décider de réussir

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Sommaire

3 Introduction

5 Pour gravir le premier degré de l’échelle

11 Le deuxième échelon concerne l’utilisation des forces mentales

19 Pour passer au troisième échelon il faut réussir à s’affirmer

25 Le quatrième échelon, pour changer l’inquiétude en sécurité

31 Le cinquième échelon - Avoir le courage d’être heureux

39 Le sixième échelon - Réaliser hardiment ses désirs

47 Le septième échelon - Apprendre à réussir

53 Le huitième échelon - Utiliser ses pouvoirs créatifs

57 Le neuvième échelon - Avoir foi dans la vie

63 L’alliance avec le destin.

Sommaire

3 Introduction

5 Pour gravir le premier degré de l’échelle

11 Le deuxième échelon concerne l’utilisation des forces mentales

19 Pour passer au troisième échelon il faut réussir à s’affirmer

25 Le quatrième échelon, pour changer l’inquiétude en sécurité

31 Le cinquième échelon - Avoir le courage d’être heureux

39 Le sixième échelon - Réaliser hardiment ses désirs

47 Le septième échelon - Apprendre à réussir

53 Le huitième échelon - Utiliser ses pouvoirs créatifs

57 Le neuvième échelon - Avoir foi dans la vie

63 L’alliance avec le destin.

Sommaire

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Introduction

Tout le monde aspire à la réussite et au bonheur, le plus souvent sans se rendre compte que, pour atteindre ces objectifs, il suffit de transformer son attitude envers la vie afin de s’en faire une alliée et de la rendre plus facile. Pour cela, il faut remodeler son être intérieur et modifier sa façon de vivre. Il faut surtout éviter d’être défaitiste, comme les nombreux mécontents qui se plaignent sans cesse de leurs déboires et de leurs échecs. Comme le fait remarquer John Gray, « Réussir ne veut pas dire rester debout en toutes circonstances; cela signifie savoir se relever à chaque fois que l’on tombe. » L’homme n’a pas le pouvoir de changer les événements extérieurs mais il peut se changer lui-même pour les affronter avec sérénité et découvrir ainsi que, même quand l’une des faces de la vie est sombre, l’autre peut, au contraire, être lumineuse.

C’est un art de réussir sa vie. Pour accumuler victoire sur victoire, voici les dix échelons à suivre : 1. Adopter une attitude positive 2. Utiliser ses forces mentales

3. Réussir à s’affirmer 4. Transformer ses soucis en sécurité

5. Avoir le courage d’être heureux 6. Réaliser ses désirs

7. Apprendre à réussir 8. Utiliser ses pouvoirs créatifs

9. Avoir foi en la vie

10. Faire du destin son allié

Même si certains reconnaissent que ces échelons sont ceux du bonheur, beaucoup passent la plus grande partie de leur vie à les gravir lentement; alors que d’autres procèdent par bonds et accèdent aux échelons supérieurs en quelques jours ou en quelques heures.

Introduction

Tout le monde aspire à la réussite et au bonheur, le plus souvent sans se rendre compte que, pour atteindre ces objectifs, il suffit de transformer son attitude envers la vie afin de s’en faire une alliée et de la rendre plus facile. Pour cela, il faut remodeler son être intérieur et modifier sa façon de vivre. Il faut surtout éviter d’être défaitiste, comme les nombreux mécontents qui se plaignent sans cesse de leurs déboires et de leurs échecs. Comme le fait remarquer John Gray, « Réussir ne veut pas dire rester debout en toutes circonstances; cela signifie savoir se relever à chaque fois que l’on tombe. » L’homme n’a pas le pouvoir de changer les événements extérieurs mais il peut se changer lui-même pour les affronter avec sérénité et découvrir ainsi que, même quand l’une des faces de la vie est sombre, l’autre peut, au contraire, être lumineuse.

C’est un art de réussir sa vie. Pour accumuler victoire sur victoire, voici les dix échelons à suivre : 1. Adopter une attitude positive 2. Utiliser ses forces mentales

3. Réussir à s’affirmer 4. Transformer ses soucis en sécurité

5. Avoir le courage d’être heureux 6. Réaliser ses désirs

7. Apprendre à réussir 8. Utiliser ses pouvoirs créatifs

9. Avoir foi en la vie

10. Faire du destin son allié

Même si certains reconnaissent que ces échelons sont ceux du bonheur, beaucoup passent la plus grande partie de leur vie à les gravir lentement; alors que d’autres procèdent par bonds et accèdent aux échelons supérieurs en quelques jours ou en quelques heures.

Introduction

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Adopter l’attitude

juste, qui consiste à éviter d’accuser le destin quand on est malchanceux, à lutter contre les circonstances extérieures et à surmonter ses doutes, ses inquiétudes et ses craintes.

Accueillir tous les événements favorablement, « transformer les circonstances extérieures de l’intérieur » en se montrant plus fort que les obstacles car le premier agent de la réussite, c’est la confiance en soi. Le complexe d’infériorité tire souvent son origine de l’enfance (famille pauvre, physique

désavantageux, frères et sœurs plus intelligents, donc plus valorisés). Il est le principal ennemi du succès. Les gens qui tremblent devant les difficultés, qui ont toujours peur de l’échec, qui doutent de leurs capacités, souffrent d’un complexe d’infériorité qui déforme la réalité.

Etre disposé à commencer une vie nouvelle, exempte d’incertitudes et d’angoisses, qui mène toujours plus haut car une attitude amicale et positive attire des circonstances meilleures. Si vous vous sentez désarmé devant la lutte et démoralisé d’avance, prenez le temps de dresser la liste de vos avantages.

Savoir apprécier à sa juste valeur ce

que l’on possède. Par exemple, un conjoint prêt à vous seconder et à vous faire confiance, des enfants aimants, des amis fidèles, une bonne santé, etc. Il faut, par contre, ignorer les désavantages car les forces hostiles prennent souvent des proportions démesurées quand on y pense trop à l’avance. Il faut, au contraire, penser aux forces intérieures dont on dispose.

Pour gravir le premier degré de l’échelle

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ExerciceRelisez le paragraphe précédent et revoyez toutes les bonnes choses que la vie vous a apportées pendant la semaine ou le mois écoulé. Faites une liste des événements fâcheux que vous avez su gérer en étant positif, des petits bonheurs que votre conjoint, vos enfants ou vos amis vous ont procurés, des qualités que vous possédez et que vous avez su mettre en valeur…

1. Garder les yeux fixés sur le but à

atteindre ; quel que soit votre métier ou votre champ d’activité, efforcez-vous à progresser. Pour cela, il y a des règles simples à suivre : pensez à la réussite de façon concrète en vous faisant d’elle un tableau qui s’imprime dans votre esprit et reste présent; balayez loin de vous toute pensée négative; n’inventez pas d’obstacles infranchissables ; au contraire, analysez les difficultés pour les minimiser ; n’essayez pas d’imiter les autres, restez vous-même; n’hésitez pas à consulter un professionnel compétent si vous souffrez d’un réel complexe d’infériorité.

2. Choisir délibérément l’optimisme qui rend la vie joyeuse et fait considérer les obstacles, non comme des fardeaux mais comme des éléments de progrès. Vivre et avancer ne doivent pas être ‘lutte et peine’ mais ‘bonheur et liberté’ grâce à la force intérieure qui est prête à s’éveiller en chacun de nous. Utilisez cette force intérieure comme un avantage durable.

3. Gagner au jeu de la vie, car on peut

tous gagner à condition d’être bon joueur et capable de reconnaître ses gains. « Les gains non retirés sont des occasions manquées de bonheur. »

4. Comprendre que le hasard auquel

beaucoup croient est en réalité une loi d’attraction en rapport avec des éléments existant à l’intérieur de chacun. On a tendance à ne remarquer que les hasards négatifs : « un malheur ne vient jamais seul » sans s’apercevoir qu’un bonheur vient rarement seul et qu’une étrange coïncidence renvoie souvent les objets égarés à leur propriétaire. Si vous êtes attentif et vigilant, le hasard est l’antichambre du destin.


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5. Reconnaître que la vie est une amie, qu’elle révèle souvent un plan comme établi par une puissance secrète qui dirige les événements mais qui n’est en réalité que votre propre volonté avec des racines profondes dans votre inconscient. L’art de vivre est le pouvoir d’utiliser ses propres moyens et de collaborer sans cesse avec le bonheur.

ExerciceVous est-il arrivé récemment de vous lever de bonne humeur, de sentir en vous une force intérieure capable de vous aider à entreprendre de belles choses ou même à soulever des montagnes ? Interrogez-vous sur le pourquoi de votre bonne humeur. Essayez de retrouver l’état d’esprit de ce moment précis pour renouveler l’expérience et éprouver à nouveau le même bonheur.

Mes notes


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La force d’attraction des pensées est si puissante qu’on l’a comparée à la force de gravitation. C’est pourquoi les pensées tant positives que négatives ont tendance à se réaliser car elles contiennent d’incroyables forces créatrices. Ainsi, victoire ou défaite, succès ou échec dépendent de la manière de penser.

Une pensée positive et joyeuse ranime le courage, donne de la force au corps alors que les pensées négatives sont capables d’effrayer, de déranger le rythme cardiaque, d’influencer la santé, parfois même de tuer comme l’ont prouvé certaines expériences audacieuses. La foi peut guérir, la peur et le désespoir peuvent faire mourir.

Ce qui est valable pour le corps l’est aussi pour la vie autour de lui. Les pensées négatives n’apportent pas seulement « des combinaisons défectueuses dans le sang et les humeurs » du corps mais sont capables de susciter l’hostilité chez les autres et de troubler les rapports avec l’esprit du bien.

Ces pensées, créant des sentiments tels que la mauvaise humeur, la peur, la colère, la haine et l’envie, sont préjudiciables non seulement à la santé de ceux à qui elles viennent mais elles annulent les possibilités de bonheur, d’entente, et empoisonnent l’atmosphère ambiante. Les pensées positives, au contraire, sont non seulement bénéfiques à l’organisme mais engendrent la sympathie et l’amour qui iront en s’amplifiant.

Le deuxième échelon concerne l’utilisation des forces mentales

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La force de la pensée s’étend finalement jusqu’à la matière autour qui, étant en éternel mouvement, est vivante donc influençable et capable d’influencer. L’ambiance dans laquelle chacun vit ne dépend donc que de soi-même, elle est auto-créée car l’homme possède plus de pouvoirs que l’objet et peut donc agir sur l’atmosphère qui l’environne.

ExempleDans son travail une jeune femme gagne en loterie une bouteille de très bon vin. Tenant la bouteille par le goulot, elle explique à ses collègues qui la félicitent qu’elle est d’habitude très malchanceuse, qu’il ne lui arrive généralement que des déveines et que c’est la première fois qu’elle gagne un prix. Dans le geste qu’elle fait pour accompagner ses paroles, la bouteille heurte une colonne et se brise. Voilà des pensées et des paroles qui ont été capables de susciter la malchance.

ExerciceVous est-il déjà arrivé, au contraire, d’attirer la chance à force de la souhaiter, de l’imaginer ? Souvenez-vous d’un évènement précis et récent où vous avez souhaité très fort que quelque chose de positif arrive. Essayez de recréer ce climat pour faire jouer une pensée positive en votre faveur une nouvelle fois.

Mes notes


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Le des tin

Notre destin ne dépend finalement que de nous-même car des recherches en matière psychique ont révélé que le destin n’est que l’expression de notre inconscient. Nous sommes maîtres de nos pensées lesquelles ont ainsi beaucoup plus d’importance pour notre avenir, que nos relations, amis, biens, connaissances et facultés.

Un capital

Les pensées représentent un capital non seulement important mais aussi inépuisable. C’est la pensée qui a créé le monde et celui qui sait l’utiliser à bon escient est à la tête d’une force invincible.

Le cœ ur

Les pensées prennent leur source dans le cœur, qui est le centre des forces et aussi des pouvoirs mentaux. Si le cœur est plein de pensées négatives, il devient source d’événements fâcheux ; si ces

pensées sont positives, il devient la source de tous les succès.

Savoir cho is ir

Il est donc important de s’habituer à éliminer les pensées négatives et à accueillir les pensées positives qui, en s’unissant les unes aux autres, composeront une force psychique capable d’exercer une influence considérable sur notre vie intérieure, notre vie extérieure et même celle d’autrui.

Un nouveau bu t

A ce stade, il est nécessaire d’affirmer régulièrement ses pensées positives pour qu’elles deviennent une habitude, celle de rechercher le bien en tout, de tirer le meilleur parti possible de tout, même des circonstances qui paraissent les plus défavorables. et orienté vers le bien.


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Le MO I v ic to rieux

Les victorieux sont les forts, ceux qui possèdent le plus d’énergie. Mais, pour être fort et capable de dominer les autres, il faut d’abord être capable de se maîtriser soi-même, de maîtriser ses pensées, de se comporter positivement. Pour cela il faut se connaître soi-même et être capable de s’affirmer comme libre, heureux, puissant

ExempleAprès une saison de pluies tropicales torrentielles, un planteur de canne à sucre voit son champ inondé et sa récolte complètement détruite. Sans perdre courage, il fait enlever les pousses de cannes submergées et sème du riz dans son terrain transformé en marécage. Cette idée s’avère géniale. Le riz récolté est d’excellente qualité et le planteur en tire un bénéfice si considérable qu’il décide d’abandonner la canne à sucre pour continuer à cultiver du riz.

ExerciceAvez-vous déjà réussi à tirer parti d’une circonstance défavorable ; que ce soit au travail ou dans le quotidien ? La prochaine fois que vous serez confronté à un événement hostile, essayez par des pensées positives de mettre la chance de votre côté.

Mes notes


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Il ne sert à rien d’essayer de résoudre un problème de l’extérieur car la cause de tout ce qui nous arrive dans la vie se trouve en nous-même. Pour réussir, nous devons penser affirmativement, ce qui est une source de force inépuisable pour le corps et l’esprit, et veiller à ce que notre rythme de vie soit positif : il ne faut pas uniquement penser positivement ; il faut agir positivement.

Les gens appartiennent en général à trois catégories : le fataliste-pessimiste, qui se pose en éternelle victime du mauvais sort et dont la vie est une suite ininterrompue de malheurs sans fin ; le pseudo-idéaliste, qui fuit la réalité quotidienne sous prétexte qu’il est un philosophe, un esprit supérieur ; l’actif-optimiste, qui ne craint rien, ne se laisse pas mener par les événements mais s’impose à eux et sait créer les occasions pour aller de

l’avant. La conclusion qui s’impose est que le meilleur moyen pour maîtriser la vie est l’affirmation constante de tout ce qu’elle a de bien afin que cette affirmation devienne une habitude.

L’optimiste recherche le côté lumineux de la vie : la santé, la joie, le soleil. Il n’en ignore pas la face sombre, il connaît les difficultés et la souffrance, mais il se montre supérieur à elles. Il connaît la paix intérieure et sait que chaque événement, même défavorable en apparence, lui apportera un avantage. Sa sérénité vient de sa confiance absolue dans les puissances supérieures qui veillent sur lui. Cette foi lui donne confiance en lui-même et dans les autres. Sérénité, bienveillance et joie sont les meilleurs auxiliaires du succès et même les plus pessimistes en changeant d’attitude peuvent transformer leur vie s’ils acceptent de rechercher la paix d’esprit. Pour cela, il existe plusieurs moyens :

• Changer sa tournure d’esprit. Cela

peut sembler difficile au départ, mais vous réussirez si vous le voulez vraiment. Ce qu’il faut se dire c’est qu’il est plus facile de le faire que d’être

Pour passer au troisième échelon il faut réussir à s’affirmer

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Pour passer au troisième échelon il faut réussir à

s’affirmer

perpétuellement angoissé et stressé.

• Changer sa façon de penser en faisant le « vide » dans son esprit pour se débarrasser des craintes, angoisses, rancunes, regrets, remords. Evidemment l’esprit ne peut pas rester vide, aussi il convient de remplacer les pensées négatives par des pensées positives et agréables. Une bonne méthode est de se souvenir des paysages harmonieux déjà vus : une nuit veloutée éclairée par la lune, des vagues scintillant sous le soleil de midi, un lagon tropical où les poissons colorés s’éparpillent parmi les coraux dentelés.

• Répéter à haute voix des mots harmonieux et apaisants. Les mots ont beaucoup de puissance et sont capables d’un grand pouvoir de suggestion. Essayez de répéter les mots : ‘beauté’, ‘sérénité’, ‘douceur’, ‘tendresse’. Trouvez d’autres mots également plaisants et agréables. Une force apaisante étonnante s’en dégage immédiatement.

• La poésie ainsi que les textes beaux et enrichissants ont le même effet : pensez au croissant de la nouvelle lune comme « une faucille d’or dans le champ des étoiles » ; imaginez dans la nuit, le chant d’amour d’un inconnu qui « s’éteint comme un oiseau se pose. » Quand vous aurez rempli votre esprit d’harmonie, de beauté, de paix, il ne restera pas beaucoup de place pour des pensées amères et démoralisantes.

• La manière de parler, c’est-à-dire

les mots employés peuvent aussi favoriser le calme et la sérénité. Si le ton monte, essayez de vous calmer l’esprit en trouvant des idées réconfortantes ; évitez les sujets qui amèneront agitation intérieure inutile, paroles négatives, ennui et mécontentement. Une conversation pessimiste dès le petit déjeuner peut influencer les esprits pour la journée entière et rendre la journée sombre et maussade. Recherchez dans les conversations des paroles positives, optimistes et apaisantes.


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• Le silence procure le repos de l’esprit. Chacun devrait s’accoutumer à faire quotidiennement une « cure de silence » d’au moins 15 minutes sans parler, sans lire ni écrire, sans penser si possible dans un lieu tranquille et isolé afin d’entendre « la voix du silence » apportant avec elle la paix et l’oubli des problèmes quotidiens.

Le bruit incessant de la vie moderne est en grande partie responsable de notre agitation intérieure. Le silence, au contraire, agit comme un tranquillisant. Les occasions d’en jouir cependant se font rares mais, quand vous en trouvez une, soit pendant une promenade en mer ou sur une plage déserte et reposante, soit pendant l’ascension d’un sommet éloigné, il faut en imprimer les images en vous pour les faire renaître quand vous en éprouverez le besoin. En fait, le souvenir que l’esprit en garde est souvent supérieur à la réalité parce qu’il est en quelque sorte épuré en étant débarrassé des détails inutiles.

En regardant en arrière, ne voyez-vous pas que la vie vous a toujours aidé, que tout ce qui ne vous a pas brisé vous a rendu plus fort et vous a fait progresser ? Celui qui a commencé à maîtriser la vie par l’affirmation persévérante du bien est capable de gravir l’échelon qui suit.

ExerciceLes événements les plus défavorables nous apportent souvent un avantage quelconque, ne serait-ce qu’en nous procurant une expérience que nous ne possédions pas et qui nous a fait progresser. Faites un retour en arrière dans les évènements du mois écoulé et retrouvez une situation qui vous a semblé à l’époque catastrophique, mais qui a été par la suite enrichissante à cause de l’expérience qu’elle vous a apporté.

Mes notes


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L’anxiété, décrite comme « l’ennemi le plus dévastateur qui soit », « la plus destructrice des maladies humaines », « le plus grand fléau des temps modernes », est une habitude malsaine capable d’après divers experts de causer des maladies telles que l’arthrite, l’hypertension, l’ulcère et les problèmes cardio-vasculaires car l’angoisse et la peur entravent la circulation de l’énergie mentale et spirituelle et leurs répercussions atteignent les cellules, les tissus et les organes vitaux. L’anxiété diminue l’espérance de vie et un spécialiste des facteurs de longévité a constaté que le secret est de savoir s’occuper, observer la modération en tout, se réveiller et se coucher tôt, conserver sa joie de vivre, ne pas se faire de souci inutile et avoir foi en la vie.

Les circonstances difficiles de l’existence, qui apportent souvent l’inquiétude, poussent parfois certains à considérer la vie comme un jeu dominé par le hasard où il convient de ravir tout ce qu’on peut de bon avant que les autres ne s’en emparent. Cette attitude égoïste suscite l’inimitié d’autrui si bien que celui qui en est affligé comprend qu’il est environné d’hostilité, ce qui va augmenter son inquiétude et concourt à créer un cercle vicieux. C’est finalement celui qui pense le moins à lui-même qui réussit le mieux sa vie. Celui qui ne cesse de faire du bien autour de lui a découvert une source de richesses inépuisable. Vous devenez inquiet quand vous avez une fois adopté une fausse attitude vis- à-vis d’une certaine chose, que vous n’avez pas su donner la bonne direction à vos pensées, que vous avez commis l’erreur de croire que les événements extérieurs pouvaient déterminer votre destin. Il suffit de reconnaître cette erreur, de penser et d’agir correctement pour faire disparaître les soucis ainsi que les maux qui en résultent.

Le quatrième échelon, pour changer l’inquiétude en sécurité

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Le quatrième échelon, pour changer l’inquiétude en

sécurité

L’inquiétude est aussi une peur enfouie au fond de l’inconscient : la peur du succès, du bonheur, de s’attirer une ‘punition ’ ou une ‘vengeance du destin’ en irritant les dieux jaloux. Il faut se persuader alors que vous êtes en absolue sécurité pour exorciser ces craintes. Il ne faut pas non plus craindre l’avenir mais se dire que l’esprit infini du bien qui règne en vous veille sur vous et écarte de vous dangers et malheurs. Si les circonstances sont particulièrement difficiles, il faut garder les yeux fixés sur le but plutôt que sur les obstacles, affirmer que seules notre volonté et les puissances secrètes qui sommeillent en nous sont capables de déterminer notre destin.

En cas de perte et de deuil, l’activité physique est un grand remède au chagrin et la personne en détresse doit résister à la tentation de s’isoler et de rester oisive pour s’abandonner à sa douleur. Il faut, au contraire, faire de son mieux pour échapper au climat de pessimisme qui l’accompagne. Pour cela, reprenez courageusement vos activités quotidiennes, continuez à rechercher la chaleur de vos amis et essayez de vous en faire d’autres, pratiquez un exercice physique, consacrez-vous à une œuvre utile.

Vous pouvez pleurer pour vous soulager ; les larmes étant une sorte de soupape de sûreté, mais sans exagération et sans en faire une habitude.

Il est important de conserver confiance en la vie, car c’est le meilleur remède aux souffrances humaines et il est vain de vouloir en porter le fardeau sans aucun appui. Du reste, vous arrivez tôt ou tard à comprendre que la mort en tant que séparation définitive n’existe pas, qu’elle n’est pas la barrière infranchissable que vous pensiez, que ceux qui sont hors de votre vue humaine ne vous ont pas quittés définitivement mais qu’ils continuent à vivre dans un monde infiniment supérieur au vôtre, avec des facultés dépassant de beaucoup les vôtres, qu’ils restent proches de vous et que vous les retrouverez un jour. « La mort n’est en réalité que l’accession à une compréhension élargie. » (N.V.Peale). Il faut ajouter qu’aucune substance ne se perd jamais dans le tout de la vie ; simplement la forme change et s’améliore.


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Ainsi vous n’êtes pas tenu de rester tel que vous êtes. Il suffit d’imaginer ce qu’est l’être idéal pour vous et de vouloir vraiment ressembler à cet être pour que la transformation commence à s’opérer. Il faut éviter de vous inquiéter de l’avenir, ne pas le craindre car vous risquez d’être victime de l’angoisse. Il est cependant sage d’être prévoyant. Ceux qui ont compris que leur vie est une parcelle de la vie universelle n’ont pas de souci à se faire ; ils ne manqueront jamais de rien.

Rien n’est défavorable ou désagréable en soi. C’est parce que vous ne voyez que l’extérieur que vous le croyez. En réalité, les difficultés sont des auxiliaires de votre ascension et, si vous saviez à quel point ce qui vous contrarie contribuera à votre bonheur à venir, vous accueilleriez tous les obstacles avec joie et reconnaissance. Pourquoi donc se faire du souci et perdre confiance en la vie ?

Si vous avez compris que tout ce qui vous arrive fait partie d’un plan supérieur, vous n’aurez plus à craindre les difficultés et les obstacles et vous vous sentirez en sécurité.

La même main qui gouverne l’univers protège également chacun de nous et nous mène vers le bien, quelquefois

malgré nous. Il faut donc affirmer le bien et avant tout souhaiter sincèrement aux autres le bien que nous voulons pour nous-même et les aider à trouver le bonheur. En le faisant, nous nous sentons protégé en ayant l’appui de ceux qui nous entourent.

ExerciceFaites une liste en inscrivant d’un côté les occasions où vous avez récemment aidé quelqu’un d’autre et, de l’autre, celles où vous avez négligé de le faire. (comme

aider une vieille dame à traverser la route ou, au contraire, n’avoir rien fait pour l’aider.) Faites également une liste de ce que vous vous proposez de faire dans un avenir immédiat pour contribuer au bonheur de vos proches, amis ou même inconnus.


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Le bonheur est à la portée de tous mais la plupart des gens ne s’en aperçoivent pas. Ils ne savent pas remarquer les innombrables possibilités de bonheur car la chance n’est pas un événement extérieur qui nous rend subitement riches ; elle est l’attitude intérieure qui nous permet de voir le bien partout et d’en tirer le meilleur parti possible.

Le bonheur n’est pas matériel mais spirituel ; ce n’est pas l’avoir mais l’être et on peut apprendre à être heureux tout comme on apprend une langue ou une science.

On croit souvent demander trop à la vie, on craint d’éveiller ‘la jalousie des dieux’. Il faut se libérer de cette superstition et reconnaître que tous les êtres sont destinés au bonheur et ont, dès leur naissance, reçu la possibilité de l’obtenir. Il suffit de prendre le bon chemin et de ne pas le quitter. Le bonheur ne dépend d’aucun facteur extérieur mais de l’attitude intérieure. Il est le résultat de l’affirmation du bien et celui qui affirme sa condition ‘d’homme heureux’ est sûr de l’être. La lumière et la beauté du monde ne se révèlent qu’à ceux qui observent une attitude juste, qui savent accueillir le bonheur et le retenir. Le bonheur de chacun ne dépend que de lui-même. On peut choisir d’être heureux comme on peut choisir d’être malheureux. Ceux qui ont des pensées tristes, qui se répètent du matin au soir que tout va mal, qui cèdent constamment à la peur, l’inquiétude, le découragement, qui se laissent envahir par des pensées de colère, rancune et haine peuvent être sûrs d’avoir enraciné le malheur en eux. La plupart des gens sont les artisans de leur propre malchance.

Le cinquième échelon - Avoir le courage d’être heureux

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Evidemment ils ne peuvent pas être tenus pour responsables de TOUS les malheurs qui leur arrivent et qui sont souvent imputables à des facteurs absolument extérieurs (sociaux, par exemple), mais leur pessimisme crée beaucoup de ces malheurs. Or, le bonheur est facilement accessible. Il suffit de réussir à conserver intacte la joie de vivre qui est l’apanage des enfants, de savoir reconnaître et faire son profit des multiples petites joies de la vie et de découvrir la beauté des êtres et des choses (le vol d’un papillon dans la lumière, la grâce inimitable d’un chat, la fraîcheur d’un jardin sortant des ténèbres à l’aube) pour remplir son existence de petits bonheurs variés. « Le cœur content est un festin perpétuel », dit le Livre des Proverbes (15, 15).

ExerciceL’habitude du bonheur s’acquiert par des pensées positives. Chaque matin, avant de vous lever, dressez une liste de pensées joyeuses pour attirer à vous des événements heureux ; persuadez-vous que votre santé est bonne, que tout va bien et que la journée sera merveilleuse. Pensez aussi à remplir votre vie d’amour en pensant aux autres, en les aidant et en leur souhaitant du bien. Votre bonheur durera aussi longtemps que vous aimerez et que vous ferez de votre mieux pour contribuer au bonheur d’autrui.

Mes notes


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A celui qui réclame le bonheur, la vie oppose cette question : as-tu le courage qu’il faut pour cela ? Le courage surmonte toutes les difficultés ; il est la preuve de la foi, de la confiance en la vie ; il est aussi la mesure de la force d’amour. Celui qui aime donne le meilleur de lui-même et tire le meilleur de tout. Avoir le courage d’être heureux c’est aimer le bonheur, l’accueillir, l’attirer et aimer l’Esprit infini comme étant la source de tous les bonheurs. Le bonheur vient de causes que nous portons en nous et il se trouve en nous. Il est l’antidote de l’inquiétude et du doute, il transforme l’indigence en abondance et il est un trésor intérieur incommensurable. Etre heureux c’est être certain que le soleil existe en même temps que l’orage, c’est éprouver la joie intérieure du cœur qui permet de rire même dans la douleur, c’est connaître la sérénité ; c’est pouvoir transformer tous les événements en source de bonheur. Comme vous le savez déjà, agir égoïstement est une erreur. Vous goûterez au bonheur quand vous le partagerez car ‘rendre heureux, rend heureux’. Là où d’autres récriminent et se montrent insatisfaits, il faut se

montrer enthousiaste, accueillant et reconnaissant.

L’approbation rapporte beaucoup plus que les récriminations et la reconnaissance déclenche des effets

prodigieux. La vie est généreuse envers les êtres joyeux et elle récompense largement ceux qui lui témoignent leur gratitude.

Il ne faut pas non plus considérer le bonheur comme un objet éloigné mais comme une chose à portée de main. Il ne faut pas le limiter aux choses matérielles : santé, richesse, réussite, mais considérer toutes ces choses comme faisant partie de la Plénitude, la Joie, la Perfection. Il faut avoir le courage d’affirmer le bonheur comme le but le plus élevé de la vie, alors la banque du bonheur de l’univers mettra ses richesses à votre disposition. Souriez à la vie et en retour elle vous sourira. Affirmez que vous faites partie des forces du bien, que les bonnes choses de l’existence viennent à vous et que vous les accueillez avec gratitude, que vous les partagez avec les autres.


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ExerciceLe matin en vous réveillant, faites une liste de pensées joyeuses et de petites choses que vous souhaitez pour la journée et que vous aimeriez voir se réaliser.

Avant de vous endormir le soir, réfléchissez à ces choses et demandez-vous si certains de vos souhaits ne se sont pas réalisés. Dressez une liste de petits incidents qui vous ont apporté de la joie durant de la journée.

Mes notes


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L’un des plus grands obstacles sur la voie vers la plénitude de la vie est la superstition qui consiste à croire que de trop grands désirs constituent une faute et qu’il faut laisser agir le destin. Or, tous les désirs de meilleures conditions d’existence, de santé, de bonheur, d’épanouissement sont voulus par les puissances créatrices qui mènent le monde. L’Esprit de la vie ne veut pas que chaque homme renonce à ses désirs car ceux-ci ont toujours été les stimulants les plus actifs dans le domaine du progrès. Sans eux, ils en seraient restés aux conditions de vie de l’âge de pierre. Chaque vie est une succession de désirs accomplis, mais des milliers d’autres attendent leur accomplissement et indiquent des possibilités encore inexplorées, donc des

moyens d’éducation placés là par l’Esprit de vie pour notre libération (réalisation d’un désir) et pour notre perfectionnement (aspiration vers des buts plus élevés).

La question qui se pose ici est la suivante : Est-il nécessaire de lutter pour réaliser vos désirs ou est-il plus sage de s’en remettre à la Puissance qui mène le monde en pensant que votre intervention est inutile, que cette Puissance sait mieux que vous ce qui vous convient et que vous devriez vous limiter à une attente passive ?

Il semble que la réponse devrait être celle-ci : Si l’Esprit de vie a insufflé en vous un désir puissant, s’il a placé en vous des forces créatrices pouvant servir à le réaliser, alors il s’attend à ce que vous le fassiez, que vous accomplissiez sa volonté en travaillant activement dans ce sens.

Le sixième échelon - Réaliser hardiment ses désirs

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Tout réussit à celui qui s’attend au meilleur et non au pire car le facteur essentiel de la réussite est la foi. Foi en la vie d’abord; foi en soi-même ensuite car une force magnétique, influence déterminante que la pensée exerce sur la réalité, émane de celui qui croit en lui-même. « La foi en soi et la détermination d’objectifs apportent la réussite », dit John Gray.

Cependant il ne faut pas croire que la foi vous fera obtenir TOUT ce que vous souhaitez ; ce n’est même pas souhaitable car vos désirs sont-ils légitimes ?

Mais la foi vous aide à vous en remettre à la Puissance invisible qui guide l’esprit vers ce qui est bon pour vous. La foi en vous-mêmes vous pousse à vous engager « corps et âme dans l’action » avec toute votre énergie car ce n’est pas l’incapacité qui cause l’insuccès, c’est plutôt l’absence d’engagement.

Faites-vous une image claire et nette du but que vous voulez atteindre, imprégnez-vous de cette image ; votre inconscient l’absorbera et vous irez droit vers ce but. Beaucoup de gens ignorent où ils veulent aller, aussi ils n’arrivent nulle part. Ils n’atteignent aucun but car ils ne s’en sont fixé aucun. L’important est de savoir ce que vous voulez, d’identifier votre objectif, de lutter de toutes vos forces pour l’atteindre en restant confiant, optimiste, positif. Espérez toujours le meilleur, chassez de votre esprit le pire, n’y pensez même pas.

Vous devez maintenant mettre en ordre vos idées et vos désirs en faisant passer en premier lieu les désirs les plus importants, ceux qui mènent directement vers le but à atteindre et, en même temps, peuvent aider votre prochain.


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Les désirs secondaires viendront après, jusqu’à ce que le moment vienne de les réaliser à leur tour. Il ne faut refouler aucun désir mais il suffit d’en affirmer les grandes lignes et de ne pas en limiter la plénitude en s’attardant aux choix des moyens à employer pour les réaliser. C’est notre Auxiliaire intérieur qui s’en chargera. Par exemple : quelqu’un voudrait obtenir les moyens financiers pour réaliser un objectif déterminé, disons faire des études. L’objectif réel c’est les études. Il peut y arriver d’une autre manière que par l’argent et ce serait limiter la source de plénitude et ne pas faire confiance à son Auxiliaire intérieur que de lui prescrire la voie à prendre pour parvenir à accomplir ce désir.

Le moment présent est toujours celui qui est le plus favorable à la réalisation de vos désirs. Saisissez immédiatement l’occasion d’affirmer votre désir le plus cher. L’important n’est pas la grandeur du désir mais votre courage et l’intensité de foi en votre succès grâce à l’aide indéfectible de votre Auxiliaire intérieur et quelle que soit l’opposition apparente des circonstances.

Visualisez en pensée tous vos désirs déjà réalisés et pensez à exprimer votre joyeuse reconnaissance pour avoir reçu ce à quoi vous aspiriez. La gratitude active l’accomplissement du désir en l’intensifiant et en l’accélérant. Pensez aussi à formuler des désirs pour autrui. Ainsi la foi d’une mère obtient souvent pour son enfant de véritables miracles.

A ce stade, l’important est de s’habituer à affirmer avec confiance ses désirs et à lutter pour les réaliser.

Dès lors, vous pourrez compter sur une affluence croissante d’évènements heureux car votre Auxiliaire intérieur, attentif à vous apporter son aide constante, veillera à ce que les obstacles disparaissent de votre route et que des êtres utiles se présentent pour contribuer à accélérer l’accomplissement de vos désirs.


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Cependant, affirmer vos désirs ne signifie nullement dédaigner ce qui vous possédez déjà. Au contraire, il est sage d’en tirer le meilleur parti possible car c’est ainsi que vous devenez apte à ne rater aucun des bienfaits offerts par la vie, soit à vous-mêmes, soit à votre entourage. Il est inutile d’ajouter qu’il ne faut jamais être impatient. En cherchant à hâter la réalisation de vos désirs, vous risqueriez de l’entraver.

ExempleMa fille s’apprête à faire cuire des lentilles avec un gros morceau de viande pour leur donner plus de saveur. Elle referme soigneusement l’autocuiseur, le pose sur la plaque chauffante, mais au bout d’un moment de petits jets de vapeur s’échappent autour du couvercle si bien que la pression n’augmente pas et l’autocuiseur ne siffle pas. Elle le rouvre, rajuste le couvercle plus soigneusement, mais la même chose se produit. Impatiente, elle s’écrie : -« Il n’y a même pas un mois que j’ai changé la garniture et elle est déjà défectueuse. »

Elle enlève à nouveau le couvercle, examine la garniture qui semble en parfait état et va ajuster le couvercle pour la troisième fois quand elle s’aperçoit que le gros morceau de viande est toujours à côté, oublié sur la table. Poussant un soupir de soulagement, elle l’ajoute aux lentilles et referme la cocotte qui, un instant plus tard, se met à siffler joyeusement et sans problème. « C’est mon Auxiliaire intérieur », me dit-elle. « Il s’est aperçu de mon étourderie et l’a réparée immédiatement. »

ExerciceUn incident similaire ne vous est-il arrivé récemment ? En quelles circonstances ? La prochaine fois que vous aurez une petite contrariété de ce genre, cherchez avant de vous impatienter si votre Auxiliaire intérieur n’est pas en train de vous prévenir pour vous éviter un désagrément.

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Celui qui a une attitude négative envers la vie ne connaîtra jamais le succès. Ce ne sont pas les conditions extérieures qui en sont responsables, mais son attitude intérieure. Il lui manque la foi en lui-même qui fait que tout afflue vers celui qui croit en son succès.

Les psychologues modernes pensent qu’il est possible de gérer notre vie par nos pensées. Si vous êtes faible et défaitiste, percevant tous les événements de façon négative, vous pouvez avec de la bonne volonté vous débarrasser de vos pensées stériles et les remplacer par des pensées de foi, d’amour, de bonté qui, de l’échec et du malheur, vous transporteront vers la joie et le succès. Marc Aurèle, l’un des plus grands penseurs de l’Antiquité disait : « Ce sont les pensées qui façonnent la vie d’un homme. »

En pensant d’une manière positive, en croyant au succès, en vous faisant une image détaillée de la chose que vous voulez réussir, vous suscitez des vibrations saines qui l’attireront infailliblement à condition qu’elle soit valable et exempte d’égoïsme car vous ne pouvez espérer le succès de quelque chose de mauvais.

Certains croient qu’il n’y a aucune relation entre la foi d’une part et la prospérité matérielle ainsi que la réussite professionnelle de l’autre. C’est une erreur. L’Esprit créateur veut votre succès et a placé dans l’esprit humain des forces insoupçonnées pour combattre l’échec. Envisagez donc avec espoir tout ce qui vous préoccupe : travail, santé, avenir car l’esprit, autant que le corps, a besoin d’être nourri sainement, sa nourriture étant composée de pensées positives et optimistes dominées par la foi.

Il arrive cependant que les forces du destin semblent se liguer pour vous faire échouer. Ce n’est qu’ensuite que vous comprenez que cet échec était un bien car il vous a replacé sur la route qui aurait dû être la vôtre.

Le septième échelon - Apprendre à réussir

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Les échecs en série ne sont donc pas des signaux d’arrêt mais une indication d’erreur commise ; il vous faut changer de direction. L’échec, comme le succès, est en somme faite de vagues capables de vous donner un nouvel élan, de vous porter plus haut et plus loin.

Pour réussir il suffit d’être conscient de votre force intérieure, d’avoir le courage de prendre vos responsabilités et de vous affirmer.

Tout contribue alors à votre succès, même les pires adversaires. Les appuis vous viennent de toutes parts ; vous êtes heureux de votre union avec les puissances bienveillantes de la vie. vous poursuivez avec joie le chemin tracé pour vous en vous promettant de partager les richesses de la vie avec tous ceux qui ont besoin d’aide.

C’est la foi inébranlable en la réussite qui permet de remporter la victoire. Il n’est pas nécessaire de rester les bras baissés, écrasés par de lourds fardeaux et des chaînes pesantes qui vous courbent vers le sol. Vous devez regarder la vie avec courage car vous êtes faits pour la lutte et destinés à la victoire.

Considérez d’un œil optimiste les situations qui vous paraissent inextricables et n’ayez pas peur des difficultés car vous savez qu’avec l’aide de votre Auxiliaire intérieur vous arriverez à les surmonter. Donc attaquez-les résolument sans perdre de temps.

Si vous êtes persuadés que vous ne pourrez pas en venir à bout, effectivement, vous n’y parviendrez pas, mais n’oubliez pas que le plus souvent « l’obstacle est dans notre tête » : si vous pensez dès le début à un échec possible, vous échouerez probablement, mais si vous êtes conscients qu’en vous se trouve le pouvoir de surmonter toutes les difficultés qui surgiront sur votre route. Si vous attaquez votre tâche sous le meilleur angle possible, c’est-à-dire en choisissant le point faible de l’obstacle,


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vous vous apercevrez que rien n’est insurmontable pour celui qui sait qu’il est guidé par une main qui ne faiblit pas.

Il y a une constatation à faire concernant les préjugés, jugements erronés et sans fondements, généralement acquis par l’homme dans sa première jeunesse et qui ont fait manquer leur chance à tant de gens. Les préjugés créent l’hostilité et les malentendus là où une attitude sympathique aurait conduit au succès. Il convient donc de s’en libérer ainsi que de l’envie.

Ne soyez pas envieux de ceux à qui le succès a souri, ne cherchez jamais à écarter qui que ce soit ni à le discréditer, ni même en pensée pour essayer de lui prendre sa place car, dans la vie, il y a de la place pour tout le monde.

Il est important de reconnaître que la vie nous enrichit. Avons-nous accepté les observations et les critiques avec humilité en pensant qu’elles étaient constructives, ou avec colère ? Aujourd’hui en tout cas, vous savons qu’elles sont une source de progrès.

Celui qui marche vers le succès ne se contente pas de rêver au succès mais il le crée lui-même, surtout par son travail qui est la meilleure source de joie et de réussite. Il en fait quelque chose d’exceptionnel sans s’occuper de la rétribution pour que son entourage comprenne qu’il est un employé capable, indispensable et réclame sans cesse son concours.

ExerciceRappelez-vous la dernière occasion où vous avez réussi à vaincre un obstacle qui vous paraissait insurmontable ? Quel est le premier pas que vous avez fait vers la réussite ? A quoi ai-je fait appel ? Reproduisez l’expérience. Pensez à un obstacle qui vous barre la route actuellement et essayez d’en découvrir le point faible.

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Les hommes et leurs talents sont entièrement différents : il n’y en a pas deux qui possèdent les mêmes. Aussi les forces créatrices de chaque individu sont uniques et il peut les utiliser pour accomplir ce qu’aucun autre ne pourrait faire comme lui. Il y a en chaque homme des forces dont il n’a souvent pas conscience à la suite d’une attitude erronée. En cas d’urgence, la vie fait lever en lui tantôt l’une tantôt l’autre, mais il ne se soucie pas de les utiliser toutes ce qui est dommage pour l’humanité.

En dépit de cela, il y a une grande marge entre la créativité et le génie et c’est là qu’intervient l’énergie de l’inconscient – la mémoire d’une race, l’âme d’un peuple, les connaissances de l’esprit universel – qui, travaillant de pair avec le conscient, lui permet d’accéder aux sphères du génie. Le génie résulte donc de la collaboration parfaite entre le conscient et l’inconscient, et parce qu’il allie son attention à ses forces intérieures à sa foi en lui-même, l’homme de génie est de loin supérieur à l’homme moyen.

Le fait que les hommes de génie ne sont qu’une minorité dépend des hommes eux-mêmes, qui ne se donnent pas la peine de réveiller les traits d’élection sommeillant en eux : l’attention portée à leur force intérieure, la mémoire qui découle de l’intérêt qu’on porte aux choses, l’imagination, le besoin d’apprendre, le goût du beau, la conception intuitive d’idées à demi- conscientes.

Toutes ces propriétés, à elles seules cependant, ne constituent pas le génie qui résulte de l’union directe avec les courants profonds de la vie. L’inconscient lui fournit l’inspiration parfois décrite comme

Le huitième échelon - Utiliser ses pouvoirs créatifs

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'un don d’en haut’, le conscient accueille cette inspiration et il suffit du moindre choc, émotion où déception pour faire éclater la création d’une œuvre soudaine. Il dépend de chacun de déterminer dans quelle mesure il peut devenir un génie créateur de conceptions nouvelles.

Les meilleures conditions pour capter les idées créatrices diffèrent selon les individus.

Pour certains c’est l’effort de concentration ; pour d’autres, au contraire, ce sont les moments de détente pendant les interruptions de travail ; pour beaucoup, ce sont le sommeil et le rêve. Un fait demeure certain : le rôle du cerveau est d’une extrême importance car, bien qu’il ne soit pas le producteur, il est l’intermédiaire.

Chacun doit découvrir lui-même les moyens de détente qui l’aident le mieux, mais, pour la plupart des individus, ce sont la solitude, le calme et le silence. C’est dans le silence que l’homme parvient jusqu’aux profondeurs insoupçonnées de son âme pour saisir le flot ininterrompu d’idées nouvelles.

C’est dans la solitude que fut créé le monde. Cela ne veut pas dire que le génie doit vivre en ermite, mais il faut à chaque créateur son heure de silence au milieu du bruit de la vie.

L’homme active aussi son pouvoir créateur quand il accomplit avec joie et amour ses tâches quotidiennes car tout travail est une réalisation créatrice qui lui permet de passer ‘de l’habileté au talent, du talent au génie.’ Cela est possible à ceux qui comprennent que l’Esprit de la vie agit à travers eux et qu’ils sont sans cesse unis à la force qui créa le monde.

ExerciceQuels sont vos talents ? Faites-en une liste. Quand avez-vous utilisé l’un d’entre eux pour la dernière fois ? Avez-vous une aptitude particulière que vous n’avez pas encore développée ? Que pensez-vous faire pour en tirer parti ?


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Toute pénurie résulte d’un manque de foi en la vie car les puissances de la vie ne peuvent vous renvoyer que vos propres pensées. Si celles-ci ne contiennent que des images négatives, ces puissances ne pourront pas vous apporter autre chose que la négativité et le résultat sera une pénurie due à votre manque de foi alors qu’il était si facile d’affirmer la plénitude. La confiance en la vie attire la plénitude. C’est là une loi cosmique.

Beaucoup d’êtres humains sont malheureux, désaxés, anéantis à l’idée qu’ils ne réussiront jamais à sortir d’une situation désespérée : les dépressifs, alcooliques, drogués, etc. en sont un exemple. Chacun doit faire de son mieux et donner son maximum, mais il faut aussi connaître ses limites, en tenir compte et les respecter.

Quand vous les aurez atteintes et que vous croyez qu’il n’y a plus rien à tenter, il faut se souvenir que vous pouvez encore utiliser cette force supérieure cachée en vous et qui existe en chacun de nous.

Changez donc d’attitude ;établissez en l’affirmant le contact interrompu avec le courant de plénitude qui, dès lors, vous sera de plus en plus favorable. Dès que l’affirmation de la plénitude sera devenue pour vous une habitude instinctive, vous êtes certain de ne jamais manquer de rien.

Vous deviendriez riche si vous l’affirmez et vous ne deviendrez riche sur le plan extérieur que si vous l’êtes sur le plan intérieur. Il faut alors vous montrer prêt à aider ceux qui souffrent encore de pénurie pour n’avoir pas compris cela.

Le neuvième échelon - Avoir foi dans la vie

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N’oubliez pas que des milliers d’hommes vous ont précédé sur cette voie victorieuse. Tous se sont demandé un jour s’ils devaient continuer à lutter ou s’en remettre à la loi de la plénitude sans plus se faire aucun souci, et l’afflux de la plénitude s’est déversé dans leur vie sans qu’ils ont eu besoin de choisir le canal par lequel il coulerait. Il suffit d’écarter toute pensée de doute, de renouveler l’affirmation de la plénitude, d’en faire une habitude indestructible avec un regard de gratitude pour les Puissances bien-veillantes de la vie.

Si vous vous en remettez à Elles inconditionnellement chaque jour, votre parcours devient beaucoup plus facile ; vous vous épargnez une somme considérable d’efforts. Vous devez toutefois faire de votre mieux et faire preuve de bonne volonté, mais il est réconfortant de croire en l’existence de ces puissances supérieures et de cet appui supplémentaire. Vous n’avez donc pas à effectuer tout le travail par vous-mêmes, mais ce serait une erreur de croire que vous pouvez vous croiser les bras et les laisser agir à votre place. Vous ne recevez de l’aide que si vous avez la volonté de vous aider vous-mêmes.

La vie ne fera pas à votre place ce que vous pouvez faire vous-mêmes.

La richesse ne dépend pas seulement de l’argent. C’est la richesse intérieure qui compte, c’est-à-dire l’union avec le royaume de l’abondance. C’est la richesse intérieure qui apporte la richesse extérieure. Il est donc inutile de chercher à accumuler des richesses pour l’avenir car celles de la vie sont à votre disposition tant que vous en aurez besoin. Cela vous libère de toute préoccupation mais ça ne veut pas dire qu’il n’y à qu’à attendre une manne céleste sans rien faire pour la mériter. Travaillez dur au contraire et agissez toujours pour le bien de tous.

Il n’y a pas lieu d’attendre de posséder une fortune pour vous sentir riche car ce que vous possédez à la banque de la vie quand vous l’affirmez est inépuisable. Et l’argent n’est qu’un moyen dont il faut se garder de devenir esclave ; n’oubliez pas que c’est aussi le moyen d’aider autrui.


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Pour accéder aux richesses de la vie, il faut cependant payer une petite redevance qui consiste à remettre à quelqu’un de moins favorisé une part proportionnée à celle qu’on reçoit. A l’avare qui refuse de partager, il sera repris tôt ou tard ce qu’il possède. Le don ne sera pas nécessairement de l’argent ; il suffit d’essayer d’associer les autres à sa joie ne serait-ce que par une parole d’amitié. « Ce que nous donnons avec joie nous revient au centuple. »

Pour réaliser une vie de plénitude il faut se souvenir que toutes les richesses du monde sont à la Puissance qui mène le monde donc à vous ; vous devez contribuer à les répandre et ne pas oublier d’en être reconnaissant.

ExerciceEssayez de vous rappeler la dernière fois (dans la semaine ou le mois écoulé) où vous avez payé « une petite redevance » à quelqu’un de moins favorisé que vous. Etait-ce de l’argent ou un geste amical ? En êtes-vous satisfait ou avez-vous perdu votre temps ? Quand pensez-vous renouveler l’expérience ? Comment ?

Mes notes


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Il serait absurde de croire que la Puissance universelle, qui a tout créé dans un ordre et une harmonie parfaits, soit indifférente au destin de sa plus noble création : l’homme. Il est plus logique de penser qu’un plan a été établi visant le perfectionnement graduel de chaque individu.

L’homme dont l’âme a été éveillée comprend que, si le destin n’agit pas conformément à ses désirs, c’est lui-même qu’il doit accuser. Ce n’est pas le destin qui est hostile, c’est son attitude qui est erronée s’il ne peut percevoir derrière les profonds enchaînements, la présence d’une volonté tendue vers un but à laquelle il peut s’allier pour l’affirmer en tant que force secourable et bienveillante prête à l’aider et à veiller sur lui.

Jadis on concevait l’homme comme un objet manipulé par le destin ; aujourd’hui, on voit en lui le créateur de son destin qui n’est pas une chose résolue d’avance mais ce qu’il en fait. Même les épreuves – qui le perfectionnent – sont amenées par sa propre pensée, les faits extérieurs étant le reflet matériel de son attitude intérieure.

Tout événement est donc une ascension amenée par la pensée et l’action.

Celui qui l’aura admis aura achevé le cycle entier de la rénovation de son cœur. Son existence sera dès lors lumineuse et aisée car il aura pris en main son destin, sachant qu’il est son Auxiliaire secret le plus sûr.

Tout ce qui lui arrivera sera heureux car tout contribuera à son développement, tout sera un moyen de salut venant de lui-même, de sa pensée, sa volonté, son action. Tout le conduira vers des buts sans cesse plus élevés.

L’alliance avec le destin

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Le destin c’est le divin en l’homme. Le jour où, ayant tout compris de lui-même, il s’y sera identifié, il sera libéré de tout destin et ne dépendra ni de l’espace ni du temps. Ce n’est donc pas une puissance hostile gouvernant hors de l’homme et ne dépendant pas de lui, c’est un allié caché au tréfonds de son subconscient pour l’aider à diriger sa vie. C’est lui l’Auxiliaire intérieur bienveillant qui fait affluer vers chaque individu tout ce dont il a besoin.

Il est présent en vous, donc exercez-vous à lui parler et à vous confier à lui en une conversation intime, comme à un ami toujours prêt à comprendre et à venir en aide. Remettez entre ses mains votre entreprise, votre personne, votre famille, votre avenir et soyez attentif à sa voix à l’intérieur de vous qui vous exprimera des idées, des conseils qu’il faudra suivre sans hésiter.

L’alliance de l’homme avec son destin est « la plus puissante qui puisse être conclue sur la terre. »

C’est une association qui décuple ses forces et sa perspicacité. Cela exclut cependant qu’il puisse dès lors cesser toute activité. Au contraire, tout labeur est joie quand le succès est certain.

L’homme doit aussi se montrer digne de son invisible associé et cela surtout en étant un messager du bien qui fait profiter son entourage de ce qu’il a reçu. Cette habitude d’association avec son Auxiliaire secret doit devenir indéracinable afin qu’ayant établi un contact conscient avec l’Infini et ayant compris son état de sécurité sous la protection du destin, il atteigne l’état souverain de celui qui SAIT.

AnecdoteUn homme se prépare à prendre l’avion pour rejoindre celle qu’il aime quand en se précipitant dans l’escalier, il rate une marche et se tord la cheville ce qui le retarde et le fait manquer son vol. Or l’avion s’écrase à l’atterrissage.


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ExerciceTout dernièrement, vous est-il déjà arrivé d’être sauvé par le destin au moment même où vous étiez prêt à l’accuser de vous accabler ? Cela vous est arrivé une seule ou plusieurs fois ? Notez en quelles circonstances et pensez à remercier votre Auxiliaire intérieur d’avoir veillé sur vous.

Mes notes


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décider de réussir

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