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ique a Régionaliste de l'Ouest Paraissant les JMVDI et DliiÂNCBB * - ! A n n o n o M « i R é o l a m e » ' knnono» Jadtolalres (la ligne]... 80 o. Aônonofls voIontftlrQs... 2 8 o . RéoltUês BO 0 . Prisonniers de G uèrr6 Réunion du Bureau du s Janvier 19.17 ' Adoj>tion de Louis Le Daillon, de Querricn prisonnier èDarmatadt. OntHouscril: Anonyme de Quimperlé 2 fr. ; M. Hasooôt directeur de l'ëcote de Moêlan, par ooltecle scolaire 6 fr. 50; Mme Durand, du Trévoux dont le mari est secouru par le Comité, eu reconnaissance de 1» régularité «veo laquelle, il reçoit ses colis, remet 5 francs, par l'intermédiaire de Mme Rivière ; M, Jolaié. instituteur à Névez fait re- mettre la subvention de la commune soit 890 francs, ainsi que 1H moat-int du tron^jdes éco- liers en Xbre oa40 fr. 10. Parviennent égale- ment les dons de M Marrec adjoint au Maire, S5 fr. et ceiix de Mme Vve Berthou, au bourg 5fr. Qui Jamais l'immense charité do Névez, la 'première des communes sur ce point ? La ligue franco-australienne de Sy- dney remet par l'intermédiaire de M le Pré- fet 10 chaussons — 10 caleçons — 6 flanelles— 10 ehandaik) — 7 paires de chaussettes — 5 mouchoirs. U Biiraau du^Syndicat Agricole de ramndissemMt de Quimperlé, à Moiisieiir la Prifst du Finistère. Quimperlé, le 27 Décembre 1916 Monsieur le Préfet, Voilà plu» d'un moi» déjà que voire arrélé relatif à la taxation du prix de» pommes de terre e»i en vigueur. Votre plu» grand aouei éoU être évidemment de chercher à POU* rendre compte de» rétullals produit» parvette meture. Per»onne n'est plus qualifié quéle» groupements agricoles pour juger detkffet» de votre arrété et pour vous dire le- M-qnei- voue- Ma»"- proposhT a élé atteint. Aussi permettrez-vous au bureau du syn- dicat de l'arrondissement de Quimperlé de venir vous faire part de ses impressions et de se» ob»ervation». Il e»père que vou» le» prendrez en const- dératiqn, non seulement comme venant de personne» qui sont disposées â collabo''er avec voua dans la mesure de leurs moyens pouf le bien de la région que vous êtes chargé d'administrer, mais aussi comme venant de représentants d'un groupe impor- tant, bien placé au milieu des populations de no» campagne» pour recueillir ses doléan- ces et les apprécier sainement. Vos intention» ont été, nous en sommes persuadé», droites et claires. Votre but était d'empêcher que la pomme de lern, aliment si apprécié des riches comme des pauvres n'atteigne des prix exa- gérés et ne soit plus ainsi à la portée des bourse» modestes, tout en permettant à nos cultivateurs d'en tirer un prix rémunérateur. Ce but a-t-il été atteint ? — N^n. Voici ce qui se passe dans nos campagnes : Dès que votre arrélé a élé connu, les négo- ciant» étrangers ù notre région, sachant que l'on pouvait se procurer ici des pommes de terre à un prix extrêmement faible com- parativement à celui d'autres pays, ont afflué. Il» ont parcouru nos campagnes, . faisant, la rafjle partout, n'hésitant pas, lorsqu'il» ne pouvt^erit obtenir ces tubercules au prix de la taxe, à les payer un prix supérieur, assurés d'en tirer toujours un bénéfice, allant parfois jusqu'à 51} 0/0. Les cultivateurs vendant ainsi leurs pommes de terre à domicile ont cessé d'approvisionner le» marchés. Quel en est le résultat? La population urbaine de notre pays ne peut, dans ces condUions s'approvisionner que très difficile- ment et est la plupart du temps obligée d'aller à ta ferme, très heureux encore si elle ne s'en retourne pa» les mains vides, les cultivateur» préférant évidemment vendre leur »tock de pomme» de terre en bloc que len vendre au détail à un prix moindre que celui qui leur e^ offert par le» marchands en gros. JPMO , i*' réêmltmt t dJfÉealté pour 2» pmpmlmiiom a r f t a i a * d « c'ajijixori- Le» cultivateur» sont évidemment fautif», du moin» légalement, de vendre leur» pom- me» de terre à un taux supérieur à celui de la taxe, et, par suite, passibles de sanctions ffénale». Mai», «a é f u i i i , peut-on leur donner tortr II» connaiisent les cours des pommes de terre dan» le» uulre» pays, soit par la lec- ture de» Journaux, »oit par les permission- naire» en garnl»on dan» les grandes villes ou dan» ta zone de» armée». Il»»avent que, dan» la Seine-Inférieuu, par êxemple, le» cour» de» pomme» de terre taacitH <«r de 30 fr. le» 100 kilo» et que le , port de Qaimperlé à Boaen ett de î fr. 60 f«r tOQ kil, 1*9 fomim ierrç qiu la Les annonces sont reçues au bureau du journal et, à Paris, dans toutes les Agences. On traite à forfait pour les annonces répétées plusieurs fois. négociants achètent à Quimperlé 12 f r . pritc de la taxe, leur coûtent, rendues à Poue/i 13 f r . €0; — d'où un bénéfice de 15 f r . 40 par 100 Ulos. Ils savent qu'à Paris le cours est de 20 à 22 fr. (Ouesl-Eolair, 21 décembre) - le transport de Quimperlé à Paris étant de 1 f r . 40. la pomme de terre rendue à Paris coûte aux gros marchands 13 f". 40 soit un bénéfice du 8 à 10 f r . 60 par 100 kilos et un bénéfice, total de 800 à 1.000 fr. par wagon. Les cultivateurs estiment avec raison qu'il n'est pas juste que ce soient les négociants étrangers qui prélèvent les bénéfices alors que ce sont eux qui ont tout le mal. Aussi plusieurs n'hésitent pas à vendre à un prix supérieur à la taxe lorsqu'il leur en est offert. — Il g a me direz-vous des sanctions. — Oui, Mais comment découvrir les délin- quanfs Il est si facile au négociant et au cultiva- teur de s'entendre pour dire qu'ils ont traité au taux de la taxe. Et ceux des cultivatè'urs qui ont été poursuivis l'ont été parce qu'ils ont avoué avoir vendu à un taux supérieur et qu'ils ont donc fait preuve de bonne foi. Les cultivateurs assez scrupuleux pour observer rigoureusement la taxe sont décou- ragés de voir que leurs voisins font des béné- fices plus forts qu'eux en se cantonnant dans l'illégalité. l>*oû, Ê' r i B u l f i t n«eoa««at«aiea« de« populmtionu rurul^a «a pré*«ac« d * i * aitoAtioa issférimmr* qui leur •Êi fmitm. Dans ces conditions, le Syndicat agricole de l'arrondissement de Quimperlé dans fin- térét d^ la population urbaint qui e^ mena- cée, pour les causes que nous venons d'indi- quer d'être privée de pommes de terre alors que la récolte a élé, cette année si abon- dante dans notre région, comme aussi dans l'intérêt de la population rurale découragée en constatant que son travail et sa peine ont eu pour unique résultat l'enrichissement des négociants étrangers <i noire déparlement, forme le vœu que, dans le plus bref délai, vous rapportiez purement et simplement votre arrété. Veuillez agréer. Monsieur le Préfet, l'as- surance de noire haute considération. Le Secrétaire du .Syndical. Xi, Z.AI>AIf P a g e Ô t v e t o n n e Killog ar Barrez JLn oh»B»on b r e t o a a » « a front. Notre ami Francis Gouruil qui a pria l'initiative de l'envoi de ciMnsons bretonnes au front, en est à son deuxième fascicule de 4Ç pages. La mai- son Le (loaziou l'a édité, avec son soin habituel. Cela n'cmiJÉche pas noire vaiUant barde dcs'eii- garjer, bien i/u'ea-empté, à l'ontarlicr, p. G. i , comme traducteur de langue bretonne dans les écrits des prisonniers de guerre. Mais cette mi- litarisation volontaire ne correspond, nous écrit il, à aucune abdication, au détriment des lettres bretonnes. Francis GourvU s'est mis d'ailleuis en règle avec la toi et désormais les personnes qui voudraient lui envoyer leur obole seront les bienvenues. Klllog ar barrez de Prosper Proux le barde de Gwerleskin, est remarquable par ses affabulations nouvelles, plutôt imitées des affa bulations françaises, écrit Francis GourvU, et latines, dirons-nous, que par le tour breton qu'il sut leur donner. Jannedig, Jannton ha Jannet Ter blac'hig mignon ha seder Oant, an dcmezi zo troet Da lavaraz meur a gomer. Pa garin me mo euu une Hak me zo Icillog er gur-ma, Mez choaz a renkan entreze Oant-ae on nec'hcl ar muia, Ma perag n'.igllan kemeret Janneilig, Janneton ha Jannet I bis Jannedig zo ken i^kan he zrotid 1 Ken ru, ken tlour he, zam begi< ! jAnnot ao ken lemm hd lagat I K<in tentus he diou muzeilig I Mez Jannton zo ken brao korvet He mouez ken karget a zousJei' Ken a drid va oll goazied Pa 'n cm gavan en he c'hever ; Ha perag n'hallan kemeret Jannedig, Jannton ha Jannet ! Red ez eo d'in krak dimezi Ha Jannet a vo ma frled. Mar c'hoanta Doue anezi ' Jannedig a vo an eilved, Mar 'il etn gavan intanv goude Abenn eum toullad bloaveziou Jannton a gemerin neuze Evit bihannat ma foanaiou. Vel-se, ma feiz, mo mo paket Jannedig, Janueton ha Jannet ! bis THAUUCTI1),\ XéS ooç n a rARoisam fd» Clocher) iinne<i,ik, {mMton et jMHMtle - TroU DIreoteup i liéon LE BCRRB RÉDACTION. ADMINISTRATION à ANNONCSS A QUIMPBIIlJ,4>laM n» • bit ràuitfaHONK, IM« Adretse TéUgrathiqtu . 'Union, QUlmperlè fillettes gracleukn xt gaies, -f.rpak mariage sont tournées (ttoublées').— i4 "W(/Ue dit plus d'ttiie commère — Quand je voudrai j'aurai l'une d'elle - Oar je suis le coq dans ce village — Mais choisir il me faut entre elles — Avec cela je suis profondément embêté Et pourquoi ne puis-je prendre — .Jeannedig, Jean- neton et Jeannette :> Jeannedik a le pied si léger! — Si rouge^ si caressant son morceau de petite bouche! Jeannette a Toeil si aiguisé (mdlicieu.\> — St' tentantes ses deux petites lèvres — Mais Jeaa- neton est si bien faite — Sa voix si pleine de douneur — Qu'en tressaillent toutes mes veines — Quand je me trouve devant elle; — Et pour- quoi ne puis-je prendre — Jeannedik, Jeanne- ton et Jeannette ! Il me faut me marier tout soudainement. Et Jeannette sera mon épouse. — Si Dieu y eut d'elle Jeannedig sera la seconde — Si je me trouve veuf après — Dans une trouât'(pochetée, bande, quantité indéternùnée) d'années — Jeanneton Je prendrai alors. - pour dimiriuer mes pei- nes - Ainsi ma foi j,aurai conquis — Jeanne- dik Jeanneton et Jeannette. * les abonnements se paient d'avanee', sauf conven- tions ils partent fitt i" ou du IS de chaqiu mois. On ^abonne qu iurea% du Journal. On peut s'abonner également, sans frais, dans tous les bureaux de poste, au encore en adressant un manda^oste au Directeur, ' mi. Léon LE BERRE, place Hervo; à QuimperU. ABONNEMENTS (UN AN) Quimperlé (ville) Finistère et dép*tements limi- . trophes Autres départements Coronies et étranger 5 - A l'occasion d'une mort récente A M. Léon Le Berre C'est toujours avec épouvante Que je vois naître les essais D'un métèque osé qui se vante Oe «'exprimer en veri français. Notre langue est coipme une eau claire Dont un rien ternit le cristal ^Et qui ne saurait se compUire Dans le Ut d'un torrent brntal. Il lui faut nos doux paysages. Notrs ciel bleu, nos horizons... Il lui faut, avec no* visages, L'écbo mèoie «te.«M mukons ; L'Ame d'une race éternelle Au cours des siècles révolas Lentement est passée en ellb Et ne s'en ira jamais plus. . Ses syllal^ à peine nées Et balbutiantes encor Chantèrent dans les Pyrénées Rolland mort | ÉI sonnant du cor. Le naïf Thibaut de Champagne. Villon — dont on i ^ t les exploits — A cette fidèle compagne Trouvèrent de nouveaux emplois Vint Ronsard ; puis avec Malherbe Brille l'Hôtel de Rambouillet : On arrache la mauvaise herbe Du beau jardin qu'elle souillait! L'œuvre peu à peu se dessine Et voici, da près se suivant, Pierre Corneille et Jean Racine, Grands coeurs que sert un art savant. Voici i'imptjccable Voltaire, Rousseau trop sauvent venimeux. Et tant d'autres dont je dais taire Les noms justement moins fameux. Enfin monte un chant pathétique : Celui de Lamartine... et c'est Toute l'école romanticiue Victor-Hugo, Vigny, Musset! O bons sciilpteuis de notre langue Vou.s qui l'avez patiimmcut Au sortir de sa rude g.iague Taillée ainsi qu'un diamant ^ Vous, mes délices et mes maîtres Se peut il que des insolents Niant vàs rythmes et vos mètres O.sent, de Iturs doigts indolents Ramassant les plumes tombées De vos ailes d'aiglls royaux, Offrir aux foules bouche-bées Le fruit de leurs jeux déloyaux? Je devine votre colère De voir qu'au pays du bon goût ' Non seulement on les tolère Mais on leur trouve du'ragoût! Et moi très humble jb machine, Avant que tout n'aille â vau-l'eau. De retailler à leur échine Les vieilles verges de Boileau I GUILLOTEAU ' m iQjUjit, i^g m m l/iiii|)Al Hur le rovenii» — G est fi p»r- lii-du l" jiiiivlur (|a'ejl-appltfiablo la loi do i'iii)|iôl sur le revenu. Nous croyons utile d'eu pr-'ciscr les pointa importarlts : Ghnquii corilribuAblo ii'eht ta.\é que pour la portion de son revenu ï'upéricure à ; 3.000 fr. s'il n'a personne à sa charge. 4 000 fr. s'il a une personne A sa charge. 5.000 fr. s'il est marié. \ tiOOO fr. s'il est marié et b'il a une personne à sa charge. 71100 fr. s'il est marié et s'il a deux personnes à sa charge, etc. 9. 50(t fr. s'il a siK personnes & sa charge, 11. 500 fr. s'il est marié et .Vil a si.t person- nes & sa charge. Le montant de l'impôt ainsi calculé est ma- joré pondant la durée de la guerre, do 25 0/1 pour tous les Français mobilisables et non mobilisés & quelque titre que ce soit. A l'exception toutefois : 1° des réformés à la suite de blessures reçues ou de maladie tiOntiaQlée (iaus le 9er\icc pon lont li^ dorée deiï hostilit<»s ; 2" des inilltaîpfg classés dans''les services au.xili!iires et non alTeotés pour les mêmes ca-/- ges S» des pèrps d« quatres enfants mineure. 4° des pères de fumille ayant un lll.s mo'ji- llsé dans le .«ervice des armées, disparu ou, lait prisonnier au cours d'une opéralion militaire, tué à l'ennemi, rl' céiJé ou réformé à la Suite de bies.sures de guerre ou de maladie con- Irtactée dans le service puidatit la duré? des hostilités. Les' contriiiuah'e.s pas-il)Ie-J de l'iinpi^t sont ternis de' .vouscrire une déchiritipa de leur revenu .-UTC ln'1icatit)!i ; l" ilen éli^ments qui le composent ; des diiUes pt perles qu'ils nrit déduites (le leur revenu global ; :i» de leurs chargtis de famill'', Fautrt lie f:<ire (îftlfi.liTcIarilion dans les deux premi.'r.«- mois.iie l'année, le'contribuable sera, taxé d'ofllcri. Le moulant .lu i'unpOt sera alors, pour lui majoré de 10 0/0 et, en eus <le contestation sur il ta.\atioii d'olli.ie, il dev(a supporter toutes jiistiricalioii-i de nature h faire la preuve du cliidre exact d», son revenu et supporle'a' les fraii de l'instiince, y couipri, C".'U."T ' d'e.xper- tise. L e t o u r d e s d é p a r t n a u x i i r n i e c s . — Les listes des départs aux années doiveirt ê!reét:iL)lies par ela.>-se du inobillsaiioîi dan-« cliaque grade. Les .olU'Miirsi des' «i«>-es l»3>i plus jf^U'ies .seroiU apptilôs à s^^rvip a u x a r . mées. Les |>cr;nisston.s pour^ cilntioii. — Deux jours >uppléiiicnlHii'*'S de pcriui^ssion pour citation si-ront Hccori'és, k l'dccHHiou de leur prcchaiiie permission .»« détente, aux riiilitalnis venaa; dô^ ann n > i .sus>j iptl-b es de retourner .-Tir le front, qui u ont pu bénér licier de ces deux jour» a cause de leur évacuation sur l'mlerieur, soit directement, soit après hospitalisatioa. L e s 2 0 j o u r s d e s R. t. — €•? «ait que des permissions de 20 jours y compris les 6 jours de l'une des perniisi^ions annuelles seront accordées aux R. T des classes et plus dnrirtiures appelées »vant la date noi- male de oonvoc.ilion de leur classe. Le ministre vient de fl.ter les dates suivantes comme dat^s d'appel : • Classe 1889 : 15 avril 1915 , Cla>se 18W !«'avril i9i5 ; Classe 1891 : 1-. mars 1915 ; Classe 189i : 1" décembre 1914. Celte fav^eur sera indépendante de celle déj\ accordée aux ngriculteurs, nu titre db leur profession. Ceux-ci bénéllcioront donc d'une deuxième permission de l-'i jours îi joindrè à une permission normale de 7 j ju»s. P o u r Ces perrui>s;ions, il n'est pas fixé de lOurcentHge. Les départs devront éire réglés de telle sorte que tous les bénéllciaires auront dû en jouir avant le 1" mai 1917. Les lioinmes qui n'ont pas droit h ces pei-r mis-ions n'auront doue pis à soud'rir de l'ai • sence pro;ongée de leur cinnirales :,ilri parti- ront pour 7 jours à leur ddte hormale. Le ré^iaie des perinissiuii.s. L'octroi (10.^ permissions doit être assimilé une aiilrc ailocalioa règlement,tire idenliquj pour les olîloi.'.rs et les luariuf . .Aucune privatioii do peruiissioa ne pourra èlro pioiioncée, sauf en c.is de faute d'une gr.iviie uxe(it!Oimelle. ou de punition urave (irréls de rigueur, prison elltclive) tu cours ( i ' rf.veculiun ; ii devra dans ce cas e.i être rendu compte au uiiiiislre. Le régime des permissions est réglé comme suit : «I Pour les marins embarqués ."-ur les côtes de Frniioe et |»jur ceuv ap(,iii( t'jnaut à 'in<ies services de la métropole ; vingt et un jours dp permiî^sion par an en une, deux ou trois fois suivant les neieftsilés du service. b) Pour des marins embarqués sur des bâti- ments géiiérateinent éloignes des côtes de France, ces envois en perinissiow auront lieu lors des périodes de réparations et de passages '*au bassin des bdlimenls tant en France qu'à Bizerte. La auree des permissions sera en fonc- tion du temps de séjour du bâtiment danr. lu port, sans éire infeiicuro a di.i jouraJ^i supé- rieure ùi vingt et un joiirs par an en une ou deux fois. crPour les marins embirqués sur les unités î pour lesquelles aucune p-jtiode d'immobilisa- i tion tiiiit eu France qu'a biz-erte n'est léguLè- reifient pr -vu-, et pour lea marins ileS base? : j Dix 'a vingt et nn jours de permission par . au suivant les pos-ilulités du bervice en une J seule l'ois. } Les vides créés à bord des petiles unités par J itiS départs en penni.-.siou devtont être com- blés iijoineijlaiièaieiit par des prélèvements temporaires sur k-s giosses iii.ités, a bord desquelle.-, hors de . Fiancn et de Uizerte, au- cune fraciioii no se trouvera en permission. d. Pour le.-i marins embarques ou eu service en Algeiie, Tuiii-ie, Cor.-.e, Maroc et pour ceux de la meiropole a envoyer en permis&ion dans ces mêmes régions, aiuM qu'en Uraudc-Ureta- gne et au Portugal ; Dix à vingt et un jo irs par au, suivant les possibilités du !>ervico, raison u'uiie permis- sion ou deux au maxiniuiii par an. i D'dne manière générale, pour toole-s'los p !r- ; missions les lutille» llxées iw comprennent pas la durée du voyage aller et retour. I La gratuilé du voyage en chemin de fer et, ; le cas échéant, en paquebot,„i-era accordée a* tous l09 marin ? pour un nombre de voyages ^r a-i plus égal à celui des permissions annuelles susceptibles djétre accordées a etu- . ciine des caté^'ori.'s de per.«onneJ. l»our les voyaf-res fi IV-transer, la gratuité est accordée jusqu'à la gare frontière oi jusqu'au port de debarquenvint. Les dispositions de la présente rircuhiirf .«ont applicatdes au per?onnel des corp.s militures (ma.nns desdireDlions de ports, gendarmerie marilime. etc.) é-ium'irés dans larlicle 2 du docret du 17 juillet 1908. Lf's états-majors ot équipages d^o navires de commerce réquisitionnés ou an'rèL-'s par la marine d-puis plus d'un an bénélicieront au- tant que possible des di.-positlons de U ci.-cii laire ci dei-sus en ce qui concerne les permis- SJOOS, Scieries. — L^s dimclpiirs et patrons des scieries appartpriant au service auxiliaire ou à 1 arm-e lerritfJTiil^ ou dans des cas exceptioa ncis, aux dass-f-s les plus anciennes de la ré- serve de r.-irniée .ictive, p-uvent otre détrichés Vans spécification d'aucune s^rte, quant à l'importance des établissements èn cause. Ces détarli.iinenls sont prononcés par le minishv, .•iprès ex-tmend-', eriique cas en particulier, lnrç(|(j ii a reconnu que le retour en ii-ioe de-' i'U>r<,ssés ne présenle aucun inconvénient grave p'^ir le.servict: et que leur présence ^ la lèle de leur scierie répond a une réelle néossité. ' C-s mèines lê^'les sont appliquées aux mar- ch inds de bois titulaires de m irchés avec le gérjie. r o i i n a l i t é s np|pès décl^s aux ar- mées. — Q!ia?d un décès survient à l'ar- mée. l ofllcier faisant fonctiott d'officier d'état- c'vii adresse : 1° Au Bureau des renseigne- mrinls aux Familles, Ecole Supérieure de Guerr.', Avenue de la Motte Piquet, à Paris, un de d/^^cès indiquant la date, la compo.silion d la ^uccessi.m et le lieu o'iohumation ; i* Au liorea i archives, Ministere dd la Guerre A Pa'is (i-ie «xpédition de l'acte d« décès ; T Au B'.reaii des successions militaires, i. rue Lacelelle, à Paris, les objets formant la su3- c sï-ion. Les fî^mi'les des militaires décédés nui n'auraient pas reçu dans leii 2 ou 3 mois l'avis .le déïès. l'acte de décès ou les objets fomnant la succession, peuvent écrire au "bu- reau s'occupant des actes ou objets qu'ils dé- sirent. Avant de !e faire, il vaut mieux dt- inander a la mairie de l'-up domicile .-i on n'y a rien reçu. Les envois étant fais souvc il par le dépôt du corps, les f-dinilies pourraient ^-j^a- lenierit s'.i.iresser a ce dépôt. Alleetatiuiis. — Les hommes de l'infan- terie, provetiiiil du train des équipages, ne peuvent être replaces dans leur arme d'oi i- gine que s'ils apparlieoueat h l'armée active ou a .sa réserve. Le inorat4iiie cl le.s hom«iies déia- cUesî Hii.\ - La cinquième cham- bre du tiibunal de la Seine a rendu un .iogeiiii i.l tfoM il lésuile quo les dispositions de ra.-liciu i de l.t loi du 5 août 191-i sur le luoratoi.e, <jui ne concerncnt'que « les citoyens pie.-^enls soos les drapeaux « ne sont pas applic-iblcb a ceux qui sont détàchés dans les l'riii'f, leur position luildaire légale étant celte d'hoiniiie.s en suivis d'ap;iei. L'- lriL>iin:ii n-j. té, en etlet, l'exception de inobiiis.'lloii .iu'u|..p(.>.,;.U Mt, c..^, alîicté com- me lont'ôleur de uiateiiel de gutne à l'usiue de sou frère, à l'action eu p.iyeiiient de loyers échus, que lui intentait son propriétaire. C'uueoiir.s d*ud uîssio:i ft Técole iiîivale.— Le concours dal:nis^iou à l'ec.o- le n ivale aura lieu, en 1917, à partir du i avril au lieu du 15 juin. Les ejnvuvr's oralf'S com- menceront lia -.s la secon-le quinz-iine d'avril dès (|ue la lisH o a'.imi-is.iljilil.é aura été ar- roîùe.' L'entrée à I K.-ole navtle s'e!l"cctuera aux environs du 1»' .[uin. Les candidats devront s ; f;iire inscrire du i " au février au lieu du i" au avril. Les cin'li lats aii;)ir;ei.int à 11 cUss-d 191S seront autorises a s'engager .tans les é(iuipa- ges dé la Hotte à une date qui r^era fixée utté- rie.:reaient, au nioni jnl >era décidée la date d'incorporalio'i celle classe, Uu avis insé.'é a'j"y.Junw/ Oljkicl, fora connaître cette date en temps utile. La solde des inscrits ninritimcs. — t.e fait <|ne roiigageinml ail été refusé à un inscrit inariiime n'i-si |.as île nature k lui enlever le diolt au bénollc.e de la loi du Ï9 mars 1916. L intéressé a il roi t a la s o d e ()u'il po.-sédait à re.Npiraiioii de son service actif dans la 11 »l.te. si cette solde est pbis avanta- geuse que celle de ton grade dans l'armée de terre. Les enpîiiiiiir'snii loii^-cour.s nom- més enseitfites d<î v a i s s e a u . — L e s premi.-irs maîtres des spécialités indiquées à l'ariicie 41 d • la loi du lu juin 189() sont nom- mes .tu grade d'eni-eigne de vaisseau de cia.-se. s'ils sonl liiiiiaites de It-iir grade à titre dellnitil' ; lorsqo ils n'en sonl pourvus qu'a titre temporaire, ils sont nommés au grade d'enseigni: de \aisseau de 2» classe. Kn'ootre, dans toutes les spécialités pour lesquelles il existe en activité des olflciers des é(inipages de la llolle, les premiers maîtres liiulaires de leur grade k titre déllnitif peu- vent, après radiation du cadre d'activité, être almis au grade d'oHlcier de V classe des eq'iipayes do la flotte de réserve. « ,

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  • ique a Rgionaliste de l'Ouest Paraissant les JMVDI et D l i i N C B B *

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    A n n o n o M i R o l a m e '

    k n n o n o Jadtolalres (la l igne] . . . 8 0 o . Anonofls voIontftlrQs.. . 2 8 o . Ro l tUs BO 0 .

    Prisonniers de G urr6 Runion du Bureau du s Janvier 19.17

    ' Adoj>tion de Louis Le Daillon, de Querricn prisonnier D a r m a t a d t . OntHouscril: Anonyme de Quimperl 2 f r . ; M. Hasoot directeur de l'cote de Molan, par ooltecle scolaire 6 fr . 50; Mme Durand, du Trvoux dont le mar i est secouru par le Comit, eu reconnaissance de 1 rgulari t veo laquelle, il reoit ses colis, r eme t 5 f rancs , pa r l ' intermdiaire de Mme Rivire ; M, Jolai. inst i tuteur Nvez fait re-m e t t r e la subvent ion de la c o m m u n e soit 890 f rancs , ainsi que 1H moat-int du t ron^jdes co-liers en Xbre o a 4 0 f r . 10. Parviennent gale-m e n t les dons de M Marrec ad jo in t au Maire, S5 f r . et ceiix de Mme Vve Berthou, au bourg 5 f r . Qui Jamais l ' immense chari t do Nvez, la ' p remire des communes su r ce point ? La ligue f ranco-aus t ra l ienne de Sy-dney r eme t pa r l ' intermdiaire de M le Pr-fet 10 chaussons 10 caleons 6 flanelles 10 ehandaik) 7 paires de chausset tes 5 mouchoirs .

    U Biiraau du^Syndicat Agricole de

    ramndissemMt de Quimperl,

    Moiisieiir la Prifst du Finistre.

    Quimperl, le 27 Dcembre 1916 Monsieur le Prfet,

    Voil plu d'un moi dj que voire arrl relatif la taxation du prix de pommes de terre ei en vigueur. Votre plu grand aouei oU tre videmment de chercher POU* rendre compte de rtullals produit parvette meture. Peronne n'est plus qualifi qule groupements agricoles pour juger detkffet de votre arrt et pour vous dire

    le- M-qnei- voue- Ma"- proposhT a l atteint.

    Aussi permettrez-vous au bureau du syn-dicat de l'arrondissement de Quimperl de venir vous faire part de ses impressions et de se obervation.

    Il epre que vou le prendrez en const-dratiqn, non seulement comme venant de personne qui sont disposes collabo''er avec voua dans la mesure de leurs moyens pouf le bien de la rgion que vous tes charg d'administrer, mais aussi comme venant de reprsentants d'un groupe impor-tant, bien plac au milieu des populations de no campagne pour recueillir ses dolan-ces et les apprcier sainement.

    Vos intention ont t, nous en sommes persuad, droites et claires.

    Votre but tait d'empcher que la pomme de lern, aliment si apprci des riches comme des pauvres n'atteigne des prix exa-grs et ne soit plus ainsi la porte des bourse modestes, tout en permettant nos cultivateurs d'en tirer un prix rmunrateur.

    Ce but a-t-il t atteint ? N^n. Voici ce qui se passe dans nos campagnes : Ds que votre arrl a l connu, les ngo-

    ciant trangers notre rgion, sachant que l'on pouvait se procurer ici des pommes de terre un prix extrmement faible com-parativement celui d'autres pays, ont afflu. Il ont parcouru nos campagnes,

    . faisant, la rafjle partout, n'hsitant pas, lorsqu'il ne pouvt^erit obtenir ces tubercules au prix de la taxe, les payer un prix suprieur, assurs d'en tirer toujours un bnfice, allant parfois jusqu' 51} 0/0. Les cultivateurs vendant ainsi leurs pommes de terre domicile ont cess d'approvisionner le marchs.

    Quel en est le rsultat? La population urbaine de notre pays ne peut, dans ces condUions s'approvisionner que trs difficile-ment et est la plupart du temps oblige d'aller ta ferme, trs heureux encore si elle ne s'en retourne pa les mains vides, les cultivateur prfrant videmment vendre leur tock de pomme de terre en bloc que len vendre au dtail un prix moindre que celui qui leur e^ offert par le marchands en gros.

    J P M O , i*' rmltmt t dJfealt pour 2 pmpmlmiiom a r f t a i a * d c ' a j i j i x o r i -

    Le cultivateur sont videmment fautif, du moin lgalement, de vendre leur pom-me de terre un taux suprieur celui de la taxe, et, par suite, passibles de sanctions ffnale.

    Mai, a f u i i i , peut-on leur donner tortr

    II connaiisent les cours des pommes de terre dan le uulre pays, soit par la lec-ture de Journaux, oit par les permission-naire en garnlon dan les grandes villes ou dan ta zone de arme.

    Ilavent que, dan la Seine-Infrieuu, par xemple, le cour de pomme de terre taacitH

    Jeannedik a le pied si lger! Si rouge^ si caressant son morceau de petite bouche! Jeannette a Toeil si aiguis (mdlicieu.\> St' tentantes ses deux petites lvres Mais Jeaa-neton est si bien faite Sa voix si pleine de douneur Qu'en tressaillent toutes mes veines Quand je me trouve devant elle; Et pour-quoi ne puis-je prendre Jeannedik, Jeanne-ton et Jeannette !

    Il me faut me marier tout soudainement. Et Jeannette sera mon pouse. Si Dieu y eut d'elle Jeannedig sera la seconde Si je me trouve veuf aprs Dans une trout'(pochete, bande, quanti t indternne) d'annes Jeanneton Je prendrai alors. - pour dimiriuer mes pei-nes - Ainsi ma foi j,aurai conquis Jeanne-dik Jeanneton et Jeannette.

    * les abonnements se paient d'avanee', sauf conven-tions ils partent fitt i" ou du IS de chaqiu mois.

    On ^abonne qu iurea% du Journal. On peut s'abonner galement, sans frais, dans tous les bureaux de poste, au encore en adressant un manda^oste au Directeur,

    ' mi. Lon LE BERRE, place Hervo; QuimperU.

    A B O N N E M E N T S (UN AN) Quimperl (ville) Finistre et d p * t e m e n t s limi-. t rophes Autres dpar tements Coronies et t r anger

    5 -

    A l'occasion d'une mort rcente

    A M. Lon Le Berre C'est toujours avec pouvante Que je vois natre les essais D'un mtque os qui se vante Oe 'exprimer en veri franais. Notre langue est coipme une eau claire Dont un rien ternit le cristal

    ^Et qui ne saurait se compUire Dans le Ut d'un torrent brntal. Il lui faut nos doux paysages. Notrs ciel bleu, nos horizons.. . Il lui faut, avec no* visages, L'cbo moie te.M mukons ; L'Ame d'une race ternelle Au cours des sicles rvolas Lentement est passe en ellb Et ne s'en ira jamais plus. . Ses s y l l a l ^ peine nes Et balbutiantes encor Chantrent dans les Pyrnes Rolland mort |I sonnant du cor. Le naf Thibaut de Champagne. Villon dont on i ^ t les exploits A cette fidle compagne Trouvrent de nouveaux emplois

    Vint Ronsard ; puis avec Malherbe Brille l'Htel de Rambouillet : On arrache la mauvaise herbe Du beau jardin qu'elle souillait! L'uvre peu peu se dessine Et voici, da prs se suivant, Pierre Corneille et Jean Racine, Grands coeurs que sert un art savant. Voici i'imptjccable Voltaire, Rousseau trop sauvent venimeux. Et tant d'autres dont je dais taire Les noms justement moins fameux. Enfin monte un chant pathtique : Celui de Lamartine.. . et c'est Toute l'cole romanticiue Victor-Hugo, Vigny, Musset! O bons sciilpteuis de notre langue Vou.s qui l'avez patiimmcut Au sortir de sa rude g.iague Taille ainsi qu'un diamant ^ Vous, mes dlices et mes matres Se peut il que des insolents Niant vs rythmes et vos mtres O.sent, de Iturs doigts indolents Ramassant les plumes tombes De vos ailes d'aiglls royaux, Offrir aux foules bouche-bes Le fruit de leurs jeux dloyaux? Je devine votre colre De voir qu'au pays du bon got ' Non seulement on les tolre Mais on leur trouve du'ragot! Et moi trs humble jb machine, Avant que tout n'aille vau-l'eau. De retailler leur chine Les vieilles verges de Boileau I

    GUILLOTEAU '

    m iQjUjit, i^g m m l / i i i i | ) A l H u r l e r o v e n i i G est fi pr-

    lii-du l " jiiiivlur ( |a 'e j l -appl t f iablo la loi do i'iii)|il su r le revenu. Nous croyons utile d'eu pr-'ciscr les pointa importarlts :

    Ghnquii corilribuAblo ii'eht ta.\ que pour la portion de son revenu 'upricure ;

    3.000 fr. s'il n'a personne sa charge. 4 000 fr . s'il a une personne A sa charge. 5.000 fr . s'il est mari. \ tiOOO fr . s'il est mari et b'il a une personne

    sa charge. 71100 fr . s'il est mari et s'il a deux personnes

    sa charge, etc. 9. 50(t fr . s'il a siK personnes & sa charge, 11. 500 fr . s'il est mari et .Vil a si.t person-

    nes & sa charge. Le montan t de l ' impt ainsi calcul est ma-

    jo r pondant la dure de la guer re , do 25 0 /1 pour tous les Franais mobilisables et non mobiliss & quelque ti tre que ce soit.

    A l'exception toutefois : 1 des r fo rms la suite de blessures reues ou de maladie tiOntiaQle (iaus le 9er\ icc pon lont li dore

    dei hostilit-es l3>i plus jf^U'ies .seroiU apptils s^^rvip aux a r . mes.

    L e s | > c r ; n i s s t o n . s p o u r ^ c i l n t i o i i . Deux j o u r s >uppliiicnlHii'*'S de pcriui^ssion pour citation si-ront Hccori's, k l'dccHHiou de leur prcchaiiie permission . dtente, aux riiilitalnis venaa ; d^ a n n n > i .sus>j iptl-b es de re tourner .-Tir le f ront , qui u ont pu bnr licier de ces deux jour a cause de leur vacuation su r l 'mlerieur , soit di rectement , soit aprs hospitalisatioa.

    L e s 2 0 j o u r s d e s R . t . ? ait que des permissions de 20 j o u r s y compris les 6 j o u r s de l 'une des perniisi^ions annuel les seront accordes aux R. T des classes et plus dnrirtiures appeles vant la date no i -male de oonvoc.ilion de leur classe.

    Le ministre vient de fl.ter les dates suivantes comme dat^s d'appel : Classe 1889 : 15 avril 1915 ,

    Cla>se 18W ! 'avr i l i9i5 ; Classe 1891 : 1-. mar s 1915 ; Classe 189i : 1" dcembre 1914. Celte fav^eur sera indpendante de celle d j \

    accorde aux ngriculteurs, nu ti tre db leur profession. Ceux-ci bnllcioront donc d 'une deuxime permission de l-'i j ou r s i jo indr une permission normale de 7 j jus.

    P o u r Ces perrui>s;ions, il n'est pas fix de lOurcentHge. Les dpar ts devront ire rgls de telle sorte que tous les bnllciaires auront d en joui r avant le 1" mai 1917.

    Les lioinmes qui n'ont pas droit h ces pei-r mis-ions n 'auront doue p i s soud'rir de l'ai sence pro;onge de leur c i n n i r a l e s :,ilri parti-ront pour 7 j o u r s leur ddte hormale .

    L e r ^ i a i e d e s p e r i n i s s i u i i . s . L'octroi (10. permissions doit tre assimil une aiilrc ailocalioa rglement,tire i den l iqu j pour les olloi.'.rs et les luariuf .

    .Aucune privatioii do peruiissioa ne pour ra lro pioiionce, sauf en c.is de faute d 'une gr.iviie uxe(it!Oimelle. ou de punition urave ( i r r ls de r igueur, prison elltclive) t u cours (i'rf.veculiun ; ii devra dans ce cas e.i tre rendu compte au uiiiiislre.

    Le rgime des permissions est rgl c o m m e suit :

    I P o u r les mar ins embarqus ."-ur les ctes de Frniioe et |jur ceuv ap(,iii( t ' jnaut ' inervico, raison u'uiie permis-sion ou deux au maxiniuiii par an.

    i D'dne manire gnrale, pour toole-s'los p !r-; missions les lutille llxes iw comprennent pas

    la dure du voyage aller et re tour . I La gra tui l du voyage en chemin de fer et, ; le cas chant, en paquebot,i-era accorde a*

    tous l09 mar in ? pour un nombre de voyages

    ^ r a-i plus gal celui des permissions annuelles susceptibles djtre accordes a e t u -

    . ciine des cat^'ori.'s de per.onneJ. lour les voyaf-res fi IV-transer, la gratui t est

    accorde jusqu ' la ga re frontire o i j u s q u ' a u port de debarquenvint .

    Les dispositions de la prsente rircuhiirf .ont applicatdes a u per?onnel des corp.s mi l i tu res (ma.nns desdireDlions de ports, gendarmer ie mari l ime. etc.) -ium'irs dans lar l ic le 2 du docret du 17 ju i l le t 1908.

    Lf's t a t s -ma jo r s ot quipages d^o navires de commerce rquisitionns ou an'rL-'s par la mar ine d -pu is plus d'un an bnlicieront au-tant que possible des di.-positlons de U ci.-cii laire ci dei-sus en ce qui concerne les permis-SJOOS,

    S c i e r i e s . L^s dimclpiirs et pa t rons des scieries appartpriant au service auxiliaire ou 1 a r m - e lerritfJTiil^ ou dans des cas exceptioa ncis, aux dass-f-s les plus anciennes de la r-serve de r.-irnie .ictive, p-uvent otre dtrichs Vans spcification d 'aucune s^rte, quant l ' importance des tabl issements n cause. Ces dtarli.iinenls sont prononcs par le min ishv , .iprs ex-tmend-', eri ique cas en particulier, lnr(|(j ii a reconnu que le re tour en ii-ioe de-' i'U>r

  • . D 'autre par t , un arrt fixe les conditions de Texamen de capacit technique auquel les pre-miers ma t res manoeuvriers, t imoniers, oa-nonoiers , fusillera, ieotrioieag, torpil leurs, doivent sat isfaire pour tre n o m m s au g rade d 'enseigne de vaisseau de classe ou d'en* sei(?ne de vaisseau de 2* classe de rserve.

    U dcret du 10 dcembre 191C autorise la dlivrance du brevet de capitaine au long-cours sans nouvel examen, mais s u r propos sition motive, aux l ieutenants au long-cours dt 'clars admissibles & la suite des preuves crites de l 'examen d'application de capitine ,au long-cours, et dont le certificat d 'admis-sibilit n'est pas prim, ou ne l'a t qu ' rai-son de la mobilisation.

    Le dcre t laisse au minisire de la mar ine le soin de d terminer quelles sont les autor i ts G

  • Om l i

    Brume et Solil, Le Journal du Village. Et pour le mieux connlro, pour le suivre dans le vif de son me, lions sa Prire du Pole.

    Il est mor t en Breton et en Chretlen dans le Ty-?lous, la cbaumlre qu'il s'tait fait cons-truire en son paro de Kergoadig ; son cercueil a t fait par ^ on dvou Quilfen du bois d 'un de ses chtaigniers ; sur sa tombe, son fidle et intime Lon Le Berre, Abalor, lui a adress ses dernires paroles en langue bretonne ; de toutes par ts .-onl venues des condolances, des lettres de sympathie et de regrets ; et nous nous Joignons tous sco amis et admira teurs pour lui adresser aussi l 'hommage de notre bretonne afrection.-

    Le Prsident, Chanoine ABGRALL.

    S d r a i r mmmia, Une messe do Requiem sera clbre le dimanche ' janvier 9 h . du matin, la cathdrale Saint-Coren-tin, IK mmoire des militaires et mar ins tombs pour le pays e tdes victimes du Suffren du Gaulois et de l'aviation.

    Monseigneur Duparc prononcera une allo-cution et donnera l 'absoute.

    Des places seront rserves, comme les annes prcdentes, aux autorits civilps et militaires, ainsi qu'aux membres des socil.'s patriotiques porieurs de leurs insignes ou de la prsente iiivitaliun.

    Itgiom d'koMUfur M. Camille do Malherbe, de Quimper, quai do l'Oiiel, sous-lieutenant au H8* 'Vinfanterio. a l- e t c .

    G a l n g a m p T l i . J l i f t o t . i(jQurrwl de Pontivy).

    T b . Ribot, professeur au collg de France, fondateur de la Revue Philosophique, membre de l'Acadmie des Sciences morales et, politi-ques, est dcd Paris l'ge de 77 ans. il tait n Oulngamp et avait fuit ses tudes au lyce de Saint^Brieuc. Il entra d 'abord dans i # r e g i s t r e m e n t , puis dv 23 ans il fu t reu l'Ecole Normale suprieure. Il exera comme professeur de pbilosophie aux lyces de Vesoul et de Laval. En 1872 il prit un cong qui dura 13 ans et qui fu t particulirement fcond : il publia en eifei pendant cette priode de nombreux t ravaux d 'ordre philosophique et psychologique. En 1885, 11 fu t charg d 'un cours de psychologie exprimentale la Sorbonne. En 1888 une chaire tait cre pour lui au Collge de France. Il prit sa retraite en 1901. On a dit qu'il tait un matre incom* p u n b l e , plein d'rudition, de clart, d 'aperus p o a t i w i s qu'il fwna l t eo pa iMnt . Paadap t

    se.s annes d'enseignement et aussi depuis, il n'a ces!> qu'on uu rcvioiiora. u sont nos amis? Sagory, JafTrennou, Pierre Laurent La grande lempte a toul dispeiv. Quelquefois un ^^ retrouve dan un luurbilloii, puis de nouveau i'ou est rou l . . . beaucoup djlt sont relourna la terre, combien retourneront au foyer! il y a doux jours , j e causais de Quim-per et do Quimperle avec un oftlcfer, Kern-votfl d'origine, rencontr au luisar J d 'un ser-v ice . . . Je no sais plus son nom ; noils avons caus une heure, voqu l'iao.e et l'Ell, et nous sommes repartis, chacun de notre r 6 t . . . C'est la guerre!

    I j u l m p e r l . i fa rcA du 5 janvier 1917. T a u r e a u x , le ki lo . , 0.80 UOO ; b u f s

    t>oucherie, l .OOi .05 v a c h e s de b o u c h e -n t ti.8 ) a 0.00 ; vacbelB l a i t i r e 150 530 j fn i sses , 150 550; c h e v a u x , a d u l t e s c h e r p o r c s . 2*30 a 2.25 le ki l . ; m o u t o n s , 0.00 h. 0.00 : v e a u x , le ki lo . 1.60, e t 1.70 : f r o m e n t , T a x a t i o n ; s e ig l e , 33. 00. ; o r g e , 34.') 00. , s a r r a s i n , 40.00 h 40.00 ; v o i r e , 28.00 29.0 : p o m m e s de t e r r e s a u c i s s e s les 100 kil, Ta ' xa t i on ; p o m -m e s de t e r r e b l a n c h e s T a x a t i o n les 100 k .

    e u r r e la l iv re , d o u x e t s a l , T a x a t i o n ; u f s l a - l o u / . ; 2.50 0.03 ; fo in , les 500 If. 70 00 80.00 Vieux fo i a pa i l le , les .">011 ki l . , 40.)0 il 45. j s- .n es t(Xi 'il.. T a -xa t i on ; f a r i n e , 1 " qns i i t ' - Ta.xation P o u l e t s d e g r a i n s O.OC 0 .00 ; v i e u x p o u l e t s D. 8 fr.O la c o u p l e ; c a n a r d s , ia c o u p l e 5.5 ) 0. la ba r -r i q u e d e c i d i " , 80 lOT p u r j u s ; C id re o r d i n a i r e 5 0 60.00 ;

    I i i f o r n i a t l o n s A n a n c i r e . 3 O/o : ; 3 1/2 a i n o r t l ib : 90 ; 5 0/0 : W), 40.

    C h e m i n s f r a n a i s : Midi : 915 ; O r l a n s : 1100.

    Obl iga t ions : C a m m u n a l e s 1912 : 196. F o n c i r e s 1879 : 460.

    Une judicieuse propagandd Chacun se rend compte que uour se faire

    bnvolement l'apCtre d 'une ide, il faut tre profondment pntr de la supriorit de cette ide. Do mme, pour recommander spontan- ' ment des parents, & des amis dont ia sant vous inquite, un produit dont on fait soi-mme usage, il faut que l'on ait reconnu ce produit une supriorit marque, 'que l'on soit absolument convaincu de son efQcacIt.

    Lorsque, nous crit .M. A. Chable, institu-teur . Chaedouit, par Putanges (Orne), un mdicamment produit des rsultats aussi pro-bants que ceux obtenus avec les Pilules Pink, rsultats que j 'ai personnellement enregistrs dans mon entourage, il est du devoir de ceux qui le constatent de le reconnatre hautement afin d'en gnraliser l'emploi. En vous adres-sant cette lettre, non seulement Je vous expri-me ma satisfaction personnelle, mais j e suis en outre l 'interprte de plusieurs amis et pa-rents qui ont t guris par les Pilules Pink, dont je- l e u r avais conseill l'emploi. Tous s'en sont fort bien trouvs : ed peu de temps ils virent disparatre les troubles qui. alfec* taient leur sant, leur apptit revint et, avec lui leur forces et leur activit.

    Il est de fait que le tout n'est pas de prendre des mdicaments. Il est ildispensable si l'on veut se rtablir rapidement et compltement de choisir le remde dont les vertus on t fait leurs preuve. A ce point de vue, il n'est pas tmraire do prtendre que les Pilules Pink sont par excellenc(i le stiiiiulant et le recons-t i tuant du sang et des nerfs. Leur action est certaine, prompte et durable; et elles donnent d'excellents rsultats dane toutes les maladies ayant pour origine la pauvret du sang ou ratlaiblis^ement du t-yslmo nerveux : un-mie, chlorose des jeunes lilles, maladies nerveuses, migraines, neurabtr.nie, maux d'estomac, rhumat isme.

    Les Pilules Pink .ont en vente dans toutes les pharmacies et au dpt : Pharmacie Cablin, 23, ruo Ballu, P.tris ; 3 f r . M la bollo, 17 fr . 50 les six boites, franco.

    a V I S A U P U B L i G Chambre ^Syndicale Franaise

    de la Photographie et de m applications Depuis quelque temps, le public est sollicit

    par certains courtiers en photographie qui lui oITrent des agrandissements photographiques des prix drisoires.

    Nombre de fois, ces courtiers disparoissent sans retour, emportant , avec i'accompte vers la photographie qui leur .a t conlle, sous le couvert de fallacieuses promesses, causant ainsi une douleur nouvelle aux familles dj si prouves par la guerre .

    Il faut que le public soit bien convaincu que personne no peut travailler pour rien et (|uc le travail offert vil prix n'a aucune valeur ;qu seul le photographe tabli et fonnu , et dont In situation et le pass sont une garantie peut lui donner un travail srieux.

    LE BUHEAUDI.LACHAMBRFSYNDICALE

    V i c t o r IIOIVOR, Photographe-Portrai-tiste, diplovi Grand premier prix et M-daille d'or, Rome 1911 i^uimpmrl.

    Monsieur Le Coff X ^ f t amM, d e t o u t e s o r t e . S ' a d r e s s e r M. uil lou Nouve l le p l a c e a u x c h e v a u x . - M A C H I N E A T R I C O T E R -

    J U t i l ^ f M ^ / M f * T a i e

    JE 8UERI8 U HERNIE

    N o u r e U * M i t h e d a d a Qh. GOTJRTOIS P r o f M s m n a n i a i r e Parla

    a i a . i t u * a m m P y r n M . Pour obtenir la gurison certaine d e l Her-

    nis il faut porter un bandage qui la contienne. Le 8ul appareil qui ait pu obtenir ce rsultat est celui du professeur COURTOIS. K peut se porter nuit et Jour et de ce fait obtienir l'occlu.sion con.tante de l 'anneau herniaire. AU.MSI, fonscient de la valeur de son appnr'^il, le Professeur OOURTOI8 garant i t ia 01 on par cri t . Nous engngeons donc tontes les pKr.-^onne.' atteintes [lernies, Ed'orts. descentes, aller le consulter de 9 h. h. : P O N T - A V E r , Mardi HoUl Julia. C O N C A R r a E M U , Merciedi 17 janvier, Hottl d Franet. P O N T - L ' A B s e , Jeudi 18 Janvier, Botifdct Voytgfwt. QUI PCRLE, Vendredi 19 Janvier,UoMd*Commeret. QUI IVIPER, Somt^i u jAnver, Htel d l'fe CEINTURES VENTRIERES ANATOMIQDES

    P O U R RRIN INQBIUI DESCKNTK d MATRICK. tVBNTRA-nOW

    ASSISTANCE JUOI&IMRE Dcision du 18 iivrll 1916

    E l u d e d e M' PM.on a v o u a u T r i b u n a l de p r e m i r e i n s t a n c e d e Q u i m p e r l , d e m e u r a n t Q u i m p e r i

    r u e d e O u i m p e r N 12

    ON DEMANDE Un Ouvrier Typographe

    l'imprimeriB da t'UNION A'.Ri OLE

    On demande a mppxenti Wl Fournis, '^^ou,[demande nu

    Peut-on se GURIR ' ci

    lEENIES

    CHUTES DE MATRICES. REINS FLOTTANTS

    DPLACEMENT des ORGANES

    D'un J u p e m e n l r e n d u p a r d f a u t e n t r e M. (Franois Louis Marie Lo-c h o u a r n , c o u v r e u r , d o m i c i l i Qui l l ien, c o m m u n e de Giohars-Car-n o t , a c t u e l f e m e n t m o b i l i s au (S* Gnie Cie 11/51, d e m a n d e u r e t d a m e Mar ie P i c a r t p o u s e d u d i t s i e u r L o c h o u a r n , m n a g r e d o m i c i l i e a u l ieu d e Quil l ien p r c i t , d f e n d e -r e s s e . p a r le T r i b u n a l civil de p r e -m i r e i n s t a n c e de Q u i m p e r ' le 11 o c t o b r e 1916, e n r e g i s t r le 20 d u m m e m o i s et s ign i f i la d i t e d a m e Marie P i ca r t o a r e.xploit d e

    ' I t o u a l s u p p l a n t M T a m i o h u i s s i e r Q u i m p e r l , ft ce c o m m i s , en d a t e d u 3 0 X b r e 1916, il a t e x t r a i t c e q u i s u i t :

    Le T r i b u n a l d o n n e d f a u t c o n t r e la f .>mme . L o c h o u a r n q u i n^a p a s c o n s t i t u a v o u b ien q u e r g u l i r e -m e n t a s s i g n e . P r o n o n c e le d i v o r c e e n t r e L o c h o u a r n F r a n o i s Lou i s Ma-r i e e t P i c a r i Mar ie Anne , s a f e m m e a u p r o f i l d u m r i e t au.t t o r t s de ia f e m m e , avec les c o n s q u e n c e s d e d ro iL Dit q u e le p r s e n t j u g e m e n t s e r a t r a n s c r i t C o m m e t Roua t s u p p l a n t M T a m i c h u i s s i e r & Q u i m p e r l p o u r no t i f i e r le p r s e n t j u g e m e n t la d f e n d e r e s s e d fa i l -l an t e . C o n d a m n e la f e m m e L o c h o u -a r n a u x d p e n s .

    P o u r Ex t r a i t P. p i t o n .

    La p r s e n t e i n s e r t i o n est fa i te en v e r t u d ' u n e o r d o n n a n c e d e M. le p r s i d e n t d u s u s d i t T r i b u n a l d e Q u i m p e r l en d a t e d u 3 J a n v i e r 1917 e n r e g i s t r e .

    AI A I I A I * p o u r c a u s e d e fln d e bai l l O U V P p o u r 1* 29 pfsahrm proehnin u n e p r o p r i t s i t u e Cr-a n g o i r en Q u e r r i e n , c o n t e n a n t e n v i r o n 15 h e c l a r e s . P o u r t o u s y e n s e i g n e m e n t u , crire M. Jaouen 37 boulevard Chauvelot, Paris, XV.

    Mme POULOALLEO, n* 10, rue des Ecoles, perdu une montre en argent aveo chslne.

    Rapporter au journa l . DCIIDIPUCP gurit : pMes variqueu. nLLIQILUOL ses et hmorrodes. Mai-son Bu rot, h. Nantes.

    A ' ' u r p l a c e " p a t l l e d * a -w i l i u i c v o l n e , b o t t o r a v o ^ e t

    >ls c h n e e t s a p l i i n . S ' d r e s ^ r M. Ke rb i r i ou K e r v a v o a en R d n .

    A I o n A n ^ ^ B ^ p t m b r l o u e r x g i j ^ f e r r t i o d u M o u -l i n d u c o q , p r s Q u i m p e r l ; c o n t e n a n c e 5 h e c t a r e s e n v i r o n , b ien p l a n t d e p o m -m i e r s . S'adreiser M, Lomennc'h. A l o u e r d e s u i t e T r i m ^ ; msUMou a y a n t t h a b i t e p a r le D o c t e u r ^

    .g^e KERG03 - g a r a g e ^ c o u r - e a u g a z . S'adresser la MORE A U, Quimperl. A I n l J A n p o u r l e s ; p ( m b r e m l u u v i p r o c l i n i n . u n e l e r m e a l\f rlec, en Itann c, rie so hei^tares.^S'a-'iresser l'tude de M* T a n g u / nota ire .

    On demande ( 'e t r s b o n n t e n u e , d n n s s a f a m i l l e o u r f o r m H la g u e r r e s j s c . o p i i b l e d e l e u i r e m p l o i , a u q u e l il s e n i l f i t r a p i d e m e n t p e t i t e s i t u a t i o n .

    S'adresser au Bureau du journal.

    O U I ! Avhnl (CalliT con^ijlt 'T f|iii im^* cp foII. venez detnaiuler mon avis. .)t l)iii niiniuu dans vo're contrf'ft iinc, J" vlsitp di puis iijiisiiMirx annp Jo vous ciirui iic fu i le M oui ou non vou.s tes guriisatilB.

    Dans ce dernier ra?. l'apiOicBlion de ma merveilleu^ie m t h o d e vous

  • onaolos ! .les tout rl

    ... Malgr leur raient "pas pu

    . l 'omboiiclou, la. .. Franco, l ieureuse-

    ilros. Connais tu (c jcr : Fr jus , Nice

    passer sous ut\ ciel plus d de hise el de neige. prin-

    jnd ron t avec les hirondelles. *

    .1 nos copains, nos voisins, nos tr-es, pendanl six mois, les t lralHoups

    i o u s nous permet tons de*'*faire observer V r J e a n Hetoette , qu' l'Age o Lloyd Geor-

    Assis en rond, terre , par petits groupes les voici qui prennent leurreiiitale.s A part ir du 1" j anv ie r 1917, les taxes postales int-rieures franco-coloniales et iriter-coloniales ont t modills comme suit :

    Lettres : quinze cent imes Jiisqu' 20 g ram-mes ; vingt-cinq centimes u dessus de 20 g r a m m e s ju8qu'*50 g rammes , et 0,:iU jiis( |u' 100 g r a m m e s puis TiMuti centimes par 50 g r a m m e s ou fraction de ^ g r a m m e s .

    /Les paquets excdant cimi cents g r a m m e s provenant ou destination des mililaires res-tent soumis au tarif actuel. -

    Cartes postales : quinze centimes ; avec U. P. t rente centimes.

    Cartes illustres, o. non, compor tant de 1 il 5 mots de c o r r e s p o n d a n c e : dix centimes sans correspondance cinq cenlfmes.

    Los papiers d'all'aires et do commerce sorort a l franchis au nouveau tarif des ' l e l l res , sauf, les factures, relev de compte ou de factu-res et notes d 'honoraires ^ non acqui t ts , n 'excdant pas 20 g r ammes , qui seront tarifs cinq centimes.

    Les impr ims ju.squ' 5)0 g r a m m e s , cinq cent imes ; jusqu ' 100 g r a m m e s dix centimes, au-del, avec uno majora t ion de cinq centi-mes, par cent g r a m m e s . S o u s . b n d o , les im-prims ne dpassant pas 30 g r nmes : trois contimes, au dessus de'30 grarf tmes jusqu ' 50 gr 0.15.

    Los chantil lons Jusqu ' 50 g r a m m e s ; dix centimes avec augmenta t ion d e cinq cent imes par 50'gratipiea,

    Les chantillons provenant ou destination des militaires cinq centimes par 50 g r a m m e s comme" actuellement. : ,

    Le droit fl.xe.,de recommandat ion des obje ts afl'r^iihle '^prix. rduit est fix quinze centinis, SIIUF_ pour les paquets militaires : 10 centimes.

    Droit .d'assurance : vingt centimes j u s q u ' SOJ f rancs avec augmenlal ion do dix cent imes par fraclion de 5i.*J francs, cartes' de viifite portant une inscription manuscr i te de un cinq molsi quelconques 0.10

    Nota : Les laxcs anlr icurement li.wes pour les iinpres!:ionb l 'usage des aveugles et pour certains imprims spciaux (cartes lectorales, sommations) sont viss par les articles syo,"" et 290 '"dci ' ins t rucl iongnrale sont maintenues.

    T L Q R A m m E S Dans le rgime intrieur, les sur taxes sui-

    vantes sont appii'^pios, savoir : ' a) T lgrammes ordinaire ou de presse : 15 centimes sur les t lgrammes ne dpas-

    sant pas 10 mots ; 25 centimes su r lesNtlgrammes au-dessus

    de 10 thols el ne dpassant j j a s 50 mots ; 50 centimes sur les llgirnmes de plus de

    SiTmots. bj T lgrammes avec priorit ; 50 ccftiliines su r l e j t lgrammes ne dpas-sant pas 50 mots ; .

    1 f r . su r les t lgrammes do plus de 50 mois. ,

    c) Cartes pneumatiques : 10 cenlimes^Bur celles dq. poids de 7 g r a m -

    mes et au-dessous ; -15 centimes sur celles d 'un poids de plus de

    g r a m m e s e t ne dpassant pas 15 g r a m -mes ;

    25 g r a m m e s "sur colles d 'un poids de plus de 15 g r a m m e s et no dpassant p.^s 30 g r a m -mes.

    d) Adresses enregistres : 20 fr. pour un an 10 fr . pour un semestre ; 2 fr . 50 pi 'ur un mois. ) Uedevahce pour. 'droit d 'usage des lignes

    d ' intil priv : 10 fr . par kilomtre de ligne et par an ; II) f r . par i)osto en sus de deux et par an

    une mention manusc i i l e compose de un mot cinq mots iiuelconques , suppor tent une sur taxe de 5 centimes ;

    rlcphonc. Dans le rgime in)rieur, les su r t ayes suivantes sont appliques :

    Communications locales :,5 centimes. Communications in terurbaines 5 centimes sur les taxes do 25 centimes. 10 c. su r les taxes de iO centimes ' 15 c. su r les taxes de 50 centimes. 20 c. su r les luxes de 75 centimes. 25 centimes sur les taxes de l f. 45 centimes su r les taxes de 1 f r . 25. 50 centime.s sur les taxes do 1 f r . 50. GOcentunes su r les taxes de 1 fr . 75 r centimes sur les taxes de 2 f r . 1 fr, su r les taxes de 2 f. 25. 1 f r . s u r les taxes de 2 fr . 50 1 fr. '25 su r les taxes de 2 fr . 75. 1 fr . 50 su r les taxes de 3 f r . Messages tlphoniques "25 centimes. Avis d'appels tlphoniques

    pres victoires : la suppression de l 'absinthe ; la prohibition de la vente des alcools indus-triels franais pour la consommation de bou-che, qui reprsentait plus des trois qua r t s ; la suppression du privilge des bouil leurs de cr ; l 'lvation des droits de circulation su r l'alcool de 220 '100 francs ; relvement suy-plmentaire des droits de douane s u r les al-cools t rangers de 70 et 80. f rancs l 'hectolitre 200 et 450 f rancs ; sans parler de l 'augmen-tation des tixes spciales aux apritifs ; sans liarler dos droits d'octroi pour de nombreuses villes, qui portent comme Par is l 'ensemble des taxes plus de l.OOU f rancs par hectolitre. Cet ensemble de mesures a t accept, par esprit d 'abngation patriotique et sans soule-ver trop d'opposit]gn, tant il est entr dans l'opinion, mme des intresss, que l'alcool est^ un al iment de luxe, s t imulant petite dose, dont les elfcls deviennent nocifs s'il est absorb dans uile mesure trop forte, qu'on peut f rapper de lourdes taxes.

    L'htelier, le res taura teur ne pourront donc pas su rmonte r la crise qui dcoulera de la suppression de la consontination de l'alcool sous loules ses formes ; quant au dbitant, son sort sera plus vile rgl ; ruin, rvolt, il -iisi.aratra do suite. Plusieurs centaines de mille sont au f ront o ils remplissent leur devoir, lotit leur devoir. A l 'arrire, ceu.\ qui en vivent di rectement ou indirectement, sont millions. Quel sera leur moral '.' Viendra t-on leur" prcher la patience, l 'abngation, le pa-triotisme'? Peut-on songer sans ell'roi cette s o m m e de dsespoir cre en peine gue r r e ?

    Kt nous a jouterons : Puisse le bon sens celto latin de la nation franaise repousser les exagralions huguenotes et pharisaiques et faire plus que Jamais sienne la devise : UU eed non abutl !

    5 ccniiines su r les taxes de 25 centimes. 10 centimes su r les taxes do 30 centimes. 20 cent imes sur les taxes do iO centiii.es. Accuss de rception des messages tlpho-

    niques : . . . . V .\ccuss de rception des avis d'appel tl-

    phoniques : 15 centimes sur les taxes de 15 centimes'. 20 centim'es s r les taxes de 20 centimes. 30 centimes sur les taxes de 30 cent imes. Abonnements. A Rseau de Par is et au t res

    rseaux forfaitaires : Postes ..principaux permanents . Postes tem

    poraires. Lignes tpeciaiises de Paris : 12, 50 p. l'CO sur les posles des particuliers ; 25 p. 100 su r les postes d 'un meubles ;

    100 p. 100 su r les postes installs dans des locaux oi ils sont mis habi tuel lement a la aisposition de la clientle, du public, ou des membres d 'un g roupement quelconque titu laire du poste.

    Postes supplmenta i res : Tarif A, 25 p. lO Tarif b, 25 p..100 Postes inlerubi ius , 25 p. 100

    . T rans fe r t s r Rseau Je Paris, 10 fr . Aut r i^ rseax forfaitaires. 5 fr . , II. Ilseiuix conver-^ations {axe.s : Postes principaux 12 50 p. ICO Postes supplmentaires : Tarif A, 25 poui l'X). Tar i t 'B . 25 p. 100. Transfer t s , 5 f r . Redevance-i pour droit d 'usage, 1 fr . par Pedevances su r les organes accessoires des

    100 inl ies de lignes, installations tlphoniques, 20 p. 100.^

    Communications dirjecles pendant Ves heiJ^ res d6 l'er.iieturc des bureaux , 5 fr . par mois

    Surtaxes. 'laiis le ciigime intrieur, les surta.xes .suivantes sgnt appliques au droit posJLal actuel de commission percevoir su r les hons de poste, manoa l s de poste ordinaire?, mauda ts ' ca r les , mandats- 'leltres, m a n d a i s d 'abonnement et manda t s tlgraphiquei-:

    5 centimes pour les envois jusqu ' 20 f r . lO-cenlitnes pour les envois de 20 fr. j u s

    qu' TiOO It-ancs. ' ' , 20 centimes Vouf les envois supr ieurs

    500 fr . Avis postal de payement d 'un manda i ou

    d un bon de poste : sur taxe de 5 centimes. Valcui s recouvrer. La taxe des on veloppeis

    d'envoi de valeurs recouvrer se compose d 'une taxe d 'airranchissement calcule d 'apr le tarif des ietlres et d 'une taxe ll.xe do recom mandat ion de 15 centimes.

    Le nombre et le m o n t a n t total des valeurs recouvrer pouvant Cire insres dans un mme envoi restent soumis aux limites llxes antrieu.soment par dcrois.

    La taxe appliquer aux valeurs impay et aux envois coiltre r embour semen t refuss par les diStiiiataires est leve do 10 ta 20 c ioUmes. '

    rtliMAUyUh;. Les lax s iitlernalionalos ne sont pas modillees. ' ^

    Sont galemti i l malnlenus , 1 centime, les taxes des j ou rnaux ut crits priodiques des Imprimes Bpciau.x, des ipipre-ssions pour aveugles.

    A p r o p o . s ( l ' u i i l i a l c o o l i M i n o I De \'Ouest-clair, sous la

    sign:rture de MM. Gesliii, prsident gnral des Ci-dres et Iruits cidres et Leivre,Conseiller du Com-merce extrieur. Prsident

    ^ de la Chrabrc du Coni-' m^rce de Caen.

    La question de l'alcool a pour ell'et de pas-sionner prodigieusement les ligues antialcooli-ques qui veulent at teindre l'opinion. On dit dans cotte discussion baUcoup do choses exagres. Insenses. Depuis le dbu t de la guerre , ces ligues ont obtenu utae srie d'ines-

    L e N i t r a t e d e S o u d e n ' p u i s e p a s l e S o i Dans certaines campagnes , si l'on ne va pas

    usqu' nier l'inHu^nce heureuse du nitrate de soud sur la vgtation, on ne se fait nan-inoits pas faute d 'envisager l'emploi de cet engrais comme un pis aller auquel i l 'ne faut recourir qu 'avec modration, parce que, pro-clame-t-on couramment , le nitrate de soude puise le sol ' '

    Il est mme des propi;ilaires qui s ' a rment de cette formule vis--vis de leurs fermiers , pour .leur interdire l 'utilisation du nitrate, sur to ' j t pendant les dernires annes de bail.

    A la vrit, ce8x qui met ten t une pareille al l lrmalion, seraient bien en peine de l'expli-quer et plus forte raison de la justif ier . Tout au plus, s'ils se piquent de quelque connais-sance technique, vous diront-ils que le ni trate a une action dissolvante su r l'acide phosphori-que et su r la potasse, susceptibles ainsi d ' tre entrans dans le soiis sol, OU qu'il en provo-que une consommation luxueuse.

    D'abord, la force d'absorption que la ter re e.xerce su r l'acide phosphorique et s u r la po-tasse est suf f i samment tablie pour que l'on n'ait pas tenir compte de l'action directe du ni trate su r ces deux lments;

    Quant leur consommation suprieure, elle rsulte un iquement du plus g rand rendement recherch et obtenu.

    Le nitrate de soude n 'appauvr i t pas le sol, proprement parler, puisqu'il n 'agit pas en pure perte.; tout naturel lement , en forant la rcolte, il contribue faire enlever ce sol une quanti t d 'a l iments nutr i t i fs proport ion-nels la plus-value du ' r endemen t .

    Tout est donc pour le mieux dans l ' intrt du cult ivateur.

    Mais, nous dira t on encore, le nitrate ne contient pas de m'alire organique, e t son emploi, du fait qu'il n 'assure pas l 'entretien de celle matire organique dans le sol, con t r ibue entra ner l 'appauvrissement de ce sol en humus .

    On ne saurai t v idemment nier l ' importance de l 'humus, tan t au point de vue physique, qu 'au point de vue ctiirhique, c o m m e facteur de la fertilit des sols.

    Or, l 'humus est en grant^e partie entretenu, dans les terres cultives, par ls f u m u r e s co-pieuses. Et, dans toutes cul lures en voie nor-male d'exploitation, on peut facilement pro-duire assez de fumier pour fourni r r rgul ire-inent au domaine une rcupration suffisante d 'humus .

    Il ne faut pas opposer au flitrate les engrais organiques sang, viande, poisson, cuir, corne, torleaux, etc. comme engrais r-cupra teurs d ' h u m u s : la quant i t qu'ils en apportent au sol es t ' re la t ivement insignifiante et on ne saurai t dcemment en tenir compte pour faire su rpaye r ces engrais ou pour leur donner la qualit de succdans du fumier .

    Pa r contre, chaque rcole, quelle qu'elle soit, abandonne au sol urie quantit t rs ap-prciable de rsidus organiques : racines e l radicelles dissmines dts l 'paisseur de la

    ' couche arable ; chaume, fanes et feuil'.cs aban-donns au moment des rcol tes; dbris tom-bs au coui*s de la vgtation. Il n'et mme pas paradoxal de poser en p,"i.ncipe que l 'em-ploi du nitrate de s o u j e , en dterminant une ptoduclion abondante , 'p rovoque utie accumu-lalion plus g rande de ces rsidus organiques.

    Ce qui revient \ dire que d i n s une exploita-tion bien organise, la richesse d^s terres en humus esl eu raison directe, j/.(S(/u'(i un cer-tain point, de la i juanlit de nitrate de soude employe.

    h r a n s p o r t s Commerolaux. Article premier. A partir du i " JanTier i9i7, les transports commerciaux sont sou.-nis. dfaut des coaditioDS plaa restrictires dic-tes ou ft ^dicter par les commissions d* rseau, aux tec- . trictions temporaim suivaatet, aiuqueltes il ne pourra Stf drog qu'apris autorisation spcible de commistions de reseau int< r sses,

    Trampurls gratide vitesse. Art. 2. Les cbiSoDS,' liquides en {Qts, fats vides, oranges, pommes cidre et voitures ne seront pas accepts en ((rande vitesse.

    L'acceptation d office des autres marchandiKs en grand* vitesse est limite ft une expdition de too kitoyrtoinies par jour, d'un m8me expditeur au mtme destinataire.

    Cette disposition ne s', pplique : Ni aux expditions d'animaux vivants en cage ou en .

    paniers, fuits frais autres que les pommes i cidre et les oranges, lgumes frais, 'lieurre, iroma^es, lait, oeufs, pain, viande, volailles, poissons et coquillages frais, emballage* vides ayant s.rvi au transporl. ^ s denres prcdentes, pices pour matriel d'artillerie, papier i journaux, jour-naux ou publicatioDs priodiques, encres d imprimerie, ni aux transports de cercueils ; ni aux expditions de bestiaux ou chevaux par v -agons complts sous condition qoe les wagonij fournis soient utiliss au maximum de leur capacit et que le cfaargemeot au dpart et le dcbargemeat i, l'arrive soient faits par le t'ublic.

    Transforts fetite viteve. Art. j . Tout vtagon mis la disposition d'un expditeur pour 2lre charg par les soins (le ce darnief; devra tre utilis i s a limite de cbarge, alors mme que le tarif appliquer n'exigerait qu'un* condition de tonnage infrieure cette limite.

    Cette rigle ne s'applique pas aux deux cas suivants : ay .Marchandises autres que les marchandises pondreuses

    Ccombustiblcs minraux, cbiux, ciments, pltres, matriaux de construction, pierres, terres, minerais, produits mtallur.. Kques, engrais; lorsque la ctiarge normale du wagon sera Suprieure lo.ooo kilogr. Dans ce cas, l'expditeur ne sera pas tenu de charger plus de lo ooo kilogr. par wagon, moins que les conditions Ou tarif ne stipulent un tonnage suprieur loooo kilogr. par wagon.

    V .\nimaux vivants et marchandises doit la densit ou la naturw ne permettrait pas d'atteindre la limite d* charge du wngon, sous rserve que la capacit de ce dernier soit utilise au maximum, moyennant un chargement ou un arrimage appropri.

    Le chargement et le dchargement des marchandises en-vrac et des animaux devront, dans tous tes cas, tre faits par le Public,

    Art. 4. Faute par un expditeur de s'tre conform aux dispositions des articles 2 et ; qui prcdent, l'expdition sera refuse et le wagon dcharg, au besoin par le cl^emiB

  • Anne. W 2 LE NUMRO : CWO CENTIMES Dimanche 14 Janvier rM^

    ET MARITIME O r g a n e l l p u b l i e a i i i d m o c r a t i q u e ^ t d e r O u e s t

    Paraissant les JhUDI et DIMANCHE

    A n n o n c e s e t R c l a m e s

    Annonces Judiciaires (la ligne)... 20 o . Annonces volontaires 2S o. Rclames. BO o.

    Les annonces sont reues aw bureau. Vu' journal et, Paris, dans toutes les Agences.

    On traite forfait pour les annonces, rptes plusieurs fois.

    D I r e o t e u p : Lon LE B E R R E RDACTION, ADMINISTRATION A ANNONCES

    A QUIMPIRL, Plaoe Hervo, n" 8 bis i T A u p v h o n k , N* Adrtut TiUgra^hiue ; Union, Quimporl

    tes aboHnementa le. paient 'd'avariii sauf convtn-tion$ ilipartent du 1" ott'4^ iB d chaque moi.

    On s'abonne au bureau du Journal. On peut s'abMner . galement, sans frais, dans lous'les bureaux de poste,

    ou encore en adressant un mandat-poste au Directeur, M. Lon L E B E R R E , place Hervo, Quimperi.

    ABONIiEIIIENTS (UK AN) Qnimperl (ville) Piniatre et dpartements limi-

    trophes 6 Autres dpartements. . 7 Colonies et tranger 10

    5 -

    HunUm d,t Bureau du li Janvier 19 n M. Ouyonvaro'ii viie-pr^ident, d e m m d e

    l'adoption de M. Louis Oallic, ie b'eunteutiio, au camp de Minden et de M. Grgoire Peaven, dp bour^t au camp d'Armeilburg. AJopt:^ l'unanimit. On dcide d'expdier un nouveau colis, en Fvrier, compos de riz, de nouilles ou macaroni, de deux paquets de tabac, d'un paquet d'Elesica et de conserves. M. Louis PelteUer, de Querrien nous crit : Je vous remercie encore une fois de vos colis, car c'tait de beaux colis. Trs touchante, la lettre de M. Yves Le Hen, de Qulinperl, au camp de Minden. qui n'a d'autre que nous, dil-il, pour le secourir. Ont souscrit : les allocataires de Nvez. 36 fr. 10; ceux de Querrien, 14 fr. ; id. de Quimperi, 40 fr. 10 ; Parents des secourus de Baonalec, f r . ; commune do Bannaleo, 60 f r . Ecolo des Ollles de Nvez (Mlle Primel) 10.25 ; Ecole t'e Scor (garons ; M. Keruzor) 61 fr . ; Mme Brabant, iaalitutrice Si-Jacques, en Binnalec, dons de ses coKrcs, 15 fr. ; allocation de Mellac, remise au nom de .M. Berrou, maire, par M. Etchecopar, 6 fr. 01 Supplment de la qute principale de 90 fr. faite par MM. les Maire et Recteur de Locu-nol, soit 7 fr . 30. Eh fin de sance, le bureau Inventorie les lainages envoys d'Australie, et en remerciant les gnreux et lointains expditeurs prouve le mme d.xir que ces der-niers ont Joint l*ur envoi : Wi^liing Iho wearer of ttieye packet every gooil luck and quii-k return ah home .

    Le Prsblina de la Vie chre videmment, nous comptons tous ijue 1917

    sera l'anne de la Victoire, l'anne de la Paix et des Rparations. I^n attendant, un grave problme te pose cho'iue jour davan-tage, et les solutions diverses apportes, quant prsent, n'arrivent pas le rsou-dre : c'est le problme de la vie conomique du Pays.

    Jusqu' prsent ont peut l'avouer, on avait, relativement, peu souffert des cons-

    quences conomiques de la guerre. Il faut maintenant dchanter quelque peu, et com-mencer j s'apercevoir, de la duret des temps.

    Les conditions de la vie deviennent de plus en plus difjictles. Quelles mesures ont t prises pour combattre la haussa persis-tante des denres de premire ncessit f La taxation C'e.t l. tin moyen.. Moyen efficace si l'on veut ; mais combien la taxa-tion, lorsqu'il s'agit d'en user, devient la chose la plus dlicate qu'il soit lorqu'on la voit dans son application ?

    On a donc Iqx t sucre, les pommes de terre, le beurre, le lait.. On arrivera cer-tainement taxer autre chose. Fort bien. Maintenant examinons, sans parti pris aucun, la mise en application de la taxe.

    Prenons, tout d'abord, le sucre. D'aprs une rcente dcision du comit dporlementalde rpartition, il a t dcid de ne livrer du sucre qu'aux piciers en gros et demi-gro ou encore aux piciers dtaillants condi-tion toutefi, qu'ils appttrtiennent un groupement lgalement constitu, en syndi-cat si l'on prfre. Qui ddnnern ce nouveau mode de rpartition ? Wavenir nous l'ap-prendra. Prcdemment la situation tnil la suivante :

    Le petit dtaillant, se fournitsanl habi-tuellement sur place, chez le ngociant en gros, tait dans l'obligation de prendre cer-taines denr-s autres,' dont, la plupart du temps, il n'avait pas besoin, oour obtenir une quantit infime de sucre! Or le mai'' chand en gros revendait aux dtaillants nu prix de la taxe. ^

    P^ar consquent, l'opration tait loin ^'tre avantageuse pour le petit picier ; il changeait non seulement son argent, mais encore, s'il n'y perdait pas trop, s'estimait-il heureux.

    La cration de la carte familiale est cho-se faite. C'est notre avis le mode de rpartition le plus, rationnel et le seul moyen d'obvier aux abus de la pari des consommateurs.

    Lne chose cependant serait i mitre iivin ncessaire : imposer aux consomnidleum un fournisseur pour le sucre. Ce serait facilr. Exemple : Les habitants de tel tiuur-

    lier se serviraient chez .M. X. picier ; 1rs habitants de tel autre quartier se servi-

    raient chez M. Z, Les bons dlivrs aux intresss porteraient donp le nom du

    'fournisseur ihez lequel ils devraient se servir en ce qui concerne le sucre, sans obligation bien entendu d'acheter quoique ce soit.

    Nous arrivons maintenant la taxation des pommes de terre. Dans notre contre la dernire rcolte de ce tubercule a t excep-tionnelle. On eut pu croire un instant que

    prix demands par l'agriculture auraient

    ' t raisoniiablts^^M n'en > atrien -t-j^is^fiet une'fois de plus la taxe a fait son appari-tion. Dans certaines localits du dpartement une quantit de rabatteurs venant de ci de l se prsentent chez le cultivateur pow acheter .ia marchandise. Que se produU-il-? C'est simple ; l'acheteur paie lS pommes de terre le prix de la taxe et se fait dlivrer un reu de l'achat ; puis, en sous-mains il verse au vendeur 1 f r , ou 1 fr. 50 en sus du prix fix par l'arrl prfectoral.

    Aussi, lorsque vous vous prsentez chez les pgriculteurs, ils vous dclarent le plus gnralement qu'ils n'ont plus de pommes de terre ; par contre si vous usez du procd indiqu, vous avez beaucoup^dc chance d'tre couts. Ces rabatteurs une fois leurs achats termins q aillent la rgion et vont revendre Paris ou ailleurs, les pommes de terre payes 7 ou 8 fr. les cent kilos, au prix de la taxe tablie dans la ville o ils coutent leurs produits, c'est dire raison de 18, 20 ou 22 f r . les 100 kilos.

    Ces individus ralisent de ce fait un bn-fice scandaleux au dtriment du consomma-teur et mme des cultivateurs. ' " '

    Pourquoi rt pas unifier la taxe pour tout le pays ? Ln prix serait fix et ce prix ne pourrait tre augment que des frais de transport, manutention ou autres.

    Il est rvoltant de voir tous ces cumeurs, commissionnaires plus ou moins probes qui souvent mme, sans 'ucune misa, de fonds de leur part, arrivent difier des furlunes dont la classe laborieuse, [ait les frais.

    Pour le beurre c'est exactement la tnnie chose. Dans nos villes, : chaque march, vous retrouvez ces messieurs ; connus des cultivateurs, les affaires se concluent rapi-dement. En gnral ce beurre est achet bon march pour tre ensuite revendu trs chrr.

    Chose curieuse, et qui dconcerte un peu,, la paysanne qui va au march avec clw^ ou six livres de beurre dans son panier, prfre de beaucoup avoir comme acheteur l exploi-teur que l'humble mnagre, la malheureuse mre de famille. Pourquoi ?

    Bref tout le monde tire formidablement sur la ficelle... et l'argent est trop tentant.

    Que ne peut-on poursuivre comme il con-viendrait tous ces profiteurs, tous ces jouis-seurs de la guerre. Nos lois sont-elles impuissantes Trs difficile en vrit d'rri-ver un rsultai,

    'Ce qu'il y aurait peut tre de plus efficace serait la cration dans toutes les communes de magasins d'approvisionnements. Ces maga-sins fourniraient directement -aux consom-mateurs ou mme aux petits dtaillants, den produits tels que : sucre, pommes de terre, ptrole, beurre, lait, charbons, elc etc.. Il faudrait aussi gnraliser des bons pour la dlivrance de ces denres. >

    Cette organisation fonctionne dj dans un grand nombre de villes et ce pour le plus yrand bien des populations.

    Les municipalits pourraieut s'entendre et mellre en commun leurs efforts pour arriver promptement au but propos : ragir contre la haus.se excessivi'- des denres de premire ncessit et par i'i combattre, dans une cer-taine mesure, ta chert iu liuiiurain (sud-est d'Ai '-as) une srieuse pni^tratioii des Anglais Ju-i(|u II la .'i* ligne sur une longueur d'un kilu'ntre Dans la nuil du 9 uu lu, nus allis se sont tablis solidement dans un eh ment de tranuliee a l'est do Beaumont. Ilarmel, sur les bords ilo l'Ancre. Sur le front franais, dans la Somme, l'Uise, au nord de l'Aisne, en Giiampagno, -laus Argonne el Verdun, Mir la rive tiroile do la Meuse, en Lorr^ilni!, Vosi^es el Amare, ounne uunletiance dun nlru.s. En iluniiia' i>', l'ennemi s't sl empar le liraia ' l U' l''ii.-c.iiii. l.i'.s deux empei furs ont l.ince .ie pidCiitiri.ilioti.s piMii' lai.^ber a leurs enn< im- la ri'.w(ioiihuiiiiiiu d'i la guerte, aprs le leilain avec U!iiui;l oui i;tij accueille-^ l.uirs .loi- liBanl priipositioiis ;\vii' reiiiiriiin, e p-'nn aiu zo o I r r z o giM'iiMi (a la evil iir vel.Mcn, o veza n'inl ket kaliilik) liag inl lioll barz-ul enUnel a giiMii-li'Z-vro.'

    . . F. VALLli!': (Kroa:: ar Vreloncd)

    i l K l O E H i O i ^ E A S S I S E S OU F l . M 1 3 T R a

    (fKKMlKK SGSSION' UK l'.r.T,

    Voiri il! r'ii tles jur/ 's appels .igep au cours de cette .session, qui .s'ouvrira i\ yuiinpar le'lundi 15 j uivior .pi'oiilriiii, i mkli. sous la prsiileuce de M. D?lco'ir, conseilier U Cour d'appel de IlenniiS ;

    Jurs Muluires. - MM. Sc'iarm' (Auxu-;tp), notaire, Trgunc ; Slo.tluin i.l.iaii retraite, Plniiarzel ; Tou^liz iJ .Vi A commerant, St-Hetian ; Lugiibn (C), pnipiiiUaire, La Forl-Fouesnant; IJarri-in {lly.ietnilir, n'igociaut Quimper ; Nicol ;il ), con-jeillt!r d arromliss'.'-mont, Melgven ; Le Roy (l->ierre) cullivaleu-, Gouzec ; Oilasser (Vinconl) expert, Le Cioi-tro ; L') Douaro (Corenti'i) soudeur, Ploar ; Goz i(uillauine), mtrail, l'rimelin ; Oautret (Armand), picier ii Brest ; Goal ^llervf') l " matre relrait, Caranloo; Couduii>-r (Louis; journaliste, Brest ; Garrolon ('Joseph) propri-taire, Brest ; CoHou (Adgu.sle). maire, Saint-Il'iniin ; Dani'1 (J-an), cultivateur, Sunl, ,|ean-'rroiiinoM ; C'iiioa (.los"plij, industriel, (J lim-p. r ; Ke'J'uii(F i, prOTi-ilUire. Pioudalmez-iau ; HoucmmanI (L ), proprieiaire cultiv.iteur, l'iliuyn ; I-' Coi'ii.t(i> ) p-iii)rji:iii'-cullivaleur, Bola/.i!!'. ; UreiileriMi, cniiifins ile.s sifrvicus a{l-iniiiisinlir ' , ll.i'sl ; l'eniu J 'iiii!) cultiva-teur, NiZ'iii ; Le Gnii I l'i'irr. ), coinmer(;mil, Piogouiiec ;lU|)h ili'.n (S'Uisiien), cdiniuerinl Plonour; Le Bras (J-M ) cultivateur, Pors-porder ; .Marchais (liugiine), ngociant, Daou" las ; Taii (Krnest), propritaire, SainUtenan j Rouet (F,), agent technique. Saint-Pierre Quii-bignon ; Jgou ^D.), cultivateur, Pioga)tol-Saint-Gormain ; Le I^3Sto (Alain), mc iniclen, Pouidrouzic ; Cvaor (Franois), ngociant, Brost ; Le Duc (Louis), agent technique, re rait, Saint-Pierre Quilbignon ; ILisa (V), em-ploy de manufacture, Morlaix ; Del (G), cher do bataillon, retrait ; Ndleo (Jan), comw.erant, Elllant ; Hameury (Jean), culti-vateur, Plougouven.

    Jurs s^plant.s MM. L" Bihan (Fran-

    ois) cliipelier, (}uimper ; Nouvel de la Flche (H ), agent gnral d'assurances, Quimper ; Troilen (J.) concierge au thtre, Quimper ; Loubati ^Antoine), horloger, Quimper.

    AFFAIRES Lundi 15 Janvie r Quimper. Kerfrignin

    Olivier vol qualill, l tmoins ; dfenseur, M* Delap^rte.

    Mardi 16. Chi\taulin. Paris Guillaume, attentats la pudeur, 6 tmoins ; dfenseur, M* Verchin.

    Mercredi 17. Quimper. Donat Flyacinthe, a t tent i ls la pijdeur, 13 tmoins ; dfenseur, M* Verchin.

    Jeudi 18.' Quimper. Tanguy LOUIF, Marrec Joseph, Burel Marcel, Le Lay, vol )a nuit en runion, l'ai le de violences et com-plicit par recel, 4 tmoins; dfenseurs, M* Delaporte (Tanguy et Marrec) ; M* Verchin (Burel Pi Le Lay).

    Vendredi 19. Chiteaulin. Dourin Marie, femme Pern.s, infanticide et suppression d'enfant. 5 tmoins, dfenseur. M* Diaportr.

    M. le biibstitul Brouard, s-enl magistrat eu ParqueL preent depuis la mobili.sation, occu-pera le sige du minisicre public dans toutes ces all'aires.

    I , a r p a r t i t i o n d u s i i c r o . Le Comit dpartemental de la rparlition du sucre s'est rtmi la Prfecture de Quimper, le mercredi 10 janvier, 10 h. .30 du miiitin. sous la prsi-dence de M. le Prfet du Finistre.

    De nombreuses questions (dalent l'ordre-du jour fl- des dfci^io^s iiitrk'ssarites ont t pri.-ii.'s au rours de cette ^!.hes I;iabitan.ts, tout picier ou fournissftur de sucre qui sera surpris expdiant du sucre en dehors du d-pac^ement et en dehors de la circonscription d e l Chamrbro de Commerc) de iqelie il dpend sera exclu de la rpartition faite par le Comit dpartemental.

    La question des caries familiales tait gale-ment l'ordre du jour. M. le Pt'fel fait con-natre qu' partir du 1" fvrier le nouveau mode de rpartition aux consommateurs, c'esl--dire il raison de 750 grammes par mois et par habitant, entrera en vigueur, dans tout le (h parlement.

    Acluellement la grosse ditlcull dans l'ap-ptovi^ionnemenl du Fucre rside en l'absence

    . de moyens de transport ; aus.

  • 'S mu

    S a i n t - T l i i i r i c i i ChUn BoaM collier. H pnrait que

    Miin; Pranojse Hnincy, dhitanle de boissoua, ,iu liourg do'St-Ttiurieii, *n. iHitenlion d met-Irt'. tiiie plaqiirt au collier Mo son chien. Lo pauvre animal, chien sons poil noir et de taillp, fut tis cnfus de se trouver dmuni (Jti cet ustensile quand il comparut, lo Lundi 8 13 h. 4 devant Messieurs de la Gendarme-rie.

    R i e c s i i r - B l o n

    Ncrolotfie. Nous apprenons la mort (II! M. itene Dossirier, udministralenr des Ctiloiiii^s, tin retraite, alliii par son mariage 1,1 r.uniilo Cadorot. M. Dessirior, depuis loiiKcinps malade n'avait pas hsit' se rcadnj utile dans ses anciennes fonction, .iepuis le commencement de la guerre. Sa hiiiil! l'obligea il revenir lliflc, o il (st mort Jeudi dernier. Dans ces pnibles c rconstancee iiojh assurons, Mme Uessirier et la famille (Jadurut, de notre enlfre et respectueuse sympathie. Obsques, Kiec, dimanche, 3 lieures. ' \

    J>fvjt d*olirag. / B., de la Poi li.-'NcUvf, conduisait, vers IS h. sa voiture iKui ;i'.l:ure pr('.'t du bourg de l^loo, le diman- lu ~ janvier, quand il lut rencontr tiar les yeiidarmea.

    Silit d0 cbna, Lbngeant un tail-lis I ordant un c'ioinin ensemenc, .lean-.Marie K-rlan, 1(> ans, arm d'un fusi} et l.ouis Toiil-j.tjint, 18 ans, loua deux doiiiesliques Kei-, Uu.liil, Kacttaient le gibier, lo dimanche?, vers les '.) h. du malin. Toulgoat frappait les buissons d'un bton do noisetier, pour faire lever b; gibier. Il n'a l'ait lever que des procs vi!i b.iux et la saisie de l 'arme appartenant

    . IfMi- patron, ^ Vcvc/.

    X'".>:oe oi feBae. C'est. d'avoir t lui) .'i l 'autre que se plaint Uo.se h'u rie, ^Hl , racconiir.odt'use de llleis ii Kervien. Or lini.e le 1 septembre dernier vers 10 h. 30, rcvi nanl du lavoir, elle rencontra la feime .lailr./.ou de St-Philibert en Trgunc accom-pagut-e d'Anna Laurent de la Pelite-Fontaine, sa .) a O.Oj ; vaoIihs laitirHh LO K OO ffinl .sses, 15U 500; o h e v a u x , a d u l t e s ct ier purcB. 2.20 .'i 2.25 le kil. ; m o u l o n s , 0.00 A O.OO ; v e a u x , lo kilo. 1.70, et 1.75; f o jn t i i l , T. .'Ji 33 ; seigle,, 32 Oj. ;

    o3.'>'> H 35.0 , s a r r a s i n , 30.00' k 37.UO ; avo ine , 28.00 a 30.0 ; i qjmiiifH u t t e r r e s a u c i s s e s les 100 kil, Tu.vation ; p o m -i i iesde lur ro b l anches Taxat ion les 100 k. i-euiTO !tt l ivre , ~dou.\ e l sa l , T. 2.4:. ; u f i a l o u 2 . ; 2.50 O.OO ; foiD, les buo k . 70 OJ a SO.Oo Vioux f u m jjaille, les f>Ou kil., 40.''0 45..i -, S'>a les lUO kil., Ta-xalioi) ; f r tnne , 1 " t iuali ih Ta.\alion i 'o ' j i ' s d.) g r a m s O.OC 0 .00 ; vieu.\ |.(.iul..'N j f:-. 10 t 0.'> l.i coup le : oaii.iMi-, lu coupl '} 5.1') 0.'> lu l)tti-lujii^;, df o d r : , bO 00 p u r JUS ; Cidrw o rd ina i r e 50 a i>J.OO. emenct- , 30.

    f^f M a r q u e r r a n g a i s e T ^ , ^ ^

    ' C R i M E s m o N ^ p o u r i a M i H ^

    Al i i A n *Mr|>leinbr i U U O r | i ' o c h n i n . u n e f e r m e h

    K lU'c, 'n liHomite'fi, ( h .30 heotares. S'a-di-i fiser l ' tude de M T a n g u y no t a i r e .

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    A B O N N C H C N T t (UH AK) Quimperl (vlUe) Finistre et dpartemeotft limk

    trophes.. . . 6 Autres dpartements 7 Colonies et tranger 10

    5 -

    L'ALMANAOH ANNUAIRE I L L U S T R E DU r i N I S T a R B a pa ru . -> D'aucuns es t imeront que c'est non sans retard. Nous pourr ions nous excuser sur la pnurie de ma in d 'uvre , du papier qui n ' a rnvo pas e t c . . . Au vrai nouB n'avons pas t lch avaut de le clru d'y Introduire les taxes postales uouvelie&, l'augmentation du tabac e t c . . P a r ailleur.-, les renseignements que nous fournissons bui les administrations diverses, sout puises aux llouroesmme et tenus j o u r , j u s q u ' a u derniui

    ' momenL 11 en est ainsi des renseigne-ments agricoles de tout premier ordre . L'ai iQ&naoh se r e commande par sou espru rgional et b re toa . Le calendrier est foriur de aos Saints Nat ionaux Celtiques. Un y trou vera des posies en Langue bre tonne, des p o M e s franaises de Botre l , U u r o c h e r , Parker, Magdelelne Desroseaux, Josph Nico-las etc etc, des rcits de guerre , g uelqu;.-lllustrations due, pour la plupart a la p l u u n du trs regrett Jus Pa rke r a c b v e a t de lui donner sa physionomie patriotique.

    L 'Almanach-Annuaire ne contenant que pages est veudu U . au lieu de u 35. Des pi i.s spciaux sont faits a nos dpositaires poui l eur faciliter la vente a u x camelots et coipoi* teui^.

    Prisonniers de Guerre

    Runion du Bure,tu 19 Janvier tu 17 Sont adoptes au l l l aume Pr ima, de Sl-Thu

    rien, au camp de Meyerbour et Jean Louedt i de Nvez Qlessen. Des vlements seront en-voys a Louis Fiche de Bannalec, dtenu a Scbmeiidelmmaih. M. le P r fe t fait connatre que M. le Mmistre a fait const i tuer par le ser-vice de l'intendance un s tock de saouls et dt galoches qui peut, ds actuel lement , tre mi.- la disposition des auvres . Les prix de e

  • Sance du IS Janvier nn Des interpellations asez vives se produisent

    su r l'o buU lie Ouerre ; la discussion en est renvoye ine die . La Chambre expr ime le dsir que la classe 1889 soit employe dans les garn isons , les plus proches du domicile ou afTecto.aux usines.

    >Snat Sance du iS Janvier 1917

    Le Snat accorde une remise projorlionnelle d ' impt aux propritaires qui au ron t accord une rduction amiable do loyers il leurs loca-taires ou une suspension correspondant i i pour le paiement de leurs impts aux propritaires qui n ' auron t pas louch leurs loyerspar suite du mora tor ium.

    Sance du ift janvier L'impt sut le revenu est l 'ordre du j o u r

    Vu les articles 10 et 17 l ' impt su r le revenu (les biillces agricoles s c a valu forfaite-m e n t d 'aprs la moiti do la vente du sol. Les oprations commerciales y chappent ("comptes couran ts do banque etc.) P a r contre sont a t te ints les livrets do cuisse d 'pargne et les intris des crances hypothcaires ou privilges en reprsentation desquels le crdit foncier a mis des titres, sont soumis

    eux-mme l ' impt su r le revenu.

    LA GUERRE Nos allis ont pris au N. K de Beaumont -

    l lamel uno tranche dans laquelle ils sont sol idement installs, su r un f ront de 1200 m . 20i prisonniers sont tombs entre leurs mains

    Une escadre russe a coul 40 voiliers turcs s u r les etes d'Anatoiie. Il t ranspor ta ient des ' vivres . Honstantinoble. La Grce cont inuant Il so moquer des Allis, une nouvelle note maintient les conditioas p rcdemment fo r -mules. ]-]n a t tendant le blocus continue et la crise a l imentaires s 'accentue. Kn Palest ine et Msenpolamie, SUCCS anglais .

    J i i K L i J i i i L u s c a d r c s a u t o m o b i l e s . Une ses-

    sion d 'examens aura lieu prochainement pour les mlli,laires do la zone de l 'intvieur.

    II sera fait appel : 1. Aux ofllciers suba l te rnes et aux sous

    oUlciers de compl tement du service a r m do toutes a r m e s reconnus par les mdecins mi-litaires, aprs visite' et contre visite, inaptes il .servir u l t r ieurement pendant au moins six mois daQs une unit mobilise de leur a rme , mais aptes toutefois phys iquement servir dans l 'encadroment des convois au tomobi les .

    i. Aux anciens ofllciers subal te rnes et sou.s-ofllciers librs de toute obligation mi-lilairc, reconnus par les mdecins militaires, aprs visite et contre-visite, aptes au service automobiles. 3. Aux sous offlciers brigadiers et h o m m e s de t roupe du service a r m du ser-vice automobile (classe 1912 et classes plus anciennes).

    Les engags volontaires spciaux ne peu-vent , en aucun cas, se prsenter cet examen .

    liCS B o u r r o l i e r s - s e l l i o r s . Les bour-reliers-selliers en service aux a rmes son t assimils aux marchaux fe r ran t s et peuvent c o m m e ces derniers tre inscrits su r les tats dd propositions tablies par les commissions agricoles dpar tementa les prsides pa r les prfets .

    SnfMMtm m ^ohiliMm digpmruB. Les disposit;ous lgislatives en v igueur per-met ten t d 'accorder un secours annuel d 'orphe-lins aux enlant mineurs d 'un militaire si le dcs de celui-ci est ofllciellement tabli .

    Les secours immdiats insti tus en faveur des familles des millitaires dcds peuvent tre concds aux orphelins des militaires disparus , s'il s 'est coul six mois au moins depuis la date de la disparition.

    P o u r l e . s r e i i i i n c s d e s r f o r i n . s 11 1 . Pour les embauchages dans les tablis-.ements de la guer re un droit de priorit pendant la dure des hostilits est accord aux f emmes des militaires r forms n ' 1. Elles p rendron t immdia tement place aprs les veuves d 'ouvriers dcds au service d 'Eta-bl issements militaires.

    La limite d'Age en oe qui concerne les personnes vises ci-dessus est m o m e n t a n -m e u t suspendue.

    A l l o c a t i o n aa .v r f o r m s n 2 . Dans chaque dpar tement seront insti tues une ou plusieurs commissions spciales por-tant le titre Pour les d tacheraeu l i tels que Chteaulin, Audierne, Briec., Quimperl, e t c . . . , elles devront tre adresses au commandan t du d tachement dans lequel les postulantes dsi-rent t re employes.

    ArrSi ur ekmtf. lA iO janvier I9i7.

    Ar t i c l e 1 " . A p a r t i r d e la p u b l i c a t i o n d u p r s e n t a r r t e t j u s q u ' a u 31 m a r s 1917, d e s a u t o r i s a t i o n s c o l l e c t i v e s v a l a -b les , t o u s l e s j o u r s , p o u r la d e s t r u c t i o n , a v e c f u s i l s e t c h i e n s , d e s q u a d r u p d e s e t o i s e a u x c l a s s s c o m m e n u i s i b l e s p o u r -r o n t t r e a c c o r d e s a u v u d ' u n e d e m a n d e q u e l e s r e q u r a n t s n o u s p r s e n t e r o n t s u r p a p i e r t i m b r d e 0 f r . 60 .

    Ce t t e d e m a n d e d e v r a t r e a p o s t i l i e p a r le M a i r e d e l a r s i d e n c e d u p t i t i o n -n a i r e , q u i a t t e s t e r a l ' h o n o r a b i l i t d e s o n a d m i n i s t r . ,

    Les b n f i c i a i r e s d e c e s a u t o r i s a i i o n s s o n t d i s p e n s s d e l ' o b l i g a t i o n d u p e n n i s d e c h a s s e , d e m m e q u e l e s t i r e u r s d o ^ l i ls s e f e r o n t a c c o m p a g n e r , e t d o n t le n o m b r e , d ' a i l l e u r s , e s t l a j s s l e u r c o u - i v e n a n c e . j

    Ar t . 2. L e s p r o p r i t a x e s o u l o o a t a i - : r e s d e c h a s s e s o n t mvi tar p r o c d e r la d e s t r u c t i o n d e s l a p i n s q u i s e s o n t m u l -t i p l i s s u r l e u r s t e r r a i n s o u d a n s l e u r s j bo i s . J

    F a u t e p a r e u x d e s e c o n s f o r m e r d ' u r - 1 Se n c e & c e t a v e r t i s s e m e n t , l e s M a i r e s e v r o n t o r g a n i s e r , e n v e r t a d e l ' a r t i c l e 90, P a r a g r a p h e 9 d e la loi d u 5 av r i l 1884, d e s b a t t u e s m u n i c i p a l e s q u i a u r o n t l i eu s u r t o u s l e s t e r r a i n s n o n clos^ d o n t l e s p r o p r i t a i r e s o u l o c a t a i r e s n ' a u r o n t p a s d c l a r , p a r c r i t , s ' o p p o s t t r c e q u ' e l l e s s o i e n t e fTec tues s u r l e u r s t e r r a i n s .

    Ces b a t t u e s s e r o n t a n n o n c e s p a r u n a v i s q m s e r a p u b l i d a n s l a c o m m u n e p a r l e s s o i n s d e s M a i r e s , e t q u d e v r a r a p -p e l e r a u x i n t r e s s s q u e leo c u l t i v a t e u r s p e u v e n t l e s a c t i o n n e r e n r p a r a t i o n s d e s d o m m a g e s c a u s s a u x r c o l t e s p a r 1? g i -b i e r . (Loi d u 19 a v r i l 1901).

    A r t . 3. Les M a i r e s i n f o r m e r o n t les c u l t i v a t e u r s q u ' i l s p e u v e n t d e t r u i r e , o u f a i r e d e t r u i r e e n tou t t e m p s , l e s l a p i n s /i l ' a ide d e b o u r s e s e t d e f i i r e tp , d e p a n -n e a u x , d e t r o u s l a p i n a e t rte p i g e s .

    L ' e m p l o i d e c h i e n s e s t , en o u t r e f -xc|.)-t i o n n e l l e m e n t a u t o r i s j u . ^qu ' au 31 m a r s 1917, s a n s p e r m i s d e c h a s s e , ni a u t o r i s a -t i o n s p c i a l e p o u r f a c i l i t e r ' l e s d e s l r u c -t i o n s q u i a u r o n t l i eu a n s a r m e s f e u .

    Arl . 4. I n d i ^ p e n d a m m e n l de.s b a t t u e s q u i s e r o n t c.onlles a u x Lie iUennr i t s le l o u v e t e r i e , d e s a u t o r i s a t i o n s p o u r la d ^ i -t r u c t i o n d e s s a n g l i e r s , p o u r r o n t t r e hc.-c o r d e s a u x M a i r e s a i n s i q u ' a u x p a r t i c u -l i e r s q u i n o u s e n f e r o n t la d e m a n d e .

    Ar l . 5. Les M a i r e s de-J c o m m u n e s o d e s v o l s i m p o r t n i s d e c o r b e a u x s e r o u t s i g n a l s , s o n t d l g u s p o u p a u t o r i s e r k s c u l t i v a t e u r s o u l e u r s r e p r s e n t a n t s , f a i r e t e m p o r a i r e m e n t e m p ui d u f u s i l , p o u r r e p o u s s e r e t d t r u i r e les c o r b e a u x , s u r les c h a m p s p o - t a n t les ro'oite.s h d -f e n d r e .

    A r t . 6. Il p o u r r a t r e a c c o r d d e s a u -t o r i s a t i o n s v a l a b l e s t o u s les j o u r s j u s -q u ' a u 31 m a r s 19l7, p o u r la l iws l ruc l iou a u f u s i l d e s c a n a r d a s u u v n g e a , .sorcel ies , u i a o r e u s e s , f o u l g u e s , j u d e l l e s , v a n n e a u x e t p l u v i e r s , n o n c l a s s s c o m m e n u i s i b l e s , p a r l ' a r r t r g l e m e n t a n t l ' e -xe roue d e la c h a s s e .

    Ces d e s t r u c t i o n s d e v r o n t a v o i r l i eu s o i t e n b a t t u e s , s o i t a u p o s t e o u a u c h i e n d ' a r r t , m a i s s e u l e m e n t si^r le r i v a g e de la m e r ; d a n s l e s m a r a i s e t h m o i n s d e 30 m t r o s d e s r i v e s d e s t a n g s e t r i v i -r e s .

    Le p e r m i s d e c h a s s e e s t e x i g d e t o u s l e s t i r e u r s q u i y p r e n d r o n t p a r t , s au f d e s p e r m i s s i o n n a i r e s m i l i t a i r e s dr la z o n e d e s a r m o e s , r iour lescjue s i', sufili-a, suit d ' i r e i n v i t e par- u n e (.ler-suiiue ,iyaiU u n e a u t o r i s a t i o n , s o i t d 'ob t i n i r eu . \ n i i o e s u n e au tor i s t t l i i )n . s ' i l s son i p r o p r e t i i r e s o u l o c a t a i r e s -lu d r o i t de c h a s < e .

    Les i n t r e s s s d ' - v r u n t Tious p r s e n t e r u n e d e m a n d e , s u r p a p i e r t i m b r t j d e G f r . t50, i n d i q u a n t le n o m b r e de t i r e u r s q u ' i l s c o m p t e n t s ' a d j o i n d r e , e t v i s e e p a r le Ma i r e d e la r e s l d e n c e d e s r e q u r a n t s q u i c e r t i f i e r a l e u r h o n o r a b i l i t .

    A r t . 7. Le t r a n s p o r t e t la v e n t e d u g i b i e r d ' e a u v i s a l ' a r t i c l e p r e c e d e n t s o n t a u t o r i s s , s a n s l i m i t a t i o n d e p o i d s e t j u s q u ' a u 3 av r i l 1917, a u v u d ' u n c e r t i -ficat d ' o r i g i n e q u i s e r a d l i v r p u r le M a i r e et q u i m e u t i o n n e r a q u e l e s p i c e s t r a n s p o r t e r o n t t d e t r u u e s s u r le t e r -r i t o i r e d e la c o m m u n e , e n v e r t u d ' u n e a u t o r i s a t i o n r e g u l i r e , e n i n d i q u e r a la q u a n t i t e t l ' e s p c e e t f e r a c o n n a t r e , e n -t ln , l es n o m s et a d r e s s e s d e i ' e x p e d i t e u r e t d u d e s t i n a t a i r e .

    L e s t a x e s d e l ' o r g e e t d u s e i g l e . - Article premier. - Le prix max imum de

    l'orge, y compris l 'escourgeon de bonne quali-t et do toute provenances pesant au inoins 60 Iti logrammes l 'hectolitre et ne contenant pBs plus do 20 0/0 d ' impurets , ne peut tre suprieur 31 f rancs par 100 kilos pris chez lu producteur .

    Art. s. Le prix m a x i m u m du seigle de bonne quali t et do toutes provenances ne peut tre supr ieur 30 f rancs les 100 kilos pris chez le producteur .

    Art. 3. Les prix fixs aux articles 1 et 2 ci-dessus pourront tre m a j o r s d 'une s o m m e reprsentat ive des frais de camionage, de ma-nutent ion et au t re s frais de la rmunra t ion des commeran t s intermdiaires sans que l 'ensemcle de ces frais puisse dpasser 1 fr . 50 des frais de t ranspor t par voie ferre do la gare de dpar t la gare du lieu de cosomma-tion'

    Art. 4. Sera puni, confd rmment aux dispositions de l'article 1" de la la loi dn 17

    'avri l 1916 et de l'arlicle 4 de la loi du 29 ju l i -lot 1916, quicunquo met t r a en vente ou vendra des orge.s ou des seigles des prix 'suprieurs aux prix ll.xs aux articjes 1 3 ci-dessus, ou annoncera, publiera ou alTlchera des cours su|Jri r f i . Gonfor l -en-Meil . ' i rs ; P l o g a s t e l S i - G e r m a i n ; P lonivez-du-Fuou : B e r v e n Q u e r r i e n ; . ou ,

    Vendredi. L a m p a u l ; Snmedi. - - Le C l o t r e - P i e y b e n ; Loc-

    l i g u i n e r ; Baud ; St C a r a d e c t r g e r m e l :

    Q u i m p e r l

    NOM eompuiriotmB J * a a a i T u l ' e ' n e m l . - M. J e a n Ron^ Droal

    a ftUi t u l't n n e m i , le 19 D - c e m b r e iwl6, au r n v i n de S l - H u b e r t . C o n d o l a n c e s s a f a m i l l e !

    / ConBU dm rvigioa, ~ Jeudi K 13 b .

    1/2 les conscrits du canton do Quimperl appar tenant la classe 1918 ont romparu devant le Conseil de rvision M. le Sous-Pr-fot k.rcldait assist de M. Ouyonvarc 'h , Con-seiller Gnral et Gallic, conseiller d ' a r rocd ls -ement, ont t reconnus aptes au service a rm , sans compter les bons absents , sdrvices auxiliaire , engags volontaires , inscrits mar i t ime . Le i a jou rns ont t au nombre de et non compris dans ces catKories, pour Conseil pass ailleurs, le 15 Mars il sera prononc s u r leur sort .

    D i s p a r i t i o n d lUdJudmui Loui Thmlmbmrd, L ' ad judan t de rserve Louis Thalabard , a disparu devant I taucour t (Somme) le 25 sep tembre 1916. Il avait on le sai t mri t deux citations :

    A entran br i l lament sasection h la co^ntre a t taque du 13 juil let . Sautan t dans la t r a n - che prise le premier , il a chass l ' e n a t m i e*ups d g r e a a d a i

    Excellent chef de section : a donn main-K les fois de preuves d 'un courage al lant jupqii' la tmril'.

    A disparu le 25 (^t-plembre 1916 en enfn i l . H nnt sa so.lioi fi l 'assaut d'une, position 't I" prix il"s pUcvs M Honore eom bin- iM avec c-^t'e c uis -rie une .serin de (llms Tii auront rappo-t au narr d" l 'auteur de Dixmude.

    Antre confrence, M. Jul lon La Oorre , mobilis, pourvu de l 'autorisat ion d s e s chefs , f o r a Dimanche 2 0 J anv i e r , en la salle de l 'Ecole Maternel le , 1 4 heures , une causer ie su r ce s u j e t t rsIntressant : >< i\os soldats et la Guerre Nous n 'avons pas besoin de p r s e n t e r nos lec tures le oonfrenoes auteur do pages cha rman te s , dans l'Union Agricole sous le pseudonyhoa de P i e r r e K e r -madec.

    Droit d'entre o fr.' 50. Une qute sera fait au profit des uvres de ftuerre.

    X s gmrderie des tabliMtementB Rivire. La garderie dont nous avif)ns annonc l 'ouverture ventuelle a t in.nipure le lundi 15 janvier , cette in^tiiution qui fait le plus grand honneur l'initiative patron de M. et Mme Rivire fonctionr!(> pendant tonte la ihir(^e du travail jor-M' ie"- ii-^in'!S.

    Elle a d m e t les enfHnts de 2 6 .ms. de toutes le- femme-, p.mp'oyi^s d a n s l i s aieliers.

    Son contingent actuel comporte ut;e ving-taine rl'r;nfants.

    L'clairnfie lectrique a t installe par tout et M. I j muire de Quimperi a mis, a titre graieux. l'eau d la ville a la dispc-^ilion de la ffarderie

    Une bonne vache lailite a t aoheVe pour a s su re r l 'approvisiounernent ncessaire de lait.

    Les enfan t s seront nourr i s g ra t ru i t cment . , Madame Caron, asshre la direction de l 'uvre et veille avec l'aclivit et rinteiliK^-nce qui la caractrisent, & ce >|uo tous les en lan l? soient l 'objet des soins de propret (pie coiu mande l 'hygine.

    Enlln cette garderie se compose ' comme suit ; un vestiaire, une vaste cuisine, u n e eaiie manger , u n e g r u j d e salle de rcration un dortoir, une salle de bain, uii bur-'au.

    Tout le personnel est loi^ dans l ' immeu-ble.

    L'Union Agricole est heureuse i e sduhaiter la garder ie nouvelle, le plus entier succs.

    JBienvenne nimperl ! - N(ii]S> a p p r e n o n s q u e la f .un t i l e de virt.e BrV-uil l a rd , d o n t le rna r i , f,.iinriiis;iir d e p olice e s t m o b i l i s c o m m e c a p i t a u e e s t r^n t r e c e m a t i n Q u i m p e r l , v e n a n t d ' u n c a s d e c o n c e n t r a t i o n a l l e m a n d . E l b - a v a d t p r i s h. P e r o n n o en j u i l l e t . Cn \ i e i l l ; i rd uo 87 a n s a d r e s t e r Veri4!ull->s c h e z s e s p e t i t s e n f a n t s .

    Vne bonne non-rello. Nous appre-nons avec plaisir que le pianiste compositeur don t nous avons eu d j l'occasion d'apprcier le talent ilans les concerts donns au profit des uvres militaires, a l'intention de venir ensei-gne r le piano Quimperl .

    M. Paul Pickart est l 'auteur de la clbre Marche Printanire (]ui ds son apparition rempor ta un succs norme.

    Un extrait de sa biograptiie (jue nous em-pruntons la Revue des JJeaux-Artu ff-ra mieux que tout loge d e ' n o t r e pa ' t . (."mnrti,ire quelle bonne aubaine sera pour nos a ina ' eu r s de musique l 'enseis'nement de 00 inaitre.

    Nous lui souhaitons prompt sui;i;>'!,s. Selon l 'usage, c'e-^t foi-t tt. ds i. toute

    jeunesse que la vocation lui Ht tinter la ntui-panule d'or qui si heureusement f,8 '.es c.-nes prdestines.

    Donc, il commence d'luilier sous la direclloo de M. Grison, l 'organiste que regrette. i t encore les orgues de la Cathdrale do Hoims.

    Et puis il vint il Paris , en t ra an Conserva-toire, et suivit simultanf-ment les Cours de Marmonteliet Diemer (Piano; et ii l'ICcoie Nationale de musique classique et rr'lij.w.se (NiedermeyerJ le cours d'ai'i 'omprtg.i-iuunt .le Paul Viardotdo Grand 0:>riie(Loret et Uigout d 'harmonie (

  • m

    FP r i x d M p laoM. En soire : Rserve tr. . F tmi res 1 fr . 10. Secondes 0 fr . 7 e t troisimeH 0 *r. &0 (pour tout le moad ;

    Sn Matine : Grandes personnes, mme tarir que ci-d89U8 et pour les en fan t s au-dessous de 12 ans , les prenii^aa t f r . 65, la 2* & U f r . 40 e t les troisime a 0 f r . 30.

    Nota . t e s OlesNs militaires en tenue onl droi t & l 'entre gra tu i te en Matine.

    La aile est chautle

    Mtm'Cirii, - miaance. Reconnais-sance de Marie>Angl-Estelld Pi lorg. Marie-MIcbellne-i 'ernne bcaviner, ruelle Soint-Golomban. Albert- t iaston Bocourt, rue deb Cbambriera .

    PuOUcation de Mariage. P ie r re -Ren Cornou, quar t ie r -ma t re cbaut feur Ciiiii-Croix etJviarie-Miolieile Cardieo, sans prol'ua-sion, Kermenlen. Nicolas-Jean Le Uallic, Jouraai iur , a CiOAim et Marle-Jospliine Les-oeo, Journalire, Lotba.

    MarUtget. Hen-Lon-Thomas , tudiaul en ptiartuacie a la Uare e t Louise^Klicie R i v a ' lain, sans proiession, rou le de L o n e a t .

    Dc*. - Transcript ion a u dece^ de Frauuib Jul ien Le Uall, m o i t pour la France. iviui guer i te Ta labardon , 'ti ans, u ieuas ie a l'hua-pice. Louls-Mane-MicUol Le BOUBC, a^au, A la Gare de la Foi-t. iViarie-Miutielme- Hur-r ine Scaviner, 1 j ou r , rueilu Samt-GoloinOun. Marie-Henee Jouan , 9i4 aus^ couturire, veuve de Bertrand Audro, l'Hutipice.

    JPMJkMMA.CJB I>JS, SMHVICJE! aviaouita

    R i o e J P o l i e * dm r o a i n ^ * . Le Lundi ih

    Janvier , prs de Keraadrau-Loyea , & 10 h . Franois-Louis Le U . . . cUarretier ciiez G . . . . Le U . . . , en t repreneur , circulait avec uue voi ture & deux chevaux, dans laquelle il tui mont , sans guides. Il f au t des guides, lui ou. fait |o qnrver les genda rmes ,

    i B a n n a l e o

    J > l i i dm cimMMm. Dans la direction du cbAteau de Kerlagudic, le samedi 13, ver. 15 11. Louis iMoncbicourt, en qute d 'une peau de livre pour fabr iquer un tok-moul-uhel n'i> rencontr que le carnet du gendarme . Ce n'est pas la premire fois que a lui arr ive.

    I X S c a r

    Mtmi-Cira d * * r i a a t r m ie. f- Naitsance. Barc Andr-Jean, du Stauc. Gorvan Margueri te , do Toyal . Le Goi, Adrienne, de Timoter . Quen Marie-Anne, du Bourg. Donal Louis-Alain, du Mouiiii Kergoaler. Laz Marie-franoise, de Kei-salaUa. J a m e t Franois-Louis, du Bour^. SalattQ Jean-Josepb, de St-Gunol. Lt Bris "Yves-Louis, de Bodilen. Furie Marii-Anne, de Logegaor . Salan Yves-Flix, d t Hrat-(k)ter. Tallec Josphine, de Kerlan. -Le Oez Henri-Rene, de Tigioanec. Bure FrMOise, de Kerzao. - Le Bihan Marie-Anne, de Coadri. Guillerme Yvonne, di. Bourg . Mab Franoise, de Cheumbeux. -Toulgoat Cbaries, de Coataner. Bourlii Hlne, de Keranglae. Heur t Yves-Franois d u Bourg. Salaiin Bernadet te , de Tinaour '

    j a f f rzou Angle-Georgette, de Henfrat . Mariage. P rennou Louis et Guyadei

    Marceline-Jospbiue. Riou Jean-Marie et Rouzio Marie-Louise. Flouter Jean et Le Bolc'b Marie-Louise.*

    iWcii. Bourr iquen Franoia-Loul, I2 ans , d e PontrMur. Le Meur Louis-Corentin! 14 ans , de Tigioanec. Guillou Marie, 13 ans , d e Kerzao. Le Meur Henri, 8 ans , de Ti-gioanec. Le Meur Anne, 10 ans , de Tigioa-nec. Bruno ' A n n e , 34 ans , pouse de Lf Mnar Jacques, de Tigioanec. Le Meur Pier re , 5 mois, de Tigioanec. Robin Louiht, 18 ans, clibataire, de Bannaloce. Moysai Marie-Franoise, 57 ans, pouse de Anioint Bruno, de Tigioanec. - J a m b o u Yves, 40 an?, poux de Marie-Madeleine Lejour , de Alfao Guilloa Louih, 63 ans, pouse de Jacques Sin-quin , de Coat-Courant. - Hlias Loliis-Josepb, 41 ans, couvreur , du Bourg . Le Bec Jean, 71 ans , poux de Franoise Bourvic, du Boury. Moysan Josepb, 18 ans, bcheron, Ti-gioanec (ars deut) . - Le Reste Henri-Louis, 2 ans, du Bourg. - Sinquin Marie-Rene, 56 ans . pouse de Rinvier, Cascadec. -Jgou Henri, 79 ans, veuf de Marie-Jeanne Lamand , Kerl iou. Gouill's Marie, 22 mois, de Tigolyan. Herv Marie-Louise, 78 ansi veuve de Coroller, de Min-Guerveur. Bal-laven Marie-Louise, 25 ans, veuve de Riou, de Min-Trouzal. Pendu Ren, 19 ans, di Kerzouars. Derrien Ren, 71 ans, poux de Landre in , de Kerlouen. Uensezet Murii-Anne, 68 ans, veuve de Dagorn, & Goarem-Kerver. Bruno Henri, ancien cantonniei , 69 ans, de Moulin-du-Pont . Guillermt Guillaume, carr ier , 69 ans, poux de Le Goc. de Fe rmou . Le Bihan Jean , 79 an, veuf de Le Floc'b, de Tigioanec. Garnier Marit , 85 ans, veuve de Moysan, de Logelauiu. Lt Cofre Marie-Louise, 50 aus, veuve de Noni . , de Tigolyan. Jeuu Ren, 82 ans, veuf Ue Le Duigou, de Tigioanec. Le Du Jean. 51 ans, veuf de Daron, du Buurg. La. Joseph, cantonnier re t ra i te , 76 an, poux dt Heurt , de Min-Groas-Nvez. Jgou Lcuin, 3 j^_de_Min St-Jean.i .11

    ^idL Kavet e vo ennan eun dibab, grae t eus. a r

    gwel ia , eus barzonegou ha kanaouennou barzed an k l X v e t icantved ; Da Vreiziz-Veur ) g a n t Ledan ; Mari gan t Brizoux ; a r Bleizi-mor gan t K e r a m b r u n ; Kiihog a r ba r rez J ha Kimiad a r zoudard gan t P rospe r P r o u x ; Kimiad ar Barz gant ar Y a n n ; Breiz-lzel , Mervei 'zo red ha Kerez san t Pe r gan t Luzel ; Avel miz du deus a r c ' h o a j o . . . gan t Hannou ; Koulni a r Barz .ha Soudard Kastel-Paoi gant Milin ; Noz an Nedeieg h a g An amzer da zont gan t Kelien ; An daou vaout ha Mathurin an Dali g a n l an abad Kore.

    Peadra da lenn b a da zidui hoc'li amzer , evei m a wei i t I

    Ar re eus bon c 'henvroz a zo en a n n e n'o devo, da gaout al levr nevez, nemet e c 'houien digant , Fransez Gourvii, P . G. 2, contrle pos-tal, Pontarlier (Doubs). BAMHUAMAIBAWISUAMI^NGJ^

    gPlomel in C i t a t i o n . ~ M. Gamillo Roussin, do Plo-

    melin, pilote l 'escadrille F 398, a t cit l 'ordre de l 'arme de Sarraii : Pilote habile et consciencieux qui a excut de uomoreu.\ bombardements de j o u r et do nuit et des raids g rande distance. Pendant la piiodc d'oprations du 1" Octobre au 18 iNoveinbre 1916, s 'est dpens sans compter . En volant de basses altitudes, a permis d 'excuter des rglages do tir impor tan ts ; a eu son appareil plusieurs fois at teint par des balles d ' in ian-terie et des clats d 'obus .

    Paris

    J>*un lettre d*A.a.atoJe. e Sraz. Paris, le 9 Janvier 1917

    Mon cher Le Berre Jo suis bien en re tard pour envoyer inoi

    ulavez mad l'Union Aorico/e et l 'ami qui le dirige avec tant de ferveur et de comp-tence. 11 ne faut pas m'en vouloir. J'ai t unt lois de plus^un bouddo, avec des dmna -gements l clef, et des tas de besognes crivaiiler un peu partout , su r les tables d>.-;msard, devant lesquelles j e pouvais m'asseoir aux tapes.

    Trouvez ici, avec les vux de ma f emme a ^ui l'U7iiOH est familire comme un papier

    Mme Siaquin, 47 ans, commeran te au bourg de Kernvel cope en tou t cas d 'un procs-verbal pour infract ion & la loi du 13 Juillet 1880. Le d imanche 12 no-v e m b r e elle a, pendant les vpres, tr inqui chez elle avec Mmes Tuda l et Lahuec qu. elle a servi trois verres de micamon, raison de 0 f r . 10 le verre . Elle reconnat n'avoir pas le droi t de tenir dbit .

    Q u i m p v r X * erditmuuriiime. M. Bronkhorst ,

    adminis t ra teur principal de l'inscription mari-t ime , Quimper , es t n o m m Insjflsctcur du crdit mar i t ime de la rgion de l'Ouest.

    C b t a a n o u r - d u - F a o u JTumemirferme, Lundi 22 Janvi r r

    1917, & 13 h., m a r c h aux chevaux, vente de 32 Jumen t s . *

    Lorlent ^ r f e t ' m u r i t i m m Le Vice-Amiral

    Favereau est n o m m prfe t mar i t ime du-3 ' a r rondissement .

    Morla lx Wml l T T i a r M r i t r x o n d r

    edt B m a a bon mignon ker, Fransez Gourvii, 0 paouez e m b a n n eun eil levrig ka-naouenuou evit a r zoudarded .

    Moalet eo be t e Montrouloz, e ti Ooaziou, a r mou le r Bre izad ; tevoo'b h a b r a v o c ' b eo i c i a n U n i k e n U .

    Gu6H& ijjj^ C H U T B 8 D B M A T R I C U

    D C P L A C E M E N T S D R b R Q A N I S

    LA HERNIE, parses souli'rances et la gravit le ses consquences, c&t cer tainement une des

    plus grandes calamits qui f rappe l 'humanit. Ses plus nombreuses victimes sont les TRA-VAILLEURS DE LA T E R R E chez qui les efl'orls physiques, ds fi leur pnible labeur provoquent f r tqueuHiuiul . L ' E T R A N Q L b -MENT HERNIAIRE gru lK; IxiHo dPCOtivertC pour tous ces malhuurvux que la MTi' lODE LK ROV DE PARIS qui. .sans aucune fi.tiH, et sans (iianger les huliitudesi, fait disparatre uusbill la HERNIE et en assure la GUERI-SOIM DEFINITIVE conimo l'ont af f i rm les. MILLIERS DE QURISOiMS (ljfl puDiitOS. ' t q u u conl inae h nouveau les A T T E 8 T A -n O N S prises pann i les plus rcentes :

    M. LEROY, spociaiistti-herniaire, PARIS, suis heurtu.N, de pouvoir vous tmoigner

    toute ma reconnaissance. Grce votre IMERVEILLEUSE MTHODE

    la HERNIE dq'nl, j e souflYais depuis P L U -SIEUH8 ANNEES est iibholunienl QUaRIE . Aussi veuillez croire toute ma grat i tude.

    12 avril 1916. Mme E U Z I T .

    au Drcnnec en Saint^Cadou (Kinistre)

    M. LEROY, spcialiste-herniaire PARIS Je ne sais comme! | l vous reiiietrier, cai

    x r c e votre MERVEILLEUSE MTHODE je suis C O M P L T E M E N T QUERI, de fnu HERNIE qui me faisait soufl'rir depuis 2 0 ANS.

    5 dcembre 191G, ROIQNANT Gabriel

    PLOUOULM - - Finistre Hsiter encore, serait tre son propre bour-

    reau. C'est pourquoi, n.oui sommes heureux d amioncer nos lecteurs que M. LEROY 7."), Faubourg Saint-Mai Lin, PARIS, sera nou-veau p a n a i nous. .

    HERNIEUX, ne confondez pas et ne man-quez'' pas d'aller voir raiiueuL spiicialisle qui r e c e v r a : HOMMES, FEMMES et ENFANTS ilans les villes ci-apre.'^. Loriont, W.irdi 23 Janvier, HolcLics Voyjjicuri.

    ORTHOPDIE IVI