathédra-les, la fontaine dite des yeux gâtés deNotre-Dame de Marceille, citée par l'abbéBoudet au sein de son livre consacré auCromlech de Rennes-les-Bains. Mais il y a mieux ! Ainsi qu'en témoignent les papiers person-nels de Raymond Roussel, détenus par la

Bibliothèque Nationale, dans laversion primitive de son LocusSolus, l'élève de Fulcanelli avaitbaptisé son héros… Boudet !Décidément, les coïncidences sebousculent.

Le singulier entourage deMaurice Leblanc.René Renoult fut Ministre del'Intérieur et des Cultes, lors desannées 1913-1914. Il est probableque les soupçons d'espionnage,au profit des Empires Centraux,qui pesaient sur l'abbé Saunière,ainsi que les visites répétées d'unarchiduc appartenant à la l ignée desHabsbourg, éveillèrent la curiosité desservices français spécialisés dans le rensei-gnement et du Ministre qui les coiffait. Or,René Renoult n'était autre que le beau-frère de Maurice Leblanc. Sa personnalité mérite que l'on s'y arrête.Renoult fut député de la Haute-Saône de1902 à 1919, sénateur du Var de 1920 à

1944, et plusieurs fois ministre : Finances,Travail et Prévoyance sociale, TravauxPublics, Intérieur, Justice, Marine. Franc-Maçon, il fut un haut dignitaire duGrand Orient de France. Vénérable, puisVénérable d'honneur de la Loge L'Avant-garde maçonnique et de la Loge La Justice,il était Chevalier Rose-Croix (18e degré).C'est dans ce milieu radical-socialiste etdreyfusard, comportant de nombreuxFrancs-Maçons, qu'évoluait Maur iceLeblanc. Ainsi, le préfacier des premièresaventures d'Arsène Lupin n'était autrequ 'Arsène Arnaud, p lusconnu sous le nom de JulesClarétie, président de laSociété des Gens de Lettres-à laque l le appar tena i tMaurice Leblanc- et membredu Grand Orient à la Loge deL'École Mutuel le. Furentéga lement membres decette loge Jules Méline et uncertain Docteur Jobert. Or, le15 septembre 1905, le jour-nal Je Sais tout avait publiéun a r t i c l e , i n t i t u l é Le sFa iseurs d 'or , e t qu i f i t

quelque bruit. L'article en question étaitsigné par André Ibels, frère d' 'HenriGabriel, un ancien membre du cabaret duChat Noir. Ibels y interviewait un alchimiste du nomd'Alphonse Jobert ! Quant au député Dujardin-Beaumetz(1852-1913), reçu chez l'abbé Saunière etfutur sous-secrétaire d'État aux Beaux-Arts

(25 janvier 1905 au 14 janvier 1912) et quifut accablé par le vol de La Joconde, il futdéputé de l'Aude de 1889 à 1912, sénateur,et était franc-maçon, visiteur (1891) à laloge la Clémente Amitié, à l'Orient de Paris.Ce député limouxin était inscrit au groupede la gauche radicale-socialiste, dont leprésident était René Renoult. Ce fut en tantque sous-secrétaire d'État aux Beaux-Artsque Dujardin-Beaumetz décora MauriceLeblanc de la Croix de chevalier de laLégion d'honneur. Mais le plus surprenantréside dans ce qui suit.

LES CONFIDENCES D’ARSENE LUPIN

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Maurice Leblanc ne pouvait ignorer l'affaire de Rennes-le-Château mais, auparavant, il convient de

vous livrer des informations totalement inédites et ô combien sensationnelles

Arsène Lupin

Le tableau desBergers d’Arcadi(Nicolas Poussin

Monseigneur de BonnechoseQui fut Monseigneur de Bonnechose, person-nage réel, que Maurice Leblanc fit figurerdans la Comtesse de Cagliostro ? Sa vie nous est connue grâce à la biogra-phie que lui consacra l'abbé Besson. Henride Bonnechose fut l'une des plus grandesfigures du haut-clergé sous le secondEmpire. De 1848 à 1855, il fut évêque deCarcassonne, puis évêque d'Évreux de1856 à 1858. Il fut nommé cardinal en1863. Devenu sénateur, il fut un intermé-diaire écouté entre Napoléon III et leVatican. Henri de Bonnechose, né dans unevieille famille normande, était très attaché àsa région natale. Il commença par êtrejuriste, puis abandonna le droit en 1829afin d'entrer en religion. Nommé, dans unpremier temps, directeur de Saint-Louis desFrançais, il se voit proposer un poste plusprestigieux à Rome par Louis-Philippe. Il ledécline, préférant le siège de Carcassonne.Le roi finit par accepter et Monseigneur deBonnechose s'installe à Carcassonne le 24mai 1848. Il joue un rôle capital dans lesnégociations concernant le couronnementde Napoléon III. Au cours des deux premiè-res années, sa santé est éprouvée par lachaleur, ce qui inquiète son entourage. LeMinistre des cultes lui propose l'évêché deBlois, en 1850, puis celui d'Évreux, qui lerapprocherait de son lieu natal, en 1852, etenfin celui de Langres. Très attaché à sanouvelle affectation, il refuse, allant jusqu'àse rebeller. En 1855, la mort dans l'âme, ilest contraint d'accepter sa nomination àÉvreux. Monseigneur Billard est nommé àCarcassonne. Ce fut Monseigneur Billardqui fit nommer l'abbé Saunière à Rennes-le-Château et qui aurait, selon certainsauteurs, commandité son voyage à Paris, lerecommandant à l'abbé Biel, directeur duséminaire de Saint-Sulpice. Certains dou-tent de ce voyage à Paris. Qu'ils lisent LaMansarde en or de Gaston Leroux. Ils ydécouvriront un abbé, de passage à Paris,qui ressemble à Saunière comme Sosie àHermès, et qui assiste à un ballet consacréà Marie-Madeleine ! Est-ce clair ?À Paris, Saunière aurait rencontré le jeuneÉmile Hoffet, spécialiste des sociétés secrè-tes et des systèmes cryptographiques.Saunière lui aurait soumis les documentsdécouverts lors de la réfection de l'église deRennes-le-Château. Saunière rapporta deParis trois copies de toiles célèbres, dontLes Bergers d'Arcadie, de Nicolas Poussin.Tant que Monseigneur Billard fut le supé-rieur de Saunière, ce dernier n'eut aucun

compte à rendre concernant sescurieux agissements. Ses ennuis necommencèrent qu'avec la nomina-tion de Monseigneur de Beauséjour.Enfin, il convient de savoir queMonseigneur Félix-Arsène Billard futle bras droit de Monseigneur deBonnechose à Rouen comme àRome. Ce fut Henri de Bonnechosequi fit nommer Mgr Billard à l'évê-ché de Carcassonne lorsqu'il futcontraint de partir pour Rouen. En étudiant les biographies de cesdeux prélats, d'autres surprisesnous attendent.

Monseigneur BillardMonseigneur Félix-Arsène Billard,dont le véritable prénom étaitArsène, ainsi que le voulait l'usageà l'époque, était originaire de laNormandie chère à Maurice Leblanc, ainsiqu'à son héros Arsène Lupin. Il naquit en

plein dans ce Pays de Caux où MauriceLeblanc situa Le Triangle d'or (Dieppe-Rouen-Le Havre) à Saint-Valéry-en-Caux, à35 kilomètres de l'Aiguille creuse. Après desétudes classiques au petit séminaire duMont-aux-Malades et des études de théolo-gie au grand séminaire de Rouen, patrie deMaurice Leblanc, il fut ordonné prêtre àRouen, le 17 décembre 1853. Il enseigna àl'institution Join-Lambert avant d'êtrenommé vicaire de Saint-Jacques-de-Dieppe. Ce fut alors que Monseigneur deBonnechose en fitle vicaire de l'égli-se Saint-Patrice deRouen, en 1860.En 1863, son tra-v a i l a y a n t é t éa p p r é c i é ,M o n s e i g n e u rBillard est nommév i c a i r e d e l aCathédrale. Selon les dires deMaurice Leblanc,dans Notre vieuxLycée (n°51, 1ertrimestre 1929), ilfut baptisé le 12

mars 1865, en la paroisse Sainte-Madeleinede Rouen, et ce fut Monseigneur de

Bonnechose, en personne, qui lui donna laconfirmation, peut-être en présence del'abbé Billard.L'abbé Billard, en 1869, reçut la paroisse deCaudebec-lès-Elbeuf, où il sut gagner lasympathie générale. Il restaura l'église, eny faisant poser une stupéfiante statuegéante de Saint Pierre, surplombant l'en-trée principale, et dont on peut s'étonnerqu'il tienne une énorme croix à l'envers.Mais sans doute s'agit-il d'une étourderie dela part du lapicide… à moins que…

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L'abbé Billard restaura l'église de Caudebec-lès-Elbeuf,en y faisant poser une statue géante de Saint Pierre,

surplombant l'entrée principale, et dont on peut s'éton-ner qu'il tienne une énorme croix à l'envers

La cité deCarcassonne

Joséphine à la Malmaison (Prud'hon )

De Billard à SaunièreEn 1877, Monseigneur de Bonnechoseouvrit à son protégé les rangs du Chapitremétropolitain et le nomma théologal, puis,en 1880 vicaire général, archidiacre duHavre. En 1878 en fit son conclaviste, cequi témoigne de la grande confiance qu'illui accordait et de leur intimité. À la mortdu pape Pie IX, lui succède Léon XIII,lequel sera appelé le pape des ouvriers, etdéclarera, ce qui n'est pas sans rappelercertaines déclarations fracassantes de sesprédécesseurs, Léon X et Benoît XIV,notamment, que les textes religieux sont"des fables judaïques". Le nouveau papetémoigne à Monseigneur de Bonnechosebeaucoup de sympathie, de confiance, enen faisant son confident. Léon XIII se fie aux suggestions du cardi-nal en matière de nominations des évêqueset cardinaux. En 1881, Mg de Bonnechosene laisse pas passer l'occasion : “Le siège deCarcassonne ayant vaqué par la promotionde Mgr Leu l l i eux à l ' a rchevêché deChambéry, l'intérêt que le cardinal portait à

son ancien diocèse ne lui permit pas derester indifférent à sa destinée. Il signala lemérite de M. l'abbé Billard à la nonciatureet au gouvernement, détermina sa nomi-nation qui eut lieu par décret du 17 février1881 et lui donna l'onction épiscopale le 25juillet."Ce fut donc le cardinal deBonnechose qui fit nom-mer son vicaire généraldans son ancien diocè-se, à Carcassonne.Après cette nomina-tion, le vieux cardi-nal, plus qu'octo-génaire, reviendrad e u x f o i s àCarcassonne, en1 8 8 1 e t 1 8 8 2 ,avant de s'éteindreen 1883.Monseigneur Billardp o u r s u i v i t s o nœuvre… Deux ans plustard, le 1er juin 1885, iln o m m e r a B é r e n g e rSaunière, curé de Rennes-le-Château.

Notre confrère et ami Pierre Jarnac, dansson excellent ouvrage, bien documenté,intitulé Les Archives de Rennes-le-Château,dresse de Félix-Arsène Billard un portraitbrossé à l'acide. On y apprend que l'évêqueeut à subir plusieurs procès pour simonieet captation d'héritage, qu'il fut sous lecoup d'une suspense fulminée à sonencontre par le Vatican, et qu'il fit l'objetd'un article accablant dans la Dépêche deToulouse du 5 novembre 1896. Enfin, unmois après sa mort, fut publié un pamphletdiffamatoire signé du curé Laborde.

Un Saint bien étrange Les bénédictins De Vic et Vaissette, dansl'Histoire générale de Languedoc, ouvragerédigé au XVIIIe siècle nous apprennent :"Il paraît que saint Lupin, confesseur dontle diocèse de Carcassonne honore lamémoire, vivait vers le même temps (851) ;on ne sait rien de certaines des circonstan-ces de sa vie. On prétend qu'il fut chanoinede la cathédrale de cette ville et qu'on yconserve encore ses reliques dans une

châsse dont on fit l'ouverture au commen-cement du dernier siècle. On y trouva unécrit qu'on rapporte à l'an 851 dans lequelil était fait mention de Liviula, évêque deCarcassonne et d'un Comte Louis Eligarus."La châsse de saint Lupin fut ouverte, en effet,

en 1609, et force est de constater,que même si les historiens

considèrent le documentcomme apocryphe et ne

conna i s sen t pa s cecomte et cet évêque,la châsse existe bel etbien. Les restes deLupin dorment en laCathédrale, dédiée àSaint-Nazaire deCarcassonne.Les Bénédictins deParis confirment lavénération dont ce

sa in t fa i t l ' ob je t :"chanoine de la cathé-

drale de Carcassonne auIXe siècle". Le 4 mai, l'Ordo

de Carcassonne n'oubl iejamais de fêter Saint Lupin.

Notons, au passage, que l'église de

Rennes-les-Bains est dédiée à Celse etSaint-Nazaire, ce qui est loin d'être inno-cent. Tout ceci est déjà très étrange, maisle plus extraordinaire reste à souligner.À la mort de Monseigneur Arsène Billard, le3 décembre 1901, le doyen du chapitreécrivit au préfet de l'Aude afin d'obtenirl'autorisation d'inhumer la dépouille dans lacathédrale. Le 5 décembre, le Maire deCarcassonne objecta à la Préfecture qu'unetelle inhumation était contraire à la loi. Ledivorce entre l'Église et l'État commençait àpoindre. Le 6 décembre, le Ministre desCultes télégraphiait au préfet audois afinde marquer son accord. Et l'inhumationd'Arsène Billard fut fixée au lundi 9 décembre,à 10 heures. Ainsi, par la plus extraordinai-re des coïncidences, Arsène repose auprèsde Lupin… Les points de suspension sontde rigueur !

En guise de conclusionRendons-nous, à présent, en l'église Saint-Vincent de Carcassonne. Le 12 mars 1877,u n i n d u l t d u p r é f e t d e l a S a c r é eCongrégation des Rites autorisa "une fêtespéciale et la célébration d'une solennelleen l'honneur de saint Hermès, martyr, enl'église paroissiale de Saint-Vincent, oùrepose son corps." Selon ce que nous endit la mythologie, Hermès, celui des grecs,était dieu des commerçants, des voleurs,mais également des Initiés et naquit enArcadie. Qui a pu décider d'attribuer, en1876, ce saint Hermès, peu catholique, àl'église Saint-Vincent de Carcassonne ? Unfait est certain, parce que relaté par laSema i ne r e l i g i e u se du d i o c è se deCarcassonne, en 1877. Monseigneur deBonnechose se rendit, en compagnie del'abbé Billard, en ladite église afin de discuteravec le pape. Aussitôt nommé à la tête dudiocèse, Monseigneur Billard visita solen-nellement, le dimanche 14 août, l'égliseSaint-Vincent et "il vénéra le corps dujeune martyr Saint Hermès déposé dans lachapelle Saint Roch."Vous pouvez en tirer les conclusions quevous voudrez…

Richard KhaitzinePour écrire à l'auteur :[email protected]

Aussitôt nommé à la tête du diocèse, Monseigneur Billard visita l'église Saint-Vincent

et "il vénéra le corps du jeune martyr Saint Hermèsdéposé dans la chapelle Saint Roch.

Monseigneur Arsène Billard

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LES CONFIDENCES D’ARSENE LUPIN

Jean Cocteau

LE MAîTRE SECRETLE MAîTRE SECRETdu Nouvel Ordre Mondialdu Nouvel Ordre Mondial

À PPROPOS DDE LL'AUTEURMicMichel Girard a fait beaucoup de métierhel Girard a fait beaucoup de métiers es et fait et fait et appris bien des ct appris bien des choses intéreshoses intéres--santsantes dans sa vie. Il a même très sérieusement ces dans sa vie. Il a même très sérieusement cherhercché des trésorhé des trésors enfs enfouis, ce quiouis, ce quiest très prenant eest très prenant et enrict enrichissant à bien des égards. Mais la plus belle ahissant à bien des égards. Mais la plus belle avventure qu'ilenture qu'ilconnût c'est celle d'aconnût c'est celle d'avvoir découvoir découverer t entre autres que la Tt entre autres que la Terre aerre avvait été usurait été usurpée epée ettétait gouvétait gouvernée par une Puissance de coerernée par une Puissance de coercition qui sacition qui savvait sa saga vait sa saga vouée à unouée à untterme donné à l'écerme donné à l'échec. Michec. Michel a passé une trentaine d'années à fhel a passé une trentaine d'années à fouiller en "prouiller en "profofonon--deur" deur" pour mieux "débusquer" la "bêtpour mieux "débusquer" la "bête" ee" et comprendre la nature de ses manigances.t comprendre la nature de ses manigances.Il lui a donc été donné de leIl lui a donc été donné de levver de nombreux "ver de nombreux "voiles". Sa vision du monde, héritéeoiles". Sa vision du monde, héritéede ce trade ce travvail, n'était pas celle du commun ou des initiés des Sociétés Secrètail, n'était pas celle du commun ou des initiés des Sociétés Secrètes quies quidonnent l'il lusion de sadonnent l'il lusion de savvoir eoir e t d'être supérieur au vt d'être supérieur au voisin. De fait Micoisin. De fait Michel Girardhel Girardn'apparn'appar ttenaitenait à aucune organisation religieuse ni à aucune sectà aucune organisation religieuse ni à aucune secte ou obédiencee ou obédiencequelle qu'elle soit. Il nous a quittés le 30 janquelle qu'elle soit. Il nous a quittés le 30 janvier 2003, à la suitvier 2003, à la suite d'une attaque care d'une attaque car--diaque. Ce dossier est nodiaque. Ce dossier est notre façon de lui rendre hommage.tre façon de lui rendre hommage.

Un texte de Michel GirardUn texte de Michel GirardMISE EEN GGARDEMISE EEN GGARDECertains lecteurs risquent d'être unpeu décontenancés par les informa-tions véhiculées par cet article.Nous sommes ici dans un exercicepérilleux et très complexe d’inter-prétation de textes anciens. Cetype d’exégèse doit être abordéavec beaucoup de recul de la partdu lecteur, et considéré commeune interprétation possible parmides dizaines d’autres. Nous vousp r é s e n to n s c e tex te o r i g i n a lcomme une pierre supplémentaire ;une pièce possible du puzzle, unsuppor t à la réf lex ion, et noncomme une réal i té dont nousserions certains...

THÉORIE FANTASTIQUE

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Ce chef, et c'est là un scoop absolumentvéritable, c'est Apollon !Est-ce que l'humanité de ce début du XXIesiècle sait qui est Apollon, mis à partquelques spécialistes en mythologie et desésotéristes avertis ? Sûrement pas... Pourla majorité de nos contemporains, l'évoca-tion d'Apollon rappelle l'image folkloriqued'une époque révolue où les hommescroyaient naïvement en un Olympe du hautduquel les dieux faisaient de l'ingérenceoutrancière dans les affaires humaines.C'est, semble-t-il, hautement réducteur. En effet Apollon est loin d'être une icônearchaïque, née de l'imagination des hom-mes, et tombée en désuétude au fil dessiècles devant le succès grandissant desreligions monothéistes. Contrairement à ceque nous pourrions imaginer à son sujet,Apollon est encore très présent et influencesecrètement le destin de l'humanité. Pours'en convaincre, il suffit d'observer tous les

symboles le représentant dans les adminis-trations, les institutions, les bâtimentspubliques... Soleil, aigle, étoile, etc, il suffitd'ouvrir les yeux pour se rendre compte deson omniprésence, et pour convenir quecelle-ci ne doit rien au hasard.

Qui est Apollon ?Pour identifier et comprendre qui estApollon, il faut puiser plus spécifiquementau Mythe grec. Et, il faut tout d'abord,admettre que les mythessont l'expression relatée, àpeine romancée, d'une réalitéhistor ique qui défraya lac h r o n i q u e d e s t e m p santiques au cours desquelsdes êtres anthropomorphessurhumains venus du cosmos

s'employèrent à gouverner certaines civili-sations. De même le récit de la premièrepartie de la Bible relate d'une façon plus oumoins romancée et édulcorée l'histoireauthentique de l'humanité à une époqueoù celle-ci cohabitait avec ses créateurs,les Elohims, considérés comme des Dieuxpar les peuples archaïques et qui cor-respondent en réalité exactement à la défi-nition que nous nous faisons aujourd'huides extraterrestres...En outre, certains passages et une lectureattentive du Nouveau Testament, nouspermet d'imaginer que ces êtres extrater-restres qui vinrent du ciel sur Terre sontdes rebelles envers l'Ordre CosmiquePrimordial et qu'ils ont fait sécession.Faisant de la Terre leur planète de prédilec-tion, ils y ont instauré un contre-pouvoirqui perdure de nos jours encore à l'insu etau détriment de l'humanité. Si les comptes-rendus des mythes ancestraux relatent que

ces êtres extraterrestres nous ont créé àleur image, ils n'en reste pas moins qu'ilssont d'une nature biologique différente dela nôtre. Cette différence biologique n'em-pêche cependant pas une certaine compati-bilité génétique, puisque le livre de la Genèseet les écrits de Sumer affirment que les"dieux" ou les "ËLohïm" copulèrent avec desterriennes et qu'elles en eurent des enfantsde très grande taille qui furent les héros del'antiquité ; conséquence de l'apport géné-

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Qui sera le Prince suprême du Nouvel Ordre mondial ?

De nombreux ouvrages ouarticles ont déjà large-ment informé le public

d'une grande menace qui pèseaujourd'hui sur le monde, àsavoir l'instauration d'un gouver-nement mondial sur Terre. Noussavons ainsi que l'édification dece gouvernement suit un planminutieux dont chaque étapenous rapproche un peu plus del'échéance finale. Nous connais-sons également la nature infer-nale de ce nouvel ordre mondialdémo(n)cratique, dont la légiti-mité s'imposera à la suite d'unegrande catastrophe. Expertedans la manipulation des mas-ses, cette dictature mondialemontrera son vrai visage une foisqu'elle sera en mesure de contrô-ler chaque individu physique-ment et mentalement. Ce contrô-le se fera avec l'implantation,d'abord volontaire, puis obliga-toire, d'une puce électroniquedans le corps de chaque êtrehumain. Si nous savons beau-coup sur ce plan ténébreux, ilreste néanmoins une questioncruciale en suspend : qui sera lefutur dirigeant du Nouvel OrdreMondial officiellement annoncédepuis 1979 par l'ex-Présidentde la République, Valéry Giscardd'Estaing, puis par Bush père uncertain 11 septembre 1992. (voirla petite vidéo du discours deBush père dans notre cédérom).Il se comprend aisément qu'il nepeut y avoir un système gouver-n e m e n t a l u n i q u e d e c e t t eampleur, sans un leader exerçantson pouvoir avec une autoritéhors du commun. Ce dont le plusgrand nombre ne peut se douter,c'est que ce chef tout-puissantexiste déjà de longuedate et que de gran-des nations, tels lesUSA en tout premierl i e u , f é b r i l e m e n tmaintenant, s'acti-vent à préparer lesconditions propices àsa gouvernance.

Apollon est loin d'être une icône archaïque, née de l'imagination des hommes, et tombée en

désuétude au fil des siècles devant le succès grandissant des religions monothéistes

LE MAÎTRE SECRET DU NOUVEL ORDRE MONDIAL

Voir dans notre cédérom, les vidéos des deux candi-dats à la maison Blanche, répondant à une questionembarrassante sur leur appartenance commune àl’ordre des Skull and Bones

Bush à l’Université de Yale.

Biographie d’ApollonApollon naquit dans l'île deDélos des amours phy-siques de Zeus, le "roi dumonde" à cette époqueque les Romains appe-laient Jupiter (Jovis),avec une "déesse" desecond rang connue sousle nom de La tone (ouLêto). Les oracles le concer-nant à sa naissance dirent delui qu'il serait orgueilleux et qu'ilprétendrait à l'Empire des "dieux".Il était prompt à s'irriter et, il exécutaitde terribles vengeances. Dès l'origine, il futsurnommé “glorif iquement” PhoebusApollon (Apollon- Soleil). Ayant hérité d'unarc et d'une lyre à 7 cordes, il se rendit pareux célèbre comme un chasseur et unmusicien émérite. Sa jeunesse fut tumultueuse. Lorsque eutlieu la guerre des fils et des filles des"dieux" Titans (les Olympiens) contre leursancêtres pour la domination du monde,

Apollon apporta son aide aux Olympiens,ses oncles, tantes et cousins. Quoi que"demi-dieu", il fut admis à régner conjoin-tement avec eux dans leur Assemblée. Ilfut consacré par eux "sauveur des dieux"et bénéficia d'une position privilégiée.Assez rapidement, il choisit d'ériger sontemple à Delphes et y organisa son cultequi fut rendu universellement célèbre parles oracles qui y étaient délivrés par uneprêtresse qualifiée de "Pythie". A noter quece nom découle de Python, de serpent.Raison associative qui le fit, entre autressurnoms, appeler : "Apollon-Phytien".Indication qui sous-entend la nature occultede son obédience. Il fut encore surnommé"le dieu des oracles" et Delphes devint lacapitale des Oracles qui drainait vers elleune foule de quêteurs, même de contréeslointaines.Apollon commit plusieurs meurtres et s'op-posa à son tour un jour à son père qui lepunit sévèrement. Il se rendit encore célèbreen compagnie de son oncle, Poséidon, le"roi de la mer" (un Titan) en construisantun mur de protection de Troie pour le travailduque l i l e x i gea un con t ra t du r o i

Laomédon. La violation de ce contrat lerendit furieux et Poséidon et lui détruisirentle mur en une nuit, son oncle ayant faitsurgir de la mer un "monstre marin" dontla description fait d’ailleurs curieusementpenser à une énorme machine. Le résul tat fut la pr ise de Troie parHéraclès. Comme Arès, Apollon fut un "dieu" guerrier.Mais aussi un civilisateur. À ce jour, il estsecrètement honoré et glorifié par laFranc-Maçonnerie sous l'aspect symboliqued'une étoile à cinq branches au centre delaquelle figure la lettre "G" qui le déterminecomme "Géniteur" (Génitor). Son culteétait philosophique et gnostique. Juin, le mois des Gémeaux lui fut consacré.Le syncrétisme des mythes grecs et égyp-tiens établit une relation indiscutable entreApollon et l'Horus du panthéon égyptien. Ilse fit craindre des humains plutôt qu'aimer.Il admit les sacrifices de vies d'animaux;surtout des chèvres. Par contre, dans sonîle natale à Délos, aucun animal n'étaitsacrifié. On y apportait des offrandes ennourriture.Apollon devint l'assesseur bien-aimé deZeus qui partagea avec lui ses secrets etpouvoirs. Il les lui conféra par la suite et, àson tour, de "prince du monde" il en devintle Roi. L'évangile en évoquant l'existencesur Terre d'une domination injuste et dia-bolique, l'évoqua en tant que "prince de cemonde" ."Maintenant a lieu le jugement de cemonde ; maintenant le prince de ce mondesera jeté dehors." (Jean 12: 31) "Je ne par-lerai plus guère avec vous; car le prince dumonde vient. Il n'a rien en moi;" (Jean 14:30) "Le jugement, parce que le prince dece monde est jugé." (Jean 16: 10).

tique de la race extraterrestre des Titans. Ce fut l'époque du "temps des géants".Selon ce que les Mythes nous en appren-nent, leur longévité n'était pas illimitée, maispouvait être plusieurs fois millénaire. C'est laraison pour laquelle les Grecs anciens lesappelèrent "immortels". Les mêmes sourcesde renseignement les concernant énoncentqu'ils détenaient un secret de longévité queles Grecs appelèrent Ambroisie, les IndousSoma et la Genèse de la Bible "le fruit del'arbre de vie", "fruit" dont la "consom-mation" était interdite aux hommes. À notreépoque, les scientifiques qui décryptent legénome humain espèrent détecter le gène delongévité et sans doute déterminer l'anomaliequi limite à court terme la vie de l'homme...

La nature véritable des "Dieux"Afin que les choses soient bien claires, etpuisque plus de 70 % d'occidentaux se dis-ent chrétiens, il me semble nécessaire deleur remémorer ce que le NouveauTestament révèle de ces extraterrestresdevenus terriens : "Le monde est soumis à

la puissance du malin". En toute logique,nous pouvons donc déduire de cette senten-ce que DIEU ne règne pas sur le genrehumain. La Terre serait donc pour lemoment encore gouvernée par cette"Puissance du Malin", ces extraterrestresautrement appelés "anges déchus", ce quiexplique l'état de mal, de souffrance et demort qui caractérise l'existence des êtreshumains. La synthèse des mythes fait égale-ment apparaître que les appelés "dieux",décidèrent presque brusquement et pourune raison qui serait trop longue à expliquerici, de quitter la surface de la Terre. Cedépart se fit en deux temps semble-t-il, carle continent américain, isolé du reste dumonde, fut vraisemblablement désertéquelques siècles plus tard. Comme le précisele mythe grec en évoquant les allées etvenues qu'Apollon effectuait par la voieaérienne de son temple de Delphes àl'Hyperborée (l'ésotérisme situe l'accès àl'Hyperborée au pôle géographique nord), ilsemble qu'Apollon fut le dernier des "SeptGrands-Dieux" Olympiens à aller et venirvisiblement à travers le ciel en Europe. Sabiographie est de ce fait la mieux connue.

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À notre époque, les scientifiques qui décryptent legénome humain espèrent détecter le gène de longévitéet sans doute déterminer l'anomalie qui limite à court

terme la vie de l'homme...

Le logo dela mission

Apollo 17.La dernière

à s’être ren-due sur la lune.

Est-ce vraimentun hasard si les

missions lunairesfurent accomplies sous

l'auspice du Dieu Apollon ?

Apollon devient le Dieu des DieuxLes Jeux Olympiques furent originellementdédiés à Zeus. Puis ils furent re-consacrésà Apollon en l'an 590 avant notre ère.Comme pour les J.O. modernes qui lui sontdonc consacrés, ils avaient lieu tous lesquatre ans. À celui de 590, il fut ajouté auxépreuves physiques des épreuves pourjoueurs de flûte et gymniques. Les prixattribués étaient des objets d'art et d'ar-gent, puis ils devinrent des fruits consacrésà Apollon, telle la Pomme. Les J.O. de l'an 17 avant J.C. constituèrentpour Apollon à Rome une apothéose. Le troi-sième jour, on offrit de nombreux sacrificesde vies devant sa statue et celle de Diane(sacri faciundi); tandis qu'un double chœurchanta "l'Hymne triomphal d'Horace".Son culte déborda de la région de Grèce ets'étendit en passant par la Gaule jusqu'enAngleterre. De nombreux sites de Francelui ont été dédiés et certaines villes ou villa-ges portent son nom ou en dérivent selonla langue de l'époque : Lug, Abellio. Et laGaulle se couvrit de temples dédiés à ce"dieu" qui fut souvent confondu et assimiléà Mars (Arès), de même, en second lieu, àMercure (Hermès).

Apollon en GrèceSi l'on en croit Virgile, le culte d'Apollonaurait été introduit au Latium par Enée, filsde Priam, après la chute de Troie, c'est-à-dire déjà vers 1300 avant J.C. Le culted'Apollon devint l'un des principaux de laRome pa ïenne, avec ce lu i de D iane(Artémis), sa sœur. Sa statue, qui fut appelée "Apollon duBelvédère", fut introduite au Vatican par lepape Jules II. La Tradition grecque rapporte qu'à chaquefin d'automne, Apol lon s 'envolait deDelphes sur son "char de plumes" (indica-tion symbolique de légèreté de vol de sonovni) ou sur sa "flèche d'Or" (assimilable àune fusée). celle des habitants du Pont-St.Euxin rapporte qu'ils le voyaient passerau-dessus d'eux, allant vers le Nord ou enrevenant au printemps vers Delphes.Selon la chronologie historique qui évoquele statut directorial des "dieux" Olympiens,Apollon fut le dernier des SEPT à régneravant J.C. Comme tous les autres, il finitpar se retirer dans le monde souterrain quisemble devoir être assimilé à cette fameuseHyperborée où la Tradition grecque dit qu'il yrègne un éternel printemps et que l'on nepeut atteindre ni par terre ni par mer. Ne serait-ce pas le fameux et hypothétique

"sixième continent" qui fut entrevu du cielpar l'Amiral Byrd au cours d'un vol histo-rique effectué au-delà du cercle polaire aumilieu du siècle dernier ? Expérience invo-lontaire dont le compte-rendu fut rapide-ment couvert par les autorités...Il y aurait encore beaucoup à dire surApollon. Cette courte synthèse tirée d'ou-vrages sérieux et rares le concernant spéci-fiquement a pour but d'introduire le lecteurà la prise de conscience qui s'impose à l'ap-proche d'évènements gravissimes d'ordrehumain qui doivent favoriser son retourparmi les hommes.

Apollon : l’antéchrist ?Il semble judicieux d'exposer succincte-ment ce qui devrait très prochainementadvenir. Cette révélation découle de la syn-thèse qui peut être faite des prophéties du

Nouveau Testament. Dans celui-ci, le Christa bien annoncé sa Parousie, mais aussi etavant tout le retour préalable d'Apollon qu'iltaxa d'Antéchrist et d'Impie (1 Jean 2 : 18 /4 : 3, 4 / 2 Thessaloniciens 2 : 1-12). Leterme "antéchrist" signifie "celui qui doitvenir avant le retour du Christ". Noncomme précurseur de même obédience,mais comme adversaire. L'antéchrist ne vient pas pour apporter lebonheur et la paix aux hommes, mais pourleur imposer sa dictature à l'échelle mon-diale, car il sait, de même que les autres"dieux", que le temps de leur dominationperverse arrive à son terme. Pour empê-cher cette échéance, les extraterrestresrebelles (les anges déchus) ont besoind'utiliser l'humanité, telle une armée declones ou de robots biologiques, pour com-battre à leur place l'armada qui arrive pourmettre un terme à leur règne. Cette participation massive de l'humanité àcette guerre implique aussi une préparation,une familiarisation des hommes à la techno-logie de pointe et à certains concepts moder-nes. Ceci expliquerait alors l'accéléra-tionultra-rapide et les progrès technolo-giquesfulgurants qu'a connus l'humanité au cours des dernières décennies. Progrès dontcertains disent que les extraterrestres nesont d'ailleurs pas totalement étrangers.Or, Apollon ne peut parvenir à cette prisede pouvoir ultime qu'en se manifestant

ostensiblement, comme autrefois avec lesGrecs. Du reste, certaines grandes nationspréparent consciemment sa dictature(Apocalypse 17 : 12-14), mais plus oumoins en secret, sous le couvert fallacieuxde slogans de fraternité, de démocratie etde paix universelle. Pour Apollon et sesmalfrats cosmiques, il est primordial quel'humanité se soumette librement car ilsera alors plus facile de fédérer les armées

et d'utiliser les industries de pointe quiproduiront les armes appropriées pourdéfendre la Terre contre l'armada divine quidoit éradiquer leur domination.

TT OPOP SECRET - SECRET - 6262

Neurone se développant sur untissu de culture déposé sur le

substrat d'un processeurMotorola 68000

Pour Apollon, il est primordiale que l'humanité se soumettent librement car il pourra alors fédérer les

armées et d'utiliser les industries de pointe qui produi-ront les armes appropriées pour défendre la Terre

L'image de robots biologiques ou declones pour parler de l'humanité est uti-lisée ici intentionnellement afin depointer du doigt une théorie pertinenteselon laquelle certains réalisateursadresseraient des messages très clairsà travers leurs films, messages qu'ilfaudrait juste un peu transposer, ouinverser pour bien les comprendre. Unesérie de films grand public mettent enscène des robots, des machines ouencore des clones. Nous pouvons pen-ser par exemple à La Guerre des Etoiles,Terminator, ou Matrix. Pour décrypterune partie des messages il suffit d'inver-ser les rôles, c'est-à-dire identifier l'hu-manité aux machines, aux clones…etc,et les "Dieux" aux humains. Le scénarioapparaît alors dans un sens totalementdifférent comme s'il révélait tout à coupune autre histoire finalement beaucoupplus proche de nous, de notre passé oude notre futur. De fait, par cette simple substitution, degrandes vérités deviennent alors acces-sibles et beaucoup de choses cachéesdeviennent limpides pour qui se donnela peine de réfléchir.

CLONES, MACHINES ET ROBOTS BIOLOGIQUES

LE MAÎTRE SECRET DU NOUVEL ORDRE MONDIAL

Le texte de l’ApocalypseLe Nouveau Testament révèle ce à quoil'humanité doit s'attendre en un temps quiserait celui de la fin du présent système dechose à l'apparition, puis à l'immixtionparmi elle d'Apollon qu'il désigna sous levocable "d'ange de l'abîme" (du mondesouterrain). Voir à ce sujet : Apocalypse 17 :8, 11 / 9 : 11 / 2 Thessaloniciens 2 : 1-12 / 1Jean 2 : 18 / 1 Jean 4 : 3,4.Selon ce que le chapitre 9 du livre del'Apocalypse révèle, sa sortie du mondesouterrain sera inopinée et succéderaimmédiatement à l'impact avec la Terred'un objet céleste important à un endroitprécis où se situe le "puits" qui y conduit"Le cinquième ange sonna de la trompette.Et je vis une étoile qui était tombée du cielsur la terre. La clef du puits de l'abîme luifut donnée", (Apocalypse 9 : 1) Le "puitsde l'abîme" se trouve au pôle non loin de laSibérie qui vécut déjà la catastrophe deTungunska en 1907. “Elles avaient sur elles comme roi l'ange del'abîme, nommé en hébreu Abaddon, et engrec Apollyon”. (Apocalypse 9 : 11)Le tex te de l 'Apoca lypse le nommeApollyon, ce qui est un "jeu de mot" grecqui signifie "le destructeur" (comme dansEschylle, Agamemnon, verset 1081). Auchapitre 17, afin de permettre de biensavoir que l'Antéchrist est APOLLON, letexte révèle qu'il était du nombre des"SEPT" (grands dieux Olympiens), qu'ilétait visible autrefois, qu'il ne l'est plus,mais qu'il va reparaître et que lorsqu'il serareparu il sera lui-même de ce fait un huitiè-me régnant."La bête que tu as vue était, et elle n'estplus. Elle doit monter de l'abîme, et aller àla perdition. Et les habitants de la terre,ceux dont le nom n'a pas été écrit dès lafondation du monde dans le livre de vie,s'étonneront en voyant la bête, parcequ'elle était, et qu'elle n'est plus, et qu'ellereparaîtra." (Apocalypse 17 : 8). “Et la bête qui était, et qui n'est plus, estelle-même un huitième roi, et elle est dunombre des sept, et elle va à la perdition.”(Apocalypse 17 : 11)Après qu'il sera apparu et se sera imposé auxnations, l'Apocalypse ch.19 révèle (versets 11à 19), qu'il fédérera les armées et les feraéquiper par sa science et l'industrie humained'armes anti-spatiales destinées à faire échecà l'armada extraterrestre revenant du cosmosavec de gigantesques vaisseaux. Il gouvernera l'humanité pendant quelquestemps avec une main de fer, ôtant même

aux humains l'usage de leur libre arbitre parl'imposition universelle de sa "Marque" (intra-dermique) qui sera monétaire, électronique,identificatrice (Apocalypse 13 : 14-18). Leverset 20 annonce qu'il sera finalementcapturé et réduit au silence.

ConclusionLe texte de cette exégèse peut sembleraberrant, farfelu, mais il ne peut l'être quepour celui qui n'a d'autre type de penséeque celui qui découle du conditionnementmental que la civilisation matérialo-intellec-tualiste génère dans le grand public, ce quil'éloigne de la compréhension exhaustiveque le lucide se doit d'avoir des choses etdes évènements fondamentaux qui, juste-ment, la conditionnent à son insu et laconduisent vers un avenir peu enviable,contrairement aux apparences. Cette prisede conscience s'avère individuellementsalutaire, car elle permettra à quiconque yparvient de se déterminer le moment venuface aux évènements. Ce choix ultime seraposé à chacun lorsque Apollon (ou quelquesoit le nom derrière lequel il se cachera)imposera à tous les habitants de la planètesa "marque" d'inféodation et d'infamie.D'ores et déjà, il est compréhensible par cequ'il nous est donné d'analyser à traversl'actualité que cette marque sera la "Micro-Bio-Ship" intradermique. Un "transpon-deur" de la taille d'un grain de riz qui estinterrogeable à distance, même par satellite. Il y a 2000 ans le texte de l'Apocalypsenous a fait savoir ce que serait la "Marquede la Bête". "Et elle fit que tous, petits et grands, richeset pauvres, libres et esclaves, reçussent unemarque sur leur main droite ou sur leurfront, et que personne ne pût acheter nivendre, sans avoir la marque, le nom de labête ou le nombre de son nom. C'est ici lasagesse. Que celui qui a de l'intelligence cal-cule le nombre de la bête. Car c'est un nom-bre d'homme, et son nombre est six centsoixante-six." (Apocalypse 13 : 16-18)Selon ce qu'il nous a déjà été donné de cons-tater, la description correspond assez bien à la"Micro-Bio-Ship" dont on nous dit de plus enplus clairement qu'elle sera un jour prochainla "nouvelle monnaie" devant résoudre tousnos problèmes…définitivement...

Michel Girard

LE JEU DU MEILLEUR CANDIDAT

NDLR : Pour ceux que rebute l'idée d'une créa-ture extraterrestre qui reviendrait sur terre pouren prendre le contrôle, il existe une autre alter-native. Nous pouvons en effet envisager nonpas une entité matérielle mais immatérielle.L'entité Apollon pourrait ainsi s'emparer d'uncorps humain pour se matérialiser dans lemonde. Ce genre de scénario est très courantau cinéma : à la faveur d'un rite satanique uneentité s'introduit dans un corps humain et enprend possession. Dans ce contexte et dans cette perspective,amusons nous un instant à imaginer qui seraitle bon candidat pour accueillir l'entité Apollon. Attention, ce qui va suivre n'est qu'un jeu, unehypothèse qu'il ne faut surtout pas prendre ausérieux. Bref, procédons par ordre. Noussavons que ce candidat devra être beau. Ildevra également être aimé de tous par-delàles nations. Il devra aussi être de sang royalpour être conforme aux traditions. Cherchonsmaintenant un prince de sang royal, beaucomme un Dieu, et aimé par tous les peuples…

Il y en a bien un évi-demment qui vientaussitôt à l'esprit.C ' e s t l e P r i n c eW i l l i a m , l e f r è r ed'Harry. En anglais, ilest : “Harry's Brother”p h o n é t i q u e m e n ttrès proche de HarryPotter. Souvenez-vous de l'éditorial deTOP SECRET N°8 etde la “marque” sur lefront de Harry... Celadevrait vous rappelerun cer ta in récent

scandale (voir plus bas). De plus, le prince William est particulièrementbeau. Il est aimé par tous les peuples dumonde, surtout depuis le décès de sa mèreDiana (Diane était identifiée à la déesseGrecque Artémis, la sœur d'Apollon). Commetout "antéchrist" qui se respecte, ce candidatdevrait commencer son "ministère" à l'âgesymbolique de 30 ans. Le prince William aura30 ans en 2012. Il est du signe des Gémeaux.Il est né un 21 juin, la date du solstice d'été,jour où le soleil est à son apogée. On sait quele soleil est le symbole d'Apollon… Ajoutonsenfin que si la guerre devait éclater au moyenOrient, ravageant Israël, l'Angleterre seraitalors l'autorité historique naturelle à qui l'onpourrait légitimement demander de reprendreles rennes afin de restaurer la paix dans larégion… Bref, autant de coïncidences amusan-tes qui font de William le grand vainqueur dujeu des candidats. Sauf que, et ce détail a sonimportance, jusqu'à preuve du contraire, cen'est pas lui qui deviendra roi d'Angleterre,

c'est son père, le princeCharles… non ?

Ci-contre, Harry faisant scandaleen couverture du Sun. Du painbéni pour tous les conspirationnis-tes. Il se murmure d’ailleurs queWilliam, “Harry’s Brother”, était luiaussi présent ce soir-là, et qu’ilportait à peu près le même accou-trement sinistre que son frère.Mais faut-il croire la rumeur ?

Le prince William

TT OPOP SECRET - SECRET - 6363

Les ObjetLes Objet ss métmétalliquesalliques

IMPOSSIBLESIMPOSSIBLES

L’AntikitheraL'un des plus éclatants exemples d’anomaliearchéologique est ce mécanisme métal-lique très compliqué appelé "ordinateurd'Antikithera" découvert au large de laGrèce en 1900 dans une épave ayantsombré en 87 avant J.C.Composé d'un engrenage différentiel épi-cyclique à 30 roues dentées et de cadrans,

ce dispositif cybernétique, l'un des pluscompliqué au monde, ne fut breveté qu'en1828 et incorporé dans des véhicules auto-mobiles en 1896 ! (Léonard de Vinci avaitnéanmoins décrit une telle technique en

1575). Pour certains, cet appareil a pu ser-vir de planétarium, actionné par une chuted'eau. Le plus étonnant c'est qu'on aitdécouvert cet appareil dans un simplecargo, comme s'il s'agissait d'un dispositifnormal à l'époque. Or, on ne retrouveaucune allusion à son sujet dans aucunancien écrit de cette époque. Son originereste une énigme.

Le poignard de ToutankhamonVous connaissez l'existence des deux petitesmomies à "grosse tête" trouvées dans latombe de Toutankhamon (vo i r TOPSECRET n°16). Il est à jamais impossiblede lever le doute sur leur nature véritable.En effet les deux petites momies ont rapi-dement disparues et à ce jour elles demeu-rent introuvables. Il ne reste d'elles que lessarcophages. Quoi qu'il en soit, ces deuxmomies ne sont pas les seules anomaliestrouvées à l'intérieur de ce fameux tom-beau. Howard Carter et son équipe ont eneffet découvert sur la momie du jeunePharaon, deux poignards presque identiques :

Un texte de Thierry VUn texte de Thierry Van de Leuran de Leur

Certains objets dont l'apparence, la dureté, la précision ou même l'esthétiquepeuvent apparaître totalement banales et parfaitement intégrés dans notrecivilisation moderne, deviennent de véritables casse-tête pour nos scienti-

fiques, lorsque leur datation est estimée à des milliers voire des millions d'années.Ces objets découverts sur des sites archéologiques, dans des couches géologiquestrès anciennes, font exploser les frontières de la science et nous obligent à repenserl'histoire des civilisations.

L'Antikithera

Un autre morceau de L'Antikithera

L'Antikithera vu de côté

L'un des plus éclatants exemples d’anomalie archéologique est ce mécanisme très compliqué

appelé "ordinateur d'Antikithera", découvert dans uneépave ayant sombré en 87 avant J.C

l'un d'apparat en or massif, et l'autre, sûre-ment beaucoup plus précieux, car uniqueen Égypte à l'époque, en fer “inoxydable”mesurant 32 cm de long. Les égyptologuesont tout de suite été étonnés par l'apparencede la lame de ce poignard. À l'exception dequelques points de rouille, celle-ci étaitintacte. Elle semblait totalement propre etbrillante comme de l'acier "inox", en dépitd'un séjour de 3500 ans sous les bandelet-tes de la momie.En 1989 Raymond Terrasse s'étonna endécouvrant la lame brillante de cet objetdans une vitrine du musée du Caire. Leguide montrait le poignard aux touristes enaffirmant qu'il était taillé dans une météori-te ferreuse. Il existe effectivement dans lemonde de nombreux exemples d'objetsrituels réalisés dans ces pierres venues duciel, et il est normal que les archéologuesaient fait le rapprochement avec cettedague d'apparat. Malgré tout, soyonssérieux, la sécheresse de l'air en Égypte ne

peut en aucun cas expliquer le maintienexceptionnel de cette lame pendant 35 siè-cles. Il faut savoir que les objets en météo-rites métalliques sont tout autant oxydableset parfois plus que les alliages de fer ordi-

naires ! En fait, et jusqu'à preuve ducontraire, il n'existe pas dans la nature, àl'état brut, de fer qui soit capable de défierles siècles ! À ma connaissance, seul unacier “inox” pourrait y parvenir. On neconnaissait bien sûr pas le procédé defabrication de l'inox au temps du règne deToutankhamon ! Rappelons qu'à l’époquedu jeune pharaon, les Egyptiens se ser-vaient exclusivement de cuivre, de bronzeet bien sûr d'or, métaux assez mous et facilesà façonner. Les outils et les armes en fer,ont commencé à être utilisés à partir de l'an800 avant J.C. Il est donc peu probable queles Égyptiens aient pu façonner cet objeteux-mêmes. En fait ce précieux et mysté-rieux poignard était sûrement un cadeau"royal", pourvu d’une origine sans doutebeaucoup plus ancienne. A-t-on vérifié si l'objet émettait ou non desradiations ? L’a-t-on réellement analysé ?Outre sa lame exceptionnelle, le poignardpossède un manche dominé par un pom-

meau de cristal de roche, autre matériaurarissime qui ne peut être travaillé qu’àl’aide de diamants. Ces deux particularitésréunies font de ce poignard un exemplairevéritablement unique et étrange.

Le pilier en fer d'AshokaEn Inde, dans la cour d'un temple de NewDehli, le célèbre pilier en fer d'Ashoka, (7mde haut, 6 tonnes), ne rouille toujours pasdepuis…15 siècles, malgré l 'humiditéextrême ! Il est à remarquer que le métalde beaucoup d'autels et d'objets de culte,en Inde et au Népal, jouissent d'une semblableet miraculeuse incorruptibilité. Le 18 juillet 2002, les métallurgistes del'Institut Indien de Technologie de Kanpuront annoncé qu'ils avaient percé le mystère !Ce serait une fine couche de "misawite", un

Howard Carter et son équipe ont découvert sur lamomie du jeune Pharaon deux poignards : l'un

d'apparat en or massif, et l'autre, sûrement beaucoupplus précieux, car unique en Égypte à l'époque

Les deux poignards retrouvés surla momie de Toutankhamon

EXEMPLES D'OBJETS EN MÉTÉO-RITES MÉTALLIQUES

Dans l'Himalaya le Phurbu est l'outil théra-peutique employé par le chaman, en vuede guérir une maladie physique ou psy-chique, ou d'exorciser les cas de posses-sion. Il est généralement en bois, mais ilen existe en météorite ferreuse, remon-tant parfois au 10e siècle. PHURBU est unnom tibétain qui signifie "dague rituelle"ou "poignard rituel". Autre exemple, en Indonésie, à Bali, surles hauteurs, une cérémonie appelée"Danse du Kriss". Le Kriss est un poignardde grande valeur spirituelle dont la lameest faite de météorite ferreux (qui luidonne un aspect veiné très particulier).Les danseurs miment l'attaque par le por-teur du Kriss des dieux qui protègent leursadversaires. Tous se mettent en transe aufur et à mesure de la danse.

TT OPOP SECRET - SECRET - 6565

composé de fer, d'oxygène et d'hydrogènequi protègerait le pilier de la rouille.Elle se serait formée de façon naturelle dansles trois années qui suivirent l'érection dupiler et ce film protecteur aurait poursuivi sacroissance pour atteindre son épaisseuractuelle de 1/20e de millimètre.Cette protection se serait formée par catalyseg râce à l a p ré sence impo r t an te dePhosphore. Cette forte concentration étantelle-même le résultat de la fabrication du ferpar les anciens indiens qui mélangeaient leminerai avec du charbon de bois.

NanotechnologieÀ partir de 1991, des expéditions scienti-fiques russes ont découvert dans l'Oural desobjets métalliques, spiralés pour la plupart,dont la taille varie de 3 centimètres pour lesplus gros à 3/1 000e de mil l imètre (3microns), presque invisibles à l'œil nu !Des milliers de ces artefacts ont été trouvéssur les rives de plusieurs cours d'eau à desprofondeurs de 3 à 12 m.Les plus gros de ces objets sont en cuivre,t and i s que l e s p l u s pe t i t s son t entungstène (point de fusion de 3410°c.)ou en molybdène (point de fusion de2650°c.). L'âge de ces objets est estiméentre 20 000 et 318 000 ans !Il se pourrait que ces pièces parfaites pro-viennent de "nanomachines", sortes desondes chirurgicales employées en microchi-rurgie… L'Institut central d'investigation géo-logique et de prospection des métaux pré-cieux non ferreux (Znigri), de Moscou apublié un rapport qui conclut : "Les donnéesobtenues permettent d'envisager la possibilitéd'une technologie d'origine extraterrestre".

ConclusionIl y a 5 ou 6000 ans, dans la région du lacSupérieur, au Canada, de mystérieux mineursvenus d'ailleurs ont extrait d'immense quantitéde cuivre. Ils n'ont laissé aucune trace deleur passage ni de leur précieux butin.La région en question : le Michigan CopperCountry (péninsule Keweenaw et Isle Royale)a fourni au monde jusqu'au milieu du XXe siècle,d'énormes quantités de cuivre. Elles étaientconnues depuis la découverte de l'Amérique.Ce cuivre natif n'a pas besoin d'être affiné ; ilpeut être façonné directement.Cette mine composée de 5000 fosses dontcertaines mesurent 12 m de long et 3 m deprofondeur a produit pour de mystérieux

mineurs non identifiés, la bagatelle de 45 à225.000 tonnes de minerai. Le chiffre le plusgrand étant le plus probable. 45.000 tonnesreprésente déjà à lui seul beaucoup plus decuivre travaillé jamais utilisé dans les deuxAmériques ! Les Indiens n'ayant aucunetradition se rapportant à ces mines ; aucunvestige d'habitations n'ayant été retrouvés,on est en droit de se poser des questions surl'identité des véritables exploitants de cettemine. On sait que ces mineurs primitifs repré-sentaient une société hautement organiséeemployant beaucoup de main-d'oeuvre, orune telle société aussi avancée aurait dûlaisser un témoignage ; il n'en est rien.L'extraction a pourtant duré plus d'un millierd'années et a nécessité au moins 10.000hommes qui bien entendu vivaient selontoute logique, à proximité de la mine. C'est àcroire pourtant que ces ouvriers venaientd'ailleurs, en avion ou en hélicoptère, pourextraire le minerai, et qu’ils rentraient chezeux le soir à des milliers de kilomètres !

Reste à savoir s’ils faisaient ces kilomètresvers le haut ou vers le bas ? Grâce auxsondes ioniques qui analysent l'oxygène

contenu dans les pierres et permettent dedéterminer leur origine géographique, sau-rons-nous un jour, où, et sous quelle forme,se cache ce fameux cuivre ? Grâce à ce pro-cédé, on sait à présent d'où viennent parexemple les pierres insérées dans la couronnede Saint Louis : d'Autriche, d'Inde et -d’aprèscertains auteurs- de…Colombie ! Et oui,décidément Colomb n'aurait pas été lepremier à avoir découvert l'Amérique.

Tierry Van de LeurÉcrire à l’auteur :

[email protected]

Les internautes passionnés de découvertesarchéologiques peuvent également décou-

vrir d’autres artefacts sur le site ami :http://www.ldi5.com

Des expéditions scientifiques russes ont découvertdans l'Oural des objets métalliques manufacturés dont

la taille varie de 3 centimètres pour les plus gros à 3microns, datant de 20 000 et 318 000 ans

Exemple d’objetspiralé découvertdans l’Oural pardes chercheursd’or dans un pre-mier temps, puispar des scienti-fiques

Le célèbrepilier en ferd'Ashoka

TT OPOP SECRET - SECRET - 6666

De la nanotechnologie datant de 180 000 ans ?

VIDEOS D’OVNIVIDEOS D’OVNIUne série de documents vidéo de la Nasa, faisant apparaître des anomalies

POUR ÊTRE CERTAIN DE NE MANQUER AUCUNE VIDÉO, RETROUVEZ CES VIDÉOS ETD’AUTRES DANS LE DOSSIER “VIDÉO” ACCESSIBLE À LA RACINE DU CDROM

L’interview de MariusDewilde

Apparition mariale en Egypte Investiture. Le signe sata-nique qui a fait du bruit...

Base souterraine

Bush. Interview Skull etBones

Kerry. Interview Skull etBones

Bush Père. Discours NouvelOrdre Mondial

Version longue de la vidéo d’unovni au-dessus de la chine

TR3A. Vol à basse altitudeTR3A. Vol en escadrille. TR3A. Vol au-dessus deMexico

TR3A. Vol au-dessus deMexico. Gros Plan

TR3A. Vol de croisière

Vidéo sur L’aréa 51 L’ovni visible lors du crashde Columbia

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Depuis quatrDepuis quatre cent mie cent mi ll ll ions d'années lesions d'années lesinsectes ocinsectes occupent notrcupent notre monde de fe monde de façonaçonprpr épondérépondérante. . .ante. . . PPar leurs nombrar leurs nombres, pares, parleurs industries étonnantes leurs industries étonnantes et leurs comporet leurs compor--tements par t i cu ltements par t i cu l ie rs qu i , coup lés à desiers qu i , coup lés à desadaptat ions radaptat ions r éuss ies leur acéuss ies leur ac corcor dent undent unrraayyonnement sans partage, les peuples desonnement sans partage, les peuples desinsectes se sont toujours imposés commeinsectes se sont toujours imposés commeles maîtrles maîtres.es.

ÀÀ de nombrde nombreuses reuses reprises, les insectes onteprises, les insectes onttrt r ouvé la rouvé la r éuss iéuss i te de la soc iabite de la soc iabi ll ii té . Lesté. Lesprpr ouessesouesses phphysiques, le vysiques, le vol, l 'acuiol, l 'acui té desté dessens, les nivsens, les niveaux de reaux de résistances poussésésistances poussésaux extrêmes apparaux extrêmes apparaissent sans comparaissent sans comparaisonaisonpossible apossible avvec d'autrec d'autres animaux.es animaux.

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