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1 Georges Engel bourgmestre de Sanem Roland Schreiner bourgmestre de Schifflange Guy Pettinger bourgmestre de Steinfort Guy Arendt bourgmestre de Walferdange Albert Henkel bourgmestre de Mersch Dan Kersch bourgmestre de Mondercange Roby Biwer bourgmestre de Bettembourg Lydia Mutsch bourgmestre d’Esch-sur-Alzette Gilles Roth bourgmestre de Mamer Vincent Delwiche Agora Luigi Pisa Novelis François Thoumsin Twinerg Paul Weidig Sudcal N°2 de l’année 2011 Will Hoffmann bourgmestre de Rumelange Eberhard Pütz WPS Mars di Bartolomeo Ministre de la Santé et de la Sécurité Sociale A propos de la réforme de l’assurance maladie

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Echo 2 - 2011 Part 2

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1

Georges Engelbourgmestrede Sanem

Roland Schreinerbourgmestre

de Schifflange

Guy Pettingerbourgmestrede Steinfort

Guy Arendtbourgmestre

de Walferdange

Albert Henkelbourgmestrede Mersch

Dan Kerschbourgmestre

de Mondercange

Roby Biwerbourgmestre

de Bettembourg

Lydia Mutschbourgmestre

d’Esch-sur-Alzette

Gilles Rothbourgmestrede Mamer

Vincent Delwiche Agora

Luigi PisaNovelis

François ThoumsinTwinerg

Paul WeidigSudcal

N°2

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Will Hoffmannbourgmestre

de Rumelange

Eberhard PützWPS

Mars di Bartolomeo

Ministre de la Santé et de la Sécurité Sociale

A propos de la réforme de l’assurance maladie

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1

Newcom s.àr.l.B.P. 143

L-4902 Bascharage

Tél. : +352 23 650 175

Fax: +352 23 650 174

w w w . n e w c o m . l u

Administration - Comptabilité

Pascal Vilvens

[email protected]

Directeur de la publicité

Fred Bertinelli

[email protected]

Rédacteur en chef

Jorris Fitten

[email protected]

Layout & infographie

Michel Blanchy

[email protected]

Photos

Newcom

Divers

Echo n°2 de l’année 2011 - © Echo

Tous droits de reproduction réservés pour tous pays.

Tous manuscrits, photos ou documents envoyés à la

rédaction impliquent l’accord de leurs auteurs de les

exploiter. Publiés ou non, ils ne seront pas restitués.

Les reportages signés n’engagent que leurs auteurs.

Les prix indiqués dans cette revue sont indicatifs et

peuvent être sujet à des variations dont l’auteur ne

sauraient nullement être tenu responsable.

Sommaire

1

Georges Engelbourgmestrede Sanem

Roland Schreinerbourgmestre

de Schifflange

Guy Pettingerbourgmestrede Steinfort

Guy Arendtbourgmestre

de Walferdange

Albert Henkelbourgmestrede Mersch

Dan Kerschbourgmestre

de Mondercange

Roby Biwerbourgmestre

de Bettembourg

Lydia Mutschbourgmestre

d’Esch-sur-Alzette

Gilles Rothbourgmestrede Mamer

Vincent Delwiche Agora

Luigi PisaNovelis

François ThoumsinTwinerg

Paul WeidigSudcal

N°2

de

l’a

nn

ée

20

11

Will Hoffmannbourgmestre

de Rumelange

Eberhard PützWPS

Mars di Bartolomeo

Ministre de la Santé et de la Sécurité Sociale

A propos de la réforme de l’assurance maladie

Edito …………………………………………………………………… 3Entretien avec Mars Di Bartolomeo ………………………………… 4Laboratoires d’analyses médicales Ketterthill ……………………… 8Laboratoires Réunis, entretien avec le Dr. Bernard Weber ……………………………… 8Yous Real Estate, entretien avec Luc Schuller ……………………………………… 12

Novelis, leader mondial de la production et du recyclage d’aluminium ………………………………………… 14

Ernst & Young, entretien avec Alexander Flassak et Armin Tscheu ……………… 17

Avery Dennison, entretien avec Serge Orban ……………………………………… 20

Twinerg, entretien avec François Thoumsin ……………………………… 24

Sudcal, entretien avec Paul Weidig ……………………………………… 27

WPS …………………………………………………………………… 30

Famaplast ……………………………………………………………… 34

Commune de Bettembourg, entretien avec Roby Biwer ……………………………………… 36

Lorry Rail ……………………………………………………………… 39

Climasol Europe ……………………………………………………… 42

Commune d’Esch-sur-Alzette, entretien avec Lydia Mutsch ……………………………………… 45

Immobilière BEI, entretien avec Fabrizio Bei ………………………… 50

Agora, entretien avec Vincent Delwiche ……………………………… 54

Entreprise Julien Cajot ………………………………………………… 58

Socimmo ……………………………………………………………… 60

Commune de Mamer, entretien avec Gilles Roth ………………………………………… 63

Commune de Mersch, entretien avec Albert Henkel ……………………………………… 66

Commune de Mondercange, entretien avec Dan Kersch ……………………………………… 72

Mon jardin ……………………………………………………………… 75

Poeckes Rumelange ………………………………………………… 78

Commune de Rumelange, entretien avec Will Hoffmann ……………………………………… 79

Polygone entretien avec André Reuter ……………………………………… 82

Thomas & Piron et le groupe Wagner construisent Park Lane à Bertrange ………………………………… 85

Commune de Schiflange, entretien avec Roland Schreiner ………………………………… 88

Valorlux ………………………………………………………………… 94

Commune de Steinfort, entretien avec Guy Pettinger ……………………………………… 95

Windsor, la haute gastronomie appliquée au service traiteur ……… 98

Myenergy days ………………………………………………………… 101

Commune de Walferdange, entretien avec Guy Arendt ………………………………………… 104

ATS Cranes …………………………………………………………… 107

Commune de Sanem, entretien avec Georges Engel …………………………………… 110

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collaboration avec les teams et les ex-perts, le jury a retenu unanimement le projet de KCAP du Prof. Kees Chris-tiaanse (Rotterdam/NL) pour la nou-velle impulsion qu’il donne au projet.

Quel était le cahier des charges soumis aux différents teams ?Vincent Delwiche : Il s’articulait autour

Comment cela s’est-il passé concrètement ?Vincent Delwiche : Nous avons invité, sous la conduite du Professeur Fin-gerhuth, des experts et quatre teams internationaux ain d闇afiner le concept urbanistique du Square Mile, le « bu-siness district » de Belval. Après plus d’un an de dialogue et de travail en

Pourquoi avoir revu le Masterplan du Square Mile ?Vincent Delwiche : Le Masterplan qui guide notre développement a été conçu il y a 9 ans par le bureau d’urbanisme Jo Coenen à l’occasion d’un concours international. Ce Masterplan a depuis lors été notre il conducteur tout au long de nos travaux. Depuis 2002, année où a été lancé le concours, le contexte économique et social a for-tement évolué, l’urbanisme a changé, tout comme notre regard sur l’habitat. C’est ce qui nous a poussé à lancer un concours participatif ain de faire évoluer ce Masterplan. Il ne s’agissait pas de tout remettre en question mais simplement de conirmer notre vision initiale et, si nécessaire, de l’adapter ain de permettre à Belval de se déve-lopper le mieux possible.

Où se situe exactement le Square Mile ?Vincent Delwiche : Il se situe à l’Ouest de la Terrasse des Hauts Fourneaux et forme le trait d’union entre la Terrasse des Hauts-Fourneaux, quartier univer-sitaire et les quartiers d’habitation de Belval Nord et Belval Sud.

Belvalun site qui s’adapte au contexte économique et social

Entretien avec

Vincent Delwichedirecteur d’Agora

À l’occasion de la présentation de la révision du Masterplan Central du Square Mile

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Quelques mots pour conclure ?Vincent Delwiche : En tant que déve-loppeur, nous nous devons de veiller à l’équilibre entre les besoins du marché immobilier à court terme et les aspi-rations légitimes des communes, tout en maintenant un regard attentif sur le long terme. C’est pourquoi dans tout le processus, nous avons travaillé avec les différents partenaires du projet dont les Communes de Sanem et Esch font précisément partie. Nous ne pouvons que nous féliciter de leur investisse-ment et de leur entière collaboration tout au long de cette démarche. Plus que jamais, Belval est un lieu de vie, un endroit qui bouge, qui évolue, qui se développe grâce à l’aide et à la profonde motivation de chacun.

A propos d’Agora :Agora S.à r.l. et Cie, société en comman-dite simple est une société de droit privé créée en octobre 2000 dans le cadre d’un partenariat entre l’Etat Luxem-bourgeois et le groupe ArcelorMittal.La société a pour mission de “ viabiliser et développer les friches industrielles situées sur d’anciens sites de sociétés sidérurgiques luxembourgeoises, dans un sens favorable à l’intérêt général dans les domaines économique, social, écologique, culturel et de l’aménage-ment du territoire en respectant les principes de gestion et de valorisation de l’économie privée”. C’est dans ce cadre qu’Agora exerce son métier d’aménageur foncier chargé de la planiication et de la réalisation des projets qui lui sont coniés ainsi que de leur conduite sur le plan urbanistique.

AGORA s.àr.l. et cie, secs3, Avenue du Rock’n Roll L-4361 Esch sur Alzette Téléphone +352 / 26 53 44 37Téléfax +352 / 26 53 44 45 www.agora.lu

Selon la conviction de l’ensemble des experts, un circuit urbain entre les réalisations urbaines déjà existantes à ce jour, comme par exemple la Place située sous les Hauts Fourneaux, la gare régionale, et le futur Parc Belval comprenant le Centre Sportif et le Lycée technique, pourra être développé en plusieurs phases au cours des années à venir grâce au concept élaboré par le bureau KCAP. Il en résulte notam-ment la mise en place progressive d’une mixité intéressante d’affectations, tout en veillant à leur intégration au déve-loppement de l’Université ainsi que la mise en place d’un Shopping Loop. Les offres de logement proposées sont elles aussi attractives car elles présen-tent une qualité urbanistique élevée, ainsi qu闇une offre diversiiée et adaptée aux différents utilisateurs, ainsi qu’aux différentes phases de la vie.Le concept urbanistique proposé par KCAP porte donc une grande attention aux espaces urbains et à la qualité de vie que nous implantons peu à peu sur le site de Belval.

des thématiques de l’urbanisme, du développement universitaire, du déve-loppement immobilier, des stratégies de commercialisation mais aussi de la qualité des espaces publics.L’objectif consistait à réviser de manière critique le Masterplan actuel dans la partie centrale du Square Mile, pour améliorer son caractère innovant. La procédure a duré plus d’un an pendant lequel la commission d’experts a fourni, à travers de nombreuses indications et recommandations, un soutien actif aux 4 teams participants.

Quel est le point fort du projet retenu ?Vincent Delwiche : Il s’agit d’une stratégie urbaine simple et en même temps courageuse, qui tient compte des éléments déjà implantés à Belval. Ce projet s’est imposé avant tout parce que les planiicateurs de KCAP apportent une grande importance urbanistique au « substrat » déjà mis en place tant sur la Terrasse des Hauts Fourneaux que sur le Square Mile.

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Espaces publicsLa zone est divisée en 4 typologies: la place des bassins de refroi-

dissement avec sa rue piétonne adjacente constitue le cœur du quartier.

Les espaces privés extérieurs avec des places, des jardinets et des terrasses sur les toits.

La place des cheminées comme lieu de liaison entre le parc et l’es-pace urbain

La Ringstrasse en tant que jonc-tion vers la Terrasse des Hauts Fourneaux et les quartiers avoi-sinants.

Les rues commerciales et la place des

grande qualité d’habitat, de zones de rez-de-chaussée lexibles, de com-merces et de bureaux. Un parcelle-ment inement maillé est stimulé ain de créer des possibilités de propriété et d’investissement variés.

Le centre de gravité du commerce de détail est situé dans la partie sud dans le prolongement de l’activité commerciale déjà établie sur la terrasse des Hauts Fourneaux. L’habitat est prévu dans le Nord-Ouest en direction du Parc. L’af-fectation des bureaux est prévue au Nord-Est en liaison avec le bâtiment Dexia. Les limites sont luides et en-globent également les terrains situés à l闇extérieur de l闇espace de planiica-tion du présent concours.

UrbanismeLe boulevard du Jazz est prolongé en tant que zone piétonne et cycliste continue, entre Belvaux et la Terrasse des Hauts Fourneaux. Une affectation particulière (thermes, centre sportif), ainsi qu’une place marquent l’entrée Ouest dans le quartier. La structure urbaine est dissoute vers le parc – les cheminées deviennent visibles. Au lieu d’un axe central monumental est proposé un tissu urbain différen-cié. Les espaces publics et les terrains de construction forment un tissu qui englobent les blocs centraux dans le paysage urbain environnant.

Pour animer le quartier, des typologies de bâtiments supplémentaires sont pro-posées: des blocs ouverts avec une

Square Mile

Le point de vue du lauréat : le bureau KCAP

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des espaces publics et la lexibilité des terrains de construction (typologies). Le phasage ne devrait pas s’effectuer en fonction des terrains de construction, mais en fonction des espaces urbains. Dans la première phase est réalisée l’extension des terrains de construction situés au Sud sur le Boulevard du Jazz. L’espace urbain, à moitié terminé, est ainsi appelé à vivre. Pour les prochaines étapes d’extension, plusieurs scéna-rii sont représentés, lesquels peuvent selon l’état du marché et l’avancement des constructions environnantes, être lancées parallèlement.

quartier et le parc avoisinant. A travers un escalier généreux en prolongation de l’axe central, se crée la transition vers le parc. Dans la zone autour de la cheminée Sud se crée une place urbaine publique. Autour de la che-minée Nord est déini un espace vert semi-public qui assurera pour les fu-tures habitations adjacentes une qua-lité de séjour supplémentaire.

PhasageLe processus de développement est déterminé par un plan cadre. Deux as-pects spatiaux sont déinis ici: le réseau

bassins de refroidissement sont pa-vées par des dalles en béton de grand format. Les espaces extérieurs privés sont des places modelées de diffé-rentes façons (possibilité de s’asseoir, de jeux, ou encore des îlots verts).

La Place des Bassins de refroidisse-ment devient un lieu central créateur d’identité qui réinterprète l’ancienne fonction industrielle. En premier lieu, les bassins sont rangés et végétalisés comme 材Sunken Garden“. Le bassin au Nord est planté de pins et de fougères. Le bassin au Sud lequel à moitié fer-mé dans l’aménagement de la place, reçoit des plantations de bouleaux de l’Himalaya. Dans la deuxième phase de construction est introduit un Box qui sert de point d’information, d’exposi-tion et de lieu événementiel. Il consti-tue le lien entre les différents niveaux et permet également de rendre acces-sible à pied le bassin au Nord. Dans la dernière phase, la place sera enca-drée de constructions et sera déinie en tant que point central.

La Place des Cheminées est conçue comme un espace transitoire entre le

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Equipement et machinesL’entreprise dispose de 2 postes d’enro-bage. Le poste Benninghoven, installé au printemps 2004, a une capacité de 200 tonnes par heure. Le 2e poste, renouvelé début 2005, d’une capacité de 160 tonnes de béton asphaltique par heure, est équipé d’un deuxième tambour sécheur ain de permettre l闇uti-lisation d’asphalte récupéré (recycling).

Pour l’application du béton asphaltique produit, l闇entreprise possède 6 inishers modernes, ce qui permet d’épandre l’asphalte dans un procédé qui per-met de couvrir en une seule passé

L’entreprise dispose d’un personnel qualiié faisant partie pour la plupart de l’entreprise depuis de nombreuses années:

2 ingénieurs diplômés 3 ingénieurs technicien 6 employés 4 mécaniciens 2 serruriers 2 électriciens 5 contremaîtres 4 opérateurs 7 machinistes des chauffeurs, des asphalteurs...

L’entreprise Julien Cajot est une en-treprise familiale fondée en 1967 par M. Julien Cajot. Elle se situe à environ 5 km du centre de Luxembourg, dans la zone industrielle de Leudelange. Elle est spécialisée dans la production et l’application de revêtements bitumi-neux appelés bétons asphaltiques et servant à revêtir:

routes parkings cours d’écoles drive ways privés pistes d’aéroport etc.

EntrepriseJulien Cajot

Production et applicationde revêtements asphaltiques

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C’est un produit qui se prête par excel-lence au recyclage, puisque ses proprié-tés dépendent plus de la température que du temps. C’est un produit réutili-sable, qui pèse très peu sur l’environ-nement.

une largeur de tours importante allant jusqu’à 20 mètres. Cela s’impose, par exemple, sur les sorties et entrées des autoroutes ou d’autres artères impor-tantes

L’asphalte, un produit écologique !L’asphalte, qui est un mélange de pierres et de bitume, peut seulement être fabri-qué à une température d’environ 160 degrés Celsius. Il faut donc chauffer les agrégats à presque 200 degrés, et ceci à la cadence de 2.000 kilos par minute. Cette condition implique des installations performantes pour le chauf-fage, le dépoussiérage et le malaxage des constituants. Ain de réaliser une constance dans la qualité des enrobés, la production est contrôlée régulière-ment par un laboratoire.

Contrairement au béton de ciment, l闇asphalte conserve sous le traic une certaine maléabilité, ce qui le prédes-tine pour l’utilisation primordiale dans la construction des routes.

Entreprise Julien Cajot1, Zone Industrielle Grasbusch • L-3370 Leudelange

BP 2 • L-3205 LeudelangeTél.: 48 76 76-1 • Fax: 49 56 51Email: [email protected]

www.jcajot.lu

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CONSTRUCTION

socimmo

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La tradition au service de l’innovation

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SOCIMMO

CONSTRUCTION

socimmo

6, Z.A.E. Le Triangle Vert

L-5691 ELLANGE

B.P 79

L-5601 Mondorf-les-Bains

Tél.: 31 67 17

Fax: 31 67 27

[email protected]

www.socimmo.lu

CONSTRUCTION

La tradition

au service

de l’innovation

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Quel bilan tirer de cette législature qui s’achève ?Gilles Roth : Je dirais qu’au moins 90% du programme de la législature est aujourd’hui réalisé.

Commençons par notre projet phare : le complexe Kinneksbond que nous venons de inaliser. Il s闇agit du plus grand investissement jamais réalisé par notre commune : 100 millions d’euros en 10 ans !

Il s闇agit d闇un complexe scolaire et culturel comprenant entre autres une maison relais pour 350 enfants, des salles de classe hyper confortables de 90 m2 en moyenne, un hall sportif ultra moderne…

Commune de Mamer

Entretien avec

Gilles Roth député-maire

La commune de Mamer comprend les localités de Mamer, Holzem et Cap-Capellen.Elle est située à l’ouest de la ville de Luxembourg dans la vallée de la rivière Mamer et est également arrosée par les ruisseaux Faulbaach et Kielbaach.La commune est reliée au réseau routier par la Route Nationale N6 Luxembourg-Arlon et par les CR 101 et 102. L’A6 Luxembourg-Bruxelles la traverse et elle a son accès entre Capellen et Mamer. Elle est reliée au réseau ferroviaire par la ligne Luxembourg-Belgique. Elle s’étend sur une supericie de 2752 ha et compte environ 7800 habitants. Son bourgmestre, Gilles Roth, est marié et père d’une ille. Juriste de formation, il est inscrit sur les listes du CSV. Il occupe la fonction de bourgmestre depuis le premier janvier 2000 et est membre du parlement depuis 2007.

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Le leuron de ce complexe est le centre culturel qui vient d闇ouvrir ses portes in octobre et dont toutes les manifesta-tions ont depuis afiché complet ! Un bâtiment additionnel au centre culturel sera inauguré sous peu.

Avec le complexe Kinneksbond, les besoins de notre commune seront cou-verts pour les années à venir, même si notre population continue de croître.

Connaissez-vous une forte croissance démographique à Mamer ?Gilles Roth : Nous menons une poli-tique d’urbanisme et de logement dyna-mique, ce qui nous permet d闇aficher une croissance démographique de l’ordre de 3% par an. Nous avons déjà voté des lotissements qui s’étendront sur 30 hectares de supericie. Notre popu-lation s’élève aujourd’hui à 7.800 habi-tants et nous devrions croître de 1.000 habitants dans les 4 ans à venir. D’ici 2 ans, 100 logements à coûts modérés auront été construits par la SNHBM et le Fonds du Logement. Malgré cela, nous n’avons pas réussi à endiguer la lambée des prix des terrains dans notre commune, prix encore boostés

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Gilles Roth : La révision du PAG est bien entamée mais ne sera plus sou-mise au conseil communal avant la in de la législature en raison des dernières modiications législatives.

Avez-vous des projets en cours ?Gilles Roth : Il y a toujours du travail dans une commune. Il faudra ainsi dans l’avenir réaliser une extension de la maison relais, inaliser le complexe scolaire de Capellen, réaliser l’exten-sion de la station d闇épuration, et enin réaménager le centre de Mamer.

Quelques mots pour conclure ?Gilles Roth : Je suis heureux et ier de ce qui a été réalisé à Mamer les 10 dernières années, période pendant laquelle j’ai eu le privilège de diriger la commune en tant que bourgmestre. Je serais candidat à ma succession et j’espère que les électeurs m’offriront à nouveau leur coniance.

sées conjointement par les associations locales et le cercle culturel communal.

Parmi les manifestations organisées on pourrait citer pêle-mêle les réjouis-sances à l’occasion de la fête natio-nale qui accueillent chaque année entre 1.500 et 2.000 spectateurs, le festival « Open Air » dans l’enceinte du Mamer Schlass qui rassemble chaque année les amateurs de musique moderne, sans oublier les manifestations cultu-relles organisées par le Kinneksbond, qui vont de la musique classique au jazz en passant par les représenta-tions théâtrales.

Dans quel état sont vos inances communales ?Gilles Roth : Nous avons un endet-tement de 24 millions d’euros, ce qui correspond à une charge de rembour-sement de 6% des recettes ordinaires. Nous avons en moyenne chaque année un excédent budgétaire qui avoisine les 7 millions d’euros. De plus, nous avons aménagé une zone d’activité tertiaire près de l’autoroute, ce qui génèrera aussi de nouvelles rentrées iscales. Où en est votre PAG ?

par l’implantation de la deuxième école européenne sur notre territoire.

Les infrastructures souterraines sont-elles au niveau ?Gilles Roth : Nous avons tenu toutes nos promesses à ce niveau. Fin 2011, toute la commune sera reliée au gaz naturel. Les conduites d’eau et les canalisations ont été refaites dans la plupart des lotissements. Les pertes d’eau ont ainsi été fortement réduites et nous avons pu endiguer la plupart des phénomènes d’inondation.

Comment avez-vous pensé le développement de votre commune ?Gilles Roth : Nous avons tenu à res-pecter le caractère propre de chacune de nos localités. Ainsi, Holzem a gardé son caractère rural.

Capellen a un caractère résidentiel et nous avons prévu la création d’un com-plexe scolaire et sportif en son centre pour un budget de 30 millions d’euros. Les travaux viennent de débuter. En ce qui concerne Mamer, je me ré-jouis de ce que son caractère dortoir s’estompe en raison des multiples mani-festations culturelles et sportives organi-

Commune de Mamer1, Place de l闇Indépendance L-8252 MamerB.P. 50 L-8201 MamerTél: 31 00 31 1 Fax: 31 00 31 72www.mamer.lu

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Pourriez-vous revenir en quelques mots sur votre carrière politique ?Albert Henkel : Je suis entré au conseil communal le 1er janvier 1982. J’aurais donc à la in de cette législature effec-tué 30 années de conseil communal. Durant cette période, j’ai tout connu, majorité, opposition, 2ème échevin, 1er échevin et enin bourgmestre. Cela dit, je suis d’avis qu’en politique les plus âgés doivent à un moment laisser la place aux jeunes. Les jeunes ont besoin d’expérience et pour qu’ils en acquièrent il faut leur conier des responsabilités. Mon prédécesseur, Marcel Erpelding, excellent bourgmestre par ailleurs, avait 77 ans lorsqu’il s’est retiré. Pour ma part, je serais à nouveau candidat le 9 octobre 2011 pour une législature mais ensuite je me laisserais le temps de réléchir.

Commune de Mersch

Entretien avec

Albert Henkel bourgmestre

Véritable porte entre la Ville de Luxembourg et la Nordstad, Mersch est la cinquième ville du pays en termes de supericie (49,74 km2). Sise au conluent de l’Alzette, de l’Eisch et de la Mamer, elle possède la seconde propriété sylvicole communale du pays (1.140 ha) après la ville de Luxembourg. Constituée de 7 localités, Mersch compte à ce jour environ 8.000 habitants. Son bourgmestre, Albert Henkel, est marié et père de deux enfants. Employé privé, il est membre du DP. Il appartient au conseil communal depuis 1982 et est devenu bourgmestre le 1er janvier 2004. Il a accepté de nous recevoir pour faire un bilan de cette législature.

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Nous avons ainsi inauguré ce 27 avril la maison relais de la rue des Prés. Elle pourra accueillir 80 enfants. Nous avons aussi accordé une subven-tion numéraire pour l’ouverture d’une crèche à la maison des aveugles à Bes-chbach. Il s’agit d’ouvrir une crèche dans une maison de retraite et de gériatrie. Elle servira aussi bien au personnel de la maison de retraite qu’aux habi-tants de Mersch. Le fait de mélanger ainsi les générations est positif aussi bien pour les personnes âgées que pour les enfants.

Qu’en est-il de vos projets relatifs à l’eau potable ?Albert Henkel : Nous avons termi-né le raccordement du réseau d’eau potable au réseau d’eau du SEBES. Nous avons déjà beaucoup investi et nous continuerons d’investir dans la remise en état de nos sources d’eau potables et forages. Nos sources sont nombreuses mais elles nécessitent de grands efforts pour garder une qualité

Ce projet qui est in prêt sera le plus grand chantier de la prochaine législa-ture, il est chiffré à 15 millions d’euros.

Quels sont les grands projets qui ont été mené à bien récemment ?Albert Henkel : Il y a l’extension de notre parc communal qui sera inau-guré sous peu et qui nous a valu le prix Schéin Dierfer a Stied 2010 de la part du Ministère du Tourisme. Ce projet nous a couté 1 million d’euros.On peut aussi citer notre centre aqua-tique qui voit régulièrement sa fréquen-tation augmenter.

Nous avons également achevé le chan-tier de la salle des sociétés à Moesdorf. Toujours au chapitre des chantiers ré-cemment achevés, il y a la traversée de Pettingen avec ses rues secondaires et la rénovation de l’ancienne école qui sert aujourd’hui de maison d’artistes.

Vous aviez beaucoup de projets !Albert Henkel : Ce n闇est pas ini !

Quels sont les grands projets en cours à Mersch ?Albert Henkel : Notre plus grand in-vestissement à l’heure actuelle est la construction du bâtiment central des sapeurs-pompiers pour un budget de 6,5 millions d’euros. Il sera terminé d’ici cet automne.

Cet automne toujours, nous termine-ront le réaménagement de l’ancienne école de Reckange pour un budget de 3,4 millions d’euros. Elle servira aux cours de musique, de langue et aux activités de 2 associations locales.

Nous allons aussi démolir l’ancienne école Nic Welter de Mersch, ain de construire à la place une deuxième maison relais avec cuisine de produc-tion pour 240 enfants et 6 salles de classes supplémentaires pour le cycle 1 de l’école fondamentale. Il s’agira d’un bâtiment à basse consommation d’énergie, tout comme d’ailleurs les deux bâtiments précédents.

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tion avec le Ministère du développe-ment Durable et des Infrastructures une convention avec les 5 communes de la vallée de l闇Alzette : Lintgen, Lorentzwei-ler, Mersch, Steinsel et Walferdange. Il s闇agit d闇avoir une planiication coor-donnée dans les domaines des PAG, de la mobilité, de la protection de la nature, des services de secours, etc.

Mersch est une commune très agréable à vivre, dotée d’une position centrale entre la Ville de Luxembourg et la Nordstad et nous travaillons depuis toujours à bien la positionner entre la Capitale et la Nordstad, ain de ne pas devenir une ville dortoir mais à être un véritable centre d闇attraction régional.

Où en êtes-vous dans l’élaboration de votre PAG ?Albert Henkel : Nous sommes en train de le réviser mais nous atten-dons le vote de la 4e modiication de la loi sur l闇aménagement communal pour enin inaliser la procédure. Le résultat de la consultation rémunérée du réaménagement du quartier de la Gare dont on inalise le plan directeur y sera intégré.

Dans quel état se portent vos inances communales ?Albert Henkel : Nos inances sont saines. Nous avons perdu des em-plois à l闇Agrocenter et chez Valfond, mais nous avons la chance d’avoir une bonne structure de PME et des centres commerciaux qui génèrent de bonnes rentrées inancières.

Quelques mots pour conclure ?Albert Henkel : J闇aimerais encore abor-der un projet qui me tient à cœur : le redressement de la rue Grand Duchesse Charlotte. C闇est un projet de l闇Etat qui est reporté depuis 12 ans et qui pourra enin débuter en 2012 !

En ce qui concerne notre développe-ment, nous avons signé en collabora-

optimale. Nous avons ainsi dû traiter certaines de nos sources aux UV pour tuer les bactéries. Pire, dans certaines sources, nous avions un résidu d’un herbicide utilisé il y a plus de 20 ans dans les plantations de forêts, ce qui nous a amené à installer des iltres à charbon. Cela dit, les quantités rele-vées étaient minimes, il aurait fallu par exemple qu闇un enfant de 10 kg boive 3.000 litres d’eau pour que cela de-vienne dangereux.

Nous devrons continuer dans les an-nées à venir à investir tant dans notre réseau d闇eau potable que dans nos réseaux d’eau résiduelle.

Avez-vous signé le Pacte Logement ?Albert Henkel : Nous avons signé le Pacte Logement et pour le moment nous respectons la croissance prescrite.

Administration Communale de Mersch Château de Mersch Place St Michel L-7556 MERSCH B.P. 93 L-7501 MERSCHTél. : 325023-1 Fax : 328013www.mersch.lu

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Sewerin Schiltz S.àr.l.

300, Val Sainte-Croix • L-1370 LuxembourgTél.: 00352 447670 • Fax: 00352 446 167E-mail: [email protected] • www.sewerin-schiltz.lu

Sewerin Schiltz

Rohrleitungsbau in Luxembourg

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Rohrleitungsbau Gas

• Bau und Unterhaltung von Gasleitungen aus Stahl und HDPEaller Drücke und Nennweiten

• Korrosionsschutz von metallischen Leitungen

• Vorbereitung von Druckerhöhung im Rohrnetz

• Sanierung von Rohrnetzen und Hausanschlussleitungen

• Durchführung von Dichtheitsproben

• Überwachung von Gasrohrnetzen• Feststellen und Beurteilung

von Gasverlusten• Leckortung an

Gasversorgungsanlagen• Störungsbeseitigung

Wir sehen uns als technisch-innovatives Unternehmen im erdverlegtenRohrleitungsbau für Gas,Wasser, Fernwärme und Industrieanlagen,sowie Sanierung und Haustechnik.

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Rohrleitungsbau in Luxembourg

Seit Jahren sind wir in Luxembourg im Bereich der

Wasser-, Gas- und Fernwärmeversorgung mit dem Bau von

Versorgungsnetzen beauftragt. Als motiviertes Unternehmen

haben wir eine Angebotsstruktur entwickelt, die wir Ihnen

im Folgenden vorstellen möchten.

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• Bau und Unterhaltung vonWasserleitungen aus Stahl undGussrohren aller Drücke undNennweiten

• Bau und Unterhaltung vonHDPE und PVC bis da=600 mm

• Sanierung von Rohrnetzberei-chen

• Sanierung von Hausanschlussleitungen

• Überwachung von Trinkwassernetzen

• Feststellen und Beurteilen von Wasserverlusten

• Leckortung anWasserversorgungsleitungen

• Störungsbeseitigung

• Bau und Unterhaltung von Fernwärmeleitungen aus Stahl aller Nennweiten

• Sanierung von Rohrnetzbereichen

• Sanierung von Hausanschlussleitungen

• Überwachung von Fernwärmenetzen

• Feststellung und Beurteilung von Wasserverlusten

• Leckortung an Fernwärmeanlagen

• Störungsbeseitigung• Pflege- und Winterdienst

im Fernwärmenetz

• Turnusmäßige Überwachung• Dichtheitskontrolle

der Hausinstallation• Filter- und Zählereinbau

im Gebäude• Verlustmessungen• Lecksuche• systematische

Zählerwechsel• Verbrauchsablesungen• Verbrauchsabrechungen

Für unsere Industriekunden bieten wir Komplettlösungen beim Bau innerbetrieblicher Anlagen, sowie technischeLösungskonzepte

••

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• Bau und Unterhaltung von Gasleitungen aus Stahl und HDPEaller Drücke und Nennweiten

• Korrosionsschutz von metallischen Leitungen

• Vorbereitung von Druckerhöhung im Rohrnetz

• Sanierung von Rohrnetzen und Hausanschlussleitungen

• Durchführung von Dichtheitsproben

• Überwachung von Gasrohrnetzen• Feststellen und Beurteilung

von Gasverlusten• Leckortung an

Gasversorgungsanlagen• Störungsbeseitigung

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Rohrleitungsbau Wasser

• Bau und Unterhaltung vonWasserleitungen aus Stahl undGussrohren aller Drücke undNennweiten

• Bau und Unterhaltung vonHDPE und PVC bis da=600 mm

• Sanierung von Rohrnetzberei-chen

• Sanierung von Hausanschlussleitungen

• Überwachung von Trinkwassernetzen

• Feststellen und Beurteilen von Wasserverlusten

• Leckortung anWasserversorgungsleitungen

• Störungsbeseitigung

Rohrleitungsbau Fernwärme

• Bau und Unterhaltung von Fernwärmeleitungen aus Stahl aller Nennweiten

• Sanierung von Rohrnetzbereichen

• Sanierung von Hausanschlussleitungen

• Überwachung von Fernwärmenetzen

• Feststellung und Beurteilung von Wasserverlusten

• Leckortung an Fernwärmeanlagen

• Störungsbeseitigung• Pflege- und Winterdienst

im Fernwärmenetz

Hausinstallation

• Turnusmäßige Überwachung• Dichtheitskontrolle

der Hausinstallation• Filter- und Zählereinbau

im Gebäude• Verlustmessungen• Lecksuche• systematische

Zählerwechsel• Verbrauchsablesungen• Verbrauchsabrechungen

Für unsere Industriekunden bieten wir Komplettlösungen beim Bau innerbetrieblicher Anlagen, sowie technischeLösungskonzepte.

Sewerin Schiltz S.àr.l.300, Val Sainte-Croix • L-1370 LuxembourgTél.: 00352 447670 • Fax: 00352 446 167E-mail: [email protected] • www.sewerin-schiltz.lu

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Comment se portent vos inances communales ?Dan Kersch : Malgré des investisse-ments sans précédents, nos inances communales se portent bien. Fin 2011, nous aurons une dette par habitant de 2946 euros. La charge de paiement d’intérêts se limite à 8.36% des recettes ordinaires, contre 24 % au début des années 90. Avec tout ce qui a été investi récemment, Mondercange est prête à accepter une croissance raisonnée. Ainsi, nos infrastructures souterraines ont été refaites et nos routes sont au-jourd’hui en bon état. Nous sommes de plus particulièrement bien équipés au niveau scolaire et périscolaire avec des maisons relais neuves et aucun enfant sur liste d’attente.

Combien d闇habitants compte votre commune et avez-vous des projets d闇extension ?Dan Kersch : Notre commune compte environ 6.300 habitants.

Commune de MondercangeEntretien avec

Dan Kersch bourgmestre

Dan Kersch est bourgmestre de Mondercange depuis 2005 et président du Syvicol depuis 2009. Père de deux illes, il habite Pontpierre et a été élu pour la première fois au conseil communal en 1999. Il est inscrit sur les listes du LSAP. Passionné de sport, il exerce la profession de conseiller écologique à la commune de Bettembourg. Il a accepté de nous recevoir pour dresser un bilan de cette législature.

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avons comblés. Nous avons ainsi réa-lisé la réfection totale de 7 rues et pas des moindres : la rue de Pontpierre, la rue de Limpach, la rue Neuve et la Cité Molter à Mondercange, la rue Basse à Bergem, la rue de Luxembourg et la rue de l’Europe à Pontpierre. Les travaux dans la rue des Bois à Mondercange commenceront avant l’été. Nous réalisons en ce moment la pre-mière phase de réduction de la circu-lation en ville en refaisant la rue de l’église vis-à-vis de laquelle nous crée-rons aussi un petit parc.

Nous avons aussi relié 7 rues au gaz naturel.

Avez-vous sufisamment de place pour les services communaux ?Dan Kersch : Nous avons achevé les travaux de rénovation et d’agrandisse-ment de la mairie. Nous avons ainsi 5 bureaux supplémentaires et une nou-velle salle des mariages. Nous avons aussi construit un nouveau site pour les services communaux dans la rue d’Esch et un site pour le CIGL.

Cela dit, nous n’avons pas qu’investi dans les bâtiments mais aussi dans la force humaine. Nous avons ainsi engagé :

isantes. Nous venons de terminer ainsi la construction d’une nouvelle maison relais à Pontpierre pour 151 enfants, ainsi qu’une maison relais au lieu-dit Weyer à Mondercange pour 78 enfants. Nous réalisons aussi la réfection et l’extension de l’école de Pontpierre, qui comptera 8 classes supplémen-taires dès septembre.

Nous avons également créé une gar-derie ponctuelle pour la garde d’enfants dans la rue de l’église à Mondercange. Elle ouvrira ses portes avant l’été.

Et en ce qui concerne la vie associative et culturelle ?Dan Kersch : La vie sociale dans la com-mune a beaucoup gagné avec l’amé-nagement de la place « Am Duerf ». Aménagée avec des chalets, cette place est idéale pour organiser des fêtes et des manifestations.

Nous avons construits un nouveau centre culturel à Bergem. Il ouvrira ses portes le 22 juillet.

Il y a eu beaucoup de travaux routiers à Mondercange les dernières années…Dan Kersch : Nous avions en effet cer-tains retards à ce niveau et nous les

Nous avons acheté récemment un ter-rain de 62,15 ares rue de Reckange. Nous venons de faire adopter un pro-jet ain d闇y construire 18 appartements pour la location et 15 appartements pour étudiants. Ces appartements res-teront la propriété de la commune. Ce projet sera inancé à hauteur de 2 mil-lions par la commune et de 7,5 millions par l’Etat. Nous construirons aussi sur ces terrains 31 unités d’habitation qui seront louées à tarif social.

Autre projet, nous avons acheté 26,08 ares coin rue de Reckange / rue de Limpach et nous présenterons dans les prochaines semaines un projet de 26 appartements pour seniors.

Nous avons aussi acheté 297,40 ares au lieu-dit Molter et nous élaborons un projet dans lequel la commune lotira et vendra les terrains avec autorisa-tion de construire. Les terrains seront libres de constructeur mais le cahier des charges imposera la construction d’habitations passives. A cette même place, nous avons acheté un terrain de 146,65 ares et ensemble avec les terrains qui nous appartiennent déjà sur ce site nous y aménagerons un parc récréatif.

Nous avons de plus récupéré 216,41 ares d’Arcelor Mittal pour y aména-ger entre autres un chemin cycliste et piétonnier.

Avez-vous beaucoup investi dans les infrastructures scolaires et péris-colaires ?Dan Kersch : Nous avons déjà réa-lisé et continuerons à investir dans ce domaine. Nous étudierons par exemple la possibilité de construire une crèche dans le futur quartier écologique abor-dé précédemment. Avec environ 250 places disponibles en maison relais, nous avons pour l’instant des structures suf-

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Quelques mots pour conclure ?Dan Kersch : Je dirais que nous avons tenu l’ensemble de nos promesses. Tous les projets évoqués ont été réa-lisé avec seulement 9 millions de dette, en sachant que nous récupèrerons une partie de cet investissement par exemple lorsque nous vendrons les terrains au Molter.

Que dire encore sinon que je suis can-didat à ma réélection. Nous avons pré-senté une liste d’une moyenne d’âge de 46 ans, comptant 6 femmes et 7 hommes. On ne peut jamais présager d’une élection mais quoi qu’il arrive je suis heureux du travail qui a été réalisé, et j’espère pouvoir continuer à relever avec mon équipe les déis qui nous attendent.

un architecte, une personne qui s’occupe de l’accueil,

un ingénieur technicien supplé-mentaire,

un expéditionnaire technique.

Nous avons aussi créé : un ofice social avec un assistant

social à temps plein et une secré-taire à temps partiel

un poste dédié à la politique d’infor-mation dans la commune et aux relations avec nos différentes as-sociations

2 postes supplémentaires au ni-veau du secrétariat

et nous avons embauché le chef des sapeurs-pompiers en tant que délégué à la sécurité de la commune.

un poste de responsable d’école

Vous menez une politique résolument sociale…Dan Kersch : En plus de l闇ofice social mentionné précédemment, nous avons créé un service social avec un assistant social dédié aux projets de construction des logements sociaux, aux étudiants, au club senior. Il collaborera aussi avec la maison des jeunes.

Ensemble avec son collègue de l闇ofice social, il œuvrera à construire une po-litique sociale préventive. Notre ambi-tion est, lorsque c’est possible, d’aider les gens avant qu’ils ne tombent plutôt que de les aider ensuite à se relever.

Au niveau scolaire, nous avons aussi créé la cellule d’assistance avec un pédo-psychologue et 2 éducateurs gradués.

Administration Communale de Mondercange Rue Arthur Thinnes L-3919 Mondercange BP : 50 L-3901 Mondercange Tél. : 55 05 74 1 Fax : 57 21 66 www.mondercange.lu

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Nous serons heureux de vous mon-

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Quels sont les grands projets qui ont été réalisés lors de cette législature, notamment en ce qui concerne l’éducation et la jeunesse ?Will Hoffmann : L’un de nos derniers projets est l’agrandissement de notre complexe scolaire. L’école centrale de Rumelange est située en plein centre de la commune, juste derrière la mai-rie, mais elle n’est pas enclavée et les terrains qui la bordent ont pu être mis à disposition pour l’agrandir de part et d’autre. Avec 600 enfants scolarisés, il a fallu investir quelques 12 millions d’euros pour que d’ici septembre les enfants de la commune bénéicient

tion de la commune et intègreront des panneaux photovoltaïques.

Autre projet réalisé récemment, nous avons achevé en avril 2009 la construc-tion d’une maison relais d’une capa-cité de 180 enfants. Elle accueille les enfants de 7 heures à 19h tous les jours. Elle a nécessité un investissement de 4,5 millions d’euros et les 800.000 euros de frais de fonctionnement an-nuels sont couverts à 75% par l’Etat. La maison relais est exploitée par le Foyer de la Femme.

d闇infrastructures sufisantes pour les années à venir.

Deux annexes, de chaque côté de l’école existante, ont été construites. L’une des deux comptera douze nou-velles salles de classes sur deux ni-veaux, tandis que l’autre accueillera un nouveau hall sportif.

L’ensemble est entouré par de nom-breuses cours de récréation, aména-gées selon le principe du développe-ment durable. Les bâtiments, tous basse consommation d’énergie, seront chauf-fés aux copeaux de bois de récupéra-

Entretien avec

Will Hoffmannbourgmestre

Rumelange est la commune la plus au Sud du Pays. Collée à la frontière française, elle est entourée par Ottange (F) et Kayl, juste à côté d’Esch-sur-Alzette. Avec une supericie de 6,84 km2, c’est l’une des plus petites communes du pays. Elle compte à ce jour 5071 habitants, dont 43% de « non luxembourgeois » parmi lesquels 23% de portugais, 13% de personnes issus d’ex Yougoslavie... En tout, pas moins de 59 nationalités différentes cohabitent harmonieusement à Rumelange. Will Hoffmann, adhérent LSAP, est entré à la mairie il y a 48 ans. Il a occupé pendant 20 ans la place d’échevin et pendant 22 ans celle de bourgmestre. Rencontre avec un homme discret qui a toujours privilégié l’action à la communication.

Commune de

Rumelange

.../....

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Notre dette est assez faible : 9 millions d’euros auxquels il faut ajouter un em-prunt de 5 millions pour la construc-tion de l’école, soit 13 millions en tout. Cela dit, dans les 2 années à venir, 7 emprunts arriveront à échéance.

Sur les 684 hectares de surface de Rumelange, 35% sont propriété de la

tié réalisé, permettra en tout une aug-mentation de la population de 1.600 personnes.

Dans quel état sont vos inances communales ?Will Hoffmann : Nous sommes une commune riche mais qui n’a jamais d’argent dans ses caisses !

Vos infrastructures routières et souterraines sont-elles en bon état ?Will Hoffmann : Nous les renouve-lons lorsque c’est nécessaire. Nous avons en ce moment un grand projet rue d’Esch. Toutes les infrastructures souterraines seront renouvelées : eau, gaz, ibre optique, câbles, etc. Autre chantier à venir, nous allons remplacer le canal des eaux usées de 700mm de diamètre de la rue de la Croix jusqu’à l’entrée de Rumelange. Un an de tra-vaux seront nécessaires.

Certaines rues sont en cours de ini-tion comme la rue Ferrer, la rue Se-bastien, ainsi que la rue Bati Weber – Henri Luc.

Lorsque nous aurons construit notre bassin de retenue d’eau à Rumelange, toutes nos infrastructures seront au top niveau.

Où en êtes-vous dans la révision de votre PAG ?Will Hoffmann : Notre nouveau PAG sera sous peu présenté au conseil com-munal. Rumelange est un village assez compact et les terrains à bâtir y sont plutôt rares, mais sufisants pour avoir pu signer le Pacte Logement. Ainsi, le projet rue des Martyrs, déjà à moi-

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complément à notre Musée du Fer. Je ne peux qu’encourager tout un cha-cun à venir passer une journée à Ru-melange et à se laisser séduire par la ville des Roches Rouges.

Quelques mots pour conclure ?Will Hoffmann : Après plus de 48 ans au service de Rumelange, j’ai décidé de ne plus me représenter aux prochaines élections. J’aurais certes pu conduire la nouvelle liste puis présenter ma dé-mission une année plus tard. Mais ça aurait été profondément malhonnête et ce n’est pas mon genre. Je suis heu-reux du travail accompli pendant ces années et je souhaite bonne chance à Henri Haine, échevin sortant et à sa liste pour les prochaines élections.

de la mobilité, nous venons d’achever notre grand parking rue des Martyrs.

Malgré sa petite supericie, peut-on dire que Rumelange est une commune verte ?Will Hoffmann : Plus de 40% de notre surface est constituée de forêts. Nous avons de plus un parc de 20 hectares et un parc municipal à côté du terrain de football. Nous avons aussi aménagé deux circuits pédestres qui comptent 37 panneaux d’informations relatives à l’histoire et à la culture de notre com-mune. Nous avons également notre Parc Fonderie qui est un espace vert très agréable et didactique, étant un

commune, ce qui me fait dire que nous sommes riches même si nos caisses ne sont pas exceptionnellement fournies.

Qu’en est-il de la mobilité dans votre commune ?Will Hoffmann : De nombreux efforts ont été faits à ce niveau. Nous avons d’un côté le TICE qui passe tous les quarts d’heure, le LGTR qui passe toutes les demi-heures, ainsi que le lexibus que les gens peuvent appeler en fonction de leurs besoins, sans ou-blier le Nightrider en collaboration avec le Prosud. A noter que nous avons une exposition consacrée au Prosud dans notre mairie. Dernier effort en faveur

Administration Communale de Rumelange

2 pl. Grande-Duchesse Charlotte L-3710 Rumelange Tél. : 56 31 21 204 Fax : 56 57 04 www.rumelange.lu

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salle de bains et fait une mise à nu de la pièce tout en évitant de faire de la poussière grâce à un système de fer-meture spécialement étudié. Notre troisième activité peut être vue comme le prolongement des deux premières. Il s’agit du nettoyage et déblayage du chantier en phase de construction. Cela concerne surtout des grands bâtiments comme au Kir-chberg ou à Belval. Lorsque c’est pos-sible, nous organisons des centres de tri directement sur le chantier. On peut citer comme référence le chantier de l’école européenne à Mamer sur lequel nous avons une vingtaine de bennes à déchets pour les différentes fractions.

déblayage qui est l’une de nos activités historiques. Il peut s’agir, entre autres, de vider une maison de la cave au gre-nier, en assurant une gestion écologique des déchets selon les règles de l’art.

Notre seconde activité découle de la première. Lorsqu’un bâtiment est à ré-nover, nos équipes préparent le chan-tier : démolition intérieure, démontage sélectif des faux plafonds, des parois intérieures, chapes, etc. Nous préparons le chantier de sorte que les corps de métier puissent travailler directement.

Pour ne citer qu’un exemple : nous travaillons ainsi avec des entreprises spécialisées dans le sanitaire et le car-relage. Lorsqu’une salle de bains est à rénover, Polygone enlève l’ancienne

Comment déiniriez-vous votre activité ?André Reuter : Polygone est un Ser-vice Provider, un prestataire de ser-vice très présent dans le secteur du bâtiment mais également bien intégré dans le tissus industriel et auprès de la clientèle des particuliers. Le il rouge de notre activité est le traitement du déchet. En cela, nous nous inscrivons dans une démarche de développement durable. C’est ainsi que Polygone a créé en 1994 la société Ecotec à Sanem qui est spécialisée dans le triage et la valorisation des déchets.

Entrons un peu dans le détail, quels services proposez-vous dans le bâtiment ?André Reuter : Commençons par le

En janvier 2011, la société Polygone a brûlé ses trente bougies. Depuis sa création, Polygone n’a jamais cessé de développer son offre de service. A l’origine, la société était présente sur les chantiers pour des prestations de démolition, de déblayage et de nettoyage. Au il des années, la palette des services offerts s’est élargie avec la location et la vente de bâtiments modulaires, la location de toilettes mobiles et de chalets sanitaires VIP, la location de bennes à déchets, la vente et pose de clôtures. Preuve que les déis ne lui font pas peur, Polygone s’est vu remettre la certiication ISO 9001-2008 pour son trentième anniversaire.

Entretien avec

André Reuter

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Notre quatrième activité « dans le bâti-ment » est la fermeture provisoire du bâtiment qui permet aux entreprises de travailler au sec et à l’abri des intem-péries dans des bâtiments pendant la mauvaise saison.

Votre offre de service va donc de l闇intérieur du bâtiment jusqu闇autour du bâtiment ?André Reuter : Tout à fait. Nous pro-posons à nos clients l’installation de bu-reaux de chantiers provisoires dans des bâtiments modulaires pouvant abriter des vestiaires, cantines, des douches, des wc, etc.

Autre service autour du bâtiment, nous proposons la location de clôtures de chantier, ou la vente et pose de clô-

tures déinitives, avec portails autopor-tants, tant pour des clients particuliers que pour des entreprises et industries.Nous disposons enin d闇un service qui propose la conception, l’aménagement et l’entretien des espaces verts. Nous avons ainsi en notre sein un paysa-giste diplômé et des équipes de terrain.

Quel est le service qui, selon vous, devrait être amené à se développer dans les années à venir ?André Reuter : Le nouvel avant pro-jet de loi sur la gestion des déchets prévoit pour le secteur du bâtiment un taux de recyclage de 70% des déchets.

Conscient de cette future loi, Polygone développe des centres de tri sur les chantiers de grande envergure. Par

contre, beaucoup d’artisans travaillent en ville et aimeraient se décharger de leurs petits déchets de chantier avant de rentrer le soir. Nous avons la solution !

A Merl, au Val Sainte Croix, nous avons un petit centre de réception de déchets de chantier réservé aux entreprises et artisans. Ce centre est agréé par l’ad-ministration de l’environnement et est ouvert du lundi au vendredi de 7h30 à 17h. L’entreprise qui utilise ce centre se voit remettre un certiicat de recy-clage si besoin.

Quelques mots pour conclure ?André Reuter : Depuis notre création il y a 30 ans, notre société n’a pas cessé d’évoluer. Notre offre de service s闇est ainsi diversiiée pour coller aux

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attentes et besoins du marché. Nous avons aussi beaucoup travaillé pour sans cesse améliorer notre qualité et nous arrivons au terme d’une procé-dure d’obtention de la norme de qualité ISO 9001-2008. Le Leitmotiv qui nous guide dans notre travail quotidien est la recherche constante de la qualité et de l’amélioration tant en interne (pro-

Polygone sàrl 37, rue de la Gare

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fessionnalisation de nos services et procédures de travail) qu’en externe (satisfaction client).L’avenir réside dans le développe-ment durable et dans la gestion res-ponsable des ressources : Polygone y prends ses responsabilités depuis longue date.

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La situation est idyllique. Vous êtes à Bertrange, à deux pas de la capitale, toutes les commodités sont à portée de main. Quand vous regardez par la fenêtre ou depuis votre terrasse, vous avez une vue imprenable sur un parc verdoyant.

Thomas & Piron et le Groupe Wagner

Park Lane est un projet né d’un partenariat entre Thomas & Piron et le groupe Wagner. Il s’agit d’un ensemble de quatre immeubles d’habitation pour un total de 122 appartements et de deux immeubles de type « Résidence Service » à Helfent, un quartier de la commune de Bertrange. Dans une première phase, deux immeubles d’habitation seront construits.

Construisent Park Lane à BertrangeUn complexe résidentiel classe AAA

Habiter Park Lane, c’est vivre la ville en pleine nature. La mobilité a été parfaitement pensée. La rue Pletzer bénéicie ainsi d闇une ac-cessibilité directe aux divers réseaux de communication : autoroute, gare, aéroport. Elle est également à proxi-

mité immédiate de toutes les commo-dités : écoles, centres commerciaux, centre culturel…

Des résidences passivesUn cadre aussi exceptionnel méritait un bijou à la hauteur de son écrin.

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Chaque appartement est équipé d闇un parlophone-vidéophone, des prises P&T et TV dans chaque chambre, du chauf-fage au sol, de portes palières blindées 13 points de sécurité, etc.

Dans une première phase, deux rési-dences de vingt appartements chacune seront construites. Les appartements vont de 50 à 140 m2, et de 270.000 à 830.000 euros TTC (TVA3%). Les travaux débuteront courant mai et les premiers appartements seront livrés au courant de l闇été 2013.

sobre et contemporaine ainsi que des prestations « haut de gamme » dans le plus grand respect de l闇environnement, le tout s闇inscrivant dans une démarche de développement durable.

Les appartements sont lumineux, mo-dernes et ouverts. Ils disposent pour la plupart d闇une terrasse ou d闇un balcon avec vue sur le parc. Chaque résidence dis-pose de plusieurs penthouses d闇exception.

Si le contrat est signé à temps, les clients peuvent choisir toutes leurs initions : car-relages, couleurs, meubles sanitaires, portes, emplacement des prises de cou-rant, cloisons, etc.

Thomas & Piron et le Groupe Wagner ont décidé de frapper fort en construi-sant des résidences répondant au stan-dard passif (classe énergétique AAA). Parfaite orientation, isolation renforcée, triple vitrage, ventilation double lux à récupération de chaleur dans chaque appartement, système de chauffage eficient, panneaux solaires… font de Park Lane un ensemble écologique qui offrira à ses habitants une qualité de vie exceptionnelle et des charges énergé-tiques minimes.

Des prestations haut de gammeChristian Bauer, architecte luxembour-geois, a donné au projet une architecture

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PARK laneRue Pletzer - Bertrangewww.parklane.lu

Développé par Thomas & Piron et Groupe Wagner

bureau de vente exclusive : Espace Immo, tel. : 26 43 03 85

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modérée et harmonieuse qui s’inscrit dans le cadre du Pacte Logement.

L’un des éléments clé de notre déve-loppement sera la suppression des passages à niveaux qui coupent notre commune en 2 et créent de véritables problèmes de mobilité. Ce projet, en procédure depuis quelques années, est important à tous les niveaux. C’est un travail énorme qui est enin sur le point d’aboutir.

Avez-vous sufisamment d闇infrastructures scolaires ?Roland Schreiner : Nous sommes maintenant bien pourvus à ce niveau. Nous avons ainsi pendant cette légis-

Que peut-on dire quant à l闇évolution de Schiflange ?Roland Schreiner : Schiflange est une commune en pleine évolution. Ce processus a commencé il y a quelques années et il dure encore. Tout n’est pas terminé mais nous avons déjà beau-coup travaillé ain que le développe-ment de notre commune se fasse de façon harmonieuse. Notre nouveau PAG a ainsi été soumis au vote déi-nitif le 18 mars. C’est ce PAG qui don-nera le cadre de notre développement futur. Nous plaçons résolument notre croissance sous le signe du dévelop-pement durable, conciliant ainsi éco-logie, économie et social. Nous visons pour notre commune une croissance

Commune de SchiflangeEntretien avec

Roland Schreinerbourgmestre

Avec environ 9.000 habitants, Schiflange est l’une des communes les plus importantes du pays tout en étant, avec 771 hectares, l’une des plus petites en termes de supericie. Cette densité élevée n’empêche pas la commune de croître et de se développer. Roland Schreiner, bourgmestre de Schiflange, a accepté de nous recevoir pour dresser un bilan des projets réalisés les dernières années.

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travaux de la cité Paerchen. Ils s’éten-dront jusqu’en 2013. Tout sera refait, tant les infrastructures souterraines que le bitume, jusqu’aux éclairages.

Passons à présent au domaine des sports…Roland Schreiner : Nous avons re-nouvelé l’ensemble des infrastructures de notre stade Jean Jacoby et nous venons d’achever la construction de son bâtiment multifonctionnel. Nous avons aussi construit un nouveau club house pour l’un de nos deux terrains de football. Nous avons enin réamé-nagé notre hall de tennis.

Pour les jeunes, nous avons construit un skate park qui a un succès incroyable.

Quels sont les grands évènements organisés ?Roland Schreiner : Nous organisons chaque année des festivités lors du « Schëflenger Fest » dans le cadre de la fête nationale. Nous avons aus-

Autre projet, nous construisons en ce moment la maison des générations, dont la première phase sera terminée en septembre. Elle remplacera l’actuelle maison des séniors, qui sera ensuite démolie pour construire la deuxième phase de la maison des générations. Il s’agit, dans ce concept, de faire coha-biter des personnes âgées, des per-sonnes à mobilité réduite et des familles remplissant les conditions pour loge-ments sociaux. L’ensemble du projet sera achevé d闇ici in 2013.

A côté de cela, nous avons accompagné un certain nombre de projets privés.Tout ceci fait que notre commune ap-proche aujourd’hui les 9.000 habitants.

Les infrastructures routières sont-elles en bon état ?Roland Schreiner : Nous avons refait de nombreuses rues, comme la rue De-nis Netgen, la rue Bellevue, la rue des Mines, la rue Noël, la rue du Stade…Nous commencerons cette année les

lature modernisé et agrandi l’école A. Wingert à Schiflange et nous venons d’inaugurer la crèche dans la forêt. Notre maison relais compte 135 places et nous mettrons à partir de la prochaine rentrée 52 nouvelles places à disposi-tion dans une structure décentralisée. Nous avons prévu à moyen terme de construire une nouvelle maison relais ensemble avec un quatrième bâtiment scolaire. A noter que nous avons in-troduit le pédibus pour les enfants et que cette initiative a rencontré un franc succès.

Quels ont été vos projets en matière de logement ?Roland Schreiner : Beaucoup a été réalisé dans ce domaine. Commen-çons par parler de notre centre se-nior dans lequel nous avons créé 25 nouveaux logements pour personnes âgées. Cette structure comprend un volet « club senior » qui organise des activités pour tous les 50 ans et plus de la commune.

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avons intégré le projet « macommune.lu », ce qui permet à nos citoyens de faire certaines opérations en ligne.

Je dois dire pour conclure que beau-coup de travail a été réalisé et que j’espère que les électeurs m’accorde-ront à nouveau leur coniance lors des prochaines élections.

Administration communale de SchiflangeB.P. 11L-3801SchiflangeTél. : 54 50 61-1Email : [email protected]

nous développons un deuxième réseau dans notre commune.

L’écologie est pour moi également liée à la mobilité. Nous avons, au niveau de la mobilité, introduit récemment le parking résidentiel au centre. Cela a passablement désengorgé nos par-kings. Nous avons aussi développé le Ruffbus en améliorant le concept initial. Il ne s’agit plus d’avoir des ho-raires ixes mais les gens l闇appellent comme un taxi. Le Ruffbus emmène en moyenne 35 personnes par jour.

Quelques mots pour conclure ?Roland Schreiner : Nous n’avons, dans cette législature, pas uniquement investi dans les bâtiments mais aussi dans l’humain. Ainsi, nous avons dévelop-pé un service médiation ain de gérer les conlits qui peuvent être réglés à l’amiable. Nous avons aussi amélioré notre communication avec notre site internet ou notre service « SMS to Citi-zen ». Nous avons également élaboré un guide du citoyen ain que chacun ait à disposition l’ensemble des infor-mations utiles. Depuis le 2 mai, nous

si une fête de l’intégration qui reçoit chaque année de nombreuses asso-ciations pour des animations culturelles et gastronomiques. Nous organisons enin le « Niklosmuart », un marché non pas de Noël mais de la Saint-Nicolas.

Peut-on dire que Schiflange est une commune verte ?Roland Schreiner : On peut le dire ! Nous venons d’ailleurs de signer la pétition contre le nucléaire.

Toutes nos constructions communales récentes sont des bâtiments à faible consommation d’énergie et tous les bâtiments communaux sont alimen-tés à 100% par de l闇électricité «verte».

Nous menons aussi des actions de sensibilisation de la population aux différentes technologies écologiques comme le photovoltaïque, les collec-teurs solaires, etc. Nous changeons d’ailleurs au fur et à mesure l’éclai-rage public pour du LED.

Notre réseau de cogénération est au-jourd’hui arrivé à saturation si bien que

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D闇abord contrôler et certiier la sécurité et la qualité dans les domaines tech-niques et alimentaires. Ensuite conseil-ler et former en matière de qualité et de sécurité, d闇exigences légales et de systèmes de management ; et enin accompagner les sociétés dans leurs obligations réglementaires liées notam-ment aux autorisations d闇exploitation et aux règlements en vigueur.Nous assurons, en toute neutralité et objectivité, un service de qualité basé sur des référentiels reconnus.

En quoi êtes-vous un partenaire pour les bâtiments publics ?F. Fornella : Nous sommes d闇une façon générale le partenaire des 113 villes et communes du pays, ainsi que de l闇administration des bâtiments publics. Les bâtiments publics doivent assu-rer à leurs utilisateurs des conditions de sécurité optimales. Notre société peut intervenir en tant que partenaire pour les domaines règlementés et non règlementés, ce dans toutes les phases d闇un projet, des examens préalables au contrôle et vériications après réa-lisation, en passant par l闇état des lieux d闇installations existantes ou contrôles périodiques requis.

Luxcontrol est l闇un des principaux prestataires de services en matière d闇inspection et de certiication pour la qualité et la sécurité des installations et produits. Sur ce marché, Luxcontrol investit dans la majorité des secteurs économiques au Luxembourg. Ren-contre avec Fernand Fornella, direc-teur administratif et inancier et chef du personnel, et Jerry Braun, attaché de direction technique.

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots à nos lecteurs ?F. Fornella : Je fais partie de la société depuis 28 ans et j闇occupe le poste de directeur administratif et inancier et de chef du personnel. J闇ai ainsi connu notre société dans les bons et les mauvais moments. L闇an dernier, nous avons connu nos meilleurs résultats depuis la création de la société.J. Braun : Je fais partie de la société depuis 22 ans et j闇occupe depuis 2 ans le poste d闇attaché de direction technique. Je suis responsable du département Marketing & Sales.

Quels sont exactement vos métiers ?F. Fornella : Nos métiers s闇articulent autour de trois principales activités.

Fondé en 1978 par l闇industrie sidérur-gique du Luxembourg, Luxcontrol SA a démarré ses activités sous le nom de Laborlux en tant que laboratoire d闇essais et d闇analyses chimiques. C闇est suite à l闇entrée au capital du TÜV Rheinland en 1992 que Laborlux est devenu Lux-control. Aujourd闇hui, le capital de Lux-control est détenu à 56% par le TÜV Rheinland, à 22% par Arcelor Mittal et à 22% par la SNCI (Société Natio-nale de Crédit à l闇Investissement). LC Luxcontrol asbl, organisme agréé par de l闇Inspection du Travail et des Mines (ITM), de l闇Administration de l闇Environ-nement et du Service National de la Sécurité dans la Fonction Publique (SNSFP) a démarré ses activités en 1981. Le conseil d闇administration est composé par la FEDIL, la Chambre des Métiers, l闇Association des com-pagnies d闇assurance au Grand-Du-ché de Luxembourg, le Groupement des entrepreneurs du bâtiment et des travaux publics et de Luxcontrol SA.

Le groupe Luxcontrol s闇est ensuite développé en un organisme national d闇inspection et d闇essais puis en un prestataire de services techniques au niveau international.

Le Groupe Luxcontrol au Luxembourg

Entretien avec

Fernand Fornella et Jerry Braun

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En collaboration avec la société LLuCS (Laboratoire Luxembourgeois de Contrôle Sanitaire), Luxcontrol réalise des cam-pagnes de prélèvements systématiques ou ponctuels suivis d闇analyses chimiques, physico-chimiques ou microbiologiques.

Nous proposons aussi aux chefs d闇éta-blissement d闇adhérer à une démarche volontaire de surveillance des bonnes pratiques d闇hygiène alimentaire au sein de leur établissement.

Cette surveillance se traduit par des audits réguliers ainsi que des prélè-vements de denrées alimentaires et de surfaces pour vériier l闇état hygié-nique des locaux et la qualité micro-biologique des produits. Un certiicat et un autocollant peuvent ainsi être apposés dans les locaux pour informer les parties intéressées sur l闇engage-ment de l闇établissement en matière de sécurité alimentaire.

Vos services incluent-ils également les infrastructures sportives et de loisirs ?J. Braun : Nous bénéicions dans ce domaine d闇une longue expérience en qualité et sécurité des installations spor-tives, des aires de jeux, des terrains

existantes, ain d闇informer de leur niveau de sécurité. Toutes les vériications et contrôles que nous effectuons se basent sur les impositions du SNSFP.

J. Braun : En bref, voici ce que nous proposons comme prestations liées aux écoles et structures d闇accueil :- réceptions initiales et contrôles

périodiques - assurances décennales et biennales

des ouvrages- vériications et contrôle de l闇acces-

sibilité des lieux publics pour per-sonnes à mobilité réduite

- réception et contrôle périodique des ascenseurs et monte-charges

- audits d闇hygiène, prélèvements et analyses micro-biologiques, forma-tions du personnel aux bonnes pra-tiques d闇hygiène

Sécurité alimentaire ?F. Fornella : Partout où il y a restauration scolaire il y a nécessité de respecter des normes strictes ain de garantir la sécurité alimentaire. Luxcontrol dispose d闇une gamme complète de services à ce niveau, comme l闇assistance pour la mise en place de normes, de référen-tiels ou de méthodes, les formations intra et inter-entreprises, les audits, etc.

J. Braun : Nous proposons toute une série de prestations liées aux bâtiments publics :- réceptions initiales et contrôles

périodiques de bâtiments à utilité publique

- assurances décennales et biennales des ouvrages

- vériications et contrôle de l闇acces-sibilité des lieux publics pour per-sonnes à mobilité réduite

- réception et contrôle périodique des ascenseurs et monte-charges

- contrôles et vériications quant à la présence éventuelle d闇amiante

Et en ce qui concerne plus particu-lièrement les écoles et structures d’accueil ?F. Fornella : Dans les écoles et struc-tures d闇accueil, la perception et la maîtrise du risque est primordiale. Environ 20% des accidents impliquant des enfants ont lieu à l闇école. Pour nous, la sécurité est un thème faisant partie intégrante de la santé et n闇est pas qu闇une matière tech-nique. Nous apportons aux écoles une assistance dès la phase projet jusqu闇à réception inale de l闇établissement, ce qu闇il s闇agisse d闇écoles, de crèches, de foyers de jour ou de maison relais. Nous faisons aussi des états des lieux des structures

« Nous sommes d’une façon

générale le partenaire

des 113 villes et communes

du pays, ainsi que

de l’administration des bâtiments

publics »

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Luxcontrol1, avenue des Terres RougesBP 349L-4004 Esch sur Alzettetél.: +352 54 77 11-1fax: +352 54 79 30email: [email protected]

nus (normes européennes de la série EN1176 et EN1177).

Par le biais de contrôles annuels, réali-sés par LC Luxcontrol asbl et sur base des enregistrements de vériications périodiquement réalisés par la munici-palité, les exploitants peuvent démon-trer que leurs activités font l’objet d’un contrôle rigoureux et de qualité. Ce label, valable d’un an, est apposé sous forme d’un autocollant sur le panneau signalétique de l’aire de jeux. Il est attribué individuellement pour chaque aire de jeux.

Quelques mots pour conclure ?F. Fornella : Notre objectif est de conti-nuer à nous développer en offrant à nos clients le meilleur service et la plus grande rigueur possible. En interne, nous faisons tout pour motiver nos 150 collaborateurs et nous sommes heureux de pouvoir compter sur un personnel qualiié et autonome. Nous sommes à l’heure actuelle la seule société luxem-bourgeoise à couvrir l’ensemble des prestations dans les domaines de la qualité, de l’hygiène, de la sécurité et de l’environnement.

de sport, skateparks, pistes VTT, murs d’escalades, toboggans aquatiques, parcours itness et autres installations de loisirs dans les lieux publics. Il faut savoir qu’un nombre non négligeable d’aires de jeux présente un risque sérieux pour les enfants. En Allemagne c’est le cas par exemple pour une aire de jeux sur cinq. Ces défauts peuvent apparaître suite à une mauvaise conception, fabrication ou installation, d闇un entretien insufisant ou inadapté mais également suite à des actes de vandalisme. Fort de son expertise technique et réglementaire, LUXCONTROL accompagne les com-munes pour les aider à prévenir tout risque d’accident sur leurs aires de jeux.

Pourquoi opter pour une dé-marche Label « Sécher Spillplaz »?J. Braun : Ce label a pour but de valo-riser toutes les municipalités et com-munes qui ont mis en place une poli-tique de sécurité globale de leurs es-paces de jeux en accès libre. Le label « Sécher Spillplaz », attribué par LC LUXCONTROL asbl récompense en toute transparence l’engagement des autorités municipales et le travail de leurs équipes techniques. L’attribution du label se fait sur base d’exigences strictes, à partir de référentiels recon-

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Calendrier 2011 de l’ULC et de Valorlux: une collaboration renforcée

Le calendrier 2011 de l’ULC et de l’a.s.b.l. Valorlux a pour ambition de motiver au tri les consommateurs et plus particulièrement les membres de l’ULC. Chaque mois de ce calendrier explique l’une des différentes phases de la collecte d’emballages ainsi que du recyclage de ces emballages et explique les prestations de Valorlux. Plus de 400 consommateurs avaient participé au concours lié au calendrier. Le 21 mars dernier, 15 gagnants ont pu être récompensés lors d’une réception organisée à l’occasion de la remise des prix dans les locaux de Valorlux à Leudelange. VALORLUX offrait à chaque gagnant un assortiment d’une dizaine d’objets en matière recyclée ou écologique. La jeune artiste, Amandine Crelot, créatrice des planches originales en plasticine était également présente.

Remise des prix du concours calendrier

Les gagnants du concours, l’artiste ainsi que les représentants

de l’ULC et Valorlux lors de la remise des prix

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Avez-vous réussi à réaliser l’ensemble de votre programme pour cette législature ?Guy Pettinger : Je dirais qu’au moins 95% du programme a été mené à bien. Nous avons tout fait pour tenir l’en-semble de nos promesses.

Avez-vous sufisamment d’infrastructures scolaires et périscolaires ?Guy Pettinger : Nous allons inaugu-rer sous peu notre maison relais. Elle accueille aujourd’hui 145 enfants. Ce bâtiment, construit suivant les standards basse énergie, comprend également 3 classes dédiées à l’école fondamentale. Pour l’instant, nos besoins en matière périscolaire sont comblés. Cela dit, ce bâtiment a été conçu de façon à pouvoir être doublé en cas de besoin.

Nous avons aussi réaménagé la cour de l’école. Nous avons construit un nou-veau préau et créé un jardin éducatif avec l’aide de l’Objectif Plein Emploi.

Avez-vous signé le pacte Logement ?Guy Pettinger : Notre commune compte 4.500 habitants et nous sommes une des premières communes à avoir signé le Pacte Logement. Nous avons pour ambition d’avoir une croissance raison-

Commune de Steinfort

Entretien avec

Guy Pettingerbourgmestre

La commune de Steinfort compte 4.500 âmes sur 4 sections : Steinfort (chef-lieu), Kleinbettingen, Hagen et Grass. Elle est située juste à la frontière belge et compte deux grandes lignes de transport public qui lui assurent une excellente desserte. Guy Pettinger, bourgmestre de la commune de Steinfort, a accepté de nous recevoir pour nous parler de sa commune. Marié, père de deux enfants, Guy Pettinger est fonctionnaire d’Etat auprès de l’administration des contributions. Il est inscrit sur les listes du LSAP et a été élu une première fois lors des élections complémentaires de 1997, puis réélu en 2000 à côté de Monsieur Jean Asselborn, à qui il a succédé lorsque celui-ci est devenu ministre. Il a ensuite été réélu en 2005. Guy Pettinger réside à Kleinbettingen.

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réjouit tous les amateurs de Jazz avec toute une série de concerts. Chaque année, début septembre, nous avons le « Dag um Weier », une journée à l’étang qui connait un franc succès. Enin, nous avons créé il y a 2 ans un marché nocturne début juillet avec l’ensemble de nos commerçants.

Nous avons enin notre centre cultu-rel Al Schmelz, que nous avons ré-cemment doté d’un ascenseur pour le rendre accessible aux personnes à mobilité réduite. Le manque de place nous a obligé à placer cet ascenseur à l’extérieur du bâtiment.

Schwarzenhoff. Nous avons remis à neuf l’un des derniers bâtiments de l’an-cien site sidérurgique, le mirador, dans lequel nous avons installé le bureau du garde forestier et du FSC. Nous avons aussi créé un parc aventure dans la forêt qui ouvrira ses portes en juillet.

En ce qui concerne la qualité de vie, nous avons aménagé un terrain de pétanque, ce qui a permis à un club de se créer.

La culture n’est pas en reste avec notre grand marché de Noël, notre festival de théâtre qui fête cette année son 20ème anniversaire. Depuis 2 ans, le Steinjazz

née dans les années à venir. Notre plus grand projet d’agrandissement est le « Äischdall Center ». Nous attendons le PAP pour le présenter à la population. Nous avons créé le syndicat ZARO, zone d’activité régionale de l’Ouest. Il va s’agir pour les entreprises sises route de Luxembourg de déménager dans une zone artisanale de 20 hectares située à Grass. Le PAP a été avisé par le Ministère de l’Aménagement. Lors de la dernière réunion du syndi-cat, nous avons voté la réalisation des infrastructures qui relient la commune à cette zone. Nous espérons que les travaux pourront débuter en septembre, après le congé collectif du bâtiment. Si tout va bien, les premières entreprises pourront déménager d闇ici 2013.

A noter que le syndicat ZARO qui re-groupe en son sein les communes de Kehlen, Hobscheid, Koerich, Garnich, Mamer et Steinfort s’occupe e.a. des agrandissements et de l’exploitation des zones industrielles de Windhoff et Kehlen.

Une fois les entreprises déménagées, nous pourrons lancer la construction de 500 unités d’habitation. Dans les 12 ans, notre commune pourrait ainsi compter 1.200 habitants supplémen-taires et de nouveaux commerces.

Vos infrastructures souterraines sont-elles en bon état ?Guy Pettinger : Nous avons refait toutes les infrastructures à Hagen et nous sommes en train de réaliser la dernière phase des infrastructures de Kleinbettingen. Tout a été changé et la ibre optique est en train d闇être po-sée. Fin 2012 toutes nos infrastruc-tures souterraines seront neuves et toute la commune sera raccordée au très haut débit.

Qu’en est-il des sports et loisirs à Steinfort ?Guy Pettinger : Steinfort est située à l’entrée de la réserve naturelle du

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20 minutes d闇Arlon et à 20 minutes de Luxembourg-ville. Malgré cela, la richesse de notre vie associative, cultu-relle et sportive fait que Steinfort n’est pas une ville dortoir mais un endroit qui conjugue harmonieusement calme et activités. Je suis ier du travail réalisé pendant cette législature et j’espère que les électeurs m’accorderont à nou-veau leur coniance lors des prochaines élections.

si, tous nos bâtiments récents sont à basse consommation d’énergie. Nous avons une centrale de cogénération pour chauffer notre piscine, la mai-son relais et tout le complexe spor-tif et culturel. Nous avons aussi notre propre agence électrique, Steinergy, une joint-venture entre la commune et Créos ain de réaliser l闇achat et la vente d’électricité.

Depuis 2009, la commune n闇achète pour ses besoins plus que de l’élec-tricité verte. En coopération avec les communes de Garnich, Kehlen et Sept-fontaines, nous offrons également des conseils en énergie à nos citoyens via l闇infopoint « myenergie Ouest ». Der-nier effort, nous avons voté tout un catalogue de subsides pour inciter les gens à n’acheter que des appareils économes en énergie.

Quelques mots pour conclure ?Guy Pettinger : Steinfort est une commune très agréable à vivre. Nous sommes en pleine campagne mais à

Tout ceci fait de Steinfort une commune animée et agréable à vivre.

Quels sont vos futurs projets ?Guy Pettinger : Nous avons récemment fait 2 acquisitions majeures. La pre-mière est un terrain de 5 hectares entre Steinfort et Windhoff ain d闇y construire de nouvelles infrastructures sportives. Nous avons également signé un com-promis pour acquérir l’ancien moulin de Kleinbettingen ain d闇y aménager un musée pédagogique.

Vos inances communales sont-elles saines ?Guy Pettinger : Nous sommes dans une bonne situation inancière, avec peu de dettes et des rentrées sufi-santes, ce qui nous permet d’envisa-ger l’avenir sereinement.

Peut-on dire que Steinfort est une commune écologique ?Guy Pettinger : Outre nos forêts et chemins piétonniers, nous avons beau-coup fait en faveur de l’écologie. Ain-

Commune de Steinfort4, square Patton B.P. 42 L-8401 Steinfort Tél. +352 39 93 13-1 Fax: +352 39 00 15www.steinfort.lu

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Les chefs d’Etat et de gouvernement européens ont réagi à ces déis en 2007 en adoptant le plan « 20-20-20 » qui est la base d’une nouvelle politique énergétique et climatique et prend en compte en même temps des aspects économiques, de sécurité d’approvi-sionnement et de respect de l’environ-nement. Ainsi, au niveau européen, les émissions de dioxyde de carbone devront être réduites de 20%, la part des énergies renouvelables portée à 20% et l闇eficacité énergétique améliorée de 20% d’ici 2020. Dans ce contexte, le Luxembourg devra avoir une part d’énergies renouvelables de 11% en 2020, l闇eficacité énergétique devra

l’économie mondiale a engendré une forte augmentation de la consommation d’énergie de manière générale et, plus particulièrement, des énergies fossiles non renouvelables comme le pétrole, le charbon et le gaz. La demande crois-sante de toutes les formes d’énergie a entraîné également des hausses de prix auxquelles l’économie luxembour-geoise et ses citoyens devront être mieux préparés à l’avenir. La problé-matique des prix se voit renforcée par le fait que certaines formes d’énergies sont de moins en moins acceptées par la société, que ce soit pour des raisons environnementales ou au niveau de la sécurité.

La cérémonie d’inauguration a été ou-verte par M. Tom Eischen, Président myenergy et Commissaire du Gouver-nement à l’Energie et par M. Gilbert Théato, Directeur myenergy. En tant que représentants de myenergy ils ont souhaité la bienvenue aux invités et ont expliqué les motivations qui ont don-né naissance à cette initiative inédite.

Pour garantir le bon fonctionnement de l’économie nationale et un niveau de vie prospère de la population, il est indispensable d’assurer un approvi-sionnement adéquat en matières pre-mières et en énergie. Au cours des dernières décennies, la croissance de

Inauguration oficielle du premier salon dédié à l’assainissement énergétique, les myenergy days

Le 29 avril 2011 à 16h00, le ministre Marco Schank a inauguré la première édition du salon myenergy days devant une centaine d’invités pour lancer ainsi une nouvelle ini-tiative mise sur pied par myenergy, la structure nationale pour le conseil en énergie subventionnée par le Ministère de l’Economie et du Commerce et par le Ministère du Développement durable et des Infrastructures. Soutenu par un grand nombre de par-tenaires, comme la CDM, l’OAI, la FDA, la CDC, la CLC, la FEDIL, lFSB, le Service des Sites et Monuments nationaux et le Ministère du Logement, myenergy a voulu créer une nouvelle plate-forme d’échanges grand public sur le thème de l’énergie, dédiée aux particuliers et aux professionnels. Cette première édition se penchera sur l’assai-nissement énergétique des bâtiments et se tiendra du 29 avril au 1 mai à Luxexpo, Kirchberg.

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publics et les ménages privés, tout en préservant l’environnement. Les bâti-ments contribuent à plus de 40% de la consommation totale d闇énergie inale en Europe. A peu près 1/3 des émis-sions de CO2 proviennent du chauf-fage des bâtiments et de la production d’eau chaude. On estime à ce jour qu’à peu près ½ % des bâtiments sont as-sainis annuellement ; il va sans dire que ce taux doit absolument être revu à la hausse. L’Etat luxembourgeois et ses citoyens sont donc dans le de-voir de proiter du potentiel existant et d’orienter les projets publics et privés en conséquence.

De leur côté, les pouvoirs publics en-dossent leur rôle de locomotive par un vaste programme d’assainissement énergétique des bâtiments publics ; à titre d’exemple, 38 millions d’euros ont été investis dans l’assainissement énergétique des bâtiments publics exis-tants au cours de ces 3 dernières an-nées. Le budget est ixé à 550 millions d’euros pour les années à venir, dont 150 millions pour des mesures d闇efi-

de nouveaux marchés même régionaux à long terme ain de contribuer à la réalisation des potentiels y existants. En ce sens, il s’avère indispensable de soutenir l’échange d’expériences dans le domaine de l’assainissement des bâtiments, ain de permettre aux entreprises actives dans ce secteur de développer de nouvelles branches d’ac-tivités avec leur savoir-faire conirmé. En parallèle, il faut davantage sensi-biliser et informer les propriétaires de biens immobiliers à ce sujet.

Enin, Marco Schank a concentré son discours sur le contexte politique et cli-matique actuel. La protection du climat et les économies d’énergie sont deux sujets qui concernent l’ensemble de la population. Des phénomènes comme le changement climatique, l’épuisement des sources d’énergie fossiles, des prix de l’énergie en hausse et une pénurie des matières premières forcent tout un chacun à viser une consommation énergétique moins importante et une utilisation plus rationnelle de l’énergie permettent de décharger les bâtiments

être augmentée de 9% d’ici 2016 et les émissions de C02 réduites de 20% jusqu’en 2020. Pour atteindre ces ob-jectifs ambitieux, le Luxembourg devra faire beaucoup d’efforts au niveau de l闇eficacité énergétique étant donné son fort degré de dépendance en tant que pays importateur. La réalisation de ces objectifs va de pair avec des écono-mies massives dans les domaines de la mobilité et du bâtiment, d’où l’impor-tance de l’assainissement énergétique du parc immobilier actuel.

M. Roland Kuhn, Président de la Chambre des Métiers a enchaîné pour mettre en lumière les opportunités of-fertes à l’artisanat dans le domaine de la rénovation énergétique et pour ex-pliquer leur position actuelle face au déi énergétique.

L’assainissement du parc immobilier existant offre effectivement des oppor-tunités considérables pour le secteur de la construction : en plus de la création d’emplois locaux durables, l’innovation et la recherche permettront d’exploiter

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Plus d’informations sur www.myener-gydays.lu.

A noter encore que les myenergy days ont été un évènement climatiquement neutre par l’intermédiaire d’une com-pensation des émissions de CO2.

myenergy (GIE)

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T 40 66 58F 40 66 58-2www.myenergy.lu

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la technique du bâtiment pour les technologies de chauffage, les systèmes de ventilation contrô-lée, l’énergie solaire, l’éclairage, la domotique et la régulation ;

les services pour les architectes, ingénieurs, conseillers en énergie et banques,

l’espace rencontre, scène centrale qui accueillera un vaste programme de conférences, de présentations de produits et de démonstrations pratiques sur les trois journées du salon.

Enin, myenergy a offert la possibilité aux visiteurs de remporter une nou-velle chaudière à condensation dans le cadre du concours « myenergy cherche la plus vieille chaudière » et propo-sera un programme d’activités pour les enfants dans son espace jeunes.

cacité énergétique relatives au proto-cole de Kyoto. Les maîtres d’ouvrage privés sont eux aussi appelés à agir de façon consé-quente. Le programme d闇aides inan-cières fait partie des outils mis en place par le Ministère du Développement du-rable et des Infrastructures pour ac-célérer cette démarche. Les myener-gy days représentent pour leur part un concept cohérent visant la sensi-bilisation et l’information au sujet de l’assainissement énergétique en vue d’aider à réaliser davantage de pro-jets sur le terrain.

La première édition du salon myenergy days s’est tenu du 29 avril au 1er mai 2011 et a accueilli une cinquantaine d’exposants spécialisés agencés en 4 univers thématiques principaux: l’enveloppe du bâtiment, pour les

matériaux d’isolation, les éléments préfabriqués, les fenêtres et les

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Avez-vous mené à bien l’ensemble des projets qui vous tenaient à cœur ?Guy Arendt : Je dirais que notre programme a été entièrement ou quasi-entièrement réalisé. Nous avons beaucoup investi les der-nières années ain d闇offrir à nos habitants la meilleure qualité de vie possible.

Etes-vous bien doté en infrastructures scolaires et périscolaires ?Guy Arendt : Nous avons pendant cette législature construit l闇école de Bereldange et sa maison relais. Nous venons de inaliser également la réno-vation de l闇école de Walferdange. Il s闇est agi d闇ajouter un troisième niveau à la structure existante. Pour cela, nous

Walferdange est une commune située juste à la limite de la ville de Luxembourg. En pleine vallée de l’Alzette, elle est de part et d’autre dominée par des hauteurs boisées. La commune est traversée par la route nationale 7 et la ligne de chemin de fer qui relient le Nord du pays à la capitale. Walferdange compte environ 7 500 habitants dont plus de 48% d’étrangers d’environ 82 nationalités différentes. Guy Arendt, avocat à la cour, occupe la fonction de bourgmestre de Walferdange depuis janvier 2003. Il a accepté de nous recevoir pour faire un bilan de la législature qui s’achève.

Commune de Walferdange

Entretien avec

Guy Arendtbourgmestre

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sin d闇eau salée avec musicothérapie et luminothérapie. Je dois dire que c闇est un véritable succès, à tel point que l闇on commence à réléchir à investir prochainement dans la partie piscine.

Avez-vous des projets portant sur la construction de logements sociaux ?Guy Arendt : Nous réléchissons à construire des logements conventionnés dans les années à venir. Lors de cette dernière législature, nous avons connu une croissance assez forte. Il y a eu le projet « Bouquet », des logements sur le domaine Agrilux, au niveau du site Rollinger, sans oublier la construction du shopping center.

Vos services communaux ont-il assez de place ?Guy Arendt : Pour le moment oui. Nous avons rénové le centre Prince Henry et nous avons installé notre « bierger-center » dans l闇ancienne poste. La ré-gie communale a aussi été transférée dans de nouveaux locaux.

Nous avons d闇autre part rénové la maison Dufaing. Il s闇agit de l闇une des plus anciennes maisons de la localité. C闇était une résidence secondaire dans les années 1865. On y aménagea une

avons dû construire des piliers autour de l闇école pour y faire reposer l闇étage supplémentaire. Cet étage comprend une maison relais pour plus ou moins 150 jeunes avec restauration sur place. En tout, nous avons environ 550 élèves pour une capacité de 400 places en maison relais. En principe, cela devrait être sufisant pour répondre à nos be-soins dans les années à venir.

Cela dit, si la place venait un jour à manquer, nous avons déjà prévu de pouvoir agrandir le site scolaire de Helmsange.

Et en ce qui concerne les sports ?Guy Arendt : Notre plus grand pro-jet à ce niveau a sans conteste été la rénovation de notre centre aquatique PIDAL.Nous avons posé deux niveau sur les deux niveaux existants et avons en même temps mis en conformité la structure existante. Le itness, qui était à l闇écart, a été mis sur un étage illuminé et ouvert sur la nature. Un domaine Wellness a été créé et un niveau a été consacré aux massages secs et humides avec des suites spa que l闇on peut louer. Le dernier étage comprend une aire de repos et un espace dédié aux soins esthétiques, ainsi qu闇un bas-

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Quelques mots pour conclure ?Guy Arendt : Il y a eu d闇autres projets moins prestigieux, mais qui apportent une véritable plus-value à nos habi-tants en termes de qualité de vie. Je pense par exemple au pont au-des-sus de l闇Alzette qui relie un lotisse-ment aux installations sportives et aux infrastructures communales et au pont à Bereldange. J闇aime l闇idée qu闇un pont rassemble, qu闇il permette aux gens de mieux circuler et qui les rapproche les uns des autres.

Je dirais en guise de conclusion que la qualité de vie est excellente à Walfer-dange. Le seul souci est la densité de la circulation mais nous ne désespérons pas de trouver un jour une solution à ce problème.

salle des mariages ainsi qu闇une salle d闇exposition accessible au public.Juste à côté, nous venons d闇achever la restauration de l闇intérieur de l闇église en faisant ressortir d闇anciennes fresques du début du XXe siècle.

Peut-on dire que Walferdange est une commune écologique ?Guy Arendt : Tout à fait. Toutes nos constructions récentes sont à basse consommation d闇énergie. Nous avons aussi introduit les collectes sélectives. Nous avons enin beaucoup travaillé sur les espaces verts.

Comment se portent vos inances communales ?Guy Arendt : Nous avons une dette conséquente mais surmontable, d闇autant que nos infrastructures sont neuves et sufisantes.

Administration communale de Walferdange B.P. 1 L-7201 WALFERDANGE Tél.: 33 01 44 - 1 Fax: 33 30 60 Email: [email protected]

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matière de levage, de transports excep-tionnel et de manutention. Pour garan-tir une qualité parfaite à nos clients, nous travaillons selon les principes ISO. Nous proposons un service complet à nos clients, qui peuvent compter sur un professionnalisme et une rigueur sans faille.

Sur quels types de travaux vous illustrez-vous?Cary Arendt : Notre société s’illustre sur des travaux spéciiques et dificiles

De quel parc matériel disposez-vous?Cary Arendt : Nous disposons d’un parc roulant comptant 19 grues, dont deux de 500 tonnes, les plus grandes en activité au Luxembourg, ainsi que plusieurs camions. Notre parc matériel est constamment remis à jour. Nous avons ainsi investi 8 millions d’euros entre 2009 et 2010 dans nos machines. Grâce à notre personnel hautement qualiié, ATS-Cranes est la référence au Grand-Duché de Luxembourg en

Pouvez-vous vous présenter en quelques mots à nos lecteurs?Cary Arendt : Trippel Karl, Steil Birgit et moi-même avons fondé ATSCranes, une société spécialisée dans les travaux de grue et le transport exceptionnel le 27 décembre 2002 à Frisange. Nous avons, en août 2003, repris la partie opérative de Steil-Manu. Depuis, notre société travaille en partenariat avec «Steil Firmengruppe» à Trêves et à Bous en Sarre.

Entretien avec

Cary Arendt

Levage, transport exceptionnel, manutention

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comme des grutages spéciaux, des déménagements industriels de sociétés ou des convois exceptionnels. Nous proposons à nos clients un service clé en main, notamment dans le cadre de déménagement d’installations indus-trielles complètes avec des charges importantes, de l’ancien au nouveau lieu d’emplacement, avec chaque ma-chine mise en place au millimètre près. Le client ne s闇occupe de rien. ATS-Cranes S.A. s闇occupe de tout. Pour les convois exceptionnels, nous n’avons aucune limite et sommes capables de transporter tout d’un point à un autre. Vraiment tout.

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Travaillez-vous uniquement au Luxembourg?Cary Arendt : Si notre société s’est fait remarquer sur les chantiers les plus prestigieux du pays dans des travaux très spéciiques, comme des travaux de levage et de transport réalisés au « Forum » à Capellen, nous sommes clairement positionnés sur le marché international. Ainsi, la 500 tonnes ATS et son chauffeur ont monté de nombreuses éoliennes en Europe. En France, on voit depuis plusieurs années des équipes ATS-Cranes S.A. Nos équipes travaillent en ce moment également à Bourgos en Espagne et à Fontanelle en Roumanie.

Quelques mots pour conclure?Cary Arendt : Chez A.T.S. Cranes S.A., nous essayons d’offrir à nos clients nationaux et internationaux bien plus qu’un prix : l’assurance d’un travail bien fait.

Pour tous vos travaux de levage,de transports exceptionnels

et de manutention, faites placeau professionnalisme

ATS-Cranes S.A.

28, rue Robert Schuman • L-5751 FrisangeTél.: 23 60 44 1 • Fax: 23 60 44 44

Email: [email protected] • www.ats-cranes.lu

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Peut-on dire que le programme de la législature a été réalisé ?Georges Engel: Je dirais que 99% de notre programme a été réalisé. Nous avons mené à bien un certain nombre de grands projets comme le CIPA, le Scheierhaff ou le centre d’intervention.

Commençons par parler du CIPA…Georges Engel : Notre CIPA accueil-lera 120 personnes début 2012. Il aura nécessité un investissement de 30 mil-lions d’euros, à 80% subventionnés par le Ministère de la Famille. Il s’agit d’une construction moderne qui répond aux dernières exigences en termes de res-pect de l’environnement. Il est pourvu de tout le confort moderne. Un espace spécial a été prévu pour accueillir les personnes démentes avec un beau jardin étudié de façon à ce qu’elles puissent se promener sans se perdre.

Nous avons voulu que notre CIPA soit un véritable espace de vie ouvert sur le monde, c’est pourquoi nous avons prévu d’y installer un restaurant et un café avec jeu de quilles ouverts au public.

Commune de Sanem

Entretien avec

Georges Engelbourgmestre

Sanem comprend les localités de Belvaux, Ehlerange, Sa-nem et Soleuvre. Elle s’étend sur 24 km2 et compte environ 15.000 habitants, ce qui en fait la sixième commune du pays. Georges Engel a commencé sa carrière politique en tant que conseiller communal de la commune de Sanem suite aux élections anticipées du 20 avril 1997. Il a ensuite été élu bourgmestre aux élections du 9 octobre 2005. Il est également président du syndicat intercommunal ZARE (Zone d’activité régionale Ehlerange), vice-président du syndicat intercommunal SES (Syndicat des eaux du Sud), membre du syndicat Pro-Sud (+ Agora) (Syndicat de communes pour la promotion et le développement de la Région Sud), membre de la commission d’accompagnement pour l’Uni-versité de Luxembourg (Ville d’Esch-sur-Alzette). Il a accepté de nous recevoir pour faire un bilan de cette législature.

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etc. L闇ensemble a également bénéicié d’une amélioration énergétique totale.Autre projet, l’école primaire à Sanem et le lycée de Belval qui ouvrira ses portes en septembre 2011.

Des efforts ont-ils été faits dans le domaine des sports ?Georges Engel : Nous avons beau-coup fait pour le sport à Sanem. Nous avons, en collaboration avec le Ministère des Sports, agrandi notre boulodrome pour en faire un boulo-drome national. Le nouveau bâtiment abritera un café, un bureau adminis-tratif, une salle des fêtes qui pourra être louée, etc. Les travaux sont été subventionnés à hauteur de 70% par le Ministère des Sports. Nous avons aussi investi pour nos clubs de football avec un nouveau terrain synthétique à Belvaux. Nous réaménagerons également le terrain de foot de Sanem l’an prochain en y construisant un nouveau hall sportif avec vestiaires. Les travaux devraient débuter début 2012. Nous avons en-in prévu de construire de nouveaux vestiaires pour le club de foot d’Ehle-range. Mais également au niveau du sport loisir, des infrastructures près du Boulodrome ainsi que derrière l’école 2000 ont vu le jour.

Avez-vous signé le Pacte Logement ?Georges Engel : Nous faisons partie du Pacte Logement. Il faut dire que notre commune, entre autres grâce au projet de Belval, va connaître un accroissement de +/- 50%, dans les 15 à 20 ans à venir, avec 5 à 7.000 habitants supplémentaires. Nous avons ainsi commencé le second PAP pour les maisons à Belval Nord et nous avons clôturé le concours pour la partie cen-trale du Square Mile. Même une partie de l’Université risque de se retrouver sur notre territoire.

Nous sommes en train de passer de petite à grande commune, ce qui fait que nous devons beaucoup investir en ce moment, tant au niveau des infras-tructures que des ressources humaines. Pensez qu’il y a 5 ans nous avions 2 employés au service des bâtisses contre 6 aujourd’hui.

Avez-vous des investissements en cours dans les infrastructures scolaires ?Georges Engel : Nous avons investi 7 millions dans la rénovation de l’école du chemin rouge. Nous y avons effectué une rénovation complète, des tableaux interactifs, une salle des sports renovée,

En quoi consiste votre projet au Scheierhaff ?Georges Engel : Il s’agit d’un autre grand projet. Nous allons construire, sur le site du Scheierhaff, une nou-velle piscine pour les écoles et pour les cours de natation organisés par la commune. Nous construirons aussi une salle dédiée à notre club de gym-nastique ainsi qu’une salle à vocation culturelle qui pourra accueillir plus ou moins 850 personnes. Les travaux devraient d闇achever in 2013 pour un budget d’environ 22 millions d’euros.

Abordons maintenant le centre d’intervention…Georges Engel : Ce centre servira aussi bien à la protection civile qu’aux sapeurs-pompiers. Situé juste à côté de la collec-trice, il ouvrira le 17 septembre. Il com-prend un local commun divisé en 3 parties avec tout le matériel que doit contenir un centre d’intervention moderne. Nous avons déjà prévu de pouvoir l’agrandir au cas où une autre commune voudrait s’associer à nous pour son centre d’inter-vention. Et il permettra à nos services de secours de fonctionner dans une optique de semi-professionnalisme, ce qui me semble être la seule possibilité d’assurer un service de qualité tout en gardant l’idée du bénévolat.

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existent pour que ce contournement soit construit sur son propre territoire.

Quelques mots pour conclure ?Georges Engel : Si nous avons beau-coup investi dans nos infrastructures, nous avons aussi beaucoup travaillé sur le plan sociétal. Nous avons ainsi introduit une sorte de baptême civil et nous avons valorisé les enterrements civils. Nous avons aussi réservé une douzaine de samedi chaque année pour les mariages. Les grands évène-ments de la vie doivent être marqué et il n’y a pas de raison pour qu’ils soient monopolisés par la religion alors qu’une grande partie de nos citoyens se reven-diquent laïcs. Nous avons ainsi com-mencé des pourparlers pour installer une maison de la laïcité sur notre ter-ritoire. Il s’agira d’une plateforme pour toutes les associations laïques, un lieu qui serve aussi de cadre à toutes les cérémonies laïques, ainsi qu’un centre de documentation relatif à toutes les questions de société. Avec toutes ces initiatives, la qualité de vie à Sanem s’est fortement amé-liorée. Finie l’image de village poussié-reux, Sanem est aujourd’hui une ville en mouvement, une ville à vivre.

Administration communale

de Sanem60, rue de la poste Case postale 74 L-4401 Belvaux Tél. 59-30-75-1 Fax: 59-30-75-67

Avez-vous un concept de mobilité ?Georges Engel : Nous avons beau-coup travaillé pour la mobilité douce, avec de nombreux chemins piétonniers et cyclistes. Sinon, nous avons intro-duit la ligne 3 de bus qui relie Sanem, Soleuvre et Belvaux et qui va de Pé-tange à Esch. Toujours au niveau de la mobilité, je tiens à souligner que je suis absolument opposé au projet de contournement de Bascharage prévu sur notre territoire. Bascharage a besoin d’un contournement mais des solutions

Vos rues sont-elles en bon état ?Georges Engel : Nous sommes en train de refaire à Belvaux toute la rue des Alliés et tout le Fenkelbierg. Nous avons prévu de refaire la couche de roulement de 13 routes de notre com-mune.

Dans quel état sont vos inances communales ?Georges Engel : Elles sont saines, ce qui nous permet d’envisager l’avenir sereinement et de continuer à investir pour notre développement futur.

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