le courrier du finistere du samedi 03 au...

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LE COURRIER, a i m m 65* Année - 3.373 » 1 Irme Samedi 3 Juin 1944 TTV.&TLTTTLL LA SEMAINE ue la Trinile. — 5. Ц SU .— o. M. s. Norbert- - - "• M. 1 ... Jcucll an » . S. Suerrroent,i - . ,i .s. im i Ostavo. — I L *ci«- LIOUR D O U A R nou a vrczel a zo muioe'h- ... .. Uout u òuzon potra eu ber..: in uachonn, E l:cment stourmaü . j not er brczei all em eus bet icc'h mit cm eus GROT war .., ejoall' chiazet oun bet eno; .. nun bat cr sortirne; leant ha jv/jcii oun bet e rirkl vn buhe*. vc:;*.o ce c'hoaz goosoc'h bea war i henh er brozol-man, abalo- „...-Í:;Í a gtru-nij. a donkou •. i .. : rnòu ncvaz a zo. > .... t . ..i.;a:i .'. ijijal cr paour- I.. a zo tn cingami nog e c'hou- groiz KaRn digant Kalon Je- ts tCalon Dinam ar Werc'hez Vari alzalo сип termen da gement a Ml da ucb tra, bezomp ni ivo •• лаг, an dnehenn hor beus da I v.arni, war dachenn.al labeur noil uachennou na vint ket ma- • : anni ar brezal, a dlcomp da . AN', nctz-kalon. Lakomp u ruma ma c'hcllimp a legumoj . Nn vc;:c morse re, na vezo r a.'.iulc'h, . . . . i Koueriulcl, dnoust da beb i co tadou magerion ar Vro, •'cl. ProVldaha Doue en ken- i с henvroïz. Labouromp kalo и hunter gant Doue cvlt rei i nn-d'ur re all ar bara pemde- c'houiennòmp gant Doue rei -l> bemdez, FArrcii Couzn. IH Militerà l'or. -v\»SA- NEZ, «IWERC'HEE Vari! FÊTE DE J E A N N E D ' A R C (S juin) $ Voua imagine» la réception, au Paradis, de Jaannatta d'Are dite 1» Puceiie d'Orléans, lorsque Bon corps de vierge na laissant autour du poteau d'infamie que da légère débrie ealcinéa, bientôt Jetés à 1» Seine, son Ame de colombe envola du bûcher! Elle 'avait été à la peina, H était bien juste qu'clje fût à l'honneur. Cartaa, elle avait connu aur terre de» journée» triomphales: les acclama- tions de» soldat* enivré» d» victoires, le» cortèges d» tentes dans l'enthousiasme (au, la» dévouement» affectueux jusqu'à la mort, le» joie» indicibles de» déli- vrance» peu à pan étendue» le long do la Loire, de l'Yonne, de ta Seine, da la Marne, at la voilà qui pana l'Aisne et atteint l'Oise. A Orléans, lorsqu'elle entra d'abord, le 19 avril 1420 — à 17 ans chef da guerre et victorieuse, — toute blanche dan» aon armure blanche, uvee ton étendard blanc aux trois fleur* de lys, aur la beau eheval blano donné par Dunols, quelles clameurs du bon peuple, bourgeois, artisans, prêtres, soldats, déjà réconfortés et comme tout désasslégés, à la lueur mouvante et rouge des torches dana la nuit, jusqu'à la chère cathé- drale où Dieu attend! L'idée maîtresse, l'Idéa-foroe 4e Jeanne est très simple. Elle a compris le lien d'intérêts, de gratitude, de dévouement qui unit le» Français, comme elle- même, à leur Roi. Maie le Roi doute de soi-même. U lui manque surtout le vrai aaere de Reims, qui manifeste l'Oint de Dl»u. Pour que le peuple recon- naisse la Chat établi de par Dieu, il faut qu'elle mène aon gentil Dauphin jus- qu'en la villa du Saere. Après-quoi, plus de doute, la Franco retrouve son droi- turler Seigneur. Elle ne s'embarrasse plus des arguties da partisans et de légis- tes, Ella suit le chef légitime. Avee elle II combat, Il souffre, il triomphe. Après quoi, avec ou sans Jeanne, n'Importe. Oa qu'il faut, c'est l'union entre les Fran- çais par l'union au Chef dont l'action représenta et multiplie la leur. Orléans a rendu l'espérance aux pauvrea désemparés. Reims leur donna, le 17 juillet, la certitude de la délivrance, La jaune Roi était entré à cheval dans l'église Jusqu'au choeur. Grande et petits, «lares et laïcs, l'avalant entendu Jurer aur l'Evangile de garantir les droite des peuples avee justice et miséri- corde. Les trompettes sonnaient, sonnaient si fort qu'il semblait que les voûtes allaient fondre. Les visages et les coeurs tremblaient, de Joie et d'enthousiasme... Et Jeanne, sa mloslon rempila qui était de rendre un Roi à la France, et la Franoo au Roi, demanda la permission de retourner ft Domrémy... Or il fallait qu'elle souffrit. Il fallait que le martyre fit éclater sa sainteté, ot aussi le miracle français, dans la lumière la plus nette et la plus fulgurante, pour sa gloire Jusqu'à la fin des âges, Jeanne d'Arc ne pouvait être toute elle- même qu'à condition d'être sainte Jeanne d'Are. C'est tout ensemble celle qui sauva la Patrie et sa fol que dans l'éprouva et l'espoir en Dieu nous fêtons. René C A RD ALI A GUET. МОП СЛЦШТ Forces spirituelles de ia Bfelàgie| Parmi les forces spirituelles dàl la Bretagne, il en est une qui prend ta souxey au plus int,' de notre être, et dont chacun nous éprouva toute la puissance heures où il cherche À s'abstraira monde extérieur pour m replier lui-même et essayer de se connaîtrai comme l'y engagent à la fois la SAGESSE! païenne et la sagesse chrétienne, d'ac- cord sur ce peint: c'est l'amour de not» morts, c'est notre fidélité à leur voix,' Sans doute faut-il se garder ici de! toute exagération, en ce sens qu'il serait! manifestement absurde de prétendra que est amour soit particulier à la Bre- tagne et plus ou moins étranger aux» autres peuples. Partout, est vraia la» parole fameuse que l'humanité se comv pose de plus de morts que de vivants» Mais ce que l'on peut affirmer sans* crainte, c'est qu'il n'est aucun peupla chez qui se soit manifestée plus claire»' ment, au cours do son histoire, et chea qui se manifeste aujourd'hui encore avec plus de vigueur, cette continuité, eux mystérieuses profondeurs, qui rat» tache les vifs à ceux qui les ont pré- cédés sur la même terre: on dirait que l'âme bretonne, mieux que toute autre, sait garder avec ses morts comme un sentiment de douce et paisible fami- liarité. Il serait facile d'invoquer le témoi- gnage du folklore; nulle part, sauf dans les autres pays celtiques, le* lé- gendes ne sont aussi nombreuses, qui mettent l'homme en relations directes avec l'au-delà. Le témoignage de l'art, de l'architecture en particulier, mérite encore plus d'être retenu: la i Bretagne est la terre où se pressent les ossuai- res et où les monuments les plus ori- ginaux viennent se grouper dans les cimetières. Mais la preuve la plue émouvante, et que nous préférons, nous est donnée par la coutume pieuse des ' —l^mm CONC Kantik аг впвжв»' то. Saniti itati Alamm Doue, il" OS. dnnullnet holt dlrak ho rfta Vari, Иен, fi liei da rei skonzcl d'hor bro ger en. pi l»oV'li gwlrlon goulenalt digant Doua INI.. Щ M zo gwull boanlusi true*, Ower- 8 Veril 'i /nutrì, Rumine» an Nenv hag an Mr, t hor Bici* ' so beuset s'r c'haonv I t'i c'hluc'hur, 'runs. Mcrc'h liona 'n Ills, a so bras Mora., : 'la d'ho frealsl named- Hoo'h- i.wcre'hez? Ш GR-r, evit difen ho bro msur-bed . brasa ners-kalon, hor gwased Itti rtdot. i.'iiiill ha Brels-Izel prest da Ml l'uln-z ... . . . menci int betl.. O Mam.,* Out ho II truest Шел; e-ki-elx ar «taurmael aur 9 NO marni MIN* buhan d'an Nenvou, ohi pedlt ••••r'"* V i t * r t*****'' mammeu ha λ XOIIET e 'r brasai ho Md, saab fa f". Mam, «un nlvor bra» t sa durent win, N «iloü- boli ho c'herenti ohi 1|Ц»11а renu. Ш 'ta, Mam a druez, a alleilo 'n dud ,'lO- У*. vro ho e'iiavel, ' lae'h a gorf bag ' «''or Warobes Vari, MA» J«»M» : skJL rTRMilAOLi •*>-- af. Petit Courrier de France Orléans encan bombardé: 150 morts. 2.."oo sinistrés, la cathédrale très touchée. M. de (iuullc demande aux Etats-Unis l'or français: . "> millliirds de livres ster- ling; mais son « gouvernement n'est Î ns reconnu par l'Augleterre et les Etnt»- Inls. — Raid allié sur lu région pari sienne. — Les Hrctoiii du Stalag I 3 en volent 110.320 ri pour les sinistré» d« Urest, I.orlcnt, Nantes, Malnt-Niira4re, liuii- lleuc de Rennes. — • M Rug Dutholt, prési- dent des Semaines Sociales de i'rnnce, doycu da 10 Faculté catholique de droit de Lille, vient de mourir à 74 ans. Raid » alliés » sur Rénovais, l'Aisne, lis Vur, l'Yonne, la Nord, Meurthe-et- Moselle; Mulhouse! près d« 200 mort» : Lyon, 300 morts, — Le» terroristes et leurs complices seront déféré» aux cours M in- finies (Cours criminelles extraordinaires! qui Jugeront sans appel, et sans pourvoi «n grâce. — Les Américain» rmprl«ou mnt le gouverneur fi'unen!» (dissident) de Dakar, « coupslile » d 1 ' protester cumu- le» bombardement» aérien» eu Frunee, Aux Cardinaux 4 français les évéques anglais répondent que le succè» dtt allié» ne doit pas être comproml» par la non observation des ordres de destruction», mal» qu'ils déplorent la mort d'Innocents et les dégAt» Infligés aux monuments cul- turels. — M, le maréchal Pétaln » visité Nancy, Eplnnl, Dijon, Acclamé partout, OUX nreents de In fturtttllattie, A Nancy II a dit; — i, Je reviens parmi vous dans un temps d'épreuve. De plus graves noue- ront nous frapper encore 1 noire territoire devlondru peut-être la chnnin de bataille des armés» adverses, Restes lldèlcs k voire devoir; n* vous mêles pu» des «flaires dés autres; vous «ttlreries sur vous de terri- bles représailles! vous accroltrles Te» mai- heurs d» la patrie. Ayss confiance en mol, suivez-mol; attendes avec câline le» événement*. Si vous obéisse» a mes ordre», la Franc* se relèvera et non» connaîtrons des Jour» meilleurs dans une Europe sau- véo et réconciliée, -~ A Eplnsl dévasté 1 « On m'avait décrit votre cruelle situation, -Maintenant. Je l'ai constatée. Je suis -écoeuré par tout ceux qui ont semé dan* vo» murs tant da souffrsjres «t de douleur, mal* ne désespères pa»t vou* ave» de» ami*. Je m* ferai tenir au courant de» plan» d* reconstruction da votre cité. Je promet» tout mon appui à vos représen- tants. Compte» sur mol. J'enMorto d'ici une image qui n'est pas prés de me quit- ter. Je vous al vus courageux dans ('ad ver «lté. JS par*'à la foi* attriste et récon- forté. » — A Dijon: « Refaites.vou», me» amis, une Ame, un* Ame confiante. Obéis- **g aux Ordre*; n'écoutes pat Tes mauvais bergers d'au delà de nos frontier*!. Tra ie'flîe, '(l'évêqûo Mgr Delay cou «lamno « lo crime sues excuse ); Lyon, 7«# mort» (le sordina! Ofrll«r «ОД LES alnlMrée); Sslnt-Erlenoe. 700 inerte «Vvé• Щ Mar Bornet,visite les sinistrée); ,Av| jjnpu, Sèe mort»; «le*. 2*1 morts; Nlroe» Wi Montpellier, idOi région parislenn* Ш#I Cbai'lre», MI AJbbevilTe, 100: le Nord Mi > i&alaa, 100 morH. - Pentecôte san FLBMTSL Petit Courrier des Opérations ht Si. dés nu SFLTR ilerlln et Surrebruck bombar les Américain». Rudes combat* a ettUhÒI fil ellBr* alliés détruits. Le 20". -• L?s Allemands décrochent de Littoria et de. Trrruclna et s'unissent vers le» contrefort» montagnenux du nord-est. Le» Hnglo-iiinri'icnln» perdent RIO UVloilS è Ilerlln, Wlenrr-Nciisiodt, Aix-la-Chapelle, région de Vienne, liti Ici allemand sur l'est anglais. — Rn eu* d'Invasion, le» urmei seerftle» nllemuiidcs donnei,un un nspeotj Inattendu h lu guerre, et vainçronL Le Si. Lutte iieliiirnée ou sud et /1 l'est de Vellclrl; le» An^ln Américains I riiiiehissent le Lli-I; 1211 de leur» rlinrs sont détruits, Au nord d e la Norvège, 70 avion» so- viétiques sur Hi), abattus. I.e. 30, Aprili» «n ruines. Succès dél'eii- slfh. Grosse» pertes alliées. Raid» 11 Ile mniiil» sur les gares rustics; américaine Stir Cologne, etc, (fill bombardiers alliés abattu»); miglili» sur Miiniiheim; alle- nili nds sur 'lotquay, Bristol. — f-e :)l. Atlnqiie» miiHtlvc» iinglo-iim<''rk'uine» dan» les eeeteum de. Velletrl, Volmonlone et Cercano, rapidement verrouillées. Raids aérien» sur Lolnilg, Pqsen et Cotthus. 01 avion» abattu». Riposte allemande sur Fui- niouth et Porsmouth. - s w " 111 1 IL UUitllUV - , , nrières fréquentes et renouvelées sens ^'È pour les défunts, et par les aumô- LOTERIE (18'»» tranche) Le» miuii'-i-oi. Unissent pur : 0 gagnent ï ' i d fi-, rn sérlo A e t u. 41, .18, 17, I.-., 81, 76, i l , 12, 07 et 23 -, 400 fr. en A et D. !)»«. 00.1,1 1.000 fr. eu A, 2.000 fr. en U 7.40», 2.l'tu). .'..non fr. rn A, 20.000 fr. eu H, 5,002 i 20,000 fr. en. A, âO.000 fr. en B. 08.001, .IB.r -70, ;I1,1IM, OIMIIO, 21,8.10, 0S.H31. «1.217, 00.010, 4:4.1.18 et t,.-,.;,8;i : 20.000 fr rn A. 100.000 fr. en tt. 61,317, 53:080: f.0.000 fr. en A, 200.000 fr. en II. Le» numéros suivant» gagnent : 102.880, 080,000 et 134.1511 100.000 fr, eu A, 300.000 fr. en B. 218.32«, 057.30.1' «t 021,120: 300,000 fr en A. 400.000 fr. en B. 102.1H0I 500.000 fr. en A. et tt. 287.103) 1 million «n A, 700.000 fr. eu H. 037.0101 3 million» en A, 1 million en il. 108.868: 0 million» en A, 2 mil lions en B "»*»»»• ' va répétant son cuit an Attaoti. Dans l'amour de nos morts, nous engageons ce qu'il y a d'essentiel eu nous; co no tout point des manifesta- tions tout extérieures et superficielles que nous leur apportons, mais, avec la fidélité de notre souvenir, les senti- ments les plus profonds et les plus dé- licats de nos coeurs. Et quand nous évoquons, soit à l'église, soit au cime- tière, soit pendant le travail, soit dans le calme de la nuit, leurs images ché- ries, c'ett pour leur renouveler cette promesse que nous voulons mettre nos pas dans leurs pas. , Pascal disait: « Une des plus solides et plus utiles charités envers les morts est de faire les choses qu'ils nous ordonneraient s'ils étaient encore au monde, et de pratiquer les saints avis qu'ils nous ont donnés... Par cette pra- tiqua, nous les faisons revivre en nous en quelque sorte, puisque ce sont leurs conseils qui sont encore vivants et agissants en nous... » « Faire revivre nos morts en nous », colon le mot de Pascal, c'est une des forces spirituelles les plus puissantes de la Bretagne. BEFFA. «M**» ÀMTF LE COIN DES nWlS RURAUX Bnquilt* rtcuu : Octobre: Trégurentec, 1. — boocnibrc: Trégersntec, 2. — l'éviter: Trégarantec, ili Hure: Pioiiél», 5 . — Avril:. Plonéie, e _ N'ont fourni aucun rapport d'enquête JBerrlen, CloharcCamoêt, Edern, Kernili», Landunver, Lanmeur, Lesneven. Le i-'oi- loat, (hilpava*. Mlllr .ee, Plotlénnn, T'iouur. SM, Plobnnnilee, Vloudtry, floinndiei n l'Ioulder, Nt-DIvy. Soutieltt» lite uarolimet. — Vimemmit Jour de l'Ascension,. uflllintlon de la sec tlon, par Pierre André, de Plcuven, avec 18 Jeunes, Courte récollectlou la vrille. La Посгге Maurice : 21 Mal : affiliation de lu section, par Pierre Adeguile, chef de SMteur, «n présence de Marcel Tanguy, CHEF de «me. cauri* récollectlou lu veille LG «MRS jour fui iWAIlé» la .-е.-Цоп lé- Plounéour-1'ret. — Eugène Jacq, chef d «ecteur de Lesneven, ; visno la teellon il m m coipi'ognl? dCrMurccl Ttuiguy STUD-BOOK DU CHEVAL BRETON Marquage d't poulains M. Berrl, Clièteaunciif-du-Faou: Tous le» murdis, mercredi» et samedis de 11 h- à 12 h. Le» vendredis B, 10, 24 Juin enhe 14 h. et 16 h, à Spétet (forge» Hénaff), Aux paesage» dans le» bourgs sur de. mande. , , M. Baron, Suint-I'ol: Ternan (Meeeeui).- 0 juin, 0 h. 30; Ste-Catherine (Mcspoulj, 0 Juin, 11 h.; Kerlt'heu (Pluugoulm), 10 Juin, 0 h. 30; Plougoiilni, 13 Juin, g h. : Nibirll, 13 juin, S П. 30, A *on domicile, 0 Juin, de 8 h. à 10 h. ' M. Palussière, vétérinaire à Cnrhalx, tous les Jours к son domicile: 'J h. et 14 h, et nu coure de see vi»ite». M. L'Hostie, Ploudulmégeau, к H Ь г Plouguin, 7 Juin, Forge Pelle; Coat-Me»!, 9, Forge BJétt»! Tréouerget, 14, Forge Cal»- vurlni I.umjuitii. 1«, croaz an Aberi Saint- l'ubii. 21, Crouz ne Miirziii; Bréiès, 23,- Ktang ai- c'Iiout; Conlldut, 2», Keretret ; I'Ioiiiln, 30, Liinriliou; I undii'ivez, 6 juil- let. Kernézoc; l'orspoiler et Larret, 7 Juillet, (iorrekcnr, eu I.iirn-t; I'iouditlmé- tenii, tous leij Jour» (diiuanches et fétts excepté») do Juin de 11 II. A.-ftrlill. M. Robin, Itiiiiiiiilee : 5 Juin? 0 h., I,i )Ke J Traoïit II, 0 h„ Bourg llannulec; 7, 0 b,, Loge-llegouarn, 7, 10 h., Hojdcj 7, И h-, Trévoux; H, У |i„ St-Tluirien. CHEF de eone Ainsi appuyée rigull*r«-i, nient, h stctiou de Pi-junéouj; ' •TRÈS-VJICJT- •-• - ,»\иь«*га

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LE COURRIER, a i m m 65* Année - 3.373 » 1 Irme Samedi 3 Juin 1944

TTV.&TLTTTLL LA SEMAINE ue la Trinile. — 5. Ц SU

.— o. M . s. Norbert- - - "• M. 1 ... Jcucll an » . S. Suerrroent,i -. ,i .s. im i Ostavo. — I L *c i« -

L I O U R D O U A R

nou a vrczel a zo muioe'h-. . . . . Uout u òuzon potra eu ber..: in uachonn, E l:cment stourmaü . j not er brczei all em eus bet

icc'h mit cm eus GROT war .., ejoall' chiazet oun bet eno;

.. nun bat cr sortirne; leant ha jv/jcii oun bet e rirkl vn buhe*. vc:;*.o ce c'hoaz goosoc'h bea war i henh er brozol-man, abalo-

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alzalo сип termen da gement a Ml •

• da ucb tra, bezomp ni ivo •• лаг, an dnehenn hor beus da I v.arni, war dachenn.al labeur

noil uachennou na vint ket ma-• : anni ar brezal, a dlcomp da . AN', nctz-kalon. Lakomp u ruma ma c'hcllimp a legumoj

. Nn vc;:c morse re, na vezo r a.'.iulc'h,

. . . . i Koueriulcl, dnoust da beb • i c o tadou magerion ar Vro ,

• ' c l . ProVldaha Doue en ken-i с henvroïz. Labouromp kalo

и hunter gant Doue cvl t rei i nn-d'ur re all ar bara pemde-

c'houiennòmp gant Doue rei -l> bemdez,

FArrcii Couzn.

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N E Z , « I W E R C ' H E E V a r i !

F Ê T E D E J E A N N E D ' A R C ( S ju in) $

Voua imagine» la réception, au Paradis, de Jaannatta d'Are dite 1» Puceiie d'Orléans, lorsque Bon corps de vierge na laissant autour du poteau d'infamie que da légère débrie ealcinéa, bientôt Jetés à 1» Seine, son Ame de colombe • envola du bûcher! Elle 'avait été à la peina, H était bien juste qu'clje fût à l'honneur.

Cartaa, elle avait connu aur terre de» journée» triomphales: les acclama­tions de» soldat* enivré» d » victoires, l e» cortèges d » tentes dans l'enthousiasme (au, la» dévouement» affectueux jusqu'à la mort, l e» jo ie» indicibles de» déli­vrance» peu à pan étendue» le long do la Loire, de l 'Yonne, de ta Seine, da la Marne, at la voilà qui pana l'Aisne et atteint l'Oise. A Orléans, lorsqu'elle entra d'abord, le 19 avril 1420 — à 17 ans chef da guerre et victorieuse, — toute blanche dan» aon armure blanche, uvee ton étendard blanc aux trois fleur* de lys, aur la beau eheval blano donné par Dunols, quelles clameurs du bon peuple, bourgeois, artisans, prêtres, soldats, déjà réconfortés et comme tout désasslégés, à la lueur mouvante et rouge des torches dana la nuit, jusqu'à la chère cathé­drale où Dieu attend!

L'idée maîtresse, l'Idéa-foroe 4e Jeanne est très simple. Elle a compris le lien d'intérêts, de gratitude, de dévouement qui unit l e » Français, comme elle-même, à leur Roi. Maie le Roi doute de soi-même. U lui manque surtout le vrai aaere de Reims, qui manifeste l'Oint de Dl»u. Pour que le peuple recon­naisse la Chat établi de par Dieu, il faut qu'elle mène aon gentil Dauphin jus­qu'en la villa du Saere. Après-quoi, plus de doute, la Franco retrouve son droi-turler Seigneur. Elle ne s'embarrasse plus des arguties da partisans et de légis­tes, Ella suit le chef légitime. Avee elle II combat, Il souffre, il triomphe. Après quoi, avec ou sans Jeanne, n'Importe. Oa qu'il faut, c'est l'union entre les Fran­çais par l'union au Chef dont l'action représenta et multiplie la leur.

Orléans a rendu l'espérance aux pauvrea désemparés. Reims leur donna, le 17 juillet, la certitude de la délivrance, La jaune Roi était entré à cheval dans l'église Jusqu'au choeur. Grande et petits, «lares et laïcs, l'avalant entendu Jurer aur l 'Evangile de garantir les droite des peuples avee justice et miséri­corde. Les trompettes sonnaient, sonnaient si fort qu'il semblait que les voûtes allaient fondre. Les visages et les coeurs tremblaient, de Joie et d'enthousiasme... Et Jeanne, sa mloslon rempila qui était de rendre un Roi à la France, et la Franoo au Roi, demanda la permission de retourner ft Domrémy...

Or il fallait qu'elle souffrit. Il fallait que le martyre fit éclater sa sainteté, ot aussi le miracle français, dans la lumière la plus nette et la plus fulgurante, pour sa gloire Jusqu'à la fin des âges, Jeanne d'Arc ne pouvait être toute elle-même qu'à condition d'être sainte Jeanne d'Are. C'est tout ensemble celle qui sauva la Patrie et sa fol que dans l'éprouva et l'espoir en Dieu nous fêtons.

René C A RD A L I A GUET.

МОП СЛЦШТ

Forces spirituelles de ia B fe làg ie |

Parmi les forces spirituelles dàl la Bretagne, il en est une q u i prend ta souxey au plus int,' de notre être, et dont chacun nous éprouva toute la puissance heures où i l cherche À s'abstraira monde extérieur pour m replier lui-même et essayer de se connaîtrai comme l 'y engagent à la fois la SAGESSE! païenne et la sagesse chrétienne, d'ac­cord sur ce peint: c'est l'amour de not» morts, c'est notre fidélité à leur voix, '

Sans doute faut-il se garder ic i de! toute exagération, en ce sens qu'il serait! manifestement absurde de prétendra que est amour soit particulier à la B r e ­tagne et plus ou moins étranger aux» autres peuples. Partout, est vraia la» parole fameuse que l'humanité se comv pose de plus de morts que de vivants»

Mais ce que l'on peut affirmer sans* crainte, c'est qu'il n'est aucun peupla chez qui se soit manifestée plus claire»' ment, au cours do son histoire, e t chea qui se manifeste aujourd'hui encore avec plus de vigueur, cette continuité, eux mystérieuses profondeurs, qui rat» tache les vifs à ceux qui les ont p ré ­cédés sur la même terre: on dirait que l'âme bretonne, mieux que toute autre, sait garder avec ses morts comme un sentiment de douce et paisible fami­liarité.

I l serait facile d'invoquer le témoi­gnage du folklore; nulle part, sauf dans les autres pays celtiques, le* l é ­gendes ne sont aussi nombreuses, qui mettent l'homme en relations directes avec l'au-delà. L e témoignage de l'art, de l'architecture en particulier, mérite encore plus d'être retenu: la i Bretagne est la terre où se pressent les ossuai­res et où les monuments les plus o r i ­ginaux viennent se grouper dans les cimetières. Mais la preuve la plue émouvante, et que nous préférons, nous est donnée par la coutume pieuse des

' — —l^mm CONC

Kantik аг впвжв»'

то. Saniti itati Alamm Doue, il" OS.

dnnullnet holt dlrak ho rfta Vari, Иен, fi liei da rei skonzcl d'hor bro ger en. p i l»oV'li gwlrlon goulenalt digant Doua INI.. Щ M zo gwull boanlusi true*, Ower-8 Veril 'i /nutrì, Rumine» an Nenv hag an Mr,

t hor Bici* ' so beuset s'r c'haonv I t'i c'hluc'hur, — 'runs. Mcrc'h liona 'n Ills, a so bras Mora.,

: 'la d'ho frealsl named- Hoo'h-i.wcre'hez?

Ш GR-r, evit difen ho bro msur-bed . brasa ners-kalon, hor gwased

Itti rtdot. i.'iiiill ha Brels-Izel prest da Ml

l 'u ln-z . . . . . . menci int betl.. O Mam.,* Out ho I I truest Шел; e-ki-elx ar «taurmael aur 9 NO marni M I N * buhan d'an Nenvou, ohi pedlt

••••r'"* V i t * r t*****'' mammeu ha λ XOIIET e 'r brasai ho Md, saab fa

f". Mam, «un nlvor bra» t sa durent win ,

N «iloü- boli ho c'herenti ohi 1|Ц»11а renu. Ш 'ta, Mam a druez, a alleilo 'n dud ,'lO-

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Petit Courrier de France

Orléans encan bombardé: 1 5 0 morts. 2.."oo sinistrés, la cathédrale très touchée. — M . de (iuullc demande aux Etats-Unis l'or français: ."> millliirds de livres ster­ling; mais son « gouvernement n'est

Îns reconnu par l'Augleterre et les Etnt»-Inls. — Raid allié sur lu région pari

sienne. — Les Hrctoiii du Stalag I 3 en volent 1 1 0 . 3 2 0 ri pour les sinistré» d« Urest, I.orlcnt, Nantes, Malnt-Niira4re, liuii-lleuc de Rennes. —• M Rug Dutholt, prési­dent des Semaines Sociales de i'rnnce, doycu da 10 Faculté catholique de droit de Lille, vient de mourir à 74 ans.

Raid » alliés » sur Rénovais, l'Aisne, lis Vur, l'Yonne, la Nord, I » Meurthe-et-Moselle; Mulhouse! près d« 2 0 0 mort» : Lyon, 300 morts, — Le» terroristes et leurs complices seront déféré» aux cours M in­finies (Cours criminelles extraordinaires! qui Jugeront sans appel, et sans p o u r v o i «n grâce. — Les Américain» rmprl«ou mnt le gouverneur fi'unen!» (dissident) de Dakar, « coupslile » d1' protester cumu­le» bombardement» aérien» eu Frunee,

Aux Cardinaux 4 français les évéques anglais répondent que le succè» dtt allié» ne doit pas être comproml» par la non observation des ordres de destruction», mal» qu'ils déplorent la mort d'Innocents et les dégAt» Infligés aux monuments cul­turels. — M, le maréchal Pétaln » visité Nancy, Eplnnl, Dijon, Acclamé partout, OUX nreents de In fturtttllattie, A Nancy II a dit; — i, Je reviens parmi vous dans un temps d'épreuve. De plus graves noue­ront nous frapper encore 1 noire territoire devlondru peut-être la chnnin de bataille des armés» adverses, Restes lldèlcs k voire devoir; n* vous mêles pu» des «flaires dés autres; vous «ttlreries sur vous de terri­bles représailles! vous accroltrles Te» mai-heurs d» la patrie. Ayss confiance en mol, suivez-mol; attendes avec câline le» événement*. Si vous obéisse» a mes ordre», la Franc* se relèvera et non» connaîtrons des Jour» meilleurs dans une Europe sau-véo et réconciliée, -~ A Eplnsl dévasté 1 « On m'avait décrit votre cruelle situation, -Maintenant. Je l'ai constatée. Je suis -écœuré par tout ceux qui ont semé dan* vo» murs tant da souffrsjres «t de douleur, mal* ne désespères pa»t vou* ave» de» ami*. Je m* ferai tenir au courant de» plan» d* reconstruction da votre cité. Je promet» tout mon appui à vos représen­tants. Compte» sur mol. J'enMorto d'ici une image qui n'est pas prés de me quit­ter. Je vous al vus courageux dans ('ad ver «lté. JS par*'à la foi* attriste et récon­forté. » — A Dijon: « Refaites.vou», me» amis, une Ame, un* Ame confiante. Obéis-**g aux Ordre*; n'écoutes pat Tes mauvais bergers d'au delà de nos frontier*!. Tra

ie'flîe, '(l'évêqûo Mgr Delay cou «lamno « lo crime sues excuse ) ; Lyon, 7«# mort» (le sordina! Ofrll«r « О Д LES alnlMrée); Sslnt-Erlenoe. 700 inerte « V v é • Щ Mar Bornet,visite les sinistrée); ,Av| jjnpu, Sèe mort»; « l e * . 2*1 morts; Nlroe» Wi Montpellier, idOi région parislenn* Ш#I Cbai'lre», M I AJbbevilTe, 100: le Nord M i > i&alaa, 100 morH. - Pentecôte san FLBMTSL

Petit Courrier des Opérations

ht Si. dés nu SFLTR

— i l e r l l n et Surrebruck bombar les Américain». Rudes combat* a

ettUhÒI fil ellBr* a l l i é s détruits. Le 20". -• L?s Allemands décrochent de

Littoria et de. Trrruclna et s'unissent vers le» contrefort» montagnenux du nord-est. Le» Hnglo-iiinri'icnln» perdent RIO UVloilS è Ilerlln, Wlenrr-Nciisiodt, Aix-la-Chapelle, région de Vienne, liti Ici allemand sur l'est anglais. — Rn eu* d'Invasion, l e » urmei seerftle» nllemuiidcs d o n n e i , u n un nspeotj Inattendu h lu guerre, et vainçronL Le Si. Lutte iieliiirnée ou sud e t /1 l 'est de Vellclrl; le» A n ^ l n Américains I riiiiehissent le L l i - I ; 1211 de leur» r l inrs sont détruits, — Au nord d e la Norvège, 70 avion» s o ­viétiques sur Hi), abattus.

I.e. 30, Aprili» «n ruines. Succès dél'eii-s l fh . Grosse» pertes a l l i é e s . Raid» 11 I l e mniiil» sur les gares rustics; américaine Stir Cologne, etc, (fill bombardiers alliés abattu»); miglili» sur Miiniiheim; a l l e ­nili nds sur 'lotquay, Bristol. — f-e :)l. Atlnqiie» mi iHt lvc» iinglo-iim<''rk'uine» dan» les eeeteum de. Velletrl, Volmonlone et C e r c a n o , rapidement verrouillées. Raids aérien» sur Lolnilg, Pqsen et Cotthus. 0 1 avion» abattu». Riposte allemande sur Fui-niouth et Porsmouth.

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IL U U i t l l U V - , , „ —

nrières fréquentes et renouvelées sens ^ ' È pour les défunts, et par les aumô-

LOTERIE ( 1 8 ' » » tranche) Le» miuii'-i-oi. U n i s s e n t pur : 0 gagnent ï ' i d f i- , rn sérlo A e t u. 41, .18, 17, I.-. , 8 1 , 76, i l , 1 2 , 0 7 e t 2 3 -,

400 fr. en A et D. !)»«. 00 .1 ,1 1 . 0 0 0 fr. eu A, 2 . 0 0 0 fr. en U 7.40», 2.l'tu). .'..non fr. rn A, 2 0 . 0 0 0 fr.

eu H, 5 , 0 0 2 i 2 0 , 0 0 0 fr. en. A, âO.000 fr. en B. 0 8 . 0 0 1 , .IB . r-70, ; I 1 , 1 I M , O I M I I O , 2 1 , 8 . 1 0 ,

0 S . H 3 1 . « 1 . 2 1 7 , 0 0 . 0 1 0 , 4:4.1.18 et t,.-,.;,8;i : 2 0 . 0 0 0 fr rn A. 1 0 0 . 0 0 0 fr. en tt.

61,317, 5 3 : 0 8 0 : f . 0 . 0 0 0 fr. en A, 2 0 0 . 0 0 0 fr. en II.

Le» numéros suivant» gagnent : 102.880, 080,000 et 134.1511 100.000 fr, eu

A, 300.000 fr. en B. 218.32«, 0 5 7 . 3 0 . 1 ' « t 021,120: 3 0 0 , 0 0 0 fr en

A. 4 0 0 . 0 0 0 fr. en B. 102.1H0I 5 0 0 . 0 0 0 fr. en A. et tt. 287.103) 1 million «n A, 7 0 0 . 0 0 0 fr. eu H . 0 3 7 . 0 1 0 1 3 million» en A, 1 million en il. 108 .868 : 0 million» en A, 2 mil l i o n s en B

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va répétant son cuit an Attaoti.

Dans l'amour de nos morts, nous engageons ce qu'il y a d'essentiel eu nous; co no tout point des manifesta­tions tout extérieures et superficielles que nous leur apportons, mais, avec la fidélité de notre souvenir, les senti­ments les plus profonds et les plus dé­licats de nos cœurs. Et quand nous évoquons, soit à l'église, soit au cime­tière, soit pendant le travail, soit dans le calme de la nuit, leurs images ché­ries, c'ett pour leur renouveler cette promesse que nous voulons mettre nos pas dans leurs pas. ,

Pascal disait: « Une des plus solides et plus utiles charités envers les morts est de faire les choses qu'ils nous ordonneraient s'ils étaient encore au monde, et de pratiquer les saints avis qu'ils nous ont donnés... Par cette pra­tiqua, nous les faisons revivre en nous en quelque sorte, puisque ce sont leurs conseils qui sont encore vivants et agissants en nous... »

« Faire revivre nos morts en nous » , colon le mot de Pascal, c'est une des forces spirituelles les plus puissantes de la Bretagne. BEFFA.

« M * * » ÀMTF

L E C O I N D E S nWlS R U R A U X

Bnquilt* rtcuu : Octobre: Trégurentec, 1. — boocnibrc: Trégersntec, 2. — l'éviter: Trégarantec, ili — Hure: Pioiiél», 5 . — Avril:. Plonéie, e _ N'ont fourni aucun rapport d'enquête JBerrlen, CloharcCamoêt, Edern, Kernili», Landunver, Lanmeur, Lesneven. Le i-'oi-loat, (hilpava*. Mlllr.ee, Plotlénnn, T'iouur. S M , Plobnnnilee, Vloudtry, f l o i n n d i e i n l'Ioulder, Nt-DIvy.

Soutieltt» lite uarolimet. — Vimemmit Jour de l'Ascension,. uflllintlon de la sec tlon, par Pierre André, de Plcuven, avec 18 Jeunes, Courte récollectlou la vrille.

La Посгге Maurice : 21 Mal : affiliation de lu section, par Pierre Adeguile, chef de SMteur, «n présence de Marcel Tanguy, CHEF de «me . cauri* récollectlou lu veille L G «MRS jour fui iWAIlé» la .-е.-Цоп lé-

Plounéour-1'ret. — Eugène Jacq, c h e f d «ecteur de Lesneven, ; visno la teellon il

m m coipi'ognl? dCrMurccl Ttuiguy

STUD-BOOK DU CHEVAL BRETON Marquage d't poulains

M. Berrl, Clièteaunciif-du-Faou: Tous le» murdis, mercredi» et samedis de 11 h-à 12 h. Le» vendredis B, 10, 24 Juin enhe 14 h. et 16 h, à Spétet (forge» Hénaff), Aux paesage» dans le» bourgs sur d e . mande. , ,

M. Baron, Suint-I'ol: Ternan (Meeeeui).-0 juin, 0 h. 30; Ste-Catherine (Mcspoulj, 0 Juin, 11 h.; Kerlt'heu (Pluugoulm), 10 Juin, 0 h. 30; Plougoiilni, 13 Juin, g h. : Nibirll, 13 juin, S П. 30, A *on domicile, 0 Juin, de 8 h. à 10 h. '

M. Palussière, vétérinaire à Cnrhalx, tous les Jours к son domicile: 'J h. et 14 h, et nu coure de see vi»ite».

M. L'Hostie, Ploudulmégeau, к H Ь г Plouguin, 7 Juin, Forge Pelle; Coat-Me»!, 9, Forge BJétt»! Tréouerget, 14, Forge Cal»-vurlni I.umjuitii. 1«, croaz an Aberi Saint-l'ubii. 21, Crouz ne Miirziii; Bréiès, 23,-Ktang ai- c'Iiout; Conlldut, 2», Keretret ; I ' I o i i i l n , 30, Liinriliou; I undii'ivez, 6 juil­let. Kernézoc; l'orspoiler et Larret, 7 Juillet, (iorrekcnr, eu I.iirn-t; I'iouditlmé-tenii, tous leij Jour» (diiuanches et fétts excepté») do Juin de 11 II. A.-ftrlill.

M. Robin, Itiiiiiiiilee : 5 Juin? 0 h., I , i ) K e J

Traoïit II, 0 h„ Bourg llannulec; 7, 0 b,, Loge-llegouarn, 7, 10 h., Hojdcj 7, И h-, Trévoux; H, У | i „ St-Tluirien.

CHEF de eone Ainsi appuyée rigull*r«-i, nient, h stctiou de Pi-junéouj; • '

•TRÈS-VJICJT- •-• -

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COURRIER D U F INISTERE 3 8 8

BHEST. — Bientôt Concert Spirituel et Médiat d'Orgue organise par Jo Centre d'Entr'aldc des Anciens Prisonniers de •.Agglomération Brestoise, avec le concours de M, Gruebcrt, Directeur do l'Ecole

.'Nationale d« nmslquo de Brest et do l'Or­chestre d « Chnmbro do cette Ecole,

BREST. — Pharmacies de service. — Dimanche 4 Juin s Talee, 13, rue E. Re­nan î Comond, 77, rue de in Porle. — iBajjrt-Pierre : Dorval, 413, rue J. Jaurès.

f POUR VOS ENFANTS 1 N'oublier pas que bien des enl'ants u'ob-,t<ènn«ut pas de bons résultats scolaires «parce qu'ils volent niai, \ Faites examiner la vue do vos enfants ,et adressez-vous nu Service Optique de la (Pharmacie Centrale, 25, rue do Slam, IBrest, qui vous fournira toujours très rapidement des lunettes de qualité, 1 BOURG-BLANC, — Bienfaisance. — Des quête» faites à la mairie au prollt des pou-ivres ont rapporté les sommes suivantes : 1° mnrlnge i-rnuçois Mlth, de Lcscus avec

• Thérèse Cnrudcc, de Ktrbcdcl, 385 fr. j 2° marlago Antoine Lescop, de Giicrveu avec •Tvonno L'Hostis, Grous ven, 238 fr.; 3" mariage François Calvarln, au bourg aveo Marle-Frunçoise Guével, Xrcmcugon, 217 fr — Merci et bons vœux.

D1RINON, — La Fête des Mères a été célébrée duns l'intimité: 21 qui devaient étro décorées, eurent des places réservées 4 la messe dite a, leur intention.

A lu mairie, remise de décorations, Le Syndic a la Famille, M, F. Guiliou, pro­nonça en breton une spirituelle allocution et exalta le rôle, parfois ingrat, de la mèro do famille, Puis lo mulre, au nom du Maréchal et du Gouvernement adressa «es félicitations aux mères décorées et re­mit la rosetlc de la Famille française à Mmcs Guiliou, de Lesquivit et Kcrinurrcc, do Rouai, M. Guiliou décora ensuite les titulaires de médailles d'argent et de lirbnzc. A l'issue des vêpres chantées sui­tes grands -tous, eut lieu chez Mllu Ver-veur, qui uvnlt gracieusement mis sa sulle 4 ia disposition des mamans, une courte séanco recréative, Mlle Y, Rochcongur in­terpréta « Un baiser au Drapeau » do F. Coppcc, Mlles Ccrmnlnc Guiliou et Tho-rèso Kcrdraou jouèrent une petite conié-dlo de circonstance: « Une tante duns une sallo d'attente » . M. lo Maire adressa quelques paroles a l'auditoire Entln le chant « Maternel émoi » par Mlle Y. Roch-congnr, fut très applaudi, conunc tout le programme. ,

Une quéto uu prollt de l'Association lo-calo des fumllies nombreuses rapporta 555 fr. Le « Bro Goz » clôtura lu féte.

Puis on distribua les diplômes et un goûter fut servi aux mères décorées.

L 'U .R .C .A , a donné des primes aux mères décoréej. 500 fr. aux médailles d'or, 200 uux médailles d'argent et 100 fr. aux médailles de bronze. ,

La féte des Mères est la preuve de la place que le Gouvernement du Maréchal tient a. donner a la Famille. TYstts.

GC'IP.VVAS. — Le lundi do la Pentecôte, fête des Mères, ont reçu la médaille d'ur­gent, Mmcs Th. et A.-M. Le Gucn, Parc-Kcrouunton, Quéré-Kermingunt, Faou-Le GoIT, Qucntcl-Hullégouct; la médaille de bronze, six autres Mères de famille nom­breuse. — Félicitations,,

KERS AI NT- PLABENN EC. — Succès sco­laires : 0 présentées, 0 reçues: Mlles Ch. Blcunven, A. Cozlun, Th. Guével, M.-Th. Lamour, M.-Th. Page, Ch. i'éden, A. I-'ostcc, M.-Th. Prlgent, M.-Th. Ugucn.

LAMBEZELLEC. — Médailles des Mères: argent, Mmcs Gucnncguos et Moucz, 0 et 8 enfants; bronze, 9 mères do 5 h 7 en­fants. La Ville- donne 200 fr. aux 2 pre­mières, 150 aux 0 antres, 1 bon de chaus­sures h chacune; le Comilé familial doune ù chacune pain d'éplccs et confitures,

LAMBEZELLEC. — Au mnrlnge de M François Le HIr et do Mlle Marie Trébaol une quête faite pur les gens d'honneur n rapporté 835 fr. Cette somme u été parta­gea entre l'école des sœurs de Lnmbczcl-lec et celle des sœurs de Bohars. — Merci et bons vœux.

LAMBEZELLEC, — L'assemblée annuelle de la Caisse do Crédit agricole aura lieu le Dimanche -i juin ù 10 heures h Lambf,-« l l e c , restaurant Jézéqucl.

Les cultivateurs de Snint-Murc, Snlnt-Plerrc, Gullcrs, Millzac, Gottesnou et Lam-bézellce, communes ufilliées à la Caisse lo­cale de Brest, sont instamment priés d'as­sister k cette réunion nu cours de luquclle des question» très importantes seront trai­tées d'ordre professionnel et llnuncicr.

Le Président: E. C o l i n . LAMBEZELL)C — Dlmunchc 4 juin les

Gurs d'Arvor, de Landerncau, donnent une séance récréative nu bénéflec de l'Annexe des Œuvres du Père Brottler, d'Autcuil, q.ue les A. D. P. do Brest fondent en Fi­nistère.

LAMPAUL-PLOUARZBL. — Au mnrlnge •de M. Lucas et de Mlle Anne-Mario Kcr-ros, une quête fuite pur les gens d'hon­neur a produit ln somme, de 282 fr. uu prollt do l'école libre des lllles. — Merci et meilleurs vœux.

LANDERNEAU. — Centre d'cntr'uide aux 220 prisonniers et à leurs familles créé pur ères prisonniers libérés: président, M. Houdetî vlco-pr., M. Poisson, du Cré­dit Nantais: secrétaire, M. Le Borgne, Contrlb. Indir,: trésorier, M. Kordoncuir; membres, MM. l'nbbé Duntcc, I e Golf, -Le lllr, Kc.rounntoti. Mndeo, Manac'Ii, Mescam. Ils désirent doter chaque prisonnier d'un livret de 2.000 fr„ d'abord, soit 440.000 fr. a trouver. Une exposition de timbres sera organisée à la malrlo les 3-4-3 juin.

LANDERNEAU, —• Nos' condoléances pour •ln m«rt de M. Gulllaumo Scieur, de Ker-rnonli-c, décédé » 34 ans, & Ses enfants, petits-enfants, urrlèie-petlts-cnfunts.

i a v v i ) , ) s . . ^ Dimuaeho 11 Juin, les Gurs d'ATVpr dp léuidwqiïtu; dooMï t 'que «énnc,e .'«ré£rê>tiv* a » 7hénél|cat,.de~'Anneic des (Ruvres du Bère 'Brottler; d'Aufeufl, que les A. D. P, de Brjist fondent'en Fi­nistère.

LANNILIS. —- Pour les Prisonniers. —-AOURITIKC» l'iiilciucuu .i'ilst,-»t Aiwvluie-Coat,

Jeanne Trcgucr et Pierre Flly: 1.000 fr. ; Lossouaru-Pouldun'i a lu fr.; 'Marie Jaoucn et Jeun L'Hostis, Tréglonou: .'IJO fr.; Jean­ne Donou et Louis Mar/.inii, Miche] Donou et Françoise Lundurc: 050 fr,

En outre, il l'occasion des mariages qui ont uni les fumllies Cont et Trégucr, une somme de 1.000 fr, n été répartie entre les écoles libres.

Remerciements' et meilleurs vœux à tous.

— La procession s'est rendue comme de coutume, le lundi de Ja Pentecôte, mal­gré la chaleur accablante, à lu chapelle, plusieurs fois centenaire de St Yves, à Bcrgot, distante do 1 Jtms de l'église pa­roissiale et dominant la vallée de l'Aber-wruc'h,

PLOUGUIN. — Au mariage de M. Fxl. Leizour avec Mme Vvc Pollen la caisse des Prisonniers u reçu XiO fr, et l'Ecole Stc-Anne 110 fr. — Merci et meilleurs vœux,

PLOUGUERNEAU, — Mardi 10 mal, mnrlnge a Plougucrneau de M. Prigent I-'oricheur et do Mlle Anne-Marie Kcrcbel. Gens d'honneur: M, Jeun Corfu et Mlle Yvonne Abjcun,

Lu quête faite pur ces derniers nu prollt de l'Ecole Saint-Joseph a rapporté la somme de 210 fr. — .Merci et bons vœux. .

PLOUIDER. — Pour les Prisonniers. — Quêtes uux mariages de Joseph Bodcnnec et Marle-Thércso Roué: 300 fr.; Yves Gué-guen et Mnrlc-Yvonnc Corfa: 500 fr. ; Sé­bastien Gourhnnt et Marie Péden: -100 fr.

Quêtes ù lu Fête des Jeunes gens: 2 289 fr ; à la Féte des Jeunes lllles: 1.808 fr.

Merci et MEILLEURS vœux. PLOUMOGUER. — Au mariage do Mlle

Yvonne Pctton avec M. F.-M. Ogor, les gens d'honneur: Mlle Olive Pctton et M. Michel Al'zur ont fuit une quête qui a pro­duit 700 fr. pour les prisonniers et 300 fr. pour l'école, des filles.

Au mariage de Mlle Marie Cloâtrc avec M Laurent Mudec, les gens d'honneur : Mlle Emilie Cloiitrc et M. Louis Madec ont fait une quête qui a produit 200 fr. poul­ies prisonniers et 200 fr, pour l'école des filles. — Merci et bons vœux.

PLOUMOGUEH. — Une quête fuito uu prollt des prisonniers lors du mariage de François-Marie Ogor et Yvonne Pctton pur les gens d'honneur: Michel Arzur et Olive Pctton n rapportée lo somme de 000 fr. — Merci et bons vœux.

RUMENGOL. — Pardon de la Trinité, les 2, 3 et 4 Juin, sous ia présidence de LL. Exc, NN. SS. Dupurc et Cogncuu.

Vendredi 2: messes busses ù partir de 7 h. Grnnd'mcsse ù 11 h. 'M. Vêpres et bé­nédiction'A 13 h. Prières ù 21 h.

Samedi 3: messes basses a partir de C h. Grand'inesse ÉI 11 11. 30, eu plein air, chun-' téo par M. le chanoine Raniiou, inspecteur des écoles libres; sermon breton pur M, Le Bot, doyen honoraire, recteur de Plouhiucc-A 15 h., vêpres, procession dite des mira­cles, bénédiction du T. S. Sacrement-Prières ù 21 h. (L'église sera fermée upres les prières du soir jusqu'à -1 h. 30 le leu-demuiu).

Dimanche 4: messes basses ù partir de 5 h. Grnnd'mcsse à 11 h. en plein air, chantée par M. Le Bot; sermon breton' par M. Rannou. A 15 b., vêpres solennelles ; allocution française par M. le chuuoine Le Grand, offlciul; procession et bénédic­tion du T. S. SACREMENT;

Nota. — Les trains de' voyageurs s'arrê­teront comme d'habitude a lu halte de Rumcngol.

SAINT-PARU. — Mme Morel née Dénie! met le pied sur une mine: elle est tuée. — Bien se gurderl

SAINT - PIERRE - QUILB1GNON. — Médaille des Mères: urgent, Mme Goas-guen, S enfants; bronze, Mmcs Ilnll, Le

rundi Boullc (0, 6, 5 cnf). La Mairie donne ù chacune une subvention et un bon de chaussures; le Centre de Groupements familiaux, confiture et puiu d'éplccs,

SAINT-FRKGANT. — Mariage jacistc. — Le mardi 10 mai, eut lieu le mariage d'Yvette Galllou avec François Bllianéls, de Plougucrneau. M. l'nbbé Cabon, cousin du nouveau marié, bénit leur union. A la messe, les nouveaux mariés communièrent ainsi que leurs parents, les gens .l'hon­neur et une quinzaine de jeunes lllles. A ln sortie de l'Eglise, ln présidente oll'rit un crucills ù Ja nouvelle mariée au nom de ses sœurs jucistes. Au repas de noce une quéto. fuite par les gens d'honneur rap­porta lu .somme de 1.2G0 fr. pour .'«s pri­sonniers et celle de. 900 fr. pour les écoles libres. — Merci et meilleurs vœux.

TREGLONOU. — Fcte des Mères. — Ont reçu : la médaille d'or, Mme Kcrdraon (10 oui'.); d'argent. Mines Troudec et Pelle, U et 8 enf i de bronze, Mme Mao, Calva-Hn, 7 enf!; Le Bris, 0 cnf.; Trunvouez, 5 cnL — Félicitations,

TREGLONOU. — Féte des Mères. — Le mutin a 11 heures, les mères assistent nom­breuses è la grand'mcsse. M. le Recteur après l'Evangile, prononce une allocution au cours de laquelle 11 exulte le dévoue­ment des mères, leur esprit de sacrifice et il leur exprime ses félicitations au nom de. la famille, de l'Eglise et de la France. C'est par la restauration du foyer chré­tien, où les cnl'uqts seront nombreux que la France Ke relèvera.

A l'offertoire, cantique de circonstance chanté par les mères chrétiennes.

L'après-midi à 4 heures, sortie des vê-

Srcs. Remise des décorations pur le chef e fumllies nombreuses. Médaille d'or à Mmo Kcrdraon, 10 en­

fants; d'argent è Mme Troadee, 0; ù Mme Pelle, 8; de bronze ù Mme ' Calvarln, 7 ; Mme Muo, 7; Mme Le Bris, 0; Mme Tran-vo'fz, 5.

Pendant la cérémonie, chants des peti­tes filles, bien entraînées, à lu joie de tous.

En résumé, une belle fête' tout a fait réussie, en l'honneur des mères, au nom desquelles le syndic des familles de la .ceuununo n adressé ses vifs /remercie-uicfiTs MI V Gracie CoatsaJ <Tè. Laj]dqrn.cim pqtrr sa jwnjSwise .subvention accordée aux nouvelles décorceSi

С H A T E A U L I N COLI. — — Le 10 niai, au mariage

de M. n Gulchoux et de Mlle Anna Lul-louct, ..... quête faite nu prollt des pri-S O m u r t s de lu commune rapporta 1.825 fr. — Merci et vœux.

GOUEZEC. — 3 masqués exigent :tO0.0O0 fr. de Mme Douguet, à Kcrmorvun et re­çoivent 30.000 fr.

LOPEREC. — « Nivot-Sport» » , de l'Ecole d'Agriculture, société déclarée le 28 mars, est mentionnée au Journal Officiel du 13 mai (football, volley bull, athlé­tisme.!.

LOPEREC, — Yvon, Jean-René et Ma­rie-Paule Bcllcc ont le plaisir de vous faire part do la naissance de leur petit frère Michel. — Nos compliments à Mme et M. Bcllcc, notaire, et nos vœux aux quatre enfants.

M O R L A I X GUIMILIAU.. — Une quête faite au

mariage RIou-Lc Saoût, par lo service d'honneur, M. Michel Le Saoût et Mlle Yvonne Ripu, a produit -113 fr., versés au Comité local d'assistance aux prisonniers. Au nom de ceux-ci (dont le jeune frère du marié), merci et bons vœux.

GWITEVEDE. — Disul diweza an Aot. Jean Lescop, beleget c Poitiers d'an 0 a viz mne gant au Ao. Mcsguen a ganus e ofe-renn genta. Ai- barrezioniz a oa deuet ni-verus. Geude an Aviel an Aot. Mevel, per-souu Gwikourvest, a zisplcgas roll buhez ar bcleg er bed. Ar belcg co cun cil Jezuz Krlst xarget da henclia an encou wurzu ar Baradoz. Hen ober a ra dre ar Sakraman-chou ar ro d'an dud buhez Doue e uuan. — Goudezc an iliz a drugernns gant ar c'hantik lieICIJ da viken kanet gant an boll. — Goude ar Gorrcou e voe klevet ar pez înuslk kaer ma 'z co Ponts Angellcus, i'h. Dubois, kanet gant an Ao. Persoun,

An Aot. Lescop li zo hanvet da gurc e Neuville c kichen Poitiers; pedi a rcomp I.-V. Vcrven da skuilh grasou puilh war c abostoluj.

GUIMILIAU. — Au mariage de Jean Le Bras, de Goazeuzen, avec Louise Kcrdilès, de Pcnlioutliuon, M. Aluin Kcrdjlès et Mlle Yvonne Le Bras ont recueilli la coquette somme do 950 fr. jiour les prisonniers. 500 fr. ont été verses ou Comité local de Guinilliau, lo reste étant réservé au Comité de Saint-Sauveur. Notre école libre de son côté, a reçu 500 fr. — Meilleurs vœux et remerciements.

LANDIVISIAU. — Dimanche 4 Juin ; Service pharmaceutique assuré par la phar­macie Bcllcc, avenue Foch. — Service mé­dical; D< Hliy, rue d'Arvor.

LE PONTHOU.— M a Guyomarc'h rem­place M. Le Guézcc, maire démission­naire,

PLOUGOURVEST. — Au mariage de Jean Bodllls et Jeanne Conseil, la quête pour les prisonniers a rapporté la somme de 2.000 fr partagée entre la Caisse de Plou-vorn et celle de Plougourvcst ; la quête pour l'école libre a rapporté 850 fr. re­mis à l'école libre de Plougourvcst. Ser­vice d'honneur: Maurice Simon et Louise Conseil, Ernest Cuëlï et Jeanne Cornée, Joseph Kcrdilès et Madeleine Le Guen. — Merci et meilleurs vœux,

PLOUNEOUR-MENEZ', — M. Le Roux est délégué maire, sans conseil municipal ou délégution spéciale.

SAINT-POL. — MM. Flchot père et llls, 53 et 21 ans, de Run-Trégondcrn, vont cueillir des artichauts. Une mine, et voilà lo père tué, le fils grièvement blessé. — Une extrême prudence est d c rigueur.

— A la Fête des Mères, 114 lurent dé­corées. Allocution de M, le sous-préfet, M. le maire, et D r Bugot, président. Séan­ce récréative par les enfants très applau­die.

SAINT-SAUVEUR. — M. J.-B. Herry, adjoint, remplace M, Quéguiner, maire dé­missionnaire. '

69 a 05 centiares, louée à Vve Rcu A PLOUVIEN, la Ferme de La

24 ha. 23 a. 20 ca.. louée à Le Fur.] A PLOUVIEN, la Ferme de La.

22 ha. 77 a. 03, louée à Rivoalen,

U I M P E R

QUIMPER, — Une zoue coticre interdite aux chiens est créée entre la mer cl les roules de- liaison des commuucs visées, Les chiens pourront y être abattus, et leurs propriétaires seront punis. — Il est interdit do pénétrer dans les champs de mines.

BANNALEC. — Retraite-Adoration. — Du 1 e r au 7 Mal, les exercices dc l'Adora­tion ont été menés dc main de maître, par le R. P. Etienne, capucin, aidé pour ln prédication par ses confrères en Saint François les RR. PP. Brlcuc et Aimé et, pour les confessions, par MM. Hubert, de La Trévoux; Le Goir et Kcrnéts, de Kcr-nével; Dénlel et Le Breton, de Scaër. 11 y eut le mercredi, 101 communions d'hom­mes et -12à de femmes; le samedi, 195 d'hommes et 425 do femmes, soit 1,202 communions d'udultcs.

BEUZEC-CONQ, — M. Marc, cultivateur à Keromplcn, a été sommé par une di­zaine d'Individus de leur remettre 150.000 francs pour midi sinon sa femme et sou enfunt seraient aesasslnés et la ferme brû­lée. M. Marc u payé.

Ce. mémo Jour, semblable avertissement à Mme Le Car, à Kcrouor, qui sous les mêmes menaces, a remis 23.mio francs.

LABABAN. — 2 masqués urines voient chez M. Raphalen lc,s 35 kgs de tabac du mois,

PONT-L'ABBE,. — 4 voleur niés en­levèrent 7.5.000 fr. chez M. J *s ù Kc-rnmbaut Bien,

TREBOUL. — Nos conde::. :.cs aux familles Coulloc'h, Le Bonzec, l'érennès et Bonis pour la mort du médecin-capitaine Joseph Coulloc'h, décédé nccidentcllcnient a 31 ans,

Etude do M* Jean MARTIN,- notaire à Les-aeyen. '

mpr, Л , rue du Château, JBrest. - P. 0.40« J A VENDS* à l'AMIABLE

Etude dc M" GEFFROV. notaire à fia «Finistère).

. V E N T E M O B I L I È R E après décès.

Le Vendredi 2 Juin 1944, à 13 b.| A Pcnkcar-Kérclaoucn, en TI

chez M. PRONOST, Un mobilier complet dc ferme mal

et agricole, trois vaches, une Ja paille, foin, fumier, bois a feu, ck

Etude dc M» JANNIN, notaire à La

Suivant acte reçu par M» JANNIil taire à Lanmeur le 19 Mai 1941, cd tré, Mine Annc-Marlc ANDRE, vcul Jean-Mario QUERE, commerçante, d rant au Transwal, en Gurlan. — M, çois-Marie QUERE, ouvrier, dcnitur a Rive De Gier (Loire), 30, rue Uod et M. Pierre-Marie QL'ERE, eniploj incurant à Rouen, SI, avenue Mont 1 det, ont cédé à Mme Anne-Marie Q commerçante, demeurant à Transe Garlau, tous leurs droits dans le merec de débit de boissons cxplo Transwal, en Garlan.

Oppositions en l'étude de M' U dans les délais légaux.

POUR première insert

Etudes d» M" JAFFRE, avoué K 15, rue Traverse; de M» DALiBOT.I à Brest. 2-1, rue de Siuui, et „ | M» BOL'RVEAU, notaire ù GUIPLUJ

VENTE par licitation judic En l'étude et par le miuistcre

BOURVKAU, -gérant de l'étude ue il BOL'RVEAU, notaire a Guipavas.

Le Lundi 20 Juin 1944, U 11 be DESIGNATION :

En la commune du Itelccq-Ktrhul lieu dit « Kercan » , n° 16, Douf Léopold Maissin.

L'NE PROPRIETE comprenant d*hubitation ayant rez-de-thaussé deux pièces, et un appentis serval cuisine, le tout construit eu briqué chefer, et couvert en éverite, et iol tiou do terrain sur laquelle sont ces bâtiments.

Mise à prix : 25,000 francs. S'adresser pour tous renscignean

M» BOL'RVEAU, gérant dc l'élude M« BOURVEAU, notaire à Guipavas M » JAFFRE et DALIBOT, avoutj T

Etude de M« G.-Albert GOASGl notaire à Brest, 15 bis, rue d« '

AUGMENTATION DE САРШ MODIFICATION DES STAltiJ

Aux termes d'un acte reçu par GOASGUEN, ancien notaire ii< gérant l'étude do feu M ' G.-Albertj GUEN, notaire A Brest, le 12 Mai

.Monsieur Gcorgcs-Alexis-tugcuc B.VRD, Hôtelier, demeurant à Dre de Siam n- 10, époux dc Madame I rite BRU NET

Madame Adèle-Emilie LOMBAH prolession, épouse de Monsieur Paul WAliL, pharmacien, avec demeure à Piougasnou.

Et Monsieur iimilc-Nicolas 1-0.4 demeurant à Brest, rue do Siajn célibataire.

Ayant agi en qualité de seuls composant la société à respon»al)i mitée « LOMBARD frère et 3œu connue sous ie nom d' « HOffi VOYAGEURS » , dont le siège socii BREST, rue de Siam n» lu et w au capital de six cent mille francs acte reçu le 11 avril 1928, par Щ LANT, notaire à Brest, préaéeaaj médiat dc feu M» "G.-Aibcrt ЧО.\Я

Ont augmenté le capital de '" précitée d'une somme dc six < francs. Par suite de cette au_ le capital social est porté à la «од un million deux cent mille Iran»! en deux mille quatre cents paris •* cents francs chacune entlcrenieot et appartenant, suvoir:

2,3'Jti parts a .Monsieur Gcors«| BARD.

2 parts à Madame WAHL. 2 parts à Monsieur Emile C o r i n n e conséquence de ce t te au

tiou dc capital les associes ont do la manière suivunte, le teste tlcie six des alatuts :

ARTICLE S I X . Ï Lo capital social prluiltivcmtaj

« 1а юнице de six cent mille fr-4 « été porté à, la somme dc un 1

« deux cents mille francs. auxfl

« d'un acte reçu pur M» GOASC14 « clen notaire, gérant l'étude dcfc u l

« Albert GOASGUEN, notaire I « lo douze mai mil neuf cent 4UI « quatre 1

« Il e'st divisé en deux юШ« л

« cents parts dc cinq, cents ШЩ <• cune entièrement libérées, at4 « aux associés en proportion <1" Я « dc leurs apports respectifs *а ,ЙЗ

« A Monsieur Georges LOMDAlua « deux mille trois cents quatrc-vl« « parts, cl •

« A Monsieur Emile LOMBi « pour d'-ux ports, cl

« Et à Madame WALH peur d « parts, Ci

« Total égal à deux mille qu^l « cents parts, ci •• "T

« Les eomporants déclarent « ment que ces part» sont répalW « eux dans les proportions воИВ о et qu'elles sont toutes libérées « lement. ,_

« Aucune outre modification . u П t portéo aux statuts de la SOCL-\

merce'de J^bt!

r 1375 - 1 1

47 #F r 17, 1944

rETES r î E I . A S E M A I N E

« . Dir. du S.-C — 19. L. Ste Julienne. 30. M. De l'Octave. — 21. M. S. Louis de GoDzaftue. — 23. J. S. Paulin. — 23. V. De POct- — 24. S. Jean-Baptiste. — 25. 4* Dim. ap. Pentecôte.

JU, LABOUR DOUAR Er bioaz-man adarre lat.cmp munc"h

mêmes evi t ar cTiustum: rata ha g w i -£is du. Ruta cvit kaout magaaurez vat da larda chatai, pa n'ez eus ket a craou al*, ha re i ive d'ar zaout :aaz toueziet gant beterabez. A r ruta dre\zo o-ur.an a zo eun tamik krenv d'ar :acut !ear; met pa v e laket eux Veterabezen gant dieu rutaen, ar cTiemme-sk-se a zo eur boued •euz ar fcwelia mêmes d'ar zaout leaz. Ruta eta hadï l ha piket::t; ar ru'.a p:-ketet a vez ar bouka, ar brasa, gwel -

, ' t . Mat :;it d'à.- chatai, mat int ive d'av. dud, er zouben hag a hent ail. Mi l io-nou a dud a v e er goanv-man ourus ,,aout ruta da zebri. La kit eta kaîz a ruta.

Ziàkit ive kaiz a winiz du, ar muia ma cTiël lot Ma na ve ket bara da re ' d'an holl. e ve gel Int rei danvez krem-poez ha yod gwiniz du, ha farz pant eun tamm kijr mocTi. Laki t e peb tie-gez ar pez a c'heliot a winiz du. ha ro ï t .ar xtsz a c'heliot da dud ar bour-Lou~hâg"ar c*heriou.

Lakcmp ar muia ma c'heilimp "ta a draou en hanv-ma, ha sikouromp ar muia ma c'heilimp a genyroïz. Bugal>; Doue a d!e en em garej^.' hag en enr, skora. Labouromp ha bezomp'leun a va-delez. Doue a ouezo hon digoll.

Fanch Çoner.

S a u v e r l a F r a n c e ?•• . L a c o n s a c r e r !

' Marvailhou r imet ar ChlocTier

R A N A L L A B O U S E D

U n'y a ni farce ni génie qui tienne: pour que la France se relève, il faut qu'elle se consacre an Sacré-Cœur de Jésus. Pourquoi? Farce qu'il a dit qu'il le vent; il sait ce qu'il dit et ce qu'il veut; et il a le droit de commander, parce que rien n'existe que par lui. Créateur et- Sauveur.

Comment il a parlé? E n 1689, à Paray-le-Moni*l, an monastère de U Visi­tation, à Sœur Marguerite-Marie, depuis canonisée. La sainte ne s'est pas trom­pée: sont ce qu'elle avait annoncé s'est réalisé. Voici les quatre points.

1. - Le Roi m (alors, Louis X I V ; depuis les rois, empereurs et présidents successifs) sera sauvé par « la Consécration qu'il fera de lui-même à mon coeur. » — 2. L e Sacré-Cœur « veut régner dans son palais, être peint dans ses étendards et gravé dans ses a ime» i. I l -veut que soit fait « un édifice où serait le tableau de ce divin Cœur, pour recevoir la consécration et les hom­mages du rei (du chef de l'Etat) et de tonte sa cour (les notables). — 4. Le roi devra « faire autoriser la mease à son Honneur par le Saint-Siège apostoli­que, et en obtenir tons les autres pilvUèaea qu'il veut accompagner cette dévo­tion de ce Sacré-Cœur. » ' ,

L e roi Louis X V I , prisonnier, ae rsajasrrs an Sacré-Cœur; mais il était sans pouvoir. Aucun Chef de l'Etat n'a fait peindre le Sacré-Cœur sur son dra­peau. Mais l'église demandée a été construite: ta basilique du V œ u National, à Montmartre, déclarée d'utilité publique, lé 24 Juillet 1873, par l'Assemblée nationale Constituante, dans une loi signée par le Président de la République, maréchal de Mac-Manon; et la France a obtenu des Fapes la messe et l'office du Sacré-Cœur, avec combien et combien de privilèges! — Reste donc à satis­faire aux premières demandes.

L a seconde est particulière au drapeau du Chef de l'Etat; la première con­cerne l'Etat français, représenté par son chef. Une consécration nationale offi­cielle est-elle actuellement possible? Il ne semble pas, à cause de la division néfa te des Français et du nombre énorme des incroyants. Mais elle doit être*/ préparée, par des consécrations qui engagent la France. Comment cela' Lai cellule de base de l'Etat, c'est la famille; que les masses paganisées de la France, devenue pays de mission, soient reconquis es an Christ qui l'aime ton-jours, et que les familles françaises soient consacrées au Sacré-Cœur en nom­bre important, alors il sera possible d'obtenir la consécration officielle de la, grande Famille des Français.

« Impossible! » protestent H -s sages et d:s puiscants. - Impossible » n'est pas français. Commençons par consacrer les familles chrétiennes. Que le Christ soit invité à l'acte qui fonde lo foyer, c'est-à-dire au mariage. Que l'image du

MON CXtÇŒT

majorité -cra chrétienne. Et alors, le Sacré-Cœur ayant reconquis sa France enfin offerte, la sauvera.

— « Xous sommes mal avec Dieu et avec nous-mêmes » écrivait L o n ; «

Veuillot le 4 septembre 1872, et cette condition ne promet que de tristes et lourdes paix. » U est temps que la paix véritable règne. Elle ne rwts. viendra que par le Sacré-Cœur. Que les familles donc se consac-ent à Lui et vivent

a v e c i m - René CARDALIAGTJET.

E — D ' A R Z À V - H E O L P a zibouf an hecl gourizet e satin, Pa zivo-ailh, hep trouz doriou-dall ar

mintin," P a asten neubeut a neubeut e ze'l war

bep fan, Eus luziadur an noz evi t o diframma W a r bep skour, war bep brank, evned

.an A o . Doue A r o dezan digemer gant laouened'se. Gousfadik e komzont rag aon d'e" -.ponts Mouskar;» a reont rag aon d'e drubui^ha Hen lezel a reont, meurdezus, da zevei Sus koundouniou an noz war riblou an

dremmwell , Ha. pa deu.'da Iugerni en oab 'vel eur

*>penn<oue, •• ' . Neùze e kanont holl a bouez-penn,

'unvquè. — « Dezmat d'it, sterenn krenv ha bur-

zudus: " ; H e b d'out nag à bed a vcfc gwa:l-

eurus! - * Te'-a" zegas frealzidigez d'ar cTrlanvi^r: T e a ziwan ar spi e kalon ar paour! T e a adenaou an dud fallgalQnec; T e a r j skor d'ar re a labour gant al-ed' En.eur* para 'vit an holl, ' v i t an ho.l o

Iugerni, , E teskrj, deomp penaoz labourât hé

• pedi! N*out ket bet krouet ev i t eur Stad, pur

Ouenn, Ev i t eur rumm pe rumm, met pvit pop

den. Ev i t an holl e pares, ev i t a i hoi: « tugerues, Heul a res hep rebech urziou Mostr ar

Vuhea,

D. — D'AS C 'HUS-HEOL

Pa fit em zamolod en e zilhad '•ou".. Pa ro en abardaez e zit/eza se':, Leun a beoc*h, a zousder, a ze t i . ' id igez D'ar-re a labouras gantan epad a-i dez-Aji evned a dèu neuze adarre d ' a za'.wii Dit lavaret dezan o drugarez, o men-

leudl: Btakouezet e peus d'eomp ar. hent

gwel la £ rankomp heul ganaz « U g a- bed-ma;

Nouvelle* religieuse*

— Le cercueil du .pape Pie X, mort en 191-4, a été ouvert pour la reconnaissante officielle du corps, en vue de la Béatifica­tion espérée.

— Le cardinal Liénart, évèque de Lille rappelle que l'Eglise veut que la dignité humaine de l'ouvrier soit respectée, — que l'ouvrier ait dans l'entreprise un rôle pro portionnel à son importance — que les ouvriers, les cadres et les patrons s'unis­sent entre eux.

Succès Universitaires. — M. Toulemont. itudiant à la Faculté d'Angers, reçoit de la Faculté de Paris le Certificat d'Histoire Générale de la Philosophie (mention Vssez Bien) et le Certificat de Philosophie Générale et Logique.

v i t M -

L E SECOURS NATIONAL a outillé et contrôlé en 1943 12.000 œuvrr sociales: 450 millions de francs de sub venfion.

Hebd'out ne vijc ket gwa ' . -v rao hor c'hudenn!

Da eimiarl a v o evidomp eun rnka-denn;

Met sur omp e tistroi warc'hoaz ndrir.-e, Da Vestr a c"hourc'hemen d'it tseLhu

wa.- e vuffile. Araok da gwitaat, setu aman hor pe-

denn: Rent pep den e pep bro, yae'h, gwel -

loc'h ha laouen, Ha warc'hoaz pa dïui da iugi'r.v!. da

bara, Evi t da zigemer ni a vo gar.t, ap-ré

genta; nb Da genta da drugarekaat da Ve- t r . - 'da j

Grouer Ha da gerzout gancs adarre drant ha

seder, Evit adsevel bravoc*h ar pez ' z o dis-

trujet, Ehrit buhezekaat ar galon, ar sp"red : Rak ar bed a-bez a zo da asnevezi; Sklerijenn da Vestr hebken a c'hell e

zavetei, Tommder er f'halonou, splannde;* e,-

sperejou, Karantez être an dud en dosp-îd d o

cliemmou. Hon enebour 'zo bet ar fa's donva'ijenn, Ra deui buhan en lie lecl i ar gwl r skle­

rijenn. A greiz kalon e lavaromp d'it Kenavo, War da lerc'h ni a hirnez, deus touhan

en dizro, Hag ganes adarre warc'hoa* ht bemdez.. N i a gano d'az Mestr hon a n icudegez.' Evi t ma kendalclio da sk-u'.h «e ve'nno-

ziou, W a r ar r e a gred ennan - kr.-îz o zru-

builhou. » Lagad-Eun.

Pep gwi r miret,

Petit Courrier de France

M. le ina-.-échai Pétain et M. Laval, par un message radiodiffuse, demandent ?" tous les Français de rester unis et d-toiit faire pour éviter la guerre civile, qui ne doit pas s'ajouter sur le sol ue ia -, trie aux opérations militaires.

Tout i * .. t-ie thonique est absolument suspendu dans l'ensemble du territoire occupé; le trafic régional et interurbain est suspendu pour toutes personnes pri vées, et pour tous services français non munis d'une autorisation spéciale de i:. Feldkommaiwlantu r. Des restrictions plu sévères psuvent être ordonnées. Toute in­fraction donnera lieu à des poursuii • gour assistance à l'enmir-i •* s- n.-s

le des peines prévues par les codes pé­naux.

Défense d'aider ou de recevoir les sol dats « alliés » , parachutistes ou autres. S'ils sont blessés, on peut leur donner les premiers soins. Et aussitôt les déclur,-i aux autorités d'occupation, ou aux auto rites françaises, qui doivent transmettre. — Toute blessure faite par arme à fee doit être dcclr.réc à ces manies autorités

L" port d ' Rouen, à l'JT km d" ,*'>" i 1 0 ' n i d.- Paris à vol d'oiseau, a 18 km d'étendue. 100 hectares de surface, 110 km Je voies f: rrées. Son trafic passa de .", millions en 1913 à 10 millions en 1930. Il était aussi important qu- Hambourg An­vers, Rotterdam et concurrençait ainsi l e ports anglais.

TRANCHEES-ABRIS FAMILIAUX Il est recommandé à tous prcpriétairis

et locataires vie it- rai» de ••o-istrulre d*-s rirrpnchécs-abris à quelque distance de le ' maison ou du mur, au moins une ilistan.c égale 4"Ia'hauteur de l'édifice, pour éviter îles effets du souffle éventuel. Si possible, •recouvrir de' bols.

N ' a t t e n d e z p a s

l e d e r n i e r j o u r !

15 JUILLET C L O T U R E

de la perception de QT METAL . a n s

Finistère, Côtes-du-Nord. Morbihan. Il ie-et-Vilaine.

CO^ISSARIAT A L A MOBltlSATlON OtS MÉTAUX NON FERREUX

La I t f i i R - u i i l c E l « r H t o

Dans la charmante collection des Pro ­fils franciscains, publiée aux Editions franciscaines, e t où M . l e Chanoine R. Cardaliaguet a fait paraître récem­ment un très vivant Saint Jean Diseal-ceat, Santik du, M . Henri Ghéon, à qui son théâtre chrétien a rapidement valu une juste et éclatante célébrité, vient de nous donner une Sainte Claire d'Assise, qu'il nous présente lui-même en ces termes: « Par ler de ce qu'on aime est un plaisir, de ce qu'on admire un profit, dût-on ne procurer par là ni profit, ni plaisir aux autres. Voilà mon excuse aujourd'hui... >

Modestie excessive!..- M . Henri Ghéo*i n'a besoin d'aucune excuse— Et sa pla­quette, illustrée de seize gravures d'art fort peu connues, apportera à tous ses lecteurs autant de plaisir que d ï proSL

I l est vrai que M . Ghéon, comme i! I c dit encore, ne nous offre sur ja inté Ciaire rien de nouveau, et que les sour­ces auxquelles i l a puisé ont déjà é té utilisées par ses devanciers. L'histoire de ia Sainte a été fixée au lendemain am sa mort ; e t ce dont les travaux des éru-dits ont réussi à l'enrichir est insigni­fiant,- exception faite pour quelques c.'.r-rections dans la généalogie de Claire.

Voic i la plus importante: on a. .ong-temps répété que la Sainte appartenait a la famille Scifi- C'est une_i:rr^ur Oars .laquelle j ' avoue être moi-même tombé. Les recherches du P. Lazzeri, O . P 1 L , et de M . Arnaldo Fortini, podestat d'Assise, ont montré que le père de Claire s'appelait Favarone di Offreduc-e.o ai rnardino. Et M . H- Ghéon a

cette roctifi-jnstement tenu compte de cation.

Mais laissons ces détails. Not re plai­sir est ailleurs: dans l'admirable élude que l'auteur nous présent; de 'a voca­tion de sainte Claire, arrachée au mon? de par ia prédication et .es entrotieis-de saint François d'Assise, e t le sui­vant dans la vo ie du renoncement ab­solu qu'-" avait choisie pour lui e t ses frères. P nr nous faire sentir comment s.'est exercée cette action du Pcvere t lo sur celle qu'on a si heureusement ap­pelée sa primogenita, M . Henri Ghéon a écrit des pages d'une merveilleuse pé­nétration, et dont on ne saurait trop ouer ia vigueur et la finesse, souvent

même l'originalité. I l lui a fallu, pour atteindre à un pareil degré de perfec­tion, - v iv re longuement, profondément, dans un étroit contact, dans une sin-gu.ière intimité avec ces âmes d'élite.

Quant au profit que nous procure M ; Henri Ghéon, il apparaîtra clairement à tous ses lecteurs- I l l e met en pleine lumière dans sa conclusion, dont j e vou­drais au moins citer ces quelques l i ­gnes: c Not re ennemi est toujours ia r i ­chesse; mais notre siècle n'est pas près d'en convenir... L e message d'Assise urvit cependant; il est bien gardé... Les

i.obles ont délégué Claire et les mar­chands François auprès des petites

ns et des pauvres, pour sceller ia paix entre tous les hommes sur le terrain ïmiiuin de la charité chrétienne. » Dans l'horrible conflit actuel, com­

bien, il faut l'avouer, cet idéa nous semble lointain!.. Mais la v ie de sainte Claire s'est déroulée, comme la nôtra, parmi le fracas des armes et dans une atmosphère de bataille; et sa leçon de pauvreté et d'amour, comme nous l'a fait si heureusement comprendra M-Henri Ghéon, n'a rien perdu depuis sept siècles de son actualité.

Beffa. - » » O V » -

A P O S T O L A T de la P R I È R E (intentions)

J U I L L E T . — Honnêteté des livres et des îiinis. - Trava i l et v ie familiale des N o i r s selon la loi chrétienne.

A O Û T , — Des jeunes filles formées aux vertus nécessaires — Œuvres de charité en Af r ique .

S E P T E M B R E . — Bien spirituel et ma té» rlel des servantes. — L a jeunesse afri­caine des écoles.

O C T O B R E . — L e retour à l 'Unité, p a r Marie, de ceux qui l 'honorent. — La» c lergé indigène et les laïcs cathollqnes-qui se préparent aux charges publiques.

N O V E M B R E . — Est imer davantage T U * trême Onctton. — Les missionsjaires da Mndagascar et îles voisines.

DÉCEMBRE . — c e Centenaire de l 'Apos ­tolat de la Pr ière e t la diffusion d e l 'es­prit de l 'Œuvre.— Que les catholiques connaissent leur d e v o i r actuel envers l 'Af r ique . •

C O N S E R V E R C E S L I G N E S ,

• -:^a«oiw*s*sio r'w^

C O I K R . I I « . D I ' F D i l S T E R k

KRKST. — SERVICE PHARMACEUTIQUE. —-Dàsaattgiie i8 juin: G uc^ucn. _<j, r„e J. Xaurés; Le Breton: 7 , rue » *uu..ii — Sj-i'.erre: Oaniei, A v . ai'. Polygone.

BREST. — Aux l . j i ' r s natives publiées pa. i r courrier * l'éioge t i r » . A u 6 u r „ ; , «ie Pioudaliiié&eau. i t . / w de iimt ajouts le récit d< son u.tiwté en .aveu.- du CoJ lêge N. -D. de lion recours. iJeve u » 6 l i . avait 14 ansi de la maison ouverte ru. d'Aiguillon en 18/2 et devenu Petit-Lyre» en 1881, il avait suivi brillamment 1 « cours des HIC PP. Bergeron et Goguyer En 1802 M- Carol fonda l'Association N . t>. de Bon-Secours, avec M. Jean Chevii Iote et le commandant Lormicr. et mit â la disposition de l'Evécbë le collège re­construit (24. rue eea 1885. Les débuts furent difficiles: peu d'élèves e; peu d'argent- Mais avant de partir ie K

. P . du Beau avait dit à M. Carof: — « J*ai consacré te collège au Sacré-Cœur, i l ne périra pas » . M. Carof garda confiance, et i l eut la joie, le 19 octobre 1922, de voir S. G. Mgr Duparc présider le Cinquante­naire du Collège et l'Assemblée' constitu tive des Anciens Elèves. Elu présjdent. il donna ce programme: « Servir la religion, la famille et la SoL-iété de Jésus, si fu-rieusenrent attaquée » , et cette devise : « . Français sans peur,. entretiens jwuu re­proche. » En 1933, lorsque, l'affluence des élèves nécessita de nouvelles constructions M.. Carof fut encore le président, et des plus actifs, de la Société Immobilière ou: se chargea de l'œuvre. Sur la fin, les in­firmités de l'âge ne lui permettant plus de voyager, il se démit des fonctions que depuis quarante ans il avait remplies avec une si tteîle conscience et un dévouement total.

Nous ajouterons que M. Carof v i t venir la mort sans crainte. Il eut la consolation de voir au près de lui ses sœurs, ses en­fants, (à part la Rde Mère Marie -Ger-trùde) et la plupart de ses trente-cinq petit*-enfants. Et c'est lui qui invita M. le curé à lui donner les derniers sacre­ments- Ayant repondu aux prières, qu'il •avait par cœur, et donné-a chacun ses dernières Instructions, il rendit son âm-à Dieu qu'il avait loyalement servi et qui bénit sa postérité: il avait vu les enfants de quatre <fe ses enfants, et un arrière-petit-flls; un de ses filles et religieuse ; deux de ses petits-(lis se préparent aux Missions Etrangères, et un neveu est curé près de Paris. N « i a i i - , « pas une des plus .nclles récompenses- de ce monde,

BWEST. — U* F. P. -V. — La Caisst d'Epargne offre gracieusement à toutes les mères décorées de la Médaille de la Fa t u i l e Ir.tnçaise (promotions du 1 4 juillet 1843 et du l " juillet 1944) de l'arroiiu.:,-sentent, un livret d--' 100 ir. (médaille de bronze), 200 r. (médaille d'argent, 3 0 0 fr. (médaille d'or).- Ce livret sera à leur disposition Jusqu'au 91 août 1944 (dernier délai) à l'un de ses bureaux: a Brest, 9, rue Foy, tous les jours (sauf le samedi après-midi et le dimanche) de » h. 30 à 11 h. 45 et de 14 h. à 15 h. 45; à Landerneau, rue de la Rive, le mardi et lé samedi de 9 h. 30 à 11 h. et de 13 h. 1 5 à 1 5 b . 30; à Lannilis, St-Renan, Les neveu, les jours de ma riche de 12 h. IL 1 5 h.; a Ploudalmézeaul le lundi, de 1 3 h. 30 à 16 h.; à Plougastel, le 2>- et le dernier jeudi de chaque mois, de 10 h. à 1 2 heures.

Les bénéficiaires de ces livrets qui ne pourraient se déplacer avant le 31 août, enverront à ,1a Caisse d'Epargne de Brest leurs nom, prénoms, adresse, lieu et date de naissance. Celles qui ont déjà un livret de la Caisse d'Epargne de Brest le feront parvenir pour inscription de la somme qui . leur est offerte.

Au nom des mères décorées, l 'U.F.F.N. remercie très vivement M. le Directeur et le Conseil d'Administration de la Caisse d'Epargne de Brest de leur généreuse ini t la tive.

BOURG-BLANC. — Le comité d'assis tance aux prisonniers de guerre a reçu les dons suivants: Mariages Le Moine-Ropars (2 e versetent): 520) fr.; Boucher-Le Roux: 650 fr . ; Mith-Caradec: 967 fr. 50; Calva rln-Guével: 6ï6 fr. 50. — Meilleurs vœux à tous et au nom de nos chers absents, merci

LANDERNEAU. — M. Le Moigne, 50 ans, 3 enfants, chauffeur au moulin de "Elorn, mettant un gazogène en marche, a été asphyxié.

LANDERNEAU. — Le 2 7 mai dernier, au monastère des Bénédictines du Calvai re à Orléans, décédait a l'âge de 7 5 ans dans la 52» année de sa profession, la RÉO. MIRE- MARIE-THÉRÈSE de Soùif AUGUS­TIN, née à Landerneau « Marie-Madeleine Kergoat » , la « m.raculée de Je d'Arc. »

Voici, en effet, comment s'exprime ie Décret de la Sacrée Congrégation des Rites en date du 13 décembre 1908, por­tant reconnaissance et approbation ofii c l e l l e de trois miracles en vue de la Béa tiûcatioti de la Vénérable Puce lie: le pre m 1er miracle eut lieu dans le monastère des Bénédictines du Calvaire a Orléans en l'an 1900. La Rév. Mère Marie-Thérèse de Saint Augustin « qui souffrait depuis trois ans d'un ulcère à l'estomac, avait Vu son mal faire DE tels progrès que, ayant 'perdu tout espoir de guérison, elle •'apprêtait à recevoir les dernier:, aoi-.-ments de* mourants. Mais voici que, le dernier jour d'une neuvaine faite pour Implorer le secours de la Vénérable Jeanne. CUe se lève de «on it, assiste au Saint-Sacrifice de la messe, absorbe sans diid-Culté de la nourriture, et reprend ses ancienne* occupations, ayant été subite­ment et complètement guérie » .

La vénérée défunte était la sœur de Mme Simon (couture), récemment décéder en notre ville, et de la Rév. Mère Marie des Anges, religieuse choriste, elle aussi, 4M Calvaire d'Orléans, à qui nous offrons, ainsi qu'à sa famille, nos respectueuses « t Chrétiennes condoléances,

PLAJ3ENNEC. — Le Comité d'assistance snn Prisonnier» de guerre a recueilli, de­puis le t" Janvier 1944, le» don» cl-•jjeé* prévenant de» quêtes de mariage» ;

» a f j » j i i ) » 3 l « j i £ g j ^

Léost-L^igadec, 2 S 0 f r . ; Guével Kozee, Ber i i . r . - â a . a u u . -il... ; M - . r . a i i ' . . o a . , -4 a , ; 1 a u .

Le Menn, 1-045; Boulic-Kermarrec, 280 ; Saiiou-Le Brun, 6 0 0 ; lx>ria:tt-l>avé. 42.,20; Kërouanton-Siiuon. 2 6 0 ; T r e v i a u - L a v a i i a i i t , 360; Bellev Léost, 4 - 4 . 2 5 ; Roudalit-siSalou 673; Rivoaîen-Guéguen, 4 0 0 ; • C r e n n - S é g a -len, 540; Madcc-Georgeliu. 5 3 - 3 . 6 0 ; Abily Théven, 602,30; Communion Eliane Poder, 8 0 0 f r . — Merci et meilleur-, V O T I

ALI

Dieu

CHATEAUNKUF-DU-FAOL. — Autre DAME DES PORTES. — Pour le Jubilé cin­quantenaire du Couronnement de :a Sa-tue. M. le rhj::.oine Pérennès publie ua-e élégante brochi-.c illustrée, tris documen­tée qui sera pu,-r k-s pèlerins, e: p.mr ! » grand public, d'une lecture fort agréable et d'une instruction très profitable.

La première partie i actinie la fondation des deux chapelles et la dévotion à Notre-Dame. La première chapelle fut bâtie- en 1438 par Jehan L - Prat. la stneonde e u IS&y-SS par la fabrique Q Ï Chàteauneuf, sur les plans de M. Guerrannïc. Dès le 16' siècle le pardon était fixé au dernier dimanche d'août; des luttes y étaient .or­ganisées. La bénédiction de là chapelle ëpj 1893 est racontée d'après a . .Semaine RE­LIGIEUSE. Mgr Valleau. évêque de Quimnes, la présida. Dix paroisses « de la Montai­gne » fournirent le plus fort contingen! de pèlerins; et les S00 Chàteauneuviens résidant à Brest s'étaient cotisés pour offrir une bannière s:>lendide.

L'année suivante, M"gr Valleau - couronna la Statue au nom d" pape Léon XIII . Mgr Recel, évêque de Vannes, officia, entouré de NN. SS. Trégaro. évêque de Seez, Kersuzan du Cap Haïtien. Potron, de Jéri­cho, FaIHères, de Saïut-Bricuc. LN stati.. du 15* siècle, en élu-.,--. échappée "aux fu­reurs de la Ligue et de la Révolution reçut les hommages de trente mille ch'ré tiens, enthousiastes et pieux; .,ux AECJAWFF\ TIOITS it,..i-giques, le premier des quatre « coryphées » était S. i-.\c. M*r Co„.. alors jeune professeur au Sé.lunaire.

Au 35* anniversaire du Cotironnenienl (31 août 1919) quinze paroisses vinrent en

Êrocession, avec de nombreux rescapés de t guerre, des diocèses de Quiniper, Van

nés et Saint-Brieuc. S. Exc. Mgr Duparc était assisté de NX. SS. Conan, morbihan-nais. archevêque de Port-an Prin'.-e: " L < Fer de 11 Motte, de Xantes; Gouraud, de Vannes. M. le chanoine Messager, v. .a. . général, donna 'le sermon breton, et Mgi de la Motte le sermon français, devant une foule qui rappelait celle du Coùrojn nement. Que seront les solennités du -anniversaire, le 27 août prochain? seul le sait

M. Pérennès a voulu, par sa brochure, les préparer par le souvenir des fasfcîs d'autrefois. Il y ajoute le texte de la Can­tate du Couronnement et de quatre canti­ques bretons à X.-D. des Portes. Les pè­lerins et les dévots de la Vierge couron.-'

e ne pouvaient trouver meilleur guide. R . C .

S'adresser à M. le curé-doyen de Châ teauneuf-du-Faou. Le volume, 25 fr. '

LANDELEAU. — LA TROMÉNIE (suite).. Vers 2 h. 30, la procession l'ait le toiii

de la chapelle et part pour le bourg. A gauche, la plaisante vallée de l'Aulne devant le panorama que limitent, là WiS les sombres s o i n me! s du Roch Tout-al-Laêron et de ses rivaux des Montagne.-Noires.

En direction de Castel-Gall, on va dan.-un nuage de poussière et sous un soleil implacable. Un entrain surnaturel port; les pèlerins. Ils escaladent allègrement la pente de la « Montagne-liraz » en répon­dant au chapelet o u en chantant le cher refrain « Sant Thelo, pastor mad » . Le-voix se fatiguent. « Demain, on se taira » confie un vaillant père de famile qui honore son saint protecteur par son 27'" « Tro ar Relegou » . C'est la foi d ' u n i contrée qui s'accrffche au précieux héri­tage de ses ancêtres; spectacle réconfor tant en cette époque troublée; vrai para tonnerre pour le pays que cette foule qu processionne en suppliant le ciel de re faire l'union des Français, d'apporter la paix aux familles et a u pays, de ramener à leur foyer les prisonniers.

Croix èt bannières sont là; le joyeux carillon des cloches de Landeleau se mêle aux accents toujours aussi vibrants des pèlerins fiers des quatre lieues parcourues. M. le chanoine Le Ster préskie les vêpres solennelles, et sa chaude éloquence s'at­triste sur la désunion des Français, sur la pauvre humanité qui. pour avoir oublié le ciel, doit aujourd'hui chercher refuge, contre ses propres inventions, dans le sein de la terre; un retour à Dieu mettra fin à ces misères cl surtout par l'éducation chrétienne de ses enfants, la France, allai-bile mais toujours vivante, se forgera un avenir de paix et reprendra son éclat des temps passés.

La bénédiction de deux yitrnwc REPRO-.. duisant chacun une scène de la vie d ' St Théieau, et la bénédiction du T. S. Sa­crement terminent tette splendide mani­festation de foi.

•Pour faire mieux connaître et plu3 aimer cette Troménie. M. le Recteur a mis son cœur et sa peine; aussi est-ce pour lui un «ujet de joie que d'entendre, pen­dant le baisement des reliques. lr>s pèle­rins chanter avec cœur, avant de se sépa­rer.

Dirag ho relegou, Ni bromet, sant Thelo, Kerset var ho roudou, Ha betek hor maro.

. . . . . . . """STA.~6 E S

« Stades » (4 bis rue du Boulil. P i r i « -— c. c. 363.53, est la revue officielle de l'Education générale et des Sports Men suelle. 12 fr. le numéro; 125 fr. l'année. Illustrations en platinogravure, 32 pages. in-4».

Exemple de sommaire . Précellcnce du rubgy. Leçon de >ki au Puy de Sancv. Le» activités du Commissariat général: éduca­tion générale, sports, équipement sportif, propagande. Elèves d'histoire et géogra­phie sur le terrain. Les Sports chez les rois de France. Plateaux d'éducation phy­sique. Football amateur, rugby, basket, »kL cross-countrv, boxe (G. Charpentier). Sport» universitaire»,

M O R L A I X LAXDIV1SIAC. — C O N C O U R S . — POULI

CHES 3 an». — 1 . 5 0 0 fr.. Y. Quéguiner, Ploacnan, RITFNE; 1 . 3 0 0 , 4 . - L Crenn, St-Sttvais, TITINE; 1.000. L. Le Sann, St-Pol. INBOTIDE; 8b0, J t u . e Pengam, l'iuuaan-e. TOURELLES 7 0 0 , E. Abalain, Bodilis, TOÀ RENNE; 600, Miossec. Plouénan, TITINE 400. Ollivier Uuéguen, Ploudaniel, IROT IEUSE; 3 5 0 , Guéguen--Penlrat, Plougour-vest, TOURNETLE; 350, Troadec, Plouzévédé, TULIPE; 3 0 0 , TH. Salaun, -Kersaint-Plaben-nec, TORPILLE; 300, Le Borgne frères, Tré-flaouénan, TRÉGASTET; 300, André, Trëllaoué-nan, TROTTEUSE.

POULINIÈRES SUHIES OU PRÊTES. — 1.500 fr., Y . Guillerin, Landivisiau, QUININE , 1.2O0. Le Borgne frères, MINERUE; 1.000 Fr. Donval, Loc Eguiner, SUZETTE; 800. Salaun. Taulé, PINCÉE; 650, O . Guéguen, KOBINE; 500, André, SÉRIEUSE; 500, Yven, Lanhouamea u, QUITTANCE; 400, J.-F. Si­mon, Bodilis, QUINETTE; 400, au même, XINA; 400, Le Borgne frères. SÉRIEUSE.

. CHAMPIONNAT DES ÉTALONS DE 3 ans. — 4.000 fr.. TAMBOUR, J.-F. Saludcn, Mes

PAAL; 4M», TRÈS-LONG, J. Saluden Piouc-. a u j ; .4.000,- TARQUIN, G. Trégucr, Bourg-

Blanc; 4.000, TROCADÉRO, St. L e Dreff, Lan­derneau; 3.500, TONNERRE, P. Siohan, Pieu «éventer; 3300,' TROCADÉRO, Cuillerniou, Coat-3Iéal; 3300, TURENNE, frères Picart, Plougourvest; 3300, TACOU, J.-F. Inizan, Plounévez-Lochrist; 3.000, TOUR-TAN, L Simon, St-Pol; 3.000, TRÉGASTEL, J.-F. Sa­luden; 3.000, TURBLNEUR, J.-L. Salaun, Plouidcr; 3.000, Totu, Ch. Créach, G u i d a i t ;

2.500, TRICORNE, F. Coatalem, Dirinon ; 2.500, TOLLÉVEZ, A . Guiliou. Bolsorhel ; 2.500, TAFOUIS, J.-F. Inizan; 2.000, TAM­BOUR, J.-F. Saluden; 2.000, TROTTEUR, frè­res Donval, L e Trébou; 2.000, TALINGOAT, Gallic Guéguen, Landivisiau; 2.000, TAL-MOT, J. Guiliou, Morlaix; 1300, TITAN, J. F. Saluden; 1300, TOMMIE, L. Guiliou, Bodilis; 1.500, Tonton, J. Saluden; 1.000, TOURBILLON, Mme Bécam, Plougourvest ; 1.000, TUDOR, Berthou, Plougar.

Mention honorable : TORPILLEUR, J.-M. Burel, Plouénan; TRIOMPHE, D . L e Borgne, Plouzévédé; TERRIBLE, Y . Le Bras, Plougar; TITOU, F . - L Abjean, St-Derrien; TENACE, F. Caër, Plouvorn; TANGO, J. Guiliou,

Morlaix; TRIBUNAL, A . Roguès, St-Thé-gonnec.

PLOUIGNEAU. — Comité cantonal des Familles nombreuses (loi Gounot). Mem­bres d'honneur: MM. les maires et les curés de Plouigneau et de Plougonven ; Mme Agostini et M. Jaouannet, de Lan-néanou. Président, M. CL Monnier, Ploui­gneau; vice-présidents, M. Aug. L'Eléouet, Plougonven; Mme Loyer, Guerlesquin; se­crétaire, M. Féat, Plougonven; trésorier, M. Le Guen, Plouigneau; syndic, M. Y . Manchec, Lannéanou; délègue ouvrier, M. Le- Houérou, Plougonven; plus 3 membres pour Plouigneau, 3 pour 'Plougonven, 3 pour Guerlesquin; 2 pour Lannéanou, 2 Botsorhel, 2 Plouégat-Moysan, 2 Le Pon-thou. ,

t P L O U I G N E A U . — ! CONCOURS DE CIDRE • DE V U . R . C. A . — Sont prhnés: MM. Combot. Plouigneau; 'Le Scour, Lannéanou; Cornée, Plouédern; Chanquer. Plouigneau; Le Bre­ton, Plougonven; Quéméner, Plouigneau ; Richard, Plouégat-Guerrand ; Jézequel, Plougonven.

P I > O U N E V E Z - i L O C H R I S T . — Le capitaine rie coloniale M. Fr. C o r f a , en captivité, fils >Ir Mme et du capitaine Corta E R., est nommé chevalier de la Lévion d'hon­neur.

LE P. P I E R R E COMPBS DE LA CONGRÉGATION DU SAINT-ESPRIT DÉCÉDÉ À LANGONNET LE 25 Mat 1944

Né A. Lotetudy le 24 août 1869, Pierre Marie Compès, acheva ses études classi

âucs à l'Ecole apostolique et entra dans la ongrégation du Saint-Esprit. Le service

militaire devenu obligatoire pour les clercs il fut arrêté dans ses études pendant trois années, car i l ne profita pas de» exemp­tions auxquelles il avait droit. A sa llbé ration il fut envoyé au Séminaire fran­çais de Rome d'où il sortit docteur en philosophie et docteur en théologie, titres qu'il accolait volontiers à son grade d ' sergent-major dans l'armée. Dans la suite il devint adjudant. Prêtre à Rome le 19 septembre 1896 U fit profession le 27 sep­tembre 1888. Il enseigna le dogme à Che-villy d'abord puis à Rome où II fut estimé de ses élèves comme un théologien accom­pli. 11 fit-la guerre, en grande partie à l'hôpital de Qu imper, puis il fut succès-s,ventent supérieur de l'Orphelinat Saint-Michel, à Prlziac (Vannes) et de l'école normale libre de Saint-Han près de Saint-RrJeuc; c'est à Saint-Han qu'il résida jlismré dans ces derniers mois. Ce «avant se trouva A l'aise au milieu de la jeunes­s e ; ii s'intéressait aux jeux, aux sports, il s'y donnait tout entier avec une bon-hosnmlo qui chez un autre aurait nui au présage ae sa sciente et chez lui ne fai­sait qu'accroître le respect qu'il inspirait. En même temps le plus aimable des con­frères, toujours prêt A plaisanter en com­pagnie, et aussitôt qu'il était seul plongé dans sa lecture ou clans ses prières.

DOUARNENEZ. — * COMITÉ D'AIDE AUX prisonniers. —- Actif, banque, 159,229 fr. i v ; marchandises, 47.957 fr . ; colis gratuits. 185.707 fr. 55; frais généraux, 17 fr. 95; caisse, 1.000 fr. Tota l : 393.011 fr. 60.

Passif: dons, 393.911 fr. 60. En mal, expédié 969 colis gratuits

(47.909 fr., poids total, 1.791 kg.) « t 91 colis payants (336 kilos, 27.256 fr. 50).

— 150 prisonniers libérés de Donarne-nez, Ploaré, POuldavld, Trébou], réélisent M. Amiot président.

MOBLAN. — ETAT PAROISSIAL oTAvril-MAI. — Baptêmes: Hubert Lopin, Kerliou; Ma-rie-Clalre Houat, Kerseli George» Autre t, Malachap; Jacqueline-Marcelle ScaViner, Kerdouralenfl; J»anne-Emllienne Le Gour-rierec Un-Kergulfc; Mfchelle-Yvette Déré-del, P^t-Xoad-wSavé; Marie-Louise Le Doze, Kermea; Noëlle Audren, Kermoulln;

te Le Pennée, Port-Saint" Kerampellaii; Liliane BraL lt-Michel-Pierre Le Guilly, KèVvardel; Marie Guilloré, Kerlicguet; Philippot, Kerguilien; Jean-André coët. Bourg; Joséphine-Marie M a o u t ; _

Le Garrec; Joël-Jean-Paul Bolou. Louis-Marie Jégou, Kern?; Joseph-Capitaine, LamJburno u ; Marie-Louise forn, Kersekoll; Emilienne-Marie Kersekol ; André-Jean Le Bloa, L vignac; Monique Ruppet. B l o u r i m o n ;

rie-Louise Le Bourbis, Keryoualenn; rie-Renée Nélias. Lamburnou; M a r i e -

se Le Beuz, Kersoli"; Louis-Marie guier, Saint-Cado; Bernard Toul-ar-cTioad-

Mariages : 'Pierre FlocTj, Kerdo Marie-Louise Quentel. Kerdoualenn ; tfaieu Frajtik, Salou-vras et Alice Pont-an Dourdu; Jean Audren, Clol Elise Philrppon, Blourimon; Vincent voën, Kersel et Gisèle Le Dren, Kers. Marcel Le Garrec, Trélazec et Léo O r » ' Kervétot; François Guyomar, Kerréfot Antoinette Le Goff, Kerskao; Emile zacTimeur, Kerne et Irma Fouesnant, ne; Albert Le Garrec, -Kerdoualenn Louise Scavner, Kergiouanou.

Décès: François-Marie Bourhis, 72 Kersel; Julien Le Doze, 8 0 ans, Saint-i mec; Marie-Anne Le Doze, 69 ans, men; Marie-Françoise Favennee, 76 Kersekol; Louise Guilly, 2 3 ans, Ke gant; François-Marie Haslé, 5 5 Kltc/h; Marie Danielou, 8 * ans, Tré Bernard LozacTimeur, 6 jours, Toul-cTioad; Marie-Louise Orvoën, 76 ans, rouz.

JKnde de M« R U A U L T . notaire & Bre K a e Jean-Jaurès, u- S8.

A u x termes d'un acte reçu par K g Ruault, notaire à Brest, l e 31 mal 194i | enregistré à Brest ( A . C ) , l e 6 juin 18* 1 vo lume 716 B . n- 65. M . Y v e s Créât commerçant , et M.- :s florentine Mézot % son épouse, demeurant ensemble à Bres' ';• rue Kérivin, n- --i, ont cédé à M m e L o u i s \ Hamon, commerçante , épouse de M ' Ï2 Henri Luguern, avec lequel el le demeu , ' re à Saint--Marc, rampo du Vieux Bourg n* 1. le fonds de c o m m e r c e d e calé1

épicerie et jeux de boules e x p l o i t é Brest, rue Kérivin, n 2

Les oppositions, s'il y a lieu, seronj--reçues en l'étude de M 4 Ruault, notaire s | Brest, dans les 20 jours d e la second*; -insertion. j -

i J our première insertion. A . R U A U L T .

Etudes de M-Jean M A G N I A U X . avout à Brest, 13, rue K o y ; M- G E L E B A R T : -, avoué à Brest, 27, rue Kérivin ; 14 R U A U L T , notaire à Brest, rue Jear, Macé .

V E N T E par dotat ion judiciaire L e Jeudi Vingt Juillet 1944 à 14 a. . 0 En l'étude et par le ministère de M

R U A U L T , notaire à Brest, commis à cet effet et dépositaire du cahier des char­ges . '

D E S I G N A T I O N En la V i l l e de Brest , rue du Marché

Poullquen, n- 17, UN I M M K U B L E cou­vert en ardoises, é levé sur caves d'uni _ , rez-de-chaussée composé ae deux bou- ' tiques et de quaire étages, petite cour. -

L e tout porté au cadastre section A i n- 92 pour une contenance de 65 cen-, tiares.

Mise à prix : 249.000 francs. Cette vente a été ordonnée par juge- '

men t du Tribunal c iv i l de Brest en date du 26 A v r i l 1941.

A la requête de : l•) M m e .Marie-Claudine Salaun, veuve '

de M. René-Mar ie ÎQuérë, domici l iée à-Brest, rue Jacquard, et résidant momen­tanément à Grasse, boulevard Emile- ' ; . Zo l a , v i l la Lopali ;

2' Ml l e Renée-Mar ie Quéré,.secrétaire au sanatorium de La Guiche (SaAne-et-Lol re ) .

Ayan t M* Magniaux pour avoué avee. élection de domici le en son étude aise a Brest, 13, rue Foy.

3 ) M. Modeste Quéré, buraliste, de ­meurant à Landerneau, 3, rue La T o u r d 'Auvergne , agissant au nom et ea qua-lité de tuteur ad'hoc des mineurs M o ­deste et Maurice Quéré, domici l iés à Brest, rue Jacquard, mats résidant avec leur mère à Grasse, boulevard Emi le - -Zola, v i l l a Lopal i .

Ayant M* Gélébart pour avoué avee élection de domici le eu son étude aise à Brest, 27. rue K é r i v i n .

Ladite vente se fera c o m m e i l est dit ci-dessus le Jeudi 20 jui l le t 1944, à ; U h. 3(i, en l'étude et par le ministère de M ' R U A U L T , notaire à Brest, com­mis à cet effet et dépositaire du eabler i des cha rges .

En présence on après appel de Mon- , sieur A la in Salaun, demeurant a Brest p 13, rue du Marché Poul iquen pris en sa 1 -> qualité de subroge tuteur ad'hoc des f, mineurs Modeste et Maur ice Quéré sus-nommés .

Fait et rédigé par l ' avoué poursuivant s o u s s i g n é à Brest le 9 .loin 194i.

Pour tous renseignements s'adresser t à M - R U A L ' L ' i , notaire à Brest . k

Avis important: Conformément a l'ar- : t ic le 7 de la loi du 16 novembre 19(0, • tonte personne désirant enchérir devra ( ' justifier d'une autorisation préalable ac- [ cordée par U Préfec ture . î

•ar. « , me da Caateaa U « r a t * Et

11

LE URRIER 6 5 ° Année N " 3 . 3 7 6 - 1 Iranc D U F I N I S T È R E Samedi 24 Juin 1944

FLÏËti WE L A SEMAINE

» . I- Dlin.. — ïl) . !.. SS. .lenii et l'nul T,. M. Dr l'Ootuve. — 2«. M. S. I reliée. --• J. ss. t'Ierre et l'uni. — 80, V. S, l'uni, l". s. précieux Snng île N.-s. — a. u. N ¡ • « 1 1 .

i l o u a r o u p a o u r

An no, Auguste Vilain, laboureï uar abaoue pemp bloaz ha daou-

n oa souezet o welet douarou o m tugn, nvuennek, dlfrouez, duous,t l'un holl tell, ludu ha tremp skullhet no, ha daoust hu du labour evcziunt gouizlek an ozac'h hag o dud. Oe'h-

P« gouoze eur c'blenved beiiag t ar chutai po war ar plant dru ar . en tunimou dcuar-se uu e omit pjjpc'h lui fconsoc'h eget el leac'hiou Klavk u reus ar perng hag ur pe

war eun duou-ugent benng a bur T 'ha prateler, hag nbars ar fin i lei'i.is; — A r garvuhezegun (micro emezan, n'eo netra; an douur hug

ear oo a gont, ha netra ken, Tamnli c'houen-gwez, ar mergl, an troatad, me oar, a zo bugaleaj. Vu ainezelen

mus c'houz euz ar seurt-sc; evldon-ihlnl ebed! Ma '/. eus tud o kredl e¿ pogus pe stogus ar c'hlenvejou-se, ra «lut d'in patatez klanv fors pege-*i patate* golUB, gwenaennus, tuget ' ar mildiou, etc.; dlrazo e lakin al z-so em douar nozet mat, hag er

'z a /.eu, fors pe seurt n vczo bet, bozo pntatez yac'h, hep bezn lakent

jaouonn ebed da laza ar microb. zo hag a lakn re a super, eme an

•vilain; o douar a dro e plastr, ha n t an amzer e c'hell digas klenvejou

, n dut! ha d'ar chutai a zebr traou tôt wurnan, Evidon-me o gav gwel -I» laknnt « magnésie soluble » tnl-

» hn phosphate) ha c'honlenn wure de sodium). Da dud pemzek

P&rtamnnt em eus desket ober evclse, hini ebed n'en deus bel keuz. Eostl

ffomp muioc'h h » gwelloc'h, hag e chomp yac'h hor plant hag hor cha-

Ar microb ne ra droug nemet war douarou klanv ha toc'hor, pe ampoe-"' gant re a ludu re grenv d'ezo

bep kouer eo anaout mat douar hini euz e dammou douar, dibaba

' EVI 'z penaoz e drempa ha petra da 8 pc da blanta ebars, goulenn ali M n deus ato eostou kaer, ha lenn levriou goulzieka. En em zlkouromp •tinan, hng an A o . Doue hor slkouro

EGILE.

•VMKV-

Nouvelles religieuses h, '-A S K M A I M K Hni.Hiiiu'sit nu l) . H U N W olïlclellc).

•••Cinq n 1 0 | 8 j , n g l n e nous séparent de Ih "a> l'.Mc r e l i g i e u s e et nationale qui uurn „ ™ i i s in basilique de Montmartre en

iJjeur du Sncré-Cnuir. g™ cette féte, (alites les fumllies élire-V " <le France, seront soleiini'lli'inont "•crées nu s.-C. Un livre d'or cnntr-

1 J*s noms î le toutes l e s f u m l l i e s mil J ' fuit Vlntronlsullon « leur foyer, les Jjwntera à ectto cérémonie. Ouns le * « or seront Inscrits tous Ion dhir*-<n> linnoe, duns ohnq.ue diocèse les pu-

et dans kiiuquc paroisse les noms ''"Villes, pér«, mére, entants, qui uu-'"It R I I I T R I N I L H I I L L I I I I , ainsi line le n n m

joroti-e nul nurn présidé In cérémonie', wvre (por restera a lu basilique de lllilirtic comme un nionuiucut de fol '"' nmrque île notre coiillunoe eu lia

c du Suer-Cœur. l'iris un nous .presse d'envoyer, sans

, " » » listes des fumllies qui ont fait ''Hsntlon. Secrétariat de In Croisade Ruchurls

' < • . rue d'Aiguillon, llrest) stiru très .n."iils*i.i,t d mi, les Curés et Recteurs »»1er duns les fumllies lia cérémonie de . "" i i s i i t ion ou i r renouvellement de la wallon, et d'envoyer d'urgence les

» d' ces familles soit nu décréta r In t prt'iit, soi t au Bureau du Patronage dc "•mte-l'umllle (rue Vnlentln, Qulmprr).

ORyiîdR. - .Les deux districts de J'u (nord et sud) sont promus Pré-" • * » . apostoliques et restent ronfles uux Pie s s ' Uwwrn de Jésus et Mûrie,

A p r è s l a g u e r r e ? Après la guerre, la paix qui sera son fruit gardera un goût d'amertume;

c'est le sort de toutes les paix filles des batailles, vainqueurs et vaincus s'en souvenant. Mata comment assurer à la paix le minimum d'amertume et le maximum de garantie?

t e s traités, ou les actes officiels qui en tiendront lieu si les usages anti­ques et solennels doivent faire place a des modalités d'accord d'un genre nou­veau, assureront les conditions politiques, économiques el sociales qui paraî­tront les plus capables de maintenir la paix dans le monde: comme d'habitude. Et nous prions Dieu qu'il inspire les signataires, et qu'il aide les nations à relever leurs ruines,

Quelle aide peut-il et veut-il accorder? Si l'histoire est un perpétuel re­commencement tee qui est vrai souvent) et s'il est permis de trouver dans le passé des prévisions pour l'avenir, cherchons un peu comment la France s'est relevée après d'autres guerres et périodes de guerres.

Après les guerres do Religion du seizième siècle, quatre hommes surtout émergent: Henri I V et Sully, Louis X I I I et Richelieu, grands dans ia guerre et dans la paix, héritiers de situations terribles, lentement renversées. Mais ù côté des hommes d'Etat, voici les hommes d'Eglise suscites par Dieu pour don­ner il tour travail de l'ordre temporel le secours spirituel qui en assure la fécon­dité: lo capucin Joseph de la 1 remblaye et sa Congrégation des Bénédictines du Calvaire, saint Vincent de Paul avec ses Lazaristes et ses Filles de la Cha­rité, le cardinal de Bertille et ses Oratorlens, monsieur Olier et ses Sulpiolens... Et qui mesurera Jamais l'influence sur les masses de tant de saintes runes qui ne les portent qu'au bien, et par conséquent le secours immense nonné aux efforts des puissants de ce monde?

Après les guerres de la Fronde et parmi les guerres incessantes de Louis X I V , saint Jean Eudes et ses religieux dc Jésus et Marie, ses Eudistines, son Bon-Pasteur; l'austère cistercien Kancé, et ses Trappes de pénitents; le ren­nais Poullart des Places et ses missionnaires du Saint-Esprit, les Spiritalns d'au­jourd'hui; et saint Jean-Baptiste de la Salle avec les Frères des Ecoles Chré­tiennes: le Bienheureux Gris Dion de Montfort et ses Missionnaires dc Marie, ses Frères de Saint-Gabriel et ses Filles de la Sagesse. Sans parier des Mis­sions Etrangères de Paris qui, portant la foi aux peuples de l'Extrême-Orient, de concert avec les Franciscains, les Dominicains ot les Jésuites; méritent pour cela le maintien et le progrès de la religion dans la patrie.

Après les tumultes et les révolutions inouïes issus des guerres de la 1" Ré ­publique et de l'Empire, c'est une cfllorescence jamais connue de Congréga­tions nouvelles en France. Par le Concordat, Napoléon avait pose les bases d'une paix religieuse et nationale. Si le peuple s'y opposait, l'imposerait-on par la force? Les Bénédictins de dom Guérahger, les Assomptionnistes du Père d'AIzon, les Oblats de Mgr dc Mazenod, les Dominicains dc Lacordaire, les Marlanlstes du F. Chemlnade, les Marlstes du 1'. Colin, les Plcpuclens du V, Coudrin, e t tant de Congrégations de Pères, de Frères et de Sœurs, nombreux à tel point que le Cardinal Barnabo, débordé, s'écriait: — Il m'en arrive de France tous les jours: on s'en occupera peut-être après ma mort! » Tous furent ouvriers de la paix et de l'ordre public,sans lesquels la rude tâche des chefs de peuples aurait été plus rude.

Or déjà pendant cette guerre, nous avons vu germer la Mission de France, pour les paroisses a refaire; tes Missionnaires des Ouvriers, qui offrent le sacrifice de leur v ie pour leur apostolat; les Frères missionnaires des Campa­gnes, consacrés uux ruraux. N'est-ce pas l'espoir' de la moisson pour l'après-guerre?... Espérance! René C A R D A L I A G U E T .

MESSAGES — E T A T F R A N Ç A I S —

Travail - Famille - Patrie

A P P E L A U P E U P L E F R A N Ç A I S Français,

Les armées allemandes et anglo-sakonnes sont aux prises sur notre sol, La France devient, ainsi, un champ de bataille. <

Fonctionnaires, agents des services publics, cheminots, ouvriers, demeurez fermes à vos postes pour maintenir Ta vie de la Nation et accomplir les tâ­ches qui vous incombent.

Français, n'aggravez pas nos mal­heurs par des actes qui risqueraient d'appeler sur vous de tragiques repré­sailles. Ce serait l'innocente population française qui en subirait les conséquen­ces.

N'écoutez pas ceux qui, cherchant ù exploiter notre détresse, conduiraient ie pays au désastre. La France ne se sau­vera qu'en observant la discipline ia plus rigoureuse. Obéissez donc aux or­dres du Gouvernement. Que chacun res­te face à son devoir.

Lus circonstances de la bataille poui-ront conduire l'armée allemande. à prendre des dispositions spéciales dans (es zones de combat. Acceptez cette né­cessité, c'est une recommandation ins­tante quo Je vous fais dons l'intérêt de votre sauvegarde.

•lo vous adjure, Français, de penser au péril mortel que courrait notre pays si ce solennel avertissement n'était pas entendu.

Le Maréchal de France, Chef de l'Etat,

Philippe P E T A I N . MESSAGE DU P R E S I D E N T L A V A L

Les armées anglo-saxonnes s'efforcent depuis ce matin d'aborder notre terri­toire. Elles font la tentative de débar­quement si souvent annoncée. C'est sur notre sol qu'elles veulont porter le com­bat.

Après tous les bombardements q u i ont ensanglanté notre pays et accumulé les ruines, uno nouvelle epreuvo, puis dure encore, est imposée à ln France par ceux qui disent vouloir la libérer mais qui commencent d'abord par la détruire, *

Losqu'll a l igné l'armistice, en Juin 1940, lo Maréchal exprimait l e vœu de

la nation tout entière. Aucune voix r e s'est alors, élevée, ni À l'Assemblée Na­tionale, ni dans le pays, pour protester contre cette décision, la seule capable d'éviter ù la France un plus grand dé­sastre.

Notre pays ensuite ne pouvait avoir qu'une politique: conclure avec .e vain queur une paix qui, sauvegardant no tre honneur, nous prémunissait contre les conséquences de la défaite. C'était la politique de Montoire. Elle était pa­cifique. Elle permettait la reconstitu­tion de notre pays autrement que par les armes, par la souffrance et par .es ruines.

Certains Français, ayant quitté notre sol, loin des réalités et oublieux des in< térêts permanents et vitaux de la Fran oe, ont préféré une politique plus san­glante. D'autres, malgré leur serment, n'ont pas hésite à livrer nos territoi­res africains à des armées étrangères.

Français, vous êtes les victimes ir.no centes de leur aveuglément-

Aujourd'hui, quatre ans après l'armis tice, notre pays, de 'nouveau, devient un champ de. bataille et, aux deuils multipliés par les bombardements, s'a­jouteront demain la douleur de n'.nu-.vèaux exodes et les ravages de l'inva­sion.

J'ai éprouvé ce matin, comme Fran­çais et comme Chef du Gouvernement une grande tristesse en lisant la procla­mation d'un générai américain. Il S'a-dresse à vous et prétend, vous donner des ordres. Il ignore ou méconnaît le caractère français. Les Français n'ont à recevoir d'ordres que du Gouvernât? ment français.

Des instructions ont été adressées à tous les services publics. Elles s'inscri­vent dans le cadre des obligations que nous impose la convention d'armistice au' regard de l'armée allemande, eues su situent dans le cadre du droit des gens ot de la Convention de La Haye, au regard de l'armée d'invasion; elles s'Inspirent du devoir que nous avons d'assurer au maximum la protection des personnes et des biens, et elles fixent exactement son rôle à chacun des ser­viteurs de l'Etat.

Toute désobéissance à ces instruc­tions constituera un crime contre .a Pa­trie.

En signant l'armistice, nous avons souscrit certaines obligations vis-à-vis de l'Allemagne, puissance occupante et,

MOIN CARNET

Les livres qui consolent

Jamais les heures ne nous ont paru aussi lourdes. Aux privations d'ordre matériel, qui chaque jour se font pifis âpres, s'ajoute.IT les angoisses morales, la douleur des séparations, l'inquiétude du lendemain, la menace D'un horizon où l'orage semble s'accumuler. Nous sentons que nos cœurs se serrent et ne peuvent échapper À une affreuse étrein­te; E T les paroles que nous entendons échanger autour de nous ne reflètent que trop souvent un état D 'âme pareil au nôtre.

A l'un D E mes amis qui a gardé ioute sa sérénité dans l'épreuve, et de oui rayonne comme une émanation bienfai­sante de paix, de confiance et D'espoir, je demandais l'autre jour quel était son secret et par quels moyens il réussissait à dissiper cette pesante atmosphère qui, plus ou moins, nous opprime" tous: où allait-il chercher la paix?

— Dans les livres qui consolent, me répondit-il. Chaque matin, en prenant, mon café, je lis quelques lignes, quel­ques lignes seulement de l'un D'eux, en ayant soin D E choisir celles qui me pa­raissent s'adapter le mieux aux circons­tances présentes. Mais alors que mon C o f é n'est que du faux café, un liquide DE. saveur acre et qui n'a cul café que ia couleur noire, ces livres sont de vé­ritables consolateurs, et e p/ofit qur je tire de ma brève lecture' aie tint pendant la journée tout entière. Je l'augmente dans la mesure où Je .e peis par une constante méditation...

— Et quels sont ces livres? — Ils n'ont rien de mystérieux, et tu

les connais aussi bien que moi: l'Evan­gile,, l'Imitation de Jésus-Christ, l'In­troduction à la v ie dévote de saint François de Sales et les Pensées de Pas­cal. J'ajoute un petit recueil D'extraits, D E morceaux choisis si tu veux, que j 'a i fabriqué au cours des années et où figurent même quelques pensées, D ' a i l ­leurs assez rares, d'auteurs païens, Virgi le ou Sénèque, par exemple, voire Epictète.

-— Tu pourrais peut-être citer encore la Divine Comédie... Mais dis-moi: quelle fut ta lecture d'aujourd'hui?

— Il ne me sera pas diiiici!••; de te L À réciter par cœur, car ell? fut parti­culièrement brève. Voici: « Four l'uti­lité de ceiui qui est dans le besoin, il faut quelquefois ne pas hésiter À inter­rompre une bonne œuvre: c'est la chan­ger pour une meilleure... Co que l'on fait par charité, si petit qui es soit et méprisé, devient tout fruit... Ii fait beaucoup celui qui aime beaucoup. Il fait beaucoup, celui qui fait bien. Il fait bien, celui qui sert la communauté plu­tôt que sa volonté propre... J

— Et c'est tiré...? — De l'Imitation de Jésus-Christ. — Et tu réussis à mettre en pratique

ces admirables conseils? — Hélas, non!... Ou, du moins, très

rarement... Mais Je m'y efforce... Et quand il m'arrive, ne seralt-c? qu'une fois, de sacrifier ma volonté propre au bien de mon prochain, cet acte de re­noncement m'apporte un peu de la pai-x intérieure qui nous fait ri cruellement défaut. Un seul succès me permet D 'ou­blier d'innombrables échecs...

Je suis sûr que ses échecs, mon ami les exagérait volontairement, pav esprit d'humilité... Mais il n'importe... Ce que je voulais surtout rapporter ici, c'est sa méthode de défense contre tes tris­tesses actuel'los: demander srcours aux livres qui consolent.

Biffa.

notamment, nous nous sommes engagés à n'entreprendre aucune action hostile contre elle. La France a signé l'armis­tice, elle doit faire honneur à sa signa­ture. Nous ne sommes pas aans ia guer­re, vous ne devez pas prendre part aux combats. Si vous n'observiez pas cette règle, Si vous faisiez preuve d'indisci­pline, voua provoqueriez des représail­les dont le Gouvernement serait alors impuissant à atténuer les rigueurs: vous souffririez dans vos personnes et dans vos biens et vous ajouteriez aux mal­heurs de votre pays.

Vous refuserez d'entendre 'ies appeis insidieux qui vous seront adressés. Ceux qui vous demandent de cesser le travail ou vous incitent à la r.Voite sont de» ennemis de notre pairie. Vous vrms re­fuserez à aggraver la guerre étrangère sur notre sol par l'horreur de la guerre civile.

C'est le langage que, j'ai !o devoir de vous tenir, ce sont les conseils que- vous avez le devoir d'accepter et de suivre.

COURRIER DU FINISTERE

L'accueil émouva.it que les ïoujéh meurtries ont partout réservé au Ma­réchal, hier à Lyon, uuj i trd'hui tmvulc a Saint-Etienne, conu i -n t iu cui'dairtrm-tion sévère de la guerre injuste et suu-

,vnge qui nous est faite, ci . mm e :. at­tcsti' leur foi dans l'avenir de notre pays.

Un autre témoignage émouvant nou> est offert en cette première journée eie tentative de débarquement, par te cuimt et le sang-froid que montrent nos popu­lations côtières exposées à l'Invasion.

A cette heure dramatique où la guer­re est portée sur notre territoire, mon­trez par votre attitude digne et disci­plinée, que vous pensez à la .i'raneu et que vous ne pensez qu'ù e l l e .

Sacré-Cœur. Lecture de la Consécration du Sacré-Cœur. Bénédiction du Suint-So-cremeut. Eglise plus que c«>ml>le.

Depuis le-i)eudl 1.1 juin ù l'Issue de lu ! Communion privée, .M. le Curé et MM, les

Vicaires mit été appelés dans de nom­breuses fiimllles pour l'intronisation du Sacré-Cœur de Jésus el cela continuera. Cite in vie religieuse reprend bcuUCOUp

lionne ipiiroisse de Saint' l'on prie et communie bcau-

UN A P P E L DU PREFET R E G I O N A L A L A P O P U L A T I O N BRETONNE Certains chefs d'entreprises — d'en­

treprises auxquelles des mesures de fer­meture n'ont pas été imposées pour des motifs d'ordre économique — ont cru pouvoir, dans un geste de hâte injusti­fiée, arrêter i'activité de leurs établisse­ments. Je les invite à rouvrir immé­diatement les portes de leurs usines ou de leurs chantiers.

J'invite également les ouvriers de ces entreprises à reprendre, sans délai, le travail.

J'exige que les magasins et, plus par­ticulièrement, 'les magasins d'alimenta­tion, restent ouverts comme d'habitude. Je prendrai contre les commerçants dé­faillants les sanctions les plus graves.

Je rappelle enfin à tous les fonction­naires et agents des Services Pubhcy que, sous aucun prétexte, sauf le cas où ils seraient expressément autorisés par moi, ils ne doivent quitter leur pos­te. Je sanctionnerai impitoyablement les; défaillances qui viendraient a se pro duire.

La vie économique et administrative do la Région continue. L e ravitaillement sera assuré. L'ordre public sera main tenu.

Que chacun observe, avec discipline les consignes qui' lo Maréchal, Chef d' l'Etat Français, et 4e Président, Chef du Gouvernement Français, viennent d'adresser au Pays et qui tracent clai­r e m e n t notre devoir.

L e Préfet Régional Robert M A R T I N

A P P E L A L A P O P U L A T I O N DU FINISTERE

Dans les circonstances tragiques que traverse actuellement la France, il est plus que jamais indispensable que 13 population conserve son calme et sa dis­cipline.

Chacun doit rester à son poste. La vie économique et administrative continue. L e ravitaillement sera assuré, l'ordre public sera maintenu.

Nous comptons sur l'intelligence et le coeur de la population du Finistère pour que partout règne le calme le plus strict. Chacun comprendra aisément qu'il ne convient pas d'aggraver les dif­ficultés que traverse le Pays, par des actes qui risqueraient d'appeler de tra giquos représailles.

Que chacun reste face à son devoir. Adolphe D U P A R C ,

Evêque de Quimper et de Léon.

L e Sous-Préfet de Brest, Préfet du Finistère par intérim

Stéphane LEURET.

que lundi malin 1 1 1 l'abbé Le Guoll ce.

M. Michel l.e tiiiel-dlinuuche ix juin.

d'année en ne tardera diocèse "de

S T

BREST. — Pharmacies de service. — Dimanche 2.1 Juin: Mudec-l'rlouL 81, rue A. France; Kernours, 41, rue de Lyon ; Sulnt-'l'lerre : Quelnnec, 197, _rue_J. Jaurès.

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iii

dans notre Ilouurdoii où coup.

M. le duré annonce juin, u 7 h. 3/1, M. frère de notre vicaire Icc, ordonné prêtre le dira sa première messe A Suiiit-llouurdon ce lundi.

Les vocations se multiplient aimée dans noire paroisse qui pas il être classée la 1"' du Quimper.

Ce jeune prêtre est 1«' I" «le lu l'miillli Lé (iuellec. de IVumerll, dont Michel ù Luiidcriiriiii, .1 en n-Ma rie à Sulnt-Murtln, Jacques A Bon-Secours.

LANN1LIS. — Le pardon du Sacre Cœur a été célébré avec très grande su-Icnnlté vendredi dernier. Lu grund'niessc a élé chaulée par M. le chanoine Loir vière, Supérieur du Grand Séminaire, assisté de M.M. les alihés Bernard et .les-tin. M. l'abbé i'ioch, minoré de lu pa­roisse, dirigeait les cérémonies avec ma: trlsc. Le sermon fui prononcé pur M. le chanoine Coudou, Supérieur du Collège de l.eslieven, qui lit l'historique de lu dévo-lion nu SacréCieur. Au cours de la céré­monie, la chorale paroissiale lit entendre des chants à 1 parties cl M. Bleus chiinlu, après l'KIévutlon, un « l'unis ang.dicus M. Bougnrnn tenait les orgues.

Aux Vêpres, les assistants étalent encore plus nombreux. Les psaumes, entonnés par MM. les abbés .1.-1.. Mérleil et Abjeaii. clercs tonsurés, lurent chantés avec fer­veur par l'assistance. La procession du Suint-Sacrement se rendit aux trois reposolrs érigés sur la Grund'I'luce et dans les écoles libres. Précédant le <lais un nom brrtix clergé, parmi lequel se trouvaient MM. Fnlc'hun, recteur d'' SI l'abu, V choux, professeur A Lesiieven, Pennée, dl recteur du Sacré-Cœur de Gulssény. Lu gudec, vicaire A Plougucrneau, Sergent professeur ù Gulssény, etc. M. de Kcrdrel maire, entouré'de son Conseil municipal suivait immédiatement le dais, puis vernir

l'Immense foule de Ildèles. Via 1» 15 II. 45, lu procession était

retour ù l'église paroissiale où M. le Cur lui racle de consécration au Sucré-Cœur

Succès. — Reçus au Baccalauréat, Philo: Jean l.uot, (Us de Mme et M Luot. négociants en vins el Mlle Marie Thérèse l.e Houx, Mlle de Mme. conseil 1ère municipale, et de M. Le Roux, saerls tain ,de notre paroisse.

I.ANNIL1S. - / J«itr les Prisonniers. — A l'occasion dit .pardon de Bergot, les jeu lies gens du quartier avalent organisé dt jeux qui ont rapporté 3,000 fr„ versés 'Comité des Prisonniers,

LESNEVEN. — Le :t Juin, samedi de Quiitrc-Temps de la Pentecôte, en l'égise paroissiale, S. Exc. Mgr Cognenii avait or donné 1(1 soits-dlucres: MM, Jean lïégoc d Saint-'Pubu; André Bculxc de llospordcn Joseph Creac'h de Saint-Martin de Mor lalx, J.-.M. Dnntec de Tréguruntce, Y. Klly de Gulssény, Fr. Gourvénec d'' Brest SI Mnrtln, Eug. Gulriec de Roscoff, Joseph Prlgent d'Henvlc, Y. Qulnquls de l.ocina rlnPlouznné, René Thépuui de »Plou<lniilcl S. Exc. les ordonna diacres le lcudciiiitin dimanche de lu Trinité, <lans In chupcll du Séminaire (Retraite) ainsi que six autres séminaristes : MM. Marcel Cloarec de iKeriiouès. Ernest Le Borgne de Tré tlaouénan, Paul Merlu d'Ar/ano, Olivier l'ellcn, de Salnt-l'abu, Jean Plantée de Lumllvlsluu, Jean Simon, de 'l'iounévez-Lochrlst.

S. Exe. Mgr Duparc u ordonné prêtres qiinrnte-ct-un diacres, le dimanche 18 juin Solennité du Sacré-Cœur, drus lu ch pelle du collège Saint-François :

Jeun llurucr, de Gouézec; Jean liégoc de Salnt-iPubii ; Anré Beulze, de Kospor den ; Marcel Cloorèç, de Kernouès; Henri Corre, de RoscolT; Joseph Cnéuc'h, de St Martin de Morlnlxj Jeun-Murle Dantee. de Trégumntec; Pierre Elurd, de l'Iouurzcl Antoine Ellégort, de Loc-Brévniaire ; Clau­de I'ulc'huii, <lu Îlourg-Blune; Jean Fia cre, de Douarnenez; Yves Fily, <le Gulssé ny: Maurice Giionnc'h, d«' Coray; Yves Garo, de Dlnéautltî François Gourvénec de St-Miirtin de Brest; Jean-Marie Guégui-uiut, de l'IonéouM.aiivern ; Joseph Gucï lec, de Peuinerit; Eugène Gulriec, de Itos cou"; Jean Hlrrlcn, de Saint-l'ol-tlc-Lcon Antoine Labbat, de Guipa VUS; Ernest L, Borgne, de Tréflnouéniiii; Franëbls-Loùi*

Borgne, de IMolizévédé ; Ivug Le Dongc, de Ploiiéour-iLiinvcrii; Paul Le Gnll, d« St-Louls de Brest; François Mllin, de Mcspuitl; Puni iMoru, d'Arzimo; André Nlcol, de l.ampiuil-Culmlliau; Olivier Pcl-len, de Saliit-l'nhu; Emmanuel l'engam de Ploudanlei; Michel Pérou, de (iulpu vus; Pierre l'éron, de Loctudy; Jean l'Imi­tée, de Lnndlvlsluu; Joseph Prlgent, de Henvlc: Yves Quéméneur, de Plouéiinn Yves Qulnquls, de Loc-Murin-Plouzaiié

cœur à nos éprou

'BREST. —- M. Euscn, président de Délégutlon spéciale, prie les Bl'cstols de réunir, dans chaque maison, pour prépa­rer des repas commun il tous, le com­bustible élnnt rare, Il demande que les l'unillles fassent savoir si elles veulent que des repas ou plats chauds leur soleui préparés pur les soins de lu Ville,

LANDERNEAU. — Lu Vie paroissiale u Saint-llotiurdon. — Jeudi l t Juin, (1(1 gar­çons et filles étalent convoqués pour, lu communion privée. M. le chanoine Aubert dit la messe, durant laquelle M. Publié Fuvé, vicaire tx Suint-Louis d«' 'Brest, auxi­liaire à Snint-IIouiirdun durant lu guerre, exhorta les eul'unls ii l'aire une bonne el Sainte Communion et les engagea à rece­voir Notre Seigneur avec amour et dignité, I Léon; René Thépuut, de IMoudimlel; ainsi qu'ù prier pour leurs parents, les / Uguen, do Plouider.

Îirétres, le Saint-Porc et 1« France. Toutes es l'unillles do ces entants étaient repré­

sentées 4 celle belle et toucliiinlc cél'émo-nie.

Vendredi 10 Juin. Fête d" Sucré-Cœur. A toutes les messes très nombreuses com­munions d'hommes et do Jeunes ainsi que femmes et Jeunes llllvs. A 2(1 h., Proces­sion du Suint-Sacrement porté pur M, lo Curé ù l'Intérieur d « l'église urclil-comble. $A\ chorale s'est surpassé dan» les chants et cantiques.

Dimanche 18 juin. A toutes les messes très nombreuses communions; à 3 h.. Ro­saire et explications et chaque dizaine a une intention spéciale, ' <i h, soir. Vêpres, chant des Litanies du

Joseph Sélté, de t'.léder; Joseph Sénéchal, de Plugull'un ; Jeun Simon, de Plonévez-Loohrlst; Pol Tanguy, de SuInt-Pol-rle-

Vves a i-iouiaer,

LE PARDON DE HDMENGOL Pendant trois Jours Runiengol en fflte

est sorti du silence <lolit l'enveloppent ses bols pour s'emplir du murmure confus des foules, de lu rumeur des prières et des cantiques. La Cornounlllc est la, y compris le pays blgouden, Inrgcnicnt re­présentée comme 11 convient, voici venir de Snlnt-Thégonnec un groupe de dlx-hult femmes cheminant ensemble en chantant. Telle vaillante dévote de N.-D. de Rumen-

Sol arrive d'au délit de iLandlvlsiuu, tenunt la mnln soir bftton murqué de onze

coches: c'est lo nombre de ses pèlerina­ges. De Slblrll, de Gulssény, du Folgoët même Ils sont venus dès le samedi. Des prisonniers récemment rapatriés y re­

trouvent leurs camarades de guerre. Une centaine d'apprentis de l'Arsenal sonl mon tés de Pont-de-Buls el dédient eu rangs guidés pur leurs moniteurs au rythme ca­dencé de leurs chaussures ferrées.

Tous sont venus confier leurs soucis ou dire leur reconnaissance, mais aussi louer et admirer la Vierge, et ils n'ont qu'a laisser monter leurs Ames vers les hauteurs surnaturelles où les emporte sans effort lu voix de leurs prédicateurs. M. Le Bot. recteur de Plouhiiicc, qui prêcha samedi, cisela un diadème au iront de la Vierge Ct .V lix.i connue autant de joyaux_ tous les litres de su souveraineté: « R e i n e des Anges, Heine des Martyrs, Reine des ApO très... » — En un breton riche et nuancé, dont les expressions portaient jusqu'au fond de l'Ame ses sentiments et sa peu sée, M. le chanoine ltannoii. Inspecteur diocésain, rappelant l'Evunglle, dessina en fruits précis Ct touchants l'image de la Vierge douloureuse et compatissante. ré­fugiée » ù Bethléem, errante sur les roufs de Palestine et d'Egypte, blessée sur l( Calvaire jusqu'au .plus vif de son maternel et d'autant plus sensibl détresses qu'elle les a elleinêuu vées.

Aux Vêpres, le sermon de M. le cha­noine Le Grand, officiai du Diocèse, d'une pensée ferme et large, avec une éloquence vigoureuse et prenante, évoqua eu un. fresque lumineuse lu «este de Marie en pays de France, lu série île ses Interven­tions merveilleuses et les hommages <Jc la France à sa Heine -- puis il rappela que ces « liens de parenté » entre elle et noire patrie ne soûl pus seulement pour nous des titres il su bienveillance, niais encore des invitations pressantes à nous ressai­sir, ù rénover noire vie pour être dignes d'Klle et mériter son secours.

S. Exe. Mgr Duparc. malgré la fatigue et la chaleur, assistait au troue A la grand'niessc et présida le salut, nous ap­portant la joie de sa présence et donnant une l'ois de plus la preuve de son attache chôment ù nos sanctuaires bretons.

Et, le soir, lorsque les pèlerins ont quitté Runiengol, lu Vierge dorée, de bout sur son pinacle de granit, les a vus s'acheminer sur les routes du retour et les n suivis d'un long regard qui était un re­merciement et nue bénédiction.

SAINT-DIVY. — Au mariage de M. Jean-Louis Bourhis et Mlle Anne-Marie Tron-dee, une quête a été fuite par les gens d'honneur M. I"r. Bourhis et Mlle Yvonne Troadec un profit des prisonniers d ' guerre des communes de Sulut-Dlvy, Lu Forest-Lunderneiiu et Plouédcm, Elle a rapporté 1.500 l'r. — Merci et bons vieux.

TJIEGLONOU. — La Fête du Sacré-Cœur et la Fêle-Dieu ont été célébrées avec fer­veur dans notre pieuse paroisse. Autels et reposolrs étalent ornés à profusion de massifs de Heurs disposées avec le goût le plus sûr, sous la direction de Mlle de Rivericulx

Les processions du Vendredi et du Dimanche lurent suivies pur la quasi-totalité de lu paroisse qui tint h accom­pagner le Saint-Sacrement tout au long du bourg et de Porz-Kgruz, en chantant psau­mes, hymnes et cantiques bretons, enton­nés pur la chorale des jeunes illles et la voix entraînante d'e notre si dévoué chantre.

Les Eufunts de Mûrie, et les jeunes porteuses do bannières on ravissantes toi­lettes blanches et aériennes cornettes, précédaient l'Hostie Sainte devant laquelle de jeunes enfants jetaient des pétales de Heurs iiiiiTilnniiiéwiv tandis que derrière, lu foule parmi laqwcjje se pressaient toutes les notabilités, appelait-1» corde ct les bénédictions du Ciel sur tou­te* les familles, les malades, les prison nlers et les absents.

Dieu ne sera pus sourd a nos prières. Nos voix ont clamé vers le ciel. 11 nous

entendra, soyons-en sûrs. Il nous proté­gera nous et les mitres et nous donnera encore des jours heureux.

non ina- curi • sa pniroisst ; | magnifique

de

I

En 102« M. Kerry fut de Slzuii, non loin di' Il jouit ù plein du architectural de son égliNc triomphe, etc. 11 en faisait lieiuiircr chesse et lu splendeur, et plus m, fol qui l'avait rendu possible it travaillait à maintenir et A foire chez les descendants des donateurs constructeurs. Ses catéchismes et M lies étaient des modèles du genre, ne songeait a trouver trop Inii.ns, ne l'étaient pas. Son Hullelin par qu'il partageait fraternellement m paroisses du doyenné el qu'il soignait amour, suscitait le plus vii intérêt rédaction variée, solide et lipproprH su rude cordialité sut Jusqu'au I attacher les Ames.

Chanoine eu 1937, il eut à cœur un Léon une Journée de Croisade ristique (1939) qui lui coûta, el à relient vicaire M. Clcc'h. bien dei el ib's l'alignes, mais dont le succès les récompensa amplement. Mais urj| sauté llêcliissalt. sa vue billssnit. It Insidieux rongeait se., forces. Il ne v point que lu paroisse sonili ¡le Miti lilisseuienl. il résigna ses fonctions, reusemcul, mais non sans chagrin, (ivcinenl soigné par sa s ieur Aline, nière survivante des six frères et s il ilura encore un peu d1' letups, t«u ardemment lidèle A l'histoire, à la I; el ù la littérature de la il admirait les beautés cli'd's-d'uiitv res I ra llçu i s n'est plus, et sa forte manque. 1! aura été de trop till.

l ' e l i t e l';l|ri|.. comme celle! et etrang.r>. personnalité' | ceux qui

O U I M P E CO.MIBIUT. — S. Exe, Mgr !'i:vè||

décernée la médaille d'argent <ai diocésain à Mil. Jacques l.e t'a|ie, M tain et chantre depuis .'Ili ans. cl il M. I.etty. conseiller paroissial depuis 32| catéchiste volontaire depuis In

dOl'KSN.VC'IL — S. lïXC. Mgr neu] a décerné la médaille d'argenl c" » I diocésain A i l . Corentln Scdélec, fl 1er paroissial depuis 2'., aas. qui S des services exceptionnels à lu naroisst

TOCHCTl. — S. lîxc. Mgr l'Kïèji décerné la Médaille d'argent '''' " L diocésain A il. François Le Borgne, OJ tre bénévole et conseiller paroissial puis 50 ans, et A Mlle M. A. Le W

Félicitations.

Etude dr .11« .1. TBOLSSl.l.. rue d'Aiguillon

avoue a i l

E X T R A I T D'un exploit du i liiilsiêre de "'I

GALL, Huissier A Brest eu d-'t«- M Juin ill II , enregistré,

Il appert que: Mudate A n n e Marie M épouse de Monsieur Elle XlitilU, avet elle demeure A Suini Pierre e.uill>» Ili rue llrizeux,

u formé contre Monsieur Kite M Siili mari une demande en separat»* biens et que M« THOl SSKI., SW» Brest u été constitué pour elle * « r

demande. .1. TUOL'SSKL. Av.iin'-l.i''''

Pi/ur extriùt,

C H A T E A U L i l M

Société A responsabilité llnllt" RIVIERE ET IUS

D'un acte s. s. p. en date du -*' 1ÍIII. enregistré A Brest le 28 SWil

F" 71 J . Case (ILt, il appit qui miseri I Rivière « e«¡d« à M. Jeun I t i » *

propriété des vingts paris qu'il. 1'" dans la société A responsabilité ''."ï Rivière et fils avant son siège soejf, Brest, 1. rue Kéruvrl. socléO •'"".5" par acte notarié du 28 janvier .

Deux expéditions de l'aile ue ont été déposés au (¡relie du Tribus* Commerce de Brest le 31 Mal

l'our curait, l'un d" "'"'" P. HIVIldil

ROSNOEN. — Nous avons appris avec un vif regret lu mort de M. l'abbé Roi lund, né il ltosiioën en 1(112. étudiant en Ecriture Sainte à Home de 1935 a 1»39, or­donné prêtre en 1930, (prisonnier en Alle­magne, décédé uiicldentellenient A Berlin le

murs 191-1, il l'Age de 32 uns. Son dé vouement et su seiei.ee promettaient au Séminaire un excellent professeur. — Nos condoléances ii su famille.

M O R L A I X SIZUN. — M. le chanoine J.-I'r. l i e n » ,

curé-doyen pendant dix-huit uns. est mort peu de semaines après avoir donné sa démission, qu'une maladie longtemps dé­daignée et enfin redoutable avait rendue nécessaire. Il n été enterré le mercredi 3 niui, à Lumpitul-Gulinlllnii.

Né nu bourg de cette paroisse en 1«7<1 H avait reçu au foyer paternel — son père était maître maçon — les meilleures leçons et les meilleurs exemples. Des six enfants, deux furent prêtres, une troisième fut religieuse. Aussi timide que studieux, toujours « premier » au catéchisme, il fut distingué ipur le vicaire i l . Féroé, qui lui donnn les premières leçon de latin ulnsl qu'à son «ml Louis Floc'll, l'actuel recteur de Siilnt-Frégnnt. Leurs études un Collège N.-D. du Kreisker et au Grand Séminaire furent solides et brillantes. Maître d'études après son ordination, il

inira une licence de lettres et devint professeur de 4""» puis de 1"'. Mobilisé en 1014, il goûta moins l'enseignement quund

rentra en VUS, ct bientôt demanda un )oste de recteur: il fut nommé à Meilurs-lomfort, paroisse de DUO habitants. Lu

belle chapelle de N.-D. de Coml'ort le ravlBsnit; 11 almolt a en expliquer les beautés aux pèlerins et aux touristes, éton­nés souvent de la science ct du goût ar­tistiques du « recteur de campagne » A lu voix rude, aux traits énergiques, au rcgtinl de feu. Plus d'un de «es paroissiens d'alors l'a pleuré ct le pleure encore, nous le savons.

<l,-l

I

CABINET L. BAlili VIM-LS, rue Colbert. Brest

1 Suivant acte "s. s. p. en date

du 23 Mai 1044 V enregistré ss"' Juin iy : i n" ül/l', i l . Jean iraní' époux de Mme Eupimislc Floury, runt A .Brest, l, rue Qunrtier-Ms"" don. n cédé A une personne desW",. l'acte le l'omis de Café Meublé glie « Bar D i s m u d e » Quartier-Maître Boudon.

Les oppositions s'il y s " reçues duns les 2(1 jouis au I Barralne domicile élu.

La première insertion a été l"1'".1" la Deperite ite Prest du 0 Juin

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Pour ( ¡ I » II p. en

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Suivant acte s. s. p. en date a" , m

11)44 25/5, Madame Jeanne M - .. commerçante, demeurant à Brest Jean-Kart, a remis en gérance Madame Maria .Sulluz, un Ponds ,lo

Can'] de Calé A l'enseigne , . " ¿ ¡ ¿ g a l sis en la commune J"'

Heu dit Menez-Paul, le dit acte. Il

ATTI la |,.|slrlU

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Stade lec au

Dilli le fonds serait exploité pai ses risques et périls, Mine répondant d'aucun des engageu-pur celle-ci de quelque natale soient. Pour uniiinc i"!l

Suivant acte s. s. il. en date « ??' 2«i Mai 1944, enregistré A U n s i Icl'L, F° 23. X«» g :1 10, Madame * -a H. P. L. u c « l é A Madame GO| ^Sfcm le fonds de CAFE - DBBI1 ""i'J qu'elle exploite A Brest, v u e

et dénommé le PETIT CAPII-Annonce parue au B. O, V. . Oppositions à fuire s'il y « "Zim,i

les 20 ' Jours de |n présente i " » " 1 , vi 2 m » nu Cabinet lid. TOUDIC, gnun ù LAMttEZELLEC.

mpr 4. rue do Chftteao «r<si r ^ L* sìèrant Ft .isonceu»

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