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V2 09/02/2007
Balade Pré Raymond – Lac du Crozet - Col de La Pra – Lac du Grand Doménon
22 octobre 2006 C'est une belle combinaison de balade et randonnée dans l'un des plus beaux paysages de montagne.. La référence dans Belledonne avec un dénivelé respectable (plus de 1200 m) et des paysages et un panorama grandioses. Le lac du Crozet (1976 m), le col de la Pra (2180 m) et les Lacs du Doménon (2380 m) sont de très beaux buts de randonnée.
Départ de Grenoble : Grenoble, Gières, Domène direction Freydières passez devant les granges de Freydières (1.365 m) et son petit lac. Prenez la route forestière à gauche et garez-vous au terminus « Pré Raymond »
Randonnée Prendre la piste qui part sur la droite. Après une demi-heure, la piste redescend, on la quitte pour prendre un sentier qui part en montant sur la gauche. On marche ainsi une heure dans la forêt pour en sortir finalement et déboucher sur le lac du Crozet. L'endroit est magnifique. Mais il ne faut pas trop s'y attarder! On continue en direction du col de la Pra (2150m ) Prendre alors la direction des lacs de Doménon
Carte IGN TOP 25 3335 OT Chamrousse Belledonne
On contourne les cascades par un passage pas très amusant sur la gauche, c’est l’ultime montée dans de gros éboulis qui permet d'atteindre le barrage naturel du premier lac, le Petit Doménon. Longer ensuite les deux lacs en les contournant par la gauche.
Longueur 14,872 KmDénivelé + 1200 mDénivelé - 1200 mDurée 6h 30Alt. Max 2400 mAlt. Min 1369 m
Profil randonneur Vit. montée 300 m/hVit. descente 400 m/hVit. plat 4 km/h
Le lac du Grand Doménon Le lac de Grand Doménon, à 2400 mètres, sous son pic de 2802 mètres
Balade vue en plan
Le Grand Colomb
Col de La Pra
Pic du Grand Doménon
Pré Raymond Départ
Refuge de La Pra
Lac du Crozet
Lac du Petit Doménon
Lac du Grand Doménon
Pique-nique
Grande Lance de Domène
Petite Lance de Domène
Balade coupe
Pré Raymond 1369 m
Lac du Crozet 1976 m
Pré Raymond 1369 m
Col de La Pra 2180 m
15h 10 12h 2512h 389h 06 11h 0310h 27 13h 25
Col de La Pra 2180 m
14,872 km 0,000 km 3,970 km 5,510 km 7,435 km 9,3800 km 10,900 km
Lac du Crozet 1976 m
Pique-nique 2400 m
Lacs du Grand et du Petit Doménon
Balade pierrier
Pierrier
Lac du Crozet
Lac du Petit Doménon Lac du Grand
Doménon
Balade pierrier (suite)
Lac du Petit Doménon
Vue 3D balade
Lac du Crozet
EST
La PraDépart
Pré Raymond
Lac du Petit et du Grand Doménon
Lac de la Grande Sitre
Lac Blanc
Grd Pic de Belledonne
Grd Lance de Domène
Pic du Grd Doménon
Pte Lance de Domène
Le Grand Colomb
Lacs Sept Laux
Croix de Chamrousse
Grand Colomb
Grand Maison
Gde Lance Domène
Grand Pic de Belledonne
Roc de l’Homme
Pic Gd Domenon
Grand Sorbier
Lac du Verney
La Romanche
Grande Rousses
Taillefer
La Romanche
Eau d’Olle
Vue générale 3D
Vue générale « Google earth » 3D
Taillefer
Lacs Sept Laux Grand
Maison
Lac du Verney
La RomancheLa Romanche
Toponymie
La Pra Pra, Prâ, Pradex, Pradières, Pradou, Pran, Prary, Pras, Pratchie, Pratei, Pratey, Pratzey, Prau, Praux, Praz, Prazier, Prazon, Pré, Préi, Prélionne, Prérat, Prés, Presles, Prétat, Prétiel, Pro, Proz Pré cultivé pour le foin, pâturage. Vieux français prade, prée, qui sont féminins et dérivent du latin pluriel pris pour un féminin prata du neutre pratum, « pré, prairie ; herbe, gazon, pelouse ; champ, terrain », latin médiéval prato, « pré », d´une racine indo-européenne *pra :-, « courber ». Français pré, « terre où l´on recueille du foin, ou qui sert au pâturage » :
Pré du Canal, lieu-dit (Yverdon-les-Bains, district d´Yverdon, Vaud) ; Les Prés, chalets (Val Montjoie, Haut-Faucigny, Haute-Savoie).
Formes patoises :
Pra Petit (Vauderens, district de la Glâne, Fribourg) ; Prâ Saint, lieu-dit (Muriaux, district des Franches-Montagnes, Jura) ; Les Pras, lieu-dit (Sarreyer, Bagnes, district d´Entremont, Valais) ; Rière Prau, maison isolée, et Forêt de Prau (Péry, district de Courtelary, Jura bernois) ; Les Praux, maisons isolées Praz, villagium dou Pra en 1375, nom allemand Matten, « prairies » La Praz, attesté en 1330, Prata en 1400, Lapraz en 1867, commune et village (District d´Orbe, Vaud) ; …………….. / ……………
… Pour en savoir plus : http://suter.home.cern.ch/suter/toponymes.html#Recherche
Belledonne 3 versions de l'étymologie de « Belledonne » : En venant du col du Glandon (ex Royaume de Savoie), le grand pic ressemble à une mère avec son enfant dans les bras d'où « Bella Donna » (la belle femme). Trouvé dans « Arvillard ses lieux-dits, ses légendes » : « D'après Rousset, ce mot viendrait d'une racine pré-indo-européenne : BAL, qui signifiait rocher élevé et qui aurait évolué en BEL puis BELLE. Pour expliquer qui pouvait être cette BELLE » on ajouta DONNE. D'où : Les Belledonnes = les belles femmes.Trouvé dans « Arvillard ses lieux-dits, ses légendes » : G Tuaillon rappelle que les gens du pays ne donnaient pas de noms aux massifs montagneux. Belledonne est d'abord le nom d'un petit torrent. Ce n'est q'au XVIII° siècle que le nom a désigné la montagne. Et en Celte, le mot DONNE signifie vallée. D'où LES BELLEDONNES = les belles vallées".
Le secret Michelle Chiecchio
Chamrousse Chamrousse kan (flanc de colline) Chamrousse Commune et village de Belledone, près de Grenoble (Département de l´Isère). Calmen Rupham en 1260, celtique calmis, et rousse ; orthographié Champrousse sur la Carte de Cassini vers 1750, par attraction du français champ, voir Charousse. Calmis [mot gaulois] Terrain ouvert, haut plateau dénudé et rocheux, séchard, d´un préceltique calma, « terre déserte », racine indo-européenne *kel-, kela-, « être élevé ; colline ». Ce nom apparaît au Moyen Age sous les formes calma, chalme, « champ, pâturage ». Devenu en vieux français chaux, lieu improductif, en patois romand tsau, et en patois valaisan tsa.
Crozet Crâ, Crau, Crausa, Crausaz, Crause, Crauses, Craux, Creusa, Creusaine, Creusats, Creusaz, Creuse, Creuses, Creuset, Creusettes, Creusiers, Creusis, Creuson, Creusot, Creux, Creuzat, Croisette, Croisettes, Crosa, Crosaillon, Crosat, Crosats, Crosattaz, Crosayes, Croset, Crosetta, Crosette, Crosettes, Crosex, Croson, Crosses, Crossettes, Crou, Croue, Crouey, Crouja, Crous, Crousa, Crousaz, Croux, Crozat, Crozats, Crozattes, Crozet, Crozot, Crua, Crusaz Endroit creux ou concave, vallon encaissé, creux d´eau, mare où l´on abreuve les bestiaux, trou, fosse. Ancien français crues, « creux plus ou moins profond », creus, « profondeur », adjectif cruose, « creuse, creux », roman cros, croz, crotz, « trou », latin vulgaire *crosus, *crosa, « creux », celtique *crosu, *croza, « marmite » ou « creuset ». Français creux, « dépression » :
Le Creux au Loup, lieu-dit (Les Genevez, district des Franches-Montagnes, Jura) ; Patois crau, cro, crouè, « creux, dépression de terrain, cavité » : Crâ Forney, hameau (Rueyres-Saint-Laurent, district de la Sarine, Fribourg) ; Crau (Villarsel-le-Gibloux, district de la Sarine, Fribourg) ;
Ancien français creuset, creuset, « petit creux », avec les suffixes diminutifs -et : Creuset de la Haie, lieu-dit (Bessans, Haute-Maurienne, Savoie) ; Les Crosets, hameau, et Collines des Crosets, sommet, 2033m (Val-d´Illiez, district de Monthey, Valais) ; Crozet, Croset en 1332, Apud Crozetum en 1437, commune et village (Pays de Gex,
Ain). Avec le suffixe diminutif -on :
Avec le suffixe diminutif -ot : Le Creusot, lieu-dit (Leytron, district de Martigny, Valais) ; Le Crozot, pâturage avec maisons isolées (Le Locle, Neuchâtel).
Toponymie (suite)
Langueur Cerisier, 2002
Chantal Balme
Histoire et légendes
La Houille Blanche “Il semble que le moindre filet d’eau dans les grandes hauteurs n’est plus de l’eau, mais de la houille noire qui sort automatiquement du sol, et alorsle nom de “Houille Blanche” pour baptiser ces richesses vient naturellement à l’esprit.”
Aristide Bergès 1889.
Ingénieur français né à Lorp (Ariège) en 1833 et mort à Lancey (Isère) en 1904. Après des études secondaires à Toulouse, il entreprend des études d'ingénieur de l'Ecole Centrale des Arts et Manufactures d'où il sortira deuxième de sa promotion en 1852. Il travaille tout d'abord dans la papeterie familiale, mais à la suite de mésententes, il part en 1854 et entre comme ingénieur au service technique du Crédit Immobilier à Paris. Il y reste juste le temps d'inventer une machine à mettre en place les pavés des rues parisiennes. En 1855, il part en Andalousie dans une entreprise de construction de chemin de fer. Il y restera quelques années puis reviendra au pays natal. Mais Berges a de grandes idées et de grandes ambitions et il décide à partir de 1860 de devenir ingénieur conseil en papeterie ce qui le conduira à quitter l'Ariège et à se déplacer en France. Il profite en 1866, d'une proposition de l'industriel grenoblois MATUSSIERE, pour se rendre en Isère afin d'étudier un projet d'installation de fabrication de pâte de bois.Lors de ce séjour dans le Grésivaudan il découvre la richesse hydraulique de la région et décide de créer, une râperie de bois à Lancey. Le site lui semble en effet très bien placé pour réaliser l'idée qu'il a d'utiliser des chutes d'eau de faible débit mais de grande hauteur pour faire tourner les machines très consommatrices d'énergie et en particulier pour actionner ses deux défibreurs. Aristide Bergès fait construire une conduite forcée de 200 mètres de dénivelé qui sera inaugurée en 1869. L'idée d'une telle installation n'était pas nouvelle, mais Bergès est le premier à avoir osé réaliser en France une chute d'une telle hauteur. En 1882, il va porter sa chute à 500 mètres en utilisant les eaux du lac du Crozet situé à 1968 mètres d’altitude. Il dispose alors d’une puissance de six mille chevaux à débit constant. Cela lui permet de fabriquer plus de deux milles tonnes de papier par an. Les moteurs électriques couplés aux turbines renforcent cette révolution technologique. Lors de l'Exposition Universelle de 1889, Bergès attirera l'attention du monde scientifique et industriel en exposant une turbine accouplée à une dynamo et en faisant la promotion de cette source nouvelle d'énergie presque gratuite facilement accessible à l’industrie et exploitable économiquement pour des applications électriques”. C’est en comparant l'énergie hydroélectrique à celle obtenue avec le charbon très utilisé dans l'industrie à l'époque, qu’il inventera le terme de houille blanche. Vers 1890, la puissance électrique disponible à Lancey va excéder les besoins de la papeterie. C'est justement à cette époque que commence la production industrielle de l'électricité pour l'éclairage. Aristide créera en 1898 la "Société d'Eclairage Electrique de Grésivaudan" qui amènera le courant à Grenoble et dans les environs. Aristide Bergès meurt le 28 février 1904, à l'age de 71 ans, un an après avoir reçu l'hommage du Congrès pour l'avancement des Sciences.Il sera enterré à Toulouse. Sur son monument, au cimetière de Terre-Cabade.
Aristide BERGES, père de la Houille Blanche Sources : Le Dictionnaire des Inventeurs et des Inventions - LAROUSSE
Histoire et légendes (suite)
Enveloppe commémorative de la première application industrielle de la Houille Blanche
Site de l’association Aristide Bergès http://www.aab.asso.fr/index.htm
Lac du Crozet (altitude 1 968 m) - La Combe-de-Lancey En 1869, A. Bergès installe sur le ruisseau de La Combe-de-Lancey une conduite forcée. Celle-ci devait produire l’énergie nécessaire pour entraîner, par l’intermédiaire d’une turbine, les deux défibreurs qui râpaient le bois pour faire de la pâte à papier dans l’usine située en bas de la gorge. Afin d’assurer la quantité et la régularité du débit des eaux, A. Bergès aménage le lac du Crozet en plusieurs étapes. En 1885, un siphon de sept mètres est construit entre les deux bassins anciens. En 1889 Le seuil rocheux qui sert de déversoir naturel est relevé de 3,50 mètres En 1896, la digue est ensuite haussée réalisant ainsi la retenue que l’on peut voir aujourd’hui. Pour finir, un tunnel de vidange de 230 mètresde long est construit afin d’utiliser la totalité du volume d’eau accumulé. La réserve du lac est, dès lors, de 1 270 000 mètres cubes.
Electricité L'électricité est connue depuis fort longtemps. Thalès de Milet, mathématicien, physicien et astronome grec qui vécut vers 600 avant J.C., connaissait déjà la propriété de l'ambre d'attirer des matériaux légers. C'est d'ailleurs par référence à l'ambre jaune (elektron en grec) que fut créé le mot. L'ambre jaune, résine fossile de conifères, a été employée depuis l'antiquité comme matière noble pour faire des bijoux.
Ambre
Conduite forcée à l’aval du lac du Crozet
Le massif de Belledonne
La chaîne de Belledonne, au sens très large des géologues, couvre un long alignement de massifs qui se prolongent les uns les autres en s'intégrant à l'ensemble des massifs cristallins externes des Alpes. Ce sont, du nord au sud,
• le massif du Grand Arc, • le massif de la Lauzière, • le massif des Sept-Laux, • le massif de Belledonne proprement dit, • le massif du Taillefer.
Ces massifs ne sont séparés par aucun hiatus structural : en effet les entailles de vallées de la Romanche, de l'Arc et de l'Isère sont totalement indépendantes des structures tectoniques et traversent celles-ci sans que s'observe de décalage ni de torsion d'une rive à l'autre.
Géologie
La chaîne de Belledonne et le Grésivaudan, vus d'enfilade.
Vue prise d'avion, du sud et d'environ 8000 m d'altitude L.D = Grande Lance de Domène ; L.A = Grande Lance d'Allemont. R.E = rameau externe ; a.MB = accident médian ; R.I = rameau interne ; a.P = accident de La Pra. Les tirets rouges localisent la limite socle - couverture (surface de la pénéplaine antétriasique), en fait largement masquée par les dépôts superficiels quaternaires. Les tirets émeraude soulignent la surface de base du complexe ophiolitique de Chamrousse que le socle de la montagne appartient
Les basses pentes occidentales du massif sont formées par la partie inférieure de la couverture sédimentaire, d'âge liasique à Jurassique moyen, ce dernier formant une ligne de reliefs, parallèles à la vallée de l'Isère (Grésivaudan), qui sont qualifiés de "collines bordières", Comme dans tout le reste de la chaîne le socle cristallin du massif de Belledonne proprement dit est partagé en deux ensembles distincts par l'accident médian
Massif de Belledonne proprement dit : Aperçu d'ensemble Géologie (suite)
Massif de Belledonne proprement dit : Aperçu d'ensemble Géologie (suite)
Forme de l'interface socle / couverture Géologie (suite)
La déformation subie par le chapelet des massifs cristallins externes dont fait partie le massif de Belledonne, lors de la formation de la chaîne alpine, se déduit de la géométrie actuelle de la surface de séparation entre socle cristallin et terrains sédimentaires (ancienne surface de la pénéplaine anté-triasique). Cette géométrie est fondamentalement d'une grande simplicité puisqu'elle consiste, à des détails près, en une vaste et ample voûte anticlinale. Cette voûte culmine sur deux de ses transversales, d'une part au Mont-Blanc et d'autre part à la traversée de la vallée de l'Arc ; elle s'abaisse d'une part au nord, en Valais, plus au sud en Beaufortain septentrional, et d'autre part vers le sud à la latitude de Grenoble (partie sud du massif de Belledonne proprement dit). Elle est d'autre part très dissymétrique : • le flanc occidental de cette voûte du socle cristallin supporte en contact stratigraphique normal une couverture sédimentaire dont les
termes compris entre le Trias et le Bajocien constituent le balcon de Belledonne et ses collines bordières. On trouve en de nombreux points des témoins de la surface de l'ancienne pénéplaine anté-triasique et l'on peut constater que celle-ci est simplement incurvée, son pendage s'accentuant en s'éloignant de la voûte du pli
• du côté sud-est au contraire un système de failles à fort pendage vers l'est effondre en marches d'escalier la limite socle -
sédimentaire, et ce sont souvent des termes d'âge nettement post-triasique qui viennent en contact plus ou moins direct avec le socle cristallin.
Forme de l'interface socle / couverture (suite)
Le "synclinal bordier de Belledonne" correspond, en profondeur, à la zone de changement de pendage de l'interface socle cristallin - couverture. Il est représenté plus au nord, dans les Bornes, par le trans-synclinal de Serraval.
Le dessin de l'interface socle-couverture est celui fourni par les sondages sismiques de la campagne ECORS. Dans le socle les demi-
flèches encadrant la ligne de tirets et de points d'interrogation indiquent l'hypothétique surface de chevauchement du massif de Belledonne (pour plus de détail voir la page spéciale consacrée à cette hypothèse).
Géologie (suite)
Tectonogramme très schématique De la géométrie tectonique du socle cristallin et de la couverture aux environs de Grenoble
Les grosses demi-flèches délimitent la zone du cisaillement dextre des massifs subalpins septentrionaux : • les demi-flèches de gauche, pointant vers le nord-est, correspondent à peu près au tracé
de la limite entre Jura et massifs subalpins septentrionaux ; • les demi-flèches de droite, pointant vers le sud-ouest, correspondent à peu près au tracé
des failles du faisceau de Vizille (bordure occidentale des affleurements cristallins de Belledonne).
• La grosse flèche indique le déplacement supposé des massifs cristallins externes par le jeu de ce coulissement.
a.mB = accident médian de Belledonne ; f.cO = faille du col d'Ornon : f.BE = faille de la bordure est de Belledonne (son prolongement septentrional très vraisemblable) ; f.Ch = faille du Chambon. ØSé = chevauchement rétroverse du Sénépy.
Géologie (suite)
Vue d'ensemble des massifs subalpins septentrionaux Dans leur contexte, entre le Jura et le sillon périalpin à l'ouest et, d'autre part, les massifs
cristallins externes et le domaine dauphinois à l'est Géologie (suite)
Photo: Anonyme Belledonne En montant, vue sur la vallée du Grésivaudan
Photo: Anonyme Belledonne En montant, sous le lac du Crozet
Photo: Anonyme Belledonne
La cascade en dessous du lac du Crozet, traversée par la conduite forcée
Photo: Anonyme Belledonne Conduite forcée à l’aval du lac du Crozet
Photo: Anonyme Belledonne Le lac du Crozet vue sud-est, la Chartreuse est derrière
Photo: Anonyme Belledonne Le lac du Crozet devant la Chartreuse
Photo: Anonyme Belledonne Le lac du Crozet devant la Chartreuse
Photo: Anonyme Belledonne Le lac du Crozet devant la Chartreuse
Photo: Anonyme Belledonne Vue du col de la Pra, vers le lac du Crozet
Photo: Anonyme Belledonne Vue du col de la Pra, vers le lac du Crozet
Photo: Anonyme Belledonne Vue du col de La Pra
Photo: Anonyme Belledonne Vue vers la Grande Lance de Domène du col de la Pra
Photo: Anonyme Belledonne Au dessus de La Pra
Photo: Anonyme Belledonne Torrent sous les lacs du Doménon
Photo: Anonyme Belledonne Cascade à l’aval du lac du Petit Doménon,
Photo: Anonyme Belledonne Le lac du Petit Doménon
Photo: Anonyme Belledonne Arrivée au lac du Petit Doménon
Photo: Anonyme Belledonne Le torrent partant du lac du Petit Doménon
Photo: Anonyme Belledonne Au-dessus du lac du petit
Photo: Anonyme Belledonne Le lac du Grand Doménon
Photo: Anonyme Belledonne Au-dessus des lacs du Domènon
Photo: Anonyme
Belledonne Les lacs de Grand Doménon et
du Petit Doménon, à 2400 mètres, sous le pic du même nom 2802 mètres
Photo: Anonyme Belledonne Nouveau refuge de La Pra (non vu au cours de cette balade. Le refuge de la Pra vient d'être rénové et offre beaucoup d'espace et de confort.)
Situé dans un cadre agréable et facile d'accès: -2h30 depuis Freydières -2h30 depuis la Croix de Chamrousse (accès en téléphérique) -3h30 depuis Chamrousse
Photo: Anonyme Belledonne Nouveau refuge de La Pra (non vu au cours de cette balade)
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