sdfsdfs

10
1 Séance 5 12/11/2014 Bien qu’il y est une convergence entre l’audit financier et l’audit fiscale il serais incorrect de penser que les deux fonctions sont similaire et cela pour plusieurs raison : Le contrôle et la certification comptable n’ont pas pour objectif de s’assurer de la régularité fiscale. Le contrôle de la régularité fiscale n’est qu’un élément du contrôle global de la régularité. L’existence d’une interdépendance entre la comptabilité et la fiscalité ne doit pas dissimuler l’existence de l’autonomie de la législation fiscale. On cherchant à apprécier l’opportunité des choix fiscaux l’audit fiscale opère un contrôle de l’efficacité fiscale. Dans le cadre d’une mission d’audit légale le contrôle de la régularité n’est qu’un sous ensemble d’un contrôle global de la régularité lorsque l’auditeur légal opère un contrôle de la sincérité et l’image fidèle des EF. En cas d’existence d’effet défectueux les redressements fiscaux ne remet pas en cause la responsabilité du commissaire aux compte, Le CAC n’est pas tenu de vérifier les EF mais vérifier sa régularité, mais de procéder par sondage et recoupement, son objectif est de donner une opinion sur la régularité et la sincérité des EF. Or, dans une mission d’audit, l’audit fiscale ne cherche pas seulement la conformité ou non aux

Upload: amiine-chekrouni

Post on 12-Apr-2016

6 views

Category:

Documents


0 download

DESCRIPTION

sdfsdfs

TRANSCRIPT

Page 1: sdfsdfs

1

Séance 5 12/11/2014

Bien qu’il y est une convergence entre l’audit financier et l’audit fiscale il serais incorrect de penser que les deux fonctions sont similaire et cela pour plusieurs raison :

Le contrôle et la certification comptable n’ont pas pour objectif de s’assurer de la régularité fiscale.

Le contrôle de la régularité fiscale n’est qu’un élément du contrôle global de la régularité.

L’existence d’une interdépendance entre la comptabilité et la fiscalité ne doit pas dissimuler l’existence de l’autonomie de la législation fiscale.On cherchant à apprécier l’opportunité des choix fiscaux l’audit fiscale opère un contrôle de l’efficacité fiscale.

Dans le cadre d’une mission d’audit légale le contrôle de la régularité n’est qu’un sous ensemble d’un contrôle global de la régularité lorsque l’auditeur légal opère un contrôle de la sincérité et l’image fidèle des EF.

En cas d’existence d’effet défectueux les redressements fiscaux ne remet pas en cause la responsabilité du commissaire aux compte, Le CAC n’est pas tenu de vérifier les EF mais vérifier sa régularité, mais de procéder par sondage et recoupement, son objectif est de donner une opinion sur la régularité et la sincérité des EF.

Or, dans une mission d’audit, l’audit fiscale ne cherche pas seulement la conformité ou non aux dispositions fiscales mais de chercher s’il existe des irrégularités fiscale et les moyens à mettre en œuvre pour les réduire dans le future et opérer éventuellement des corrections antérieurs des différente irrégularité et ses sources.

Il convient de noter que pour mesurer le risque fiscal il faut procéder à des contrôles qui échappent du cadre de l’audit financier. De même, le budget alloué à une mission d’audit financier pour traiter les questions fiscale et généralement limité car les exigences d’un contrôle approfondie requiers une allocation du temps importante. En effet, l’auditeur fiscal devrait focaliser ses vérifications sur les opérations qui sont particulièrement examiné dans le cadre d’une vérification fiscale.

Page 2: sdfsdfs

2

Séance 5 12/11/2014

Audit fiscal/Audit comptableComplémentarité Cette Complémentarité entre la comptabilité et la fiscalité

se comprend dans le sens ou : La compréhension des EF ne peut se faire sans une

référence à la fiscalité appliquée à l’entreprise. De même la régularité des EF n’est réalisable sans

qu’il y soit une régularité au niveau fiscal. La comptabilité revêt une importance particulaire

dans la gestion fiscale. Cette importance est perceptible lors de l’examen de certaines dispositions relatives au pouvoir de contrôle de l’administration.

L’audit financier et l’audit fiscal sont basés sur une approche générale du SI pour donner une opinion sur le contrôle interne.

Divergence Le contrôle comptable et la certification comptable n’ont pas pour objectif de s’assurer de la régularité fiscale.

Le contrôle de la régularité fiscale n’est qu’un élément du contrôle global de la régularité.

L’existence d’une interdépendance entre la comptabilité et la fiscalité ne doit pas dissimuler l’existence de l’autonomie de la législation fiscale.On cherchant à apprécier l’opportunité des choix fiscaux l’audit fiscale opère un contrôle de l’efficacité fiscale.

Il convient de noter que pour mesurer le risque fiscal il faut procéder à des contrôles qui échappent du cadre de l’audit financier. De même, le budget alloué à une mission d’audit financier pour traiter les questions fiscale et généralement limité car les exigences d’un contrôle approfondie requiers une allocation du temps importante.

Page 3: sdfsdfs

3

Séance 5 12/11/2014

Question e-mail :

Risque opérationnel : l’entreprise n’applique pas les lois et règlement Risque de compliance ; on n’applique pas la loi par le fait de négliger

certain aspect de la loi.

DS Mr jabri

Page 4: sdfsdfs

4

Séance 5 12/11/2014

Chapitre 4 : l’audit fiscal et la structure financière de l’entreprise :

Introduction :La structure financière révèle une importance pour l’audit fiscale dans la mesure où elle est primordiale lors de la revue annuelle du résultat fiscal en effet l’existence d’une dette importante dans le bilan en plus de la fragilité financière qu’elle porte, constitue l’une des questions à approfondir au niveau fiscale.

L’auditeur doit analyser les documents nécessaires (bilan, CPC) pour savoir plus sur tous les mouvements qui ont pu affecter par exemple les capitaux propres et les dettes de l’entité.

Exemple : Dans ce cadre l’auditeur dans sa démarche peut vérifier les liens et la corrélation entre les dettes figurant au bilan de l’entreprise et le montant des intérêts verset par l’entité figurant au CPC.

Page 5: sdfsdfs

5

Séance 5 12/11/2014

Section 1 : la structure financière et son identification :Pour examiner avec précision les EF de l’entreprise, l’auditeur doit examiner des documents qui doivent lui permettre de voir s’il existe ou pas une certaine cohérence entre les montants du bilan et celui du CPC.

Parmi les principaux documents à examiner (l’alliace fiscale, balance, rapport du CAC, les PV des assemblé générale pendant la période audité, la copie des contrat de prêt au cours de la période occupé, les PV des délibération des conseil d’administration ou autre organe de direction autorisant la signature des contrats, la copie des instruction au registre analytique du tribunal de commerce.

Les capitaux propre dont dispose la société (subvention d’investissement, provision réglementé, capitale sociale, écart de réévaluation, les réserves….) ces élément doivent être mis à jour en tenant en compte des modifications qui sont intervenu au cours des exercices.

DS d’audit fiscale le 25/11/2014 de 8H-10H.

Après avoir pris en connaissance de tous les éléments de l’alliace fiscale, l’auditeur doit faire des vérifications complémentaires.

L’une des vérifications à faire, consiste à savoir si la charge d’intérêt est cohérente avec la dette supporté, et de la même manière si les produit d’intérêt sont cohérent avec les créances détenu par l’entreprise.

S’il existe une incohérence pendant ces vérifications, cela ne veut pas dire qu’on est en présence d’un risque fiscale car il se peut que le contrat de prêt ai été conclu à la fin de l’exercice audité et que par conséquent les intérêts sont faible.

Par ailleurs, cette incohérence peut amener l’auditeur à formuler des questions pour mieux expliqué cette incohérence détecté.

Page 6: sdfsdfs

6

Séance 5 12/11/2014

Exemple :

Le 31 décembre, les comptes de la société ENCG :

N N-1BILAN emprunt auprès des EC

1450000 1450000

CPCCharge d’intérêt.

214200 78000

Taux d’intérêt 14,77% 5,38%

Le montant de la dette n’a pas varié d’une année à l’autre, ce qui veut dire que les avances ont été constante, par contre le taux d’intérêt moyen est passé de 5,38% à 14,77% ; Ces vérification ne sont que partielle et doivent être complété par d’autre vérification afin d’obtenir les caractéristique de chaque type de contrat de prêt.

Par ailleurs les dettes constituent un point important dans l’audit fiscal, c a d :

La nature des dettes ; La qualité du préteur ; Le montant de la dette ; Le taux d’intérêt et l’échéance.

Les dettes qui sont importante dans l’audit sont les dettes qui ne sont pas lié directement à l’exploitation (dette fournisseurs mais plutôt les dettes relatives aux financements.

En ce qui concerne la qualité du préteur, il convient de distinguer les emprunts obtenus par un organisme extérieur ou groupe ou par une société appartenant à un groupe.

Page 7: sdfsdfs

7

Séance 5 12/11/2014

A ce niveau, il est important de voir le contenu des postes (distinguer les emprunts à moyen et long terme) afin de pouvoir les associer éventuellement à l’emprunt bancaire ou en provenance de groupe.

De nombreuse erreurs peuvent avoir lieux au niveau de l’alliace fiscale ne permet pas de faire cette analyse, il convient de faire appelle à la balance générale des comptes qui contient les détails relatif à chaque type d’emprunt. ( ou voir les contrats signés entre l’entité et les tiers (banques…).

En outre, les conditions de dette (le taux d’intérêt, délai de paiement,…) ne figurent pas dans les documents comptables mais ils se sont renseignés dans d’autre document complémentaire :

Les contrats de prêt, signé et autorisé par les organes, il est util de revoir les PV des réunions des Conseil d’administration ou de surveillance.

Certain contrat de prêt conclu avec l’entreprise sont indiqué dans le rapport du CAC (convention de l’article 58, 59, 61 et 97 de la loi 17-85 pour la SA et l’article 64 et suivant de la loi 5-96 modifié et complété par la loi N°21-85) et qui donc peuvent être une source d’information.

De la même manière pour les créances, il faut examiner la qualité des emprunteurs sa localisation et les avances consentis.

Dans le cas ou une entité prête et emprunte, les vérifications peuvent de faire au niveau des conditions auxquelles elle prête et les comparent avec celle ou elle emprunte. (l’entreprise ne doit pas prêter à 2% et emprunter à 10%) car cela permet de savoir si l’entité peut générer quelque point de marche lié à ce type d’opération.