on ne pratique pas la plume de bois !!!
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On ne pratique pas la plume de bois !!!. Né au mois de novembre 2009, l’atelier écriture s’est réuni tous les jeudis entre 12H45 et 13H25. - PowerPoint PPT PresentationTRANSCRIPT
Né au mois de novembre 2009, l’atelier écriture s’est réuni tous les jeudis entre 12H45 et 13H25.
Sans ambition particulière pour la première année, se nourrissant des désirs d’écrire d’une douzaine d’élèves inspirés, l’atelier est fier de vous présenter l’ensemble des textes écrits sous la forme de ce diaporama.
Plus de la moitié de ces textes ont été présentés lors du 20ème anniversaire de l’exposition Varietas Florum, célébrant la naissance de la rose de Saint-Sever ; ceci explique la thématique de la rose présente dans de nombreux textes.
Bonne lecture. Et à l’an prochain pour tous ceux qui ne pratiquent pas la plume de bois !
Cliquez sur la rubrique que vous souhaitez consulter
Dans ses cheveux noirsBrille la rose pourpre
De la Nipponne à la tasse
minijackson
Senteur du printempsLes abeilles sur les fleurs
Vive la rose !
Minijackson
Parfum d’une rose Douceur d’un papier Je tire la chasse
Anaïs
Dans la jeune rosée
Dans la jeune roséeS’ouvre le cœur
d’une rose,Bordée de gouttes
Laurine Sauwens
Accroché aux barreaux de ma cage au zoo
Grimaçant et gesticulant pour que je le voie
L’homme est source de rire
Alaury Orliange & Marine Spatafora
Vert, grand et feuillu
Avec son gigantesque tronc
Voilà Géant Vert
Marine Spatafora & Alaury Orliange
Octobre 2009, le jour de mes 19ans, l’orage grondait ; tout se passait comme d’habitude mais, alors que je dansais avec ma sœur, je vis mes parents qui avaient l’air à bout de nerfs.J’étais triste de les voir ainsi, mais je ne pouvais rien faire.Le lendemain, vers 8 heures, je descendis préparer le petit-déjeuner.Puis, comme je n’entendais aucun bruit, je fus curieuse de voir comment mes parents allaient, car, cela faisait deux semaines qu’ils ne fermaient pas l’œil de la nuit.Je regardais, la porte était entre-ouverte comme à son habitude, ce qui me sembla tout à fait normal.Mais, tout à coup, je hurlai dans la maison ; je ne pouvais m’arrêter car ma peine était si grande…Je venais d’apercevoir mes parents allongés sur leur lit ; sur la table de nuit gisait une bouteille dans laquelle se trouvaient des extraits de la Palista (cette rose de couleur or mais mortelle, un seul de ses pétales vous faisant mourir en deux secondes) et une lettre sur laquelle était écrit à l’encre noire :
« Mes chéries, Nous savons que ces derniers temps, nous
n’étions pas beaucoup avec vous, car des tonnes de problèmes s’abattaient sur nous. La seule solution pour que vous soyez heureuses
et en sécurité était ce poison.Nous nous excusons de vous causer ce chagrin,
mais cela ne pouvait plus durer. Nous vous aimons. Prenez soin de vous.
BisousMaman et papa qui vous aiment plus que tout »
Je me dis que cela n’était pas possible, alors je posai la lettre, écoutai leur cœur, mais aucun petit souffle n’était là.Je compris alors que mes parents avaient de gros problèmes et que le seul moyen qu’ils avaient envisagé pour qu’on soit heureuses et en sécurité était de partir.Je fus très triste certes, mais je me dis qu’au fond nos parents nous aimaient vraiment beaucoup.Je me demandai cependant comment j’allais m’occuper de ma sœur et qui nous donnerait de l’argent pour vivre. Peu de temps après, ma sœur se réveilla ; je montai la voir et elle me demanda où étaient maman et papa.Alors, même si je n’avais pas envie, je fus obligée de lui dire la vérité.Les mots avaient du mal à sortir, tant ma détresse était grande.
Quelques jours passèrent, les amis, les voisins et la famille s’occupèrent de l’enterrement de nos parents qui se déroula le jeudi. La famille resta un laps de temps pour nous soutenir. Après leur départ le dimanche soir, nous nous couchâmes : cela faisait une semaine que nous n’avions pas fermé l’œil de la nuit, car les savoir à côté de nous faisait remonter tous les souvenirs, et nos larmes. Ils nous avaient aidés à surmonter cette épreuve douloureuse de la vie.Le lundi, ma sœur se réveilla, cela faisait bizarre car cela était la première fois que nous nous retrouvions seules, toutes les deux. Une discussion s’imposa avec ma sœur, elle était petite mais je voulais qu’elle comprenne qu’il fallait continuer, en lui expliquant que c’est ce que papa et maman auraient voulu. Après la discussion avec ma sœur, nous descendîmes prendre le petit déjeuner. J’installai alors ma sœur devant la télévision pendant que je finissais mes tartines.
Puis, j’appelai ma meilleure amie car j’avais besoin de me confier et d’être réconfortée aussi.Elle vint ; lui parler m’avait considérablement soulagée. Le lendemain, j’amenai ma sœur à la maternelle car la pauvre enfant n’avait que cinq ans ; j’allai essayer de trouver du travail pour pouvoir nous payer les choses indispensables. J’allai donc chez le notaire qui nous aiderait à acheter une maison beaucoup plus petite car notre maison était bien trop grande, et nous avions besoin de changer d’air. Je partis ensuite dans une agence immobilière et je vis une petite maison près de nos deux écoles ce qui était avantageux ; il y avait aussi un petit bout de jardin, il suffisait juste de trouver l’argent nécessaire.Je sortis et allai tenter ma chance à l’Euro millions.Une semaine plus tard j’appris à la télévision que je venais de gagner seize millions d’euros. J’étais si heureuse ! Avec ma sœur j’allais pouvoir recommencer une nouvelle vie en achetant cette petite maison et je pourrais lui offrir plein de choses pour Noël.
Un mois plus tard je signai le contrat pour la maison, il fallait au plus vite aménager car le souvenir de nos parents était là et réduisait nos moments de bonheur.Je demandai un coup de main à tous mes amis, et tous vinrent sans exception ce qui me toucha énormément ; tous les jours pendant une semaine après les cours ils vinrent m’aider à transporter les meubles et à déballer les cartons.Je pus donc m’installer une semaine plus tard dans ma nouvelle petite maison, où, j’espérais que nous serions heureuses.Noël passa, ma sœur reçut plein de cadeaux, ses yeux brillaient devant toutes ces merveilles que j’avais gagnées à l’Euro millions.Les fêtes passées avec nos amis nous rendirent fortes.Mais ce qui rend plus fort encore, c’est de voir toute la solidarité qu’il y eut au bout de cette aventure.
Anaïs
La jeune fille et ses amis
Au moment où Flora allait partir, et où elle regardait une dernière fois sa maison et sa ville, le garçon de ses rêves apparut ! Elle n’en croyait pas ses yeux.
« Qu’est-ce que tu fais ici ? lui demanda-t-elle.
- Je veux que tu restes ! répondit Gabriel, essoufflé. Je veux t’entendre chanter pour le spectacle, pour tes amis et pour moi. S’il te plaît …»
Alors elle décida d’y aller pour lui.
Elle laissa dans la voiture une lettre pour que ses parents sachent où elle était.
Lorsqu’elle entonna sa première chanson avec son amie Laure, tout le monde avait les yeux fixés sur Flora tant sa voix était magnifique et mélodieuse. Ses parents écoutèrent leur fille avec attention, et décidèrent de s’en occuper un peu plus et de travailler un peu moins.
Carnet rose ou Les filles naissent-elles dans les
roses ?
La rose rouge
Les amies de Rose lui lancèrent un regard soupçonneux : « Salut Valentin ! Rose nous a beaucoup parlé de toi. »Rose donna un coup de coude à Marguerite qui bouscula Fleur qui bouscula Violette à son tour.Valentin laissa un petit rire s’échapper et dit à Rose : « Euh Rose, dans deux jours, c’est la fête du collège. Il y aura des slows alors je voulais te demander si tu voulais être ma partenaire de danse ? -Bien sûr, pourquoi pas ! Ce serait amusant d’y aller avec toi ! répondit-elle très joyeuse. - Ok ! Vivement dans deux jours alors ! dit-il en rougissant. - Oui, vivement ! » murmura Rose en rougissant à son tour. Les deux amis se regardèrent une dernière fois dans les yeux et partirent en cours.Le jour tant attendu est arrivé. C’est le dernier jour de collège !Décorations, boissons, gâteaux, micros, et jeux toutes la journée !Rose mit sa plus belle tenue d’été pour l’occasion et pour le soir, sa plus belle robe rouge à paillettes. Valentin mit un tee-shirt blanc et rouge psychédélique, un jean à la mode et pour le soir, son plus beau smoking.Le soir venu, Rose et Valentin se partagèrent leurs boissons et leurs chips. Rose devait chanter « un amour pour toujours » devant tout le collège, elle avait le trac, peur de faire de fausses notes, angoissée à l’idée de chanter devant cinq cents personnes.
La chanson se termina et l’heure des slows arriva. Rose et Valentin se regardèrent dans les yeux et commencèrent à danser. Ils étaient en plein milieu de la scène, prêts à enflammer la piste de danse. Le bal terminé, Rose et Valentin se dirent au revoir.« -Euh, Valentin, je voulais te dire que… » Mais la mère de Rose l’appela pour rentrer à la maison car, le lendemain, ils devaient partir dans un hôtel luxueux au bord de la mer.Valentin lui dit avec désolation :«Ce n’est pas grave Rose, tu me diras ça un autre jour. Allez, à plus tard ! »Rose était un peu triste et lui répondit tout bas :« Oui… à plus tard. » Rose rentra chez elle, déçue de ne pas avoir dit à Valentin ses sentiments pour lui depuis le début.Pendant le voyage, elle se sentie délaissée, seule et complètement perdue. La jeunesse est remplie d’amour, d’espoir et d’ennuis. Ces trois choses étaient enfouies dans Rose, très loin dans un coin sombre de son cœur.La petite famille Sermony était arrivée à l’hôtel qui paraissait à Rose très charmant. Elle s’empressa de mettre son maillot et d’aller se baigner. vagues semblaient l’accueillir en la caressant avec des petites vaguelettes. Rose trouvait cela très agréable. Elle ne sortit de l’eau qu’au coucher du soleil. Pendant le dîner, elle demanda à sa mère :
Je suis unique, comme celui qui m’a donné son nom. Je n’ai que deux épines dont je ne me sers que pour me défendre occasionnellement contre les parasites (pucerons paparazzis !). Malheureusement, la plupart du temps, je me referme sur moi-même, mes pétales étant mon cocon protecteur.
Mon cycle est très particulier : je naquis noire et maintenant je suis blanche. Ce n’est que la nuit que je me révèle car je ne veux pas reprendre ma couleur initiale. Lorsque la lune se lève, sa lumière fait scintiller le bout d’une de mes épines. Alors seulement, j’entame mon spectacle, avec juste les étoiles comme témoins. La lune paraît nouvelle, plus vivante, quand je commence à glisser, faisant le pas de la lune.
Mon pas, plutôt son pas, était célèbre. Le moonwalk, vous en avez certainement entendu parler. Bientôt, d’ autres fleurs se joignent à moi et mon pas se transforme en danse dont nous sommes les seules à entendre la musique. Quand le soleil se lève, les gens de passage m’admirent et d’autres me méprisent, tout comme les fleurs d’ailleurs. Certaines sont jalouses de mon talent et je suis tombé plusieurs fois sous le poids de leur mépris. Mais grâce au soutien de beaucoup d’autres végétaux et à ma volonté de fer, j’ai toujours réussi à me relever pour aller vers de nouvelles choses admirables. Je continuerai à briller de par le nom de Michael Jackson.Oui…
Je suis la rose de Michael Jackson.
Lettre à mon amour véritable
Histoire d’horreur: un crime au collège
Le paradis du ciel
Le soleil
Le rosier et le
jardinier
La voie, la voix de la joie
Un album pour s’inspirer
La joie, le sourire et l’abandon
Mercredi 25 décembre 1985 Mon journal, aujourd’hui est le jour de noël, ce
moment tant attendu par la plupart des enfants de cette planète. Hier j’ai pu paraître triste ou coupable mais aujourd’hui est le plus beau jour de ma majestueuse vie. La jeune mère et son bébé qui avaient creusé un trou dans mon cœur se trouvent maintenant en face de moi, à table avec la reine, le roi et les princes et princesses de Sonteigna. Si tu pouvais voir leur sourire je crois que tu en pleurerais de joie. Je n’ai jamais vu un si beau sentiment, ce sentiment qui me remémore les journées que je passées avec ma nourrice à l’âge de cinq ans ; les rires des enfants dans les pleines vertes et fleuries grandioses aux yeux de ces enfants innocents, les oiseaux qui chantaient à tue-tête, les papillons volant et se posant sur le bort de la joue d’un enfant fatigué, qui s’endormait la plupart du temps quelques minutes après avec un sourire de pur bonheur aux lèvres. Moi, comme j’étais une princesse je n’avais point le droit d’aller jouer avec eux, mais le seul fait de les voir heureux, me rendait, à moi aussi, heureuse. Toutes les personnes dans ce monde
L’atelier écriture dans toute sa splendeur ! (et presque au complet)
Vous voulez des noms ?
Voici plutôt quelques prénoms :
Ana , Carole, Marina, Alaury,
Audrey Laurine, Anaïs…
Encore des noms ?
Voici encore quelques prénoms :
Marine, Ludovic, Blandine, Célia
Romane et Catherine (Lafferrère).